Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une...

7
Calendrier du CLIPP > 18 septembre Réunion du groupement d’achat ATM > 21 septembre Assemblée Générale de la FENALAP > 25 septembre Conseil d’Administration > 27 septembre Rencontre du groupement d’achat ATM avec les équarrisseurs > 1 er octobre Réunion technique Cunipalm > 4 octobre Réunion téléphonique du Bureau du CLIPP > 9 octobre Commission Communication > 10 octobre Réunion sur les orientations stratégiques pour la promotion des viandes blanches à FranceAgrimer > 18 octobre Commission Technique > 22 octobre Réunion du sous-groupe cunicole du COPA COGECA à Bruxelles > 23 octobre Réunion du Groupe Filière Production Cunicole de l’INRA > 25 octobre Réunion à la DGAL avec le Bureau des Établissements d’abattage et de découpe Novembre 2012 P. 1/7 Renouvellement de l’accord interprofessionnel relatif aux cotisations générales Lors du dernier conseil d’administration du 25 septembre, il a été décidé entre les organisations professionnelles, membres du CLIPP, de renouveler l’accord interprofessionnel relatif aux cotisations générales. Cet accord prévoit la reconduction des taux en vigueur. Il a été soumis à extension par les Pouvoirs Publics. La seule modification portée au budget 2013 par rapport à sa présentation en Assemblée Générale en juin 2012 consiste à intégrer la demande de subvention faite à FranceAgrimer pour la Promotion d’un montant de 225 000 €. Recettes prévisionnelles : 1 070 000 € dont 845 000 € de cotisations et 225 000 € de subvention. Dépenses prévisionnelles totales : 194 750 € en fonctionnement - 37 100 € en études techniques et économiques - 838 150 € en communication. Si le CLIPP n’obtenait pas le montant prévu pour subvention, le montant des dépenses de communication serait ajusté pour garantir l’équilibre budgétaire voté en Assemblée Générale. Le budget Études techniques et économiques a pour orientation les projets suivants : Gestion des précheptels L’ étude relative à la gestion des femelles de pré-cheptel (primipares), initiée en 2012 se poursuivra en 2013. Le budget prévu est de 7 500 €. Régulation de l’ingestion et santé digestive chez le jeune lapin De la même manière, il s’agit en 2013 de continuer le financement avec le Groupe d’Expérimentation Cunicole (GEC) de l’étude de 3 ans (dans le cadre d’une thèse CIFRE) menée sur la thématique « Régulation de l’ingestion et santé digestive chez le jeune lapin ». Le budget est de 4 400 € annuel. Analyse catégorielle du lapin dans le rayon des GMS L’ étude réalisée en 2012 pourra être poursuivie avec un volet merchandising, axé sur la détermination de l’emplacement optimal du lapin au sein du linéaire volailles. L’enveloppe budgétaire prévue est de 5 000 €. (suite)

Transcript of Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une...

Page 1: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

Calendrier du CLIPP

> 18 septembre Réunion du groupement d’achat ATM

> 21 septembre Assemblée Générale de la FENALAP

> 25 septembre Conseil d’Administration

> 27 septembre Rencontre du groupement d’achat ATM avec les équarrisseurs

> 1er octobre Réunion technique Cunipalm

> 4 octobre Réunion téléphonique du Bureau du CLIPP

> 9 octobre Commission Communication

> 10 octobre Réunion sur les orientations stratégiques pour la promotion des viandes blanches à FranceAgrimer

> 18 octobre Commission Technique

> 22 octobre Réunion du sous-groupe cunicole du COPA COGECA à Bruxelles

> 23 octobre Réunion du Groupe Filière Production Cunicole de l’INRA

> 25 octobre Réunion à la DGAL avec le Bureau des Établissements d’abattage et de découpe

Novembre 2012

P. 1/7

Renouvellement de l’accord interprofessionnel relatif aux cotisations généralesLors du dernier conseil d’administration du 25 septembre, il a été décidé entre les organisations professionnelles, membres du CLIPP, de renouveler l’accord interprofessionnel relatif aux cotisations générales. Cet accord prévoit la reconduction des taux en vigueur. Il a été soumis à extension par les Pouvoirs Publics.La seule modification portée au budget 2013 par rapport à sa présentation en Assemblée Générale en juin 2012 consiste à intégrer la demande de subvention faite à FranceAgrimer pour la Promotion d’un montant de 225 000 €.• Recettes prévisionnelles :

1 070 000 € dont 845 000 € de cotisations et 225 000 € de subvention.• Dépenses prévisionnelles totales :

194 750 € en fonctionnement - 37 100 € en études techniques et économiques - 838 150 € en communication.

Si le CLIPP n’obtenait pas le montant prévu pour subvention, le montant des dépenses de communication serait ajusté pour garantir l’équilibre budgétaire voté en Assemblée Générale.

Le budget Études techniques et économiques a pour orientation les projets suivants :• Gestion des précheptelsL’ étude relative à la gestion des femelles de pré-cheptel (primipares), initiée en 2012 se poursuivra en 2013. Le budget prévu est de 7 500 €.

• Régulation de l’ingestion et santé digestive chez le jeune lapin

De la même manière, il s’agit en 2013 de continuer le financement avec le Groupe d’Expérimentation Cunicole (GEC) de l’étude de 3 ans (dans le cadre d’une thèse

CIFRE) menée sur la thématique « Régulation de l’ingestion et santé digestive chez le jeune lapin ». Le budget est de 4 400 € annuel.

• Analyse catégorielle du lapin dans le rayon des GMS

L’ étude réalisée en 2012 pourra être poursuivie avec un volet merchandising, axé sur la détermination de l’emplacement optimal du lapin au sein du linéaire volailles. L’enveloppe budgétaire prévue est de 5 000 €.

(suite)

Page 2: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

Novembre 2012

P. 2/7

(suite)

• Service ÉconomieLe CLIPP finance les travaux menés par le service Économie de l’ITAVI pour la filière cunicole en matière d’analyse macro-économique et d’identification des principales tendances d’évolution. Le budget annuel est 5 700 €.

• Réunions de la Commission technique

Le CLIPP inclut dans son budget les frais relatifs à la tenue des réunions de la Commission chargée d’examiner les actions techniques et économiques, pour un montant de 2 000 €.

• AGENAVILe CLIPP a prévu dans son budget la cotisation à l’association AGENAVI, soit 1 500 €.

• CompostageL’ étude envisagée au programme 2012 devait se poursuivre sur l’exercice 2013 pour un budget de 11 000 €, elle a été finalement annulée lors de la dernière commission technique.

Le budget communication est validé par le Conseil d’Administration pour un montant de 838 150 €.Jusqu’à présent, les actions de communication du CLIPP s’adressaient essentiellement au cœur de cible des consommateurs de lapin, soit une cible plutôt âgée. Cette stratégie a permis de maintenir le nombre d’acheteurs dans ces tranches d’âge mais la filière se trouve confrontée à un recul très important du nombre d’acheteurs chez les moins de 50 ans avec le risque de ne

plus pouvoir faire consommer de lapin à ces générations dans quelques années.

Le CLIPP fait clairement le choix de modifier radicalement la plateforme de communication selon les deux axes stratégiques suivants :

• rajeunir le cœur de cible : s’adresser aux 25 - 49 ans ;

• adopter une stratégie de recrutement : s’adresser aux consommateurs potentiels - non-acheteurs.

Le CLIPP lance à l’automne 2012 un appel d’offres auprès d’agences de communication globale pour une stratégie de communication (publicité et RP comprises) pour l’Interprofession avec une recommandation de moyens sur 3 ans dans le cadre du budget imparti annuellement.

Renouvellement de l’accord interprofessionnel ATMSelon le conseil d’administration du 25 septembre 2012, l’interprofession a décidé dans son accord interprofessionnel relatif au financement de l’équarrissage de maintenir le taux de cotisation ATM à 21 € / tonne de vif.Cette décision est motivée par la nécessité de finir d’apurer la dette accumulée sur la 1ère année du marché.Le texte de l’accord interprofessionnel précise que la répartition de la cotisation est fixée ainsi :• 70 % à la charge des abatteurs soit 14,70 € H.T. par tonne vif

de tous les lapins abattus (y compris les réformes),• 30 % à la charge des producteurs soit 6,30 € H.T. par tonne vif

de tous les lapins produits et livrés aux abattoirs (y compris les réformes).

L’accord a été soumis à extension par les Pouvoirs Publics. L’application est fixée au 1er octobre.

Page 3: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

La cible interrogéeDans cette étude, le CLIPP souhaitait interroger des femmes consommatrices régulières de viande, se déclarant impliquées dans la préparation des repas, responsables de leurs courses alimentaires, actives et âgées de 25-49 ans. Elles sont non hostiles au lapin, mais elles n’en achètent rarement ou jamais.

Novembre 2012

P. 3/7

Recruter de nouveaux consommateurs de lapin, c’est possible

Le CLIPP a réalisé avec le cabinet MSM en juin 2012 une étude qualitative préparatoire au changement de stratégie pour évaluer, optimiser et sélectionner le concept de communication le plus pertinent pour recruter de nouveaux consommateurs.

Comme préalable, l’Interprofession a décidé de s’appuyer sur l’offre de produits « pratiques » existante et proposée par tous les abattoirs, c’est-à-dire l’entier découpé et tous les morceaux, en écartant l’offre traditionnelle en carcasse entière peu adaptée à la clientèle des moins de 50 ans et les produits élaborés qui ne sont pas proposés par tous les abattoirs.

Les attitudes de ces femmes par rapport à la cuisineLes femmes interrogées se considèrent comme des cuisinières et consacrent donc du temps, même de manière minimale, à la préparation des repas. Ce ne sont pas forcément des cordons bleus, mais elles n’achètent pas de plats tout prêts. Elles cherchent à faire plaisir à leur famille/leur compagnon en leur mitonnant un « petit plat-maison ».Mais elles n’ont pas beaucoup de temps à consacrer à la préparation des repas dans leur quotidien. Elles passent environ 20 à 30 minutes à préparer chaque repas. Des repas qu’elles préparent en menant en parallèle d’autres tâches du foyer (devoir/bain des enfants…).

Elles ont des connaissances très limitées en cuisine. Par conséquent, elles font de la cuisine rapide d’assemblage, en mélangeant la viande et des produits « prêts à l’emploi » (conserves, sauces en bocal, légumes congelés).

Leur image du lapinUne véritable envie de redécouvrir cette viande.Les femmes prospects ont exprimé à l’unanimité de l’enthousiasme à ré-envisager leur consommation

(suite)

82 % des Français se déclarent

consommateurs de lapin

Source IFOP 2010 Source Kantar World Wide

seulement

40 % de foyers

sont acheteurs de lapin

Cible de conquête : les consommateurs

non acheteurs

Page 4: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

P. 4/7

Novembre 2012

de lapin, avec une double motivation : la volonté de varier les repas et leur très bonne image du lapin. Elles associent cette viande à des plats du patrimoine culinaire, préparés pendant des heures par une figure maternelle (mère, grand-mère…) perpétuant l’idée du plat fait « avec amour ». Plus surprenant, le lapin bénéficie dans leur classification des viandes du statut de viande noble, un peu chic, festive, au goût raffiné, qui sort de l’ordinaire, au même titre que certains aliments « du dimanche » : agneau, coquille Saint-Jacques, saumon fumé… Elles l’imaginent plutôt pour des occasions spéciales, pour se faire plaisir. Enfin, le lapin est associé aux plats familiaux, à partager, dans une atmosphère conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles de viande saine, blanche et maigre.

Par contre, ces femmes sont freinées dans l’achat de lapin par leur méconnaissance de l’offre et par l’image de cuisine compliquée qu’elles lui associent.Elles n’achètent pas de lapin car elles gardent à l’esprit la vision du lapin traditionnel, présenté en carcasse avec tête et abats. Par leur réaction, on peut les classer dans la catégorie sociologique des consommateurs de viande dits « sarcophages », c’est-à-dire ceux pour qui retrouver l’animalité dans la viande

provoque plutôt un rejet. La vision de la tête ou du foie, même des rognons les rebute. Ces femmes ne connaissent pas l’offre de produits « pratiques », en morceaux présentée en barquette. Pour elles, le lapin est toujours une viande pour cuisinières averties, qui sauront la découper, la désosser et l’accommoder. Même les recettes les plus connues du répertoire lapin comme le lapin à la moutarde et le lapin aux pruneaux leur paraissent inaccessibles. Elles ne l’associent pas à la cuisine qu’elles savent faire. Elles ont besoin de conseils pour cuisiner la viande de lapin de façon simple et rapide.

(suite)

(suite)

Page 5: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

P. 5/7

Novembre 2012

Le lapin, une viande perçue chère qu’il ne faut pas banaliser.Les femmes interrogées ont une assez bonne perception du prix des morceaux de lapin : elles s’imaginent le lapin comme une viande plus onéreuse que le poulet, mais moins chère que le bœuf ou le canard. Ce prix élevé ne leur pose pas vraiment de problème car la viande de lapin s’inscrit dans un imaginaire un peu chic qui sort de l’ordinaire.Néanmoins, le prix des filets suscite des réactions plus sensibles.Pour soutenir le prix élevé tout en rendant l’usage accessible par la praticité des produits, il est impératif de ne pas banaliser la viande de lapin et de l’inscrire dans un usage de « quotidien festif ». Le packaging, notamment des filets, devrait pouvoir positionner la viande dans cet univers de référence.

En communication, recruter ces femmes exige de lever les barrières.Pour séduire ces femmes et les convaincre, l’étude montre que s’appuyer sur les atouts connus de la viande de lapin ne suffit pas. Le schéma de conviction de cette cible potentielle passe par la réponse aux freins :

• faire connaître l’offre des produits pratiques « désanimalisés » : les morceaux et l’entier découpé,

• démontrer que le lapin est une viande rapide et facile à préparer,

• convaincre que le lapin répond aux attentes de culinarité actuelle - adossée à une recette ou à un mode de cuisson moderne : poêle/sauteuse/wok, cocotte « modernisée ».

« Elles ne l’associent pas à la cuisine qu’elles savent faire. Elles ont besoin de conseils pour cuisiner la viande de lapin de façon simple et rapide. »

Un calage subtil à opérer entre appropriation simple

(rapidité et facilité de préparation) et d’autre part plaisir

culinaire raffiné (et pas ordinaire)

Le haut de gamme n’implique pas

la sophistication des modes de préparation

(Cf. coquille St-Jacques, saumon fumé…)

(suite)

(suite)

Page 6: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

P. 6/7

Novembre 2012

Testée seule la cocotte ancre trop dans la tradition et donc le compliqué. La poêle déclenche immédiatement la perception de simplicité mais est trop restrictive pour l’offre lapin. La double proposition permet d’expliquer la praticité dans le respect de l’image du lapin.De plus, rester cohérent avec le niveau de prix du lapin est indispensable : la quotidienneté d’usage et l’accessibilité de la volaille ne sont pas transposables au lapin. S’appuyer sur le quotidien festif, marquer la rupture avec les viandes ordinaires, mettre le « plaisir » au centre doit permettre de positionner le lapin comme une viande « idéale pour changer » chez ces femmes désireuses de redécouvrir le lapin.

Le concept de communication gagnantLes groupes de consommatrices interrogés par le Cabinet MSM ont ainsi défini le concept qui servira de base à la prochaine communication du CLIPP.

La problématique de la cible :« Cuisiner du lapin ? Pourquoi pas, mais je ne sais pas comment faire, ni quoi faire…Et pas question d’y passer des heures ! »

La réponse du CLIPP :« Le lapin, c’est une viande au goût fin, originale et facile à préparer. »

La démonstrationDécouvrir les morceaux de lapin à cuire, râbles, cuisses, filets… et des façons très simples de les préparer à la cocotte, faites rissoler des oignons et une tomate concassée, ajoutez les morceaux de lapin, un brin de romarin, recouvrez et ça cuit tout seul ou à la poêle, une échalote, des champignons, les filets de lapin, une pointe de crème pour les gourmands… 10 minutes à la poêle et c’est prêt.

Pour sortir de l’ordinaire, un plat raffiné et convivial, qui fait plaisir à tous.

Au bureau,le bobun de lapin devient l’incontournable déjeuner équilibré !Après le burger de lapin qui surfait sur la tendance street-food, le lapin s’est invité à la rentrée dans les rédactions de la presse et dans la communauté de bloggeurs sous la forme d’un petit plat d’origine vietnamienne très en vogue en ce moment « le bobun » (prononcez boboun). Délicieuse salade composée de vermicelles de riz, de soja, de concombre, de carottes en julienne, de filets de lapin marinés puis sautés, de coriandre, de menthe fraîche, de piment ainsi que de cacahuètes broyées, le tout agrémenté d’une sauce épicée.

Le CLIPP a fait découvrir le bobun de lapin à une quarantaine de journalistes par portage direct sur leur lieu de travail. Cette initiative a été bien accueillie tant pour l’originalité de la recette que sa saveur et son côté équilibré.

Chez les bloggeurs, c’est un petit panier avec tous les ingrédients nécessaires à la recette qui a été livré. À date, une dizaine d’entre eux a découvert le bobun de lapin et le portage se poursuit.

Cette nouvelle opération a pour but de bousculer encore une fois l’image traditionnelle du lapin et de convaincre que le lapin s’inscrit dans les tendances actuelles.

Page 7: Calendrier Renouvellement de l’accord du CLIPP ......conviviale – à l’opposé d’une consommation individuelle. De plus, elles attribuent au lapin des qualités nutritionnelles

Novembre 2012

P. 7/7

Quelques extraits des dernières retombées…

Que dit-on du lapin dans les médias ?

INTERNET

www.cotemaison.fr du 6 sept. (audience 1 083 615) Désossé de lapin aux artichauts poivrades et aux figues

www.madame.lefigaro.fr du 23 oct. (audience 1 100 000) Bobun de lapin

www.madame.lefigaro.fr du 25 oct. (audience 1 100 000) Burger de lapin

www.leparisien.fr du 29 oct. (audience 31 922 709) Bobun de lapin

Pour découvrir 1001 façons de le savourer, RDV sur :

www. lapin.fr

C.L.I.P.PComité Lapin Interprofessionnel pour la Promotion des Produits

28, rue du Rocher 75008 Paris

Tél. : 01 45 22 62 40 Fax : 01 43 87 46 13Ph

otos

: Fo

tolia

PRESSE GRAND PUBLIC

> Septembre 2012

• du 28 septembre (audience 440 000) article « le lapin Arkedo montre les crocs » quand un créateur de jeu vidéo dévoile les 2 côtés de sa passion pour le lapin avec sa recette du club sandwich lapin et beurre de cacahuète et son nouveau jeu « Hell Yeah ! Wrath of the Dead Rabbit »

> Octobre 2012

• N° du 8 au 14 oct (audience 3 523 471) nous livre sa recette de Cuisses de lapin aux fruits secs

• d’octobre (audience 163 000) s’inspire des recettes du Camion Qui Fume avec le tacos au lapin et nous sert un parmentier de lapin

• N° octobre (audience 990 000) propose un tajine de lapin

• N° octobre (audience 167 000) affiche son parti PRIX avec une recette de râble farci à moins de 2,85 € par personne

> Octobre-Novembre 2012

• N° septembre/octobre (audience 163 000) pour une recette de saison propose du lapin au lard et à l’huile d’argan

• (audience 80 000) met le lapin à l’honneur avec 5 belles recettes dans le hors-série N10/2012 et le bimestriel d’octobre-novembre avec également 5 recettes automnales

PRESSE PROFESSIONNELLE

Bonne reprise de l’étude du CLIPP sur le rayon lapin• Linéaires de septembre « le lapin est trop à l’étroit en rayon »• Process Alimentaire de septembre « le lapin veut doubler de surface »• LSA du 25 octobre « le lapin doit jouer des coudes »• Les Marchés du 4 octobre « le fond de rayon décrypté »