Challenge n°2 - Avril 2005

Le palmarès du challenge

1. Baal Moloch 2. Atorgael 3. Rendar 4. Courgette 5. Kroucht 6. Worrywort 7. Kragor

Baal-Moloch Aveuglé par une multitude d'éclairs scintillants, il n'arrivait pas à détourner son regard de cet étrange joyau. Pourquoi les Mon-keigh avaient-ils voulu défendre au prix de leur vie ce prisme aux reflets aigue-marine ? Adanedhel, guerrier-aspect Scorpion du vaisseau-monde Shemash, l’ignorait totalement. Il était le seul rescapé de ce corps à corps bref et sanglant qui venait de se dérouler au cœur de ce temple poussiéreux oublié de tous, sur ce monde-vierge que ces crasseux et arrogants humains avaient osé s’arroger au nom de cette pathétique charogne qu’ils nommaient Empereur. Plongé dans ses pensés, il se surprit alors à avancer machinalement, presque contre sa volonté, vers l’étincelant bijou. Enjambant indifféremment les cadavres humains et eldars, il ressentit au plus profond de son être une émotion qu’il croyait avoir refoulée depuis des siècles : la convoitise. Il voulait voir cette gemme magnifique de plus près. En cet instant, il la désirait plus que tout malgré la réticence évidente et les avertissements que lui lançaient les essences de sa pierre-esprit, ainsi que son propre instinct. Le tétraèdre de cristal bleu était posé à même un simple autel de marbre et semblait irradié d’une puissante énergie. Le Scorpion se persuada qu’une force ancienne et bienveillante devait résider en son sein et tendit fébrilement la main dans sa direction.

A peine eut-il touché l’objet que son armure changea. Comme une goutte d’encre se répandant dans un verre d’eau, sa carapace prit une teinte noire irisée de bleu et de vert. Des lames acérées percèrent de ses bras et ses jambes. Sa conscience totalement absorbée et dépecée, Adanedhel perçut à peine le hurlement des âmes de sa pierre-esprit consumées par la résurrection. Quelque part dans la Toile, en un endroit devenu légende, Arhra esquissa un sourire de satisfaction. Un nouvel élément venait de rejoindre ses rangs pour le Rhana-Dandra…

• Bon style • bonne originalité mais des lourdeurs dans des phrases

trop longues. • Très bon récit sur les Eldars, bien écrit • On lit avec plaisir. J'ai vraiment bien aimé, du très bon,

du baal moloch quoi ! • Pas très original - Des lourdeurs dans des phrases trop

longues

Commentaire de Baal-Moloch

Voilà un prétexte pour glisser mon vaisseau-monde Shemash ! Je me suis inspiré d'un vieux texte relatant la résurrection de Karandras. Pourquoi alors n'en serait-il pas de même pour les acolytes d'Arhra ? En bref, je dois bien admettre n'être pas fidèle au fluff, juste inspiré…

Atorgael

Aveuglé par une multitude d'éclairs scintillants, il n'arrivait pas à détourner son regard de leur dernier espoir. Voila maintenant plus de vingt minutes que le dernier technaugure du régiment soudait les lourdes plaques d'acier, sa lance thermique fondait le métal afin de sceller le passage ouvert par le dernier assaut et le soldat Garner tentait de voir là une chance de se sortir vivant de ce guêpier.

Le serviteur mécanique avait délaissé les trois derniers Leman Russ encore en état de tirer, deux ne pourraient plus jamais rouler, le dernier avait sa tourelle bloquée, vestiges de la toute-puissance impériale. Garner regarda ses compagnons à coté de lui, de son peloton d'origine ils n'étaient plus qu'une petite douzaine, le sergent Karl avait pris le commandement et il faisait de son mieux pour remonter le moral des troupes.

Une tâche difficile, tous savaient qu'ils ne s'en sortiraient pas cette fois, le fort venait de subir sa cinquième attaque de la journée et déjà les assaillants se regroupaient pour la prochaine. Nuée infatigable, les cafards, comme ils les avaient surnommés, semblaient ne pas se lasser, les retraits n'annonçaient qu'une chose : nous reviendrons toujours plus nombreux.

Le dernier assaut avait laissé les troupes impériales chargées de défendre ce fort au milieu de nul part

exsangues. A ce demander qui était ce brillant stratège qui avait décidé de cette brillante tactique.A croire qu'ils étaient là juste pour donner à manger à ces cafards histoire de voir jusqu'où leur appétit vorace allait.

Mais Garner n'était qu'un simple soldat et il gardait ses opinions pour lui, surtout quand le commissaire passait dans les rangs. Le signal de la vigie, le sniper placé sur le dernier bâtiment de plus de cinq mètres de haut, provoqua un silence tendu immédiatement remplacé par un chapelet de murmures religieux, chacun y allait de son invocation, Garner entonna la litanie du courage : 'O Empereur voit Tes Soldats, nous sommes Tes Instruments, nous Te servons avec joie et fierté, puisses Tu nous apporter une part de Ton Courage pour notre mission, nous ne reculerons pas et en Ton Nom nous anéantirons tes ennemis.'

Ses derniers mots furent couverts par un bruit de tonnerre, les cieux s'ouvrirent, les nuages roulèrent, un grondement couvrit les premiers tirs des obusiers sur les lignes ennemies maintenant à portée. Une multitude d'éclairs zébrèrent du ciel : des modules de largage impériaux. 'Loué sois tu Empereur magnifique!' Garner épaula son fusil laser et commença à tirer, son regard sans cesse attiré par les renforts qui débarquaient non loin du fort. Mais n'était-il déjà pas trop tard ?

• j'adore tout simplement, Ça vaut bien un quadruple 3 • C'est très bon. J'aime bien le fait que les Éclairs

constituent un espoir, et non pas une menace. • Un grand classique mais j'aime bien le style qui est

efficace. • sympa de reprendre Garner. j'ai apprécier les Litanies. • Excellent texte… Pas grand chose À redire si ce n'est

que Ça fais plaisir de revoir Garner… • Un récit classique, mais bien tourné

Rendar

Aveuglé par une multitude d'éclairs scintillants, il n'arrivait pas à détourner son regard du spectacle qui se déroulait devant ses yeux. Il semblait comme paralysé devant le kaléidoscope de couleurs et de formes ayant enveloppé d’un étrange manteau la personne qui se trouvait, il y a quelques secondes encore, devant lui.

La jeune recrue des forces de défense planétaire de Byss n’avait jamais vu quelque chose d’aussi beau. Pourquoi diable encore avait-il été ce matin chargé d’appréhender cet homme ? Impossible de s’en souvenir tellement il était fasciné par les ondes de chaleur envoûtante qui émanaient de l’individu en face de lui. Ha, ça y est, il se rappelait enfin. Probabilité d’appartenance à une secte occulte si ces souvenirs étaient bons.

Portant fièrement son nouvel uniforme il avait, il y à quelques minutes, effectué une perquisition au domicile du fugitif. Il avait trouvé ce dernier assis sur un lit de cousins entrain de réciter une quelconque prière. Puis la pièce s’était soudainement enflammée de couleurs chatoyantes aux doux tons pastels accompagnées d’une forte odeur de musc. Le fugitif s’était alors levé avant de commencer à se tordre. Etait ce de douleur ou du plaisir ? Difficile de le définir tant ses hurlements pouvaient sous entendre l’un comme l’autre. L’orage d’énergie colorée l’avait alors entouré puis pénétré.

C’était il y a à peine quelques secondes mais il n’arrivait toujours pas à détourner son regard du maëlstorm d’éclairs lumineux qui commençait à se dissiper. Il arrivait à discerner une fragile silhouette au travers du nuage de fumée âcre qui s’évanouissait aussi vite qu’il était apparu. Mince, élancée, la créature n’avait plus rien de l’homme qu’il était venu appréhender. A peine vêtue, la chose, manifestement féminine, qui s’avançait vers lui était superbe. Sa peau aux tons violets iridescent, ses lèvres plus rouges que le sang, sa démarche langoureuse, ses membres terminés par d’immenses excroissances osseuses en forme de lames.

Tout en elle lui disait de fuir mais, alors qu’elle n’était plus qu’à quelques centimètres de lui, il n’avait qu’une envie… Rester avec elle pour l’éternité.

• Quelques petites étourderies et petites fautes, mais je te

pardonne Ça a été fait à la va vite • Classique mais toujours bon À lire. • Rendar connait déjà mon opinion, bonne qualité malgré

la nécessité d'écrire vite ce texte. • Pas original mais bien Écrit • 2 textes d'invocation • Toujours aussi bon, même dans la précipitation

Courgette

Aveuglé par une multitude d'éclairs scintillants, il n'arrivait pas à détourner son regard… Le pauvre homme qu’il était savait que c’était la fin. La grenade avait explosé près de sa fenêtre. Et maintenant il regardait les hommes venus le chercher pour le brûler, ou peut-être même pire ! Il n’osait pas imaginer ce qu’ils pourraient lui faire d’autre. Il avait entendu dire que les tortures que l’on infligeait aux gens comme lui étaient terribles. Paradoxalement, cela ne s’était jamais produit, mais cette révolte-ci couvait depuis longtemps. Il décida de sortir le plus vite possible de chez lui en courant, prendre son véhicule et fuir. Il partit donc en courant, détournant son regard de la foule armée de torches qui s’était massée devant sa fenêtre et qui hurlait « A mort ! ».

Il traversa en courant un long couloir. Pendant cette traversée, il songea à tout ce qui avait mené à cette situation. Au fond de lui il savait depuis toujours qu’il n’aurait pas dû Leur vendre son âme. Au début tout allait bien, personne ne s’était rendue compte de la différence. Ses ordres étaient toujours respectés à la lettre, et sa parole avait valeur de loi. Mais peu à peu la corruption de son esprit était devenue visible. Cela avait commencé par des étonnements éparses, puis, le réseau informatique de la planète aidant, les gens s’étaient mis à le critiquer de plus en plus ouvertement, puis à l’insulter. « Je n’aurais pas dû faire cela ! » se répétait-il. Il se demandait si l’Empereur lui pardonnerait, à supposer qu’il existe. Après tout, n’avait-il pas fait cela pour rendre Ses serviteurs plus puissants ? Mais une voix dans son esprit

lui rappela qu’il avait également rendu plus puissants Ses ennemis. Il hurla à haute voix que tout ceci n’existait pas. Arrivé à la porte du fond il pensait être sauvé. Il ouvrit la porte qui menait à son véhicule… mais son esprit eut juste le temps de réaliser qu’on l’attendait, avant que tout ne devint noir et qu’il sombra dans l’inconscience…

Lorsqu’il se réveilla, il vit qu’il était attaché à un bûcher. Autour de lui, la foule brandissant des torches se faisait menaçante. « Tu vas payer pour toutes tes erreurs ! » lançaient-ils en approchant des torches du tas de bois. Gavin Thorpe hurla : « Non, attendez, je regrette, je ne ferais plus de codex aussi bourrins, je ferais revenir les Squats, je vous le promet, laissez moi en vie ! ».

Mais le bûcher commençait déjà à brûler.

• Toujours egal à lui même, la courge nous tourne ça à la

dérision ,et ça marche en plus, j'ai adoré ! • sympa ce petit texte, il change des grands récits trouvés

dans les codex ou encore dans le White Dwarf. La chute est aussi excellente qu'inattendue. On voudrait plus de récit comme ça.

• encore bravo. • La fin m'a fait hurler de rire, même si c'est totalement

hors fluff ! • Du grand n'importe quoi ; j'adore la fin, bonne touche

d'humour.

• Quand cessera tu de faire le gamin toi ??? Bon, j't'accorde le fait que tu m'aie fais bien rire vil légume.

• Phrase d'intro À peine respectée. On commence à connaitre et a se lasser de ce type de diatribe anti Gavin. Moyen

Kroucht

Aveuglé par une multitude d'éclairs scintillants, il n'arrivait pas à détourner son regard de l’être qui venait d’apparaître devant lui, abandonnant le corps de chair de l’adorateur, qui fut certainement un exemple pour son zèle, mais surtout pour sa stupidité. Quel être sensé accepterait de servir d’hôte à un démon ? Peu importait maintenant, le mal était fait, le démon invoqué s’étant matérialisé dans ce monde.

La créature dominait l’Inquisiteur Kocliz du haut de ses trois mètres. Il émanait de lui une aura de puissance peu commune, même parmi les démons que le serviteur de l’Empereur avait croisé au cours de ses longues traques. Une peau albâtre, un visage fin et sensuel, des yeux noirs et une bouche attirante, tout chez cet être transpirait la volupté et le désir, la passion et la perversion.

« Vieeens ààà moooiii ! » La voix délibérément traînante du serviteur du dieu du plaisir, némésis des eldars, fit esquisser un pas en avant à Kocliz, mais ce dernier se reprit en psalmodiant des litanies à son Divin Maître, Sauveur de l’Humanité.

« Arrière, chien hédoniste. Tu ne m’auras pas avec tes charmes trompeurs ! » L’inquisiteur arborait maintenant toute sa superbe. D’un pas confiant, il s’avança vers le démon, son arme de force à la main, prêt à renvoyer l’être dans les Limbes.

« Crrooiiiis tuuu vraaiiimeeent poouuuvooiiir meee rééésiiisteeer ? » La perfide créature pris une pose plus que suggestive, et l’inquisiteur ne parvînt pas à rester totalement maître de lui : ses joues s’empourprèrent fortement. Il parvient cependant à garder la maîtrise de ses jambes, et si ses mains relâchèrent son arme dans l’étui, ce fut pour saisir un étrange appareil, doter d’une sorte d’œil bionique en plein milieu. « Surtout ne bouge pas !!! » Sa voix se fit suffisamment forte pour ébranler un instant le serviteur de Slaneesh.

« Que fais-tu ? » L’inquiétude soudain de la créature devant cet appareil inconnu lui fit perdre le ton premièrement adopté. Un éclair blanc fut la seule réponse, qui aveugla suffisamment le démon pour qu’il ne se rende pas immédiatement compte que Kocliz s’était furtivement approché de lui, et lui plantait une épée dans le torse. Le monstre hoqueta de douleur et de surprise : « Comment as-tu fais cela ?… »

Pour seule réponse, Kocliz se concentra, et l’épée reliée à l’amplificateur psychique, déchargea toute la puissance de son propriétaire. Le gardien des Secrets s’écroula, et son enveloppe corporelle commença à se dissoudre. « Pourquoi n’as-tu pas succomber à mon charme… ? » fut son dernier râle.

« La prochaine fois, réincarne-toi dans une adoratrice ! Je suis pas accroc des démons poilus… » rétorque l’inquisiteur, plein de suffisance. Il retira doucement la précieuse pellicule du Paula Roïde, du nom de son génial inventeur et actuel supérieur de Kocliz. « J’en connais

une qui va être contente… c’est vrai que c’est tout de même plus pratique que de se trimballer avec de vieux bouquins usés par les ans… » Un sourire subtil parcourut son visage, lorsqu’il enjambait les cadavres des sectaires massacrés par ses soins : « J’aurai peut-être même un bonus… »

• J'ai vraiment bien aimé, bien que celà soit du déjà vu le

combat demon/inquisiteur. Attention • J'adore l'idée, originale et bien traitée ! Et le style est

toujours aussi bon. • Une chute assez drôle mais un peu rapide et confuse ;

cela manque un peu de cohérence mais l'idée est amusante.

• Je reste mitigé devant ton texte. Je n'aime pas l'utilisation de ”” pour les conversations et le texte est trop long par rapport aux consignes

• Des dialogues assez plats.pas original • 2 textes d'invocation

Worrywort

Aveuglé par une multitude d'éclairs scintillants, il n'arrivait pas à détourner son regard du fruit de plusieurs minutes d’un laborieux effort. Finalement, convaincu que le résultat était plus que satisfaisant le cadet Ruppert se releva de l’endroit où il était assis, les genoux enquilosés ; un craquement sec lui rappela d’ailleurs de mieux s’installer la prochaine fois.

_« Hé les gars qu’en pensez-vous ?? »

Ses camarades de chambré arrivèrent intrigués, Ruppert semblait gonflé d’orgueil. « Houa Rup’, tu t’es bien débrouillé, là c’est sûr et certain !! » ; « balaise le gars, y a pas tu as du savoir-faire, cette fois le… »

Le cadet n’eut pas le temps d’achever sa phrase. Un mugissement les glaça d’effroi, tel leur Némésis implacable, le sergent instructeur Higway passa le pas de la porte en aboyant à son habitude son garde-à-vous (entendez HAOU !!!). Les cadets n’eurent que le temps de s’aligner et de se mettre en position pour recevoir leur supérieur tant craint (à juste titre d’ailleurs).

_« Alors mes gaillards, on se la coule douce ?? Où en êtes-vous de l’importante mission que seule mon infinie gratitude a dénié vous accorder, oui vous là les zigotos, non mais regardez-moi ça de vrais p’tits cadets hein ! Vous croyez être prêts à toucher une arme, une vraie ?? Dégommer des hérétiques ou des Xénos (le sergent accompagna son rictus de dégoût à ce mot en crachant

sur la vareuse de Talh qui n’était pas à sa place réglementaire)… tsss, avez-vous été capable de faire ce que je vous ai demandé ?? »

A ce moment, Ruppert tenta d’ouvrir la bouche pour répondre par l’affirmative, mais le sergent le coupa aussi sec « j’vous ai pas demandé de répondre cadet matricule 000125k22. Et maintenant montrez-moi mes gamelles et j’espère pour vos arrière trains qu’elles brillent plus qu’un miroir de bordel… Après un rapide coup d’œil, « Quoi ?? Vous osez insinuer que ces gamelles sont propres ? Non mais même dans la boue de Virdiana Prime elles brillaient plus !! Dehors tas de Kroxs bouseux et direction le parcours d’obstacles, vos doigts ont besoin d’être dénoués pour apprendre à nettoyer quelque chose décemment !! »

Déçu, Ruppert sortit très vite de la chambré en se disant que ce n’était pas encore cette semaine qu’ils pourraient espérer sortir de la caserne. Dur est la vie de recrue.

• Se laisse lire • Rigolo • classique, clin d'oeil aux bon vieux films de guerre • L'idée de la gamelle qui brille est plutôt sympa. • Un bon petit texte ça sent ” la 1ère compagnie ” • Une ou deux tournures malheureuses • Lourd à lire, construction et orthographe • Pourquoi utiliser de viles parenthèses dans un récit ???

Ca nuit tellement au style et à la lecture • Quelques maladresses d'écriture • La ponctuation pourrait être améliorée

Kragor

Aveuglé par une multitude d’éclairs scintillants, il n’arrivait pas à détourner son regard des brasiers vomis des usines incendiées par l’invasion des tyranides.

Il fut brusquement ramené à la réalité par une imprécation véhémente de Léonidas, le Chapelain de la compagnie.

Il était maintenant clair que l’invasion de la planète n’était pas récente. Kandor était entièrement occupée par la masse grouillante des tyranides. De la valeureuse garde impériale, ne restaient plus que quelques poches de résistance.

La planète devait être stérilisée, mais les bombes bactériologiques ne pouvaient pas être larguées, le système de défense orbital était toujours actif, et elles seraient détruites avant d’atteindre leur but.

Léonidas et son escouade de terminators devaient désactiver les défenses par une attaque au sol.

Il regarda le visage de ses huit autres camarades éclairés par les lueurs des incendies. Ensemble ils formaient l’escouade de vétérans des guerres tyranides du chapelain. Leurs armures énergétiques portaient encore les stigmates des précédentes rencontres.

La barge de débarquement plongea vers le sol.

L’heure arrivait où une nouvelle fois il devrait faire face à son destin pour la gloire de l’Empereur.

• Quelques petits défauts au niveau de la syntaxe, et un

peu déjà vu, cela reste pas mal • Dommage qu'il ne se passe rien. • frustrant car Ça sent juste l'intro, je suis resté sur ma

faim, j'attendais la suite. • simple et efficace, j'aime. • Ton style très dépouillé donne à cette histoire très peu

originale un charme particulier que j'apprécie… Mais pour un concours c'est trop léger à mon gout…

• Beaucoup trop court dommage