Cours 1 (Backs)
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Cours
Sté EUREK’ALL
Introduction à l’Etude des Formes
Cours de 1ière Année
Il y eut la Grande Ourse, la Petite Ourse, Cassiopée, le
Navire, la Croix du Sud, et beaucoup d’autres…
Il en est une nouvelle : l’Imprévue.
Elle suggère…
Anne-Marie Branca
La Forme qui harmonise
l’Espace avec le Vivant
IDALAB®
EUREK’ALL
Sté EUREK’ALL Mme BRANCA 76 rue Didot ( 01 45 41 40 54
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EUREK’ALL
fil maintenu parl’expérimentateur
masselote
cylindre creux encuivre pour éviter lescourants d’air (courantsde convection)
treuil
le tout posé sur une table
fil lâche
Au bout d’un moment le pendule se déplace. Il faut comprendre que l’objet technique
pendule - fil avec masselote au bout - se trouve à ne plus être tout à fait cela ; on dira
qu’il s’est délocalisé partiellement, ce qui entraîne que les critères qui établissent la
physique habituellement ne sont plus tout à fait valables.
Pareillement pour la baguette : même avec peu d’entraînement on se rend compte que le
mouvement de la baguette n’est pas dû à un réflexe musculaire dirigé en vue d’une
rotation. La baguette tourne de 100 à 180° alors que les mains crispées s’opposent au
mouvement, à tel point qu’on obtient dans ces conditions la rupture de la baguette. On
peut réaliser une fourche avec une herbe sèche, la plier en V. Etant très souple, elle ne
tourne pas mais se plie vers le bas, mouvement impossible par action musculaire des
mains. On peut prendre aussi 2 ressorts liés à une extrémité et tenus à l’autre, mis en V,
la pointe en bas. Ce V, trop lourd et trop mou, doit être tenu verticalement. Lorsqu’on
passe, avec une convention mentale sur un cours d’eau souterrain, la pointe en V
remonte en avant ou en arrière ce qui est impossible à réaliser par action musculaire.
Si la baguette se relève, il vient à l’idée de faire intervenir une force verticale qui agit de
bas en haut sur la baguette. Mais au cours de son mouvement, cet instrument n’est plus
un objet technique ; on ne peut raisonner sur lui comme on le fait pour les objets décrit
dans le monde rationnel. La pesanteur ne semble plus agir pareillement dans le cas des
lévitations d’objets ou d’êtres humains. Effectivement d’autres caractéristiques
apparaissent sur ces objets et êtres humains qui montrent que leur délocalisation
s’accentue. Les processus de mesure ne fonctionnent presque plus. Et vouloir les
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EUREK’ALL
Les Formes vues par les Anciens et les Modernes
Les formes sont liées à des repères ou sont elles-mêmes des repères.
Le repère, pour cette étude, est fondamental. Il permet à l’observateur de décrire ce qui
l’entoure. Il projette ses repères dans l’infiniment grand ou l’infiniment petit. Il se décrit
lui-même par des repères.
Le repère peut être un système d’axes à partir d’une origine et d’une unité de mesure ; il
peut être d’ordre comparatif : meilleur que, plus beau que… Il peut même correspondre
à une nature vague qui va permettre de donner une description plus précise. Il peut-être
lié à la notion d’appartenance : à « contenu dans… ».
Ce repère est important car nous allons postuler « l’existence sans repères ».
Ainsi, dans la vie humaine, on utilise des concepts où n’apparaissent pas de mesure, pas
de repères. Aussi trouve-t-on les concepts suivants : amour, bonté, douleur insoutenable
aussi bien physique que morale, etc…
Cette existence sans repères sera appelée « le Global », l’existence avec repères étant
« le Local ».
Il n’y aura qu’un Global alors qu’on pourra trouver des « Local ». Le monde décrit par
la pensée rationnelle est un « Local » particulier, mais d’autres « Local » sont possibles.
Des voyageurs en ont parfois décrit. Notre société refuse ces apports qu’elle ne peut
assimiler.
Tout ceci entre dans la « Théorie des Champs de cohérence2 ».
On ne dira pas que les concepts d’amour, peur, douleur intense, état de bien être… sont
dans le Global car il aurait alors une notion d’appartenance donc une mise en place de
repères, mais plutôt liés au Global. « Etre lié » dans le langage des formes tel que nous le
développons n’entraîne aucunement le concept des repères.
La forme est pour nous plus ou moins repérable - Elle peut être dans le Local par
exemple le local usuel, c’est à dire tel qu’on nous l’a présenté, imposé -.
2 Voir les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, Jacques Ravatin et A.M. Branca
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EUREK’ALL
• soit mesurer les phénomènes liés au Local, eux le sont puisque partie
intégrante de notre monde rationnel, le local usuel.
• soit utiliser des mancies.
Pourquoi les mancies ? ! : elles semblent vieilles comme le monde.
Pendule, baguette, lancer de pierres, vols d’oiseaux, interprétation de signes etc…
fonctionnent dans le sens qu’ils donnent des informations car l’observateur s’oblige à
refaire sa démarche cérébrale.
Le cerveau humain travaille dans l’errance et se trouve face à l’imprévu : par ce
processus il « découvre ». C’est-à-dire qu’il extirpe de lui-même ce qui est
potentiellement existant. L’être humain, l’observateur7, n’est pas uniquement ce que l’on
pense dans le C. de C. usuel, mais il est en grande partie non repérable et c’est ainsi que
la mancie prend sa valeur.
Quelques conseils
En recherche par mancies se déclenchent des phénomènes - qui varient suivant les
personnes - et permettent de travailler, dans certains cas sans outil - baguette, pendule,
etc… -. Des moyens extra-sensoriels se placent qui sont des odeurs, goûts dans la
bouche, sensation de pieds mouillés au passage de courants d’eau, sensations
indéfinissables sur certaines parties du corps et même sensations douloureuses parfois, un
réflexe musculaire.
On appelle pallomancie la pratique du pendule. Ce terme a été oublié pour radiesthésie
qui est là pour rappeler qu’on est lié à des phénomènes proches des radiations alors que
ce n’est pas du tout cela.
La rhabdomancie est la voyance à l’aide de la baguette. Il est supposé, par analogie avec
la vision rationnelle, qu’entre deux points, si une information de l’un se retrouve dans
l’autre, on détecte quelque chose entre les deux. Ainsi, dans le domaine qui nous
préoccupe, les affirmations du genre : « les objets rayonnent », « émettent », « ce lieu est
chargé », sont des affirmations fréquentes et sans fondement aucun.
7 Dans les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, puis de Jacques Ravatin puis dans l’ouvrage à paraître de J. Ravatin et A.M. Branca « Théorie des Formes et des Champs de Cohérence », le mot observateur est remplacé par celui de obs qui est plus général que celui d’observateur tel qu’on le découvre en physique.
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EUREK’ALL
être ressorti de la boîte il retrouvera sa forme première. Alors que les bas-reliefs sont
totalement déformés si on n’a pas conscience de l’existence d’une autre pensée que le C.
de C. usuel (rationnel). Cette autre pensée est appelée « Autre Champ de Cohérence »
ou « Champ de Cohérence Dynamique ». Dans l’autre C. de C., les bas-reliefs,
monuments anciens, langues anciennes, histoire et légendes anciennes, vont donner leur
véritable signification.
On peut se poser la question :
En postulant l’existence de l’Autre C. de C., en le construisant peu à peu, cela suffit-il
pour être sûre que l’on rattrape la pensée des Anciens, ou les Pensées des Anciens ? Il
semble que la réponse est positive lorsqu’on découvre l’opérativité de certaines formes
retrouvées ou fabriquées ! Mais il faut encore tenir compte du fait que ces formes vont
être dans la représentation rationnelle de l’E-T, tout cela constitue une représentation,
qui n’est certainement pas celles des Anciens. Alors on peut provoquer des transferts
entre forme du présent et du passé plus ou moins lointain.
La pensée a ceci de bien fait : qu’elle peut créer le concept qui permet d’accéder d’une
connaissance à une autre sans rapport avec la première. Il s’agit donc du « Transfert ».
Le monde est une création du cerveau ; en même temps que le cerveau imagine,
l’observateur se plonge, se dilue dans sa construction. Le processus n’est pas rationnel3
même pour la construction du C. de C. rationnel.
Le transfert permet de passer du C. de C. usuel à l’autre C. de C., des formes comme des
alphabets anciens contribuent à faciliter l’accès à cette connaissance, cette sensation,
cette compréhension ; de plus, il y a de multiples formes qui permettent ce passage.
Pour les Anciens, les formes étaient fondamentales alors que dans notre monde moderne,
elles sont des conséquences, des fonctionnalités pour la réalisation des Objets Techniques
(O-T) sauf quand on se trouve face aux Objets Esthétiques (O-E) [4] et [14], [2], [3] et
[15].
Les Objets Phénistes (O-P) sont, eux réalisés à partir de fonctionnalités délocalisées. Ils
correspondent à la plupart des objets réalisés par les Anciens.
Les formes partiellement localisées peuvent servir de repères. Tout être vivant est une
forme partiellement localisées, et même très peu localisée. Toute description entraîne-t-
elle un repère ? On peut toujours imaginer un espace abstrait auquel est associé une 3 Voir les ouvrages de Vladimir Rosgnilk, Jacques Ravatin et A.M. Branca
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EUREK’ALL
En résumé : on a trouvé 12 eifs.
V+, J, O, R, IR, N, V-, Bc, UVi, In, Bu
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EUREK’ALL
La création est un miroir idéal
que l’Esprit se présente à soi-même
afin que sa beauté lui apparaisse librement
et comme du dehors.
O.V. de L. Milosz
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EUREK’ALL
Figure 4 Figure 5
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EUREK’ALL
On va donc envisager les 2 premières formes-empreintes6. Elles vont être placées
verticalement. Elles permettent de détecter les eifs découvertes par Enel dites « eifs des
couleurs » ou par abréviation « couleurs » car elles furent découvertes à partir de
chiffons bleu, vert, jaune, rouge… Il fallut rajouter d’autres « couleurs », qui n’en sont
pas, comme le blanc, noir, infra-rouge, ultra-violet. On parle donc de spectre des
« couleurs ».
On a essayé de construire ce spectre des « couleurs » autrement, de façon à justifier ce
supplément qui n’est pas, sinon s’inspire du spectre électromagnétique, dans la partie
visible de ce spectre.
C’est là qu’interviennent les deux premières formes-empreintes.
Formes-empreintes et eifs
Il faut rappeler que ce qui est détecté dans ce domaine ne se trouve pas là, dans notre
champ de cohérence usuel, puisque c’est lié au Global ; par contre les effets se font à
certains endroits. On peut dire que la structure E-T sert de support. Mais servira-t-elle
toujours de support à une autre réalité qui ne la
concerne pas ? Il se peut que non ! A ce moment là
(si l’on peut dire), on aura des phénomènes qui ne
pourront en aucun cas être détectés, qui aurait une
existence liée au Global et peut-être même à autre
chose que nous ne développerons pas ici [15].
L’être humain devra alors imaginer un autre
support que la structure E-T et, si aucun support
ne se présente, l’être humain devra se transformer
pour concevoir de nouveaux concepts qui lui
donneront accès à ce support de remplacement ou
à des équivalents.
Voyons la première forme empreinte : on considère un cercle de centre O et de rayon
OA. Sur ce cercle, plaçons les points B, C, D tels que AOB = 75° ; C est
diamétralement opposé à A ; DOC = °30 . On peut prolonger OC en dehors du cercle.
6 Nous leur avons donné ce nom car elles apparaissent comme des empreintes dans un plan.
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Figure 1
EUREK’ALL
La forme ainsi décrite sans le cercle est dite forme-empreinte de première espèce (figure
1).
Considérons un cercle de centre O et de rayon OA. Les points B, C, D, E, F sont sur le
cercle, tels que AOB FOA EOF= = = °30 (Figure 2)
DOE = °50
C est diamétralement opposé à A
On peut prolonger OC à l’extérieur du cercle. Telle est la forme-empreinte de 2 ième
espèce.
Ces deux formes (de 1ière et 2ième espèce) peuvent être placées dans des plans verticaux, le
point A sera considéré alors le plus haut et AC est perpendiculaire au
plan horizontal.
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Figure 2
Figure 3