CONSOMMATION ÉCONOMIE Sovab:lescléschangentdemain · 2017. 4. 10. · laRussie,laLorraine,...

1
Un sentiment avant votre départ… Pascal FELTEN : « C’est toujours aller vers l’inconnu. Parce que l’on quitte quelque chose que l’on aime. Que l’on a l’impression de maîtriser. » Votre nouvelle fonction… « Je serai directeur industriel pour l’Afrique, le Moyen- Orient et l’Inde, soit six usines réparties sur cinq fuseaux horaires. J’aurai à superviser ces usines, sur le plan indus- triel, logistique, de la qualité du produit avec un coût le plus bas possible. » Un tout autre quotidien… « Dans le job, pas vraiment, mais c’est vrai que cela va changer : je serai basé à Dubaï, avec une présence régulière à Paris. Ce n’est pas vraiment comme une réelle expatriation. Une certitude, je vais passer du temps dans les avions. » Votre famille a l’habitude de boucler souvent les valises… « Avant la Lorraine, j’étais en poste en Espagne, puis au Japon et en Russie. Mainte- nant, c’est un autre conti- nent. Bon, c’est une belle promotion : il faut avoir des arguments pour refuser ! Évidemment, c’est une déci- sion que l’on prend ensem- ble en famille. Elle me rejoindra sans doute après quelques mois. C’est sûr, mes enfants de 16, 15 et 10 ans devront à nouveau s’habituer. » Revenons à Batilly, quelle est votre plus grande fierté ? « C’est d’abord la fierté du travail effectué, d’avoir fait progresser l’usine. J’ai davantage un rôle de chef d’orchestre dans une usine qui a accompli beaucoup. Également, je suis satisfait d’avoir pu maintenir un dia- logue social. Et nous avons toujours eu une relation de transparence avec les élus du secteur, sur la santé de l’usine. D’ailleurs, tous étaient présents lors de mon départ, le maire de Briey, Guy Vattier, se faisant l’interlocuteur des élus du secteur. Satisfaction enfin que les ventes de Master repren- nent ! 2014 fut une bonne surprise. Après, l’activité ne vient pas toute seule, elle est aussi là parce que l’usine a des qualités reconnues avec un prix de revient que nous avons réussi à améliorer. Cela a des répercussions directes : le patron de succursale a un véhi- cule sur lequel il peut faire une marge, et sur lequel il n’aura pas de retours négatifs de la part de ses clients. Donc, il misera sur les ventes du Master, c’est un cercle vertueux. » Un regret, peut-être ? « Nous sommes reconnus comme une usine dynamique. Mais pas encore comme l’usine numéro 1 de la perfor- mance. » ÉCONOMIE à compter de demain à l’usine de batilly Sovab : les clés changent de main Trois ans jour pour jour après son arrivée comme directeur de la Sovab à Batilly, Pascal Felten est appelé à d’autres fonctions au sein de la marque au losange. C’est une femme, Anne Renaud-Abboud, qui prend en main l’usine. Anne Renaud-Abboud reçoit symboliquement les clés de l’usine Sovab des mains de son prédécesseur Pascal Felten. L’usine en bref L’usine Sovab de Batilly, depuis fin octobre et la suppression de l’équipe de nuit, c’est… • 2 186 employés en CDI • 75 personnels de Renault détachés d’autres sites en France • 180 intérimaires Le Renault Master, c’est… • Une place de leader sur le marché français de l’utilitaire • 432 véhicules sortis chaque jour des chaînes • Une estimation de 110 000 Master produits en 2014 • Une prévision de 117 000 voire 118 000 Master pour 2015 avec sans doute une augmentation de la cadence, et à nouveau la mise en place d’une équipe de nuit pour répondre à une demande commerciale en hausse du Master phase "prime". Lire également en pages Région. Parlez-nous de votre parcours professionnel, avant la Sovab… Anne RENAUD-ABBOUD : « Il est quasiment à 100 % en interne. Chez Renault. J’ai d’abord démarré en usine. Six ans à Sandouville. Du management de terrain, ce que l’on fait en sortant d’une école. » Les utilitaires, du côté commercial… « Oui, avant de partir une quinzaine d’années à la direction commerciale. D’abord, des succursales, puis la direction commerciale des fourgons, de 2001 à 2006. J’ai donc une connaissance assez nourrie des Trafic et Master ! Et j’ai toujours eu un appétit pour le véhicule utilitaire, j’apprécie les relations que l’on peut avoir avec la clientèle. » Ensuite la crise, une période tendue j’imagine… « À partir de 2006, j’étais à la direction des prévisions et à la programmation commerciale. Pour le monde. En pleine crise, il fallait faire très attention aux stocks, vendre les bonnes voitures, au bon client et au bon moment. » Puis une orientation vers l’Afrique… « En 2010, j’ai pris la direc- tion commerciale Euromed- Afrique, un poste en région parisienne. En fait, l’Afrique et le bassin méditerranéen, plus précisément la Turquie, la Rou- manie et Bulgarie. Des bastions historiques du groupe. Il y a aussi la filiale marocaine, la plus ancienne à l’internationale de Renault. On a fait une offen- sive de reconquête en Afrique subsaharienne. Voilà, j’ai bou- clé la boucle. Avec la Sovab, je suis revenue à la production. » Ça change beaucoup de choses ? « C’est différent par rapport aux gens que l’on a en face. Mais il y a toujours le management et le travail sur la performance. » Et une femme aux commandes d’une usine avec un effectif à 90 % masculin ? « Deux réflexions : d’abord, au début, je ne me rendais pas compte que j’étais remarquée par les autres femmes. Dans le bon sens. Au sein des équipes, elles se reconnaissent plus facilement en vous. Ensuite, il y a le rapport à la performance. L’autorité d’une femme n’est pas dans le rapport de force. Il y a davantage de qualité dans les relations. La contrepartie : quand on est moins dans l’autorité, la réponse peut être moins rapide. » Et comment ont réagi les salarié(e)s ? « L’accueil est excellent, quel que soit l’endroit où je suis allée. Et cela a créé une émotion parmi les femmes de l’usine (10 % du personnel). » Votre touche personnelle ? « On met forcément sa patte. Imprimer son propre rythme. Après, les indicateurs de performance sont les mêmes. » «L’autorité d’une femme n’est pas dans le rapport de force » Anne Renaud-Abboud, en poste en région parisienne, avait en charge la direction commerciale Euromed-Afrique. « Superviser six usines au Moyen-Orient en Inde et en Afrique » Après l’Espagne, le Japon, la Russie, la Lorraine, Pascal Felten sera basé à Dubaï et à Paris. Photos René Bych ; Textes Olivier Chaty.

Transcript of CONSOMMATION ÉCONOMIE Sovab:lescléschangentdemain · 2017. 4. 10. · laRussie,laLorraine,...

  • Horizons 54Dimanche 30 Novembre 2014 MMN 21

    Un sentiment avant votre départ…Pascal FELTEN : « C’est toujours aller vers l’inconnu.

    Parce que l’on quitte quelque chose que l’on aime. Que l’ona l’impression de maîtriser. »

    Votre nouvelle fonction…« Je serai directeur industriel pour l’Afrique, le Moyen-

    Orient et l’Inde, soit six usines réparties sur cinq fuseauxhoraires. J’aurai à superviser ces usines, sur le plan indus-triel, logistique, de la qualité du produit avec un coût le plusbas possible. »

    Un tout autre quotidien…« Dans le job, pas vraiment, mais c’est vrai que cela va

    changer : je serai basé à Dubaï, avec une présence régulière àParis. Ce n’est pas vraiment comme une réelle expatriation.Une certitude, je vais passer du temps dans les avions. »

    Votre famille a l’habitude de boucler souvent lesvalises…

    « Avant la Lorraine, j’étais en poste en Espagne, puis auJapon et en Russie. Mainte-nant, c’est un autre conti-nent. Bon, c’est une bellepromotion : il faut avoir desarguments pour refuser !Évidemment, c’est une déci-sion que l’on prend ensem-ble en famille. Elle merejoindra sans doute aprèsquelques mois. C’est sûr,mes enfants de 16, 15 et 10ans devront à nouveaus’habituer. »

    Revenons à Batilly,quelle est votre plusgrande fierté ?

    « C’est d’abord la fierté dutravail effectué, d’avoir faitprogresser l ’usine. J’aidavantage un rôle de chefd’orchestre dans une usinequi a accompli beaucoup.Également, je suis satisfaitd’avoir pu maintenir un dia-logue social. Et nous avons toujours eu une relation detransparence avec les élus du secteur, sur la santé de l’usine.D’ailleurs, tous étaient présents lors de mon départ, le mairede Briey, Guy Vattier, se faisant l’interlocuteur des élus dusecteur. Satisfaction enfin que les ventes de Master repren-nent ! 2014 fut une bonne surprise.

    Après, l’activité ne vient pas toute seule, elle est aussi làparce que l’usine a des qualités reconnues avec un prix derevient que nous avons réussi à améliorer. Cela a desrépercussions directes : le patron de succursale a un véhi-cule sur lequel il peut faire une marge, et sur lequel il n’aurapas de retours négatifs de la part de ses clients. Donc, ilmisera sur les ventes du Master, c’est un cercle vertueux. »

    Un regret, peut-être ?« Nous sommes reconnus comme une usine dynamique.

    Mais pas encore comme l’usine numéro 1 de la perfor-mance. »

    Sébastien Mossière est magicien illusionniste et proposeun spectacle familial produit par Arthur Jugnot. Photo DR

    Sébastien Mossière est artiste mais aussi comédien,on l’a vu notamment dans Scènes de ménage sur M6…Il est également illusionniste et ce, depuis l’âge de6 ans.

    Dans le troisième volet de l’apprenti magicien, ilraconte comment sa rencontre avec une fée a boule-versé son quotidien. Vexée de l’accueil qui lui est fait,Paulette va lui retirer tous ses pouvoirs.

    À l’aide de tours, de gags, de mimes, ce personnagedéjanté parvient à conduire dans son univers aussi bienles enfants que leurs parents. C’est drôle et tous vont enredemander.

    Le spectacle Magicien malgré lui, produit parArthur Jugnot, est à voir mercredi 3 décembreà 17h à la Passerelle de Florange.Tarif : 10 €.

    SPECTACLE FAMILIAL le 3 décembreL’apprenti magicienet la fée Paulette

    ÉCONOMIE à compter de demain à l’usine de batilly

    Sovab : les clés changent de mainTrois ans jour pour jour après son arrivée comme directeur de la Sovab à Batilly, Pascal Felten est appelé à d’autres fonctions

    au sein de la marque au losange. C’est une femme, Anne Renaud-Abboud, qui prend en main l’usine.

    Anne Renaud-Abboud reçoit symboliquementles clés de l’usine Sovab des mainsde son prédécesseur Pascal Felten.

    L’usine en brefL’usine Sovab de Batilly, depuis fin octobre et la suppression de

    l’équipe de nuit, c’est…• 2186 employés en CDI• 75 personnels de Renault détachés d’autres sites en France• 180 intérimaires

    Le Renault Master, c’est…• Une place de leader sur le marché français de l’utilitaire• 432 véhicules sortis chaque jour des chaînes• Une estimation de 110000 Master produits en 2014• Une prévision de 117 000 voire 118 000 Master pour 2015avec sans doute une augmentation de la cadence, et à nouveaula mise en place d’une équipe de nuit pour répondre à unedemande commerciale en hausse du Master phase "prime".

    Lire également en pages Région.

    Parlez-nous de votre parcours professionnel, avant laSovab…

    Anne RENAUD-ABBOUD : « Il est quasiment à 100 % eninterne. Chez Renault. J’ai d’abord démarré en usine. Six ansà Sandouville. Du management de terrain, ce que l’on fait ensortant d’une école. »

    Les utilitaires, du côté commercial…« Oui, avant de partir une quinzaine d’années à la direction

    commerciale. D’abord, des succursales, puis la directioncommerciale des fourgons, de 2001 à 2006. J’ai donc uneconnaissance assez nourrie des Trafic et Master ! Et j’aitoujours eu un appétit pour le véhicule utilitaire, j’apprécieles relations que l’on peut avoir avec la clientèle. »

    Ensuite la crise, une période tendue j’imagine…« À partir de 2006, j’étais à la direction des prévisions et à laprogrammation commerciale. Pour le monde. En pleine crise,il fallait faire très attention aux stocks, vendre les bonnesvoitures, au bon client et au bon moment. »

    Puis une orientation versl’Afrique…

    « En 2010, j’ai pris la direc-tion commerciale Euromed-Afrique, un poste en régionparisienne. En fait, l’Afrique etle bassin méditerranéen, plusprécisément la Turquie, la Rou-manie et Bulgarie. Des bastionshistoriques du groupe. Il y aaussi la filiale marocaine, laplus ancienne à l’internationalede Renault. On a fait une offen-sive de reconquête en Afriquesubsaharienne. Voilà, j’ai bou-clé la boucle. Avec la Sovab, jesuis revenue à la production. »

    Ça change beaucoup dechoses ?

    « C’est différent par rapportaux gens que l ’on a enface. Mais il y a toujours lemanagement et le travail sur laperformance. »

    Et une femme aux commandes d’une usine avec uneffectif à 90 % masculin ?

    « Deux réflexions : d’abord, au début, je ne me rendais pascompte que j’étais remarquée par les autres femmes. Dans lebon sens. Au sein des équipes, elles se reconnaissent plusfacilement en vous. Ensuite, il y a le rapport à la performance.L’autorité d’une femme n’est pas dans le rapport de force. Il ya davantage de qualité dans les relations. La contrepartie :quand on est moins dans l’autorité, la réponse peut êtremoins rapide. »

    Et comment ont réagi les salarié(e)s ?« L’accueil est excellent, quel que soit l’endroit où je suis

    allée. Et cela a créé une émotion parmi les femmes de l’usine(10 % du personnel). »

    Votre touche personnelle ?« On met forcément sa patte. Imprimer son propre rythme.

    Après, les indicateurs de performance sont les mêmes. »

    «L’autorité d’une femmen’est pas dans

    le rapport de force»

    Anne Renaud-Abboud, enposte en région parisienne,

    avait en charge ladirection commerciale

    Euromed-Afrique.

    «Superviser six usinesau Moyen-Orient

    en Inde et en Afrique »

    Après l’Espagne, le Japon,la Russie, la Lorraine,

    Pascal Felten sera baséà Dubaï et à Paris.

    Photos René Bych ;Textes Olivier Chaty.

    Pour rouler au Luxembourg,ils sont obligatoires dès le1er octobre. En Allemagne, ilfaut équiper sa monture àcompter du 1er novembre. EnFrance, les automobilistes ontle choix, mais Pascal Loubet,responsable de l’agence Pro-fil + de Thionville, est formel :« Les pneus hiver ont unemeilleure adhérence et offrentune motricité supérieure, ilspermettent de réduire la dis-tance de freinage ».

    Longtemps qualifiée depneus neige, cette gommespéciale est efficace non seu-lement sur les routes recou-vertes de poudreuse, maisaussi sur chaussée humidevoire verglacée. « Je conseilledonc de ne pas attendre lespremiers flocons pour s’équi-per, l’idéal étant de le faire dèsle mois d’octobre et de lesgarder jusqu’en mars-avril. »

    Entre 150 et 800 €Qu’ils soient sur jantes ou

    non, ils peuvent parcourir enmoyenne 30 000 km. « Si onalterne avec d’autres pneus,on peut espérer les utiliserdeux à trois hivers. » Comp-tez pour quatre pneus entre150 et 800 € en fonction de lataille nécessaire. « Il y a desmarques leaders sur le mar-ché comme Continental quiest l’inventeur du concept. Etcontrairement à ce que beau-coup pensent, ils ne coûtentpas plus chers que des pneusété. »

    Dans notre région, s’équi-

    per est devenu une habitudedepuis que lque temps.« Avant on mettait des pneuscloutés mais ils n’étaient effi-caces que sur la neige et ren-d a i e n t l a vo i t u re t rè sbruyante. » Autant dire queles pneus hiver sont unebonne alternative pour lesconducteurs qui veulentjouer la carte de la prudence.

    A ne pas faireSurtout ne jamais mettre

    uniquement des pneus hiverà l’avant, car dans un virageou un rond-point, l’arrière duvéhicule deviendra incontrô-lable et le risque de tête-à-queue important.

    De même le garagiste nepréconise pas l’utilisation dep n eus t o u t e s s a i son s .Hybride d’un pneu hiver etd’un pneu été, le modèletoute saison est constitué deplus de lamelles mais sagomme n’est pas aussi effi-cace que celle d’une rouehiver.

    Quant au choix, toutes lesmarques proposent leurs pro-duits. Mais attention à certai-nes peu connues à des tarifsintéressants. Ils risquent des’user plus vite et de ne pasoffrir la même sécurité qued’autres plus réputés. Der-nière recommandation : véri-fiez régulièrement la pres-sion, car si vous êtes à plat ousous -gon f l é , ê t r e b i enchaussé ne servirait à rien.

    Sabrina Frohnhofer.

    CONSOMMATION pneus hiver

    Ne laisse pastomber la neige…Les pneus hiver sont obligatoires auLuxembourg et en Allemagne. En France, ilssont conseillés par les garagistes. Explications.

    Depuis quelques semaines, les pneus hiver sont montés,mais ce n’est pas encore la grosse affluence. Dès les

    premières neiges, ça risque d’être le rush… Photo Armand FLOHR

    Dans le cadre du plan anti-hold-up, activéjusqu’au 15 janvier inclus, une réuniond’information et de sensibilisation des com-merçants aura lieu ce lundi 1er décembre, à19h30, dans les grands salons de la préfecturede Meurthe-et-Moselle à Nancy.

    Le préfet Raphaël Bartolt, en présence desacteurs de la sécurité (police nationale, gen-darmerie nationale, police judiciaire, douane,procureur de la République), alertera les pro-fessionnels tenant des établissements poten-tiellement exposés (bijoutiers, pharmaciens,buralistes…) quant aux enjeux de la sécurisa-tion de leurs établissements, en leur rappelantles méthodes et réflexes à adopter pour seprotéger.

    SÉCURITÉUn plan contreles hold-up Travailler au Luxembourg impose de bien connaître ses droits en tant que frontalier, ainsi que les démarches à

    effectuer.Quel est le droit applicable à mon contrat de travail ? En cas de maladie, où puis-je me faire soigner ? Comment se calculera ma retraite ? Où dois-je payer mes impôts et à quelles déductions fiscales puis-je prétendre ?La nouvelle édition du Guide pour les frontaliers franco-luxembourgeois propose une aide utile en délivrant une information sur le statut des travailleurs frontaliers et des adresses précieuses.Sont ainsi présentés en 162 pages le droit du travail, la protection sociale et la fiscalité applicables aux tra-vailleurs frontaliers franco-luxembourgeois.Le guide est disponible gratuitementsur demande par téléphone (03 87 20 40 91),par mail ([email protected])et également téléchargeable sur le site internet www.frontalierslorraine.eu.

    VU ET ENTENDU

    Un guide pour les frontaliers