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CLIN D’ŒIL « CHEZ VOUS, CHEZ NOUS »

Résidence Albert Du Bosquiel

Bondues

Résidence La Belle Epoque

Mouvaux

N° 15 MAI 2017

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A la Une : Ciné-concert Chaplin pages 3 à 5

Le mot de la directrice : Bien vivre au travail pages 6 à 9

L'activité mise en valeur : médiation animale pages 10 à 13

Patrimoine Régional : Raymond Kopa pages 14 et 15

Les nouveaux résidents pages 16 à 18

Ils nous ont quittés pages 19 à 21

Coup de projecteur sur l'entretien des locaux pages 22 à 25

Interview des résidents pages 26 et 27

L’écho des personnels page 28

Fête des anniversaires pages 29 à 31

Evènements et festivités pages 32 à 36

Les comités d’animation pages 37 et 38

Jeux et loisirs pages 39

Le mot de la fin page 40

SOMMAIRE

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A LA UNE

CINE – CONCERT CHAPLIN

Le 12 avril dernier, en soirée, six résidents d'Albert du Bosquiel et de La Belle Epoque et leurs deux accompagnateurs ont eu la chance d'assister au "Ciné-concert Chaplin" au Nouveau Siècle à Lille.

La formule consiste en la projection d'un film muet sur grand écran, l'accompagnement musical étant assuré par un orchestre en direct. Ce soir-là, c'était l'Orchestre National de Lille qui, sous la direction de Frank Strobel, interprétait la musique des deux films proposés.

Fut d'abord projeté le court-métrage muet "Charlot fait du ciné", datant de 1916. Sur une musique originale de Carl Davis, l'action se passe dans un studio de cinéma. Sur deux plateaux différents, sont jouées une pièce de théâtre dramatique et une comédie. Bientôt, les deux histoires, bien distinctes au départ, s’entremêlent en une série de quiproquos …

Vint ensuite le tour du film Le Cirque, muet également. Tourné en 1928 après Le Kid et La Ruée vers l'Or, Le Cirque est l'apogée du cinéma muet de Chaplin. Charlot, vagabond, se réfugie sous un chapiteau pendant une représentation et perturbe tous les numéros, pour le plus grand plaisir des spectateurs. Le directeur du cirque l’embauche en tant qu’homme de piste. Chaque soir, sa maladresse déchaîne l’hilarité de l’assistance et Charlot devient à son insu la vedette du spectacle…La

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musique originale du film est de Chaplin lui-même qui, en 1968, décida d'enregistrer une nouvelle version symphonique pour son film muet, n'hésitant pas à chanter lui-même certains airs.

La partition jouée ce soir-là par l'Orchestre National de Lille était celle révisée en 2003 par le chef d'orchestre et compositeur, Timothy Brock.

Charlie Chaplin n'était pas un musicien professionnel. Il avait appris le violon à l'âge de seize ans et, s'il ne suivit jamais d'études musicales poussées, sa culture musicale était très grande. Dans Le Cirque, on repère des hommages à la Danse macabre de Camille Saint-Saëns, des allusions à Séhérazade de Rimsky-Korsakov ou encore à l'ouverture de Tannhäuser de Wagner. Par ailleurs, les clins d'œil à l'univers du cirque sont nombreux : roulements de caisse claire, appels de cuivres, etc ...

Les participants ont grandement apprécié le programme et la qualité de cette sortie. Tous ont souligné leur intérêt pour cette proposition qui visait à leur propre enrichissement culturel, un but qui, dans toute la mesure du possible, doit être intégré dans l'accompagnement des personnes âgées.

Ils ont également apprécié que cette sortie puisse avoir lieu en soirée : "rentrer à presque minuit, ça ne nous arrive plus souvent !" Et ils sont très reconnaissants aux personnels qui les ont accompagnés en dehors de leurs horaires habituels de service.

La réalisation de ce projet n'aurait pu se faire sans le soutien des "Blouses Roses". L'association a en effet pris en charge la totalité du financement de l'opération. Qu'elle soit ici chaleureusement remerciée pour ce moment d'exception !

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Quelques photos de cette soirée

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LE MOT DE LA DIRECTRICE

Le Bien-vivre au travail, un défi à relever !

Conscients des préoccupations qui sont les vôtres, résidents et familles, de pouvoir compter sur des professionnels bienveillants et pleinement investis dans votre accompagnement au quotidien, il nous apparaît important de vous tenir informés de l’ensemble des actions et mesures que nous avons mises en place depuis plusieurs années pour offrir de bonnes conditions de travail aux professionnels, gage selon nous de bons soins en direction des personnes accueillies au sein de nos deux résidences.

En premier lieu, la question de l’amélioration des conditions de travail et du « bien vivre » au travail passe par

une communication entre la direction, l’équipe encadrante et l’ensemble des salariés, au sein d’espaces propices à des échanges constructifs et à la recherche de consensus entre les intérêts institutionnels et les attentes et besoins des professionnels

la recherche de pistes de solution permettant d’atteindre notre objectif : faire en sorte que les professionnels exercent leurs fonctions dans un climat de travail serein, permettant ainsi d’accompagner au mieux les personnes accueillies, selon l’adage « pas de résident heureux sans soignant heureux ».

Pour mémoire, chaque résidence est dotée d’environ 60 salariés, tous services confondus :

le service Soin comprenant un Médecin gériatre, une Cadre de santé, l’équipe infirmière et l’équipe soignante composée d’une Psychologue à temps partiel, une Psychomotricienne à temps plein, des Aides-soignants, Aides médico- psychologiques, des Assistants de Soins en Gérontologie

le service Animation vie sociale et culturelle comprenant sur chaque site 3 animateurs

les services Restauration et Hôtellerie composés de 4 cuisiniers et 4 hôteliers sur chaque site

le service Administratif comprenant 2 adjointes administratives sur chaque site,

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le service Stratégie-Performance-Qualité-Risques comprenant 2 professionnels

et le service Technique composé de 2 agents techniques sur chaque site

Chaque service a à sa tête un responsable de service, membre du Comité de Direction.

L’ensemble de ces professionnels doit se coordonner au quotidien avec un objectif commun : le bien-être des personnes accueillies.

Dans ce contexte, il n’est pas toujours simple de demander à des professionnels issus de formations diverses, de cultures professionnelles différentes, de statuts multiples (des titulaires, des contractuels, des emplois aidés, etc.), d’anciennetés différentes, de travailler en harmonie et en cohésion, dans une approche la plus personnalisée possible de l’accompagnement pour chaque personne accueillie.

C’est le défi que nous cherchons, l’équipe encadrante, le médecin coordonnateur et moi-même à relever quotidiennement.

Le Comité de Direction qui se réunit tous les 15 jours sur chaque site est justement le lieu privilégié où s’exerce la coordination entre l’ensemble des services : on y recherche notamment à résoudre les problématiques qui peuvent se poser à nous chaque jour dans l’accompagnement des personnes accueillies.

Ce travail du quotidien ne perd jamais de vue que l’amélioration des conditions de travail est une question centrale dans le développement d’un accompagnement de qualité et de sécurité pour les résidents.

Aussi et en second lieu, nous avons à cœur de réunir régulièrement (au minimum, 4 fois par an) les représentants du personnel au sein :

d’une part du Comité Technique d’Etablissement (CTE), instance qui traite des questions relatives à l’organisation du travail (plannings, fiches de poste, planification des tâches, etc.),

et d’autre part du Comité de l’Hygiène, de la Sécurité et des Conditions de travail (CHSCT).

A ces réunions régulières viennent s’ajouter les réunions de services assurées trimestriellement et les entretiens annuels d’évaluation ainsi que

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tout entretien demandé par un salarié (soit à sa hiérarchie directe, soit à moi-même). Nous mettons toujours un point d’honneur à systématiquement répondre au plus vite aux demandes d’entretien et cela afin de favoriser l’expression de chacun des salariés.

De même, après chaque période d’arrêt de travail de plus de 15 jours, tout salarié est reçu par sa hiérarchie lors d’un entretien de retour, qui offre l’opportunité à l’agent d’évoquer les conditions de son retour, mais aussi d’aborder ses éventuelles inquiétudes et/ou appréhensions bien naturelles lorsque l’on est éloigné de ses fonctions pendant quelque temps ; cet entretien de retour est aussi l’occasion de faire savoir et/ou démontrer à chaque salarié que sa présence est indispensable au bon fonctionnement de l’institution… chacun est un maillon essentiel de la chaîne de travail.

De même, 4 assemblées générales se tiennent chaque année afin de permettre l’expression libre des salariés et une communication plus directe entre la direction et les membres du personnel.

A cela, viennent s’ajouter des groupes de travail permettant de traiter des questions liées au quotidien des professionnels et à leur vécu professionnel dans l’accompagnement des personnes que nous accueillons, pour certaines atteintes de la maladie d’Alzheimer. Ainsi, la Commission bientraitance qui se réunit tous les 3 mois environ est l’occasion d’échanger sur les pratiques professionnelles et les questionnements éventuels, d’ordre parfois éthique, que soulève l’accompagnement de personnes très âgées, dépendantes, et pour certaines malades.

En troisième lieu, la Responsable Qualité-Gestion des Risques travaille au sein de la Cellule Qualité, en collaboration avec l’ensemble des responsables de service et les membres du CHSCT, sur le Document Unique de Prévention des Risques Professionnels, dont un volet particulier est consacré à la prévention des RPS (risques psycho sociaux), volet que nous traitons depuis plusieurs mois en lien avec un ingénieur de la CARSAT et qui nous amène à la réalisation d’un pré-diagnostic des RPS, pour ne citer que cet exemple.

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Mais également un volet dédié à la prévention des lombalgies et troubles musculo squelettiques au sujet desquels les axes de prévention relèvent essentiellement d’acquisition de matériels pour aider les professionnels à mobiliser les résidents mais également les formations de type « école du dos ».

C’est ainsi qu’un programme de formation est consacré à cet axe mais également à d’autres thématiques concourant à l’amélioration de la vie au travail, de type : gestion du stress, prévention des risques psycho sociaux, etc.

Enfin, nous proposons depuis plusieurs mois, des séances de réflexologie plantaire et des séances « snoezelen », à destination du personnel, à titre gratuit, dispensées par les psychomotriciennes qui ont été formées et sont diplômées.

Plus récemment, un professionnel de l’équipe d’animation sur le site de Mouvaux, formé à cette discipline, a proposé un projet de mise en route de séances de sport hebdomadaire à destination des professionnels, séances prises en charge sur le budget de l’établissement et avec le concours de la ville de Mouvaux, mettant à disposition la salle Richmond. Ces séances de sport ont principalement vocation à offrir aux professionnels la possibilité d’exercer une activité physique, de développer la cohésion du groupe, générant des impacts très positifs sur l’esprit d’équipe au travail mais également travailler sur les gestes et postures pour lutter par exemple contre les lombalgies.

L’ensemble de ces actions et leurs effets sur l’amélioration des conditions de travail et la qualité de vie au travail est évalué au travers d’une enquête annuelle à destination des professionnels. Il ressort de cette enquête annuelle un Plan d’action suivi année après année.

Au-delà du travail accompli depuis plusieurs années avec le concours de certaines instances internes et les professionnels eux-mêmes et en particulier l’équipe encadrante, nous souhaitons poursuivre cette démarche dans le cadre du Projet d’établissement 2017-2022.

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UNE ACTIVITE MISE EN VALEUR

INTERVENTION DE LA SPA

“L’animal apporte une chose en plus : sa fidélité et son

désintéressement. Un amour total. Un amour sans frontières, sans fin. ” Brigitte Bardot

Des membres de la section de Tourcoing de la S.P.A. (Société Protectrice des Animaux) sont intervenus au sein de la résidence La Belle Epoque le mercredi 22 mars. Créée en 1845 la S.P.A. est historiquement en France la première des sociétés de protection des animaux. Elle gère des refuges, des fourrières, ainsi que des dispensaires de soin aux animaux. Avec d'autres organisations elle lutte également contre :

La corrida

L’expérimentation animale

L’exploitation de la fourrure animale

Et toutes autres formes de maltraitance.

Le but était que chaque résident puisse comprendre le travail important de la protection animale tout en profitant d’un moment agréable en compagnie de « Capone », un American Staffordshire Terrier âgé de dix ans.

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Bien que cette race de chiens de combat soit souvent victime de nombreux préjugés, la présence de Capone a été un moment de tendresse et de bonheur. Cet échange privilégié et affectif avec l'animal a procuré aux résidents présents apaisement et réconfort. Même les plus réservés ont pu se laisser aller et profiter de cette rencontre.

Ceux qui le souhaitaient en ont même conservé un souvenir photographique immédiat, l'équipe bienveillante de la S.P.A. ayant réalisé quelques clichés à l'aide d'un appareil Polaroïd.

Un beau moment d'échange, de partage et de joie, le tout dans un esprit de convivialité.

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MEDIATION AVEC COOKIE Le 8 avril dernier, la résidence Albert du Bosquiel a reçu un visiteur à quatre pattes nommé Cookie.

Le jeune cocker âgé de trois ans accompagnait sa maîtresse, Noémie, animatrice dans l'établissement.

Celle-ci souhaitait ainsi rétablir un lien avec des personnes empêchées pour des raisons diverses de participer aux animations proposées quotidiennement.

Les objectifs de cette présence du chien sont nombreux :

- Sur le plan cognitif : stimuler la mémoire (se souvenir du nom du chien, sa race, son âge…), stimuler la communication non verbale, faire appel aux souvenirs, amener les résidents à partager leur propre expérience, stimuler l'attention, la concentration par toutes sortes de jeux avec l’animal.

- Sur le plan relationnel : responsabiliser les résidents (soin apporté au chien) canaliser et temporiser leur troubles du comportement, favoriser une relation d’échange valorisante avec l’animal.

- Sur le plan moteur : stimuler la mobilité des membres supérieurs (lancer la balle, brosser le dos, la tête, les pattes, mettre le collier ou la laisse…), préserver l’autonomie à la marche (balade avec le chien).

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Noémie s'est proposée à venir avec Cookie un après-midi par semaine et à rendre visite dans leur chambre à certains résidents auxquels elle proposera diverses activités en sa compagnie et avec sa participation.

La première rencontre ayant rencontré un grand succès, Cookie a lui aussi manifesté sa joie par de sonores "Ouaf, Ouaf...!"

Un rien "cabot", l'animal ! ! !

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PATRIMOINE REGIONAL

Raymond Kopa

Le mineur de fond

Issu d’une famille d’immigrés polonais venus travailler dans les mines du Nord de la France, Raymond Kopa (de son vrai nom Kopaszewski) est né en 1931 à Nœux-les-Mines. Comme son père et son frère, à la fosse 2 de cette même ville, il commence par être mineur.de fond. Il a alors 14 ans. Dans son autobiographie publiée en 2006, il raconte : «J’étais rouleur : je remplissais les berlines, je chargeais tout, je faisais remonter ». A16 ans, alors que joueur de football amateur, il évolue à l'U.S. Noeux les Mines, il est tout proche de perdre sa main lors d’un éboulement dans la mine : la phalange de son index gauche est sectionnée. Il écrit : « L’ingénieur de cette mine, c’était le président du club où j’évoluais. Il aurait pu faire le nécessaire pour me trouver un meilleur emploi , mais il ne l’a pas fait. C’était un con !». Après cet accident, il ne retournera plus sous terre et se consacrera pleinement à sa passion pour le football.

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Le footballeur

Repéré par le SCO Angers et le Stade de Reims lors du concours du jeune footballeur 1949, il signe un contrat professionnel avec le club angevin.

Le milieu de terrain offensif fera ensuite le bonheur du Stade de Reims, un club avec lequel il remporte le Championnat de France à quatre reprises. Mais c’est entre 1956 et 1959, lors de son passage au Real Madrid, considérée alors comme la meilleure équipe du monde, que Raymond Kopa décroche ses plus grands titres européens, avec trois victoires en Coupe d’Europe.

Lors de la Coupe du Monde 1958, sélectionné en équipe de France, Raymond Kopa est nommé meilleur joueur de la compétition. Petit et rapide, il fut l'un des meilleurs buteurs de l'histoire de l'équipe de France.

Il fut également le premier Français à obtenir le titre de « Ballon d'Or ».

Sur une proposition de Monsieur Plouvier, résident à Bondues.

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LES NOUVEAUX RESIDENTS

MADAME JEANNE DESQ

Elle est née le 28 septembre 1933, elle est entrée le 27 février 2017 à la résidence Albert du Bosquiel. C’est une personne très souriante qui n’hésite pas à apporter son aide à ceux qui en ont besoin. Elle participe à l’ensemble des animations que propose le service. Nous vous invitons à faire plus ample connaissance avec elle dans le corps de ce journal.

MADAME DENISE ARUTKIN

Elle est arrivée à la résidence le 18 avril 2017. Elle est née le 29 juillet 1939. Elle vivait à Roubaix et a un fils. C’est une dame très discrète, peu bavarde mais qui s’investit déjà pleinement dans les différentes animations qu’on lui propose.

MADAME CHRISTINE DODIN

Elle est née le 18 février 1946, elle nous a rejoints le 10 mai 2017. Elle vivait depuis deux ans Au Jardin des Sens à Linselles. Elle dit aimer la lecture et la musique.

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MADAME BRIGITTE DECANTERE

Elle est arrivée au sein de la résidence le 17 février dernier. Mouvalloise depuis des années, elle a vécu aussi en Algérie du temps de la colonisation. Elle a eu trois enfants, qui lui ont donné 10 petits-enfants et 2 arrière-petits-enfants. Toujours dynamique et souriante, Brigitte s’est facilement intégrée et elle participe à de nombreuse activités proposées.

MADAME LAURENCE LEFEBVRE

Elle nous a rejoints le 6 mars 2017. Ses centres d’intérêts sont le dessin et surtout la lecture (notamment les policiers de Marie Higgins Clark). Elle aime aussi la musique et plus particulièrement les chansons de Charles Aznavour.

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MONSIEUR JEAN DUPRELLE

Il est arrivé à la résidence le 2 mai. Il vivait à Mouvaux avec sa femme et ses trois enfants. Ancien commerciale, c’est un grand passionné de musique. Il faisait partie de l’Harmonie Municipale de Mouvaux dans laquelle il jouait du saxo.

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ILS NOUS ONT QUITTES

MADAME MARIE-LOUISE GRYSON Elle nous a quittés le 19 février 2017. De nature discrète, elle passait l’essentiel de ses journées au sein du lieu de vie, profitant quand elle le souhaitait des animations proposées. Elle parlait souvent de sa famille dont elle appréciait les visites.

MONSIEUR JACQUES DELTOUR

Il nous a quittés le 14 mars 2017 à l’âge de 77 ans. Arrivé en juin 2016 au sein de la résidence il y a très vite trouvé sa place et a vite été aimé et apprécié de tous. Nous garderons de lui cette envie qu’il avait de profiter de chaque jour et ce malgré ses difficultés.

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MADAME CHRISTIANE MULIEZ

Elle nous a quittés le 21 avril 2017, elle était à la résidence depuis le 19 février 2015. Toujours souriante et d’humeur égale nous gardons le souvenir d’une dame joyeuse, aimant la vie et le contact humain

MADAME PHILOMENE DESMARESCAUX

Elle nous a quittés le 5 mai 2017 à l’âge de 95 ans. Très entourée de sa famille elle aimait leur visite régulière. C’était une dame pleine de joie de vivre qui aimait le contact des résidents et des professionnels.

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MADAME ROSANE DEBISSCHOP

Elle nous a quittés le 25 mars, elle était à la Résidence depuis le 7 mai 2007. C’était une dame charmante qui appréciait autant le calme de sa chambre que les animations. Elle aimait essentiellement les fêtes des anniversaires et les jeux de questions avec les Blouses Roses.

MADAME THERESE SAINTELIER

Madame Saintellier est décédée le 9 avril 2017 à l’âge de 94 ans. Cela faisait 7 ans qu’elle habitait la résidence. Ancienne bonduoise elle affectionnait tout particulièrement le calme de sa chambre. C’était une personne très optimiste, très investie dans la vie de la résidence : elle était représentante des résidents au CVS, la suite logique de son passé de syndicaliste.

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COUP DE PROJECTEUR SUR

L'entretien des locaux

Pour que chaque personne accueillie bénéficie d'un environnement propre et confortable au sein des résidences, il importe qu'un soin tout particulier soit apporté à l’ensemble des opérations d’hygiène et de propreté tant dans les chambres que dans les espaces communs.

Jusqu'à il y a environ deux ans, tant à Bondues qu'à Mouvaux, le nettoyage était assuré par le personnel propre aux résidences. Suite aux remontées d'observations tant de la part des résidents ou de leurs familles que de celle des personnels chargés de ces tâches, la décision a été prise de faire appel à une société de services extérieure, à savoir ELIOR Services, une entreprise spécialiste de l'hôtellerie de santé.

Les missions

Elles consistent à assurer le nettoyage :

- des chambres des résidents,

- des lieux de vie,

- des locaux techniques

- des bureaux et des espaces communs.

Les prestations assurées sont décrites dans des protocoles précisant la nature et la fréquence des interventions réalisées dans les différents locaux.

Seuls les restaurants, les lingeries et l'accueil de jour à Bondues restent de la responsabilité des personnels des résidences. A noter également qu'un nettoyage "à fond" de chacune des chambres est effectué une fois l'an par le personnel soignant.

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L'organisation

1. Les personnels

Ils sont tous qualifiés en hygiène hospitalière et ont reçu une formation aux "relations et comportements en établissement de santé".

A Bondues, ce sont quatre personnes qui interviennent 7 jours sur 7 alors qu'à Mouvaux leur présence est de cinq personnes 6 jours sur 7. A noter que ce sont uniquement des dames qui accomplissent ce travail ! Leurs horaires de prestations s'étalent de 7 h 00 du matin à 15h30 l’après-midi

Les intervenants d'Elior se voient attribuer un secteur géographique dans chaque résidence, dans le but de favoriser un rapport de proximité plus chaleureux entre professionnels et résidents.

Lorsqu'un résident change de chambre ou suite à un départ, les personnels de la société prennent en charge le "grand nettoyage" et la désinfection de la pièce.

Dans un souci d'harmonisation des rapports entre la société et les résidences, deux interlocuteurs permanents ont été désignés : pour les EHPAD, Séverine Couronnel en sa qualité de "responsable hôtelier" et pour la société Elior, une responsable d'exploitation et qualité.

2. Le bio nettoyage

Les produits

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Certains résident(e)s se sont étonnés : "on ne connaît pas les marques " ou bien "vous croyez qu'elles utilisent de l'eau de Javel ?". En effet les produits utilisés ne sont pas les mêmes que ceux qu'ils ou elles avaient l'habitude d'employer ; ils doivent répondre à des dispositions réglementaires et des spécifications particulières (par exemple, éco labellisation et pas de "sigle de risque").

Le matériel Qu'il soit destiné au balayage ou à l'essuyage humide, à l'aspiration, au lavage ou au décapage, le matériel employé est adapté aux contraintes particulières des locaux.

La certification et le contrôle L'ensemble du référentiel Elior Services Santé est vérifié par l'Institut Pasteur de Lille. Un protocole est défini pour chacune des interventions effectuées et des feuilles de traçabilité valident l'exécution des tâches. Les contrôles sont suivis mensuellement ou par "visite surprise".

Témoignages de résidents :

Une dame nous confie :" Moi, je ne me plains pas ! Je trouve que tout est très propre et je suis contente du travail effectué".

Un monsieur renchérit :"Je suis très satisfait ... tant pour ma chambre que pour la propreté des locaux communs ... bravo au personnel !"

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Et, pour que tout un chacun sache à qui "il a affaire", voici ces personnes qui contribuent largement, elles aussi, au confort et au bien-être des résidents.

L’équipe de Bondues est composée de Leila, Valérie, Virginie et Sonia

L’équipe de Mouvaux est composée d’Emilia, Sandrine et Marine

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INTERVIEWS DE RESIDENTS

MADAME BRIGITTE DECANTERE

Elle est née à Mouvaux le 9 novembre 1933. Mariée à un gendarme, elle a été amenée à le suivre lors de ses affectations en Algérie avant la décolonisation. Ils y ont séjourné pendant trois ans, dans la ville de Medea, à soixante kilomètres au sud ouest d' Alger, et à Boukhari, un peu plus au sud. Elle garde un excellent souvenir de cette période, en particulier du climat ensoleillé ainsi que des rencontres avec les chameaux dans les paysages désertiques. Deux de ses trois enfants y sont nés. A son retour en métropole, son mari a été plusieurs années caserné dans le Cantal puis dans tant de lieux différents qu'elle éprouve des difficultés à se les remémorer tous. "On a déménagé tellement de fois qu'on avait toujours des cartons qu'on n'avait même pas le temps de déballer ...! " nous dit-elle en riant. Après une dernière affectation à Arras, le temps de la retraite venu, la famille est revenue dans le Nord. A la Belle Epoque, elle s'habitue progressivement à son nouvel environnement. "On s'occupe bien de nous ... on est bien soignés..." observe-t-elle. Elle estime être bien entourée par un personnel qu'elle qualifie de "très gentil" et elle ajoute : "pour les repas, je ne suis pas difficile et c'est bon... alors ! Il n'y a rien à redire ! ". Et, si nécessaire, je ferais mes observations ... franco ! J'ai mon caractère !".

Elle apprécie les propositions d'animation diverses et elle est toujours partante pour y participer. Elle a déjà eu l'occasion de se rendre à Bondues et elle attend avec impatience les beaux jours pour les sorties extérieures.

Souhaitons-lui de "faire son nid" le plus agréablement et le plus longtemps possible au sein de la résidence.

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MADAME JEANNE DESQ

Née le 28 septembre 1933, Madame Desq a passé la plus grande partie de son enfance au Maroc et en Algérie avec ses 2 sœurs et son frère. Le travail de son père dans l'hôtellerie amenait la famille à changer très régulièrement de domicile. De cette période elle garde un souvenir particulier des déserts du Sahara. A l’école ses professeurs se sont très vite rendu compte de son don pour la peinture et ils l’ont donc encouragée à poursuivre des études dans ce domaine.

Jeune fille elle a déménagé à Paris où elle a été élève de l’Ecole Supérieure d'Arts Appliqués Duperré pendant environ deux ans.

Elle nous confie que, bien que son talent ait été manifeste et reconnu, elle n'en a pas réellement fait une profession. Elle a travaillé un peu dans la mode en faisant des croquis de vêtements au fusain. Elle répondait à des commandes ponctuelles mais jamais pour un établissement défini.

Le reste du temps elle s’est consacrée à l'éducation de ses deux enfants, un garçon et une fille, tout en continuant à s'adonner, mais pour le plaisir, à sa passion de la peinture.

A la résidence, elle a accroché quelques unes de ses œuvres dans sa chambre. Elle nous explique qu’elles relèvent de la technique de l’aquarelle qu'elle a toujours privilégiée par rapport à la peinture à l'huile. Elle travaillait autant sur le motif (principalement pour les paysages) qu'en atelier (portraits, bouquets, natures mortes ...).

Quelques exemples de son talent

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L’ECHO DES PERSONNELS

Nous sommes heureux de vous annoncer la naissance d’Henry, né le 10 avril, fils d’Hélène Duthoit, aide soignante à la résidence Albert du Bosquiel

Arrivée d’une nouvelle Blouses Rose à la Belle Epoque, Madame Jacqueline Fouquet. Elle habite Mouvaux et après avoir accompagné sa maman pendant de nombreuses années elle a souhaité poursuivre son investissement auprès des personnes âgées au sein de l’EHPAD.

Et souhaitons à Antoine Rance un bon retour à l’EHPAD d’HEM. Il a terminé sa mission d’accompagnement des équipes et de mise aux normes des cuisines et passe le relais à Thierry à Bondues et à Cécile à Mouvaux, qui endossent la responsabilité du service de restauration. Le vendredi 28 avril, Madame Ruget et ses collègues de travail l’ont chaleureusement remercié autour d’un pot.

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FETES DES ANNIVERSAIRES

JANVIER

La fête a été animée par Martin, un chanteur talentueux. Un après midi festif pour tous les résidents qui ont poussé la chansonnette

C’est Aymeric qui a mis le feu à la Belle Epoque

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FEVRIER

Pour cette fête des anniversaires nous avons eu le plaisir de recevoir une nouvelle fois Titi qui nous a interprété de grands classiques de la chanson française.

On prend les mêmes et on recommence !!

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MARS

Nous avons accueilli l’association KAIDINA pour une après-midi toute en percussions ! Oreilles sensibles, s’abstenir !

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EVENEMENTS ET FESTIVITES

L’atelier floral L’Unité de Vie Alzheimer a fêté l’arrivée du printemps lors d’un atelier floral très aérien.

Réalisation de suspensions avec du gypsophile rose, du santini vert et d’autres fleurs.

Un moment tout en détente qui a attiré nez et regards !

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CARNAVAL AVEC LA MAISON DE L’ENFANCE Le 13 avril nous avons fêté le carnaval avec les « bouts de chou » de la Maison de l’Enfance

L’occasion pour les enfants et le personnel de se déguiser. Mais aussi pour les résidents de se vêtir de leur plus beau couvre-chef !

Un moment convivial et festif avec une dégustation de délicieuses crêpes.

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Les repas comme chez soi

En moyenne une fois par mois les animateurs proposent aux résidents de réaliser un menu, de faire les courses et de confectionner ensemble un repas. L’idée est de casser la routine du repas au restaurant et aussi d’être acteur à part entière dans la conception et confection d’un repas comme autrefois à la maison. Ici les résidents avaient envie d’une raclette, mets jamais proposé en collectivité du fait de la complexité de la mise en œuvre. Une autre fois les résidents ont réalisé une pierrade qui a régalé tout le groupe des convives. Cette proposition rencontre un très grand succès et sera pérennisée.

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Le banquet du printemps Il s’est déroulé le dimanche 19 mars, dans les salons Bosire, à Tourcoing. un bon moment pour les résidents qui ont savouré un vrai repas de fête : foie gras, langue de bœuf, florilège de fromages et café gourmand…

Les animateurs qui ne manquent pas une occasion pour trinquer et faire la fête avec les résidents…..

Sans oublier les rencontres d’anciens amis venus nous saluer.

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Des visites traditionnelles Le 1er mai : du Rotary Club

Le 8 mai : l’Harmonie Municipale

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COMPTE RENDU DES COMITES D'ANIMATION

A Mouvaux le vendredi 30 mars

Les évènements passés

Dans l’ensemble les résidents se disent satisfait de ce début d’année. Lors de la cérémonie des voeux ils ont aimé la rétrospective de l'année en photos : « ça rappelle des bons souvenirs ».

La présence au forum des aînés, en mars, offre l'occasion d'une belle vitrine pour présenter les activités de l’EHPAD, même si il n’y a pas forcement d’impact direct sur le nombre de dossiers déposés par la suite.

Au banquet du printemps les participants ont apprécié l' ambiance musicale et le très bel accueil.

Au service animation

Nadia LEMDANI a réintégré le service en qualité d'animatrice après un arrêt d'une année. Le poste d’agent de convivialité qu'elle occupait avait alors été remplacé par le poste d’agent d’accompagnement, un poste spécialement mis en place pour la prise en charge des résidents déambulants avec un fort risque de fugues. Le service animation est donc aujourd’hui composé d’une coordinatrice animation à mi-temps sur les sites de Bondues et de Mouvaux, d’une animatrice à mi-temps et deux animateurs à temps plein.

Festivités Après les traditionnels "brins de muguet" du Rotary le 1er mai et l'offrande musicale de l'Harmonie Municipale le 8 mai, les résidents pourront participer au Voyage des Ainés organisé par le C.C.A.S. et à destination d'Amiens le 6 juin.

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Sorties Les résidents présents au comité ont souhaité mettre au programme des sorties de cet été : la Nougaterie de la Madeleine, une séance de Bowling, visiter une ferme et bien sûr aller à la mer avec la dégustation d’une moules frites au restaurant.

A Bondues le mardi 27 mars

Reprise du partenariat avec l'Ecole de Musique.

L’EHPAD a accueilli une vingtaine de jeunes âgés de 8 à 20 ans ainsi que leurs parents pour une audition très appréciée.

Reprise également des Vendredis du Printemps. Avec le CCAS.

Il s’agit de la mise en place d’activités et ou de sorties proposées par la Mairie et auxquelles les résidents de l’EHPAD peuvent participer après inscription.

L’ouverture de l’accueil de jour. Il a ouvert le 28 mars 2017. Sont présentées les deux hôtesses ainsi que le planning type. Un débat est engagé sur la participation des usagers de cette nouvelle unité aux activités mises en place dans les unités de vie.

Les projets en cours Le projet médiation avec l’animal :

Un moyen d’aller à la rencontre des résidents isolés, leur redonner le sourire, leur donner envie de partager, les intégrer progressivement dans les activités journalières. Une première rencontre avec Cookie, un cocker de trois ans, a eu lieu en avril.

Propositions de sorties : Les propositions relatives soit à une sortie au Parc Paridaisa en Belgique, soit à la programmation de baptêmes de l'air, nécessiteraient une contribution financière conséquente des participants. Il est aussi suggéré une visite aux Compagnons des saisons à Wambrechies ; quant à la possibilité de faire du pédalo aux Prés du Hem, il faudra étudier les conditions de sécurité d'une telle activité.

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HISTOIRES DROLES

L'institutrice interroge la classe :

Comment s'appelle la femelle du lapin ? La lapine, m'dame ! Comment s'appelle la femelle du hibou ? La chouette, m'dame ! Comment s'appelle la femelle du hamster ?

Toto :

Hamsterdam, m'dame !

Deux amis, assez portés sur la boisson, discutent au bar :

Tu as remarqué comme les distances, c'est quelque chose de relatif ?

Comment ça ? De chez moi au bar, je mets 10 minutes. Ben, au

retour, je mets une heure ...

Deux chasseurs s'avancent dans un bois à la recherche de gibier. Subitement, l'un des deux tombe à terre, inanimé, la main crispée sur le cœur. L'autre chasseur saisit aussitôt son portable et appelle la gendarmerie :

Allo, mon copain vient d'avoir une crise cardiaque. Que dois-je faire ? Je crois qu'il est mort ...

Pas de panique, assurez-vous d'abord qu'il est bien mort ... Attendez une seconde ...

Le chasseur tire un coup de feu et dit :

- Voilà, je pense que c'est bon. Maintenant, je fais quoi ?

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LE MOT DE LA FIN

Il n’y a pas de chemin, le chemin se fait en marchant

Antonio Machado (poète espagnol 1875-1939)