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Année. r4r. 4.6e- 19.111I.ITRATIO9 OACTI011 se et 3S, nus nociu.claîne TOULOUSE* ?-.3r.ACIT Feee.V.,:.--5 »Ut' recpes aut 8ureses clufstnitil ê g*Sicle:?, st cte: cous ses Co:res>sezesigi $3,t iftecéro : 15 celume3 Aujourd'hui commence à Berlin la réunion des Trois Internationales. Un bel effcrt ouvrier Le Bidan russe de l'internationale syndicale d'Amsterdam James O'Graely, à peine rétabli de la rnalaoie dont il fut atteint lors de sa mis- sion sua le Volga va repartir pour la Ré- publique autonome de Tshuvash accom- pagné de Tonisen (France) et de Miranda (Hollande). Il va ccntinuer l'oeuvre de se- cours aux 50.000 pet:ts enfants tartares, travail que ncus avons ébauché en dé- cembre dernier. La veïlle de son départ, nous avons eu une réunion à Amsterdam, au cours de laquelle je lui ai remis le commandement de la mission tue secours et au cours de laquelle nous avons examiné les résultats obtenus par les efforts de la Fédération syndicale internationale. Les voici X Inutile de refaire l'histoire du premier envci de vivres qui pertit le 28 décembre dernier de Hambourg. Le Christian Russ emportait 1,200 tonnes Ge vivres et un pende sêtementa. On sait comment nous avons organisé les bases continentale et navale, les gares re."..gulatrices, et enfin les trois g-,4.1as centres- de disaributicen prin- cipaie, avec tores les comités locaux des petits villages Tshuvashes. Depuis lors, les envois se succédèrent rapidement. Leur- expédition fut contra née de. mille manières. Les difficultés. plus désespérantes les tisses que les au tres se scnt Les expéditions maritimes par la Bal- tique furent complètement suspendues pendant les mois de janvier et de février. à cause de l'encombrement des glaces En vain a-t-on tenté de déplacer la base navale, qu'on avait déjà dû descendre en décembre dernier de Pétragrad à Riga, à Libau çt à Windau Ce tut inutile. Alors, il a fallu se retourner vers d'an- tres routes maritimes. Et c'est d'Italie que le deuxième navire de l'Internationale est parti. Le 12 février, l' A rnicare CIPriuni dont l'affrètement et le chargement fut tout entier effectué pat les soins de la C.G.T. italienne, quittait Gênes pour la mer Noire. Il emportait plus dé 440 termes de produits divers qu'il a daarqué à Novorosiàk. Ces rnarchan (lise remonteront le Volga jusqu"ien Tshuvash. Elles ont une valeur de trcis millions de lires italiennes (soit environ 1 million 800.000 francs). Dès qu'il fut possible d'atteindre un e nes Ports des Etats limitrophes de la Russie, on a re,pris les transports vers Tshucash, le long de la voie suivie par la Première expédition. C'est ainsi que hs troisième bateau a quitté la Suède le 7 niers, pour Windau en Lettonie. Il s'appele l'Exil, et il est Porteur de 325 termes de farine de sei- gle qui, chargée sur 21 wagons. 11 s'est ache minée I e mars vers Shrikaary. X La situation 'dans les districts de fami- ne, aggravant, la désorganisation des transports sur les réseaux russes deve- nant de plus en plus alarmante. la FS-1. d'Amsterdam a expédié en toute hâte un quatrième vapeur, le Ncrderney. Il est Ileau, tti de Hambourg le 16 mars pour Win- e Del1rai5 qu'elle a commencé son ceu- Y,Ire rs. da seccu l'Internationale d'Amster- uain exPédié les vivres suivants': .49,25.000 kilos de farine de seigle = t272 kilos de segile ; 5°1.800 kilos de farine de heir-nient 24'45° r05, ilus de sucre 46.843 kilos de lard 25745 kilos ne saindoux 1°.H7 kilos de gras de boeuf 10 000 kilos de margarine 31. 16.000 m- kilos de produits Maggi 04.i 5. s de thé 229 Is. kilos de cacao 114:) 29.650 kilos de malt d'i 10000 kil ne cs de sagou 69 ; avoine 3.72o kilos de pendre lait 286 lentes de lait condensé. X , lin cinquième navire Partira de"airn' hbOurg dans la première quinzaine d avril. I emportera !1-.045.000 klos i de seigle 30.000 kilos de saindoux 60.000 kiies de sucre ; H.089 kilos de graisse -de oeuf ,.600 kilos de thé : 11.206 kilos de cacao 1°.°00 kilos de malt d'-aveine . - ZELtPliGle. 0.43 L'envoi des vêtements a Où être sus- pendu. Déjà une quinzaine de termes de vêtements furent débarquées par le Chris- tian Russ. 39 tcnnes sont encore te- nues en réserve pour l'épcque où leur transport, sur les voies ferrées russes, horriblement encombrées, sera passible. AVANT TOUT, c'est du pain qu'il faut à nos malheureux gosses du Volga. Et pour acheter du pain, il faut de l'ar- gent. Envoyez-en beaucoup, camarades. Il va' Ilt-rnieux s'abcknir d'effectuer des envois en nature qui sont encombrants et qui, par leur variété, sont malaisés à dis- tribuer. De l'argent pour acheter du pain ! X. En résumé, la F.S.I. a déjà expédié ou ncheté ein vue ctlêtre expédié, pour 1.200.000 florins de marchandises (soit plus de 5 milliens et demi de Francs). Un fait a 3SCZ peu connu, mais sur le- quel d convient cependant d'attar l'at- tention de l'opinion publique, qu'on essaie de trouble Y pal des ragots onde méprisables suspiciens, c'est que l'Inter- nationale cl''Arr,e,teiclarn a fait don -- SANS CONDITION, au docteur Nan- sen, dès le mois de décembre dentier de deux lots de médicaments d'une valeur totale de 500.000 francs. C'est là une réponse, avant la lettre, aux mesquines réticences de certains millie-ux bourgeois qui hésitaient à ver ser leur argent à la Commission syndica- le « n'étant pas 'assurés, disaient-ils, quant à sa destination finale ». Mea marades de la mission Nansen de IVIcs. cou, avec qui j'ai travaillé en accord si intime riront sans cloute avec mépris quand ils apprendront qu'à l'arrière du front de la famine, on nourrit d'aussi mé- diocres préoccupations. Heurepsernent qu'une partie la j ius éclairée de la bourgeoisie est venue spcn. tanément à rceuvre d'Amsterdam qui a si brillammentfait ses preuves. Ajoutons ,pour terminer l'examen dia bilan russe de l'Internationale d'Arnster- REPARTIE. dam, que la Georgie a reçu, de son côté, pour 132.000 francs de médicaments. Il nous reste à souhaiter bonne chance et bon e,uccès à réquipe d'été d'O'Grady que nous irons relever pour l'hiver, si les plaines, avec leurs paysans aux yeux doux, aux gestes las et résignés avec leurs pauvres petits enfants auxquels nous attache une tendresse infinie, ont encore besoin de nous... A-LiVAUTEIIS. Ancien ministre belge. Le citoyen Roppoport faisait, l'autre soir, chez une grande dame du parti socialiste, une con- férence sur les moeurs du temps. J'avertis mes auditrices, dit-il, que j'em- ploierai le mot propre. D'ailleurs, les femmes honnêtes peuvent tout entendre. D M. Rappoport commença sa diatribe. Sou- dan, une spirituelle Parisienne, qui rougissait quelque peu derrière son éventail, s'écria Vraiment, monsieur Rappoport, vous nous prenez aussi pour des femmes par trop hon. netes AVANT L'AUTEL. Tous les détectives de Scotland Yard se sont tancés sur la piste de M. Elbert Adrian William Larpent, baron de Hocliepied, disparu de mys- térieuse façon le ;Dur de son mariage. La blonde fiancée n'attendait plue que lui pour gagner l'ante Elle l'attendait en artirz. Le fian- cé resta introuvable. A-1-il changé d'avis, au dernier moment ?. A-f- il été assassiné ? La fiancés peisiste le croire. Et les détectives de Scoacmd Yard sr sont pro- mis d'élucider ce troublant mystère. X - V/OLENCES DE JADIS. Il y aura -tantôt vingi-huit ans, un jeune avocat écrivait dans la a Petite République des chro- niques enflammées. Il y disait notamment ci Le Président de République est l'incarna- Con vivante, le rejeton .orgtzeilieux des grands bandits légaux qui ont détroussé 1104 ancêtrea na, l'usine. par le monopole. par la savante mise en uv!e,de tons les procédés que la toi,. j-aite :par eus et po.ur eux. leur _met en main..., - ,it's,ns -aeinrat ..s'ananien; Aivrandee mine, peui dans l'exemplai.e 'du ;"",,:t%C!:1;iC QUOTIDIEN SOCIALISTE R£GIONAL Les deux- premiers élégués fienleais à la Conference de Geees ont ele désignés volai quatre joues; les trois autresne le snnt pas eneoes. Nos experts ont établi en consuma un rapport esuMeette Confériuree, mais ce rap- port n'a pas reçu l'approbation de M. Pain, terre. Quelle, sera donc la politique française -à (ênes? En collationnant avec soin leo textes qui Md trait à cette question, notee confrère s 1:uvre,» est parvenu à reconstituer à peu prés le :ens,. sinon le tiexte précis des instructions que MIM. Barthou et Colrat emporteront à Gênes. Nous croyons intéressant de les publier ici avec les référenCes. Article premier. La reconstruction de l'Europe devra être subordonnée à la res- tauration de nos 'sessions déeastées. (Diecoursedereeteede Lesteyeie au Sénat, 29 mars.), Artett. On ne devra pas parler à Gênes de nos régions dévastées. Note de M. Poincaré, 6 févriér.) Art. HL La reconstruction dé la Rus- sie de.vra être étudié) dans son ensemble, ,cl'accôrd 'avec le gouvernement russe. (Décision. de Cannes, 6 janvier.) .. Art. IV. Le gouvernement des Soviets ne sera pas reconnu. (Note du 6 février et déclarations di- verses.). Art. V. La Conférence s'inter'dit de atteinteanla souveeal note interieure ires Etate. (Décision de Cannes.) Art. VI. La ,Russie devra." rétablir la propriété priVée. Les étrangers n'y seront pae soumis à la juridiction locale; ils gar- eont leur statut national. (Note, du 6 février.) Art. VII. el faut au radins deux mois aux délégués pour étudier le programme de Gênes. Note du' 6 février.) Art. MI. Itoreecurode nuit pure. (Dérision du .28 mars ou à venir.) Ael. IX. Une, conférente entre les CX- I t 1 t illu estinée à asSurter leur unité de Vues. précèdera la Conférence de Gênes. (Décision cFe Boulogae du 30 janvier.) Art. X. Les experts frençais devront y garder jalousement le secret de la politi- que française à Gênes. (Inertiel ions de M. Poincaré à M. Sey- douxe L IUBC kaki ? de i trols lirterdationa!es Berlin. a Une séance préparatoire a - eu lieu pour régler les détails techniques du congrès des trois internationales qui s'ouvre aujourd'Wui. -Le nombre de con- gressistes pour chacun des trc:s cemitée exécutifs est fixé à dix. Les autres inerte. bres de ces comités ne_ participeront au Congrès que comme auditeurs. Les partis qui ne sont affiliés à aucune des trois organisations internaticna!es ne seront pas admis. Une exception est faite toutefois en faveur du parti italien; en raiscn du fait que la tenue en Italie de la conférence générale internatienale est à l'étude. Le parti italien sera représenté au congrès par un membre ayant voix clé- libérative et deux autres membres en qualité d'auditeurs. Les débats né seront pas en blies La Hongrie est comme nous: Elle n'a pas le sou ! Budapest. Conformément à un ac- cord intervenu entre la Hcngtie et l'An- gleterre, le gouvernement hongrsis aurait dû payer, lé 31 mars, 150.000 livres, sterling pour l'amortissement des dettes particulières hongroises vis-à-vis rie l'An- gleterre. Le gouvernement hongrois e acheté, l'année, dernière, 100000 Livres et ecirriptant que les >débiteurs hongrcis arriveraient à un aceend avec les créan- ciers anglais, il ne s'est pas procuré les 50.000 livres restant à peyer pour chéance de mars. Ccmme l'accord espéré n'est pas 'nus-- venu, le gouvernement a verse 100.000 livres et a demandé un moratorium, pour le reste. fti.ÉP110(4E : Q.43 On nous cuit ii 1.)4Mis quelques temps les journaux commentent des -faits psychiques, cela ré- pand les plus grands bruits sur certains guérisseurs. 'fout le monde lit avec un vif intérêt ries articles des jourrumx; aujour- d'hui lés phénômènes psychiques préoccu- pent les plus petits comme tes plus grands, les plus simples comme les plus savants. « Appelé a examiner- Mme j'ai, peur ma part, en .qualité de psychiste, reconnn que la guerisseuse n'a aucune connaissan- ce sur les Sciences psychiques et c'est pour cela qu'elle attribue les nombreuses gué- rissons qu'elle citait avoir faites à tous les Saints du Paradis. L'eau du puits n'a donc de ,valeur que parce qu'elle est magnétisée et n'a arienne propriété pour guérir tout- tes les maladies. Je dis donc que Mm R... agit tout simplement par magnétisme in- conscient. Le inakiiétisme -nominé la Science psyeliime a été prouvé par de grands sa- vants comme Camille Flammarion, Richet, qui a tout dermerernent déposé a l'Acacle- mie des Sciences un volinnineux dossier Côntereant $00 pages et dent il a donné- quelques renseignements où il fut anolau- di à l'unanimité- « Tierceron.% à la dame R.... La science médiceeie peut profiler de cette occaSion Petit lut confier tin mala.de que la science n'a Pu guérir, et là devant les hommes com- pétents, car il y en a Toulouse, on aura une preuve frappante des forces inconnues. Les témoins dans les trois dernières affai- res qui se comptent par centaines et qui attestent leur guérison, ne peuvent pour- tant pas être considérés comme des'. dé- mente et il vaut done la peine d'étudier, et ne critiquer ni approuver ce que Ion ne connait pas. Cristophe Colomb, qui décou- vrit lAmérique; Galilée; qui prouva que la terre tournait, furent traités de fous. Qui- conque aurait die il, y .st an siècle qu'Un appareil plus lourd que l'air s'élèverait aurait été trate de la même façon que les autres. « Le résultat de cette polémique n'aura pour but tout simplement que de faire progresser la clientèle de Mine R..., car on lui reproche tout simplement qu'elle perçoit de l'argent mais on ne nie pas In fait qu'elle guérit. Couture je vous l'ai dit, le magnétisme est curatif. >On peut citer les noms des plus leminents docteurs en France qui .s'occupent des sciences °cent- tes. Le résultat des trois derniets Cas de Villefranche, d'Agen et de Toulouse dé- montrent que l'étude qes 'phénomènes psy- chiques s'impose aujourd'hui a la Science Officielle, aussi bien en France qu'en Amé- rique. Les journaux eux-mêmes ouvrent leurs colonnes à la discussion de Ces. faits et concourent ainsi à répandre ces connais. sauces qui perivent devenir un levier puis- sant pour aider au progrès de l'humanité. Certains savants ont compris le haut inté- rêt scientifique qui Sen dégage et qui se double d'un immense intérêt philosophique car il relève dans l'être des pouvoirs dy- namiques et psychiques semblant dépecer., le champs des capacités organiques et sen- «A. Crên es PlIEPARATIES DE ItECEPTION Renie, 2 -avril. M. l'acte, président du conseil, en demandant à la Chambre de proroger ses travaux au 4 mai, et, dit L'ouverture prochaine ide la conférence de Gênes impose eu gonvertlement des de- voirs spéciaux de préparation. Le gouver- rement a notamment à remplir; clans ces derniers -jours, deux obligations importan- tes, savoir : 1. De -préparer la discussion des grands intérêts qui vont être agités avec le haut sentiment de son devoir et do sa dignité. 2."De montrer à tous ceux qui participe- ront à' la confenence qu'enItalie ne sont pas éteint6s les traditions d'hespitalité teable 'et affeetneuse qui font -l'orgueil -de notre civilisation.. Je oultaite que la con- férence de Gênes donne vraiment à -l'Italie lente la splendeur qu'elle mérite. . La proposition de M. Fada est adoptée 3t la Chambre s'ajourne au LA POLICE VEILLERA Reale, 2 ase.n, Le u Giornale d'Italia » a interviewé plusieurs personnages sur la situation à Gênes. On lui a. déclaré que les- quelques incidents signalés par la presse sont insignifiants et qu'ils ne troublent pas tranquillité. Les causes en sont absolu - ment occasionnelles et passagères. Afin de maintenir l'ordre le plus parfait, le gouvernement emploiera Ions les Moyens.. On éloigoePa tous les individus suspects italiens ou étrangers. Les serv1-6e., de la Stiret?, publique ,ont été réorganisé?. Te peuple de Gênes a un sens élecé de su dignité et de ses responsabilités. Tous les partis sont d'accord pour qu'aucun inci- (lent ne vienne-troubler l'ordre-des travaux de la conférence. . Les Génois publierent prochainement PS reanifeeres. Pour salace les délégués qui erriverOnt, Lundi e Ai1 1f,.)2 ÉD1TiONS Vyr rat Lais g tire dasap 'Tarn ct av.gyre)n IrOtlielsLISO rat EnvErcaries ABONNEMENTS ands 4 Livg! Crâne* e Colonies. :2 fr. 24 fr. atranger. :4 ft. 27 fr. «ft. 54 et,. sorielles et leur étude permet à la lumière de la méthode expérimentale d'élucider quelque peu les grands problèmes; de la vie et de la destinée. « Certains docteurs, comme M. Breton, M. Potheau, et M. Leprince, 'de Nice avec qui j'ai expérimenté, ont exposé l'état _ac- tuel de leurs recherches psychologiques et de leurs expériences sur les forces humai- nes en nous démontrant par des preuves expernnentates l'existence réelle de la ra- dio-activité du corps humain : rayons y rayons cathodiqueS, effluves et rayons &ti- ques, en un mot rayons et forées bi-élec- troeiques. Connue ces messieurs les appe- lent eux-mêmes pour être mi rapport avec leurs nouvelles théories et hypothèses. 1.,Çs I ayons Immanis sont (loues d'un mouvement continu d'ondés vibratoires enregistrées par la plaque photographique; phosphorescents parfois, ils influent notre rétine dévelop7 'pant une Certaine odeur et produisant une sensation de fraîcheur. Ces rayons, ces for- ces ont été examines aussi par le docteur Régnante; de Toulon, qui les niesleirait en Ohms, Per le docteur Moineau,. le célèbre radiotellurgiste, qui a évalué ces effluves avec la baguette ou le pendille; par Youro- mich qui a trouvé ces layons plus péné- trants que les rayons X ou gamma du 'ra- dium traversant rifle plaque de plomb de 54 millimètres. Le docteur Potheau a en- visagé la possibilité peur ces radiations hu- maines d'agir sur le microbes ou la résis- tance cellulaire, puisque le célèbre savant Charles Hem-y, directeur du laboratoire d'études physiologique a la Sorbonne a in- diqué en 1921 la, langueur d'ondes d'indi- vidu à 37° soit 9 emu) 38 donc situé dans l'infrarouge; de là les théories et conclu- sions scientifiques avec les effets magné- tiques. De toutes part, des docteurs parlent du magnétisme animal_ biactinisme curatif et les théories de ces messieurs mises en rapport avec les nouvelles théories des élec- trons atominues et cellulaires du docteur Le- prince, ainsi que la biocolloïdologie des mi- celles du docteur A. Lumière nous font es- pérer pour la Science physiobialogique et médicale une ère nouvelle de progrès dont les conséquences seront déyeloppées - « Le psychisme qui est Missi une science comme la metapsycle vient de ..no S jours préoccuper l'esprit humain; aussi le spiri- tisme vient aussi frapper à chaque porte; ces expériences ont malheureusement pro- . . vogue a. certaines personnes des troubles dont certains ne se relèveront plus. Le spi- ritisme devient un I. nger parmi des' per- sonnes inhabiles. Comme toutes les nouvel-, les sciences mises' en prelique; la découver, te de la poudre à canon, comme la eadioe graphie et la chimie ont fait leur ex.:ti- mes. « Aujeurd'hui t'aurore aune nouvetle science vient Ouvrir nos yeux. Profitons- en e Jean MASCARAS, « De l'Institut Méle±à3ehique. LA POLfflel. re 4.;.11.:COVE 6olloaris l'emporte CCM Athènes, 2 avril. Devant une Cham- bre bondée,-le président a communiqué les voeux de nombreuses corporations, ligues ..et associations protestant contre les propo- sitions de paix. La Chambre, qui si applau- di constamment, a décidé l'insertion « in- extenso » de ces Nome eu procès-verbal de la séance. 111. Gounaris a déclaré que. le gouverne, nient estime que, jusqu'à connaissance' de la réponse turque en ce qui concerne l'ar- mistice, il né peut rien faire relativement à ces propositions de paix. Quand il con- naîtra cette réponse, il réglera son attitude ultérieure. M. Stratos a déclaré : « De la façon dont les affaires ,nationas les ont abouti, la situation exige d'avoir une opinion publique. renforçant l'action du 'gouvernement, en connaissant notam- Ment l'ensemble de la politique intérieure et extérieure que suivra le gouvernement-, car il s'agit de grdtujier toutes les énergies nationales afin de parvenir à faire le moins possible des sacrifices qu'on nous deman- de. - « Il né s'agit pas de savoir si nous accep- ferons les propositions de baie; il s'agit de juger la capaeité «a le gouvernement pour affronter l'ensemble des difficultés natiae rudes. Nous ae l'en jugeons pas caPable. Les autres chefs de l'opposition ont par* lé dans le même sens en demandant avee insistance que le gouvernement expose sa politique. M. Gounaris, a refusé; il ne parlera que nuand il le jugera utile. et opportun. Après une discussion parfois violeate, la Cham- bre il V,Oté un ordre du jour. de cOulle nu eouvernemenn tin I rosrarame net clair et précis 12 « PRETEND A MEIJE DE rUBLIER LES ItASTRUCTIONS DE NOS DELEGUeS A GENE Voyez ci-contre la netteté de son plan pour la Confé- rence de Gênes. La Science mystérieuse Apropos de PUR, la"guérisseuse" du quartier des Minimes à Toulouse -teeyig, ME Du BLOC NATIONAL Le ministre de la guerre vient d'adresser une circulaie aux gouverneurs militaires comman- dants de corps d'armée, etc... pour leur deman- der de faire, une enquête en vue de`Tadoption, le plus tôt [possible, de ta-tenue couleur kaki pour l'uniforme de l'armée française. LE CONGRZS Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Année. r4r. 4.6e-

19.111I.ITRATIO9OACTI011

se et 3S, nus nociu.claîneTOULOUSE*

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$3,t iftecéro : 15 celume3

Aujourd'hui commence à Berlin la réunion des Trois

Internationales.

Un bel effcrt ouvrier

Le Bidan russe de l'internationalesyndicale d'Amsterdam

James O'Graely, à peine rétabli de larnalaoie dont il fut atteint lors de sa mis-sion sua le Volga va repartir pour la Ré-publique autonome de Tshuvash accom-pagné de Tonisen (France) et de Miranda(Hollande). Il va ccntinuer l'oeuvre de se-cours aux 50.000 pet:ts enfants tartares,travail que ncus avons ébauché en dé-cembre dernier.

La veïlle de son départ, nous avons euune réunion à Amsterdam, au cours delaquelle je lui ai remis le commandementde la mission tue secours et au cours delaquelle nous avons examiné les résultatsobtenus par les efforts de la Fédérationsyndicale internationale.

Les voiciX

Inutile de refaire l'histoire du premierenvci de vivres qui pertit le 28 décembredernier de Hambourg. Le Christian Russemportait 1,200 tonnes Ge vivres et unpende sêtementa. On sait comment nousavons organisé les bases continentale etnavale, les gares re."..gulatrices, et enfin lestrois g-,4.1as centres- de disaributicen prin-cipaie, avec tores les comités locaux despetits villages Tshuvashes.

Depuis lors, les envois se succédèrentrapidement. Leur- expédition fut contranée de. mille manières. Les difficultés.plus désespérantes les tisses que les autres se scnt

Les expéditions maritimes par la Bal-tique furent complètement suspenduespendant les mois de janvier et de février.à cause de l'encombrement des glacesEn vain a-t-on tenté de déplacer la basenavale, qu'on avait déjà dû descendre endécembre dernier de Pétragrad à Riga,à Libau çt à Windau Ce tut inutile.

Alors, il a fallu se retourner vers d'an-tres routes maritimes.

Et c'est d'Italie que le deuxième navirede l'Internationale est parti. Le 12 février,l' A rnicare CIPriuni dont l'affrètement etle chargement fut tout entier effectué patles soins de la C.G.T. italienne, quittaitGênes pour la mer Noire. Il emportaitplus dé 440 termes de produits divers qu'ila daarqué à Novorosiàk. Ces rnarchan(lise remonteront le Volga jusqu"ienTshuvash. Elles ont une valeur de trcismillions de lires italiennes (soit environ

1 million 800.000 francs).

Dès qu'il fut possible d'atteindre unenes Ports des Etats limitrophes de laRussie, on a re,pris les transports versTshucash, le long de la voie suivie par laPremière expédition.

C'est ainsi que hs troisième bateau aquitté la Suède le 7 niers, pour Windauen Lettonie. Il s'appele l'Exil, et il estPorteur de 325 termes de farine de sei-gle qui, chargée sur 21 wagons.

11s'est ache

minée Ie mars vers Shrikaary.X

La situation 'dans les districts de fami-ne, aggravant, la désorganisation destransports sur les réseaux russes deve-nant de plus en plus alarmante. la FS-1.d'Amsterdam a expédié en toute hâte unquatrième vapeur, le Ncrderney. Il estIleau,

tti de Hambourg le 16 mars pour Win-e

Del1rai5 qu'elle a commencé son ceu-Y,Ire rs.da seccu l'Internationale d'Amster-uain exPédié les vivres suivants':

.49,25.000 kilos de farine de seigle =t272 kilos de segile ;

5°1.800 kilos de farine de heir-nient24'45° r05,ilus de sucre46.843 kilos de lard25745 kilos ne saindoux1°.H7 kilos de gras de boeuf10 000 kilos de margarine

31.16.000

m-kilos de produits Maggi04.i

5. s de thé229 Is.kilos de cacao

114:)29.650 kilos de malt d'i10000 kil

necs de sagou

69;avoine

3.72o kilos de pendre lait286 lentes de lait condensé.X

, lincinquième navire

Partira de"airn'hbOurg dans la première quinzaine d avril.I

emportera

!1-.045.000 klosi de seigle30.000 kilos de saindoux60.000 kiies de sucre ;H.089 kilos de graisse -de oeuf,.600 kilos de thé :11.206 kilos de cacao1°.°00 kilos de malt d'-aveine. -

ZELtPliGle. 0.43

L'envoi des vêtements a Où être sus-pendu. Déjà une quinzaine de termes devêtements furent débarquées par le Chris-tian Russ. 39 tcnnes sont encore te-nues en réserve pour l'épcque où leurtransport, sur les voies ferrées russes,horriblement encombrées, sera passible.

AVANT TOUT, c'est du pain qu'ilfaut à nos malheureux gosses du Volga.Et pour acheter du pain, il faut de l'ar-gent. Envoyez-en beaucoup, camarades.

Il va' Ilt-rnieux s'abcknir d'effectuer desenvois en nature qui sont encombrants etqui, par leur variété, sont malaisés à dis-tribuer.

De l'argent pour acheter du pain !X.

En résumé, la F.S.I. a déjà expédié ouncheté ein vue ctlêtre expédié, pour

1.200.000 florins de marchandises (soitplus de 5 milliens et demi de Francs).

Un fait a 3SCZ peu connu, mais sur le-quel d convient cependant d'attar l'at-tention de l'opinion publique, qu'onessaie de trouble Y pal des ragots ondeméprisables suspiciens, c'est que l'Inter-nationale cl''Arr,e,teiclarn a fait don --SANS CONDITION, au docteur Nan-sen, dès le mois de décembre dentier dedeux lots de médicaments d'une valeurtotale de 500.000 francs.

C'est là une réponse, avant la lettre,aux mesquines réticences de certains

millie-ux bourgeois qui hésitaient à verser leur argent à la Commission syndica-le « n'étant pas 'assurés, disaient-ils,quant à sa destination finale ». Meamarades de la mission Nansen de IVIcs.cou, avec qui j'ai travaillé en accord siintime riront sans cloute avec méprisquand ils apprendront qu'à l'arrière dufront de la famine, on nourrit d'aussi mé-diocres préoccupations.

Heurepsernent qu'une partie la j iuséclairée de la bourgeoisie est venue spcn.tanément à rceuvre d'Amsterdam qui a sibrillammentfait ses preuves.

Ajoutons ,pour terminer l'examen diabilan russe de l'Internationale d'Arnster-

REPARTIE.

dam, que la Georgie a reçu, de son côté,pour 132.000 francs de médicaments.

Il nous reste à souhaiter bonne chanceet bon e,uccès à réquipe d'été d'O'Gradyque nous irons relever pour l'hiver, si lesplaines, avec leurs paysans aux yeuxdoux, aux gestes las et résignés avecleurs pauvres petits enfants auxquelsnous attache une tendresse infinie, ontencore besoin de nous...

A-LiVAUTEIIS.Ancien ministre belge.

Le citoyen Roppoport faisait, l'autre soir, chezune grande dame du parti socialiste, une con-férence sur les moeurs du temps.

J'avertis mes auditrices, dit-il, que j'em-ploierai le mot propre. D'ailleurs, les femmeshonnêtes peuvent tout entendre.

D M. Rappoport commença sa diatribe. Sou-dan, une spirituelle Parisienne, qui rougissaitquelque peu derrière son éventail, s'écria

Vraiment, monsieur Rappoport, vous nousprenez aussi pour des femmes par trop hon.netes

AVANT L'AUTEL.Tous les détectives de Scotland Yard se sont

tancés sur la piste de M. Elbert Adrian WilliamLarpent, baron de Hocliepied, disparu de mys-térieuse façon le ;Dur de son mariage.

La blonde fiancée n'attendait plue que lui pourgagner l'ante Elle l'attendait en artirz. Le fian-cé resta introuvable.

A-1-il changé d'avis, au dernier moment ?. A-f-il été assassiné ?

La fiancés peisiste le croire.Et les détectives de Scoacmd Yard sr sont pro-

mis d'élucider ce troublant mystère.X -

V/OLENCES DE JADIS.Il y aura -tantôt vingi-huit ans, un jeune avocat

écrivait dans la a Petite République des chro-niques enflammées. Il y disait notamment

ci Le Président de République est l'incarna-Con vivante, le rejeton .orgtzeilieux des grandsbandits légaux qui ont détroussé 1104 ancêtreana, l'usine. par le monopole. par la savante miseen uv!e,de tons les procédés que la toi,. j-aite

:par eus et po.ur eux. leur _met en main...,- ,it's,ns -aeinrat ..s'ananien; Aivrandee mine,

peui dans l'exemplai.e 'du;"",,:t%C!:1;iC

QUOTIDIEN SOCIALISTE R£GIONAL

Les deux- premiers élégués fienleais à laConference de Geees ont ele désignés volaiquatre joues; les trois autresne le snnt paseneoes.

Nos experts ont établi en consuma unrapport esuMeette Confériuree, mais ce rap-port n'a pas reçu l'approbation de M. Pain,terre.

Quelle, sera donc la politique française -à(ênes?

En collationnant avec soin leo textes quiMd trait à cette question, notee confrères 1:uvre,» est parvenu à reconstituer àpeu prés le :ens,. sinon le tiexte précis desinstructions que MIM. Barthou et Colratemporteront à Gênes.

Nous croyons intéressant de les publierici avec les référenCes.

Article premier. La reconstruction del'Europe devra être subordonnée à la res-tauration de nos 'sessions déeastées.

(Diecoursedereeteede Lesteyeie au Sénat,29 mars.),

Artett. On ne devra pas parler à Gênesde nos régions dévastées.

Note de M. Poincaré, 6 févriér.)Art. HL La reconstruction dé la Rus-

sie de.vra être étudié) dans son ensemble,,cl'accôrd 'avec le gouvernement russe.

(Décision. de Cannes, 6 janvier.).. Art. IV. Le gouvernement des Sovietsne sera pas reconnu.

(Note du 6 février et déclarations di-verses.).

Art. V. La Conférence s'inter'dit deatteinteanla souveeal note interieure

ires Etate.(Décision de Cannes.)Art. VI. La ,Russie devra." rétablir la

propriété priVée. Les étrangers n'y serontpae soumis à la juridiction locale; ils gar-eont leur statut national.

(Note, du 6 février.)Art. VII. el faut au radins deux mois

aux délégués pour étudier le programmede Gênes.

Note du' 6 février.)Art. MI. Itoreecurode nuit pure.

(Dérision du .28 mars ou à venir.)Ael. IX. Une, conférente entre les CX-

I t 1 t illu estinée à asSurter leur unitéde Vues. précèdera la Conférence de Gênes.

(Décision cFe Boulogae du 30 janvier.)Art. X. Les experts frençais devront y

garder jalousement le secret de la politi-que française à Gênes.

(Inertiel ions de M. Poincaré à M. Sey-douxe

L IUBC kaki ?

de i trols lirterdationa!esBerlin. a Une séance préparatoire a -

eu lieu pour régler les détails techniquesdu congrès des trois internationales quis'ouvre aujourd'Wui. -Le nombre de con-gressistes pour chacun des trc:s cemitéeexécutifs est fixé à dix. Les autres inerte.bres de ces comités ne_ participeront auCongrès que comme auditeurs.

Les partis qui ne sont affiliés à aucunedes trois organisations internaticna!es neseront pas admis. Une exception est faitetoutefois en faveur du parti italien; enraiscn du fait que la tenue en Italie de laconférence générale internatienale est àl'étude. Le parti italien sera représentéau congrès par un membre ayant voix clé-libérative et deux autres membres enqualité d'auditeurs.

Les débats né seront pas en blies

La Hongrie est comme nous:

Elle n'a pas le sou !

Budapest. Conformément à un ac-cord intervenu entre la Hcngtie et l'An-gleterre, le gouvernement hongrsis auraitdû payer, lé 31 mars, 150.000 livres,sterling pour l'amortissement des dettesparticulières hongroises vis-à-vis rie l'An-gleterre. Le gouvernement hongrois eacheté, l'année, dernière, 100000 Livreset ecirriptant que les >débiteurs hongrcisarriveraient à un aceend avec les créan-ciers anglais, il ne s'est pas procuré les50.000 livres restant à peyer pourchéance de mars.

Ccmme l'accord espéré n'est pas 'nus--venu, le gouvernement a verse 100.000livres et a demandé un moratorium, pourle reste.

fti.ÉP110(4E : Q.43

On nous cuitii 1.)4Mis quelques temps les journaux

commentent des -faits psychiques, cela ré-pand les plus grands bruits sur certainsguérisseurs. 'fout le monde lit avec un vifintérêt ries articles des jourrumx; aujour-d'hui lés phénômènes psychiques préoccu-pent les plus petits comme tes plus grands,les plus simples comme les plus savants.

« Appelé a examiner- Mme j'ai, peurma part, en .qualité de psychiste, reconnnque la guerisseuse n'a aucune connaissan-ce sur les Sciences psychiques et c'est pourcela qu'elle attribue les nombreuses gué-rissons qu'elle citait avoir faites à tous lesSaints du Paradis. L'eau du puits n'a doncde ,valeur que parce qu'elle est magnétiséeet n'a arienne propriété pour guérir tout-tes les maladies. Je dis donc que Mm R...agit tout simplement par magnétisme in-conscient. Le inakiiétisme -nominé la Sciencepsyeliime a été prouvé par de grands sa-vants comme Camille Flammarion, Richet,qui a tout dermerernent déposé a l'Acacle-mie des Sciences un volinnineux dossierCôntereant $00 pages et dent il a donné-quelques renseignements où il fut anolau-di à l'unanimité-

« Tierceron.% à la dame R.... La sciencemédiceeie peut profiler de cette occaSionPetit lut confier tin mala.de que la sciencen'a Pu guérir, et là devant les hommes com-pétents, car il y en a Toulouse, on auraune preuve frappante des forces inconnues.Les témoins dans les trois dernières affai-res qui se comptent par centaines et quiattestent leur guérison, ne peuvent pour-tant pas être considérés comme des'. dé-mente et il vaut done la peine d'étudier, etne critiquer ni approuver ce que Ion neconnait pas. Cristophe Colomb, qui décou-vrit lAmérique; Galilée; qui prouva que laterre tournait, furent traités de fous. Qui-conque aurait die il, y .st an siècle qu'Unappareil plus lourd que l'air s'élèveraitaurait été trate de la même façon que lesautres.

« Le résultat de cette polémique n'aurapour but tout simplement que de faireprogresser la clientèle de Mine R..., caron lui reproche tout simplement qu'elleperçoit de l'argent mais on ne nie pas Infait qu'elle guérit. Couture je vous l'ai dit,le magnétisme est curatif. >On peut citerles noms des plus leminents docteurs enFrance qui .s'occupent des sciences °cent-tes. Le résultat des trois derniets Casde Villefranche, d'Agen et de Toulouse dé-montrent que l'étude qes 'phénomènes psy-chiques s'impose aujourd'hui a la ScienceOfficielle, aussi bien en France qu'en Amé-rique. Les journaux eux-mêmes ouvrentleurs colonnes à la discussion de Ces. faitset concourent ainsi à répandre ces connais.sauces qui perivent devenir un levier puis-sant pour aider au progrès de l'humanité.Certains savants ont compris le haut inté-rêt scientifique qui Sen dégage et qui sedouble d'un immense intérêt philosophiquecar il relève dans l'être des pouvoirs dy-namiques et psychiques semblant dépecer.,le champs des capacités organiques et sen-

«A. Crên esPlIEPARATIES DE ItECEPTION

Renie, 2 -avril. M. l'acte, président duconseil, en demandant à la Chambre deproroger ses travaux au 4 mai, et, dit

L'ouverture prochaine ide la conférencede Gênes impose eu gonvertlement des de-voirs spéciaux de préparation. Le gouver-rement a notamment à remplir; clans cesderniers -jours, deux obligations importan-tes, savoir :

1. De -préparer la discussion des grandsintérêts qui vont être agités avec le hautsentiment de son devoir et do sa dignité.

2."De montrer à tous ceux qui participe-ront à' la confenence qu'enItalie ne sontpas éteint6s les traditions d'hespitalitéteable 'et affeetneuse qui font -l'orgueil -denotre civilisation.. Je oultaite que la con-férence de Gênes donne vraiment à -l'Italielente la splendeur qu'elle mérite. .

La proposition de M. Fada est adoptée 3tla Chambre s'ajourne au

LA POLICE VEILLERAReale, 2 ase.n, Le u Giornale d'Italia »

a interviewé plusieurs personnages sur lasituation à Gênes. On lui a. déclaré que les-quelques incidents signalés par la pressesont insignifiants et qu'ils ne troublent pas

tranquillité. Les causes en sont absolu -

ment occasionnelles et passagères.Afin de maintenir l'ordre le plus parfait,

le gouvernement emploiera Ions lesMoyens.. On éloigoePa tous les individussuspects italiens ou étrangers. Les serv1-6e.,de la Stiret?, publique ,ont été réorganisé?.Te peuple de Gênes a un sens élecé de sudignité et de ses responsabilités. Tous lespartis sont d'accord pour qu'aucun inci-(lent ne vienne-troubler l'ordre-des travauxde la conférence.

.

Les Génois publierent prochainementPS reanifeeres. Pour salace les délégués qui

erriverOnt,

Lundi e Ai1 1f,.)2

ÉD1TiONSVyr rat Lais g tire dasap

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ABONNEMENTSands 4 Livg!

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«ft.54 et,.

sorielles et leur étude permet à la lumièrede la méthode expérimentale d'éluciderquelque peu les grands problèmes; de la vieet de la destinée.

« Certains docteurs, comme M. Breton,M. Potheau, et M. Leprince, 'de Nice avecqui j'ai expérimenté, ont exposé l'état _ac-tuel de leurs recherches psychologiques etde leurs expériences sur les forces humai-nes en nous démontrant par des preuvesexpernnentates l'existence réelle de la ra-dio-activité du corps humain : rayons yrayons cathodiqueS, effluves et rayons &ti-ques, en un mot rayons et forées bi-élec-troeiques. Connue ces messieurs les appe-lent eux-mêmes pour être mi rapport avecleurs nouvelles théories et hypothèses. 1.,ÇsI ayons Immanis sont (loues d'un mouvementcontinu d'ondés vibratoires enregistrées parla plaque photographique; phosphorescentsparfois, ils influent notre rétine dévelop7'pant une Certaine odeur et produisant unesensation de fraîcheur. Ces rayons, ces for-ces ont été examines aussi par le docteurRégnante; de Toulon, qui les niesleirait enOhms, Per le docteur Moineau,. le célèbreradiotellurgiste, qui a évalué ces effluvesavec la baguette ou le pendille; par Youro-mich qui a trouvé ces layons plus péné-trants que les rayons X ou gamma du 'ra-dium traversant rifle plaque de plomb de54 millimètres. Le docteur Potheau a en-visagé la possibilité peur ces radiations hu-maines d'agir sur le microbes ou la résis-tance cellulaire, puisque le célèbre savantCharles Hem-y, directeur du laboratoired'études physiologique a la Sorbonne a in-diqué en 1921 la, langueur d'ondes d'indi-vidu à 37° soit 9 emu) 38 donc situé dansl'infrarouge; de là les théories et conclu-sions scientifiques avec les effets magné-tiques.

De toutes part, des docteurs parlentdu magnétisme animal_ biactinisme curatifet les théories de ces messieurs mises enrapport avec les nouvelles théories des élec-trons atominues et cellulaires du docteur Le-prince, ainsi que la biocolloïdologie des mi-celles du docteur A. Lumière nous font es-pérer pour la Science physiobialogique etmédicale une ère nouvelle de progrès dontles conséquences seront déyeloppées

-

« Le psychisme qui est Missi une sciencecomme la metapsycle vient de ..no S jourspréoccuper l'esprit humain; aussi le spiri-tisme vient aussi frapper à chaque porte;ces expériences ont malheureusement pro-

. .vogue a. certaines personnes des troublesdont certains ne se relèveront plus. Le spi-ritisme devient un I. nger parmi des' per-sonnes inhabiles. Comme toutes les nouvel-,les sciences mises' en prelique; la découver,te de la poudre à canon, comme la eadioegraphie et la chimie ont fait leur ex.:ti-mes.

« Aujeurd'hui t'aurore aune nouvetlescience vient Ouvrir nos yeux. Profitons-en

e Jean MASCARAS,« De l'Institut Méle±à3ehique.

LA POLfflel. re 4.;.11.:COVE

6olloaris l'emporte CCM

Athènes, 2 avril. Devant une Cham-bre bondée,-le président a communiqué lesvoeux de nombreuses corporations, ligues

..et associations protestant contre les propo-sitions de paix. La Chambre, qui si applau-di constamment, a décidé l'insertion « in-extenso » de ces Nome eu procès-verbalde la séance.

111. Gounaris a déclaré que. le gouverne,nient estime que, jusqu'à connaissance' dela réponse turque en ce qui concerne l'ar-mistice, il né peut rien faire relativementà ces propositions de paix. Quand il con-naîtra cette réponse, il réglera son attitudeultérieure.

M. Stratos a déclaré :

« De la façon dont les affaires ,nationasles ont abouti, la situation exige d'avoirune opinion publique. renforçant l'actiondu 'gouvernement, en connaissant notam-Ment l'ensemble de la politique intérieureet extérieure que suivra le gouvernement-,car il s'agit de grdtujier toutes les énergiesnationales afin de parvenir à faire le moinspossible des sacrifices qu'on nous deman-de. -

« Il né s'agit pas de savoir si nous accep-ferons les propositions de baie; il s'agit dejuger la capaeité «a le gouvernement pouraffronter l'ensemble des difficultés natiaerudes. Nous ae l'en jugeons pas caPable.

Les autres chefs de l'opposition ont par*lé dans le même sens en demandant aveeinsistance que le gouvernement exposesa politique.

M. Gounaris, a refusé; il ne parlera quenuand il le jugera utile. et opportun. Aprèsune discussion parfois violeate, la Cham-bre il V,Oté un ordre du jour. de cOullenu eouvernemenn

tin I rosrarame net

clair et précis 12« PRETEND A MEIJE DE

rUBLIER LES ItASTRUCTIONSDE NOS DELEGUeS A GENE

Voyez ci-contre la netteté de son plan pour la Confé-rence de Gênes.

La Science mystérieuse

Apropos de PUR, la"guérisseuse"du quartier des Minimes à Toulouse

-teeyig,

ME Du BLOC NATIONAL

Le ministre de la guerre vient d'adresser unecirculaie aux gouverneurs militaires comman-dants de corps d'armée, etc... pour leur deman-der de faire, une enquête en vue de`Tadoption,le plus tôt [possible, de ta-tenue couleur kakipour l'uniforme de l'armée française.

LE CONGRZS

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: de l'internationale Apropos de PUR, laguérisseuseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B... · quatre joues; les trois autresne le snnt pas eneoes. Nos experts ont établi en

Toidouse et oe llaIistesToulouse ba1 Biarriiz

PAR 9 POÏN) S A ZEHO

(2 Jourguy; but sur coup 5rnc, Siruc)

Le soleil -n'avait pas voulu bouder i la der-èe graide partie de la saison, et après des

pourparlers laboriew avec k bon dieu. qui du-5èïeflt pute la matinée, il obtirt de ceUi-Ci quil

- le laisserait passer l travers le ciel, afin de cL-verser-sur ie terrifl Ernet-\Vallon un torrent dethzileur inaltendu.

Aussi le public s'était empressé. Ce fut lapius belle fouie de la saison. Pas une place libre.La recette est.certainemnt une des plus frteseniegiste cette année dans toute la France. Elleatteint, 52.000 franics.

Ce fut une jolie partie ouverte, ardente, cor-secte et precjUe amicz&le. li colivient d'en f1iciterrouges et jaunes (les jaunes étant aujourdhui lesToulousains, ainsi vêtus parce que les visiteurssont rouges ass».

D;s le dbut on devine que le jeu sera rapidee serri. Le S. T. esquisse une attaque quiéchoue en ioude, puis, le jeu se stbilise unmoment vers le centre. Le5 urrires bottent àqui mieux mieux, cependant que les efforts desavants biarrots et les départs des trois-quartstolousaiiïs impriment au bail un mouvement deva-etvient sans rrsuItat. Soudain, d'une rniiefavorable à Toulouse, le bdlon part pour unassaut oiassiqte et Jaurguy, dernier servi. vamarquer un splendide essai, rs&tat dun beautravail col1ctiF et que Struc ne peut pas trans-former. S. T. : 3 ; Bia'rrltz : . '

C'est pour Toouae k si.gl d'un regain dac-tlyt qui fait demeurer le jeu dans le caup des jvisiteurs. Mais ceua-ci se dégagent et avec ungrand courage remonte,n, gagnent les 22 jauneset même par deux fois. sont terriblement dan-gecu. Ils ne- peuvent -cependant conclure avantla mi-temps.

A a reprise, Biarritz attaque. s'apprche, 'naisse fait repoueser par la furia des forwards jaunes.

,Un lonp moment le jeu est trà mobile, sans

.avantuge pour quiconque. Lorsqu'un nouveaudépart classique des trois-quarts jaunes perrssot' Jautrguy de ,narquer un deuxiàme essai des,me facture que ic premier. et que Struc es-saie en vnr, de transformer.S.T. :6;BO. O.

- Piesque aussit& aps. Pans touché à 1ép4uletuiiIe e te5rain et n'y revienslra plus. Les jau-

' fl5 joucOt à 14 et Lan'ieu passe talo.nneur. La' m.le touiousana se ressentira eLe cette dsor-

--- Eh ! Oun ba kut aqul moundé ?Eh J pardi ! l'EStGdc I

(Cliché Midi Sporti5).

e.nisation, jusqu'à ta fin du combat, tant pourle ratissage que peux la poucsée. Eat-ee par laa&easit de , soutenir à sept l'effort de hutt ad-versares, sL-ce , par essoufflement. toujours est-ilque le pack jaune donne des signas d'une dé-faiIkrnce qu'il ne surrnonterà que pendant que-ques minutes au couru de cette demdme parti-edu deuxième acte. Au contraire .es Biarrots, soit'par un sureau-t de levs- moral, soit par' suitede la vision de la d&rese adverse accrois-sent leur ativité et nous font assister à unefin de match splendide attaquant sains cesse parbutes leurs lianes, ddployant le hand bail dan-stoûte sa pureté, s'upprhart à trois ropsises àquelques màtre's de la ligne de buts e-t ne devantqu'à la farouche ddfense jaune l'impossbilitécia cGttc!u5e.

'Entre temps, sur une belle échappée de sesavants, Toulouse obtient un coup franc ès 35 mé-très de. la line biarrote. Struc Mu-sst le but.

S.T. :9;B.O. :0.--Dès lors le match es-t joué et l'optimisme le

plus dércgI des visiteurs ne peu-t -ailea- au delàde I espoir de sauver l'honneur.

Cet espoi.r ne se réalise pas, car les Totdou-sains se reprennent tin peu et parviennent à

- tflaiiitenir le jeu au centre par de judicieux etmultiples dégagements en touche-.

- -La fin est donc sifflée sans que la ligne toulou-saine ait été vioée. .

-

Ainsi l'équipe rouge. reiouvelant son exploitde 1912, arrive à la finale avec un tableau oùles chiffres totaIiss contre elle forment le totalie zéro ! C'est l-a seule équi'pe qui ait stmussi

cet expkit au cours de la saison qui s'achève.Bayonne contre qui le S. T. va s'alignex dansl'ultime bataille a vu ses buts vis par LrdesPepignan et Grenoble. Seule, l'éqtspc rouge estVierge.

Honneur à aile t

**Les avants toutouaaifl ont mis dans leur par-

io d'hier autant dc coeur que dc muscle. IlsD'cnt tité inférieurs dans aucnn département dujeu. On craignait que les Breots les inevassent

la baguette. Oi, aucun des packs n'a pu mâ-ter l'autre. A la vérité, cependant, vers la fin_les ntrss ont été vidds. Sans doute ils oret descLrconstances atténuantes. Mais e-n-fin il hut leecnstater : les Binerots les ont s eus s par leeou*fle. Et c'était mâme assez pénible que cetteléfaillance aussi mantfeste étalée tout au long

terrain. Il faut veiller à ce que enta ne sereproduise pas la prochaine fois, parce que lesl3ayonnais qui sont p1ue viles que les Biarrotsarriveront au but que les Biarrots hier frôlèrentbois foLs. On n'a pas trop dribblé. Le terrainpourtant était favorable. Les touches nont étéutilisées par personne, Les mêlées ont été sou-entes fois irrégulières. Derrière la mêlée activité

égale et même coup d'oeil pour l'amorçage deLonnes attaques. Le tandem barmt est de classe,

t il n'a pas été éclipsé par le tandem toulou-sain qui pourtant fut lui-rnâme.

E-n [roi-quarts, les jau.rrea marquèrent la upé-tiOri-t qu'on attendait d'eux. Ils asarnient marquédavantage sls avaient été plus fréquemnxrntcervis. E s'ils le furent rarement, c'est que lesorwards barots s'aequittèrent fort bien de laisson de garder ie ballon CntïC avants.Les trois-quarts basques du reste ne sont pas

'des pieds bots. Vers la lin Is prirent une l.srgeast au dklanchernent et l'ea&utjon du feu

d'artifice. et se mcnis,seu{ aisoits autant quesolu. M ils manquent 4e vitesse., Les deux

xrrières furent bon5. Chiin fit des bêtisas et lesracheta. II ne tro,na pas tçuurs l'a totxh parcuci de la fare lopgue. St-r -l'-bosrae ii u ma-iIesté peu de goût p0ur}e paq-urge aux jam-

'ts. Mais il u ic senti,nent de lu p'Lce.Au teai, les Hiatrets ont dû s'i-nrlinor de-,

La Vi Sportive

meilleur qu'eux. Meilleur dans sa conipréhen-Siori du jeu, meilleur dans l'exécution de sesattaques le S. T. méritait sa victoire. Et Biarritzméritait de jouer cette demi-finale. Nous na-vons pas vu le Racing, mais de toutes les autreséquites admises à se mesurer avec le S. T:,Biarriti est celle qui s'est le mieux tenu, surtoutcrll qui s'est montrée la plus dangereuse.

C'est assez dire que pour avoir été -battuepar un ur-nibre de points plus considérable quel'A. S. B. on l'A. S. C., le B. O. est dignedu titre de champion de la Côte Basque qu'ildécrochait en décembre en battant l'AvironBayonnais.

-

Le S. T. désormais finaliste. peut nourri-r Fes-poi-r de ramener à TouIoue le bouclier de Bren-nus. Nous ne voyons g-as la possibilité pour ceteam au ocm,p-let d'être battu, si les avants sen-traînent avec assez de sagesse et (le méthodepour éviter la défaillance des vingt dernièresminutes. -

FEDOR.

Les équipes étsient composées comme suitStade Toulousain. Arrière : ; trois

quarts : Jauréguy, Bordes, Nouga-1, Dournac;demis Struxia-'no, Galau; avants : Larrieu, Pré--vo.sL, Vigno-ti-es. Lubin, Pucch, Serres, Pens,Maury.

Biarritz-Olpmpkgue. -.-- Arrière Guichemerre:trois-quarts : Bringeon, Vignes, Bapsères, Lis-saide; demis : Riqueirne, Fauthoux ; avantsflou-bée, Vignes, Agogué, Adam, B-l-a-nleuil, Laus-est, Henr-ique, Castel.

A I3EZIERS

Associntion Sporiirie Rierroiso bai  . S. Carccss-sonnrrise par 1 1 points -ô 3

De bonne heure le terrain de Sauclières pré-sente l'aiii-nr-aiioi des grands jours, car la Yen-coutre ente-e tes deux tesens promet dtre chau-darne-ni disputée.

Carcassonne pénètre sur ic terrain très applan-di, suivi des Biterrol..

Sélsédio joue avec uir gefloux fortenient en-veloppé, car i-1 boîte.

Brutus siffle le coup d'envoi. Béziers envahitausjtêt le camp de son ad-versare et domjnedans toutes les phase-s du jeu.

D'une touche sur les buts carcassonnais, lesavants biterrois s'emparent du ballon et ouvrentsur leurs trois-quarts. Rozier, dernier porteur,marque un bel essai qui est transformé (Béziers,5 points).

A la remise en jeu, l'équipe btarroise continueà dominer sa rivale et un deuxième essai vientcouronner se-s efforts, niais il est i-fusé par l'ar-bitre; il y a eu en avant. Dommage, l'essai étaitde befle facture.

L-a mi-temps arrive sur ce scee et les ré-flexions sont leur train. Careassj comblera-t-il le handicap ? C'est ce que l'est se demandeclans le public.

Notons que dans cette mi-temps, l'équipe au-doise ne fut jamais dangereuse.

Béziers remet en jeu. Le début cinme-nce paru-ne attaque fugr,rante des Carcassonnais, ma-i.sc'est un feu de pal-lie; peu après, la par-tic sepoursuit terne de part et d'autre. Toutefois, d'u-ne touche Codon se démarque suivi par Lepatayqui marque un essai. La tras'formaton et man-quée de peu le ballon touctsnt la barre. Bd-ziers, 8 pOints.

A la remise en je-u, Cardas-canne envahit les22 adverses et la ligne des trois-quarts paivientà tromper la défense biterroise et marque un belessai non transformé. Carcasor,ne, 3 points.

L jeu se poursuit, ardent, aniné de part et'l'eu-tre. occasionnant de flOm,breL%X cafouriéages;sur l'un d'eux, les Biterrois se déploient en ai-taqua et Ciauzel marque ,n essai non tln-fonné. Béziets, 1 1 points.

Brius reffle peu après la fin de cette patieaux 50 mètres. -

En résusné, Ta meilleure éqoipe sur le terraina gagné. La foule sportive acclame tous lesjoueurs sans exception.

A BAYONEL'A vii-on bol Grenoble par I I ô 3

Temps aplen&de, ' fouie des grands jours.A 2 h. , Grenoble f'it son entrée et perte une

gerbe au monusnent sux moYts,-

Coup d'envoi à Grenoble, mêlée au centre,coup franc à Bayonne, en avant de Grenoble, jeuepr&mcment rapide. Iayonne joue chez l'ad-

%, 0s,

-,-.--- ;-s--5.è,5:'é-:'- -s

JAUIGUY

vIcaire, Arrêt merveilleuz d'Etchegaray. série demêées et de coups haires sans résultat.

Grenoble domint. en mêlée ; sur touche Lau.rentreçoit et marque Aridré Béhoteguy manque latransformation

Per, apré', Lament manque la réception et.aprés passes, Grenoble marque un caret qui n'estpas transformé.

Bayosme remonte, -joue chez l'adversaire et àdeux reprises Etchepare et A. Behotéguy frisentl'essai. Après mêlée euverte, Etchepare ouvresur les trois-quarts; A. Béhoteguy trouve le trouet marque ; Lancent transforme. La mi-temps estsifflée dans les 30 mètres do Grenoble,

A la reprise attaque des avants bayonnais.Serate trouve de jolies touches; séries de pas-ses des trois-quarts bayonnais. Arnaudi-n va nnsr-quer entre les poleauz. L'essai n'est pas trans-formé. Le jeu rCste toujours ouvert avec une su-périorité de Bayonne, dont les passes sont ra-pides et pr&ises, mais n'aboutissent pas, car ladéÇens d Grenoble est sévère. Lafont est plaquéde just .r se, et, sur coup de pie-d de Bé,hoteguy.Grenoble remonte jusqu'aux 22 bayonnais.

L5 défense de Bayomsc est mauvaise. Billac estobligé de toucher dans ses buts.

Grenoble domine, Etchea.ray, touché, sort duter,ain E?.ohepsrc passa arrière.

Peu de temnp après la lin est sifuée sgr cescore : Bayonne, Il; Grenoble, 3.

Mauvaise partie de i'Avi-ton.Impressmon (le Fensand Forguc-s sur les s;ens

ii-s ne se se-nt rien cassé. Cuichem.erre, par con-tir,, e c'uu}.stsce ais l'AViron,

U5U' la victoire

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:4 Pp!cNAN - ,

L'U. 5. Pcrpigm11aisc bl Lou,des par 6 l 3

Lourdes flt en jeu et, d'e-ntlée, les Catalanss'installant en terrain lourdais, qui se degagepar un COUP fraise. Pascot réussit de jolies ou-vertures, mais Lourdes bloque parfaitement ettr*uve une touche en coin catalan. Vegès dé-gage ; mie belle échappée de Sica,d est arrêtespar Duffou'ric. Les du éqtdpes font jeu égal.les attaques et contre-attaques se succèdent sansarrêt; le Jeu est splendide,

D'une touche, Vacqué ouvre sur Got qui fonceet marque l'essai qui n'est PJS transformé.

Peu après Vacqué ouvre à nouveau sur Sicart,qui s5rt Salinié, lequel marque entre les poteaux.L5 but facile est râlé.

La m-tem-ps est sifflée. Perpigrtan, 6 points;Lourdes : O.

A la reprise, Lourdes devient menaçant et en-v-ahit le camp catalan où il obtient plusieurscoups ' francs. Sur l'un dp.ux, Ricane fait lebu-t. ourdes, 3 points; Perpgna-n, 6 points.

Perpignan réagit violemment et eporte le jeuen terrain lourdais où las fin est sfRée.

Matches 'aieau-LEZIGNAN CONTRE BRJVE

- - Lézignan, 2 avril, Le F'. C. Lézignanais batF. C. Briviste, p Il points (t but sur çoupfranc, 2 essais, 1 ut) à zéro.

La première mi-temps fut à l'avantage des Bri-vistes qui moirèrent depuis le début, un tssind'en-fer. Boyer réussit un bu-t sur coup franc enmauvaise position. A la reprise. les bleu et blancimposent leu-r je-a. surtout dans l touches, quifurent toujours à leur avantage.

Chez les visiteurs, émergèrent : Constant etRoche, qui firent de très b-elles choses. Ce quinzequi ion un peu trop le 1oxs-jeu, plaque bien etjoue une défensive très serrée.

Les Lézignenais, quoique amputés des servicesd Mairie, Moins et Ce-biset firent du très beaujeu. Tout le quinze est à féliciter; toutefois. àl'ouverture, Eouabci1'!e émergea des trente etnon-s aurions bien aimé le voir dans l'équipede sélection militaire.

M. Moins arbitra cette partie avse compétenceet très impartialement. , - -

A MONTAUBAN. En finale du chmnpion-flat des Pyrénées, - 3e série, Frarice-Sport batCompound Cadurcien pas 3 O.

A BRIVE. Le T. O. E. C. bat le Limousinpar 3 è O (Coupe Rérolle). -

A MOISS'\C. - L'Avettir Moissagais (I) batl'Aviron Cadurcien (I) par 9 points (3 essais,dont un de pénalisation) à 3 points (1 essai).

A GRENADE. Grenade-Olympique bat laSporti-v Arnélienne par 7 points (1 drop, I es-sai) l z4ro. En quart de finale du charrspionaatde Franc (4e série).

A DECAZEVILLE. partie amicale, lesMontagnards d'Aurillac ont battu une équipemixte du Sportiny-Club Docazevillois, composéede joueurs de 2e et 3e série, p-se 6 p-oints (2 es-sais) à O. -

La dernière emjaxubée-

UN MA TCJ-i FR4NCO-1NGLAISP-aria, 2 avril. Les deux grandes écoles con-

sacrées, cri Angisterse et go France, à la forma-Lion des oflicierri d'artil-!eeie, la Royal MilitaryAcadémny (le Woolwi-ch et l'EccJe Polytechnique se mesureront aujourd'hui en un tournoipacifique., Le'oss équipes de footbdll rugby etassociation seras-t, cn effet, en présence pour unmatch qui est, d-a reste, annuel.

Bien que nos polytechniciens soient maintenantdevenus d-es pestiquants fort estidus des exerccessportifs, i-1 est nasez douteux qu'ils parviennentà remporte-r la palme sur leurs ri-vaux d'outre-Manche. Ceu.'d ont pour eux une éducationbeaucoup plus poussée sous ce rapport.

Pourtant, si l'on prévoit une victoire assez fa-dIe de l'Ecoie b,r-Lannique de-os le match de bal-lon rond, il el probable que la résistance desnues dans'le.eport du ballon ovale erré i-ua re-doutable. et il ne serait niéme pas impossibleque la victoire leur revint de ce côté.

Cette re-ncorre au-ra lieu au Stade Bergeyre;il est math-e de dise u'etle se d-écoulera devantdes sommités militaires françaises et britanniques.

L iaroc jranças

LE 41%LJE iE FAIT PEU A PEU-

DANS LE T,%FiLALETBoutiriib, 2 avril. - L'cffervetenc-e dans

1f' Talllal4t paraît t.mLi'c tiali'uée. Les rassem-bl.erentS on disé-o-us sauf GueHfat, oùj y a encore une sctxantaine tlu partisait

e Belgaceni.

Eib1ioraphies EUX. . . », deuxième série. -_ Vingt têtes de

Bib, culottées par Henri Bérand, -

s Eux s, l'album de -portraits où Bib et HenriBéraud s'excr'rèrent avec tan-t de &6!eris auxdépens de notaires contemporains, a obtenu unsuccès éclatant. 200.000 exemplajr vendus enfont la preuve.

Les éditions du Merle Blanc publient une nou-velle série de s Eux,.. s, comprenant, entre au-tres caricatures coflhinenlées. celles de R. Foin-caré, Gustave Téry. L. Guilt;y, Yvette Guilbert.Henri Duveratois, Pari-1 Reboux, Erfouard Heiriot,Mayol, B-,rrthou, Cousieline. Ceo'ges Ca'pentier.Les spieitrrel traits de crayon et les impitoyablestrait d'eap:":t des deux collaborateurs rendent cenouveau jeu de massacre aussi divertissant quele preanier.

Voilà une oeuvre d'art d'une qualité n.agitsak.Cet album de 20 pages, 5us couverture endeux conteurs, présenté om,,, est en ventechez toua les Ii'braisss, au p; d'

Toi,. les joursE:ri Q'uatrièjne pa;ç:

NT Pr1E EU

CECI EST UNE IIISTOIRE AMF.RICAJNECeci n'est pas le titre d'un i'oman m'a-

cabre, pouvant marcher de pair avec les(t Nuits du Pére-Lachaise », de Léon Goz-lan, ou rivalisant avec la e Femmes auxyeux verts de la Mqrue ». « du -lugu-bru » commandeur Lcio Lespès »,

C'est une histoire américaine et joyeuse,malgré la place qu'y tient un corbillard.

Une jeune personne au Kansas, dc qui lafamille est fort riche, aimait un -médecinde mntirite, mais dépourvu dc fortune. C'estpourquoi les barbares parents de la demoi-selle en question ne vouIicnt n'en enten-dre d'un pareil mariage.

Désolation des ainoui'eux et farouche ré-solution dc la jeune fille de ' convoler en(lépit de tout. Seulement, comme on la sa-vait capable (le filer un beau matin, ou 1mvilain soir, elle était soumise â une sur-veillance. étroite, dans la superbe villa deses parents, non loin de Topeka. - -

Dés qu'une auto se montrait, on ouvraitl'oeil. La moindre voitu:re était suspecte.Pourtant on ne prit point garde au brefstatioflnement d'un sombre corbillard - oc-casiontié par la chute du fouet du cocher.- Or, quand il se remit en chetnin, Je'sUs-.lit corbillard emmenait la jeune personne.Celle-ci peu superstitieuse (le sa nature,avait aecept* k statagèn proposé par1'Esculape amoureux qui, en raison de saprofession, entretenait de cordiales rela-ti9ns avec ' une entreprise de po_inpes tu-nebres. - -

X

LE JEU DE DOMINO FAIT DES RAVAGESEN CHINE

Jc correspondant du )' Daily Mail sPékin écrit : -

e Une véritable épidémie sévit actuelle-nient en Chine, celle du jeu de dominos,où des sonmmes conidérabks'sont engagéesC'est ainsi qn'ù Changaï un caissier o dé-i'Ol)é Li son patron 25.000 livres sterlingqu'il a perdue eu deux heures. Dans d'au-tres villes, des joueurs enragés n'hésitentpas commettre (les abus de confiancepour satisfaire leur passion. La police oli,hn sera tiré de l'histoire de Polichinelle.

-

X-

DES PARALYTIQUES SUGGESTIONNES. SE METTENT A COURIR

Répondant ù l'invitation clos membres dunouvel institut d'auto-suggestion, qui a rè-ceininent ouvert des bureaux dans Gi'osve'nor Gardcu, M. Coué, dont les doctrinespsycho-thérapeutiques ont soitievé un grandintérêt à Londres, a tetut ses premières cou-

t stillations jcttdi après-midi.Que:kitics paralytiques, entre - autres un

honistie dont les jambes sont partiellexnentatrophiées. arrivés en anioniobile, insistè-t'ent pour grtvir sans aucune aide les mal'-

) ches de l'institut.S Q vit une. scène Vl'flin)eflt impression-

fltIDIO. Uno dame, dont l'une des jambesj éllail paraiysée ht de tel. effort pourj monter les marches, qu'elle faillit perdre

connaissance à plusieurs reprises. Mais-r phénomène curieux s'est produit, lors-

(IUC M. Cotié vint au devant dc la malade.11 ne la toucha même pas, il ne lit quelpncourager de la voix en lui disant

,- Je suis sûr que vous pouvez mai'-cher, -

Alors rassemblant toutes ses forces, etPat' ml effort (le volonté qui démontrait une

Ii r'se ds P. L I.tiI s rrtoi 4O [r

UNE PROCEDUJIE EST ENGAGER POUREN FAIRE L-A «REMISE GRACIEUSE»

Le ô jui1le- '192-1, Mile Guerlin de Quer.rec-cveusn des- postes à \Vattrclo's, payait;in son bure-au, un mandat-poste de 'sI.00Ofrancs. L'amlini-uiétratjon s'aperçut -bientôt(lu-o CG mandat avait été falsifié. Une en-

qute ét-al)lit que la recevons-e Ivait payéiisr présentation de fausses pièces d'i'den-tité.

tic -déficit ainsi con-s-taté, le ministre desfinanges luit MUa -'Guerlin d-e Guet' en débetii la dato du It avril 192-l. Elle fut donc iii-

\-it(SC à rembourser au Trésor la somme-indûment payée -par elle. C'est uns lourdedctto pour une aussi humble foncti-onuaire.Les milieux postaux ne pouvaient inanquer -dc s'en émouvoir. U-ne souscription tut

ou.-

verto il y a quelques mois afin d'aider lareec\rusc de Wati'eios à se libérer vis-ii-vis du Trésor. Près de 16.000 francs tu.-

sent ainsi recueillis. Mais, hélas! il y a plusde 25.000 francs encore fi trouver. l'tflieCuerlin de Guer effectue des vertatinentémensuels de2ot) fraC-es depuis le mois d'oc-tobie dernier. t -

Aujourd'hui, les aides et les facteuis duiurcau de Wat-trelos adressent un nouvelappel à la générosité do leurs collègues.

Nuits avons demandé, rua de G-rouelle, ceque l'administration des P. T. ',1. pouvaitfitre dans un cas aussi intéressant.-

Ne croyez pas, nousa-t-on répondu,(lue CC soit Ut un fait absoluniont isolé.,ouveiit des erreurs de cette nature se pro-duisent. En l'espèce, voici dss détails : unmrmanadt de 1.000 frang avec été émis; lafut falsifié et porté à 4-1.000 frane-. La re-ccv'ttuse paya sans remarquer la gressièrasurcharge dont iI avait été lmobjet, mais,.turt-out, sans attendre l'arrivée de l'avisd'émission, C'est là une faute -de service in-

dtiniaj)le,- -

Cette - erreur 'profesjonne)le tmotiva la,taIse Cfl débet tic Mile Guer]i-n du Guer

Une demande en déehar'se de responsahi-lltd fut transmise par admi-niostration,IPais lés Finances la rejeUtrent le 4 janvier

Alors, -le :15 mars dernier, une demandeen r-mise gracieuse fut transmise au mi-nistère des P. 'r. T., avec avis favorable,,pumque, entre temps, une partie de la"anime avait té remboursée au Trésor.(eLLu demande -n'a pas encore-eu de 8u1t0,

.----.-T:

jt Traers es Rues et ksYeiIIars trop amoureux. La Ccnvero

ChariotParaIytîqus ingambes. Un marîage en

s

foi aveugle dans tous les pouvoj8 dtosuggestioim, la daine - réussitle cabinet du psychologueliancéenM. Couè tint une consisitation ccfl -ii laquelle assistaient trente Inalad5 ern.

pris une comtesse anglaise bienUn monsieur qui était présentprenlière .séanie a déClaréqu'e110des m'ésu1ats satisfaisants, ii °i-iaautres exemples frappants I'Rflq1de la pensée sur Je corps, celui d'

hotme dont les deux jambespresc0-paralysées et qui se mit à courirde la pièce lorsque M. l'en Pria

XCHARL1E ÇHAPLIN NE SERA PLUS.. s CHARLOT))Il renonce au type qu'il a créé e veutpratiquer uts art plus élevéLes admirateurs de Charlie hpgront péut-étre niivrés. Charlot

lot du < Gosse )) et de «chée », le Charlot aux pantalons -tirebupchonjiés, aux - souliers éculés et b&chapeausi drôlqmen posé sur sa ttpue, le Charlot tr'adshonnelplus sur I'ecrasi. A sa place nons

M. Chaplin au naturel, un ac'teurcontaittous les acteurs.

Chat'lo.t vient de décider, en eRet, re-noncet' à ce (ltt'il appelle la s basse eo-die s . lJ, n tic puis hautes nui-bitions,iiveut faire t-ire en dehors de ' ttmut rtrig,- Ii 'veut mênie faire pleui'ér. Son prolÇj.filin sera tiré de l'histoire tic

t'animent -

XUN SATYRE DE QUA'fRE.VIN'TS

ANSLe parquet de Bi'uxeltes ilistruit en et

moment - une ddicattt all'aire de mar-,A la suite de ceriaiues dénotmciatjoims ii

a fait arrêter un yicillmu'd de (fUsitre-siitans, habitant Sch.aerbeek, et qui, tual5teson grand ige, se porte encore très aIign-tuent. - ,

l attrait attiré chez lui des petlte fuisfi'éqentant une école libée, située dan.s sonquartier et (F'aulres fillettes lmabitasm iutt.sdUs taudis, oà il se rendait sous couleurde faire i-a charité. 'Toutes ces enfants ai-raient été odieusement maltraitées.

Jus(111'icj sept enfants, ibtgées de dinJusm'ïci sept enfauls âgées de dix

lion du juge des enfants.Les déclarations qu'elles ont fjtgs oui

amené l'ari'estation -d'un second iflC11Pf,ôgé dc 45 ans, qui ne conumaisait pspremier, niais qui attrait etti'aîTté cert-afoes(les nièmes gamines.

L'instruction. se 1)ou-mf;ui.t dans le »lLitgrand secret et avec h plus gr-:utde diii-gence, car le f)arqueu croit se- trouver enprésence d'une affairc qui l)Onu'I'ait l)l'etuiiu'ede grandes Pt'Ol)O)'tiOfls,

X -

DES BOMBES QUI SERVENT- -

AU FOOTBALL

Londres. - Après avoir évacue k' postide Letterkenny, dans le comté de Doeciielen Irlonde, les agents ont jeié 1)ltmShUiSbombes dans la riyière. Quatre garçoumnets.lie SC doutant pas du danget' qu'ils couraienttes repêchèrent et se mirent è jouer aUfootball avec les engins. ' '

Aucun accident ne se produisit pc1anIJette partie (le football, muais deux tICSenfants emportèrent une bombe cher. etiXqui explosa, tuant Fun et blessant l'aUtre griôvement.

par-ce que la prC4iédt}re est- longue (t fli-

cssite undécret 1)t'it CII Conseil .1'Elitt.Comme nous insistions pour savoir ,si Ufit

fl)esUre de clémence ne -pouvait d1r(t.lH

I n-ment intervenir, notre lnt-ei'ICOUICUJ' &L. (lit négativement.

- -

Il ajout-a : -

e N'oubliez pas qu'il s'agit là dec LLUttbijC:s. j raut bien les tféuitadre 50e

tles eri'eulm, qui tout tIc morne, S) llmultipliaient, Is coimpromnettraient st'1t-lièitern-ent,. Lies Finaii.ees ne suppOrt1t

(lu'assCz p-e-u l'action tin sentément toUte D'aiil'eurs en c-e qui concerne leS

.pou -erreurs, il eriiste au budget UJi credit

destiné le exGnérr, en partie, les agentScnt payé des s-cnmies indétinent, mati doc-

là responsabilitén'est.

pas iecCOflflUC tot-

lementengagée. -

Puisse la malheureuse receveuse -dtrelos en profiter!- .

La grande rve mhJiaméricai

New-York, 2 avril. - La grève des ''''dont La psemière journée o VU 6000° h'°'abandsmnner le t,'avgit. est consdéTee dans

monde industriel américain, ceflUflSdes

luttas les PlUS importantes que l'en 5( VUS

dernieres année,.Parmi les grévisteè, il faut comPter

ouvriers n'appartenant pas à lUnion de

I;e nrn-bre des mines où le h0»ge cal COSS1P

Seleve à ,.00O. On estime qCe les pertes

hures résultant de la grève eOnt :

laproduction du tharbon bituafliflextonnes; aIaï-rcs, .00O.00O de tofIars défiC't2., extraction de l'anthracite 3000 tcnnrs

res, 200.000 dollars.La seule mine qui ne xend P pari

flu est eltais le Kentucky. Le contrat P5Qfles ouvrers n'expilaflt que l'an P0'' 0rthommes : tesvnllest. Le fait que le-s

reconrsnndé aux machinistes Je nener le pon-spes et d'entreter,ir Les mneS

bonnes condition' semble jdiquer ,.liOn marquée d'éviter tout désordre et

tage, mai,, bien ve le uvsetsemen de

maintenant. se tienne en dehors duj° pren'mesures de protection sct pnsSS. ,

pas a été fait dans e sen5. Hser, 5nnené

d'Etat au travail. M. LbOr s, ,fl effet',,,,,qu'aucune augmentetiofl. de prmx du C

serait ps tolérée. d-'Le secrétaire d'Eu' au t555 Ø55t

tout le tort de la grive sur tes ,

bonstagas qui, dit-d, onsieurs te45XS* de OØJ '

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: de l'internationale Apropos de PUR, laguérisseuseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B... · quatre joues; les trois autresne le snnt pas eneoes. Nos experts ont établi en

çI I pr[tt PP11 S9 SCtJfS

;s itS IO

En vue c piovoqUer une reprise dtt. archandises su e rseau du. Sud-uaiic:m . Ille Prefet de la riaute-Gaïonne,uues, . .cntier accord avec ses cdllegues d

ijègeet du Gers, se propose de nit-tre ltu la cratiOfl de taxifs spéciaux

essifs avec la distance et avec ic ton-nage traflPerte, a.pp1icable au trans-ort de certai1es catégories de in.archan

dises (fourrages, cjn, paille, céraLes,aflim vivants, vins, bois houille, mate-iaU% de construction OU d empierrement,cimeflt, chaux, platre, tuiles, briques, en-graiS aIlages vides en ietou, etc...

PGur se rendre compte des beoins dupublics et les Cofliparer, le cas écheant,aUi 035ibihts de la Compagnie, il prie!iM. les Négociants, lnaustriels, Agri-culteurs , courtiers , E.ntrepr eneurs detraflSP,1.t5, etc, . . ; clients acuels ou an-ciens de la Compagnie, de vouloir bienlui fair2 COflfl J tr, pTr ifle note écriteaUssi comiète quç posble, les désirsqu'ils peuvent avoir à exprimer cet

Chique note devra indiquer, avec tou-te là précisiOn nécessaire :

La nature et le tonnage probable d.e lamarchandise à transporter; les gares CXpéditrices et xéceptrices ; les conditionsêpécialeS d expéciition ou dc liviaison ire-mise sur wagon en gare, bâchage. etc...)le tarif-limite que ler intéresséa désirentvoir pratiquer suivant que la marchandi-se rela transportée par Wagon completGU par train complet, et au-dessus duquel

sont cOfltraWts de renoncer s l'usagede la voie ferrée d'intért local.

Les enseignements dont il .sagit de-vront être envoyés dans le pius bief élaipossible, et art plus tard le 18 avril 1922,

M. lingénieur en chef du contrêle desvoies lerrées d'intérêt local du. départe-ment de la 1-Jaute-Garonne, 4, rue de Ilt!aceleine, Toulouse.' 1 adrninstration serâ reconna.isantea tous les intéressés du som avec lequelils vcudront bien établir leurs demandes,propositions ou suggestions.

Ils trouveront d'ailleurs, dans les bu-reaux du Service du Contr6ic, des fichesautogiaphsees qu il leur suffira de rem-plir.

Nos flortn \agon contenant 30 cercueils de iu-ver du - dpartemcnt " Morts pour I iiee s, arrivera, iar train spécjal, eu' çle TOU1OuS3-Lahnide le madi avrri

:.:rs1t, à 13 li. !L5.3 ceieue.ils sont destin( à la Ville de

ioclouso et 27 appartiennent aux corninu-ries dl-après sur 1escfielte.s ils ser.on diri-ts. pOur y être infuns :

tiet recevra 2 oercuefls le mercredi bcourant; Auragne, Bérat, Blagnac,

j, igoux, Boulcgne-sui'-Ge.see, Burgalays,,laS, (icloiniers, Fauga, Feiouillet Fou.

içs, Frouixis, Gagnac, (3ai'IIae-TouIza7(3t-Ll'Izaut, Lévignac-sur_.Save, Marlia.,

Pisis-Justaret, Pouhrramet, Salies-du-Salat. Saint-Çudens,\ionf el1'lruia I e; CU1I If' illeit rCdi 5

Courant.I Viliamatier recevra 2 cercueils et Fron-

.,cercueil, lii jeudi d avril courant.

Demain

Le Texte ocieI dLa oj s les 11YSvte Yal-tjr r s dile38fuee1ep

te Prociaj aa de a T. S. F.

.. , .'.

,

la suite des essais 'hic-r; le pro-'as concert de T.S.F, est fixé au mar-.I 4sale dec Jaco1ns s 21 heusesa5 I

possibles.

t10 brit tkS ELdtHÎHLS

IFo.rée

taruntemps exceptionnel.sJTanifestat. Organisées par'OJaflts ont obtenu hier un auccès me-n. Cerea, il fl'en faut point mesrer Je

1'ere a I ampleur, mais seulementexcellente

mise en oeuvre des moyenseStes dont ils disposaient.3i

est ainrjque la cavalcade retait.ées'eflC dernier par le mduvajs enTcs,

be Me devant un publicen' tres nombreux au point q '1 faitne;tr aux fêtes du couronne-Jaflte Pour trouver un paicilten.p de so cté s't.it mis

avcc une: Lrarljtjon qu dE5 1t avoirSuivie depuj5 q..inzc jours.1e le soleil d'avril rOlait aux prc-8'urs t réjaffajt

I'adTiÇi"p}..ére.uiil; Tgau.5, kâç 'jC5 chars se de-l 1ans Ui) ordre inpa tcut leRait Son parcor5 s'pirak, et la!anche et spirituelle qu'ilk de satsfa sesi'Jou °° rpecaterrsdéF;lé uleverms

Simernnnt dan3 k1frc cJ lar*'in et dc.sta1iuTlrr Cétidan uo. ce de

usé un scientifique véhicule : le camicaélectrique silencieux dc la rnaiso; La-porte et celui du ClubAlpin. 11 n en autpoint vouloir aux organisateurs s1s n eutpoint fait mieux, ce leur a été imposai-hie .

Le ciel demeura clément et ne rede.-vint terne que dans la nuit où la nh.ie seremit à tomber. C'était suffisant peurque la manifestation projetée eut lieu.Elle a. eu un plein succès, félicitons-enles promoteurs.

rJCoros. LA CORRIDA DU 9 AVRIL

A TOULOUSE.L'annonce dc cartel de la grau corrida

d'inauguration ce temporada où figurentAlcalareno et Nacional Il, ,avec Nacia-ne! III cCnirne sobresaliente, contre sixtaros dè Don Juan Pena Aico (antes AI-bairan) a été très favcrablement accueillidans les milieux taurins de la rg1on.

Les bi,chos que M. Akala est allé chai-air Iui-mme dans la genaderia de Radao.z seront débarqné au plus tard mardi

prochain dans les corrales de nos arêses,et les aficionadps sciant admis ù les visi-ter pendant les trcis jours qui précéde-rcnt la corrida.

En attendant on prccéde la toilettede la plaza des Arnidonn.iers, où le pu-plie trouvera le 9 avril à des prix bienaiminués et que nous publierons rrrrd,des places seririblenent plus spacieuses.

C'est par des actes que M. Alcala veutmontrer tQus son désir de donner en-tière satisftion à l'aficion.

Nous verrons s'il réuSsira à faire mxixque l'an passé.

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tOeiét(' Gymnastique e Le CoqrelicotCette soci&itd clèhrera sa tttO annueIl

ic iimanohe 9 avril prochain, en raie fêtede gymnastique, l'après-midi et une gr[dsoirée dansante i la Halle-aux-Grains bru-iamiuent décorde poui la circonstance.

'routes les seCtiofls do produiront en exerdues aussi intéressants que variés, qui f e-cent certainement la joie des yeux et destouts petits, puisqu'y sont invités les élO-vos des écoles munis de cartes, les orphe-linats, les pupilles tic la Nation, etc.

Le progranmie sera eorsd par fr013grands combats de boxe et un match exhi-btiou (dont les noms seront dormés ultO-rieurement) sous les auspices du Wonder-land Toulousain.

.

Et outre le projet do vouloir faire péné -cor le goût de la gymnastique auprès de

la jeunesse, il sera fait une quête au profitdes enfants russes, pendant toute la duréedes fêtes, par les fihlette de la Société, etnous rie doutOns js qu'elle sera frpctueu-se, ir en dehors de toute préoccupation,nous ne devons songer qu'àce enfants quipar milliers meurent de faim dans les plai-res do la Voiga, et iv ces mères dont le seinest tari faute -de nourriture. Cest pourquoinous vous erion bien fort : donnez, don-nez sans cumpter pour ces pauvres vieti-mes.

Placéos sous la présidC:flc.e d'honneur cireautrités civiles rt militaires, elles ne mait-'ueront pas d'attirer la foule des grandsjours, car audésir de vouloir encouragerune ooiété, s'ajoutera e1ui de faire uubeau geste do solidarité.

Trésorie de la IJauteGaroiineA partir du 3 avril, les services des peu.

Sions civiles et mi}itair.es, (le la Légiond'honneur et de la Médaille Militaire, se-ront tranférés rue de Mets, 32, dans lacoin..

VolUne eûquête et ouverte au même ar-

rondissement relative au vol d'une bicy-dette, commis au préjn(li\'i dU jeune Jo-SeI)h Brouard, figé de 18 aui.s, garçon bou-cher chez M. Gautier, boulevard rie Stras-bourg, 47 bis. .

On vole ufl cochonUne enquête est ouverte ,au 7c arrondis-

senient relative au vol d'un côc.hon propreà la consommation, conimis (biOs l'inté-rieur de l'abattoir, rut prkjudice de M.Soula, charcutier, une des Trois-Pi[iiers,numéro 11,

Chute graveAvant hier, vers il h. ilo, M. l'abbé Mi-

ciel Amie, égé de 42 ans, demeurant ruede l'Université, 9, est tombé accidentelle-ment dans la cave de la Banque Courtois,rue de Réniusat, (111i se trouviuit ouvertelour le dtichargement et mise en placedes coffre-forts. .

Rclev( aussitôt, il o ek' tranenorté à lapli:rmocie I)élieux par les ouvriers (1111

procédaient au déchargement des coffre-forts et ii son donuiciic ensuite. Trois doc-tenus apppIcs poui examiner le hiessé, ontconstaté une fracture de la clavicule gan-che.

Accident de la CirculationAvant hier. vers 17 heures, le.

Jany Julien, égi tic 19 aria, deuneurat ai-l,,es çlc (:naix, 2, garçon b.icher auirrvscc dc:M. Lahatut, passait allées Char-

-__z..les-d-Fj1t. coliuisnt ;-t uhevd ate1ê àISFI (i)li)fl (l:ul'.( tle viuitteur cOliiii5Sli.lt lie i)tlliC" it' Fuout(}n(Je lii roue rauehe lliIC1( s'c ljri;ui e buciieulation ules trnn1'waç a té inter rom-vue penulant UflI uIcliii.}'.ujli'C. '1out s'estborné ù (les dégats ruiateriels.

Le feuSamedi matin, Ve15 7 boni-es, un feu de

chenuinêe s'est dec1ae clatis tin sj)pat-mea occupé par la fanulle Lariiese, (Ions lamaison située uvC1Ue de la Patte-d'Oie. 43

II u élé rapiulcinent éteint par les poin-piers du l)OSIC (IC Stain-Cvprjen. Les (té-gèts sont iiigrui1innts.aa _____ -T_ 4 BANAGs - ORïiIOP5U5E

t .9.r, (j .Uei.

AgressionI-fier soir, lu II) hCL1IeS, place Esquirol, le

sieur Sohieville François, égé de 19 ans,maçon, rue ries Fontaines, 1t9, u été ogres-sé sans provocationde sa part par un grou-pe de jeunes gens habitant le quartierSaint-Cyprien parmi lesquels les susuiom-més « Tonton e, s Ficelle s Liautat »et deux militaires., dont l'uq, du ,02e chars(I 'assaut, prénounné Henri .

Ces individus ont frappé deux agents depolice inteivenus ait sujet de cette ogres-sion.

frourvailesRêlcwier : u l'Administration des (.)in-

siibus et Tramways, ti parapluies.Excrtation de mineurs à l débaucheM. le Coinmissaiie cle police du 5e ar-

rondissement i mis è fa disposition dcM. le !rocureur de la République le nom-rué Ricau(1 Jean-Marie, âgée dc 30 ans,peintre, demurant rue -Saint-Sylve, , oul'inculpation d'attentat aux bonnes moeurs,

Cet individu n été conduit hier soir ûla Permanence, sur plainte tic quelquesjeunes gens auxquels il avait exhibé desinnuges obscènes, les Iouirsuivant de sesassidiités, et essayant ensuite de les eu-traîner dCfls oertains cafés aux unoerspécioles.

Tribunu correclionaelAudi.n.c.e du 30 mars

Préejdoit : PI!. Crayol; ministère publicSi. Lespinasse; u,refiler : M. Grabère.

Infraction à la police des chemins defer. -. Le sieur s,Ti,onolIes Jean-Marie, 25alus, marchand forain fi Touloue, est ccii-daniné à 16 fian.rs d'cuneurde par défautpour avoirvoyagé en 2e classe du Lourdesti Adé, avec un billet d r 3e.

Coups et bles ures volontaires. -.- Lenommé Doumriiq ltayrnouid, rriauuoeuvrl,demeurant lu Toulouse, route dr Saint-Si-mou, quartier du Peoh, est condamné û Imois de prison, lu) père d4elaré civilenresitrosponsahir, pour avoir porté des coupset occasionné des hleesu.-ee sur lane deM. Calan.. et Albert. il avait dé,ji

danjné un:' iinière fois potu J uniT-motifs. -

Audiende clii 1er 1ivril'upcctulation ilIicitu. (.t nifi ILOIS t un

u t. niuiiucipul .-. L. sictus Ani sol Fi an-çois, boucher à Fronton, est coinlaniné Odeux aunendes de 5 francs chacune pour cedélit.

,Iinfraction aux lois e t rugleinents sur lessitipéliants. - Les. nommés Goussouf Einy,25 uns, sans prèfession, à Toulcususe, H-tel Cupoul et flarthe Louis, âgé dc 27 ana,sont condamnés, le prerieu' à 1 mois deprison avec s'n '-'s 1 . j, second u J moisOnt en murs. 1922 iuchit- on vendu et titi-usé (le l'opinai et de la cocaine contraire-tuent au décret (lu 14 septembre 1016.

infraction à la police de chemins defer. -.- Les nommeês Puysaurin Germaine.épouse Luquet 29 nus, 71 rue Gravelotte, nBordeaux et Puymaurin Marie, épuose Jany,34 ans, issême adresse sont cojidaninés A 16francs d'amende chacune se sont renduescoupable de celle infraction.

Abus de confiance. .- Le sieur Oyal Houri35 ans, employé de banque, à Saint-Jean-.de-l'Union, est condaniné à 8 mois de pri-.iOn avec sursis pour avoir détourné aupréjudice de MM. Dary et Léger une vuitu-f0 Clément-Bayard qui lui avait été remiseû la suite cliune vente à tcmpérani+rnt etc'avoir détourné de la maison ?Jalba, àParis,, un certain nombre dc caisses dciIjougice poile automobiles.

CouriPOLit' I'Eiiri'gie Xi'aiit,aj

:ri Ligue do l'Enseignunuent., pour altierà la rêsiuirrction do cette énergie £rançaise,dans les rangs de la. jeunesse, organiséune série d10 conférences qui piencira luiil.t 5 avril.

Parmi les sujets traitée ceux qui ont misIuiTk lumière la valeur des Chambres do Mé-t iers, doivent particulièrement retenir Pat-.tntion trèe intéressée du monde du travail

M. J. L. Lagarde, secrétaire général dol'Eeolo des Arts, délégué par M. Juppont,inspecteur départemental de l'enseigne.

'ment technique, le ter mars, traitait cettequestion, pleine d'importance éc onoiniqueet sociale, dans toutes ses généralités et sesaspects Igaux. Faisant état de documentssérieux, choisis et sélectionnés. il démon-Irait, de façon irréfutable, la nécessité 1m-périeuso de l'organisation du travail, psei'organisation, le contréle et les sanctionsde l'apprentissage dans des formules ino-écrites.

Mercredi dernier, clans le même milieu,un ingénieur complétait sa démonstrationf;.fl affirmant l'urgente nécessité d'uneChambre toulousaine des Arts et es Md-tie,rS. La Ligue de l'Enseignement doit êtreft.lioitee, à côté des iionféronoiers, d'avo;rfait étudier clairement cette question,pI'ine d'actualité. et d'avoir ainsi fixé auj' elleles réflexions de tous les travailleurs quiont la charge matérielle et morale de l'o-.j ientation professionnelle de leurs enfantsdes deux 80x05.

Il reste à exprimer ici le voeu cpi lesrésuItts oieut proehaiu, ut que d'unefranche collaboration de touts les éléments

1 inonde du Travail. naisse enfin la Gliambre Toulousaine des Arts et des itféGr.

F'aculté des Lettres .

Cours pub1ic3 de la semaine du 3 au.7 avril 1922 : .

Mardi avril, à 17 h. 15, M. Bémol, pré-fesseur, littérature latine. Sujet : l'FJdgirromaine, Prope.rce (conchision du coursh

Mercredi 5 avril, à 17 h. 15, au MuseunJardin Jes Plantea, archotegio préhistori-que. M. Bégouen. profNsour.

J.eijdi S yrjl, à 10 h. 30, M. Thouvere.Pédagçigi.c. Sujet : L'Evolution . de. la vie.

e! CoicursHouusv5 tics Lycées

1.l,_ ll1j\ ('S ériites de lex ai iauu 41cutlLi -f,u . . . itOU/:il5 des Lpées et Collègestif' ,j'Uii45 filles, co1uu1nonc.iouit 1( jeudi nia-tir 6 avril, h 7 h. 30. cai Lycée dci jeunetu i'oulous. ije Gatien-Ainoi.uicl.

Parli oialisc (S.FJ.Ø).COMMISSION AD1INISTRA TIVE

Runon mardi 4 'vril. 9 h. du soir au siègecafé Denjean, bou1ev.rd de Stïaiibourg, 7,

Le Seeriare : Paul VICTOR.

La Vie ouvrièreUNION DES SYNDICATS

Aux Camarades délégués et secrétairesdes Syndicats

Camarades,Nous vous adressons les presentes en

confôrmité des décisions prises au Cornu-té National Confédéral et à notre Uniondes Syndicals. Ces décisions sont relati-ves à la solidarité due par nos organisa-tions et nos camarades syndiqués au jour-nal « Le Peuple » et û nos camarades Rus-Ses décintès par la famine ainsi qu'à l'ai-de propagande à apporter à notre Jeunes-se Syndicaliste.

Pour . les RussesLa presse vous tient au courant du dra-

nie. Une sousecr.iption est ouverte au se-crétariat. Par décision de sa dernière as-semblée dit S courant, l'Union nous a mon-maté pour appartenir au Comité local dsecours (Nansen) après avoir approuvéson Conseil d'administration qui, le lundiprécédent 6 mars avait voté pour lés Bus-sés, une somme de cinq dents francs quise à ce Comité. Vous ne pouvez pas resterinsensibles à la situation (le millions d'hom-nies, de feimnes et d'enfants qui meurentdc fisinu ét de froid dans les plaiiies deRussie. Vous allez renouveler des secoursque rofls rives apportés et répondre à non-veau à des appels qui vous ont été faits.1)onnez aux souscriptions individuelles.Apportez votre secours à notre souscrip-lion ouverte au secrétariat de la Bourse(lu Travail, place Saint-Sernin et rue. Mer-ly, Nous attendons la souscription de vo-tre syndicat qui ne peut manquer de nousdonner pour pareilles misères, une acm-me en iupport m-cc son importance. Nousenverrons tors-s ces secours à la G.C.T. quiles transmettra à la F.S.I. Ainsterdans.

Apportez votre aide aux ufrères maihen-"eux de Russie t ! T .

Syndiqués, soyez sincères vis-à-vis deVous-anéines, en voul rappelant totijoursque le syndicalisme ne yaut que tqut autantqu'il est capable d'accomplir de grands et-forts continus de solidarité humaine.Les Secrétaires,

Syndicat des oueriera tailleurs 1'hahfts. - Au-jourd'hui lundi, à S h. 30 du soir, SouraS duTrnva0, assemblée générale des appi4ceurs, pain-pers, pompières, culoijères, gdetièree.sydisel non syadguéa.

Q mstons tiès inhl)Ortafltes.Présence indispensable.

tt'c vPubfica*iøns de Mariage

Du 27 saurs 1922J eau \/iguier, ouvrier mine à gaz, boulecard

Lascroseas, I? et Gdnrosa Carrera ouvrière enchaussures, Pont-des-Demoiselles.

Marin José, ouvrier d'usine, 1 Castelginesi etJoséphi.xue Lieutard, ouwière s'usine, rue de taPaix, 10.

Ceorges Garrtgal, typographe, i Narbonne etMarie Csuhet, s. p. , Port-Saint-Etienne.

Georges Subsot. propriétaire, i Paris et Jeanne\'erdalou, s. p., rue cia crp, 19.

Jo-an Blanc, voyageur de camanerce, rue Fey-reiires, 34 et Pauline Longe, repasseuse, placedes Pénitents-Blancs, 14.

Peu.1 Caubonne, sous-officier état-major, Ton-'buse et Noéli Marrot. s. p., Ganse (Ariège).

Germain Delmas , représentant de commerce,quai Saint-Pierre, 8 et Marie Fcsurnié, s. p. rued'Embarthe, 10.

Ceorges Davin, comptable a Toulouse et Su-marie Maury, lingère, l Dijon.

Gabriel Salaveut, entrepreneur de voitures delouage, CCte-Paée. 55 et Léa Dorleac. s. p.,avoue Camiile-Pujol. 28.

Gabril Greffai, propriétaire, è Pont-Ecrépinet Heuiriette Roques, s. p., Grande-Allée, 19.

Erren Foi»sac, employé de commerce, rueTournefeuille, 51 et Marie Rauohe, s. p., quai-tier Lafoerguctue.

Menus Bayai, chiffonnier, allée de Cegnaux12 et Rosahe Reche. s. p. , retx.

Georges Cataal, lieutenant, 18e B. C. ii pied.è Toulousa et Suzanne Picaisi, ii Nce.

Hernard Mauret, sjusteur. avenue de Rayonne,I I et Anne Burgan. piqueuse en chaussures, ave-nue de Lombez. 10.

Du 28 mars 1922laurice Sauvage. einpioyé coin .pagaie du Mi-

di. rue Mirabeau, 1 et Yvette Castex. employéela Préfecture. rue de la Bourse, 22.

André Depaule, agent de police. rue des Ré-cilets, 6 et Odette Laviusy, s. p. , rue Latérale-Ra5rnond-lV, 17.

AievarÀro Baudet. allée de Brienne. 1 1 etMerthe Cabat, tailleuse, faubourg Bonnefoy, 66.

Eugène Boré, ouvrier en chaussures, rue Si-Thomas'd'Aquin, 9 bis et Marceile Crouzat, ou-vuière en ohaussures, rua des emps-Elyrées, 25.

Jcseph Domec, négociant. rue Pargaminières,66 et Marthe Tréfeil, s. p. . è Tulle.

J ean Cani, ouvrier en cliaussures, è Larden-a.e et Jeanne Lannes, s. p., è Lardenne.

Chartes Vietiiedent, connnerçnnt, rue RempartSamnt-Etiermne, 28 et RanIme Dulse., dactyle, àFoL'c.

J san Ducla, ouvrier en chauussuues, rue des 36-Ponts. 38 et Augustine Audony. pape.tibre, ruedes Récollets, 16.

Français Arnoui,lh. coarpiable, à Lafourguetteet Françoise ocome, titlrnse, rue du Jardin-Royal, 16.

Naissances.

Du 27 mars 1922hénée Aguerre, aléa Cliaries-da-Fitte. 27. -

Margue.itc Dufcot. rue Harisae, 4. - CeorgetteTiaseyre. rue du Férétra, 5. - Paut Ventna. im-passe des Minime.3, I 1 . -. Renée Laporte, alléeSant-Agne. -. Raymond Gay. route de Re'm'el,13. - Rogem Moranne. route de Pais. - garteé-lemy Cuy, route d'Albi.

Du 28 mars 1922floger Lormand. place Esquird. 4. - Louis

Dupont. Cête-Pavée, 65 bis. .- Hemi Male, ruedu Poids-de-l'Huile, 12. .- Hanxiett& Male, ruedu Poida-de-I'Hu}ie, 12. - 5j Igounet. ruedes AbeIlles, Z. - Clieries Olir,, Gronde-Allée,

pompi Puai. i&-untep., 34. r. i'argemini5j-ça T. ii/4t5:r r;/a8u&35i ¶., s,.. -.

(;OtiliONEl; 4(»tl[jJltESl re de liérmss&i .

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t THEATitE DES VAR1ETES. - Ce aoL,J di, è 8 h. 30, soirée de gala offerte par in

tian au synrpath.que mattre de.. ballet M. Natta.Au programme Les Cloches de Cc#neiiIs aveck ba.iyuon Panna, de la Calté-Lyrique et te 2etrele du ballet de Ceppélia, de Léo DéISbm. De-main, mardi, gela .Me.tsager, Ire représeuiatofldu chat-d' sure d'opérette fxanaïse Vésotuiqu,avec l'exquise divette Mite Berthe Plairtstle. des.théatrea de Paris Mine Hélène Gérard ; MenaGilles-Rainabault; MM. Louis Den-say. Pagxmui.te,H. Lefèvre et Michail. Au 2e acte ba&t Natta.

THEATRE DES NOUVEAUTES. - Ce soir,erflière représentation des Mas-Aurdara, k pe-

pu!aires transformistes dans leur sketch h!»santA la gors ! A ta gare t Adic-ux dc toute ILS trou-PC de music-hall. Que les ret -- rdataires sa htnt.

GAUMONT-PALACE. .- Ce soir, i S h 45i Nazirsuova dans Lis Danseuse Etoiie, grando en-média dramatique en 6 parties; Pariscttcr, 3eéisode : s L'Affaire de Neully .

AMERlCAN-COSNlOGtAPH. - C soir, àS h. 45 : Un ces de conscience; La M.Cnrèmeà Paris.

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20, Place dut Capilole, 20Téléphone 8-75.

lIe4i84el '. :: -. ' - i-: -

ll.AUTE-GAF.ONNECOMIIIISSION DEPARTEMEN'f%Lt

Dans sa céatuce du 3f) mars l0i2, la C*nn-mission dtpaitciliCnla1 n [:u't les uiéris'im.unsuivaut0S : . tElle n alloué cite subventions au, co-uul-

Tnunes.ei_aprè.S, pour remise en état do -t-la'juté du lCUi chemin-. Sp inaut ordin'i'-

res : J'ortet, Avignonet, Saint-Clax', Maura.tMontelar, Pinsaguel, Lautignac, 1sgUes,SPotiès, Lahastide Cleimoul:, Saint-Aventiti,Nènigan, Lespugne, Gardeilhac, Sarremu -San, Juzet do LucheR, Muret et Saint_4at-tiens; liqul dé la pension de retraite èMme veuye. Sensehy; approuvé les ave-iiants à la police d'assurance contre les accident.s (iau.sés par des rouleaux coruiprue-seurs; la vente d'un arbre de la route dé-partementalt 3. l'élargistement et le ce-clressement du chemin vicinal ii. .43, d-rDrudas; l'abatage de six platanes déen-dant de-s plantations de la route DéparU.-:nwntalo n. 29; la police passée pour nasti-roc contre lineeuidie un bttimeiit déiai'to-mental; le règlement amiable intervenu envue do réparer les dégradations coinrel-ues au chenun vicinal n. 3, de Lhago; lasoumission Pinos pour fourniture et trans-port des matériaux cl'empierrenicint 4es

routes et chcimiue vicinaux; attribué niafraction de bourse à l'école d'agricultured'Ondes à l'élève Bélaval; avancé à la coin-inune ckr Pibrac. une soréme de 300 francsoorir venir en aide aux agriculteurs mdi-gents victimes du cyclone du 30 juilu 1021;admis un vieillard au bénéfle do l'ui8siStance à domicile et réduil; une alloaatioutmensuelle par application de 15 loi du iijuillet 1005; autorrsé Fouveriui'o de créditspeut' acquisition ipar t'sm1ministrat-ion uieiasilo d'aliénés, de deux vaches et d'unemaie-pompe; homo1ogu las pensions deretraite concédées à des égents de cet éta-hiissement; aeoordui des subventions poutravaux d'édilité aux nonununes ci-aprèsFouisseret, Nir,e.mont, Esténos, Vateustine,.Arnaud-GuiIhCm, Salut-Pierre do Lagos. -Saint-Jtulia; appuyé d'un avis favorable ladélibération du Conseil municipal de Ton-IOUSO <ieuiiandant des modifications aux ta-nt's et au i'ègIiiioflt de de l'octroi et enlia,..modifié l'horaire des lignes d'autobus e-servant le vendredi Nailloux, ii1eIrcinCMont,gt&rd, Coramon . -

-:-. - . - - ---,- .............--: -

t

_14. Le'Ee Pa-dy. guanier des Sep.tan.- .André rue des OEéèvres, 28.

DécèsDu 27 mars 1922

T\iarie So. 32 arts. ru,' du Ta-,ir, 34. - McheiDiaux. SI ans, rue SaintMartjn-du.j, -Georgas Lagourguee, 27 acs, rue Pargarnsi u; es,.i4. _ Marie Andiieu. épouse Rivière, 00 -és,ruse des Amidonniers, 2. - Jeaisac Batares&1e,dpouscflorgcs. 50 an'. plae du Capiote, 211. -Amine 0i5;al. veuve jcob. 67 ans, rai- de la5épuhiique. 27. - Austoirue Gracia, 48 ae, rueTraversière-Saint-Aubin 9. - Alexandrine Faur.4 ans, allée du Cimetière, 25. - FJ Cozam-pourre, 43ans, rue des No'aidt, 38. - itosalieBoursesuaisou-, épouse Séguy. 65 ans, rue Perchepinte, 3. - Joséphine Granicu-, cipoeso62 ana, rue Saint-Josepl-i, 43. __ Raymand Lé-zer. 3 ana. ' Lafourguette.

Du 28 rn 1922Marie Legendre, épouse Mazel, 54 -an5. I.e des

Blanches-s. - Eugénie Péli5sier. épouse Escu-d-ier. 43 ans. rue Jeux-Aigues. - id iches, 24sas, rue du Tour, 34. - Maurice Causse, 5 mais,-duai de Tournis, 92. -i--- Porjet. veuve Poiieyie,80 s, Pont de Cinestona. - Julie tisas, veeveScuheyran, ITmO ans, rue de la Colomlaette. Is. -Menue-1 Du-rang, 54 ans, rue Bourrasv. 111.

Henriette Deschamps, 75 ans. rue Moraptaisir,30. -.- Heupicea, 3.

t1-_. .

v, E DÉCÈSLe. fainilles PRAi, VIDAL, GUlLHALl

PROIJOI-IOM,. JvLBERi et RICHARD ont *.dauieua de faiae part à leurs amis et ceanas-saruces de la perte cnstlie qu'elles viennera d'é-prouver en la personne de

Maam YtlY.. Frailis i.IT. e Catrina Y.Ûhiii61

leur mère, belle-mire, grand-mère, sv, belle.soeur, tante, parente et alliée, decédée le dlman-che 2 avril 1922. l'âge de 68 ans, msune desedcrements de Végiisa et les prient de VaIduiI.bien assister è ses obsèques qui auront heu de-main mardi 4 avril 2, à 10 hcuxes du malinen l'église Sainte-Germaine.

on se réunira à la maison mortuaire. CttCiTlifldu Préfet, 2. -

li Ie sari pas fait d'sutre invitation.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: de l'internationale Apropos de PUR, laguérisseuseimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1922/B... · quatre joues; les trois autresne le snnt pas eneoes. Nos experts ont établi en

E.a rt tic hrIs d IsbnrL'EX-IMPERATR!CE Z1TA VOULAIT

TENTER L.A TRANSFUSION DE SON SANG

POUR SAUVER SON MARI

Funchal. 2 avril. - L'exernpeeur Charles

avait cQnservé sa connaissance josquau dernier

mernent. II avait à son chevet, au moment de asmort. l'ex-rTrpératrce Zita et le F1s qui doit êtreson On- procèdera à 1'embarroement, enattendant le rapatrtement de son corps.

Les-rn.pratrice Zita avait exprimé le dsireu'on cpérat i. transfusion de son sang poursauver on mari, mais les rndecris ont reuade se tendre à ce désir. Toutes les matsons decommerce seroet ferrnes en signe de deuil. Par-tout cn entend exprimer les paroles de sympa-thie pour a veuve t pour les orphdlins.

CEUX QUI VOULAiENT LE RESTAURER

flid.nes 2 avr Conr1 des m ses enaccusabon de la chansbre criminella- de I3uda-pest a Icupé de volt.e le cornt Andrassy et

MM . Bakowsky . Sivray et Ro.dov:czey comme

chefs de l'ancien ministre des affaires étrangèresM. Grats ; lancien député M. Berriczky. lè ca-

ptaines Loencs et Szenkowiez, comme comp'.i-

ces de cette évoIte.Les avocots des inculpés ont interjeté appel.

LES CONDOLEANCES DU GOUVERNEMENTHONGROIS

Budapest, 2 avril. Le régent Horbhy a adres-sé le tél4g.ransme suivant à lex-reiae Zita

e Japprends en ce moment le décès de SaMajesté le roi Charles W. La naton hoogrosepartage le deuil de sa famille autour de snCercuei .

« Je prie Votre Majesté de daigner accepterlexpression de mes coudr,hances es plus pro-fondes.

s Signé : HORTIIY. s

De son c&é le premier ministre Bethien aadressé le iégramme suivant

e La nation e appris la .notwelle du décès deSa Majesté le roi Charles IV avec une darotionprofonde et générale. Au nom du gouvernement,je pre Votre Majest6 de daigner accepter mescondci&ances les plus profondes dans votre dou-

leur. s --L5Eection prsidentïelle

. en pub'ique ârentine:r-- 'y i-, er avri 't. Aujourd'lnd.

-' ei1l& I on L Lb 4etttal' un gt t'ttt'nthôuiu :' e igiie t:iart it -ille. Queiqiiesbagarres sans importance sont sigtie,triais i ny- a eu aucu iricideut gravt..

Les parUs ont organisé clan tout. le paysde grandes manifestations qui se d\-eIop-perortt dans le calme. M. de Alvéar est ac-t: larn4 ChaleureUseiflet1L

?E.icore u;;que q saute

DEUX BANQUIERSSOUS LES VERROUS

Cahots. - L'airestaLiort des banquiersCet-tes et Maity n produit dans toute laiégon Figeacoie une émotion dautanplus intense que cet établissement financier était fonc depuis dj de 1ongueaUnées et que ses directeurs jouaient unrôle impoltant clans la vie écononqUedu département tout entier.

M. Marty, en particulier, se treuvaitla tête de nombreuses et importantes so-ciéts locales. Il avait té élu, en 92O, enqualité dc tnembre de la Chambre decomuterce du Lot, pas pour le bien de

»R4.6.sts% 5sLO1, ssns !ncreure, n 5OtP156, sacs odeur, dtire srssur aroio e;a pSrottsnL te oigser en secret c$ suis pi-ivaftmjj#tme et aans iflt-ttOIS. tontes 55 ma1adi des ors&

wisshe. rcenLas oit ctauntqnss. les 1cs tn,éièréa rebelles ! tom les traitcrner.ta ECOt3IsmeU, Oûa.a eaitsira.sOOCeîhsgi, (ystes. Uethritos, tiétrao, etc. at t)cta3 les treetims eusj!eIJe ces reaadiru omont eatsoce. toit udfles

s%t U ettgêas on mal sotgséss. Ca Dragérs soa suesi un ecofl&rt septIque eotrc t5s 1ttes do Is Vesz4e. temnflcanes

*î : 7I4O (kpt ctt:t-. hv rct Rvwi -

D4a - t5esass lser a aita, Osts tt Ibaa, a : Qsr, Castetsarrsiia:

86 YEUIWITON DU C ftJ

IeR L&UI FbWtL

Ij avais hGia dans es Vetnes, tnai3Ue curicssit invincible me tenait. Que'4tait-il donc passe en ce heu ?

Peut-tte, repliqua Henri; marsela ne Vous iurperte point. bonne fein..

me.. Il y a des choses que je veux savoir.Je payerai pour cela.

(t IIe ramassa son broc en gwmrnlant ces étranges paroles

_(( Nous fermâmes nos rortesble tour et les volets de ncs cr&s!es. Lemieux était de ne rien v&ir d-ans ces af-faires-l.

e Combien trouva-t.rn ?e moita'dans le fossé le !endemin ? deptandaHenri ?

(t Sept en comptant k jeune set-neur.

e Et la jUstice vint-ellee Le bailti dArgeès, e k :etc-

nant criminel de Tarbes. et f autres.Oui, oui, la justice int. la ustke ver.ttOujouts arsez. mais eUe scn retourne.L:es juges dirent qpe nctre veu ir.cn-sieur avait eu saison. caU.a de cette pe-

sOH LeI'eUL rîseo

cette compagnie, cotTtme on le verra pUaloin.

La banque Certes et Matty avait lahaute main sur Fexploitation des gise-

ttrents miniers de la région ce Figeac.Il est explicable en raison des nom-

breuses fonctions honorifiques industriel-les ouconhimerciales remplies par les ban-quiers Certes et Marty, que leur établis-sement inspirt la plus absolue confianceaux classes laborieuses, aux petits ren-tiers et aux détaillants.

C'est malheureusement parmi ces dé-posants, souvent peu fortunés, que seconlpent les plus ncmbreuses victimes.------

Les EIectios Paris

Paris. Vo'ici les résultats du scrutinde ballottage poiir lélection au conseilmunicipal, quartiei es Enfants-Rogueslnscrits 4.199; votants, 2.583; blancs etnuls, 462.

Ont obtenu : M'l. Moriette, rzsdical-sscialiste, 1 ,004 voix, élu; Pichon, républi.cain démocrate I .003 voix; Mme MatheBigot, coram'uniste 369 voix (bulletins an-nulés); M. Vicsvanelli républicain de gaa-cIte, 107 voix; diverses 7.

Il s agissait de remplacer IVI. Daussçt,élu sénateur.

Iii fo9 titi [bItt Uo1e

Béziets, 2 avril. - Voici les résultats 0f-fils : Ire catgorie. Cycles-cars : 1erprix, Quadrillettes Peugeot, M. Chartou,i500 fr.; Cremillon, 1.000 fr.; VilIeneie,t_000 fr.

2e catégorie. Voilures légères. Prix (ftert.par la e Dépêche o : 1er priX, 6.000 fe.;M. Bochi; 2e prix,. 2.000 fr., M. Barbier;3e prix, 1.500 fr., M. Poulain; se prix, 1000fr., M. Gairy.

Prix offert par I' n Eclair u : 5e prix 750r., M. Blanchari; 6e prix, 500 fr., M. Fol-

cou; 7e prix, 500 fi., M. Tut 'bias; 8e prix,\1. Caries. Les trois premiers sur OitrOxi...

3o catégorie. Gi'osses voitures : leiprix, 3,000 f.r., M. Groson.

Ptix spctal 2000 fi dIeu a la nilliur conoinivatiOii par i' Eclali '>, leii\Lfloechi. ,

Une fouie norme s epressait partout sule passage de \hicules et preuait au iutcirêls extrôrtie la CoUrø.

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Iis Urcs 'iCS c

Tulle, --. lnte1'-ie\\-r sur la tentative OUplus - cactement sur les nuovelles mien-tions de suicide manifestées par Angèle La-% il, Mc Fjlhio, son avoc il t 1t ( I u . net-ion savoir. 5Cepenclant il est possible d'ai-fit-tuer que la triste héroïne sorti-t très SU-reccitée du cabinet (le SOfl défenseur et sedirigea vers la Corrèze.

En route, ele salua rl'un bonjour nerveuxun colIgue de la Peiîecture, mais rejointebientôt 1)at' lui ami clr la famille, celuici parvint à la dissuader de mettre sonprojet à exéciition et la ralucnLt à son domi-die. - -

e Cc n'est que parUe remise » déclaraAngèle LOvai en rentrant chez elle.-

Oumoulin nevapas â unesPai-is. On dément l'information publiée

liar certains journaux de Paris ('t tuivatlaquelle (leorges Dutnoulin, secrétoire de laC.T. ferait partie à titi-c de délégué dult'avail, conime nuetibre de - la (lélég.ttiOnfrançaise qui se rend à la Conférence deGênes. -

-

titr fenttc-'la, qu'en uvatt trouvée c-iwur-te.

(C Elle rrrcntt'ait du coigt une feu rtrebasse, percée dans la cicuve -ame, stus -l'assise chancelante (L t)Oflt . -

. u Je compris que les gens de justice ac-cusèrent le jeune seigneur défunt d'avoirvoulu s'introduire - dans le chteau parcette vcie. Mais pourquoi ? La vieillefenme répondit ellc-mn-te à cette ques--tio-n que je m'adressais.

(t - E-t parce que, acheva-t-elle, notrejeune demoiselle était riche.

(t C'était une lamentable histoire t'a-contée en quelques paroles. Cette fen&trebasse me fascinait. Je n'en pouvais déta-cher les -ycux. U, sans doute, s'étaientdonné les rendez-vo-us d'amour. Je re-poussai l'assiette de bois qui'on avaitplacée devant moi. Henri fit -de mtne.n paya notre repaetnous sorlimes del'auberge. Devant la porte passait un chemin qui conduisait dans les douves.. Nousprîmes ce chemin. La bonne femme noussuivait. -

r - Ce fut là, ditelle en n-tontranl lepoteau qui faiaait une aie-s assise-s dupont du côté du renipart, ce fut là -flue lejeune seigneur céposa son enfant.

t' Eh ! m'écriai-je, il y avait un en-fant I

e Le regard qu'Henxi touina vers moifut extraordinaire, et je ne puis encore ledéfinir. Parfois, mes paroles ls plus situ-rnpies lui causaient ainsi des émotions sou-daines et qui me paraissaient n'avoirpoint de motif. -

u Cela donnait carrière k n-ton imagi.nation. Je passais ma vie lit chercher en

Le Voyage prsidentieIEn route pour Casablanca

Bordeaux, 2 avril. - Le croiseur cuirassé(( Edgar-Quinet ». ayant à botd M. Mtlle-ran(l e quitté le Verdon ce ivatin, à 6 Jieu-res, à destination de Casa»Iaflca.

Par décret rendu sur - la jropositioii duministre de la marine, en rhite du 1er avrtl5le contre-amiral Viudi'y e été flOflinté nucommandement (le la division l)résicten-licite, pour latraversée d Bordeaux r Ca-sablanca, du - 1er au 5" avril, et pour latraversée de Bizerte à Marseille, du 3 auo tuai, ' ' .

Tout va bienParis, 2 avril, Suivant les derniers té-

légrammes reçus par T.S.F . , I' e Edgar-Qttinct )) et l'escadrille de torpilleurs leconvoyant font route à travers le golfe de(lascogne -dans de bonnes conditions.. .Le cuirassé américain- (' Utah » ira saluer

le Président à AlgerToulon, 2 avril. - Le cuirassé américnin

« Utah s. -battaut pavillon du vice-amiralNibiock, quittera Toulon lundi. Le- navitese rendra aux Salins il'Hyères, oi il relâ-ehei'a pendant quelques jettes. il appareil-lera ensuite pour Alger, ,où il participeraavec les navires 'des escadres alliées à lagrande revue navale que présidera le prési-dent (le la Bépublique.

La tempête en AngleterreLondres, 2 avril. La Icuipête continue

à sévir dans les 11es britanniques, notam-tuent daiis le ,sud du Pays-de-Galles. J)escentaines de mineurs y sont condamnésmomentanément au citômage, les commu-aications étant interrompues pat' la - iteigeA Carcliif, la neige est tombée avec uneabondance- telle qu'on n'e-it avait pas vuedepuis cinquante ans; plusieurs lignes dechemins de fer ont dû cesser tout service.

Des chutes de neige sont également si-gnaiées dans le sud-ouest, le sud, le trot-det le- centre d-e i'Angletei're

areaeaat,m-i.,

Fi'Fe ?tIBOfluérison 6

adica1e( ,, natica

arles C aeh eta L -

raluil

I'rixau ira'i1e-lenI cQ'mplet '10 t-r.

Ants'iine PUY, PbarmacienLr-iri?srateur et Lsurat de l'Ccl ii :5sis,

et dc Piaririsasr ue nrn ave GRNO3L (l-,ri)

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LE VON DE MENA(.a EJf.L'TU s

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Crin, ceta : ynsat. Carcss3Ouui Si uat-OQ5.---

vain h- 1:ot d toutes c03 énigmcu quietaiert i'u-': -r mot.

r Ma mri, jn se nioue volontiers d05psUvre ophe1iues qui voient par-tout unindice de jours naisiance. Moi, je voisdar±, ccl instinct quequc chose de provi-denti-el et dc ouvcratnement touchant.Eh b-ion ! o0i, nctre rBle est -de cherche tsan-s cesse et de rie nc-'us point lasser dan.notre -tâche difficile et ingrate. Si l'ebsta.cite- que nO-US -avons so.levé demi re-tombe e-t lieus terrasse, nous nous re-dressons p-lus vaillantes, j-usquà l'heureoùle désespoir nous prend. Cette heure-la, c'est la mott. Que d'espcirs trompésavent -cette heure an'ive ! que de chi-mèrea ! que e déceptions !

( Le regard d'Hcnri semblait me dire:(t - L'enfant, Aurore, c'était VOUS I e

e Mon coeurbattit, et ce fut a've-c d'an-ires yeux que je regardais le vieix ma-noir. - - -

e M3i5, tout de suite après, Henri de-manda: -

-

(t - Qu'est cievenu l'enfant ?r Et la bonne femme réponditt - Il est mort I »

Vt

EN METTANff LE COUVERT

L-e fond des douves était une prairie.Du point où nous étions, au delà de Vair-che bris&e du pont de ixis, on voyaits'abaisset la lèvre du fossé qui décou-vraitle petit village de Tarrides et les pre

évor par les rats

Auch. On vient de découvrir sur leterritoi're de la cômmune de Encaunues,une vieille femme (le 86 ans,- dévorée parles rats. La mort remonte à plusieurs jours,

Cà et LàLE PINARD SUR LA VOIE -

Lyon. - Hier vers midi une locomotive hautle pied qui se dieigea-it vers Givors e tamponnéles demiers wagons d'un tran de marchandisesa-liant vers Paray-le-Mcisial.

Des tonneaux de vin contenus 'dans divers wa-gens ont été crevés et le-or contenu sest rpandusur les voies.

Fort heureusement le rapide de Bordeawi quipassait -à peu de distance a pu être arrêté àtemps,

ACCIDENT DU TRA VAILMoulin - Quatre ouvriers qui poussaient des

wagons cri gare de Saint-Germain-des-Fossés ontét& reeiverss par un wagon en manoeuvre qu'ilsn'avaient pas entendu venir par suite du vent.L'un deux a été grièvement blessé et les troisautres ont été également blessés.

LE MINISTRE POLONAIS D-ES AFFAiRESETRANGERES QUiTTE PARIS

Paris. M. Poincaré e reçu dans l'après-midi

d'hier le ministre des Affaires Etrangères dePotogne. Celui-ci n ensuite quitté Paris se rets-dant à Lndre-s.

Il a té salué à la gare du Nord par M. Carret,sous-chef du p-rotocle.

LE PRESÏDENT DU CONSEIL DE LITHUANIEVA A PARiS

Coblentz. - Le président du Conseil de Li-thuanie vient de quitter Coblen où i-1 'était ar-

rivé il ya deux jours li se rend à Paris.

LE DEPA-RT DE M. I3ENES POUR GENES

Prague On annonce que M. Béne, prési-

dent du Conseil de Tchéco-Slovaquie partira le5 avril pour Cènes.

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,rgma: nu,uzt,-s. flarnas -. Vr4' sOs :

rriè.rcr futaies de foret d'Ens. A droite,par-de.s :us le i'cirtpart, la vieille chapellede Caylus montrait sa flèche algue etdetutel.

(r Henri promenait sur ce paysage unlong et mélancolique regard. li semblaitparfois s'o-rienter. Son épée, qu'il tcnaità la main coninueune canne traçait deslipnes dans l'hebe. Sa bouche remuaitcomme -s'il se fût- parlé luj-mma. Il dé-rigna enfin du doigt l'endroit où j é-taisdebout, et s'écria

(C - C'est là ; ce d0t être là.n Oui, dit la bonne -femme, c'est !

qrue nous trouvâmes étendu le çorps etujeune seigneur.

(( Je me recplai en frissonnant ç(e latète aux pieds.

r: Henti derrand:a ï -

- -

u Que fit-on du corps Pn J'ai Ouï dire qu'on l'emmena à Pa-

ris pour être enterré au ciiucrrtière St-- 'vlagloire . -

_u '- Oui, pensa tout hat.r Henr, St-Magloire était fief de Lcrraine.

C!Ainsi, ni-a mère, ce pauvre jc . ne SCi-

gneUf. Iiia à mor'U datis cette tei1iblenuit, était de la noble maisrri 'de Lot-raine. -

() i-ienrj avait la 'ête ppchéc stur sapoitrine. Il tVait. De tere7s (fl tein-pa, je%oyars qu'il roc regardaIt b la dérebée.Il essaya de monter le petit escalier placéà la tète cu pont ; niais les marches vr-r-ni-OU-lues cédèi'ent sous st..a pieds !1 se-vint vers le rematt, e, du çczr. meaude son épée, il éprouva is ccntrel'crrtsce la fenêtt'e basse. -

(r L5 laorine ferime O 1r 5i)1'a1t COTfl-

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na pas ouvert la fenUu (pui3 lu -

ou lev magistrats -qjnrCnt.r Et qu'ententite3 cUS cultT

r

la, bonne Çernms' , iu'maa l-lu!

vers vos volets fermés ?(t - Ah- ! seigneur DiO1 : . -

tilju:snii-rte, tous 'es déti';iiS trCc.échamnés sous e iempatt. sious -

mes fermer l'oeil. Lese'

venus bc'ire chez nots la

J'avais dt en n-se c0uch,st ( (21:cr

prenne en sa garde i.0US (ltii .11eit;

po-ifli clm-ain le lewr )u ole'I ° '

entendîmes un grand t il C e (O

cris, des blasphèmes, et CI vu

(lui disaient de temps rfl tctnt -

su-la I o

(t Un monde de perrstrt s'zgitè(e,

moi. ma rnère Jec

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vend lerreflieuriiiae.itat,icy'- --

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cette devise. Dès mon efltaun'' i- - t;..

entendu sortir de laboUcI avais retrouvé traduiit ensur les sceaux qui fermaientlieuse enveloppe que Cfl

comme ut' trésor I

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