Diapositive 1 -...
Transcript of Diapositive 1 -...
Ce document va
tenter d’expliquer
un nouveau
concept,
il propose de
changer de
paradigme !
Application du Concept de Non-Séparabilité
Quantique aux Phénomènes Biologiques
Réalisation : Dr Strub Thierry [email protected]
NSB 2011
1
Plan du
document
La NSB en médecine ?
Le paradoxe EPR
Instantanéité &
simultanéité
Ebola
VIH
Autres
Condition pour la simultanéité :
Dimension : l’ordre
mésoscopique
Le chat de Schrödinger n’est
pas paradoxal
Situation: la tautomérisation =
mutation
Energie : Effet tunnel Δ S ≤ O !
Les expérimentations
Bilan
Le Comité Troisié (Inséparabilité Initiative Interdisciplinaire Expérimentation) association 1901 (JO du 01/02/1989n° 140581-801). Il a été sponsorisé par
l’entreprise CDR communication, pour la troisième expérimentation.
2
Une application de la non-séparabilié quantique en biologie
« L’étrangeté quantique » en s’appliquant à la biologie1, 2, 3
sort de domaine microscopique et pourrait s’appliquer à la
médecine 4
1 La vie : un saut quantique ? Au-delà de Darwin : http://www.audeladedarwin.fr/article/vie-saut-quantique
2 La vie serait quantique : http://www.i-services.net/newsbox/151229-97380-1643-62233/la-vie-un-saut-quantique.php
et Sciences &Vie 30/03/2011
3 Professor Johnjoe McFadden - Professor of Molecular Genetics
4 Un virus quantique Zeilinger p 114-115 “Notre existence a-t-elle un sens ?” Ed Presses de la Renaissance
3
•au même moment exactement
•l’autre photon prend un spin (-1)
Corrélations non-locales :
Le paradoxe EPR
•Le physicien trouve le photon avec un spin (+1)
Phénomène espace-temps indépendant
24 février 2010 Alain Aspect le paradoxe EPR http://etudiant-scientific.forumactif.com/t4786-prix-wolf-a-trois-specialistes-de-physique-quantique-dont-alain-
aspect?highlight=physique
Le paradoxe EPR analysé par John. Bell établit des inégalités, ces dernières violées par
Aspect et d’autres (1)
4
Comme dans le paradoxe EPR la notion de temps disparait de
l’instantané on va chercher dans le monde biologique les cas de
simultanéité
Deux épidémies revêtent ce caractère
Ebola (virus Ebola) Sida (virus VIH)
Mais d’autres :
Peste des mérions au Kurdistan 1
H1N1 2
virus West Nile 3
Le Choléra 4
Virus ou bactérie ? 5
Virus inluenza 6
E.coli souche O104 7
Il faut que se soit des virus dont l’origine phylogénique
est proche
Pour une raison d’encombrement les références sont dans la partie non-visible du diaporama 5
Virus Ebola
L'épidémie du virus Ebola touche simultanément le Soudan et
le Zaïre en 1976, comme le montre la courbe de prévalence à
ce virus dans ces deux pays :
•Arrivés de patients à l’hôpital de Maridi
•Deux épidémies simultanées, dés l’entrée du virus à l’hôpital
de Maridi (facteur déclenchant) , dû à deux variant d’un même
virus, nouveau pour la science ( Pr Sureau de l’Institut Pasteur
à l’auteur)1 et 2
•1 voir document FEMIS
•2 Virologie. Volume 1, Numéro 1, 23-30, Hors série n°1, Janvier - Février 1997, Revues générales
6
Virus VIH •Quand en deux variants qui sont des mêmes espèces manifestent
simultanément des transformations similaires en des lieux
géographiquement séparés 1 :
• origine phylogénique commune (principe d’antériorité)
• identité de leurs transformations génotypiques et phénotypique
(apparition du caractère pathogène)
• intervalle rapide de cette transformation
Nous possédons deux histoires épidémiologiques parallèles, c’est ce que nous
appelons un paradoxe de simultanéité. • Il est nouveau sur le continent américain (mais aussi en Asie, en Europe, et
en Océanie), très ancien en Afrique…mais c‘est là que l‘on détecte son
apparition en 1982 2
•Le facteur déclenchant semble être la proximité sexuelle exceptionnelle dans
la communauté gay américaine à la fin des années 1970 3
1 Pr J.Leibovitch document FEMIS
2 Sources : Relevé Épidémiologique Hebdomadaire du 21 novembre 1986.http://www.ird.bf/actualites/Larmarange_Historique_surveillance.ppt
3 Alexandre MARCHANT Université Paris X Nanterre Ecole Normale Supérieure de Cachan Mémoire de Maîtrise d’Histoire contemporaine Le
discours militant sur l’homosexualité masculine en France (1952-1982) : de la discrétion à la politisation
7
Distribution géographique des types de VIH comme pour l’épidémie à virus
Ebola : deux variant s’expriment simultanément (1984)1
1 ONUSIDAOMS novembre 2009
1
8
Tentative d’explication de cette simultanéité
épidémiologique
•Il faut que le processus soit d’ordre mésoscopique
•Une tautomérisation des acides nucléiques doit intéresser
le génome des virus
•Favorisé (+++) par des liaisons hydrogènes 1 qui peuvent
changer de spin (comme dans EPR) par un « effet tunnel »
(retour à l’étrangeté quantique)
•Cela a pour conséquence des mutations restent aléatoires
mais corrélées (comme dans l’expérience d’Aspect). •1 Bien que d'une force ténue, la liaison hydrogène joue un rôle important en physique et en biologie
moléculaire. C’est elle qui attire entre elles les molécules d’eau http://www.futura-
sciences.com/fr/news/t/physique-1/d/la-liaison-hydrogene-observee-au-microscope_15501/
9
Une illustration de l'expérience dite du chat
de Schrödinger 1
Ce n’est pas un paradoxe.
Le chat de Schrödinger initialement on le disait mort et vivant, mais il est dans l’ordre macroscopique l’étrangeté disparait 1 il y a « décohérence » (2) aussi seul l’ordre
mésoscopique et microcosmique gardent eux cette étrangeté quantique (corrélations non-locales)
1 http://www.astronomes.com/le-big-bang/chat-schrodinger/
2 http://www.larecherche.fr/content/recherche/article?id=19544
11
Tautomérisation
•Un cas particulier d’interaction dipôle-dipôle, est celui de la « liaison hydrogène ».
C’est la plus forte des liaisons intermoléculaires (5-30kJmol-1).
•Elle se manifeste uniquement entre une molécule qui comporte un atome d’hydrogène
lié à un atome X très èlectronégatif (N, O ou F) et un autre atome, Y, possédant un
doublet libre.
O H
H
H O
H
X H ----------- Y
+
La mutation (une tautomérisation des acides nucléique) reste liée au hasard mais reste corrélée par l’effet « EPR » proposition de l’auteur
et envisagé par le Professor Johnjoe McFadden - Professor of Molecular Genetics 1
12 1 http://fr.wikipedia.org/wiki/Johnjoe_Mac_Fadden
Effet tunnel nécessaire à la
tautomérisation 1
L'effet tunnel désigne la propriété que possède un objet quantique de franchir une
barrière de potentiel, franchissement impossible selon la mécanique classique si
l'énergie de la particule incidente est inférieure à l'énergie potentielle qu'elle doit acquérir,
au détriment de son énergie cinétique, pour passer au-dessus de la barrière. Si, à la
sortie de la barrière de potentiel, la particule possède une probabilité de présence non
nulle pour traverser cette barrière.1
1 http://www.lac.u-psud.fr/docs/seminaires/seminaires00-01.html
13
Illustration de l’effet tunnel 1
L’étrangeté quantique franchit des barrières énergétique 1
entrainant un principe de minimisation d'entropie 2
•1 http://www.futura-sciences.com/uploads/tx_oxcsfutura/img/krausz1e_web_l.jpg
•2 http://thesesups.ups-tlse.fr/98
Minimisation d'entropie = Δ S ≤ O ! (néguentropique)
Or le macroscopique toujours Δ S ≥ O
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Protocole expérimental
•L’activité TI = transcriptase inverse, signe la présence de rétrovirus
•Sont infectées (par le VIH) des cellules peu permissives, entrainant un
retard à l’infection
•On répète l’opération avec un décalage de quelques jours
→ On observe un raccourcissement du pic TI ce qui signal une
meilleure adaptation, avec « l’habitude », de la population virale au
milieu cellulaire sélectif
•Or il s’agit du même virus qui infecte les même cellules selon
strictement le même protocole!
•= le paradoxe de simultanéité expérimental reproduit le
paradoxe épidémiologique
Réalisés à deux reprises dans le laboratoire du Dr Dominique Dormont
(CRSSA) Hôpital Percy Clamart
15
Représentation des délais d'apparition en fonction de l'activité transcriptase inverse de clones et des séries[1]
Légendes
De plus en plus précoce, apparemment les cellules sont plus permissives, or on utilise le même virus et les mêmes cellules !
Clones cellulaires peu permissifs (lignées lymphocytaires)
[1] Réalisée avec le soutien de Dominique Dormont, dans le cadre de l'activité du comité Troisié (Association 1901 ; JO 01/02/1989 n°140581-80)
avec l'aide financière de la société CDR-communication.
Temps (jours)
Première série Deuxième série
Troisième et dernière expérimentation
Présentation du protocole
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Bilan de la troisième et dernière
expérimentation •Sous l’expertise « confidentielle » d’une collaboratrice du
Dr Dominique Dormont qu’il a été choisi pour sa valeur de
référence internationale (confidentiel à sa demande), avec
le soutien de l’entreprise CDR communication
•Résultat étonnant : 1/10 43 probabilités donc une chance
pour que ce soit le seul effet du hasard, c’est la probabilité
de gagner au loto plusieurs fois de suite 1,2,3 !
1.Un milliard de joueurs jouent et gagnent pendant 100 milliard d’années (impensable = impossible) ou 2 probabilité pour qu’ «un archer …(réussisse) à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 centimètre de
coté, éloignée de 15 milliards d'années-lumière. » 3 la probabilité classique du Boeing qui se formerait au hasard lors d’une tempête sur une décharge publique
17
Bilan de cette présentation Pour que le vivant soit uni par « des corrélations non-
locales », corrélation n’est pas causalité1, il faut
• Que l’origine phylogénique soit proche
• Que des mutations « corrélées » succèdent sur une
liaison hydrogène, qui par effet tunnel 2produit une
tautomérisation des acides nucléiques, dans l’ordre
mésoscopique
•L’apport (mutations) est « horizontal », pas les
descendants mais les collatéraux (origine commune). 1 : http://83.145.66.219/ckfinder/userfiles/files/pageperso/fougere/intro.pdf
2 Dr Mac Fadden (http://www.editions-bayol.com/PMF/ch1s1.php)
18
Conclusion de cette présentation
•Il est proposé qu’un avantage soit transmis
(simultanément) à ses congénères (sur le principe de
l’origine phylogénique commune)
•Précision : la mutation reste un phénomène aléatoire mais
corrélé (selon cette l’origine commune)
•Il n’y a pas d’avantage acquis (pour la descendance)
•Ce n’est donc pas une hypothèse Lamarckienne
19
VIH X avec AZT
VIH y d’une autre origine
phylogénique sans AZT
)
Avenir : exploration de la notion d’origine
commune
VIH X sans AZT
VIH X’ sans AZT
A B C D
Si au moins deux équipes réalisent ce protocole d’infection avec le résultat attendu :
20
Commentaire du protocole attendu
•Si, après avoir mit en culture le même virus dans les quatre types de
façon don un troisième de même origine mais plus ancienne, le 4ème
est une autre souche VIH.
•Si l’on observe l’apparition d’une proportion plus importante ( >30%1)
de variant résistants à l’AZT dans le lot où les deux autre flacons
(B et C) et absent dans flacon D, alors une quatrième preuve de
l’héritage des avantages transmis. Il est souhaitable que B & C soit
dans des laboratoires distincts, voir présents à l’étranger
•
•Proposé à la communauté scientifique
• NB Sachant qu’une population virale choisi (X et Y) (VIH) possède
avant la mise présence d’ AZT un % derechef de résistant
(1comparaison du % obtenu) (4% en France réf. : Pharmaco 4/11/09) et incidence cumulative la plus haute résistance (16%) (Clin Infect Dis. (2011) DOI: 10.1093/cid/cir728)
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Autre exemple : virus H5N1 (boite A et B) + Amandine (boite B) uniquement, comme dans le procole précédent on s’attend à une augmentation paradoxale des résistants à l’Amandine dans la boite A.
A
22
B
Autre projet d’expérimentation du concept
Autres sources d’information
Un site est mit en ligne aux adresses :
•www.non-separabilite-biologique.fr
•www.non-separabilite-biologique.com
Dans l’attente d’un éditeur du texte complet « Hypothèse
de non-séparabilité biologique » 270 pages + iconographie.
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Pour obtenir les détails du protocole
expérimental
•Soit un éditeur éditera « l’hypothèse de non-séparabilité
biologique » document de 270 pages
•Soit en écrivant à [email protected] ou en appelant le
0698339127
•Adresse postal : Dr StrubThierry 24 Allée des Frères Voisin
75015 Paris
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