CFA 2013, 8e Congres Francophone d'Allergologie...Mercredi 17 Avril 2013 • 08:30 > 09:00 •...

Tous les jours Filtre par catégorie Toutes les assignations recherche rapide

Mardi 16 Avril 2013

Programme Inscription Soumission derésumé

Espaceintervenants

Espaceexposants

Informationspratiques

Presse Crédits Formationdu CFA

Agenda

JRA • 09:15 > 17:30 • Journée de Recherche en Allergologie (JRA) - Matin

Pour la troisième année consécutive, le Congrès Francophone d’Allergologie sera précédé par une journée Recherche en Allergologie. Celle-ci se tiendra auPalais des Congrès de Paris le 16 avril 2013.Organisée par la Société Française d’Allergologie avec le soutien de la Société Française d’Immunologie et l’ITMO Immuno-Hémato-Pneumologie de l’Aviesan, cettemanifestation a pour objectif de promouvoir la recherche en Allergologie en France en montrant qu’une recherche de qualité est menée autour de l’allergie et en encourageantles jeunes chercheurs à travailler dans ce domaine scientifique.

Modérateurs : M. Daëron (Paris), J-P. Kinet (Boston), A. Magnan (Nantes), B. Wallaert (Lille)

• 09:15 • Introduction> B. Wallaert (Lille)

• 09:30 • Opening Conference - Novel calcium channel in lymphocytes: a role in Th17 differentiation> J-P. Kinet (Boston)

• 10:15 • Allergology Tomorrow - Human inflammatory dendritic cells induce Th17 differentiation> E. Segura (Paris)

• 11:15 • Allergology Tomorrow - Human Epidermal Langerhans Cells maintain Immune Homeostasis in Skin by Activating Skin Resident Regulatory Tcells> J. Seneschal (Bordeaux)

• 11:45 • Allergology Tomorrow - A new mouse model to study innate and adaptive immune responses in the absence of pDCs> C. Guillerey (Paris)

• 12:15 • Allergology Tomorrow - Mast cell/CD4+ T cell cognate interactions> E. Espinosa (Toulouse)

• 12:45 • Pause

JRA • 09:15 > 17:30 • Journée de Recherche en Allergologie (JRA) - Après-midi

Pour la troisième année consécutive, le Congrès Francophone d’Allergologie sera précédé par une journée Recherche en Allergologie. Celle-ci se tiendra auPalais des Congrès de Paris le 16 avril 2013.Organisée par la Société Française d’Allergologie avec le soutien de la Société Française d’Immunologie et l’ITMO Immuno-Hémato-Pneumologie de l’Aviesan, cettemanifestation a pour objectif de promouvoir la recherche en Allergologie en France en montrant qu’une recherche de qualité est menée autour de l’allergie et en encourageantles jeunes chercheurs à travailler dans ce domaine scientifique.

Modérateurs : C. Hoarau (Tours), J-F. Nicolas (Lyon), A. Tsicopoulos (Lille), E. von Mutius (Münich)

• 14:00 • Progress in Allergology - New insight in mastocytosis physiopathology and treatment> O. Hermine (Paris)

• 14:30 • Progress in Allergology - Interleukin-33 (IL-33): an alarm signal involved in type-2 innate immunity and asthma> J-P. Girard (Toulouse)

• 15:00 • Progress in Allergology - Intestinal symbiotic microbiota and mucosal immunity> G. Eberl (Paris)

• 16:00 • Progress in Allergology - Tregs and the gut microbiota during acquisition of oral tolerance in neonates> D. Kaiserlian (Lyon)

• 16:30 • Closing Conference - Protection from asthma and allergies in farming environments> E. Von Mutius (Münich)

• 17:15 • Conclusion> A. Tsicopoulos (Lille)

CP1 • 13:30 > 18:00 • Cours de perfectionnement du JAMA

Vous l'avez souhaité, le JAMA de printemps est donc reparti. Nhân Pham-Thi et Pascal Demoly vous proposent cette année d’approfondir vos connaissancessur des thèmes ciblés d’allergie alimentaire et aux médicaments à partir de cas cliniques pratiques autour de l’allergie alimentaire aux poissons et des allergiesmédicamenteuses aux antibiotiques.

Modérateurs : P. Demoly (Montpellier), N. Pham-Thi (Paris)

• 13:30 • Les Poissons

• 15:30 • Pause

• 16:00 • Antibiotiques

CFA 2013, 8e Congres Francophone d'Allergologie http://www.congres-allergologie.com/schedule.aspx?e=163&...

1 sur 18 15/03/13 09:24

Mercredi 17 Avril 2013

• 08:30 > 09:00 • Ouverture du congrès

Présidents : J-P. Dumur (Aix-en-Provence), B. Wallaert (Lille)

M1 • 09:00 > 10:30 • Nouveaux concepts dans la physiopathologie de l’asthme

Cette session abordera des nouveaux concepts dans la physiopathologie de l’asthme qui éclairent d’un jour nouveau certains aspects jusqu’alorsincompris de l’asthme. En particulier seront évoqués les nouvelles cellules lymphoïdes innées de type 2 récemment individualisées, qui constituentle versant innée des cellules Th2, l’IL-22 un médiateur impliqué dans la réparation tissulaire, et la sous population Th17 qui par le biais de sacapacité à induire le recrutement de neutrophiles pourrait participer à la physiopathologie de l’asthme sévère. Ces nouveaux concepts ouvrent laporte à de nouvelles possibilités thérapeutiques dans l’asthme.

Modérateurs : H. Douagui (Beni-Messous), C. Hoarau (Tours), X. van der Brempt (Marche-en-Famenne)

• 09:00 • Les cellules lymphoïdes innées de type 2 : un nouvel acteur de l’asthme allergique ?> A. Tsicopoulos (Lille)

• 09:30 • L’IL-22 : quel rôle dans l’asthme allergique ?> D. Togbe (Orléans)

• 10:00 • Les cellules Th17 : un rôle dans l’asthme sévère ?> A. Magnan (Nantes)

M2 • 09:00 > 10:30 • Dermatoses urticariennes de l’enfant

Tout ce qui est rouge et œdémateux n’est pas de l’urticaire.La prise en charge des dermatoses urticariennes de l’enfant impose de connaitre les principaux diagnostic différentiels et d’individualiser les critères cliniques qui permettent deposer le diagnostic d’urticaire : éruption prurigineuse faite de plaques erythémato-oedémateuses fugaces dont chacune dure moins de 24 heures. L’urticaire chronique del’enfant est proche de celle de l’adulte et correspond à une fragilité acquise des mastocytes. A l’inverse, l’urticaire aigüe de l’enfant présente des particularités dont la fréquenceélevée des urticaires infectieuses et alimentaires. Comme chez l’adulte la corticothérapie générale doit être évitée en raison des risques de corticodépendance.Cette session vous permettra d’aborder les diagnostics différentiels de l’urticaire et de vous guider sur la démarche diagnostique des urticaires aigües et chroniques de l’enfant.

Modérateurs : M-T. Guinnepain (Paris), M. Kebe (Nouakchott), J. Lévy (Marseille)

• 09:00 • Cette dermatose est-elle une urticaire ?> F. Augey (Vienne)

• 09:30 • Quel bilan faire devant une dermatose urticarienne chronique de l’enfant ?> M. Rybojad (Paris)

• 10:00 • Que faut-il rechercher devant une urticaire aigue ?> B. Catteau (Lille)

M3 • 09:00 > 10:30 • L’éviction des allergènes respiratoires pour les enfants : et si on en reparlait ?

L’éviction des allergènes est l’objet de nombreuses controverses. La prévention de l’apparition des maladies allergiques reste difficile. En revanche, l’évictionglobale des allergènes chez des patients allergiques a fait la preuve de son efficacité. Cependant, on ne sait toujours pas pourquoi, le phénotype des patients(particulièrement des enfants) répondeurs reste à préciser. Malgré toutes ces interrogations, la prévention des allergies est une industrie qui semble florissante aux vues dunombre de site dédiés à ce sujet.

Modérateurs : V. Bakonde Bakoe (Lomé), K. Ladha (Charleroi), P. Scheinmann (Paris)

• 09:00 • Eviction primaire : faits et paradoxes> E. Von Mutius (Münich)

• 09:30 • Eviction secondaire : globale ou spécifique ?> F. De Blay (Strasbourg)

• 10:00 • Eviction des pneumallergènes, de l’utile à l’accessoire : une industrie florissante !> O. Massot (Angers)

M4 • 09:00 > 10:30 • Rhinites à problèmes : Explorations (hors imagerie)

La majorité des rhinites ne nécessite que peu d’exploration. Le diagnostic en particulier des rhinites allergiques repose essentiellement sur l’interrogatoire, les testsallergologiques (prick-tests le plus souvent suffisants, et dans certains cas le dosage des IgE spécifiques).Certaines situations de rhinites peuvent cependant poser des problèmes à la fois diagnostiques et thérapeutiques. C’est le cas en particulier chez des patients en situationd’échec alors que les indications thérapeutiques ont été respectées. Dans cette situation, l’échec peut être certes être lié au caractère particulièrement sévère de la rhinite, maisaussi à l’association d’une rhinite non allergique ou d’une maladie sous-jacente aggravant la symptomatologie.Dans ce cas il est important bien sûr de vérifier l’observance du patient à son traitement, mais aussi parfois de reprendre les éléments du diagnostic, de s’assurer qu’il n’existepas plusieurs diagnostics intriqués.Une endoscopie nasale complète est alors nécessaire en complément d’une simple rhinoscopie antérieure. L’analyse du tapis muco-ciliaire sinuso-nasale par des prélèvementsspécifiques et la réalisation d’explorations fonctionnelles sont des examens qui peuvent également apporter des éléments diagnostiques utiles pour relever le diagnostic initialet/ou guider le traitement des patients.Le but de cette session est de repositionner la place de ces explorations complémentairement systématiques qui peuvent être proposées, le principe de leur réalisation etl’interprétation de leurs résultats.

Modérateurs : A. Coste (Créteil), Z-E. Laraqui (Casablanca)

• 09:00 • Qu’est-ce qu’une rhinite à problème ?> O. Malard (Nantes)

• 09:30 • Cytologie et explorations ciliaires> J-F. Papon (Paris)


2 sur 18 15/03/13 09:24

• 10:00 • Explorations fonctionnelles nasales> L. Crampette (Montpellier)

M-At1 • 09:00 > 12:30 • EFR adulte : première approche

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Citer les 3 indications principales d'une EFR• Lister les principales conditions de bonne réalisation d'une spirométrie• Enumérer les paramètres ventilatoires mesurables

Expert : R. Charfi (Tunis)Animateurs-Organisateurs : F. Amon-Tanoh-Dick (Abidjan), A. Blanc (Aix-en-Provence)Rapporteur : B. Ourari (Tunis)

M-At2 • 09:00 > 12:30 • Tests cutanés et épicutanés aux aliments natifs

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Décrire les différentes méthodes de réalisation des tests cutanés et épicutanés avec les aliments natifs• Préciser la pertinence et les délais de lecture qui permettent d'interpréter les tests• Préciser les durées de conservation des aliments et leur coction en rapport avec leur pouvoir de réactivité cutanée

Animateur-Organisateur : M. Agell-Perello (Hyères)Expert-ANAFORCAL : V. Liabeuf (Marseille)Expert-Hospitalier : N. Pham-Thi (Paris)Rapporteur : M. Chauvin-Diallo (Dakar Fann)

M-At3 • 09:00 > 12:30 • Réintroduction alimentaire chez l’enfant (pour le lait, l'œuf et l'arachide)

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les 3 principales indications d'un test de réintroduction alimentaire pour le lait, l'œuf et l'arachide• Décrire les modalités de réintroduction pour chacun de ces 3 aliments• Citer les principaux critères de sécurité requis

Animateur-Organisateur : I. Henry-Daubas (Toulon)Diététicienne : R. Pontcharraud (Toulouse)Expert-ANAFORCAL : A. Juchet (Toulouse)Expert-Hospitalier : D. Sabouraud-Leclerc (Reims)Rapporteur : N-S. Naji (Casablanca)

M-At4 • 09:00 > 12:30 • Angio-oedèmes récidivants : comment les explorer et les traiter ?

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les 5 principaux signes cliniques évocateurs d’un angio-œdème (AO) non histaminique• Lister les 3 principaux dosages biologiques utiles pour distinguer un mécanisme histaminique et non histaminique• Citer au moins 2 thérapeutiques qui peuvent aggraver un AO à bradykinine• Citer 3 thérapeutiques qui peuvent améliorer un AO à bradykinine

Animateur-Organisateur : N. Masy (Halle)Expert-ANAFORCAL : J. Laurent (Paris)Expert-Hospitalier : D. Ponard (Grenoble)Rapporteur : E. Florent (Fort-de-France)

M-At5 • 09:00 > 12:30 • Allergie moléculaire : perfectionnement et actualités

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les 5 allergènes moléculaires principaux utiles au diagnostic d’allergie au latex• Citer les 3 allergènes moléculaires des oléacées et leur pertinence clinique• Citer 2 allergènes moléculaires du bouleau dosables permettant d’explorer les allergies alimentaires croisées

Animateur-Organisateur : J. Le Sellin (Angers)Expert-ANAFORCAL : R. Gaussorgues (Montpellier)Expert-Hospitalier : E. Beaudouin (Epinal)Rapporteur : D. Belaid (Batna)

M-At6 • 09:00 > 12:30 • Approche diagnostique de la toux chronique de l’adulte

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Citer les 3 principales étiologies des toux chroniques de l'adulte• Hiérarchiser les examens complémentaires en fonction de la pathologie suspectée• Lister les indications des traitements d'épreuve

Animateur-Organisateur : M. Ouedraogo (Ouagadougou)Expert-ANAFORCAL : P. Carré (Carcassonne)Expert-Hospitalier : A. Ben Kheder (Ariana)Rapporteur : L. Smati (Alger)


3 sur 18 15/03/13 09:24

• 10:30 > 11:00 • Pause

• 10:30 > 12:00 • Conférence de presse

M5 • 11:00 > 12:30 • Microbiote, probiotiques et allergie

Les maladies allergiques sont liées à une dysfonction du système immunitaire qui reconnait de façon excessive des structures le plus souvent protéiques qui chezl’individu sain sont « tolérées ». Ce dysfonctionnement peut avoir une cause génétique mais également une cause « environnementale » comme le suggère les étudesépidémiologiques. Le rôle de l’environnement est cependant complexe, notamment avec l’exposition aux micro-organismes dans la période néonatale. En effet, l’exposition auxbactéries, dès les premières semaines de vie, est nécessaire, voir essentielle à la mise en place du système immunitaire. La flore digestive joue ainsi un rôle essentiel dans ledéveloppement et l’orientation du système immunitaire, mais avec des répercussions sur l'immunité de l’individu pendant toute son existence. La flore digestive représente un «microcosme » complexe et varié. L’allaitement maternel permet l’implantation de façon préférentielle de certaines souches comme des lactobacillus ou des bifidobactéries. Cesbactéries dites lactiques pourraient avoir un rôle protecteur dans le développement des maladies allergiques, inflammatoires ou les infections. Ces micro-organismes ont ainsiconduit au concept des bactéries probiotiques. Nous vous invitons à faire le point dans cette session sur le rôle de la flore dans l’allergie, de vous présenter les différentsproduits dits « probiotiques » actuellement utilisés en clinique et sur les connaissances des mécanismes immunologiques suspectés.

Modérateurs : M. Daëron (Paris), S. Guez (Bordeaux), E-M. Kane (Nouakchott)

• 11:00 • Microbiote intestinal : un rôle dans les allergies ?> J-M. Chatel (Jouy-en-Josas)

• 11:30 • Les pro-, les pré-, les sym-, biotiques dans les allergies de l’enfant : je m’y perds !> M. Bellaiche (Paris)

• 12:00 • Comment ça marche ?> C. Hoarau (Tours)

M6 • 11:00 > 12:30 • Les explorations fonctionnelles respiratoires chez l’asthmatique

Les EFR occupent une place centrale dans l’exploration de l’asthme et de la toux chronique, autant de situations auxquelles est fréquemment confronté l’allergologue.Quel est l’apport de la pléthysmographie, en comparaison de la boucle débit volume ? Dans quelles situations pratiques peut-on être amené à rechercher unehyperréactivité bronchique ? La mesure du NO est-elle de nature à modifier notre approche diagnostique et thérapeutique de l’asthme ?

Modérateurs : A. Didier (Toulouse), M-T. El Fassy Fihry (Rabat), D-A. Maizoumbou (Niamey)

• 11:00 • La pléthysmographie est-elle nécessaire ?> T. Perez (Lille)

• 11:30 • Mesurer l’HRB : quel intérêt pratique ?> C. Barnig (Strasbourg)

• 12:00 • Inflammométrie : mesure du NO> G. Devouassoux (Lyon)

M7 • 11:00 > 12:30 • Allergie au chat

Présent dans plus de 25% des foyers français, le chat est un fort pourvoyeur de pathologies allergiques, placé en troisième position derrière les acariens et les graminées dansplusieurs grandes enquêtes épidémiologiques. L’éviction des allergènes du chat est difficile, du fait de leur caractère volatile et de leur faible poids moléculaire. La question desavoir si le chat doit être laissé au domicile des très jeunes enfants atopiques n’est pas complètement tranchée. Quelle place enfin peut-on accorder à la désensibilisation auchat ?

Modérateurs : M. Drouet (Angers), B. Girodet (Lyon)

• 11:00 • Epidémiologie, aspects cliniques> M. Miguéres (Toulouse)

• 11:30 • L’éviction est-elle recommandée ? Est-elle possible ?> A. Casset (Strasbourg)

• 12:00 • Place de l’immunothérapie spécifique> F. Lavaud (Reims)

M8 • 11:00 > 12:30 • Dermatite atopique et barrière épidermique

La dermatite atopique (DA) est une maladie inflammatoire chronique dont l’anomalie principale est l’altération de la barrière cutanée. L’épiderme, et en particulier lacouche cornée, est poreuse et laisse pénétrer tout ce qui est contact avec la peau (irritants, polluants, produits bactériens et aéroallergènes). C’est la pénétration deces molécules qui induit l’inflammation cutanée à l’origine de l’eczéma. L’immunisation du patient et le développement de lymphocytes T et d’IgE spécifiques est un évènementsecondaire à ces anomalies épidermiques.Cette session abordera le problème de la barrière épidermique et des molécules structurales qui forment cette barrière et qui sont altérées dans la DA (filaggrine et autres).Enfin, elle insistera sur l’importance des traitements locaux émollients qui représentent le traitement de fond de la DA et qui sont capables, lorsqu’ils sont appliqués de façonquotidienne sur l’ensemble du tégument, de restaurer une barrière cutanée de bonne qualité.

Modérateurs : A. Khoury (Epernay), M. Simon (Toulouse)

• 11:00 • La dermatite atopique est-elle toujours associée à une altération de la barrière épidermique ?> M. Simon (Toulouse)

• 11:30 • Mutations de la filaggrine et dermatite atopique> A. Hovnanian (Paris)

• 12:00 • Les émollients, traitement de fond de la dermatite atopique ! Quoi de neuf ?> S. Barbarot (Nantes)


4 sur 18 15/03/13 09:24

M9 • 11:00 > 12:30 • Communications orales (1)

Modérateurs : E. Bloch-Morot (Boulogne-Billancourt), C. Chenivesse (Paris)

Symposium • 12:45 > 14:15 • Ménarini - Traitement de la rhinite allergique : que faut-il prendre en compte ?

Modérateur : B. Wallaert (Lille)

• Rhinite allergique professionnelle : une pathologie à ne pas négliger> F. De Blay (Strasbourg)

• Conduite automobile et prise de médicament> P. Philip (Bordeaux)

• Evaluation du bénéfice d’un traitement dans la rhinite allergique – Enquête BENEFICA 2012> P. Demoly (Montpellier)

Symposium • 12:45 > 14:15 • Takeda - Corticothérapie inhalée en monoprise dans l’asthme : un atout pour l’observance

Modérateur : M. Humbert (Le Kremlin-Bicêtre)

• Comment choisir le meilleur inhalateur pour mon patient asthmatique ?> P. Berger (Bordeaux)

• ALVESCO® (ciclésonide), un nouveau corticoïde inhalé : de la pharmacologie à la clinique> S. Grassin-Delyle (Suresnes)

• Asthme difficile à contrôler : quelle prise en charge ?> M. Humbert (Le Kremlin-Bicêtre)

M10 • 14:30 > 16:00 • Les modulateurs inattendus de la réponse Th2

La réponse allergique est caractérisée par un profil préférentiel de type Th2, et la majorité des études se sont focalisées sur le rôle des cytokines sur l’induction decette réponse. Cette session est consacrée à l’acide urique, aux canaux calciques et au gingembre qui de façon inattendue sont capables d’induire ou d’inhiber laréponse Th2 ouvrant de nouvelles possibilités thérapeutiques à des molécules traditionnellement dédiées à des pathologies bien différentes.

Modérateurs : J-F. Fontaine (Reims), A. Tsicopoulos (Lille)

• 14:30 • L’acide urique> H. Hammad (Gand)

• 15:00 • Les canaux calciques> L. Pelletier (Toulouse)

• 15:30 • Le gingembre> N. Thieblemont (Paris)

M11 • 14:30 > 16:00 • Actualités en Allergologie (1)

Cette première session d’actualités se propose de rapporter les découvertes les plus récentes dans le domaine des allergies ORL, des allergies professionnelles et de faire unpoint d’actualité thérapeutique dans la dermatite atopique dont la connaissance est nécessaire en pratique clinique.

Modérateurs : S. Ade (Cotonou), A. Cheynel (Chambéry), G. Dutau (Toulouse)

• 14:30 • ORL> A. Coste (Créteil)

• 15:00 • Thérapeutiques dans la dermatite atopique> F. Boralevi (Bordeaux)

• 15:30 • Allergie professionnelle> J-M. Renaudin (Epinal)


Modérateurs : J. Laurent (Paris), R. Navarro (Nice)


5 sur 18 15/03/13 09:24

M13 • 14:30 > 16:00 • Asthme et exercice

L’exercice est souvent une question difficile chez l’asthmatique. Est-il bénéfique ou déclencheur de crises ? Faut-il le recommander ou le bannir ? et chez quelspatients ? Cette session vous permet de faire le point des connaissances dans ce domaine ardu.

Modérateurs : S. Leroy (Nice), M. Ouedraogo (Ouagadougou)

• 14:30 • Y a-t-il une place pour l’exploration à l’exercice chez l’asthmatique ?> B. Wallaert (Lille)

• 15:00 • Place de la réhabilitation respiratoire chez l’asthmatique> P. Surpas (Lyon)

• 15:30 • Asthme à l’effort> C. Delclaux (Paris)

M14 • 14:30 > 16:00 • Actualités francophones

La participation au CFA des allergologues en provenance des pays francophones augmente chaque année. Elle représente actuellement un tiers des inscrits. Une nouvellesession « Actualités Francophones » a été créee lors du CFA 2012. Ses objectifs étaient de mettre en valeur des travaux et des conférenciers de l’espace francophone et defavoriser la coopération scientifique. Au cours du CFA 2013, les résultats de deux études à caractère essentiellement épidémiologique seront présentées, l’une sur lasensibilisation aux aliments principaux chez des enfants de 3 à 14 ans vivant au Maghreb et en Afrique sub-saharienne de l’Ouest, l’autre sur la sensibilisation au pollen depalmier-dattier (Phoenyx dactylifera) chez des adultes des 3 pays du Maghreb travaillant et/ou vivant dans les palmeraies. La troisième communication a pour but de mettre envaleur 3 auteurs francophones ayant présenté des posters innovants.

Modérateurs : J-P. Dumur (Aix-en-Provence), Y. El Gueddari (Rabat), A-B. Tonnel (Lille)

• 14:30 • Etude comparée de la sensibilisation à cinq aliments chez l’enfant au Maghreb et en Afrique sub-saharienne> R. Cheikh (Tunis)

• 15:00 • Etude comparative de la sensibilisation au pollen de palmier-dattier dans trois pays du Maghreb chez des adultes exposés> H. Choubane (Algérie)

• 15:30 • Communications orales sélectionnées

M-At7 • 14:30 > 18:00 • EFR adulte : perfectionnement

Pré-requis : les participants ont une pratique de la spirométrie et souhaitent apporfondir leurs connaissances

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister 5 aspects de la courbe débit-volume évoquant une erreur technique• Décrire 5 aspects de la courbe débit volume évoquant une pathologie• Énumérer 3 mesures complémentaires apportées par la pléthysmographie• Définir 1 trouble ventilatoire restrictif

Animateur-Organisateur : C. Pasquet-Noualhaguet (Bois D’Arcy)Assistant : D-A. Maizoumbou (Niamey)Expert : M-T. El Fassy Fihry (Rabat)Rapporteur : H. El Ouazzani (Rabat)

M-At8 • 14:30 > 18:00 • Hypersensibilité aux additifs

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Définir ce qu'est un additif• Citer 5 additifs alimentaires responsables de réactions d'hypersensibilité non IgE médiée• Citer 3 additifs alimentaires responsables d'hypersensibilité IgE-dépendante• Enumérer les étapes du bilan en cas de suspicion d'hypersensibilité à un additif

Animateur-Organisateur : A. Benyounes (Alger)Expert-ANAFORCAL : X. van der Brempt (Marche-en-Famenne)Expert-Hospitalier : M. Drouet (Angers)Rapporteur : N. Benammar-Bouayed (Tlemcen)

M-At9 • 14:30 > 18:00 • Allergie alimentaire : évaluer la gravité pour adapter la prise en charge

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Enumérer les critères diagnostiques d'une allergie alimentaire non sévère• Enumérer les critères diagnostiques d'une allergie alimentaire grave• Adapter le contenu de la trousse d'urgence à la sévérité de l'allergie alimentaire• Lister les marqueurs biologiques actuels orientant vers une allergie alimentaire grave• Citer les orientations thérapeutiques dans la prise en charge au long cours d'une allergie alimentaire grave

Animateur-Organisateur : M. Gouranton (Les Abymes)Expert-ANAFORCAL : S. Guez (Bordeaux)Expert-Hospitalier : M. Morisset (Luxembourg)Rapporteur : Y. Toloba (Bamako)

M-At10 • 14:30 > 18:00 • Tests médicamenteux en pratique de ville

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les 3 situations cliniques ou pathologies à ne pas tester en ville


6 sur 18 15/03/13 09:24

• Enumérer les 3 principales classes thérapeutiques pour lesquelles des tests cutanés sont validés• Ecrire les concentrations à utiliser pour les tests cutanés médicamenteux validés• Nommer 4 règles de sécurité indispensables à la pratique des tests médicamenteux

Animateur-Organisateur : M. Anton (Nantes)Expert-ANAFORCAL : D. Giamarchi (Montauban)Expert-Hospitalier : F. Wessel (Nantes)Rapporteur : A. Attia (Oran)

M-At11 • 14:30 > 18:00 • Tryptasémie et mastocytose : approche pratique

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Définir les indications et l’interprétation du dosage de tryptasémie• Indiquer les examens à pratiquer devant une tryptasémie de base élevée• Citer les signes caractéristiques en faveur d’une mastocytose devant une lésion pigmentaire• Lister les formes pédiatriques de mastocytose et leur pronostic• Rédiger les conseils à donner au patient pour éviter les manifestations paroxystiques

Animateur-Organisateur : L. Courvoisier (Oullins)Expert-ANAFORCAL : C. Mailhol (Toulouse)Expert-Hospitalier : C. Bernier (Nantes)Rapporteur : V. Lustgarten-Grillot (Nice)

M-At12 • 14:30 > 18:00 • Eruptions cutanées non allergiques de l’enfant

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Reconnaitre les 5 principales éruptions cutanées non allergiques de l’enfant pouvant évoquer une allergie• Citer 4 éruptions cutanées pour lesquelles l’utilisation de corticoïdes est contre-indiquée

Animateur-Organisateur : F. Saint-Martin (Villebon-Sur-Yvette)Expert-ANAFORCAL : F. Payot (Lyon)Expert-Hospitalier : M-S. Doutre (Bordeaux)Rapporteur : M. Thiakane (Dakar-Fann)

• 16:00 > 16:30 • Pause

M15 • 16:30 > 18:00 • Risques environnementaux dans les allergies respiratoires (session proposée par le groupe de travail PAPPE)

Il a été démontré que l'environnement jouait un rôle dans l'apparition des allergies respiratoires. Le but de cette session est de montrer les différentescirconstances et endroits où les agents polluants responsables des allergies respiratoires peuvent intervenir à savoir : les allergènes, les polluants chimiques, lespolluants biologiques comme les endotoxines.Ainsi, les résultats de la cohorte parisienne vous seront exposés. On en appréciera le rôle des polluants à la maison, à l'école, dans l'apparition des symptômes de rhinite oud'asthme chez des nourrissons ou des enfants en bas âge.Le bureau est, quant à lui, également une source d'exposition aux allergènes et aux polluants chimiques.A l'issue de cette session, les allergologues devraient avoir les informations les plus récentes dans une nouvelle science qui est nommée l'expologie.

Modérateurs : M. Béji (Tunis), D. Caillaud (Clermont-Ferrand)

• 16:30 • A la maison> I. Momas (Paris)

• 17:00 • A l’école> C. Roda (Paris)

• 17:30 • Au bureau> M. Gonzalez (Strasbourg)

M16 • 16:30 > 18:00 • Allergènes et dermatite atopique

Les poussées de dermatite atopique (DA) sont multifactorielles. Les allergies doivent être recherchées devant toute poussée de DA qui persiste malgré des soinsd’hygiène et topiques bien conduits et une éducation thérapeutique bien faite. Mais quels sont les allergènes qui peuvent être en cause ? Les aéroallergènescomme les acariens, les pollens, les moisissures peuvent-ils être responsables d’une poussée de dermatite atopique ? Est-ce qu’il existe fréquemment une allergie auxprotéines alimentaires contenues dans les topiques émollients ? Enfin l’atopie ne protégeant pas d’une sensibilisation aux allergènes non protéiques (haptènes) quand faut-ilrechercher une allergie de contact surajoutée à la DA et quelles molécules incriminer en particulier chez l’enfant ? Ce sont les questions auxquelles propose de répondre cetteséance.

Modérateurs : A. Barbaud (Nancy), P. Mathelier-Fusade (Paris)

• 16:30 • Haptènes> F. Giordano-Labadie (Toulouse)

• 17:00 • Protéines alimentaires des cosmétiques> A-C. Bursztejn (Nancy)

• 17:30 • Aéroallergènes> J-L. Bourrain (Montpellier)

M17 • 16:30 > 18:00 • Controverses (1)

La session des controverses est toujours un moment très attendu où s’affrontent non seulement les arguments, mais aussi les personnalités des orateurs. Au-delà de son


7 sur 18 15/03/13 09:24

Jeudi 18 Avril 2013

aspect distrayant, cette séance, au caractère à dessein exagéré des arguments utilisés par les deux adversaires, a pour objectif d’amener les participants à une réflexionapprofondie dans des domaines encore non-consensuels (et ce n’est pas ce qui manque en allergologie).

Modérateurs : M. Agell-Perello (Hyères), B. Wallaert (Lille)

L’enfant allergique peut être opéré des amygdales et des végétations• 16:30 • POUR> O. Choussy (Rouen)

• 16:30 • CONTRE> O. Malard (Nantes)

Les EFR sont inutiles dans le suivi de l’asthme de l’enfant• 17:00 • POUR> N. Beydon (Paris)

• 17:00 • CONTRE> D. Siret (Saint-Nazaire)

Le régime d’éviction alimentaire est nécessaire dans le syndrome oral• 17:30 • POUR> A. Broue-Chabbert (Toulouse)

• 17:30 • CONTRE> E. Bidat (Paris)

M18 • 16:30 > 18:00 • La Recherche en Allergologie soutenue par la SFA

Cette session a pour objectif de faire connaître et de promouvoir la recherche en allergologie en France en permettant aux chercheurs de partager le résultat destravaux qu’ils ont pu réaliser grâce aux subventions de la SFA.

Modérateurs : A. Magnan (Nantes), A. Tsicopoulos (Lille)

• 16:30 • Dépistage et caractérisation des grandes délétions sur le gène du C1 Inhibiteur (2010)> V. Frémeaux-Bacchi (Paris)

• 17:00 • Exposition reçue au benzène et asthme et allergies infantiles. Etude de 6 villes (2009)> I. Annesi-Maesano (Paris)

• 17:30 • Etude de la valeur prédictive des tests cutanés dans les suspicions d’allergie aux céphalosporines (2008)> C. Galéra (Montpellier)


Modérateurs : R. Gaussorgues (Montpellier), C. Ponvert (Paris)

RS • 18:00 > 19:30 • Rencontre Capacité / DESC

RS • 18:00 > 19:30 • Assemblée générale SYFAL

RS • 18:00 > 19:30 • Réunions Groupes de Travail

J1 • 08:30 > 10:00 • Epigénétique et marche allergique

L’épigénétique c’est le mécanisme génétique qui relit l’inné (expression des gènes) et l’acquis (l’impact de l’environnement), dans cette session nous verronscomment l’environnement in utero et dans la première année de vie, par ses mécanismes épigénétiques, va agir sur l’expression de l’allergie.

Modérateurs : J. Just (Paris), F. Payot (Lyon)

• 08:30 • L’épigénétique / Effet flip-flop> V. Siroux (Grenoble)

• 09:00 • Alimentation de la première année et risque allergique> G. Lack (London)

• 09:30 • Environnement in utero et risque allergique> I. Annesi-Maesano (Paris)

J2 • 08:30 > 10:00 • Hypersensibilité médicamenteuse

Les hypersensibilités médicamenteuses les plus fréquemment rapportées concernent les bétalactamines, les anti-inflammatoires non stéroïdiens. Dans cette session,seront traitées les hypersensibilités vis-à-vis des autres antibiotiques : quinolones, macrolides, aminosides, sulfamides…, des anti-viraux et les hypersensibilitésvis-à-vis de thérapeutiques innovantes : biothérapie. Cette session originale, permettra à partir de données récentes d’améliorer la prise en charge diagnostique de nos patientsconsultants pour une hypersensibilité médicamenteuse ainsi qu’une meilleure prise en charge.

Modérateurs : P. Demoly (Montpellier), M. Thetis (Créteil)

• 08:30 • Antibiotiques (β lactamines exclues)


8 sur 18 15/03/13 09:24

> J. Birnbaum (Marseille)

• 09:00 • Les anti-viraux> B. Milpied-Homsi (Bordeaux)

• 09:30 • Les biothérapies> A. Barbaud (Nancy)

J3 • 08:30 > 10:00 • Allergie à l’arachide

L'allergie à l'arachide est une affection potentiellement grave, parfois mortelle, dont le diagnostic a largement bénéficié des progrès de la biologie moléculaire.Cette session qui offre un large panorama de l'affection, permettra d'en cerner les phénotypes, d'en mieux connaître l'évolution, de définir la notion de traces ; et enfinde faire le point sur les protocoles d'induction de tolérance orale, récemment développés, avec une certaine efficacité, y compris chez des patients aux antécédentsanaphylactiques.

Modérateurs : E. Beaudouin (Epinal), V. Liabeuf (Marseille), E. Schneider (Wavre)

• 08:30 • Phénotypes et évolution> G. Kanny (Nancy)

• 09:00 • Qu’est-ce qu’une trace ?> M. Drouet (Angers)

• 09:30 • Protocoles de désensibilisation> M. Morisset (Luxembourg)

J4 • 08:30 > 10:00 • L’asthme et ses traitements

Périodiquement réactualisées, les recommandations du GINA ont vu apparaître ces dernières années la notion de contrôle de l’asthme, encomplément voire en substitution des classifications basées sur la sévérité. Quel impact cela a-t-il sur la prise en charge de nos patientsasthmatiques ?L’asthme sévère réfractaire reste encore en 2013 un défi thérapeutique. Cette session est l’occasion de faire le point des traitements innovants, desbiothérapies, disponibles et à venir. Le large développement de la voie sublinguale enfin, suscite à un regain d’intérêt concernant la question de ladésensibilisation dans l’asthme comme vous pourrez en juger.

Modérateurs : A. Benyounes (Alger), J-C. Dalphin (Besançon), F. Louis-Donguy (Nice)

• 08:30 • Que nous apprennent les recommandations du GINA ?> J. Bousquet (Montpellier)

• 09:00 • Asthme sévère réfractaire : quels traitements disponibles et à venir ?> C. Leroyer (Brest)

• 09:30 • La désensibilisation dans l’asthme : quels bénéfices en attendre ?> A. Didier (Toulouse)

J5 • 08:30 > 10:00 • Allergie au latex. Faut-il encore s’en préoccuper ?

L'allergie au latex est devenue une préoccupation importante en pathologie professionnelle. Dans les années 80, près de 10% du personnel soignant présentait unesensibilisation au latex. Il faisait partie des deux principaux allergènes professionnels avec des risques de réaction anaphylactique lors d'intervention chirurgicale.Depuis la mise en place d'une politique d'utilisation de gants hypoallergéniques voire même la disparition de l'utilisation du latex dans les centres de soins, la fréquenced'allergie au latex a-t-elle baissée ?Par ailleurs, le développement des allergènes recombinants nous a permis de préciser les sensibilisations ou les allergies au latex vraies. Quels sont les allergènes qui nouspermettent de suspecter une allergie cliniquement pertinente ?Le latex n'est pas toujours la cause de manifestations cutanées à son contact.A l'issue de cette session, les allergologues auront des idées beaucoup plus précises sur l'importance de cette allergie en 2013.

Modérateurs : C. Mailhol (Toulouse), D. Vervloet (Marseille)

• 08:30 • Qu’en reste-t-il ?> D-A. Charpin (Marseille)

• 09:00 • Sensibilisation ou allergie au latex ?> C. Metz-Favre (Strasbourg)

• 09:30 • Et si ce n’était pas le latex ?> M-T. Guinnepain (Paris)

J6 • 08:30 > 10:00 • Communications orales (4)

Modérateurs : I. Bossé (La Rochelle), G. Devouassoux (Lyon)

J-At1 • 08:30 > 11:00 • EFR enfant : première approche

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les 3 indications de l'EFR chez l'enfant• Citer 3 pièges pouvant fausser l'interprétation d'une courbe débit-volume chez l'enfant• Citer 2 tests réalisables pour étayer un diagnostic d’asthme chez l’enfant

Animateur-Organisateur : E-M. Kane (Nouakchott)Assistant : L. Douti (Lome)Expert : P. Rufin (Paris)Rapporteur : S. Ade (Cotonou)


9 sur 18 15/03/13 09:24

J-At2 • 08:30 > 11:00 • Diversification alimentaire chez le nourrisson : quoi de neuf ?

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Enumérer les besoins nutritionnels du nourrisson jusqu’à 12 mois• Préciser les dates d’introduction des différentes familles d’aliments chez le nourrisson sans risque d’allergie• Adapter la diversification chez le nourrisson à risque d’allergie• Conduire la diversification chez le nourrisson déjà allergique

Animateur-Organisateur : L. Imbart (Font-Romeu)Expert-ANAFORCAL : A. Broue-Chabbert (Toulouse)Expert-Hospitalier : E. Bradatan (Namur)Rapporteur : O. Raharison (Antananarivo)

J-At3 • 08:30 > 11:00 • Pratique des tests cutanés en allergologie

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Enumérer 4 indications des tests cutanés en allergologie• Décrire 3 conditions principales pour la bonne réalisation des tests cutanés• Citer 4 causes empêchant l’interprétation correcte des tests cutanés

Animateur-Organisateur : K. Kassmann (Aix-en-Provence)Rapporteur : S. Toujani (Tunis)Experts-ANAFORCAL : H. Dhivert-Donnadieu (Montpellier), P. Mathelier-Fusade (Paris)

J-At4 • 08:30 > 11:00 • CAT devant une hypersensibilité aux antalgiques et antipyrétiques

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Enumérer 4 principales manifestations cliniques de l'hypersensibilité (HS) aux antipyrétiques et antalgiques• Lister les principaux éléments du diagnostic• Décrire la prise en charge dans les différents types d'HS

Animateur-Organisateur : M. Fontaine (Dion-Valmont)Expert-ANAFORCAL : C. Dzviga (Saint-Etienne)Expert-Hospitalier : C. Hoarau (Tours)Rapporteur : N. Daoudi-Assad (Rabat)

J-At5 • 08:30 > 11:00 • Urticaire chronique : comment explorer, comment traiter et expliquer au patient ?

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Citer les éléments indispensables d’orientation du bilan étiologique d’une urticaire chronique• Lister les 4 principales étiologies des urticaires chroniques• Enumérer les éléments du bilan para clinique minimal à demander en cas de persistance de l’urticaire• Enumérer les possibilités thérapeutiques en cas d’échec du traitement antihistaminique classique

Animateur-Organisateur : E. Bloch-Morot (Boulogne-Billancourt)Expert-ANAFORCAL : M. Castelain (Marseille)Expert-Hospitalier : N. Ismaili (Rabat)Rapporteur : E. Girodet (Lyon)

J-At6 • 08:30 > 11:00 • Outils proposés pour améliorer l'observance chez le patient asthmatique

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister 3 principaux obstacles à une bonne observance chez le patient asthmatique• Nommer 5 objectifs thérapeutiques permettant d'améliorer l’observance• Citer 2 nouvelles technologies qui permettent d’optimiser l'observance

Animateur-Organisateur : F. Le Pabic (Lorient)Expert-ANAFORCAL : A. Hoppé (Angers)Expert-Hospitalier : Y. Magar (Paris)Rapporteur : C. Rolland (Boulogne-Billancourt)

• 10:00 > 11:00 • Visite commentée des affiches

J7 • 11:00 > 12:30 • Conférence internationale du CFA 2013

Modérateurs : J-P. Dumur (Aix-en-Provence), B. Wallaert (Lille)

• 11:00 • Remise du diplôme de capacité 2012 - Remise des subventions de recherche de la SFA - Remise du prix Richet-Portier

• 11:30 • Protection de l’enfant contre l’asthme et les allergies en milieu rural> E. Von Mutius (Münich)

• 12:00 • Allergies : des anticorps, des cellules, des souris et des hommes> M. Daëron (Paris)


10 sur 18 15/03/13 09:24

Symposium • 12:45 > 14:15 • ALK-MSD - Immunothérapie spécifique : Evolution des Connaissances et Conséquences pour la prise en charge du patient

Modérateurs : J-F. Fontaine (Reims), D. Vervloet (Marseille)

• Mécanismes d’action de l’immunothérapie sublinguale : Théories et faits> F. Bérard (Lyon)

• De l’éminence based médecine à l’évidence based médecine> P. Devillier (Suresnes)

• Parcours de soin : du diagnostic à la prise en charge> I. Bossé (La Rochelle)

Symposium • 12:45 > 14:15 • MundiPharma - Traitements de fond de l’asthme persistant - qu’en est-il en 2013 ?

Modérateurs : F. de Blay (Strasbourg), A. Magnan (Nantes)

• Attentes vis-à-vis des traitements : regards croisés médecin-patient> Y. Martinat (Lyon)

• Données cliniques d’un nouveau traitement par association fixe> B. Delclaux (Troyes)

• Les 3 défis d’un traitement inhalé : le patient, les dosages et la fraction de particules fines> J-C. Dubus (Marseille)

Symposium • 12:45 > 14:15 • Stallergenes - Prise en charge du patient allergique aux pollens de Graminées - Une approche cohérente


• Prise en compte du contrôle thérapeutique dans la classification de la RA> P. Demoly (Montpellier)

• Le développement du comprimé d’ITA aux pollens de 5 graminées : des résultats cohérents> A. Didier (Toulouse)

• Du développement clinique à la pratique> M. Miguéres (Toulouse)

RS • 14:30 > 16:00 • Conseil d'administration de l'ANAFORCAL

J-AtC1 • 14:30 > 18:30 • Atelier de cadres ANAFORCAL : accompagner un groupe de pairs

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Définir les principes de fonctionnement d’un atelier de groupe de pairs• Décrire les 3 temps du déroulement d’une séance de travail en groupes de pairs• Lister les 5 principaux sites de recherche bibliographique

Animateur-Organisateur : P. Grave (Vandoeuvre-lès-Nancy)Expert : J. Lévy (Marseille)Rapporteur : J-M. Devoisins (Cholet)

J-AtC2 • 14:30 > 18:30 • Atelier de cadres ANAFORCAL : prise de parole en public

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister 4 principales techniques pour accrocher et maintenir l’attention en cours de présentation avec et sans support audiovisuel• Enumérer 4 points forts d’une présentation avec et sans support audiovisuel• Nommer les 5 canaux de la communication verbale et non verbale

Animateur-Organisateur : M. Anton (Nantes)Expert : F. Wessel (Nantes)

J8 • 14:30 > 16:00 • Les allergies graves de l’enfant

L’allergie grave est un phénotype allergique particulier chez l’enfant souvent associé à des allergies à expression multiple, reconnaître ces allergies et savoir les traiterest un enjeu pour l’allergologue.

Modérateurs : S. Delaunay (Nouméa), C. Marguet (Rouen), M. Thiakane (Dakar-Fann)

• 14:30 • Les allergies alimentaires multiples> A. Juchet (Toulouse)

• 15:00 • Allergie alimentaire et asthme> E. Beaudouin (Epinal)

• 15:30 • Prise en charge des urgences en allergologie pédiatrique> C. Karila (Paris)


11 sur 18 15/03/13 09:24

J9 • 14:30 > 16:00 • Stress et allergie

Le stress est un mot générique qui regroupe de nombreux phénomènes biochimiques, hormonaux, immunologiques, neurologiques et aussi environnementaux qui modulent lesexpressions de l'allergie sur les organes cibles (rhino-conjonctivite, asthme, eczéma, digestif, réactions protéiques, ...). Il agit en amont de l'allergie et peut en aggraver lesmanifestations. Dans l'autre sens, la maladie allergique peut générer du stress (allergie alimentaire, asthme, eczéma ...) et avoir des conséquences notables sur la qualité devie des patients. Les mécanismes d'action du stress sont aussi complexes que les différentes formes qu'il revêt et que ses interactions avec les maladies allergiques.

Modérateurs : N. Goldstein (Lille), M. Tunon de Lara (Bordeaux)

• 14:30 • Stress comme co-facteur de l’allergie> N. Pham-Thi (Paris)

• 15:00 • Stress comme conséquence des allergies> J. Wassenberg (Lausanne)

• 15:30 • Les hypothèses physiopathologiques> G. Lack (London)

J10 • 14:30 > 16:00 • Actualités en Allergologie (2)

Cette deuxième session d’actualités se propose de rapporter les découvertes les plus récentes dans le domaine de l’immunologie, des dermatoses de contact et de faire unpoint d’actualité sur les allergies médicamenteuses dont la connaissance est indispensable en pratique clinique.

Modérateurs : N. Benammar-Bouayed (Tlemcen), F. Bérard (Lyon), N. Ismaili (Rabat)

• 14:30 • Dermatologie de contact> E. Collet (Dijon)

• 15:00 • Immunologie> M. Abbal (Toulouse)

• 15:30 • Médicament> L. Guenard-Bilbault (Illkirsh)

J11 • 14:30 > 16:00 • Les angiœdèmes bradykiniques en 2013

Les angiœdèmes restent en pratique clinique un problème difficile sur le plan diagnostique et de la prise en charge. La caractérisation des œdèmes d’origine iatrogène dontl’évolution est capricieuse, parfois dramatique et toujours imprévue compliquent l’approche diagnostique. Les stratégies thérapeutiques se modifient. Le but de cette session estd’apporter aux cliniciens une stratégie diagnostique et thérapeutique cohérente et optimisée aux connaissances actuelles.

Modérateurs : V. Frémeaux-Bacchi (Paris), D. Ponard (Grenoble)

• 14:30 • Le diagnostic clinique est-il évident ?> J-F. Nicolas (Lyon)

• 15:00 • Les OAN acquis iatrogènes> J. Laurent (Paris)

• 15:30 • Stratégie thérapeutique en 2013> I. Boccon-Gibot (Grenoble)

J12 • 14:30 > 16:00 • Session francophone - Discussion d’un cas clinique de l’asthme chez l’enfant

Nous avons tous à nous enrichir des expériences des uns et des autres. C'est dans cet état d'esprit que nous vous proposons d'aborder cette session basée surl'échange. A partir d'un cas clinique, celui d'un enfant asthmatique, nous pourrons donc exposer nos pratiques, ses spécificités liées aux conditions d'exercice danschaque pays, et finalement revenir sur les points essentiels. Nous partageons le socle de la médecine, l'exercice de l'allergologie et la langue : toutes les conditions sont doncréunies pour rendre cette session interactive, instructive, mais aussi très conviviale.

Animateur : A. Deschildre (Lille)

• 14:30 • Expérience algérienne> S. Zibouche (Alger)

• 14:30 • Expérience belge> S. Mulier (Bruxelles)

• 14:30 • Expérience française> G. Pouessel (Roubaix)

• 14:30 • Expérience marocaine> Z. Sayah-Moussaoui (Rabat)

• 14:30 • Expérience ivoirienne> M. Cardenat (Abidjan)

• 14:30 • Expérience suisse> I. Ruchonnet-Metrailler (Genève)

• 14:30 • Expérience tunisienne> S. Hamouda (Tunisie)

• 16:00 > 16:30 • Pause

J13 • 16:30 > 18:00 • L’asthme de la femme au fil du temps

Faut-il prendre en charge tous les asthmatiques de la même manière ? Manifestement non ! L’asthme de la femme en est un exemple toutparticulièrement illustratif. Nous verrons au cours de cette session les fluctuations de cet asthme avec le temps, la subtilité et parfois la sévérité de


12 sur 18 15/03/13 09:24

Vendredi 19 Avril 2013

certaines présentations dépendantes ou non des évènements de la vie gynécologique ainsi que les pièges à ne pas manquer.

Modérateurs : P. Bonniaud (Dijon), E. Florent (Fort-de-France), A. Wandji (Douala)

• 16:30 • L’adolescente> C. Llerena (Grenoble)

• 17:00 • La femme> C. Raherison (Bordeaux)

• 17:30 • La femme âgée : réalité et diagnostics différentiels ?> A-B. Tonnel (Lille)

J14 • 16:30 > 18:00 • Allergènes professionnels dans 3 secteurs à risque

Il est intéressant de refaire le point des allergènes professionnels en fonction des métiers exercés. Ainsi, le personnel de santé est moins exposé aux allergènes du latex,cependant il est exposé à d'autres produits responsables de manifestations respiratoires comme les agents de nettoyage et de désinfection comme les ammoniumsquaternaires.Les métiers de la recherche continuent eux à être exposés de façon importante aux allergènes d'animaux mais également à d'autres allergènes. Enfin, les coiffeurs et lesesthéticiennes sont exposés aux agents habituels mais également à denouveaux produits.Le but de cette session est à la fois de montrer les allergènes classiques dans ces 3 catégories professionnelles mais aussi les cofacteurs qui peuvent intervenir, les différentstableaux cliniques que l'on peut observer.

Modérateurs : A. Camara (Conakry), H. Dhivert-Donnadieu (Montpellier), J-M. Renaudin (Epinal)

• 16:30 • Personnel de santé> M-N. Crépy (Paris)

• 17:00 • Métiers de la recherche> M. Gonzalez (Strasbourg)

• 17:30 • Coiffeurs et esthéticiennes> M-B. Cleenewerck (Lille)

J15 • 16:30 > 18:00 • Allergie à l’ambroisie : l’invasion se poursuit

L’ambroisie fait partie des espèces exotiques envahissantes recensées au niveau européen comme pouvant avoir un impact sur la santé humaine. Il suffit de quelques grains depollen par mètre cube d'air pour que des symptômes apparaissent chez les sujets sensibilisés : rhino-conjonctivite survenant en août-septembre, la toux, asthme et parfoisurticaire ou eczéma. Dans 50% des cas, l’allergie à l’ambroisie peut entraîner l’apparition de l’asthme ou provoquer son aggravation. La réalisation d’une cartographie nationalede présence de l’ambroisie a été inscrite dans le Plan national santé environnement.Afin de renforcer la coordination des moyens de lutte contre cette plante annuelle allergisante, le Ministère chargé de la Santé et l'Institut national de la recherche agronomique(INRA) ont mis en place l'Observatoire de l'ambroisie en juin 2011.

Modérateurs : F. Bouteloup (Lyon), M. Grosclaude (Valence)

• 16:30 • L’Observatoire de l’Ambroisie> B. Chauvel (Dijon)

• 17:00 • Allergènes : caractéristiques et conséquences cliniques> B. Girodet (Lyon)

• 17:30 • Prévention et traitement> M. Grosclaude (Valence)

J16 • 16:30 > 18:00 • Induction de tolérance orale (session proposée par le groupe de travail Allergie Alimentaire)

L'induction de tolérance orale - ou plutôt l'immunothérapie aux aliments - constitue une avancée et un espoir dans la prise en charge des allergies alimentaires persistantes. Lesmécanismes immunologiques sont mieux connus, en particulier le rôle clé des lymphocytes T régulateurs. Cette proposition de traitement demande toutefois beaucoup derigueur dans le choix des indications, dans la définition des objectifs, et dans la réalisation et le suivi. Quel bénéfice mais aussi quel risque et comment y faire face ? Il fautencore travailler et collaborer entre les équipes impliquées dans cette voie pour progresser sur ces points. Le partenariat allergologue-diététicienne est essentiel dans laconception des protocoles et dans l'éducation du patient et de sa famille - quel aliment est autorisé, quelle quantité ? Cette session a pour objectif de faire le point sur cettenouvelle voie de traitement de l’allergie alimentaire.

Modérateurs : E. Bidat (Paris), I. Henry-Daubas (Toulon)

• 16:30 • Bases immunologiques de la tolérance orale> P-A. Apoil (Toulouse)

• 17:00 • Comment, pourquoi et pour qui ?> S. Jarlot (Nancy)

• 17:30 • Les équivalences pour les nuls> A-C. Vilain (Lille)

RS • 16:30 > 19:00 • Assemblées générales de la SFA, de l'ANAFORCAL, de la FFAL

Remise des bourses de Recherche en Allergologie

Remise des prix des meilleurs posters et communications orales



13 sur 18 15/03/13 09:24

V1 • 08:30 > 10:00 • Allergie aux médicaments chez l’enfant

Les réactions d’hypersensibilité (HS) aux médicaments peuvent être, chez l’enfant comme chez l’adulte, allergiques ou non allergiques. Elles peuvent êtreimmédiates ou retardées.Cette session abordera le problème du diagnostic positif et différentiel des réactions d’HS aux médicaments. Elle donnera les principes généraux des tests cutanés (etbiologiques) utilisés pour différencier HS allergique d’HS non allergique. Enfin elle abordera une problématique fréquente en pédiatrie, celle de l’HS aux antibiotiques,principalement aux beta-lactamines, chez les enfants porteurs de mucoviscidose.

Modérateurs : N. Marmion (Saint Pierre de La Réunion), A. Rozières (Lyon)

• 08:30 • Les éruptions cutanées des enfants résultent-elles toutes d'une hypersensibilité médicamenteuse ?> C. Ponvert (Paris)

• 09:00 • Particularités de l’exploration allergologique> T. Bourrier (Nice)

• 09:30 • Mucoviscidose : un modèle d’étude des hypersensibilités aux antibiotiques> V. Jubin (Lyon)

V2 • 08:30 > 10:00 • Avancées en allergie moléculaire (session proposée par le groupe de travail Allergie Moléculaire)

L’allergie moléculaire a permis aux cliniciens de bénéficier de connaissances utiles à la prise en charge de leurs patients, particulièrement en cas de polysensibilisation etd’allergies croisées. Cette nouvelle discipline permet également de mieux comprendre certaines limites des extraits allergéniques dits globaux, de revisiter l’utilisation des testscutanés réalisés avec ces extraits. De façon parallèle à la « marche atopique », les profils de sensibilisation moléculaire changent avec l’âge. Chez l’enfant l’évolution cliniquedes allergies alimentaires varie en fonction des profils de sensibilisation moléculaire initiaux. Les protéines de transfert des lipides sont des panallergènes, largement distribuésdans les sources allergéniques végétales. Nous savons aujourd’hui, que La conséquence de la sensibilisation aux LTP, ne se limite pas à des réactions systémiques graves enrégions méditerranéennes.

Modérateurs : A. Juchet (Toulouse), C. Metz-Favre (Strasbourg)

• 08:30 • Implications cllniques> F. Bérard (Lyon)

• 09:00 • Evolution du profil de sensibilisation moléculaire avec l’âge> J. Vitte (Marseille)

• 09:30 • Conséquences cliniques d’une sensibilisation moléculaire aux LTP des fruits à coques> J-M. Perotin-Collard (Reims)

V3 • 08:30 > 10:00 • Asthme du nourrisson et du jeune enfant

L'asthme prend racine dans la petite enfance, dès les premières années de la vie. Toutefois, à cet âge, l'asthme a des spécificités : présentation clinique,modalités d'exploration, traitement. Ces points ont été précisés par les recommandations de l'HAS publiées en 2009. Avant de retenir le diagnostic d'asthme, il estimpératif de suivre une démarche rigoureuse permettant d'éliminer les diagnostics différentiels et notamment certaines maladies graves dont le pronostic est lié à la précocité dela reconnaissance. Traiter un asthme du nourrisson et du jeune enfant présente des spécificités liées aux caractéristiques de la maladie, mais aussi à l'âge du patient. Lescorticoïdes inhalés sont la pierre angulaire du traitement de fond. Bien utilisés, selon les recommandations, le bénéfice pour le patient dépasse très largement le risque d'effetsecondaire. Cette session dédiée à l'asthme du nourrisson et du jeune enfant a pour objectif de revenir sur ces différents points.

Modérateurs : A. Deschildre (Lille), P. Grave (Vandoeuvre-lès-Nancy), Y. Toloba (Bamako)

• 08:30 • Tout ce qui siffle n’est pas de l’asthme> R. Abou Taam (Paris)

• 09:00 • Spécificité du traitement de l’asthme> J-C. Dubus (Marseille)

• 09:30 • Faut-il avoir peur des corticoïdes inhalés ?> M. Le Bourgeois (Paris)

V4 • 08:30 > 10:00 • Actualités en Allergologie (3)

Cette troisième session d’actualités se propose de rapporter les découvertes les plus récentes dans le domaine de la pneumologie, des allergies alimentaires et des maladiesfrontières, en médecine interne, dont la présentation clinique est souvent aux confins des manifestations allergiques.

Modérateurs : E. Beaudouin (Epinal), A. Ben Kheder (Ariana)

• 08:30 • Allergie aux aliments> D. De Boissieu (Paris)

• 09:00 • Pneumologie> J. Chabrol (Lille)

• 09:30 • Médecine Interne> J-L. Pasquali (Strasbourg)

V-At1 • 08:30 > 12:30 • EFR enfant : perfectionnement

Pré-requis : les participants ont une pratique de la spirométrie chez l'enfant et souhaitent apporfondir leurs connaissances

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Identifier au moins 3 pièges dans la réalisation et l'interprétation d’une EFR chez l’enfant• Indiquer 3 techniques disponibles pour la mesure des résistances des voies aériennes et les normes admises• Citer les tests fonctionnels qui permettent de confirmer le diagnostic d'asthme• Citer les indications de la mesure du NO exhalé chez l’enfant

Animateur-Organisateur : L. Tazi-Daoudi (Casablanca)Assistant : A. Camara (Conakry)


14 sur 18 15/03/13 09:24

Expert : T. Carvelli (Heusy)Rapporteur : A. Wandji (Douala)

V-At2 • 08:30 > 12:30 • Arbre décisionnel en allergie médicamenteuse illustré par l'allergie aux antibiotiques

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les 4 éléments clefs de l’interrogatoire explorant une allergie aux antibiotiques (ENDA)• Enumérer 3 tests validés dans l'exploration d'une allergie aux antibiotiques• Enumérer les règles d’évictions spécifiques à chaque classe antibiotique• Citer les 2 indications majeures d’une induction de tolérance aux antibiotiques

Animateur-Organisateur : D. Ortolan (Villejuif)Expert-ANAFORCAL : J-P. Jacquier (Chambéry)Expert-Hospitalier : S. Leroy (Nice)Rapporteur : H. Daghfous (Ariana)

V-At3 • 08:30 > 12:30 • Dermatite atopique et asthme de l’enfant : accompagner les parents

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Établir un diagnostic éducatif• Identifier les besoins éducatifs et les compétences des parents• Citer les actions de soutien des parents à l’autogestion de la maladie• Enumérer les compétences d’adaptation des parents à la maladie

Animateur-Organisateur : Z. Souissi (Tunis)Expert-ANAFORCAL : M. Debons (Nantes)Expert-Hospitalier : M. Berlioz-Baudoin (Nice)Rapporteur : M. Kebe (Nouakchott)

V-At4 • 08:30 > 12:30 • Allergie aux poissons et aux viandes

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Enumérer 3 allergènes moléculaires responsables d'allergie aux poissons ou aux viandes• Citer 3 syndromes d'allergies croisées impliquant les allergènes des poissons ou des viandes• Nommer 3 molécules responsables de fausses allergies aux viandes ou aux poissons• Décrire la place des tests diagnostiques dans l'allergie aux poissons ou aux viandes

Animateur-Organisateur : C. Nonotte-Varly (La Valette-du-Var)Expert-ANAFORCAL : E. Schneider (Wavre)Expert-Hospitalier : C. Hilger (Luxembourg)Rapporteur : N-K. Benhalla (Alger)

V-At5 • 08:30 > 12:30 • Allergie au soja et autres légumineuses

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les différents symptômes et les particularités de l'allergie au soja• Lister les moyens diagnostiques permettant d’affirmer cette allergie• Citer 3 allergies croisées avec le soja• Citer les principaux aliments pouvant être impliqués dans l’allergie au soja

Animateur-Organisateur : Z-E. Laraqui (Casablanca)Expert-ANAFORCAL : S. André-Gomez (Lyon)Expert-Hospitalier : F. Bienvenu (Lyon)Rapporteur : J. Neree (Fort-de-France)

V-At6 • 08:30 > 12:30 • Sensibilisation aux LTP

A l'issue cet atelier, les participants doivent être capables de :• Lister les aliments le plus souvent impliqués dans les allergies aux LTP• Citer les éléments cliniques évoquant une allergie aux LTP• Identifier les allergènes moléculaires végétaux disponibles pour le diagnostic d’une allergie aux LTP• Rédiger les conseils d'éviction pour le patient allergique aux LTP

Animateur-Organisateur : Y. Swartebroeckx (Sotteville-lès-Rouen)Expert-ANAFORCAL : L-M. Vandezande (Bouge)Expert-Hospitalier : C. Sauvage (Lille)Rapporteur : V. Cordebar (Norroy-Le-Veneur)

• 10:00 > 11:00 • Pause

CP2 • 10:00 > 16:00 • Cours de perfectionnement pour les intervenants paramédicaux (CARPA)

Ce cours de perfectionnement s'adresse aux infirmiers et infirmières ainsi qu’à tous les intervenants paramédicaux des services ou des cabinetsd’allergologie.


15 sur 18 15/03/13 09:24

Le programme est entièrement dédié aux maladies allergiques et devrait permettre aux participants de mettre à jour leurs connaissances dans tous les domaines del’allergologie. Les thèmes proposés vont du diagnostic à l’éducation du patient en passant par l’épidémiologie et le traitement. Les interventions sont assurées par desspécialistes de chaque domaine et une large place est laissée à la discussion.


• 10:00 • Epidémiologie> J. Just (Paris)

• 10:30 • Spirométrie> C. Soeur (Toulouse)

• 11:00 • Pause

• 11:30 • Prick Tests : réalisation et interprétation> C. Bailliez (Lille)

• 12:00 • Patch Tests : réalisation et interprétation> C. Bernier (Nantes)

• 12:30 • Pause

• 14:00 • Ce qu’il faut comprendre des recombinants> B. Wallaert (Lille)

• 14:30 • Tests cutanés en allergie médicamenteuse> A. Chiriac (Montpellier)

• 15:00 • Tests cutanés en allergie alimentaire> V. Liabeuf (Marseille)

• 15:30 • Induction de tolérance en allergie alimentaire> A-C. Vilain (Lille)

RS • 11:00 > 12:30 • Assemblée générale du DUFRAL

V5 • 11:00 > 12:30 • Enfant allergique : phénotypes à risque de persistance à l’âge adulte

On dit souvent que plus l’enfant grandit plus l’allergie disparaît, ce concept doit être revu. Reconnaître les formes d’allergies à risque de persistanceà l’âge adulte, aidera à mieux prendre en charge les allergiques durant l’enfance.

Modérateurs : M. Gouranton (Les Abymes), I. Pin (Grenoble), D. Sabouraud-Leclerc (Reims)

• 11:00 • Dermatite atopique> E. Bourrat (Paris)

• 11:30 • Rhinite allergique> P. Scheinmann (Paris)

• 12:00 • Asthme> I. Pin (Grenoble)

V6 • 11:00 > 12:30 • Prédispositions génétiques des hypersensibilités médicamenteuses

Les facteurs génétiques prédisposant aux réactions idiosyncrasiques médicamenteuses sont recherchés. Pour certaines molécules comme l’abacavir ou pour lacarbamazépine dans certaines ethnies asiatiques l’existence de certains allèles HLA contre-indique la prescription du médicament en raison d’un risque accru detoxidermies graves. D’autres allèles du HLA ont été impliqués dans l’augmentation de risque d’hypersensibilité aux médicaments. Dans les allergies médicamenteusesimmédiates ou retardées, les hypersensibilités non allergiques des travaux sur des allèles de gènes ou de promoteurs de cytokines ou chimiokines pourraient être impliqués.Avec l’évolution des méthodes génétiques une nouvelle approche prédictive des accidents médicamenteux est-elle envisageable ?

Modérateurs : E. Bloch-Morot (Boulogne-Billancourt), J-L. Bourrain (Montpellier)

• 11:00 • Applications cliniques de la recherche fondamentale> P. Demoly (Montpellier)

• 11:30 • Prédispositions aux réactions d’hypersensibilité non allergiques> A. Rozières (Lyon)

• 12:00 • Prédispositions aux réactions d’hypersensibilité allergiques> I. Gastin (Nancy)

V7 • 11:00 > 12:30 • Allergie oculaire chez l’enfant (session proposée par le groupe de travail du GOA)

Le diagnostic le plus commun devant de l’enfant atteint d’œil rouge est la conjonctivite allergique. Au terme de cette session l’allergologue connaîtra les autresdiagnostics à évoquer, saura quand adresser le patient à l’ophtalmologiste, quand pratiquer un bilan allergologique et comment l’interpréter. Il accèdera auxtraitements que l’ophtalmologiste utilise de façon courante, et saura comment en articuler la prescription avec les traitements allergologiques. Enfin, il accèdera auxconséquences psychologiques parfois lourdes des conjonctivites allergiques en matière d’intégration sociale, familiale et scolaire (PAI).

Modérateurs : J-L. Fauquert (Clermont-Ferrand), F. Saint-Martin (Villebon-Sur-Yvette)

• 11:00 • L’oeil rouge de l’enfant> D. Bremond-Gignac (Amiens)

• 11:30 • Les traitements ophtalmologiques chez l’enfant allergique> F. Chiambaretta (Clermont-Ferrand)

• 12:00 • Retentissement psychologique de l’allergie oculaire de l’enfant> F. Marmouz (Pontoise)

V8 • 11:00 > 12:30 • Cas cliniques interactifs


16 sur 18 15/03/13 09:24

La session « Cas cliniques interactifs » constitue une rencontre unique et conviviale entre praticiens allergologues de toute origine, de toute spécialité.Le principe consiste en la présentation de 3 cas cliniques traitant d’enfants allergiques ayant posés des problèmes de diagnostic, de traitement… : cas rares,symptômes trompeurs pathologies intriquées. Chaque cas est développé en 30 minutes, avec mise en place d’un dialogue entre l’orateur et les participants sous forme dequestions-réponses (les réponses des participants sont enregistrées puis commentées), tout au long de la présentation, mêlant dans une alchimie subtile : connaissancescientifique, compétence clinique, l’objectif ultime étant de s’enrichir mutuellement de nos expériences dans le domaine complexe des maladies allergiques.

Modérateurs : J. Birnbaum (Marseille), J-M. Devoisins (Cholet)

• 11:00 • Allergie alimentaire avec polysensibilisation> C. Mailhol (Toulouse)

• 11:00 •> A. Broue-Chabbert (Toulouse)

• 11:30 • Allergie médicamenteuse> A. Hoppé (Angers)

• 12:00 • Allergie cutanée> M. Castelain (Marseille)

Symposium • 12:45 > 14:15 • ALK - Pleins feux sur l’anaphylaxie

Modérateurs : E. Bloch-Morot (Boulogne-Billancourt), M. Drouet (Angers)

• L’éclairage de l’urgentiste> P-M. Mertes (Nancy)

• L’éclairage du pédiatre> N. Pham-Thi (Paris)

• L’éclairage de l’allergologue> P. Bousiquier (Paris)

Symposium • 12:45 > 14:15 • Chiesi - Pollution intérieure organique dans les Pathologies respiratoires allergiques : Rôle des Acariens

Modérateur : P. Demoly (Montpellier)

• Acariens et histoire naturelle de la maladie allergique

• Les manifestations cliniques de l'allergie aux acariens

• Prise en charge des allergies aux acariens : quel niveau de preuve

Symposium • 12:45 > 14:15 • Horus Pharma - Nouvelles données pathogéniques et thérapeutiques en allergie oculaire

• Physiopathologie de l’allergie oculaire> J-L. Fauquert (Clermont-Ferrand)

• Formes cliniques et diagnostic différentiel> S. Doan (Paris)

• Traitements topiques oculaires : les risques à identifier, les nouvelles molécules> D. Bremond-Gignac (Amiens)


V9 • 14:30 > 16:00 • L’allergie aux corticoïdes sous toutes ses facettes

Les allergies de contact topiques ou systémiques dues aux corticoïdes ne sont pas rares. Elles prennent des aspects cliniques déroutants comme des dermatosesannulaires, des urticaires retardées mais peuvent être en cause dans des toxidermies graves comme les pustuloses aigues généralisées. Par voie topique ousystémique il est important d’éliminer une allergie à un excipient (propylèneglycol carboxymethylcellulose) et savoir comment tester ces molécules capables d’induire unesensibilisation mais de diminuer la sensibilité des tests. Une nouvelle classification chimique a été proposés par M. Baeck pour étudier les réactions croisées dans les allergiesde contact. Cette classification sera détaillée et son application aux réactions systémiques sera discutée.

Modérateurs : M. Castelain (Marseille), I. Gastin (Nancy)

• 14:30 • Profil clinique des réactions aux corticoïdes> N. Raison-Peyron (Montpellier)

• 15:00 • Classification chimique et allergie de contact aux corticoïdes> M. Baeck (Bruxelles)

• 15:30 • Comment tester les allergies aux corticoïdes ?> J. Waton (Vandoeuvre les Nancy)

V10 • 14:30 > 16:00 • Controverses (2)

Les controverses restent au fil des ans une attraction familière du CFA. Au delà de la joute verbale, il s’agira pour les orateurs de prendre clairement position sur de vraiesinterrogations pratiques : la corticothérapie inhalée dans l’asthme persistant léger du jeune enfant doit-elle être intermittente ou permanente ? En matière d’asthme sévère, lamesure du NO modifie-t-elle de façon importante les modalités de notre prise en charge ? En matière de dermatite atopique, les émollients sont-ils la clé de voûte dutraitement ?

Modérateurs : F. de Blay (Strasbourg), M. Miguéres (Toulouse)


17 sur 18 15/03/13 09:24

Les corticoïdes inhalés prescrits de façon intermittente sont aussi efficaces que les traitements au long cours dans l’asthme persistant léger du jeune enfant• 14:30 • POUR> C. Marguet (Rouen)

• 14:30 • CONTRE> P. Reix (Lyon)

Les émollients sont nécessaires et suffisants dans le traitement de la dermatite atopique de l’enfant• 15:00 • POUR> P. Pralong (Lyon)

• 15:00 • CONTRE> P. Mathelier-Fusade (Paris)

La mesure du NO exhalé est indispensable à la prise en charge de l’asthme sévère• 15:30 • POUR> C. Chenivesse (Paris)

• 15:30 • CONTRE> P. Bonniaud (Dijon)

V11 • 14:30 > 16:00 • L’asthme de l’enfant : nouveautés

L’asthme de l’enfant ne doit plus être considéré comme une maladie mais comme une combinaison de phénotypes multiples, avec une interaction forte virus etallergie dans le risque d’asthme persistant au cours de l’enfance. Reconnaître ces phénotypes, c’est mieux les traiter dans l’avenir, notamment pour le traitementspécifique de l’allergie respiratoire.

Modérateurs : F. Amon-Tanoh-Dick (Abidjan), J. Brouard (Caen)

• 14:30 • Du virus à l’asthme de l’enfant> J. Brouard (Caen)

• 15:00 • Les nouveaux phénotypes de l’asthme du nourrisson et de l’enfant> J. Just (Paris)

• 15:30 • Comment l’allergie doit-elle être prise en compte dans le traitement de l’asthme de l’enfant> A. Deschildre (Lille)

V12 • 14:30 > 16:00 • L’éducation thérapeutique (ETP) de l’enfant allergique (session proposée par le groupe de travail GRETAA)

L'importance de l'éducation thérapeutique (ETP) dans la prise en charge de la maladie chronique ne fait plus de doute, en particulier dans le domaine de l'asthme.L'ETP, c'est un autre regard sur la maladie et sur la relation soignant-patient. On conçoit volontiers les spécificités de l'ETP d'un enfant, au fil de son propreapprentissage, de son évolution personnelle, et dans le contexte de la famille. L'asthme a été précurseur, "modèle" dans l'ETP. Il faut saluer le travail de pionnier réalisé par leGRETAA dans le domaine de l'allergie alimentaire et la conception d'un programme d'ETP centré sur celle ci à travers les âges. A l'heure où l'évaluation des pratiques estincontournable, il est important de développer les outils adéquats pour analyser l'impact de l'ETP sur la maladie allergique et le vécu du patient. Cette session vous permettra deprendre connaissance des données les plus récentes sur l'ETP, des spécificités pédiatriques dans le domaine des maladies allergiques, des modalités de son évaluation.

Modérateurs : M. Anton (Nantes), N. Pham-Thi (Paris)

• 14:30 • Spécificités de l’ETP chez l’enfant> A. Le Rhun (Nantes)

• 15:00 • Comment faire de l’ETP en individuel : l’exemple de l’allergie alimentaire et de l’asthme> D. Sabouraud-Leclerc (Reims)

• 15:30 • Critères et outils d’évaluation> V. Cordebar (Norroy-Le-Veneur)

V13 • 14:30 > 16:00 • Entéropathies non allergiques de l’enfant

La symptomatologie digestive chez l’enfant est au carrefour de plusieurs diagnostics et plusieurs spécialités. A coté des manifestations digestives d’allergiealimentaire se pose le problème diagnostique difficile des entéropathies non allergiques de l’enfant.

Modérateurs : M. Berlioz-Baudoin (Nice), C. Dupont (Paris)

• 14:30 • Le spectrum des entéropathies> C. Dupont (Paris)

• 15:00 • Intolérance au gluten> E. Gardini (Toulouse)

• 15:30 • Intolérance au lactose> H. Piloquet (Nantes)


18 sur 18 15/03/13 09:24

CFA 2013, 8e Congres Francophone d'Allergologie...Mercredi 17 Avril 2013 • 08:30 > 09:00 •...

Documents

Transcript of CFA 2013, 8e Congres Francophone d'Allergologie...Mercredi 17 Avril 2013 • 08:30 > 09:00 •...