Ce texte – en réalité, ces deux textes, m’ont été adressés par Aurélie pour que je les mette en diaporama. C’est elle qui s’exprime ici, dans un langage prophétique, parfois apocalyptique.En ce qui me concerne, je ne me senspas le droit de modifier le moindre hiatus… Écoutons-là ! Et rappelez-vous qu’Aurélie s’exprime grâce àson père ( voir son site ).

Son père : Veux-tu me direquelque chose ?Aurélie : Vois-tu, j’ai en moi cetteénergie qui donne la vie. Bien sûr, ceux qui me voient avec leur regard de curiosité, leur regard qui tue, necomprennent pas, et, si tu prétendsque je suis intelligente, tu te fais prendre pour un fou.Moi, je dis que je suis dans l’énergied’amour, l’énergie de vie.

Mon cœur est ainsi aimant, et mavie devient légère.Amour, c’est l’univers. Je radote,il est vrai. Je suis Univers, tu esUnivers, et par la pollution tudétruis l’univers, et ce faisant tute tues, car tu es Univers, ô homme ! Comprends-le car tumenaces ton Univers d’être.

Univers Dieu, Dieu univers,Dieu toi, car toi-même Univers.Les Anciens l’avaient bien compris,eux qui disaient que tout ce qui esten haut et comme ce qui est en bas,et que tout ce qui est en bas estcomme ce qui est en haut.

Vérité suprême, Ô Homme, toiqui prétends tout dominer. Tun’es qu’un vulgaire microbe dansl’Univers de l’infinitude. Tu n’esque limite dans la matière, et, siton cœur s’ouvre, tu es dansl’infinitude de Dieu, dans l’infinitude de son amour.

Infinitude ignorée de toi, car tesreligions, tes cultures, t’ont ferméà la Vérité. Tes religions sectes nesavent ni ne possèdent la vérité,pas plus que toi. Tu n’es qu’uneinfinitésimale particule de la Vérité.

Pauvre homme qui passes tontemps à lutter pour la meilleureplace !Moi, l’emmurée vivante, lanon rentable de la société, jete dis simplement que la meilleureplace est le cœur de Dieu.

Là, pas de pouvoir, pas de lutteintestine pour supplanter l’autre,car l’autre est comme toi, infinitésimale particule de la Véritéqu’est Dieu.

Pourtant, Dieu te contemple,Ô Homme, puisque tu es crééà son image. Dieu, en te contemplant, se contemple, ettoi, Homme, en contemplant Dieu,le Dieu de ton cœur, c’est toique tu contemples.

Voilà, papa, pour aujourd’hui, ceque je voulais dire. Alors, viscette vie.

Fin du premier texte.

Deuxième texte :

Merci, mon papa chéri, deprendre la main que te tendmon cœur.

Laisse-moi te dire encore sur cetteénergie Univers.

Ô Homme, ouvre ton cœur à cetteénergie, tu verras que tes guerressont nulles, comme nulle est taconquête du pouvoir, ta recherchede domination sur le monde etsur tes frères.

Tu prépares ainsi ta propredécadence. Tu seras le mendiant del’éternité. Tu auras beau crier,ton cri sera étouffé.Que fais-tu de l’œuvre de Dieu,de l’œuvre de l’Univers ? Tucontribues à ta propre perte.

Mais ne t’inquiète pas. La VieAmour, la Vie éternelle n’a pasbesoin de toi pour se manifester.Elle continuera sans toi, aprèstoi, comme elle a été avant toi.

Alors, laisse-moi rire au sujetde tes OGM. Pour avoir plusde place, tu empoisonnes tes semblables. Mais je sais moi quetu finiras empoisonné par la sécheresse de ton cœur. Tu esdéjà plus aride que le désert…

Moi, je connais la source detoute vie. Je suis là, moi,l’emmurée vivante, pour tel’annoncer. Elle vient, cette Vie,ce sera l’avènement de ce cycle qui s’annonce, le Noël du tempsnouveau. Tes destructions refleuriront comme les fleursdu désert après l’orage.

Oui, il va y avoir orages,catastrophes mondiales, « armaguédon ». Pour accueillir laJérusalem céleste, les fils de laLumière ne mourront pas. Maispour être fils de Lumière il fautêtre vibration d’Amour, vibrationde Vie, vibration de Dieu, et lesfils de Dieu seront reconnus.

Leur œuvre est en marche danstout l’Univers, dans l’Universde leur âme, dans l’Univers de leur cœur, dans l’Univers de leurcorps, car chaque cellule de toncorps, Ô Homme, est un Universcomme les galaxies que tudécouvres avec tes télescopes.

C’est dire que tu es infiniment petit et grand tout à la fois.Mais ta grandeur n’est pas làoù tu cherches à l’acquérir, tu es dans les ténèbres, et sache que les ténèbres n’existent quepar la Lumière. Sans Lumière, tu es néant, Ô Homme, néant comme ta vie actuelle.

Alors, fils de la Lumière,levez-vous ! Il est là, leNoël de l’humanité.Il vient,non cœur est dansl’allégresse, la pure joie du purdiamant qu’est l’Amour.

Moi, l’emmurée vivante, lalaissée pour compte de ta société,comme ceux que tu juges non rentables, je suis là pour donnercet amour. Je suis là pour témoigner de cette beauté infiniede Dieu.

Écoute dans ton cœur la musiquedes anges de ce nouveau Noël.Il est là, il vient, annonciateur dugrand renouveau où la mort ne sera plus la mort, où le corpsne sera plus malade, car nousserons Vie, car nous sommesdéjà Vie.

Merci, Dieu de mon cœur, derassembler ainsi autour de lanon rentable ceux qui comprennentton beau message d’Amour. Louésois-Tu, Ô Père éternel. Queceux qui croient en Toi, quelle quesoient leur religion, leur culture, se lèvent et se donnent la main pourcréer autour du monde une chaîne d’Amour.

Levez-vous, criez au monde labeauté de Dieu. Plus que jamaisil est Un avec nous, il est Un par nous, il est Un en nous.Levez-vous et joignez-vous au chœur des Anges, la souffrance denotre mère Terre sera atténuée.

Je vous embrasse.

Aurélie. Le 21.11.06

Texte : Aurélie ConnoirMusique : J.S.Bach : Sinfonia

Jacky Questel – Décembre 2006