BIENVENUE A Mohamed El JarimPERFORMANCE U n parc d’une trentaine de Multi-fonctions déjà en...

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BIENVENUE A Mohamed El Jarim L’expert en monétique rejoint le groupe Interface Infogérance des éditions INTERFACE A L’OUVRAGE CHEZ Eneo P.3 Cabling en haute mer NOS EQUIPES ASSURENT SUR LES PLATEFORMES DE PERENCO P.4 Prévoyance sociale AVIS AUX SALARIES NEGLIGENTS ! P.7 N° 003 • JUIN 2015

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BIENVENUE AMohamed El JarimL’expert en monétique rejointle groupe Interface

Infogérance des éditionsINTERFACEA L’OUVRAGECHEZ Eneo P.3

Cabling en haute merNOS EQUIPESASSURENT SURLES PLATEFORMESDE PERENCO P.4

Prévoyance socialeAVIS AUX SALARIESNEGLIGENTS ! P.7

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Benoit MekonDMC

ce n’est plus une vaine promesse : organiser la montée en compétences de ses collaborateurs est devenu un élément incontournable de la stratégie d’Interface. Une impérieuse nécessité,

parce que nous voulons envisager l’avenir avec sérénité.En l’espace de quelques mois seulement, cadres et agents du groupe, techniciens et commerciaux notamment, ont bénéficié de formations diverses : IBM, monétique, Lexmark, Canon, Microsoft, etc. Pour Martin Nyamsi, président et CEO d’Interface, ‘‘c’est un investissement de long terme. Former nos collaborateurs est un enjeu stratégique, notamment parce que nous progressons. Ce capital humain est le fruit d’investissements immatériels qui permettent d’accompagner les changements, de les encourager et d’adapter les compétences aux enjeux qui nous contraignent en même temps qu’ils nous ouvrent de nouveaux horizons’’.Les connaissances accumulées dans notre entreprise, qu’elles soient acquises par la voie de la formation professionnelle continue ou par l’expérimentation, sont donc devenues des ressources stratégiques et le véritable capital de notre entreprise. L’idée que la création de valeur repose avant tout sur l’investissement dans la connaissance est plus que jamais une réalité au sein de notre groupe qui n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. Au cours de la récente réunion de coordination, les cadres dirigeants ont souhaité aller encore plus loin : proposer des apprentissages à tous les salariés qui leur permettent de s’adapter aux évolutions du travail, aux orientations stratégiques de

l’entreprise, à un secteur d’activité ou au monde du travail en général. N’est-ce pas la rapidité des évolutions technologiques et des attentes du marché qui rendent par ailleurs urgente la mise à jour des compétences qui ont manifestement besoin d’être complétées. Il est cependant important de relever que la formation professionnelle continue seule ne suffit pas. Le CEO n’a de cesse de le répéter, d’autres méthodes d’apprentissage comme l’auto-formation, le transfert de compétence, la formation de groupe ou encore le tutorat déjà expérimenté au commer-cial, doivent eux aussi avoir droit de cité. Et c’est le lieu de rappeler que les décisions prisent au cours de la récente réunion de coordination vont toutes dans le sens de renforcer la formation, la collaboration et la communication au sein de nos équipes. Tenez par exemple : Gouvernance des projets : tenir systématiquement une réunion de pré-cadrage en interne avant le démarrage de tout projet ; Management : chaque Direction et/ou service est tenu d’organiser une réunion hebdomadaire de coordination ; Infogérance : Messieurs Serge Kassi, Benoit Mekon et Lionel Tchankoue constituent le Comité chargé de formaliser dans le but d’industrialiser l’offre d’externalisation des éditions (MPS, BPS, SPS) ; Stratégie commerciale orientée solutions logicielles : procéder à la segmentation de l’offre logicielle, organiser à l’intention des commerciaux des campagnes IEC sur notre offre logicielle ainsi que des ateliers de training sur la stratégie de vente de solutions logicielles. Qui vivra verra, a dit le sage.

B.M.

Formation professionnelle continue, Auto-formation, Transfert de compétence, Formation de groupe, Tutorat : l’heure de la révolution a sonné !

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INFOGERANCE DES EDITIONS Interface à l’ouvrage chez Eneo

CABLING EN HAUTE MER Nos équipes assurent sur les plate-formes pétrolières de Perenco

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Un parc d’une trentaine de Multi-fonctions déjà en exploitation. Début 2015, Interface et Eneo s ignent un contrat re lat i f au d é p l o i e m e n t d ’ u n e s o l u t i o n

d’infogérance des éditions au sein du groupe multinational qui assure la distribution de l’énergie électrique au Cameroun. Le projet vise une externalisation complète, avant fin 2016, de la mise en place, la gestion et la maintenance du service édition au sein d’Eneo. Autant dire que dans un environnement de plus en plus compétitif et en constante évolution,

les entreprises, pour s’adapter tout en conti-nuant d’innover, doivent relever de nombreux défis dont celui du ‘‘contrôle et de la maîtrise des coûts financiers’’. Parmi les choix stratégiques opérés au sein d’Eneo, il y a l’adoption des nouvelles technologies pour moderniser la production et la gestion des éditions gage de maîtrise des coûts d’impression, de sécurisation des informations et de responsabilisation des utilisateurs. La solution d’infogérance des éditions que nous avons déployée chez Eneo répond à ces pré-occupations. Elle est bâtie autour de Lexmark

Managed Print Services (MPS), qui intègre une approche tridimensionnelle : le Hardware (Multifonctions de la gamme laser monochrome et couleur de format A4 et A4/A3 ; le Software (LPM - Lexmark Print Management : solution de gestion de la sécurité, des habilitations et de la confidentialité des documents et LFM - Lexmark Fleet Manager : solution de gestion du parc d’imprimantes qui permet entre autres de quantifier le coût total de possession des péri-phériques ; enfin les Process (une combinaison de services, de solutions personnalisées et d’expertise permettant d’augmenter l’efficacité du service édition).Le contrat d’infogérance des éditions signé avec Eneo s’étend sur tout le territoire national camerounais. Rendu à ce jour, nous avons déjà installé une trentaine de Multifonctions mana-geables qui sont disposées dans les villes de Douala, Limbe et Edéa. Elles sont toutes gérées depuis le siège (Koumassi) via un serveur d’impression dédié. Conformément au contrat, nous disposons également d’une ressource en régie sur le site de Koumassi pour le monitoring de la solution et l’aide aux utilisateurs. Côté collaboration, les services Network, System, Helpdesk… d’Eneo avec lesquels nous sommes amenés à travailler dans le cadre de ce projet sont en grande partie constitués de jeunes dynamiques, disponibles et compétents. Toute chose qui favorise une bonne ambiance de travail et garantie l’atteinte des objectifs d’un taux de disponibilité de 99% du service édition. Un défi à la hauteur de la réputation du N°1 de l’info-gérance des éditions au Cameroun.

Lionel Tchankoue et Gérard Doube

Du 22 avril au 10 mai, 4 de nos ingénieurs et techniciens ont sé-journé en haute mer, pré c is ément s ur les

plateformes pétrolières du groupe Perenco (Perenco offshore - Ebome et L obe) . I l s ’ag it de B er nard Tchamko (chef de mission), Blaise Tchamokwein, Martial Essome et de Rico Tankeu. Leur mission : ‘ ‘Revamping du câblage cuivre existant et nouvelles installations’’. Plus prosaïquement, il était question de remettre en conformité le câblage logique existant et de refaire de nouvelles installations. Autant la réalisation de tels travaux sur terre ferme peut ressembler à une balade du dimanche pour nos techniciens outillés et expérimentés, autant réussir le même exploit sur des plateformes en haute mer n’est

pas une sinécure, loin s’en faut. De retour de leur périple, nos techni-ciens évoquent certaines difficultés, notamment, les opérations d’em-barquement et débarquement du boardlanding , l ’inhalation de certaines substances auxquels l’on n’est pas habitué, les chemins de câbles dans des espaces confinés, l a m a nip ul at ion de s c i rc u i t s d’alimentation électrique de très forte puissance, etc. Selon ces derniers, il fallait bien compter avec tout cela et bien plus. Ils ajoutent cependant que grâce aux exigences HSE du groupe Perenco, particulière-ment strictes, ‘‘nous avons pu mener à bien nos travaux, aucune incidence n’a été signalée’’. Au moment de débarquer le lundi 10 mai, le chantier était réalisé à hauteur de 92%. Il ne reste plus qu’à finaliser les tests de réflectométrie

et étiquetage des points câblés. Toute chose qui sera fait lors de la réception des travaux, assurent nos techniciens. Envie d’y retourner

au plus vite ? Les techniciens d’Interface n’ont décidément pas le mal de mer.

Stéphanie Eloumba

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US BIENVENUE A MOHAMED EL JARIM

L’expert en monétique rejoint le groupe Interface

De p u i s a v r i l 2015, Mohamed El Jarim est C o n s u l t a n t en ‘‘payment

systems’ ’ chez Interface. Il coordonne notamment toutes les opérations de support dans nos filiales en Afrique, définit les normes de qualité de services rendus aux clients, assure la for-mation et le management des équipes techniques dans son domaine et l’évaluation des processus d’assistance. Du haut de son imposante stature, très discret derrière ses lunettes, Mohamed El Jarim, a plutôt des allures d ’un basketteur de la NBA, mais là s’arrête la comparai-son. Diplômé depuis 1988 de l’Institut Supérieur de Génie Electrique, option informa-tique, Mohamed débute sa carrière comme ingénieur de maintenance ATM chez Nixdorf Computer au Maroc, son pays d’origine. Trois ans plus tard, il rejoint l’Amé-ricain NCR (National Cash Register) où il met ses com-pétences à disposition en tant que Support technique spécialiste. Il y passera une dizaine d’années. En 2002, il retourne chez son premier employeur, la compagnie allemande Nixdorf qui est devenue entretemps Wincor/Nixdorf, où il évolue et gère plusieurs projets pour le compte de différents clients sur les Guichets et Distri-buteurs Automatiques de banque (GAB / DAB), serveurs et applicatifs monétiques.

Quand on lui demande ce qui le motive dans ce métier, il répond sans hésiter, la diversité professionnelle et l’ouverture aux autres : ‘‘ je m’épanouis dans ce que je fais, car je suis en interaction directe avec des personnes de cultures et d ’origines diverses, ce qui me donne aussi l’occasion de traiter de sujets techniques à la fois spécifiques et variés’’. Selon Mohamed El Jarim, travailler dans ces conditions implique également de rester cohérent avec les équipes qu’on manage, ce qui induit nécessairement beaucoup de temps en termes de commu-nication. ‘‘Je me dois d’être communicatif et persuasif ’’, soutient-il. Tout comme il affirme rester attentif aux nouvelles technologies et se former en permanence p o u r f a i re é v o l u e r s e s connaissances.Côté jardin, c’est dans des activités sportives comme le football et le basketball que Mohamed aime se ressourcer. Po uq uoi ne pa s c ro i re ce fervent supporter du FC Barcelone qui consacre aus-si son temps libre au théâtre et au cinéma. Il est également passionné de voyages, d’in-formatique et d’internet. Père de deux enfants, un garçon informaticien et une fille ac t ue l lement en s t a ge en France, Mohamed est de confession musulmane, il aime consommer du sprite et du tonic.

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E LEXMARK SOLUTIONS PLATFORM Formation de mise à niveau de nos équipes techniques et commerciales

Interface s’affiche à la 4ème édition des journées de sensibilisation sur les SI de l’UCAC

Du 0 4 a u 1 5 m a i , n o s é q u i p e s techniques et commerciales ont à nouveau eu l’occasion d’enrichir leur connaissance et maîtrise des pro dui t s de no tre par te n aire

Lexmark. C’était à la faveur d’une formation dispensée par Dominique Zimmer, Lexmark Solutions Specialist, qui a fait le déplacement de Douala et Yaoundé pour la circonstance.Autant dire qu’avec une demande sans cesse croissante sur nos marchés des solutions de gestion des éditions et de gestion des contenus d’entreprise, ainsi que l’évolution rapide des technologies dans ces deux domaines respectifs, la mise à niveau des équipes techniques et commerciales s’avère nécessaire si l’on veut faire des vieux os dans ce marché. Pour la Direction Générale d’Interface, qui a fait de la formation professionnelle continue un de ses leviers de performance, cette démarche s’inscrit en droite ligne de notre volonté d’apporter à nos clients le meilleur accompagnement possible, aussi bien en tant que prescripteur que fournis-seur de solutions technologiques. Sans doute rai-son pour laquelle ladite formation s’est déroulée en deux phases : un volet exclusivement réservé aux commerciaux, et un autre pour les équipes techniques (ingénieurs expérimentés d’une part et techniciens non expérimentés d’autre part).Avec les équipes commerciales, l’on a surtout parlé de Gestion Electronique de Documents (GED), ce procédé qui vise à organiser et gérer l’acquisition, le traitement et le stockage des documents et qui permet ainsi d’apporter des réponses aux problématiques de la recherche, du

workflow, de la conformité, de la sécurité et de la traçabilité. En effet, l’actualité plus ou moins ré-cente de notre partenaire Lexmark qui a acquis, après Perceptive Software en 2012, une deuxième entreprise spécialisée dans les logiciels de gestion de contenus, en l’occurrence Saperion, commandait cette mise à niveau de nos commerciaux désormais édifiés sur l’ensemble du portefeuille produits ECM/GED de Lexmark. Quant aux équipes techniques, l’exercice a semblé un peu plus complexe. Les techniciens non expérimentés ont d’abord eu droit à une présentation générale des solutions Lexmark avant de rentrer dans le vif du sujet qui a consisté à une mise en situation réelle avec la création d’un environnement test s u r l a s o l u t i o n L P M (Lexmark Print Management). Au menu de cet

exercice : le déploiement de la solution, l’évalua-tion des problèmes et difficultés rencontrés, ainsi que leur résolution. Ce fut l’occasion pour eux de découvrir et de se familiariser avec cette solution. Pour les ingénieurs expérimentés, la formation fut essentiellement pratique avec l’implémentation des solutions embarquées du LPM, la mise en place d’une architecture en cluster de la solution, ainsi que la mise en forme du full report. Manifestement ces deux semaines de formation ont semblé courts pour nos ingénieurs expéri-mentés qui tiennent à satisfaire leur soif de maîtriser d’un bout à l’autre les méandres de la solution LPM. Résolution a donc été prise de reprogrammer une autre séance.

S.E

Placée sous le thème ‘‘Gestion Intelligente des Données, Gage d’Effi-cacité dans un Environ-nement Concurrentiel’’,

la 4ème édition des journées de sensibilisation sur les Systèmes d’Information de l’université Catho-

lique d’Afrique Centrale (UCAC) s’est tenue les 12 et 13 Mai dernier au campus d’Ekounou, dans le prestigieux amphithéâtre Denis Maugenest, ainsi qu’au Hilton hôtel de Yaoundé. Comme pour les précédentes éditions, l’évènement était organisé par les étudiants de

master 1 et 2 de la filière Manage-ment des Systèmes d’Information, sous le parrainage du ‘‘club DSI du Cameroun’’.A l’image de l’édition précédente, ce grand moment de rencontre entre étudiants , enseignants p ro fe s s i o n n e l s e n S y s t è m e s d’Information, cadres et promoteurs d’entreprises, a largement mobilisé autour des problématiques liées aux Systèmes d ’Information, notamment leur importance stra-tégique en termes d’optimisation de la performance et de création de la valeur. Y ont notamment répondu présents : des partenaires institutionnels tels le Ministère des Finances (MINFI), le Minepat, le Minpostel, mais aussi les entre-prises du secteur des NTIC tels que Microsoft, CAC, et bien sûr le Groupe Interface. Dans la prestigieuse salle Bouma 2 du Hilton hôtel, cadre tradition-

nellement choisi par l’UCAC pour abriter la cérémonie de diner - conférences - débats, de nombreux sujets ont fait l’objet de présenta-tions dont ceux du groupe Interface qui a planché sur ‘‘la Gouvernance des Systèmes d’Information’’ et ‘‘la Conduite de Changement dans les projets IT’’. Emmenés par le Secrétaire Général du groupe en personne, M. Anatole Nkolo, les deux sujets ont largement retenu l’attention de l’auditoire qui en re-demandait. En effet, le SG a su, de l’avis des participants, contextualiser la problématique de la gouvernance des SI au sein de nos organisations et démontré l ’ impor tance de l’alignement de cette gouvernance à la stratégie de l’entreprise. Nul doute que les participants et ceux qui en ont été informés ont désormais une idée précise du niveau et de la qualité d’expertise délivrée par notre organisation.

Germain Ntouba

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PREVOYANCE SOCIALE Avis aux salariés négligents !

Achaque recrutement ou changement d’en-treprise, il y ’a une question qui nous est toujours posée : êtes-

vous déjà affilié à la CNPS ? Beau-coup d’entre nous le font par réflexe. Mais connaissons-nous seulement sa réelle importance et la portée de l’immatriculation d’un employé à la CNPS ?La Caisse nationale de prévoyance sociale (CNPS) est un établissement public camerounais doté de la personnalité juridique et jouissant de l’autonomie financière. Elle est placée sous la tutelle du ministère du travail et de la sécurité sociale et administrée par un Conseil d’Admi-nistration composé de représentants des travailleurs, de représentants des employeurs et des représentants des pouvoirs publics. La Cnps est placée sous l’autorité d’un Directeur Général, assisté d ’un Directeur Général Adjoint. Ils sont nommés par décret du Président de la République.La caisse nationale de prévoyance sociale est chargée d’assurer dans le cadre de la politique de protection sociale du gouvernement camerounais, le service des prestations aux tra-vailleurs assurés et à leurs ayants droit. À ce titre, elle couvre trois différentes branches de prestations réparties ainsi qu’il suit :- Les prestations familiales (PF): allocations familiales, prise en charge du congé de maternité pour la femme

salariée, frais médicaux liés à la gros-sesse, frais médicaux de maternité, allocations prénatales, etc.- Les prestations de vieillesse, d’invalidité et de décès (PVID) : pension ou allocation de vieillesse, pension de vieillesse anticipée, pension d’invalidité, pension ou allocation de survivant, allocation de vieillesse pour usure prématurée, etc. - Les risques professionnels (RP) : qui sont des prestations d’accident de travail et de maladies profession-nelles, et qui sont divisés en deux groupes :

• Les prestations en nature : frais de prothèse et d’orthopédie, frais de rééducation fonctionnelle, frais de réadaptation ou de reconversion professionnelle, frais de transport de la victime, frais de transport et de séjour de l’accompagnateur le cas échéant, frais funéraires, etc.• Les prestations en espèces : indemnité journalière, rente d’incapacité permanente, allocation d’incapacité, rente de survivants, etc.Il faut préciser que chaque presta-tion est assujettie à la constitution d’un dossier, dont la conformité doit être au préalable validée au niveau des services de la CNPS a u m o m e n t d e s o n d é p ô t . Notons que seuls les salariés dont les entreprises sont en règle avec la CNPS peuvent avoir accès aux prestations de celle-ci. Seuls les

travailleurs déclarés à la CNPS, qui perçoivent en rapport avec leur période réelle d’activité un salaire

peuvent prétendre aux prestations servies par cet organisme. Et, en étaient exclus de fait, les chômeurs, les salariés du secteur informel et l’auto-emploi. Qui au-jourd’hui peuvent s’immatriculer grâce à l’assurance volontaire, qui est opérationnelle depuis Août 2014.

Pour accomplir sa mission, il convient de rappeler que la principale source de financement de la CNPS reste les cotisations salariales et patronales que les employeurs reversent men-suellement. Le système de sécurité sociale Camerounais est basé sur la solidarité; ceux qui travaillent cotisent pour ceux admis à faire valoir leurs droits à la retraite.Aussi L’employeur est soumis à la double obligation de déclarer (imma-triculer) du personnel qu’il emploie, et de reverser l’intégralité des cotisa-tions sociales dues à ce titre.L’affiliation des salariés est obligatoire pour tout employeur assujetti et à cet égard, il doit faire parvenir à la CNPS les demandes d’immatriculation de son personnel dans les huit (8) jours qui suivent leur embauche.L’immatriculation de l’employé est l’opération administrative qui sanc-tionne l’inscription de l’employé à la CNPS. Elle se déroule dans le centre de prévoyance sociale le plus proche et se concrétise par l’attribution d’un numéro matricule.L’employé quant à lui peut désormais vérifier l’état de ses cotisations en ligne sur le site officiel de la CNPS, à défaut de faire une requête à son employeur pour en avoir l’état. Ce dernier ayant l’obligation de les lui fournir si le besoin a été émis.A bon entendeur…

Laurent Nyamsi

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ils se sont dits oui

Naissance

Le 14 mai dernier, Mr François FONGANG, en service au support soft, a pris pour épouse Colette MEYOU à Rockville, dans l’état du maryland aux Etats Unis. Nous leur souhaitons un heureux mariage !

Le 06 mai venait au monde Junior NGONGANG fils d’Alain NGONGANG, Head of sales à Douala. Toute la famille se porte bien. Bonne arrivée à ce bout de chou.

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Comment organiser sa journée de travail de manière efficace

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Organiser sa jour-née de travail, ce n’est pas établir un agenda, un pense-bête, un

« post-it » mais plutôt de créer un réel outil d’organisation et de planification de votre travail. Au quotidien, cette check-list perfectionnée vous permettra en amont, de vous concentrer chaque jour sur les actions à mener et , en aval de vous «obliger » à planifier et à penser à exécuter les tâches inscrites.

Une utilisation efficace de la « To-Do List »Il ne s’agit pas simplement

d’écrire une liste des actions à faire. La « to-do list » implique un état d’esprit, une démarche constructive et volontariste des act ions professionnel les à mener au cours de la journée, d e s p l u s i n f i m e s a u x p l u s importantes.L a « to -do l i s t » do i t ê tre opérationnelle à court terme, sans objectifs mais avec un souci de détailler les activités.Il est ainsi important de fixer, non pas des objectifs, mais des actions avec des détails concrets et non des concepts vagues. Les actions doivent être des obliga-tions de réalisation et non de simples intentions. Faites donc attention aux verbes que vous

utilisez ; p a r e x e m p l e n e d i t e s p a s « chercher un fournisseur » mais « trouver un fournisseur ».Cette to-do list concentre les activités que vous devrez appliquer sur une mission précise avec des délais à respecter.En effet, dans le cadre profes-sionnel notamment, mais aussi dans une moindre mesure par-fois, au plan privé, il n’est pas quest ion de « fa i re » s ans la notion de « en combien de temps et pour quand ».Il est nécessaire d’être pragma-tique, de hiérarchiser les tâches à accomplir en terme de délais à respecter et de possibilité de réalisation à la fin du délai fixé

(heure, journée, semaine, mois). Enfin, ces actions seront plani-fiées.Aussi , i l est indispensable d’énumérer les actions à accom-plir, de lister les éléments nécessaires à la réalisation des tâches, de désigner les personnes responsables si le travail se fait en équipe, de fixer des délais et, enfin, d ’acter les résultats obtenus.

Optimisez votre journée de travail La « To-Do List » peut se faire maintenant par informatique, ordinateur ou assistant électro-nique quelconque mais si vous êtes plus à l’aise avec le format papier, libre à vous de choisir ce qui vous convient le mieux.Toutefois le format numérique offre 4 possibi l i tés fond a-mentales d’organisation et de planification :• la facilité de la rédaction des différents éléments ;• la possibilité de modifier facile­ment les prévisions ;• le partage instantané de la « to-do-list en équipe travaillant sur le même projet ou au sein de la même activité ;• l’utilisation de logiciels qui facilitent l’adaptation des to-do list par activité et projet.Le contrôle des tâches effectuées s era p er m anent e t s t r i c t , notamment le suivi des résultats obtenus et les corrections et a ju stement s à fa i re p o ur améliorer les travaux réalisés.

Source : veronique-jean.com

Directeur de la Publication :Martin NyamsiRédacteur en Chef :Benoit MekonSecrétariat de Rédaction :Stéphanie Eloumba Editorialistes :Martin Nyamsi, Anatole Nkolo, Serge Kassi, Benoit MekonOnt collaboré à ce numéro :Germain Ntouba, Lionel Tchankoué, Gerard Doube, Laurent Nyamsi, Bernard Tchamko, Stéphanie Eloumba, Sabine Tchoumba

Réunion de coordination

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