De l'Origine de La Franc - Maconnerie

8/6/2019 De l'Origine de La Franc - Maconnerie

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Paine, Thomas (1737-1809). De l'origine de la franc-maonnerie. 1976.

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4

DE L'ORIGINE

Dit LA

FRANC- MAONNERIE.


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Se trouve aussi, il Paris,


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DE LA.

FRANC MAONNERIE,

OUVRAGE POSTHUME

Dr

THOMAS PAINE.

A PARIS,

Chez C. F. Patms ruede la Colombe,n 4 en la Cit.


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Sansrienipp(onvrni cailamiur.

Aoucmux Eiia deN- B.


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NICOLAS BONNEVILLE.

M. Galatin, aujourd'hui ministre dutrsor public, aux Etats-Unis, m'a fait

passer deux copies, manuscrites d'un ou-

vrage posthume de Thomas Paine, sur lesanciens Druides et sur l'Origine et le but

de la Franc-maonnerif dans l'univers.Un de mes amis les a reues pour moi,aprs quatorze mois de date. -Il y avaitdans le mme envoi des lettres de Ben-

jamin Bonneville, de Thomas Bonneville,et une autre de leur Mre. Elles m'ont

appris que Thomas Paine avait rempli la

promesse qu'il m'avait donne d'tre le

protecteur etle pre adoptif de ma famille,aux Etats-Unis o j'avais dessein de me

rendre si la chose et t

possible.Thomas Paine, dans une de ses der-nires lettres, confie M. Maddisson,aujourd'hui Prsident des Etats- Unisme disait avec la plus grande amiti,d'tre sans inquitude sur le sort de mes

enfants, et il m'appelait en Amrique, grands cris.


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an apres sa mort, par le gnral Arm-

strong, ambassadeur Amricain, avec undiscours im/?rwn^aux Etats-Unis discours

loquent et d'un excellent homme, o j'aivu

que le testament de Thomas Paine com-menait ainsi.. That in return for the compassion

her husband bad bestowed upon him in bis worst daysof tribulation ,he consti-

tuted his Benefactor's wife and children, his legates (i). En retour pour la compassion qu'il

a eue pour moi dansmes pires joursde

tribulation, jenommepourmes lgataires-

la femme et les enfants de ( N. Bonne- ville) mon bienfaiteur. L'Essai de Thomas Paine, sur l'Origine

de la Franc maonnerie, ingnieuse-ment crit dans son style populaire, pour-

rait servir d'Introduction et de Compl-ment l'ouvrage de Charles Franois Du-

puis sur Y Origine des Cultes.Thomas Paine a fait semblant d'avoir

cout la porte du sanctuaire mais il

n'en est rien.

(i) Coansellor Simpson'* Speech, p. ao.


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gran sterprte fidle et quelquefois son coop-rateur, surtout dans le Pacte maritime, jedonnerai sans rien approuver ni con-

damner, une traduction littrale de son

ouvrage, aujourd'hui auxEtats Unis la

proprit de mes enfants (i).

(i) District of New-York, etc.

Be it remembered,thaton thefourteenthday of Sep-tember in the thirty fifth year of the Independence of

the United-States of America, Margaret B. Bonneville,of the Mid district, hasdeposited in thia Office, theti tic

of a book, the iight whereor, ahe daims as proprietorin thewordsfollowing,towit:

OntheOriginofFrte-!Uasoniy,bjTbomu'Pne.

la conformity to the ut of the Congres of the Uni-

ted States, entitled An act for the encouragement of

Learning, by securingthe copies of maps, charts and

books to th authors and proprietorsof snch copies,w dnring the time thereia mentiomed n andajso to aa

act, entitled: a An act snpplementary toan act de%f conragement of Learning br seenring the copiess ofmaps charta and books to the aathon and pro-

prielo sofsuch copies, daring the time therein men-

tioned, and egtending the hene6ta thereof to the artsa of Designing, Eagraving and Etcbing Historical

and other prints .Cas. Custok Clerk ofthe District o/Niw-Youk-


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Ce. passage est tir du livre 9 des Nou>

peauxEssaisdeN.Bowi&nlle entirement

consacrdepetits fragments anglais etfran-

ais, d'un style facile, pistolaire, sans ap-

pareil et sans prtention, comme les pe-tits contes des amis de l'enfance, Perrault,

Weisse, Campe, Berquin, Ccilia-Bur-

ney,les Confessions de

Jean-Jacques ses^'Promenades solitaires, Lettres choisies des

Spectateurs, Observateurs, BabUlards,

des Rdeurs des Promeneurs^ etc., et

autres faiseurs d'Essais, la manire deKnox etde Montaigne, qui appelait effron

tment son style, quand il en tait content,

le bon langage des halles, qui, tout mau-

sade et tout marmiteux, tait entre les

mains de expertise et de hpreuShomie

la plus nergique peinture des passions et.

des murs du temps.


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ON

THE ORIGIN

orFREE-MASONRY.

DE

L'ORIGINE

OS il

ERANC-MAONSTERXE.


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OF

FREE-MASONRY,

POSTUUMOUS "WORK.

OF THOMAS-PAINE.

It is always understood that Free Masons

have a secret, which they carefully conceal

but from every ihiug that can be collected

from their own accounts of Masonry their

real secretis no otberthan their

Origin,whieh

but few of them understand and those who

do, envelope it in mystery.

The society of Masonsare distinguished into

three classesor degreesi The Entered Apprentice.2dThe FeUow-craft;

The Master Mason.

The Entered apprentice knows but little

more of Masonry, than the use ofsigns andtokens and certain, steps and words by

whichMasons can recognise each other,


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DE LA

FRANC-MAONNERIE,

OUVRAGE POSTHUME

DE THOMAS-PAINE.

Las Francs Maons ont un secret

qu'ilscachent soigneusement; on a toujours t d'ac-

cord la-dessus. Mais d'aprs tout ce qu'on

peut recueillir de leurs propres rapports sur

la Maonnerie leur vritable secret n'est rien

autre chose que leur origine, que peu d'entreeux connaissent,' et que ceux qui ne l'ignorent

pas couvrent des ombresdu mystre.

La socit des Maons est forme de trois

classes ou degrs

i Apprenti,a* Compagnon,

Matre-Maon.

L'apprenti ne connat gure autre chose de

la Maonnerie que l'usage de signes, d'attou-

chements, de certains pas, et quelques mots

(Tordre par lesquels les Maons peuvent se


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is not a mason.The fellow-craftisnot much better instruct-

ed in Masonry than the entered apprentice.It is only in the Master Mason's Lodge that

yrhatever knowledge remains of the origin ofMasonry is preserved and concealed.

In 1730, Samuel Pritchard, member of a

constituted Lodge in England published a

treatise entitled Masoniy Dissected; and

made oadi before the Lord Mayor ofLondonthat it was a true copy.

SamuelPritcbard makedi oadi that the copyhereunto annexed is a true and genuine copyin

everyparticular.

In bis work he bas given jthe catechism, orexamination in question and answer, of the

apprentice, the fellow-craft and the Master

Mason. There was no diffculty in his doing

this, as it ismere form.

In his introduction he sys The originaltt institutioa ofMasonry consisted in the ioun-

dation of the liberal arts add sciences, but.

more especiaUy on Geomtry for at the building of die TowerofBafl the art and

mystery of Masonry vras first introduced,


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par qui ne serait pas Maon.

Le compagnon n'est gure plus instruit qua,

l'apprenti..C'est dans la loge du matre maon seule-

ment que tout ce qu'on sait de l'origine de laMaonnerie se conserve et se tient cach.

En Samuel Pritchard, membre d'une

loge constitue, en Angleterre, publiaun trait

intitul Maonnerie Dissque, etfitserment

devant le maire de Londres que c'tait unevritable instruction.

Samuel Pritchard fait serment que la copie

ci-annexe est une copie vritable et entire

dans toutes ses parties .

Dans son ouvrage il donne le Catchisme,

ou examen par demandes et par rponses, de

l'apprenti du compagnon et du matre maon.

Il n'y avait pas grande difficult cela, car

ce Catchisme n'est iciqu'une

affaire de

forme.

Il dit dans son Introduction L'institution

primitive de la Maonnerie consiste dans la

fondation des sciences et des arts libraux,

mais plus spcialement del Gomtrie car

lorsqu'on btissait la Tour de Babel, l'art et

le mystre de la Maonnerie furent d'abord


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wor yof the Egyptians and he communicated

a it to Wram the Master Mason con-

cerned in building Solomon's temple in Je-

rusalem .

Besides the absurdity ofderiving Masonryfrom the building of Babel, where accordingto the stoiy, the confusion of languages pre-vented the builders understanding each other,and

consequentlyof

communicatinganykuow-

ledge they had there is a glaring contradic-

tion in point of chronology in the accounthe

givres.Solomon's Temple was built and dedicated

years before the Christian era and Eu-clid, asmaybe seen in the tablesofchronology,lived a77 years before the same era; it was

therefore impossible, that Euclid could com-

municate any thing to Hiram, sinceEuclid did

not live till years after the time of Hiram.In 1783captain George Smith, inspectorof

theRoyal-Artillery-Academy, atWoolwich in

England, and Provincial Grand-Master of Ma-

sonry for the county ofKent, published a trea-

tise entided TheUse and Abuse of Free-

Masoury.


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et excellentmathmaticien es Egyptienset communiquspar lui Hirain matre

maon,chargdebtirle templede Salomon Jrusalem.

Outrel'absurditdefairedriverla Maon-neriede la constructionde laTour deBabel,o, suivantl'histoire, la confusiondeslan-

gues empchales btisseursde s'entendre

les unsles autres,et par consquentde secommuniquermutuellementleurs connais-

tances on voitlunecontradictionmanifesteenpointde chronologie.

LetempledeSalomonfutbti ansavant

l're chrtienne, et Euclide, suivantlesta-bleschronologiques,vivait277ansavantcette

re-l il est doncimpossiblequ'Euclideait

pu communiquerquelquechose Hiram,

puisquecet Eucliden'a vcu

qu'environ700acs aprs Hiram.En le capitaineGeorgeSmith,ins-

pecteur de l'acadmieroyale d'artillerieWoolwichen Angleterre et grand-matre

provincialde la maonneriepour le comtde Kent,a publiuntraitintitul Dgageet de l'abusde la Franc-Maeonnerie.


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.

n When, sayshe, the Sovereignarchitect raisedonmasonicprinciples,thebeauteous

globe,andcommandedthatmasterscience,

Geometry,to laythe planetaryworld,andtoregulate,byitslaws thewholestupendous

systemin justunerringproportion, rollingroundthecentralsun But, continueshe, 1 amnotat liberty,

publiclyto undrawthe curtain,andopenly to discantonthis head it is sacred,and everwillremainso.Thosewhoarehonoured

withthetrustwillnotrevealit and those whoare

ignorantofit cannotbetrayifw.

Bythislas'tpartofthephrase,Smith,meansthetwoinferiorclasses,the fellow-craftandtheenteredapprentice forhesaysinthenextpageofhiswork

Itisnotevery

onethatisbarely

initiatedinto Free-Masonrythatis entrustedwith allthe mysteriesthcretobelonging;theyarenotattainableasthingsofcourse,norbyeveryca-

pacity.The learnedbutunfoitunateDoctor

Dodd,grandchaplainofMasonry,inhis orationat


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, con empora nede la cration.. Quand, dit-il, le souverainarchitecte

composa,surdesprincipesmaonniques,lebeau globe et commandaa la matressescience(gomtrie) detracerlemondeplan-taire, et de rglerpar sesloistoutle mer-veilleuxsystmedansunejusteet inaltrableproportion,roulantautourdusoleilcentral-

Mais, continue-t-il,je n'aipasla libertde tirer le rideau et de m'tendreouverte-ment sur ce chapitre.Il est sacr et resteratoujourssacr.Ceux qui ont t honorsdece secretneletrahiront

pas;ceux

quil'igno-rent ne pourrontle trahir.Par cette dernire partie de la phrase,

Smithveutparlerdesdeuxclassesinfrieures,le compagnonet l'apprenti; car il dit, la

page suivantec Ce n'estpas tous ceux qui sont pure-ment initisdansla Maonnerieque l'on enconfietouslesmystres ilsne s'obtinentnipar le tempsni partoutessortesd'individus.

Le savant,maisinfortunDocteurDodd,grand-chapelainde la Maonnerie,dansson


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. ,traces Masonrythro' a varicty ofstages >Ma-

sons, sayshc, are Well-luf'ormed fromtheir

Il own private and interior records, that die

building of Solomon'sTemple is an impor-

tant Era, from whence they derive many mysteries of their art. Now sayshe be it

remembered that this great event took place above years before the christian Era,Mand consequentlymore than a ccntury before

Homer, the first of the grecian poets, wrote; and above five centuries, before Pythagoras brought from theEast, his sublime System of Lruly masonic instruction to llluminate

our western world.

But remotc as this period is we date not

mfrom thence the commencement of our art.

m For though it might owe to the wise and glo-Il rious

kingofIsral, some ofits many mys-

tic forms andhieroglyphic crmonies, yetIl certainly the art itself is coeval with man the great subject of it Il.

We trace continues he its footsteps in

o the most distant, the most remote ges and

nations of the world. Wefind itamong die


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discours pour a cace e a sa eFrancs-Maons, Londres, nous montrela

Maonnerie dans une infinit de stages.Les

Maons, dit-il, sont Bien-Informs par leurs

archives particulireset intrieures, que la

construction du temple de Salomonest une re

importante, d'o ilsdrivent beaucoupde mys-

tres de leur art; maintenant, dit-il, il faut

se rappeler que ce grand vnementeut lieu

plus de mille ans avant l're chrtienne, etconsquemment plus d'un sicle

avant Ho-

mre, le premier des potes grecs,et plus

de cinq sicles avant que Pythagoreet ap-

port de l'Orient son sublime systmede

vritable instruction maonnique, pour illu-miner notre monde occidental.

Mais quelque loigne quesoit cette

priode, nous ne datons pasde l le com-

mencementde notre art; car

quoiqu'ilpuisse

devoir au sage et glorieux roi d'Isral quel-

ques-unes de ses mille etmille furmes mys-

tiques et crmonies hiroglyphiques,il est

certain que l'art lui-mme est contemporain

de l'Homme, son grand objet. Nous pouvons suivre sa route, continue-

t-il, travers les sicles les plus reculs et

chez les nations les plus loignes. Nous le


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astronomers on the'plains of Chaldea, to thewiseand mystic kings and priests*ofEgypt

u the sages of Greece and the philosophera of Rome .

From these reports and dclarations of Ma-

sons of the highest order in the institution,we see that Masonry, without publicly de-

claring so, lays claim to somedivine commu-

nication from the Creator, in a manner diffe-rent from and unconnected with, the book

which the christianscall the Bible and thena-

tural resultfrm thisis, that Masonry is derived

from some very ancient religion yvhollyinde-

pendent of, and unconnected with that book.

To cornethenatonce to the point, Masonry

(as1shall shew fromthe

customs,ceremonies,

hieroglyphics and chronology ofMasonry),isderived from, andis the remains ofthe religionof the ancient Druids who like the Magiof Persia and the Priests of Heliopolis in

Egypt, were Priests of the Sun. They paidworship to this great luminary, as the great


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etlesplusclbresdel'Orient.Nous evoyonsdescendrergulirementdes premiersastro-

nomesdes plainesde la Chalde,jusqu'aux

sagesetmystiquesroiset prtresdel'Egypte,

jusqu'auxsagesdela Grceetauxphilosophesde Rome.

D'aprscesrapportsetlesdclarationsdes

crivainsde l'ordrelepluslevdel'Institut-

maonnique,nousvoyonsquelaMaonnerie,

sans le dclarerpubliquement,oserait pr-tendrequelquecommunicationdela part

du

crateurtransmised'une manirediffrenteet

sansnulrapportaveclelivrequeleschrtiens

applentla Bible; et le rsultatnaturelde

toutescesinsinuations,estquelaMaonneriedrivede quelqueancienneettrs-ancienne

religion,entirementindpendantedelaBible,

et sansaucuneliaisonaveccelivreIL

Pourarriveraupointprincipal,la Maon-

nerie ( commeje.le montreraipar ses cou-tumes, ses crmoniesseshiroglypheset

sa chronologie) est drive,t n'est que lesdbris de la religiondes anciens Druides,

qui, semblablesauxMagesde la Perse aux

Prtresdu SoIeiLIls rendaientun culte ce grand


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visible agent of a great invisible first cause,whom they stiled, Time without limita.

In Masonry many of the ceremonies of the

Druids are preservedin their original state, at

least without any parody. With them the souisstillthe sun; and his image,in the form ofthe

sun, isthe great emblematical ornamentofma-

sonic lodges and masonic dresses. It is the

central figure on their aprons, and they wear

it also pendaat on the breast, in their lodges,and in their processions.

At what period ofantiquity or in what na-

tion, this religion was firstestablished, is lost in

the labyrinth ofunrecorded times; it is gene-

rally ascribed to the ancient Egyptians theBabyloaians and Chaldeans and reduced

afterwards to a System regulated by the appa-

rentprogressof the sun, through the ia signsof

the zodiac by Zoroaster; the law giver of

Persia, from whencePythagorasbroughtitinto-Greece It is to these mattersDr. Dodd refers in

the passagealrady quoted from his oration.

The'worship ofthe sun*asthe grt visible

agent of a great invisible first cause (TimewithOutlimits),spread itselfoyer a considrable


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,grande cause invisible, qu'ils appelaient le

Temps sans limites.Dans la Maonnerie, plusieurs crmonies

des Druides ,sont conserves dans leur tat

naturel ou du moins sans parodie. Avec euxle Suleil est toujours le Solety et son image,sous laforme du Soleil, est le grand emblme

des loges et des ornements maonniques. C'est

lafigure

centrale de leurs tabliers, et ils le

portent aussi sur le sein dans leurs loges etdans leurs processions.

A quelle priode de l'antiquit ou chez

quelle nation cette religion a-t-elle t d'abord

tablie ? c'est ane chose perdue dans le laby-rinthe des sicles couls. On l'attribue g-nralement aux anciens Egyptiens, aux Ba-

byloniens aux Chaldens rduite ensuite

dans un-systme.rgulier par le cours apparent

du Soleil travers les douze signes du Zo.diaque, Zoroastre, le lgislateur de la

Perse, d'o Pythagore la transporta en Grce.

C'estacelamme que serapportelepassagequenousavons cit du discours du Docteur Dodd.

Le culte du Soleil, comme le grand agentvisible d'une grande premire cause invisible

( le temps sans limites)se rpandit -dans une


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BritainandIreland.

Smith in his chapterof the antiquityof

Masonryin Britain says, that,Notwidi-

standing the obscurity which envelopes

Masonichistotyinthatcountry,variouscir- cumstancescontributeto provethatFree-

u MasonrywasintroducedintoBritainabout

io3oyearsbeforeChrist

It cannotbe Masonry,initsprsentstate,thatSmithherealludesto.

The Druids flourishedin Britainat the

periodhespeaksof, andit isfromthemthat

Masonryisdescended.Smithbasputthechild

intheplaceofthe parent.It sometimeshappens,aswellin writingas

in conversation that a person letsslip an

expressionthat serves to unravel whathe

intendsto conceal, andthisis the casewith

Smith forin thesamechapterhesays TheDruidswhentheycommittedanythingwwrit-

ing,usedlhegreekaipbabetand 1 amboldto

assert that'themostperfectremainsof the

Druids rites and crmoniesare preservedinthecustomsandcrmoniesofth Masons,


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, ,Gauleset dansla Bretagneet l'Irlande.

Smith, dansson chapitrede l'antiquitdelaMaonnerieen Bretagne,dit que Malgrwl'obscuritqui enveloppel'histoiremaon-

niquedece pays(l'Angleterre), diverses circonstancescontribuent prouver que

la Franc-MaonneriefutintroduiteenBre- tagne, ( lagrandeBretagne)environmille)1ansavantle Christ.

Ce n'est point la Maonnerie,danssontat actuel que Smithpeutfaire allusion.Les Druidesflorissaientdansla Bretagneaux

tempsdontil parle, etc'estd'euxque laMa-

onnerieest descendue.Smitha misl'enfantsirla placedu pre.

Il arrive souvent soit en crivant oudans la conversation,qu'unepersonnelaisse

chapperuneexpressionquisert rvlerce

qu'ellea desseinde

cacher;et c'est

prcis-mentlecasdeSmith,caril ditdansle mme

chapitre LesDruides, quandilsvoulaientconfierquelquechosepar crit, se servaieutde l'alphabetgrec et j'aurail'audaced'affir-

merqueles restesles plusparfaitsdes ritsetdescrmoniesdesDruidessuntconservsdans


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My brethren, says he, maybe able to trace

them with greater exactness than1 am at li-

berty to explain to the public.

This is a confession from a Master Mason

withoutintending

it to be understood by the

public, that Maeonry is theremains of the re-

ligion of the Druids thereason for the Masons

keeping this a secret 1 shall explainin the

course of this work.

As thestudy and contemplation of theCrea-

tor in the works of the creation of which the

sun as the grcat visible agentof diat being, was

the visible object ofthe adorationof Druids,

aU their religious rites and crmonieshad

reference to the apparent progress ofthe sun

through the twelve signs of the zodiac, and his

influence upon the earth. The Masons adopt

the same practices. Tberoof of their temples

or lodges is ornamentedwith a sun and the

floor is a reprsentationof the variegated face

ofthe earth,eitherby carpetingormosaic work.

Free-Mason's Hall, in Great Queen-street

Lincolns Innfields, London, is a magnificent

building, and cost upwardsot m.ooo pounds

sterling.Smidi, inspeaking of diis building,says


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dans tout un vers.

cc Mesfrres pourraient


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s, na probability, thchighest piecearchitecture in Europe. In die center of this

roof, amost resplendent sun is represented in

burnished gold, surrounded with the twelve

signesofthe Zodiac, with their respective cha-

ractersAries vTaurus VGemini IlCancer g

Leo 10Virgo mLibra


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cette sa e magnifique, est, suivant toute pro-babilit, le plus rare morceau de la plus belle

architecture' en Europe. Au centre de cette

vote, 1esoleil le plus,resplendissant est re-

prsent en or bruni et entour des douze

signes du Zodiaque, avec leurs caractres res-pectifs:

Aries y le Blier.

Taurus le le Taureau.Gemini p les Gemeaux.

Cancer 5 l'Ecrevisse.Leo Q. le Lion.

Virgo m la Vierge.Libra o la Balance.

Scorpio m. le Scorpion.Sagittarius $ le Sagittaire.Capricornus^b le Capricorne.

Aquarius s le Verseau.

Pisces X les Poissons.

Aprs avoir donn cette description il

ajoute Le sens emblmatique du soleil est.bien connu du Maon clair et Inquisitif.Et comme le soleil rel est situ au centre de

l'univers, ainsi le soleil emblmatique est le

centre ejtrelle Maonnerie. Nous savofe

.tous la fontaine de lumire,


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mthe cause of the vicissitudes of day and night, the parent ofvgtation, the friend

of mau hence the scientific Free-Mason only knows thereason why the sun is placed in the center of tliis beautiful hall.

The Masons, in order to protect themselvesfrom the persecution of die Christianchurch,have always spoken in a mystical manner of

the figure of the sun in their lodges or likethe astronomer

Lalande,who is a

Masonbeen silent upon the subject.The lodges of the Masons if built for the

purpose, are constructed in a manner to cor-

respond with the apparent motion of the sun.

Thryare situated East and West. TheMas-

ter's place is always in the East. In the exami-nation of anEntered apprentice, the

Master among many other questions askshim

Q. How is the lodge situated ?A. East and

West.IQ. Why so?. Because all churches aud chapels are

or ought to be so.

This answer, whichis mrecatechismalform,

not an answer to the question. It does nomore than remove thequestion a pointfurther,


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, ,l'ami de l'homme par la, le savant Maon

connat seul la raison pour laquelle on a placle soleil au centre de cette belle salle

Les Maons, pour se mettre l'abri desperscutions de l'glise chrtienne ont tou-

jours parl dons leurs loges d'une manire

mystique de la figure du soleil ou, comme

l'astronome Lalande qui est Maon, ils ont

gard le silence.Les loges des Francs-Maons, quand on

les a bties pour leur destination, sont cons-

truites de manire correspondre avec le cours

apparent du soleil. Elles sont situes orient et

occident. La place du Matre est toujours l'o-

rient. Dans l'examen de l'apprenti,le Matre, entr'autres questions lui demande

Comment la loge est-elle situe?

Orient et Occident.

Pourquoi cela ?

Parce que toutes les glises et chapellessont ou doivent tre ainsi.

Cette rponse, pur formulaire du cat-

chisme,n'est

pasune

rponse la

question.C'est uniquement reculer la question pour cette


33/61

pe s appren ceis not initiated into the druidical mysteries of

Masonry hc is not asked any questions toMkbicha direct answer would lead thereto.

Q. Where stands your Master?A.

In the East.Q. Wbyso ?A. As the sun rises in the East and opens

the day so the Master standsin die East ( withhis right haud upon his left breast, being a sign,and tlie square about bis neck) to open the

lodge and lethismen atwork.

Q. Where stand your Wardens ?A. In the West.

Q. What is their business ?

A. As the sun sets in the West to close theday, so the Wardens stand in the West, (withtheir righthand upon their left breast, being a

sign aud theleveland plumb, raie about their

necks ) to close their lodge and dismiss the

men from labour, paying them their wages.

Hcre the name of the sun is mentionedbut itis proper to observe, diat in this place itbas rfrence only to labour or to the time of


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apprent pasinitidansles mystresdruidiquesdelaMa-onnerie,onneluifaitaucunequestionquipuissel'amener une rponsedirecte.

O se tientvotreMattre?

Al'Orient.Pourquoi?

Commele soleilse lve l'Orient etouvrele jour, ainsile Matrese tientdebout, l'Orient(la maindroitesurle seingauche,ce qui est un signe, et l'querreautourdeson cou) pour ouvrirla loge et mettreseshommes l'ouvrage.

O se tinentvos surveillants?A l'Occident.

Pourquoifaire?Commele soleilse couche l'Occident

pour fermerle jour, ainsiles surveillantssetinentl'Occident ( la main droitesur leseingauche,ce qui estunsigne,et l'querreet l'-plombautourdu col) pour fermerlaloge,renvoyerles hommesdtravail,etpayerleurs gages.

Le nomdu soleilse trouvedanscetter-ponse maisil estbond'observerqu'ici iln'a

d'autrerapport qu'autravailet au tempsdu


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ceremony, respecttbesituationoftheLodges,EastandWest.

I havealreadyobservedin the chapterontheoriginofthechristianreligion,thatthesi-

tuationofchurches,Eastand West, is takenfromtheworshipofthesun whichrisesintheEast, andbasnottheleastrfrencetoamansaidtobe borninBethelhem.The christiansneverbury threedeadonthe northsideofa

church,andaMason'sLodge,alwaysbas,orissupposedto hve therewindowswhicharecalledfixedlights, to distinguishthemfromtbemoveableligbtsofthe sunandthemoon.The MasteraskstheEnteredapprentice

Q.Iioware

they( thefixed

lights)situated?

A. East,West andSouth.Q. Whataretheiruses?A. To lightthe mento andfromtheirwork.Q. Whyare therenolightsintheNorth?A. Becausethe sun darts no rays fiom

thence.

Thisamorig ether numerousinstancesshewsthatthe christiansreligionandMasonryhave


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, ar rappor sOrientet Occident.J'aidjobservdansle chapitresurl'Ori-

ginede lareligionchrtiennequela situationdesglises, orientet occident, estprise de

l'adorationdu soleil, quiselveen Orient;et qui n'a pas le moindrerapport avec unhommequ'on dit tre n a Bethlem.LesChrtiens n'enterrent jamais leurs mortsau nordd'une glise,et la loge d'unMaona toujours,oudoittoujoursavoir, troisfen-tres, qui sont appeleslumiresfixes, pourles distinguerdes lumiresmobilesdu soleiletdelalune.LeMatredemandel'apprenti

O sont-elles(les

lumiresfixes)situes?A l'Orient, l'OccidentetauSud.

A quoi servent-elles?A clairerles hommesquivont leur

ouvrageouquienrevinent.

Pourquoin'y a-t-il pointde lumiresaunord?Parce que le soleil n'y lanceaucun

rayon.Ce trait-l, parmi un trs-grandnombre

d'autres, montreque la religionchrtienne


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The higbfestivaloftheMasonsisontlieday,theycallSt.John'sday; buteveryenlihten-cd Masonmustknow that holdingtheirfes-tivalonthisday bas nQreferencetotheper-

soncalledSt-John and tbatitisonlyto dis-guisethe truecauseofholdingitonibis day,thattheycall the dayby tliatname.AstherewereMasons,orat least Druids,manycentu-riesbcforethetimeofSt-John,il'suchpersoneverexisted the holdingtheirfestivalon thisdaymustreferto some causetotallyuncon-nectedwithJohn.

The caseis,

that theday

calledSt-John's-

day isthea4thofJune, andiswhatiscalledMidsummer-Day.The sunisthenarrivedatthe summersolstice;and withrespectto-hismeridionalaltitude,or heightathighnoon

appearsforsomedaystobeofthesameheight.Theastronomicallongestday,liketheshortest

day, is not everyyear, on accountofleapyears,onthesamenumericalday, andthere-fore the s4thofJuneisalwaystakenformid-

summerday, audit is in houourof the sunwhichbasthenarrivedat itsgreatestheightin


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gine, l'ancienne adoration du soleil.

La grande fte des Maons est ce qu'ils ap-

plent le jour de St. Jean; mais tout Maon,

clair doit savoir que cette fte clbre

ce jour-l, ne peut avoir aucun rapport avecla personne appele St. Jean et que c'est

uniquement pour en dguiser la vritable

cause, qu'ils ont nomm ce jour-l, La St.

Jean. Comme il y avait des Maons, ou pour

mieux dire des Druides, plusieurs sicles avant

St. Jean, si toutefois un tel personnage a

jamais exist, le jour choisi pour la fte de

la Maonnerie doit avoir une autre cause to-

talemeut trangre Jean.

Voici le fait:le jour appel jour de St. Jean

est le 24 juin, vulgairement pris pour la mi-

t. Le soleil alors est arriv au solstice

d't; et observ en plein midi, 'il parat

pendant quelques jours

la mme hauteur. Le

plus long jour astronomique, comme le jourle plus court, n'est pas tous les ans, cause

de l'anne bissextile, le mme jour num-

rique, et c'est pour cela que le 24 juin est

toujours pris pour la mi-t, et c'est en l'hon-neur du soleil qui est alors sa plus grandehauteur sur notre hmisphre, et nullement


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any ngpect to St-John that this annual festival ofthe Masons taken from the Druids is cele-brated on midsummer day.

Customswill oftenoutlive the remembranceof their origin and this is the case with res-

pect to acustomstillpractisedin Ireland, wherethe Druids flourished at the time they flour-ished in Britain. On the cve St- John-Day

that is, on the eve of midsummer day, theIrish lightfires on the topsof the hills. Thiscanhave no reference to St-John; but it bas em-blematicalreference to the sun which on that

day is at its highest summer elevation and

might in common languagebe said to have ar-rived at the top of the hill.

As to what Masons and books ofMasonrytell us of Solomon's temple at Jerusalem, it is

no ways improbable that some masonic cere-monies may havebeen derivedfrom the build-

ing of that temple for the worship of thesuu was.inpractice many centuries before the

templeexisted, or before the Isralites came

out ofEgypt; and we learn from the historyof the Jewish kings, 2 kings chap. 22, a3,


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lbre la mi-t.

Les coutumes survivent souvent aux ressou-

veuirs de leur origine, et c'est prcisment

cequi

nous aitive,pour

une coutume encore

eu usage en Irlande, o les Druides floris-

saient, au temps o ils florissaient dans la

Grande Bretagne. La veille du jour deSt. Jean,

c'est--dire la veille du jour de la nii-t les

feuxIrlandais s'allument sur le sommet des

montagnes. Cette coutume n'a aucun rapportavec St. Jean, mais bien avec le soleil, qui,ce jour l est son plus haut degr d'lvatiou

d't, et o il arrive, comme on pourrait le

dire en langage populaire, au sommet de lamontagne.

Quant ce que les Maons, et les livres

des maons, nous disent du temple de Salo-

mon Jrusalem, il n'est pas improbable qu'sils

aient tir quelques crmonies maonniquesde la construction de ce temple, puisque l'a-

doration du soleil tait en usage plusieurs

sicles avant l'existence de ce temple ou

mme avant que les Isralites fussent venus

d'Egypte. Et nous apprenons par l'histoire des


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.be doubted, il itwasdone withthe samescienti-fie puntyandrcligious morality, with which iswas performed by the Druids who by all

accounts that hystorically remain of them,

were a wise learned, and moral class ofmen. The Jews, ou the contrary., were

ignorant of astronomy and of science in

general, and if a religion founded upon as-

tronomy fell into thcir hands, it is almost

certain it would be corrupted. We donotreadin the history of the Jews whether in thebible or elsewhere that they were the inveu-tors or improvers of any oue art or science.

Even in the building of this temple the Jewsdid not know how to square and frame thetimber forbeginning and carrying onthe work,and .Solomon was obliged to send to Hiram

king of Tyre ( Zidon ) to procure work-

men, for tleouknowest (says Solomon to Hi-ram, i Kings,chapter 5, v. 6 ) that there is not

among us any that can skill to hew timber

like unto the Zidonians. This temple was

moreproperly

Hiram'stemple

tbauSolomon's,and if the Masons derive any thing from the

building ofit they owe it to the Zidooian

and not tothe Jews.


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4

ce temple. On peut douter nanmoinsqu'on y

mitlammepuretdescience, et cettemoralit

religieuse des anciens Druides dont l'his-

toire nous a toujours parl comme d'une classe

d'hommes recommandables parleur sagesse,leur savoir et leur morale. Les Juifs, au con-

traire, ne connaissant ni l'astronomie, ni la

science en gnral, il est presque certain que,si une religion fonde sur l'astronomie est

tombe dans leurs mains, ils Font corrompue.Nous ne lisons dans l'histoire des Juifs, ni

dans la bible, ni ailleurs qu'ils aient invent

ou perfectionn un art ou une science. Et

mme dans la construction de ce temple, les

Juifs ne savaient ni quarrir, ni joindre lebois pour commencer ou continuer l'ouvrage,et Salomon fut oblig de s'adresser HiramRoi de Tyr (Sidon) pour lui procurer des

ouvriers car tu vois dit Salomon Hiram

livre des Rois, chap. 5, t. 6) qu'il n'y. apersonne parmi nous qui sache employer lebois.Ce temple tait plutt le temple d'Hiram

que le temple de Salomon; et.si ls Maonsonttir quelque chose de la construction de ce

temple, c'est aux Sidoniens et ion pas auxJuifs qu'ils le doivent.


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temp e.It is eaid, 2 Kings chapter a3, v. 5 and

king Josiah put down ail the idolatrous priesthat buraed incence unto the sun, the moon,

the planets, and to ail the host ofheaven.

And it is said at the i i verse Il and he tookaway the horses, thatthe kings ofJudah, had

given to the sun at the entering In ofthe houseofthe Lord and burnedthe chariots of the sun

with fire v. i3 and the high places that were

beforeJerusalem, whichwere on therighthandof the mount of corruption which Solomon

the king ofIsral had builded for Astoreth, the

abomination of the Zidonians( thevery peoplethat built the temple ) did the king defile.

Besides these things the description thatJosephus gives of. the dcorations of this

temple ressemble on a large scale those of a

Mason's lodge. Hesays that the distribution ofdie several parts of the temple of the Jews

vepresentedail nature > particularlythe partsMoAtapparent ofit, as the sun the moon the

planets, the zodiac, the earth, the lments,

and that the sjptem ofthe world was retraced

ihere^by numerousingnions emblems.These,

in all probability,ate what Josiah, in his igno-


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.Onlit audeuximelivredesRois chap.a3, v. 5t Et le Roi Josiasdtruisittousles prtresidoltresqui brlaientde l'encens

ausoleil, la luneet toutela troupec-

jelute >L'on ditau Il. vers. et il em-

portatouslea chevausquelesRoisde Judaavaientdonns ausoleil l'entre d la

Il maison4uSeigneur,et il brlales charsdu

soleil, vers. i3. et les hautslieuxdevant

Jrusalem, qui taientla droite de la

montagnede Corruption,queSalomon,Roi

d'Isral,avaitbtis pour Astaroth,l'abo-minationdesSidoniens( le vritaiblepeu-

wpie quibtitl temple)leRoilesdtruisitH.

Ajoutefca cesobservations,la

descriptionque Josphenous donne

desdcorationsde

ce temple,quireprsententdansleur ensemble

iea dcorationsd'unelogede Maons.il dit

qaeladistributiondesdiversespartiesdutem-

ple des irais reprsentaittoutela

nature,et

particulirementles partiesles plus appa-

rentes, commele soleil,la lune, lsplantes,le zodiaque,la terre, les lments, et quele systmedu mondey taitretracparnom-

br d'emblmesingnieux.Voilsansdoute


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(Smith,in speakingofa lodge,says Whenthelodgeisrevealedto anentering.Mason,itdiscoverstohima worldin whichfromthe wondersofnature,weare

led to contemplateher great Original andworabiphimfromhis mightyworka;and weare therebyalsomovedtoexercisethosemoralandsocialvirtues,whichbecomemankindastheservantsofthegreatArchitectoftheworld.)

Every thing, however, drawn*fromthistemple, (Itmay.not be improperhere toobserve,thacthelaw, calledthelawofMoses

could-nothavebeen in existenceat the timeofbuildingthistemple.Hreisthelikenessof

thingsin heavenaboveand in earthbeneath,andwereadin x kings,chapter6, y, thatSo-lomonmadecherubsandcherubims,that he

carvedail the

wallsof

thehouseroundaboutwith, cherubimsand palm-trees,and openflowers,andthathe.madea molten-sea,placedon twelveoxen,andthatthe ledgesofit wereornamentedmthlions, oxenandcherubimsallthisis

contraryto the, law calledthe law


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(Smithdit, en parlantd'une loge, quelorsqu'unelogeestrvle unMaon, ellelui dcouvreune reprsentationdu monde,dans laquelle,par lesmiraclesde la nature,

noussommesconduitscontemplersongrandoriginal( modle) et l'adorerdanssespuis-santsouvrages et par l nous sommesaussiexcits exercer ces vertusmoraleset so-'claies qui convinentau genre humain,

commeles serviteursdugrandarchitecteduinonde).

Quoiqu'ilensoit, toutce qu'ona tirdece temple ( et il faut,.observerici parparen-thse, que la loi appelela loi de Moise

n'avaitpasencored'existence,lorsde lacons-tructionde ce temple,il y a ici une repr-sentationdeschosesqui sontenhautdanslescieux, et quisont enbassurlaterre.Etnouslisonsdansle

premierlivredes

Rois, chap.6 et 7, que Salomonfit des espritsclesteset deschrubins qu'il couvrittouteslesmu-raillesdelamaison,au dedanset au dehors,de chrubins de palmeset de fleursentr'ou-

verteset qu'il fit unemerfondue,placesurdoute boeufs et que lesbordstaientorns


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fers to theworship of theaun, howevercorrupt-ed or misonderstood by the Jews, and conse-

quently to the religion of the Druids.

Another circumatance, which shewe that

Masonry is derived from eomeancient syatem,

prior to, and unconnected with, the Christian

religion, is thecbronology .ormeihodofcoun*-

ingtime, usedby the Masonsin the. recordof

their lodgea. They make no use of*bat. iscalled the christiansEra,and they reclton their

months numerically as the ancient Egyptiane

did and as the Quaken,do now.

1 haveby me a record of a French-Lodge.atthe time the late Duke ofOrleans, then Duke

ofChartres was Grand Master of Masonryin

France. It hegins as follovrs:

Le trentime jour dusiximemoisde Pan

a de la 1': L. cinq mil sept cent soixante'

treize, that is, The thrtieth day of the sth

month, of the year of the vnrable Lodge

five thonsandsevenhundredandseventy-three.


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appe eet appliqu la Maonneriea toujoursrap-port l'adorationdu soleil quoiquecorrom-

pue etmal-entenduepar les Juifs, etse rap-porteconsquemment la religiondes Drui-

desUneautrecirconstancequi montreque la

Maonnerieest tire de-quelqueanciensys-tme antrieuret sans liaison la religionchrtienne, c'est la chronologieet l'usage

de compterle temps dont se serrent lesMaonsdans les archivesde leurs loges.

lls' nefontpointusage dece qu'onapplel're chrtienne,et ils comptentleurs mois

numriquement,commele faisaientjadisles

Egyptiens,et commele fontaujourd'huilesQuakers.

J'ai sousles yeux un rapport d'une logefranaise lorsquelefeuducd'Orlans alors

duc de Chartres tait GrandMatrede laMaonneriede France.11 commenceainsi

Le troisimejour du siximemoisde la. V, L. dnq-milrsept-cent-ioixante-e'

treize'


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not V. L. By. A. L. they mean in the year ofthe Lodge, as the christians by A.D. maniathe year of the Lord; but A. L. ]le Vi L.re-fers to th same chronological Era that is to

the supposed time of the Cration

Though the Masonshave taken many of thecrmonies and Iiieroglyphics from the an-cient Egyptians it is certain they bavenot

taken their chronology om thence. Iftheyhad, the church would soon bave sent themtothe stake as thechronology of the Egyptians,like that ofthe Chinese goes many thousand

years beyond the bible chronology.

The religion of the Druids, as before said,yiz&the same as the religion of the ancient

Egyptians. The priests ofEgypt were the pro-fe8sors and teachers of science, and were

atiled priests ofHeliopolis that is of thecitjrof the sun. The Druids in Europe, whowerethe same order ofmen have their name from

the Teutonic or ancient' German languagethe Germans

being anciendycalled Teutones.

The word Druid signifiesa wise man.IaPer-


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anglaissur la Maonnerie, les Maons anglais

employent les initiales A. L., et non pasV. L.

Par A. L. ils entendent l'anne de la loge,comme les chrtiens par A. D. Anna Domini,

l'anne du Seigneur. Mais A. L. comme V.L. ont rapport quelque re chronologiquec'est--dire, au temps suppos de la cration.

Quoique les Maons ayent pris plusieurs de

leurs crmonies et hiroglyphes des anciensEgyptiens, il est certain qu'il n'ont pas prisde l leur chronologie s'ils l'eussent fait,

l'glise chrtienne les aurait envoys l'cha-

faud; en ce que la chronologie des Egyptiens,

comme celle des Chinois, date de plusieurssicles avant la chronologie de la bible.

La religion des Druides, comme nous l'a-

vons dit plus haut, taitla mme que la religiondes anciens Egyptiens. Les prtres d'Egypte

professaient et enseignaientla Science on lesnommait prtres ' Hliopolis t c'est--direde

la ville du soleil. Les Druides, en Europe e

qui taient une mme classe d'hommes,tiraientleur nom du Teuton ancien

langagedes Ger-

mains les Germains ayant t anciennement

appels Teutons. Le mot Druides signifie


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ia they were called Magi, which signifiesthesame thbg.

Egypt,saysSmith, from whenceyre derive

manyof our

mysteries hath, alwaysborne a

distinguished rank in history, andwas once ce-lebrated above all others for ita antiquteslearning opulence, andfertility. in their sys-tem, their principal hero-gods, Osirisandlsis,

theologically represented the supreme Beingand universal nature, and physically, the two

great celestial luminaries the sunand moon,

by whose influence all nature was actuated.The expeiienced brethren of the society (says

Smith in a note to this'passage), are Well In-formed what. afBnity these symbols bear

Masoary and why they are used in all ma-eonic lodges.

In speakingof the apparel of theMasonsintheir lodges, part of which, as wesee in their

public processions, is a white leather apron, he

4ays:a The Druids were appareded in white at

the time of their sacrifices,and solemn ofifi-

ces. The, Egyptian Priesta of Osiris wore snow-white cotton..The Grecian and-most

Hotherpriests worerbitegannent8.As Masons


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sc ences appe a t age ,ce qui signifie la mme chose.

L'Egypte dit Smith, d'o nous tirons

plusieurs mystres, a toujours tenu un rang distingu dans l'histoire, et fut jadis la plus

renomme de toutes les contree, par sesan-tiquits, parle savoir y l'opulencetlafcon-

dit. Dansleur8y8tme,leurs principauxh*9 ros-dieux, Osiris et lais, reprsentent tho-

a logiquement l'tre suprme et l'universelle

nature, et physiquementlsdeuxgrandslumi-nairea, le soleil et la lune, dont l'influences*-

tend enr toutela nature. Les frres prouvsde la socit, dit.encore Smith, dans une

note sur ce passage sont bien-informs de

-l'affinit de cessymboles

avec laMaonne-rie, est pour quelles raisons on t'en sert

dans les loges maonniques.

En parlant de l'appareil ou du vtir des

Maons dans leurs loges dont une partie,comme nous

le Voyonsdans leurs

processionspubliques, est un tablier de peau blanche il]Druidestaient vtus de blanc lors

de leurs sacrifices et de leurs offices (tra-

Taux) solennels les prtres gyptiens cPO- siris taient vtus 'd'un coton" blanc de


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e rs wors ppers o - tate theirapparel, and assumethe badge of innocence

Tbe Egyptiens, continues Smith, in the earliest ages, constituted a grt number of lodges but with assiduous care kept their

secrets ofMasonry from all strangers; those

secretsbave been imperfedy handed downto us by oral tradition onijr and ought too be keptundiscovered to the labourers, craft- men and apprentices, till by good beha-

viour and long study they become better

acquainted in Geometry and the libral arts; and thereby qualified for Masters and War- dens whichis seldom or ever the casewithi>En'glishMasons.

Under the headoiFree-Masonry y vmttenby the astronomer La Lande, in the Friench

Encyclopedia, 1expected frombis greatknow-ledge in astronomy to have found much in-

formation on the Origin ofMasonry; for what

connection can there be betweenany

institu-


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au res prtres a en v us e anc. Comme Maons, nous regardons les prin- cipes de ceux qui furent les premiers Ado- rateurs du vrai Dieu nous imitons leur vtement et nous prenons la marque de

u l'innocence. Les Egyptiens, continue Smith, dans les

premiers Ages, constiturent un grand nom-u bre de loges mais ils cachaient avec un

soin assiduleurs secrets de Maonnerie aux

trangers; ces secrets nous ont t imparfai-tement transmis par une tradition orale seu-

lement, etdoiventtre soigneusment cachsi>aux travailleurs, aux compagnonset auxap- prends, jusqu' ce que par une bonne con-

duite etde longues tudes, ils soient mieux instruits dans la gomtrie et dans les arts li-a braux et, par l, dignes d'tre matres et

surveillants, ce qui est rarement ou jamaisle casavec les Maons anglais.

A l'article Franc-M aonnerie, crit parl'astronome Lalande, dans l'Encyclopdiefranaise, je m'attendais d'aprs ses grandesconnaissancesenastronomie, d'y trouver beau-

coup de renseignements sur l'Origine de la

Maonnerie; car quelle liaison peut-il y;avoir


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onan e sua an e twe vesignso t etodiac iftherebeuot something'inthatinsti-tution, or in iu originthatbas rfrencetoastronomy.

Everythingusedas an hieroglyphichasr-

ferencetothevubjectandpurposeforwhichitis used;andweare not to supposetheFree-Muons, amongwhomaremanyverylearnedandscientificmen to be such Idiotsas tomakeuse ofastronomicalsignswithoutsome

astronomicalpurpose.But1wasmuchdisappointedin my expec-

tationfromLaLande. InspeakingoftheOri-

jginofMasonry hesays L'origine de la

Maonnerieseperdcommetant

d'autres,Ildans^obscuritdestemp.Thatis, theori-ginofMasonry likemanyothers losesitselfin theobscurityoftime.When1cametothis

expression,I supposedLaLandeaMason,andon enquiryfoundhe was.Thispassing-oversavedhkafromtheembarrassmentwhichMa-sonsare under respectingthe disdosnreoftheirorigin and whichtheyaresworato con-ceal.

Thereisa societyofMasonsinDublin,Vtho

takethe namepfDruids.TheseMasonsmust


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danscetteinstitutionou danssonorigine,quiaitquelquesrapportsavecl'astronomie.

Toutce qu'onemploie, commehirogly-phe, a rapport au sujet et au desseinpour

lequelon

l'emploie, et nousnepouvonspassupposerque les Francs-Maonsparmiles-quelsontrouvebeaucoupd'hommesinstruitset trs-savants,fussentassezidiots pour seservirde signesastronomiques sansaucundessein

astronomique.Maisje fusbien trompdansmonattentesurLalande.Il dit en parlantdel'originedelaMaonnerieL'Originedela MaonnerieIlse perd, commetant d'autres, dans l'obs.. curit des

temps.

Quandje trouvaicepassage je souponnaique Lalande taitMaon, et je trouvaiensuitequ'iltait, eneffet,Maon.Cettegrandeenjambele sauvade l'embarraso se trouventles Maons,

parrapportla dcouvertede leur

origine,qu'ilss'obligent,par serment,de tenir ca-

Il y a une socitde Maons, Dublin,

quia

prisle nom

de Druides.Ondoit sup-


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name.I comenowtospeakofthecauseofsecresy

usedby the Muons.

The naturalsourceofsecresyis fear.

Whena newreligionover-runsaformerreli-gion,theprofessorsofthenewbecometheper-8cutor8oftheold;weseethisinaUtheiustaucesthathistorybringsbeforeus.WhenHilkiahthe

priest,and

Shaphan,thescribe,in thereignofJosiah, foundor pretendedto find, thelaw,alledtbelawofMoses a thousandyearsafterthedmeof Moses(anditdoesnotappearfromthe adbookoflongs,chapter22, aS.thatsuchlaw wasever

practisedor

knownbefore thetimeofJosiah),he establishedthatlawasana-tionalreligion,andputallthepriestsofthesuatodeath.WhenthechristiaureligionOTer-ran,theJewishreligion,theJewsweretheconti-nuai

subjectof

penecutionin

ail christiancountries whenthe'protestantreligioninEn-glandover-rantheromancatholicreligion,itwasmaddeathfor a catholicprieatto befoundinEngland.Asthisbasbeenthecasein ailtheinstanceswehave

anyknowledgeof, weare


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5

pourprendre ce nom- .Nousavons parlermaintenantde la cause

du secretdes Maons.

Lasourcenaturelledu secretestla crainfe.

Lorsqu'unereligionnouvellerenverseuneanciennereligion,lesprofesseursde laNou-velledevinentlesperscuteursdel'ancienne.Nousen voyonsdes exemples touteslespa-gea,del'histoire.QuandHkiah, le prtre, et

Shaphan,le scribe sousle rgnedeJosiastrouvrent,ouprtendirenttrouver, laloi ap-pele la loi deMose, un sicleaprs Mose(et ilne paraitpas, d'aprsle deuximelivredesRois,chap.22eta5,qu'unetelleloi etja-maisspratiqueouconnueavantle rgnedeJosias), il tablitcetteloicommeunereligionnational- et mit mort tousles prtres dusoleil.Quandla religionchrtiennerenversala religionjuive, les Juifs furentperscutadanstouslespayschrtiens.Quandla religionprotestante,enAngleterre,renversalareligioncatholiqueromaine, tout prtre catholique,trouvenAngleterre,taitmis mort.Commeces perscutionsont toujourseu lieu dans

toutce quel'histoirenousoffrede la terrible


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question.

And that when the christian religion over-

ran the religion of the Druids, in Italy,ancient

Gaul,Britain and Ireland the Druids

becamethe subject of perscution. Thiswonld

naturally andnecessarly oblige suchofthem as

remained attached to their original religion to

socet in secret, and under the strongest injunc-tions of

secresy. Theirsafety dependednponh.A false brother might expose the lives of

manyof them todestruction and from thre-

mainsofthereligion ofDruids, thus presened,arose the Institution which to avoid the name

oi'Druid took \hat of Mason and practisedunder this new name, the rites and crmonies

ot Druids.


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pr nc pe, qu -tion dont il s'agit.

Ainsi quand la religion chrtienne ren-

versa la religion des Druides en Italie, dans

l'ancienne Gaule, dans la Grande Bretagne

et en Irlande, les Druides devinrent l'objet dela perscution. Ce qui naturellement, et n- r

cessairement, obligeaceux d'entr'eux qui res-

taient attachs leur religion originelle, de

se runir, en secret, et sousles plus fortes in-

jonctions du secret. Leur sret en dpendait.Un faux frre pouvait exposer la vie de

plusieurs d'entr'eux et des restes de la reli-

gion des Druides, ainsi conservs, une Ins-titution s'est

forme,dont tous les

membres,pour viter le nom de Druides, prirent celuide Maons,et tts>mquent,*sousce nouveau

nom JesriisySKj^cli&wnies des Druides.


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De l'Origine de La Franc - Maconnerie

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Transcript of De l'Origine de La Franc - Maconnerie