Bulletin no. 4

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Bulletin no. 4

Juillet 2014

Voilà! Nous y sommes. Ça fait déjà près d’un an que votre Conseil d’administration travaille à la préparation de cette SPECQUE dans le but de vous faire vivre une expérience unique, enrichissante et mémorable. Pour la première fois depuis les débuts de son histoire, la SPECQUE se transporte dans l’Ouest canadien pour vous faire vivre une Simulation grandiose telle les montagnes qui s’y érigent. Cette édition se veut une ode à la culture franco-‐albertaine, laquelle a ses ressemblances, mais aussi ses grandes différences avec la culture francophone québécoise que vous connaissez mieux. Cette année, ce n’est peut-‐être pas l’ensorcelante Rome que vous avez visitée l’an dernier, mais Edmonton fera une ville hôte incomparable. Elle accueillera une SPECQUE plus familiale, plus conviviale, plus traditionnelle et plus près de la nature. C’est un réel retour aux sources qui nous a guidés lors de la préparation de cette édition, car nous savons tous que ce qui fait de la SPECQUE une simulation si unique c’est d’abord et avant tout les liens qui se créent entre la centaine de ses participants. Nous avons tous très hâte que votre enthousiasme s’additionne au nôtre! Au plaisir de rencontrer chacun d’entre vous à Edmonton!

Votre CA dévoué

Edmonton, on arrive!

Ce que vous devez savoir

Des lieux specquois

Qu

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ppo

rter

? Vous devrez mettre dans

vos valises :

• ordinateur portable, tablette et/ou téléphone portable

• clé USB • appareil photo • tenue de ville pour les séances en

assemblée et en commission parlementaire

• tenue de soirée pour les soirées de prestige,

• vêtements adaptés pour les soirées de travail et les déplacements en ville

• souliers confortables • adaptateur/convertisseur électrique pour

les Européens • documents imprimés : textes des

commissaires et des rapporteurs, lignes de groupes politiques...

• chasse-moustiques • shampoing et savons

Pour se rendre à l’Université de l’Alberta à partir de l’aéroport d’Edmonton Navette 'SkyShuttle' (45-80 minutes ; 18$ CAD par personne pour l’aller, 30$ CAD par personne pour un aller-retour) La navette 'SkyShuttle' vous déposera directement aux résidences Lister à l’Université de l’Alberta. Les billets peuvent être achetés à l’avance en ligne (http://www.edmontonskyshuttle.com/) ou bien en personne, le jour même, à leur kiosque près de la Sortie 7, à l'étage des arrivées. Taxi (35-45 minutes ; 46$ CAD) L'Airport Taxi Service (http://www.airporttaxiservice.ca/) offre des tarifs fixes de 46$ vers l'Université de l'Alberta. Ils se trouvent aux Sorties 3 et 10, à l'étage des arrivées. Transport en commun (50-70 minutes ; 8$ CAD -- 5$ CAD pour le bus 747 et 3$ CAD pour le train) Prendre le service de bus (no. 747) à partir de l'arrêt qui se trouve à l'extérieur de la Sortie 8, à l'étage des arrivées Le bus vous conduira directement à Century Park Station en approximativement 25 minutes. À partir de Century Park Station (le terminus sud de la ligne métropolitaine) prendre le train en direction de Clareview (la seule direction disponible) Descendre à University Station (la cinquième station après Century Park) C

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Edmonton et ses attraits À l’occasion de votre venue à Edmonton, une foule de possibilités s’offre à vous pour occuper votre temps avant ou après la SPECQUE. Voici les quelques adresses que nous vous recommandons. Edmonton présente bien des occupations à ne pas manquer et connaît une programmation estivale variée en termes de festivals, évènements et autres manifestations. Le festival k-days (http://k-days.com/) – du 18 au 27 juillet – animera la ville avec ses spectacles, manèges et sa pléthore de nourritures exotiques. Pour un aperçu d’une petite partie de la ville, d’anciens tramways du début du XXème siècle effectuent un parcours qui traverse la rivière (http://www.edmonton-radial-railway.ab.ca/highlevelbridge/) et dont un terminus correspond au Old Strathcona Farmers’ market, ouvert tous les samedis, reconnu pour ses produits locaux et son artisanat (http://osfm.ca/). Véritable lieu de rassemblement, ne manquez pas Churchill Square, reconnaissable à la pyramide de verre qui couronne la mairie. De nombreux concerts et activités y sont organisés durant l’été (retrouvez le programme : (http://www.edmontonarts.ca/eac_projects/eac_projects_churchillsquare/). Non loin de là se situe l’Art Gallery of Alberta (http://www.youraga.ca/) qui rassemble aussi bien des peintures, sculptures que des photographies anciennes et contemporaines.

À propos de musées, notez également le Royal Alberta Museum qui retrace l’histoire naturelle et humaine de l’Alberta depuis la préhistoire (http://www.royalalbertamuseum.ca/) ou encore le Telus World of Science (http://telusworldofscienceedmonton.ca/), un centre consacré à la science, fort de plusieurs expositions sur l’environnement, les voyages dans l’espace et comportant une salle de projection IMAX ainsi qu’un planétarium. Dans l’ouest de la ville, vous pouvez aller explorer les 48 hectares du West Edmonton Mall (http://www.wem.ca/), plus grand centre commercial de l’Amérique du Nord et site touristique le plus populaire de la province de l’Alberta. Magasins, un parc d’attractions (Galaxyland), cinéma, parc aquatique (World Waterpark), patinoire, etc. : rien ne manque dans cette forteresse facile d’accès qui ne compte pas moins de 132 restaurants. William Hawrelak Park (http://edmonton.ca/activities_parks_recreation/parks_rivervalley/william-hawrelak-park.aspx), proche de l’Université de l’Alberta, baigné par la North Saskatchewan River, constitue un beau lieu de détente et est souvent utilisé pour de nombreux festivals été comme hiver. Autre lieu du règne de la nature, le Muttart Conservatory est facilement reconnaissable à ses pyramides de verre emblématiques d’Edmonton (http://www.edmonton.ca/attractions_events/muttart-conservatory.aspx).

Également située à proximité de l’Université (à l’est de celle-ci), la Whyte Avenue ne manque pas de bars en tous genres pour le bonheur du plus grand nombre des Specquois. Enfin, le bastion de la francophonie qu’est Edmonton abrite la Cité francophone (http://www.lacitefranco.ca/) qui comprend notamment un marché, un café et une galerie d’art. Mais au-delà d’Edmonton même, l’Ouest canadien s’ouvre à vous. Les Rocheuses ne sont pas loin et les amateurs de randonnées pourront apprécier les paysages splendides qu’offre la chaîne de montagnes. Au cœur de cette géographie, le parc national de Jasper (http://www.pc.gc.ca/fra/pn-np/ab/jasper/index.aspx) présente de nombreuses options que ce soit la marche, le rafting (descente de la Maligne) ou encore le téléphérique pour les moins courageux qui veulent apprécier la vue sur Jasper du haut du mont Whistler.

Plus fréquenté que celui de Jasper, le parc national de Banff (compter 4 heures depuis Edmonton en bus)(http://www.pc.gc.ca/fra/pn-np/ab/banff/index.aspx), plus ancien parc national du Canada, est tout aussi beau. Cadre également propice aux excursions pédestres, il est recommandé de pousser jusqu’au lac Louise ou de monter se balader sur un des glaciers (http://www.pc.gc.ca/fra/pn-np/ab/banff/activ/randonee-hiking/lakelouise.aspx). Si la témérité vous pousse encore plus loin à l’Ouest, Vancouver et l’île de Vancouver qui lui fait face méritent quelques jours de visite. Ville cosmopolite dotée de nombreux parcs, Stanley Park (http://vancouver.ca/parks-recreation-culture/stanley-park.aspx) est cependant l’un des sites les plus fréquentés, abritant notamment le renommé Vancouver Aquarium Marine Science Center, résidence de bélugas entre autres. L’île Granville, très animée, constitue un foyer dynamique pour l’art et possède un grand marché couvert. Impossible serait la mission de lister tous les endroits à découvrir : à vous d’ouvrir l’œil et de laisser s’exprimer votre tempérament d’aventurier. Bonne découverte de l’Ouest canadien !

Afin de permettre à un bon séjour à Edmonton, voici quelques points sur les lois d’alcool et de tabac en Alberta. Premièrement, les règlements concernant l’âge de boisson sont très stricts, donc si vous désiré sortir dans un bar, rappelé vous d’avoir une pièce d’identité gouvernementale, telle qu’un passeport ou un permis de conduire. Plusieurs bars scannent les pièces d’identité, donc attendez-vous à devoir les présenter. Deuxièmement, après 1h du matin, il n’est plus permis d’avoir plus de deux consommations d’alcool devant sois. La dernière vente d’alcool par le bar est à 2h du matin, après il n’y a plus de service d’alcool. Troisièmement, pour les cigarettes, il est illégal de fumer à moins de 5 mètres des portes, fenêtres et autres entrées d’un édifice. Bien que simples, ces quelques rappels vous aideront à avoir une belle expérience lors de cette simulation.

Questions d’alcool et de Tabac

Tout un horaire vous attend!

Dimanche 3 août 2014 12h00-19h00 Accueil et check-in 19h00-20h00-Souper 20h00-21h00 Ouverture, présentation du CA et de l’équipe 21h00-23h00 Réunion en groupe politique Lundi 4 août 2014 07h30-08h45 : Déjeuner 9h15-17h00 Session de plénière 17h15-18h10 Réunion des groupes politiques 19h00-21h15 Soirée d’ouverture 22h00 Diffusion du JT en boucle Mardi 5 août 2014 07h30-08h45 Déjeuner 09h00-13h10 Commissions parlementaires 14h35-18h00 Travail en groupe politique 18h30-19h30 Politique de couloir et rédaction des amendements 19h45-20h45 Piquenique 20h45-22h00 Politique de couloir et rédaction des amendements 22h00 Dépôt des amendements

Mercredi 6 août 2014 07h30-08h45 Déjeuner 09h00-17h30 Commissions parlementaires 18h00-21h00 Souper- 23h00 Dépôt des projets de résolution 22h30 Diffusion du JT en boucle

Jeudi 7 août 2014 07h30-08h45 Déjeuner 09h00-17h00 Session de plénière 18h45-19h45 Pique nique 22h00 Dépôt des projets de résolution

Vendredi 8 août 2014 07h30-08h45 Déjeuner 09h00-17h00 Session de plénière 19h45-20h45 Piquenique 22h00 Dépôt des amendements 22h30 Diffusion du JT en boucle 00h00 Dépôt des votes pour les prix SPECQUE

Samedi 10 août 2013 07h30-9h45 Déjeuner-Réunion en groupes politiques 10h00-12h00 Séance de votation 12h00-13h00: Diner 13h05-15h15 Assemblée générale ordinaire 16h00-16h15 Soirée de clôture

Dimanche 11 août 2013 7h00-09h00 Déjeuner 10h00 Check out

Une présidence dynamique Loïc de Fabritus a participé à la SPECQUE à trois reprises depuis 2010 (à Moncton, Luxembourg et Montréal). Successivement secrétaire général adjoint et secrétaire général du Parlement, puis chef du groupe des Verts/ALE, il a été élu deux fois au Comité de gouvernance de la SPECQUE au sein du pôle académique en 2011 et 2012. Il a également travaillé pendant quatre ans comme assistant parlementaire au Parlement européen à Bruxelles ce qui lui a permis de faire partager son expérience de la vie parlementaire réelle avec la communauté specquoise. En tant que Président du Parlement européen, il entend faire preuve à la fois de pédagogie et d’humour, mais aussi de fermeté lorsqu’il s’agira de maintenir la cohérence des débats et le respect du règlement intérieur qu’il connait sur le bout des doigts. Pour sa dernière participation à la SPECQUE, il s’est fixé pour objectif de garantir des débats respectueux, mais aussi dynamiques dans les séances plénières, et de permettre à chacun, quel que soit sa délégation d‘origine, sa langue maternelle ou son groupe politique, d’oser exprimer ses idées, de vivre une expérience passionnante et une semaine riche en émotions. Pour Loïc, une SPECQUE réussie est une SPECQUE où chacun peut être fier d’avoir contribué aux débats et d’avoir réussi à faire passer ses idées grâce à ses arguments et son sens de la négociation, bref une SPECQUE où l’on a envie de revenir !

Chloé a débuté à la SPECQUE à Luxembourg en 2011, en tant que simple eurodéputée, et ne s'est pas arrêtée depuis! Rapporteur à Montréal en 2012, elle est revenue à Rome en 2013 en tant que Présidente de la commission IMCO, et a participé à l'organisation de cette SPECQUE en tant qu'administratrice chargée du recrutement et de l'académique, poste pour lequel elle était déjà en binôme avec Loïc, le Président du Parlement 2014.

Ces différentes postes lui ont permis d’avoir une vision globale de la SPECQUE et de son fonctionnement. C’est la raison pour laquelle elle a choisi de postuler à la Présidence du Parlement cette année. Ravie de faire de nouveau équipe avec Loïc, Chloé a pour ambition d’assurer une communication optimale entre tous les Specquois, et de faire que chacun puisse tirer un maximum parti de sa participation. Même à 9h du matin, et après une nuit de négociations, elle espère que sa bonne humeur saura réveiller et motiver les Specquois pour des débats constructifs et enflammés !

Consultante en lobbying à Bruxelles, et donc notamment auprès du Parlement européen, Chloé connait bien la sphère européenne, et se passionne pour les questions de procédure. À Edmonton en août, elle souhaite que les débats en plénière permettent à chacun de s’exprimer librement, dans le respect des règles du Parlement, et aboutissent à des textes solides. Elle a hâte de tous vous rencontrer et d’apprendre à prononcer vos noms de famille !

Yann Lacoste GUE Jeune homme âgé de 20 ans, né en Colombie-Britannique, mais influencé par sa parenté québécoise et française, il est un fier Franco-Colombien qui prend plaisir à faire découvrir aux autres que les Franco-Colombiens existent bel et bien ! Un jeune impliqué dans le réseau jeunesse francophone du Canada, il participe à sa première simulation parlementaire à l’âge de 14 ans. Depuis ce temps il a parcouru les simulations parlementaires canadiennes avant de s’aventurer à l’édition 2013 de la SPECQUE comme le premier participant provenant de la Colombie-Britannique. Impressionné et charmé par le monde Specquois, il se décide dès la 3e journée de revenir l’année suivante. Il espère pouvoir partager son expérience et son amour des simulations pour aider à créer une expérience amicale, agréable et familiale pour tous ! Plus accoutumé avec la partie théâtrale des simulations, son but est de nuancer la SPECQUE avec ses expériences de l’Ouest-Canadien. Il est également reconnu pour ses talents de réorganisation des meubles dans les églises pour améliorer leur efficacité en rétention de chaleur.

Les chefs de groupes Vos guides pour la semaine

Eléonore Colin S&D

Eléonore Colin est étudiante en sciences politiques et en sociologie au sein du parcours franco-allemand de l’Institut d’Études politiques de Bordeaux et de l’Université de Stuttgart en Allemagne. Elle s’est cette année spécialisée dans un Master Carrières Européennes et s’apprête à vivre sa deuxième SPECQUE, en tant que chef du groupe S&D. Elle a adoré sa première expérience à Rome l’année dernière, l’ambiance de son groupe politique et de sa commission, les rencontres en tout genre, les challenges que l’on cherche à relever et la qualité du travail effectué.

Pour son groupe, elle souhaite à la fois créer une ambiance détendue et agréable et poser des objectifs ambitieux pour que cette semaine soit pour tous, et à tout point de vue, inoubliable. Elle se réjouit d’accueillir une grande diversité de profils, de nationalités, d’idées et de cultures parmi les futurs eurodéputés sociaux-démocrates. Pour Eléonore, le contexte politique de cette année, la montée des extrêmes et les récentes élections au Parlement Européen, rend cette expérience d’autant plus importante et stimulante : les défis sont encore plus grands pour le groupe S&D qui est appelé à toujours plus d’innovation et d’initiative.

Alice Binard-Malaurie Verts/ALE

Diplômée d’un master et d’un LLB en droit franco-anglais, Alice Binard-Malaurie est actuellement étudiante en Master de droit à l’université de Toulouse. Specquoise depuis l’édition 2013 à Rome, elle met cette année à contribution sa passion pour notre simulation en tant que Chef de groupe des Verts/ALE, aux côtés de Guillaume Levesque, chef de groupe adjoint. Responsable de l’antenne jeune d’Amnesty International Toulouse, Alice insiste sur l’importance d’un groupe soudé par des valeurs communes d’écoute, de confiance et de bonne humeur. Elle entend bien promouvoir ces qualités cette année à Edmonton ! Ceci sera facilité par la taille relativement petite de son groupe où chacun pourra exprimer son « esprit vert » tout en laissant aux VALE la possibilité d’occuper une place influente dans les débats. Malgré l’avancée des eurosceptiques aux dernières élections européennes, les Verts maintiennent leur position au Parlement européen et conservent une place de choix pour lutter pour une Union européenne plus juste, plus égalitaire et plus respectueuse de l’environnement. Préparez-vous à une SPECQUE haute en couleurs vertes, gare aux coups d’éclat.

Alexandre Chevassut ADLE Une Europe de la coopération, une Europe qui décide et une Europe qui est proche des citoyens, c’est une Europe qui devient la solution et non le problème ! L’Alliance des Démocrates et des Libéraux pour l’Europe est la force politique qui se bat pour plus d’Europe afin de faire face à la crise économique et financière et aux effets du changement climatique. Au sein du Parlement notre ambition est immense. Notre groupe politique est capable de se donner les moyens d’incarner bien plus qu’un simple rôle d’arbitre entre le PPE et les S&D. Nous représentons une force majeure, centrale, et indépendante dans l’hémicycle. Et alors qu’un vent nationaliste et extrémiste souffle sur les institutions de l’Union, il est encore plus urgent de faire entendre notre voix pro-européenne. À Edmonton, Alexandre Chevassut et Elliot Rouchon, les jeunes chef et chef-adjoint français du groupe ADLE, seront intransigeants dans la défense des droits de l’homme, la protection des consommateurs et le renforcement des normes de santé publique. Derrière eux le groupe ADLE sera à l’origine d’amendements indépendants visant à créer une économie nouvelle plus respectueuse de l’environnement, plus compétitive et faisant appel à des capacités et à des technologies toujours plus innovantes. Enfin les décisions politiques du groupe seront prises collégialement entre tous ses membres, lesquels seront incités et soutenus pour prendre la parole en commission ainsi qu’en séance plénière sur l’ensemble des 4 textes en débat. L’ADLE marquera par sa différence et son dynamisme toute la semaine de simulation !

Laurent Bonfond PPE

Laurent a 25 ans et est belge. Il est actuellement assistant académique au département d’études politiques et administratives européennes du Collège d’Europe à Bruges. Il a auparavant étudié au Collège d’Europe, à l’Université de Gand et à l’Université de Liège. Sa première participation à la SPECQUE remonte à août 2013 à Rome, en tant que député au sein du groupe PPE. C’est désormais dans le rôle de chef du groupe PPE qu’il aura la chance de participer à sa seconde SPECQUE à Edmonton. Il tentera de défendre avec sérieux, fermeté, courtoisie et humour les positions de son groupe au sein de l’hémicycle. Il entend s’investir au maximum dans la gestion et le bon fonctionnement de son groupe afin que chaque membre soit pleinement impliqué dans la simulation. Il se voudra à la tête d’un groupe de députés motivés et énergiques, bien décidés à faire entendre leur voix et à défendre avec conviction leur point de vue. Il fera en sorte de faire profiter au maximum les nouveaux participants de sa (courte) expérience à la SPECQUE.

Marilyne Tremblay ELD

Colorée et spontanée, Marilyne Tremblay est prête à faire trembler les murs du Parlement européen. Chef du groupe politique de l'ELD (Europe, libertés, démocratie), elle est prête à organiser la résistance face à cette Europe impérieuse qui s'avère aveugle, sourde et muette. Le règne de l'accord tacite au sein de la coopération entre les États membres, emprisonnés au sein d'une bureaucratie lourde et coûteuse, est révolu. Il est le temps pour l'ELD de faire sa place, de laisser les Peuples s'exprimer et de reprendre au vol la chère devise des Lumières qui a si bien été mise de côté lors de Maastricht : " la volonté des Peuples à disposer d'eux-mêmes" ! Marilyne Tremblay est également candidate à de la maîtrise en relations internationales à l'Institut québécois des Hautes études internationales. Passionnée de l'Europe et du Maghreb, elle est à la rédaction de son essai portant sur la politique d'externalisation des frontières de l'UE en matière d'immigration clandestine et les enjeux de celle-ci sur le Maroc. Oratrice outrée et enflammée, elle attend avec impatience la Specque à Edmonton ; elle a très hâte de vous rencontrer !

Andres Contreras CRE Après avoir été eurodéputé, chef de délégation et rapporteur du Parlement, Andrés Contreras jouera le rôle de chef du groupe CRE lors de sa quatrième participation à la Specque, à Edmonton. Ce montréalais d’adoption et colombien de naissance étudie présentement le droit à l’Université de Montréal, où il a également fait des études en relations internationales. La formation politique qu’il compte diriger se prépare, une fois de plus, à faire de ravages au Parlement. Fort de l’appui d’un électorat européen de plus en plus eurosceptique et conservateur, le groupe CRE sera tenace dans la défense des valeurs pour lesquelles il a été élu. Article après article, les eurodéputés des autres formations seront renseignés sur les vertus du libre marché, de la rigueur fiscale et de la souveraineté législative nationale. Il sera aussi question de rappeler que le respect de certaines valeurs s’avère nécessaire pour le développement d’une société saine et vigoureuse, notamment par la promotion de l’unité familiale. L’heure est venue de protéger l’Europe du gouverne-maman à la sauce bruxelloise, de son progressisme aveugle et de son gaspillage institutionnalisé. Sans doute, le « filtre CRE » saura se montrer comme le mécanisme le plus efficace en ce sens.

Retour sur les élections

Les 3 leçons des élections du Parlement européen

Par Thomas Pellerin-Carlin

Les 22-25 mai 2014, l’élection du Parlement européen a eu lieu: la deuxième plus grande élection démocratique du monde (après l’Inde, devant les États-Unis). Quelles leçons tirer de ce scrutin ?

Première leçon : la participation aux élections reste basse, mais se stabilise.

En 2014, 43% des électeurs européens sont allés. Beaucoup critiqueront ce bas niveau, y verront même une confirmation de la ‘désaffection des citoyens’ envers l’Union européenne.

Ce 43% est en réalité une bonne nouvelle !

En 35 ans d’élections européennes, c’est la première fois que la participation ne baisse pas, alors qu’elle continue de baisser pour les élections nationales.

Cette stabilisation se site à un niveau bas, certes, mais supérieur à l’élection de la Chambre Etats-Unienne des Représentants (participation de 41% en 2010).

Deuxième leçon : les élections européennes se gagnent et se perdent principalement sur des enjeux nationaux

Depuis la première élection du Parlement européen, en 1979, ces élections sont des élections nationales de second ordre.

Elections nationales, car le débat se structure autour d’une vision purement nationale des enjeux politiques, que ces enjeux soit nationaux et/ou européens. Ainsi, si l’extrême droite du Front National triomphe en France (25% des voix), c’est un peu grâce à une montée de la méfiance des Français vis-à-vis de l’Union européenne, c’est surtout grâce aux faiblesses d’une droite sans chef et paralysée par d’immenses affaires de corruption, et d’un parti socialiste (centre gauche) qui ne convainc pas des électeurs ‘de gauche’ de se mobiliser pour soutenir un gouvernement qui mène une politique qu’ils perçoivent comme étant ‘de droite’.

Par ailleurs, ces élections sont considérées de ‘second ordre’ par les citoyens européens. Les citoyens ont l’impression que cette élection est peu importante, car le Parlement européen a peu de pouvoirs. Les journalistes, qui connaissent mal la réalité européenne, renforcent ce sentiment en posant des questions aux hommes politiques sur des sujets sur lesquels le Parlement n’a aucun réel pouvoir : affaires internationales, défense, laïcité, droit à l’avortement, etc. Enfin, les hommes politiques se désintéressent d’une élection qui offre peu de postes : une élection nationale italienne, c’est 7.000 postes (945 élus et 6.000 collaborateurs d’élus), l’élection européenne en Italie, c’est moins de 300 postes (élus et collaborateur inclus).

Politiquement, lors des élections de premier ordre, nous votons surtout avec notre tête. Cela donne aux primes aux grands partis, ceux qui ont des chances de gouverner. Lors des élections de second ordre, comme les élections européennes, nous votons un peu plus avec notre cœur. Cela donne une prime à des partis populaires auprès de certains électeurs, mais ayant peu de chance de gouverne : la gauche radicale, les écologistes et l’extrême droite. Et cela s’est encore vu cette année où la gauche radicale et l’extrême droite sont les deux seules familles politiques qui progressent.

Troisième leçon : business as usual within the Eurobubble

Le nouveau parlement européen ressemble globalement à l’ancien et la vie politique de l’Union Europénne ne sera pas largement modifiée dans les cinq ans à venir. La droite chrétienne-conservatrice et le centre droit libéral perdent quelques dizaines de sièges. Les socialistes et écologistes restent stables.

Le tsunami ‘eurosceptique’ prédit par les journalistes ne fût qu’une vague, significative certes, mais qui ne renversera rien. Vu l’intensité de la crise économique et de la crise d’identité, leur poussée est très modeste.

En réalité, il n’y a pas plus de ‘eurosceptiques’ en Europe qu’il n’y a de ‘USA-sceptiques’ aux États-Unis. Toutes les droites eurosceptiques représentent environ 20% des voix (ce qui environ le score prévisible du ‘Tea Party’ États-unien s’il se présentait seul aux élections). Ainsi, la différence avec les États-Unis est plus dans le mode de scrutin qui, en Europe, permet aux minorités politiques d’être représentées, là où le système bipartisan américain réduit l’offre politique offerte aux citoyens états-uniens.

Toujours est-il que les ‘eurosceptiques’ resteront largement impuissants, ils ne représentent ‘que’ 25% du parlement et ne peuvent s’organiser au sein d’un grand groupe eurosceptique, car ils sont trop politiquement divisés :

Il y a ceux qui souhaitent une autre Union européenne que l’actuelle, certains souhaitent une Europe qui soit plus sociale (GUE), d’autres une Europe plus libérale et sans protection sociale fournie par l’État (CRE).

Il y a ceux qui s’opposent à toute forme d’Union européenne. Cela va de la droite xénophobe (ELD) en passant par les posts fascistes du Front national Français et les néonazis grecs et allemands.

En termes de décisions politiques européennes, cela se traduit par un ‘business as usual’. Le centre gauche (S&D) et le centre droit (PPE) négocient actuellement pour renouveler leur relation de coopération-compétition. Ces élections européennes n’auront donc pas débouché sur un changement significatif pour les cinq ans à venir.

Le débat du moment à Bruxelles, c’est de savoir qui sera le prochain Président de la Commission européenne (cette sorte de gouvernement européen aux pouvoirs limités). La droite (PPE) a son candidat, Jean-Claude Juncker. Après avoir présidé à la destinée de ce petit paradis fiscal qu’est le Luxembourg pendant des décennies, cet alcoolique et technocrate sans charisme pourrait devenir le premier président de la Commission européenne désigné indirectement par les citoyens européens (comme Stephen Harper est indirectement désigné par les citoyens canadiens). Il s’agirait là d’un pas sérieux vers une UE un peu plus démocratique.

Juncker a déjà été désigné par le Conseil Européen où 26 des 28 chefs d’État et de gouvernement des États membres de l’Union européenne l’ont soutenu. Le 15 juillet, le Parlement européen devrait lui donner sa confiance et le charger de lui proposer une nouvelle Commission européenne qui sera soumise à son vote en septembre.

À long terme, reste l’incapacité du débat politique à se structurer autour d’un axe gauche-droite, tant au niveau national qu’au niveau européen. En France aujourd’hui, comme en Allemagne, au Portugal ou en Espagne hier, un gouvernement ‘de gauche’ mène une politique souvent perçue comme ‘de droite’. En Allemagne, en Belgique, en Grèce, en Autriche les partis de centre gauche et de centre droit gouvernent ensemble. Pour les citoyens déçus, le changement ne semble pas pouvoir venir ni de ‘la gauche’ ni de ‘la droite’.

Beaucoup de déçus se réfugient dans l’abstention. D’autres soutiennent de nouveaux courants politiques, écologistes et d’une gauche ambitieuse. Enfin, un nombre croissant d’Européens soutiennent des partis politiques qui ont su moderniser le message des idéologies racistes, fascistes et autocratiques qui ont pourtant déjà jeté l’Europe dans les ténèbres de la dictature.

Les élections du ca Chaque année, l’ensemble de la communauté specquoise attend avec impatience l’un des moments-clés de la semaine de Simulation, l’élection du nouveau Conseil d’administration qui a lieu lors de l’Assemblée générale. Qui seront élus à la présidence du Conseil d’administration et du Conseil exécutif? de qui seront composés le nouveau Comité exécutif et le Comité de gouvernance ? C’est un moment existant rempli de fébrilité, car c’est à ce moment qu’on demande aux participants, membres de l’association, d’accorder leur confiance à 13 personnes pour gérer l’association durant un an et d’organiser une SPECQUE grandiose.

Chaque année, 13 postes sont à pourvoir. Si tout le monde peut se présenter comme candidat, il est bon de rappeler que s’engager dans l’organisation n’est pas un acte à prendre à la légère. Organiser une édition de la SPECQUE, être Administrateur, remplir le mandat attribué par l’Assemblée générale et s’occuper de la gestion de l’Association demande du temps et de la disponibilité.

Le Comité exécutif fait le plus grand du travail, car il a la charge de préparer la semaine de Simulation de A à Z. Mais les membres du Comité de gouvernance ne sont pas en reste : outre le soutien au Comité exécutif via le “travail en binôme”, le Comité de gouvernance doit également se consacrer a des missions qui lui sont propres comme la gestion de l’association.

Donc... Oui, la SPECQUE est une expérience fabuleuse. Oui, préparer la SPECQUE est également une expérience incroyable. Mais, s’engager dans l’organisation est aussi une expérience très exigeante. Il faut donc y penser et ne pas hésiter à discuter avec les personnes ayant l’expérience du Conseil d’administration avant de poser sa candidature.

Pour poser candidature à un poste du Comité exécutif ou au Comité de gouvernance, il suffit de remplir le formulaire de candidature et le remettre en main propre à la Secrétaire-générale, Marie-Christine ROBERT. Ce formulaire vous sera transmis par courrier électronique en même temps que l’avis de convocation de l’Assemblée générale.

Une candidature ne sera considérée comme valide qu’une fois vérifiée et approuvée par le Bureau de l’Association.

À cette fin, les soutiens à la candidature sont centraux. Toute candidature doit être soutenue par dix membres de l’Association, incluant deux administrateurs actuellement en poste. Si toutes les informations sont complètes et les soutiens acquis, la candidature sera acceptée sans aucun problème.

Les candidatures pour les postes au Conseil d’administration seront ouvertes jusqu’à l’ouverture de l’Assemblée générale. Toute candidature remise après cette heure sera rejetée.

Vous avez la moindre question ? Vous souhaitez vous présenter aux élections sans vraiment savoir ce qui vous attend ? Vous avez des doutes ? N’hésitez surtout pas à questionner les membres du Conseil d’administration actuellement en place. Nous accueillerons toutes vos interrogations à bras ouverts, que ce soit par courriel ou “en direct” à Edmonton !

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Une fois les candidatures reçues, les élections lors de l’Assemblée générale sont la prochaine étape. Durant cette période, l’Assemblée est présidée par un ancien Specquois qui n’est plus membre de l’association, pour assurer l’indépendance du processus. Il est assisté par deux scrutateurs qui n’ont pas non plus de droit de vote. Les élections se passeront en deux temps.

Tout d’abord, il est procédé à l’élection des postes nommés, c’est-à-dire les postes de Président du Conseil d’administration et ceux au sein du Comité exécutif (le Président exécutif et les cinq Vice-présidents exécutifs), dans cet ordre.

Ces sept personnes seront élues à la majorité absolue des voix exprimées, à savoir qu’un candidat devra obtenir au moins 50% des voix pour être élu. Si aucun candidat n’obtient ce seuil, un deuxième tour sera organisé entre les deux meilleurs candidats. Si par contre seul un candidat se présente, il sera élu par acclamation. S’il y a plusieurs candidats pour un poste, chacun devra répondre à une question posée par le Président d’élection. S’en suivra un vote au scrutin qui sera dépouillé par le Président d’élection et les scrutateurs élus spécialement en début de séance.

Une fois le Président du Conseil d’administration et le Comité exécutif élus, ce sera au tour des membres du Comité de gouvernance d’être élus. Rendue à ce stade, la procédure d’élections est un peu différente. Plutôt qu’un suffrage à la majorité absolue, ce sera à la majorité relative que seront élus les Administrateurs non-exécutants, membres du Comité de gouvernance. Parmi les candidats, ceux ayant reçu le plus grand nombre de voix seront élus. Les candidats devront tous répondre à une question du Président d’élection. Une fois tous les candidats interrogés, les membres de l’Association auront l’occasion de voter sur les bulletins de vote qui seront remis lors des présentations. Le dépouillement des bulletins sera alors réalisé par les scrutateurs. Et, juste avant la clôture de l’Assemblée générale, les résultats seront présentés par le Président d’élection.

Il est bon de rappeler qu’une règle de parité entre le Canada et l’Europe est d’application à la SPECQUE, y compris au sein du Conseil d’administration. Suivant cette règle, le Conseil doit être composé d’au moins 5 Administrateurs canadiens et de 5 Adminstrateurs européens. Donc, lors de l’élection des administrateurs du Comité de gouvernance, il est indispensable de s’assurer que la parité est respectée, en regard à la nationalité des personnes qui ont déjà été élues.

Une fois les administrateurs élus et le nouveau Conseil d’administration formé, la première réunion de la nouvelle équipe aura lieu le dimanche matin. La précédente équipe transmet alors tout ce que les nouveaux administrateurs auront besoin pour débuter aussi vite que possible leur travail, les binômes sont alors composés et le Secrétaire général et le Trésorier élus parmi les administrateurs du Comité de gouvernance. Ça y est... la préparation officielle de la dix-huitième édition est lancée!

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Président du conseil d’administration

Le Président est le dirigeant de l’Association. Il préside le Conseil d’administration et toutes ses réunions. Il s’occupe également de la gestion générale et de la supervision des affaires courantes. Il veille à l’exécution des décisions prises par le Conseil d’administration.

Peut être Président, notamment, un Administrateur sortant, un membre ayant cumulé au moins deux participations à la Simulation ou tout membre possédant les qualifications et les compétences nécessaires à l’exercice de cette fonction.

Administrateurs non-exécutants

Ils ont pour mission de s’occuper de la gestion interne de l’Association en conformité avec les principes de la SPECQUE et de contrôler les prévisions budgétaires du Comité exécutif. Via le travail en binôme, les administrateurs non-exécutants soutiennent également les Vice-présidents exécutifs dans leur travail et s’assurent ainsi des avancements constants dans la préparation de la semaine de Simulation.

Parmi eux sont élus le Secrétaire général et le Trésorier de l’association lors de la première réunion du Conseil d’administration.

Comité exécutif

Président exécutif

Il a notamment les missions suivantes :

• coordonner la réalisation d’un rapport d’activités qui sera consigné dans le rapport final d’activités du Conseil d’administration;

• être garant du respect par les membres du Comité exécutif des Règlements généraux et de toutes les décisions et politiques adoptées ou ratifiées par les membres ou le Conseil d’administration ;

• exercer, notamment, tous les devoirs et pouvoirs qui lui sont délégués par le Conseil d’administration ;

• superviser le calendrier des activités en lien avec la Simulation ;

• surveiller, administrer et diriger les affaires courantes du Comité exécutif ;

• soutenir les membres du Comité exécutif dans la réalisation de leurs tâches.

Vice-président exécutif responsable des finances


• assurer la perception des cotisations annuelles; • planifier et réaliser la campagne de

financement; • préparer et exécuter le budget pour le compte

du Comité • préparer les prévisions budgétaires, bilans

financiers trimestriels et états financiers annuels de l’Association.

Vice-président exécutif responsable de la logistique


• établir des partenariats avec les acteurs locaux avec la Vice-présidence exécutive responsable des finances ;

• établir du calendrier annuel de l’organisation logistique ;

• négocier les contrats de service pour la Simulation, notamment l’hébergement, la restauration, les transports et les lieux de travail ;

• préparer l’horaire de la Simulation avec la Vice-présidence exécutive responsable de la surveillance académique.

Vice-président exécutif responsable de la surveillance académique


• assurer la qualité académique de la Simulation ; • encadrer les personnes assumant des postes à responsabilité, à l’exception des médias parlementaires ;

• préparer et procéder au recrutement des personnes assumant des postes à responsabilités ;

• préparer les documents académiques de la Simulation et encadrer la rédaction de ceux produits par les personnes assumant des postes à responsabilités ;

• préparer l’horaire de la Simulation avec la Vice-Présidence exéutive responsable de la logistique ;

• procéder à la mise à jour des documents académiques (SPECQUE pour les nuls, Règlement du Parlement, Guide des procédures, etc.).

Vice-président exécutif responsable des communications


• assurer le porte-parolat de l’Association et les relations presses ; • coordonner la publication des documents d’information de l’Association ; • diffuser toute information pertinente à la poursuite de la mission de

l’Association ; • établir le calendrier annuel des activités de communication, et notamment le

plan de communication de l’Association ; • gérer et mettre à jour de manière régulière le site Internet de l’association, ainsi

que les activités de l’association sur les réseaux sociaux ; • préparer le recrutement, coordonner et mettre en place les différents médias

parlementaires ainsi que leur publication.

Vice-président exécutif responsable du recrutement


• assurer la répartition des membres au sein des divers groupes politiques et commissions parlementaires, conformément à leur représentation au sein du Parlement européen et dans le respect de la diversité des participants (formation, origine géographique, etc.);

• coordonner le recrutement des chefs de délégation;

• encadrer et/ou organiser des activités de formation sur l’Union européenne pour les membres;

• établir le calendrier annuel du recrutement.

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La SPECQUE 2014 n’a pas encore démarré et la ville-hôte de la SPECQUE 2015 doit seulement être officialisée, que nous nous devons déjà penser à l’édition 2016 de la Simulation. Tout président de Comité exécutif ou porteur de projet de ville-hôte vous le confirmera: organiser une SPECQUE requiert deux années de travail. Une année servira à dessiner les grandes lignes du projet, tandis que la deuxième année permettra la concrétisation des projets. La première année sera gérée par un comité de candidatures composé de specquois enthousiasmés par le projet et souhaitant s’investir. La deuxième année sera quant à elle l’affaire du Comité exécutif et du Conseil d’administration, élus comme vous le savez désormais lors de la dernière après-midi de la Simulation.

En 2016, la SPECQUE se tiendra à nouveau au Canada. Edmonton, Québec, Ottawa-Gatineau, Toronto, Montréal et Moncton ont déjà toutes accueilli au moins une édition. Pensez- vous que votre ville d’origine ou votre ville d’adoption possède des reins suffisamment solides pour accueillir la XIXème édition? Si c’est le cas, n’hésitez pas à en discuter autour de vous et à contacter le Conseil d’administration si vous avez des questions sur le sujet. Il n’est jamais trop tôt pour se lancer dans l’aventure!

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écutif

Étudiante à la maîtrise en développement international à l’Université Laval, Laurence Pépin Lafond s’implique cette année pour la quatrième fois au sein de la SPECQUE. Lors de sa première participation à la simulation au Luxembourg en 2011, elle est séduite par l’univers specquois et revient en tant que secrétaire de commission et membre du C.A. pour les éditions 2012 et 2013. Pour cette 17e

SPECQUE, se joindre au comité exécutif est en quelque sorte la concrétisation de son amour specquois. Ayant occupé lors de la dernière édition le poste d’administratrice attachée aux finances, elle entend ainsi mettre à profit son expérience dans ce pôle afin de faire d’Edmonton 2014 un véritable succès.

Laurence PÉPIN-LAFOND

Gabriel TOUGAS

Diplômé d’un Baccalauréat en sciences politiques de l’Université de Saint-Boniface, Gabriel TOUGAS est réalisateur de séries documentaires télévisées, longs-métrages dramatiques et animateur d’ateliers de cinéma. Francophone originaire du Manitoba et vétéran de quinze parlements jeunesse francophones à tous les niveaux au Canada, en plus des SPECQUE 2012 à Montréal et 2013 à Rome, Gabriel veut désormais faire connaître l’Ouest canadien à l’ensemble des Specquois. Il considère Edmonton son deuxième domicile.

Né en Normandie (France), Thomas Pellerin-Carlin découvre le rôle de l’Union européenne lorsque les Français débattent de l’Union européenne, lors du référendum sur la Constitution européenne en 2005. Quelques années plus tard, il intègre l’Institut d’Études Politiques de Lille où il se spécialise en Affaires Européenne et participe à sa première simulation du Parlement européen (EU Live). C’est aussi à Lille qu’il découvre la SPECQUE et y participe d’abord comme chef de la délégation de Lille (2011), puis comme chef de groupe politique (2012). Après un master d’Affaires Européennes de Sciences Po Lille, et un stage au sein du service européen du Premier Ministre Français, il intègre le plus prestigieux institut d’études européennes : le Collège d’Europe de Bruges. Il y contribue à créer la première délégation du Collège d’Europe à la SPECQUE, et participe ainsi à la SPECQUE 2013 en tant que rapporteur et est ensuite élu Vice-Président de la SPECQUE, responsable de la surveillance académique. Diplômé du Collège d’Europe en Juin 2013 (promotion Vaclav Havel), il est aujourd’hui employé par le Collège d’Europe, en tant qu’assistant académique.

Né à Québec en 1994, Samuel Gagnon déménagea dans l’Ouest canadien, en Alberta, en octobre 2003. Samuel est en ce moment dans sa deuxième année d’études en Sciences Politiques au Campus Saint-Jean (le campus francophone) de l’Université de l’Alberta. Dans cette situation de minorité linguistique francophone en Alberta, Samuel développa des habiletés de leadership afin de mieux s’impliquer dans sa communauté. Depuis quelques années, Samuel s’implique activement au sein de la communauté qui l’a formé : en effet, il a été membre du comité organisateur du Parlement Jeunesse de l’Alberta chaque année depuis 2010, et chef de celui-ci pour l’édition 2013, ainsi que Président de Francophonie Jeunesse de l’Alberta depuis Mars 2013, l’organisme porte-parole de la jeunesse albertaine d’expression française et membre de l’exécutif de l’Association des universitaires de la faculté Saint-Jean depuis septembre 2012. Vétéran des parlements jeunesse provinciaux et régionaux depuis plusieurs années, Samuel participa pour la première fois à la SPECQUE en été 2013, et tomba immédiatement amoureux de l’événement. Lorsqu’il apprit que l’édition 2014 se passerait à Edmonton, il ne pouvait pas passer à côté de cette opportunité de pouvoir démontrer la richesse de la communauté de l’Ouest canadien aux participants internationaux.

Thomas PELLERIN-CARLIN

Samuel GAGNON

Benjamin Guinaudeau, est un jeune homme de 20 ans, étudiant en Sciences Politiques à Bordeaux (sud-ouest de la France). Il a découvert la SPECQUE à Montréal en 2012 et ce fut tout de suite le coup de foudre. Ces longues nuits de politique de couloir, ces débats intenses en commission comme en plénière, ces négociations jusqu’à la dernière minute avant le vote, resteront à jamais gravés dans sa mémoire! En 2013, lors de l’édition romaine, il a décidé de s’engager un peu plus en devenant chef de groupe adjoint. Cette expérience fut, pour lui, une nouvelle fois inoubliable et complètement différente de sa première SPECQUE. Il ne s’agissait plus de débattre et de passer une bonne semaine ; cela dépassait son simple intérêt et son objectif était dès lors que ses eurodéputés, ses « bébés » comme il aimait les appeler, vivent une expérience extraordinaire. La logique voulait qu’il continue de s’impliquer encore plus en entrant dans l’équipe organisatrice de la SPECQUE 2014. C’est ainsi qu’il est devenu VP Recrutement. Ses mots d’ordre sont diversité et qualité. La SPECQUE idéale, c’est des participants d’âges, de convictions, de parcours et de cultures différentes, tous unis dans leur intérêt pour l’Union européenne!

Emanuelle BOUTIN GILBERT

Benjamin GUINAUDEAU

Emanuelle est une étudiante au Baccalauréat en Communication, rédaction et multimédias à l’Université de Sherbrooke. Elle est originaire de l’Abitibi-Témiscamingue, région éloignée du nord du Québec. Elle n’a pas froid aux yeux et n’hésite pas à s’impliquer dans ce qui la passionne et la motive. C’est lorsqu’elle est entrée à l’Université en Droit qu’elle a connu la SPECQUE. Elle fut d’abord eurodéputée à l’édition qui s’est déroulée à Luxembourg, puis Rédactrice en Chef du PerSPECQUEtives à l’édition de Rome. C’est avec plaisir que, pour cette édition, elle a joint l’équipe organisatrice à titre de Vice-Présidente exécutive, responsable aux communications. Elle pourra ainsi contribuer à la réussite de cette première édition dans l’Ouest canadien en apportant ses nombreuses connaissances dans le domaine des communications et des médias. Les communications étant en constante évolution, elle s’est donnée comme défi de rebâtir les communications de l’organisation en les rendant plus dynamiques, plus jeunes et plus attrayantes. Elle souhaite ainsi communiquer son amour pour la SPECQUE, pour la découverte, pour la culture, pour la justice et pour la politique européenne.

Edmonton vous attend!

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Bulletin no. 4

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