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COMMUNAUTÉ DE COMMUNES MAREMNE ADOUR CÔTE-SUD SÉANCE DU 6 AVRIL 2016 À 18 HEURES 30
SALLE LADISLAS DE HOYOS DU PÔLE CULINAIRE DE MACS À SEIGNOSSE
Nombre de conseillers :
en exercice : 54
présents : 40
absents représentés : 13
absent : 1
PROCÉS VERBAL DE LA SÉANCE
DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 6 AVRIL 2016
L’an deux mille seize, le six du mois d’avril à 18 heures 30, le conseil communautaire de la Communauté de
communes Maremne Adour Côte-Sud dûment convoqué le 29 mars 2016, s’est réuni en session ordinaire, à
la salle « Ladislas de Hoyos » du pôle culinaire de MACS à Seignosse sous la présidence de Monsieur Eric
Kerrouche. Présents :
Mesdames et Messieurs Eric KERROUCHE, Jean-Claude DAULOUÈDE, Jean-Claude SAUBION, Pierre
FROUSTEY, Alain LAVIELLE, Jean-François MONET, Benoît DARETS, Patrick BENOIST, Marie APHATIE, Francis
BETBEDER, Xavier GAUDIO, Henri ARBEILLE, Jacqueline BENOIT-DELBAST, Nelly BÉTAILLE, Hélène BIASUTTI,
Pascal BRIFFAUD, Nicole CHUSSEAU, Cécile CROCHET, Anne-Marie DAUGA, Sylvie DE ARTECHE, Nathalie
DECOUX, Jean-Luc DELPUECH, Louis GALDOS, Christine GAYON, Valérie HERMENIER, Christine JAURY-
CHAMALBIDE, Chantal JOURAVLEFF, Patrick LACLÉDÈRE, Corine LAFITTE, Francis LAPÉBIE, Michel LAUSSU,
Isabelle MAINPIN, Bernard MORESMAU, Mireille MULTEAU, Michel PENNE, Jérôme PETITJEAN, Arnaud
PINATEL, Françoise TROCCARD, Corinne WALTER, Jean-Michel YVORA.
Absents représentés :
Mme Frédérique CHARPENEL a donné pouvoir à M. Eric KERROUCHE, M. Lionel CAMBLANNE a donné
pouvoir à Mme Valérie HERMENIER, Mme Delphine BART a donné pouvoir à M. Xavier GAUDIO, M. Pascal
CANTAU a donné pouvoir à Mme Sylvie de ARTECHE, Mme Nathalie CASTETS a donné pouvoir à Mme Nicole
CHUSSEAU, M. Alain CAUNÈGRE a donné pouvoir à M. Michel LAUSSU, M. Eric COUREAU a donné pouvoir à
M. Arnaud PINATEL, M. Michel DESTENAVE a donné pouvoir à Mme Isabelle MAINPIN, Mme Céline FERREIRA
a donné pouvoir à Mme Corinne WALTER, Mme Patricia MARS-JOLIBERT a donné pouvoir à M. Michel
PENNE, M. Jean-Yves MONTUS a donné pouvoir à M. Pierre FROUSTEY, Mme Kelly PERON a donné pouvoir à
Mme Mireille MULTEAU, Mme Sabine RICHARD a donné pouvoir à M. Jean-Claude SAUBION.
Absent : Monsieur Stéphane DARMAILLAC.
Secrétaire de séance : Monsieur Jean-Michel YVORA.
N° d’ordre
ORDRE DU JOUR
Rapporteurs
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ADMINISTRATION GÉNÉRALE
A - Approbation du procès-verbal de la séance du 11 février 2016 salle Ladislas de Hoyos au pôle
M. le Président
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culinaire de MACS à Seignosse.
B - Composition du conseil communautaire - Installation de Monsieur Pascal Cantau en
remplacement de Monsieur Pierre Çabaloué représentant la commune de Saubion.
C - Rapport relatif aux mutualisations des services entre la Communauté de communes MACS et ses
communes membres - Approbation du projet de schéma de mutualisation.
D - Modification du règlement intérieur de MACS - Espace d’expression des élus dans le bulletin
communautaire « Macs d’infos » et le Flash budget et actualisation de la composition du conseil
communautaire à 54 conseillers suite à l’accord local constaté par arrêté préfectoral en date du
26 octobre 2015.
E - Renouvellement du conseil municipal de la commune de Seignosse - Désignation de Madame
Valérie Hermenier pour siéger, en qualité de délégué titulaire, au sein du conseil d’administration
du Pays Adour Landes Océanes.
Monsieur Pinatel
M. le Président
M. le Président
2 DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE, EMPLOI, TOURISME
A - Zone d’activités économiques communautaire de Terreblanque à Saint -Vincent-de-Tyrosse :
1 - Promesse de vente et vente du lot n° 3.2 à la SARL Fontainebleau Ambulance 117 : Numéro de
lot Acquéreur Activité
Contenance
approximative Prix H.T.
3.2 SARL FONTAINEBLEAU
AMBULANCES 117
Transports
sanitaires 647 m² 42 055,00 €
2 - Signature d’un protocole d’accord transactionnel et constitution d’une servitude de réseaux
des concessionnaires existants sur du foncier bâti privé de la SCI Domecq :
- MACS prend à sa charge les frais et honoraires de constitution d’une servitude pou r le
passage des réseaux de télécommunications, de distribution électrique, d’éclairage publique
et de gestion des eaux pluviales implantés sur la parcelle de la SCI Domecq ; la servitude
sera instituée moyennant le paiement d’une indemnité par MACS à ladite SCI de 65 € HT le
m² (ou mètre linéaire) sur son périmètre de 28 m², soit 1 820 euros selon le plan de
servitude annexé au projet de protocole d’accord ;
- MACS prendra à sa charge, en réparation des préjudices subis par la SCI Domecq en raison
de la présence des réseaux sur sa parcelle, les travaux de réalisation du bassin de rétention
des eaux pluviales pour un montant maximum de 15 846 euros T.T.C., à charge pour ladite
SCI, en sa qualité de maître d’ouvrage, de faire réaliser les travaux par la soc iété STPB ;
- MACS prendra à sa charge la réfection, sous sa maîtrise d’ouvrage, de la bande d’espaces
verts située sur le domaine public routier communal et du raccordement exutoire vers le
réseau public de la canalisation d’eaux pluviales découverte en limite de propriété pour un
montant estimatif de 5 000 euros TTC ;
B - Zone d’activités économiques communautaire de Laubian 2 à Seignosse – Autorisation de
revente du lot n° 5.2 à la SARL Only Free-Jet Evasion par la SCI SOL au prix de vente
28 800,00 € HT, augmenté des frais d’actes, dans le but de développer son activité de Bâteau
école, randonnée jet ski et formation de moniteur BP JEPS Motonautisme.
C - Zone d’activités économiques communautaire du Tinga à Magescq - Approbation de la convention
d’occupation précaire et révocable avec le centre équestre « Le Domaine d’Equus » représentée
par Madame Séverine Dymowski sur les parcelles cadastrées section O n° 564, 565, 566p,
568, 569, 570, 574 et 575p, d’une contenance globale d’environ 6,05 hectares, su r la
commune de Magescq, lieu-dit « Tinga », pour les besoins de son activité de centre équestre.
D - Emploi - Forum des emplois saisonniers 2016 - Approbation de la convention de partenariat avec
Pôle Emploi
E - Tourisme - Adhésion à la Mission des offices de tourisme et pays touristiques d’Aquitaine.
F - Tourisme - Assistance à maitrise d’ouvrage à caractère administratif, juridique, financier et
technique pour la mise en œuvre de la compétence tourisme sur le territoire de MACS -
Demande de subvention dans le cadre de l’appel à projet régional « structuration touristique des
Territoires » et du règlement d’intervention tourisme et thermalisme du conseil départemental
des Landes.
Monsieur Froustey
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3 VOIRIE - MOBILITÉ - TRANSPORTS
A - Voirie - Remboursement par les communes des travaux de voirie hors compétence
communautaire réalisés par MACS en 2015 - Convention type MACS/Communes.
B - Voirie - Approbation de la convention-cadre de transfert temporaire de la maîtrise d’ouvrage dans
le cadre de travaux hors compétence de MACS.
C - Voirie - Opération d’aménagement sur la RD 652 à Soustons :
1 - Approbation de la convention de délégation de la création et de l’entretien de l’ouvrage par le
Département des Landes à la Communauté de communes MACS
2 - Approbation de la convention de transfert temporaire de la maîtrise d’ouvrage de la commune
de Soustons à la Communauté de communes MACS
3 - Acquisition foncière par voie de donation sur la parcelle n°225 section BW appartenant à la
famille Coyola.
D - Mobilité - Création d’un Pôle d’échange multimodal à Saint-Vincent-de-Tyrosse - Demande de
subvention au titre du contrat territorial unique régional.
E - Mobilité - Réalisation d’une voie verte le long de la RD 337 sur la commune de Seignosse –
Demande de subvention au titre du fonds de soutien à l’investissement public local et auprès du
Conseil Régional Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
F - Mobilité - Information relative à la passation d’un marché avec la société coopérative d’intérêts
collectifs « Rézo Pouce » pour le développement d’une offre d’autostop organisée sur le territoire
de MACS.
Monsieur Saubion
4 AMÉNAGEMENT DE L’ESPACE
A - Plan local d’urbanisme de la commune de Josse - Approbation de la modification simplifiée n° 1.
B - Plan local d’urbanisme de la commune de Saint-Jean-de-Marsacq - Approbation de la modification
simplifiée n°1.
C - Plan local d’urbanisme de la commune de Saint-Martin-de-Hinx - Modification simplifiée n° 2 -
Modalités de la mise à disposition du projet au public.
D - Plan local d’urbanisme de la commune de Bénesse-Maremne - Modification simplifiée n° 1 -
Modalités de la mise à disposition du projet au public.
E - Plan local d’urbanisme de la commune de Soorts-Hossegor - Modification simplifiée n° 2 -
Modalités de la mise à disposition du projet au public.
F - Plan local d’urbanisme de la commune de Saubion - Modification simplifiée n° 4 - Modalités de la
mise à disposition du projet au public.
G - Plan local d’urbanisme de la commune d’Angresse - Modification simplifiée n° 2 - Modalités de la
mise à disposition du projet au public.
H - Aire de valorisation de l’architecture et du patrimoine (AVAP) de Soorts -Hossegor - Constitution
de la commission locale
Monsieur Xavier Gaudio sera le représentant de la Communauté de communes au sein de la
commission locale consultative de l’AVAP,
La commission locale de l’AVAP sera constituée des représentants suivants :
- 1 représentant de la communauté de communes : Monsieur Xavier Gaudio
- 7 représentants de la commune de Soorts-Hossegor : Mesdames Christine Bégué, Sabine
Bénétrix et Cathy Montaut et Messieurs Philippe Gelez, Serge Messanges, Pierre Servary et
Jean-Jacques Tirquit,
- 3 représentants de l’Etat : le préfet ou son représentant, le directeur régional des affaires
culturelles ou son représentant, le directeur régional de l’environnement, de l’aménagement
et du logement ou son représentant,
- 4 personnes qualifiées, d’une part, au titre de la protection du patrimoine et, d’autre part, au
Monsieur Monet
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titre des intérêts économiques concernés : Monsieur Claude Laroche ou un de ses
représentants du service de l’inventaire, Madame Alexandrine Vanel-Duluc (urbaniste chargée
de la révision du PLU de la commune), Monsieur Hervé Soriano (architecte conseil de la
commune), Monsieur Jean-Claude Loste (ancien géomètre, responsable de la commission
Urbanisme à l’association Société des Propriétaires de Soorts-Hossegor).
5 CULTURE
Associations culturelles - Attribution de subventions
- Association Lire sur la vague (actions de médiation et de sensibilisation pour le "Salon du livre
jeunesse et de la BD ») pour un montant de 2 000 €.
- Association Festiv'Adour (Patrimoine naturel et spectacle vivant) pour un montant de 5 000 €.
M. le Président
6 ENVIRONNEMENT - TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
A - Attribution du fonds de concours « Transition énergétique » :
1 - Commune de Labenne : Bibliothèque « Maison Barbé » (4 139,50 €) et Restaurant scolaire
(46 951,81 €)
2 - Commune de Magescq : Salle Nord des Arènes (8 363,45 €) et chaudières de l’ensemble des
bâtiments (764,45 €)
3 - Commune d’Angresse : Restaurant « Les platanes » et local commercial (5 116,00 €)
4 - Commune de Vieux-Boucau-les-Bains : Mairie (1 333,50 €)
B - Thermographie aérienne - Demande de subvention au titre du contrat territorial unique régional.
Monsieur Benoist
7 DÉPENDANCE - LOGEMENT
Elaboration du programme local de l’habitat - Nouvel arrêt du projet après avis des communes
membres.
Madame Aphatie
8 PERSONNEL COMMUNAUTAIRE
A - Ouvertures de postes liées à des avancements de grade
Pôle/ Service Grade actuel de l’agent Poste à créer Temps de
travail
Date d’effet
Pôle Ressources / RH Attaché principal Directeur territorial 35h 01.07.2016
Pôle services aux
territoires / voirie
Adjoint technique 2ème cl Agent de maitrise 35h 01.07.2016
Pôle services à la
personne / RAM
Contractuel Adjoint d’animation
2ème cl
28h 01.04.2016
Pôle services à la
personne / enfance
jeunesse
Animateur Animateur principal
2ème cl
35h 01.01.2016
B - Approbation de l’avenant à la convention d’adhésion au service de médecine préventive du centre
de gestion de la fonction publique territoriale des Landes portant sur une hausse des tarifs de
66,11 € par agent en 2015 à 71,50 € par agent pour l’année 2016.
M. le Président
9 NUMÉRIQUE
Société publique locale « Digital Max » - Approbation de l’avenant à la convention de délégation de
service public pour l’établissement et l’exploitation du réseau de fibre optique de MACS, ayant pour
objet :
- d’une part, de compléter l’offre de services proposée par la SPL afin d’inclure les services
offerts à tous ses actionnaires aux personnes morales qu’ils contrôlent,
- d’autre part, d’ajouter une annexe à la convention de délégation de service public en date du
11 mai 2015, constituée du contrat cadre de service de communications électroniques et
ses annexes :
modèle de bon de commande,
M. le Président
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modèle de devis,
modèle de contrat de mandat.
10 QUESTIONS ET INFORMATIONS DIVERSES
Décisions prises par Monsieur le Président en application de l’article L. 5211 -10 du code général
des collectivités territoriales et de la délibération du conseil communautaire en date du 11 avril
2014 portant délégation d'attributions du conseil communautaire au Président en matière
de marchés publics et de culture
M. le Président
Sur proposition de Monsieur le Président, Monsieur Jean-Michel Yvora est désigné, à l’unanimité, secrétaire de
séance.
1 - ADMINISTRATION GÉNÉRALE Rapporteur : Monsieur le Président
A - APPROBATION DU PROCÈS-VERBAL DE LA SÉANCE DU 11 FÉVRIER 2016
Le Président invite l’assemblée à se prononcer sur le procès-verbal de la séance du 11 février 2016, ce qu’elle fait
en l’adoptant à l’unanimité.
B - COMPOSITION DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE - INSTALLATION D’UN CONSEILLER COMMUNAUTAIRE REPRÉSENTANT LA COMMUNE DE SAUBION EN REMPLACEMENT DE MONSIEUR PIERRE ÇABALOUÉ
La commune de Saubion est représentée au sein de l’assemblée délibérante par deux conseillers
communautaires, Monsieur Pierre Çabaloué, Maire et Madame Sylvie de Arteche.
Par courrier en date du 15 février 2016, Monsieur Pierre Çabaloué a informé le président de la Communauté de
communes de sa démission de son mandat de conseiller communautaire à compter du même jour.
En application de l’article L. 273-10 du code électoral, le siège devenu vacant est pourvu par le candidat de même
sexe élu conseiller municipal suivant sur la liste des candidats aux sièges de conseiller communautaire sur laquelle
le conseiller à remplacer a été élu.
Monsieur Pascal Cantau est amené, en application des dispositions du code électoral précité, à pourvoir au
remplacement de Monsieur Pierre Çabaloué et doit être installé comme conseiller communautaire.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
de prendre acte de l’installation de Monsieur Pascal Cantau au sein du conseil communautaire de
Maremne Adour Côte-Sud, en remplacement de Monsieur Pierre Çabaloué ;
de prendre acte de la représentation de la commune de Saubion ci-après et de la modification
correspondante du tableau du conseil communautaire :
- Monsieur Pascal Cantau
- Madame Sylvie de Arteche
d’autoriser Monsieur le président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
C - RAPPORT RELATIF AUX MUTUALISATIONS DE SERVICES ENTRE MACS ET LES COMMUNES MEMBRES - APPROBATION DU PROJET DE SCHÉMA DE MUTUALISATION
Rapporteur : Monsieur Arnaud PINATEL
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Conformément aux dispositions de l’article L. 5211-39-1 du code général des collectivités territoriales, un rapport
relatif aux mutualisations de services entre les services de l’EPCI et ceux des communes membres, comprenant
un projet de schéma de mutualisation des services à mettre en œuvre pendant la durée du mandat, a été
présenté en séance du conseil communautaire du 17 décembre 2015.
Le document a ensuite été transmis aux 23 communes membres le 24 décembre 2015, afin de permettre aux
conseils municipaux de se prononcer dans un délai de trois mois. A défaut de délibération dans ce délai, leur avis
est réputé favorable.
Pour mémoire, à l’issue de la démarche participative de co -élaboration et sur la base des besoins exprimés par les
communes, le projet de schéma de mutualisation s’articule autour des 3 axes suivants :
en priorité, consolider les compétences déjà transférées et exercées par MACS, en s’appuyant
notamment sur les actions définies dans le projet d’administration et la démarche qualité, avec les objectifs
suivants :
o clarification et meilleure coordination des interventions entre services communaux et
communautaires pour gagner en efficacité et en lisibilité,
o contractualisation d’engagements de service entre l’EPCI et ses communes portant sur le niveau de
service attendu, les critères de priorisation, les délais d’intervention et une meilleure
communication/information interne et externe,
o mise à jour, à la faveur des transferts de compétences imposés par les évolutions législatives, des
statuts de MACS dans un souci de clarification du périmètre d’intervention des communes et de
MACS,
s’engager, dans un second temps, dans le transfert de nouvelles compétences imposées par les
évolutions législatives,
mettre en œuvre, à partir de 2018 et jusqu’à la fin du mandat, les mutualisations de services
permettant de répondre aux besoins des communes. Ces mises en œuvre se feront dans le cadre d’une
concertation avec les communes, les représentants du personnel et les agents concernés.
L’ensemble des communes consultées a émis un avis favorable exprès ou implicite, par expiration du délai de
consultation, sur le projet, à l’exception de la commune de Moliets -et-Mâa qui aurait souhaité davantage de
précisions pour pouvoir se prononcer favorablement.
Après cet exposé, on peut noter les interventions suivantes :
Madame Françoise Troccard demande ce que représentent les maisons de service public.
Monsieur le Président indique que la loi du 7 août 2015 relative à la nouvelle organisation territoriale de la
République (dite loi Notre) a modifié le nombre de compétences qu’une communauté de communes dite à « DGF
bonifiée » doit exercer pour pouvoir continuer à en bénéficier au 1er janvier 2018. La Communauté de communes
MACS devra exercer une des compétences supplémentaires suivantes pour cette date : soit les maisons de
services au public, qui sont à la fois une compétence et un label d’Etat, soit la compétence eau et assainissem ent,
sachant que celle-ci échoira à la Communauté de communes au plus tard le 1er janvier 2020.
Concernant cette compétence « maison de services au public », il existe déjà l’Escale info à Capbreton qui pourrait
être facilement labellisé « maison de services au public », et qui serait complétée avec le projet d’espace
ressources à Soustons. L’idée consiste donc à prendre cette 9ème compétence sur les 12 obligatoires pour
l’éligibilité à la DGF bonifiée, afin de ne pas être en difficulté d’un point de vue financier.
Il précise que, dans le cadre des « maisons de services au public », MACS participera avec deux opérateurs
publics dans le domaine de l’emploi et des prestations sociales, qui, en contrepartie de cette labellisation, reçoivent
des fonds dédiés pour faire fonctionner cet espace. Cette option est apparue la plus simple afin de pérenniser les
dotations de la Communauté de communes, qui sont déjà remises en question par ailleurs.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et par 51 voix pour et 2 abstentions de Mesdames Hélène
Biasutti et Nathalie Decoux, décide :
d’approuver le rapport relatif aux mutualisations de services entre les services de l’EPCI et ceux des
communes membres, comprenant un projet de schéma de mutualisation des services à mettre en œuvre
pendant la durée du mandat, tels qu’annexés à la présente,
de prendre acte de la présentation annuelle, à l’occasion du débat d’orientations budgétaires ou lors du
vote du budget, de l’état d’avancement du schéma de mutualisation,
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d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
D - MODIFICATION DU RÈGLEMENT INTÉRIEUR DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES - ESPACE D’EXPRESSION ET COMPOSITION DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE
Rapporteur : Monsieur le Président
En application des dispositions combinées des articles L. 5211-1 et L. 2121-8 du code général des collectivités
territoriales, le conseil communautaire a adopté le règlement intérieur de la Communauté de communes par
délibération en date du 22 septembre 2014. Il a ensuite été modifié par délibération en date du 5 mars 2015 en
matière de dématérialisation et de délai de convocation du conseil communautaire (Titre 1, article 4, alinéa 4),
ainsi qu’en matière de composition des ateliers communautaires (Titre 3, § 5 à 8).
Le règlement intérieur, dont le contenu est librement déterminé par le conseil communautaire d ans les limites
fixées par les lois et règlements en vigueur, doit être complété de dispositions relatives aux conditions et modalités
d’expression des élus, débattues en séance du conseil communautaire du 11 février 2016, ainsi que par l’atelier
« Administration générale », élargi aux 23 maires, lors des réunions des 27 janvier et 16 mars 2016.
1. Espace d’expression réservé aux élus
Conformément à l’article L. 2121-27-1 du code général des collectivités territoriales, et sur la base des
propositions formulées par les Maires et les membres de l’atelier « Administration générale », les conditions et
modalités relatives à l’espace d’expression réservé aux élus pourraient être formalisées à l’article 22 nouveau du
Titre 1 du règlement intérieur comme suit :
« 22. ESPACE D’EXPRESSION RÉSERVÉ AUX ÉLUS
Un espace est réservé à l’expression des élus dans le bulletin d’information générale « MACS D’INFOS » et le
« Flash Budget ».
Les conditions et modalités de répartition de l’espace permettent une expression équitable des représentations
politiques, dans le respect du principe majoritaire. L’espace réservé à l’expression des élus est réparti entre les
groupes suivants :
Groupe majoritaire ;
Groupes d’opposition constitués de 1 à 9 élus ;
Groupes d’opposition de 10 élus et plus.
Caractéristiques de l’espace réservé et répartition de l’espace :
Bulletin d’information « MACS D’INFOS »
Une page (20,5 x 26,5) est réservée à l’expression des conseillers dans le bulletin et répartie dans les conditions
suivantes, selon le nombre de groupes identifiés :
1 page du bulletin format 20,5*26,5, marges incluses répartie entre 2 groupes d’expression :
Majorité : 2/3 de l’espace ;
Groupe d’au moins 10 élus : 1/3 de l’espace.
1 page du bulletin format 20,5*26,5, marges incluses répartie entre 3 groupes d’expression :
Majorité : 1/2 page ;
1/2 page disponible répartie comme suit :
- 1 Groupe d’expression d’au moins 10 élus : 2/3 de l’espace disponible ;
- 1 Groupe d’expression de 1 à 9 élus : 1/3 de l’espace disponible.
1 page du bulletin format 20,5*26,5, marges incluses répartie entre 4 groupes d’expression :
Majorité : 1/2 page ;
1 Groupe d’expression d’au moins 10 élus : 1/4 de page ;
2 Groupes d’expression de 1 à 9 élus : 1/8ème de page chacun.
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« Flash budget »
1 colonne du « Flash budget » (format larg. 5 cm*H 21 cm) répartie dans les mêmes proportions que pour le
bulletin « MACS D’INFOS » :
1 colonne répartie entre 2 groupes d’expression :
Majorité : 2/3 de l’espace ;
Groupe d’expression d’au moins 10 élus : 1/3 de l’espace.
1 colonne répartie entre 3 groupes d’expression :
Majorité 1/2 ;
1/2 colonne disponible répartie entre :
- 1 Groupe d’expression d’au moins 10 élus : 2/3
- 1 Groupe d’expression de 1 à 9 élus : 1/3
1 colonne répartie entre 4 groupes d’expression :
- Majorité : 1/2 ;
- 1 Groupe d’expression d’au moins 10 élus : 1/4 de colonne ;
- 2 Groupes d’expression de 1 à 9 élus : 1/8ème de colonne chacun.
Un interlocuteur permanent doit être désigné pour chaque groupe d’expression et son nom communiqué par
courrier à l’attention de :
Monsieur le Président de la Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud
Allée des Camélias
40230 Saint-Vincent-de-Tyrosse
Au-delà de 4 groupes d’expression identifiés au sein conseil communautaire, ces modalités de répartition de
l’espace à l’intérieur du bulletin « MACS D’INFOS » et du « Flash budget » devront être revues.
Forme et contenu à respecter :
Le droit d’expression doit porter sur des questions d'intérêt communautaire.
Le bulletin communautaire est un bulletin d’information générale dénué de tout esprit polémique, portant sur les
réalisations et les événements à venir de la vie de la Communauté de communes.
Les conseillers s’engagent à ne s’exprimer que sur les réalisations et la gestion de la Comm unauté de communes,
dans la limite de ses compétences.
Le directeur de la publication se réserve un droit de contrôle pouvant aller jusqu’à la non publication des textes :
- n’ayant pas trait à des sujets d’intérêt local,
- manifestement fondés sur des informations erronées ou des faits non avérés,
- injurieux ou diffamatoires,
- contrevenant aux règles posées par le code électoral.
Toute modification intervenant dans le nombre et la composition des groupes, ainsi que sur le calibrage du bul letin
et du « Flash budget » (format, maquette, charte graphique…) entraînera un ajustement des modalités de
répartition de l’espace.
Périodicité de l’espace réservé :
L’espace sera réservé dans les trois numéros annuels du bulletin distribués en janvier, juin et septembre, ainsi que
dans le numéro annuel du « Flash budget » en avril.
Délais et procédures de remise des textes :
Les textes seront transmis à l’adresse suivante : [email protected]
Le président ou la personne désignée par lui se chargera de prévenir les groupes représentés au sein du conseil
communautaire au moins 15 jours avant la date limite de dépôt des textes prévus pour le bulletin communautaire
ou le « Flash budget ».
Conséquences en cas de non-respect des modalités :
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Si le texte n’est pas livré dans les délais et formes prévues dans le présent règlement intérieur, l’espace sera
laissé vide. Sera inscrite, en lieu et place de l’espace réservé, la mention « Texte non parvenu dans les délais
impartis ».
Si le contenu des tribunes des élus est susceptible de troubler l’ordre public ou comporte des allégations à
caractère injurieux ou diffamatoire, le président, en qualité de directeur de publication, pourra demander la
rectification à l’auteur avant publication. En cas de refus opposé par l’auteur, le président se réserve le droit de
refuser la publication du contenu. L’auteur en sera avisé par écrit. Il sera porté, sur l’espace réservé, une mention
« Texte non conforme à la législation en vigueur ».
2. Composition du conseil communautaire
Dans le même temps, il est proposé de modifier l’article 1 du Titre 1 du règlement intérieur portant sur la
composition du conseil communautaire en vue de l’adapter au nouvel accord local, portant à 54 le nombre de
conseillers communautaires, constaté par arrêté préfectoral en date du 26 octobre 2015.
Après cet exposé, on peut noter les interventions suivantes :
Madame Marie Aphatie expose que cette délibération comprend deux décisions. D’une part, celle qui consiste à
actualiser la composition du conseil communautaire pour la mettre en conformité avec l’accord local, et ne pose
aucun problème. D’autre part, celle qui consiste à modifier le règlement intérieur et définir les conditions de
modalités d’application du droit d’expression des élus d’opposition dans les publications de MACS, laquelle pose un
réel problème.
Elle relève que la modification de ce règlement intérieur aura des répercussions qui méritent d’être soulevées.
Madame Marie Aphatie s’exprime en ces termes :
« Je fais appel à votre mémoire lors du conseil d’installation où je réagissais aux termes de minorité concernant
les élus Tyrossais au sein de cette instance. Chacun d’entre nous, nous avons nos sensibilités, de droite ou de
gauche, et nous tenons à les assumer. C’est ce qui fait souvent la richesse de nos débats. Nous avons tous été
élus en tant que conseillers communautaires afin de défendre les intérêts de nos communes, et c’est à ce titre
que nous sommes là pour porter la parole de tous nos administrés quels qu’ils soient, de droite ou de gauche.
Dans notre commune, nous tentons d’opérer de la même façon. Nous travaillons dans la transparence, et chaque
décision d’importance communautaire est débattue en commission générale. C’est ainsi que nous avons organisé
une commission, notamment pour le transfert du droit des sols, et la parole portée en conseil communautaire est
conforme à la décision de la majorité du conseil municipal, et à l’époque c’était même l’unanimité. Nous n’avons
pas été élus à la Communauté de communes pour un programme, et nous sommes avant tout des élus
municipaux, élus pour des projets de la ville et désignés en intercommunalité pour défendre les intérêts des
administrés de nos communes. L’intercommunalité doit être une communauté de projets, et on va la résumer
avec de « pauvres plans politiques », à des « petits groupes partisans et sectaires », qui ne feront rien avancer du
tout. De plus la loi NOTRe, avec les prises de compétences qu’elle nous impose dans les années à venir, va donner
lieu à des discussions où chaque membre du conseil représentant sa commune doit pouvoir s’exprimer, et qu’en
sera-t-il si un élu veut se démarquer de sa position du groupe auquel il est affilié, pourra -t-il créer un groupe pour se
démarquer à lui tout seul ? Nous tombons là dans le ridicule, car la notion de groupe à une personne ne veut rien
dire. Comment demander ce soir aux élus de rejoindre un tel ou un tel, et si les élus d’une même commune veulent
intégrer des groupes différents, que fait-on ? Les magazines « un MACS d’infos » ou « Flash budget » retracent des
dossiers sur lesquels il y a eu une majorité adoptée en conseil communautaire. Pour faire valoir nos arguments, en
plus de l’expression de chacun de nous en commission et en conseil communautaire, nous avons tous des
gazettes municipales où l’on peut traiter des sujets communautaires, et défendre nos positions auprès de nos
administrés respectifs. Certes, l’expression des élus est réglementée, mais que sera votre bulletin d’informations
demain ? Imaginez celui de la nouvelle Communauté d’agglomération du pays basque qui totalise 149 communes.
Imaginez votre magazine si les 23 communes souhaitent participer à l’expression libre. J’en appelle à la raison des
élus communautaires, ce magazine a pour vocation l’information des administrés, mais information ne veut pas
dire polémique, pourquoi ne pas donner la possibilité aux élus qui le souhaitent, de rédiger un article sur un thème
qui leur tient à cœur ? Réserver une page où quatre élus seront désignés à tour de rôle pour parler de leur rôle
d’élus communautaires, d’un projet sur lequel ils ont travaillé, de manière à ce que les 50 élus puissent parler au
moins une fois dans l’année. C’est une proposition comme une autre.
Pour toutes ces raisons, Monsieur le Président, comme je vous l’ai déjà demandé, nous vous demandons de
retirer cette délibération. Je comprendrai que, pour des raisons règlementaires, vous ne puissiez le faire. Je
demande aux élus communautaires de voter contre. Et si la modification du règlement intérieur est actée, veuillez
noter, Monsieur le Président, que la ville de St-Vincent-de-Tyrosse demande à constituer un groupe d’expression
pour sa seule commune ».
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Madame Valérie Hermenier approuve cette intervention et estime que permettre l’expression des élus est une
excellente chose. Malgré tout, elle s’inquiète également du sort de l’expression de toutes les réflexions
« individuelles » de chaque commune. Comment permettre à un groupe de plusieurs communes de porter des
projets et d’avancer sur ces projets quand la vision n’est pas la même que l’intercommunalité ?
Madame Anne-Marie Dauga demande quelle définition est donnée au groupe d’expression. Dans les trois groupes
d’expression il y a la majorité, le groupe d’expression d’au moins 10 élus et le groupe d’expression de 1 à 9 élus.
Elle se demande où se positionner si, en tant que conseillère municipale d’opposition de Soustons, elle désire
publier un article.
Monsieur le Président répond qu’il suffit de se manifester pour qu’un droit de parole soit accordé à titre individuel.
Il précise qu’il reviendra sur les modalités techniques qui ont été débattues en atelier administration générale.
Madame Nicole Chusseau pose une question au nom de Madame Nathalie Castets qui souhaite, en tant qu’élue et
conseillère communautaire de l’opposition de la ville de Capbreton, faire un groupe indépendant représentant les
intérêts de sa commune, et pouvoir s’exprimer dans une tribune à travers le magazine de MACS.
Monsieur le Président indique qu’il a été fait une projection technique sur un certain nombre de groupe, en
fonction des différentes manifestations. La question de la capacité d’expression des élus de l’opposition au sein des
supports communautaires a été posée par deux conseillers communautaires que sont Monsieur Lionel
Camblanne et Madame Hélène Biasutti.
Il souligne que la Communauté de communes est une communauté de projets . Il faut à ce titre favoriser
l’émergence d’un consensus le plus important sur, sinon toutes, mais la plupart des décisions. Pour autant, il peut
arriver qu’il y ait des divergences politiques.
Une fois que la demande a été faite par ces deux conseillers, Monsieur le Président ne se voyait pas censurer
l’expression dans le bulletin d’information communautaire, d’autant que la loi permet une expression individuelle .. Il
précise par ailleurs avoir toujours fait en sorte que le bulletin communautaire reste équilibré, y compris dans ses
éditos.
Monsieur Xavier Gaudio est satisfait sur le principe d’une expression mais souligne le problème de la gestion de
l’expression de chacune des oppositions de tout ou partie des 23 communes, qui doit normalement se faire dans
les bulletins municipaux en vertu des mêmes dispositions législatives. Il indique voter contre de ce point de vue. Si,
dans chaque commune, la partie d’opposition jugeant qu’elle est mal représentée par son maire, demande
indirectement un droit d’expression dans le journal de MACS qui n’est, a priori, pas destiné à cela, ce sera
ingérable.
Monsieur le Président rappelle qu’il s’agit d’une demande de deux conseillers communautaires et qu’il n’est pas
envisageable d’étendre la page d’expression des élus aux élus municipaux.
Monsieur Patrick Laclédère expose qu’il s’agit d’une tribune politique du conseil communautaire et non des
communes membres.,. Concernant la définition des groupes qui a été retenue, il considère qu’un groupe
d’opposition de 1 à 9 élus peut effectivement favoriser la plus large et la plus libre expression. Enfin, la seule
présence de Madame Nathalie Castets au sein du conseil communautaire suffirait , selon lui, à représenter
l’opposition municipale de Capbreton.
Madame Marie Aphatie demande ce qu’il adviendra si la délibération n’était pas approuvée et s’il y a obligation de
voter favorablement.
Monsieur le Président précise qu’il s’agit d’une demande expresse, et répète ne pas être à l’origine de la demande.
Pour autant, suite à la demande qui a été faite par deux élus communautaires, l’atelier « administration générale »
a essayé de définir les meilleures modalités possibles. S’il existe un désaccord, il portera sur les modalités de mise
en œuvre proposées, signifiant qu’il faudra nécessairement en trouver de nouvelles.
Madame Marie Aphatie affirme qu’il y a donc obligation de voter favorablement.
Madame Valérie Hermenier se demande si ces groupes, avec des avis divergents sur certains projets, pourraient
se mettre en place de façon sereine et « intelligente » autour d’un seul projet.
Monsieur le Président l’invite à en discuter avec Monsieur Lionel Camblanne.
Monsieur Jean-Claude Daulouède ajoute que, la demande émanant de son maire, ils ont dû en discuter entre eux.
Madame Valérie Hermenier affirme partager l’inquiétude de Monsieur Lionel Camblanne concernant la
composition de ces groupes.
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Monsieur Jean-Claude Daulouède souligne qu’il aurait fallu se pencher sur le problème à ce moment -là.
Monsieur le Président rappelle que Monsieur Lionel Camblanne était empêché lors des deux réunions organisées
pour aborder ce point. Une large discussion s’est déroulée lors de deux ateliers « administration générale »
auxquels ont participé plusieurs conseillers communautaires.
Monsieur Xavier Gaudio précise, pour ceux qui n’étaient pas présents à l’atelier, qu’il est question d’adhérer à un
groupe de manière définitive jusqu’à la fin du mandat.
Madame Marie Aphatie souhaite connaitre l’avis de Madame Hélène Biasutti.
Madame Hélène Biasutti expose que son avis a été formulé en atelier. Elle appartient à un groupe et demande
simplement à être représentée.
Madame Anne-Marie Dauga précise que le conseil communautaire n’a pas été élu en tant que groupe, mais par
l’effet d’élections municipales. Elle, qui ne fait pas partie d’un groupe, demande où se situer si l’on sort du contexte
droite-gauche, en s’adressant à Madame Biasutti.
Monsieur le Président rappelle que personne n’a été identifié dans un groupe au départ, que ce soit au niveau
municipal, départemental ou au sein du conseil communautaire.
Madame Anne-Marie Dauga souligne que désormais il y en aura.
Monsieur le Président indique que les groupes seront constitués en fonction des demandes, mais qu’il est possible
de refuser d’utiliser cet espace.
Madame Anne-Marie Dauga ne refuse pas cet espace et ce droit d’expression. Elle n’a pas participé à l’atelier et
aurait simplement souhaité connaître davantage les modalités.
Monsieur le Président indique que les modalités sont définies dans les projets de délibération et de règlement
intérieur modifié.
Madame Anne-Marie Dauga souhaite savoir si Madame Hélène Biasutti aura un droit d’expression comme elle l’a
demandé.
Monsieur le Président répond par l’affirmative.
Monsieur Jean-Claude Daulouède relève qu’il s’agira d’un groupe composé d’une personne.
Monsieur le Président souligne que ce cas particulier a été abordé en atelier mais que le principe d’une
représentation générale doit être privilégié. Il est également délicat de dire qu’1 conseiller sur 54 n’a pas le droit
de s’exprimer, bien qu’un groupe soit, selon lui, plutôt constitué d’au moins deux personnes.
Madame Françoise Troccard observe qu’une personne seule peut faire un article.
Monsieur le Président insiste sur la permanence du groupe créé.
Madame Françoise Troccard demande dans quelle mesure une personne, qui n’aura pas été identifiée comme un
groupe, pourra rédiger un article dans le bulletin de MACS.
Monsieur le Président insiste sur la nécessité de s’organiser, car comme dans toute assemblée, ce droit
d’expression est codifié pour permettre son fonctionnement. Il rappelle que le vote porte sur les règles d’un droit
qu’il est nécessaire d’organiser suite aux demandes qui lui ont été faites.
Madame Corine Lafitte demande si la loi impose ce droit d’expression dans l’hypothèse où la majorité voterait
contre.
Monsieur le Président précise que le vote contre concerne les modalités d’expression et qu’il faudra à nouveau
voter tant qu’aucun accord n’aura été trouvé concernant ces modalités.
Madame Corine Lafitte observe qu’il vaut donc mieux voter pour.
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Monsieur le Président reprend que le vote concerne les modalités d’organisation pour encadrer le droit
d’expression des élus, et accessoirement l’actualisation du nombre de conseillers communautaires dans le
règlement intérieur.
Madame Corine Lafitte demande si, en commission, les conseillers ont désapprouvé ces modalités.
Monsieur le Président souligne que ce point a été approuvé à l’unanimité par l’atelier « administration générale »,
lequel ne fait que des propositions. Il rappelle que le conseil demeure souverain pour prendre les décisions.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et par 39 voix pour, 6 abstentions de Mesdames et Messieurs
Delphine Bart, Corine Lafitte, Françoise Troccard, Henri Arbeille, Francis Betbeder, Xavier Gaudio , et 8 voix contre
de Mesdames et Messieurs Marie Aphatie, Nathalie Castets, Nicole Chusseau, Anne -Marie Dauga, Valérie
Hermenier, Nathalie Decoux, Pascal Briffaud, Lionel Camblanne, décide :
d’approuver la modification du règlement intérieur, dans sa rédaction telle qu’annexée à la présente,
de prendre acte de la substitution du règlement intérieur modifié par délibération en date du 5 mars
2015 par le document annexé à la présente.
Monsieur le Président aborde ensuite le rétro-planning en demandant à ce que les représentants des différents
groupes se fassent connaître au plus tard le 15 avril à l’adresse [email protected]. A défaut, l’espace
d’expression des élus ne pourra être mis en place pour le prochain bulletin communautaire . Il faudra donc
attendre le suivant. Enfin, il indique qu’en cas d’impossibilités techniques d’aménager la page, il reviendrait vers les
conseillers.
E - RENOUVELLEMENT DU CONSEIL MUNICIPAL DE LA COMMUNE DE SEIGNOSSE - DÉSIGNATION D’UN REPRÉSENTANT DE MACS POUR SIÉGER AU SEIN DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DU PAYS ADOUR
LANDES OCÉANES
Pour faire suite à l’organisation des élections municipales partielles intégrales dans la commune de Seignosse les
22 et 29 novembre 2015, le conseil communautaire doit procéder à la désignation d’un représentant pour
pourvoir au remplacement d’un siège de délégué devenu vacant au sein du conseil d’administration du Pays Adour
Landes Océanes (PALO).
La Communauté de communes était représentée jusque-là par les 9 délégués suivants :
Les mandats de conseillère municipale et communautaire de Madame Charlotte De Hoyos ayant pris fin, le conseil
communautaire doit pourvoir à son remplacement en désignant un nouveau représentant pour siéger au sein du
conseil d’administration du PALO.
Conformément aux dispositions de l’article L. 2121-21 du code général des collectivités territoriales, lorsqu’il y a
lieu de procéder à une nomination ou à une présentation, le candidat est élu au scrutin secret et à la majorité
absolue. Si après deux tours de scrutin, aucun candidat n’a obtenu la majorité absolue, il est procédé à un
troisième tour de scrutin et l’élection a lieu à la majorité relative. En cas d’égalité de suffrages, le plus âgé est
déclaré élu.
Toutefois, le conseil communautaire peut décider, à l’unanimité, de ne pas procéder aux nominations ou
présentations au scrutin secret.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
conformément aux dispositions de l'article L. 2121-21 du code général des collectivités territoriales, de
ne pas procéder à la désignation au scrutin secret,
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de désigner Madame Valérie Hermenier déléguée titulaire pour représenter MACS au sein du conseil
d’administration du Pays Adour Landes Océanes, en remplacement de Madame Charlotte De Hoyos,
déléguée titulaire,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à notifier la présente au Pays Adour Landes
Océanes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
2 - DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE
Rapporteur : Monsieur Pierre FROUSTEY
A - ZONE D’ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES COMMUNAUTAIRE TERREBLANQUE À SAINT VINCENT DE TYROSSE
1 - Promesse de vente et vente du lot n°3.2
La Zone d’Activités Économiques (ZAE) Terreblanque à Saint-Vincent de Tyrosse, destinée aux activités artisanales
et de services, s’étend sur 3 hectares et se compose de 17 lots. La commercialisation de la ZAE Terreblanque a
débuté en 2012 et à ce jour, il reste 5 lots à vendre.
Pour mémoire, la Communauté de communes a fixé, par délibération en date du 28 juin 2012, à 65 € HT, le prix
de vente unitaire du mètre carré, prix estimé par France Domaine le 25 mai 2013 et prorogé le 23 décembre
2014. Un nouvel avis de France domaine en date du 17 novembre 2015 a maintenu cette estimation de 65 € du
mètre carré.
La Communauté de communes enregistre à ce jour une demande pou r l’acquisition de terrains dans la ZAE
communautaire Terreblanque à Saint-Vincent de Tyrosse.
Il est proposé au conseil communautaire de vendre le lot concerné au prix de 65 € HT le mètre carré comme les
lots précédemment vendus dans cette ZAE.
La SARL Fontainebleau Ambulances 117 est locataire des locaux suivants : pour la partie siège, dans le centre-ville
de Saint-Vincent, et pour la partie garage, où sont entreposés les véhicules sanitaires (VSL et Ambulances), dans la
zone d’activités de Casablanca de Saint-Vincent de Tyrosse.
Les locaux actuels étant trop exigus, la SARL Fontainebleau Ambulances 117 sollicite l’acquisition du lot n°3.2 afin
de regrouper ses deux sites et développer son activité.
L’atelier Développement Économique, réuni le 18 septembre 2015, a émis un avis favorable à cette demande.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver la vente de la parcelle n°3.2 située sur la ZAE communautaire de Terreblanque à Saint -Vincent
de Tyrosse, à la SARL Fontainebleau Ambulance 117,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer, par devant notaire, la promesse de vente,
puis l’acte authentique de vente à intervenir avec le candidat bénéficiaire, avec la faculté de substituer toute
personne morale dont il serait l’associé majoritaire ou le gérant, ou éventuellement tout organisme de
crédit-bail, étant précisé que :
o la promesse de vente n’entraîne pas de transfert de propriété, celui-ci ne pouvant résulter que de la
signature, par les deux parties intéressées, la Communauté de communes, d’une part et l’entreprise
concernée, d’autre part, de l’acte en la forme authentique de la vente promise ;
o la surface du lot et le prix qui en résulte figurant dans le tableau ci-dessus est mentionnée à titre
indicatif ;
o la surface exacte du lot sera déterminée après établissement du document d’arpentage par le
géomètre, et le prix de vente hors taxe définitif s’y rapportant sera calculé sur la base de 65 euros hors
taxe le mètre carré ;
Numéro de
lot Acquéreur Activité
Contenance
approximative Prix H.T.
3.2
SARL
FONTAINEBLEAU
AMBULANCES 117
Transports
sanitaires 647 m² 42 055,00 €
14
o tous les frais, droits, taxes et honoraires de quelque nature que ce soit se rapportant à la signature de
la promesse de vente, ainsi que ceux relatifs à la réalisation de la vente seront supportés par le candidat
bénéficiaire ;
o l’acquéreur devra avoir signé la promesse de vente « obligatoire» dans un délai de 30 jours à compter
de la notification de la délibération qui lui sera faite par MACS (possibilité pour le président d’accorder
une prorogation exceptionnelle). A la signature de la promesse, l’acquéreur d evra verser une indemnité
d’immobilisation égale à 10 % du prix de vente hors taxe.
de prendre acte que l’acquéreur devra respecter l’intégralité des conditions particulières de vente des
terrains situés sur les zones d’activités économiques de la Communau té de communes applicables en vertu
de la délibération du conseil communautaire n° 20150604D04C en date du 4 juin 2015,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
2 - Autorisation de signature d’un protocole d’accord transactionnel et constitution d’une servitude de réseaux des concessionnaires existants sur du foncier bâti privé de la SCI DOMECQ
La Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud (MACS) a vendu à la SCI Domecq, représentée par son
gérant, Monsieur Stéphane Domecq, une parcelle cadastrée section AZ n° 243 située sur la zone d’activités
économiques de Terreblanque à Saint-Vincent-de-Tyrosse, d’une superficie de 1 167 m². La SCI a acquis la parcelle,
suivant acte authentique de vente signé le 12 juin 2015, pour construire un bâtiment accueillant des activités
d’agence d’évènementiel et de commercialisation, location et rénovation de véhicules anciens.
Lors de travaux de terrassement réalisés par la SCI Domecq sur cette parcelle, il a été constaté, postérieurement à
la vente, la présence de réseaux publics (télécom, distribution électrique, éclairage public, eaux pluviales) implantés
dans le cadre des travaux d’aménagement de la zone d’activités, sous maîtrise d’ouvrage de la Communauté de
communes.
La présence de ces réseaux rend difficile la réalisation de travaux de création d’un bassin de rétention des eaux
pluviales, selon les conditions initialement prévues, ainsi que des difficultés d’accès au bâtiment d’activité. La SCI
Domecq fait donc valoir un trouble de jouissance, pour lequel elle demande à la Communauté de communes, en
qualité de maître d’ouvrage, la prise en charge d’une so lution. Ces désordres sont liés à l’intervention du SYDEC et
de l’entreprise SPIE, avec lesquels des expertises amiables sont en cours, pour statuer sur la prise en charge des
réparations. Néanmoins, afin de permettre à la SCI Domecq de disposer, le plus rapidement possible, d’une pleine
jouissance de son terrain et, dans le cadre de la résolution amiable du différend, MACS propose la solution suivante :
- maintien des limites de propriété actuelles permettant à la SCI Domecq de conserver le plein usage de sa
parcelle cadastrée section AZ n° 243, avec constitution d’une servitude pour le passage des réseaux de
télécommunications, de distribution électrique, d’éclairage publique et de gestion des eaux pluviales ; la
servitude sera instituée moyennant le paiement d’une indemnité par MACS à ladite SCI de 65 € HT le m²
sur son périmètre de 28 m², soit 1 820 euros selon le plan de servitude annexé au projet de protocole
d’accord ;
- la maîtrise d’ouvrage des travaux de réalisation du bassin de rétention des eaux pluviales sera exercée par
la SCI Domecq, puisque ces travaux seront réalisés sur sa propriété et que l’ouvrage en résultant sera un
ouvrage privé.
MACS prendra à sa charge, en réparation du préjudice subi par la SCI du fait de la présence des réseaux
sur sa parcelle, le montant des travaux de réalisation dudit bassin pour un montant maximum de 15 846
euros TTC, à charge pour la SCI, en sa qualité de maître d’ouvrage, de faire ré aliser les travaux par la
société STPB ;
- la réfection, sous maîtrise d’ouvrage MACS, de la bande d’espaces verts, endommagée par le passage des
véhicules de chantier et située sur le domaine public routier communal et du raccordement exutoire vers le
réseau public de la canalisation d’eaux pluviales découverte en limite de propriété pour un montant estimatif
de 5 000 €. TTC.
Les engagements permettant de résoudre amiablement le litige sont formalisés dans le cadre du projet de
protocole d’accord transactionnel annexé.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet de protocole d’accord transactionnel à conclure avec la SCI DOMECQ, en application
duquel, au titre de l’indemnisation des préjudices matériels et immatériels :
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- MACS prend à sa charge les frais et honoraires de constitution d’une servitude pour le passage des
réseaux de télécommunications, de distribution électrique, d’éclairage publique et de gestion des eaux
pluviales implantés sur la parcelle de la SCI Domecq ; la servitude sera instituée moyennant le paiement
d’une indemnité par MACS à ladite SCI de 65 € HT le m² (ou mètre linéaire) sur son périmètre de 28 m²,
soit 1 820 euros selon le plan de servitude annexé au projet de protocole d’accord ;
- MACS prendra à sa charge, en réparation des préjudices subis par la SCI Domecq en raison de la
présence des réseaux sur sa parcelle, les travaux de réalisation du bassin de rétention des eaux pluviales
pour un montant maximum de 15 846 euros T.T.C., à charge pour ladite SCI, en sa qualité de maître
d’ouvrage, de faire réaliser les travaux par la société STPB ;
- MACS prendra à sa charge la réfection, sous sa maîtrise d’ouvrage, de la bande d’espaces verts située
sur le domaine public routier communal et du raccordement exutoire vers le réseau public de la
canalisation d’eaux pluviales découverte en limite de propriété pour un montant estimatif de 5 000 euros
TTC ;
- les parties se déclarent mutuellement et réciproquement, par l’effet du protocole à conclure, entièrement
remplies de leurs droits, renonçant à tous recours, réclamations ou actions amiables ou contentieuses,
ayant trait aux différends objets dudit protocole, au titre des préjudices matériels et immatériels ;
d’inscrire les crédits nécessaires au paiement des indemnités et travaux précités, ainsi que des frais et
honoraires induits par la conclusion du protocole d’accord transactionnel, avec constitution de servitude de
passage réseaux sur le budget principal de la Communauté de communes ;
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer ledit protocole et les actes qui en
découleraient.
B - ZONE D’ACTIVITÉS ÉCONOMIQUES COMMUNAUTAIRE LAUBIAN 2 Á SEIGNOSSE - REPRISE DU LOT N°5.2
Á LA SCI SOL ET AUTORISATION DE REVENTE Á LA SARL ONLY FREE JET EVASION
Par délibération en date du 24 juin 2010, la Communauté de communes Maremne Adour Côte Sud (MACS) a
approuvé la vente du lot n°5.2, section AD n° 178, d’une surface de 640 m², situé sur la Zone d’Activités
Economiques (ZAE) communautaire Laubian 2 à Seignosse, à la SCI SOL, sise 40 avenue du Maréchal Foch à
Capbreton (40130), représentée par Monsieur Laurent TOSCANO, domicilié 43, rue de la gare à Soorts -Hossegor,
au prix de 28 800,00 € HT, pour l’exercice d’une activité de paysagiste.
Le projet prévu pour cette entreprise n’étant toujours pas réalisé à ce jour, il est proposé au conseil communautaire
d’appliquer la condition particulière de vente « engagement de construire » de l’acte de vente qui stipule :
« L’acquéreur s’oblige, après obtention du permis de construire, à édifier sur le terrain objet des présentes, un
bâtiment d’activité. La construction devra être commencée dans un délai de DEUX (2) ans et achevée dans le délai
TROIS (3) ans de la signature de l’acte authentique. L’acquéreur de vra déposer à la mairie de Seignosse, une
déclaration d’achèvement et de conformité des travaux.
Toutefois, au cas où un acquéreur se trouverait dans l’impossibilité de remplir les conditions ci -dessous relatées, par
cas de force majeure, ou pour toute raison que le vendeur appréciera, il pourra lui être accordé un sursis ou une
autorisation de revente de son terrain au prix d’achat augmenté des frais d’actes et de constructions. »
La SARL ONLY FREE JET EVASION, représentée par Monsieur Jérémy LE PROVOST, est candidate à l’acquisition de
ce lot, afin d’y développer son activité de Bateau - Ecole, randonnée en jet ski, en créant un centre de formation pour
moniteur BP JEPS motonautisme.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’appliquer la condition particulière de vente « engagement de construire » de l’acte de vente sus visée
signé entre la SCI SOL et MACS,
d’autoriser la revente du lot n°5.2 au prix de vente 28 800,00 € augmenté des frais d’actes, directement
par la SCI SOL représentée par Monsieur Laurent TOSCANO au profit de la SARL ONLY FREE JET EVASION
représentée par Monsieur Jérémy LE PROVOST lui-même, avec la faculté de substituer toute personne
morale dont il serait l’associé majoritaire ou le gérant, ou éventuellement tout organisme de crédit-bail qui
lui consentirait un bail à construction dans le but de développer son activité de Bateau -Ecole, randonnée en
jet ski et formation de moniteur BP JEPS motonautisme, étant précisé que :
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la SCI SOL devra signer par devant notaire, la promesse de vente puis l’acte authentique de revente
à intervenir au profit de la SARL ONLY FREE JET EVASION représentée par Monsieur Jérémy LE
PROVOST avec pour lui la faculté de substituer toute personne morale dont il serait l’assoc ié
majoritaire ou le gérant, ou éventuellement tout organisme de crédit-bail qui lui consentirait un bail
à construction,
la SARL ONLY FREE JET EVASION représentée par Monsieur Jérémy LE PROVOST, ou toute
personne qu’il lui plaira de substituer, du fait de la nature du lot n°5.2 situé en ZAE communautaire,
devra s’engager à prendre tous engagements liant initialement la SCI SOL à la Communauté de
communes Maremne Adour Côte-sud, en particulier :
- de rétrocéder à la Communauté de commune Maremne Adour Côte -Sud le lot au prix où il l’a
acquis, s’il ne réalise pas les investissements annoncés dans les cinq années qui suivent la d ate
anniversaire de la signature de l’acte notarié d’achat,
- de se conformer au cahier des charges et au règlement du lotissement,
- d’appliquer la clause d’inaliénabilité sus visée,
la promesse de vente devra intervenir dans un délai de 30 jours à compter de la notification de la
délibération qui lui sera faite par MACS. Á la signature de la promesse de vente, l’acquéreur devra
verser une indemnité d’immobilisation égale à 10 % du prix de vente hors taxe,
de prendre acte que l’acquéreur devra respecter l’intégralité des conditions particulières de vente des
terrains situés sur les zones d’activités économiques de la Communauté de communes, applicables en
vertu de la délibération du conseil communautaire n° 20150604D04C en date du 4 juin 2015,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
C - ZONE D’ACTIVITÉS ÉCONOMIQUE « LE TINGA » À MAGESCQ - CONVENTION D’OCCUPATION PRÉCAIRE DE PARCELLES DE TERRAINS ENTRE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES MACS ET LE CENTRE ÉQUESTRE « LE
DOMAINE D’EQUUS »
Pour mémoire, aux termes de la délibération en date du 26 avril 2011, le conseil communautaire a décidé
d’acquérir une propriété, sise à Magesq, route du Tinga, composée des parcelles ci -après cadastrées, section O, n°
387, 393, 399, 403, 404, 564, 565, 566, 567, 568, 569, 570, 571, 572, 574, 575, 576, 577 pour une
contenance de 207 101 m², et de confier le portage foncier et financier de ce bien à l’Etablissement Public Foncier
Local (EPFL) « Landes Foncier ».
« Le Domaine d’Equus » à Magescq, représenté par Madame Séverine Dymowski, a sollicité de la Communauté de
communes MACS la mise à disposition des parcelles cadastrées, section O, n° 564, 565, 566p, 568, 569, 570,
574 et 575p, d’une contenance globale d’environ 6,05 hectares, pour lui permettre d’exe rcer son activité de centre
équestre : pension pour chevaux, animations artistiques équestres, coaching, dressage, animation poney.
Madame Séverine Dymowski est en recherche active d’un terrain, mais les propositions reçues n’ont pas débouché
jusqu’à présent sur des offres concrètes, lui permettant d’exercer son activité pédagogique en faveur du public du
territoire.
Les parcelles ci-dessus cadastrées conviendraient parfaitement à l’exercice de l’activité du centre équestre.
La réalisation de l’opération d’aménagement de la zone du Tinga ayant été différée par rapport au calendrier
prévisionnel initial, la Communauté de communes pourrait mettre à disposition du « Domaine d’Equus » les parcelles
précitées d’une superficie d’environ 6,05 hectares. La mise à disposition interviendrait dans le cadre d’une
convention d’occupation précaire et révocable à tout moment. L’occupant ne disposerait d’aucun droit au
renouvellement, ni au maintien dans les lieux, ni à aucune indemnité d’éviction, afin de permettre la reprise des
parcelles concernées en vue de leur utilisation définitive dans le cadre de l’opération d’aménagement de la zone
d’activités économiques.
Les modalités de l’occupation précaire et révocable, en considération des nécessités de l’opération d’amén agement,
sont définies dans le cadre du projet de convention annexé, qui en fixe notamment la durée et le montant de la
redevance due en contrepartie. Le bâti est expressément exclu de la convention.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’autoriser la signature d’une convention d’occupation précaire et révocable avec le « Domaine d’Equus »,
représentée par Madame Séverine DYMOWSKI sur les parcelles cadastrées section O n° 564, 565, 566p,
17
568, 569, 570, 574 et 575p, d ’une contenance globale d’environ 6,05 hectares, sur la commune de
Magescq, lieu-dit « Tinga », pour les besoins de son activité de centre équestre, étant précisé que :
- la durée de ladite convention d’occupation est limitée à deux ans à compter de sa signature par les
parties,
- l’occupant ne dispose d’aucun droit au renouvellement, ni au maintien dans les lieux, ni à aucune
indemnité d’éviction,
- l’occupant doit, à la fin de l’occupation remettre les lieux dans leur état initial, à ses frais exclusifs, é tant
précisé que le bâti est expressément exclu de la convention,
- en contrepartie de l’occupation, l’occupant s’acquittera d’une redevance d’un montant de 80 euros
l’hectare par an, non révisable,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer la convention d’occupation précaire et
révocable à intervenir entre MACS et « Le Domaine d’Equus » à Magescq, représenté par Mlle Séverine
Dymowski, ainsi que tout acte se rapportant à l’exécution de la présente.
D - EMPLOI - CONVENTION DE PARTENARIAT AVEC PÔLE EMPLOI POUR L’ORGANISATION DU FORUM DES EMPLOIS SAISONNIERS
La Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud (MACS) renouvelle, en partenariat avec le Pôle Emploi de
Saint-Vincent-de-Tyrosse, l’organisation d’un forum dédié aux emplois saisonniers pour faciliter les recrutements
pour la saison touristique 2016.
Ce forum est organisé au mois d’avril et durant les vacances scolaires pour attirer un panel de publics diversifiés et
satisfaire les besoins des entreprises : demandeurs d’emplois, étudiants et saisonniers d’hiver.
Ce forum se tiendra le jeudi 21 avril 2016 à la salle Roger Hanin à Soustons.
La matinée sera consacrée à des ateliers d’informations et de conseils sur les techniques de recherche d’em ploi :
- règlementation sur les droits et devoirs des saisonniers, notamment concernant les mineurs ;
- aide à la réalisation ou l’amélioration des CV selon les profils plus ou moins expérimentés, pour une
présentation efficace aux entreprises ;
- outils numériques pour mettre en forme les CV, rechercher des offres sur internet, réaliser des démarches
en ligne ;
- coaching par des jurys composés de professionnels de l’emploi, représentants d’entreprises, élus, afin de
guider les candidats vers une présentation rapide et percutante de leur profil ;
- informations sur les possibilités de logement, les transports Yégo et Yégo plage, l’offre touristique du
territoire et les dispositifs d’activités en faveur des jeunes.
L’après-midi sera consacré, dès 13h30, aux jobs dating : entretiens rapides entre représentants d’entreprises et
candidats. Un potentiel de 30 à 40 entreprises est visé.
Une convention de partenariat avec l’agence Pôle Emploi de Saint -Vincent de Tyrosse est ainsi proposée pour
formaliser les objectifs et l’organisation de la journée, le partage des responsabilités, des tâches et des prises en
charge financières.
Madame Chantal Jouravleff est étonnée que la communication concernant cette manifestation soit déjà réalisée.
Elle demande ce qui se passera si le vote d’aujourd’hui est défavorable à cet évènement déjà annoncé.
Monsieur Pierre Froustey répond que le principe de cet évènement a déjà été adopté et qu’il s’agit à présent
d’approuver la répartition des tâches, et de formaliser le partenariat pour cette année et les années à venir avec
Pôle Emploi. Il s’agit de se situer dans une logique de coordination pour éviter tout chevauchement de compétences
et de moyens. Dans le cadre de cette démarche avec Pôle Emploi, il remercie Madame Christine Fréchou, directrice
de Pôle Emploi, qui travaille dans le sens d’une complémentarité des interventions à travers la signature de cette
convention.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet de convention de partenariat à intervenir entre MACS et l’agence Pôle Emploi de Saint -
Vincent-de-Tyrosse, tel qu’annexé à la présente,
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d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tous documents se
rapportant à l’exécution de la présente.
E - TOURISME - ADHÉSION Á LA MISSION DES OFFICES DE TOURISME ET PAYS TOURISTIQUES D’AQUITAINE
La Mission des Offices de tourisme et Pays touristiques d’Aquitaine (MOPA), association tête de réseau des Offices
de tourisme et pays touristiques, constitue un outil de la Région Aquitaine pour la professionnalisation des acteurs
du tourisme, la structuration des territoires et l’animation qualité des marques de pays.
Depuis le 1er janvier 2016, en raison de la création de la Grande Région Aquitaine, Limousin, Poitou-Charentes, la
MOPA, de concert avec le Comité Régional du Tourisme du Limousin et la FROTSI Poitou -Charentes (Fédération
Régionale des Offices de Tourisme et Syndicats d’Initiative) ont élaboré un programme de professio nnalisation
régional.
En 2016, les priorités de la MOPA résident dans la mise en œuvre d’un plan de professionnalisation à l’échelle de la
Grande Région et de travailler sur la structuration et l’organisation touristiques conformément aux objectifs
prescrits par la loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République.
Les services de la MOPA proposent des outils opérationnels pour ses adhérents, à savoir :
- une expertise sur l’organisation et la structuration touristiques, avec un accompagnement des territoires ;
- la professionnalisation des acteurs du tourisme (pilotage financier du dispositif régional de
professionnalisation et appui technique) ;
- un appui et un conseil autour du développement de stratégies numériques sur les territoires ;
- un appui aux démarches de progrès, démarches qualité, etc ;
- un appui et l’accompagnement méthodologique sur les phases de mise en œuvre d’une nouvelle
structuration touristique ;
- des interventions des techniciens de la MOPA (en qualité de structure d’ingénierie et de conseil) auprès des
élus et des personnels des Offices de tourisme, sur des sujets techniques ;
- un accès à des formations techniques proposées par la MOPA sur des thèmes opérationnels ;
- un accès à des web-séminaires organisés à distance sur des sujets pointus ou d’actualités.
Dans ces conditions, il est proposé à la Communauté de communes (MACS) d’adhérer à la MOPA, qui constitue un
partenaire et un acteur touristique incontournable du territoire.
En qualité de membre actif « structures et territoires associés », MACS devra s’acquitter d’une cotisation annuelle,
fixée à 300 euros au titre de l’année 2016.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et par 52 voix pour et 1 abstention de Madame Nathalie Decoux,
décide :
d’approuver l’adhésion de la Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud à l’association Mission
des Offices de Tourisme et Pays Touristiques d’Aquitaine (MOPA),
d’inscrire au budget les crédits nécessaires au paiement de la cotisation annuelle fixée à 300 euros pour
l’adhésion de la Communauté de communes à l’association MOPA,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant, à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
F - TOURISME - ASSISTANCE Á MAÎTRISE D’OUVRAGE Á CARACTÈRE ADMINISTRATIF, JURIDIQUE, FINANCIER ET TECHNIQUE POUR LA MISE EN ŒUVRE DE LA COMPÉTENCE TOURISME SUR LE TERRITOIRE DE MACS -
DEMANDE DE SUBVENTION
La loi du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe) a organisé une
redistribution des compétences entre les différents niveaux de collectivités territoriales et un renforcement des
intercommunalités à fiscalité propre, en imposant de nouveaux transferts de compétences aux EPCI dès le 1er janvier
2017.
Elle bouleverse ainsi le paysage institutionnel touristique, notamment sur les aspects suivants :
1°) la compétence tourisme des collectivités territoriales reste partagée entre les régions, les départements, les
EPCI et les communes ;
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2°) le transfert de la compétence tourisme au niveau intercommunal, dans la mesure où « la promotion du tourisme
dont la création d’offices de tourisme » devient une compétence obligatoire des EPCI à fiscalité propre à compter du
1er janvier 2017.
A ce jour, le territoire communautaire est organisé autour de 9 offices de tourisme (sur les communes de Moliets,
Messanges, Vieux-Boucau, Soustons, Seignosse, Hossegor, Capbreton, Labenne et le Pays Tyrossais) et 3 Syndicats
d’Initiative (sur les communes d’Azur, Magescq et Saubusse).
Le périmètre de compétence des 8 offices de tourisme littoraux est la commune, tandis que celui du Pays Tyrossais
est intercommunal (11 communes).
Afin d’accompagner et de réussir le transfert de la compétence tourisme d’ici le 1er janvier 2017, la Communauté
de communes Maremne Adour Côte-Sud va s’appuyer sur les compétences d’un cabinet conseil spécialisé et
indépendant.
Cette mission d’accompagnement juridique, financier, organisationnel et technique pour la mise en œuvre de la
compétence tourisme sur le territoire de la Communauté de communes sera organisée en trois phases :
Phase 1 : Diagnostic et définition stratégique de la compétence tourisme ;
Phase 2 : Schéma opérationnel d’organisation touristique : mise en œuvre fonctionnelle, organisationnelle et
gestion des ressources humaines ;
Phase 3 : Analyse et préconisations financières de la nouvelle organisation touristique.
Cette démarche est éligible à une subvention dans le cadre de l’appel à projet « Structuration touristique des
Territoires » régional et du règlement d’intervention tourisme et thermalisme du conseil départemental des Landes.
Madame Hélène Biasutti souhaite connaître le coût de cette mission d’accompagnement. Elle demande s’il ne serait
pas possible de trouver la technicité demandée au sein des services de MACS.
Monsieur le Président indique que la réponse figure dans la présentation.
Monsieur Pierre Froustey précise qu’en termes de temps de travail et de compétences, il serait difficile de répondre
à cette mission en régie. Il souligne qu’il est toujours bénéfique d’avoir une vision extérieure sur la question .
L’intervention et le positionnement d’un bureau d’études externe facilitera ainsi le partage et l’appropriation des
propositions. Le coût de la mission est évalué à 40 000 €, avec un montant de subvention estimé à 80%.
Monsieur Xavier Gaudio précise que l’intérêt est double, par l’apport d’e xpériences, d’une part et d’autre part, au
regard des délais contraints pour la réalisation de cette mission, avec l’exigence d’un vote en septembre prochain.
Monsieur Francis Betbeder rappelle par ailleurs qu’il existe une grande différence entre l’office de tourisme de Saint -
Vincent-de-Tyrosse et l’office de tourisme d’Hossegor par exemple.
Monsieur le Président souligne que cela permettra de trouver des solutions en commun.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et par 50 voix pour et 3 abstentions de Mesdames Hélène
Biasutti, Nathalie Decoux et Corinne Walter, décide :
de solliciter une subvention, dans le cadre de l’appel à projet « Structuration touristique des Territoires »
régional et du règlement d’intervention tourisme et thermalisme du conseil départemental des Landes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
3 - VOIRIE – MOBILITÉ - TRANSPORT
Rapporteur : Monsieur Jean-Claude SAUBION
A - REMBOURSEMENT PAR LES COMMUNES DES TRAVAUX DE VOIRIE HORS COMPÉTENCE COMMUNAUTAIRE RÉALISÉS PAR MACS EN 2015 - CONVENTION TYPE MACS/COMMUNES
La Communauté de communes Maremne Adour Côte-Sud, dans le cadre des travaux de rénovation ou d’entretien
des voiries d’intérêt communautaire a été amenée, dans un souci de meilleure coordination des interventions
20
relevant simultanément de plusieurs maîtres d’ouvrage et en accord avec les communes intéressées, à réaliser des
prestations ne relevant pas de sa compétence.
Ces travaux concernent des interventions sur réseaux, qui demeurent à la charge des communes compétentes :
remplacement, réparation ou création ponctuelle, mise à niveau des chambres, bouches à clé, tampons des
regards, grilles notamment demeurent à la charge des communes.
Dans ces conditions, chaque opération de voirie comprenant ce type de travaux doit donner lieu à une répartition
des financements entre MACS et la commune concernée. Le projet de convention annexé définit le montant et les
modalités des remboursements par les communes au titre des dépenses exposées dans le cadre de ces
interventions.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet de convention pour le règlement financier des travaux de voiries hors compétences
réalisés par MACS en 2015, tel qu’annexé à la présente,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer le projet de convention précité à intervenir
entre la Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud et les communes concernées,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
B - CONVENTION CADRE DE TRANSFERT TEMPORAIRE DE MAÎTRISE D’OUVRAGE POUR LES TRAVAUX HORS COMPÉTENCE RÉALISÉS PAR LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
La Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud (MACS), dans le cadre des travaux de rénovation ou
d’entretien et de mise en sécurité de la voirie et des liaisons douces d’intérêt communautaire ou de leurs
dépendances, est amenée, en accord avec les communes intéressées, à réaliser des opérations mutualisées, qui
comprennent des prestations ne relevant pas de ses compétences.
Sont essentiellement concernées les prestations suivantes :
- déplacement, pose et repose de mobilier urbain, de micro -signalisation ou signalétique d’intérêt local (SIL)
ainsi que de signalisation tricolore ;
- abattage, élagage, taille d’arbres et plantations des espaces accessoires à la voirie et des espaces verts
sans lien fonctionnel avec la voirie ;
- création, déplacement, entretien et réparation ponctuels de réseaux d’eau pluviale, d’éclairage public et
autres réseaux ;
- mise à niveau des chambres, bouches à clé, tampons des regards, grilles, etc.
Dans un souci de meilleure coordination des interventions relevant simultanément de la compétence de plusieurs
maîtres d’ouvrage, l’article 2, II de la loi n° 85-704 du 12 juillet 1985 relative à la maîtrise d'ouvrage publique et à
ses rapports avec la maîtrise d'œuvre privée prévoit, dans ce cas, que ces derniers puissent désigner, par
convention, celui d’entre eux qui assurera la maîtrise d’ouvrage de l’opération. Cette convention précise les
conditions d’organisation de la maîtrise d’ouvrage exercée et en fixe le terme.
Le bénéficiaire du transfert de maîtrise d’ouvrage, en l’espèce MACS, conclura donc, dans ce cadre, comme pour
répondre à ses besoins propres, tous les contrats nécessaires à la bonne fin de l’opération. La convention
organisant le transfert de maîtrise d’ouvrage en fixera les conditions, notamment financières.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet de convention cadre de transfert temporaire de maîtrise d’ouvrage pour les travaux à
réaliser par la Communauté de communes MACS en dehors de ses compétences et restant à la charge
des communes, dans le cadre des opérations de rénovation ou d’entretien et de mise en sécurité de la
voirie et des liaisons douces d’intérêt communautaire, tel qu’annexé à la présente,
d’approuver le principe de la définition, au cas par cas, du périmètre du transfert temporaire de maîtrise
d’ouvrage à travers la signature de fiches d’interventions proposées par la Communauté de communes et
validées par la commune, selon le modèle annexé à la convention cadre,
21
de déléguer à Monsieur le Président ou son représentant l’établissement et la signature desdites fiches
d’intervention à intervenir au fur et à mesure de la programmation des opérations de rénovation ou
d’entretien et de mise en sécurité de la voirie et des liaisons douces d’intérêt communautaire,
d’approuver le principe d’un recouvrement annuel, auprès des communes, des sommes afférentes aux
prestations réalisées pour le compte des communes en application du transfert de maîtrise d’ouvrage
accordé à MACS, ce recouvrement étant réalisé l’année suivant celle de l’exécution des travaux,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
C - OPÉRATION D’AMÉNAGEMENT SUR LA RD 652 Á SOUSTONS
1 - Convention de délégation de la maîtrise d’ouvrage du département des Landes à la communauté de
communes
Dans le cadre du projet de développement économique porté par la SCI CRAMAT et la SAS AQUIPYRDIS dans la
zone sise le long de la RD 652, en extension du centre commercial E. Leclerc existant, lieu -dit Cramât sur la
commune de Soustons, la réalisation d’aménagements de voirie est indispensable pour assurer la bonne insertion
du projet commercial, en termes de gestion des accès motorisés, transports en commun, piétons et deux roues, et
d’accessibilité dans des conditions de sécurité compatibles avec les niveaux de trafic.
Les travaux d’aménagement à réaliser concernent :
un aménagement de la RD 652 avec la création d’un îlot central interdisant les mouvements de tourne à
gauche au niveau de l’accès initial du centre commercial, l’aménagement des arrêts de bus et d’une traversée
piétonne sécurisée ;
la création d’une voie d’accès directe en tourne à droite et d’un carrefour giratoire sur la RD 652, au sud
de la parcelle commerciale, destinée à assurer la desserte de ladite extension et à fluidifier la gestion des trafics des
surfaces commerciales existantes et nouvelles et sécuriser ainsi l’augmentation de trafic liée au projet économique ;
l’aménagement d’une voie de desserte entre le giratoire créé sur la RD 652 e t la rue de Maoucout, voie
permettant une meilleure diffusion des trafics accédant et sortant de l’espace commercial.
Les aménagements à réaliser étant exclus du champ d’intervention du Département en application du règlement
routier départemental en vigueur, une convention de délégation pour leur création et entretien sur la section de
route départementale située en agglomération doit intervenir entre la Communauté de communes et le
Département.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet de convention de délégation du Département des Landes à la Communauté de
communes portant sur la création, la gestion et l’entretien des aménagements de la RD 652 entre le PR
110+140 et le PR 110+430, y compris la création d’un giratoire, tel qu’annexé à la présente,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer le projet de convention à intervenir avec le
Département des Landes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tou t acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
2 - Convention de transfert temporaire de la maîtrise d’ouvrage de la commune de Soustons à la Communauté
de communes MACS
Dans le cadre du projet de développement économique porté par la SCI CRAMAT et la SAS AQUIPYRDIS dans la
zone sise le long de la RD 652, en extension du centre commercial E. Leclerc existant, lieu -dit Cramât sur la
commune de Soustons, la réalisation d’aménagements de voirie est indispensable pour assurer la bonne insertion
du projet commercial en terme de gestion des accès motorisés, transports en commun, piétons et deux roues, et
d’accessibilité dans des conditions de sécurité compatibles avec les niveaux de trafic.
Les travaux d’aménagement à réaliser concernent :
un aménagement de la RD 652 avec la création d’un îlot central interdisant les mouvements de tourne à
gauche au niveau de l’accès initial du centre commercial, l’aménagement des arrêts de bus et d’une
traversée piétonne sécurisée ;
22
la création d’une voie d’accès directe en tourne à droite et d’un carrefour giratoire sur la RD 652, au sud
de la parcelle commerciale, destinée à assurer la desserte de ladite extension et à fluidifier la gestion des
trafics des surfaces commerciales existantes et nouvelles et sécuriser ainsi l’augmentation de trafic liée au
projet économique ;
l’aménagement d’une voie de desserte entre le giratoire créé sur la RD 652 et la rue de Maoucout, voie
permettant une meilleure diffusion des trafics accédant et sortant de l’espace commercial.
Les aménagements à réaliser étant exclus du champ d’intervention du Département en application du règlement
routier départemental en vigueur, une convention de délégation pour leur création et entretien sur la section de
route départementale située en agglomération doit être conclue entre la Communauté de communes et le
Département.
Parallèlement à la délégation à intervenir avec le Département des Landes, afin de permettre la réalisation
simultanée des prestations hors compétences de MACS et portant sur la création de la voirie, l’éclairage public, le
réseau d’eaux pluviales et l’arrosage de l’ilot central du giratoire, une convention de transfert temporaire de la
maîtrise d’ouvrage par la commune à MACS doit être conclue.
L’article 2, II de la loi n° 85-704 du 12 juillet 1985 relative à la maîtrise d'ouvrage publique et à ses rapports avec la
maîtrise d'œuvre privée prévoit en effet, lorsque la réalisation d’ouvrages ou d’un ensemble d’ouvrages relève
simultanément de la compétence de plusieurs maîtres d’ouvrage, que ces derniers puissent désigner, par
convention, celui d’entre eux qui assurera la maîtrise d’ouvrage de l’opération. Cette convention précise les
conditions d’organisation de la maîtrise d’ouvrage exercée et en fixe le terme. Le bénéficiaire du transfert de
maîtrise d’ouvrage, en l’espèce MACS, conclura donc, dans ce cadre, comme pour répondre à ses besoins propres,
tous les contrats nécessaires à la bonne fin de l’opération. La convention organisant le transfert de maîtrise
d’ouvrage en fixera les conditions, notamment financières.
Par ailleurs, les aménagements envisagés ont fait l’objet d’un protocole d’accord partenarial avec la commune de
Soustons et les porteurs de projet, la SCI CRAMAT et la SAS AQUIPYRDIS, portant notamment sur les engagements
suivants :
- pour la commune de Soustons, l’instauration d’un projet urbain partenarial (PUP ou une participation pour
équipement public exceptionnel (PEPE) dans le cadre du permis de construire de l’extension commerciale
pour un montant de 400 000 euros HT maximum et le versement par la commune à MACS de la somme
de 400 000 euros HT maximum ;
- pour les porteurs de projet, le financement des travaux d’aménagement rendus nécessaires par son
opération d’extension commerciale dans le cadre du PUP ou du PEPE.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet de convention de transfert temporaire de maîtrise d’ouvrage de la commune de
Soustons à la Communauté de communes, pour les travaux hors compétences de MACS et portant sur la
création de la voirie, l’éclairage public, le réseau d’eaux pluviales et l’arrosage de l’ilot central du giratoire, tel
qu’annexé à la présente,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer le projet de convention à intervenir avec la
commune de Soustons,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
3 - Acquisition par voie de donation sur la parcelle n° 225 section BW appartenant à la famille Coyola
Dans le cadre du projet de développement économique porté par la SCI CRAMAT et la SAS AQUIPYRDIS dans la
zone sise le long de la RD 652, en extension du centre commercial Leclerc existant, lieu -dit Cramât sur la commune
de Soustons, la réalisation d’aménagements de voirie est indispensable pour assurer la bonne insertion du projet
commercial en terme de gestion des accès motorisés, transports en commun, piétons et deux roues, et
d’accessibilité dans des conditions de sécurité compatibles avec les niveaux de trafics.
Les travaux d’aménagement à réaliser concernent :
Un aménagement de la RD 652 avec la création d’un îlot central interdisant les mouvements de tourne à
gauche au niveau de l’accès initial du centre commercial, l’aménagement des arrêts de bus et d’une
traversée piétonne sécurisée,
23
La création d’une voie d’accès directe en tourne à droite et d’un carrefour giratoire sur la RD 652, au sud
de la parcelle commerciale destiné à assurer la desserte de ladite extension et à fluidifier la gestion des
trafics des surfaces commerciales existantes et nouve lles et sécuriser ainsi l’augmentation de trafic liée au
projet économique,
L’aménagement d’une voie de desserte entre le giratoire créé sur la RD 652 et la rue de Maoucout, voie
permettant une meilleure diffusion des trafics accédant et sortant de l’espace commercial.
L’aménagement du giratoire sur la RD 652 nécessite une acquisition foncière d’une superficie d’environ 570 m².
Cette emprise située sur la parcelle cadastrée N° 225 section BW appartient à la famille COYOLA, qui a manifesté
sa volonté d’en faire donation à la Communauté de communes pour les besoins de cette opération d’intérêt général.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver l’acquisition par voie de donation du terrain d’une superficie d’env iron 570 m², situé sur la
parcelle cadastrée N° 225 section BW appartenant à Madame Marion et Messieurs, Pierre et Philippe
COYOLA, tous frais, droits et taxes de quelque nature que ce soit se rapportant à ladite acquisition étant à
la charge de la Communauté de communes,
d’autoriser la passation de l’acte de donation à intervenir entre Madame Marion et Messieurs, Pierre et
Philippe COYOLA et la Communauté de communes en la forme administrative,
d’autoriser Monsieur le Président à recevoir l’acte en la forme administrative,
d’autoriser Monsieur Jean-Claude Saubion, vice-président à signer l’acte précité au nom de la Communauté
de communes,
d’autoriser Monsieur le Président et Monsieur Jean -Claude Saubion, vice-président, chacun en ce qui les
concerne, à accomplir toute formalité et à signer tout document et acte se rapportant de l’exécution de la
présente.
D - MOBILITÉ - CRÉATION D’UN PÔLE D’ÉCHANGE MULTIMODAL Á SAINT -VINCENT-DE-TYROSSSE - DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU CONTRAT TERRITORIAL UNIQUE RÉGIONAL
Mis en service en août 2014, le réseau de transports Yégo propose une offre de mobilité alternative à l’automobile.
Ce réseau de transport public fait partie de la réponse du territoire au défi im posé par sa forte croissance
démographique, plus de 2,5 % par an durant la dernière décennie.
Il s’appuie sur l’armature urbaine du territoire communautaire en reliant les trois pôles structurants que sont
Soustons, Saint-Vincent-de-Tyrosse et la conurbation littorale composée de Capbreton et Soorts-Hossegor.
Trois lignes régulières se connectent sur le site de la gare de Saint-Vincent-de-Tyrosse, constituant ainsi un nœud
principal dans l’organisation du réseau, en plus des offres TER, des transports sco laires, des offres de voyagistes
privés et des pratiques de covoiturage enregistrées sur place.
Secteur stratégique pour le fonctionnement de l’offre de service de mobilité, le site de la gare de Saint -Vincent-de-
Tyrosse doit faire l’objet d’une attention toute particulière, afin de garantir la rationalisation et l’optimisation des
déplacements.
Ainsi se matérialise la nécessité d’organiser les ruptures de charge pour les passagers et la continuité de leur trajet
dans les meilleures conditions de sécurité , de confort et de performance. C’est de ce constat qu’est née l’ambition
de créer un pôle d’échanges multimodal sur ce site.
Pour ce faire, la Communauté de communes souhaite lancer une étude pour la création et l’organisation de ce lieu
d’échange. Cette étude se déroulerait sur toute l’année 2016, pour un montant de 66 535 euros et les élus de la
commune de Saint-Vincent de Tyrosse seraient associés dans le cadre d’un comité de pilotage créé à cet effet.
Cette initiative répond aux ambitions dégagées par le Contrat Territorial Unique Régional porté par le Pays Adour
Landes Océanes, ouvrant ainsi droit à subvention.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et par 51 voix pour et 2 abstentions de Mesdames Hélène
Biasutti et Françoise Troccard, décide :
de solliciter une subvention, dans le cadre du Contrat Territorial Unique Régional, pour l’étude sur la
création d’un pôle d’échanges multimodal autour du site de la gare de Saint -Vincent-de-Tyrosse,
24
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
E - MOBILITÉ - RÉALISATION D’UNE VOIE VERTE LE LONG DE LA RD 337 SUR LA COMMUNE DE SEIGNOSSE - DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU FONDS DE SOUTIEN À L’INVESTISSEMENT PUBLIC LOCAL
Depuis 2009, la Communauté de communes MACS a acté le principe d’un positionnement fort en matière de
« territoire cyclable », notamment en approuvant la mise en œuvre d’un schéma directeur liaisons douces pour les
10 ans à venir.
Le site de la plage des Casernes à Seignosse est un site touristique fortement fréquenté durant la saison estivale.
Son accès se fait par la route départementale n° 337, axe connaissant une vitesse de circulation élevée et non
sécurisée pour les modes doux.
La création d’une voie verte longeant cette RD 337 sur une distance de 1,6 km permettra d’assurer une connexion
sécurisée entre la Vélodyssée et la plage des Casernes.
Ce projet se fait en lien avec l’aménagement du carrefour entre la RD 79 et la RD 337 ; cet aménagement de
carrefour, sous maîtrise d’ouvrage départementale, permettra d’assurer une traversée sécurisée pour les usagers
souhaitant se rendre vers la plage depuis la Vélodyssée ou souhaitant rejoindre la Vélodyssée depuis la plage.
Ce projet de liaison douce constitue donc une réelle opportunité de valorisation du site de la plage des Casernes et
permet, plus généralement, de donner de l’espace sécurisé et accessible aux usagers des modes doux.
L’avancement du dossier technique permet aujourd’hui de pouvoir solliciter nos partenaires, afin de préciser le plan
de financement du projet.
L’opération représente un coût d’investissement total de 150 000,00 € HT.
Ces travaux peuvent faire l’objet d’un financement, d’une part, au titre du fonds de soutien à l’investissement public
local (FSIPL) et, d’autre part, du Conseil Régional Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes.
Par conséquent, il est proposé au conseil communautaire le plan de financement prévisionnel suivant :
Dépense totale HT Prévisionnelle 150 000,00 € HT
AIDES DEMANDÉES
Intitulé des aides sollicitées Dépense HT Taux Montant de la subvention demandée
Fonds de soutien à
l’investissement public local
(FSIPL)
45% 67 500,00 €
Région Aquitaine-Limousin-
Poitou-Charentes
35% 52 500,00 €
MACS 20% 30 000,00 €
TOTAL 150 000,00 € 150 000,00 €
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le plan de financement prévisionnel ci-dessus détaillé pour la réalisation de la voie verte le long
de la RD 337 sur une distance de 1,6 km à Seignosse, depuis la Vélodyssée et la plage des Casernes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à solliciter auprès de l’Etat, le fonds de soutien à
l’investissement public local (FSIPL) au taux de 45% du montant total des dépenses,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à solliciter auprès du Conseil Régional Aquitaine -
Limousin-Poitou-Charentes, une subvention au taux de 35% du montant total des dépenses,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
F - MOBILITÉ - INFORMATION RELATIVE Á LA PASSATION D’UN MARCHÉ AVEC LA SOCIÉTÉ COOPÉRATIVE D’INTÉRÊT COLLECTIF « RÉZO POUCE » POUR LE DÉVELOPPEMENT D’UNE OFFRE D’AUTOSTOP ORGANISÉE
25
Dans le cadre de la politique en faveur de la mobilité et de la feuille de route « Territoires à Energie Positive pour la
Croissance Verte », la Communauté de communes Maremne Adour Côte -Sud (MACS) a engagé des réflexions sur la
chaîne de déplacement, afin de penser le développement de l’ensemble des modes de déplacement.
La Communauté de communes a ainsi développé un ensemble d’actions en faveur du développement des mobilités
alternatives à l’automobile individuelle : mise en place du réseau de transport urbain Yégo, développement d’un
réseau de liaisons douces, valorisation de l’intermodalité grâce à un accès vélo dans les bus des lignes 1 et 2,
développement d’une application numérique Mobimacs dédiée à la mobilité et au calcul d’itinéraires.
Afin de compléter cette offre de mobilité et diminuer l’autosolisme (et par conséquent les émissions de gaz à effet
de serre), MACS souhaite aujourd’hui mettre en place une stratégie visant à valoriser le covoiturage, qu’il soit
anticipé ou spontané.
Deux axes de développement sont ainsi proposés :
- la création d’aires de covoiturage au niveau des principaux nœuds routiers et autoroutiers permettra de
contribuer au développement du covoiturage anticipé, avec une inscription préalable sur une plateforme internet ; un
schéma directeur en cours d’élaboration permettra de définir et prioriser les aires à créer ;
- un dispositif de « stop organisé » permettra de structurer, organiser, sécuriser et donc développer
l’autostop traditionnel. Cette offre de « stop organisé » complétera l’offre de mobilité existante, pour des
déplacements sur des horaires atypiques ou sur des trajets aujourd’hui non assurés par les réseaux de transport
en commun.
Le fonctionnement du « stop organisé » est basé sur une inscription préalable des conducteurs et passagers, qui
seront alors munis d’une carte ou d’un badge de reconnaissance. Le territoire sera équipé d’arrêts identifiés et
sécurisés, qui deviendront ainsi les points d’attente et de ramassage des passagers.
Afin de développer cette offre de « stop organisé », la société coopérative d’intérêt collectif (SCIC) « Rézo Pouce »
propose un accompagnement des collectivités et de leurs groupements pour la mise en œuvre de cette offre de
mobilité. Un marché avec la SCIC portant sur une durée de 3 ans renouvelable sera conclu pour formaliser le
contenu et les modalités de mise en œuvre des prestations estimées à 12 215 euros la première année, puis
4 500 euros les années suivantes. Au-delà de l’accompagnement et de la transmission des savoir-faire, MACS
bénéficiera, au titre du marché envisagé, des prestations suivantes, notamment :
- de la mise à disposition du concept ;
- de la mise à disposition de 4 livrets pratiques d’information et de fiches actions ;
- de la mise à disposition des fichiers informatiques des éléments fixes et évolutifs de communication ;
- de la mise à disposition du site internet www.rezopouce.fr et le droit de regard sur la base de données des
inscrits de la communauté.
Le conseil communautaire prend acte de l’information relative à la passation d’un marché avec la société
coopérative d’intérêt collectif « Rézo Pouce ».
Après cet exposé, on peut noter les interventions suivantes :
Madame Françoise Troccard demande si des vérifications auprès des assurances des adhérents seront faites afin
de se prémunir de tous problèmes éventuels.
Monsieur le Président répond qu’une charte sera mise en place, avec les vérifications nécessaires. L’idée est de
poursuivre le maillage du territoire, en proposant une offre complémentaire et alternative à celle du transport
collectif.
Monsieur Xavier Gaudio évoque une demande émise lors d’une réunion du CCAS de Soorts -Hossegor. Les résidents
valides de l’EHPAD souhaiteraient prendre la navette, ce qui est difficile pour ce public en raison de l’éloignement de
l’arrêt situé plus haut et de la topographie du site. De ce fait, il demande s’il serait possible de connecter ce réseau
pour des personnes demandeuses de transports sécurisés. Le « Rézo Pouce », sorte de Blablacar sécurisé de
proximité, pourrait, selon lui, répondre à cette demande.
Monsieur le Président précise qu’il faut effectivement travailler sur la question d’implantation des points de relais.
Initialement, l’objectif poursuivi était de desservir les zones les plus rurales, les plus éloignées du territoire
communautaire, mais le dispositif pourrait constituer une offre complémentaire aux modes de déplacement
existants.
26
Madame Françoise Troccard informe qu’en réunion du CIAS, une personne a fait part de son regret de ne pas
pouvoir prendre le bus en raison d’horaires inadaptés.
Monsieur le Président répond qu’un travail est nécessaire avec l’association pour prévoir une flexibilité dans
l’organisation. Le thème social est un enjeu important et notamment pour les personnes les plus âgées . Ces besoins
doivent être pris en compte.
4 - AMÉNAGEMENT DE L’ESPACE COMMUNAUTAIRE
Rapporteur : Monsieur Jean-François MONET
A - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE JOSSE - APPROBATION DE LA MODIFICATION SIMPLIFIÉE N° 1 DU PLAN
L’application du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Josse depuis son approbation par délibération du
conseil municipal le 27 septembre 2012, a révélé la nécessité de préciser des points de détail, notamment en
modifiant l’orientation d’aménagement et de programmation de la zone UHc dans l’objectif de perm ettre la
réalisation d’une opération d’aménagement d’ensemble.
Conformément à l’article L. 153-47 du code de l’urbanisme, le bilan de la mise à disposition au public ne présente pas d’observations susceptibles de modifier l’économie générale de la modification simplifiée n° 1 du PLU. Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver la modification simplifiée n° 1 du plan local d'urbanisme de la commune de Josse, telle
qu'annexée à la présente,
de prendre acte que la délibération d’approbation de la présente modification simplifiée n° 1 du plan local d'urbanisme de la commune sera :
- affichée, conformément à l'article R. 153-21 du code de l'urbanisme, pendant un mois au siège de la
Communauté de communes, ainsi qu’à la mairie de Josse ; mention de cet affichage sera insérée en
caractères apparents dans un journal diffusé dans le département,
- publiée au recueil des actes administratifs mentionné à l’article R. 5211-41 du code général des
collectivités territoriales.
d’autoriser Monsieur le président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
B - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE SAINT -JEAN-DE-MARSACQ - APPROBATION DE LA MODIFICATION SIMPLIFIÉE N° 1 DU PLAN
L’application du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Saint Jean de Marsacq approuvé par délibération
du conseil municipal le 21 avril 2008, et complété par délibération en date du 9 juillet 2008, a révélé la nécessité de
préciser les points suivants :
- suppression de l’emplacement réservé n°3 ;
- modification des articles 11 du règlement (hors périmètre de protection de l’église) afin d’assouplir les
prescriptions relatives au choix des matériaux de construction (huisseries et menuiseries en particulier) ;
- mise à jour des documents du PLU citant des articles du code de l’urbanisme révisés depuis ;
- intégration des dispositions d’application immédiate des lois n° 2014 -366 du 24 mars 2014 pour l’accès
au logement et un urbanisme rénové, et n° 2014-1170 du 13 octobre 2014 d’avenir pour l’agriculture,
l’alimentation et la forêt, dites « loi ALUR » et « LAAF », afin de faciliter la lecture du règlement du PLU par
les pétitionnaires ;
- modification de « la zone de plan masse » pour tenir compte de l’équilibre qu’il convient de maintenir
dans la répartition géographique des équipements publics à l’ouest du village et d ans le centre bourg ;
- prise en compte de la suppression du périmètre de protection de 300 mètres du dépôt d‘ammoniaque (abandon dudit dépôt).
Conformément à l’article L. 153-47 du code de l’urbanisme, le bilan de la mise à disposition au public ne présen te pas d’observations susceptibles de modifier l’économie générale de la modification simplifiée n° 1 du PLU.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
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d’approuver la modification simplifiée n° 1 du plan local d'urbanisme de la commune de Saint-Jean-de-
Marsacq, telle qu'annexée à la présente,
de prendre acte que la délibération d’approbation de la présente modification simplifiée n° 1 du plan local
d'urbanisme de la commune sera :
- affichée, conformément à l'article R.153-21 du code de l'urbanisme, pendant un mois au siège de la
Communauté de communes, ainsi que dans la mairie de Saint-Jean-de-Marsacq ; mention de cet affichage
sera insérée en caractères apparents dans un journal diffusé dans le département,
- publiée au recueil des actes administratifs mentionné à l’article R. 5211-41 du code général des
collectivités territoriales.
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente, La délibération d’approbation de la présente modification, ainsi que le plan local d'urbanisme modifié seront tenus à la disposition du public au siège de la Communauté de communes ainsi qu’en mairie de Saint-Jean-de-Marsacq conformément aux dispositions du code de l’urbanisme.
C - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE SAINT -MARTIN-DE-HINX - MODIFICATION SIMPLIFIÉE N°2 - MODALITÉS DE LA MISE Á DISPOSITION DU PROJET AU PUBLIC
L’application du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Saint-Martin-de-Hinx depuis son approbation par
délibération du conseil municipal le 12 avril 2012, a révélé la nécessité d’augmenter les aspects règlementaires liés
à l’emprise au sol des zones AUt et AUh.
La modification d’un plan local d’urbanisme peut, à l’initiative du président d’un établissement public de coopération
intercommunale compétent, être adoptée selon une procédure simplifiée prévue aux articles L. 153-45 à L. 153-48
du code de l’urbanisme, lorsque la modification ne relève ni du champ d’application de la procédure de droit
commun prévue aux articles L. 153-41 et suivants du même code ni de celui de la procédure de révision.
Le code de l’urbanisme prévoit que le projet de modification simplifiée, l’exposé de ses motifs et le cas échéant, les
avis émis par les personnes publiques et organismes associés, soient mis à la disposition du pu blic pendant une
durée d’un mois, dans des conditions lui permettant de formuler ses observations.
Les modalités de la mise à disposition du public doivent être précisées par délibération du conseil communautaire et
portées à la connaissance du public.
Dans ce cadre, il est proposé au conseil communautaire de fixer comme suit les modalités de la mise à disposition
du public :
- mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune de Saint-Martin-de-Hinx en mairie
aux jours et heures d’ouverture au public habituels,
- mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les modalités de mise à disposition du projet au public pendant une durée d’un mois, soit la
mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune de Saint-Martin-de-Hinx en
mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels, ainsi que la mise à disposition d’un cahier
d’observations en mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels,
d’autoriser Monsieur le président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se rapportant à l’exécution de la présente.
D - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE BENESSE MAREMNE - MODIFICATION SIMPLIFIÉE N°2 - MODALITÉS DE LA MISE Á DISPOSITION DU PROJET AU PUBLIC
L’application du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Benesse Maremne, approuvé par délibération de
son conseil municipal le 15 décembre 2009, a révélé la nécessité de préciser le point règlementaire relatif aux
stationnements.
La modification d’un plan local d’urbanisme peut, à l’initiative du président d’un établ issement public de coopération
intercommunale compétent, être adoptée selon une procédure simplifiée prévue aux articles L. 153 -45 à L. 153-48
du code de l’urbanisme, lorsque la modification ne relève ni du champ d’application de la procédure de droit
commun prévue aux articles L. 153-41 et suivants du même code ni de celui de la procédure de révision.
28
Le code de l’urbanisme prévoit que le projet de modification simplifiée, l’exposé de ses motifs et le cas échéant, les
avis émis par les personnes publiques et organismes associés, soient mis à la disposition du public pendant une
durée d’un mois, dans des conditions lui permettant de formuler ses observations.
Les modalités de la mise à disposition du public doivent être précisées par le conseil communautaire et portées à la
connaissance du public.
Dans ce cadre, il est proposé au conseil communautaire de fixer comme suit les modalités de la mise à disposition
du public :
- mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune de Benesse Maremne en mairie
aux jours et heures d’ouverture au public habituels ;
- mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les modalités de mise à disposition du projet au public pendant un mois, soit la mise à
disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune de Benesse Maremne en mairie aux
jours et heures d’ouverture au public habituels, ainsi que la mise à disposition d’un cahier d’observations en
mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se rapportant à l’exécution de la présente.
E - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE SOORTS -HOSSEGOR - MODIFICATION SIMPLIFIEE N°2 -
MODALITÉS DE LA MISE Á DISPOSITION DU PROJET AU PUBLIC
L’application du plan local d’urbanisme (PLU) de la commune de Soorts-Hossegor depuis son approbation par
délibération du conseil municipal en date du 15 février 2008, a révélé la nécessité de préciser des points dans le
règlement, notamment pour la définition des limites séparatives ( limites de fond).
La modification d’un plan local d’urbanisme peut, à l’initiative du président d’un établissement public de coopération
intercommunale compétent, être adoptée selon une procédure simplifiée prévue aux articles L. 153-45 à L. 153-48
du code de l’urbanisme, lorsque la modification ne relève ni du champ d’application de la procédure de droit
commun prévue aux articles L. 153-41 et suivants du même code ni de celui de la procédure de révision.
Le code de l’urbanisme prévoit que le projet de modification simplifiée, l’exposé de ses motifs et le cas échéant, les
avis émis par les personnes publiques et organismes associés, soient mis à la disposition du public pendant une
durée d’un mois, dans des conditions lui permettant de formuler ses observations.
Les modalités de la mise à disposition du public doivent être précisées par délibération du conseil communautaire et
portées à la connaissance du public.
Dans ce cadre, il est proposé au conseil communautaire de fixer comme suit les modalités de la mise à disposition
du public :
- mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune de Soorts-Hossegor en mairie
aux jours et heures d’ouverture au public habitue ls,
- mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les modalités de mise à disposition du projet au public pendant une durée d’un mois, à savoir, la
mise à disposition du projet de modification simplifiée n°2 de la commune de Soorts-Hossegor en mairie aux
jours et heures d’ouverture au public habituels, ainsi que la mise à disposition d’un cahier d’observations en
mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se rapportant à l’exécution de la présente.
F - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE DE SAUBION - MODIFICATION SIMPLIFIÉE N°4 - MODALITÉS DE LA MISE Á DISPOSITION DU PROJET AU PUBLIC
L’application du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune de Saubion depuis son approbation par délibération
du conseil municipal le 21 août 2012, a révélé la nécessité de rectifier une erreur matérielle sur une zone agricole.
29
La modification d’un plan local d’urbanisme peut, à l’initiative du président d’un établissement public de coopération
intercommunale compétent, être adoptée selon une procédure simplifiée prévue aux articles L. 153-45 à L. 153-48
du code de l’urbanisme, lorsque la modification ne relève ni du champ d’application de la procédure de droit
commun prévue aux articles L. 153-41 et suivants du même code ni de celui de la procédure de révision.
Le code de l’urbanisme prévoit que le projet de modification simplifiée, l’exposé de ses motifs et le cas échéant, les
avis émis par les personnes publiques et organismes associés, soient mis à la disposition du public pendant une
durée d’un mois, dans des conditions lui permettant de formuler ses observations.
Les modalités de la mise à disposition du public doivent être précisées par délibération du conseil communautaire et
portées à la connaissance du public.
Dans ce cadre, il est proposé au conseil communautaire de fixer comme suit les modalités de la mise à disposition
du public :
- mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 4 de la commune de Saubion en mairie aux jours et
heures d’ouverture au public habituels,
- mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les modalités de mise à disposition du projet au public pendant une durée d’un mois, soit la
mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 4 de la commune de Saubion en mairie aux jours et
heures d’ouverture au public habituels, ainsi que la mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie
aux jours et heures d’ouverture au public habituels,
d’autoriser Monsieur le président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se rapportant à l’exécution de la présente.
G - PLAN LOCAL D’URBANISME DE LA COMMUNE D’ANGRESSE - MODIFICATION SIMPLIFIÉE N°2 -
MODALITÉS DE LA MISE Á DISPOSITION DU PROJET AU PUBLIC
L’application du Plan Local d’Urbanisme (PLU) de la commune d’Angresse depuis son approbation par délibération
du conseil municipal le 4 septembre 2008, a révélé la nécessité de préciser différents points règlementaires,
notamment les formes des toitures, les limites séparatives, les stationnements, les eaux pluviales, etc.
La modification d’un plan local d’urbanisme peut, à l’initiative du président d’un établissement public de coopération
intercommunale compétent, être adoptée selon une procédure simplifiée prévue aux articles L. 153 -45 à L. 153-48
du code de l’urbanisme, lorsque la modification ne relève ni du champ d’application de la procédure de droit
commun prévue aux articles L. 153-41 et suivants du même code ni de celui de la procédure de révision.
Le code de l’urbanisme prévoit que le projet de modification simplifiée, l’exposé de ses motifs et le cas échéant, les
avis émis par les personnes publiques et organismes associés, soient mis à la disposition du public pendant une
durée d’un mois, dans des conditions lui permettant de formuler ses observations.
Les modalités de la mise à disposition du public doivent être précisées par délibération du conseil communautaire et
portées à la connaissance du public.
Dans ce cadre, il est proposé au conseil communautaire de fixer comme suit les modalités de la mise à disposition
du public :
- mise à disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune d’Angresse en mairie aux jours et
heures d’ouverture au public habituels,
- mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie aux jours et heures d’ouverture au public habituels.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les modalités de mise à disposition du projet au public pendant un mois, soit la mise à
disposition du projet de modification simplifiée n° 2 de la commune d’Angresse en mairie aux jours et
heures d’ouverture au public habituels, ainsi que la mise à disposition d’un cahier d’observations en mairie
aux jours et heures d’ouverture au public habituels,
d’autoriser Monsieur le président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se rapportant à l’exécution de la présente.
30
H - AIRE DE MISE EN VALEUR DE L’ARCHITECTURE ET DU PATRIMOINE (AVAP) DE LA COMMUNE DE SOORTS -HOSSEGOR - CONSTITUTION DE LA COMMISSION LOCALE DE L’AVAP
La loi n° 2010-788 du 12 juillet 2010 portant engagement nationa l pour l’environnement, le législateur a prévu de
transformer les Zones de Protection du Patrimoine Architectural, Urbain et Paysager (ZPPAUP) en Aire de mise en
Valeur de l'Architecture et du Patrimoine (AVAP).
L'AVAP a pour objectifs :
- de promouvoir la mise en valeur du patrimoine bâti et des espaces dans le respect du développement
durable ;
- de permettre le recensement de tous les patrimoines présents sur la commune et de définir des enjeux
patrimoniaux attachés au territoire communal ;
- d’adapter les perspectives de développement local à ce patrimoine ;
- de traduire les enjeux patrimoniaux par la définition d’un zonage adapté au territoire en question et
l’écriture de règles de gestion de ces espaces.
L’article L. 642-1 du code du patrimoine dispose que « (…) [l’AVAP] est fondée sur un diagnostic architectural,
patrimonial et environnemental, prenant en compte les orientations du projet d’aménagement et de développement
durables du plan local d’urbanisme, afin de garantir la qualité architecturale des constructions existantes et à venir
ainsi que l’aménagement des espaces ».
Pour mémoire, la commune de Soorts-Hossegor a prescrit, par délibération de son conseil municipal en date du 20
mars 2015, l’élaboration de l’AVAP et a défini les modalités de concertation.
Les motivations de la commune sont les suivantes :
Instaurer une AVAP en remplacement de la ZPPAUP ;
Modifier le périmètre d’application et de protection de l’habitat remarquable,
Mettre en cohérence l’AVAP et le PLU ;
Traiter les manques apparus dans la ZPPAUP pour l’instruction des dossiers d’urbanisme ainsi que les
inventaires environnementaux (ex. matériaux des menuiseries utilisation du PVC, terrasses, clôtures et
portail…) ;
Fixer les conditions et l’implantation des énergies renouvelables ;
Informer le public.
Conformément aux dispositions de l’article L. 642-5 du code du patrimoine, une commission locale est créée par
délibération, dès l'élaboration de l'AVAP. Cette instance consultative a pour mission d'assurer le suivi de la
conception et de la mise en œuvre des règles applicables à l’AVAP.
Dans le cadre de l'instruction des demandes d'autorisation de travaux, cette instance peut être consultée par
l'autorité compétente pour délivrer une autorisation sur tout projet d'opération d'aménagement, de construction ou
de démolition, notamment lorsque celui-ci nécessite une adaptation mineure des dispositions de l’AVAP.
Il est donc proposé que la commission consultative soit composée de :
- 1 représentant de la Communauté de communes : Monsieur Xavier Gaudio,
- 7 représentants de la commune de Soorts-Hossegor : Mesdames et Messieurs Christine Bégué, Sabine
Bénétrix, Philippe Gelez, Serge Messanges, Cathy Montaut, Pierre Servary et Jean -Jacques Tirquit,
- 3 représentants de l’Etat : le préfet ou son représentant, le directeur régional des affaires culturelles ou son
représentant, le directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement ou son
représentant,
- 4 personnes qualifiées, d’une part, au titre de la protection du patrimoine et, d’autre part, au titre des
intérêts économiques concernés : Monsieur Claude Laroche ou un de ses représentants du service de
l’inventaire, Madame Alexandrine Vanel-Duluc (urbaniste chargée de la révision du PLU de la commune),
Monsieur Hervé Soriano (architecte conseil de la commune), Monsieur Jean -Claude Loste (ancien
géomètre, responsable de la commission Urbanisme à l’association Société des Propriétaires de Soorts -
Hossegor).
Le projet d’AVAP devra ensuite être arrêté par délibération du conseil communautaire, puis soumis pour avis à la
commission régionale du patrimoine et des sites, et transmis aux personnes publiques concernées avant d’être
soumis à enquête publique. Enfin, une délibération du conseil communautaire interviendra pour créer l’AVAP.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
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de désigner Monsieur Xavier Gaudio en tant que représentant de la Communauté de communes au sein de
la commission locale consultative de l’AVAP,
de constituer la commission locale de l’AVAP, dont les représentants sont :
- 1 représentant de la communauté de communes : Monsieur Xavier Gaudio
- 7 représentants de la commune de Soorts-Hossegor : Mesdames Christine Bégué, Sabine Bénétrix et
Cathy Montaut et Messieurs Philippe Gelez, Serge Messanges, Pierre Servary et Jean -Jacques Tirquit,
- 3 représentants de l’Etat : le préfet ou son représentant, le directeur régional des affaires culturelles
ou son représentant, le directeur régional de l’environnement, de l’aménagement et du logement ou
son représentant,
- 4 personnes qualifiées, d’une part, au titre de la protection du patrimoine et, d’autre part, au titre des
intérêts économiques concernés : Monsieur Claude Laroche ou un de ses représentants du service de
l’inventaire, Madame Alexandrine Vanel-Duluc (urbaniste chargée de la révision du PLU de la
commune), Monsieur Hervé Soriano (architecte conseil de la commune), Monsieur Jean-Claude Loste
(ancien géomètre, responsable de la commission Urbanisme à l’association Société des Propriétaires
de Soorts-Hossegor).
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente,
La délibération sera tenue à la disposition du public au siège de la Communauté de communes conformément aux
dispositions du code de l’urbanisme.
5 - CULTURE - ATTRIBUTION DE SUBVENTIONS POUR DES MANIFESTATIONS CULTURELLES
Rapporteur : Monsieur le Président
Les membres de l'atelier Culture avaient souhaité différer leur arbitrage pour les manifestations "Salon du livre
jeunesse et de la BD" et "Festiv'Adour".
En réponse au complément d'information demandé, les deux associations organisatrices de ces événements ont
précisé certains aspects de leur projet, notamment sur :
- les actions de médiation et de sensibilisation pour le "Salon du livre jeunesse et de la BD",
- l’ancrage territorial communautaire pour "Festiv’Adour".
Les propositions suivantes sont soumises au vote de l'assemblée :
MANIFESTATION
PORTEUR DE PROJET
LIEU DE LA MANIFESTATION
MONTANT
Salon du livre
jeunesse et de la BD
Actions de
médiation
Association
Lire sur la
vague
Hossegor
Médiathèques du
territoire
2 000 €
Festiv'Adour
Patrimoine
naturel et
spectacle vivant
Association
Festiv'Adour
Saint Jean de
Marsacq
Saint Martin de
Hinx
Saubusse - Josse
5 000 €
TOTAL ASSOCIATIONS/MANIFESTATIONS CULTURELLES 7 000 €
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver l’attribution des subventions d’un montant de 2 000 euros à l’Association Lire sur la vague,
d’une part et d’autre part, d’un montant 5 000 euros à l’Association Festiv'Adour,
32
d’approuver l’inscription des crédits nécessaires au versement des subventions précitées dans le budget
principal de la Communauté de communes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
6 - ENVIRONNEMENT - TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
Rapporteur : Monsieur Patrick BENOIST
A - ATTRIBUTION DU FONDS DE CONCOURS « TRANSITION ÉNERGÉTIQUE »
1 - Commune de Labenne
Le conseil communautaire, par délibération en date du 22 septembre 2014, a approuvé l’engagement de la
démarche de transition énergétique vers un territoire à énergie positive (TEPOS), qui cible, de manière prioritaire, les
actions en faveur de la transition énergétique du patrimoine communal. La feuille de route 2016-2020 portant sur
les actions retenues a par ailleurs été adoptée par délibération du conseil communautaire en date du 17 décembre
2015.
Dans le cadre de la démarche engagée par la Communauté de communes en faveur de la transition éne rgétique, un
fonds de concours « Transition énergétique » a été créé et approuvé par délibération du conseil communautaire en
date du 30 septembre 2015, afin de participer au financement des investissements des communes contribuant à
la transition énergétique.
Ce fonds de concours est destiné à la rénovation thermique et les améliorations techniques visant à réduire la
facture de consommation énergétique des communes sur les bâtiments existants.
Les opérations et les dépenses éligibles, les critères d’éligibilité, le taux de participation, ainsi que les modalités de
versement du fonds de concours, sont déterminés par le règlement d’intervention correspondant.
Les projets présentés ci-après remplissent les conditions d’attribution du fonds de concours « Transition
énergétique ».
Commune Bâtiment Travaux Montant fonds
de concours
LABENNE Bibliothèque - Maison Barbé Toiture 4 139,50 €
LABENNE Restaurant scolaire Toiture, menuiseries,
chauffage 46 951,81 €
33
En application des dispositions du règlement d’intervention approuvé par délibération du conseil communautaire
en date du 30 septembre 2015, le fonds de concours de MACS s’élève à 4 139,50 €.
En application des dispositions du règlement d’intervention approuvé par délibération du conseil communautaire
en date du 30 septembre 2015, le fonds de concours de MACS s’élève à 46 951,81 €.
Le conseil communautaire , après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le versement du fonds de concours « Transition Énergétique » à la commune de Labenne
d’un montant de 46 951,81 € pour l’opération d’investissement portant sur le restaurant scolaire,
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d’une part et d’un montant de 4 139,50 € pour l’opération d’investissement sur la bibliothèque, d’autre
part,
d’inscrire les crédits nécessaires au versement de cette participation financière à la commune sur le
budget annexe environnement de la Communauté de communes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
2 - Commune de Magescq
Le conseil communautaire, par délibération en date du 22 septembre 2014, a approuvé l’engagement de la
démarche de transition énergétique vers un territoire à énergie positive (TEPOS), qui cible, de manière prioritaire,
les actions en faveur de la transition énergétique du patrimoine communal. La feuille de route 2016 -2020
portant sur les actions retenues a par ailleurs été adoptée par délibération du conseil communautaire en date
du 17 décembre 2015.
Dans le cadre de la démarche engagée par la Communauté de communes en faveur de la transition
énergétique, un fonds de concours « Transition énergétique » a été créé et approuvé par délibération du conseil
communautaire en date du 30 septembre 2015, afin de participer au financement des investissements des
communes contribuant à la transition énergétique.
Ce fonds de concours est destiné à la rénovation thermique et les améliorations techniques visant à réduire la
facture de consommation énergétique des communes sur les bâtiments existants.
Les opérations et les dépenses éligibles, les critères d’éligibilité, le taux de participation, ainsi que les modalités
de versement du fonds de concours, sont déterminés par le règlement d’intervention correspondant.
Les projets présentés ci-après remplissent les conditions d’attribution du fonds de concours « Transition
énergétique ».
Commune Bâtiment Travaux Montant fonds
de concours
MAGESCQ Salle Nord des Arènes Toiture, murs, chauffage 8 363,45 €
MAGESCQ Calorifugeage des chaufferies Calorifugeage 764,45 €
En application des dispositions du règlement d’intervention approuvé par délibération du conseil communautaire
en date du 30 septembre 2015, le fonds de concours de MACS s’élève à 8 363,45 €.
35
En application des dispositions du règlement d’intervention approuvé par délibération du conseil communautaire
en date du 30 septembre 2015, le fonds de concours de MACS s’élève à 764.45 €.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le versement du fonds de concours « Transition Énergétique » à la commune de Magescq
d’un montant de 8 363,45 € pour l’opération d’investissement portant sur la salle nord des arènes,
d’une part et d’autre part, d’un montant de 765,45 € pour l’opération d’investissement sur le
calorifugeage des chaufferies,
d’inscrire les crédits nécessaires au versement de cette participation financière de à la commune sur le
budget annexe environnement de la Communauté de communes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
3 - Commune de Angresse
Le conseil communautaire, par délibération en date du 22 septembre 2014, a approuvé l’engagement d e la
démarche de transition énergétique vers un territoire à énergie positive (TEPOS), qui cible, de manière prioritaire,
les actions en faveur de la transition énergétique du patrimoine communal. La feuille de route 2016 -2020
portant sur les actions retenues a par ailleurs été adoptée par délibération du conseil communautaire en date
du 17 décembre 2015.
Dans le cadre de la démarche engagée par la Communauté de communes en faveur de la transition
énergétique, un fonds de concours « Transition énergétique » a été créé et approuvé par délibération du conseil
communautaire en date du 30 septembre 2015, afin de participer au financement des investissements des
communes contribuant à la transition énergétique.
Ce fonds de concours est destiné à la rénovation thermique et les améliorations techniques visant à réduire la
facture de consommation énergétique des communes sur les bâtiments existants.
Les opérations et les dépenses éligibles, les critères d’éligibilité, le taux de participation, ainsi que les modal ités
de versement du fonds de concours, sont déterminés par le règlement d’intervention correspondant.
Le projet présenté ci-après remplit les conditions d’attribution du fonds de concours « Transition énergétique ».
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Commune Bâtiment Travaux Montant fonds de
concours
ANGRESSE
Restaurant les
platanes et le local
commercial
Menuiseries 5 116,00 €
En application des dispositions du règlement d’intervention approuvé par délibération du conseil communautaire
en date du 30 septembre 2015, le fonds de concours de MACS s’élève à 5 116,00 €.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le versement du fonds de concours « Transition Énergétique » à la commune d’Angresse
d’un montant de 5 116,00 € pour l’opération d’investissement portant sur le restaurant « les platanes »
et le local commercial,
d’inscrire les crédits nécessaires au versement de cette participation financière à la commune sur le
budget annexe environnement de la Communauté de communes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout docum ent se
rapportant à l’exécution de la présente.
4 - Commune de Vieux-Boucau
Le conseil communautaire, par délibération en date du 22 septembre 2014, a approuvé l’engagement de la
démarche de transition énergétique vers un territoire à énergie positive (TEPOS), qui cible, de manière prioritaire,
les actions en faveur de la transition énergétique du patrimoine communal. La feuille de route 2016 -2020
portant sur les actions retenues a par ailleurs été adoptée par délibération du conseil communautaire en date
du 17 décembre 2015.
Dans le cadre de la démarche engagée par la Communauté de communes en faveur de la transition
énergétique, un fonds de concours « Transition énergétique » a été créé et approuvé par délibération du conseil
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communautaire en date du 30 septembre 2015, afin de participer au financement des investissements des
communes contribuant à la transition énergétique.
Ce fonds de concours est destiné à la rénovation thermique et les améliorations techniques visant à réduire la
facture de consommation énergétique des communes sur les bâtiments existants.
Les opérations et les dépenses éligibles, les critères d’éligibilité, le taux de participation, ainsi que les modalités
de versement du fonds de concours, sont déterminés par le règlement d’intervention correspondant.
Le projet présenté ci-après remplit les conditions d’attribution du fonds de concours « Transition énergétique ».
Commune Bâtiment Travaux Montant fonds de
concours
VIEUX-BOUCAU Mairie Toiture 1 333,50 €
En application des dispositions du règlement d’intervention approuvé par délibération du conseil communautaire
en date du 30 septembre 2015, le fonds de concours de MACS s’élève à 1 333,50 €.
Le versement de chaque fonds de concours interviendra, sur appe l de fonds de la commune, dans les conditions
suivantes :
- un premier versement de 40% du montant du fonds de concours sur la base du plan de financement
prévisionnel validé et sur production, par la commune, de l'ordre de service de démarrage des
travaux ;
- le versement du solde sur présentation du certificat d'achèvement des travaux, du décompte général
définitif des dépenses et recettes, ou justificatifs et factures attestant des dépenses.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanim ité, décide :
d’approuver le versement du fonds de concours « Transition Énergétique » à la commune de Vieux-
Boucau-les-Bains d’un montant de 1 333,50 € pour l’opération d’investissement portant sur la Mairie,
d’inscrire les crédits nécessaires au versement de cette participation financière à la commune sur le
budget annexe environnement de la Communauté de communes,
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d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
Monsieur le Président rappelle que le montant global du fonds de concours voté pour la transition énergétique
est de 2 millions d’euros. Il indique qu’avec le présent vote, ce sont déjà 260 000 euros qui sont engagés, soit
plus de 10 % du montant total. C’est encourageant et cela signifie que l’ensemble des communes se saisissent
de ces problématiques.
B - THERMOGRAPHIE AÉRIENNE – DEMANDE DE SUBVENTION AU TITRE DU CONTRAT TERRITORIAL
UNIQUE REGIONAL
La feuille de route « Territoire à Energie Positive 2016-2020» adoptée par délibération du conseil
communautaire le 17 décembre 2015, a défini la rénovation énergétique des bâtiments comme une priorité.
La thermographie aérienne des bâtiments du territoire permet de sensibiliser les propriétaires sur le niveau de
l’efficacité de l’isolation de leurs bâtiments, et plus particulièrement de la toiture.
Cet outil constitue un élément important pour communiquer auprès des propriétaires immobiliers. Ce sont p rès
de 29 000 résidences principales, dont environ 9 000 datant d’avant la première règlementation thermique, qui
ne disposent toujours pas d’une isolation suffisante.
La thermographie aérienne doit ainsi s’intégrer dans un dispositif plus large d’accompa gnement des particuliers
et des professionnels, tel que cela est prévu dans le cadre de la plateforme locale de rénovation énergétique de
l’habitat, dont la mise en place est prévue pour le second semestre 2016.
Il est à noter que le respect de conditions particulières météorologiques sont à respecter quant aux niveaux de
températures, de pluviométrie et de couverture nuageuse, afin de disposer de données fiables.
Le coût de cet outil de thermographie aérienne est estimé à environ 77 000 euros HT.
Cette initiative répond aux ambitions retenues dans le cadre du Contrat Territorial Unique Régional porté par le
Pays Adour Landes Océanes, ouvrant ainsi droit à subvention.
Monsieur le Président ajoute qu’il sera fait état des effets de cette thermographie après un premier passage sur
la bande littorale. Il sera ensuite procédé à un complément à l’automne, pour pouvoir bénéficier de températures
assez basses. A priori, cette thermographie sera exécutée par avion, étant souligné qu’il s’agit de la technique la
moins couteuse comparée à la thermographie par drone, beaucoup plus onéreuse. Ces éléments seront
rediscutés probablement à la fin de l’automne.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et par 51 voix pour, 1 abstention de Madame Nathalie
Decoux et 1 voix contre de Madame Hélène Biasutti, décide :
de solliciter une subvention, dans le cadre du Contrat Territorial Unique Régional, pour la réalisation
d’une thermographie aérienne sur le territoire de la Communauté de communes,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document
se rapportant à l’exécution de la présente.
7 - DÉPENDANCE – LOGEMENT - NOUVEL ARRÊT DU PROJET DE PROGRAMME LOCAL DE L’HABITAT APRÈS AVIS DES COMMUNES MEMBRES DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES MAREMNE ADOUR
CÔTE-SUD
Rapporteur : Madame Marie Aphatie
La Communauté de communes Maremne Adour Côte-Sud (MACS) a arrêté, par délibération du conseil
communautaire en date du 17 décembre 2015, le projet de son deuxième Programme Local de l’Habitat (PLH).
Conformément aux dispositions du code de la construction et de l’habitation, toutes les communes membres de
l’établissement public de coopération intercommunale concerné ont été invitées à donner leur avis sur le
document dans un délai de deux mois, leur silence valant avis favorable. La Communauté de communes doit à
nouveau se prononcer sur le projet de PLH au regard de l’ensemble des avis des communes membres.
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A ce jour, les conseils municipaux des communes membres de la Communauté de communes MACS qui se sont
exprimés, ont tous rendu un avis favorable sur le document. Il est donc proposé au conseil communautaire de
confirmer l’arrêt du projet de PLH de MACS, tel qu’annexé à la présente.
Dans le cadre de la procédure d’élaboration, le document devra ensuite être transmis au représentant de l’Etat
dans le département, lequel saisira pour avis, le Comité Régional de l’Habitat et de l’Hébergement dans un délai
de trois mois.
Le conseil communautaire aura enfin à délibérer en vue de l’adoption définitive du nouveau PLH de la
Communauté de communes et de son entrée en vigueur.
Monsieur le Président souligne que certains promoteurs souhaitent éviter la proportion de logements sociaux,
contrairement à la volonté politique traduite dans le PLH. Aussi, une charte sera mise en place et signée entre
les promoteurs et les communes pour formaliser leurs engagements sur un certain type de logements locatifs
sociaux.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’arrêter à nouveau le projet de nouveau Programme Local de l’Habitat de la Communauté de
communes Maremne Adour Côte-Sud, tel qu’annexé à la présente,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à transmettre le proje t au représentant de l’Etat
dans le cadre du déroulement de la procédure,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
8 - PERSONNEL COMMUNAUTAIRE
Rapporteur : Monsieur le Président
A - OUVERTURES DE POSTES LIÉES A DES AVANCEMENTS DE GRADE
Conformément à l’article 34 de la loi n° 84 -53 du 26 janvier 1984 modifiée, il appartient à l’assemblée
délibérante de fixer l’effectif des emplois à temps complet et non complet nécessaires au bon fonctionnement
des services.
Des agents de la Communauté de communes Maremne Adour Côte Sud (MACS) remplissent les conditions pour
accéder à un grade supérieur, soit qu’ils aient réussi un concours ou examen profession nel, soit qu’ils aient
accès à un avancement lié à leur ancienneté dans le grade.
Les responsables hiérarchiques ont procédé à une évaluation sur la manière de servir des agents en demande
d’avancement et des propositions d’arbitrage ont été élaborées par la Direction générale des services, sur la
base des ratios d’avancement en vigueur au sein de MACS.
Par ailleurs, un agent contractuel est proposé à la stagiairisation.
Dans ce cadre, il est proposé à l’assemblée de procéder à la création des postes suivants :
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Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les créations de postes suivantes :
de prendre acte que les postes seront pourvus par voie statutaire,
de prendre acte que la rémunération et la durée de carrière de ces agents seront celles fixées par la
réglementation en vigueur pour les emplois, cadres d’emplois et grades concernés,
de prendre acte de la modification du tableau des effectifs pour tenir compte de ces créations de
postes,
d’inscrire les crédits nécessaires à la rémunération des agents nommés et aux charges sociales s'y
rapportant au budget 2016 aux chapitre et article prévus à cet effet,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
Monsieur le Président remercie l’assemblée pour les personnels concernés. Il souligne les efforts fournis qui ont
conduit à ces avancements.
B - AVENANT Á LA CONVENTION D’ADHÉSION AU SERVICE DE MÉDECINE PRÉVENTIVE DU CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE DES LANDES
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La Communauté de communes adhère depuis plusieurs années au service de médecine préventive du Centre de
gestion de la fonction publique territoriale des Landes pour le suivi médical de ses agents.
L’adhésion à ce service recouvre la surveillance médicale des agents : visites médicales d’embauche, visites
médicales périodiques, visites de pré-reprise, visites de reprise, visites préalables à la saisie du comité médical /
commission de réforme.
Le service assure également une surveillance médicale particulière, notamment pour les postes exposés aux
risques professionnels et pour les postes aménagés.
Le conseil d’administration du Centre de gestion de la fonction publique territoriale des Landes a voté une
hausse des tarifs pour l’année 2016.
Le coût pour chaque agent est ainsi fixé pour l’année 2016 à 71,50 €, au lieu de 66,11 € pour l’année 2015.
Les termes de la convention d’adhésion ont été approuvés par délibération du conseil communautaire en date du
9 avril 2015 pour une durée de trois ans à compter du 1 er janvier 2015. Un avenant à la convention portant sur
la révision du tarif doit être conclu.
Monsieur le Président indique que même si le coût de la prestation a augmenté, cette dernière demeure
toujours plus avantageuse que celle proposée par le secteur privé.
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver les termes de l’avenant à la convention d’adhésion au service de médecine préventive du
Centre de gestion de la fonction publique territoriale des Landes, tel qu’annexé à la présente convention,
d’inscrire les crédits nécessaires au budget 2016 aux chapitre et article prévus à cet effet,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à prendre tout acte et à signer tout document se
rapportant à l’exécution de la présente.
9 - MISSION NUMÉRIQUE - SOCIÉTÉ PUBLIQUE LOCALE DIGITAL MAX - AVENANT N°1 Á LA CONVENTION DE DÉLÉGATION DE SERVICE PUBLIC POUR L’ÉTABLISSEMENT ET L’EXPLOITATION DU RÉSEAU EN FIBRE
OPTQUE DE LA COMMUNAUTÉ DE COMMUNES MACS
Rapporteur : Monsieur le Président
La Société Publique Locale (SPL) Digital Max a été constituée le 11 février 2014 par la Communauté de
communes Mareme Adour Côte-Sud (MACS) et ses communes membres pour fournir, établir et exploiter un
réseau de communications électroniques qui a vocation à raccorder l’ensemble de leurs sites et bâtiments et
exploiter le réseau WiFi repris en gestion du délégataire MACS THD.
Le conseil communautaire a approuvé, par délibération en date du 9 avril 2015, une convention de délégation de
service public relative et l’établissement et l’exploitation du réseau de la SPL « Digital Max », qui fut signée le 11
mai 2015.
Depuis, comme prévu dans cette convention, la SPL a établi son réseau en procédant à l’acquisition d’un droit
irrévocable d’usage auprès de la société MACS THD et à la construction, sous sa maîtrise d’ouvrage, des
prolongements du réseau actuel, dans le cadre d’un marché de travaux.
La mise en service effective du réseau interviendra dans le courant du mois d’avril 2016.
Dans ce contexte, il est nécessaire de modifier la convention de délégation de service public initiale, afin de
préciser les modalités de fourniture des services par la SPL aux usagers du service, à savoir ses collectivités et
groupements de collectivités actionnaires.
En conséquence, le présent avenant a pour objet :
- d’une part, de compléter l’offre de services proposée par la SPL afin d’inclure les services offerts à tous
ses actionnaires aux personnes morales qu’ils contrôlent,
- d’autre part, d’ajouter une annexe à la convention de délégation de service public en date du 11 mai
2015, constituée du contrat cadre de service de communications électroniques et ses annexes :
modèle de bon de commande,
modèle de devis,
modèle de contrat de mandat.
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Monsieur Francis Lapébie demande quand les communes seront connectées à cette fibre.
Monsieur le Président indique qu’il en parlera à l’issue du conseil communautaire .
Le conseil communautaire, après en avoir délibéré et à l’unanimité, décide :
d’approuver le projet d’avenant n°1 à la convention de délégation de service public annexé avec la SPL
Digital Max ayant pour objet l’établissement et l’exploitation d’une infrastructure de communications
électroniques desservant l’ensemble des sites de MACS et de ses communes membres,
d’autoriser Monsieur le Président ou son représentant à signer ce projet d’avenant n°1 à la convention
de délégation de service public à intervenir avec la SPL Digital Max, dont elle est actionnaire, ainsi que
toute pièce ou document se rapport à l’exécution de la présente.
10 - INFORMATIONS SUR LES DÉCISIONS PRISES PAR MONSIEUR LE PRÉSIDENT EN APPLICATION DE
L’ARTICLE L. 5211-10 DU CODE GÉNÉRAL DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES ET DE LA DÉLIBÉRATION DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE EN DATE DU 11 AVRIL 2014 PORTANT DÉLÉGATION D’ATTRIBUTIONS
DU CONSEIL COMMUNAUTAIRE AU PRÉSIDENT
Rapporteur : Monsieur le Président
A - MARCHÉS PUBLICS
1 - Marchés passés selon la procédure adaptée
Marchés de fournitures
Fourniture et maintenance d’un logiciel de gestion des réservations et de facturation de la restauration scolaire
Notification le 29 février 2016
Titulaire : SAS ARPEGE à Saint-Sébastien-sur-Loire (44236)
Montant :
o Fourniture et installation du logiciel et paramétrage sur les serveurs de la Communauté de
communes MACS : 28 039 € HT
o Formation des administrateurs : 5 250 € HT
o Formation du personnel référent : 4 725 € HT
o Montant annuel de la maintenance : 8 474 € HT
Marchés de travaux
Travaux d'entretien et d’aménagement des voiries, voies vertes, ZAE et ouvrages réseaux de compétences ou de
maîtrise d’ouvrage communautaire - MACS BDC 16
Notification le 14 mars 2016
Titulaire : Groupement LAFITTE TP – SOUBESTRE à Saint-Geours-de-Maremne (40230)
Montant : 1 200 000 € HT par an
Durée : 4 ans
Marchés de services
Réalisation d’une thermographie aérienne sur le territoire de la Communauté de communes Maremne Adour
Côte-Sud
Notification le 29 février 2016
Titulaire : Laboratoire National de Métrologie et d'Essais à Trappes (78198)
Montant maximum: 120 000 € HT
Tableau de synthèse :
Objet Montant
HT
Thermographie aérienne - prestation incluant la réalisation de
l'ensemble des phases décrites au CCTP ainsi que 3 réunions et
une demi-journée de formation et l'ensemble des temps
d'échanges nécessaires)
65 420 €
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Acquisition des données LIDAR 33 600 €
Traitement des données LIDAR et restitution des données 14 400 €
Réalisation d'un module cartographique de consultation de
données 2 554 €
Edition et impression d'un atlas thermographique 3 602 €
Réalisation d'un film pédagogique 6 031 €
2 - Avenant
Avenant au marché de maîtrise d’œuvre relatif à l’extension du centre technique de la Communauté de
communes Maremne Adour Côte-Sud : détermination du forfait définitif de rémunération de la maîtrise d’œuvre
Notification le 29 janvier 2016
Titulaire : groupement SCP Lafargue- Lapassade / BETEC / CLIMELEC
Montant : 24 153.30 € HT
Taux de rémunération 7 % mission de base ; 2 % mission EXE
B - CULTURE - SPORT - JEUNESSE
1- Conventions d'objectifs et de moyens
Convention d’objectifs avec les associations culturelles, sportives et éducatives :
Culture :
- Landes musiques amplifiées
- Centres musicaux ruraux
- Association pour l'art lyrique en Aquitaine
- Scène aux champs
Sports : US Tyrosse Rugby
Education (Jeunesse) : Francas des Landes
2- Programmation culture à Pôle Sud
- Concert Maison Tellier le 01 avril 2016, en partenariat avec les CMR - participation MACS : 2 000 €
- Concert botanique le 28 avril 2016 - participation MACS : 675 €
- Fête de la musique le 21 juin 2016 avec Bokalé Brass Band - participation MACS : 1 690 €
Le conseil communautaire prend acte de ces informations.
Monsieur le Président, sous le contrôle de Guy Tilmont, fait un test en bas débit afin de rendre compte du
changement de débit qui s’opérera lors du déploiement du réseau pour fin mai, auprès de toutes les mairies du
territoire.
Il bascule ensuite sur la fibre optique pour constater le passage de 9 à 305 Mbps en débit descendant et à
402 Mbps en débit montant, sachant que le débit moyen dans les mairies est de 0,5. Très prochainement,
toutes les mairies de MACS seront concernées par ce niveau de service.
Monsieur le Président remercie l’ensemble de l’équipe de la SPL Digital Max pour la mise en place de ce
service de première qualité, comme cela était prévu initialement.
Il signale que le prochain conseil communautaire aura lieu le 28 juin 2016 et rappelle que les représentants
des différents groupes pour l’expression des élus devront se faire connaître au plus tard, le 15 avril 2016.
Madame Valérie Hermenier demande si l’atelier développement économique a déjà été mis en place.
Monsieur le Président répond par l’affirmative , en indiquant qu’une déléguée de Seignosse y siège déjà.
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L’ordre du jour étant épuisé, la séance est levée à 20h30.
Le Secrétaire, Le Président,
Jean-Michel YVORA Eric KERROUCHE