Changements Les Zèbres au Vallon · la classe de 6 ème année, M. Paris pour les 4 ème primaire,...

Départ au journal

M. Charrère quitte les ACF Journal la tête remplie de bons souvenirs. Les élèves sont encore sous le choc après son départ !

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no 28

Sommaire

Grippe A

Pour ou contre la vaccination ? Les élèves avaient la possibilité de se faire vacciner à l’école mais peu en ont profité.

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Changements Dans la vie, les choses évoluent et nous sommes souvent amenés à vivre des changements. Le journal du collège n’échappe pas à cette règle. Tout d’abord, qui dit nouveau nom de l’école, dit nouveau nom pour le journal. Comment trouver un nom court, or igina l , s imple qui correspond à la ligne éditoriale, au public cible et au collège sans tomber dans la facilité ? Voilà un défi de taille à réaliser, qui demande plus ample réflexion... Ensuite, Yann Charrère a choisi de quitter l a r é d a c t i o n d u « CVTNews ». Par sa personnalité, son excellent travail et sa précieuse collaboration, il laissera, comme ses prédécesseurs, une empreinte indélébile dans l’histoire du journal. C’est pourquoi je tiens à le remercier ainsi que Sonja Schlub et Géraldine Perregaux pour toutes ces b e l l e s a n n é e s d e collaboration à la rédaction du journal. Et je souhaite la bienvenue à Laure Fink pour de nouvelles aventures médiatiques !

David Hamel

Les Zèbres au Vallon !

L’animateur radio Jean-Marc Richard a donné rendez-vous à quatre classes du Val-de-Travers aux fameuses Mines d’Asphalte. L’émission « Les p’tits Zèbres » a été enregistrée dans ce lieu

original, sous les yeux intrigués des élèves de l’école enfantine, de primaire et de sixième année; une expérience inoubliable pour chacun d’entre eux !

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Les Zèbres 2-3 Grippe A 4 Match Profs-élèves 5 M. Charrère 6 Expo ACF et activités d’éveil 7 GIS 8 Echange linguistique 9 Brèves 10-11-12 Spectacle 9 13 Le lycée / Records 14 Des logiciels pour apprendre 15 ACF Cuisine / Jeu 16 Technorama 17 Mots croisés 18 Coups de coeur littéraires 19 Musique - Junior Tshaka 20 Cinéma - La Vague 21 Concours & Jeu 22

Echange

De février à mai 2010, la classe 9Ma2 participe à un échange avec une classe de Wohlen.

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Le GIS au JJR

Le GIS intervient chaque année dans notre collège auprès des élèves des degrés 7 et 9.

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NOTRE ECOLE NOTRE ECOLE NOTRE ECOLE

Exposition réussie

L’exposition ACF et activités d’éveil du mois de février a rencontré un vif succès.

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Le camping-car rouge et blanc de Jean-Marc Richard s’est arrêté aux Mines d’Asphalte pour une rencontre inoubliable avec des élèves de l’Ecole J.-J. Rousseau.

M a r s 2 0 1 0

©ZEP

M a r s 2 0 1 0 N O T R E E C O L E

Amélie Jeanneret

Emission à rayures

Du 9 au 12 février, des élèves d’enfantine et de primaire de Couvet ainsi que de secondaire sont allés visiter les Mines d’Asphalte en participant à l’émission « Les p’tits Zèbres », en compagnie de l’animateur Jean-Marc Richard et de leurs professeurs : Mme Brunner pour la classe de 6ème année, M. Paris pour les 4ème primaire, Mme Stauffer pour les 2ème primaire et Mme Krebs pour la classe d’école enfantine de Couvet.

Avec des enfants « Les p’tits Zèbres », émission présentée par Jean-Marc Richard, est une émission radiophonique qui passe du lundi au vendredi de 12h10 à 12h30, en direct sur la RSR (Radio Suisse Romande). Le but de cette émission est de questionner des enfants de tous âges au sujet de demandes posées par d’autres jeunes, sur différents thèmes en fonction d’une première interrogation tirée de l’actualité, posée par un auditeur. Un certain « Docteur Maboule » (Joël Cruchaud) répond lui aussi aux questions, donnant à son tour

la bonne réponse.

Classes en noir et blanc Le camping-car rayé rouge et blanc, dans lequel le présentateur Jean-Marc Richard passe le plus clair de son temps pour son émission, sillonne la Suisse Romande depuis bientôt dix ans (en août 2010). Passant par les Mines d’Asphalte, le Palais Fédéral, le CERN et bien d’autres lieux encoreil va à la rencontre

d’élèves ont l’occasion de parler sur les ondes radiophoniques.

Zèbrement animé ! Pour l’émission du mercredi 10 janvier, élèves et professeurs ont commencé par visiter les Mines d’Asphalte. Leur guide leur a parlé de l’origine des mines, de la construction de ses galeries et de ses tunnels, des mineurs et des chevaux qui travaillaient à l’intérieur, des engins utilisés. Ensuite, les élèves ont donné leur avis sur les Mines d’Asphalte, sur ce qu’ils ont pensé, vu et appris, avant qu’une question particulière ne leur soit posée par l’animateur de l’émission. Les élèves ont répondu chacun à leur tour afin d’aider une auditrice à trouver la bonne réponse. La question « Quelle est la différence entre le lait et la crème ? » a été posée ce jour-là. Elle a été la question qui a suscité le plus d’avis et de réflexion différents chez les élèves. Le jour précédent, mardi 9 janvier, une auditrice demandait aux élèves «Pou rquo i l e s s au c i s s on s

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En février, une classe d’école enfantine, deux de primaire et une de 6ème année ont participé à l’émission « Les p’tits Zèbres ».

M. Richard accompagne la classe d’école enfantine de Couvet dans les mines.

Jean-Marc Richard, en très grand professionnel, sait mettre les enfants à l’aise face au micro.


« Gendarmes » portent-ils ce nom ? ».

L’avis des Zèbres Tous les élèves interrogés, ainsi que les professeurs, ont gardé de très bons souvenirs de l’expérience vécue lors de l’émission « Les p’tits Zèbres » ! Aucun comportement désagréable, aucun problème, une motivation sans pareille et une participation à toute épreuve. Voilà comment se sont comportés les petits zèbres avant, pendant, et

après l’antenne, pour le plus grand bonheur de Jean-Marc Richard et des accompagnants qui conseillent et souhaitent à tous de vivre la même expérience. Pour la visite des mines, la guide est même parvenue à adapter ses propos à l’âge des enfants de 4, 5 ou 6 ans ce qui a rendu la visite encore plus captivante et intéressante. La drôlerie et la gentillesse de l’animateur de l’émission ont, elles aussi, conquis les élèves, quel que soit leur âge. Site: www.rsr.ch/zebres

La classe de 2ème primaire de Couvet nous montre la bonne direction !

La 6Or3 de Fleurier a profité de cette belle expérience radiophonique.

Les élèves de 4ème de Couvet ont parlé de lait et de crème.

L’animateur donne la parole à tous les enfants présents.


Au début du mois de décembre, la direction a distribué une circulaire informant les élèves de la possibilité de se faire vacciner gratuitement à l’école contre la grippe A.

Tristan Freiburghaus

Grippe A : contamination médiatique ?

La grippe A a battu son plein cet hiver et les médias ont beaucoup parlé d’elle ! Elle est aussi passée au collège, la campagne de vaccination a été proposée aux élèves durant le mois de décembre.

Intérêt du vaccin

La vaccination est la méthode la plus efficace pour se protéger de la grippe puisqu’elle prépare le système immunitaire à reconnaître le virus en cas de contagion et à lutter contre une éventuelle infection. Pour les personnes dites « à risque » (immunité réduite), la vaccination limite fortement les complicat ions qui peuvent survenir. La vaccination n’est pas obligatoire, mais elle est conseillée aux personnes présentant un risque accru de complications ainsi qu’à leurs proches. Les autres personnes souhaitant éviter la grippe peuvent également se faire vacciner. L’autre méthode pour se prémunir de la grippe est tout simplement de respecter les précautions standards d’hygiène, précautions à appliquer même sans pandémie !

Vitesse grand V D’après notre médecin scolaire, le Dr Monod, la grippe A s’est propagée à une vitesse folle. C’est pourquoi il avait vivement conseillé à ses patients de se faire vacciner, pour eux-mêmes et aussi pour leur entourage qui pouvait comporter des personnes « à risque ». Cependant, il insiste bien sur le fait que si on a une immunité réduite, on peut être vacciné et tout de même attraper la grippe. L’avantage est que le vaccin limite les complications pour une personne déjà affaiblie. Enfin, il faut savoir que le vaccin

La campagne de vaccination se déroulait au collège Longereuse.

met 15 jours avant d’être efficace.

Du côté des élèves

Nous avons recueilli quelques témoignages parmi ceux qui ont répondu présents à la proposition de vaccination. La douleur du vaccin a été perçue de manière bien différente, comme pour les autres vaccins ! Cependant, il n’y a pas vra iment eu d ’ef fet s secondaires autres qu’une douleur au bras. La plupart des élèves ont pu choisir eux-mêmes de le faire ou non, mais certains ont été « obligés » par leurs parents. Certains l’on fait chez leur médecin de famille et d’autres ont profité de la proposition de la direction pour le faire à l’école.

Ceux n’ayant pas fait le vaccin n’en avaient pas envie ou alors leurs parents étaient inquiets des effets secondaires.

Conclusion

En définitive, on pourrait croire que la grippe A a surtout été un phénomène de presse : quand on y pense, le paludisme fait un million de victimes chaque année et la grippe saisonnière jusqu’à 500'000 personnes dans le monde ! Tout ce battage médiatique, était-il vraiment nécessaire… ?

Sources : http://www.pandemia.ch

http://teleobs.nouvelobs.com

La grippe saisonnière, qui est une violente infection des voies respiratoires et qui se manifeste tous les ans, entre décembre et mars dans l’hémisphère Nord. La grippe pandémique (H1N1, grippe A) est causée par un virus grippal qui se transmet facilement entre les personnes et qui n’avait pas encore été

i d e n t i f i é a u p a r a v a n t . L e s s y m p t ô m e s s o n t pratiquement les mêmes dans les deux formes grippales. Par contre, la grippe pandémique touche quatre à cinq fois plus de personnes, car les humains ne possèdent pas d’immunité contre ce nouveau virus. C’est pourquoi un vaccin a été mis au point.

Les deux formes de grippe


Le match de hockey profs-élèves s’est déroulé le 22 janvier. Après un début de match plein de suspense, les élèves ont vite dû déchanter !

Bryan Calado

Encore les profs (malheureusement) !

Le 22 janvier dernier, à la patinoire de Belle-Roche, un match de hockey sur glace a opposé la classe 9Mo1 aux professeurs. Malgré les encouragements, les élèves n’ont pu que constater la supériorité des professeurs. Ce match profs-élèves est organisé depuis plus de 20 ans au collège. La classe gagnante des joutes de 9ème (garçons) obtient le droit d’affronter les profs. Cette compétition motive les élèves de 9ème, mais c’est avant tout un prétexte pour se réunir et passer un bon moment sportif même si, dans la majorité des cas, les matchs sont remportés par les profs !

1er tiers (3-1)

Malgré une belle résistance des élèves, le score tourne à l’avantage des professeurs après quatre minutes de jeu seulement. Il faut ensuite attendre le milieu du premier tiers pour voir les professeurs marquer un nouveau but. Après un sursaut des élèves, les professeurs creusent une nouvelle fois l’écart à la fin du premier tiers.

2ème tiers (7-3)

Dès le début du deuxième tiers, les professeurs annoncent la couleur en inscrivant un but rapidement. Par la suite, mieux organisés et plus collectifs, ils inscrivent trois buts coup sur coup et dominent sans grands efforts les élèves qui pratiquent un jeu un peu décousu et solitaire. Le tiers-temps se termine par une réalisation des profs et deux des élèves.

3ème tiers (12-5)

Les profs tuent vite le match en marquant deux buts d’entrée de jeu. Malgré une réaction d’orgueil

qui permet aux élèves de marquer à leur tour deux buts consécutifs, les profs gèrent la fin du match sans grandes difficultés. Les élèves, malgré leur motivation, ne peuvent rien changer au score.

Après le match Comment avez-vous trouvé le match ? Maxime Liechti : Une bonne ambiance et un bon public. Un excellent fair-play. M. Beutler : Il y avait une ambiance sympathique et un bon fair-play sur la glace. D’ailleurs, il n’y a pas eu de pénalité ! Que pensez-vous de la prestation de votre équipe ? M. L. : C’était bien pour dire que certains jouaient pour la première fois ensemble (ndlr : les renforts). M. B. : Un bon jeu collectif. Que pensez-vous du résultat ? M. L. : Logique par rapport à la

Les élèves ont fait de leur mieux mais les profs ont (encore…) montré leur supériorité.

physionomie du match. M. B. : Reflète cruellement la physionomie du match. Quels sont les éléments qui vous ont permis de gagner ou de perdre ? M. L. : Certains joueurs ne savaient pas jouer au hockey et un jeu assez individuel. M. B. : Un excellent jeu collectif. Quels ont été les points forts et faibles de l’adversaire ? M. L. : Points forts : un grand collectif et une bonne technique et tactique. Point faible : pas vraiment pu le découvrir. M. B. : Point fort : la volonté de battre les profs. Point faible : un jeu individualiste. Qu’est-ce que vous aimez dans le match profs-élèves ? M. L. : Jouer contre les profs, l’ambiance et surtout jouer au hockey. M. B. : C’est un événement qui motive beaucoup de monde.

Mots croisés p.18 :

1. REVELATION / 2. PANDORA / 3. JOHNNY / 4. HEIN / 5. ROSE / 6. BOB / 7. NOEL /8. ATLANTIQUE / 9. BATMAN 10. VOLDEMORT / 11h. MELMAN / 11v. MAISON / 12. NEW / 13. JACKSON / 14. KEVIN / 15. PASSE / 16. MINIMOYS / 17. ECUREUILS


Grande perte pour les élèves du journal

Après trois ans, M. Charrère a quitté ses fonctions au sein du journal.

Sarah Portelinha

Après trois ans de bons et loyaux services, M.Charrère a quitté les élèves des ACF Journal au mois de janvier 2010. Après 10 numéros, plusieurs concours en relation avec les médias et de nombreux sujets traités, c’est à son tour de devenir le centre d’un article. Il manquera beaucoup aux élèves qui l’apprécient et qui ne tarissent pas d’éloges à son sujet. Tout le monde souhaite la bienvenue et bon courage à Mme Laure Fink qui prend la relève à la rédaction en plein milieu d’un numéro !

Rencontre, parfois humoristique, avec celui qui a résisté le plus longtemps aux élèves et surtout à M. Hamel !

Pourquoi avoir commencé les ACF Journal ? Et pourquoi arrêtez-vous ? J’aimais beaucoup l’idée d’un journal de l’école écrit par un groupe d’élèves pour les autres élèves. C’est une activité complète car il s’agit de préparer des questions pour s’informer d’un sujet, d’interroger les personnes qui détiennent l’information, de synthétiser puis de rédiger un texte. L’activité fait appel à de nombreuses compétences. Les élèves prennent même les photos qui paraissent dans le journal ! J’arrête surtout parce que le journal demande un engagement considérable avant les parutions, souvent dans des périodes déjà passablement chargées. Je pense qu’un changement dans l’équipe d’encadrement est positif car il permettra d’amener de nouvelles idées.

Quand avez vous commencé ? Quand arrêtez-vous ? J’ai commencé en août 2006 et j’ai arrêté à la fin de l’année scolaire 2008-2009. Cela équivaut à 3 ans et neuf parutions ! J’ai prolongé cette année scolaire d’août à décembre car la personne qui a pris le relais était en congé maternité.

Êtes-vous déçu de partir ? Oui et non. Non, car c’est mon choix. Oui parce que les ACF constituent un

moment privilégié avec les élèves. Les participants sont en général motivés par une activité qu’ils ont choisie et l’ambiance est agréable. Les relations avec les élèves sont très différentes de ce que je vis dans les cours car tout est plus facile : le nombre limité des participants ainsi que l’envie sont des gages de qualité dans le travail et la relation. Travailler avec M. Hamel a été une excellente expérience. Une déception sera de ne plus avoir le plaisir de voir des élèves attachants et sympathiques comme Sarah … qui m’a offert de splendides cadeaux pour Noël ;-) !

Quels sont les moments que vous avez le plus appréciés ? Les moments forts ont été les concours de UNE, avec le stress des préparations mais aussi la satisfaction de se classer à deux reprises sur la plus haute marche du podium. En février 2008 j’ai vécu une expérience inoubliable avec le groupe de l’époque quand une équipe de télévision est venue filmer les ACO pendant près de deux mois pour réaliser un documentaire qui a été diffusé à l’occasion de la « Semaine des médias à l’école ». Les moments forts ont aussi été certaines leçons avant les parutions, l’exposition ACF et, « last but not least », les liens qui se créent avec les élèves, surtout ceux qui restent plusieurs années de suite.

M. Charrère laissera son empreinte au sein de la rédaction

du journal !

Et ceux que vous avez le moins appréciés ? A chaque fois qu’il a fallu faire de la discipline ou forcer un participant à faire son travail… comme à l’école ! Heureusement, cela n’arrive pas trop souvent.

C’est une décision définitive ou pensez-vous revenir un jour ? J’arrête aujourd’hui mais il n’est pas exclu qu’un jour je me réinvestisse en cas de besoin et si j’estime pouvoir apporter quelque chose.

Avez-vous eu du plaisir ? J’ai eu beaucoup de plaisir et l’expérience a toujours été positive.

Que pensez-vous des élèves? Ils ont une grande capacité d’adaptation et sont rapidement capables d’écrire des textes de qualité. Les progrès réalisés par certains en une année sont stupéfiants. Ils apportent de bonnes idées et ils sont aussi motivés. Les groupes avec lesquels j’ai travaillé étaient très homogènes malgré les différences d’âges : les plus âgés ou les anciens ont toujours réservé un bon accueil aux nouveaux. Les trois dernières cuvées étaient exceptionnelles, avec quelques locomotives et une volonté de bien faire. La cuvée 2009-2010 est sympathique et autonome, avec des personnalités très attachantes.

Que pensez-vous avoir apporté au journal ? Mon rôle est plutôt un rôle d’accompagnement. J’ai surtout mis ma disponibilité au service des élèves. Le cadre du journal était déjà bien défini grâce au travail de qualité fourni par M. Hamel et toute l’expérience des années précédentes.

Pourquoi êtes- vous si beau ? Quel crème utilisez-vous ? (Rires) Mon secret est l’huile de karité que j’applique régulièrement jusqu’à 10 fois par jour sur mon magnifique visage. Moi-même je ne suis pas certain de pouvoir expliquer cette incroyable beauté. Peut-être est-ce un cadeau de la fée qui s’est penchée sur mon berceau ?

L’exposition ACF (Activités Complémentaires Facultatives) et branches d’éveil « S’épanouir autrement » a eu lieu les 19 et 20 février derniers au collège de Longereuse à Fleurier. Organisée tous les trois ans depuis une décennie, elle permet de présenter ces activités. Le travail intensif de la direction et des exposants a été récompensé et le sous-directeur M. Messerli, responsable de l’exposition, a été très satisfait du résultat. Les élèves comme les professeurs se sont donnés beaucoup de peine, ce qui a permis la réussite de l’exposition.

Exposition à perpétuer !

Les visiteurs ont apprécié l’événement qui s’est déroulé dans une ambiance détendue et sympathique. Cette très bonne initiative montre que les activités ACF et branches d’éveil méritent leur place parmi les matières scolaires. Les présentations des élèves ont impressionné la foule,

notamment durant le défilé de mode préparé par les élèves des ACF « vêtements ». Les visiteurs ont également pu admirer la démonstration de breakdance et les nombreux élèves « au travail ». Finalement, la vente de dessins d’élèves de l’école en faveur d’Haïti (voir encadré) a permis de réunir des parents d’élèves de tous niveaux qui ont pu découvrir l’exposition.

Les démonstrations, ici du breakdance, ont été appréciées des visiteurs.

PAGE 7 M a r s 2 0 1 0 N O T R E E C O L E

Les 19 et 20 février 2010, l’exposition « ACF et branches d’éveil » qui s’est déroulée au collège de Longereuse à Fleurier a accueilli de nombreux visiteurs.

Préparation collective. Texte : Valentine Moser

Une exposition réussie

Au vu de la catastrophe survenue à Haïti, la commune de Val-de-Travers a décidé de faire un don aux personnes dans le besoin. L’école s’est jointe à cette initiative en vendant des dessins et d’autres travaux d’élèves

4400 francs pour Haïti ! durant l’exposition. L’initiative a eu du succès, vu que le montant récolté lors des ventes avoisine les Fr. 3100.- !Ajoutés au don communal, le montant final avoisine les 4400.– ! Le défilé de mode à surpris plus

d’un visiteur.

Elèves critiques…

Parmi les élèves qui ont participé à cette exposition de leur plein gré, la moitié a été satisfaite. Les autres se sont un peu ennuyés ou ne l’ont simplement pas trouvée « cool ». Par contre, participer aux ACF de façon générale, en dehors de l’exposition, les satisfait pleinement. L’ambiance de groupe est agréable et les activités proposées sont intéressantes.


Sophie Rohrer

Le « guide du zizi sexuel » version GIS

Chaque année, le GIS intervient dans les classes de 7ème et 9ème années pour aborder des thèmes liés principalement à la sexualité.

Chaque année, les animateurs du GIS (Groupe d’Information Sexuelle) interviennent dans notre collège pour rencontrer les jeunes et parler principalement de la santé, de la vie affective, de la vie amoureuse, de la sexualité et de la procréation. Ces cours donnent suite à une première rencontre qui se déroule en 5ème année, âge auquel, pour certain(e)s, la puberté commence. Cette première séance est importante car elle crée un climat de confiance et elle permet de prendre contact avec les élèves afin de parler tranquillement de la sexualité en général.

Intervention ciblée Dans les classes secondaires de notre canton, le GIS intervient durant 4 périodes en 7ème et une journée entière en 9ème année. Cette dernière rencontre, appelée « Journée santé », se déroule avec la collaboration d’autres services comme le planning familial, le groupe SIDA, Vivre sans fumer et le CENEA (Prophylaxie et traitement de l'alcoolisme). Les interventions sont planifiées tout au long de l’année et sont organisées en collaboration avec les directions d’école.

Objectifs Au début, les animatrices rencontraient les élèves pour parler principalement de SIDA. Aujourd’hui, elles cherchent à

Christine Lazeyras travaille depuis 2 ans comme animatrice au G.I.S. (Groupe d’information sexuel et

éducation à la santé).

transmettre la notion de santé sexuelle qui incite à vivre pleinement sa vie et sa sexualité. Les cours sont essentiellement axés autour de questions anonymes que posent les élèves par écrit. Le but est d’informer et de permettre aux élèves de faire des choix confiants dans leur vie. On ne parle pas que de sexualité mais aussi des émotions, des sentiments, de notre corps, des relations avec autrui, de dépendance ou encore de comportements à risque. Le message principal à retenir est que les élève doivent « écouter la petite voix qui parle en eux et avoir confiance

en leurs sentiments ».

Sujets tabous ? Si parler de sexualité est d’abord le rôle des parents, il n’est jamais facile d’aborder ce sujet un peu tabou en famille car les enfants ressentent comme une gêne et les parents transmettent déjà leurs valeurs et leur éducation. En classe, les élèves ne prennent pas facilement la parole car parler de sexualité en groupe n’est pas toujours facile; ils préfèrent donc écrire des questions de manière anonyme. Il n’y a pas de « rencontre type ». A chaque fois, c’est une autre histoire qui dépend des élèves de la classe, de l’ambiance qui y règne et de l’entente avec les maîtres de classe.

Interventions appréciées Les élèves trouvent les interventions du GIS intéressantes, instructives et marrantes. Ils apprécient les divers sujets traités. Etonnament, ils ne se disent pas gênés de parler de sexualité devant les autres alors que, pendant l’activité en classe, c’est souvent le silence total ! Finalement, les jeunes se disent prudents et conscients des maladies sexuellement transmissibles (SIDA,…) mais pas apeurés.

Cette association à but non lucratif existe depuis 22 ans et est formée d’une équipe de huit femmes et un homme qui travaillent tous à temps partiel. Elle est dirigée par une directrice et une secrétaire. Toutes ces personnes ont appris un autre métier (éducatrice

spécialisée, infirmière,....) avant d’officier au GIS. Ce sont les médecins scolaires régionaux qui mandatent le GIS, sauf à la Chaux-de-Fonds et à Neuchâtel où ce sont les médecins scolaires eux-mêmes qui assurent ces rencontres.

Vous avez dit GIS ?


De février à mai, les élèves de la classe 9Ma2 se rendront à Wohlen dans le cadre d’un échange linguistique.

Lyne Sidler

Un échange ? une chance !

Les élèves de la classe 9Ma2 ont la chance de vivre un riche échange linguistique avec les élèves d’une classe de Wohlen (AG) durant la période de février à mai 2010. Cet échange a été orchestré par M. Blanc, professeur d’allemand dans notre collège et M. Colacini, professeur principal des élèves argoviens.

Un peu d’organisation ! Dans un premier temps, les élèves vallonniers se rendront en train chez leurs correspondants à Wohlen où ils resteront pendant cinq jours. Ils partiront par groupes de 2 ou 3 le dimanche et reviendront le jeudi dans la soirée. Ensuite, ils rendront la pareille aux élèves de la 3 Sek E qui, à leur tour, viendront découvrir le Val-de-Travers.

Contacts aisés Les élèves et M. Blanc se sont beaucoup investis pour cet échange. Ils ont rédigé des lettres de présentation en allemand ainsi qu’un texte qui décrivait quelqu’un d’autre de la classe. Deux élèves ont même réalisé un film sur l’école et la région. Après le premier échange de courrier entre les deux classes, les élèves de 9Ma2, les filles en particulier, ont recherché leurs correspondants sur Facebook et ont commencé à dialoguer avec eux. De nombreux liens se sont créés et les groupes se sont ainsi peu à peu formés. En gérant eux-mêmes la répartition des groupes, les élèves ont fait preuve d’une grande initiative. Si la plupart des élèves participent à l’échange, trois élèves de la classe se sont désistés, pour le plus grand regret de certaines filles de Wohlen (☺). De ce fait, un élève de la classe 9Mo2 participe aussi à

l’échange.

Une tradition à perpétuer Cela fait plusieurs années que des échange s F l eu r i e r -Woh len s’organisent avec toujours autant de plaisir ! « C’est une grande satisfaction lorsqu’un échange se déroule bien. Lorsqu’une vraie communication s’établit entre les ados, la question de la motivation ne se pose plus avec les classes qui y participent », affirme M. Blanc. Merci pour la bonne organisation des deux professeurs !

Expérience à tenter J’ai la chance de participer à cet échange et j’en suis vraiment ravie.

Les échanges entre Wohlen-Fleurier ont commencé le lundi 15 février. Ci-dessus, Audrey et Vicky de la classe des 9Ma2 avec leurs deux premières correspondantes, Jessica et Alexandra qui se mettent au « Französisch » !

C’est pour moi une GRANDE expérience ! Je suis, comme les autres, très impatiente d’aller à Wohlen. Même s’il sera difficile de rattraper le travail effectué durant mon absence, ça en vaut la peine ! Le fait de voyager seue « comme une grande », d’être « à l’étranger » sans mes parents quelque part où je ne comprends absolument rien de ce que disent les gens (☺) et d’être en plus, au premier rang de cette aventure, c’est… grandiose ! Je conseille à tous ceux qui auraient l’opportunité de vivre un échange linguistique d’accepter le défi. De plus, accueillir des correspondants et veiller à leur bien être sera une expérience très enrichissante.


Brèves - Brèves - Brèves - Brèves - Brèves - Brèves

Journée sportive

Une nouvelle chorale fait trembler les murs du collège Longereuse ! Chaque mercredi, de 11h45 à 13h15, Les DOUARNENISTES mangent ensemble et répètent à la salle de musique du collège Longereuse. Leur répertoire se décline sur le thème du voyage et quelques élèves accompagnent la chorale avec leur instrument. Tu veux les écouter ? Les 4, 5 et 6 juin, les DOUARNENISTES participeront à la fête cantonale des chanteurs neuchâtelois et se produiront devant un jury ! Tu souhaites les rejoindre ? N'hésite pas à interpeller Mme Thiébaud ou M. Schafer, ils seront ravis de t'accueillir ! / lf

Chorale d‘élèves au JJR

Travaux 1er étage

Suite à une décision politique, une partie du premier étage du bâtiment de Longereuse subira de profonds changements de mars à avril 2010. Dans la nouvelle disposition, la bibliothèque se retrouvera à la place du hall et de la salle 104. Suivront ensuite un bureau, le secrétariat agrandi et deux nouveaux bureaux destinés aux membres de la direction. Devisés à Frs 200’000.–, ces travaux offriront un espace réorganisé qui permettra un meilleur accueil. /dh

Le mardi 16 février dernier, les élèves de l’école secondaire Jean-Jacques Rousseau de Val-de-Travers ont pu profiter d’une magnifique journée sportive hivernale. Les élèves avaient préalablement choisi leur activité parmi le ski, le snowboard, la luge, le ski de fond et une promenade à pied ou en raquettes. A la pause de midi, les ski-clubs de Fleurier et de Buttes ont autorisé les élèves à pique-niquer au chaud dans leur chalet. Cette belle journée s’est terminée sans accrocs, sans accident et avec le sourire ! Tout le monde en redemande !/ dh

Kin-ball

Le Kin-ball, vous connaissez ? Imaginé au Québec en 1986, ce jeu collectif à trois équipes se pratique en salle et requiert coopération, gestion de l'espace et fair-play (aucun contact physique n'est toléré) . Quelques classes de l'école secondaire ont pu bénéficier d'une leçon d'initiation le lundi 14 décembre au Centre Sportif, sous la houlette de M. Martin Barette, ancien entraîneur de volley-ball reconverti à la promotion de ce sport bien de chez lui. Tabernacle que c'était bien ! Pour en savoir plus : http://www.kin-ball.com/SiteFr.html ./ pv



La 7ème édition de la semaine des médias à l’école aura lieu du 15 au 19 mars 2010 et aura pour thème les « Dégâts d’images… ». Durant cette semaine, les classes de Suisse romande peuvent s’inscrire à différentes activités proposées sur le site www.e-media.ch. Les classes peuvent également participer à deux concours portant sur le même thème, comme notamment le concours de Unes, réalisé chaque année par les ACF journal, ou le concours de blog, remporté l’année passée par la classe 9Pp2. / Valentine Moser

Dégâts d’images

Le samedi 6 février 2010, les élèves de la classe 9Pp2 sont venus à l’école durant toute la matinée pour participer au tournage d’une émission traitant des médias et des blogs en particulier. Les élèves ont apprécié cette rencontre et se sont montrés à l’aise devant la caméra. Ils ont présenté le travail effectué en français sur leur blog de classe. Réalisée par l’équipe môtisanne de Chocolat TV Productions, cette émission sera le second volet d’une série de cinq émissions diffusées sur TSR 2 tous les jours pendant la semaine des médias qui aura lieu du 15 au 19 mars 2010. / dh

La classe 9Pp2 passe à la TV

Dernièrement, on a pu lire dans la presse que l’on cherchait des figurants pour le film Ispansi. Elena Arbona (à gauche sur la photo), élève au JJR, a été engagée comme figurante dans ce film qui parle des enfants de la guerre. Lors du tournage qui a débuté en octobre et qui a duré 9 semaines, entre les Franches-Montagnes, le Val-de-Travers et La Chaux-de-Fonds, elle « a joué le rôle » d’une jeune rescapée espagnole. Elle a pu jouer dans ce film grâce à l’école espagnole puisque le film était tourné dans cette langue. Elle garde de bons souvenirs du tournage. Cependant, elle ne retenterait pas forcément l’expérience car le froid a été difficile à supporter. /. Sophie Rohrer

Ispansi ! (Españoles !)

« Mathématiques sans frontières » est un rallye mathématique européen et méditerranéen s’adressant à des classes de 9ème et du lycée. Cette année, trois classes du JJR (9Mo1, 9Mo2 et 9Ma1) participeront à l’épreuve qui se déroulera en mars prochain. Les exercices doivent être résolus par les élèves sans demander de l’aide au professeur présent. Il faut s’organiser pour en résoudre le plus en heure et demie. Jusqu’à présent, aucune classe du JJR n’est arrivée première. / Laura

Gonzalez

Photo : www.arcinfo.ch



Bénévolat en faveur d’Haïti

Prévert

Le jeudi 28 janvier, Roger Cuneo est venu au JJR de 8h26 à 15h01 pour faire découvrir Jacques Prévert aux élèves de septième en récitant ses poèmes pendant 45 minutes . Le spectacle a été organisé par Mme Lehmann dans le cadre des leçons de français. Les élèves ont aimé le spectacle et l’ont trouvé drôle. / Leslie Dogan

1, 2, 3 albums

123 albums est un voyage intergénérationnel qui a pour but de promouvoir la lecture des albums chez les adolescents et les adultes de tous âges. On partage les mêmes textes illustrés, au collège, en bibliothèque, en famille, en maison de retraite. Durant le voyage, chacun s’engage à lire, de février à mai 2010, les albums et à voter pour ses trois favoris. Les élèves de 6Or et 6Tr ont pu découvrir cette activité durant le mois de février lorsque les albums leur ont été présentés par la bibliothécaire et deux enseignantes de notre collège sous forme de scénographie. Les maîtres de français prendront le relais jusqu’au vote final qui se déroulera au mois de mai 2010. / A. Baptista

Durant l’exposition ACF et activités d’éveil du mois de février, les garçons de la classe 9Pp2 ont commencé la confection de porte-écharpes en métal qu’ils ont ensuite vendus au personnel du bâtiment de Longereuse afin de récolter des fonds pour Haïti. M. Perregaux et les élèves ont décidé de prolonger leur action après les relâches. Ils continueront la fabrication de leurs objets dans le but d’aller le vendre devant un grand magasin du village. Ils espèrent ainsi contribuer à l’aide pour les habitants d’Haïti par un peu de travail bénévole./ dh

Education routière au degré 9

Comme chaque année au mois de février, un instructeur de l’éducation routière rencontre les élèves de 9ème année pour leur parler des responsabilités civile, pénale et administrative consécutives à un accident. Grande nouveauté, la présentation a été actualisée et après avoir étudié les faits et causes d’un accident de la route, un homme handicapé témoigne, face à la caméra, des raisons de son accident et de ses conséquences qui au-delà des amendes et des punissions, montrent que nous n’avons qu’une vie et qu’il suffit de peu pour la faire basculer. Il transmet un message fort aux jeunes afin de les sensibiliser aux dégâts que peuvent causer des comportements à risques dans la circulation. Il est sûr qu’il y parvient en parlant de sa vie qui s’est effritée après la tragédie et qu’il a dû reconstruire avec son handicap !. / dh


Fany Erb

Les 9ème préparent leur SHOW ! Tous les deux ans, chaque classe de 9ème année prépare des sketchs pour en faire un spectacle

qui sera présenté à la fin du mois de mai, à la salle Fleurisia.

Depuis quelques mois, les classes de neuvième année du JJR préparent des sketches qu’elles présenteront dans leur spectacle de fin d’année au mois de mai à la salle Fleurisia. Interview de Marianne Radja, comédienne et metteur en scène du spectacle : Comment faites-vous avec les élèves « timides » ? Je les enferme dans un placard (rires). Je ne les force pas et j’essaye de comprendre leur timidité. Je les fais travailler en groupes. Même si c’est un travail individuel, tout le monde travaille en même temps, ce qui permet aux élèves de suivre le mouvement. Quelles sont en général les réactions des spectateurs ? C’est toujours une bonne surprise, le travail est félicité et nous n’avons pas ou peu de retours négatifs. La réaction est en général admirative et les spectateurs sont principalement la famille et les amis des élèves. Sur scène, tout le monde est mis sur le même pied d’égalité, il n’y a pas de « différence » entre les élèves de maturité, de moderne, de préprofessionnelle et de terminale. Comment le travail est-il divisé entre les professeurs et vous ? Les professeurs s’occupent du travail d’écriture ou de réécriture, ils guident les élèves dans le choix et l’adaptation du texte. Pour ma part, je travaille autour du texte, premier exercice d’acteur et début de la mise en scène. Entre temps, les professeurs distribuent les rôles et, suivant le programme scolaire, prennent une à deux heures par semaine pour maintenir le travail. À votre avis, un spectacle a-t-il sa place dans une école ? Oui, il a sa place partout. Je dirais

même que l’école a sa place dans un spectacle ! Un spectacle est une façon de s’exprimer, c’est un moyen de communication essentiel. Quelqu’un fait quelque chose, l’autre le regarde, c’est déjà un spectacle.

Si vous deviez donner des conseils aux élèves, que leur diriez-vous ? Lâch e z p r i s e , amus e z - v ou s , « balancez » vos idées et surtout, ne cherchez pas à être parfaits !

Les élèves apprennent à s’exprimer sur scène!

Spectacle des 9èmes

Spectacle créé et présenté par les élèves de 9ème année avec l’aide de leurs professeurs.

Mise en scène Entrée payante. Marianne Radja Boissons.

28-29-30 mai 2010 Salle Fleurisia - Fleurier

Ven.-sam. à 20h00 / Dim. à 17h00 Réservations :au secrétariat du CVT : 032 862 11 22

Records du monde

Tristan Freiburghaus

Le plus gros hamburger du monde Le plus gros hamburger du monde coûte environ Fr. 600.-. Et le prix n’inclut même pas les frites ! Ce gros hamburger est vendu à Southgate, au Michigan (USA). Le propriétaire et chef du restaurant dit que la cuisson du pain pour soutenir la viande du hamburger nécessite 8 heures ! Cet hamburger géant pèse 84 kilogrammes et sa création nécessite 15 heures de travail, incluant la mise en place du fromage, de la laitue et des tomates. Source: http://www.lesrecordsdumonde.com/


Stéphanie Wenker

Pas aussi difficile qu’il n’y paraît !

On entend souvent dire du lycée qu’il est difficile et qu’il y a beaucoup d’échecs…

Les débuts dans un lycée sont souvent inquiétants. Lorsqu’il faut se lancer dans quelque chose de nouveau et d’inconnu, alors qu’on sort tout juste de l’école secondaire, on s’imagine bien souvent que la difficulté est immense, que les études seront plus difficiles et que l’on va échouer… Mais ce n’est pas forcément la réalité.

À prendre ou à laisser

Les méthodes d’enseignement d’un lycée ne sont pas les mêmes qu’à l’école secondaire. Comme il s’agit d’une inscription volontaire, les étudiants peuvent quitter leurs études quand ils le veulent. Les professeurs donnent leurs cours aux élèves qui sont libres d’écouter, de travailler ou de s’intéresser. Ils ne sont plus poussés et encadrés pour réussir et c’est à eux de s’investir pleinement dans leur travail de manière volontaire et autonome. Comme il n’y a plus d’annotations ni de notes marquées dans l’agenda, ceci implique une plus grande responsabilité qu’il faut apprendre à gérer sous peine d’échec. Les parents ne reçoivent les notes de

Les études au lycée mettent les étudiants face à leurs responsabilités.

leur enfant que dans le bulletin semestriel et sont moins informés, ce qui oblige encore une fois les jeunes à se responsabiliser.

Différences… Comme il y a plus de matières enseignées, la grille horaire du lycée est plus chargée qu’à l’école secondaire. Mais il suffit d’une absence d’un professeur ou d’une journée extrascolaire pour que des heures de cours soient complètement supprimées ! Les étudiants sont impliqués dans l’organisation de rencontres entre

lycéens, la fête du lycée ainsi que le Bal des 3èmes.

Pas si difficile ! D’un point de vue général, suivre des cours dans un lycée est un peu plus difficile qu’à l’école secondaire mais la principale différence réside dans les devoirs qui sont plus nombreux et plus longs. Il faut donc apprendre à mieux s’organiser pour pouvoir tout faire, en plus des répétitions pour les évaluations. Et il n’y a pas de secret, pour réussir, il faut travailler !


Iclasse et Tell me more sont des logiciels mis à disposition des élèves neuchâtelois de différents degrés.

Laura Gonzalez

Des logiciels pour s’améliorer

Les ateliers d’apprentissage interactif Iclasse et Tell me more permettent de maîtriser certains savoirs fondamentaux et de s’améliorer dans différents domaines. Mis à disposition depuis 2004 dans le cadre du projet « ICT 01-04 » (Information and Communication Technologies), ces nouveaux outils aident les élèves à progresser à leur rythme.

Tell me more Signifiant « Dites-moi plus », Tell me more est une méthode d’apprentissage pour les langues comme l’allemand et l’anglais. De nombreuses activités (dialogues, fiches à consulter, mots-croisés, exercices,…) aident les élèves neuchâtelois des degrés 6 à 9 à apprendre différemment qu’avec des cours habituels. Tell me more travaille aussi les compétences comme la compréhension ou l’expression orale et écrite. Pour les enseignants, les avantages pédagogiques, surtout au niveau de la prononciation (anglais, allemand), sont appréciables à condition que les élèves s’investissent et ne fassent pas n’importe quoi. L’utilisation du logiciel est aisée mais quelques problèmes techniques liés au fonctionnement des casques provoquent parfois une perte de temps importante. Certains élèves vont même plus loin que ce qui est demandé.

iclasse La plate-forme iclasse permet d’entraîner le français et les mathématiques. Les élèves peuvent se connecter à tout moment, même depuis chez eux (contrairement à Tell me more) et s’entraîner librement à travers divers exercices liés au plan d’étude. Ils peuvent également

être guidés en suivant un plan de travail spécialement créé par les enseignants en début d’année. Comme pour Tell me more, l’investissement des élèves est primordial pour que l’utilisation de la plate-forme soit bénéfique. La possibilité de créer des parcours « guidés » et d’avoir un contrôle adéquat des activités réalisées permet un bon suivi des élèves.

Logiciels appréciés Pour les élèves, les avis sont

La plateforme « iClasse » permet aux élèves de répéter des notions du programme à la maison.

partagés, mais une majorité apprécient travailler avec iclasse et Tell me more. D’après eux, ces deux logiciels les aident à mieux comprendre . Cela change des habitudes et des leçons. Ils peuvent réviser des points de grammaire, de mathématiques ou l’orthographe des langues en s’amusant. Pour quelques élèves, les exercices n’apportent pas grand-chose de plus que les cours habituels. Lien : www.iclasse.ch

Le projet TIC (en anglais ICT) a pour but d’intégrer des Technologies de l’Information et de la Communication dans les écoles neuchâteloises depuis 2001. Il sensibilise et initie les élèves de l’école secondaire, à l’utilisation de programmes qui

les aident à s’améliorer. Aujourd’hui, on parle de MITIC (Médias, images et technologies de l’information et de la communication), ce qui permet d’associer les TIC aux médias et à l’image.

ICT, TIC ou MITIC ?


Chaque mercredi, le « joyeux » M. Boraley enseigne l’art de cuisiner à sept élèves.

Leslie Dogan

La cuisine, c’est si simple...

M. Boraley enseigne les ACF cuisine depuis cinq ans. C’est dans la salle d’économie familiale au sous-sol du collège Longereuse, le mercredi de 13h 30 à 15h qu’il retrouve sept élèves de 7ème année pour confectionner des petits plats.

Cuisiner simplement

Durant cette activité, les élèves apprennent à cuisiner des plats simples, rapides et plutôt sucrés (mousse de sugus, confiture à la mangue, bricelets, biscuits de Noël,…). Parfois les élèves peuvent choisir leurs plats parmi un choix d’idées du professeur.

Leurs avis

Les élèves font cette activité soit parce qu’ils aiment cuisiner soit parce qu’ils veulent devenir cuisinier. Ils apprécient l’activité et

le fait de ramener de la nourriture chez eux puis de pouvoir essayer seuls grâce à la recette. Ils n’apprécient pas faire les

nettoyages et la vaisselle à la fin de l’activité, avoir des taches sur les habits et ils aimeraient pouvoir cuisiner plus longtemps.

Des élèves préparent de la confiture dans la bonne humeur.

Le 24 février dernier, à l'occasion de la journée commémorant la fusion des communes du Val-de-Travers, quatre élèves de 9Ma2 ont proposé une résolution demandant la création d'un centre pour les jeunes. C'est dans la chapelle de Môtiers et devant une nombreuse assistance que Lyne Sidler, Valentine G i r o u d , A g a t h a Mroczkowska, et Kilian Rosselet (de dr. à g.) ont présenté un projet élaboré par leur classe mais auquel 340 élèves des degrés 7 à 9 ont eu l ' occas ion de cont r ibuer . Développé lors des leçons de MCC (Monde Contemporain e t Citoyenneté) et de français, le projet prévoit la mise à disposition d'un lieu convivial permettant aux jeunes de 13 à 17 ans de se rencontrer, de passer du temps

ensemble et de se livrer à des activités ludiques,

sportives et culturelles. Le centre serait géré par les jeunes eux-mêmes, appuyés mais non dirigés

par des adultes, et situé à Fleurier, à proximité de l'école. Le centre comprendrait une partie "café-bar", une partie extérieure permettant la pratique de différents sports et une pièce polyvalente pour visionner des films, préparer des chorégraphies, sketches, ... Ce lieu d'accueil serait ouvert tous les après-midi (week-

ends et vacances inclus) ainsi que les vendredis et samedis soir (pour des soirées à thème). Après une série de questions auxquels les quatre représentants de 9MA2 ont répondu avec

a s s u r a n c e , l a population présente a approuvé le projet par un lever de main (sur l e modè le des landsgemeinde) à une grande majorité. Le p r é s i d e n t d e commune a pris bonne note de la volonté de l'assistance, tout en précisant que la décision finale

appartenait aux autorités et en s'abstenant de faire des promesses. L'exercice de démocratie directe proposé aux jeunes a suscité de grands espoirs. Les élèves espèrent que les autorités iront de l'avant rapidement et que l'occasion offerte de présenter une réso lut ion aura a ins i un prolongement concret.

Yann Charrère

Résolution du 24 février

© François Charrière

Le mercredi 16 décembre, les élèves de 7Ma1 se sont rendus au Technorama de Winterthur accompagnés de leurs enseignantes Mmes Patricia Bors et Elvira Christian.

Inscription rapide En novembre une élève a remarqué un article dans un journal indiquant : « Les 30 premières classes à s’inscrire au Technorama du canton de Vaud, de Jura, de Neuchâtel et de Fribourg gagneront une entrée gratuite ». Elle l’a montré à Mme Christian qui a appelé le Technorama et qui a inscrit les 7Ma1 pour mi-décembre.

Journée bien remplie Le jour de la visite, les élèves concernés ont pris le train puis le bus pour se rendre au

Technorama de Winterthur. Sur place, ils ont eu à peu près cinq heures pour examiner les expériences et s’amuser parmi les quatre étages traitant de différents thèmes. En début d’après-midi, ils

ont pu voir une démonstration sur les éclairs ou sur le gaz. Après une journée bien remplie et appréciée de tous, ils ont rejoint la gare de Fleurier vers 19h00.

En décembre, les élèves de Mme Christian ont visité le Technorama.


A l’approche de Noël, les élèves de 7Ma1 sont allés visiter le Technorama à Winterthur.

Leslie Dogan

Course de Noël au Technorama

Le Technorama est le centre scientifique de Suisse où sont présentées toutes sortes d’expériences de physique, chimie et mathématiques. Parmi ces expériences, il y a une collection d’objets rares (trains miniatures), datant du XIXe siècle du Dr Bommer, des démonstrations d’éclair, d’électricité et de haute tension, de la tornade de feu et d’autres

en relation avec le gaz. Les visiteurs apprécieront également les activités de perception, d’illusion d’optique, de jeux de lumière et d’imagerie tridimensionnelle. Technorama strasse 1, CH-8404 Winterthur Tel. +41 052 244 08 44, [email protected]. , www.technorama.ch

Technorama

Démonstration du développement d’une tornade.

M a r s 2 0 1 0 L O I S I R S

Mots croisés - Cinéma Travail collectif

Solutions p. 5

Vertical 1. Quel est le dernier titre du roman « Twilight » ? 2. Quel est le nom de la planète où se déroule le film « Avatar » ? 4. Dans le film « Bienvenue chez les Chti’s », on ne dit pas : Je ne comprends pas votre question ? on dit… 5. De quelle couleur est le t-shirt de la petite fille dans « Monstre & Co » ? 7. Le film « Maman j’ai raté l’avion » se déroule à la période de… 8. Dans « Titanic », dans quel océan le paquebot coule-t-il ? 11. E.T. téléphone… 12. York Spiderman habite à …-York 15. Dans « Retour ver le futur », le héros se rend dans le… 16. Complétez ce titre : « Arthur et les …

Horizontal 3. Quel est le prénom de l’acteur qui a joué dans « Pirates des Caraïbes » et dans « Alice au pays des merveilles » ? 6. Dans « Monstre contre alien », comment s’appelle le monstre gluant bleu ? 9. Dans « Batman le chevalier noir », qui est le chevalier noir ? 10. Qui meurt à la fin du dernier roman d’Harry Potter ? 11. Dans « Madagascar » la girafe s’appelle… 13. Le film « This is it » a été fait à la mémoire de…(nom de famille) 14. Dans « Là-haut » l’oiseau s’appelle… 17. Alvin, Théodore et Simon (chipmunks) sont des…

M a r s 2 0 1 0 L I T T E R AT U R E

Les coups de de la bibliothécaire Anne Baptista Les ouvrages présentés vous attendent à la bibliothèque.

Les évadés du Mont-Saint-Michel de Fabian Grégoire

Le Mont-Saint-Michel, cet ilôt à la fois breton et normand, est connu comme l’un des plus beaux endroits de France et un site tourist ique fort fréquenté. Pourtant il n’a pas toujours été un lieu de rêve pour tout le monde ! Jusqu’en 1863, ce fut une prison où détenus, hommes et femmes, subissaient des conditions de détention terribles et mouraient couramment du scorbut ou de la tuberculose. Certains, parfois, réussissaient à s'évader. L’homme qui raconte cette histoire se souvient : il était un petit garçon et il avait le droit de voir sa mère, condamnée à cinq ans pour avoir volé une couverture, une fois par semaine. Un jour, la trouvant malade, il se jura de la faire évader avant l’hiver. C'était risqué, mais vital… L’auteur nous fait partager ses textes et ses dessins à travers un voyage dans le temps fort bien réalisé.

Le zébu né d’un oeuf d’oiseau de paradis

Un conte de Madagascar écrit et raconté par Muriel Bloch et

illustré par Zaü

D E C O U V R I R L A L E C T U R E P A R

L ’ E C O U T E

Mon arbre de Gauthier, Labourot, Lerolle

Il était une fois… un arbre. Je m’appelle Laurine, cet été-là, j’ai dix ans ! Et je passe toutes mes journées auprès de mon arbre, un vieux chêne sous lequel je lis paisiblement. Et un jour je découvre des petits chênes. Des petites pousses de toi, mon ami le chêne. Si je m’en occupe bien de ces petits chênes, ils deviendront aussi forts que toi, mon arbre. Mais ce mat in- là, je remarque également une grande croix rouge

peinte sur ton tronc ainsi que sur tous les arbres du bosquet. Que cela signifie-t-il ? Et puis petit à petit… les arbres du bosquet ont commencé à disparaître. Les hommes sont revenus pour abattre les arbres, les arbres qui portent des croix rouges… Je n’ai rien pu faire pour les en empêcher. Mais cette nuit-là, juste avant que tu ne sois abattu, je t’ai fait une promesse, mon arbre, et je la tiendrais… La suite à découvrir au travers des magnifiques illustrations de cette bande dessinée.

U N E B A N D E D E S S I N E E S P A S

C O M M E L E S A U T R E S

C’est l’histoire de Faravavy, une petite fille qui trouve dans la forêt un extraordinaire œuf : un œuf d’oiseau du paradis. Chaque jour, en cachette, elle le regarde grossir, grossir et un jour l’œuf éclôt. Mais quelle surprise de découvrir que ce n’est pas un oiseau qui sort de l’œuf, mais au contraire un étrange animal. Un gros, très gros drôle de « zozo »… mais sans aucune plume ! Dès lors Faravavy, va chaque jour s’occuper de son nouvel ami. Elle doit user de bien des ruses pour ne pas être découverte par ses sœurs. Et ses parents s’inquiétant de la voir disparaître chaque jour, vont l’envoyer chez sa grand-mère afin de percer son secret. A son retour, Faravavy rentrera dans une rage folle. Pour savoir ce qui a déclenché la colère de Faravavy, à vous de lire ou écouter cet émouvant conte, tout en découvrant la force et la richesse de la musique de Madagascar.

A L B U M S I L L U S T R E S , U N R E G A L P O U R L E S

Y E U X

M a r s 2 0 1 0 M U S I Q U E

Fany Erb, texte tiré du site du chanteur.

Junior Tshaka Junior Tshaka, jeune auteur compositeur suisse est une figure incontournable de la scène reggae.

La première expérience scénique de Junior Tshaka remonte à ses 14 ans. Petit à petit, la musique prend de plus en plus d'importance dans sa vie et c'est au début des années 2000, alors âgé de 22 ans, qu'il décide de s 'y consacrer pleinement. Après plusieurs expériences musicales, il d e v i en t l e c h an t e u r d'Akamassa, groupe de reggae neuchâtelois.

Mots qui touchent Depuis huit ans, Junior Tshaka accumule les expériences musicales au fil de nombreux concerts donnés avec diverses formations en Suisse et à l'étranger (Akamassa, Junior Tshaka & Friends, Swiss Reggae Unity, etc.). Un album

sorti en février 2007 qui mélange chanson française et reggae, offre un doux voyage acoustique à travers l'Homme, la nature ou la vie... Des passages festifs, quelques ballades, du reggae et des textes percutants, nous touchent entre espoir, tendresse, remise en question et dénonciation.

« Il est temps » En mai 2009, c’est sortie de « Il est temps », nouvel album de Junior Tshaka, dans lequel il nous propose sa vision du monde, critique, dure, réaliste, mais pleine d’espoir. Il est temps de marcher ensemble ! Devenir humain… ni plus ni moins ! C’est le moment de mettre du coeur dans la bataille ! Et, dans cet album, le coeur y est !

Reconnaissance Le 5 juillet 2009, Junior Tshaka est annoncé officiellement vainqueur

d e l ’ Eu r ope an Reggae Contest lors de la cérémonie qui a lieu à Udine, en

Italie ! 445 groupes de t o u t e l ’Europe ont d’abord été départagés par Internet (vote des internautes) puis, par le jury de l’European Reggae Contest. Dix groupes se sont affrontés en finale sur la grande scène du Rototom Sunsplash Festival. Finaliste, représentant de la Suisse, Junior Tshaka y avait joué devant le jury la veille de sa victoire. Il remporte ainsi une tournée dans toute l’Europe : Slovénie, Tchéquie, Pologne, Suisse, Belgique, Espagne, I ta l ie , A l l e m a g n e e t F r a n c e .

Tournée Depuis son retour de son périple européen, Junior Tshaka poursuit sa tournée « Il est temps...» en Suisse et à l’étranger. Sources: http://www.junior-tshaka.com http://www.trock.ch http://www.greatsong.net

« Zen », un mot inventé pour

Junior Tshaka !

Extrait « Le silence est d’or »

On peut pas mentir au monde entier Laisser défiler les années A fixer le scénario bien ficelé Qu’on va bien pouvoir leur filer On peut pas berner l’humanité Mettre en berne le drapeau de l’unité Au nom de papiers de monnaies Qui ne font que nous diviser On a beau jouer les yeux bandés Les cœurs entendent des gens saigner On a beau se voiler nos journées Très vite la baffe de la réalité Et les secrets sont bien cachés Dans la machine à manipuler Celle qui peut faire tout oublier Comme tout stopper et tout nier...

M a r s 2 0 1 0 C I N E M A

Lyne Sidler

La vague

jeunesse, au programme de nombreuses écoles allemandes depuis plus de vingt ans. L'adaptation de Dennis Gansel a de même connu un très grand succès.

Un film à voir

Les élèves de 9ème année iront voir ce film le 25 mars prochain, rediffusé au cinéma Colisée pour l’occasion. Selon le directeur, M. Franceschi, ce film permettra aux élèves de « savoir comment fonctionne une dictature et quelles sont ses conséquences », ainsi que « de prendre conscience que nous vivons dans un pays libre, et que nous en sommes très chanceux ».

Un film excellent à la fois étonnant et puissant, comme une vague !

Allemagne, de nos jours. Rainer Wenger, professeur d’un lycée, propose à ses élèves dans le cadre d’une semaine thématique sur l’autocratie, de mettre en place lors de ses cours, un régime totalitaire. Il va créer une communauté fonctionnant comme une unité, comportant un salut, un uniforme, des règles, un symbole : la Vague. Toutefois, certains membres de cette communauté, en particulier un jeune homme dénommé Tim Stoltefuss, vont prendre cette expérience trop au sérieux et vont commencer à commettre des actes « au nom de » La Vague. Progressivement, les élèves vont se souder et rejeter ceux qui contredisent leurs règles… Le professeur, ne voyant pas l'ampleur qu'ont pris les choses, laisse faire ses élèves malgré les avertissements de certains, et lorsqu'il ouvre enfin les yeux, il se trouve en face d'une situation à laquelle il ne s'attendait pas....

Une histoire vraie

Le réalisateur s’est inspiré d’une étude expérimentale du fascisme appelée La Troisième Vague. Cette étude a été menée par le professeur d’histoire Ron Jones

avec ses élèves de première du lycée Cubberley à Palo Alto (Californie) en 1967, dans le cadre d’un cours sur l’Allemagne nazie. N’arrivant pas à expliquer à ses élèves comment les citoyens allemands avaient pu, sans réagir, laisser le parti nazi procéder au génocide de populations entières, Ron Jones décida d’organiser une mise en situation. Il fonda un mouvement nommé « La Troisième Vague ».

Classique littéraire

La Vague est également un roman de Todd Strasser et est un classique de la littérature de

La Vague Titre original : Die Welle Avec: Jürgen Vogel, Frederick Lau,

Max Riemelt, Jennifer Ulrich.

Réalisé par : Dennis Gansel Sortie : 4 mars 2009

(Disponible en DVD)

Genre : Drame Durée : 1h 48min.

Sources : www.allocine.fr & wikipéd

ia

Mars : Lu 1 Début des relâches. Lu 8 Reprise des cours. 8-12 Camps d’hiver.

Avril : Ve 2 Début des vacances de printemps. Lu 19 Reprise des cours Lu 26 Distribution des rapports intermédiaires. 27-28 Epreuves cantonales degré 8.

Mai : 1 Fête du travail. 4-6 Degré 6 : épreuves d’orientation, 2e session 13-14 Ascension. Lu 24 Pentecôte 28-30 Spectacle du degré 9.

Juin : 7-11 Degré 7 : camps de printemps. 14-18 Conseils de classe. 23 Remise des certificats du degré 9. 26-28 Abbaye de Fleurier. Lu 28 Début du camp de l’Ardèche (D9). Début des activités spéciales (D6-7-8).

Juillet : Je 1 Retour de l’Ardèche (degré 9). Fin des activités spéciales. Ve 2 Midi : VIVE LES VACANCES !

Agenda 2010

Ont participé à l’élaboration de ce numéro : Leslie Dogan, Fany Erb, Laura Gonzalez, Amélie Jeanneret, Valentine Moser, Sarah Portelinha, Sophie Rohrer, Lyne Sidler, Stéphanie Wenker, Bryan Calado, Tristan Freiburghaus, Anne Baptista, Laure Fink, Yann Charrère et David Hamel.

PAGE 22 M a r s 2 0 1 0 L O I S I R S

Concours - Qui est-ce ?

Le clin d’oeil d’Amélie

Vous l’avez reconnu(e) ? Alors allez vite chercher un bulletin réponse au secrétariat du collège Longereuse et remplissez-le d’ici au vendredi 2 avril 2010.

Indice: Au feu les pompiers, la maison qui brûle...

A gagner : Un sac à dos « Centre Sportif ».

Résultat du concours : La personne à découvrir du dernier numéro était Mme Scapolan. Toutes nos félicitations à Valbona Ukzmaili qui est l’heureuse gagnante du concours.

Conditions de participation : le (la) gagnant(e) sera tiré(e) au sort parmi les bonnes réponses reçues. Un seul bulletin par personne (les doublons seront supprimés). Le concours est ouvert à tous sans exception. Aucune possibilité de recours.

ACF Journal - 3 parutions par année Ecole Jean-Jacques Rousseau de Val-de-Travers, 2114 Fleurier

032 862 11 22

www.rpn.ch/cvt / [email protected]

Changements Les Zèbres au Vallon · la classe de 6 ème année, M. Paris pour les 4 ème primaire,...

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