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Page 1 sur 32 Cahier de vacances Français Académie de Lille Vacances de printemps 2020

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Cahier de vacances

Français

Académie de Lille Vacances de printemps 2020

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« Une histoire de BB » : conte inquiétant Résumé : La Barbe Bleue est un homme effrayant : sa barbe fait peur à tous, mais il y a pire : toutes ses épouses ont disparu ! Personne ne sait ce qu’elles sont devenues. Quand une belle jeune fille accepte de l’épouser, tout se passe bien jusqu’à ce que son mari parte en voyage et lui confie toutes les clefs du château. Elle peut aller partout et profiter de toutes ses richesses. Mais elle n’a pas le droit d’entrer dans une pièce mystérieuse : le cabinet de son mari. Très curieuse, elle y entre quand même et découvre (c’est affreux !) que les anciennes épouses ont été assassinées et cachées là ! Effrayée, elle laisse tomber la clef qui se tâche et ne peut être nettoyée (un sale coup de la magie !). La Barbe Bleue découvre en revenant que son épouse s’est rendue dans la pièce interdite ! La jeune femme ne peut compter que sur ses frères dont elle attend l’arrivée pour être sauvée… (Que va-t-il se passer ?)

1/ Je lis, je comprends La Barbe Bleue est :

o Un personnage séduisant ; o Un homme aperçu de loin ; o Un mari inquiétant ;

Le nom, la Barbe Bleue, est un : o Un nom habituel ; o Le surnom donné au mari appelé Pierre ; o Le vrai nom du personnage. Un nom comme la Barbe-bleue est : o Un titre de noblesse ;

o Une figure de style qui utilise un trait physique pour nommer / désigner le personnage (synecdoque) ;

o Un vrai nom. Quelle bêtise a fait l’épouse : o Elle a perdu les clefs ; o Elle est allée dans la pièce interdite ; o Elle a cassé la clef fans la serrure ; o Elle a dépensé trop d’argent du trésor de son mari. Comment sa bêtise est-elle découverte ? o Elle en parle à voix haute à sa sœur et son mari l’entend ; o Son mari lit son journal intime ; o Elle avoue tout de suite ; o La clef est tâchée.

6ème

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2/ Je choisis une illustration : Il te faut proposer une illustration pour ce conte que tu vas éditer. Laquelle choisis-tu ? Justifie en entourant quelques mots du résumé (texte1)

Figure 1 Illustration de Gustave Doré, 1862

Figure 2 Illustration de Walter Crane, 1875

Figure 3 Illustration de Edmund Evans

AIDE :

Retrouves-tu les éléments d’une scène importante ?

Les personnages essentiels sont-ils présents ?

Te représentes-tu les personnages ainsi ?

L’ambiance correspond-t-elle au résumé ?

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3/ Je crée une première de couverture : Catastrophe 1 ! L’illustrateur qui devait réaliser la « première de couverture » de l’édition du conte a oublié de faire ce travail. Peux-tu l’aider et réaliser toi-même la couverture ? Il faut :

- Dessiner la Barbe Bleue avec une barbe bleue o Fait / Pas fait o - Coller ou dessiner une clef o Fait / Pas fait o - Penser aux couleurs dominantes et à colorer

Quelles couleurs ? Pourquoi ? o Fait / Pas fait o - Penser à ajouter le titre en soignant la graphie

Pourquoi telle graphie plutôt qu’une autre ? o Fait / Pas fait o - Ajouter e nom de l’auteur et le titre ainsi que la mention « conte inquiétant » en

soignant la graphie (la forme des lettres). o Fait / Pas fait o

Pour t’aider, voici trois propositions de graphies : laquelle préfères-tu ? Explique pourquoi ? En proposerais-tu une autres ? Vite ! À tes crayons ! Graphie 1 Graphie 2 Graphie 3

Charles Perrault

La Barbe Bleue

(Conte inquiétant)

Charles Perrault

La Barbe Bleue

(Conte inquiétant)

Charles Perrault

La Barbe Bleue

(Conte inquiétant)

4/ Je lis le début du conte écrit par Charles Perrault au XVIIème siècle…

Extrait 1

Il était une fois un homme qui avait de belles maisons à la ville et à la Campagne, de la vaisselle d'or et d'argent, des meubles en broderie, et des carrosses tout dorés ; mais par malheur cet homme avait la Barbe bleue : cela le rendait si laid et si terrible, qu'il n'était ni femme ni fille qui ne s'enfuît de devant lui.

Une de ses Voisines, Dame de qualité, avait deux filles parfaitement belles. Il lui en demanda une en Mariage, et lui laissa le choix de celle qu'elle voudrait lui donner. Elles n'en voulaient point toutes deux, et se le renvoyaient l'une à l'autre, ne pouvant se résoudre à prendre un homme qui eût la barbe bleue.

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5/ Je lis, je comprends : a/ La Barbe bleue est-il riche d’après toi ? b/ Une femme de qualité est o Une femme aimable ? o Une dame qui a beaucoup de talents ? o Une dame noble et de bonne réputation ? c/ Pourquoi, selon toi, aucune femme, aucune fille ne veut l’épouser ? 6/ CATASTROPHE 2 ! L’extrait 2 a été transmis à l’imprimeur avec des fautes : peux-tu les identifier et les corriger ?

Il était une fois un homme qui avait de belles maisons à la fille et à la Campagne, de la vaisselle d'or et d'argent, des meubles en broderie, et des carrosses fous dorés ; mais par malheur cet homme avait la Barbe bleue : cela le rendait si lait et si terrible, qu'il n'était ni femme ni fil qui ne s'enfuît de devant lui.

Une de ses Voisines, Dame de volonté, avait deux filles parfaitement vieilles. Il lui en demanda une en mariage, et lui laissa le roi de celle qu'elle voudrait lui donner. Elles n'en voulaient point toutes deux, et se l’envoyait l'une à l'autre, ne pouvant se résoudre à prendre un homme qui eût la barbe feu.

7. J’écris L’une des filles se décide finalement à épouser la Barbe Bleue. À ton avis, que va-t-il se passer ? Imagine en quelques lignes la suite de ce conte. 8/ Construction en deux parcours !

Parcours 1 : Dans le texte de Barbe Bleue, tu peux trouver l’adverbe « parfaitement ». Comment est-il composé ?

- de l’adjectif « parfait » mis au féminin soit « parfaite », - du suffixe « -ment » qui sert à fabriquer des adverbes, On aurait pu aussi trouver « imparfaitement » en plaçant, avant le radical, un préfixe « im ».

En suivant ce modèle de composition de mots, à toi de trouver 10 mots avec les éléments proposés :

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[La version NetB est fournie si le doc coloré pour petits lecteurs/petits scripteurs ne passait pas]

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9/ Je lis, je comprends

Extrait 2 : Lorsqu’elle fut seule, elle appela sa sœur, et lui dit : Ma sœur Anne, car elle s’appelait ainsi, monte, je te prie, sur le haut de la tour pour voir si mes frères ne viennent point ; ils m’ont promis qu’ils me viendraient voir aujourd’hui ; et, si tu les vois, fais-leur signe de se hâter. — La sœur Anne monta sur le haut de la tour ; et la pauvre affligée lui criait de temps en temps : Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Et la sœur Anne lui répondait : Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l’herbe qui verdoie.

L’héroïne est : o En pleine forme, o Elle ne fait rien, elle pleure tout le temps, o Elle se sauve, o Elle demande de l’aide à sa sœur et à ses frères. La sœur de l’héroïne s’appelle : o Gisèle, o Anne, o Robert, o AnnemasoeurAnne.

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10/ Je conjugue à l’imparfait de l’indicatif / 3ème personne (courageusement) deux verbes très inhabituels présents dans le texte. Indice : ils sont à la dernière ligne de l’extrait 2… Indice : pense au « y » à « Il envoyait » 11/ Pour la culture, écoute la chanson de Louis Chédid, Anne ma sœur Anne (lien sur https://www.youtube.com/watch?v=IIZysMH6oXg), tu reconnaîtras une citation du texte de Charles Perrault : laquelle ? Souligne-la dans le texte extrait 2. 12/ Aller dans l’interprétation Dans cette chanson de Louis Chédid [Paroles de Anne ma soeur Anne © Sony/ATV Music Publishing LLC, EMI Music Publishing, 1985 à l’explication se trouve sur wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Anne,_ma_sœur_Anne ], ne parle-t-on que de la belle-sœur de la Barbe Bleue ?

Indice : il y a une autre Anne connue : Anne Franck. Qui est-ce ? Comment comprendre la chanson ?

Indice : Une citation de la chanson « elle ressort de sa tanière, la nazi-nostalgie » …

Comment interpréter ce qu’a vu Anne ? Indice : paroles de la chanson

Anne, ma sœur Anne

Si j'te disais c'que j'vois v'nir Anne, ma sœur Anne

J'arrive pas à y croire, c'est comme un cauchemar Sale cafard !

Qui parle à Anne ? Pourquoi le titre « Anne, ma sœur Anne » ? 13/ Pour la détente, j’écoute sur le site de la médiathèque Louis Aragon de Raismes : https://www.ville-raismes.fr/famille/coronavirus-nos-services-sadaptent/activites-pour-soccuper-nos-ptits-bonheurs/coin-lectures et je choisis la lecture Les aventures de Hubert le ver de terre… à ici : https://www.youtube.com/watch?v=o3cdtv6DL7Y&feature=youtu.be J’écoute le conte (et aussi tous ceux que je veux) et je repère les contes connus auxquels il est fait allusion dans les aventures de Hubert… Liste dans le désordre à re-organiser (fais des flèches) : Premier conte évoqué La Cigale et la fourmi (France – La

Fontaine) Deuxième conte évoqué Blanche Neige et les sept nains

(Allemagne – Frères Grimm) Troisième conte évoqué Raiponce (Allemagne – Frères Grimm) Quatrième conte évoqué Le Corbeau et le Renard

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(France – La Fontaine) Cinquième conte évoqué Cendrillon (France – Charles Perrault) Sixième conte évoqué Jack et le Haricot magique

(Angleterre – Joseph Jacobs) Septième conte évoqué Hansel et Gretel

(Allemagne – Frères Grimm) Huitième conte évoqué La Petite Sirène

(Danemark – Andersen) Neuvième conte évoqué Le Petit chaperon rouge

(Deux versions : celle de Charles Perrault et celle des frères Grimm)

Dixième conte évoqué La Princesse au Petit pois (Danemark – Andersen) Onzième conte évoqué À TOI DE L’IDENTIFIER TOUT SEUL

(Cendrillon – trois versions, celle de Perrault, celle des frères Grimm et celle de Giambattista Basile)

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« Une histoire de Chevaliers et de bergers » : hue dia !

1/ Je lis, je comprends Extrait 1 : Héros au combat

Yvain, chevalier du roi Arthur, affronte sans le savoir son ami Gauvain, neveu du roi.

Extrait d’Yvain ou le Chevalier au lion de Chrétien de Troyes,

Traduit par Pierre-Marie Beaude

àLis ce texte à voix haute. à As-tu bien compris ?

a. Coche la bonne réponse :

Les chevaliers commencent à combattre : □ à la lance et à terre. □ à l’épée et à cheval. □ à la lance et à cheval. □ à l’épée et à terre. Puis, le combat se poursuit : □ à la lance et à terre. □ à l’épée et à cheval. □ à la lance et à cheval. □ à l’épée et à terre.

b. Souligne les mots ou expressions appartenant au champ lexical de la violence.

c. D’après toi, de quelles qualités font preuve les deux chevaliers dans ce combat ?

5ème

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2/ Je place les mots sur le schéma pour préparer le chevalier :

Caparaçon haubert cuissard heaume lance genouillère bouclier (écu)

3/ Organisation Classe les mots suivants en fonction des catégories proposées :

- Vocabulaire de l’équipement du chevalier, - Vocabulaire du combat, - Vocabulaire des qualités morales.

chevalier, cogner, lice, quintaine, armure, lance, écu, blason, prouesse, heaume, gant de fer, épée, courageux, rutiler, briller, sauter en selle, charger, désarçonner, frapper, viser, assommer, s'affronter, honneur, entailler, vaillant, blesser, désarmer, parer, esquiver, courtois, chanceler, valeureux, assener, audacieux, adversaire, spectateurs, applaudissements, harnaché , or, argent , escarboucle, loyal, destrier, joute, jouter, trompettes, combattant, loyal, hardi, haubert, gentil, féal...

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4/ Je recompose des phrases Choisis un mot dans chaque colonne et construit une phrase qui a un sens et qui respecte les règles d'orthographe. Les vieil chèvre sont de trépieds Une pauvres bêtes meurs au combat

Choisis un mot dans chaque colonne et construit une phrase qui a un sens et qui respecte les règles d’orthographe. L' automnes était les moment où la garçon se consacraient à quille Les hiver arrivaient la saison ou les chevaliers jouais aux entraînements

En te déplaçant dans la grille verticalement, colonne par colonne, sans sauter de case et sans aller en diagonale, trouve une phrase correctement orthographiée ayant un sens. Recopie la phrase que tu as trouvée en la ponctuant correctement. Le chevalier chasser celui fines ses ils des jeunes paraissait grand et noires quatre il impression cerfs effrayants monté son campé pattes donnait de se tenaient sur destrier sur avec une solidité

En te déplaçant dans la grille verticalement, colonne par colonne, sans sauter de case et sans aller en diagonale, trouve une phrase correctement orthographiée ayant un sens. Recopie la phrase que tu as trouvée en la ponctuant correctement. connaissez tu la femmes du voisin depuis longtemps vous la personne qui rentrent dans si jardin c'est dame qui ouvres sur facteur ils veulent enfants il habite le fermes sans porte parler qui voient les château aux toit oranges à achètes un château en tours démesurées demanda un des paquet de chocolats bleue dis les policier

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5/ COURAGEUSEMENT, les adverbes ! Les adverbes en -ment se forment en ajoutant le suffixe -ment : Règle 1° au masculin de l'adjectif si celui-ci se termine par une voyelle poli : poliment Règle 2° au féminin de l'adjectif si celui-ci se termine par une consonne heureux : heureuse : heureusement Règle 3° Les adverbes en -amment et -emment se forment à partir d'adjectifs terminés par -ant et -ent méchant : méchamment violent : violemment

Facile non ? A toi de jouer

Écris les adverbes correspondant à ces adjectifs, précise si il s'agit de la règle 1, 2 ou 3 ! charitable :..................................... peureux :...................................... faux :.............................. sage : …..................................... vrai :.......................................... courant :......................... différent :..................................... sec :.......................................... pareil :............................ Trouve les adverbes qui correspondent aux groupes nominaux (G.N.) proposés :

avec gaieté :................................................................................... avec gentillesse :................................................................................... avec constance :................................................................................... avec élégance :...................................................................................

Récrivez le texte suivant en remplaçant les passages soulignés par des adverbes en -ment Le jeune chevalier sentait de manière confuse que la fin de la quête approchait de façon inexorable. De manière pesante, les hommes en armes entendaient leur seigneur répéter de façon fréquente ses ordres. Pour se divertir, ils discutaient avec ardeur et en faisant du bruit. Ils pensaient ainsi à autre chose et avançaient d’un pas plus léger vers le château de Pire Aventure. 6/ Identifier les figures de style COMPARAISON METAPHORE PERSONNIFICATION HYPERBOLE PERIPHRASE ANTITHESE

Attention à l'orthographe de gaiement

et gentiment

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Identifie les figures de styles présentes dans chaque phrase. Souligne la figure de style dans la citation. « Jamais Nature ne se fit tant prodigue de beauté, et elle y a même dépassé la mesure… » àJe suis une figure qui présente une nette exagération de la réalité : ..................................................................... « Le géant lui échappe, en mugissant et beuglant comme un taureau, car le lion l'a grièvement blessé…» « À la fin, monseigneur Yvain fendit en quatre le heaume du chevalier. Sous l'effet du choc, l'autre fut secoué comme par un coup de tonnerre et vidé de sa force… » à Je suis une figure qui établit un parallèle entre deux éléments à l’aide d’un terme de comparaison :..................................................................... « Et pourtant, quelque acharnement qu’elle mette à s’abîmer, nul cristal, nulle glace ne furent si clairs ni si polis ! » à Je suis une figure qui établit un parallèle entre deux éléments sans l’aide d’un terme de comparaison :..................................................................... « J’aimerai toujours mon ennemie. » àJe suis une figure qui rapproche deux contraires (deux termes ou idées qui s’opposent par le sens) dans un même énoncé.:..................................................................... « Ils se frappent d'estoc, et c'est merveille qu'une bataille aussi féroce et aussi dure se prolonge tant. Mais tous deux ont un si grand courage, qu'à aucun prix l'un n'abandonnerait à l'autre un seul pied de terrain… » à Je suis une figure qui présente une nette exagération de la réalité :..................................................................... « C’est Dieu qui la créa de ses propres mains, pour ébahir Nature. » àJe suis une figure qui consiste à attribuer une ou des caractéristiques humaines à une réalité non humaine (objet, animal ou idée).:..................................................................... « Le chevalier au lion s’avançait sans crainte. » à Je suis une figure qui consiste à nommer un personnage par un groupe nominal rappelant ses qualités :

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7/ Je lis / je comprends Extrait 2 : Messire Yvain cheminait tout pensif par une forêt profonde lorsqu’il entendit dans la forêt un cri douloureux et perçant. Il se dirigea du côté d’où ce cri venait, et, à son arrivée, il vit (…) un lion et un serpent qui le tenait par la queue et lui brûlait toute l’échine de flammes ardentes. Messire Yvain ne regarda pas longtemps ce prodige, mais il se demanda auquel des deux il porterait secours. À la fin, il décida de prendre le parti du lion, car on doit faire du mal aux êtres venimeux et pleins de traîtrise ; or, le serpent était venimeux et sa bouche vomissait du feu, si grande était sa félonie. Aussi messire Yvain pense qu’il le tuera le premier. Il tire son épée, s’avance et se couvre le visage de son écu, afin de se protéger de la flamme que le serpent crachait par la bouche, plus large qu’une marmite. Si le lion attaque ensuite, il trouvera avec qui combattre ; mais pour l’instant, Yvain décide de l’aider, car sa pitié l’engage et l’incite à accorder son secours et son aide à la noble et loyale bête. De son épée affilée, il attaque le félon.

Chrétien de Troyes, Yvain ou le chevalier au lion, vers 3337 et suite Yvain assiste à un combat entre : o Entre un aigle et un félon, o Entre un bufflon et un félon,

o Entre un chevalier et un lion, o Entre un lion et un serpent.

Il décide de : o Passer son chemin, o Aider le lion, o Regarder le combat, o Aider le serpent. Le serpent est décrit comme : o Un vrai serpent, o Une créature fourbe et démoniaque, o Un combattant loyal. Le lion est décrit avec : o Des qualités chevaleresques, o Des défauts inquiétants, o Des adjectifs dégradants. 8/ Je cherche à identifier les figures de styles soulignées : relie figure et citation Le serpent était venimeux et sa bouche vomissait du feu, si grande était sa félonie Sa bouche (est) plus large qu’une marmite La noble et loyale bête Personnification /hyperbole/comparaison

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9/ Écrire comme Chrétien de Troyes J’écris la suite de cette aventure : comment se déroule le combat ? Qui gagne ? Que se passe-t-il après ? Une histoire de berger… pour souffler un peu après tous ces combats 10/ Je fais des mots fléchés : Extrait 3 : Un berger provençal et la fille de ses maîtres passent la nuit à la belle étoile... Si vous avez jamais passé la nuit à la belle étoile, vous savez qu'à l'heure où nous dormons, un monde mystérieux s'éveille dans la solitude et le silence. Alors les sources chantent bien plus clair, les étangs allument des petites flammes. Tous les esprits de la montagne vont et viennent librement ; et il y a dans l'air des frôlements, des bruits imperceptibles, comme si l'on entendait les branches grandir, l'herbe pousser. Le jour, c'est la vie des êtres ; mais la nuit, c'est la vie des choses. Quand on n'en a pas l'habitude, ça fait peur...Aussi notre demoiselle était toute frissonnante et se serrait contre moi au moindre bruit. Une fois, un cri long, mélancolique, parti de l'étang qui luisait plus bas, monta vers nous en ondulant. Au même instant une belle étoile filante glissa par-dessus nos têtes dans la même direction, comme si cette plainte que nous venions d'entendre portait une lumière avec elle.

Alphonse Daudet, Les étoiles, in Lettres de mon moulin. Entoure dans la grille ci-dessous l'infinitif des verbes soulignés.

11/ Je définis : Retrouve le mot du texte dont tu as la définition ci-dessous...

Durée comprise entre le coucher et le lever du soleil, je suis la ................... Astre producteur et émetteur d'énergie, je suis une ..............................

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Je suis une plante et sers à nourrir les animaux, je suis l'.......................... Je suis un gaz, normalement incolore, invisible et inodore, je suis l'............................. Fait de ne pas parler, je suis le............................. Étendue d'eau naturelle ou artificielle, je suis un ...................

12/ Trouve l’intrus : Sauras-tu trouver l'intrus (tu peux t'aider d'un dictionnaire) ?

*nuit-noctambule-nuitée- nyctalope-nuisance **étoile-stellaire-stalactite-étoilée-constellation ***flamme-enflammer-inflammable-flamand-flambant-flambeau ****chant-cantatrice-chanter-incantation-enchantement-incandescent

13/ Jeu de vocabulaire : Reconstitue l'escalier de la peur, de la plus basse à la plus haute marche : effroi-crainte-angoisse-inquiétude-terreur-affolement-horreur-panique-frayeur 14/ CONCOURS de vocabulaire : Trouve en trois minutes le maximum d'expressions pour exprimer la peur sans utiliser le mot "peur" – tu peux jouer avec ceux qui t’entourent ! 15/ Relier Saurais-tu retrouver les questions correspondant aux réponses...Relie-les par un trait.

Réponses Questions C'est le berger qui s'exprime. A qui s'adresse le narrateur? Les sources, les étangs, les esprits de la montagne.

Qu'entend-on cette nuit-là?

Au lecteur Qui est le narrateur? Des frôlements, des bruits, un cri Qui a peur dans ce passage? La demoiselle Qui s'anime lorsque vient la nuit? 16/ Exercice d’écriture : « Le jour, c'est la vie des êtres ; mais la nuit, c'est la vie des choses. » Imagine ce que vivent les objets de ta chambre, ce qu’ils vivent la nuit quand tu dors. Raconte ! 17/ Cinq sens, un texte sensible Trois des cinq sens sont présents dans le texte : lesquels ? Associe au moins un mot du texte à chaque image représentant un sens évoqué.

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18/ Réécriture : Dans le texte ci-dessous, remplace "vous " par "tu", « nous » par « ils », "les sources "par "la source"et « les étangs » par « l’étang ». Fais toutes les modifications nécessaires." Si vous avez jamais passé la nuit à la belle étoile, vous savez qu'à l'heure où nous dormons, un monde mystérieux s'éveille dans la solitude et le silence. Alors les sources chantent bien plus clair, les étangs allument des petites flammes.

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Une histoire de poésies -Soyons lyriques !

Il a mis le café Dans la tasse Il a mis le lait Dans la tasse de café Il a mis le sucre Dans le café au lait Avec la petite cuiller Il a tourné Il a bu le café au lait Et il a reposé la tasse Sans me parler Il a allumé Une cigarette Il a fait des ronds Avec la fumée Il a mis les cendres Dans le cendrier Sans me parler Sans me regarder Il s’est levé Il a mis Son chapeau sur la tête Il a mis son manteau de pluie Parce qu’il pleuvait Et il est parti Sous la pluie Sans une parole Sans me regarder Et moi j’ai pris Ma tête dans ma main Et j’ai pleuré.

Jacques Prévert, « Le déjeuner du matin », Paroles, 1946

1/ Je lis, je comprends (Questions de compréhension) : 1. À ton avis, que raconte le poème ? 2. Que sait-on des personnages dans ce texte ? Qui sont-ils ? Sont-ils nommés précisément ? 3. Quelles remarques ferais-tu sur la construction de ce texte (longueur des phrases, ponctuation, lexique utilisé, répétitions et anaphores…) en le comparant à d’autres poèmes que tu connais ? 4. Relève les mots appartenant au champ lexical du quotidien. Où sommes-nous ? 5. Le titre de ce poème est « Le déjeuner du matin ». Si tu devais inventer un autre titre pour ce texte, que proposerais-tu ? Pour quelles raisons ?

4ème

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2/ Question de grammaire : Quel temps verbal est utilisé dans ce texte ? Relève trois ou quatre formes verbales pour justifier ta réponse. A ton avis, pourquoi l’auteur a-t-il choisi d’utiliser ce temps verbal ? Quelle est sa valeur ? 3/ Question de stylistique : Plusieurs termes sont répétés en début de vers dans ce poème. Repère ces groupes de mots. Comment appelle-t-on cette figure de style ? Pourquoi l’utiliser ici ? Que met-elle en valeur ? 4/ Réécriture : * Réécris le poème des vers 1 à 11 en remplaçant le pronom personnel « il » par « ils ». Fais toutes les modifications nécessaires (temps verbaux, accords…). * Pour ces mêmes vers, réécris en changeant le temps verbal : mets tous les verbes au passé simple de l’indicatif.

5/ Exercice d’écriture : Ce texte est une scène de rupture silencieuse (« sans me parler »). À toi d’imaginer un autre texte aux mêmes caractéristiques racontant la rencontre dans un café lors d’une après-midi ensoleillée. Il pourrait commencer par : « Il (ou : Elle) entra dans le café Sans se presser… » S’auto corriger : o J’ai utilisé le passé composé de l’indicatif,

o J’ai fait des répétitions volontairement pour l’effet d’anaphore (renforcement d’habitude),

o J’ai utilisé le vocabulaire du quotidien choisi en fonction du cadre, o J’ai créé une succession d’actions menant à une chute, o J’ai créé un deuxième personnage et une chute, o J’ai mis un point final. o J’ai lu ma poésie à ceux qui m’entouraient pour avoir leur avis.

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6/ Mots mêlés Dans la grille ci-dessus, retrouve les seize mots appartenant au champ lexical du sentiment amoureux et recopie-les.

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7/ As-tu compris ?

Sensation Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue : Rêveur, j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds. Je laisserai le vent baigner ma tête nue. Je ne parlerai pas, je ne penserai rien : Mais l'amour infini me montera dans l'âme, Et j'irai loin, bien loin, comme un bohémien, Par la Nature, — heureux comme avec une femme. Arthur Rimbaud, Poésies (1870)

1. Expliquez le sens du titre : quelles sont les sensations évoquées par le poète ? 2. Arthur Rimbaud a écrit ce poème à l’âge de 16 ans. A quoi voit-on que ce poème a été écrit

par un adolescent ? 3. Repérez un exemple d’allitération (répétition d’une consonne) dans chaque strophe. 4. Quel sentiment crée chez le poète la présence de la nature ? Relevez les termes qui le

montrent. 8/ Écriture : une strophe de 4 vers qui raconte une aventure du poète au contact de la nature 9/ Grammaire : à quel temps les verbes sont-ils conjugués ? Recopie le poème en conjuguant ces verbes à l’imparfait. 10/ Réécriture : remplacez « je » par « nous » dans la première strophe. 11/ Exercice : Dites si les phrases suivantes comportent des comparaisons ou des métaphores :

a. Des rires s'élevèrent, pareils au clapotement des flots. (G. Flaubert) b. Le soleil est un fruit sucré. c. Les étoiles sont les yeux brillants du ciel. d. La terre est bleue comme une orange (Paul Eluard) e. Des troupeaux d'autobus mugissants près de toi roulent. (G. Apollinaire) f. Heureux comme avec une femme (A. Rimbaud).

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Celui qui regarde du dehors à travers une fenêtre ouverte, ne voit jamais autant de choses que celui qui regarde une fenêtre fermée. Il n’est pas d’objet plus profond, plus mystérieux, plus fécond, plus ténébreux, plus éblouissant qu’une fenêtre éclairée d’une chandelle. Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. Dans ce trou noir ou lumineux vit la vie, rêve la vie, souffre la vie.

Par-delà des vagues de toits, j’aperçois une femme mûre, ridée déjà, pauvre, toujours penchée sur quelque chose, et qui ne sort jamais. Avec son visage, avec son vêtement, avec son geste, avec presque rien, j’ai refait l’histoire de cette femme, ou plutôt sa légende, et quelquefois je me la raconte à moi-même en pleurant.

Si c’eût été un pauvre vieux homme, j’aurais refait la sienne tout aussi aisément.

Et je me couche, fier d’avoir vécu et souffert dans d’autres que moi-même.

Peut-être me direz-vous : « Es-tu sûr que cette légende soit la vraie ? » Qu’importe ce que peut être la réalité placée hors de moi, si elle m’a aidé à vivre, à sentir que je suis et ce que je suis ?

Charles Baudelaire, Petits poèmes en prose, 1869.

12/ Expliquez cette phrase : « Ce qu’on peut voir au soleil est toujours moins intéressant que ce qui se passe derrière une vitre. » en imaginant un exemple. 13/ D’après vous, sur quoi cette femme décrite pourrait-elle être penchée ? 14/ Comme Baudelaire, refaites l’histoire de cette femme en un paragraphe dont la visée est d’être émouvant. 15/ À votre tour, écrivez un quatrain ou un poème en vers libres, ou encore un texte en prose, qui commence par : « Tout m'ennuie aujourd'hui. J'écarte mon rideau… »

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Une histoire de modes et de sciences

3ème

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7/ Je lis, je comprends

Vocabulaire:qu’est-cequ’uncredo?Àqueldomainecelarenvoie-t-il?

LeDocteurPascalutiliseaplusieursrepriseslaformule«Jecrois».Quelestl’intérêtdecetterépétition?

QuelleidéedéfendleDocteurPascalselontoi?

Quepenses-tudecepersonnage?

Le roman de Zola, Le Docteur Pascal, raconte l’histoire d’un médecin particulièrement dévoué à la santé de ses patients à tel point qu’il va imaginer un remède qu’il appelle « élixir de résurrection ». Il explique ses motivations à Clotilde, sa nièce.

« Veux-tu que je te dise mon Credo, à moi [...]. Je crois que l’avenir de l’Humanité est dans le progrès de la raison par la science. Je crois que la poursuite de la vérité par la science est l’idéal divin que l’homme doit se proposer. Je crois que tout est illusion et vanité, en dehors du trésor des vérités lentement acquise et qui ne se perdront jamais plus. Je crois que la somme de ces vérités, augmentées toujours, finira par donner à l’homme un pouvoir incalculable, et la sérénité, sinon le bonheur... Oui, je crois au triomphe final de la vie. »

Extrait du Docteur Pascal, Emile Zola, Chap. 2, 1893.

8/Reécriture

8a-Essaiederéecrirelepassagesoulignedutexteenremplaçant«jecrois»par«jecroyais».Faistousleschangementsquis’imposentetsouligne-les.

8b–Essaiederéécrirelepassagesoulignéenremplaçant«Jecrois»parunimpératifprésent:«Supposeque…»

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9/ Remplis la grille de mots croisés suivante :

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Corrigé 6ème : Une histoire de BB. 1. Corrigé : mari inquiétant/vrai nom/synecdoque/pièce interdite/clef tâchée 5. Réponses : riche et impressionnant / femme noble / un homme qui fait peur « terrible ». 6. Corrigé : ville/tout/ laid/fille/qualité/belles/droit/le renvoyaient/ bleue Parcours 1 : Démonter, démontable, impossible, inadmissible, infaisable, déposer, imposer, imposable, illégal, inratable Parcours 2 :

9. L’aide ! Anne. 10. Corrigé : l’herbe verdoyait / le chemin poudroyait (modèle envoyer 1er gr) 12 : Corrigé : Anne Franck, allusion au conte, association ogre Barbe bleue et menace des nazis. L. Chédid crée un écho entre les deux textes pour associer les deux univers et les rendre plus parlants. C’est à la fois le conte et la menace, l’humain et l’histoire. 5ème : Une histoire de chevaliers et bergers 1. a - lance et à cheval / épée et à terre. b- « combat, coup d’épée, s’affronter / s’infliger coups et blessures, en découdre // assaut, brisent les lances, frappent du tranchant de l’épée, frappent, hématomes, cognent à perdre haleine, hauberts ne les protègent plus, écus ne piteux état, chaque coup (…) ébranle, ils cognent, les pierres (…) volent en éclat ». c - avoir des valeurs humaines, être plein de respect, être prêt à aider noblement, honneur mais aussi courage, habileté et force.

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2. De haut en bas àheaume, lance (dr), bouclier, haubert (g), cuissard (à g), genouillère (dr), carapaçon. 4. Les pauvres bêtes sont au combat. L’hiver était la saison où les chevaliers se consacraient aux entraînements. Le chevalier paraissait grand, monté sur son destrier campé sur quatre pattes. Il donnait une impression de solidité. Connaissez-vous la Dame qui habite le château aux tours démesurées depuis si longtemps ? 5. Charitablement, sagement, différemment, peureusement, vraiment, sèchement faussement couramment, pareillement. Gaiment, gentiment, constamment, élégamment. Confusément, inexorablement, pesamment, fréquemment, ardemment, bruyamment, légèrement. 6. Hyperbole « jamais tant prodigue (« généreux ») + dépassé la mesure » et une personnification « la nature » / comparaison : « comme un taureau/comme un coup de tonnerre » / métaphore « nulle glace, nul cristal » : nulle gorge aussi blanche que la glace, polie comme cristal / antithèse : « aimer + ennemie » / Hyperbole : « merveille… tant… si grand courage » / Personnification : « ébahir (surprendre) la Nature » / périphrase : Yvain est ce chevalier au lion. 7. Lion et serpent, aider le lion, créature fourbe, qualités chevaleresques. 8. Dans l’ordre à Hyperbole, comparaison, personnification. 11. Nuit, étoile, herbe, air, silence, étang) 12. Nuisance/stalactite/flamand/ incandescent) 13. Crainte, inquiétude, angoisse, affolement, effroi, frayeur, horreur, panique, terreur. 17. Ouie : « chante, bruit, cri, entendaient » / vue : « allument, étoile » / Toucher : « frôlement, se serrait… » 18. Si tu as jamais passé (…) tu sais (…) ils dorment (…) la source chante (…) l’étang allume… » 4ème : Une histoire de poésies 1. 1 Rupture//2 Rien juste un homme et une femme//3 Texte long, vers libres, très peu de ponctuation, vocabulaire du quotidien. Différent des sonnets de Du Bellay et poèmes de Baudelaire //4 Café tasse sucre… la cuisine d’un appartement commun ? //5 La rupture. 2. Passé composé de l’indicatif, action passée, achevée « il a allumé / j’ai pleuré / il est parti » 3. Anaphore répétition en début de vers « il a mis » : régularité, habitude pour renforcer l’impression d’habitude. 4. « Ils mirent / ils mirent / ils irent / ils tournèrent / ils burent / ils reposèrent / ils allumèrent… » 3ème : Une histoire de mode et de sciences 1. Non ! Ne pas démordre de sa façon de s’habiller « en dépit de la mode » 2. Il veut du pratique : des vêtements chauds, adaptés, qui ne font pas mal aux pieds et lui tiennent la tête couverte 3. Le couple suit les prescriptions de la mode, ils ressemblent d’ailleurs à la publicité devant laquelle ils se tiennent, même s’ils ne sont pas les mannequins de la publicité, ils en ont les vêtements.

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4. PSR Qui pour bien digérer tienne l’estomac chaud / PSC « comme il faut. » Attentionà"Quoi qu'il en sot… » : le » quoi que » ici est effectivement un pronom relatif à valeur indéfinie. Il introduit une proposition dépendante exprimant une opposition concessive. 5. A « Influencer » et B « mouton » / 1 « serviles », 2 « conformisme », 3 « docile », 4 : « original ». À toi de donner ton avis ! Ne pas suivre la mode, c’est ne pas céder au conformisme et au tout « consumérisme ». C’est aussi avoir la chance d’être original ou d’exprimer sa personnalité, y compris en associant dessins et couleurs qui ne vont pas ensemble. Après tout si on aime… 6. « Quoi qu’il en soit, nous sommes attachés fortement / À ne démordre point de notre habillement :/ Nous voulons une coiffure en dépit de la mode, / Sous qui toutes nos têtes aient un abri commode : /Et de beaux pourpoints bien longs, et fermés comme il faut, / qui pour bien digérer tiennent l’estomac chaud… » 7. C’est une prière catholique qui commence par je crois, ici pas d’usage religieux mais l’affirmation forte d’une conviction. / C’est un personnage engagé, passionné, qui a foi dans le progrès généré par la science. 8a : Je croyais que l’avenir de l’Humanité était dans le progrès de la raison par la science. Je croyais que la poursuite de la vérité par la science était l’idéal divin que l’homme devait se proposer. Je croyais que tout était illusion et vanité, en dehors du trésor des vérités lentement acquises et qui ne se perdraient jamais plus. Je croyais que la somme de ces vérités, augmentées toujours, finissait par donner à l’homme un pouvoir incalculable, et la sérénité, sinon le bonheur… Oui, je croyais que la vie triomphait au final. » 8b : « Suppose que l’avenir de l’Humanité soit dans le progrès de la raison par la science. Suppose que la poursuite de la vérité par la science soit l’idéal divin que l’homme dusse se proposer. Suppose que tout soit illusion et vanité, en dehors du trésor des vérités lentement acquises et qui ne se perdraient jamais plus. Suppose que la somme de ces vérités, augmentées toujours, finisse par donner à l’homme un pouvoir incalculable, et la sérénité, sinon le bonheur… Oui, suppose que la vie triomphe au final. »

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