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A L’OCCASION DU CENTIÈME ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DE
DIMITRI CHOSTAKOVITCH, ARTE REND HOMMAGE AU COMPOSITEUR
RUSSE AVEC DES CONCERTS, UN DOCUMENTAIRE, UN OPÉRA, UN FILM
MUET ET UN BALLET DIFFUSÉ EN DIRECT DU BOLCHOÏ À MOSCOU.
Samedi 9 septembre à 22.30................ Documentaire
Chostakovitch contre Staline
La musique sous la dictature
Samedi 23 septembre à 19.00........................ Ballet
EN DIRECT DU THÉÂTRE DU BOLCHOÏ À MOSCOU
Une soiree au Bolchoi. : Le boulon
Dimanche 24 septembre à 19.00...................Concert
Chostakovitch et Mozart
par le quatuor Emerson
Dimanche 8 octobre à 19.00.........................Concert
Mischa Maisky interprete
Chostakovitch
Concerto pour violoncelle et orchestre n°1
Vendredi 27 octobre à 1.00....................... Film.muet.
La nouvelle Babylone
Samedi 11 novembre à 22.20......................... Opéra
Lady Macbeth de Mzensk
Documentaire
Samedi 9 septembre à 22.30
Chostakovitch
contre Staline
La musique sous la dictature.
Documentaire de Larry Weinstein
Production : ZDF (1997-52mn)
Prix du jury, Internatonal Widescreen Festival 1998
Prix du meilleur documentaire sur les arts, International Emmy Awards 1998
Prix du jury, FIFA 1998
Rediffusion du 1er mars 2000
SURVIVANT DES PURGES STALINIENNES, DIMITRI
CHOSTAKOVITCH FAISAIT DE LA RÉSISTANCE
À TRAVERS SA MUSIQUE. CE DOCUMENTAIRE
FASCINANT REVIENT SUR LES ANNÉES NOIRES DE
L’URSS ET EXPLORE LES DERNIÈRES SYMPHONIES
DE CHOSTAKOVITCH, SES « STÈLES MORTUAIRES ».
Patriote, musicien, citoyen soviétique le plus décoré, seul
compositeur russe à apparaître à la une du magazine Time, Dimitri
Chostakovitch (1906-1975) a survécu à la terreur stalinienne.
Ses mémoires, autant que sa musique, évoquent cette période
de manière éloquente. À dix-neuf ans, Chostakovitch fait
jouer sa première symphonie ; le public le porte en triomphe.
Il commence alors à travailler avec tous les artistes russes
connus, Meyerhold, Maïakovski et Eisenstein... Ses symphonies
et ses opéras sont joués dans tout le pays… Mais, toute sa vie,
il entretiendra des relations complexes avec l’appareil d’État.
Paradoxalement, c’est à travers sa musique qu’il fera de la
résistance. Le réalisateur Larry Weinstein cherche la portée
de cette résistance, notamment à travers ses symphonies n°
4 à 9, que le compositeur lui-même surnommait des « stèles
mortuaires ». Étayé par des archives d’époque émouvante scène
du compositeur au piano, témoignages-clés, comme celui du
compositeur Tichon Khrennikov – qui dénonca Chostakovitch
au Premier Congrès des compositeurs à Moscou en 1948 –, le
travail des symphonies sous la direction du chef Valéry Gergiev-
fin connaisseur de cette époque, filmé en répétition.
Ce film est disponible en DVD chez Philips / Universal
1906
20
06
CRÉÉ EN 1931 ET AUSSITÔT INTERDIT PAR STALINE, LE BOULON
DE DIMITRI CHOSTAKOVITCH N’AVAIT JAMAIS ÉTÉ REMONTÉ.
À L’OCCASION DU 100E ANNIVERSAIRE DE LA NAISSANCE DU
COMPOSITEUR, ARTE RETRANSMET EN DIRECT DU BOLCHOÏ,
À MOSCOU, CE BALLET DÉLIRANT DANS UNE MISE EN SCÈNE
OÙ SE CROISENT ROBOTS GÉANTS, JOLIES BAIGNEUSES ET
FANTASSINS EN TROTTINETTES.
Ballet
Samedi 23 septembre à 19.00
EN DIRECT DU THÉÂTRE DU BOLCHOÏ À MOSCOU
Une soiree au BolchoiUne soiree au BolchoiUne soiree au Bolchoi
. :
Le boulonBallet en trois actes de Dimitri Chostakovitch
Livret : Viktor Smirnov
Direction musicale : Alexandre Vedernikov
Chorégraphie : Alexei Ratmansky
Distribution : Anastasia Yatsenko, Andrey Merkuriev, Denis Savin,
Morihiro Iwata, Gennady Yanin, Ekaterina Krysanova, Anna Rebetskaya
Viktoria Osipova, Egor Khromushin, Viacheslav Lopatin, Andrey Melanin
Vladimir Moiseev, Natalia Vyskubenko, Natalia Osipova, Alexander Voytyuk
Pavel Dmitrichenko, Galina Malaya, Evgeniya Volochkova
Scénographie : Semyon Pastukh
Avec le Ballet du Théâtre du Bolchoï
Réalisation : Vincent Bataillon
Coproduction : ARTE France, Bel Air Média, BBC, NHK, Bolshoi Theater
(2006-105mn)
Une soirée présentée par Annette Gerlach
Un jeune ouvrier négligent, Lazy Idler, dénoncé par un rival en amour,
est renvoyé de l’usine. Après avoir noyé son chagrin dans l’alcool,
il décide de se venger avec l’aide d’un jeune garçon, Goshka, qui
jette un boulon dans la toute nouvelle machine de l’usine. Le plan
réussit, un court-circuit se produit et Lazy Idler accuse Boris, un
honnête ouvrier. Mais Goshka, rongé de remords, confesse toute la
vérité. Lazy Idler est arrêté par les vigiles de l’usine. Contremaîtres et
ouvriers saisissent l’occasion pour faire une petite fête puis retournent
à la chaîne, pleins d’entrain.
Chostakovitch a composé un ballet à l’humour corrosif qui mélange
mélodies populaires, musique sérieuse, de cirque, valses,
marches, tangos…Il y mêle aussi des thèmes chers aux Jeunesses
Communistes. Chostakovitch avait conçu ce ballet comme une
joyeuse satire du drame prolétaire. Il s’agissait pour lui de mettre
en avant les relations ambiguës et mouvementées entre l’expérience
prolétarienne et la représentation qu’en avait donnée l’avant-garde
soviétique.
En choisissant la dérision et la provocation, la partition de
Chostakovitch et la chorégraphie de Lopoukhov montraient que la
musique et la danse ne peuvent se réduire à des slogans.
Dans la chorégraphie d’Alexei Ratmansky, Le Boulon devient une Le Boulon devient une Le Boulon
petite merveille qui s’ouvre par un ballet de robots géants et s’achève
dans le délire total d’un grand défi lé rouge sang.
Pendant l’entracte, ARTE propose la diffusion du fi lm « Avant-garde
et Kitsch » d’Edgardo Cozarinski, montage d’archives resituant Dimitri
Chostakovitch dans le contexte historique des années 20 et 30.
Concert
Dimanche 24 septembre à 19.00
Chostakovitch et Mozart
par le quatuor Emerson
Avec l’Emerson String Quartet : Eugene Drucker (violon), Philip Setzer (violon),
Lawrence Dutton (alto), David Finckel (violoncelle)
Réalisation : Michael Ciniselli
Production : SWR (2006-43mn)
L’EMERSON STRING QUARTET INTERPRÈTE LE QUATUOR
À CORDES N°15 EN MI BÉMOL MINEUR OP. 144 DE DIMITRI
CHOSTAKOVITCH LORS D’UN CONCERT DONNÉ AU FESTIVAL
DE SCHWETZINGEN LE 5 JUIN 2006.
L’Emerson String Quartet voit le jour en 1976 et prend le nom du grand
poète et philosophe américain Ralph Waldo Emerson. Depuis un quart
de siècle, l’ensemble collabore avec des artistes de renom tels que
Emmanuel Ax, Léon Fleisher, Mstislav Rostropowitsch,
Lynn Harrell, Thomas Hampson, Barbara Hendricks,
Barbara Bonney et le Guarneri String Quartet.
Le quatuor affi che une liste impressionnante
de succès, parmi lesquels un contrat
exclusif avec Deutsche Grammophon et
six Grammy Awards, notamment pour
les enregistrements des quatuors
à cordes de Bartók ainsi que des
cycles complets de Beethoven et
Chostakovitch. Le Emerson String
Quartet jouit d’un prestige international
grâce à son interprétation parfaite et
enthousiaste du répertoire classique
et contemporain.
Au cours de ce concert, le Quatuor
Emerson interprète également le premier
mouvement du Quatuor à cordes en ré
mineur KV 173 de Wolfgang Amadeus
Mozart.
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Concert
Dimanche 8 octobre à 19.00
Mischa Maisky
interprete Chostakovitch
Concerto pour violoncelle et orchestre n°1
Production : SR (2006-43mn)
INVITÉ PAR L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE DE LA
RADIO DE SARREBRUCK, LE VIOLONCELLISTE
MISCHA MAISKY INTERPRÈTE, SOUS LA DIRECTION
DE LEO SIBERSKI, LE CONCERTO POUR VIOLONCELLE
ET ORCHESTRE N°1 DE DIMITRI CHOSTAKOVITCH.
Letton d’origine, Mischa Maisky a fait le conservatoire
Tchaïkovski de Moscou et a suivi les cours de Rostropovitch
et Piatigorsky.
Aujourd’hui, il donne des concerts sur les cinq continents
et a élu domicile à Bruxelles. Il se considère avant
tout comme un citoyen du monde : « Je joue sur un
violoncelle italien avec un archet français, des
cordes autrichiennes et allemandes, j’ai une voiture
japonaise, au poignet une montre suisse, au cou
un collier indien, bref, je me sens citoyen du
monde ». En se produisant avec de nombreux
orchestres américains et européens de tout
premier ordre, mais aussi avec des fi gures de
proue de la musique de chambre comme Gidon
Kremer, Martha Argerich ou Vladimir Ashkenazy,
Mischa Maisky a défi nitivement assis sa renommée
internationale.
Au cours de ce concert, il interprète également de
Camille Saint-Saëns la Danse bacchanale et « Le
cygne » du Carnaval des animaux, ainsi que la Suite
pour violoncelle seul n°1 de Jean-Sébastien Bach.
Film.muet
Vendredi 27 octobre à 1.00
La nouvelle Babylone
Film muet de Gregori Kozintsev et Leonid Trauberg
Musique de Dimitri Chostakovitch
(1929-102mn)
EN 1870, LE PEUPLE DE PARIS SE SOULÈVE. L’UN
DES PRINCIPAUX POINTS DE RALLIEMENT DES
INSURGÉS EST « LA NOUVELLE BABYLONE », UN
GRAND MAGASIN OÙ LOUISE EST VENDEUSE. LA
JEUNE FILLE SE LANCE À CORPS PERDU DANS
L’INSURRECTION…
ARTE PROPOSE DE REDÉCOUVRIR CE GRAND
CLASSIQUE DU CINÉMA MUET SOVIÉTIQUE DANS
UNE VERSION RESTAURÉE, ACCOMPAGNÉE DE
LA MUSIQUE ORIGINALE DE CHOSTAKOVITCH
INTERPRÉTÉE PAR L’ORCHESTRE SYMPHONIQUE
DE LA SWR.
Lors de la Commune de Paris de 1871, après la défaite de la
France contre la Prusse, un jeune couple est partagé entre
les deux fronts : Louise, vendeuse à « La nouvelle Babylone »
est du côté de la Commune, son fi ancé, Jean, se bat du côté
ennemi. Il est membre d’un commando d’exécution et fi nira
par creuser la tombe de Louise.
La Commune de Paris fait partie, et Karl Max a écrit un brillant
essai sur le sujet, des mythes bolcheviks. Cet événement
est le précurseur de la Révolution d’Octobre. Il n’est
donc pas étonnant que les deux réalisateurs avant-
gardistes Gregori Kozintsev et Leonid Trauberg
aient eu l’idée, dix ans après la Révolution
d’Octobre, de tourner un fi lm sur cette
époque de l’histoire.
Le jeune compositeur Dimitri Chostakovitch crée pour La
nouvelle Babylone sa première musique pour le cinéma.
Cette musique de fi lm, enthousiaste mais expérimentale, est
non seulement très exigeante pour l’orchestre du cinéma,
mais dérange également les habitudes musicales du public.
Chostakovitch y donne libre cours à son humour et à son
goût du grotesque. Il cite, pêle-mêle, des danses (valse,
cancan, galop…), des chants révolutionnaires français (« la
Carmagnole », « Ça ira ») ainsi que la Marseillaise, qu’il
superpose à un thème d’Offenbach en un remarquable
effet comique. Mais le ton vire parfois aussi au tragique,
notamment avec la belle passacaille qui accompagne les
images de désolation après le renversement violent de la
Commune.
Composée en 1929, elle compte aujourd’hui parmi les
plus grands classiques des musiques de fi lms muets.
L’orchestre symphonique de la SWR en propose ici une
nouvelle interprétation.
....Opéra
Samedi 11 novembre à 22.20
Opéra de Dimitri Chostakovitch
Livret de Alexander Prejs et Dimitri Chostakovitch
Direction musicale : Mariss Jansons
Mise en scène : Martin Kusej
Décor : Martin Zehetgruber
Costumes : Heide Kastler
Avec le Royal Concertgebouw Orchestra et les chœurs de l’opéra
d’Amstredam
Anatoli Kotcherga (Boris), Ludovit Ludha (ZinovyÏ), Eva-Maria
Westbroek (Katerina), Christopher Ventris (Sergeï), Carole Wilson
(Aksinya/une bagnarde), Nikita Storojev (Commissaire de police),
Alexander Vassiliev (Pope/Surveillant), Lani Poulson
(Sonietka), Vladimir Vaneev (Vieux bagnard)…
Réalisation : Thomas Grimm
Coproduction : BR, NRK (2006-150mn)
Opéra enregistré à l’Opéra d’Amsterdam en juin 2006
Lady Macbeth de Mzensk, second opéra terminé de
Chostakovitch et succès public phénoménal, devait
constituer le premier volet d’une trilogie à la gloire de
la femme soviétique. Staline, scandalisé, brisa net la
carrière de l’opéra et fit abandonner au compositeur
toute velléité d’autre création lyrique.
ARTE propose de découvrir cet opéra dans une nouvelle
production de l’opéra d’Amsterdam créée à l’occasion
du centenaire de la naissance du compositeur.
Avec Lady Macbeth de Mzensk, Dimitri Chostakovitch
avait, à 26 ans, réussi un coup de maître. A la fois satire
et tragédie, cet opéra dont le livret s’inspire d’une nouvelle
de Nikolaï Leskov fut créé en janvier 1934 à Léningrad,
puis bientôt repris par de nombreux opéras dans le monde.
Chostakovitch a remanié l’histoire sanglante de Leskov, qui
repose sur un fait divers survenu dans le district de Mzensk.
Le compositeur fait de Katerina Izmaïlova la victime d’une
société brutale, infatuée, dominée par les hommes. Sa
Katerina court à sa perte parce qu’elle aspire à un amour-
passion que son époux, le riche et veule marchand Zinovyï,
avec lequel elle est mariée depuis quatre ans, est incapable
de lui donner.
Le 26 janvier 1936, Staline assiste à la représentation
de l’opéra au Bolchoï. Il est extrêmement choqué par
l’érotisme de certaines scènes, l’écriture vocale tendue,
les cocasseries instrumentales et le rythme haletant de
la partition. La réponse de ce qu’il considère comme
une provocation ne tarde guère : deux jours plus tard,
la Pravda, organe du parti communiste, publie un article
quasiment diffamatoire au sujet de cet opéra et de son
auteur. Chostakovitch se voit désigné comme un ennemi
du peuple. Lady Macbeth est retiré de tous les théâtres
soviétiques, et interdit pendant vingt-sept ans.
Le prestigieux orchestre du Concertgebouw
d’Amsterdam monte chaque année, sous la direction de
son chef principal Mariss Jansons, une production du
Nederlandse Opera. La mise en scène de Martin Kusej,
acclamée par la presse et le public,
est arrivée à point nommé pour
le centenaire de la naissance
de Chostakovitch. Dans
le rôle-titre, la charmante
Eva-Maria Westbroek a fait
un triomphe. La partie de
Sergueï est chantée par
une star de l’art lyrique, le
ténor anglais Christopher
Ventris. La réalisation pour la
télévision est signée Thomas
Grimm, lauréat du Prix de la
Télévision bavaroise.
Lady Macbeth de Mzensk
Biographie.:
Dimitri
CHOSTAKOVITCH
Saint-PEtersbourg, 1906 - M
oscou, 1975.
Issu d’une famille russe cultivée, Chostakovitch commence l’apprentissage
du piano en 1915 avec sa mère, pianiste professionnelle.
En 1919 , il entre au Conservatoire de Petrograd, dirigé par Alexandre
Glazounov. Il étudie le piano avec Leonid Nikolaeiv et la composition avec
Maximilien Steinberg.
Dès 1925 il écrit sa première grande œuvre, la Symphonie n°1, l’une de ses
compositions les plus populaires.
En 1927, le gouvernement lui commande une Seconde Symphonie pour
commémorer l’anniversaire de la Révolution d’Octobre. Ce sera pour
Chostakovitch le début d’une étrange carrière de compositeur « officiel »,
caractérisée par une alternance de consécrations et de réprimandes. Ainsi
la condamnation par la Pravda de son opéra Lady Macbeth de Mzensk en
1936. Et sa consécration en 1941 grâce à sa Symphonie n° 7, qui célèbre la
résistance de Leningrad contre l’invasion hitlérienne et pour laquelle il reçut
le prix Staline.
En 1943, il s’installe à Moscou et enseigne au Conservatoire tout en
composant intensément.
Il reçoit de nombreuses distinctions dans son pays comme à l’étranger. En
1949, il se rend aux Etats-Unis comme délégué à la Conférence mondiale de
la paix. Et en 1966, il porte le titre de héros du travail socialiste.
Il décède en 1975, à la suite de plusieurs attaques cardiaques, alors que ses
facultés créatrices étaient restées parfaitement intactes.
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Les quatuors à cordes par le Quatuor
Emerson, les quinze Symphonies dirigé par
B. Haitink, Oeuvres pour piano et musique
de chambre par V. Ashkenazy, Extraits
d’opéras et chansons par V. Ashkenazy,
M-W. Chung, P. Jarvi , les Symphonies 4,
5, 6, 7, 8 et 9 dirigé par V. Gergiev, Les
Oeuvres pour piano seul par C. Weichert...
Discographie.
UN COFFRET DE 27 CD CHOSTAKOVITCH EST DISPONIBLE
CHEZ BRILLANT CLASSICS / ABEILLE MUSIQUE
LA SYMPHONIE N°7 « LENINGRAD » INTERPRÉTÉE PAR
LE ROYAL CONCERTGEBOUW ORCHESTRA DIRIGÉ PAR
MARISS JANSONS VIENT DE PARAÎTRE CHEZ RCO LIVE
A PARAÎTRE DE NOMBREUX COFFRETS CHEZ DEUTSCH
GRAMMOPHON EN AOÛT ET SEPTEMBRE :
Contact presse
Frédérique Champs / Emilie Bontemps : 01 55 00 70 45 / 44
[email protected] / [email protected]
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