Capital Investissement | 11 décembre 2017 Christian...
Transcript of Capital Investissement | 11 décembre 2017 Christian...
Direction Pôle Deal Flow
Capital Investissement | 11 décembre 2017
Christian LEONETTI
2
Bpifrance
Les acteurs et leurs codes
Les documents clés
Le marché
Bpifrance Investissement
01.
02.
03.
04.
05.
3
Bpifrance
4
• Créée par la loi du 1er janvier 2013 et effective depuis le 12
juillet 2013, Bpifrance est détenue à 50% chacun par l’État et
la Caisse des Dépôts .
• Issue du rapprochement d'OSEO (co-financement, garantie,
aide, innovation), de CDC Entreprises (fonds indirects, fonds
directs PME), de FSI Régions (fonds directs PME) et du FSI
(fonds directs ETI-GE).
• Depuis 1er janvier 2017, gestionnaire des garanties publiques
à l’exportation au nom, pour le compte et sous le contrôle de
l’Etat en vertu de l’art L 432-2 du code des assurances.
• Représentée par un interlocuteur unique des entrepreneurs
dans chaque région : les directions régionales d'OSEO qui
deviennent les directions régionales de Bpifrance.
• Elle s’organise autour de trois pôles:
• Bpifrance Financement
• Bpifrance Assurance Export
• Bpifrance Investissement
a. Bpifrance - Tous les instruments publics de financement réunis
Bpifrance Assurance Export
5
• > 4M€
• Nationaux
• Automobile
• ETI
• Stratégiques
Mid /Large Cap
• 0,4 M€ � 4 M€
• Sectoriels
• Tourisme
• Filières
• Régionaux
• FIEE
• Definvest
Direct PME
• 321 fonds
• Cycle complet du
capital
investissement
• Technologiques et
internationaux
• Nationaux
• Régionaux
Fonds de Fonds
a. Bpifrance - Organisation
Bpifrance Investissement
Nicolas Dufourcq
Anne Guérin Arnaud Caudoux Paul-François Fournier Fanny Letier José Gonzalo Benjamin Paternot
Bpifrance Assurance Export
• Assurance Change
• Assurance Crédit
• Assurance Prospection
• Garantie, Cautions et
Préfinancements
• Assurance
Investissement
BAE
Christophe Viprey
• Large Venture
• Ambition Numérique
• Innobio / FABS
• Maladies Rares / E-Santé
• Ville de demain
• Ecotechnologies
• F3A
• Aides aux projets de R&D
• Prêts avec différés de remboursement
• Subventions
Inn
• Une réduction du
risque crédit de
40% à 70%, selon
les projets
Garantie
• Cofinancement
• Prêts de
développement
• Trésorerie
• Prêts avec différés
de remboursement
dédiés à
l’International
Financement
Bpifrance Financement
Innovation
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Au cœur des régions
Responsable Fonds Propres
Délégation innovation
Délégation Financement
& Garantie
Bpifrance financement
Bpifrance investissement
Fonds directsi ndirects
Fonds
Exemple d’une organisation régionale
a. Bpifrance – Un interlocuteur unique en région
Assurance Exports
Bpifrance Assurance Export
48 points de contact
dont 42 sur le continent
Nouvelle Aquitaine
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Les acteurs et leurs codes
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a. Les acteurs et leurs codes - Capital Innovation
Capital amorçage Apport de fonds propres finançant les dépenses préalables ou Seed capital concomitantes à la création d'une entreprise : recherche-
développement, études de faisabilité, études de marchés, brevets,frais d'expertise juridique, réalisation de maquette ou de prototype,etc.
Appréciation L’investisseur cible les entreprises à fort potentiel. Pour uneintervention en Capital Amorçage, il est souvent demandé unepremière traction commerciale. Ainsi, la notion d’Amorçage et deCapital Risque 1er tour (création) se confondent souvent, laissant ladifférence à une intervention préexistante d’un fonds au capital.
Capital Innovation (et tous ses dérivés)
Seed Capital – Capital Amorçage – Capital risque (série ou tour)
Capital risque Investissement au démarrage d’une société nouvelle (création) ou Venture capital en accompagnement de l’expansion d’une entreprise à fort potentiel
(post-création). Dans ce type d’opérations, l’apporteur de capitauxaccepte de prendre un risque important dans l’espoir de réaliser àterme une plus-value proportionnelle au risque encouru.
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Business Angels
Collectivités Locales et Territoriales
Fonds d’amorçage
Bpifrance Financement
« Love Money » (incubateur, prêts, concours, Accélérateur,etc.)
Crowdfunding
Business Angels
Fonds privés Régionaux sectoriels
Fonds privés Nationaux sectoriels
Bpifrance Financement
Fonds privés Régionaux sectoriels et généralistes
Fonds privés Nationaux sectoriels et généralistes
Bpifrance Financement
Capital Innovation Capital Transmission…….. Capital Retournement
Business Angels
Collectivités Locales et Territoriales
Fonds d’amorçage
Bpifrance Financement
Crowdfunding
Fonds spécialisés sectoriels
Fonds spécialisés sectoriels
Fonds privés Régionaux sectoriels en co-investissement
Fonds privés Nationaux sectoriels en co-investissement
b. Les acteurs et leurs codes - Des profils d’investisseur différents à chaque étape
Capital
développement
Capital
développement
Amorçage
(seed)
Amorçage
(seed)
Post Création
(late stage)
Post Création
(late stage)
PRE
retournement
PRE
retournement
Création
(early stage)
Création
(early stage)
Transmission
(MBI / MBO)
Transmission
(MBI / MBO)
Transmission
(BIMBO / OBO)
Transmission
(BIMBO / OBO)
POST
retournement
POST
retournement
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• Plusieurs natures d’intervenants
• Indépendant (family office, love money, business angels, etc.)
• Sociétés de capital risque (SCR)
• Fonds de capital risque (FCPR, FPCI, FCPI, FIP, etc.)
• Grandes entreprises nationales ou mondiales qui montent leurs propres fonds (CorporateVenture)
• Les banques
• Le Crowdfunding (financement participatif)
La profondeur du soutien financier et l’accompagnement ne sont pas les mêmes.
• Quatre principaux axes stratégiques d’intervention sur le marché
• Le cycle de l’entreprise visée : en amorçage, en création, en développement ou en reprise
• Le domaine d’activité : nouvelles technologies, hardware, software, cleantech/nouvelle énergie, business services, etc.
• La situation géographique : régionale, nationale ou encore continentale
• Les montants minimum et maximum accordés
b. Les acteurs et leurs codes – Les fonds d’investissement - Nature
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• Cyclicité moyenne d’un fonds – durée de vie moyenne 10 ans
• Etape 1. Période de souscription - entre 1 et 2 ansIl peut y en avoir une ou plusieurs ayant une durée déterminée, c’est durant cette période quela collecte se fera. Il est impossible de souscrire à des parts en dehors de ces périodes.
• Etape 2. Période d’investissement - entre 3 et 4 ansLa société de gestion va chercher des entreprises cibles dans lesquelles investir pour ensuiteen assurer le suivi.
• Etape 3. Pré liquidation – à partir de la 6ème année et close à la 9ème
Des participations peuvent être cédées. Pendant cette période, seuls des investissementscomplémentaires dans les sociétés en portefeuille sont autorisés.
• Etape 4. DissolutionLa société de gestion de portefeuille décide de mettre un terme à la vie du fonds. Elle entraînel’ouverture de la période de liquidation et est soumise, au préalable, à l’agrément de l’AMF.
• Etape 5. LiquidationToutes les participations sont cédées, les éventuelles plus values sont partagées entre lesporteurs de parts.
320
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b. Les acteurs et leurs codes – Les fonds d’investissement (FPCI) – Cycle de vie
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• Trois périodes majeures : investissement, gestion de la participation et désinvestissement
• Première période - Investissement (entre 3 et 18 mois suivant l’importance de l’opération)
Etape 1. Deal flow – Traitement du flux des dossiers qui permet d’assurer un flux d’occasions d’investissement dequalité.
Etape 2. Analyse préliminaire – Validation de l’éligibilité d’un projet d’investissement à une instructionapprofondie par le Fonds. Cette analyse préliminaire permet d’éviter de mobiliser les équipesd’investissement et d’engager des recherches et des analyses qui pourraient représenter un coûtinjustifié.
Etape 3. Instruction - Cette phase permet d’établir les conditions d’investissement (financières, gouvernance etrelations avec les actionnaires). Les accords conclus à cette étape, ainsi que la valorisation retenue,restent conditionnelles aux résultats des « due diligence » (validation de l’ensemble des élémentsdéfinissant la structuration de l’opération : technique, financière, RH, etc.). Cette phase fait intervenirdes auditeurs ou experts souvent externes. La revue des conclusions des due diligence peut générer troistypes de décision :
- L’exécution de la transaction dans les termes entendus si la revue est globalement satisfaisante.- L’exécution de la transaction moyennant des modifications aux termes de l’accord préalable si la
revue des due diligence fait apparaitre des risques et des réajustements de valeur qui ne remettentpas en cause les justifications fondamentales de la transaction.
- L’annulation de la transaction si la revue des due diligence montre une situation ou desperspectives fondamentalement différentes des hypothèses qui ont été à la base de la transaction.
Etape 4. Finalisation- Formalisation de l’investissement (signing ou/et closing)et prise de participation(décaissement).
b. Les acteurs et leurs codes – Les investissements – Cycle de vie 1/2
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• Deuxième période - Gestion de la participation (participation à la création de valeur du capital) – en moyenne 3 à 5 ans
• Troisième période - Désinvestissement – de l’ordre de 3 à 18 mois suivant l’importance de l’opération
Etape 1. Instruction précession – Définition des conditions de cession
Etape 2. Cession de la participation – Formalisation du désinvestissement et encaissement.
b. Les acteurs et leurs codes – Les investissements – Cycle de vie 2/2
• Cyclicité moyenne d’un investissement – 5 à 7 ans
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• Le management • Est-il adapté ?
• Le modèle économique • Est-il clairement établi et lisible dans la budget (B2B, B2C, B2B2C, etc.)
• Les technologies / usages• Sont-ils innovantes, discriminants ? • Quelles sont les barrières à l’entrée (brevets, …) ?
• Le marché • Y a-t-il un marché ? Est-ce une ouverture de marché ? Quels sont les concurrents ?
• Le besoin de financement• Quel est l’objectif que la société souhaite atteindre ?• Pour atteindre cet objectif, quels sont les moyens exposés ?
En fait Quels sont les facteurs de croissance du capital ?
Et dans quelle période de temps ?
b. Les acteurs et leurs codes – Les premières questions clés en Capital Innovation
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L’entreprise peut-elle servir le rendement attendu par l’investisseur ?(Return On Investment – ROI)
10x 8x
Création de la société Développement terminé, début du lancement commercial
8x 6x
Début du lancement commercial Preuves de marché obtenues, début de rentabilité
6x 4x
Début de rentabilité Poursuite du développement/relais de croissance
b. Les acteurs et leurs codes – Un critère d’éligibilité incontournable : le « ROI »
• Rappel des rendements moyens suivant la maturité des sociétés
A titre d’exemple
Si un investisseur apporte 100 K€ au capital d’une société en amorçage, il envisagera dedégager une plus-value de l’ordre de 900 K€ (soit une sortie correspondant à un facteur de 10). Sila valorisation estimée de la société est de 5M€ à la sortie de l’investisseur, alors l’investisseursouhaitera obtenir 20% de la société : 20% * 5 M€ = 1 M€ (objectif du rendement attendu).
Si la valorisation envisagée de la société avait été de 0,9 M€, l’investisseur n’aura pas faitl’opération car son rendement attendu n’aurait pas été établi même s’il prenait 100% du capital(100% * 0,9 M€ < 1 M€).
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b. Les acteurs et leurs codes – Des intervenants calibrés pour des interventions ciblées
Cibler la bonne nature d’investisseur
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FOCUS ON THE STARTUPS’ LIFE CYCLE
b. Les acteurs et leurs codes – Certaines interventions encore mal couvertes
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b. Les acteurs et leurs codes – Le langage
UN FORT EFFET D’ENTRAINEMENT DU MARCHÉ PRIVÉDES LANGAGES DIFFÉRENTS QU’IL FAUT COMPRENDRE
Entreprise Investisseur
TRIMultipleGPLPCourbe en JHurdleCarried interestBrokerLBOMiddle OfficeBack OfficeFacteurs de risque
Pré-monnaie (pre-money)Post-monnaie (post-money)Pacte d’actionnairesActionObligation (simple ou convertible)BSABSPCEValorisation (wacc, roe, roce)LiquiditéRatchet
Chiffre d’affairesMargeEBITEBITDAFonds propresQuasi fonds propresModèle d’entreprise (Business model)Business planMarchéTechnologieFacteurs de réussiteBesoin de financementTrésorerie
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b. Les acteurs et leurs codes – Le langage
UN FORT EFFET D’ENTRAINEMENT DU MARCHÉ PRIVÉLE LANGAGE « ENTREPRISE »
Business plan (plan d'affaires en français)
Modélisation de l'avenir le plus probable pour l'entreprise. Il doitnotamment permettre de pointer les paramètres susceptibles defaire varier significativement la valeur de l'investissement et doncd'en appréhender les risques. Il contient usuellement :• Synthèse (executive summary)• Besoin du client et opportunité d'affaire• Stratégie et étapes clefs• Plan marketing• Plan opérationnel (compte de résultat prévisionnel,• plan de financement, plan de trésorerie, BFR• Management et personnes clefs• Projections financières• Besoins et plan de financement
Modèle d’entreprise (business model)
Représentation synthétique censée décrire lesprincipaux aspects de l'activité d'une organisation, tantau niveau de ses finalités (but, offres, stratégies) que desressources et moyens déployés (infrastructure,organisations, pratiques de diffusion ou distribution,processus et règles de fonctionnement).
Il s'agit de garantir l'existence et le partage d'une valeurajoutée entre parties prenantes sur une période et pourun domaine d'activité clairement identifiés.
EBIT - (Earnings before Interest, Taxes)Se rapproche de la définition du résultat d’exploitation
C’est le résultat de l’activité de l’entreprise
EBITDA - (Earnings before Interest, Taxes, Depreciation and Amortization)Se rapproche de la définition de l’EBE (excédent brut d’exploitation)
C’est le bénéfice d’exploitation
Exercice majeur qui donne un aperçu complet de lavision du créateur et de sa capacité à créer de lavaleur plus ou moins rapidement
Outil de communication auprès des financiers (banqueset/ou investisseurs)
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b. Les acteurs et leurs codes – Le langage
UN FORT EFFET D’ENTRAINEMENT DU MARCHÉ PRIVÉLE LANGAGE « INVESTISSEUR »
LP Limited Partner – Structure d'investissement, fiscalementtransparente
GP General Partner – C’est la société de gestion
TRI Taux de Rentabilité Interne d'un investissement
Multiple Méthode fondée sur l'observation d'un échantillond'entreprises comparables (taille, secteur, taux de croissance,risque) pour lesquelles on observe des rapports entre leurvaleur (boursière ou de transaction si elles ont été récemmentvendues) et des paramètres de l'entreprise à évaluer (EBIT,EBITDA, etc.).Les multiples moyens ou médians obtenussont ensuite appliqués aux paramètres financiers del'entreprise à évaluer
Courbe en J Courbe que suit la valeur d'investissement ou la valeurliquidative d'un fonds au cours du temps. Cette valeursubissant le poids des frais de gestion des portefeuilles quin'est, dans un premier temps, pas compensé par unerevalorisation des investissements réalisés, commence parbaisser en dessous du nominal pour ensuite - en casd'investissement satisfaisant - remonter, traçant ainsi le profild'un J
Hurdle Taux d'intérêt minimum à obtenir avant que ne commence às'appliquer l'intéressement des investisseurs à la performancefinancière du fonds
Carried interestPart de la plus-value réalisée par un fonds d'investissementsqui revient à ses dirigeants (souvent 20 % de la plus-value) pourautant, quand cela est prévu, que le TRI des investisseurs dufonds atteigne au moins un certain pourcentage annuel (Hurdlede 8 % souvent). C'est un mode d'intéressement àperformance.
Fully Diluted L'ajustement fully diluted prend en compte l'ensemble desvaleurs mobilières donnant accès au capital (bons desouscriptions en actions, obligations convertibles, etc.) etsusceptibles de générer une dilution des données par action(bénéfice net par action, capitaux propres par action, cash flowpar action), comme si tous ces titres avaient d'ores et déjàdonné lieu à une émission d'actions supplémentaires.
Middle OfficeLien entre le front office (FO) et le back office (BO). Le rôledu middle office est complexe :• Vérification des négociations effectuées par le FO.
Celles-ci doivent être conformes à la réglementation etaux bonnes pratiques définies en interne
• Contrôle de non-dépassement des limites d'engagement• Liens directs avec le dépositaire• Suivi de la qualité de constitution des dossiers
DCF Egalement désignée sous le terme de Discounted Cash Flow– Méthode d’évaluation d’actif qui traduit financièrementqu’un actif « vaut ce qu’il rapporte ». Cette méthodeconsiste a calculer, par actualisation, la valeur actuelle nettedes flux de trésorerie futurs attendus d’une activité.
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b. Les acteurs et leurs codes – Le langage
UN FORT EFFET D’ENTRAINEMENT DU MARCHÉ PRIVÉLE LANGAGE D’ÉCHANGES ENTRE ENTREPRISE ET INVESTISSEUR
BSA Bon de souscription à une action. Ce bon, attaché à uneobligation (OBSA) ou à une action (ABSA) permet desouscrire, à des conditions fixées d'avance par l'AssembléeGénérale Extraordinaire des actionnaires et sur propositiondu Conseil d'Administration, à des actions nouvelles. Lesinvestisseurs, les cadres dirigeants ou les salariés peuventen bénéficier
BSPCE Les bons de souscription de parts de créateur d'entreprise(BSPCE) ont été créés en 1998 pour encourager lescréateurs d'entreprise à entrer au capital de l'entreprisecréée et à y rester
Pré-monnaie (pre-money)Valorisation d'une entreprise avant l'entrée des investisseursau capital
Post-monnaie (post-money)Valorisation de l'entreprise postérieure à l'investissementdes financiers, c'est-à-dire incluant les financementsapportés par ces derniers
Valorisation La valorisation d'une entreprise consiste à calculer sa valeurfinancière en tenant compte des données comptablespassées et du potentiel de développement de la société.Plusieurs techniques de valorisation de l'entreprise sontutilisées. Le plus souvent, on utilise deux ou trois de cesméthodes pour pouvoir comparer les résultats obtenus etainsi conforter sur la fourchette de prix obtenue (parexemple : méthode de l’actif net corrigé obtenu enréévaluant les actifs de l'entreprise, la méthoded'actualisation des flux futurs de trésorerie (DCF) oul’approche comparative qui valorise une société à partir dedonnées du même secteur pour des sociétés cotées ou noncotées comparables (chiffre d'affaires, résultat net, EBE, etc.)
Obligation (simple ou convertible)Une obligation est une valeur mobilière constituant un titrede créance représentatif d'un emprunt. Il existe plusieursvariantes telles que OC obligation convertible en action,ORA obligation remboursable en actions, etc.
Pacte d’actionnairesDocument complémentaire aux statuts de la sociétépermettant aux actionnaires ou à certains d'entre euxd'organiser leurs relations au sein de la société (conditions desortie, clauses de protection, etc.). Il a l'avantage d'êtreconfidentiel alors que les statuts sont accessibles à tous
Liquidité Capacité de cession des titres investis (cession industrielle,introduction en bourse, etc.)
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b. Les acteurs et leurs codes – Les erreurs les plus fréquentes
• Les aspects managériaux• Absence de vision à long terme de l’entreprise; mauvaise appréciation des étapes de
croissance de l’entreprise; manque de cohérence du staff de management; manque d’ambitiondu BP; mauvaise évaluation des critères de réussites; etc.
• Les aspects financiers• Mauvaise appréciation du modèle économique de l’entreprise; multiplicité du business model
pour la levée de fonds; inadaptation du BP au modèle économique exposé; manque de clartédes éléments clés d’appréciation du BP; financement du besoin au lieu du financement desobjectifs; etc.
• Les actionnaires• Une gouvernance non dédiée à 100% à l’entreprise; un volume important d’actionnaires au
capital de l’entreprise; un désalignement des actionnaires tant à l’entrée qu’à la sortie; etc.
• La démarche• Un déséquilibre dans l’exposé de la recherche de fonds; une diffusion trop importante dans la
recherche de fonds; un mauvaise ciblage des types de fonds dans la recherche; des dossierstrop synthétiques ou trop conséquents; etc.
• La valorisation• Surestimation de la valorisation, centrage de l’opération autour de la valorisation, déséquilibre
dans l’opération due à une valorisation mal définie
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• Les sources de financement sans prise de participation au capital = non dilution du capital
La levée de fonds n’est pas la seule solution de financement disponible. Avant de se lancer dans une levée defonds, il est nécessaire de prendre en considération toutes les sources de financement non dilutives possibles, etnotamment :
• L’autofinancement : l’entreprise peut s’autofinancer via une optimisation de son BFR, ou plus radicalement,via une opération de réduction des coûts ou de cession partielle.
• L’État : via les aides de Bpifrance, le statut Jeune Entreprise Innovante (JEI), le Crédit d’Impôts Recherche(CIR), les aides régionales et départementales. Les aides publiques sont une véritable solution pour pallier aumanque de financements privés en amorçage, et permettent d’obtenir des fonds sans diluer le capital.
• Les grands groupes : certains peuvent apporter des aides pour la revitalisation du territoire ou dans dessecteurs proches de leur marché.
• Les banques : peuvent financer certains projets de l’entreprise. C’est pour cette raison qu’il est fondamentalde bien choisir la banque qui accompagnera l’entreprise.
c. Les acteurs et leurs codes - Le financement
• Les sources de financement avec prise de participation au capital = dilution du capital
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Les documents clés
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• Un outil de réflexion, de décision et de communication
• Un réel enjeu pour l’entrepreneur• Le plan d’affaires permet de prendre du recul, d’ordonner ses idées, de mettre en
valeur ses atouts.
• Il constitue une feuille de route des actions à mener pour décliner la stratégie.
• Il permet de définir les ambitions de l’entreprise.
• Un outil de décision pour l’investisseur• Cohérence des caractéristiques du projet avec les critères d’investissement du fonds
• Vérification de la solidité du projet avant toute instruction avancée : un document àla fois détaillé et concis qui répond aux attentes d’un investisseur et qui peut leconvaincre d’aller plus loin.
a. Les documents clés – Le plan d’affaires
A quoi correspond le plan d’affaires ?
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• Recommandations• Rédiger un document « digeste » dont la présentation est soignée, simple et claire (une vingtaine de pages)
• Faites relire le Business Plan (par un incubateur ou un conseil)
• Maîtriser tout ce qui est écrit (c’est un élément de confiance)
• Eviter les signaux implicites par des non-dits (par exemple : ne pas donner l’impression que l’argent levé va serviren premier lieu à rémunérer les dirigeants plutôt que de servir au développement de l’entreprise)
• Ne pas faire de la signature d ’un accord de confidentialité un point bloquant pour transmettre le Business Plan(le projet doit pouvoir être présenté sans qu’il ne soit mis en péril)
• Erreurs fréquentes à ne pas commettre• Surestimer la taille du marché adressable
• Sous-estimer la capacité de réaction de la concurrence et l’arrivée d’un nouvel entrant
• Sous-estimer le temps de mise au point du produit ou du concept
• Prévoir plusieurs scénarios de plans d’affaires
• Ne pas calibrer la levée par rapport au réel besoin
• Prévoir un déploiement avant d’avoir prouvé la faisabilité du modèle économique – preuve de marché (parexemple : aller à l’international rapidement avant de faire la preuve de marché en France)
a. Les documents clés – Le plan d’affaires
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• Un outil de marketing et de vente• En quelque sorte le CV de l’entreprise
• Le premier document que l’investisseur reçoit
• Il doit susciter son intérêt pour déclencher un rendez-vous
• Il est rédigé en dernier• C’est un extrait du plan d’affaires
• L’argumentaire est parfaitement maîtrisé
• Il n’y a pas de plan type• C’est la reprise des principaux éléments du plan d’affaires
a. Les documents clés – L’« executive summary »
A quoi correspond l’« executive summary » ?
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• Recommandations• L’Executive Summary doit être court et synthétique (1 à 2 pages)
• Il doit être percutant et pédagogique. Chaque mot doit être pertinent
• Il doit refléter l’essence du projet en répondant à des questions élémentaires (Quel est mon projet? Quisuis-je? A qui vendre? Comment vendre? Combien ça coûte aux investisseurs? Combine cela leur rapportet en combien de temps?
• Il doit être rédigé de sorte à raconter une histoire
• Une attention particulière doit être apportée à la première phrase qui est déterminante (« l’accroche »)
• L’Executive Summary doit être adapté à la typologie d’investisseur à qui il s’adresse
• Erreurs fréquentes à ne pas commettre• Présenter un projet qui reflète trop les travaux de recherche et non un projet d’entreprise
• Présenter un document trop touffu qui rend difficile une appréhension rapide du projet
a. Les documents clés – L’« executive summary »
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• Présentation orale
• Entre 3 et 15 minutes suivant le contexte
• Convaincre les investisseurs de poursuivre une étude plus approfondie
• Format• Phrase d’accroche
• Brève présentation personnelle
• Les raisons qui ont fondé la décisions de créer l’entreprise (montrer que le projet répond à un besoin et à unmarché)
• La solution apportée (vision technologique macroscopique, bénéfices clients et différences avec l’existant)
• Les étapes déjà franchies et la situation actuelle (chiffre clés, principales réalisations, stade dedéveloppement de l’offre, partenariats, contrats, clients, chiffre d’affaire…)
• La vision et la stratégie qui justifient la levée
• La proposition faite aux investisseurs (besoin de financement, utilisation des fonds, pourquoi cetinvestisseur en particulier…)
a. Les documents clés – Le pitch
Dans quel contexte le pitch est-il utilisé ?
• Recommandations
• Présentation dynamique et impactant sans avoir un débit trop rapide
• Peu de slides support (entre 7 et 10 + des slides annexes pour pouvoir répondre aux question suivant lepitch)
• Slides pédagogiques aérées et avec des graphiques
• Expression claire de la proposition de valeur (rapide appréhension de ce qui est proposé)
• S’il s’agit d’une plateforme ou d’un site, inclure des impressions écrans permettant de faire unedémonstration
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Le marchéa. Les capitaux levés
b. Les investissements
c. Les désinvestissements
31
a. Le capitaux levés – France
+31%
32
a. Les capitaux levés – France
33
b. Les investissements - France
?
34
b. Les investissements – France au 1er semestre 2017
Ticket moyen en Capital Innovation à 1,25 M€ (baisse de 11,7% par rapport à 2016)
35
c. Les désinvestissements – France au 1er semestre 2017
36
c. Les désinvestissements – France au 1er semestre 2017
Cessions réalisées en majorité par les industriels (18%) et les fonds de capital investissement (38%)
Ticket moyen en Capital Innovation à 1,2 M€ (baisse de 39% par rapport à 2016)
37
Bpifrance Investissementa. Interventions directes
b. Interventions indirectes
c. Une qualité de services
d. Les chiffres
38
In
no
va
ti
on
• Large Venture• Entre 10 et 50 M€ en capital risque
• Entreprises du numérique, biotechnologies, technologies médicales, écotechnologies etc.
• Fonds Evergreen de 1 Mds€ – Fonds propres Bpifrance
• Coté et Non coté – Co-investissement
a. Bpifrance – Direct – INNOVATION - CAPITAL RISQUE 1/2
Véronique Jacq
Mailys Ferrere
• Fonds Ambition Numérique• Entre 1 et 10 M€ en capital risque
• Entreprises de logiciels, cloud, big data, cyber sécurité, composants/systèmes, robotique, objets intelligents, e-santé
• FPCI de 300 M€ – Programme d’Investissements d’Avenir mis en œuvre par l’État
• Non coté – Co-investissement – Chiffre d’affaires > 250 K€
• Fonds Ambition Amorçage Angel (F3A)• Entre 0,2 et 0,5 M€ en capital amorçage
• Entreprises de logiciels, cloud, big data, cybersécurité, composants/systèmes, robotique, objets intelligents, e-santé
• FPCI de 50M€ – Programme d’Investissements d’Avenir mis en œuvre par l’État
• Non coté – Co-investissement aux côtés de Business Angels, de réseaux/clubs BA, de super Angels
Généralistes
Numérique
• Programme de Soutien à l’Innovation Majeure (PSIM)• Entre 2 et 20 M€ en capital risque
• Entreprises lauréates du Concours Mondial d’Innovation dans l’une des huit ambitions définies par laCommission Innovation 2030
• FPCI de 150 M€ – Programme d’Investissements d’Avenir mis en œuvre par l’État
• Non coté – Co-investissement
EmmanuelAudouard
39
In
no
va
ti
on
a. Bpifrance – Direct – INNOVATION - CAPITAL RISQUE 2/2
Laurent Arthaud
• Fonds Accélération Biotechnologies Santé (FABS)• Entre 1 et 20 M€ en capital risque – amorçage• Produits et services technologiques dans le domaine de la santé humaine• FPCI de 340M€ – Programme d’Investissements d’Avenir mis en œuvre par l’État• Non coté – Co-investissement
• Ecotechnologies• Entre 2 et 10 M€ en capital risque• Entreprises des énergies renouvelables et chimie verte, économie circulaire et éco-conception, smart grids, mobilité• FPCI de 150 M€ – Programme d’Investissements d’Avenir mis en œuvre par l’État• Non coté – Co-investissement
• Fonds Biothérapies Innovantes et Maladies Rares• Entre 1 et 5M€ en capital risque – amorçage• Produits biopharmaceutiques, imagerie et diagnostic dédiés aux maladies rares• FPCI de 50 M€ (AFM-Téléthon 60%, Fonds National Amorçage 40%)• Non coté – Co-investissement
• Ville de demain• Entre 0,5 et 2 M€ en capital risque - amorçage• Entreprises de conception urbaine et environnement, bâtiments et usages, énergie et réseaux, mobilité, services
urbains innovants• FPCI de 50 M€ – Programme d’Investissements d’Avenir mis en œuvre par l’État• Non coté – Co-investissement
Ecotechnologies
Biotechnologies• InnoBio• Entre 1 et 10 M€ en capital risque• Produits et services technologiques dans le domaine de la santé humaine• FPCI de 173 M€ – 51% par 9 laboratoires pharmaceutiques français ou implantés en France (Sanofi, GSK, Pfizer,
Roche, Novartis, Ipsen, Takeda, Lilly, Boehinger) et 49% Bpifrance• Non coté – Co-investissement
40
a. Bpifrance – Direct – Fonds propres PME - CAPITAL DEVELOPPEMENT 1/2
IsabelleGinestet
Fo
nd
s p
ro
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es
PM
E
• Mode & Finance• Entre 0,4 et 4 M€• Entreprises des secteurs de l’habillement, des accessoires, de la maroquinerie, des chaussures, des parfums, des
cosmétiques, de l’horlogerie, de la joaillerie• FPCI 18 M€ – Non coté
• Savoir-Faire d’Excellence• Entre 0,5 et 2 M€• Entreprises avec un savoir-faire rare issu de l’expérience manufacturière : décoration, patrimoine, mode, beauté, culture,
loisirs, arts de la table, gastronomie, etc• FPCI 20 M€ – Non coté
• Patrimoine & Création• Entre 1 et 10 M€• Entreprises des secteurs de l’édition littéraire, du spectacle vivant, de l’audiovisuel, du cinéma, de la musique, des
industries du luxe et des métiers d’art• FPCI 60 M€ – Non coté
Une intervention inférieure à 4M€
Industries Créatives
• Régions• FIR1
Entre 0,5 et 4 M€ – Financement en actions – Développement et transmission – FPCI 200 M€• FIR2
Entre 0,5 et 4 M€ – Obligations convertibles en actions – Développement et transmission – FPCI 200 M€• FIR3
Entre 0,25 et 0,5 M€ – Obligations convertibles en actions – Développement et transmission – FPCI 40 M€• FIR4
Entre 0,5 et 4 M€ – Obligations associées à des bons de souscription d’actions – Rebond et fort BFR – FPCI 290 M€
• Non coté – Co-investissement
Jean-LouisEtchegoyhen
Généraliste
41
• Fonds Ferroviaire• Entre 1 et 4 M€• Entreprises de la filière ferroviaire : matériel roulant, infrastructures, services, systèmes• FPCI 40 M€ (Alstom, SNCF, Ratp, Bombardier er Bpifrance) – Non coté – Co-investissement
• Fonds de Développement des Entreprises Nucléaires (FDEN)• Entre 1 et 13 M€• Entreprises de la filière Nucléaire• FPCI 133M€ ( Vinci, EDF, Alstom, Areva, Eiffage et Bpifrance) – Non coté – Co-investissement
• Fonds Bois• Entre 1 et 5 M€• Entreprises de première et deuxième transformation du bois• FPCI 27 M€ (Unifa, Codifab et Bpifrance ) – Non coté – Co-investissement
• France Investissement Energie Environnement (FIEE)• Entre 0,5 et 6 M€• Entreprises dans le domaine des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et de l’économie circulaire• FPCI 100M€ – Non coté – Co-investissement
• Definvest• Entre 0,5 et 5 M€• Entreprises de la filière défense – entreprise considérée stratégique pour la défense française• FPCI 50M€ – Non coté – Co-investissement
a. Bpifrance – Direct – Fonds propres PME - CAPITAL DEVELOPPEMENT 2/2
JacquesSolleau
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Une intervention inférieure à 4M€
Filières
• Fonds Tourisme• Entre 0,5 et 5 M€
• Entreprises des secteurs du tourisme : hôtellerie, voyage et transports touristiques, loisirs et utilisation du temps libre,la restauration, solutions pour le tourisme
• Développement, innovation et compétitivité
• FPCI 100 M€ – Non cotéSergeMesguich
Tourisme
42
a. Bpifrance – Direct – Mid & Large Cap – CAPITAL DEVELOPPEMENT 1/2
Nicolas Manardo
AlexandreOssola
• Investissements généralistes - National• Entre 5 et 15 M€ en capital développement et en capital transmission
• Généraliste tout secteur sauf secteurs : services financiers, activités immobilières (promotion ou foncières),presse/sondages, infrastructures
• FPCI dotés de 1,01 Mds€
• Non coté
• Fonds d’Avenir Automobile (FAA)• Entre 1 et 60 M€ en capital développement
• Entreprises de la filière automobile (équipementiers de rang1 et de rang 2)
• Deux FPCI (dédié aux équipementiers de rang1 doté de 650 M€ - dédié aux équipementiers de rang2 doté de 50 M€) -Peugeot, Renault, Bosch, Faurecia, Hutchinson, Plastic Omnium, Valeo
• Non coté
• ETI 2020• Ticket supérieur à 15 M€ en capital développement et en capital transmission
• Fonds long terme (99 ans) de 15 Mds€
• ETI et grandes entreprises françaises dans l’accélération de leur développement, le renforcement de leurs capacitésd’innovation et leur positionnement à l’international
• Coté et Non coté
Une intervention supérieure à 4M€M
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ETI et Large Cap
Généraliste
Automobile
Sébastien Moynot
43
a. Bpifrance – Direct – Mid & Large Cap – CAPITAL DEVELOPPEMENT 2/2
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• Entre 10 M€ à 160 M€
• Investissement dans des sociétés de projets industriels
• New co industrielle avec une entreprise ayant développé, à côté de son cœur de métier, une nouvelle technologie àindustrialiser.Exemple: une ETI a développé, à côté de son cœur de métier, une nouvelle technologie de fabrication d’équipements d’énergie renouvelable. La mobilisation d’investisseurs lui permet d’accélérer le développement de l’activité en la filialisant et sans compromettre ses autres investissements et développements.
• Création de capacités de production indispensables à une ou plusieurs entreprises technologiques.
• Partenariat capitalistique start-up / opérateur industriel.
• Attractivité du territoire pour des industriels étrangers voulant installer de nouvelles capacités de production enEurope.Exemple: des industriels étrangers désireux de créer une filiale en France portant des équipements de production industriels recherchent des capitaux et des partenaires nationaux.
• Un fonds financé par le Programme d’Investissement d’Avenir (PIA)
• FPCI doté de 800 M€ mobilisés principalement sous formes de fonds propres
• Investissement avisé en minoritaire dans des sociétés de projets, aux côtés departenaires essentiellement industriels
• Non coté
MagaliJoessel
Une nouvelle classe d’actifs: les sociétés de projets industriels
Projets industriels
44
b. Bpifrance – Indirect – DE L’AMORCAGE AU RETOURNEMENT
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• Pôle Capital Développement et fonds de fonds
• Pôle Fonds Technologiques et Internationaux
• Pôle Fonds Régionaux
• 321 fonds d’investissement• fonds nationaux
• fonds régionaux
• fonds nationaux ou étrangers investissant tout ou partie à l’international, dont 11 investissantprincipalement en France
• Le FNA (Fonds National d’Amorçage)• 27 fonds actuellement et une trentaine à terme
• Engagement global à 600 M€ pour dynamiser l’investissement au stade de l’amorçage en France
• Entreprises dans le secteur de la santé, l’alimentation et les biotechnologies, l’information, lacommunication et les nanotechnologies et les écotechnologies
Une intervention sur toute la chaîne de financement et sur tous les secteurs
Jean RenéJegou
BenjaminPaternot
Fonds nationaux Fonds régionaux
Exemples de fonds en portefeuille
45
b. Le Capital Investissement – Interventions indirectes
46
c. Le Capital Investissement – Exemples
• Extrait du portefeuille Large Venture
Numérique
Sciences de la vie& Ecotechnologies
47
c. Le Capital Investissement – Exemples
• Extrait du portefeuille Ambition Numérique
Composants et systèmes
Robotique et objets intelligents
Logicielscloud computing, big data
Nouveaux usages, nouveaux services
48
c. Le Capital Investissement – Exemples
• Extrait du portefeuille Ecotechnologie/ Innobio / Maladies Rares
Maladies Rares
Ecotechnologies
INNOBIO
49
c. Le Capital Investissement – Exemples
• Extrait du portefeuille Direct PME
Généralistes Régionaux
Bois
Mode et Finance
Patrimoine et Création
Savoir-Faire
50
c. Le Capital Investissement – Exemples
• Extrait du portefeuille Direct Mid & Large Cap
FAA
Généralistes Nationaux
Entreprises Taille Intermédiaire ( ETI)
Grandes Entreprises ( GE)
Rang 1
Rang 2
51
• Une « Qualité de services »• Toute entreprise qui envoie une demande d’investissement à Bpifrance doit avoir
une réponse sous un délai inférieur à 6 semaines. Si la réponse est négative, elledoit être argumentée et des pistes doivent être proposées (orientation).
• Un point de contact Fonds propres• Garant de la traçabilité de tous les dossiers d’investissement (risque et
développement) ; c’est l’animateur de l’activité deal flow en région.
• Garant de l’orientation des dossiers d’investissement relatifs au capital
développement en région.
• Un « spécialiste » de l’innovation• Garant de l’orientation des dossiers d’investissement relatifs au capital risque et
amorçage en région.
• Un pôle deal flow centralisé• Coordinateur de l’ensemble de l’activité deal flow et acteur de la consolidation des
données deal flow provenant des responsables fonds propres.
LA TRACABILITE ET L’ORIENTATION DES DOSSIERS PAR LE DEAL FLOW EN REGION
c. Le Capital Investissement – Une qualité de services
52
c. Le Capital Investissement – Les règles prudentielles
UN INVESTISSEUR AVISÉ, D’INTÉRÊT GÉNÉRAL, DE LONG TERME,
SOCIALEMENT RESPONSABLE
• Une institution soumise à un encadrement règlementaire et prudentiel strict.
• Ratios prudentiels et règlementaires.
• Gestion des risques liés à l’activité.
• Contrôles interne et externe.
• Des éléments de doctrine importants
• Investissements minoritaires
• Investisseur patient avec une durée d’investissement en moyenne plus élevée que leprivé (8 à 10 ans vs. 3 à 5 ans) afin de favoriser l’émergence des ETI.
• Recherche d’opérations rentables permettant de préserver le capital de Bpifrance.
• Prise en compte des critères d’intérêt général dans les décisions d’investissement(emploi, compétitivité et innovation).
• Pas de participation à des opérations à fort effet de levier
• Intégration des critères « ESG » (Environnementaux, Sociaux et de bonne Gouvernance)
• Dans les décisions d’investissement direct dans les entreprises.
• Dans le suivi de des participations : mise en place d’un reporting ESG.
53
d. Les Chiffres 2016 - Bpifrance
2,4 Md€ D’INVESTISSEMENT EN CAPITAL (+31 %)
13,6 Md€ DE CREDITS ET AIDES (+2,3%)
Cofinancement : 4,3 Md€ (+5 %)
Prêts de développement : 2,4Md€ (+20 %)
Prêts court terme : 5,6 Md€ (-5%)
Aides à l’innovation : 0,93 Md€ (-7%)
Prêts à l’innovation : 350 M€ (+15 %)
· Capital Innovation direct : 191M€ (+13 %)
· Fonds propres PME: 139 M€ (+5%)
· Fonds Mid & Large Cap: 1 102 M€ (+42 %)
. Fonds SPI : 199 M€ (1ère année)
· Investissement dans les fonds partenaires (activité de fonds de fonds) : 729 M€ (+6 %)
1,5 Md€dédiés à
l’Innovation
8,4 Md€ de prêts garantis en partenariat avec les régions (5%)
54
Fonds propres, une croissance sur tous les segments
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183 1 803 195 7% 2 360 31%
Investissements directs 183 1 118 195 7% 1 631 46%
Innovation 54 169 53 -2% 191 13%
Dévelop. / Transmis. 128 909 138 8% 1 241 37%
- Fonds PME 97 132 96 -1% 139 5%
- Fonds "Mid&Large Cap" 31 777 42 35% 1 102 42%
Sociétés de projets industriels 1 40 4 300% 199 398%
Fonds de fonds 685 729 6%
S I T U A T I O N
Année 2016Année 2015
Bpifrance Investissement
d. Les Chiffres 2016 - Bpifrance
55
d. Les chiffres - Bpifrance – Investissement en capital - Les chiffres 2014 - 2015 - 2016
• Innovation• 2015 – Bpifrance soutient le marché (+ de volume, tickets + gros)• 2016 – Bpifrance soutient les « gros » tickets
• Bpifrance - Une présence équilibrée sur le marché du capital investissement (11% du nombre
d’investissements réalisés en 2015 - versus 10 % en 2016– source AFIC )
• Dévelop./Transmis.• Bpifrance accompagne le marché
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8 686 1 633 10 727 1 626 12 347 1 880
Innovation 626 438 758 499 874 634 21,1% 13,9% 15,3% 27,1%
Dévelop. / Transmis. 8 060 1 195 9 969 1 127 11 473 1 246 23,7% -5,7% 15,1% 10,6%
Investissements directs 797 176 1 078 182 1 432 191
Innovation 127 41 169 54 191 53 33,1% 31,7% 13,0% -1,9%
Dévelop. / Transmis. 670 135 909 128 1 241 138 35,7% -5,2% 36,5% 7,8%
Représentation nationale 11% 11% 10%
Année 2014
S I T U A T I O N
Marché Français
Bpifrance
E V O L U T I O N
2014/2015 2015/2016Année 2015 Année 2016
Situation hors SPI et fonds de retournement
Merci