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P A R C N A T U R E L R É G I O N A L D E S C A P S E T M A R A I S D ’ O P A L E

Parcs naturels régionaux de France Charte d’utilisation du logotype – septembre 2013 – 15

1.2 Le positionnement « Une autre vie s’invente ici »la typographie

Une autre vie s’invente iciRidemybike pro

A B C D E F G H I J K L M O N P Q R S T U V W X Za b c d e f g h i j k l m o n p q r s t u v w x z

CHOISIR LES BONNES COULEURS ET LES BONS GABARITS

1 POURQUOI CHOISIR CERTAINES COULEURS ET GABARITS

Chaque territoire possède ses propres particularités architecturales : des types de fenêtres différents, des toits d’une certaine pente ou encore des tuiles de couleur rouge orangée…

En tant qu’habitant, chacun participe à l’image de sa commune en y construisant ou rénovant sa maison. Pour continuer à vivre dans un village de caractère et à l’architecture harmonieuse, chaque projet doit donc être mûrement réfléchi.

Les documents d’urbanisme, tel que le Plan Local d’Urbanisme règlementent les gabarits des nouvelles constructions : hauteur, volume, implantation…

Les bonnes questions A se poser

x Quelles sont les règles inscrites dans les documents d’urbanisme? x Comment sont les bâtiments voisins ?x Quelles sont les particularités architecturales de la commune ?

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H7AVOIR TOUTES LES CARTES EN MAIN POUR REUSSIR SON PROJET D’HABITAT

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A l’échelle du projet, le bon choix des couleurs et du gabarit apporte de nombreux avantages : x La commune se construit une identité propre : il est plus agréable de vivre dans un village de caractère qu’au milieu de rues sans aucune cohérence architecturale*.

x À l’échelle du quartier ou de la commune, des couleurs et gabarits en harmonie avec leurs voisins participent à la qualité paysagère et donc au cadre de vie de ses habitants.

x Le quartier est plus vivant : les maisons peuvent communiquer entre elles, bien plus que de simples pavillons standardisés où la voiture ne fait que passer.

x Le projet et donc le bien immobilier prend plus de valeur s’il est bien intégré à son environnement architectural, dans un quartier agréable.

Dans ce quartier les maisons sont toutes identiques : le paysage est monotone, sans végétation et sans identité.

Les bâtiments de forme traditionnelle allongée s’organisent autour d’un espace central qui favorise la convivialité. Les couleurs et la végétation donne du caractère au quartier.

2 COMMENT CHOISIR LES BONNES COULEURS ET LES BONS GABARITS?

Le gabarit de la nouvelle construction reprend les formes et volumes des maisons voisines.

Le plus important est de préserver les vues depuis la rue : x en respectant l’implantation en alignement, en façades ou en pignon sur rue, x en s’inspirant des gabarits et des volumes voisins, de leur rythme de façades, du rythme des ouvertures …

Construire et rénover sur la terre des 2 caps

S’ACCORDER AVEC LES CONSTRUCTIONS VOISINES

Pour une bonne cohérence architecturale, les proportions doivent rester harmonieuses : un volume principal bien lisible et des annexes ou décrochements plus discrets.

La compacité d’un volume dépend de la surface de ses murs en contact avec l’extérieur : les murs extérieurs laissent s’échapper la chaleur du foyer.

Les lucarnes doivent etre dans le prolongement du mur et de taille plus réduite.Les chassis de toit, plus discrets, évitent les fautes de gout.

DES OUVERTURES ALIGNÉES

Les ouvertures (fenêtres, châssis de toit ou portes) doivent rester dans un style semblable et des proportions cohérentes. Pour cela elles seront alignées et centrées.

Leur taille dépendra aussi de l’exposition de la façade au soleil.

Les constructions de style moderne aiment les grandes surfaces vitrées : il est donc d’autant plus important de bien réfléchir à la performance thermique de la maison.

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Les volumes doivent rester :x compacts : pour suivre les principes du bioclimatisme et économiser son budget,

x sobres : pour s’accorder avec l’identité du territoire. Un volume imposant sera trop visible.

DES VOLUMES SOBRES

La forme traditionnellement allongée n’est pas la plus compacte, mais elle assure une plus grande surface au sud pour profiter de l’éclairage et de la chaleur naturel du soleil.

Le principe de sobriété ne doit pas nuire à l’identité de la commune. Les maisons de maître par exemple sont souvent imposantes. Sur le littoral les constructions balnéaires ont aussi une architecture très travaillée :elles sont révélatrices d’une époque. Il est aujourd’hui préférable de faire appel à un architecte pour construire des gros volumes.

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S’INSPIRER DU BÂTI TRADITIONNELLe bâti traditionnel est issu de plusieurs siècles de construction : s’il peut être amélioré par certaines nouvelles techniques, sa résistance dans le temps prouve son efficacité. Chaque particularité architecturale remplissait une fonction bien précise visant à renforcer la résistance de la construction face à l’usure ou aux intempéries.

Ce descriptif sert d’inspiration et reprend les grands principes du bâti traditionnels, leur reprise totale n’est pas obligatoire ou soutable.

Une silhouette allongée avec parfois une organisation autour d’une cour.

Les volumes sont le plus souvent bas, sans étage, avec des combles aménagés ou non.

Le pignon est souvent orienté face aux vents dominants sud-ouest. Pour protéger l’habitation, il est parfois débordant et surtout sans fenêtre.

Initialement, l’assise de la maison était toujours au plus proche du terrain naturel : le relief n’était pas modifié.

Les volumes s’adaptent ou les constructions sont fragmentées en plusieurs bâtiments.

Les toits sont inclinés entre 48 et 55°. En bord de toiture, une pente plus faible constitue un rebord appelé « coyau » qui permet de protéger les murs de la pluie.

Les tuiles à petit moule sont en forme de « S » et de couleur rouge-orangée.

Il est préférable de poser des lots de cuisson différents plutôt que des tuiles « flammées ou panachées ».

Les fenêtres traditionnelles sont plus hautes que larges et les menuiseries (portes et contrevents) sont peintes de couleur franche (rouge, vert, bleu). Des menuiseries en bois sont préconisées, ainsi que l’utilisation de volets battants pour des ouvertures de dimension traditionnelle.

Le style des conduits de cheminées peut être repris pour intégrer un poêle ou une sortie de VMC.

Les façades maçonnées sont de couleurs claires et étaient en torchis, briques, grès ou recouverte d’un enduit. Le silex servait de remplissage, pignon ou soubassement.

Très sains et résistants, ces murs étaient protégés à l’extérieur par un badigeon.

Sur les maisons en torchis, le soubassement est noir ou foncé. Il jouait le rôle de tampon* entre le terrain et la maison et s’oppose aux remontées d’eau par capillarité*.

Ce mode de construction n’étant plus repris, il peut être simplement dessiné sur la façade.Echantillon de couleurs

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Le torchis et la terre crue sont des techniques faciles à maîtriser, avec

possibilité d’autoconstruction et de chantier participatif (organisés régulièrement par le Parc naturel régional). Ce matériau respectueux de l’environnement est aussi très confortable au quotidien et peut parfaitement

s’adapter à une architecture plus moderne.

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OSER LES CONSTRUCTIONS CONTEMPORAINESLes constructions modernes sont souvent assimilées à des cubes disgracieux qui tranchent avec nos paysages ruraux. Ils sont pourtant l’occasion d’intégrer les innovations en matière d’économies d’énergies, de respect de l’environnement et de nouveaux modes de vie.

Associer les matériaux permet de marier l’ancien au nouveau. Le bâtiment, s’il associe différents matériaux, semblera moins imposant et marquera moins le paysage.

Des pans de mur, annexes ou décrochements peuvent casser l’effet massif du bâtiment et lui donner du caractère : mono-mur en brique, véranda en zinc, dépendance en bardage bois, pignon, pergola en fer forgé, loggia, appentis, toiture végétalisée…

Le réemploi de matériaux peut être l’occasion de limiter les déchets et donner du caractère en rappelant l’histoire du territoire : silex, grès, brique, bois…

Le PVC est à proscrire : une menuiserie en PVC ne durera qu’une trentaine d’années quand une menuiserie en chêne protégée et entretenue peut durer 200 ans. Ce produit est aussi très polluant, même pour l’air intérieur de la maison.

Une touche de couleur apportera un peu de gaîté et d’originalité au bâti. Le PLUi ou les guides de l’habitat proposent des palettes de couleurs adaptées au contexte local. Le choix des coloris ne devra pas être trop criard* ou bariolé*.

La forme doit être la plus compacte et la plus simple possible pour permettre les gains d’énergie et s’insérer dans le paysage.

Les décrochements permettent cependant de

marier les matériaux ou d’adapter le bâti à la pente et aux bâtiments voisins.

D’autres formes de stationnement permettent des économies d’espaces et d’énergie : revêtements perméables, car-port …

Construire du neuf, c’est aussi l’occasion de gagner en autonomie énergétique, réduire ses factures et son impact environnementale en intégrant des dispositifs de production d’énergies renouvelables.

La toiture plate offre plus d’espace à l’étage ou peut servir de terrasse. Cependant la qualité de son étanchéité et sa résistance au soleil sont à surveiller.

Des toitures végétales peuvent aussi retenir les eaux de pluies ou protéger de la chaleur estivale.

Attention cependant à préserver l’identité des centre-bourgs et ne pas créer de discontinuité dans le front de rue.

L’utilisation du bois, matériau écologique, offre un environnement de très bonne qualité thermique et acoustique.

Les enduits ou peintures dépendent du support de base. Ils sont une grande source de pollution pour l’air intérieur de la maison. La santé ça n’a pas de prix, préférez des produits naturels (chaux, argile…).

Les dépendances, annexes ou espaces de rangement peuvent isoler la maison du nord tout en apportant un peu d’originalité.

Une véranda bioclimatique ou serre solaire peut aussi permettre de réchauffer la maison et gagner de la lumière.

L’architecture en terre (mélange terre-paille, terre crue, BTC etc.) est aussi très saine pour le confort thermique et atmosphérique de la maison. Combinée à d’autres matériaux (un bardage bois sur un

étage par exemple), elle peut rester très discrète et moderne.

Attention à ne pas céder à la facilité en construisant moderne : les isolants habituels (polystyrène, polyuréthane, laine minérale) sont plus dangereux pour la santé et plus polluants que les nouveaux isolants naturels (fibre de bois, laine de chanvre, laine de mouton…).

Aujourd’hui « modernité » est synonyme d’une maison saine et durable.

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Les maisons reprennent la forme allongée traditionnelle, les menuiseries colorées sur des fenêtres plus hautes que larges et les soubassements sombres.

Ces maisons reprennent le modèle traditionnel, avec des couleurs plus discrètes. Elles ont l’avantage de dégager plus d’espace grâce à la mitoyenneté.

Le pignon en bardage bois traditionnel se marie très bien avec la couleur des menuiseries.

Le bois et la brique se répartissent sur différents pans de murs pour casser l’aspect massif du bâtiment.

La rénovation de bâtiments anciens ou fermes se fait beaucoup sur le territoire, et de nombreux guides peuvent vous accompagner.

Associer les matériaux permet de donner du cachet à sa maison et rappeler l’histoire de la commune en réutilisant les matériaux patrimoniaux tels que le grès dans le Boulonnais.

Le modèle traditionnel est repris avec une forme moins allongée et des garages mitoyens au nord pour dégager des jardins et des salons bien orientés au sud.

Les fenêtres restent toujours plus hautes que larges, avec des menuiseries colorées. Les châssis de toit ou lucarnes sont de dimension plus réduite.

Exemples de projets réalisés dans l’esprit d une architecture traditionnelle

Escoeuilles Audincthun

Guide de l’Habitat en Boulonnais Guide de l’Habitat en Boulonnais

Guide de l’Habitat en Boulonnais Guide de l’Habitat en Boulonnais

Le bardage bois sur le dernier étage donne un aspect moderne au bâti. La forme globale reste discrète avec une toiture d’une seule pente.

Cette architecture moderne en zinc et bardage bois est pourtant la rénovation d’une ancienne brasserie. L’isolation y est exemplaire, prouvant que le vieux peut aussi être économique et confortable.

Ces bâtiments sont très respectueux de l’environnement : ils sont économes en énergies et utilisent des matériaux durables tels que le bois et la terre crue.

Ces maisons en bardage bois profitent de l’ensoleillement naturel et sont totalement passives. Pour leur donner un peu d’originalité, des pergolas et décrochements accueillent des plantes.

Les formes restent sobres, avec des décrochements ou murs en matériaux différents pour donner du relief et de l’originalité à la conception.

La forme en L de ce bâtiment massif permet à la lumière de pénétrer par de grandes baies au sud. Au nord ou face au voisinage, les fenêtres sont plus petites pour préserver l’intimité.

L’agencement des matériaux permet d’intégrer le neuf à l’ancien de façon harmonieuse en reprenant les coloris du bâtiment existant.

Construit il y a maintenant 10 ans, ce quartier montre la diversité des architectures possibles en matériaux durables : bois, terre... Chaque maison possède aussi un chauffe-eau solaire et une citerne de récupération des eaux de pluie.

Exemples de projets d’architecture moderne

La Capelle-lès-Boulogne Wimille

Landrethun-le-Nord, Le chênelet Vinderhoute, Belgique

Escoeuilles, paral’ax architecture Lamorlaye, observatoire des CAUE

Avrillé, observatoire des CAUEBazouges-sous-hédé

Forme non adaptée au style architectural du territoire

Des propositions architecturales à déconseiller

Matériaux hétéroclites ou mal choisis

Mauvaise association ou mauvais choix des couleurs

Des ouvertures mal proportionnées ou mal positionnées

regroupés à la périphérie

mixité de logements : collectifs, maisons individuelles…

constructions mitoyennesjardins au Sud

chemins piétons et espaces verts pour relier les habitations

espaces de rencontre et de partage

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1 > s’implanter dans la continuité de l’existant 2 > être en cohérence avec l’identité du quartier3 > respecter les volumes voisins4 > privilégier des volumes compacts et sobres*5 > privilégier les matériaux écologiques (bois, terre, ...)6 > des matériaux biosourcés7 > énergies renouvelables

Pour s’inspirer du traditionnel :x un toit double pente de couleur rouge-orangéx des façades clairesx des menuiseries coloréesx éviter l’effet pastiche*

Pour une architecture plus contemporaine :x respecter le principe traditionnel de sobriété*x la touche de couleur ne doit pas être trop criarde* ou barioléex marier les matériaux : annexe, étage, appentis, décrochement ou monomur

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LES CLEFS DE LA RÉUSSITE POUR UNE ARCHITECTURE HARMONIEUSE :

Parcs naturels régionaux de France Charte d’utilisation du logotype – septembre 2013 – 15

1.2 Le positionnement « Une autre vie s’invente ici »la typographie

Une autre vie s’invente iciRidemybike pro

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BP 22 – 62142 Le WastTél. 03 21 87 90 90 i n f o @ p a r c - o p a l e . f r w w w. p a rc - o p a l e . f rFacebook : ParcOpale

GLOSSAIRE :Cohérence architecturale : des volumes équilibrés, proportionnés, absence de matériaux hétéroclites, aucun élément ne semble sorti du contexte.

Faitage : ligne de rencontre des deux versants de la toiture.

Tampon : qui isole. Ici le soubassement isole de l’humidité du sol.

Remontées d’eau par capillarité : infiltration progressive de l’eau dans le matériau.

Sobriété : modéré, mesuré, sans ornement superflus, sans extravagances

Pastiche : imitation de mauvaise qualité, souvent due à des matériaux inadaptés. (Par exemple : des tuiles panachées auront un effet pastiche, mieux vaut utiliser des tuiles de différentes cuissons.)

Criard : agressif, éclat violent ou trop cru.

Coyau : débord de toit qui marque une rupture de pente, souvent pour protéger le mur de la pluie

Bariolé : composé de couleurs mal assorties et hétérogènes

DOCUMENTATIONLes guides du Parc naturel régional des Caps et Marais d’Opale se trouvent sur le site www.parc-opale.fr ou en format papier à la maison du Parc.x Guide de l’écoconstruction du Parc naturel régional des Caps et Marais d’Opalex Guide de l’écorénovation comment isoler et sauvegarder les maisons anciennes du PNR des Caps et Marais d’Opalex Guide du cadre de vie et de l’habitat par la Communauté de Communes du Pays de Desvres Samerx Guide de l’habitat des Trois-Pays, sur le territoire de la Communauté de Commune du Pays d’Opalex Guide de l’habitat et du cadre de vie en Boulonnais, par la Communauté d’Agglomération du Boulonnaisx Construire et rénover sur la Terre des 2 Caps, par la Communauté de Communes de la Terre des 2 Capsx Du projet au permis de construire, par le CAUE du Pas-de-Calais

ACCOMPAGNEMENT Le CAUE 62 : une rencontre ou un rendez-vous téléphonique est possible afin de vous conseiller gratuitement sur votre projet d’habitat. Les rencontres se font uniquement sur prise de rendez-vous au centre d’Arras.

Le Parc naturel régional : l’équipe du Parc accompagne des opérations d’ensemble d’habitat avec une approche par le biais du patrimoine, comme de l’urbanisme ou du paysage. Afin de vous accompagner dans vos choix, le Parc organise également des visites de projets portés par des particuliers et collectivités ainsi que des stages pratiques de découverte de techniques de restauration de bâti ancien ou d’écorénovation.

Un architecte : il saura vous proposer un projet d’habitat répondant à vos attentes et s’adaptant à la forme de la parcelle et du contexte environnant.

Le groupe torchis terre crue : experts en construction terre, ils organisent des ateliers et conseillent les particuliers.

Accompagnement du service instructeur

N’hésitez pas à prendre contact en amont avec le service instructeur de votre intercommunalité ou de la DDTM pour des conseils gratuits sur rendez-vous. Vous pourrez échanger avant le dépôt de permis sur votre projet, afin d’évaluer l’adéquation de votre projet aux règles d’urbanisme en vigueur sur votre commune, et d’éviter un incomplet ou un refus.

3 EN SAVOIR PLUS SUR LES COULEURS ET LES GABARITS DE LA RÉGION