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juillet 2013

Contact personnel : Comment éviter les prières à répétition

Le fer aiguise le fer : Le « léger avantage » de la réussite

Conduire à la gloire beaucoup de fi ls

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2 D’un commun accord eddam.org2 .org

ÀQuelques mots du président

tant que membres de l’Église de Dieu, nous nous sommes engagés à servir les autres. En fait, nos vies s’appuient sur le service. Néanmoins, à l’esprit de service nous devons ajouter un certain savoir – des connaissances qui vont nous aider à vivre ou à poursuivre une carrière, et à comprendre comment le monde fonctionne : science, mathématiques, histoire, etc. Nous n’avons pas besoin – pour apprendre ces choses –d’accepter les valeurs que ce monde cherche à nous faire adopter. Qu’il me soit permis de féliciter tous nos diplômés, et de leur souhaiter un bon « commencement », un bon départ dans leur carrière ou dans la poursuite d’autres études. Mais sur-tout, qu’ils s’engagent – en tant que chrétiens – à vivre leurs vies en rendant service aux autres. Et pour fi nir, un conseil. L’apôtre Paul parla à Timothée d’un monde qui allait le reje-ter et « apprenant toujours et ne pouvant jamais arriver à la connaissance de la vérité » (2 Timothée 3 :7).Les meilleurs connaissances que vous puissiez recevoir ne proviendront jamais de l’un des établissements d’enseigne-ment de ce monde, mais de la Parole de Dieu. La connais-sance, sans Dieu, est superfi cielle et ne pourrait jamais com-bler le vide spirituel caractérisant la vie de la plupart des êtres humains.Donnez à Dieu la priorité, sans oublier l’importance d’une bonne éducation. Et qu’à vos yeux chaque étape, chaque ja-lon et chaque remise de diplôme soit un « commencement » dans un cheminement consistant à devenir une meilleure personne se consacrant à servir les autres.

À la fi n de ma dernière année de lycée, on m’avait demandé de faire un discours pour la remise des diplômes. C’était un petit lycée, dans le nord-est de l’Arkansas, mais dans notre petite ville, la cérémonie de la remise des diplômes de son lycée était un événement important auquel assistait une grande partie des habitants. En cette occasion, le gymnase était toujours plein à craquer.Ce discours allait être le premier discours que j’allais donner en public, devant un si grand auditoire. Dans ma dernière année, j’avais été admis dans le club des orateurs de l’Église, mais il s’agissait de petits groupes de 20 à 30 personnes. De 200 à 300 personnes assistaient généralement à la remise des diplômes du lycée. Je me souviens m’être demandé de quoi j’allais bien pouvoir parler, et d’avoir écrit pratiquement mot pour mot ce que j’allais dire. C’était le contraire de ce qu’on nous avait enseigné au club des orateurs où on nous encou-rageait à improviser , à parler avec notre cœur et non à partir d’un script.À présent, 40 ans plus tard, mes souvenirs de cet événement sont plutôt vagues, et je serais bien incapable de vous dire de quoi j’avais parlé. Tout ce dont je me souviens, c’est que j’avais évoqué l’idée d’un « commencement » [en anglais, le terme « commencement », lors de ce type de cérémonie, est synonyme de « remise de diplômes »], c’est que loin d’être une fi n en soi, notre diplôme marquait en fait le début de notre cheminement.À l’époque, j’étais conscient du fait que je devais faire des études. Mes oncles et tantes, et plusieurs de mes cousins, n’avaient jamais achevé leurs études au lycée. Nous formions une communauté d’agriculteurs, et pour la plupart de ces agriculteurs, point n’était besoin d’être instruit pour bien travailler la terre. Le bon sens n’était-il pas plus important qu’une scolarité ?En tant que membres de l’Église, dans les années 1960 (et aujourd’hui encore), nous étions d’avis que l’enseignement supérieur était un fi asco. C’était le cas, et c’est toujours le cas, au niveau des valeurs morales. Mais les membres ne s’atten-daient pas à aller dans ces établissements pour y apprendre des valeurs morales. Ces valeurs, nous les apprenions dans la Parole de Dieu, et dans l’Église de Dieu. J’avais choisi, à l’époque, pour approfondir mes connaissances, d’aller à l’Ambassador College, et je n’ai jamais regretté ce choix. J’ai eu d’autres possibilités, comme plusieurs bourses, mais je n’ai jamais eu le sentiment d’avoir raté quelque-chose en suivant les cours de l’Ambassador College.Lorsque nos jeunes reçoivent leurs diplômes d’études secon-daires et universitaires, j’espère que nous réussirons à leur faire comprendre l’importance d’une bonne éducation. En

Remise de diplômes

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Table des matières

Jane McConnaughey écoute une présentation lors de la conférence ministérielle internationale de 2013 à Dallas,

dans le Texas Conduire à la gloire beaucoup de fi ls, page 4

Conférence ministérielle de 2013 :  Conduire à la gloire beaucoup de fi ls

Exemples de foi : Demeurant ferme

Le fer aiguise le fer : Le « léger avantage » de la réussite

Contact personnel : Comment éviter les prières à répétition

De membre à membre – On se reverra dans le Royaume !

Nouvelles des Églises

Annonces

LifeHopeandTruth – 1 million de visiteurs après 1 an

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Le fer aiguise le fer : Le « léger avantage » de la réussite, page 7

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D’un commun accord est publié, en ligne, par l’Église de Dieu Association Mondiale.

© 2013 Church of God, a Worldwide Association, Inc.

Toutes les citations de la Bible sont tirées de la traduction de Louis Segond, Nouvelle Édition de Genève (© 1979 Société Biblique de Genève), sauf si mention est faite d’une autre version.

Conseil Ministériel d’Administation : David Baker, Arnold Hampton, Joël Meeker, Richard Pinelli, Larry Salyer, Richard Thompson et Leon Walker

Président : Jim Franks ; Directeur des médias : Clyde Kilough ; Rédac-teur en chef : Larry Salyer ; Directrice de la rédaction : Elizabeth Cannon Glasgow ; Relectrice : Becky Bennett ; Version française : Joël Meeker, Bernard Hongerloot

En soumettant des photographies ou des articles à l’Église de Dieu, As-sociation Mondiale, SA., ou à D’un commun accord, tout collaborateur autorise l’Église à les publier sans restrictions et sans recevoir de rému-nération. Tout collaborateur accepte également le fait que ce qu’il sou-met pour publication peut être utilisé par l’Église comme elle le décide, y compris le droit de les modifier, de les réduire, ou de les retravailler.

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Environ 250 personnes (ministres et épouses de mi-nistres) se sont retrouvées à Addison, dans le Texas, les 3, 4 et 5 juin derniers pour la conférence ministérielle

internationale de l’EDAM de 2013.

Dans son discours d’ouverture, notre prési-dent Jim Franks a présenté le thème de la conférence : « Conduire à la gloire beaucoup de fi ls ». Il a expliqué que la conférence de l’an dernier avait mis l’accent sur la procla-mation de l’Évangile, tandis que celle de cette année mettrait l’accent sur les soins à apporter au troupeau. Monsieur Franks a encouragé les ministres à faire une diff é-

rence dans la vie des membres, et à aider beaucoup de fi ls et de fi lles à entrer dans la Famille divine.

« 50 ans dans le ministère »L’un des clous de la conférence a été la présentation de plaques à six ministres en hommage à leurs services dans le ministère, pendant 50 ans ou plus. Les ministres honorés étaient :

• George et Karen Meeker • Leroy Neff • Frank et Charlene McCrady • Les et Marion McCullough • Leon et Reba Walker • Richard et Mary Pinelli

Après que des photos d’eux prises à divers moments de leurs vies aient été projetées, documentant leur ministère, tous les

ministres présents et leurs épouses se sont levés et les ont applaudi bruyamment.

Évidemment, d’autres présentations ont été faites, comme celle, inspirante, intitulée « Pilier et ancre de la vérité », par M. Dave Johnson – professeur à l’Institut du Fondement – sur le fait qu’il importe d’enseigner une pure doctrine. Dieu ayant confi é Son peuple et Sa vérité à l’Église, Il veut que Ses ministres se passionnent pour la vérité.

D’autres présentations comprenaient : « Préparatifs pour de futurs responsables » : Monsieur Dave Myers a fait une pré-sentation animée sur les divers programmes éducatifs pour nos jeunes et nos jeunes adultes. Il nous a donné des sta-tistiques et des citations sur nos camps très réussis pour les préados et les adolescents, ainsi que sur nos fi ns de semaines sur le leadership pour nos jeunes adultes (auxquelles ont participé 400 jeunes, dans sept sites). Il a souligné le fait que tous les jeunes adultes ont souhaité participer à d’autres fi ns de semaines de ce genre – ce que nous avons prévu d’orga-niser.

« Bergers des élus de Dieu » Doug Horchak, responsable des Services ministériels, a encouragé les ministres à redoubler d’eff orts afi n de fournir un milieu sain permettant aux en-

Conférence ministérielle

Conduire à la gloire beaucoup de fi ls

250 participants profitent à fond d’une conférence ministérielle encourageante

Des ministres et leurs épouses, venus du monde entier, ont assisté à une conférence

ministérielle inspirante et édifi ante.

par mike bennett

Voir d’autres photos de la conférence à facebook.com/cogwa

photographies par chantelle west, rayshan sanoon, susan demarest et elizabeth glasgow

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fants de Dieu de croître. Il a parlé de l’importance de les for-mer dès à présent pour qu’ils puissent aider un jour dans la Famille divine, pour l’éternité.

« Participer activement à la course, tout en gardant la foi » En guise de conclusion, M. Franks a inspiré tous les anciens à courir la course chrétienne avec persévérance et à se réé-valuer à partir de la liste de qualifi cations contenue dans 1 Timothée 3 et Tite 1. Il a fourni aux ministres des méthodes précises à employer pour mieux servir et aimer davantage les membres.

Plusieurs rapportsLa conférence comprenait aussi plusieurs rapports inspi-rants et édifi ants. Monsieur Horchak a parlé des Églises et du ministère. Nous avons à présent 201 ministres, dont 72 pasteurs internationaux. Il a présenté les dix nouveaux mi-

nistres ordonnés au cours des douze derniers mois, ainsi que les titulaires reconfi rmés :

• Scott Hammer • Ron McNeill • Perry Miller (titulaire) • James Muir (titulaire) • Nathan Mukeshimana • Manuel Nuñez • John Quast • Tom Riner • Carlos Saavedra • Glenn Smith • Mark Whynaught • Craig Wohlgemuth

On s’encourage entre collèguesPage précédente, dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir du haut : Joël Meeker fait une mise à jour des activités du CMA ; Les McCullough et Larry Salyer se retrouvent ; Sandra Fisher et Jeannie Evans à la soirée BBQ.Sur cette page : Dans le sens des aiguilles d’une montre, à partir du haut, à gauche : Dave Treybig dirige une discussion entre rédacteurs ; la responsable des médias sociaux – Rebecca Gutierrez montre à Lonnie Gjesvold comment se brancher sur Twitter ; Carol Burke se prélasse au soleil dans l’atrium de l’hôtel Crowne Plaza où s’est tenue la conférence ; les ministres ayant servi dans le ministère plus de 50 ans, avec leurs épouses ; près de 250 personnes – ministres et femmes de ministres – ainsi que le personnel du siège central et quelques invités écoutent les séminaires.

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Monsieur Horchak a aussi parlé du suc-cès du programme de mentorat dans lequel huit couples formidables sont formés par huit pasteurs. Il a aussi parlé de projets destinés à améliorer le pro-gramme de l’Institut du Fondement, pour aider les étudiants à dévelop-per leur caractère, puis il a parlé de la « haute valeur » des cours en ligne pour les membres.

Monsieur Horchak a conclu par un hommage aux 3 ministres décédés cette année : Th omas Seltzer, Lawrence Hale, et Maurice Ledet.

Rapport international : Leon Walker a résumé les rapports internationaux qui ont été combinés en une seule présenta-tion de diapositives présentée par notre président Joël Meeker. Ces rapports soulignaient les défi s, la croissance et les récits inspirants de nombreux membres avec qui Dieu travaille, de par le monde.

Le rapport fi nancier : Notre trésorier Jason Lovelady a annoncé les résultats positifs de l’examen de notre exercice fi nancier de 2012, et les derniers chiff res indiquant que l’Église est en bonne voie de terminer l’année dans les limites de son budget. Il a ensuite cédé la place à M. Britton Taylor qui nous a fait un rap-port sur un nouveau contrat pour notre assurance maladie devant nous off rir les mêmes avantages que ceux que nous avons à présent, mais ayant le potentiel de faire faire à l’Église des économies non négligeables en lui permettant de s’assu-rer partiellement elle-même.

Rapport du Conseil d’Administration : Le président – Joël Meeker – a donné les dernières nouvelles sur la première réunion annuelle du Conseil, au Siège central. Il a dit qu’il règne « un merveilleux esprit d’unité » et qu’il est « très en-courageant » de travailler ensemble.

Monsieur Meeker nous a rappelé que le rôle principal du Conseil d’Administration est de conseiller, et il a conclu en soulignant l’importance des conseils sages pour nous tous.

Le rapport des médias : Monsieur Kilough a fourni une mise à jour touchante, en images, du département des médias, remerciant les anciens pour leur contribution au site Life-HopeandTruth, et les encourageant à continuer à produire des articles pouvant avoir un impact permanent, changeant la vie des gens.

Monsieur Kilough a encouragé les ministres à encourager à leur tour les membres à s’abonner au rapport hebdo-madaire et à faire partie de l’équipe im-pliquée dans la présentation de notre site.

Il est prévu que nous affi chions, à l’avenir, des brochures et des articles électroniques destinés à engager nos lecteurs, et une re-vue électronique mensuelle.

La session des médias s’est conclue par une présentation de David Treybig sur les « clés pour bien écrire », suivie de sept petits groupes de travail pour les mi-nistres écrivant ou révisant les articles à paraître dans Life-HopeandTruth.

Le rapport de Foundation Outreach International : Cliff Demarest et Rhonda Waddle – deux des membres du conseil de la nouvelle organisation à but non lucratif – ont encouragé les participants à visiter leur site (foundationoutreachintl.org) pour y découvrir les programmes actuels (en Jordanie, aux Philippines, en Zambie et au Ghana) et ont expliqué comment les Églises locales et les membres peuvent aider.

Après la conférence, d’autres réunions ont eu lieu, avec les ministres internationaux, le CMA et le comité de doctrine. DCA

S’édifi ant réciproquement

Reba et Leon Walker (assis) passent de bons moments avec les ministres philippins et latino-américains et leurs épouses  ; Osmonde Douglas et David Jackson se saluent avant le déjeuner ; Dora Jennings sourit pour la photo après avoir préparé avec succès un barbecue texan pour accueillir les ministres et leurs épouses.

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Marjorie Asby, qui a 83 ans, est la doyenne de l’Église à la Barbade. Elle n’avait que 9 ans quand elle a entendu parler du sabbat. Elle relate la visite d’un homme qu’elle appelle « ancien Sobers », qui était venu à la Barbade, de Trinidad, en tant que représentant, en 1938. Mais il avait une autre mission : celle de répandre la connaissance du sabbat du 7e jour.Après s’être constitué une clientèle, « ancien Sobers » avait eu le sentiment qu’il pouvait inviter ses clients à une réunion sab-batique. Or, les sabbats s’étaient succédés, et personne n’avait répondu à son invitation. Se rendant compte que cela n’inté-ressait pas les adultes, il avait demandé à ces derniers de per-mettre à leurs enfants d’assister à une classe, le jour du sabbat. Ce qu’ils avaient approuvé.Marjorie, la deuxième de quatre enfants, était la seule de sa famille à s’intéresser à ce que ce monsieur avait à dire. Elle se souvient avoir écouté le cours le jour du sabbat, pour la pre-mière fois, et avoir appris que le samedi était eff ectivement le jour du sabbat, et avoir appris quelles étaient les viandes pures et impures. Ce qui la frappait le plus, c’était que l’ancien Sobers s’appuyait toujours sur la Bible pour corroborer son enseignement.Tout ce que Marjorie apprenait, de retour à la maison, elle le répétait à ses frères et sœurs. Sa jeune sœur Elsie avait cessé de manger du porc pendant quelque temps, mais avait fi ni par reprendre ses vieilles habitudes. Leur père élevait des cochons. Elsie allait fi nir par devenir membre de l’EUD, mais elle mou-rut à l’âge de 37 ans, en 1970. L’ancien Sobers fi nit par quitter la région, et Marjorie le perdit de vue. Néanmoins, elle n’arrivait pas à oublier ses enseignements.À l’âge de 16 ans, Marjorie fut « reçue » dans l’Église Métho-diste, à la demande de sa mère. Néanmoins, ses visites à l’Église se fi rent de plus en plus rares ; elle n’était pas d’accord avec ce qu’on y enseignait. Un dimanche, elle demanda à l’organiste de demander au pasteur quel jour était le sabbat. Il répondit qu’en fait, c’était le samedi, confi rmant du même coup ce qu’elle avait compris depuis longtemps. À partir de ce jour-là, Marjorie ne mit plus jamais les pieds à l’Église Méthodiste.Mais elle ressentait un vide. Les enseignements d’ancien Sobers lui manquaient, mais elle ignorait s’il était toujours sur l’île, ou s’il était retourné à Trinidad. Elle se souvenait posséder une adresse incomplète de lui, et bien qu’elle ne sache pas quel était son prénom, elle décida d’utiliser le peu d’information qu’elle avait et de lui écrire. Quelques jours plus tard, elle eut la surprise

d’avoir sa visite chez elle. Elle en était ravie. L’ancien Sobers lui dit qu’il avait prêché la parole dans l’île, et qu’un groupe d’indi-vidus, dans la paroisse de Christ Church, avait réagi favorable-ment à son enseignement. Il l’invita à ses réunions, lui propo-sant même de l’y emmener. Elle accepta volontiers.Marjorie se souvient d’avoir été agréablement surprise à la vue d’une salle remplie quand elle s’y rendit ce premier jour de sab-bat-là, et elle eut le sentiment d’être enfi n là où elle était sup-posée être. Elle fut baptisée en 1950, à l’âge de 21 ans, épousa ensuite Joseph Ashby, qui fut ordonné ancien lorsque ancien Sobers décéda subitement à la suite d’une appendicite. Il fut ordonné par A.N. Dugger – le pasteur général de l’Église de Dieu du 7e jour – qui était venu à la Barbade après avoir appris le décès du ministre Sobers.Marjorie fi t la connaissance de l’Église Universelle de Dieu quand un ami, membre de l’Église de Dieu du 7e jour, émigra en Floride et entendit l’émission radiophonique de Herbert Armstrong. Lors d’une visite à la Barbade, il parla à Joseph de l’émission, et des similitudes avec ce qu’ils croyaient. Il leur remit également un exemplaire de la Plain Truth. Joseph déci-da d’écrire à M. Armstrong pour lui demander de lui envoyer la revue. Quelques années plus tard, M. Armstrong se rendit sur l’île, lorsqu’il y avait 111 membres – y compris Marjorie, Joseph et leurs 6 enfants.Dans les années 90, l’EUD se scinda. Marjorie, déçue par la direction que prenait l’Église, retourna dans l’Église de Dieu du 7e jour, mais pour peu de temps, car elle se rendit compte que ce groupe ne comprenait toujours pas les Jours Saints et le Plan divin qu’ils préfi gurent. Elle retrouva la vérité quand elle se mit à assister aux assemblées du petit groupe de l’EDU. Quand la scission a eu lieu avec l’EDU en 2010, elle a décidé de devenir membre de l’EDAM.Au fi l des années, Marjorie a connu bien des épreuves, a eu beaucoup d’ennuis de santé – elle a même perdu une jambe en 2009 à cause d’une mauvaise circulation – mais elle est de-meurée ferme dans la foi et attend impatiemment le retour de Christ. DCA

Demeurant ferme

exemples de foi

par velma (ashby) holland

Marjorie Ashby

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Si l’on me demandait de citer un principe clé dans notrecheminement vers le Royaume de Dieu, que répondrais-je ?Dans Luc 17:10, il est écrit : « Vous de même, quand vous avez fait tout ce qui vous a été ordonné, dites : Nous sommes des serviteurs inutiles, nous avons fait ce que nous devions faire ». De prime abord, ce verset semble dur, mais il nous fournit une grande leçon sur la manière d’éliminer nos défauts humains et d’édifi er le caractère de Dieu. Luc 16:10 révèle un principe clé sur la manière de devenir de bons serviteurs : « Celui qui est fi dèle dans les moindres choses l’est aussi dans les grandes ».Le principe est simple. On s’améliore en apprenant à bien faire ce qui est secondaire. La pratique de ce qui est secondaire – des petites choses – nous aide à réussir dans ce qui est important.J’aime cuisiner, surtout des mets italiens comme le bruschetta à la tomate et les saucisses italiennes (sans porc !) J’essaie d’amé-liorer la recette en faisant ressortir le goût de certaines épices.Parallèlement, s’améliorer, c’est ne cesser de faire mieux, ap-prendre, changer, et améliorer notre capacité à devenir un éter-nel apprenti. La clé du succès se trouve dans une continuelle amélioration, consiste à toujours faire un peu mieux, à toujours avoir « un léger avantage ». Toute victoire dépend d’une petite amélioration. Dans pratiquement tous les sports, la victoire revient à celui qui gagne ne serait-ce qu’un point de plus que son adversaire, ayant « un léger avantage ». Dans une course hippique, la diff érence entre gagner et se classer second est sou-vent une aff aire de quelques centimètres, mais cela suffi t.Dans la revue Good Housekeeping [Bon ménage] du mois de juillet 2009, a paru un article sur la santé, intitulé : « De petits changements pour être en meilleure santé ». Richard Laliberté y énumère dix principes sur la manière d’améliorer sa santé, au rythme d’une « dîme ».

Il y déclare : « Pour réussir dans n’importe quel projet majeur… il est probablement préférable que vous fournissiez seulement 10% et que vous ne vous inquiétiez pas des 100% sur lesquels on s’attarde généralement.« Il y a de plus fortes chances que vous réussissiez en eff ectuant de petits changements, a déclaré le Dr. Catherine Champagne, professeur au Centre de Recherches Biochimiques Pennington, dans le système universitaire d’État de la Louisiane ».Laliberté est du même avis : « Les “micro-améliorations” font plus qu’ébrécher un grand objectif – à elles seules, elles ont un impact ». Stephen M.R. Covey, dans son livre intitulé Le pouvoir de la confi ance, écrit : « Avoir une meilleure santé … dépend des principes exigeant qu’on ne cesse de s’améliorer, d’ap-prendre, et de changer… Le contraire de se sentir mieux, c’est être dans un état d’entropie, c’est empirer, se reposer sur ses lauriers… Si vous ne faites pas d’eff orts pour améliorer votre santé, vous ne faites pas du sur-place ; vous régressez progressivement ». Deux principes bibliquesDans Deutéronome 7:21-24, il est écrit que les enfants d’Israël allaient se débarrasser de leurs ennemis « peu à peu ». Dans la vie, nous vainquons notre ennemi « peu à peu », en nous assurant que nous avons toujours « un léger avantage ». Paul révèle que « si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle création. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles » (2 Corinthiens 5:17).Suivez le principe consistant à chercher à avoir continuelle-ment « un léger avantage » et vous réussirez à devenir un bon serviteur. DCA

Le fer aiguise le fer

Le « léger avantage » du succès

S’améliorer peu à peu peut s’avérer vital quand on cherche à devenir un bon

serviteur.

par richard pinelli Pho

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QRéponse : L’un des moyens d’éviter cet écueil consiste à organiser vos prières de manière à couvrir un aspect diff érent de votre vie tous les jours. Vous pouvez toujours vous baser sur le modèle que Christ nous a laissé dans Matthieu 6 et Luc 11, mais changer de sujets d’un jour sur l’autre.Par exemple, vous pouvez – le premier jour de la semaine – prier pour les problèmes et les besoins du monde ; ce qui vous obligerait à vous tenir au courant de ce qui se passe – ou risque de se produire – dans le monde, à vous maintenir informé des événements mondiaux. Il y a une foule de choses pour lesquelles prier, comme pour les dirigeants des nations (1 Timothée 2:2), ceux qui souff rent de diverses maladies, qui vivent dans des pays en guerre ou qui connaissent des épidémies, etc.Le deuxième jour de la semaine, vous pouvez prier pour le pays où vous vivez. Et là encore, priant pour ceux qui y oc-cupent des postes infl uents, comme le Président ou le Premier ministre. Vous pouvez prier pour les enseignants, demandant à Dieu d’aider les croyants à recevoir une bonne éducation tout en conservant leurs convictions. Vous pouvez aussi prier pour les responsables du monde des aff aires, pour que les croyants aient un emploi. Vous pouvez prier pour la protection divine lors de catastrophes naturelles ou de graves intempéries. Vous pouvez prier pour la santé de personnes que vous connaissez et qui sont malades ou blessées. En regardant les actualités, vous trouverez plusieurs sujets pour lesquels prier.Le troisième jour, vous pouvez prier pour les besoins et les questions débattues dans l’État ou la province où vous vous trouvez, appliquant les conseils contenus dans le paragraphe ci-dessus.Le quatrième jour, vous pouvez vous concentrer sur les be-soins et les préoccupations de votre famille, tant immédiate qu’éloignée.Le cinquième, concentrez-vous sur vos besoins personnels. Ne pensez pas qu’il est égoïste de prier pour soi. Les Psaumes, qui sont des prières aussi bien que des cantiques, nous montrent

qu’il n’y a rien de mal à faire cela. Jésus nous l’a aussi fait com-prendre, dans Sa prière modèle. Désigner un jour pour nous concentrer sur nos questions personnelles nous empêche de trop prier pour nous-mêmes les autres jours. Puis cela peut nous aider à déceler des péchés dont nous avons besoin de nous repentir.Le sixième jour, vous pouvez consacrer votre temps à parler à Dieu de questions que vous avez peut-être oubliées les jours précédents. Vous pouvez de nouveau aborder certains do-maines pour lesquels vous avez prié les autres jours, ou parler de quelque-chose de nouveau. Un peu comme un jour de « bilan ».Le jour du sabbat, remerciez surtout Dieu pour l’Être formi-dable qu’Il est, et pour ce qu’Il a accompli – pour d’autres et pour vous. La gratitude est un sujet qui revient souvent dans la Bible. Songez à quel point les rapports entre les enfants et les parents s’amélioreraient si ceux-ci consacraient un jour par semaine à dire « merci ! » Être reconnaissant envers Dieu améliore aussi nos rapports avec Lui.Chaque jour de la semaine, vos prières devraient inclure quelque-chose sur l’œuvre divine et sur la Famille de Dieu. Essayez plusieurs sujets qui donnent des résultats, mais ces quelques suggestions devraient vous aider à résoudre votre problème. DCA

Contact personnel par cecil maranville

Question: Je voudrais que mes prières quotidiennes soient plus variées, mais je me surprends souvent à répéter la même chose. Comment puis-je rompre la monotonie ?

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10 D’un commun accord eddam.org

Il était presque 19 h 30, et le soleil s’était couché. C’était le 18 septembre 1975. Plusieurs milliers de personnes se pres-saient dans des salles louées, dans des amphithéâtres, ou dans des salles immenses, et l’assemblée inaugurale de la Fête des Tabernacles était sur le point de débuter. J’allais en être absent.J’avais 10 ans quand j’avais commencé à célébrer la Fête avec mes parents ; j’en avais maintenant 20, et j’allais rater l’assemblée inaugurale pour la première fois. Cette absence allait avoir un impact sans précédent sur mon avenir.Une culpabilité secrèteMaman était décédée 2 ans auparavant d’une longue mala-die. Elle croyait dur comme fer au retour de Christ, com-

prenait très bien le plan de Dieu, savait ce que représentait chacun des Jours Saints, et elle s’était endormie, attendant la résurrection. Le problème, c’est que je me sentais coupable. Quand j’avais eu 17 ans, un peu plus d’un an avant sa mort, j’étais parti de la maison en colère, et je lui avais dit des choses que j’avais amèrement regrettées par la suite.Pendant un an, je n’étais pas allé la voir ; je ne l’avais pas appelée au téléphone pour lui dire bonjour, je ne lui avais pas envoyé de carte, et pire encore : je ne m’étais guère soucié d’elle. Il y avait des années qu’elle était malade, et dans mon esprit, ce serait le cas encore longtemps.Le décès de Maman, par sa soudaineté, fut pour moi un choc. Dans mon immaturité, je ne l’avais pas prévu. Et mon comportement l’indiquait. Je me sentis soudain coupable. À présent, alors que le soleil se couchait, peu avant l’assemblée inaugurale de la Fête, j’avais de quoi réfl échir. En pensant à la signifi cation de ces sept jours, et au retour du Christ, je ne pouvais m’empêcher de penser à Maman, que j’allais revoir, me demandant ce qui allait se passer. Une dernière visite à TulsaMa jeune épouse et moi avions quitté l’Ohio quelques jours auparavant, pour nous rendre à la Fête, à Lake of the Ozarks, dans le Missouri. Nous avions hâte d’y être – la Fête étant toujours pour nous le point culminant de l’année. Nous avions notre 2e dîme, et nous nous attendions à profi ter de toutes les bénédictions qui allaient être déversées sur nous du fait que nous avions été fi dèles. Cette année-là, nous décidâmes de faire un petit détour pour passer voir Papa, à Tulsa (dans l’Oklahoma).Un an après que Maman soit décédée, Papa tomba malade et alla voir un médecin. Un mois allait s’écouler, pendant lequel de nombreux examens allaient être eff ectués, suivis d’une opération chirurgicale exploratoire. Pendant l’opération, les médecins découvrirent un cancer très agressif qui s’était déjà propagé à ses principaux organes. Ils n’essayèrent pas de l’extraire, et n’off rirent aucun espoir de guérison. Le chirur-gien vint nous retrouver dans la salle d’attente. L’expression qu’il avait sur son visage était annonciatrice du diagnostic im-minent. Je ne me souviens pas des mots exacts qu’il employa, mais le mot « incurable » – dont il se servit plusieurs fois – me poussa à lui demander « combien de temps lui reste-t-il ? » Il hésita. Sa réponse nous prit tous au dépourvu. Dans 4 ou 6 semaines, son corps serait envahi par le cancer au point qu’il abandonnerait la lutte. Nous appelâmes un ancien pour qu’il l’oigne, et nous suppliâmes Dieu d’intervenir. Quand nous arrivâmes à Tulsa, pour rendre visite à Papa,

De membre à membre

« Je te reverrai dans le Royaume »

par barry richey

Trente-huit ans après le décès de son père, un membre médite l’héritage et la mission que

son père lui a confi és sur son lit de mort.

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avant la Fête, en 1975, 15 mois s’étaient écoulés depuis le pronostic des médecins. Ces 15 mois furent des mois de souff rances inimaginables, pendant lesquels personne ne comprenait pourquoi il était encore vivant. J’implorai alors notre Père céleste de le guérir, et je lui demandai de le déli-vrer de ce terrible tourment. Lui qui avait pesé 100 kg quand il était en bonne santé n’était plus qu’une épave de 45 kg. Le cancer avait tout rongé à l’intérieur, et il prenait maintenant la forme de furoncles gros comme une main d’homme, par-tout sur son ventre.Nous étions passés par Tulsa, sachant que ce serait probable-ment la dernière fois que nous le verrions. Nous avions pré-vu de passer deux jours avec lui, puis d’aller célébrer la Fête. Décrire les événements qui se produisirent dans ces quelques jours prendrait plusieurs pages, mais le matin du jour où Papa nous a quitté était diff érent des autres. Le cancer avait – de son sang – atteint le cerveau, et la veille de sa mort, il se mit à pleu-rer à mon arrivée dans la chambre. Je lui demandai pourquoi il pleurait. Il me répondit : « Je sais que tu es mon fi ls, mais je ne sais pas comment tu t’appelles ».Néanmoins, ce matin-là était diff érent. Il avait une voix claire, contrairement aux jours précédents. Ses propos étaient per-cutants. Il savait qui j’étais, et avait beaucoup de choses à me dire. Quand ses forces le lui permirent, il me parla plusieurs fois ce jour-là. Sans Bible, il parla de beaucoup de choses et me cita des versets de mémoire, me demandant même d’en mémoriser plusieurs qu’il souhaitait placer dans mon cœur.Peu avant le coucher du soleil, le jour où la Fête débutait cette année-là, nous parlâmes une dernière fois. Il m’expli-

qua pourquoi il m’avait demandé de mémoriser Ésaïe 66:2 et Ecclésiaste 12:13. Il m’expliqua pourquoi il n’était pas mort quelques mois plus tôt, pourquoi Dieu avait décidé de ne pas intervenir pour le guérir, ni de mettre fi n à ses jours à l’époque. Il décrivit en détail plusieurs événements dans ses souff rances dont je n’avais pas été témoin, et ce qu’ils lui avaient appris. Avec l’aptitude d’un maître sculpteur, il sculpta de chaque événement une leçon qu’il avait apprise et une application future de cette leçon, pour moi.Pendant cette conversation, il était clair que le soleil se couchait et que la Fête était sur le point de commencer. Il parla du merveilleux plan divin et de la période sainte dans laquelle nous entrions, et quelques minutes plus tard il me demanda de faire quelque-chose qui allait façonner mon avenir.Les six derniers mots de PapaLe soleil étant maintenant couché, ayant exprimé ses der-nières pensées, il me regarda et me demanda de m’agenouil-ler près du lit. Il me demanda ensuite de lui tenir la main et demanda à notre Père céleste de le laisser s’endormir défi ni-tivement afi n que – la prochaine fois qu’il sera conscient – ce soit lors du retour de Jésus-Christ. Puis il prononça ses six derniers mots, qui sont gravés dans mon cœur. « Je te rever-rai dans le Royaume ! » Quand j’eu fi ni de prier, les larmes aux yeux, Papa s’endor-mit pour la dernière fois.Pourquoi cela m’a-t-il tant aff ecté à l’époque ? Je n’avais que vingt ans, mais cela a gravé dans mon esprit un souvenir indélébile. Que ressentirait Papa si – lors du retour de Christ – je n’étais pas là ? Cette question a forgé une mission dans mon esprit : Il faut à tout prix que je sois là quand Christ reviendra. Quoi de plus important dans la vie d’un chrétien qu’une vision nous motivant jusqu’au bout ? Deux cycles de 19 ans se seront écoulés lorsque la Fête débutera cette année, le 18 septembre. Mon espérance demeure celle du retour de notre Sauveur et de la réunion qu’elle provoquera.Puisse ce jour devenir vite notre réalité !Barry Richey est un ancien servant dans l’Église de Fort Worth (Texas) de l’EDAM. Il dirige une société de planning fi nancier à Lewisville, dans le même État.

Néanmoins, ce matin-là était dif-férent. Il avait une voix claire, con-trairement aux jours précédents. Ses propos étaient percutants. Il savait qui j’étais, et avait beaucoup de cho-ses à me dire.

Une des meilleures façons d’apprendre est de partager les uns avec les autres notre compréhension croissante de la Parole de Dieu, que ce soit des leçons spirituelles, des perspectives tirées d’études bibliques ou des éclairages sur le monde qui nous entoure.Nous sommes heureux d’annoncer une nouvelle section dans D’un commun accord qui sera consacré à des articles de nature

spirituelle, allant de courtes illustrations à des articles plus en profondeur, écrits par et pour les membres de l’Église.

Les auteurs intéressés sont invités à envoyer leurs articles à leurs pasteurs pour une première lecture. Les pasteurs à leur tour, les enverront à D’un commun accord. Les articles devraient se situer entre 300 et 1200 mots.

Nous sommes impatients de lire vos articles !

Articles demandés

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Nouvelles des Églises

Le 27 avril dernier, 32 adolescents de plusieurs États étaient présents à Atlanta, en Géorgie, pour la réunion sabbatique, avant le 2e bal annuel de fi nissants organisé par l’Église pour la région Sud devant avoir lieu ce soir-là. Jadea Blencoe a chanté « Th e Holy City » [la ville sainte], et Amberley Walton et Meredith Orrell ont joué toutes les deux un morceau extraordinaire au piano.Après l’assemblée, nos jeunes ont échangé leurs vêtements de sabbat pour de magnifi ques tenues de soirée pour un gala de danses et de fraternisation agrémenté d’un buff et et d’un kiosque de photo. Le thème de ce bal était « Une Symphonie mi aigre mi douce » et les fi nissants ont donné des discours inspirants.Le petit-déjeuner dans un parc, le matin suivant, a donné aux adolescents une autre occasion de passer du temps ensemble avant de rentrer chez eux. Plusieurs suggestions pour le thème du bal des fi nissants de l’an prochain ont été off ertes, alors que nos jeunes se donnaient rendez-vous au camp d’été.

Chant’a Collier

L’Église d’Atlanta, en Géorgie, tient son 2e bal de fi nissants

Cassie Chambers et Elauna Pettigrew ont donné de la classe au kiosque de photos Audrey Goodrich, qui est membre de l’Église depuis 40 ans,

a eu 90 ans le 4 mars dernier. Rendant visite à sa famille à ce moment-là, les membres de Columbia ont dû remettre la célé-bration de ce rare événement au 6 avril. Quand Audrey s’apprêtait à entrer dans la salle, nous nous sommes tous groupés pour l’accueillir. Sa surprise a été totale, à la vue des tables joliment décorées et achalandées de diverses friandises. Elle s’est écriée : « Quels cachottiers ! »Après la réunion, Audrey a été invitée à se servir la pre-mière, et nous avons tous savouré les mets délicieux expo-sés. Les discussions allaient bon train, et il y a eu beau-coup d’embrassades et d’étreintes, car on ne l’avait pas vue depuis quelque-temps. Nous lui avons montré qu’elle nous avait manqué.Pour la plupart d’entre nous, elle ne fait pas son âge. En fait, nous sommes plusieurs à l’appeler Sara. Elle est gracieuse et a beaucoup de sagesse ; et nous sommes bien contents qu’elle soit de nouveau parmi nous.

Pat Freeman

l’Église de Columbia (Missouri)

honore une nonagénaire

Normangee, dans le Texas, a été le théâtre d’un week-end spé-cial, les 6 et 7 avril derniers ; c’est là qu’a eu lieu le camp des pères et de leurs enfants, pour Houston Nord. Ce camp a lieu dans la propriété de Paul et de Christine Whitley, à 40 minutes de route du nord de Huntsville. Quarante personnes, environ, ont pro-fi té du temps magnifi que, de la bonne nourriture, et des amu-sements. C’était un sabbat et une fi n de semaine uniques qui comprenait également des activités pour les dames de Houston Sud. Cela va probablement devenir une activité annuelle.

Peter Gabriel

Photo par Brian Hegvold

Les pères passent du temps avec leurs enfants au camp de Houston

Audrey Goodrich sourit, stupéfaite à la réception que lui a faite sa congrégation

Les campeurs de Houston sur une piste dans la nature

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Le 11 mai dernier, après la réunion sabba-tique, l’Église de Columbia, en Caroline du Sud, s’est groupée pour féliciter – et pour dire au revoir à – l’une de ses sœurs préférées, Kerianne Springer. Le père de Kerianne – Mark Springer, de China Grove (Caroline du Nord) – était présent.Kerianne s’était installée à Columbia en 2009 pour suivre des cours à la faculté de médecine de l’université de Caroline du Sud. Après 4 ans d’études intenses, elle a reçu son diplôme de médecine générale.

Elle a été acceptée comme interne à l’université d’État Wright, à Dayton, dans l’Ohio. Son internat durera trois ans – pendant lesquels elle fera la na-vette entre trois hôpitaux diff érents. Nous avons célébré son succès avec un gâteau, du punch, et beaucoup d’étreintes. Elle a rendu beaucoup de services dans notre Église et elle va nous manquer beaucoup. Nous lui souhaitons de réussir dans la carrière qu’elle pour-suit en tant que Dr Kerianne Springer.

Nancy Lochner

Columbia, en Caroline du Sud, accueille son nouveau docteur

L’Église de Jeff erson, en Géorgie, s’est retrouvée, le sabbat du 4 mai dernier, à sa salle habituelle pour célébrer son 40e anni-versaire. Le 5 mai 1973, une nouvelle congrégation de l’Église de Dieu débutait à Athens, dans le même État. Celle-ci se com-posait de membres qui avaient assisté aux réunions à l’Église de Greenville, en Caroline du Sud, et d’Atlanta, en Géorgie.Dix-neuf des membres qui avaient assisté à la première as-semblée étaient présents lors de ce 40e anniversaire. Shirley England avait encore ses notes, qu’elle avait prises lors de ce premier sabbat à Jeff erson, en 1973 ; nous avons donc eu le plaisir de prendre connaissance des messages qui y avaient été donnés ce jour-là.Monsieur Jim Franks était assistant ministériel, à l’époque, et n’avait pas encore été ordonné. Il a parlé de l’importance que revêt, pour Dieu, la création d’une nouvelle congrégation. Il a également expliqué quoi faire pour que notre amour pour l’Église ne se refroidisse pas : ne pas négliger les « petits ».Monsieur Franks fut ordonné quelques semaines plus tard, lors de la Pentecôte. Un an plus tard, en 1974, il fut ordon-né ancien prédicateur, et devint le premier pasteur local de

l’Église d’Athens. Il n’avait que 24 ans, à l’époque.Le sermon de Ray Wooten était sur la raison d’être d’une Église locale, et sur ses responsabilités. Il avait lu Éphésiens 5:25-27 pour montrer comment Christ agit pour préparer Son peuple pour qu’il puisse l’épouser en tant qu’Église glorieuse. Il avait aussi mis l’accent sur l’importance de l’humilité et sur la nécessité de maintenir des rapports étroits avec Dieu.Notre ministre actuel, M. Bruce Gore, n’a pas pu être présent à cette occasion. Il nous a laissé le message inspirant suivant : « Il y a 40 ans, naissait l’Église d’Athens. Les vérités qui y étaient enseignées à l’époque sont les mêmes que celles que nous y prê-chons aujourd’hui. En dépit de toutes les attaques de Satan, vous êtes restés fi dèles, pratiquant les vérités qui étaient enseignées à l’époque, et qui étaient les mêmes que celles enseignées par les apôtres de Jésus-Christ. Vous vous les êtes prouvées pour vous-mêmes, avant de vous engager dans cette voie. Elles n’ont pas changé, et elles ne changeront pas. Ne les abandonnez pas, et votre entrée dans le glorieux Royaume de Dieu vous sera assu-rée ».Monsieur Franks nous a fait part de ses souvenirs. Il a par-tagé avec nous beaucoup d’excellents souvenirs des moments passés avec les membres, chez eux. « Nous aimions tous les membres, et nous sentions qu’ils nous aimaient », nous a écrit M. Franks. Lui et son épouse étaient restés avec nous 4 ans, et il a conclu son récent message en nous disant : « Merci de nous avoir donné un si bon départ dans le ministère ! »Après les présentations par Messieurs Gore et Franks, nous avons tous savouré un repas et une portion du gâteau d’anni-versaire. C’est stupéfi ant avec quelle vitesse les années se sont écoulées, mais cela nous fait chaud au cœur et nous encourage tous à persévérer jusqu’à l’instauration du Royaume de Dieu.

Shirley England et Donna Quintana

L’Église de Jefferson, en Géorgie, célèbre ses 40 ans

Dr. Kerianne Springer et Don Waterhouse

Dix-neuf des membres originaux de l’Église de Jeff erson étaient présents à son 40e anniversaire

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14 D’un commun accord eddam.org

Dans la ville paisible de Danbury, dans le Texas, plus de 50 femmes ont participé à la fi n de semaine spéciale pour les dames, « Mains au travail, cœurs pour Dieu », du 5 au 7 avril dernier. Cela leur a permis de se concentrer sur leurs dons spirituels afi n de voir comment s’en servir pour susciter des changements dans nos familles, nos congrégations et nos communautés. L’activité a été organisée par Lisa Ryan et June Powell, assistés de quinze dames, sous la direction de Jim et de Judy Servidio.Le week-end a débuté vendredi soir, quand nos dames, une fois arrivées, ont fait plus ample connaissance. Le lendemain matin, le jour du sabbat, elles ont pris un brunch ensemble, puis ont assisté à la réunion lors de laquelle M. Larry Salyer a donné le sermon. Après quoi Susa Scott Smith et Kathleen Giza ont di-rigé un atelier sur 7 dons spirituels, lors duquel nous avons tous identifi é nos dons spirituels individuels. Après cette session, plusieurs de nos dames ont fourni des exemples d’eff orts volon-taires dans lesquels elles sont présentement impliquées et elles ont encouragé le groupe à se porter volontaire, chacun dans sa commune respective, pour « faire une diff érence ». Nous avons ensuite eu de la lasagne pour le dîner, puis nous avons regardé un documentaire intitulé A Powerful Noise [Un grand bruit], mettant l’accent sur les activités de trois femmes, sur trois continents diff érents, rendant service dans leurs communautés.Le dimanche matin, nos dames ont participé à une discus-sion en groupe, à propos du documentaire que nous avions regardé la veille. Elles ont répondu à des questions sur le fi lm et ont réfl échi sur ce que Dieu nous dit de faire pour aider les personnes dans le besoin. Le week-end s’est terminé par une brève récapitulation des activités et par plusieurs commen-taires inspirants de plusieurs personnes sur la manière dont elles peuvent, elles aussi, faire « un grand bruit » !

Sandy Lawler, Photo par Lisa Ryan-Powell

Nos dames apprennent à exploiter leurs dons spirituels lors du week-end des dames

La classe de leadership de cette année, à Jeff erson et à Atlanta, a eu sa dernière session le dimanche 5 mai dernier. Les dames ont été invitées, et tous ont aimé les sujets de discussion et les trois discours, qui étaient excellents. Après cela, nous avons passé l’après-midi ensemble chez Wes et Trish Cohron, en savourant des grillades.La classe de cette année comptait de 15 à 18 hommes. Mon-sieur Gore, qui dirige cette classe, a dit : « Je trouve que nous avons eu un très bon groupe pour notre classe de leadership. Nous avons mis l’accent sur l’importance d’être des meneurs, d’être enracinés dans l’humilité et le service. »La tâche éducative de Dieu se poursuit, et l’automne 2013 marquera le début d’une autre année de croissance dans le leadership chrétien. Dans les Églises de Jeff erson et d’Atlanta, nous constatons déjà les bons fruits que cette classe a portés.

Donna Quintana

Une classe de leadership termine son programme

Deux messieurs ont été ordonnés diacres, et trois dames diaco-nesses, le jour de la Pentecôte, le 19 mai 2013, à Austin, dans le Texas. Danny et Pam Neil, d’Austin, ont été ordonnés tous les deux. Renée Mills – dont le mari Clay avait déjà été ordonné diacre – a été ordonnée diaconesse. De l’Église de San Antonio (qui s’était jointe à celle d’Austin pour la journée), David et Kim Gatley ont aussi été ordonnés diacre et diaconesse.Il va sans dire que la journée a été très bonne pour nos deux congrégations, qui se sont réjouies de ces ordinations. Plusieurs ont fait la remarque qu’il n’y avait pas eu d’ordination à Austin depuis longtemps. Et nombreux sont ceux qui ont déclaré que les personnes ordonnées faisaient déjà fonction de diacres et de diaconesses, vu les services qu’ils avaient rendu aux frères.

David Treybig

Cinq ordinations à Austin

Des dames chantent des cantiques lors de l’assemblée, au week-end des dames de Houston

David et Kim Gatley, Renee Mills, Pam et Danny Neal

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L’Église de Kansas City a connu bien des bénédictions, ces derniers mois, et parmi celles qui nous ont plu le plus, il y a eu la venue de quatre bébés en moins de six mois !Carter Aaron Mortier est né le 2 juillet 2012 (à la grande surprise de sa mère, qui l’attendait en juin) de Chad et de Laura Mortier. Carter est très sympa-thique ; il sourit pour tout le monde.Stephen Caleb Froedge est né le 7 novembre dernier, de Caleb et Katie Froedge. C’est un petit bout-de-chou calme, bien disposé ; il aime qu’on le prenne et il est très social.Leslie Maria Muñoz est née un peu plus d’une semaine après Stephen, le 16

novembre dernier, de Charlotte et Juan Muñoz. En plus d’être très mignonne et très sociale, elle a aussi le don du ba-billement ; elle balbutie à n’en plus fi nir, mais elle a une très jolie voix.Daniel John Ezekiel Scarborough est né de Shanna et de David Scarborough, le 5 décembre dernier. John est très décontracté et d’humeur égale. Il vous calme rien que par sa présence.Nous sommes reconnaissants à Dieu de la croissance qu’Il nous a ainsi ac-cordée. C’est remarquable la joie et la vie que ces petits bouts de choux ont ajouté à notre congrégation.

Katie Froedge

Ben et Dareth Kovaleski, de l’Église d’Asheville, en Caroline du Nord, ont la joie de vous faire part de la naissance de leur fille Savannah Jane. Savannah est née le 19 mars à 07h57. Elle pesait 2,8 kg et mesu-rait 48 cm. Ben et Dareth profitent au maximum de cette nouvelle ad-dition à la famille. Les membres de l’Église d’Asheville ont vu Dareth et ses frères et sœurs grandir, et ils sont maintenant bénis de voir pous-ser une autre génération.

Annonces baptêmes naissances

L’Église de Greensboro, en Caroline du Nord, tient à féliciter Dinah Potts, qui a été baptisée le 11 juin dernier. La cérémonie du baptême a été dirigée par M. Ron Kelley. Nous lui souhai-tons la bienvenue dans la famille de l’Église.

Ronald Kelley

L’Église de Raleigh, en Carolinne du Nord, est heureuse de vous annoncer le baptême de Noveline AungMin, le 16 juin dernier.Nous tenons à la féliciter et l’accueillons dans la famille de l’Église. La cérémonie du baptême a été dirigée par le pasteur de Raleigh, M. Ron Kelley. Les anciens Larry Lambert et Steve Villaescusa secondaient M. Kelley.

Ronald Kelley

Savannah Jane Kovaleski

Shanna et John Scarborough, charlotte et Leslie Muñoz, Katie et Stephen Froedge, Lora et Carter Mortier

Novaline Aungmin (au centre, avec une serviette blanche) célèbre son baptême avec sa famille et des amis

Dinah Potts (2e en partant de la gauche) se tient à côté de M. Ron Kelley, de ses fi ls Ahmood Slate et Kywan Potts ; de

sa mère Shirley McLean, et de son amie Bev McKnight

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Les consultations de nos pages sur LHT ne cessent d’augmenter

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Un an après le lancement, le 12 juin 2012, de son site LifeHopeandTruth, l’EDAM a atteint une étape signifi cative lorsque son site a été visité pour la millionième fois. Une « visite » équivaut à une consultation de l’une de nos pages par un internaute.La rubrique la plus souvent consultée ces derniers 12 mois est celle des «  versets encourageants », qui a été consultée 23  420 fois depuis qu’elle a vu le jour, le 1er juillet dernier. Les articles les plus populaires consultés en second lieu ont été « Recherchez premièrement le Royaume de Dieu », « Les 12 tribus d’Israël de nos jours » et « La liste des Dix Commandements ».D’après notre responsable d’exploitation de notre moteur de recherche, William Beech, la prochaine étape majeure à franchir est 100 000 visites uniques par mois. Pour le moment, LHT reçoit approximativement 70 000 visites par mois.

Elizabeth Cannon Glasgow

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*au 24-06-13