VENDREDI 8 DÉCEMBRE 20H

BeethovenConcerto pour violon

DANIEL LOZAKOVITCH violonORCHESTRE PHILHARMONIQUE

DE RADIO FRANCEKRZYSZTOF URBA’NSKI direction

Ce concert sera diffusé en direct sur France Musique, également disponible sur francemusique.com

DANIEL LOZAKOVITCH violonORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE

Julien Szulman violon solo

KRZYSZTOF URBA’NSKI direction

LUDWIG VAN BEETHOVENConcerto pour violon et orchestre en ré majeur op. 61

1. Allegro ma non troppo

2. Larghetto

3. Rondo. Allegro

(45 minutes environ)

– Entracte –

DIMITRI CHOSTAKOVITCHSymphonie no 5 en ré mineur op. 47

1. Moderato

2. Allegretto

3. Largo

4. Allegro non troppo

(45 minutes environ)

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LUDWIG VAN BEETHOVEN 1770-1827Concerto pour violon et orchestreComposé en 1806. Créé le 23 décembre 1806 au Théâtre an der Wien de Vienne, par Franz Clément (violon et direction). Dédié à Stephan Breuning. Nomenclature : violon solo ; 1 flûte, 2 hautbois, 2 clarinettes, 2 bassons ; 2 cors, 2 trompettes ; timbales ; les cordes.

Si Beethoven s’imposa dans les salons viennois grâce à ses talents de pianiste, il avait cependant étudié le violon auprès de son père, puis de Franz Rovantini et Ferdinand Ries. Lors de son arrivée à Vienne, il prit des cours avec Wenzel Krumholz et Ignaz Schuppanzigh, lequel aurait peut-être créé les Sonates pour violon et piano op. 12 (1797-1798).

Lorsqu’on écoute sa musique pour violon (de chambre ou concertante), on est frappé par sa grâce et sa clarté. Du style classique avec un peu plus de muscle… Ainsi, Beethoven exclut de son Concerto pour violon les gestes techniques spectaculaires. Pour cette raison, peut-être, l’œuvre fut accueillie avec réserve par la critique lors de sa création. Aujourd’hui au répertoire de tous les violonistes, elle attendit plusieurs décennies avant de s’imposer réellement, défendue notamment par l’archet de Joseph Joachim, ami de Brahms.

Le renouvellement du genre avait de quoi dérouter le public de l’époque. En effet, l’orchestre devient un acteur à part entière. Ses lignes mélodiques sont ornées par le violon qui en intensifie l’expression plus qu’il ne s’oppose à la masse instrumentale. Le soliste évolue souvent dans l’aigu : l’écriture met en valeur le jeu de Franz Clément (1780-1842) qui, selon les témoignages du temps, excellait dans ce registre. Beethoven a donc conçu un concerto sur mesure pour son interprète. Autre signe de l’estime qu’il lui vouait, il a laissé la réalisation des cadences à son initiative.

En outre, les dimensions de la partition ont sans doute étonné les premiers auditeurs. Beethoven compose là le plus long de ses concertos, la durée du premier mouvement dépassant de surcroît celle des deux autres mouvements réunis. L’œuvre se caractérise par ses couleurs en demi-teinte. L’Allegro ma non troppo initial contient quelques épisodes majestueux et énergiques, mais sans l’agressivité qui émaille tant de partitions beethovéniennes (on songera par exemple aux trois Quatuors à cordes op. 59 « Razoumovski », contemporains de ce concerto)  ; il laisse s’épancher le chant, le soliste déroulant de délicates arabesques aux volutes toujours renouvelées. Quant au Larghetto central, il est dépourvu des ombres qui venaient parfois obscurcir le premier mouvement. Forme à variations combinant deux thèmes principaux (une structure fréquente chez Haydn, l’ancien maître de Beethoven), il captive par son

climat contemplatif. L’orchestration réduite, où domine le timbre pastoral des bois, ajoute à l’impression d’intimité et d’intériorité. Le finale réserve une place plus importante à la virtuosité du soliste. Son refrain, d’esprit populaire, contraste avec les mélodies soutenues ou rêveuses des mouvements précédents. En concluant le concerto sur cette fraîcheur enjouée, Beethoven semble annoncer le finale de sa Symphonie pastorale, composée deux ans après.

Hélène Cao

CES ANNÉES-LÀ :

1805 : Guerres napoléoniennes :

Napoléon Ier est vaincu à Trafalgar,

victorieux à Austerlitz. Première occupation

de Vienne par les armées françaises.

Chateaubriand, René. Beethoven, création

de la première version de Leonore (qui

deviendra l’opéra Fidelio). Mort de Greuze,

Schiller et Boccherini.

1806 : Création de la Confédération du

Rhin, dominée par la France ; fin du Saint

Empire romain germanique. Début de la

construction de l’Arc de Triomphe à Paris.

Arnim et Brentano éditent le premier volume

du Cor merveilleux de l’enfant. Beethoven,

création de la deuxième version de l’opéra

Leonore, de la Symphonie n° 4. Mort de

Fragonard et de Claude Nicolas Ledoux.

1807 : Hegel, Phénoménologie de l’esprit.

Fichte, Discours à la nation allemande.

Madame de Staël, Corinne. David achève

de peindre Le Sacre de Napoléon.

Création de Joseph de Méhul, et de La

Vestale de Spontini.

POUR EN SAVOIR PLUS :

- Maynard Solomon, Beethoven, Fayard,

2003. Un formidable ouvrage sur

Beethoven qui se lit comme un roman.

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DIMITRI CHOSTAKOVITCH 1906-1975Symphonie no 5Composée en 1937. Créée à Léningrad le 21 novembre 1937, par l’Orchestre philharmonique de Léningrad sous la direction d’Evgeni Mravinski. Nomenclature : 3 flûtes dont un piccolo, 2 hautbois, 3 clarinettes dont 1 petite clarinette, 3 bassons dont 1 contrebasson ; 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, 1 tuba ; timbales, percussions ; 2 harpes ; piano et célesta ; les cordes.

« Le chaos remplace la musique » : le 28 janvier 1936, la Pravda titre ainsi l’article qui condamne Lady Macbeth de Mzensk, opéra de Chostakovitch que Staline a vu deux jours plus tôt. Dans une Russie en quête de héros exemplaires, comment tolérer une peinture aussi sombre et pessimiste ? L’héroïne exprime ouvertement sa frustration sexuelle, empoisonne son beau-père, exhorte son amant à assassiner son mari puis, condamnée au bagne, entraîne avec elle sa rivale dans les eaux glacées d’un lac. La création de la Symphonie n° 4, que Chostakovitch termine en mai 1936, est annulée. Dans ses Mémoires, le compositeur laisse entendre qu’il aurait fait l’objet de pressions extérieures. Il se pourrait néanmoins qu’il ait décidé lui-même d’ajourner la première audition (elle attendra 1961). L’œuvre n’aurait probablement pas échappé aux accusations de « formalisme », terme à la définition confuse, choisi par les autorités pour dénoncer tout ce qui leur semble contraire à l’idéologie soviétique : forme déroutante qui brise les équilibres habituels, discours imprévisible émaillé d’épisodes ironiques ou agressifs.

Sommé de s’amender, Chostakovitch compose sa Symphonie n° 5, sous-titrée « Réponse d’un artiste soviétique à une juste critique », qu’il présente en ces termes : « Tout n’a pas été d’égale valeur dans mes œuvres précédentes. Il y a eu des échecs. Dans ma Cinquième Symphonie, je me suis efforcé à ce que l’auditeur soviétique ressente dans ma musique un effort en direction de l’intelligibilité et de la simplicité. » Véritable repentir ? Pas sûr, car les signatures stylistiques présentes depuis ses premières œuvres s’exacerbent : les timbres sont toujours plus crus, les thèmes anguleux et crispés, le discours nerveux et discontinu. Les contrastes brutaux reflètent la tragédie de l’artiste dont la parole se trouve sans cesse interrompue.

Le régime stalinien a peut-être vu dans l’Allegretto une glorification des traditions nationales. Pourtant, on devine une critique ironique et désabusée dans ce morceau marquant avec insistance la pulsation, associant les cuivres et la caisse claire dans une sorte de valse de garnison. Les dissonances acides, les mélodies osseuses, les sonorités du xylophone et des bois dans l’aigu donnent l’impression d’une danse macabre, non d’une joyeuse fête champêtre. Le poignant Largo semble exprimer le désespoir du compositeur, qui écrit là l’une de ses plus intenses

lamentations. La clarté de l’accord sur lequel il se referme apparaît trop tardivement pour dissoudre l’angoisse et la mélancolie.

Les autorités avaient-elles perçu les intentions de Chostakovitch ? Impuissantes face à une musique qui se prête à des interprétations contradictoires, elles tentèrent d’en atténuer la force subversive en introduisant une indication de tempo erronée dans le dernier mouvement : la deuxième partie de l’Allegro non troppo aurait dû être jouée dans un tempo plus lent, qui lui aurait donné un caractère de marche funèbre. Les éditeurs mentionnèrent donc un tempo plus rapide afin de terminer de façon héroïque. Mais la fanfare cuivrée de la conclusion et le long accord qui la soutient répandent une lumière trop éblouissante pour n’en pas devenir aveuglante.

H. C.

CES ANNÉES-LÀ :

1936 : Début des procès de Moscou.

Guerre civile espagnole. Assassinat

de Garcia Lorca. Jeux olympiques à

Berlin. André Gide, Retour de l’U.R.S.S.

Céline, Mort à crédit. Chaplin, Les Temps

modernes. Bartók, Musique pour cordes,

percussion et célesta. Prokofiev termine

Roméo et Juliette.

1937 : Grandes purges staliniennes.

Exposition universelle des arts et

techniques à Paris. Bombardement de

Guernica. Picasso, Guernica. Malraux,

L’Espoir. Création de Carmina burana

de Carl Orff. Bartók, Sonate pour deux

pianos et percussion. Mort de Gershwin,

Szymanowski, Roussel, Ravel.

1938 : Chamberlain premier ministre

d’Angleterre. L’Allemagne annexe l’Autriche.

Accords de Munich. Nuit de Cristal. Sartre,

La Nausée. Nabokov, Le Don et Invitation

au supplice. Eisenstein, Alexandre Nevski

(musique de Prokofiev). Stravinsky, Concerto

« Dumbarton Oaks ». Chostakovitch, Suite

de jazz n° 2.

POUR EN SAVOIR PLUS :

- Bertrand Dermoncourt, Dimitri

Chostakovitch, Actes Sud, 2006. Une

biographie et une analyse de l’œuvre très

accessibles.

- Lénine, Staline et la musique, catalogue

de l’exposition de la Cité de la musique,

Fayard/ Cité de la musique, 2010. Une

passionnante exploration des relations

entre la musique et le pouvoir sous l’ère

soviétique, dotée d’une riche iconographie.

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DANIEL LOZAKOVITCHVIOLON

Né en 2001, Daniel Lozakovitch étudie avec le professeur Josef Rissin à l’académie de Karlsruhe. Depuis septembre 2015, il se perfectionne auprès d’Eduard Wulfson.Daniel Lozakovitch fait ses débuts avec l'Orchestre de chambre des virtuoses de Moscou et Vladimir Spivakov, violoniste et chef d’orchestre.Féru de musique de chambre, il a travaillé avec Maxim Vengerov et Ivry Gitlis. En 2015, il a enregistré une sélection des Duos pour violon de Bartók avec Daniel Hope pour Deutsch Grammophon. Il a participé à de nombreux festivals internationaux et a reçu de nombreux prix dont le Premier Prix et le Grand Prix du Concours international de musique EMCY 2012, le Premier Prix au Concours international 2010 à Stockholm, le Premier Prix du Concours international « Bravo » 2010 en Belgique, le Premier Prix et le « Casse-Noisette Gulda » au 12e Concours international de télévision pour jeunes musiciens à Moscou (2011). Il a remporté en outre les «  Classiques viennois  », les « Cordes solistes » et le Prix de la meilleure interprétation des airs gitans de Sarasate à l’Académie internationale d’été 2014 de l’Université de musique et des arts de la scène de Vienne.

KRZYSZTOF URBAŃSKIDIRECTION

Né en Pologne, Krzysztof Urba’nski étudie à l’Académie de musique Chopin de Varsovie.En 2015, il est devenu le premier chef invité de l’Orchestre symphonique de la NDR, tout en continuant sa carrière à la tête de l’Indianapolis Symphony Orchestra. Il a enregistré des œuvres de Lutosławski et Dvorák (Alpha Classics), des pièces pour piano et orchestre de Chopin avec Jan Lisiecki et la NDR Elbphilharmonie (DG) et le Concerto pour violoncelle n° 1 de Martinu avec Sol Gabetta et les Berliner Philharmoniker (Sony).Cette saison, Krzysztof Urba’nski fait ses débuts avec l’Orchestre du Gewandhaus de Leipzig, l’Orchestre de l’Accademia Nazionale de Santa Cecilia et l’Orchestre de Paris.Krzysztof Urba’nski a été chef d’orchestre et directeur artistique de l’Orchestre symphonique de Trondheim et pendant quatre ans chef invité principal de l’Orchestre symphonique de Tokyo. En 2017, il a été nommé chef honoraire invité de l'Orchestre symphonique et de l'Opéra de Trondheim.

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France Musique en direct

de l’Auditorium de Radio France

Tous les jeudiset vendredis à 20h avec Benjamin François

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Depuis sa création par la radiodiffusion française en 1937, l’Orchestre philharmonique de Radio France s’affirme comme une formation singulière dans le paysage symphonique européen par l’éclectisme de son répertoire, l’importance de la création, les géométries variables de ses concerts, les artistes qu’il convie et son projet éducatif.Cet esprit «  Philhar  » trouve en Mikko Franck, son directeur musical depuis 2015, un porte-drapeau à la hauteur des valeurs et des ambitions de l’orchestre, décidé à faire de chaque concert une formidable expérience humaine et musicale. Son contrat a été prolongé jusqu’en 2022, apportant la garantie d’un compagnonnage au long cours. Il succède à ce poste à Gilbert Amy, Marek Janowski et Myung-Whun Chung.80 ans d’histoire ont permis à l’Orchestre philharmonique de Radio France d’être dirigé par des personnalités telles que Cluytens, Dervaux, Desormières, Copland, Inghelbrecht, Kubelik, Munch, Paray, Jolivet, Rosenthal, Tomasi, Sawallisch, Boulez, Saraste, Eötvös, Ashkenazy, Benjamin, Harding, Temirkanov, Gilbert, Salonen, Dudamel…Après des résidences au Théâtre des Champs-Élysées puis à la Salle Pleyel, l’Orchestre philharmonique partage désormais ses concerts entre l’Auditorium de

Radio France et la Philharmonie de Paris, et s’est récemment produit avec Mikko Franck dans des salles telles que la Philharmonie de Berlin, le Konzerthaus de Vienne, ou pour une tournée de dix concerts en Asie.Mikko Franck et le Philhar poursuivent une politique discographique et audiovisuelle ambitieuse dans la lignée de leur premier disque Debussy et des nombreuses captations pour France Télévisions (Victoires de la musique classique 2017) ou Arte Concert. Parmi les sorties récentes : L’Enfant et les Sortilèges de Ravel et L’Enfant Prodigue de Debussy (Erato) et les Concertos de Michel Legrand (Sony). L’ensemble des concerts de l’Orchestre philharmonique sont diffusés sur France Musique.Conscient du rôle social et culturel de l’orchestre, le Philhar réinvente chaque saison ses projets en direction des nouveaux publics avec notamment des dispositifs de création en milieu scolaire, des ateliers, des formes nouvelles de concerts, des interventions à l’hôpital, des concerts participatifs... Avec Jean-François Zygel, il poursuit ses Clefs de l’orchestre à la découverte du grand répertoire (France Inter et France Télévisions). Les musiciens du Philhar sont particulièrement fiers de leur travail de transmission et de formation des jeunes musiciens (orchestre à l’école, jeune Orchestre des lycées français du monde, académie en lien avec les conservatoires de la région parisienne).L’Orchestre philharmonique de Radio France est ambassadeur de l’Unicef depuis 10 ans.

ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE

MIKKO FRANCKDIRECTEUR MUSICAL JEAN-MARC BADOR DÉLÉGUÉ GÉNÉRAL

VIOLONS SOLOS

Hélène Collerette, 1er soloSvetlin Roussev, 1er solo

VIOLONS

Virginie Buscail, 2e soloAyako Tanaka, 2e soloMarie-Laurence Camilleri, 3e soloMihaï Ritter, 3e soloCécile Agator, 1er chef d’attaquePascal Oddon, 1er chef d’attaqueJuan-Firmin Ciriaco, 2e chef d’attaqueGuy Comentale, 2e chef d’attaqueEmmanuel AndréJoseph AndréCyril BaletonEmmanuelle Blanche-Lor-mandMartin BlondeauFloriane BonanniFlorence BouanchaudFlorent BrannensAurore DoiseFrançoise Feyler-PerrinBéatrice Gaugué-NatorpRachel GiveletLouise GrindelDavid HaroutunianMireille JardonJean-Philippe KuzmaJean-Christophe LamacqueFrançois LaprévoteAmandine LeyArno MadoniVirginie MichelAna MilletCéline PlanesSophie PradelMarie-Josée Romain-RitchotMihaëla Smolean

Isabelle SouvignetThomas TercieuxVéronique Tercieux- EngelhardAnne Villette

ALTOS

Jean-Baptiste Brunier, 1er soloMarc Desmons, 1er soloChristophe Gaugué, 1er soloFanny Coupé, 2e soloAurélia Souvignet-Kowalski, 2e soloDaniel Vagner, 3e soloJulien DabonnevilleMarie-Emeline CharpentierSophie GroseilElodie GuillotClara Lefevre-PerriotAnne-Michèle LiénardFrédéric MaindiveBenoît MarinJérémy PasquierMartine SchoumanMarie-France Vigneron

VIOLONCELLES

Eric Levionnois, 1er soloNadine Pierre, 1er soloDaniel Raclot, 1er soloPauline Bartissol, 2e soloJérôme Pinget, 2e soloAnita Barbereau-Pudleitner, 3e soloJean-Claude AuclinCatherine de VençayMarion GaillandRenaud GuieuKarine Jean-BaptisteJérémie MaillardClémentine MeyerNicolas Saint-Yves

CONTREBASSES

Christophe Dinaut, 1er soloYann Dubost, 1er soloLorraine Campet, 2e soloMarie Van Wynsberge, 2e soloEdouard Macarez, 3e soloDaniel BonneWei-Yu ChangEtienne DurantelLéo GenetLucas HenriBoris Trouchaud

FLÛTES

Magali Mosnier, 1re flûte soloThomas Prévost, 1re flûte soloMichel Rousseau, 2e flûteNels Lindeblad, piccoloAnne-Sophie Neves, piccolo

HAUTBOIS

Hélène Devilleneuve, 1er hautbois solo

Olivier Doise, 1er hautbois soloCyril Ciabaud, 2e hautboisStéphane Part, 2e hautbois et cor anglaisStéphane Suchanek, cor anglais

CLARINETTES

Nicolas Baldeyrou, 1re clarinette solo Jérôme Voisin, 1re clarinette soloJean-Pascal Post, 2e clarinetteManuel Metzger, petite clarinetteDidier Pernoit, clarinette basseChristelle Pochet, 2e clarinette basse

BASSONS

Jean-François Duquesnoy, 1er basson soloJulien Hardy, 1er basson soloStéphane Coutaz, 2e bassonWladimir Weimer, contre-basson

CORS

Antoine Dreyfuss, 1er cor soloMatthieu Romand, 1er cor soloSylvain Delcroix, 2e cor Hugues Viallon, 2e corXavier Agogué, 3e corStéphane Bridoux, 3e corIsabelle Bigaré, 4e corBruno Fayolle, 4e cor

TROMPETTES

Alexandre Baty, 1er trompette soloJean-Pierre Odasso, 2e trompette Gilles Mercier, 3e trompette et cornetBruno Nouvion, 4e trompette

TROMBONES

Patrice Buecher, 1er trombone soloAntoine Ganaye, 1er trombone soloAlain Manfrin, 2e trombone David Maquet, 2e trombone Raphaël Lemaire, trombone basseFranz Masson, trombone basse

TUBA

Victor Letter

TIMBALES

Jean-Claude Gengembre

PERCUSSIONS

Renaud Muzzolini, 1er soloFrancis Petit, 1er soloGabriel BenloloBenoît GaudeletteNicolas Lamothe

HARPES

Nicolas Tulliez

CLAVIERS

Catherine Cournot

CHEF ASSISTANTE

Elena Schwarz

RESPONSABLE DE LA COORDINATION ARTISTIQUE

Céleste Simonet

RESPONSABLE ADMINISTRATIVE ET BUDGÉTAIRE

Aurélie Kuan (Raphaële Hurel par intérim)

RESPONSABLE DE PRODUCTION / RÉGIE PRINCIPALE

Patrice Jean-Noël

CHARGÉE DE PRODUCTION / RÉGIE PRINCIPALE

Chloé Van Hoorde Emilia Vergara Echeverri

RÉGISSEUR

Philippe Le Bour Adrien Hippolyte

RESPONSABLE DES PROGRAMMES PÉDAGOGIQUES

Cécile Kauffmann-Nègre

CHARGÉE DE MÉDIATION CULTURELLE

Floriane Gauffre

PROFESSEUR-RELAIS DE L’EDUCATION NATIONALE

Myriam Zanutto

RESPONSABLE DE LA BIBLIOTHÈQUE D'ORCHESTRES

Maud Rolland

BIBLIOTHÉCAIRE

Noémie LarrieuAlexandre Duveau

RESPONSABLE DE LA PROMOTION

Laura Jachymiak

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PRÉSIDENT-DIRECTEUR GÉNÉRAL DE RADIO FRANCE MATHIEU GALLET

DIRECTION DE LA MUSIQUE ET DE LA CRÉATION CULTURELLEDIRECTEUR DE LA MUSIQUE ET DE LA CRÉATION MUSICALE MICHEL ORIERSECRÉTAIRE GÉNÉRAL DENIS BRETINDIRECTEUR ADJOINT EN CHARGE DE LA PRODUCTION MUSICALE

ET DE LA PLANIFICATION STÉPHANE SPADARÉGISSEUR PRINCIPAL PASCAL BARANZELLIDÉLÉGUÉE GESTION ET RESSOURCES HUMAINES MURIELLE DIVIDÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DE L’ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCE ÉRIC DENUTDÉLÉGUÉ GÉNÉRAL DE L’ORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCE JEAN-MARC BADORDÉLÉGUÉE GÉNÉRALE DU CHOEUR DE RADIO FRANCE CATHERINE NICOLLEADMINISTRATRICE DÉLÉGUÉE DE LA MAÎTRISE DE RADIO FRANCE JEANNE PARIENTERESPONSABLE DU BUREAU DE LA CRÉATION MUSICALE BRUNO BERENGUERDÉLÉGUÉE À L’ÉDUCATION ET AU DÉVELOPPEMENT CULTUREL MARINA SICHANTHO

PROGRAMME DE SALLECOORDINATION ÉDITORIALE CAMILLE GRABOWSKISECRÉTAIRE DE RÉDACTION CHRISTIAN WASSELINRÉALISATION DU PROGRAMME DE SALLE (MISE EN PAGE) PHILIPPE LOUMIET

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JEUDI 14 DÉCEMBRE 20H AUDITORIUMJEAN SÉBASTIEN BACHL'Oratorio de Noël (cantates no 1 et 2 et 3)Concerto brandebourgeois no3NÚRIA RIAL sopranoANN HALLENBERG mezzo-sopranoMAURO PETER ténorANDRÈ SCHUEN baryton

CHŒUR DE RADIO FRANCEEDWARD CASWELL chef de chœur

ORCHESTRE NATIONAL DE FRANCETREVOR PINNOCK direction

VENDREDI 15 DÉCEMBRE 20H30 PHILHARMONIE DE PARISRICHARD STRAUSSElektra (opéra en version de concert)

NINNA STEMMEWALTRAUD MEIEREMILY MAGEECHŒUR DE RADIO FRANCEVICTOR JACOB chef de chœurORCHESTRE PHILHARMONIQUE DE RADIO FRANCEMIKKO FRANCK DIRECTION

SAMEDI 16 DÉCEMBRE 20H STUDIO 104

JAZZ SUR LE VIF A. DEBARRE / M. APOSTOL

ANTOINE BOYER & SAMUELITO, ANGE-LO DEBARRE GIPSY UNITY QUINTET

SAISON 17/18

PROCHAINS CONCERTS

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