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Série A, N° 3456 N° d'ordre

4356 THÈSES PRÉSENTÉES

A LA FACULTÉ DES SCIENCES DE L'UNIVERSITÉ DE PARIS

POUR OBTENIR

LE GRADE DE DOCTEUR ÈS SCIENCES PHYSIQUES PAR

Roland BARLOUTAUD

PREMIÈRE THÈSE

Contribution à l'étude des états collectifs des noyaux lourds par excitation coulombiennne.

DEUXIÈME THÈSE

Propositions données par la faculté

Soutenues le 19 Juin 1958 devant la Commission d'Examen. Q Ci

MM. PERRIN Président

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FACULTÉ DES SCIENCES DE L'UNIVERSITÉ DE PARIS

PROFESSEURS . Doyen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . J. PERES

G. JULIA T Analyse supérieure et Algèbre supérieure DE BROGLIE T Théories physiques PRENANT T Anatomie et histol. comparées PERES T Mécanique des fluides et applications BARRA BE T Géologie struct. et Géologie appliquée BOURCART T Géogr. physique et Géol. dynamique PLANTEFOL T Botanique GRASSE T Evolution des êtres organisés PREVOST T Chimie organique BOULIGAND T Application de l'analyse à la Géométrie CHAUDRON T Chimie appliquée WYART T Minéralogie TEISSIER T Zoologie MANGENOT T Biologie végétale P. AUGER T Physique quantique et relativité MONNIER T Physiologie générale PIVETEAU T Paléontologie ROCARD T Physique (E.N.S.) H. CARTAN T Mathématiques (E.N.S.) LAFFITTE T Chimie Générale FAVARD T Géométrie supérieure COULOMB T Physique du Globe Mlle COUSIN T Biologie animale (S. P.C. N. ) CHRETIEN T Chimie minérale P. DRACH T Zoologie KASTLER T Physique (E.N.S.) EPHRUSSI T Génétique WURMSER T Biologie physicochimique RIVIERE T Géologie (SPCN) Orsay GAUTHERET T Biol. Végétale (PCB) LUCAS T Recherches Physiques A. THOMAS T Biol. cellulaire ARNULF T Optique appliquée M. MORAND T Enseignement de Physique SOLEILLET T Physique (P. C. B. ) FORTIER T Mécanique expérimentale des fluides DANJON T Astronomie PETIT T Biologie maritime QUENEY T Météorologie et dynamique atmosphérique GALLIEN T Embryologie EICHHORN T Biologie végétale (S. P.C.N. ) DE CUGNAC T Biologie végétale (S. P. C.N.) Mlle CAUCHOIS T Chimie Physique THELLIER T Physique du Globe L'HERITIER T Génétique GRIVET T Radioélectricité PONCIN T Mécanique générale DUBREIL T Arithmétique et théorie des nombres QUELET T Chimie organique CAGNIARD T Géophysique appliquée CHAMPETIER T Chimie macromolécul. CUVILLIER T Micropaléontologie JUNG T Pétrographie TRILLAT T Microscopie et diffract. électronique WIEMANN T Chimie organique et structurale JACQUINOT T Spectroscopie et physique céleste VASSY T Physique de l'atmosphère DESTOUCHES T Théories physiques PRUVOST T Géologie AMIEL T Chimie générale HOCART T Minéralogie J. P. MATHIEU T Physique (Orsay) COUTEAUX T Biol. animale (PCB) MAY T Zoologie (Orsay) CHOQUET T Théor. des fonctions et Topologie FELDMANN T Biol. végétale marine GUINIER T Physique des Solides JOST T Physiologie comparée FORTET T Calcul des prob. et physique mathématique SCHWARTZ T Cale. diff. et Intégr. CHOUARD T Physiologie végétale MALAVARD T Aviation BRELOT T Calcul différentiel NORMANT T Synthèse organique BENARD T Chimie minérale BUVAT T Botanique (E.N.S.) DUGUE T Statistiques mathém. GELOSO T Chimie (S. P. C. No) SOULAIRAC T Psychophysiologie ULRICH T Physiologie végétale MARECHAL T Optique théorique et appliquée KIRRMANN T Théories chimiques CHADEFAUD T Botanique Mlle LE BRETON T Physiol. générale SALEM T Mathématiques générales L,ELONG T Mathématiques générales DLVILLERS T Anatomie et Histol. comparées EHRESMANN T Topologie algébrique FRANÇON T Physique (S. P. C. No) GLANGEAUD T Géogr. physique et Géologie dynamique GODEMENT T Mathématiques (MGP) PISOT T Techniques mathem. de la Physique ROCH E. T Géologie SCHATZMANN T Astrophysique TERMIEI, T Paléontologie stratigraphique ZAMANSKY T Mathématiques générales LENNUIER T Physique (Al. G. P. )

RIZET Génétique ROUTHIER T Géologie appliquée Mme TONNELAT T Relativité DIXMIER T Mathématiques (MPC) SOUCHAY T Chimie générale AIGRAIN T Electrotechn. générale BRUSSET Chimie minérale M. LEVY T Physique théorique des hautes énergies Mme CHAIX Chimie biologique Mme HUREL-PY Biol. vég. (P. C. B. ) PIAUX Chimie (M. P. C. ) BRUN T Mécanique exper. des Fluides LEDERER T Chimie biologique Mme DUBREIL T Mathématiques Mme LELONG T Mathem. (E.N.S.) BELLAIR T Géologie (S. P. C.N.) COTTE T Physique (Orsay) DUBOIS J. E. T Chimie organique LAMOTTE Zoologie (E.N.S.) MICHEL André T Chimie (S. P.C.N.) OLMER T Energétique Gle ROUAULT T Physique générale GAUTHIER T Mécanique appliquée BARCHEWITZ T Chimie Physique BROSSEL T Physique atomique BUSER Physiologie comparée CAMUS Physiol. Vég. (3e Cycle) CASTAING Physique générale CURIEN Minéralogie et cristallographie MOYSE T Physiol. Vég. (Orsay) PANNETIER Chimie (S. P. C. N. ) POSSOMPES T Zoologie PULLMANN Chimie théorique TEILLAC Physique nucléaire et radioactivité TONNELAT Biol. physico-chimique VILLE T Econométrie WILLEMART Chimie (P. C. B. ) DODE T Chimie (SPCN) Orsay FREYMANN T Physique générale GUINOCHET T Biol. Vég. (Orsay) ROLLET T Chimie (P. C. B. ) Mlle JOSIEN T Chimie (P. C. B. ) CHEVALLEY T Géométrie algébrique et théorie

des groupes ARNOULT T Electronique CHAPELLE T Physique (M. P.C.) (Orsay) DELANGE T Mathématiques (Orsay) DENY T Mathématiques (MGP) GERMAIN T Mécanique théorique des fluides LUCAS G. T Géologique ALLARD Chimie Physique BERTHELOT Physique Nucléaire et Radioactivité BRICARD Météorologie et Physique de l'AtmosphèrE Mme ALBE-FESSARD Psychophysiol. FRIEDEL Physique des Solides M. JULIA Etude des molécules organiques

complexes LENDER Biol. Animale (S. P.C.N.) (Orsay) MAGAT Physico-chimie des Rayonnements Mlle QUINTIN T Electrochimie MONOD T Chimie du métabolisme BENOIT T Physiologie animale DE POSSEL T Analyse numérique CHARLOT T Chimie analytique HAISSINSKY T Radiochimie LEMEE T Physiologie B. M. P. V. GUERIN T Chimie M. P. C. CHATELET M Chimie (S. P. C. N. ) JEAN Physique Nucléaire et Radioactivité MATTLER Physique (S. P. C. No) MICHEL (Louis) Physique théorique des hautes énergies RUMPF Chimie (P. C. B. ) BERGERARD Zoologie (Orsay) BERTEIN Electronique BOUISSlERES Chimie des Radioéléments Mme COUTURE Physique (P. C. B. ) ELLENBERGER Géologie Structurale et Géologie

appliquée FRANC Biologie animale SCHNELL Botanique tropicale STOLKOWSKI Physiologie générale ACHER Chimie Biologique (Orsay) BAUDOIN Biologie animale (P. C.B.) BEAUMONT Biologie animale (S. P.C.N.) BLAMONT Géophysique Ionosphère BOURREAU Biologie Végétale S. P. C. N. (Orsay) CURIE D. Physique (M. G. P. ) DURAND-DELGA Géologie FREON Chimie (P. C. B. ) HELLE P. Physiologie végétale TORTRAf Calcul des Probabilités CAILLEUX Géologie (S. P. C. N. ) MAGNAN Physique (M. P.C.) DAUDEL Mécanique Ondulatoire appliquée à la

chimie théorique et à la Physique Nucléaire

Mlle FOURCROY Biologie Végétale (S. P. C.N.)

Secrétaire général . . . . . . . . . . . . . . C. MONIER

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INTRODUCTION

L'excitation des noyaux atomiques par le champ électrique de particules chargées passant au voi- sinage s'est révélée un moyen efficace d'étude spectroscopique de ces noyaux. Cette méthode est certes réservée pratiquement à l'étude des transitions quadrupolaires des noyaux stables, mais l'abondance de ces transitions, spécialement dans les noyaux lourds, la rend particulièrement fructueuse. Son intérêt tient spécialement au fait qu'elle permet la mesure de l'énergie et de la probabilité des transitions étudiées, cette dernière quantité étant souvent très difficile à atteindre par d'autres méthodes.

Un autre avantage essentiel de l'étude des niveaux par excitation coulombienne est que l'interpré- tation des expériences ne dépend que des propriétés du seul noyau étudié alors que, par exemple, dans la spectroscopie nucléaire, par étude des désintégrations de noyaux radioactifs, cette interprétation dé- pend des propriétés de deux noyaux (noyau père et noyau fils). En particulier, tous les niveaux ayant des propriétés semblables seront excités avec des rendements du même ordre. C'est pourquoi l'excitation coulombienne est un moyen bien adapté à une étude systématique des propriétés nucléaires et particuliè- rement à celles liées aux mouvements collectifs des nucléons dans le noyau.

Ces derniers, en effet, ne dépendent pas de la structure particulière d'un noyau déterminé mais varient d'une façon continue en fonction du nombre de nucléons. Le modèle collectif de A. Bohr et B. Mottelson, les décrivant, a reçu maintenant suffisamment de confirmations pour être bien établi. Cependant, les vérifications expérimentales les plus précises et de loin les plus nombreuses jusqu'ici, se sont attachées aux propriétés des niveaux de rotation des noyaux déformés.

Les prédictions théoriques du modèle collectif concernant les propriétés des niveaux de vibration qui, en principe, existent dans tous les noyaux, sont beaucoup moins précises que celles ayant trait aux niveaux de rotation.

Nous avons ainsi, en étudiant l'excitation coulombienne de noyaux dont la déformation d'équilibre variait d'une valeur assez élevée jusqu'à zéro, tenté d'apporter une contribution à la connaissance des propriétés des niveaux de vibration des noyaux lourds.

Après un rappel rapide, d'une part, de la théorie et de l'application de la méthode d'excitation cou- lombienne à la spectroscopie nucléaire, et, d'autre part, des prévisions du modèle collectif, nous dé- crirons les expériences ayant trait à l'étude de noyaux dont le nombre atomique est compris entre 74 et 82. Ces expériences seront interprétées, dans le dernier chapitre, à la lumière du modèle collectif.

Nous nous efforcerons, dans ce chapitre, d'intégrer les résultats que nous avons obtenus dans la systématique des niveaux collectifs, en notant qu'ils donnent à eux seuls une idée assèz complète des di- vers cas possibles.

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CHAPITRE I

MODÈLE COLLECTIF

I - GENERALITES - Comme on le sait, le modèle des couches., inspiré du modèle atomique, suppose que, dans un

noyau, les nucléons se meuvent dans un potentiel moyen dont la forme est indépendante des noyaux. Ce potentiel, judicieusement choisi, permet de retrouver les nombres "magiques" de nucléons mis en évi- dence expérimentalement. Cette réussite prouve effectivement que ce potentiel de symétrie sphérique (oscillateur harmonique ou puits de potentiel), s'adapte bien aux noyaux dont le nombre de nucléons est magique, et que ceux-ci ont aussi une forme sphérique tout à fait compatible avec leur énergie de liai- son. Mais, alors que le modèle des couches a pu expliquer avec succès certaines propriétés des noyaux impairs assez voisin des noyaux magiques en considérant simplement le mouvement du nucléon céliba- taire dans le potentiel choisi, son échec a été à peu près total dans le cas des noyaux impairs très éloi- gnés des "couches fermées". En effet, dans le cas d'un cœur sphérique entouré de quelques nucléons, on peut admettre que le potentiel moyen est essentiellement déterminé par le cœur, donc est conforme à celui choisi par la théorie ; par contre, lorsque les nucléons extérieurs deviennent nombreux, ils ten- dent (comme le montre en particulier la systématique des moments quadrupolaires) à déformer le noyau et, par suite, le potentiel moyen. C'est pourquoi l'introduction d'un potentiel ellipsoïdal (51) permet d'expliquer avec beaucoup de succès certaines propriétés des noyaux déformés fortement éloignés des noyaux magiques. En particulier, les niveaux des noyaux impairs s'interprètent comme les états liés du dernier nucléon ; le potentiel est ainsi de nouveau bien adapté au problème étudié.

Cependant, on ne peut espérer que la description du système nucléaire à l'aide d'un potentiel moyen fixé soit complète. Cette hypothèse élimine, en effet, a priori, les mouvements collectifs des nucléons au cours desquels la forme du potentiel (qui doit être constamment adaptée à la forme nucléaire) est va- riable. Une façon simple d'introduire ces mouvements collectifs dans l'hamiltonien décrivant le noyau, est de considérer que les coordonnées fixant la forme du potentiel varient en fonction du temps (22). Ces variations des coordonnées peuvent s'interpréter comme représentant soit des vibrations autour d'une forme d'équilibre, soit des rotations d'ensemble (lorsque la forme d'équilibre du noyau n'est pas sphé- rique). Une image commode de ces mouvements collectifs peut être tirée du modèle hydrodynamique de la goutte liquide.

La décomposition de l'hamiltonien en une partie "collective" et une partie "intrinsèque" décrivant le mouvement des nucléons dans le potentiel fixe n'est intéressante que dans la mesure où le mouvement du potentiel ne réagit que peu sur le mouvement intrinsèque et vice-versa. Ceci se produit lorsque la forme du potentiel est particulièrement stable c'est-à-dire :

- dans le cas où l'on a peu de nucléons à l'extérieur des couches fermées (couplage faible entre les nucléons et la déformation) et où l'on peut traiter à peu près indépendamment les deux mouve- ments ;

- dans le cas où, au contraire, de nombreux nucléons extérieurs déforment fortement le noyau et où le mouvement collectif, beaucoup plus lent que le mouvement intrinsèque, ne perturbe pas sensiblement les configurations internes des nucléons (hypothèse adiabatique). Dans ce dernier cas, les nucléons extérieurs aux couches fermées participent fortement aux mouvements collectifs que l'on doit étudier pour l'ensemble du noyau déformé (couplage fort), alors que, dans le couplage faible, les mou- vements collectifs intéressent essentiellement le cœur.

De plus, les deux mouvements seront, toutes choses égales d'ailleurs, mieux séparés dans les noyaux pair-pairs que dans les noyaux impairs ; en effet, dans les premiers, "l'excitation intrinsèque" d'un nucléon requiert la rupture d'une paire et correspond à un niveau d'énergie nettement plus élevé que celui dû à l'excitation du nucléon célibataire des noyaux impairs. C'est pourquoi l'étude du mouvement collectif sera plus aisée pour les noyaux pair-pairs dont les premiers niveaux sont essentiellement in- terprétables par ce mouvement.

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II - PREDICTIONS DU MODELE COLLECTIF -

Nous nous bornerons à résumer les prédictions du modèle collectif (22, 23) dans les deux cas ex- trêmes des noyaux sphériques et des noyaux très déformés, puis nous indiquerons les diverses interpo- lations qui ont été faites pour expliquer les propriétés des noyaux n'appartenant ni à l'une ni à l'autre de ces catégories.

La déformation des noyaux supposée d'ordre 2 (noyaux ellipsoïdaux) est mesurée par deux coor- données P et y • Tandis que est une mesure de la déformation totale du noyau, y est un paramètre an- gulaire de forme décrivant l'asymétrie cylindrique de l'ellipsoïde nucléaire. Dans le cas d'un ellipsoïde de révolution, y est un multiple de '9/ 3 et

R0 étant le rayon nucléaire moyen et A R la différence entre le plus grand et le plus petit axe. L'énergie potentielle de la déformation s'écrit (pour de petites valeurs de p et une forme d'équi-

libre sphérique) :

C étant un paramètre représentant une tension de surface nucléaire. L'énergie cinétique de vibration

renferme B représentant un paramètre d'inertie associé à la vibration. Les paramètres B et C peuvent être évalués par un modèle hydrodynamique. En particulier dans l'hypothèse d'oscillations d'une goutte de rayon R0 et de masse M d'un liquide incompressible ayant un flux irrotationnel :

1/ - Noyaux sphériques -

Les noyaux formés d'un cœur entouré de quelques nucléons gardent une forme sphérique. Dans les noyaux impairs, le mouvement intrinsèque peut être représenté par l'excitation d'un nucléon dans le po- tentiel créé par le cœur et le moment angulaire de ce nucléon est un bon nombre quantique. Cependant, le faible couplage existant entre les nucléons et le cœur peut induire de petits mouvements collectifs et ainsi augmenter les probabilités de transition. Dans les noyaux pairs, la vibration d'ordre 2 autour d'une forme d'équilibre sphérique est régie, pour de petites amplitudes, par le potentiel de l'oscillateur har-

monique V = 21 C p2 indépendant de la coordonnée y . Dans ces conditions, on obtient un spectre de pho- nons -ou quanta de vibration- de spin 2 et de fréquence :

caractérisé par les nombres quantiques I, M (moment angulaire et sa projection sur un axe fixe), n,B' \ qui spécifient les types de vibration. Le nombre de photons N qui donne en valeur relative l'énergie du niveau est tel que

N = 2 ng + X.

Pour les premiers niveaux, on a :

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IMP. LOUIS-JEAN - GAP

Dépôt légal r 210- 1960

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