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CODETI 2013 - Division 1Code de construction des tuyauteries industrielles

Partie G (généralités)

Présentant l’organisation du code et les dispositions réglementaires applicables pour la conception et la fabrication des tuyauteries industrielles métalliques aériennes en galerie, enterrées, destinées aux fluides liquides ou gazeuxNouveauté : harmonisation de la structure du code avec celle des autres codes du SNCT

Proposant un ensemble de nuances concernant 11 familles de matériaux métalliques, ainsi que des recommandations sur le supportage, la boulonnerie et les produits consommables pour le soudageNouveauté : traitez les composants du supportage grâce à la section M21

Spécifiant les règles de conception et de calculs des composants de tuyauteries industrielles métalliques (tubes, coudes, fonds, intersection, assemblage à bride, compensateurs de dilatation…) ainsi que les règles relatives aux analyses de flexibilité

Spécifiant les règles de fabrication des réseaux et supports de tuyauteries (conception des assemblages soudés, cintrage et formage, soudage), les tolérances et les exigences relatives au montageNouveautés : regroupement des modalités relatives au soudage dans une annexe, révision de l’annexe relative aux assemblages soudés

Indiquant les règles relatives aux contrôles, essais et inspection à effectuer pendant et en fin de fabrication des réseauxNouveautés : retrouvez la nouvelle organisation de la partie CE conforme aux autres codes de construction, ainsi que des nouvelles annexes sur le CND !

Partie M (matériaux)

Partie C (conception et calculs)

Partie F (fabrication)

Partie CE (contrôles, essais et inspection)

BDMat incluse

Une base de données de 12 000 nuances de matériaux ferreux et non-ferreux, issues de spécifications euro-péennes, françaises, allemandes et américaines, des-tinées à la fabrication d’équipements. Retrouvez leurs caractéristiques mécaniques et physiques répertoriées par le SNCT et le Cetim lorsque disponibles dans les spécifications.

Quelques-unes des évolutions

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Muriel Van-MarleTél. : +33 (0)1 47 17 62 66E-mail : [email protected]

Renseignements techniques et stages de formation :

www.snct.org - Rubrique Publications

• Méthode alternative de calcul des assemblages

à brides en conformité avec la dernière édition

de la norme EN 1591-1

• Quantification de la baisse des propriétés mé-

caniques des aciers non-alliés après plusieurs

traitements de détensionnement

• Méthodes de contrôle : contrôle par radio

numérisée, US multiéléments...

• Fluage : méthode de calcul de la pression

d’épreuve

Caractéristiques mécaniques et physiques d’une nuance dans BDMat

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CODETI Division 1 : 2013 • Partie CE – CONTRÔLES - ESSAIS - INSPECTION Annexe CEA1 – CONTRÔLES NON DESTRUCTIFS DES ASSEMBLAGES SOUDÉS

7037

CEA1 - 1 - Assemblage d’éléments d’une même enveloppe cylindrique, conique ou sphérique (suite)

CEA1 - 1.2 - Assemblage circulaire (suite)

CEA1 - 1.2.1 - Assemblage par soudure bout à bout sans support permanent (suite)

Groupes de matériau : 1.1 & 1.2 / 8.1 / 43 / 45

Catégories de constructionType d’examen A B1 B2 C

Notes

RT ou UT 25% 5% 0% 0% Note a

b1 )

PT ou MT 10% 0% 0% 0%

Groupes de matériau : 1.3 & 1.4 / 2 / 4 / 8.2 & 8.3 / 9 / 10 / 21 / 22 / 31 à 35 / 37


Notes

b2 )

RT ou UT 50% 10% 5% 0% Note a

PT ou MT 25% 5% 5% 0%

b3 ) Groupes de matériau : 3 / 5 / 6 / 7.1 & 7.2 / 11


Notes

RT ou UT 100% 20% 10% 0% Note a

b4 ) PT ou MT 100% 20% 5% 0%

Notes et remarques

● La valeur maximale de a est donnée en F1.3.4.3.3 et F11.3.4.3.3.

● Dans le cas d’une soudure exécutée d’un seul côté, la soudure est exécutée sans support ou avec insert fusible ou sur support non fusible éliminé après soudage.

Note a :

Note 1 : Les prescriptions des paragraphes F1.3.3.1 et F11.3.3.1 relatives au raccordement entre 2 pièces d’épaisseurs différentes doivent être respectées.

Note 2 : En cas de sollicitations variables nécessitant une analyse à la fatigue conformément aux règles de la Section C11.

Ce pourcentage doit couvrir au minimum la totalité des intersections des soudures d’assemblages longitudinaux et circulaires. La longueur contrôlée de part et d’autre d’une intersection doit être de 50 mm au minimum. La disposition des films doit être telle que les soudures longitudinales soient contrôlées préférentiellement. Lorsque cela est nécessaire pour atteindre le pourcentage requis, des zones supplémentaires de soudure d’assemblage bout à bout doivent être choisies aléatoirement ou en fonction des difficultés de réalisation de l’assemblage.


7037






Notes

RT ou UT 25% 5% 0% 0% Note a

b1 )

PT ou MT 10% 0% 0% 0%



Notes

b2 )

RT ou UT 50% 10% 5% 0% Note a

PT ou MT 25% 5% 5% 0%



Notes

RT ou UT 100% 20% 10% 0% Note a

b4 ) PT ou MT 100% 20% 5% 0%

Notes et remarques



Note a :





7037






Notes

RT ou UT 25% 5% 0% 0% Note a

b1 )

PT ou MT 10% 0% 0% 0%



Notes

b2 )

RT ou UT 50% 10% 5% 0% Note a

PT ou MT 25% 5% 5% 0%



Notes

RT ou UT 100% 20% 10% 0% Note a

b4 ) PT ou MT 100% 20% 5% 0%

Notes et remarques



Note a :





7037






Notes

RT ou UT 25% 5% 0% 0% Note a

b1 )

PT ou MT 10% 0% 0% 0%



Notes

b2 )

RT ou UT 50% 10% 5% 0% Note a

PT ou MT 25% 5% 5% 0%



Notes

RT ou UT 100% 20% 10% 0% Note a

b4 ) PT ou MT 100% 20% 5% 0%

Notes et remarques



Note a :




CODETI Division 1 : 2013 • Partie CE – CONTRÔLES - ESSAIS - INSPECTION Annexe CEA9 – CONTRÔLE ULTRASONORE PAR TRADUCTEUR MULTIÉLÉMENTS

7144

e i p

b

a

Figure CEA9.1.2.2-2 - Schéma d’un traducteur multiéléments.

Comme les traducteurs classiques mono-éléments, les traducteurs multiéléments peuvent être utilisés avec un sabot droit ou incliné. Il est à noter que le sabot peut être mis en forme pour s’adapter à la géométrie de la pièce à contrôler et ainsi assurer un bon couplage du traducteur.

Il existe également des traducteurs dont les réseaux d’émission et de réception sont séparés. (voir Figure CEA9.1.2.2-3)

Figure CEA9.1.2.2-3 - Formes de traducteurs.

L’ouverture du traducteur dépend du nombre d’éléments utilisés lors du contrôle. L’ouverture maximale du traducteur est obtenue en utilisant l’ensemble des éléments du réseau. Elle est définie par la relation suivante :

iepnOuverture −=

CEA9.1.2.3 - Lois de retards

Les éléments du traducteur multiéléments sont pilotés électroniquement en appliquant un déphasage à l’émission entre les éléments.

L’ensemble des retards appliqués à un réseau constitue une loi de retards.

Les ondes générées par les différents éléments forment, grâce aux interférences constructives, un front d’onde se déplaçant dans une direction qui dépend de la loi de retards. Ces lois de retards sont calculées en fonction du parcours sonore des ondes élémentaires pour atteindre le point souhaité. Dans la pratique, le calcul des lois de retards est effectué par l’appareil ultrasonore multiéléments, en fonction de la configuration établie.

Les lois de retards sont généralement appliquées à l’émission et à la réception.

A l’émission, les lois de retards permettent notamment de :

− Défléchir (dévier angulaire) le faisceau suivant une direction donnée (loi de retards de déflexion, voir Figure CEA9.1.2.3-1).

Figure CEA9.1.2.3-1 - Loi de retards de type déflexion.

− Focaliser le faisceau en un point donné (loi de retards de focalisation, voir Figure CEA9.1.2.3-2).

Figure CEA9.1.2.3-2 - Loi de retards de type focalisation.

CODETI Division 1 : 2013 • Partie CE – CONTRÔLES - ESSAIS - INSPECTION Annexe CEA9 – CONTRÔLE ULTRASONORE PAR TRADUCTEUR MULTIÉLÉMENTS

7144

e i p

b

a

Figure CEA9.1.2.2-2 - Schéma d’un traducteur multiéléments.

Comme les traducteurs classiques mono-éléments, les traducteurs multiéléments peuvent être utilisés avec un sabot droit ou incliné. Il est à noter que le sabot peut être mis en forme pour s’adapter à la géométrie de la pièce à contrôler et ainsi assurer un bon couplage du traducteur.

Il existe également des traducteurs dont les réseaux d’émission et de réception sont séparés. (voir Figure CEA9.1.2.2-3)

Figure CEA9.1.2.2-3 - Formes de traducteurs.

L’ouverture du traducteur dépend du nombre d’éléments utilisés lors du contrôle. L’ouverture maximale du traducteur est obtenue en utilisant l’ensemble des éléments du réseau. Elle est définie par la relation suivante :

iepnOuverture −=

CEA9.1.2.3 - Lois de retards

Les éléments du traducteur multiéléments sont pilotés électroniquement en appliquant un déphasage à l’émission entre les éléments.

L’ensemble des retards appliqués à un réseau constitue une loi de retards.

Les ondes générées par les différents éléments forment, grâce aux interférences constructives, un front d’onde se déplaçant dans une direction qui dépend de la loi de retards. Ces lois de retards sont calculées en fonction du parcours sonore des ondes élémentaires pour atteindre le point souhaité. Dans la pratique, le calcul des lois de retards est effectué par l’appareil ultrasonore multiéléments, en fonction de la configuration établie.

Les lois de retards sont généralement appliquées à l’émission et à la réception.

A l’émission, les lois de retards permettent notamment de :

− Défléchir (dévier angulaire) le faisceau suivant une direction donnée (loi de retards de déflexion, voir Figure CEA9.1.2.3-1).

Figure CEA9.1.2.3-1 - Loi de retards de type déflexion.

− Focaliser le faisceau en un point donné (loi de retards de focalisation, voir Figure CEA9.1.2.3-2).

Figure CEA9.1.2.3-2 - Loi de retards de type focalisation.

CODETI Division 1 : 2013

3755

PARTIE C CONCEPTION ET CALCULS

SECTION C9 SUPPORTAGE

C9.1 - GÉNÉRALITÉS

C9.1.1 - Objet et domaine d’application

La présente Section spécifie les exigences relatives au dimensionnement du supportage des réseaux de tuyauteries conçus, construits et contrôlés conformément aux règles de la présente Division du Code.

Les règles de la présente Section s’appliquent aux supports réalisés à partir de matériaux conformes aux exigences de la Partie M, fabriqués en accord avec les règles de la Partie F et contrôlés suivant les règles de la partie CE.

Dans le cadre de la présente Division, le supportage est l’ensemble des dispositifs reliant la tuyauterie aux structures environnantes et permettant le transfert à ces structures des efforts générés par la tuyauterie.

Les charpentes principales ou les structures en béton auxquelles peuvent être fixés les supports ne sont pas couvertes par les règles de la présente Section (voir Figures C9.1.1-1 à C9.1.1-4).

(a)(b)(c)

(d)

(b)

(c)

(d)

(a)

(a)

(b)

(c)

(d)

(a) Tuyauterie

(b) Point fixe (grisé)

(c) Fixation à réaliser par le Tuyauteur

(d) Charpente

(a) Tuyauterie


(c) Fixation sur béton

(d) Massif en béton

(a) Charpente secondaire (fixation à réaliser par le tuyauteur)

(b) Charpente ou structure

(c) Le supportage (grisé) comporte une charpente secondaire

(d) Tuyauterie

Figure C9.1.1-1 - Point fixe assemblé à une charpente.

Figure C9.1.1-2 - Point fixe assemblé à une structure en béton.

Figure C9.1.1-3 - Support élastique assemblé à une charpente.


3755

PARTIE C CONCEPTION ET CALCULS

SECTION C9 SUPPORTAGE


C9.1.1 - Objet et domaine d’application

La présente Section spécifie les exigences relatives au dimensionnement du supportage des réseaux de tuyauteries conçus, construits et contrôlés conformément aux règles de la présente Division du Code.

Les règles de la présente Section s’appliquent aux supports réalisés à partir de matériaux conformes aux exigences de la Partie M, fabriqués en accord avec les règles de la Partie F et contrôlés suivant les règles de la partie CE.

Dans le cadre de la présente Division, le supportage est l’ensemble des dispositifs reliant la tuyauterie aux structures environnantes et permettant le transfert à ces structures des efforts générés par la tuyauterie.

Les charpentes principales ou les structures en béton auxquelles peuvent être fixés les supports ne sont pas couvertes par les règles de la présente Section (voir Figures C9.1.1-1 à C9.1.1-4).

(a)(b)(c)

(d)

(b)

(c)

(d)

(a)

(a)

(b)

(c)

(d)

(a) Tuyauterie


(c) Fixation à réaliser par le Tuyauteur

(d) Charpente

(a) Tuyauterie


(c) Fixation sur béton

(d) Massif en béton

(a) Charpente secondaire (fixation à réaliser par le tuyauteur)

(b) Charpente ou structure

(c) Le supportage (grisé) comporte une charpente secondaire

(d) Tuyauterie

Figure C9.1.1-1 - Point fixe assemblé à une charpente.

Figure C9.1.1-2 - Point fixe assemblé à une structure en béton.

Figure C9.1.1-3 - Support élastique assemblé à une charpente.


3009

PARTIE C CONCEPTION ET CALCUL

SECTION C2 DIMENSIONNEMENT DES COMPOSANTS SOUMIS À UNE

PRESSION INTÉRIEURE


Cette Section spécifie les règles de dimensionnement des composants soumis à une pression intérieure. Note : La présente Section concerne les tuyauteries aériennes, en caniveau ou en tunnel. Pour les tuyauteries enterrées, il convient de se reporter à a Section C7.

Les règles de la présente Division s’appliquent à des composants fabriqués, conformément à la Section F, à partir de matériaux définis dans la Section M.

Dans le cas où la tuyauterie est prévue pour fonctionner dans des conditions de couples pression-température variés, le couple à considérer est celui qui conduit à l’épaisseur la plus grande.

Lorsque des composants sont conformes à des normes garantissant leur résistance pour les conditions de service, ils n’ont pas à subir de nouvelle vérification.

C2.2 - TUYAU DROIT

C2.2.1 - Notations

Pour les besoins du présent Chapitre les notations suivantes s’appliquent :

De = Diamètre extérieur du tuyau (pour les tubes normalisés, le diamètre De est égal au diamètre extérieur théorique sans tenir compte des tolérances)

Di = Diamètre intérieur du tuyau (pour les tubes normalisés, le diamètre Di est égal au diamètre intérieur théorique sans tenir compte des tolérances)

Dm = Diamètre moyen du tuyau

P = Pression de calcul définie en C1.2.1.4

f = Contrainte nominale de calcul définie en Annexes GA4 et GA5

z = Coefficient de soudure défini en Annexes GA4 et GA5

C2.2.2 - Tuyau sans soudure ou comportant une soudure longitudinale

Pour De/Di ≤ 1,7, l’épaisseur de paroi minimale, e, sans surépaisseur ni tolérance, d’un tuyau droit sans soudure longitudinale (z = 1, Figure C2.2.2-1) ou d’un tuyau droit comportant une soudure longitudinale (Figure C2.2.2-2) ne doit pas être inférieure à l’épaisseur calculée à partir de l’une des formules suivantes :

PzfDPe

+=

2e (C2.2.2-1)

zfDPe

2m= (C2.2.2-2)

PzfDPe

−=

2i (C2.2.2-3)

D D Die m

Figure C2.2.2-1 - Tuyau sans soudure

De D i Dm

Figure C2.2.2-2 - Tuyau comportant une soudure longitudinale

CODETI Division 1 : 2013 • Partie C – CONCEPTION ET CALCULS Section C2 - DIMENSIONNEMENT DES COMPOSANTS SOUMIS À UNE PRESSION INTÉRIEURE

3010

Pour De /Di > 1,7, l’épaisseur de paroi minimale, e, sans surépaisseur ni tolérance, d’un tuyau droit sans soudure longitudinale (z = 1, Figure C2.2.2-1) ou d’un tuyau droit comportant une soudure longitudinale (Figure C2.2.2-2) ne doit pas être inférieure à l’épaisseur calculée à partir de l’une des formules suivantes :

+−−=

PzfPzfDe 1

2e (C2.2.2-4)

−

−+= 1

2i

PzfPzfDe (C2.2.2-5)

C2.2.3 - Tuyau soudé hélicoïdalement

Pour De /Di > 1,7, l’épaisseur de paroi minimale, e, sans surépaisseur ni tolérance, d’un tuyau droit soudé hélicoïdalement (Figure C2.2.3) ne doit pas être inférieure à la plus grande des deux valeurs calculées à partir de l’une des formules C2.2.2 ci-dessus et de la formule C2.2.3 ci-dessous :

−

+=

2

sin12

2 ϕPzf

DPe e (C2.2.3)

où :

ϕ = Angle formé par la soudure et une génératrice

ϕDe D i Dm

Figure C2.2.3 - Tuyau soudé hélicoïdalement.

C2.3 - CINTRES ET COUDES À SOUDER

C2.3.1 - Notations

Pour les besoins du présent Chapitre les notations suivantes s’appliquent :

e = Épaisseur minimale d’un tuyau droit déterminée conformément à C2.2

Rc = Rayon de cintrage

R = 2

e eD −

Reint

De

eext

c

Figure C2.3.1 - Cintre et coude à souder.

C2.3.2 - Cintres

Les épaisseurs de paroi minimales, eint et eext, sans surépaisseur ni tolérance, d’un cintre doivent satisfaire les inégalités suivantes :

– à l’intrados :

−

−≥

5,0/

25,0/

ec

ecint

DR

DRee (C2.3.2-1)

– à l’extrados :

+

+≥

5,0/

25,0/

ec

ecext

DR

DRee (C2.3.2-2)

Alternativement, l’épaisseur en tout point du cintre ne doit pas être inférieure à l’épaisseur requise pour un tuyau droit et :

a) lorsque la contrainte de calcul ne dépend pas des caractéristiques de fluage du matériau et que le rayon de cintrage est inférieur à trois fois le diamètre intérieur du tuyau, l’épaisseur à l’intrados doit satisfaire l’inégalité suivante :

−−

≥RR

RRee22

225,1 c

cint (C2.3.2a)

b) lorsque la contrainte de calcul dépend des caractéristiques de fluage du matériau et que le rayon de cintrage est inférieur à six fois le diamètre intérieur du tuyau, l’épaisseur à l’intrados doit satisfaire l’inégalité suivante :

−−

≥RR

RRee

222

c

cint (C2.3.2b)

CODETI Division 1 : 2013 • Partie C – CONCEPTION ET CALCULS Annexe C5.A1.3 – DÉRIVATIONS PAR BOSSAGES FORGÉS DE TYPE WELDOLET® EXPLOITÉES DANS LE DOMAINE ÉLASTIQUE

3171

Figure C5.A1.3.2-1

Figure C5.A1.3.2-2

CODETI Division 1 : 2013 • Partie C – CONCEPTION ET CALCULS Annexe C5.A1.3 – DÉRIVATIONS PAR BOSSAGES FORGÉS DE TYPE WELDOLET® EXPLOITÉES DANS LE DOMAINE ÉLASTIQUE

3171

Figure C5.A1.3.2-1

Figure C5.A1.3.2-2

CODETI Division 1 : 2013 • Partie G – GÉNÉRALITÉS Annexe GA5 – 1° PARTIE – MODALITÉS D’APPLICATION DE LA DIVISION 1 DU CODETI 2013 AUX TUYAUTERIES

DEVANT RÉPONDRE AUX EXIGENCES ESSENTIELLES DE SÉCURITÉ DE LA DIRECTIVE EUROPÉENNE ÉQUIPEMENTS SOUS PRESSION 97/23/CE ET DE SES TRANSPOSITIONS EN DROITS NATIONAUX

38

P (bar)

10 000

1000

100

10

1

0,5

0,1 1 10 100 1000 10000 DN (mm)

Tableau GA5.2.3-1 - Tuyauteries prévues pour des gaz, des gaz liquéfiés, des gaz dissous sous pression, des vapeurs ainsi que les liquides dont la pression de vapeur, à la température maximale admissible, est supérieure de 0,5 bar à la pression atmosphérique normale (1013 mbar), pour les fluides du groupe 1, lorsque le DN est supérieur à 25.

Par exception, les tuyauteries destinées aux gaz instables et qui relèveraient des catégories I ou II en application du tableau GA5.2.3-1 doivent être classées en catégorie III.

Détermination des catégories de risque

Intersection : méthode de calcul

alternative

Conception des assemblages soudés

Dimensionnement des composants

Supportage

CND : contrôle ultrasonore par traducteur multiéléments

Vue générale

CODETI 2013 - Division 1Code de construction des tuyauteries industrielles

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