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DOSSIER DE RENTRÉE 2014/2015 RETROUVEZ LES OFFRES DE NOS PARTENAIRES EN UN SEUL CLIC* 3. Améliorer la cohérence des apprentissages pour assurer la continuité des parcours Fiche 3.2 : Développer un par- cours d’orientation personnalisé Mieux prendre en compte la difficulté scolaire

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DOSSIER DE RENTRÉE

2014/2015

RETROUVEZ LES OFFRES DE NOS PARTENAIRES EN UN SEUL CLIC*

3. Améliorer la cohérence des

apprentissages pour assurer la continuité

des parcoursFiche 3.2 :

Développer un par-cours d’orientation

personnaliséMieux prendre en

compte la difficulté scolaire

A la MGEN, nous protégeonschaque jour 3,5 millions de personnes. Pour nous, la solidarité est essentielle.

Ainsi, quand les dépenses de santédes uns sont peu élevées, tous ceux

qui en ont le plus besoin peuvent bénéficierd’une meilleure prise en charge.

C’est cela, être la référence solidaire !

mge

n.fr

MUTUELLE SANTÉ • PRÉVOYANCE • DÉPENDANCE • RETRAITE

MGEN, Mutuelle Générale de l’Education nationale, n°775 685 399, MGEN Vie, n°441 922 002, MGEN Filia, n°440 363 588, mutuelles soumises aux dispositions du livre II du code de la Mutualité - MGEN Action sanitaire et sociale, n°441 921 913, MGEN Centres de santé, n°477 901 714, mutuelles soumises aux dispositions du livre III du code de la Mutualité.

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«L’essentiel pour nous ? Etre bien protégés tout en concourant à la santé des autres. Bien plus qu’unemutuellela référencesolidaire !

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AMELIORER LA COHERENCEDES APPRENTISSAGES POUR ASSURER

LA CONTINUITE DES PARCOURS

AMELIORER LA COHERENCEDES APPRENTISSAGES POUR ASSURER

LA CONTINUITE DES PARCOURS

Dossier de rentrée 2014 - 2015

FIC

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3.2

DEVELOPPER UN PARCOURS D’ORIENTATION PERSONNALISE

Une orientation choisie est indissociable de la mise en place d’un parcours d’éducation à l’orientation tout au long du collège afin que chaque élève puisse acquérir une connaissance solide des différents métiers, des voies et des filières de formation afin d’être en capacité d’effectuer un choix en finde 3ème.

Donner aux familles et aux élèves la décision d’orientation en fin de collège, dans le cadre d’une expérimentation accompagnée par l’inspection générale, suppose l’acquisition par les élèves de la culture (savoirs, savoir-être et savoir faire dont la synthèse est facilitée par les actions de conseil et d’accompagnement)nécessaire à leur vie en société, et en particulier dans ses di-mensions sociale, économique et professionnelle. Culture nécessaire à l’adaptation en classe de seconde des lycées professionnels, technologiques et généraux pour que soit réelle la vocation d’exploration et de déter-mination de ce cycle ; et plus encore au moment de l’orientation post-bac ou de l’insertion dans la vie active.

Ainsi chacun voit bien que l’expérimentation affirme et approfondit la mission du collège : préparer les élèves à assumer de façon responsable les transitions scolaires et professionnelles auxquelles ils seront confrontés.

Une orientation choisie

À la rentrée 2013, la possibilité de laisser aux parents le choix de la voie d’orientation en fin de troisième est expérimentée dans 117 collèges répartis dans 12 académies.

Au collège Dupaty à Blanquefort, une phase de concertation a d’abord été conduite au sein de l’équipe des professeurs en charge des classes de troisième, avec l’appui technique du conseiller principal d’orientation psychologue. La démarche a ensuite consisté à travailler sur la mise en cohérence et la complémentarité des outils existants pour favoriser une orien-tation éclairée de l’élève en fonction de ses capacités, de son investisse-ment et de ses perspectives de pour-suite d’études.

Les observations et recommanda-tions du conseil de classe du deu-xième trimestre ont permis d’accen-tuer le dialogue et l’aide spécifique au choix de l’orientation pour les

élèves en situation de fragilité. Des indicateurs comme les résultats au brevet blanc ont été mis en synergie afin de cibler les élèves susceptibles d’entrer dans la problématique du libre choix de l’orientation et ainsi de prévenir tout échec.

La communication avec les familles, essentielle, s’est déroulée en plu-sieurs étapes :

1- une liaison permanente entre l’équipe de direction, le professeur principal et le conseiller d’orientation a permis d’informer, d’accompagner et de répondre aux attentes et inter-rogations des familles.

2- une réunion collective avec les familles au mois de mai. Il s’agissait d’expliquer aux parents qu’il était possible de faire évoluer le choix de l’orientation dans le sens de l’intérêt de l’élève, de la promo-tion de son ambition et celle de sa famille.

3 - un point autour des probléma-tiques générales de l’orientation post-3ème et plus particulièrement sur les enjeux des filières techno-logiques par le Conseiller d’Orien-tation Psychologue. Il s’agissait de susciter un échange sur les repré-sentations, les attentes mais aussi les craintes des familles sur les choix de la scolarité.

4 - un entretien approfondi proposé à la famille en cas de différences de points de vue avérées.

Le bilan d’étape au terme d’une pre-mière année d’expérimentation est positif.

En 2014-2015, les actions en di-rection des familles seront pour-suivies dans le cadre du parcours de découverte des métiers et des formations. Enfin, une attention particulière sera mise en œuvre sur la transition avec le lycée.

Expérimentation «Du dernier mot aux parents» au collège Dupaty à Blan-quefort : l’enjeu de la communication avec les familles.

AMELIORER LA COHERENCEDES APPRENTISSAGES POUR ASSURER

LA CONTINUITE DES PARCOURS

Dossier de rentrée 2014 - 2015

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3.2

Dossier de rentrée 2014 - 2015

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3.2

MIEUX PRENDRE EN COMPTE LA DIFFICULTE SCOLAIRE

La MLDS positionne son champ d’action dans la mise en place et l’accompagnement d’actions de préven-tion et de raccrochage dans le cadre des réseaux « formation Qualification Emploi » (FoQualE).

Au-delà des 22 dispositifs destinés aux jeunes de 16-18 ans sans solution, hors de tout système de formation, d’insertion, ou d’accompagnement vers l’emploi, la MDLS réaffirme sa capacité à accompa-gner des jeunes primo-arrivants allophones (disposi-tif d’insertion pour primo-arrivants - DIPA) ou en maî-trise insuffisante de la langue française en poursuite de scolarité (modules Français Langue Etrangère - PRI FLE).

3 objectifs prioritaires sont définis : prévenir le dé-crochage scolaire, faciliter l’accès au diplôme et à la qualification, contribuer à la sécurisation des par-cours de formation.

A l’issue de cette année de construction, le jeune pourra soit candidater pour le lycée ou entrer en contrat de travail par alternance, ou bien encore en-trer dans d’autres parcours de formation proposés par le conseil régional.

La lutte contre les sorties prématurées et sans qualification répond à un objectif national, réaf-firmé dans la circulaire de rentrée 2014.

Des dispositifs liés à la rénovation de la voie pro-fessionnelle permettent de prévenir les abandons en cours de formation : l’accompagnement per-sonnalisé qui a vocation à accompagner le projet de l’élève, les enseignements généraux liés à la spécialité qui apportent un ancrage professionnel, le diplôme intermédiaire pour la sécurisation des parcours. Les périodes de formation en milieu professionnel sont un facteur de motivation à tra-vers la réalisation d’activités en entreprise.

Les deux niveaux de qualification, baccalauréat professionnel et CAP, participent à la réduction des sorties sans diplôme en offrant des parcours diversifiés et un accès possible à des poursuites d’étude. Les passerelles facilitent les change-ments d’orientation vers les autres voies de formation.

Les dispositifs relais constituent un des moyens de lutte contre le décrochage scolaire. En coopération avec la Justice, le Conseil Général et les associations complé-mentaires, ils proposent un accueil temporaire adapté avec un projet pédagogique et éducatif particulier.

En Gironde : • 2 ateliers relais aux collèges Atget de Libourne et

Vaillant de Bordeaux accueillent depuis 2006-2007 12 jeunes par session de 4 à 6 semaines. La prise en charge permet la remobilisation scolaire et un retour rapide dans le collège d’origine.

• 1 classe relais au collège Jean Zay de Cenon depuis 1998 permet l’accueil d’une douzaine de jeunes sur quelques mois et vise la remédiation scolaire afin de retrouver les bases nécessaires à un parcours serein.

• 1 internat relais ouvert en janvier 2014 au collège Saint Joseph de Blanquefort en coopération avec la Fondation des Apprentis d’Auteuil accueille des élèves gravement absentéistes ou en risque majeur de rupture avec l’école. L’accompagnement éducatif renforcé par l’internat pour une année scolaire favo-rise la reprise d’une formation diplômante, l’appren-tissage de la responsabilité et l’autonomie.

La définition même des missions de l’école pri-maire la place au cœur de la dynamique de prévention de l’illettrisme.

Cette logique est reprise et développée au sein du Plan Régional de Lutte et de Préven-tion contre l’Illettrisme qui a été signé dans l’académie de Bordeaux.

Des actions spécifiques ont été mises en œuvre sur certains territoires de l’éducation prioritaire. Dans le département de la Gironde, plusieurs dispositifs particuliers ont été initiés et expéri-mentés dans le but de mesurer les effets de pédagogies qui favorisent la personnalisation des parcours d’élèves rencontrant des difficul-tés dans les apprentissages sans pour autant relever de prises en charge spécialisées. Un travail spécifique a été ainsi mis en œuvre en maternelle dans le champ du langage oral. En cycle 2, des modules d’approfondissement des compétences en lecture et en écriture (MACLE) ont été programmés.

Les dispositifs relais La prévention de l’illettrisme

La lutte contre le decrochage dans la voie professionnelle

La mission de lutte contre le décrochage scolaire (MDLS)