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Bangsokol : un requiem pour le Cambodge Mercredi 16 mai 2018 – 20h30 SALLE DES CONCERTS – CITÉ DE LA MUSIQUE

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Bangsokol : un requiem pour le Cambodge

Mercredi 16 mai 2018 – 20h30

SALLE DES CONCERTS – CITÉ DE LA MUSIQUE

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PROGRAMME

Musique de Him SophyFilm et scénographie de Rithy PanhLivret de Trent Walker

Ensemble de musique traditionnelle cambodgienEnsemble JuventesLe Jeune Chœur de ParisAndrew Cyr, directionRichard Wilberforce, chef de chœurGideon Obarzanek, mise en scène (production originale)Chhorn Sam Ath, chantHim Savy, chant

Co-commande de Cambodian Living Arts.

Coproduction Conservatoire à Rayonnement Régional de Paris, Le Jeune Chœur de Paris, Philharmonie de Paris.

FIN DU SPECTACLE (SANS ENTRACTE) VERS 21H45.

Retrouvez le livret en page 12.

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LE SPECTACLE

Bangsokol : un requiem pour le Cambodge

I. âmes errantes / complètement seules

II. nous vous invitons à écouter / l’origine des guerres

III. mon chéri, mon enfant / ils t’ont arraché à moi

IV. te garder en vie ne nous rapporte rien / te supprimer ne nous coûte rien

V. dans le silence de la forêt / ils te jetteront

VI. en attendant l’amrita / pour toutes les âmes

VII. le linceul blanc de bangsokol / une fois que cette peau est asséchée,

la félicité peut surgir

VIII. ce corps n’est que douleur / laissez tout aller

IX. les âmes errantes / reviennent à la vie

Composition : Him Sophy, sur un livret de Trent Walker, d’après une idée originale

de Charley Todd.

Co-commande : Cambodian Living Arts.

Production exécutive : THE OFFICE performing arts + film.

Développement musical : en collaboration avec Metropolis Ensemble.

Film et scénographie : Rithy Panh.

Assistant à la mise en scène : Jean-Baptiste Phou.

Durée : environ 75 minutes.

Bangsokol : un requiem pour le Cambodge est une création originale combi-nant musique orchestrale, chants, mise en scène et projection audiovisuelle. L’œuvre qui est ici donnée à entendre autant qu’à voir est construite en hommage aux victimes qui périrent sous le joug des Khmers rouges, dont l’idéologie utopique conduisit vers la mort près d’un quart de la population du Cambodge entre 1975 à 1979. Dans la culture khmère, les cérémonies bouddhiques de bangsokol permettent aux vivants d’apaiser les âmes de leurs défunts et de les aider à transmigrer vers leur prochaine vie, notam-ment par l’offrande de prières, de nourriture et de musiques. Commanditée par Cambodian Living Arts, ce travail porté par des survivants apporte une contribution majeure au travail de mémoire, de réconciliation et d’apaise-ment en cours au sein des communautés cambodgiennes en produisant une

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réponse artistique au traumatisme engendré par le génocide cambodgien.Le compositeur Him Sophy présente ici un agencement original qui fait écho à son parcours personnel. En effet, formé à l’Université royale des Beaux-Arts de Phnom Penh ainsi qu’au Conservatoire de musique de Moscou, Him Sophy met en conversation les mondes musicaux occidentaux et khmers avec aisance. Sur la scène de Bangsokol : un requiem pour le Cambodge, les sonorités d’un ensemble de musique de chambre (violons, altos, vio-loncelles, contrebasse, harpe et timbales) et d’une sélection d’instru ments de musique khmère se combinent et s’entrecroisent. Ce second ensemble instrumental permet de reproduire les sonorités du pinpeat (notons les factures innovantes du xylophone à double clavier et du carillon de gongs augmenté) et du kong skor (gongs, tambour et hautbois), dont les répertoires honorent les morts. À ceux-ci s’ajoutent la vièle à deux cordes et plusieurs instruments à vent issus des musiques populaires et solistes. Différentes percussions khmères alternent également sur scène, dont les longs tambours à collerettes chayam, qui animent d’ordinaire les fêtes de temples. Au sein de cette orchestration, la harpe pin, fruit d’un minutieux travail de reconstitution initié notamment par Him Sophy, se distingue par sa référence directe aux musiques sacrées des temps angkoriens. Une partie vocale complète la partition de Bangsokol et associe un chœur de musique de chambre occidentale à un duo d’artistes cambodgiens chantant le smot, chant bouddhique traditionnellement effectué pour les morts.

Le livret est rédigé par Trent Walker, jeune Américain érudit du bouddhisme de l’Asie du Sud-Est, doctorant à la prestigieuse université de Berkeley (Californie) et musicien formé au jazz, à la musique classique occidentale et au chant bouddhique. Il vécut plusieurs années au Cambodge, où il suivit notamment une formation au smot auprès de maîtres de renom, en partenariat avec Cambodian Living Arts. Selon Walker, le chant poétique de Bangsokol : un requiem pour le Cambodge se base sur les enseignements du bouddhisme sud-est asiatique (Theravada), et évoque l’impermanence et la souffrance de toute existence en enjoignant l’auditoire, et plus généralement les vivants et survivants, à contempler la mort les yeux ouverts, cela afin de trouver la paix. Le livret déroule au fil de ses vers l’enfer qu’endura le peuple cambodgien sous le régime des Khmers rouges, rappelant les mises en garde et les menaces de ses leaders ainsi que la terreur qui s’abattit sur

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le pays. Ce texte adresse aux âmes errantes des victimes un chant d’apaisement et le vœu d’une renaissance sous de meilleurs auspices.

Le film Bangsokol : un requiem pour le Cambodge a été réalisé par le cinéaste Rithy Panh, dont les travaux documentaires et filmiques sont internationalement salués, et qui cofonda le centre de ressources audiovisuelles Bophana. Situé à Phnom Penh, ce centre d’archives rassemble et rend accessible le passé audiovisuel du Cambodge. Pour Bangsokol, l’apport filmé confronte notamment des extraits vidéo de la guerre et de la vie sous les Khmers rouges à ceux de la permanence culturelle des arts et des pratiques religieuses, apportant une contribution émotionnelle très forte au spectacle.

Cambodian Living Arts « croit fermement que la transformation du Cambodge par les arts peut être un modèle pour d’autres sociétés en situation de conflit ou de post-conflit à travers l’appropriation de leur histoire et de leur tragédie et d’offrir aux populations touchées […] un moyen de guérison » (Phloeun Prim, directeur exécutif). Bangsokol : un requiem pour le Cambodge en présente une fervente illustration.

Stéphanie Khoury

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LES INTERPRÈTES

Him SophyNé en 1963 au sein d’une famille de musiciens de la province de Prey Veng (Cambodge), Him Sophy commence le piano en 1972 à Phnom Penh, mais est chassé de la ville en 1975 sous le régime des Khmers rouges. Après la chute du régime, il y retourne pour étudier la musique à la Secondary School of Fine Arts du Cambodge. En 1985, il remporte une bourse d’études pour aller se former au Conservatoire de musique de Moscou, d’où il sort titulaire d’un doctorat. Il retourne au Cambodge en 1998, où il ouvre la Him Sophy School of Music en 2013. Ses précédentes œuvres, dont le célèbre opéra rock Where Elephants Weep, ont démontré une facilité inégalée à amener le monde musical occidental et le monde musical khmer à converger. Dans Bangsokol, Him Sophy combine un orchestre de chambre occidental et un chœur avec des instrumentistes et chanteurs khmers.

Rithy PanhNé à Phnom Penh, Rithy Panh est expulsé de la capitale par le régime des Khmers rouges en 1975 alors qu’il est âgé de 11 ans. Il s’enfuit vers la Thaïlande en 1979 et vit un certain temps dans un camp de réfugiés à Mai Rut. Il part plus tard pour Paris, étudie à l’Institut des hautes études ciné-matographiques et en sort diplômé.

Il retourne au Cambodge en 1990, et partage aujourd’hui sa vie entre Paris et Phnom Penh. Réalisateur de documentaires et scénariste de renom-mée internationale, il a été nommé Réalisateur asiatique de l’année par le Busan International Film Festival en 2013. Il est le tout premier réalisateur cambodgien à avoir été nommé pour un Oscar, pour The Missing Picture en 2013. La même année, Rithy Panh reçoit un prix dans la catégorie Un cer-tain regard du Festival de Cannes. Son documentaire S-21: The Khmer Rouge Killing Machine a été récompensé par le prestigieux prix Albert-Londres en 2004. Plus récemment, Rithy Panh tra-vaille en tant que producteur sur le film First They Killed My Father d’Angelina Jolie, réalisé en septembre 2017, basé sur les mémoires de Loung Ung. Rithy Panh est aussi le fondateur du Bophana Audiovisual Resource Center à Phnom Penh, qui rend public le cinéma, la photographie, les archives sonores sur le Cambodge, et forme une nouvelle génération de cinéastes et techniciens multimédia cambodgiens.

Trent WalkerTrent Walker est un jeune érudit spé-cialiste de la musique bouddhiste de l’Asie du Sud-Est. Formé au jazz et à la musique classique occidentale, il passe plusieurs années au Cambodge à étudier avec les maîtres vocaux Prum

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Ut, Koet Ran et Yan Borin, tout en tra-vaillant pour Cambodian Living Arts. Ancien moine bouddhiste novice, Trent Walker se produit régulière-ment et donne des conférences sur la Cambodian Dharma song (smot), chant traditionnel bouddhiste. Actuellement, il est doctorant en études bouddhistes à l’Université de Californie, à Berkeley. Il étudie les liturgies bouddhistes de l’Asie du Sud-Est en khmer, lao, pali et thaï.

Gideon ObarzanekGideon Obarzanek est réalisateur, dramaturge et chorégraphe. Il est également l’associé artistique du Festival de Melbourne, président du Melbourne Fringe et membre du conseil du Critical Path – un centre de recherche chorégraphique basé à Sydney. En 1995, Gideon Obarzanek a fondé la compagnie de danse austra lienne Chunky Move, dont il était le président directeur général et directeur artistique jusqu’en 2012. Sous sa direction, la compagnie s’est imposée comme l’une des sociétés d’arts du spectacle les plus innovantes, primées et internationalement reconnues du pays. Parmi les récompenses qu’il a obtenues, citons le prix du Meilleur documentaire court pour Dance Like Your Old Man (Melbourne International Film Festival, Cinedans Festival), un Bessie Award (ou New York Dance and Performance Award) pour une chorégraphie et création

remarquables, ainsi que l’Australian Helpmann Award pour Glow et Mortal Engine.

Andrew CyrChef d’orchestre nominé aux Grammy Awards, bénéficiant d’une « influence proéminente dans le monde de la nouvelle musique émergente » (Washington Post), Andrew Cyr est un chef de file sur la scène musicale contemporaine montante. Il fonde le Metropolis Ensemble en 2006, construit autour d’une passion : celle de créer de nouvelles plateformes pour les compositeurs

Him Savy, Chhorn Sam AthHim Savy est chanteuse, flûtiste et professeur à la Secondary School of Fine Arts de Phnom Penh. Chhorn Sam Ath est un célèbre chanteur et acteur, qui enseigne également à la Royal University of Fine Arts de Phnom Penh. En 2007, Chhorn Sam Ath était invité à jouer au Smithsonian Folklife Festival. Les deux chanteurs proviennent de familles artistiques célèbres et ont joué de nombreuses fois au Cambodge, en Nouvelle-Zélande et aux États-Unis.

Ensemble de musique traditionnelleL’ensemble est composé de certains des principaux instrumentistes et chanteurs du Cambodge, qui ont voyagé et ont joué dans le monde entier, ainsi que de musiciens émergents. Leurs précédentes

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prestations les ont emmenés en Chine, en Corée, à Singapour et aux États-Unis. Actuellement, certains membres de l’ensemble travaillent en tant qu’artistes indépendants tandis que d’autres enseignent à la faculté de musique de l’Université royale des Beaux-Arts de Phnom Penh.

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Ensemble JuventesL’Ensemble Juventes est composé d’élèves du Conservatoire à rayonne-ment régional (CRR) de Paris, établis-sement culturel de la Ville de Paris, et constitue une petite formation issue des rangs de l’Orchestre des Jeunes de cette école. Ces élèves sont en cycle spécialisé, et ont de 15 à 18 ans. Ils en sont au stade de leurs études où l’orientation vers une démarche de formation professionnelle est une question qui se pose à eux. Participer à des projets exigeants et d’une haute portée artistique comme ceux de la Philharmonie de Paris est un élément qui leur permet de mieux savoir dans quelle direction ils souhaitent orienter leur avenir professionnel.

ViolonsCéleste AlbertoCécile AltabaSolange DurieuxEugénie Le FaureBaptiste ModdeAlexandra Schifflers

AltosJean-Christophe BernardPaloma CovarrubiasJeanne Duquesnoy

VioloncellesIvan DhédinEliott LeridonFrançois Rogué

ContrebasseAmandine Landès

HarpeAlexandra Bidi

TimbalesLeith Saglio

Richard WilberforceRichard Wilberforce travaille avec plu-sieurs chœurs anglais, notamment le Leeds Philharmonic Chorus, The Exon Singers, les English Voices, le London Philharmonic Choir, le BBC Symphony Chorus, les National Youth Choirs of Great Britain et la Huddersfield Choral Society. Il a été directeur musi-cal du Hallé Youth Choir pendant cinq ans, travaillant aux côtés de Sir Mark Elder. Richard Wilberforce partage

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son temps entre le Royaume-Uni et la France, où il a participé à des concerts à la Philharmonie de Paris, au Festival d’Aix-en-Provence et à l’Opéra de Rouen Normandie. Il codirige éga-lement Le Jeune Chœur de Paris et la Maîtrise de Paris. Sa carrière de contre-ténor l’amène dans les plus belles maisons d’opéra en Europe, comme le Staatsoper unter den Linden à Berlin, le Tiroler Landestheater Innsbruck, le Théâtre du Capitole et le Grand Théâtre de Provence. Il chante régulièrement avec Sir John Eliot Gardiner et le Monteverdi Choir. Les compositions de Richard Wilberforce sont éditées chez Boosey & Hawkes et RSCM Press ; ses œuvres chorales sont données dans le monde entier, enregistrées par des chœurs majeurs.

Le Jeune Chœur de ParisLe Département supérieur pour jeunes chanteurs | CRR de Paris assure au Conservatoire à rayonnement régio-nal de Paris (direction Xavier Delette) la formation de cinquante étudiants autour de quinze disciplines (chant, étude des styles, des cycles et des rôles, ensemble vocal à un par voix, écritures contemporaines et improvi-sation, chœur, diction lyrique, théâtre, danse, analyse, esthétique et histoire des arts), avec l’appui de trente pro-fesseurs. Au terme de leur cursus, les étudiants peuvent prétendre au diplôme national supérieur profession-nel de musicien à valeur européenne, parcours commun avec une licence

Paris-Sorbonne. Ce département a été fondé par Laurence Equilbey, qui en assure, avec Florence Guignolet, la direction artistique et pédagogique. Des master-classes sont organisées par le département, permettant aux étudiants de compléter leur formation auprès de professeurs renommés et de grands interprètes : Christine Schweitzer, Laurent Naouri, Pierre Mervant, Nadine Denize, Malcolm King, Malcolm Walker, Vincent Le Texier, Pierre Cao, Eamonn Dougan, Joël Suhubiette, etc. Au sein du département, Le Jeune Chœur de Paris est un chœur de chambre placé sous la direction de Marc Korovitch et Richard Wilberforce, après Laurence Equilbey, Geoffroy Jourdain, Olivier Bardot et Henri Chalet. Le chœur participe activement à la création contemporaine (commandes à Franck Krawczyk, Oscar Strasnoy, Georgia Spiropoulos, Philippe Hurel, Bruno Mantovani, Yann Robin, Vincent Manac’h, Laurent Durupt, etc.). Il col-labore avec l’Orches tre de chambre de Paris, l’Ensemble intercontem-porain, l’Atelier lyrique de l’Opéra national de Paris, l’Orchestre de Paris, le Freiburger Barockorchester, Insula orchestra, l’Orchestre du Festival de Budapest et l’Orchestre des Champs-Élysées. Il a été dirigé par Pierre Boulez, Susanna Mälkki, René Jacobs, Iván Fischer et Philippe Herreweghe, et s’est notamment produit au Festival Suresnes Cités Danse dans une créa-tion du chorégraphe José Montalvo.

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En 2010, Le Jeune Chœur de Paris a participé à l’enregistrement de « Ne me refuse pas » (naïve) avec Marie-Nicole Lemieux, l’Orchestre National de France et Fabien Gabel, et, en 2012, il a enregistré La Damoiselle élue de Debussy avec le pianiste Philippe Cassard et la soprano Natalie Dessay (Virgin Classics). Il a également contri-bué au disque de Sabine Devieilhe en 2013, Le Grand Théâtre de l’amour (Erato), salué par la critique. En 2008, Le Jeune Chœur de Paris a reçu le prix Liliane Bettencourt.crr.paris.fr | facebook.com/departe-mentsuperieurpourjeuneschanteursLe Département supérieur pour jeunes chanteurs | CRR de Paris est financé par la Mairie de Paris et le ministère de la Culture (DRAC Île-de-France). Son rayonnement est soutenu par accentus. Le Jeune Chœur de Paris est soutenu par la Fondation Bettencourt-Schueller.

Chef de chantMayoko Surraya

Chef de choeurRichard Wilberforce

SopranosChimène SmithAliénor BontouxRebecca HaeriZoé FourayAdèle ClermontSolène LaurentChiara CeccarelliMarie Serri

AltosAmélie Forquenot de la FortelleLéontine ZimmerlinJustine MaucurierMargaux PoguetGisèle DelgouletAbdelkrim BakkaliCaroline Chassany*

TénorsMaxime JermannYannick Ifunda-GangaleTristan BennetÉmile DemerliacVladislav RomankovMalo Peloffy-HuetNoé Rollet

BassesDavid Costa GarciaYoann MarchesseYann SalaünMax LatarjetJoachim CoffinierAngelo HeckJean-Baptiste Alcouffe*Jean-Christophe Jacques*

* supplémentaires d’accentus

Production exécutive : THE OFFICE performing arts + film. Avec le soutien de Rainbow Initiative, du ministère de la Culture de Taïwan, de la Taipei Philharmonic Foundation for Culture and Education, d’Asia TOPA/Arts Centre Melbourne, du BAM 2017 Next Wave Festival, du Centre Bophana, de la Him Sophy School of Music, du Metropolis Ensemble, du Amrita Performing Arts, de la Cambodia Film Commission, d’EVA Air, de l’Organisation Internationale de la Francophonie Li

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