CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

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CAHORS (LOT) DEMEURES Sommaire Étude Documentation Illustrations NOTE COMPLÉMENTAIRE Avant toute autre chose, il faut rappeler que ce dossier ne prend en compte que les "demeures" de la ville intra muros à laquelle était limitée notre première aire d'étude (cf. dossier 46. Cahors centre. Généralités). Par ailleurs, les nombres indiqués pour les rubriques "étudié", "repéré" et "bâti" de la fiche signalétique appellent quelques explications. Pour le nombre du "bâti", faute d'un recensement moderne significatif (le nombre d'immeubles recensés par l'INSEE - 4602 en 1975, 8381 en 1990 - correspond à l'ensemble de la ville), nous avons retenu les 1679 maisons de l'estimation obtenue pour le milieu du XVII e siècle par Jean Calmon et René Prat, à partir de l'étude des registres cadastraux. Il peut être comparé aux 1855 parcelles que figure le plan cadastral de 1812. Le nombre indiqué pour les demeures "repérées" reprend ce nombre du "bâti", diminué de la trentaine d'édifices entièrement reconstruits au cours de la seconde moitié du XX e siècle. Nombre du "bâti" et nombre du "repéré" sont donc des estimations qui n'ont qu'une valeur indicative. Ils signifient cependant que la quasi totalité du bâti de la ville intra muros est un bâti ancien, presque toujours antérieur au XX e siècle. Le lecteur constatera en outre un léger écart entre le nombre des édifices étudiés mentionné par la fiche signalétique - 56 - et la liste des "demeures" sélectionnées qui comporte 60 numéros : nous avons cru devoir intégrer à celle-ci quatre dossiers monographiques consacrés à 1 "lotissement concerté" (n° 9), à 1 "édifice non identifié" (n° 20) et à 2 "immeubles à logements" (n° 23 et n° 55). Si l'étude a pris en compte l'ensemble des demeures, jusqu'au début du XX e siècle, l'accent a cependant été mis sur l'architecture civile médiévale des XII e -XIV e siècles dont Cahors est un exceptionnel conservatoire : ce sont en effet quelque trois cents parcelles qui conservent des bâtiments de cette époque, parfois à l'état de simples vestiges mais le plus souvent largement restituables (on peut en juger à partir, par exemple, des dossiers monographiques consacrés à l'hôtel du n° 52 rue de Lastié ou à la maison du n° 42 rue de la Daurade). En revanche, il a fallu se limiter à une première approche de l'architecture domestique postérieure à 1400.

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CAHORS(LOT)

DEMEURES

Sommaire Étude Documentation Illustrations

NOTE COMPLÉMENTAIRE

Avant toute autre chose, il faut rappeler que ce dossier ne prend en compte que les "demeures" de laville intra muros à laquelle était limitée notre première aire d'étude (cf. dossier 46. Cahors centre.Généralités).

Par ailleurs, les nombres indiqués pour les rubriques "étudié", "repéré" et "bâti" de la fiche signalétiqueappellent quelques explications. Pour le nombre du "bâti", faute d'un recensement moderne significatif (le nombre d'immeubles recenséspar l'INSEE - 4602 en 1975, 8381 en 1990 - correspond à l'ensemble de la ville), nous avons retenu les1679 maisons de l'estimation obtenue pour le milieu du XVIIe siècle par Jean Calmon et René Prat, à partirde l'étude des registres cadastraux. Il peut être comparé aux 1855 parcelles que figure le plan cadastral de1812. Le nombre indiqué pour les demeures "repérées" reprend ce nombre du "bâti", diminué de la trentained'édifices entièrement reconstruits au cours de la seconde moitié du XXe siècle. Nombre du "bâti" et nombre du "repéré" sont donc des estimations qui n'ont qu'une valeur indicative. Ilssignifient cependant que la quasi totalité du bâti de la ville intra muros est un bâti ancien, presque toujoursantérieur au XXe siècle.

Le lecteur constatera en outre un léger écart entre le nombre des édifices étudiés mentionné par la fichesignalétique - 56 - et la liste des "demeures" sélectionnées qui comporte 60 numéros : nous avons crudevoir intégrer à celle-ci quatre dossiers monographiques consacrés à 1 "lotissement concerté" (n° 9), à 1"édifice non identifié" (n° 20) et à 2 "immeubles à logements" (n° 23 et n° 55).

Si l'étude a pris en compte l'ensemble des demeures, jusqu'au début du XXe siècle, l'accent a cependantété mis sur l'architecture civile médiévale des XIIe-XIVe siècles dont Cahors est un exceptionnelconservatoire : ce sont en effet quelque trois cents parcelles qui conservent des bâtiments de cette époque,parfois à l'état de simples vestiges mais le plus souvent largement restituables (on peut en juger à partir,par exemple, des dossiers monographiques consacrés à l'hôtel du n° 52 rue de Lastié ou à la maison du n°42 rue de la Daurade). En revanche, il a fallu se limiter à une première approche de l'architecture domestique postérieure à1400.

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La recherche menée sur l'architecture civile des XIIe, XIIIe et XIVe siècles a fait l'objet d'une premièrepublication en forme d'aperçu : Maurice Scellès, L'architecture civile à Cahors aux XIIe, XIIIe et XIVe

siècles, dans Mémoires de la Société Archéologique du Midi de la France, t. LV (1995), p. 77-111. Plusrécemment, l'ensemble de l'étude a été publiée dans la collection Cahier du patrimoine : Maurice Scellès,Cahors, ville et architecture civile au Moyen Âge (XIIe-XIVe siècles), Paris : Éditions du patrimoine, 1999,256 p. On se reportera en particulier aux quatre derniers chapitres (p. 99-206), consacrés à l'architecturecivile, pour l'analyse des programmes, l'étude de la construction et des décors, etc. Nous limitons ici notrepropos à une brève présentation des principaux résultats de cette recherche.

Les maisons "romanes"

Une trentaine de bâtiments datables du XIIe siècle ou du début du XIIIe siècle ont été repérés (cf. carte5). Ils ont permis de proposer une chronologie relative assez complète. La maçonnerie la plus ancienne qui ait été identifiée appartient à une construction dont la fonction n'estpas connue (Fig. 1-3) : constituée de moellons de tout venant noyés dans du mortier, elle se rattache auxtechniques de construction du haut Moyen Age et pourrait être située au XIe siècle, voire plus tôt. On observe ensuite une régularisation progressive de l'appareil depuis le moellon équarri du n° 20 rueDonzelle (Fig. 10-15), que l'on situera dans la première moitié du XIIe siècle, jusqu'à la pierre de taille dun° 153 rue du Portail-Alban (cf. dossier). Cette évolution de l'appareil s'accompagne du développementdes cordons régnants d'appui et d'imposte qui structurent les élévations sur rue à partir de la secondemoitié du XIIe siècle comme au 99-107 rue du Château-du-roi et au 124-128 rue Nationale (cf. Fig. 35-36et dossiers). Comme à Figeac, la fenêtre ternée est une caractéristique des maisons "romanes" de la fin du XIIe

siècle et du début du XIIIe siècle (carte 5 et Fig. 34-35).

Notre connaissance des maisons "romanes" de Cahors reste très incomplète. Par exemple, nos critèrespour apprécier l'apparition et le développement des constructions en brique au XIIe siècle demeurent trèsinsuffisants. Surtout, les intérieurs nous échappent presque entièrement : excepté les observations faites aun° 57 rue Clément-Marot, au n° 88 rue des Soubirous (cf. dossiers) et au n° 74 rue du Docteur-Bouscarat(Fig. 23-26), notre étude des maisons "romanes" a dû être limitée à l'analyse des élévations sur rue.

Maisons, hôtels et palais des XIIIe-XIVe siècles

Les édifices du XIIIe siècle et de la première moitié du XIVe siècle constituent, et de loin, la plusgrande partie du corpus. Les édifices sélectionnés représentent toute la gamme des demeures, de la maison"moyenne" (n° 62-68 rue Saint-Urcisse, n° 46 rue Donzelle) jusqu'à l'hôtel patricien (n° 52-62 rue deLastié) ou le palais (palais Duèze et de Via), étant entendu que ces appellations d'"hôtel" et de "palais",retenues parce qu'elles permettaient une classification pratique, ne correspondent pas au vocabulairerencontré dans les textes où les édifices sont indistinctement désignés par les termes de domus oud'hospitium. Echappent cependant à notre recherche les maisons les plus modestes qui n'ont laissé aucunvestige identifiable. Inscrivant notre travail à la suite de l'étude réalisée à Montpellier par Bernard Sournia et Jean-LouisVayssettes (Montpellier : la demeure médiévale, Paris : Imprimerie Nationale, 1991, 256 p.), nousdéfinissons un modèle centré sur le couple aula/grand degré, modèle dont une illustration est donnée parla maison du n° 42 rue de la Daurade qui peut être dès lors considérée comme la "maison-type". C'est enfonction de ce modèle que nous interprétons les vestiges et les bâtiments conservés autour du n° 2 rue duFour-Sainte-Catherine (Fig. 43), récusant l'hypothèse d'une maison-tour au profit de celle d'un édifice à

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plusieurs corps disposés autour d'une cour. Les écarts avec le modèle constatés au n° 52 rue de Lastiés'expliquent en particulier par des contraintes de parcellaire. En revanche, les écarts très importants querévèle le n° 71 rue du Cheval-Blanc ne trouvent pas d'explication satisfaisante et imposent de s'interrogersur le programme et la nature de l'édifice. On est encore conduit à distinguer un groupe d'édifices qui présentent une façade sur rue à deux niveauxidentiques de fenêtres (Fig. 36, et cf. en particulier les dossiers des n° 94-112 rue Saint-André et 42-48 ruede la Préfecture) qui brisent la lecture de l'édifice en ne permettant plus de situer l'aula depuis la rue.Curieusement, de nombreuses maisons de Cordes (Tarn), dont les décors sculptés et peints témoignent d'uncertain luxe, appartiendraient à ce groupe. Nous avons proposé, à titre d'hypothèse de recherche (etseulement à ce titre), d'y voir des maisons "à loyer".

Les nombreux bâtiments conservés ont permis d'accumuler une foule de renseignements sur lesmatériaux et les techniques de construction, les équipements domestiques, les décors...

Il faut ainsi remarquer que Cahors est majoritairement construit en brique dans un pays de pierre,phénomène qu'il faut sans doute expliquer par les qualités du calcaire froid de Cahors, difficile à tailler,mais aussi par des facteurs multiples incluant les coûts de fabrication, l'évolution de la demande oul'organisation des chantiers. La pierre reste cependant pendant toute la période le matériau noble, auquel ona recours pour le palais Duèze, le pont Neuf ou le pont Valentré. Le grès de Figeac, qui permet de réaliserun appareil réglé plus soigné encore, est utilisé au début du XIVe siècle pour le massif occidental de lacathédrale et la tour du palais de Via : la façade en grès du n° 116 rue Nationale (cf. dossier Hôtel deMarcilhac) leur est antérieure puisque la forme des fenêtres permet de la dater du XIIIe siècle (dans unpremier temps, nous l'avions datée du XIVe siècle). Les piliers et encorbellements des murs latéraux (Fig. 37, 39-40) ont permis de cartographier les pans-de-bois disparus (carte 4) : on peut estimer que les bâtiments à façade en pan-de-bois représentaientgrosso modo un tiers des constructions de la ville intra muros, avec une plus forte proportion dans lesquartiers sud où dominaient les maisons modestes de petites dimensions. Trois maisons ont conservé unepartie de leur pan-de-bois d'origine (cf. dossiers 12 rue de la Daurade, 166 rue Saint-Urcisse et 46 rueDonzelle) dont les assemblages à mi-bois et en queue d'aronde sont caractéristiques (Fig. 38).

Une attention particulière a été portée à l'évolution de la fenêtre (Fig. 82) en tant qu'elle témoignaitd'une amélioration du confort, et peut-être du développement de l'emploi du verre, mais aussi, avecl'introduction de la fenêtre à remplage, de la francisation des décors. Celle-ci apparaît nettement à travers les décors sculptés (Fig. 97-106) : aux chapiteaux de traditionromane de la première moitié du XIIIe siècle, succèdent les feuillages naturalistes de la première floregothique puis les feuillages mous ou boursouflés de la seconde. Leur datation repose actuellement sur lesdates proposées pour la rénovation de la cathédrale dont les travaux débuteraient dans les années 1280 ets'achèveraient avec le massif occidental entre 1308 et 1316. On ne peut exclure que des datations absoluessur l'architecture civile, obtenues par exemple par des analyses de dendrochronologie, ne conduisent àréviser dans les prochaines années les datations actuellement admises.

En guise de conclusion, nous rappellerons que le principal intérêt de Cahors, ville moyenne sans atoutéconomique particulier, est peut-être de témoigner de la prospérité générale qui est celle des XIIe-XIVe

siècles. Ajoutons que le nombre des maisons médiévales conservées et leur exceptionnel état deconservation justifieraient que soit poursuivie la recherche.

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Le XVe siècle

La guerre de Cent Ans se traduit à Cahors par une véritable rupture dans l'architecture civile, tant sur leplan de la distribution des édifices avec la généralisation de l'escalier en vis et l'indifférenciation desniveaux que sur le plan des matériaux et des techniques de construction. C'est la raison pour laquelle, leXVe siècle n'a pas été intégré à l'étude de l'architecture civile médiévale. Un premier repérage des édifices ou des vestiges du XVe siècle (carte 6) a été réalisé à partir del'enquête menée par deux étudiantes (Corinne Bourrières et Bernadette Falguières, Architecture civile àCahors au XVe siècle, Rapport de stage du D.E.S.S. "Patrimoine", année 1993-1994, 2 vol.). Ce repérage,nécessairement fondé sur des critères très incertains, ne doit pas être considéré comme le résultat d'unerecherche mais comme un essai d'évaluation du corpus à étudier.

Les constructions en brique semblent devenir très rares : on ne connaît de cette époque que les arcaturesqui surmontent le portail sud de la cathédrale et des piliers mis au jour dans la cour de l'archidiaconé àl'occasion des récentes fouilles qui y ont été réalisées sous la direction de Jean Catalo. Aucune maison enbrique du XVe siècle n'a été identifiée. Les maçonneries sont désormais en moellons de tout venant, mêlésde pierre de taille et de briques en remploi, et sont faites pour être enduites (cf. par exemple la façade du n° 88 rue des Soubirous ou la surélévation du n° 8 rue de la Halle). Pour les encadrements des baies et lesdécors sculptés, le grès de Figeac et le calcaire froid de Cahors sont remplacés par un calcaire blanc trèstendre dont la provenance n'est pas identifiée. Le changement est également radical dans les constructions en pan-de-bois avec en particulier descontreventements qui sont désormais assurés par des croix-de-saint-André (cf. dossier 144 rue Saint-Urcisse). Leur répartition (carte 6) confirme les observations faites pour les XIIe-XIVe et montre lesquartiers sud demeurent des quartiers populaires.

Des enduits peints (Fig. 112-114) et des décors de plafonds (Fig. 110-111, 115-116) ont été repérés àl'occasion de travaux de rénovation. Il semble, à en juger d'après les teintes rencontrées au cours dessondages réalisés dans les murs, que les décors muraux sont en général plus sombres au XVe siècle qu'àl'époque précédente. La croisée, à verre fixe en partie haute et volets pleins en partie basse, se généralise. Les encadrementsde baies sont habituellement ornés de moulures croisées, de cordes, de bâtons écotés... Les exemples les plus significatifs d'hôtels du XVe siècle sont l'hôtel d'Alaman et l'hôtel de Roaldès,que leur décor sculpté situe dans les deux dernières décennies du siècle, par référence à la chapelleprofonde de la cathédrale datée de 1484. Les datations des autres édifices, sur la base des seuls critèresstylistiques, restent très incertaines : ainsi proposons-nous de situer la reconstruction du corps sur rue du n° 88 rue des Soubirous dans la première moitié du XVe siècle, sans pouvoir tout à fait exclure une datationdu début du XVIe. D'une façon générale, les escaliers en vis maçonnés (carte 6) correspondent à des demeures opulentessurtout implantées, comme aux XIIIe-XIVe siècle, dans les quartiers centraux autour de la cathédrale et lelong de l'axe majeur nord-sud de la grand-rue.

Le XVIe siècle et la Renaissance

L'architecture civile du XVIe siècle est plus mal connue encore que celle du XVe siècle. L'archidiaconé Saint-Jean et la maison du n° 40 rue du Docteur-Bergougnoux, caractérisés par un décorsculpté italianisant, apparaissent comme des exceptions auxquelles on peut ajouter le corps sur rue du n°247 rue Nationale. Une fenêtre à bossage au n° 77 rue Bergougnoux témoigne d'une campagne de travaux.Dans le cas de l'hôtel de Vaysset, la datation proposée pour la première campagne, la première moitié duXVIe siècle, demanderait à être confirmée.

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On peut sans doute admettre que le petit nombre des vestiges du XVIe clairement identifiables traduiteffectivement une faible activité de la construction. En tout cas, les édifices de Cahors sont peu marquéspar la première Renaissance et l'archidiaconé est exceptionnel dans ce contexte. Le constat est néanmoinsprobablement faussé par des critères de datation trop incertains et peut-être trop en faveur des XVe etXVIIe siècles.

L'époque moderne

Sous cette appellation générale, il faut en fait distinguer les trois siècles qui constituent la période.

Après le creux que représentent les deux siècles précédents, le XVIIe siècle apparaît comme une périodede relatif renouveau. Les formes sont en outre aisément identifiables. Une assez large reprise du bâti existant se manifeste en particulier à travers les combles à mirandes enanse de panier, à clef en pointe de diamant, ou les grandes croisées à trumeau et traverse à arêtes vives(Fig. 126 et cf. aussi par exemple le n° 230 rue Nationale et le n° 72 place de la Libération). Desréférences précises sont données par quelques maisons datées : 64 place de la Libération (1642), 194 rueFondue-Basse (1643, Fig. 125), 18 rue Saint-James (1676). Si l'escalier en vis, maçonné ou en charpente, se maintient (64 place la Libération), l'escalier droit àretours s'impose dans les plus grands édifices, hors oeuvre comme au n° 108 rue Delpech, demi horsoeuvre au n° 19-35 rue du Tapis-Vert ou dans oeuvre au n° 52 rue de Lastié, au n° 80 rue de Lastié ou aun° 58 rue du Château-du-roi. Les dessins des portails ou des encadrements de baies s'inspirent de modèles savants : hôtel deMarcilhac au n° 116 rue Nationale, hôtel de Baudus au n° 80 rue de Lastié, n° 194 rue Fondue-Basse (Fig.125), hôtel de Vaysset au n° 30-36 rue Saint-André où l'on remarque encore deux trompes appareilléesexceptionnelles à Cahors... Le portail "à la dorique" de la maison Lefranc au n° 194 rue Fondue-Basse aété construit en 1643 par les maîtres-maçons L. Boynet et Ant. Auros et l'ensemble fut enduit "d'huile avecde la pierre brisée pour garantir la pierre de la gelée". La porte sculptée, de la même époque, est sansdoute du maître-menuisier Pierre Ganil, de Cahors (A.D. 46, notaire Delpon, cf. note de R. Prat dans Bull.Soc. Etudes du Lot, t. LXIV, 1943, p. 223). Le XVIIe siècle a également produit de beaux vantaux de porte (Fig. 127) dont les exemples les plusornés se trouvent à l'hôtel de Marcilhac, au n° 116 rue Nationale, et au n° 58 rue du Château-du-roi. Il fauty adjoindre huit têtes sculptées en bois, qui formaient au n° 3 rue Saint-Pierre les abouts des solives d'unefaçade en pan-de-bois (cf. dossier Ensemble de 8 têtes). Faute d'une enquête systématique, peu de décors intérieurs de cette époque ont été repérés. Nousproposons de dater le décor peint d'un plafond du n° 91 rue Foch du XVIe ou du XVIIe siècle (cf. dossierPlafond). Le n° 5 impasse de la Citadelle conserve une cheminée dont le manteau porte un décor stuquéfigurant le sacrifice d'Abraham (cf. dossier Manteau de cheminée). Mentionnons encore, afin d'en conserver la trace, un bail à besogne du 21 novembre 1645 passé pour250 livres entre J. Lamothe peintre et M. de Filhol conseiller en la cour des Aides pour "peindre lelambris de la salle basse de sa maison et la cheminée à huille, scavoir le lambris quy sera à carreauxdedans chascun une figure de la metamorphose dovide de celes quil me bailhera par memoire..." (A.D.46. 3 E 250-35, n° 94). Le mémoire n'est malheureusement pas joint à l'acte et la maison est probablementcelle qui est vendue en 1686 pour être démolie, une partie du terrain étant donnée pour la reconstructiondu palais épiscopal (J. Calmon et R. Prat, Les cadastres des XVIe et XVIIe siècles..., 2e partie, p. 34).

Le XVIIIe siècle est sans doute sous-représenté par notre sélection. La seule maison (Fig. 129) retenuepour faire l'objet d'un dossier monographique, bien qu'un peu exceptionnelle à Cahors en raison d'undessin très appuyé de la façade, est assez représentative des hautes constructions de cette époque dontquelques exemples se trouvent surtout le long du boulevard Gambetta, c'est-à-dire l'emplacement du fosséaménagé en promenade à la fin du XVIIIe siècle. Ce sont en fait les maisons les plus modestes qui nous

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échappent : l'identification des façades en pan-de-bois du XVIIIe siècle aurait demandé une analyse finede l'évolution des formes.

Dans la ville intra muros, le XIXe siècle se manifeste principalement à la faveur des alignements (cf.dossier 75 rue du Maréchal-Joffre) et des percements qui entaillent le noyau ancien d'ouest en est (cf.dossiers 153 rue du Portail-Alban et 90 rue du Portail-Alban). Réalisés sur des rues destinées à être desrues commerçantes, ils voient la multiplication des baies de boutique en rez-de-chaussée avecéventuellement un niveau d'entresol pris dans la hauteur des arcades (cf. dossier 135 rue Foch. Immeuble)selon une formule utilisée depuis le Moyen Age. L'aménagement des quais sur le Lot, à l'est et au sud de la vieille ville, dans la première moitié du XIXe

siècle, a provoqué la disparition des jardins qui descendaient jusqu'à la rivière et le retournement desmaisons dont les façades sont désormais disposées sur le quai Ségur-d'Aguesseau. Certaines des maisonsnouvellement construites s'apparentent à des maisons de faubourg ou de bourg rural (Fig. 130). Les reconstructions ponctuelles opérées au coeur de la ville ancienne ne sont guère significatives. Nousen avons retenue une avec un petit immeuble qui a la particularité de présenter une trompe d'angle,illustrant les petits ouvrages de stéréotomie (plus habituellement pour des balcons) qui ornent parfois cesconstructions du XIXe siècle. On notera que la maison bourgeoise de style néo-renaissance du n° 90 ruedu Portail-Alban est tout à fait exceptionnelle à Cahors. Il faut enfin signaler, de façon un peu anecdotique, le heurtoir néo-gothique du n° 100 rue Feydel (Fig.74) : il appartient à la même série qu'un heurtoir photographié à Moissac (cf. dossier d'inventaire 82.MOISSAC. 7 rue de la République. Hôtel).

Maurice Scellès1996

revu en mars 2000

LISTE DES DEMEURES SÉLECTIONNÉES

1. Palais Duèze, rue Saint-Barthélemy, XIVe, XVIe s.

2. Maison, 12 impasse du Four, XIIIe s.

3. Maison, 88 rue des Soubirous, XIIe, XIIIe-XIVe, XVe, XVIIe s.

4. Palais de Via, actuellement Maison d'arrêt, XIVe s.

5. Maison dite "Hôpital de Grossia", 102 rue des Soubirous, XIVe s.

6. Maison dite "maison Ville", rue du Château-du-roi, XIIIe, XVe s.

7. Maison, 58 rue du Château-du-roi, XIIe, XIIIe, XVIIe s.

8. Maison, 43 rue du Château-du-roi, XIIIe, XVIIe s.

9. Lotissement concerté, 35 rue du Château-du-roi, XVe s.

10. Maison, 63 rue du Château-du-roi, XIIe s.

11. Maison, 2 rue du Four-Sainte-Catherine, XIIIe s.

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12. Maison, 99-101 rue du Château-du-roi, XIIe s.

13. Maison, 153 rue du Portail-Alban, XIIe, XIXe s.

14. Hôtel d'Alamand, 40 rue du Portail-Alban, XVe s.

15. Maison, 90 rue du Portail-Alban, début XXe s.

16. Hôtel de Vaysset, 30-36 rue Saint-André, XVIe-XVIIe s.

17. Maison, 94-112 rue Saint-André, XIIIe s.

18. Maison, 64 place de la Libération, XVIIe s.

19. Maison, 72 place de la Libération, XIIIe-XIVe, XVIIe s.

20. Edifice non identifié dit "Collège de Rodez", 68 rue du Bousquet, XIVe s.

21. Maison, 82 rue du Bousquet, XIIIe, XVe s.

22. Maison, 42-48 rue de la Préfecture, XIIIe, XVIe-XVIIe s.

23. Immeuble à logements, 135 rue Maréchal-Foch, XIXe s.

24. Maison, 12 rue de la Daurade, XIIIe-XIVe, XVe-XVIe s.

25. Maison, 57 rue Clément-Marot, XIIe s.

26. Maison, 42 rue de la Daurade, XIIIe-XIVe, XVIIe s.

27. Maison, 108 rue Delpech, XIIe- XIIIe, XVe, XVIIe s.

28. Maison, 34 place Chapou, XVIIIe s.

29. Maison, 75 rue Maréchal-Joffre, XIVe, XIXe s.

30. Hôtel du Grand archidiacre, dit "Archidiaconé Saint-Jean", XVIe s.

31. Maison, 8 rue de la Halle, XIIIe, XVe s.

32. Maison, 53 rue Nationale, XIIIe-XIVe, XVe-XVIe s.

33. Maison, 18 rue Saint-James, XVIIe s.

34. Maison, 18 rue du Tapis-Vert, XIIIe-XIVe, XVe s.

35. Maison, 32 rue du Tapis-Vert, XIIIe s.

36. Maison, 19-35 rue du Tapis-Vert, XIVe, XVe, XVIIe s.

37. Maison, impasse de la Charité, XIVe, XVe s.

38. Maison, 62-68 rue Saint-Urcisse, XIIIe s.

39. Hôtel de Roaldès, dit "Maison Henri IV", 12 place Henri IV, XVe s.

40. Palais épiscopal, actuellement Préfecture, XIVe, XVIIe s.

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41. Hôtel de Marcilhac, 116 rue Nationale, XIIIe, XVIIe s.

42. Maison, 25-35 rue de l'Université, XIVe, XVIIe s.

43. Maison, 40 rue du Docteur Bergougnoux, XIIIe, XIVe, XVIe s.

44. Hôtel Issala, 160 rue Nationale, XIIIe-XIVe, XVe-XVIe, XVIIe s.

45. Maison, 35 rue de Lastié, XIVe, XVIIe s.

46. Hôtel, 52-62 rue de Lastié, XIIIe-XIVe, XVIIe s.

47. Hôtel Baudus, 80 rue de Lastié, XVIIe s.

48. Maison, 117 rue de Lastié, XIVe s.

49. Maison, 144 rue Saint-Urcisse, XVe s.

50. Maison, 166 rue Saint-Urcisse, XIIIe-XIVe, XVIIe s.

51. Maison, 46 rue Donzelle, XIIIe-XIVe s.

52. Maison, 71 rue du Cheval-Blanc, XIIIe, XVIIe s.

53. Maison, 230 rue Nationale, XIIIe-XIVe, XVIIe s.

54. Maison, 247 rue Nationale, XVIe s.

55. Immeuble à logements, 40 rue Sainte-Barbe, XIXe s.

56. Maison, 308 rue Nationale, XVe s.

57. Maison dite "Hôtel de Vayrols", 321-333 rue Nationale, XIIe-XIIIe s.

58. Maison, 237 rue Mascoutou, XVe s.

59. Maison, 130 quai Ségur-d'Aguesseau, XIXe s.

60. Maison, 124-128 rue Nationale, XIIe s.

Sommaire Étude Documentation Illustrations

DOCUMENTATION

S.D.A. du Lot, Cahors

BOURRIERES (Corinne), FALGUIÈRES (Bernadette). Architecture civile à Cahors au XVe siècle.-Rapport de stage du D.E.S.S. "Patrimoine", année 1993-1994 ; 2 vol. non pag., photographies, carte.

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Bulletin de la Société des Études du Lot, t. LXIV (1943), p. 223 [note de R. Prat sur le portail de la maisonLefranc].

CALMON (Jean), PRAT (René). Les cadastres des XVIe et XVIIe siècles de la ville de Cahors (1500-1606-1650).- 1ère partie : Cahors : Imp. A. Coueslant, 1947-51, 372 p. ; 2e partie : Cahors : Imp. A.Dhiver, s.d., 231 p..

DAYMARD (Joseph). Le vieux Cahors.- Cahors : Girma, 1927, 2e édition, réédité : Éd. Horvath, 1978[1ère édition : 1909] ; 277 p.

DEPEYRE (J.). Essai sur une école de sculpture ornementale quercynoise autour de 1500, dans Bulletinde la Société des Études du Lot, t. LII (1931), p. 125-140, 181-196.

ESQUIEU (Yves). La maison médiévale en France : état de la recherche, dans Bulletin monumental, t.153 (1995), p. 109-141.

FOURGOUS (Jean). Dans les rues du Vieux Cahors : logis, gens et faits d'autrefois.- Cahors : Coueslant,1942, 156 p.

GARRIGOU GRANDCHAMP (Pierre). Demeures médiévales.- Paris : R.E.M.P.ART, 1992 (coll.Patrimoine vivant) ; 128 p.

MONTARNIER (Jean-Louis). L'architecture civile médiévale à Cahors, 1200-1350.- Mémoire de D.E.A.sous la direction de M. le professeur J. Gardelles, Université de Bordeaux III, 1986, multigraphié ; 79 p.,ill.

ROUMEJOUX (A. de). Les rues de Cahors, dans Bulletin de la Société des Études du Lot, t. XI (1886), p.5-32.

SCELLÈS (Maurice). Maison dite « du bourreau », dans Archéologie et vie quotidienne aux XIIIe-XIVe

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SCELLÈS (Maurice). Structure urbaine et architecture civile de Cahors aux XIIe, XIIIe et XIVe siècles.-Thèse sous la direction de M. le professeur Yves Bruand, Toulouse : Université de Toulouse-Le Mirail,1994, multigraphié ; 2 vol. texte 411 + 266 p., 3 vol. planches.

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SÉRAPHIN (Gilles). Cahors et la vallée du Lot.- Cahors : Éd. Études et communication, 1990 (Coll.Guides Tourisme et patrimoine) ; 112 p. ; p. 36-61.

Sommaire Étude Documentation Illustrations

Page 10: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

ILLUSTRATIONS

Page 1 ; page 2 ; page 3

Carte 1 ACarte Inv. Midi-PyrénéesPatrick Roques / Maurice Scellès

Carte des oeuvres sélectionnées : partie nord.

Carte 1 BCarte Inv. Midi-PyrénéesPatrick Roques / Maurice Scellès

Carte des oeuvres sélectionnées : partie sud.

Carte 2Carte Inv. Midi-PyrénéesPatrick Roques / Maurice Scellès

Carte de l'occupation du sol avant 1400 : légende.

Carte 2 ACarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte de l'occupation du sol avant 1400 : partie nord.

Carte 2 BCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte de l'occupation du sol avant 1400 : partie centrale.

Page 11: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Carte 2 CCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte de l'occupation du sol avant 1400 : partie sud.

Carte 3Carte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles.

Carte 3 ACarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles. Partie nord.

Carte 3 BCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles. Partie centrale.

Carte 3 CCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles. Partie sud.

Page 12: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Carte 3 bisCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles : état des arcades.

Carte 3 bis ACarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles : état des arcades. Partie nord.

Carte 3 bis BCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles : état des arcades. Partie centrale.

Carte 3 bis CCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Voirie XIIe- XIVe siècles : état des arcades. Partie sud.

Page 13: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Carte 4Carte Inv. Midi-PyrénéesPatrick Roques / Maurice Scellès

Carte des matériaux de construction aux XIIe, XIIIe et XIVe siècles.

Carte 5Carte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte des maisons "romanes".

Carte 5 ACarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte des maisons "romanes". Partie nord.

Carte 5 BCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte des maisons "romanes". Partie centrale.

Page 14: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Carte 5 CCarte Inv. Midi-PyrénéesMaurice Scellès

Carte des maisons "romanes". Partie sud.

Carte 6Carte Inv. Midi-PyrénéesPatrick Roques / Maurice Scellès

Carte de repérage des demeures du XVe siècle.

Fig. 1Photo. IVR73_92460092VAC. Soula

N° 4 impasse de la Citadelle, élévation est, maçonnerie antérieure auXIIe s.

Fig. 2Photo. IVR73_92460092VAC. Soula

N° 4 impasse de la Citadelle, élévation est, maçonnerie antérieure auXIIe s.

Fig. 3Photo. IVR73_92460081VA

Page 15: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

C. Soula

N° 4 impasse de la Citadelle, élévation est, détail : maçonnerie demoellons antérieure au XIIe s. et piédroit d'une fenêtre du XIIIe ouXIVe siècle.

Fig. 4Photo. IVR73_88460157VAJ.-F. Peiré

N° 30-33 impasse du Four, élévation est.

Fig. 5Photo. S.D.A. du LotFrançoise Delmond

N° 33 impasse du Four, maçonnerie romane du 1er niveau.

Fig. 6Photo. S.D.A. du LotFrançoise Delmond

N° 33 impasse du Four, maçonnerie romane du 1er niveau.

Fig. 7Photo. S.D.A. du LotFrançoise Delmond

N° 33 impasse du Four, maçonnerie romane du 1er niveau.

Fig. 8

Page 16: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Photo. S.D.A. du LotFrançoise Delmond

N° 33 impasse du Four, maçonnerie romane du 1er niveau.

Fig. 9Photo. S.D.A. du LotFrançoise Delmond

N° 33 impasse du Four, maçonnerie romane du 1er niveau.

Fig. 10Croquis Inv.M. Scellès

N° 20 rue Donzelle, élévation sur la rue : relevé des vestigesmédiévaux.

Fig. 11Photo. IVR73_90460306VC. Soula

N° 20 rue Donzelle : élévation est vue depuis le sud.

Fig. 12Photo. IVR73_90460309VC. Soula

N° 20 rue Donzelle, détail : fenêtre gauche de l'étage.

Fig. 13

Page 17: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Photo. IVR73_90460310VC. Soula

N° 20 rue Donzelle, détail : partie centrale de l'étage.

Fig. 14Photo. IVR73_90460308VC. Soula

N° 20 rue Donzelle, détail de la partie centrale.

Fig. 15Photo. IVR73_90460307VC. Soula

N° 20 rue Donzelle, détail : partie droite.

Fig. 16Croquis Inv.M. Scellès

N° 16 rue des Trois-Baudus : élévation sud sur la rue, relevé desvestiges médiévaux.

Fig. 17Photo. IVR73_96460019ZM. Scellès

N° 16 rue des Trois-Baudus, élévation sud, détail : fenêtre du premierétage avec un claveau gravé d'un trait de fausse-coupe.

Fig. 18Photo. IVR73_96460020Z

Page 18: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

M. Scellès

N° 16 rue des Trois-Baudus, détail : vestiges de la baie du deuxièmeétage de la façade médiévale.

Fig. 19Photo. IVR73_96460021ZM. Scellès

N° 98 rue du Château-du-roi : pilier central du rez-de-chaussée.

Fig. 20Photo. IVR73_90460513ZF. Fray

N° 113 rue Delpech : ensemble vu depuis la place Chapou, à l'est.

Fig. 21Photo. IVR73_96460022ZM. Scellès

N° 113 rue Delpech : élévation sud, sur la rue Delpech, vue depuis laplace Chapou, à l'est.

Fig. 22Photo. IVR73_89460037VAC. Soula

N° 77 rue Bergougnoux, élévation sud sur la rue (état avant travaux).

Fig. 23

Page 19: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Photo. IVR73_96460023ZM. Scellès

N° 74 rue du Docteur-Bouscarat (n° 77 rue du Docteur-Bergougnoux,parc. CH. 590) : fenêtre géminée du 2e étage médiéval de l'élévationsud devenue mur de refend.

Fig. 24Photo. IVR73_96460024ZM. Scellès

N° 74 rue du Docteur-Bouscarat (n° 77 rue du Docteur-Bergougnoux,parc. CH. 590) : chapiteau de la fenêtre géminée du 2e étage, vu de3/4 droit.

Fig. 25Photo. IVR73_96460025ZM. Scellès

N° 74 rue du Docteur-Bouscarat (n° 77 rue du Docteur-Bergougnoux,parc. CH. 590) : chapiteau de la fenêtre géminée du 2e étage, vuelatérale gauche.

Fig. 26Photo. IVR73_89460066XAJ.-F. Peiré

N° 74 rue du Docteur-Bouscarat : vestige d'un décor peint du XIIesiècle (?) au 1er étage de la tour, mur nord.

Fig. 27Photo. IVR73_89460059XC. Soula

N° 77 rue du Docteur-Bergougnoux (n° 74 rue du Docteur-Bouscarat): fenêtre Renaissance, côté sud sur cour.

Fig. 28Photo. IVR73_89460058XC. Soula

N° 77 rue du Docteur-Bergougnoux (n° 74 rue du Docteur-Bouscarat): fenêtre Renaissance, détail.

Page 20: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 29Photo. IVR73_90460495ZF. Fray

Modillon "roman" remployé au n° 4 rue des Soubirous.

Fig. 30Relevé photogrammétrique, 1989APAIG

N° 36 impasse Catonne : élévation est, sur l'impasse, relevé desvestiges médiévaux APAIG, 1989. Ech. 1/50e

Fig. 31Photo. IVR73_90460510ZF. Fray

N° 36 impasse Catonne, élévation est : fenêtre géminée du 1er étage.

Fig. 32Photo. IVR73_90460509ZF. Fray

N° 36 impasse Catonne, élévation est : fenêtre géminée murée gauchedu 2e étage (en haut à droite)

Fig. 33Photo. IVR73_90460511ZF. Fray

N° 36 impasse Catonne, élévation est : fenêtre géminée murée droitedu 2e étage.

Fig. 34Photo. IVR73_92460074XC. Soula

Impasse Catonne, parc. CE.220 : élévation ouest sur la cour, fenêtreternée du 2e étage.

Page 21: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 35Dessin Inv., éch. 1/50eP. Roques

N° 124 rue Nationale, élévation est sur la rue :restitution de l'état duXIIe s.

Fig. 36Croquis Inv.M. Scellès

N° 55 rue du Tapis-Vert : restitution théorique de l'état d'origine(XIIe-XIIIe s.)

Sommaire Étude Documentation Illustrations

ILLUSTRATIONS

Page 1 ; page 2 ; page 3

Fig. 37Photo. IVR73_90460315VC. Soula

N° 166 rue Saint-Urcisse, élévation nord, détail : rez-de-chaussée etpan-de-bois du niveau d'entresol médiéval.

Page 22: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 38Photo. IVR73_91460046ZM. Scellès

N° 46 rue Donzelle, élévation est sur la rue Donzelle, partie droite :détail du pan-de-bois du XIIIe ou XIVe s.

Fig. 39Photo. IVR73_90460507ZF. Fray

N° 24 rue Saint-Urcisse, façade en pan-de-bois antérieure à 1400 ?

Fig. 40Photo. IVR73_87460058XJ.-F. Peiré

Ensemble de maisons à façade en pan-de-bois au débouché de la rue deLastié sur la rue Saint-Urcisse.

Fig. 41Photo. IVR73_89460045VAC. Soula

N° 62-68 rue Saint-Urcisse, élévation est sur la rue (après restauration,au second plan) : 1ère moitié du XIIIe s.

Fig. 42Photo. IVR73_90460202VAC. Soula

N° 42 rue de la Daurade, élévation nord sur la rue (après restauration) :2e moitié du XIIIe s.

Fig. 43Photo. IVR73_91460155VAC. Soula

Page 23: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Rue du Four-Sainte-Catherine, tours vues depuis le nord-est.

Fig. 44Croquis Inv.M. Scellès

N° 71 rue des Mirepoises, façade ouest sur la rue : essai de restitutionde l'état de la 2e moitié du XIIIe s. (?)

Fig. 45Photo. IVR73_89460046VC. Soula

N° 71 rue des Mirepoises, façade sur la rue vue depuis le sud.

Fig. 46Photo. IVR73_89460048XC. Soula

N° 71 rue des Mirepoises, façade sur la rue, détail.

Fig. 47Photo. IVR73_89460047XC. Soula

N° 71 rue des Mirepoises, façade sur la rue, détail.

Fig. 48Croquis Inv.M. Scellès

Rue du Pont-Neuf : cad. CE.96 : élévation est, partie droite, relevé desvestiges médiévaux.

Page 24: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 49Photo. IVR73_96460026ZM. Scellès

Rue du Pont-Neuf : cad. CE.96 : élévation est, partie droite, état en1990.

Fig. 50Croquis Inv.M. Scellès

N° 35 rue du Docteur-Bergougnoux : vestiges de l'enduit peint defausses-briques sur le chanfrein de l'arc réapparu en 1989.

Fig. 51Dessin aquarellé, Photo. IVR73_93460003VAFrançoise Delmond

N° 6 rue Anne-Besse, élévation est sur la rue : relevé des vestigesmédiévaux apparus en 1989.

Fig. 52Photo. IVR73_96460027ZAM. Scellès

N° 6 rue Anne-Besse, élévation est sur la rue : piédroit d'une fenêtregéminée avec reprise à la peinture, en rouge et blanc, des briques et desjoints.

Page 25: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 53Photo. IVR73_96460029ZAM. Scellès

N° 6 rue Anne-Besse, élévation est sur la rue : détail du piédroit d'unefenêtre géminée avec reprise à la peinture, en rouge et blanc, desbriques et des joints.

Fig. 54Photo.Gilles Séraphin

N° 83 rue Fondue-Haute, mur est, 3e niveau actuel, arcs d'une porte etd'un placard, et vase intégré dans la maçonnerie.

Fig. 55Photo.G. Séraphin

N° 83 rue Fondue-Haute, mur est, 3e niveau actuel, détail d'un vaseintégré dans la maçonnerie.

Fig. 56Croquis Inv.M. Scellès

N° 3 place de la Libération, élévation ouest/nord-ouest sur la place et larue Pélégry : relevé des vestiges médiévaux et restitution partielle ;profil.

Fig. 57Photo. IVR73_93460004XJ.-F. Peiré

N° 3 place de la Libération : ensemble vu depuis le sud-ouest.

Fig. 58Photo. IVR73_93460005Z

Page 26: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

M. Scellès

N° 3 place de la Libération, élévation ouest/nord-ouest : détail de lapartie gauche.

Fig. 59Photo. IVR73_90460119VJ.-F. Peiré

Rue Dominici (CH. 554) : rez-de-chaussée vu depuis l'ouest.

Fig. 60Photo. IVR73_90460118VJ.-F. Peiré

Rue Dominici (CH. 554) : parties hautes.

Fig. 61Croquis Inv.M. Scellès

Rue Dominici (cad. CH.577), élévation sud sur la rue : relevé desvestiges médiévaux.

Fig. 62Croquis Inv.M. Scellès

Rue Dominici (cad. CH.577), élévation sud sur la rue : essai derestitution de l'état médiéval.

Fig. 63Photo. IVR73_90460123VJ.-F. Peiré

Rue Dominici (cad. CH.577), élévation sud sur la rue : rez-de-chaussée.

Page 27: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 64Photo. IVR73_90460120VJ.-F. Peiré

Rue Dominici (cad. CH.577), élévation sud sur la rue : parties hautes.

Fig. 65Photo. IVR73_90460122XJ.-F. Peiré

Rue Dominici (cad. CH.577), élévation sud sur la rue : fenêtres desétages.

Fig. 66Photo. IVR73_904603121XJ.-F. Peiré

Rue Dominici (cad. CH.577), élévation sud sur la rue : fenêtre du 1erétage.

Fig. 67Relevé S.D.A. du Lot, éch. 1/100eGil Renaux

N° 19 rue Fondue-Basse, élévation ouest sur la rue : état en 1992.

Fig. 68Croquis Inv. d'après le relevé de Gil RenauxM. Scellès

N° 19 rue Fondue-Basse, élévation ouest sur la rue : essai de restitutionpartielle de l'état d'origine.

Fig. 69Croquis Inv.M. Scellès

N° 32 rue du Tapis-Vert, élévation est sur la rue : restitution de l'état

Page 28: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

d'origine.

Fig. 70Photo. IVR73_90460523ZF. Fray

N° 253 rue Nationale (CH.684), élévation nord sur la longue cour enforme d'impasse.

Fig. 71Photo. IVR73_90460522ZF. Fray

Rue de Lastié (CH.69), mur mitoyen est (face visible dans la cour du n°52 rue de Lastié).

Fig. 72Photo. IVR73_87460063XJ.-F. Peiré

N° 68 rue de Lastié, élévation sud sur cour, support d'une baie géminéeau 2e étage.

Fig. 73Photo. IVR73_91460167VC. Soula

N° 100 rue Feydel, élévation sur rue, fenêtre du 1er étage.

Fig. 74Photo. IVR73_92460135XC. Soula

N° 100 rue Feydel, élévation sur rue : heurtoir néo-gothique.

Page 29: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 75Photo. IVR73_91460198XC. Soula

N° 16 rue du Château-du-roi, vestiges d'un portail.

Fig. 76Photo. IVR73_90460502ZF. Fray

N° 17 rue de la Préfecture, portail.

Fig. 77Croquis Inv.M. Scellès

Rue du Château-du-roi (n° 104 rue Feydel), élévation est sur rue :relevé des vestiges médiévaux et restitution partielle de l'état d'origine.

Fig. 78Photo. IVR73_89460253XC. Soula

Rue du Château-du-roi (n° 104 rue Feydel), élévation est sur rue :vestiges des baies de l'étage.

Fig. 79Photo. IVR73_89460252XC. Soula

Page 30: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Rue du Château-du-roi (n° 104 rue Feydel), élévation est sur rue :vestiges des baies de l'étage.

Fig. 80Photo. IVR73_88460327XC. Soula

N° 104 rue Feydel, grille en fer forgé (XVIe-XVIIe s. ?) remployéedans l'escalier.

Fig. 81Photo. IVR73_88460328XC. Soula

N° 104 rue Feydel, grille en fer forgé (XVIe-XVIIe s. ?) remployéedans l'escalier.

Fig. 82 ADessin Inv., éch. 1/50eP. Roques

Évolution de la fenêtre aux XIIe-XIVe siècles :1. N° 124-128 rue Nationale2. N° 42 rue de la Daurade, corps principal3. N° 42 rue de la Daurade, tour4. N° 52 rue de Lastié, élévation ouest5. N° 2 rue du Four-Sainte-Catherine

Fig. 82 BDessin Inv., éch. 1/50eP. Roques

Évolution de la fenêtre aux XIIe-XIVe siècles :6. N° 321-333 rue Nationale7. N° 102 rue des Soubirous8. Palais Duèze, élévation sud9. N° 117 rue de Lastié10. N° 35 rue de l'Université

Fig. 83Photo. IVR73_87460088XJ.-F. Peiré

N° 42 rue de la Daurade, corps principal : fenêtre du premier étage.

Page 31: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 84Photo. IVR73_88460856XC. Soula

Palais de Via, tour : détail de la fenêtre sud du 5e niveau.

Fig. 85A. privées, Repro IVR73_89460432X

Rue Deloncle, maison détruite en 1912 : elle présentait trois fenêtres dece type : une est conservée à Porte-Roque, commune de Saint-Cirq-Lapopie.

Fig. 86Photo.Valérie Rousset

Rue Deloncle, maison détruite en 1912 : fenêtre conservée à Porte-Roque, détail du chapiteau.

Fig. 87E. Viollet-Le-Duc, Dictionnaire raisonné de l'architecture..., t. VI,1868, p. 230

"Porte-bannes" et velum, selon la restitution proposée par E. Viollet-Le-Duc.

Fig. 88Croquis Inv.M. Scellès

Page 32: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Hypothèse de restitution de la structure portant le velum.

Sommaire Étude Documentation Illustrations

ILLUSTRATIONS

Page 1 ; page 2 ; page 3

Fig. 89Relevé aquarellé Inv., éch. 1/10e, Photo. IVR73_94460009XAM. Scellès

Décor peint : faux-appareil et et encadrement d'une porte, (Rue duFour-Sainte-Catherine/ n° 43 rue du Château-du-roi, cour actuelle,2e niveau du mur sud).

Fig. 90Photo.Philippe Deladerrière

Décor peint : faux-appareil et encadrement d'une fenêtre ; décorvégétal postérieur en surcharge (n° 58 rue Deloncle, caged'escalier actuelle, 2e niveau du mur sud).

Fig. 91Photo. IVR73_87460089VAJ.-F. Peiré

Décor peint : faux-appareil sur l'embrasure et décor végétal stylisésur le tympan (n° 42 rue de la Daurade, 1er étage du corpsprincipal, aula).

Page 33: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 92Photo. IVR73_87460023XJ.-F. Peiré

Décor peint : faux-appareil sur le tympan et l'embrasure (n° 52 ruede Lastié, corps principal, rez-de-chaussée).

Fig. 93Photo. IVR73_90460093XAJ.-F. Peiré

Décor peint : décor végétal sur le tympan d'une fenêtre géminée (n° 48 rue de la Préfecture, 2e étage).

Fig. 94Relevé aquarellé, éch. 1/10e, Photo. IVR73_94460007XAM. Scellès

Décor peint : frise et faux-appareil (n° 68 rue du Bousquet, rez-de-chaussée du bâtiment ouest, mur sud).

Fig. 95Relevé S.D.A. du Lot, éch. 1/1 Photo. IVR73_91460175VAV. Rousset, M. Nebot, F. Delmond

Décor peint, n° 12 impasse du Four, combles actuels : dessin, étatau moment de la découverte, restitution.

Fig. 96Dessin aquarellé, Photo. IVR73_92460070VAF. Delmond

Décor peint, n° 71 rue du Cheval-Blanc, 1er étage.

Fig. 97Photo. IVR73_88460105XC. Soula

Sculpture : n° 62-68 rue Saint-Urcisse, élévation sur rue :chapiteau d'une fenêtre de l'étage.

Page 34: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Fig. 98Photo. IVR73_87460091XJ.-F. Peiré

Sculpture : n° 42 rue de la Daurade, élévation sur rue : chapiteaudu 1er étage du corps principal.

Fig. 99Photo. IVR73_87460087XJ.-F. Peiré

Sculpture : n° 42 rue de la Daurade, élévation sur rue : chapiteaudu 2e étage de la tour.

Fig. 100Photo.G. Séraphin

Sculpture : n° 321-333 rue Nationale, corps principal, chapiteau dela cheminée de l'aula.

Fig. 101Photo.G. Séraphin

Sculpture : n° 321-333 rue Nationale, élévation sur rue, fenêtres du1er étage.

Fig. 102Photo. IVR73_87460006XJ.-F. Peiré

Page 35: CAHORS - Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée

Sculpture : n° 52 rue de Lastié, élévation sur cour, chapiteau du 2eétage du corps principal.

Fig. 103Photo. IVR73_87460026XJ.-F. Peiré

Sculpture : n° 52 rue de Lastié, élévation sur la 2e cour, chapiteaudu rez-de-chaussée du corps principal.

Fig. 104Photo. IVR73_87460024XJ.-F. Peiré

Sculpture : n° 52 rue de Lastié, élévation sur la 2e cour, chapiteaudu rez-de-chaussée du corps principal.

Fig. 105Photo. IVR73_88460079XJ.-F. Peiré

Sculpture : n° 95 rue du Four-Sainte-Catherine, bâtiment ayantappartenu au collège Pélégry, chapiteau d'une fenêtre du 2eniveau.

Fig. 106Photo. IVR73_894600286XC. Soula

Sculpture : n° 35 rue de Lastié, chapiteau trouvé en remploi.

Fig. 107Photo. IVR73_87460060XJ.-F. Peiré

Rue de Lastié (CH.69, n° 32 rue La Calprénède, détruit), porte duXVIe s. (?) avec un écu en remploi.

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Fig. 108Photo. IVR73_87460061XJ.-F. Peiré

Rue de Lastié (CH.69, n° 32 rue La Calprénède), écu en remploi.

Fig. 109Photo. IVR73_90460512ZF. Fray

N° 78 rue Delpech, élévation sur la rue vue depuis l'ouest.

Fig. 110Photo. IVR73_88460055VAJ.-F. Peiré

N° 58 rue Delpech, poutre peinte du plafond du 2e étage (XVe s. ?)

Fig. 111Photo. IVR73_88460056VAJ.-F. Peiré

N° 58 rue Delpech, poutre peinte du plafond du 2e étage (XVe s. ?)

Fig. 112Photo. IVR73_88460054VAJ.-F. Peiré

N° 58 rue Delpech, 2e étage, décor peint des murs (XVe s. ?)

Fig. 113Photo. IVR73_88460053VAJ.-F. Peiré

N° 58 rue Delpech, 2e étage, décor peint des murs (XVe s. ?)

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Fig. 114Photo. IVR73_88460052VAJ.-F. Peiré

N° 58 rue Delpech, 2e étage, décor peint des murs (XVe s. ?)

Fig. 115Photo. IVR73_89460289XC. Soula

N° 176 rue Nationale (n° 84 rue Bergougnoux), traces du décorpeint du plafond du 1er étage.

Fig. 116Photo. IVR73_89460290XC. Soula

N° 176 rue Nationale (n° 84 rue Bergougnoux), traces du décorpeint du plafond du 1er étage.

Fig. 117Photo. IVR73_88460490XC. Soula

Sculpture remployée sur l'élévation sud (rue Foucault) du n° 224rue Nationale.

Fig. 118Relevé, Photo. IVR73_89460268VJ.-P. Fontaine, P. Regelspergel

Ilot des Trois-Baudus, plan au niveau 0.

Fig. 119Relevé, Photo. IVR73_89460269VJ.-P. Fontaine, P. Regelspergel

Ilot des Trois-Baudus, plan au niveau 1.

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Fig. 120Relevé, Photo. IVR73_89460270VJ.-P. Fontaine, P. Regelspergel

Ilot des Trois-Baudus, plan au niveau 2.

Fig. 121Relevé, Photo. IVR73_89460271VJ.-P. Fontaine, P. Regelspergel

Ilot des Trois-Baudus, plan au niveau 3.

Fig. 122Relevé, Photo. IVR73_89460272VJ.-P. Fontaine, P. Regelspergel

Ilot des Trois-Baudus, plan au niveau 4.

Fig. 123Relevé, Photo. IVR73_89460273VJ.-P. Fontaine, P. Regelspergel

Ilot des Trois-Baudus, élévations sud sur la rue des Trois-Baudus.

Fig. 124Photo. IVR73_90460504ZF. Fray

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N° 22-24 rue de la Daurade, élévation nord vue depuis l'est.

Fig. 125Photo. IVR73_90460360VC. Soula

N° 194 rue Fondue-Basse, portail daté 1643.

Fig. 126Photo. IVR73_90460211VC. Soula

N° 18 rue Saint-James, élévation sur la rue (vers 1640 ?).

Fig. 127Photo. IVR73_90460460VC. Soula

N° 116 rue Nationale, hôtel de Marcilhac, détail du vantail de laporte.

Fig. 128Photo. IVR73_88460103XJ.-F. Peiré

N° 79 rue Fondue-Basse, escalier extérieur vu depuis le nord.

Fig. 129Photo. IVR73_89460067VJ.-F. Peiré

N° 34 place Chapou, élévation sur la place.

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Fig. 130Photo. IVR73_90460198VC. Soula

N° 130 quai Ségur d'Aguesseau, élévation est, vers le Lot.

© Région Midi-Pyrénées, Service régional de l'Inventaire, 2000

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