Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits...

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Les SpoxtgVELODROME DU BAZACLE

Le championnat départemental réservéaux dames, compris dans /e prograinme dedaréunion du 22 mai, s'annonce comme par-timilièreineut intéressent à en juger PerEmpressement que mettent os gentilles tou-dousaines a vouloir, Mut comine nos grandsedaeks, faire connaissance avec 5 ciment,

ige:tes, les virages relevés à 60 p. 100 n'ontP. l'air de leur faire peur. Mme Pagés a lenuméro 1 sur la liste d'engagement ; vien-

ent, ensuite Mlle Thélêne, toutes deux domi-ciliées rue des Braves (nom prédestiné)Mme Lehille, du quartier du Pecb a te nu-méro 3. A qui maintenaM lu numéro 4.,

Dans l'épreuve pour fillettes et garçons.sent engagés MM. Casimir Costes et Paris.

4 ans.Repliens que celle-ci est un handicap

où les distancns à rendre seront °Meulées-ferres ni,

PELOTE BASQUEC'est par une splendide partie que va s'ou-

vrir- à Toulouse la saison de Pelote Basque.Le dimanche 15 mai et le lundi El niai, se

disputera sur la fronton de Croix-Dauradechampionnat de Toulouse entre une &lui-

pe du Sport Athlétique Bordelais et uneéquipe du Cercle Basque de Toulouse.

Ce championnat, qui fut gagne l'année dor-Mère par l'équipe toutonaine M. qui obtMt

ês du public sportif uu succès salis précalmit -dans les annales de notre cercle, nenianuera ose d'attirer un publie nombreux,

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LES 311SERES

r_NFANTS TROUVÉSPar Eugène SUE

recOnnus mon ancien maître.., la Le-

Une sorte de finyaur rétrospective melit ou instant fi...sonner, surtout lorsquej'eus remarqué les profondes cicatricesd'une large brûlure qui. s'étendait depuisle bas de la joue jusqu au front, brûluresans doute occasionnéc par l'incendie deta voiture nomade allunté par Bamboche;la figure de /a Leyre,ae était toujours im-berbe, blafarde et sardonique. Il me Pa-rut à peine vieilli; seulement, au lieu deporter seu cheveux à la chinoise, il lerportait coupés très ra, et en bros.e, ee quichangeaib peu l'aspect de sa phpnuooiO-

te e pus matrriser une certaineetinot'ion en présentant La lettre de Robertde Maruull; mais je ne ressentais pour lebourreau de mon errance aucune hainepersonnelle, m cela 'motus dire; c'était uumélange de dégoût, de mépris et dImr-lieur qui me soulevait le cur; j'auraisvoulu, par un sentiment d'équité, voir ce

livré à toutes les,rigueurs des7on; mais j'aurais cru me souiller enexerçant sur lui de violentes représailles,que rua jeunesse ma force nt mn résolu-t.. ...tut rendues faciles.

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avide d'assister h volnouvelle lutte entreva dm5 villesL'équipe bordelaise nous arrive connu,

sée d'excellents joueurs. bien eultémeursceux qui nous avaient éht opposes l'aiméedeimiere, raille pourrait bien que notre so-ciété oit de la peine acm egatrer une nou-vellevictoi.

La partierese jouera en deus manches de

00cli=e'ertadouuiémeTer:11roù une troisième partie serait necessailu,elle se jouerait le /undi en 30 poinLs b lasine de /a deuxième manche.

Voici la coinposition de l'équipe borde-laise

Arrière Arnaud Ririgovem le ceffibre ce-1 que l'on a pu applaudir maintes fois à'o sur notre fronton I avant-gauchei

De Sonnevil.,. dont les Toulousains pourrontpour la pramére fois appreeier le jeu élé-gant et impeccable ; avant droite : Darmen.&ail, excellent buteur.

Equipe toulousaineArrière Louis Ugaate, un des meilleurs

arrières de Fran. I avantgauche Ceuta-gilet une ancienne oonnausance qui, Pandernier, obtint un grand sin,ces contre lesentres d'Elbée avant-Msiito dem Canuyt,qui se classe au nombre des trois ou quatrebons droitiers du pays basque.

Avec de tels éléments, le champ ouest deToulouse ne peut obtenir que le plus grandsuccès.

rteJ..T.'reel,Vtroreaneent:tem, d'une parue de pelote à. main nue.

Premières Morgues

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NOUVEAUTESEICLUSIVE3

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TON DU 14 MAI 1011) 175 Avant que la boutique fût éclairée, Jrro étais tenu à l'écart, et dans l'ombre,dans une espece de renforcement formepar la baie de la porte de l'arrière-bouti-que; la Levrasse n'avait donc pas jusqu'a-lors remarqué ma présenee; aussi, a mavue, il recula d'un pas, et dit à. la vieillefemme d'un air surpris et contrarié

D'On diable smit-ii ? Il était donc là ?Et moi qui, tout à l'heure, me croyais enf mutile !

- Comment! reprit la vieille, vous nel'avez pas aperçu ? Moi, je croyais quevous le gardez exprès pour la lin.

La LEVEUESE hausse /es épaules, frappadu pied et me dit en m'examinant avecattention

- Qui êtes-vous? d'où venez-vous?que voulez-vous

- Monsieur, je viens vous apporter unelettre de la part de M 10 comte Robert deMareuil.

A ce nom, une vive satisfaction se pei-gnit unir les traits de :a, Levrasse, et il une

- Donnez... donnez cette lettre.., jem'attendais à la recovoir hier.

Après avoir lu lo ieltre que je Mi don-nai, et dont le contenu sembla lui plairebeaucoup, il me dit avec un accent d'ex-trême 1:nouvelle..

- Mon garçon, vous direz à M. le comteRobert de Mareuil que j'aurai l'honneurd'être chez lui demain matin sur les dixheures, ainsi qu'il le désire.

Puis /a Levrasse m'ouvrit fort. Poliment/a porte de la boutique soi .me répétant

Demain, 'it-dix lidultes... ne l'oubliezpas, mon ami, je serai chez M. le comteRobert de Mareuib.

de sortis de lu boutiqUe de la Les-russe

Le Maid à mains nues. sans provoquer autanturenummilasme que le jeu u Meera na le cédeen rien ce dernler, et carrune lui, I intéresse

elecruel"Serit'len- les sporlimen telegens et ted'apprécier et de comparer les

Ge sue deux équipes du derjoueront le dimanaie a main

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Je n'en pouvais douter, Bamboche avaitété l'auteur ou le conmlice de bien basses,de bien coupables artiens... pourtant je nesentais pas diminuer mon attachementpour lui. Il se mêlait à cette amitié unesorte de pitié douloureuse, car j'avais ététémoin des sincères velléités de retour'vers la hies aurquelles avait souventobéi Bamberhe ; je ue sais rbtel vaguo es-poir me disait que mon influence sur cet.nature énergique 1tn serait peut-20m sa-

Le MIDI SoCiALISTE

lcusain se courra lundi 10 mai, 3 beur.do ',Près-midi. 51 se dianut,r. Pan. équinede trois hommes sur les élneuveeIO% 400, 800, 2.000 Moines plat, 110 mètreshaim, saut en longueur et hauteur avecPieu saut la perche, lancement du poids.

Voici la composition de l'équipe qui re-présenMra lundi M C. A. Bêglais- «IO mètres, Dumartin Manie, Donnadieu.

400 mètres, Martin, Dedieu, Mumartin.800 mètres, Giraud, Dedieu Salan.2.000 MB., Giraud, Balati Raufasty.110 métres haies, P. Lagarde, Donnadieu,

Martin.. Saut en hauteur, Martin, P. Lagarde, C.

Lagarde.Saut en longueur, Dumartin, P. Lagarde,monPerche, P. Lagarde, Garou, Dedieu.Poids, Estève, Dennadieu Saron.L'étoile de ce tram est P: Lagarde, cham-

pion de France 1909 du saut à la perche, qui,entouré do tous ses camarades dent les onmssent très connus en athlétisme, forme cetteredoutable équipe qui, dimanche dernier,gagnait le challenge Boucherry, triomphantdu SMde Bordelais.

Demain, nous donnerons quelques notes

li'geàlecreasPialrêtdieu-cesqiif porieoesril'irtg

l'équipe stadistc qui doit être formée ce soir.

STADE TOULOUSAINNous rappelons que rassemblée générale

statutaire aura lieu le jeudi 19 courant,Election des membres sortants du comité.5es sociétaires qui désireraient in.ésenter

leur candidature sont priés do sa faire .-..ire au siège eocial avant mardi, 17 courant.

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réflexion d'intérêt de crainte et de curie-site; jetais presque oertam que le cap,Laine dont avait part; le cul-de-jade étaitaussi oe même capitaine que l'adolescentregardait comme te complice des 17FeUsuraires du marchand de jouets d'en-fants, en un mot, qu'il s'agissait eue.redu capitaine Bambochio.

(tuent à la Levrasse, que je retrouvaissou, le nom de M. Boni, marchand dejouets d'enfants, aines seulement le mesouvins qu'en effet l'ancien saltimban-que s'appelait Bouin, nom quelquefoisinscrit sur nos affiches, mais que j'avaiscomplètement oublis. .te M'étonnai peu:du ténébreux métier qu'il faisait, sous leprétexte do vendre des jouets d'enfants;plus tard seulement j'eus une idée com-plète de cette nouvei/e infamie.

Quelle singulière fatalité, après tantvicissitude, de pérégiinations, réunissaffces trois boxai°. I Bamboche, le cul-de-jatte et la Levrasse ?

Quelle communauté d'intérêts avait puleur faire oublier !a haine imptecablr.dont ils clevMent être animés les uuscontre /es autres? Comment Bambocheavait-il pu renoncer à ses Sentiments devengea.° contre la Lovrasie ?

au. de nOuveaux et puissants motifs de luta ire. Mon désir de le revoir était bien ent j observai une chose qui ne in,

Pami Balthazar se livra aux démena-

trations de joie les plus bruyantes et lesplus exeentriques. Il voulait absolumentaner le soir même aux Funambules pourdécerner une ovation à Basquine, qu'iladmirait de confiancr. car il ne jamais vu irearl mai, Robert de Mareuilayant rappelé à 00,0 smi que leur soiréedevait avoir un but plus sérieux, le poêledut en soupirant ajot ruer son projet.

Après leur frugal diner, dont les reliefsme suffirent, mes maitres me prévinrentqu'il serait inutile Or1. attendre, et m'en-gagèrent à me coucher, ajoutant qu'ilsM'éveilleraient à leur retour s'ils avaientbesoin de quelque chose.

Avant son départ, Robert de Mareuirm'avait ordonne d'ouvrir sa male, sonsac de nuit, et de mettre en ordre les ef-fets qu'ils contenaient

Cette besogne fut bientôt aeomplie, caril était 'difficile de voir une 'garde-robemoins nombreuse et plus fatiguée quecelle du icomte Robert. Le seul objet deluxe que je trouvai dans cettoespèce d'in-

eire' trer'r7iZag-es'egee'd'argent, dont Rojei etlé Maneuil - possé-dait sans doute Io clef.

En allant et venant dans cet appaire-

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politique cantoaale, décide s Ihme111:n e po.ctiorUàs

peut assister à la yeomen.

FELICITATIOeS. - Le groupe do Langue-crotmes es. F. I. 0.1 dans sa réunion du 12courant. félicitent la Fédération de la Haute-

non secréture de blaire reti la régéedeu

q01 r'n.r. léguée titulaires ou suppléants. Tout elles.rer Jar le comité e, (air, par aé-

à cet efret le st mga Toulouse..appartenant à un groupe de la fédération

Les membres de la section socialiste labiles

;Lee:117:nel lli-'iZete Mbtiii:ibePO:n'ireAC

rein'emudn't

FP.,:,17eL-poeer,qonacigiggleg,egiggggCoe al

COMTE SOCIALlb . - Le!tinnille,ERecomité socialiste da Litem et les nouveau'x"dhé".rents au groupe sont priés d'assister a ta«réu.

.iii,n1rich, 15 courant, à 8 heu

Le preseit do convocation.

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1.1.R

MUS AGREABL

ss;01E5

Plie

, El j.e E ESSES empire Sur moi.pour ne hasa.nder aucune tentative de rap-prochement. avant d'avoir arrêté le plande conduite que je devais tenir à l'endroitIfs hoinems et des choses qui me sem-blaient importer .aux intérêts de Régine.

Do retour chez mes nouveaux maltres,je rapportai au comte Robert de Mareuil

pas fr peutut d aLodu.Je remarquai, dans la c/oison qui bé-

poroit la chambre do mes manses de celleque je devais occuper. Ulla sorte de replà-Auge circulai. de six pouces environ dediamètre, et élevé de trois pieds au-des-aunés P

Evidemment celte muraille avait êtéla favorable réponse du marchand de primitivement perrec pour un tuyau d'un

poète ,destiné sans doute d chaudes alorsla pièce ois j coucher) qui allait seperdre en formant un coude à travers laCheminée de la chambre voisine. .

Rens cette Chambre, occupée par mes+mares, le papier de la tenture cachaitCes vestiges; mais dans la pitre où jeCouchais l'on Aavatt pas pris soin de lesdisimuler...

Il me vint Mors une pensée Maniableen soi, je l'avoue, mais qu'autorireient

peut-Nre les craintes croissantes quem'empiraient les étranges relations deFrebert de Mareuil, et ce que j'avais pupénétrer de ses desseins sur Régi....

En laissant, du côté de la chambre voi-sine, le papier de tenture qui cachot l'an-cien presage du tuyau, mais en retirantde mon serti les inaliedeo-x qui l'obs-true.ot, je pouvais ne perdre isue!ree Pa-role de mes manses, 1.550 même qu ils eus-sent parlé à voix très basse.. Pour mas-quer l'ouverture de cotte espèce de con-duit moustique. je prenais derrière lebuffet us morceau de lenture cite l'ajustais reigneusement à la plue du re-plâtrage apparent dans ma chambre,

d'hésitai avant .de décideed commet-tre cet abus ne connance, je m'interrogeaiSArèrenler11, me ae.mandant A quel m bitej'Obéissais, quel but jr me proposais, et

PARTI SOCIALISTE (S. P. I. 0.). - MO,RATION DE L'ARIEGE. - Réunion du Conisté fédéral. - Le comité de la fédération so-eialiste de l'Ariège se réunira à Pamiers,salle fie réunion du groupe socialiste de Nitrecommune le dm.che 15 mai 1910, d I. heu.de l'aurai-midi.

Ordre du jour Demande do contrôle forsmutée par la section de Paaliers el le sceré-taire !redire contre le grouPe aOuial,ata 14-zadois et son secrétaire.

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enfin si une necessle absolue m'autort.saita age al OSI.

A ces questions .nue je me posais entoute sincerité, je rennudis.

Le mobile auquel j'obéis est te dévoue-ment le plus absolu mir puisse inspirer unamour aussi passionné que respectueuxet désintéressé, un amour qui doit être etsera toujours ignoré de celle qui l'in,pire...

Le but que je me propose est de preté-ger, de défendre autant que nie le permetmon humble condition, une noble Jeunefille que je crois._ que je sens menacée.

La nécessité qui m'impose loMigetion.d'agir comme je tais eet ansome 110 n'aiaucun autre moyen de m'essorer des.reriLtablre intentions de Robert de Mareuil...et d'ailleurs, j'en ancre le si' messoupçons ne rent par fondés, si je smart-nais la droiture du caractère de oe ie.ehomme, si ses projets, si ses espéra/18essont partagés par Régire, quelque dou-loureuse que me soit cette résolution, jeserai aussi zélé pour servir les dereeins deRobent de Mmeuil que je leur aurais étéhostile dans le cas contraire.

Idole dernière épreuve, après m'êtredemandé en mon Mme et conscieneemon action aurait eV, approuvée par Clare.de Gérard, à la sanction de qui je repue,tais toujours meatatetnent mcm mea.-je me décidai...

A suivre.

IDI SOCIALIST Een

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