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Au nom de Allah le Tout Miséricordieux le Très Miséricordieux
FÊTE DE NOËL culte païen sous couverture chrétienne
LIVRE 01
- Les Livres de Ribaat -
1er
Édition 1433H / Août 2012
2ème
Édition 1438H / Mai 2017
SOMMAIRE
° Introduction.
° L’Influence païenne et la transformation du Christianisme.
° Noël : La fête mondiale et désenchantée du 25 Décembre.
° Extrait de l’ouvrage : Dialogue entre un Chrétien et un Musulman.
° Pierre est-il Musulman ou Chrétien ?
° Il était une fois, le Père Noël…
° Tels que vous êtes, tels que vous serez.
° Le Prophète Jésus (paix sur lui) dans le Saint Coran.
° Des Questions et des Rappels.
° Conclusion.
INTRODUCTION
LIVRE 01 : FÊTE DE NOËL, CULTE PAÏEN SOUS COUVERTURE CHRÉTIENNE
Ribaat
Le Vatican est inondé de rituels occultes et païens sur le compte du Prophète Jésus (paix sur lui)
innocent des manipulations de l’homme. Ces altérations en majeure partie préfabriquées par la
mythologie mondiale furent reprises par le clergé polythéiste, puis finalement endoctrinées par
des pratiques douteuses et des ambiguïtés ecclésiastiques. Alors que ces rites ne sont point
mentionnés dans la Bible (les Évangiles selon Matthieu, Marc, Luc et Jean, choisis par l’Église)
et non autorisés, encore moins dans la dernière révélation Divine, le Saint Coran merveilleux.
Serez-vous faire la différence entre le mythe de Noël et la vérité Divine ?
Allah notre Créateur Immuable dit :
« Ô hommes ! La promesse de Allah est vérité. Ne laissez pas la vie présente vous tromper,
et que le grand trompeur (Satan) ne vous trompe pas à propos de Allah. Le Diable est
pour vous un ennemi. Prenez-le donc pour un ennemi. Il ne fait qu’appeler ses partisans
pour qu’ils soient des gens de la Fournaise. Ceux qui ont mécru auront un dur châtiment,
tandis que ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres auront un pardon et une
grosse récompense. » (Coran : sourate 35 Fatir, versets 5 à 7)
Dans « l’Encyclopaedie Britannica » de langue anglaise, depuis 1768, nous comprenons que :
« Christmas, c’est-à-dire la Messe du Christ (Noël), n’a jamais fait partie des fêtes originelles de
l’Église ». (www.britannica.com)
Puis dans le livre « A History of Christianity » du journaliste, écrivain et historien britannique
Paul Johnson (1928-…) publié la première fois en 1976, et contenant 556 pages, Édition
Touchstone 1995 et 2012, nous lisons pages 67 à 69, ce passage intéressant :
« Beaucoup de chrétiens ne virent pas clairement la différence entre ce culte Solaire et leur
propre culte. Ils l’identifièrent au Christ « dirigeant son char à travers le ciel », ils tenaient leurs
services le Dimanche, s’agenouillaient en direction de l’est et célébraient leur fête de la nativité
le 25 Décembre, le jour anniversaire du Soleil, au solstice d’hiver. Au cours de la renaissance
païenne, survenue plus tard sous l’empereur Julien, beaucoup de chrétiens jugèrent plus simple
d’apostasier à cause de cette confusion, l’évêque de Troyes confia à Julien qu’il avait toujours
secrètement prié le Soleil. Constantin (1er) n’abandonna jamais sa dévotion au Soleil, et
maintint l’effigie du Soleil sur sa monnaie. Il fit du Dimanche un jour de repos »
Pour les amateurs ou experts, voici le format PDF du livre intégral anglais de Paul Johnson :
http://cnqzu.com/library/Philosophy/neoreaction/_extra%20authors/Johnson,%20Paul/A
%20History%20Of%20Christianity.pdf (…)
Nous parlons des origines de la fête du « Père Noël », ceci afin de légitimer par l’absurde, la
naissance du Prophète Jésus (paix sur lui) un 25 Décembre, période froide, alors qu’il est né
historiquement pendant que les moutons broutés, période chaude. Pourtant, ce Livre 01
bénéfique pour ceux qui réfléchiront sincèrement, restera un tremplin sur une première
approche réelle de ce monde et de votre propre vie sur terre avant le grand Jour de la
Résurrection de l’humanité et des djinns pour les Comptes, conséquemment votre progression
sur toutes vérités, quelle que soit l’étude entamée, d’un cœur sincère.
Rentrons maintenant dans le vif du sujet :
L’INFLUENCE PAÏENNE ET LA TRANSFORMATION DU CHRISTIANISME
Article intitulé « L’influence païenne et la transformation du christianisme », écrit par le
site Aimer-Jésus.com. Correction, commentaires parenthèses et notes Ribaat. Citation :
(…) « Dans sa préface de « l’histoire du Christianisme » l’historien britannique, Edward
Gibbon (1737-1794) écrit : « S’il est vrai que le Christianisme a triomphé du Paganisme, il n’en
demeure pas moins que le Paganisme a réussi à corrompre le Christianisme. L’Église de Rome
a remplacé le déisme pur des premiers Chrétiens, par l’incompréhensible dogme de la Trinité.
Pareillement, de nombreuses doctrines Païennes inventées par les Égyptiens et idéalisées par
Platon ont été adoptées parce que considérées comme dignes de foi. » (Fin citation)
Malheureusement l’entrée des Païens dans le Christianisme a entraîné autant de croyances
Païennes dans la foi Chrétienne. Dans cette étude on va essayer de cerner l’histoire de cette
influence Païenne et comment les croyances Païennes se sont introduites dans la foi des
Chrétiens unitaires.
Avant de commencer et pour que notre article ne donne pas l’impression de dire des accusations
sans fondement on voudrait présenter un tableau comparant la foi Païenne en ce qui concerne
(l’idole) Mithra et celle des Chrétiens en ce qui concerne (le Prophète) Jésus (paix sur lui).
LE PROPHÈTE JÉSUS (PAIX
SUR LUI) CONNU CHEZ LES
CHRÉTIENS
MITHRA L’IDOLE MYTHIQUE
CONNUE CHEZ LES ROMAINS
• Jésus né le 25 Décembre.
• Mithra naquit dans une caverne, le
25 Décembre.
• Jésus était le fils de Dieu.
• Mithra était le fils de Dieu.
• Jésus vint du Ciel pour naître en tant
qu’homme, et pour racheter les
péchés des hommes.
• Mithra vint du Ciel pour naître en
tant qu’homme, et pour racheter les
péchés des hommes.
• Jésus est nommé : la lumière, la
vérité.
• Mithra est dit : la lumière, la vérité.
• Jésus avait 12 disciples • Mithra avait 12 disciples.
• Jésus est le bon berger.
• Mithra est le bon berger.
• Jésus est nommé « Agneau de
Dieu ».
• Mithra est nommé « Agneau de
Dieu ».
• Jésus est le « Sauveur ». • Mithra était connu en tant que
« Sauveur ».
• Jésus fut sacrifié pour la rédemption
du genre humain.
• Le sacrifice de Mithra avait comme
fin la rédemption du genre humain.
• Jésus s’est élevé du milieu des
morts.
• Mithra fut enterré dans un tombeau
d’où il s’éleva des morts.
• Le jour sacré des Chrétiens est le
Dimanche.
• Le jour sacré du Mithraïsme était le
Dimanche.
• Le Baptême : est compris dans le
temps de Paul (de Tarse le Juif, après
le Prophète Jésus) comme étant une
expérience de la mort et émergé de
l’eau, pris comme le début d’une
nouvelle vie.
• Le Baptême : dans le sang du
taureau sacré, le taurobolum – les
premiers Baptêmes « lavés dans le
sang de l’Agneau » – les derniers
Baptêmes par de l’eau. Enregistré par
l’auteur Chrétien Tertullian.
• L’Eucharistie : repas sacré du Sang
(en vin) et du Corps (en pain) de
Jésus.
• Commémorés par des repas
Eucharistiques : repas sacré de pain
et d’eau, ou de pain et de vin, était
symbolique du Corps et du Sang du
taureau sacré, le taurobolum.
- MITHRA, originalement Persan, plus tard adoré en Inde et à Rome.
Le Mithraïsme est en général le nom donné à l’époque Romaine, mais Mithra est une divinité
bien plus ancienne. À l’origine, (cette idole) était révéré (adoré) par les Iraniens, il s’agissait
alors (d’une divinité) bienveillant qui protégeait les justes. Du fait de cette origine Indo-
iranienne, on le retrouve dans l’Hindouisme au côté de (l’idole) Indra, dont il possède les
attributions guerrières. Pour la même raison, Mithra est présent dans le Zoroastrisme, où
(l’idole) Ahura Mazda intègre certains aspects majeurs du Mithra indo-iranien, et dans le
Manichéisme.
Le Mithraïsme fut introduit en Occident au 1er
siècle (après le Prophète Jésus) par les Romains
et devint très populaire au sein de l’armée et de la classe marchande. La première allusion
romaine à Mithra date de 96 (après le Prophète Jésus). Ce culte s’est répandu tout d’abord à
Rome, ensuite dans toute la péninsule puis dans tout l’Empire où ces transplantations donnèrent
lieu à des syncrétismes (polythéisme) locaux. Les temples dédiés à cette divinité, (appelés) les
Mithraeum, vont s’édifier du 2ème
au 6ème
siècle sur toute l’étendue de l’Empire romain.
- L’histoire de MITHRA.
Mithra naquit dans une caverne, le 25 Décembre, d’une mère vierge. Il vint du Ciel pour naître
en tant qu’homme, pour racheter les péchés des hommes. Il était connu en tant que « Sauveur »,
« Fils de Dieu », « Racheteur » et « Agneau de Dieu ». Avec douze disciples, il voyagea loin et
beaucoup en tant qu’enseignant et illuminateur des hommes. Il fut enterré dans un tombeau
d’où il s’éleva des morts, un événement célébré annuellement avec beaucoup de réjouissances.
- Le conflit Mithraïsme /Christianisme.
Le culte Mithraïque fut le plus sérieux rival des débuts du Christianisme, se répandant depuis la
Syrie, l’Anatolie et la Phrygie partout dans l’Empire romain.
Dans le livre « les Mystères de Mithra », nous lisons : « Si le Christianisme eût été arrêté dans
sa croissance par quelque maladie mortelle, le monde eût été Mithraïste » (Les mystères de
Mithra, Franz Cumont, Les introuvables, Éditions d’aujourd’hui, 1985)
- Le besoin d’unir le Paganisme et le Christianisme.
Pour apporter la paix interne à l’Empire, l’Empereur Constantin 1er (qui adoré le Soleil/Solis
invictis/ le Soleil invincible) donna statut officiel au Christianisme, il a déclaré le Christianisme
comme étant la religion de l’état. Constantin 1er a forcé tous les Païens de son empire à être
baptisés dans l’Église romaine, mais Constantin 1er savait qu’il y avait un besoin d’unir le
Paganisme et le Christianisme. L’Église romaine corrompue était remplie de Païens convertis
d’apparence, maintenant, tout en mascarades, comme étant des « Chrétiens », qui tous devaient
être pacifiés. Quelle meilleure façon de « Christianiser » leurs idolâtries païennes (1). Ainsi, les
religions Babyloniennes mystérieuses furent introduites par Constantin 1er débutant en 313
(après le Prophète Jésus), et établirent une position avec le conseil de Nicée en 325 (après le
Prophète Jésus).
- Constantin 1er et l’Église romaine : corruption du Christianisme pour le rendre plus savoureux
au Païens converti par la force.
Le Christianisme a dû subir une transformation pour que la Rome alors païenne puisse se
« convertir » sans pour autant abandonner ses anciennes croyances et rituels. L’effet actuel était
de paganiser le Christianisme officiel. Une religion combinée avait été fabriquée, de laquelle…
le Christianisme fournissait la nomenclature, les doctrines et droits du Paganisme. (2)
- L’introduction des doctrines Païennes et des fêtes Païennes.
Les fêtes Païennes furent recalcifiées comme des fêtes Chrétiennes. En 375 (après le Prophète
Jésus), l’Église de Rome sous le Pape Julius 1er annonça simplement que la date de naissance du
« Christ » fut « découverte » être le 25 Décembre, et était accepté comme tel par les « fidèles ».
Le festival (païen) de Saturnalia et l’anniversaire de Mithras pouvaient maintenant être célébrés
comme « l’anniversaire du Christ » ! (3)
Quant aux statues, la nudité Païenne fut couverte avec le costume d’une Christianité déformée.
Les coutumes Païennes impliquant vêtements, chandelles, encens, images, et processions étaient
toutes incorporées dans l’adoration de l’Église et se poursuivent aujourd’hui même.
Les rituels Païens et idoles, prirent des noms Chrétiens ! -Le Prophète Jésus était présenté
comme le Soleil de la divinité (Malachi 4:2) remplaçant l’idole du Soleil, Sol invictus-.
- Les Païens adhérents au Christianisme.
Les Païens sont venus en masse dans les endroits Catholiques d’adoration, ils étaient en effet
encore capables d’adorer leurs dieux (divinités ou idoles imaginées et fabriquées), mais
simplement sous de différents noms. Cela ne leur importait guère s’ils adoraient la déesse mère
Égyptienne et son enfant sous les anciens noms d’Isis et Horus, ou sous les noms de la « Vierge
Marie » et « l’enfant Christ ». D’une façon ou l’autre, c’était la même ancienne idole-religion.
(4)
- Conclusion.
Ce qui est clair, c’est que la doctrine Chrétienne d’aujourd’hui est un parfait mélange entre les
religions Païennes de Rome et de la pure foi du Prophète Jésus (paix sur lui) et de ses apôtres »
(Fin citation : http://www.aimer-jesus.com/jesus_mithras.php)
NOTES RIBAAT :
(1) : «…L’Église romaine corrompue était remplie de Païens convertis d’apparence,
maintenant, tout en mascarades, comme étant des « Chrétiens », qui tous devaient être pacifiés.
Quelle meilleure façon de « Christianiser » leurs idolâtries païennes…» :
Cette ruse des idolâtres, entamée par Constantin 1er et qui consiste à fusionner des idoles
païennes et catholiques, existe ailleurs, après la propagande du Vatican romain ! Prenons par
exemple l’histoire des idolâtres d’Afrique, en passant par l’île de Cuba. Lors de l’esclavage des
déportés d’Afrique, embarqués comme des sardines dans les bateaux des chrétiens et athées
sans pitiés au 19ème
siècle, certains de ces esclaves égarés emportés avec eux, le culte Yoruba.
Originaires de la région du Nigeria actuel, ces déportés n’avaient pas le droit de vénérer leurs
idoles en terre d’Amérique, fraîchement colonisée par l’Europe. Pour exercer en cachette leurs
rites et les sacrifices dédiés à leurs divinités qu’ils avaient inventés, ces idolâtres Africains ont
fusionné leurs innombrables fétiches ou idoles appelés les ORISHAS avec les idoles
CATHOLIQUES. C’est très exactement la même ruse du messager de Satan, le dénommé
Constantin 1er, plus de 2000 ans auparavant, lors de la fusion de l’idole du Soleil, suspendu
sur les têtes statués ou imagés de Jésus, sa mère Marie et d’innombrables personnalités
catholiques et imaginaires. Ceci est dû au fait, qu’il n’existe qu’une seule communauté
mécréante, qui rassemble en tout temps et en tous peuples, les moindres faites et gestes païens
de génération en génération. Finalement, dans l’île de Cuba, où furent notamment déportés une
partie de ces esclaves, ses habitants adoptèrent les idoles Orishas, sous le vocal de
Santeria vénézuélien et ses dérivées. En effet, Satan/Iblis le djinn ne connaît aucune limite à
propager cette ruse pathétique !
(2) : «…Une religion combinée avait été fabriquée, de laquelle… le Christianisme fournissait la
nomenclature, les doctrines et droits du Paganisme….» :
Cette doctrine combinée est connue de tous, il y a un seul mot pour le décrire, le
CATHOLICISME ! En effet, le mot « Catholique » veut dire « Universel », c’est-à-dire dans
l’absorption des idéologies et doctrines païennes qu’elle trouvera sur son passage. Pour plus
d’information à ce sujet, reportez-vous à mon « Livre 13 : La Lignée de sang Illuminati, au
service des Jésuites/Juifs noachides » 1er
Édition Octobre 2012 »
(3) : «…Les fêtes Païennes furent recalcifiées comme des fêtes Chrétiennes… » :
Innombrables sont les fêtes chrétiennes et acolytes dont le plus important est Noël, calquées
depuis les fêtes païennes à l’origine ! En effet, les autres rites de l’Assomption, l’Épiphanie, la
Toussaint c’est-à-dire la fête ou culte des morts, transformé en Halloween aux États-Unis,
l’Annonciation, Pâques, etc…Tous font partie intégrante de l’idolâtrie mondiale. Pour plus
d’information à ce sujet, reportez-vous à mon « Livre 05 : Le Vatican : Corruption,
Mythologie et Satanisme » 1er
Édition Août 2012 »
(4) : «… Les Païens sont venus en masse dans les endroits Catholiques d’adoration,…Cela ne
leur importait guère s’ils adoraient la déesse mère Égyptienne et son enfant sous les anciens
noms d’Isis et Horus, ou sous les noms de la « Vierge Marie » et « l’enfant Christ ». D’une
façon ou l’autre, c’était la même ancienne idole-religion… » :
Cette manière de créer des noms pour en adorer d’autres, sera utilisée aussi dans le monde
chrétien, ces derniers créeront à leur tour, d’innombrables « Notre Dame de untel… » pour
sanctifier et adorer la Vierge Marie et le Prophète Jésus (paix sur eux) à travers le monde. C’est
une double idolâtrie ! Mais alors qui est le plus « puissant » des deux pour une même statue
invoquée, le nom païen ou le nom d’une personne qui a vécu sur terre ? Est-ce qu’une idole peut
faire scission avec son faux jumeau, ou bien, la statue entière ?
Ainsi, les mécréants se perdent constamment dans les illusions de Satan/Iblis le djinn lapidé.
L’histoire continue :
NOËL : LA FÊTE MONDIALE ET DÉSENCHANTÉE DU 25 DÉCEMBRE
- La poudre ou neige aux yeux.
Généralement, les enfants chrétiens suivent ce que leurs parents leur avaient enseigné, sans
jamais remettre en question le mirage de Noël ! C’est ce qui arrive malheureusement, chez les
parents athées, juifs…Mais aussi ceux qui se considèrent « musulmans ». Pire encore, des
musulmans qui prient quotidiennement notre Créateur sans associé, mais considèrent la fête de
Noël comme étant « inoffensif » ou parfois « légitime », sans réfléchir à leur environnement.
Les questions s’enchaînent :
D’où vient cette doctrine de Noël ? À partir de quelle date débuta Noël ? Est-ce que je peux
fêter Noël ou la dénoncer, mais alors qu’elles sont les preuves ? Peut-on être croyant et ignorant
à la fois ? Noël est-elle vraiment une fête satanique, athée, chrétienne, juive ou musulmane ?
Mais surtout, la question primordiale pour l’humanité, où nous vivons un test sur terre, et de
savoir :
Est-ce que je peux réfléchir au monde qui m’entoure ; le ciel au-dessus de ma tête ; le sol sous
mes pieds ; le sol plus bas que la mer ; ainsi que ma propre existence, loin du traditionalisme
radical ? Mais aussi, l’univers et tout ce qu’il contient, de visible et d’invisible ? Notre Créateur
Unique, dans Sa dernière révélation, dit admirablement :
« À Allah appartient le royaume des cieux et de la terre. Et Allah est Omnipotent. En
vérité, dans la création des cieux et de la terre, et dans l’alternance de la nuit et du jour, il
y a certes des signes pour les doués d’intelligence, qui, debout, assis, couchés sur leurs
côtés, invoquent Allah et méditent sur la création des cieux et de la terre (disant) : ‹Notre
Seigneur ! Tu n’as pas créé cela en vain. Gloire à Toi ! Garde-nous du châtiment du Feu. »
(Coran : sourate 3 Al-Imran, versets 189 à 191)
Mettons immédiatement en pratique, cette parole citée dans la Bible des chrétiens :
« Examinons toutes choses et retenons ce qui est bon. » (I Thessaloniciens 5:21)
Ainsi ce qui devrait être bon pour l’humanité, est l’étude de l’Unicité (Tawhid) de notre
Créateur Unique, loin des contes des milles et un mythe. En effet, examinons minutieusement
ce qui est vrai et ce qui est faux pour rendre lucide un croyant et une croyante, ainsi qu’un
rappel pour toutes personnes qui prêtent l’oreille attentive, et désireuses de connaître notre
véritable Créateur, qui est le but de la vie sur terre.
À présent, étudions au peigne fin cette fête de Noël décrypté.
L’ORIGINE MYTHOLOGIQUE DE NOËL
Que dit, « l’Encyclopaedia Universalis » de langue française, 17ème
Édition depuis 1966 au sujet
de Noël :
« Fête solennelle de la naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 Décembre dans toutes
les Églises chrétiennes depuis le 4ème
siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête
Païenne du Solstice d’hiver appelé « Naissance (en latin, Natale) du Soleil », car celui-ci semble
reprendre vie lorsque les jours s’allongent… ». (www.encyclopaedia-universalis.fr)
Par ailleurs, nous apprenons dans « l’Encyclopaedia Britannica » de langue anglaise, de 1768 à
1900 au Royaume-Uni, depuis 1901 aux États-Unis avec son vocabulaire britannique conservé,
15ème
Édition, volume 10, pages 1062 et 1063 :
« La chrétienté…par un processus complexe et graduel…devint la religion officielle de
l’Empire (romain). Pendant un certain temps, les pièces de monnaies ainsi que d’autres
monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes avec l’adoration du SOLEIL, pratique
à laquelle CONSTANTIN s’était adonné auparavant. Mais même après cette période, le
Paganisme romain continua d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le
calendrier Ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals pré-chrétiens
(c’est-à-dire du Paganisme), notamment NOËL, qui inclut un mélange d’éléments des
SATURNALES et de l’anniversaire de MITHRA. Mais plus encore, la branche dominante de la
chrétienté occidentale (l’Église catholique romaine : LE VATICAN) doit à la Rome ancienne
sa discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité. » (www.britannica.com)
En effet, l’idole Mithra est l’un des noms que donnés les idolâtres pour vénérés le Soleil et fût
ainsi divinisé, appelé parfois « divinité du feu », ainsi plusieurs noms différents pour une même
idole fabriquée, peut exister chez un seul peuple idolâtre, que dire des autres ?! Dans la période
noire de la Mythologique mondiale, les nations impures, tels que l’Empire égyptien et romain,
l’appeler RÉ parfois HORUS, ou VULCAIN parfois SOL. Chez les idolâtres Grecs, ils le
nommeront CHRONOS, les idolâtres Phéniciens pour SATURNE, les idolâtres Druides ou
Celtes pour MOLOCH parfois BAAL, les idolâtres Nordique pour SOL, les idolâtres Sumériens
pour SHAMASH, les idolâtres d’Asie centrale pour MÈRE SOLEIL, les idolâtres du Japon
pour KAMI AMATERASU ; les idolâtres Aztèques pour, et accrochez-vous bien…
HUITZILOPOCHTLI ! L’astre du Soleil divinisé, est parfois accouplé à un attribut inventif
quelconque tel que « divinité de la guerre, etc. ». Mais alors, il semblerait que toutes ces idoles
se contredisent, selon les caprices de chacun ? Où est la réalité pure dans les illusions impures
de Satan/Iblis le djinn laid et crasseux ?
Mais le plus ahurissant est de voir que les idolâtres Babyloniens imaginent que l’un de leur
tyran nommé Mimrod, après sa mort, fut « réincarné » par l’intermédiaire de son fils, en tant
que THAMMUZ, en la divinité du Soleil ! De la même manière que chez les idolâtres Hindous
imaginent dans l’un de leur conte de fées, que Karni Mata, une Hindou née au 14ème
siècle de la
caste Charan, fut « réincarnée » en déesse DURGA, cette dernière demanda à l’idole YAMA de
« réincarner » l’âme des fils décédés, des conteurs, bardes et poètes, sous la forme de RAT
VIVANTS, sales et crades, vénérés en masse dans les temples Hindous au milieu des
excréments. Incroyable mai vrai ! Eux-mêmes inventeront aussi le culte du Soleil version
Hindou, par son acolyte SURYA.
Prenons un nom parmi ceux attribués abusivement à l’astre du Soleil qui fut divinisé par la
communauté mécréante : L’idole MITHRA au temps des Romains sans cervelle ! Parmi les
rites Mithriaques, il y a l’utilisation de l’Astrologie ignorante, en effet l’idole du Capricorne
imaginé dans le ciel par des points astraux, symbolise aussi un Solstice d’hiver. Dans la partie
« Les religions orientales dans l’Empire romain », nous lisons :
« Les adorateurs de Mithra reconnaissaient une divinité unique manifestée par la lumière des
astres, surtout le SOLEIL, brillant et invincible, ennemi de la nuit et des démons… Les prêtres
enseignaient que par la pratique de certains rites de purification, d’abstinence et de communion
on pouvait participer à la nature des astres lumineux et immortels. À Rome, le temple de Mithra
était creusé sous le mont Capitolin (de l’Empire romain), les mystères Mithriaques se célébrant
dans une caverne, à proximité d’une source. » (Site web : http://karl.claerhout.pagesperso-
orange.fr/page1bis3.htm)
Ainsi, les adorateurs de Mithra dans leur illusion, imaginaient ne faire « qu’un » avec les astres,
notamment le Soleil divinisé. En plus de la fête du Soleil divinisé, l’Église catholique romaine
s’inspirera des rituels Mithriaques, tel que le repas du Dimanche, qui est le jour du Soleil,
comprenant du pain et du vin, sous les couvertures de « l’Eucharistie chrétienne » pour le repas
et du « jour du Seigneur » pour le repos du Dimanche, notamment la messe à l’Église. Mais
ailleurs, les idolâtres Égyptiens avaient aussi leur Solstice d’hiver, sous l’apparence de l’idole
HORUS parfois RÉ, sponsorisé aussi par un Soleil, à ce moment-là, ces incrédules donnes en
offrandes des gâteaux ronds pour la déesse ISIS imaginaire ; et bien l’Église catholique romaine
reprendra ce rite sous couverture « d’Hostie » transformé en pain rond, que tous fidèles
chrétiens ingurgitent dans leur estomac. Ce n’est pas fini, les Bouddhistes imaginent des traits
distincts dans leur idole de BOUDDHA, part le signe de la main dite « Prithivi » ou « Surya
mudra » ; et bien l’Église catholique romaine reprendra à l’identique, ce signe idolâtre, attribué
faussement au Prophète Jésus (paix sur lui) dans l’un de ses nombreux portraits fictifs !...Je ne
vous assommerez pas avec TOUS les autres exemples de paganisme reprit par le VATICAN, le
but est de comprendre la mythologie de Noël intimement lié à l’histoire du paganisme de
l’Église de Rome et tous ceux qui le suivront jusqu’en Enfer, s’ils persistent ainsi, sans revenir
vers l’adoration de notre Créateur qui n’a pas d’associé dans tout l’univers. En serait-il
autrement ?
Après la confirmation historique du paganisme catholique, citons « l’Encyclopédia
Americana », de langue anglaise depuis 1829, dans l’Édition de 1956 à propos de la célébration
de Noël, si oui ou non, fut-elle légale au début de la mission prophétique de Jésus (paix sur
lui) ; suivant cet extrait :
« NOËL…ne fut pas observée pendant les premiers siècles puisque l’usage était, en général, de
célébrer la mort de personnes importantes plutôt que leur naissance…une fête fût établie pour
cet événement (la naissance du Christ) au 4ème
siècle. Au 5ème
siècle l’Église de l’Ouest ordonna
que la fête soit célébrée perpétuellement le jour des rites Mithriaques (culte de l’idole Mithra)
de la naissance du SOLEIL (divinité du feu sous l’aspect de Mithra) ainsi qu’à la fin des
Saturnales, puisqu’il n’y avait aucune certitude quant à la date exacte de la naissance du
Christ. » (http://onlinebooks.library.upenn.edu/webbin/metabook?id=encyamer)
Bien évidemment, la réponse est NON ! C’est à juste titre que Allah notre Créateur et Vrai Dieu
Unique, dit :
« Et si jamais le Diable t'incite (à agir autrement), alors cherche refuge auprès de Allah ;
c'est Lui, vraiment l'Audient, l'Omniscient. Parmi Ses merveilles, sont la nuit et le jour, le
Soleil et la Lune : ne vous prosternez ni devant le Soleil, ni devant la Lune, mais
prosternez-vous devant Allah qui les a créés, si c'est Lui que vous adorez. » (Coran :
sourate 41 Fussilat, versets 36 et 37)
Rappelons que le calendrier Grégorien fête Noël le 25 Décembre, alors que le calendrier Julien
fête Noël plutôt le 06 Décembre ; selon les sectes chrétiennes dans le monde qui divinisèrent le
Prophète Jésus (paix sur lui). Nous en reparlerons…
- Les sacrifices d’enfants au nom du Soleil divinisé.
Ci-dessus, à gauche une représentation Romaine de l’idole du Soleil invincible (Solis invictis)
et ces rayons lumineux entourant sa tête sculptée. De la même manière, à droite l’idole dressée
du vice et de la débauche, dite « statue de la Liberté » aux États-Unis, s’inspire en partie de la
Mythologie mondiale.
Dans l’un des rites horribles de l’adoration du Soleil associé au feu, suivant ces différents noms,
nous lisons dans l’extrait du livre « Les Deux Babylones », écrit en 1853 par le théologien
britannique Alexander Hislop (1807-1865), connu pour ses critiques à l'égard de l'Église
catholique romaine, il dira à la page 231 :
« Maintenant, ceci est en concordance exacte avec le caractère du dirigeant suprême de ce
système d’adoration du feu. (Exemple le tyran) Nimrod, en tant que représentation du feu
dévorant, auquel les victimes humaines, tout particulièrement des enfants, étaient offertes en
sacrifice, était considéré comme le grand dévoreur… Il était, bien entendu, le vrai père de tous
les dieux Babyloniens ; et, qui par la suite a toujours été universellement considéré en tant que
tel. En tant que « Père des dieux », il fut, comme nous l’avons vu, appelé CHRONOS (un autre
nom du feu divinisé). Tout le monde connaît l’histoire classique de celui qui simplement
« dévorait ses fils aussitôt qu’ils naissaient ». (Lempriere Classical Dictionnary, Saturn)…Cette
légende possède encore un sens plus profond ; toutefois, appliqué à Nimrod, dit « le Cornu »,
cela fait simplement allusion au fait que, en tant que représentation (des idoles) MOLOCH ou
BAAL, les enfants étaient l’offrande la plus acceptable sur son autel. Nous possédons
suffisamment de tristes preuves à ce sujet à partir des archives de l’Antiquité. « Les
Phéniciens » disaient Eusèbe, sacrifiaient chaque année leurs nouveau-nés bien-aimés à
Chronos ou SATURNE… celui qui s’approchait du feu recevait une lumière de la part de la
divinité… par ce feu divin toutes les taches (péchés) dues aux générations précédentes
pouvaient être effacées. » (« The Two Babylons; or, the Papal Worship proved to be the
worship of Nimrod and his wife » Edition Edinburgh, 1853 , puis 1858 & 1919)
Dans son livre, Alexander Hislop vise le Vatican et démontre que l'Église catholique romaine
provient du culte de Nimrod et de son enfant…Par ailleurs, citons un écrivain encore plus
ancien, le poète et pamphlétaire anglais John Milton (1608-1674), auteur du poème « Le Paradis
Perdu » de 1667 concernant l’idole Moloch, adorer chez les Druides en tant que divinité du
Soleil/feu, il déclarera :
« D’abord s’avance (l’idole) Moloch, horrible roi, aspergé du sang des sacrifices humains et des
larmes des pères et des mères, bien qu’à cause du bruit des tambours et des timbales
retentissantes le cri de leurs enfants ne fût pas entendu lorsqu’il les passait par le feu devant
cette sinistre idole. » (« Paradis perdu » A Quebec, chez Samizdat, vis-à-vis le Cap-Rouge,
M.M.XII avec approbation et privilège du roi, 1667 -traduction et remarques de
M.Chateaubriand-)
Concernant les sacrifices humains, à nouveau « l’Encyclopaedia Britannica », sous la rubrique
« Druides », explique que :
« Druides, la classe instruite des anciens Celtes, dont le nom signifie Connaître (ou Trouver le
chêne). On dit qu’ils fréquentaient les forêts de chênes et agissaient en tant que prêtres,
enseignants et juges. Les archives les plus anciennes au sujet des Druides proviennent du 3ème
siècle av. J.-C… Les Druides étaient en charge des sacrifices publics et privés et plusieurs
jeunes hommes allaient vers eux pour être instruits. Ils jugeaient toutes les querelles privées et
publiques et prononçaient les sentences… La principale doctrine des Druides était l’immortalité
de l’âme… (Ils) offraient des victimes humaines pour ceux qui étaient gravement malades ou en
danger de mort dans les batailles. D’énormes paniers d’osier étaient remplis d’hommes vivants
pour être ensuite brûlés. Bien que les Druides choisissent préférablement des criminels, ils
sacrifiaient aussi des victimes innocentes, si nécessaire. » (Fin citation)
Les idolâtres de tout temps, qui divinisèrent le tyran Nimrod, en lui donnant différents noms à
travers l’histoire ; illusoirement incarner en divinité du feu ou Soleil peu importe ; sacrifier
donc leurs enfants innocents et des hommes dans le feu, pour laver les péchés de leurs ancêtres,
morts dans la tombe, ou d’autres faux espoirs ! Au lieu d’invoquer notre Créateur Allah le Dieu
Unique, qui pardonne tous les péchés, si l’on vient sincèrement repentant à Lui, tout en étant
croyant et croyante, loin des crimes invraisemblables des sacrifices humains. C’est ainsi, que
l’historien romain très ancien, d’origine judéenne de confession juif Joseph fils de Matthatias le
Prêtre, connu en latin sous Flavius Josèphe (100-37 av J.C), dans son livre « les Antiquités
Judaïques » décrit le rôle que jouèrent le tyran Nimrod et l’idolâtrie qui infesta les
enseignements du Prophète Moise (paix sur lui) à cause du Talmud kabbalistique, comme elle
infesta les enseignements du Prophète Jésus (paix sur lui), à cause du Vatican catholique et les 4
Évangiles trompeurs selon Matthieu, Marc, Luc et Jean ! (« Les Antiquités Juives » (ou
Judaïques) 1er
siècle avant J.C, traduction Étienne Nodet, livres I à XI, Éditions du Cerf,
1992-2010)
- Le cannibalisme au nom du Soleil divinisé.
Quand le peuple juif, s’enfonça de plus en plus dans l’idolâtrie, ils adoptèrent l’idole de BAAL,
un autre nom du Soleil divinisé. De retour au livre « Les Deux Babylones » d’Alexander
Hislop, à la page 232 :
« C’était un des principes de la loi mosaïque, un principe qui découlait sans aucun doute de la
foi des patriarches, que le prêtre devait partager tout ce qui était offert en tant que sacrifice
d’expiation (Nombres 18 :9-10). Donc, les prêtres de Nimrod (sous l’idole Baal) avaient aussi
l’obligation de manger les victimes des sacrifices humains, et c’est ainsi qu’est né le mot
« Cahna-Bal », (c’est-à-dire) Prêtre de Baal, dans notre propre langue (Hébraïque) pour
désigner ceux qui mangent de la chair humaine. » (Fin citation)
Ainsi, « Cahna-Bal » qui veut dire, un Prêtre juif de Baal ou Prêtre-Bal, sera inspiré pour la
traduction française, par Cannibale ou Canni-Bale. Stupéfiant n’est-ce pas, une idole juive se
retrouve dans un mot français ! À ce propos, Allah le Dieu Unique décrit le Prophète Élie (paix
sur lui) envoyé aux enfants d’Israël, pour redresser les pécheurs par le rappel. Le Bien Informé
dit :
« Élie était, certes, du nombre des Messagers. Quand il dit à son peuple : ‹Ne craignez-
vous pas [Allah] ?› Invoquerez-vous Baal (une idole) et délaisserez-vous le Meilleur des
créateurs, (alors que) Allah, votre Seigneur et le Seigneur de vos plus anciens ancêtres ?›
Ils le traitèrent de menteur. Et bien, ils seront emmenés (au Châtiment). Exception faite
des serviteurs élus de Allah. Et Nous perpétuâmes son renom dans la postérité : ‹Paix sur
Élie et ses adeptes›. Ainsi récompensons-Nous les bienfaisants, car il était du nombre de
Nos serviteurs croyants. » (Coran : sourate 37 As-Saffat, versets 123 à 132)
Ci-dessus, l’idole BAAL parfois appelé MOLOCH adoré par différents peuples païens, puis
adopté chez les juifs dans l’idolâtrie mondiale, où furent inutilement sacrifiés d’innombrables
êtres humains, des enfants et nouveau-nés, comme du bétail sous le coup des tambours visibles
sur cette image épouvantable.
…Ceci étant dit, toutes ces divinités inventées aux noms variés en rapport avec la Saison
hivernale, fait partie intégrante des fêtes dites « Saturnales » pour célébrer l’entrée du Soleil en
hiver, appelé aussi « divinité du feu » à travers les âges ! Elle terminera sa course folle, par le
terme contemporain de NOËL, sous prétexte de « célébrer la naissance de Jésus » en hiver, ce
qui est faux et vous le verrez par la suite !
- Petite résistance face au Soleil divinisé.
Pendant un certain moment de l’histoire, certaines personnes réfléchissaient un peu plus que
d’autres ! En 1643, le parlement Britannique avait officiellement aboli la fête de Noël,
puisqu’elle le considérait justement non-chrétienne. Chez les puritains (un mouvement
protestant) de la Nouvelle-Angleterre (nord-est des États-Unis), la doctrine de Noël était rejetée.
En 1659, par exemple, ils ne toléraient pas la célébration de Noël dans toute la colonie de la
Baie de Massachussetts ; sous peine d’amende et de la prison. Puisqu’ils connaissaient l’origine
mythologique de Noël, et sa vraie nature païenne, transformée en « fête papiste » !
Une fête Papiste idolâtre, c’est-à-dire, une innovation du Pape blanc (Pope), lui-même étant
aussi une innovation, des mensonges sur le compte du Prophète Jésus (paix sur lui), innocent
des faux héritiers successifs des Papes « blancs » et leurs caprices, il y a plus de 2000 ans !
Innocent aussi, des récents généraux Papes « noirs » Jésuites/Juifs noachides et leurs complots,
il y a plus de 400 ans ! Mais encore innocent de l’occulte Noël, inscrit ni dans l’Ancien
Testament, ni dans le Nouveau Testament, et encore moins dans le Dernier Testament, le saint
Coran qui est la dernière révélation Divine, protéger par Allah Lui-même, et qui confirme,
corrige et abroge toutes les anciennes écritures révélées.
Malheureusement, le peuple d’Amérique succombera progressivement à cette énième idolâtrie,
aspiré par Noël, c’est 200 ans plus tard en 1856, que les gens de Boston cessent de travailler le
jour de Noël. Finalement toute l’Amérique aujourd’hui en ce début du 21ème
siècle puis une
grande partie du monde, sont colonisées par ce MYTHE INFERNAL ! Ce à quoi, le renommé
historien Américain Will Durant (1885-1981) confirme dans ses recherches monumentales, à
partir de la page 240 : « Le Christianisme n’a pas détruit le Paganisme ; il l’a adopté… »
(Histoire de la civilisation « The Story of Civilization », 10 tomes en 32 volume, commencé
en 1929, puis achevée en 1979 ! Extrait du volume IX, Durant, Editions Rencontre,
Lausanne 1963)
Tout est clair ! Sur terre donc, ils existent des gens qui réfléchissent comme ils existent des gens
qui fléchissent ! N’est-ce pas vrai à présent ? Souhaitons à ceux qui fléchissent le retour à
adorer notre Créateur Unique, et souhaitons à ceux qui réfléchissent la guidance continue et
éclairée de l’Islam, Religion de tous les Prophètes successifs, amine.
Par contre et j’insiste, il est formellement déconseillé de résister au Soleil, sans préalablement
avoir une bonne paire de lunette de Soleil, afin de passer de bonnes vacances d’été, loin des
mythes de l’hiver ! Est-ce que quelqu’un au bord d’une plage, voudrait mettre une paire de
lunette de Soleil en plein hiver ? Alors abandonner vite la mythologie de Noël en plein hiver,
même si les idolâtres devaient déplacer ce rituel en plein été !….Avouez que tout ceci rime
intelligemment bien dans vos oreilles attentives, et qui méditent d’un cœur sincère,
proportionnellement au sujet qui nous intéresse ici pour votre Libération Intellectuelle !
Et pourtant, le décryptage ne fait que commencer.
L’ORIGINE DU 25 DÉCEMBRE DE NOËL
Dans « l’Encyclopédie Catholique » publiée depuis 1839 en 18 volumes, sous la direction de
l'abbé Jean-Baptiste Glaire et du vicomte de Walsh, citons l’Edition de 1911 sous la rubrique
« Noël », nous lisons :
« Noël n’était pas une des premières fêtes de l’Église…les premières preuves de son existence
proviennent d’Égypte… Les coutumes païennes de la période des calendes de Janvier se
déplacèrent vers Noël. ». (http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k200805r)
Par ailleurs, sous le titre « Jour de la Nativité », le théologien et l’un des pères de l’Église,
Origène (185-253) (après le Prophète Jésus), un des premiers écrivains catholiques admet :
«… Dans les Écritures, on ne voit personne fêter ou tenir un grand banquet le jour de son
anniversaire (celle de Jésus). Ce ne sont que les pécheurs (comme Pharaon et Hérode) qui
tiennent de grandes réjouissances, l’anniversaire du jour où ils sont nés dans ce monde ». (Le
titre complet de l’ouvrage : « Encyclopédie catholique : répertoire universel et raisonné
des sciences, des lettres, des arts et des métiers, formant une bibliothèque universelle »)
Donc, les idolâtres et les tyrans de ce monde sont les premiers à fêter leur date de naissance,
sous le vocable d’un « anniversaire », et reprit en masse par les nations aujourd’hui ! Bien
plus, les chrétiens imiteront cette tradition païenne qui n’appartient pas à l’Église, en fêtant le
jour de naissance du Prophète Jésus (paix sur lui), sous le vocable de « Noël », prenant sa
source du Solstice d’hiver, lui-même sous le vocable d’une idole issue de la mythologie, tels
que Mithra, Vulcain, Surya, etc… De la même manière que certains se considérant
« musulmans » puis les ignorants parmi la Oumma musulmane, célèbrent la naissance du
dernier Prophète Mohammed (paix et bénédiction de Allah sur lui), sous le vocable de la fête de
« Mawlid an-Nabawi » crée à l’initiative des Chiites, une secte criminel et idolâtre crée par un
Juif, des innovations dangereuses (Bid’a) et illégitimes en Islam !
Quelle date fut donc choisie pour ses nombreuses idoles fictives, et superposer sur le compte du
Prophète Jésus (paix sur lui) ? Dans « l’Encyclopaedia Britannica », Édition 1946, il est dit :
« Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de l’Église… Certains Latins, aussitôt qu’en
354, ont peut-être transféré l’anniversaire du 6 Janvier au 25 Décembre qui était alors une fête
Mithriaque (date de fabrication de l’idole Mithra)…ou l’anniversaire du SOLEIL invincible
(Solis invictis)…Les Syriens et les Arméniens, qui retinrent le 6 Janvier (pour la naissance de
Jésus), accusent les Romains d’adoration du Soleil et d’idolâtrie, soutenant… que la fête du 25
Décembre avait été inventée par les disciples de Cérinthus… » (Fin citation)
L’Église catholique romaine et son Vatican ont donc décidé que le Prophète Jésus (paix sur lui)
serait né, un soi-disant « 25 Décembre » propice à l’adoration du Soleil divinisé. Qu’il s’agisse
du 6 Janvier ou du 25 Décembre n’est pas le problème, l’engrenage consiste à voir dans ce
festival païen du Soleil sous Mithra et ses acolytes vénérés des siècles avant la naissance du
Prophète Jésus (paix sur lui) ; sont faufilés jusque dans les entrailles du Vatican catholique et
chez les branches chrétiennes, et tous reconnus comme tels !
En 1989, l’auteur et scientifique américain, Dr William A. Gutsch Jr, 67ème
président du
Muséum américain d'histoire naturelle (American Museum of Natural History) fondée en 1877
à New York, confirme l’origine païenne du 25 Décembre de Noël, il dit :
« Les premiers Romains ne célébraient pas Noël mais plutôt une fête païenne appelée
Saturnales. C’était une fête annuelle qui se tenait au début de l’hiver, ou du Solstice d’hiver.
C’était la période pendant laquelle le Soleil avait emprunté le chemin le plus bas au-dessus de
l’horizon et où les jours commençaient à allonger annonçant par cela une autre saison de
croissance. Si plusieurs des ornements des Saturnales ressemblent, d’une façon ou d’une autre,
à ceux que nous avons aujourd’hui, nous savons maintenant où nous avons emprunté… nos
traditions des fêtes. En réalité, on a suggéré que bien que le Christ ne soit fort probablement pas
né à la fin Décembre, les premiers chrétiens, étant toujours une secte hors-la-loi, avaient changé
la date de la célébration de Noël pour celles des Saturnales afin de ne pas attirer l’attention sur
eux pendant qu’ils célébraient leur propre fête. » (Témoignage publié le 18 Décembre 1989
dans le journal de Westchester, The Reporter Dispatch)
Dans la mythologie mondiale, les idolâtres fêtés le Soleil divinisé, « NATALIS INVICTIS
SOLIS », c’est-à-dire la fête de la Réincarnation du Soleil invincible. Pendant le règne du 3ème
empereur romain Caligula (12-41) (après le Prophète Jésus), ces fêtes duraient pendant 5 jours
de débauche et d’ivrognerie, généralement entre le 22 et le 27 Décembre. Pendant le
processus de christianisation de l’Empire romain, les chrétiens vont s’aligner sur le jour de la
fête du Soleil divinisé, en célébrant la naissance de Jésus entre le 24 et le 25 Décembre, ceci
pour ne pas choquer et ainsi s’aligner sur les coutumes de populations païennes, qui venaient
d’accepter « Jésus » divinisé, et ce malgré une fausse date de naissance.
Cela vous surprend ? Pourtant, un autre théologien et historien de l’Église, le protestant
américain Philip Schaff (1819-1893) dans son encyclopédie « New Schaff-Herzog
Encyclopedia of Religious Knowledge » publié en 1911, Édition Funk and Wagnalls Company,
nous trouvons aussi que :
«… la fête, solidement enracinée dans la tradition populaire, ne put être éliminée par l’influence
chrétienne. Cette fête païenne, avec sa débauche et ses réjouissances, était si populaire que les
paléochrétiens de l’Empire romain fut heureux d’avoir un prétexte pour continuer à la célébrer
sans trop changer son esprit ou sa tradition. » (PDF disponible :
http://archive.org/details/newschaffherzog09haucgoog)
Le 25 Décembre sera officiellement déclaré en tant que fête de NOËL, qui est en réalité la fête
du SOLEIL, même dans un quotidien régional Américain, « The Buffalo News » fondé en
1873, il est dit dans l’Édition du 22 Novembre 1984, au sujet du paganisme de Noël :
« La référence la plus ancienne à la célébration de Noël un 25 Décembre, est datée du second
siècle (2ème
siècle) après la naissance de Jésus-Christ. On croit que les premières célébrations de
Noël se tinrent en réaction aux Saturnales romaines, un festival des moissons à l’occasion du
Solstice d’hiver -le retour du Soleil- et pour honorer Saturne, la divinité des semailles. Les
Saturnales étaient une période plutôt chahuteuse à laquelle s’opposaient fermement les chefs
austères de la secte chrétienne encore minoritaire de l’époque. La fête de Noël, dit un érudit, a
pris de l’ampleur parce qu’elle servit à remplacer l’adoration du SOLEIL (SUN) par l’adoration
du FILS (SON) (c’est-à-dire Jésus divinisé). En 529 ap. J.-C., après que le christianisme fut
devenu la religion d’état, l’Empereur Justinien fit de Noël une fête officielle. La célébration de
celle-ci atteint son summum -certains diront son point le plus bas- pendant la période médiévale
lorsqu’elle devint une période de consommation incontrôlée et de festivités encore inégalées. »
(Site officiel : http://buffalonews.com)
Ainsi, « Sun » plus « Son » plus « Noël », ou encore l’un de ces trois divinisés, est égal à une
entrée en ENFER BIEN RÉEL, pour ceux qui acceptent l’idolâtrie ou le polythéisme sur terre,
c’est donc la « TRINITÉ DE NOËL » perdant ainsi le Paradis au Jour de la Résurrection des
hommes et des djinns ! Allah le Dieu Unique dit : « Mais le Diable veut les égarer très loin,
dans l’égarement. » (Coran : sourate 4 An-Nisa’, verset 60)
Étant donné qu’il existe plusieurs idoles pour vénérer le Soleil, qu’elles sont les noms des autres
idoles représentatives du Soleil (en dehors de Mithra), vénérées aussi un 25 Décembre ? À
nouveau citons le « New Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge », sous la
rubrique « Christmas » décrit la propagande des fêtes païennes de fin d’année :
« À savoir jusqu’à quel point la date du festival dépendait de la fête de Brumalia (25
Décembre), qui suivait immédiatement les Saturnales (17 au 24 Décembre) et, qui célébrait le
jour le plus court de l’année et fêtait le « Soleil nouveau »…ne peut être déterminé avec
précision. Les Saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans les
coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne… Le festival païen avec
ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les chrétiens du temps furent heureux
d’avoir une excuse leur permettant de continuer sa célébration avec peu de changement dans
l’esprit de la fête comme dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et
du Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle l’anniversaire de la
naissance du Christ était célébré, alors que les chrétiens de Mésopotamie accusèrent leurs frères
de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration du Soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce
festival païen. » (Fin citation)
Le 25 Décembre est donc une date respectée par les idolâtres romains, puisqu’elle fut choisie
entre autres par l’empereur Jules César (100-44) (avant le Prophète Jésus) pour fêter le Solstice
d’hiver, un autre tyran parmi d’autres. La fête de Brumalia aussi lié aux idoles de Saturne et
Mithra à cette date précise, suivie dans le Bassin méditerranéen par l’empereur Aurélien (214-
275) (après le Prophète Jésus), qui propulsa les tentacules gluantes de Satan/Iblis le djinn
lapidé, dans cette région du monde.
Par ailleurs, Joannes Laurentius Lydus ou Jean le Lydien (490- ?) (après le Prophète Jésus),
fonctionnaire et écrivain byzantin, dans l’une de ses œuvres sur l’Antiquité romaine, appelé
« De Mensibus » ou Liber de mensibus, volume IV, à la page 158, rajoute que :
« Les Brumalia sont une ancienne fête religieuse romaine célébrée le 24 Novembre en
l’honneur de Saturne, d’Ops et de Bacchus. Elles sont peut-être liées aux fêtes grecques des
Lénéennes. Les Brumalia étaient aussi célébrées durant trente jours, du 24 Novembre jusqu’au
25 Décembre, date où l’on fête la croissance de la lumière » (« Liber de mensibus », Édition
R. Wünsch, Leipzig, 1898)
Puis, le grec Choricios de Gaza (491- 518) (après le Prophète Jésus), ce référent beaucoup à la
mythologie païenne, était un rhéteur (science et art du discours) natif de Gaza en Palestine.
Après sa mort, il laissa une quarantaine de ces discours disponibles aujourd’hui, pour les uns
complets, pour d’autres mutilés. Dans son « Discours XIII », il dit que cette fête aurait été
instituée par Romulus, pour divertir le sénat durant cette période de l’année. Durant cette fête,
des prophéties étaient prises sur le reste de l’hiver. D’après Chorikios de Gaza, cette fête était
encore célébrée au 6ème
siècle ap. J.-C., sous le règne de l’empereur Justinien (« Choricius
Gazæus » Editions Richard Foerster, Eberhard Richtsteig / Opera, Teubner, Leipzig,
1929 ; réimpr. Stuttgart, 1972)
Ci-dessus à gauche l’idolâtre Flavius Valerius Aurelius Constantinus et 34ème
empereur romain,
sous le nom du criminel Constantin 1er (272-337) (après le Prophète Jésus) portant une croix
chrétienne, entouré de l’idole du Soleil invictis autour de sa tête. De la même manière, à droite
l’allemand catholique et ex-Nazi Joseph Ratzinger, sous le nom du 256ème
pape blanc Benoît
XVI (1927-…), avec l’un des symboles fétiches du Vatican en main, largement inspiré de
l’idole du Soleil et ses rayons lumineux. On se demande, si Ratzinger n’est pas en train de s’en
servir comme « loupe » ici, dans cette lecture ? Mais alors serait-il identifier plus profondément,
son égarement évident à cause de l’idolâtrie antique aspirée par le polythéisme du Vatican ?
Le Concile de Nicée en 325, qui est en fait un CONCILE DE LA MORT, persécuter et tuer
toutes personnes qui suivaient la vraie Religion unique du Prophète Jésus (paix sur lui), c’est-à-
dire l’adoration de Allah (Allaha en Araméen) notre Créateur et véritable Dieu Unique et
Miséricordieux. En effet, avec l’aide des écrits maudits du Juif Saul/Paul de Tarse (10-68)
(après le Prophète Jésus) entre autres faux-apôtres, le criminel CONSTANTIN 1er qui adorait
aussi le Soleil divinisé et qui fut l’initiateur de ce Concile de Nicée, forcer les gens à adorer
Jésus malgré lui, par sa fausse conversion au christianisme puisqu’il plaça le Soleil, objet de son
adoration fétiche, dans le culte chrétien déjà manipulé au 1er siècle, d’où la division de la
communauté de Jésus en multitude de sectes, ceci est un fait Historique et Irréfutable !
- La vraie date de naissance approximative du Prophète Jésus (paix sur lui).
Toutes ces données, vous donnent la nausée ? Attendez…Je voudrais vous soulager, l’enfant
Jésus est né, par sa mère la Vierge Marie en période chaude. En effet, totalisant 222 Chapitres,
il est écrit dans l’Évangile de Barnabé, véritable apôtre authentique du Prophète Jésus (paix
sur lui), ce qui suit :
(Chapitre 3) : « Aussi se logea-t-il hors de la ville, dans un endroit fait pour abriter les bergers.
Tandis que Joseph y demeurait, le temps arriva où Marie devait enfanter. La Vierge fut
environnée d’une immense splendeur et elle enfante son fils sans douleur. Elle le prit dans ses
bras, l’enveloppa de langes et le posa dans l’étable, car il n’y avait pas de place à l’auberge ».
(Chapitre 4) : « En ce temps-là les bergers étaient en train de veiller sur leur troupeau, selon
leur habitude »
Qu’annonce cet événement ?
La Vierge Marie et Joseph son époux, vont s’établirent hors de la ville, c’est-à-dire hors de
Bethléem dans le contexte, précisément dans une étable (ou grange) appartenant à des bergers,
occupés avec leur troupeau. La question est de savoir, peut-on trouver une cheminée dans une
étable, en plein hiver ? Et bien non, cette étable est propice à accueillir les bergers et
probablement leur troupeau, en été, quand il fait suffisamment chaud pour passer la nuit sans
craindre le froid. Ils ne leur viendraient jamais à l’esprit de dormir de nuit en plein hiver, sans
chauffage, puisque les bergers ne sortent pas aller paître leur troupeau, en plein hiver ! Dans ce
cas, la Vierge Marie qui venait d’enfanter son fils Jésus (paix sur eux) et recouvert de langes,
suffisaient amplement dans cet environnement chaud et propice à sa sécurité.
Pour prouver en partie cette réflexion, on peut mettre en parallèle un témoignage de l’Évangile
selon Luc surgit beaucoup plus tard, et choisi par l’Église catholique, dans la Bible de
Jérusalem qui mentionne qu’au moment de la naissance de Jésus, les bergers étaient dehors avec
leur troupeau, pendant la période chaude propice, comme le prouve (Luc 2:8) : « Il y avait dans
la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les
veilles de la nuit »…CECI est bien confirmé au début du (Chapitre 4) de l’Évangile de Barnabé,
déjà mentionné. Si les bergers sortent leurs troupeaux c’est pour que les bêtes broutent
seulement ! Inversement, les saisons de pluie sont plutôt une période froide, comme stipulées
dans un autre contexte issu de (Esdras 10:9) à titre d’exemple.
Enfin, la dernière révélation, le saint Coran confirme que la naissance de Jésus, c’est effectuée
en été ou tout du moins aux saisons propices à la récolte. En effet, des dattes fraîches et mûres
ainsi qu’une source, étaient présentées à la Vierge Marie qui en mangea avant d’accoucher son
fils :
« Mentionne, dans le Livre (le Coran), Marie, quand elle se retira de sa famille en un lieu
vers l’Orient. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit
(Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d’un homme parfait. Elle dit : ‹Je me réfugie
contre toi auprès du Tout Miséricordieux. Si tu es pieux, [ne m’approche point]. Il dit : ‹Je
suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d’un fils pur›. Elle dit :
‹Comment aurais-je un fils, quand aucun homme ne m’a touchée, et je ne suis pas
prostituée ?› Il dit : ‹Ainsi sera-t-il ! Cela M’est facile, a dit ton Seigneur ! Et Nous ferons
de lui un signe pour les gens, et une miséricorde de Notre part. C’est une affaire déjà
décidée›. Elle devient donc enceinte [de l’enfant], et elle se retira avec lui en un lieu
éloigné. Puis les douleurs de l’enfantement l’amenèrent au tronc du palmier, et elle dit :
‹Malheur à moi ! Que je fusse morte avant cet instant ! Et que je fusse totalement
oubliée !› Alors, il l’appela d’au-dessous d’elle, [lui disant :] ‹Ne t’afflige pas. Ton
Seigneur a placé à tes pieds une source. Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber
sur toi des dattes fraîches et mûres. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse ! Si tu
vois quelqu’un d’entre les humaines, dis [lui :] ‹Assurément, j’ai voué un jeûne au Tout
Miséricordieux : je ne parlerai donc aujourd’hui à aucun être humain›. » (Coran : sourate
19 Maryam, versets 16 à 26)
Même, la Parole de Allah qui témoigne : «…et elle se retira avec lui en un lieu éloigné… ». Ne
peut s’agir que de la Vierge Marie et Joseph, dans cette étable éloignée de la ville de Bethléem.
Et Allah est plus Savant.
Finalement, l’événement du 25 Décembre correspond dans la mythologie mondiale à la
fabrication et le culte des idoles Mithra, Saturne, Ops et Bacchus entre autres, adorées
assidûment à l’époque, par les idolâtres de l’Empire barbare romain qui fêté ce jour, puis adopté
par les polythéistes de l’Église catholique romaine, correspondant à la fête païenne de Noël, sur
le compte du Prophète Jésus (paix sur lui) innocent des mécréants en tout temps.
Le Prophète Jésus (paix sur lui) est donc né en période chaude, entre le printemps en passant par
l’été et le début de l’automne. Allah Seul connaît cette date précise mais jamais en hiver, encore
moins selon une date fictive, une idole inerte et une imagination farfelue. Pour revenir sur le
vrai apôtre Barnabé et son Évangile historique portant son nom, reportez-vous à mon « Livre
44 : « L’Évangile de l’apôtre Barnabé, Édition Ribaat » 1er
Édition Mai 2016 »
L’ORIGINE DU PÈRE NOËL
Dans « l’Encyclopedia of World History », œuvre de l’historien académicien et américain
William Léonard Langer (1896-1977), définit le personnage de Saint Nicolas/Père Noël, comme
étant un surnom commun du tyran Nimrod, dans l’Asie mineure et antique. C’était aussi la
même divinité du feu/Soleil qui descendait dans les cheminées chez les anciens païens et la
même divinité du feu/Soleil pour qui des enfants ou des hommes étaient brûlés, puis mangés par
les cannibales, lors des sacrifices humains pratiqués par les idolâtres et par une partie des juifs
corrompus qui adorés l’idole Baal, au temps du Prophète Élie (paix sur lui). (Fin citation)
Sources :
- Voir l’œuvre « An Encyclopedia of World History: Ancient, Medieval, and Modern,
Chronologically Arranged. » Édition 1940, 1948, 1952, 1968, 1972, puis la 6ème
Édition
Houghton Mifflin 2001 (…)
- PDF disponible :
http://shora.tabriz.ir/Uploads/83/cms/user/File/657/E_Book/History/The%20Encyclopedia
%20of%20World%20History.pdf (…3540 PAGES) !
Puis, selon les ethnologues qui étudient les sciences humaines et sociales, notamment la
discipline de l’Anthropologie des religions, ici l’idolâtrie, le PÈRE NOËL aurait 10.000 ans
d’histoire compilé, connu chez les idolâtres Indo-européens. Imaginé le plus souvent sous la
forme d’un personnage BARBU, masqué et cornu, enveloppé de peaux de bêtes et branche à la
main. Parfois, vêtu d’une longue ROBE ; offrant des sacrifices humains et en enflammant un
ARBRE. Cependant, sa forme pouvait changer selon les âges et les peuples, par exemple dans
la Mythologie germanique, cette idole était un VIEIL HOMME à la barbe BLANCHE et vêtu
de ROUGE.
En outre, citons en ce début du 21ème
siècle, l’ethnologue française Yvonne de Syke, auteur et
spécialisée dans l'Anthropologie du rite et de la fête, déclare :
« Le PÈRE NOËL est lié, lui aussi, au Solstice d’hiver. Il est l’image d’une figure paternelle
vieillissante, prête à passer le pouvoir. Toutes les mythologies racontent l’histoire d’une telle
passation entre un vieux roi et un jeune roi, à cette époque de l’année où les jours, après s’être
amenuisés, commencent à rallonger. C’est l’occasion d’une grande fête. Car, imaginez
l’angoisse si la belle saison ne revenait pas, si les grains semés ne poussaient pas. Le Père Noël,
c’est la figure laïque de SAINT NICOLAS, un saint venu d’Asie mineure dont la légende
disait qu’il avait apaisé par ses prières une violente tempête alors qu’il entreprenait un voyage
en bateau pour rejoindre Jérusalem. En Méditerranée, il a succédé à (l’idole) Poséidon et
(l’idole) Neptune en tant que protecteur des marins. Mais lorsque son culte est arrivé en Europe
occidentale vers le 11ème
siècle, il est devenu tout autre chose : un pédagogue et la divinité par
excellence de l’hiver. Il (saint Nicolas) est toujours fêté, le 6 Décembre, dans l’Est de la France,
en Allemagne, en Autriche et aussi aux Pays Bas. Il récompense les bons enfants alors que le
PÈRE FOUETTARD bat les garnements. La transformation de ce saint, habillé tel un évêque,
en un vieillard au visage rubicond, à la barbe blanche et à la houppelande rouge s’est faite à la
Nouvelle-Amsterdam (New York aujourd’hui). C’est là que Saint Nicolas appelé SANTA
CLAUS en Hollandais, est devenu le Père Noël, figure neutre et d’une certaine façon laïque,
pour mieux correspondre à la société multiculturelle et pluriconfessionnelle de la ville. En
France, jusqu’aux années 1950, l’Église a été opposée au père Noël » (Voir les œuvres
d’Yvonne de Syke dans la symbolique des fêtes, notamment : « Fêtes et croyances
populaires en Europe au fil des saisons » Eds Bordas, Août 1994 / Mais encore : « Les dits
de Noël » Guide - relié - Hazan Eds - Juin 2001)
La véritable source de Saint Nicolas, fut à l’initiative du professeur de théologie et de littérature
grecque et orientale, et poète américain Clément Clarke Moore (1779-1863) sous un conte de
Noël à usage privée pour ses enfants, intitulé : « The night before Christmas » (La nuit d’avant
Noël), puis publié anonymement le 23 Décembre 1823 dans le quotidien de Troy, le Sentinel à
New York sous le titre « A Visit From St. Nicholas ». C’est une amie de Moore, Miss Harriet,
qui aurait copié le conte fait maison sans le consentement du père, pour le donner au directeur
du journal, à Orville L. Holly. L’initiateur Clément C. Moore l’aurait vraisemblablement écrit
entre 1821 et 1822 selon (Bowler, Gerry, op. cit., p. 232)
Écrit en 56 vers, le poème anglais en question fut publié en plusieurs maisons d’édition à
commencer par le premier :
1-Troy Sentinel (23 Décembre, 1823) / 2-McClure's Almanac (1825) / 3-Troy Sentinel
Broadsheet (1830) / 4-Clement C. Moore Poems (1844) / 5-Our American Holidays - Christmas
(1949) (Poème complet : https://en.wikisource.org/wiki/A_Visit_from_St._Nicholas)
Ainsi, Clément C. Moore créa un généreux donateur, fumant une pipe serrée entre les dents, qui
descend dans les cheminées et voyage dans les airs, au moyen d'une carriole miniature tirée par
huit rennes, prénommés Dasher, Dancer, Prancer, Vixen, Comet, Cupid, Donder et Blitzen.
Les années suivantes, plusieurs grands quotidiens américains, reprendront ce récit imaginaire
pour être traduit en plusieurs langues et diffusé dans le monde entier. L'influence de la presse
américaine transformera progressivement « un Saint Nicolas sage » au profit « d'un Santa Claus
généreux », tout en gardant l’autre culture populaire du Père fouettard. Nous reviendrons très
vite sur l’un de ses grands journaux américains et le poème de Moore revisité pour la suite
tragique des événements…
Ci-dessus, les mythes de saint Nicolas à droite et du père Fouettard à gauche, dans l’une de leur
nombreuse figuration hilarante que l’on peut trouver, ainsi que l’âne qui les accompagnent.
Posons-leur des questions : Quel est le plus bête des ânes ? L’âne qui tire saint Nicolas et le
père Fouettard ? Ou bien, le canular de cette fête un 6 Décembre ? Ou encore, tous les partisans
fanatiques de cette fête antique ?…TOUT EST CLAIR : «…pour mieux correspondre à la
société multiculturelle et pluriconfessionnelle de la ville…».
Ainsi, cette maladie de brasser les doctrines pour satisfaire les idolâtres, les laïques et franc-
maçons sataniques, en transformant l’idole de saint Nicolas en l’idole du père Noël, c’est déjà
vu auparavant dans l’histoire, quand le paganisme et le christianisme ne faisaient plus qu’un !
C’est encore une autre preuve historique, qu’il n’y a qu’une seule communauté mécréante.
L’évêque Nicolas de Myre ou Nicolas de Bari sous l’appellation de Saint-Nicolas (270-345)
(après le Prophète Jésus) existait vraiment, reconnu pour sa grande générosité, il devint au
Moyen Âge, le patron (ou divinité) des petits enfants puis des écoliers. Il serait mort un 6
Décembre, ensuite dans l’idolâtrie mondiale qui prend l’habitude de diviniser tous hommes et
femmes dans l’adoration des tombes et des saints, les gens célébrer donc la Saint-Nicolas ce
jour-là, en souvenir du défunt, devenu un « saint-patron ». Cependant au 15ème
siècle, la secte
chrétienne des protestants supprima par une réforme, la SAINT NICOLAS dans des pays
d’Europe. Mais, les Hollandais adorés toujours cette idole, appeler dans leur langue SANTA
CLAUS (ou Sinter Klaas), avec les rites de son voyage sur le dos d’un ÂNE et sa distribution
de JOUETS fictifs ! Quand la vénération de saint Nicolas/Santa Claus fut exporté aux États-
Unis par les Hollandais au début du 17ème
siècle, cette idole verra subir de nouvelles
transformations majeures pour devenir finalement…l’idole du PÈRE NOËL, et sa distribution
de jouets que nous connaissons aujourd’hui depuis des années.
Dans le monde au 21ème
siècle, les semblables de Saint Nicolas par l’innovation sont les « Rois
Mages », idolâtrés et déguisés à l’occasion au Mexique et en Espagne, et qui apportent aussi des
jouets aux enfants, à une date ultérieure, le 06 Janvier, et plutôt à dos de chameaux ou autres
animales. Mais quel voyage !...
…Ce n’est pas fini pour autant, les chrétiens qui suivent le calendrier Julien, fête carrément
Noël le 06 Décembre, donc 19 jours plutôt ! Par exemple chez le peuple russe et orthodoxe,
parmi leurs rites en ce jour, sont les chansons appelées « Koliada », elle tire sa source des
cérémonies païennes qui symbolisaient le culte des forces de la nature, en remplaçant les
symboles païens. Puis les feux de Noël, un arbre de pins Russe à la place du sapin Européen.
Quant au père Noël, il s'appelle en russe « DED MOROZ » (Grand-père Gel) idole laïque sous
le régime communiste, habillé en blanc, en rouge, en gris, en noir ou parfois en bleu.
Ajouter à cela, une énième imagination dans le folklore russe, qui est la petite-fille de Ded
Moroz, appelé l’idole « SNEGOUROTCHKA » (Petite fille ou fée des neiges) habillée de bleu
ou de blanc et engendrée par la neige ! Tout comme la « Fée des neiges », l’origine du père
Noël russe est encore une fois mythologique, c’est un CRUEL SORCIER associé aux idoles
de pierres d’origine slaves (les divinités Pozvizd, Zimnik et Korochun). Terriblement mauvais
selon les fictions des idolâtres russes, que l’imaginaire Ded Moroz congelait les gens, puis
enlevait les enfants en les emportant dans son grand sac. Pour libérer leurs enfants, les parents
apportaient des cadeaux ou offrandes au sorcier mafieux, racontés dans ces mythes malicieux !
Mais l’Église orthodoxe voit autrement dans tout ce brouillard noir, en transformant le méchant
sorcier Ded Moroz avide d’argent, en un doux Grand-père et son troïka de chevaux remplis de
cadeaux pour les enfants, similaires aux caractéristiques de Santa Claus néerlandais ! Sans
compter les émules de Ded Moroz et sa petite fille, plus ou moins modifiés chez les autres
peuples, tous pris en dérision comme de vraies mules de Satan, le djinn impénitent laissant les
mêmes traces de son passage conditionnel à travers les siècles ! De plus en plus invraisemblable
comme bricolage sans fondation n’est-ce pas ?! Finalement, les ruses des fables russes sont
aussi usées que ce faible pays, dans cet enchaînement de mot qui tombe à point nommé.
Ainsi, les différents pères Noël fictifs tels que l’ambiance de Ded Moroz russe, puis les
marchés de Noël annuels tels que l’attaque de Berlin en Allemagne le 19 Décembre 2016 en
réponse aux milliers d’innocents musulmans et musulmanes assassinés dans leur demeure,
victimes des bombardements sauvages d’Europe et des États-Unis, lâchaient lâchement en Syrie
et en Irak depuis 2014, annonce plutôt une ambiance Dead (Mort en anglais) et Morose
(Triste), révélateur dans ce jeu de mots et l’actualité qui dépassent la fiction !
Donc la coalition internationale terroriste dont fait parti la France, l’Allemagne, la Russie et
acolytes, qui persistent et sèment les massacres génocidaires ne feront que récolter les
Châtiments divins aux aguets (Loi du Talion : œil pour œil, dent pour dent, vie pour vie…) !
Allah le Juge dit : « Ne vous laissez pas battre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les
supérieurs, si vous êtes de vrais croyants. Si une blessure vous atteint, pareille blessure
atteint aussi l'ennemi. Ainsi faisons-Nous alterner les jours (bons et mauvais) parmi les
gens, afin qu'Allah reconnaisse ceux qui ont cru, et qu'Il choisisse parmi vous des martyrs
- et Allah n'aime pas les injustes. Et afin qu'Allah purifie ceux qui ont cru, et anéantisse
les mécréants. Comptez-vous entrer au Paradis sans qu'Allah ne distingue parmi vous
ceux qui luttent et qui sont endurants ? » (Coran : sourate 3 Al-Imran, versets 139 à 142)
De la même manière que ceux qui sèment et persistent dans l’idolâtrie, le polythéisme,
l’athéisme ou encore le satanisme ne feront que récolter les gênes sur terre, le malheur dans la
tombe, puis l’Enfer bien réel et plus cruel au Jour de la Résurrection de l’humanité et des
djinns, en récompense de leurs mécréances et tous leurs crimes.
…MAIS revenons sur le Père Noël laïque et le plus connu dans ce monde fou !
Aux États-Unis pour la mort et la honte, apparaîtra l’hebdomadaire et grand journal américain
« Harper’s Weekly » (A Journal of Civilisation), un magazine politique fondé en 1857 à New
York par la maison d'édition Harper & Brothers jusqu’en 1916. Les tâches qui lui sont affectées
(ou infectées) sont l'actualité étrangère et domestique, la fiction, la publication d'essais sur les
sujets les plus divers et l'humour. Au maximum de son audience et son influence, le journal
embauchera de 1862 à 1886,Thomas Nast (1840-1902), un caricaturiste, illustrateur et peintre
germano-américain, considéré comme l'un des pères de la caricature politique américaine, ou
« père fouettard » c’est selon ! Les dessins de Thomas Nast influenceront beaucoup l’opinion
publique au jeu franc-maçonnique des élections américaines, aussi, il utilisera son talent
malicieux pour le sujet qui nous intéresse ici.
Découverte la première fois en Mai 2017, ci-dessus nous distinguons « WELCOME SANTA
CLAUS » (Bienvenue Santa Claus) dans la couverture du 03 Janvier 1863 de Harper's Weekly
en haut à droite du dessin. C’est ainsi que Thomas Nast « immortalise » le premier futur Père
Noël issu d'une grande illustration intitulée « A Christmas Furlough ». Je m’aperçois aussi que
le Santa Claus américain (Saint Nicolas) qui deviendra le Père Noël international, était à la base
aux couleurs du drapeau nationaliste américain, puis garni de fourrure et vêtu d’un costume
(bonnet, haut et bas), tout en portant une barbe blanche et son large ceinturon de cuir. Tout en
distribuant des cadeaux aux soldats de l’Union Américaine.
Sources du dessin :
- http://sonofthesouth.net/leefoundation/civil-war-1863.htm (…)
- https://commons.wikimedia.org/wiki/File:1863_harpers.jpg?uselang=fr (…)
Après la popularité du Père Noël Made in America de 1863, Thomas Nast créer une autre
illustration le plus célèbre à son actif « Merry Old Santa Claus » (Joyeux vieux Santa Claus) en
train de fumée comme un toxicomane la pipe déjà imaginé dans le poème de Clément C.
Moore, le tout dans l’édition du 01 Janvier 1881 de Harper's Weekly ci-dessus. Ce regard et le
message seront mondialisés et nouvellement en tant que « Joyeux Noël », toujours accompagné
du visage souriant du Père Noël international vêtu de rouge et de blanc. Et surtout non-fumeur,
question de marketing et de propagande colonisant l’esprit des enfants et surtout l’argent des
parents !
Sources du dessin :
- https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:1881_0101_tnast_santa_200.jpg (…)
- http://www.billcasselman.com/wintergram_archive/nast_santa.htm (…)
Puis le dessinateur fera encore couler de l’encre noire…
L’ORIGINE DE LA MAISON DU PÈRE NOËL
C’est donc en 1885 que Thomas Nast dessine LE PARCOURS de Santa Claus, illustrant deux
enfants regardant sur une carte de monde, le tracé de son parcours depuis le pôle Nord jusqu'aux
États-Unis, sa résidence imaginaire était ainsi « officiellement » établie dans ce réel
ENVIRONNEMENT HOSTILE. Un an plus tard, l’écrivain américain Georges P. Webster
s’inspirera de cette fiction et précisera en 1886 que la manufacture de jouets ainsi que LA
MAISON du Père Noël, c'est-à-dire : «…sa demeure, pendant les longs mois d'été, est cachée
dans la GLACE et la NEIGE du pôle Nord », renforçant par cette invention les dessins de
Thomas Nast. Pendant 23 ans, Thomas Nast représentera dans l’hebdomadaire Harper's
Weekly, par des centaines de dessins un Santa Claus ventru et jovial à la barbe blanche et
accompagné de rennes, pour devenir finalement l’une des nouvelles idoles internationales, le
PÈRE NOËL et ses rituels que vous connaissez de nos jours.
Thomas Nast quittera le journal après une dernière illustration pour le Noël de 1886. Selon les
mots du journaliste Henry Watterson : « en quittant le Harper's Weekly, Nast a perdu sa tribune
; en le perdant, le Harper's Weekly a perdu son importance politique » (Paine, (1974). Th.
Nast, His Period and His Pictures. Princeton, Pyne Press, p. 528)
En 1890, il publie les « Dessins de Noël de Thomas Nast pour le genre humain » (Thomas
Nast's Christmas Drawings for the Human Race). Après diverses illustrations dans diverses
publications, Thomas Nast ne connaît plus le même succès et meurt misérablement en 1902, en
laissant derrière lui un mirage de plus sur terre. (Voir les œuvres « Thomas Nast: Cartoons
and Illustrations », Thomas Nast et Thomas Nast St. Hill, Dover Publications: 1974 / Mais
aussi: « Th. Nast, His Period and His Pictures», Albert Bigelow Paine, Princeton: Pyne
Press 1904)
Encore une fois, posons-leur les bonnes questions : Les Archéologues peuvent-ils déterrer
l’imagination des hommes dans la glace et la neige au pôle Nord ? Ou bien, le Père Noël est-il
un spécialiste du cache-cache sans fin ? Depuis le réchauffement climatique, phénomène naturel
de la terre dans ses cycles, les glaciers fondent à nouveau, est-ce que la maison du Père Noël
sera mise à nue dans ce cas ?...À vrai dire, c’est cette doctrine de Noël tout entière qui est plutôt
mise à nue ici même, par cette lecture et plus encore.
L’ORIGINE VESTIMENTAIRE DU PÈRE NOËL
En 1931, la firme américaine corrompue de COCA-COLA COMPAGNY accroc aux
campagnes publicitaires beaucoup plus que sa boisson empoissonnée, demanda à l’illustrateur
américain Haddon Sundblom (1899-1976) de dessiner ce vieux personnage imaginaire ; dont la
renommée grandissait là-bas aux États-Unis ; en train de boire du Coca-Cola pour reprendre des
forces pendant la distribution de jouets, dans la presse écrite puis à la télévision, notamment le
camion semi-remorque de Coca-Cola imprégné du dessin d’Haddon Sundblom. Ainsi les
enfants et les parents seraient incités à en boire davantage durant l’hiver, dans le SEUL BUT
d’attiser le chiffre d’affaires de la compagny, comme on attise le feu. (Voir l’œuvre « Dream
of Santa: Haddon Sundblom's Advertising Paintings for Christmas », 1931Ŕ1964, by
Haddon Sundblom, Barbara Fahs Charles, J. R. Taylor)
Le dessinateur l’habilla donc à la couleur de la bouteille de Satan : ROUGE et BLANC, inspiré
aussi de la mythologie mondiale, le folklore germanique d’un vieil homme à la barbe blanche et
vêtu de rouge. Pendant ce temps, certains chrétiens allèrent brûler l’effigie du Père Noël, mais
fini par s’imposer au fil du temps, à force que les Médias manipulateurs d’esprits abrutissent les
masses par la Télévision, la Radio, les Journaux, le Commerce ; etc…Les parents en premier
lieu puis les enfants ont emboîtés le pas sur le suivi aveugle de la fête païenne du « Père Noël »,
occulté par ces hommes déguisés pour l’occasion et tous différents, avec ou sans Alcool,
parfois bourrer jusqu’au bout de la nuit de Noël avec un taux d’Alcoolémie effrayant
comme vous pouvez le voir ci-dessus ! Tout comme dans l’antiquité «…pendant 5 jours de
débauche et d’ivrognerie » et par ailleurs : «…une période de consommation incontrôlée et de
festivités encore inégalées. » durant cette fête du Soleil antique à l’origine !
Pour rappel, sachez que l’ingrédient secret ou poison secret, qui n’est plus du tout un
secret dans la boisson noire de Satan « The Coca-Cola », est…L’ALCOOL rien que ça,
confirmé bon gré mal gré par l’entreprise de Satan & Cie, elle-même ! Pour plus de preuve à ce
sujet, reportez-vous à mon « Livre 07 : Coca-Cola Compagny, Poison de Satan » 1er
Édition
Août 2012 »
L’ORIGINE DE LA CHEMINÉE, DES RENNES, DU TRAÎNEAU, DES LETTRES ET
DES LUTINS DE NOËL.
À nouveau dans « l’Encyclopedia of World History », il est aussi dit que Nimrod, « réincarné »
en tant que divinité du feu/Soleil descendait dans les CHEMINÉES chez les anciens païens.
Donc, un tyran faussement réincarné, sous le symbole d’un Soleil, allait dans la maison des
païens par la cheminée. L’Encyclopédie, dit aussi que Saint Nicolas (ou Père Noël), était un
surnom de Nimrod, ceci n’est pas un hasard dans ce qui va suivre.
Mais revenons un instant sur le poème revisité de Clément Clarke Moore depuis 1821, dans
lequel il décrit un « Saint Nicolas » généreux. Ce texte parlait du personnage qui distribuait des
cadeaux aux enfants par la cheminée et se déplaçait dans une CARRIOLE (ou TRAÎNEAUX)
tirée par 8 RENNES (Blitzen, Dasher, Dancer, Comet, Cupid, Donder, Prancer et Vixen)…Une
9ème
RENNE fut rajouté en 1939 : Rudolf, qui fut chargé d’éclairer le chemin du Père Noël
grâce à son nez rouge lumineux. Nez rouge que l’on retrouve chez les Clowns des cirques
ambulants, toutes personnes Alcooliques persévérant avec ou sans le déguisement du Père Noël,
etc… En vérité, Moore s’inspira effectivement de la mythologie germanique plusieurs siècles
auparavant, ceci n’est pas étonnant venant d’un professeur de théologie et de littérature grecque
et orientale !
La tradition des LUTINS (ou ELFES) de Noël est une des fictions issue encore une fois de la
mythologie liée au paganisme germanique. Ils sont filles ou garçons, et ayant de grandes
oreilles pointues et des pouvoirs magiques. Au fil des années, d’autres écrivains et
opportunistes de tout bord imaginèrent que les Lutins s’étaient liés au Père Noël (ou Santa
Claus) dans la fabrication et la distribution des cadeaux le soir de Noël. Ils prennent soin des
rennes, gardent le traîneau prêt à s’envoler, listent les LETTRES et leurs cadeaux, puis gardent
l’adresse du Père Noël. Dans la même idée d’un Père Fouettard qui punit les enfants méchants,
les Lutins se chargent aussi de remplir les chaussettes des enfants méchants par du charbon
comme punition au lieu d’y glisser des friandises ou des jouets. L’innovation continue, puisque
nous trouvons dans certains pays, la compagnie de la « Mère Noël » qui prend soin de tous ces
Lutins. Finalement, la « Trinité de Noël » proposée auparavant, et largement dépassée
jusqu’ici !
Tous ces poèmes invraisemblables des 19ème
et 20ème
siècles et qui parlent de Saint
Nicolas/Santa Claus distribuant des cadeaux, de Lutins, de carriole tirée par des rennes, en
passant par la cheminée, sera supplanté définitivement par le Père Noël qui se déplace en
traîneau toujours tiré par des rennes, pour cette même action, imaginé dans la tête des poètes,
écrivains, journalistes, commerciales et d’autres qui attisent toujours cette fête païenne au 21ème
siècle ! À la base, c’est l’idole de Saint Nicolas qui distribuait des cadeaux sur le dos d’un âne.
Puis après des années de publicités intempestives, le mythe qui sera retenu définitivement dans
la mémoire collective des peuples subjugués, et le Père Noël jusqu’à nos jours, où nous vivons
soi-disant « l’air de la raison et de la science » comme le prétendent trompeusement, les
illuminati, les franc-maçons sataniques et leurs acolytes darwinistes/évolutionnistes athées,
entre autres parmi les ennemis des croyants, des croyantes et de notre Créateur Allah, le Tout-
Puissant qui dit explicitement par la bouche de Son Prophète Yusuf (Joseph paix sur lui) ce que
le Saint Coran relate :
« Vous n'adorez, en dehors de Lui, que des noms que vous avez inventés, vous et vos
ancêtres, et à l'appui desquels Allah n'a fait descendre aucune preuve. Le pouvoir
n'appartient qu’à Allah. Il vous a commandé de n'adorer que Lui. Telle est la religion
droite ; mais la plupart des gens ne savent pas. » (Coran : sourate 12 Yusuf, verset 40)
L’ORIGINE DES CADEAUX, DES ARBRES DÉCORÉS (SAPINS) ET DES BOUGIES
DE NOËL
Les cadeaux de Noël sont en partis hérités des fêtes païennes romaines de fin d’année. Les
Sigillaires, c’est-à-dire les sceaux des courriers pour envoyer les cadeaux, se faisaient au dernier
jour des Saturnales. Les maisons étaient décorées de PLANTES VERTES symbolisant la
nature, pendant que ces familles idolâtrent fêtés le culte au coin du feu, pendant le rituel de
l’hiver.
Tout d’abord, feuilleton le dictionnaire biographique « Dictionary of Greek and Roman
Antiquities », (Dictionnaire des antiquités grecques et romaines) rédigé par l’écrivain et
lexicographe britannique William Smith (1813-1893), une encyclopédie anglaise traitant de
l'Antiquité classique. Publiée en 1842 avec de nombreuses rééditions, cette œuvre couvre le
droit, la religion, l'architecture, les guerres et la vie quotidienne. Dans sa 3ème
Édition, volume
II, sous la rubrique « Oscilla », il est dit que : «… tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux,
des PRÉSENTS (ou cadeaux) étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en
criant : Voilà les Saturnales (…) »….Ceci étant dit, nous reviendrons sur ces intrigants
OSCILLA au moment opportun…
Puis, dans la « Bibliotheca Sacra », une revue théologique la plus ancienne aux États-Unis et
publiée par Dallas Theological Seminary la première fois en 1844 en 79 volumes, il est dit dans
le volume 12, pages 153 à 155, ce qui suit : «…L’échange de présents entre amis est une
caractéristique de Noël et des Saturnales, et a dû être adopté des Païens par les Chrétiens
comme le montre clairement l’avertissement de Tertullien (théologien et chrétien de Carthage,
fin 2ème
siècle ap J.C) ». (PDF « Bibliotheca sacra and theological review » 1844 :
http://archive.org/details/bibliothecasacr03unkngoog)
À la suite de cela, les effroyables « commentateurs » de la Bible, attribuent faussement
l’origine des cadeaux ou présents, aux « rois mages », alors que l’Évangile de l’apôtre Barnabé
contredit cette assertion. En outre, dans « l’Encyclopaedia Britannica », 15ème
Édition, volume
II, à la page 903, sous la rubrique « Noël », nous lisons :
« Dans le monde romain, les Saturnales (17 Décembre) étaient une période de réjouissances et
d’échanges de cadeaux. Le 25 Décembre était également considéré comme le jour de la
naissance du dieu des mystères iranien MITHRA, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain
(1er
Janvier, repris par les Catholiques romains aujourd’hui), les maisons étaient décorées de
verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces
célébrations étaient ajoutés les rites Germaniques et Celtiques de la bûche (de Noël) provenant
du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La
nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les
SAPINS, les CADEAUX et les souhaits, soulignaient tous différents aspects de cette période de
réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours
été associés aux festivals d’hiver, autant Païen que Chrétien ». (Fin citation)
Puis, Yvonne de Syke que nous avons abordée dans ses œuvres, nous rappelle un fait : «… Il
(saint Nicolas) est toujours fêté, le 6 Décembre, dans l’est de la France, en Allemagne, en
Autriche et aussi aux Pays Bas. Il récompense les bons enfants alors que le père Fouettard bat
les garnements… ».
Aujourd’hui, en ce début du 21ème
siècle, l’est de la France n’est pas le seul endroit où Saint
Nicolas est vénéré, il en va de même dans les autres régions, comme vous pouvez en
témoigner sur place, et probablement d’autres pays. Ainsi, chaque année à partir du 5
Décembre à minuit, soit le 6 Décembre et le reste de la journée voir plus tard, les parades de
Saint Nicolas bats son plein, selon différents hommes déguisés pour la partie, en courant les
rues de diverses villes et villages, pour des séances photos et autres artifices, comme j’ai pu en
être témoin à Arras ou encore Maubeuge rien que ces deux villes, au nord de la France ! À
partir de là, l’idole de Saint Nicolas qui récompense les enfants, va muer en une tout autre
espèce imaginaire, l’idole du Père Noël qui distribue des cadeaux, le 24 Décembre à minuit,
sois le 25 Décembre.
Auparavant, à partir du 15ème
siècle, les chrétiens protestants avaient supprimés par une
réforme, la Saint Nicolas dans des pays d’Europe. Alors que le SAPIN DE NOËL sera
considéré comme une pratique païenne jusqu’au milieu du 20ème
siècle par l’Église catholique,
elle sera finalement adoptée aujourd’hui…Mais voilà, que les chrétiens protestants adopteront
dès la réforme de 1560, ce SAPIN de Noël comme symbole de « l’arbre du Paradis. » dans les
commentaires Bibliques invraisemblables et farfelus. En outre, les Hollandais adorés toujours
cette idole, appeler dans leur langue SANTA CLAUS (ou Sinter Klaas), puis les rites de son
voyage sur le dos d’un ÂNE et sa distribution de JOUETS ! Quand la vénération de Saint
Nicolas/Santa Claus fut exporté aux États-Unis par les Hollandais, cette idole verra subir de
nouvelles transformations majeures pour devenir finalement… l’idole du PÈRE NOËL et sa
distribution de CADEAUX que nous connaissons aujourd’hui, en ce début du 21ème
siècle…Les
LUTINS imaginaires prendront la relève pour la fabrication de jouets fictifs et distribués par ce
Père Noël hallucinatoire dans le monde antique, alors qu’aujourd’hui elle est véritablement
sollicitée par les esclaves-ouvriers du tiers-monde pour la fabrication de jouets à très bas
prix et distribués par les multinationales avides de gigantesques profits sans jamais être
rassasiés, pendant que d’autres meurent horriblement de faim en hiver comme en été, dans un
monde de démocratie prétendu « humain » dans cette démoncratie. Quelle triste réalité par au
moins trois fois !
- De retour sur les sacrifices humains.
Pour revenir sur l’origine du Sapin de Noël, elle prolongera sa course folle, dans une tradition
Alsacienne apparut en 1521. Il fut ensuite introduit en France par la princesse Hélène de
Mecklembourg (1814-1858) qui l'apporta à Paris en 1837. Peu après en 1841, le prince Albert
de Saxe-Cobourg-Gotha (1819-1861), fit dresser un arbre de Noël au château de Windsor, en
Angleterre, la mode du sapin de Noël se répandit rapidement chez la bourgeoisie et se propagea
ensuite chez les gens du peuple. Cette coutume du sapin décoré sera bien implantée en
Allemagne, en France et en Autriche, pour tisser sa toile ensuite en Europe et aux États-Unis.
Alors que l’adoration de l’ARBRE sacré remonte en réalité aux premières civilisations
idolâtres. Comme déjà rappelé, les ethnologues disent que le Père Noël s’étale sur environ
10.000 ans d’histoire. Ces adorateurs indo-européens, lui offrir des sacrifices humains et en
enflammant un ARBRE, selon le nom des idoles.
Prenons ces faits à titre d’exemples :
Dans la mythologie scandinave et germanique, les idolâtres du nord de l’Europe, vénéraient
l’idole YULE (ou JUL), puis l’idole ODIN (ou WODAN), jetant leurs désespoirs sur des statues
de pierre et de bois, pour le retour du Soleil après l’hiver. Pour « s’assurer » de cette tache, ces
idolâtres plantaient alors un SAPIN illuminé par des torches et DÉCORÉ devant leurs
habitations ! Ils imaginaient que leurs divinités qu’ils venaient de fabriquer, allaient leurs
distribuer des CADEAUX s’ils s’approchaient de l’arbre sacré pendant la période entourant le
25 Décembre, qu’ils fêtaient par des masques, des danses et l’ivrognerie !
Dans la mythologie babylonienne, il est écrit que le tyran Nimrod (ou Nemrod), fut
« réincarné » en tant que Thammuz, son fils, lui-même sous la forme d’un ARBRE qui reverdit,
c’est-à-dire un arbre VERT ! Dans la scène de la « Nativité » figurait sa propre mère Sémiramis
divinisée, qui, par ses complots fictifs, était devenue « la Reine du Ciel », et son fils, le tyran
Nimrod, était devenu « le Fils divin du Ciel ». Après la mort prématurée de Nimrod, sa mère
proclama qu’un ARBRE à feuilles persistantes avait poussé durant la nuit à partir d’une souche
morte, symbolisé par la « réincarnation » ou « renaissance » ou encore « résurrection » de
Nimrod. Elle déclara que dorénavant, le jour de son anniversaire, Nimrod visiterait l’arbre
éternellement vert pour y laisser des présents (ou des cadeaux).
Et cela continue, chez les idolâtres druides (ou celtes) ont vénérés le CHÊNE, chez les idolâtres
égyptiens, le PALMIER pour manifester le culte de Baal-Tamar, puisque dans le livre de
Frederick J. Haskins (1872-1944) intitulé « Answers to Questions » 1er Edition Grosset &
Dunlap, 1926, totalisant 500 pages, il est dit : « L’arbre de Noël provient d’Égypte et son
origine date d’une période bien antérieure à l’ère de Noël » (En ligne intégrale :
https://babel.hathitrust.org/cgi/pt?id=uc1.$b287779;view=1up;seq=205)
Ou encore chez les idolâtres romains, le SAPIN décorait avec des baies rouges durant la période
des Saturnales, pour manifester le culte de Baal-Berith, et tant d’autres peuples trompés par ces
ILLUSIONS. Tous étaient alignés sur l’adoration d’un arbre prétendu « sacré » dans le culte des
idoles antiques, parmi l’invraisemblance des contes des milles et un mythe !
Scientifiquement, bon nombre de sapins en Europe notamment, ont la particularité d’avoir des
épis toujours vert même en hivers avec ou sans neige, les idolâtres opportunistes se serviront
donc de cela dans leurs symbolismes, afin d’attiser leurs poésies et leurs imaginations sans fin.
De même pour les palmiers du désert, vers la fin de l’année c’est la récolte des dattes, donc des
arbres utilisés aussi dans le culte des idoles pharaoniques autrefois…SATAN/IBLIS LE DJINN
enjolivera cette innovation frénétique à travers le temps, jusqu’à nos jours. Citons pour le coup,
le livre « Curiosities of Popular Customs and of Rites, Ceremonies, Observances, and
Miscellaneous Antiquities », Édition Philadelphia, Lippincott, 1898 (c1897), puis Detroit : Gale
Research Co., 1966, de 1018 pages et écrit en 1897 par l’auteur américain William Shepard
Walsh (1854-1919) à la page 242 :
« Une vieille fable babylonienne parle d’un arbre « toujours vert » qui était sorti de la souche
d’un arbre mort. La souche était le symbole de Nimrod, mort, le nouvel arbre symbolisait
Nimrod revenu à la vie en la personne de Thammuz ! Chez les druides, le chêne était sacré,
chez les égyptiens c’était le palmier, et chez les romains c’était le sapin que l’on décorait avec
des fruits rouges pendant les saturnales ! » (PDF Édition J.B. Lippincott Co., 1897 :
http://archive.org/details/curiositiespopu00walsgoog)
Quant aux BOUGIES allumaient pour le culte de l’arbre ou sapin sacré, les idolâtres voulaient
par là, « encourager » l’idole du Soleil, à travers Mithra, Saturne, etc…pendant sa course dans
le ciel. À Babylone, le rituel avait lieu au mois de THEBETH adopté par les catholiques
romains et le reste du monde au mois de DÉCEMBRE. Pendant tout ce mois, les BOUGIES
restaient allumées sur ces autels divinatoires, ces bougies seront aussi adaptées dès le 16ème
siècle, illuminant le sapin pendant les veillés au moyen de petites bougies, si le sapin ne
prenaient pas feu entre-temps…! En outre, ces bougies antiques seront aussi moulées partout
dans le monde pour le culte des morts, sous couverture de mémoriels et autres temples acolytes
ou les tombes de nos jours ! Dans l’antiquité, des GUIRLANDES, rubans, objets de paille, ou
encore des POMMES en guise de décorations multiples étaient accrochés aux arbres
divinatoires, symbolisant l’immortalité, de la même manière que les BOULES de Noël et autres
INNOVATIONS accrochaient au sapin vert commercial, de couleurs et matériaux différents
aujourd’hui…Pour revenir sur les bougies antiques et les petites bougies du 16ème
siècle, elles
seront progressivement remplacées par des luminaires électriques aux couleurs variées, des
temps modernes au début du 20ème
siècle, avec d’autres variantes qui suivront, tels les sapins
extérieurs et artificiels, et ses décors lumineux…
Il faut bien comprendre que notre Créateur Allah n’interdit pas les choses licites, utiles et
agréables à l’humanité selon l’usage, mais Il interdit de célébrer et d’imiter les coutumes des
nations impures, autrement dit : L’IDOLÂTRIE et ses RITUELS sous toutes ces formes ! De la
même manière, Allah n’interdit pas le couteau pour couper le pain, mais Il interdit aux gens
qu’ils puissent tuer un innocent non coupable d’une corruption sur la terre, en utilisant ce
couteau par exemple ! C’est clair jusqu’ici…
De ce fait, la forêt aura toujours était pour les indo-européens, et notamment les druides ou
celtes, un lieu privilégié dans la mythologie mythomane. L’absurdité manifeste de la « FORÊT
ou ARBRE sacré » c’est aussi enraciné au peuple Japonais, aujourd’hui la population souffre
du logement, à cause d’une superstition effarante et qui consiste à ne pas couper les arbres de la
forêt ou même d’y habiter, prétextant qu’ils sont « sacrées ». Ceci, afin de ne pas déranger les
« esprits » qui y habitent c’est-à-dire les DJINNS DÉMONS, d’où une surpopulation des côtes
Japonaises comme dans une boîte de sardine. Un retour à la seine raison et au Dieu Unique leur
serait profitable et en même temps verra ce problème d’habitation être élucidé. Alors que ces
derniers inventent des technologies de pointe, ces Japonais superstitieux et idolâtres pour
beaucoup, semblent être « coincés du cerveau » sur des choses bien plus faciles à réaliser !
Mais quel dur paradoxe ou paravent de Satan, à cause de simples arbres !
Scientifiquement, les arbres des forêts absorbent le Dioxyde de carbone pour ensuite rejeter de
l’Oxygène, bénéfique pour l’humanité et le bon fonctionnement de la terre, révélant des
bienfaits infinis de notre Bon Créateur Allah, le Grand Pourvoyeur. Cependant, Satan/Iblis le
djinn et notre ennemi numéro un, il veut absorber tout l’oxygène pour notre perdition avec lui
en Enfer, à cause d’une faible ruse : suffoquer à tout prix les descendants d’Adam (paix sur lui)
par l’idolâtrie mondiale qui absorbe votre raison, pour que vous soyez pires que des bêtes
sauvages qui ne réfléchissent pas, tout en avalant le dioxyde de carbone mauvais pour le corps
et l’esprit, traduit les contes de fées sans fin que vous lisez ici-même, en guise de mise en garde.
En outre, chaque année en ce début du 21ème
siècle, le sapin idolâtre est dressé sur la place
Saint-Pierre au VATICAN à Rome en Italie, afin de perdurer le rituel de Noël, et face à la
grande OBÉLISQUE égyptienne dressée et accompagnée de la Crèche aussi. C’est donc une
triple idolâtrie, et même beaucoup plus, dans les symboles du Saint-Siège au Vatican à
caractère mythologique, finalement le Saint-Piège catholique suscite bien son nom maudit,
dans ce jeu de mots plus que révélateur !
MAIS LE PIRE est dans ce qui va suivre, comme promis dans le « Dictionary of Greek and
Roman Antiquities » de William Smith, 3ème
Édition, volume II, faisant suite à la rubrique
« Oscilla », nous lisons :
« (…) Selon le poète païen Virgil, une OFFRANDE était présentée sous un ARBRE VERT
DÉCORÉ. Des figurines et des masques, appelés « Oscilla », étaient suspendus dans l’arbre,
tout comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet…qu’il n’y a aucun doute
que ces « Oscilla » représentassent les VESTIGES DE SACRIFICE HUMAINS » (Fin de
l’ouvrage)…Vous pouvez le dire, c’est démoniaque ! Si le cœur ne suit plus et que vous veniez
de vomir, et cela se comprend arrivé jusqu’ici, pour votre sécurité arrêter donc cette lecture,
faites une pause et reprenez des forces avant de continuer, que Allah vous assiste, amine.
Sources :
- PDF des textes d'ouvrages de William Smith :
http://archive.org/details/newclassicaldict00anthiala (…)
http://archive.org/details/cu31924091208342 (…)
Ainsi, les boules, les étoiles, les masques, et toutes autres choses fabriquées puis accrochées sur
le sapin ou l’arbre vert de Noël, furent héritées en partis des morceaux de cadavres sacrifiés,
tels qu’un nez, une bouche, une main, des entrailles, des oreilles, des yeux, etc…appelés des « OSCILLA » de fin d’année ! Une réelle abomination incroyable parmi tant d’autres,
chez les peuples maudits de cette profonde et sombre époque noire de la mythologie mondiale
dépravée jusqu’à dépasser l’imagination des films d’horreurs fictifs !
Encore plus mauvais que mauvais, puisque le Vatican déclarera plus tard par l’un de ses
énièmes mensonges grossier, que l’héritage antique souligne aujourd’hui « la science et la
raison » occidentale, en faisant exprès d’oublier que la vraie histoire a retenu que ce sont en
grande partie les musulmans scientifiques qui ont sortis les gens irrationnels vers la science et la
raison, en Europe et dans le monde, sans lesquels les temps modernes n’auraient jamais surgis
aujourd’hui, comme le fut jadis aux temps des Khalifa légitimes de l’Islam et l’État Islamique
béni !
C’est ainsi que dans les anciennes écritures, il est dit clairement :
« Vous détruirez tous les lieux où les nations que vous allez chasser servent leurs dieux, sur les
hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert…vous brûlerez au feu leurs idoles
[bocages],…Vous n’agirez pas ainsi à l’égard de l’Éternel, votre Dieu. » (Deutéronome 12 :2-
4)
En effet, il ne faut pas agir comme les nations idolâtres disparues :
« Ainsi dit le Seigneur : « N’adoptez pas le comportement des païens, et ne soyez pas terrifiés
par les signes du ciel, car ces signes plongent les païens dans l’épouvante. Vaines, en effet, sont
les coutumes suivies par eux : on coupe l’arbre dans la forêt ; la main de l’ouvrier le travaille
avec la hache ; on l’embellit avec de l’or et de l’argent, on le fixe avec des clous, au marteau,
pour qu’il ne vacille pas. Ils [ces arbres] sont debout comme le palmier, mais ne parlent pas : il
faut les transporter, parce qu’ils ne peuvent faire un pas. Ne les craignaient pas, car ils ne
sauraient faire aucun mal, de même qu’ils sont incapables de faire aucun bien » (Jérémie, 10:2
et 5)
Il en va de même pour toutes les divinités humaines, et les autres créatures ou objets visibles ou
invisibles, et divinisées par l’humanité, qu’ils soient sur terre ou dans le reste de l’univers !
L’ORIGINE DE LA BÛCHE, DES MAISONS DÉCORÉES, DES VŒUX (SOUHAITS)
ET DES CHANTS DE NOËL.
La « bûche du Soleil » originelle (Sun log) en est venue à être appelée « la bûche de Noël »
(Yule log) simplement parce que le mot « Yule » (Bûche) signifie « Roue », symbole païen qui
depuis longtemps représente le Soleil. En outre, dans « l’Encyclopaedia Britannica », 15ème
Édition, Vol. II, à la page 903, sous la rubrique « Noël », nous rappelle ceci :
«…Le Jour de l’An romain (1er
Janvier, repris par les catholiques romains aujourd’hui), les
MAISONS ÉTAIENT DÉCORÉES de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux
enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites Germaniques et Celtiques de
la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale
des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, LA BÛCHE de Noël et autres gâteaux de la
période, la verdure et les sapins, les cadeaux et LES SOUHAITS soulignaient tous différents
aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de
longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant Païen que Chrétien » (Fin
citation)
La bûche de Noël sur terre qui représente le Soleil ardent au ciel, provient du rituel germanique
et celtique dans la fiction, puis les maisons décorées de verdure et de lumière, proviennent du
rituel romain, selon l’imagination des idolâtres en tout temps. Pendant le période de Noël
moderne, comme le rappellent les partisans d’aujourd’hui, décorent leurs maisons par des
luminaires électriques et différents décors modernes, tandis que la bûche de bois brûlée antique,
sera remplacée par la bûche pâtissière ou la bûche glaciaire moderne ainsi que le convoi de
nourriture et d’alcool qui l’accompagne, puis dévorés jusqu’au dernier morceau pendant le
rituel de la nuit de Noël, en ce début du 21ème
siècle ! Si bien, que chaque année, au lendemain
du 25 Décembre soit le 26 Décembre 2016, j’écoutais les commentateurs radios qui
demandaient à leurs acolytes auditeurs si leurs estomacs vont bien, sachant qu’ils devront
recommençaient au repas du 12h00 !...Sans compter le repas du Jour idolâtre de l’An au 01
Janvier, cinq jours après.
Au cours du Moyen Âge et encore aujourd’hui, la longue veillée précédant la messe catholique
romaine de minuit autour de cette BÛCHE amènera la multiplication des cantiques ou
CHANTS de Noëls. Les idolâtres imaginaient aussi que LES CENDRES de cette bûche de bois
calcinée, une fois répandues sur le pas de la porte, servaient soi-disant à protéger la maison du
malheur et l’abondance récolte des champs l’année suivante. De la même manière, LE FER A
CHEVAL qui fait aussi parti de ces nombreuses superstitions hilarantes, et utilisées de nos
jours, seront aussi suspendus, principalement à l’entrée d’une maison, pour soi-disant éloigner
le malheur.
Puis ci-dessus, sur l’image à gauche, on retrouve cette bûche mythologique sans branche,
enroulé par l’idole du serpent (ou couleuvre) nommé ESCULAPE qui rend la vie, il fait naître
un Palmier à droite, symbole de victoire du SOLEIL chez les idolâtres égyptiens, ainsi qu’un
bâton sculpté à gauche.
Ensuite dans l’image au centre, ce même SERPENT enroule le bâton de l’idole grec
ASCLÉPIOS, reprit comme symbole satanique de l’OMS (Organisation Mondial de la Santé),
sous l’effigie de l’acolyte ONU (Organisation des Nations Unies ou NATO), deux outils du
Nouvel ordre mondial Jésuite-Juif noachide, Illuminati et Franc-maçonnique.
Ajouter, sur l’image à droite, ce serpent à connotation satanique aujourd’hui, enroule la coupe
de la déesse grecque HYGIE comme emblème de la Pharmacie, en général de couleur vert.
Le tout, avec plus d’explications et de décryptages à la suite de mes Livres inchaAllah…
Tous ces symboles sont d’origine PAÏEN ET SATANIQUE/LUCIFÉRIEN, piégeant dans sa
TOILE de façon symbolique, comme dans le logo de l’ONU suscité, la terre entière et ceux qui
adhèrent à ces doctrines illusoires, telles que mentionnées dans la parabole d’un verset au
dernier Livre Divin faisant autorité, Allah le Dieu Unique dit : « Ceux qui ont pris les
protecteurs en dehors de Allah ressemblent à l’araignée qui s’est donnée maison. Or la
maison la plus fragile est celle de l’araignée. Si seulement ils savaient ! ». (Coran : sourate
29 Al-Ankabut, verset 41)
En effet, une fois accouplaient, l’araignée femelle mange l’araignée mal, puis ce sont les petits
qui serviront de festin une fois mis au monde, pendant que d’autres prennent la fuite, puis c’est
la toile d’araignée qui sert de garde-manger en piégeant ses proies, comme le fait si bien la toile
du Saint-Piège catholique dans le monde par exemple !
L’ORIGINE DE LA DINDE, DU HOUX, DU GUI ET DES CLOCHES DE NOËL
Tous les rituels de la fête de Noël, tels que la DINDE, le sapin décoré, les cartes, le père Noël,
la bûche, le HOUX, le GUI, les CLOCHES, les chants de Noël et tant d’autres symboles puis
coutumes mythologiques, on étaient adoptés à différents peuples païens jusqu’à faire parti
intégrante du 25 Décembre boulimique, et vénéré à notre époque. À nouveau dans
« l’Encyclopedia Americana », il est dit : « Le Houx, le Gui, la Bûche de Noël… sont des
vestiges de l’ère pré-Chrétienne. » (Fin citation)
Puis, à nouveau dans le livre de Frederick J. Haskins intitulé « Answers to Questions » 1er
Édition Grosset & Dunlap, 1926, totalisant 500 pages, il est dit : « Les autorités croient que
l’utilisation des COURONNES de Noël tire leur origine des coutumes païennes de décoration
d’édifices et des endroits de culte pendant la fête qui se tenait pendant la même période que
Noël. » (Fin citation)
Dans « l’Encyclopaedia Britannica », sous la rubrique « Celastrales », révèle l’origine des
couronnes : « Les païens d’Europe apportaient dans leurs demeures des GERBES, offrant ainsi
aux « êtres féeriques des bois » un refuge pendant la dure période hivernale. Pendant les
Saturnales, la fête hivernale Romaine, des branches de HOUX étaient échangées en gage
d’amitié. Les premiers chrétiens romains auraient apparemment utilisé le Houx en tant que
décoration pendant la période de Noël. » (Fin citation)
Pour les druides gaulois, le Gui qui est une plante parasite vivant sur les Chênes, fut sacralisé,
puisque les idolâtres druides, vénéraient les BOCAGES de chênes stipulés dans les anciennes
écritures à l’adresse de (Deutéronome 12 :2-4). Le Gui symbolise « l’éternelle jeunesse » de
par sa longévité naturelle. Puis, le Gui devient symbole « d’amour » à la « mort » de l’idole
Balder (Baldur, Baal-Tir) dans la mythologie germanique. Dans les pays anglo-saxons, on
EMBRASSE la branche de Gui, selon un rituel laissé par ces druides, hérité de la mythologie
babylonienne. Ces coutumes païennes sens dessus dessous, s’effectuaient lors d’une nuit de
festivité tenue dans un esprit D’IVROGNERIE comme dans les bars, ou les boîtes de nuit
dépravés aujourd’hui. Les « embrassades » s’échangées au début des Saturnales, puis de nos
jours, à Noël en s’embrassant tour à tour, parfois sous le Gui pour les plus fanatiques.
C’est ce que confirme « l’Encyclopaedia Britannica » qui révèle sous la rubrique « Santalales »
ce qui suit : « Le GUI européen est supposé avoir eu une signification rituelle spéciale lors des
cérémonies druidiques et possède toujours, dans le folklore d’aujourd’hui, un statut particulier,
en tant que Gui de Noël, qui nous vient du temps des anglo-saxons ». (Fin citation)
Les fruits de Houx et le Gui étaient considérés sacrés pour la divinité du Soleil.
L’ORIGINE DE LA CRÈCHE DE NOËL
Dans plusieurs civilisations païennes à travers les âges, les soi-disant « réincarnations de l’âme
des ancêtres » et des tyrans de ce monde, se faisaient illusoirement dans le corps des nouveau-
nés, des animaux, des plantes, des statues de pierre et de bois…bref dans tous et n’importe
quoi ! À partir des poèmes babyloniens, les rites de l’adoration de la déesse mère et de son
enfant se sont répandus sur toute la terre :
- Chez les babyloniens : le symbole idolâtre représentant Sémiramis tenant affectueusement son
fils-divinisé Nimrod dans ces bras.
- Durant le Bas-empire romain : le culte d’Isis égyptien concurrençait le culte Mithraïsme
romain. Les gâteaux ronds offerts à cette divinité égyptienne portaient trois lettres I.H.S (Isis,
Horus, Seth) symbolisant la Trinité (Mère, Enfant, Père des cieux). Ces idoles de pierre et de
bois sont souvent représentées par Isis en train d’allaiter son fils Horus. En outre, le symbole
I.H.S sera adopté par les sataniques/lucifériens de la secte des Jésuites/Juifs noachides des hauts
degrés au Vatican à Rome. Vous pouvez même voir ces trois lettres obscures gravées à l’entrée
de certaines Églises, Écoles Jésuites ou Monuments dans le monde, comme j’ai pu l’observer
dans le Nord de la France depuis 2011 et au fil des années…
- Dans l’hindouisme : le thème de la déesse mère à l’enfant existe aussi, tels que les idoles
Devaki et Krishna.
- Chez les phéniciens, peuple sémitique d’origine cananéenne comme les hébreux : ils adoraient
l’idole du Soleil appelé Baal (le nom signifie seigneur) qu’ils représentaient avec une auréole
autour de la tête qu’ils concevaient, symbolisant les rayons du Soleil, observés par les
Archéologues lors d’une pierre phénicienne datant environ du 4ème
siècle avant l’arrivé du
Prophète Jésus (paix sur lui). Dans le cadre des Trinités idolâtres locales, Baal est accompagné
d’une déesse féminine, Astarté. Plus tard, l’empereur Héliogabale (203-222) (après le Prophète
Jésus) voulu imposer son idole solaire Élagabal adoré à Émèse en Syrie romaine au début du
3ème
siècle, avec la divination forcé du Prophète Jésus et sa mère Marie (paix sur eux), mais
aussi les idoles fabriquées de Mithra, le culte imaginaire d’Isis, et tant d’autres fictions de mères
à fils.
- En Asie, la mère était connue sous le nom de l’idole Cybèle et son enfant, l’idole Deoius : elle
était considérée comme l’épouse de l’idole Baal et comme la reine du ciel, vierge et qui enfanta
sans concevoir. L’attrait de cette déesse était tel, que même les israélites corrompus dans
l’idolâtrie, adorèrent la reine du ciel, stipulé dans les anciennes écritures à l’adresse de (Jérémie
44 : 5-19).
- Chez les chinois, la déesse mère se fait appelée « sainte mère » : elle est représentée avec un
enfant dans ses bras et un rayon de gloire autour de sa tête.
- En Égypte, et plusieurs siècles après le Prophète Jésus (paix sur lui) : il fut admis au Vatican
romain par décret épiscopal que les idoles Isis et Horus fabriquées, seront attribuées à la Vierge
Marie et à son enfant, Jésus, innocent et innocente des incrédules !
-…Et cela continue dans le cabinet des horreurs mythologiques, chez les peuples trompés par
Satan/Iblis le djinn lapidé !
Ainsi, après l’adoration du Prophète Jésus (paix sur lui) par les injustes catholiques romains et
donc le monde chrétien berné…petit à petit, c’est au tour de la Vierge Marie d’être divinisée et
adorée assidûment par ses derniers, puis cloîtrée avec son fils Jésus nouveau-né fabriqué en cire
écœurant ci-dessus, dans la CRÈCHE DE NOËL symbolique, afin d’imiter dans les moindres
faits et gestes le PAGANISME flagrant des idoles mères-enfants adorés dans les labyrinthes
mythologiques sans issue favorable. Mais seulement pour un aller simple en ENFER, pour ceux
qui persisteront dans ce crime, sans revenir vers l’adoration de notre véritable Créateur Allah,
Seigneur de l’univers.
L’ORIGINE LITTÉRALE DE NOËL
Le mot « occitan Nadau » vient du latin « NATALIS SOLIS », c’est-à-dire la Réincarnation du
Soleil, du fait des différents noms mythologiques que nous avons en partis abordés : « Dies
Natalis Solis Invictis » (Jour de la Natalité du Soleil Invincible), parfois appelé « Solis
Invictus » (Soleil Invaincu) ou « Solis Invictis » (Soleil Invincible), ces noms courent toujours
les rues de Rome en Italie, notamment, l’ouverture de trois Hôtels Solis Invictus « Solis
Invictus Hotels Rome » à titre d’exemple dans le monde : Via Cavour, 311 - 00184 Rome / Via
di Porta Maggiore, 51 - 00185 Rome / Via Quintino Sella, 15 - 00187 Rome.
La fête du « NATALIS INVICTIS SOLIS », c’est-à-dire la fête de la Réincarnation du Soleil
Invincible, fut introduite à Rome en 274 par l’empereur tyrannique Aurélien (214-275) (après le
Prophète Jésus). Cette coutume reçut un autre sens en latin : celui du NATALE (Naissance),
autre origine du mot NOËL en Français.
Voici ce que rappel « l’Encyclopaedia Universalis » au sujet de Noël : « Fête solennelle de la
naissance de Jésus-Christ, Noël est célébré le 25 Décembre dans toutes les Églises chrétiennes
depuis le 4ème
siècle. À cette époque, cette date était alors celle de la fête païenne du Solstice
d’hiver appelé -Naissance (en latin, NATALE) du Soleil-, car celui-ci semble reprendre vie
lorsque les jours s’allongent… ». (Fin citation)
Naissance ou « Natale » est donc la racine du mot Noël. Finalement, Noël est symboliquement
la naissance ou résurrection du Soleil invisible ou invaincu, tout comme l’idole du Phoenix
renaît de ces cendres, connue aussi dans les carcans de la mythologie mondiale par
l’investigation de Iblis le djinn devenu l’impénitent Satan laid et lapidé, avant qu’il ne tombe en
ENFER lui et tous ses semblables !
L’ORIGINE OFFICIELLE DE NOËL
Le VICE de l’idolâtrie ne connaît pas de limite, ci-dessus, encore une fausse représentation du
Prophète Jésus (paix sur lui) divinisé et mesurant 10 mètres en hauteur et 22 mètres en largeur,
associé avec l’idole du Père Noël, le tout entièrement fait de sable coloré durant 3 jours.
Effectuée en Décembre 2013, à Puri dans le centre-ouest de l’Inde, avec l’aide des acolytes sur
place, c’est l’artiste idolâtre Sudarsan Pattnaik (1977-…) qui supervisa cette double imposture,
puis la mise en photo, accompagnée des trois autres pantins déguisés en Père Noël !
C’est plutôt, une triple imposture et même plus, puisque dans la ville de Puri, c’est
l’hindouisme qui règne, notamment le temple païen de Jagannâtha, qui est un haut lieu de
pèlerinage pour les idolâtres hindous qui vénèrent assidûment, l’idole Krishna parmi
d’innombrables statues dressées. Tout ceci sous une mixture symbolique appelée « Paix pour le
monde » (World Peace) qui est un autre symbole pour la propagande de Noël, mais qui se
décrypte plutôt par « Enfer pour le monde », à cause des excréments idéologiques de
Satan/Iblis le djinn malodorant !
Mithra-Vulcain-Chronos-Saturne-Thammuz (personnifiant le tyran Nimrod par son fils)-
Moloch-Baal-Surya-Ops-Bacchus, et tant d’autres canulars tout comme ses acolytes modernes
Saint Nicolas-Santa Claus-Ded Moroz-Père Noël-, sans exception symbolisent des divinités
du FEU, et représentaient par un SOLEIL, en passant par des soi-disant « incarnations
humaines » ahurissantes, puis occultées sur la tête du Prophète Jésus et sa mère la Vierge Marie
divinisés, sous forme de disque Solaire et de rayon lumineux ! Cette idole du Soleil détruit et
dévore les enfants des parents égarés à ces doctrines mythologiques voués à l’Enfer, de la même
manière que les idéologies et les branches pourries du catholicisme romain et des Jésuites/Juifs
noachides au Vatican à Rome, divinisent en particulier la Démocratie, le Prophète Jésus, la
Vierge Marie, l’astre du Soleil et Baphomet-Lucifer-Satan qui est Iblis le djinn lapidé. Des
créatures adorées à place de notre CRÉATEUR ALLAH, le Tout-Puissant incréé !
Dans les anciennes écritures il est dit : « Ainsi parle l’Éternel : n’imitez pas la voie des
nations, et ne craignez pas les signes du ciel, parce que les nations les craignent. Car les
coutumes des peuples ne sont que vanité. » (Jérémie 10:2-3)
Dans « l’Encyclopaedia Britannica » sous la rubrique « Christianisme », nous lisons :
« Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée davantage dans l’Église orthodoxe d’Orient, et
celle de Noël davantage dans l’Église catholique romaine… Le calendrier chrétien est une des
institutions chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals
chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de nombreuses
tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail variables, la semaine de sept jours
avec le dimanche de congé n’a pu être éliminée même dans les pays communistes ayant une vue
athée du monde. Même dans les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes
jouissent d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement NOËL. » (Fin
citation)
Tout ceci prouve que LA COMMUNAUTÉ MÉCRÉANTE quel que soit le siècle, assemble en
tout temps les moindres faits et gestes de l’athéisme, de l’idolâtrie, du polythéisme, du
satanisme/luciférien et de la mythologie mondiale. Ainsi, il est normal de voir SATAN/IBLIS
LE DJINN LAPIDÉ, être appelé dans les anciennes écritures :
« Destructeur » (Apocalypse 9:11) !
« A séduit toute la Terre » (Apocalypse 12:9) !
« Père du mensonge » (et) « Meurtrier dès le commencement » (Jean 8:44) !
Ce à quoi la dernière révélation Divine, qui confirme, corrige et abroge toutes les anciennes
écritures, c’est-à-dire le SAINT CORAN qui est la Parole de Allah inaltérable, dit
Admirablement :
« Sur Mes serviteurs tu (Iblis) n’auras aucune autorité, excepté sur celui qui te suivra
parmi les dévoyés. Et l’Enfer sera sûrement leur lieu de rendez-vous à tous. Certes, les
pieux seront dans des jardins avec des sources. ‹Entrez-y en paix et en sécurité›. » (Coran :
sourate 15 Al-Hijr, versets 43 à 46)
FINALEMENT…
La citation qui va suivre, provient de la brochure intitulée « La simple vérité au sujet de Noël »
écrit en 1962, par un prédicateur d’une branche chrétienne de « l’Église Universelle de Dieu »,
l’américain M. Herbert W. Armstrong (1892‑1986), suivant ce passage de la page 17
retranscrit :
« Noël est devenu une saison commerciale. Cette fête est entretenue, financée, exploitée,
maintenue en vogue, par un déploiement inouï de campagnes publicitaires les plus intenses de
l'année, pénétrant les plus extrêmes secteurs du marché de détail. Dans un grand nombre de
magasins, vous voyez un « Saint Nicolas » ou « le Divin Enfant » ou « Père Noël » de
MASCARADE. Des flots de réclames nous tiennent en haleine et nous trompent sur le
« merveilleux esprit de Noël ». La presse, qui vend les annonces, imprime des éditoriaux
flatteurs, en langage fleuri, exaltant la fête PAÏENNE, et son « esprit ». Un public crédule en
est tellement inoculé, que beaucoup s'offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi se crée, année
après année, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le Christ, mais pour vendre des
marchandises ! C'est caractéristique de toutes les mystifications de Satan (Iblis le djinn lapidé)
qui se donne l'apparence d'un « ange de lumière », et se montre sous un faux aspect de bonté
(exemple : World Peace, déjà suscité) ! Chaque année, cette effrénée débauche commerciale
engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards de dollars, et pendant ce temps l’œuvre du
Christ souffre ! Cela fait partie du système économique de Babylone ! (…) » (Fin citation)
Sources :
- « La simple vérité au sujet de Noël », Brochure imprimée au U.S.A en 1962, et traduit
sous la direction de Dibar Apartian, en 1980 (…)
- PDF : http://herbert-
armstrong.org/French/Simple%20verite%20au%20sujet%20de%20noel%20(Prelim%20
1980).pdf (…)
Ceci étant dit, de la même manière que l’idolâtrie de la fête de Noël est fustigée judicieusement
par cette brochure, nous invitons donc ses semblables dans le monde chrétien à êtres encore
plus judicieux, en abandonnant la divinisation du Prophète Jésus, sa mère la Vierge Marie (paix
sur eux), soulignant de manière intelligente le rejet total du polythéisme catholique romain et en
même temps du judaïsme. Puis le rejet de la divinisation des personnes ecclésiastiques et
rabbiniques, et le rejet des idoles en général à travers le temps, alors que pour M. Herbert W.
Armstrong…Hélas, c’est déjà trop tard pour lui, mort dans sa tombe !
Conformément à la Parole de Allah notre Dieu Unique :
« Et éloignez-vous de la souillure des idoles » (Coran : sourate 22 Al-Hajj, verset 30)
« Dis : ‹Ô gens du Livre (juifs et chrétiens), venez à une parole commune entre nous et
vous : que nous n’adorions que Allah, sans rien Lui associer, et que nous ne prenions point
les uns les autres pour seigneurs en dehors de Allah›. Puis, s’ils tournent le dos, dites :
‹Soyez témoins que nous, nous sommes soumis›. » (Coran : sourate 3 Al-Imran, verset 64)
Ainsi, les Prophètes Moïse (Moussa), Jésus (‘Issa) et Mohammed (paix sur eux), qui reçurent la
Thora, l’Évangile et le Coran, adoraient tous, notre Créateur, Eloha, Allaha, ou Allah,
proportionnellement dans la langue maternelle de chacun d’eux, l’Hébreux, l’Araméen et
l’Arabe. Pour désigner la soumission en un Dieu Unique, Religion (Code de vie) de tous les
Prophètes (paix sur eux tous), c’est-à-dire en un seul mot Arabe : L’ISLAM, qui veut dire
soumis à notre Créateur Miséricordieux dans la paix. Tout en étant récompensé, eux et ceux qui
suivent la vérité, par notre Créateur au Jour de la Résurrection de l’humanité et des djinns.
Après ceci, Allah le Dieu Unique dit :
« Et quiconque se repent et accomplit une bonne œuvre c’est vers Allah qu’aboutira son
retour. Ceux qui ne donnent pas de faux témoignages ; et qui, lorsqu’ils passent auprès
d’une frivolité, s’en écartent noblement ; qui lorsque les versets de leur Seigneur leur sont
rappelés, ne deviennent ni sourds ni aveugles ; et qui disent : ‹Seigneur, donne-nous, en
nos épouses et nos descendants, la joie des yeux, et fais de nous un guide pour les pieux›.
Ceux-là auront pour récompense un lieu élevé [du Paradis] à cause de leur endurance, et
ils y seront accueillis avec le salut et la paix, pour y demeurer éternellement. Quel beau
gîte et lieu de séjour ! » (Coran : sourate 25 Al-Furqane, versets 71 à 76)
Ainsi, pour renouveler le rappel, nous souhaitons à chacun d’ente vous, une Joyeuse
Libération Intellectuelle sans être lié à un jour occulte imposé, plutôt toute l’année tant que
vous êtes encore vivant, sans quoi il sera trop tard pour les damnées de l’Enfer, pendant que les
croyants et les croyantes reçoivent paix et cadeaux éternellement au Jour de la Résurrection,
corps et âme dans une égale jeunesse : Les délices du Paradis et plus encore, la Satisfaction et la
Vue du Dieu Unique Allah notre Créateur Bon et Miséricordieux.
Puisse Allah, guidez ceux qui se repentent, amine.
Changeons de cap pour apprendre davantage, et lisons cet extrait d’un débat :
EXTRAIT DE L’OUVRAGE :
DIALOGUE ENTRE UN CHRÉTIEN ET UN MUSULMAN
L’extrait de l’ouvrage : « Dialogue entre un Chrétien et un Musulman », du Docteur Hassan
M. Baagil en Janvier 1984. Révisé par Abu Ahmed le 25 Août 2006. Mise en ligne par Mehdi,
le 16 Février 2007. Citation :
(…) « Note de l’auteur : Ce fascicule, tel qu’il a été conçu, résulte des entretiens que j’ai eus
tant avec les membres du clergé chrétien qu’avec des laïcs. Les discussions ont été polies,
agréables, amicales et constructives, sans la moindre intention de blesser les sentiments
religieux d’aucun chrétien quel qu’il soit. Le texte qui en ressort provoque et lance un défi à
l’ensemble du monde chrétien. Son contenu est indispensable à quiconque recherche la Vérité,
ou s’intéresse à l’étude comparative des religions. C : désigne Chrétien. M ou m : désigne
Musulman…
LE DOGME DE LA TRINITÉ
M. Croyez-vous en la Trinité ?
C. Certes ; dans la première Épître de Jean (5:7 et 8), il est écrit : « Car il y en a trois qui
rendent témoignage dans le ciel, le Père, le Verbe, et le Saint-Esprit : et ces trois sont un. Et il y
en a trois qui rendent témoignage sur la terre : l’esprit, l’eau et le sang et les trois sont d’accord
en un seul. »
M. Ce verset figure dans la version du Roi Jacques autorisée en 1611, et il constitue la preuve la
plus solide de l’existence de la Trinité. Cette partie cependant, « le Père, le Verbe et le Saint-
Esprit : ces trois sont un », a été supprimée de la Version Classique Corrigée de 1952 et 1971 et
dans bien d’autres Bibles car il s’agissait d’un commentaire qui avait été inséré abusivement
dans le texte grec.
En Jean, Épître I (5:7) de la nouvelle Bible Classique Américaine, on peut lire ce qui suit :
« Et c’est l’Esprit qui porte témoignage, parce que l’Esprit est vérité. Car ils sont trois à porter
témoignage : l’Esprit, l’eau et le sang, et les trois sont unanimes. »
De même, dans la Nouvelle Traduction Universelle des Saintes Écritures utilisée par les
Témoins de Jéhovah, on peut lire : « Car ils sont trois à porter témoignage : l’esprit, l’eau et le
sang, et les trois sont unanimes. ». Je comprends que vous ne sachiez pas que cette importante
partie a été supprimée, mais je trouve surprenant que de nombreux ministères du culte et
prédicateurs soient ignorants de ce fait. Le terme « Trinité » n’est pas d’origine Biblique. Le
mot « Trinité » ne figure pas même dans la Bible ou dans les dictionnaires de la Bible ; il n’a
jamais été enseigné par Jésus et n’a jamais été mentionné par lui. Il n’existe dans la Bible
aucune preuve ni aucun fondement d’aucune sorte pour rendre acceptable le terme de
« Trinité ».
C. Mais dans Mathieu (28:19), on peut lire : « […] les baptisant au nom du Père, du Fils, et du
Saint-Esprit. » Cette partie n’a pas encore été supprimée ; n’est-ce pas une preuve de l’existence
de la Trinité ?
M. Non. Si vous mentionnez que trois personnes sont assises et mangent ensemble, cela
signifie-t-il qu’elles forment une seule personne ? Non. La définition de la Trinité par
Athanase, diacre égyptien d’Alexandrie, a été retenue par le Concile de Nicée en 325 de l’ère
chrétienne, plus de trois siècles après que Jésus eût quitté cette terre. Sans aucun doute, la
mythologie gréco-romaine exerça une influence dans l’élaboration de ce dogme, par le biais de
la Trilogie Jupiter, Neptune, Pluton.
Le jour du Sabbah fut reporté au Dimanche. Le 25 Décembre, jour de célébration de la
naissance de leur dieu-soleil Mithra, fut présenté « comme » le jour anniversaire de la naissance
de Jésus, bien que la Bible prédise et interdise la décoration des arbres de Noël (Jérémie, 10:2
et 5) : « Ainsi dit le Seigneur : « N’adoptez pas le comportement des païens, et ne soyez pas
terrifiés par les signes du ciel, car ces signes plongent les païens dans l’épouvante. Vaines, en
effet, sont les coutumes suivies par eux : on coupe l’arbre dans la forêt ; la main de l’ouvrier le
travaille avec la hache ; on l’embellit avec de l’or et de l’argent, on le fixe avec des clous, au
marteau, pour qu’il ne vacille pas. Ils [ces arbres] sont debout comme le palmier, mais ne
parlent pas : il faut les transporter, parce qu’ils ne peuvent faire un pas. Ne les craignaient pas,
car ils ne sauraient faire aucun mal, de même qu’ils sont incapables de faire aucun bien ». »
C’est parce que le christianisme s’est considérablement écarté de l’enseignement originel de
Jésus, que Allah a envoyé comme partie de son plan original, Son dernier Prophète, Mohamed
(paix sur eux), pour instaurer un renouveau et éliminer les changements qui ont altéré les
Saintes Écritures : le calendrier romain comme fondement du calcul de l’ère chrétienne ; la
suppression de l’interdiction de la viande de porc, l’abolition de la circoncision, abolition
préconisée par Paul en (5:2) de son Épître aux Galates : « Voici : moi Paul, je vous dis que, si
vous vous faites circoncire, Christ ne vous servira de rien. »
Le Saint Coran nous avertit dans « La Table Servie/Al-Maidah » (sourate 5 verset 73) : « Ce
sont certes des mécréants, ceux qui disent : ‹En vérité, Allah est le troisième de trois.› Alors
qu’il n’y a de divinité qu’Une Divinité Unique ! Et s’ils ne cessent de le dire, certes, un
châtiment douloureux touchera les mécréants d’entre eux. »
Croyez-vous encore en la Trinité, qui n’a jamais été enseignée par Jésus ? » (Fin citation)
…Ceci étant dit, voici des liens intéressants qui aideront à vous procurer le livre « Dialogue
entre un Chrétien et un Musulman », et ainsi augmenter votre savoir.
1- Ouvrage complet et livré gracieusement chez vous en 118 pages sur simple demande en
langue Française et autres. Par Mohamed Taha un correspondant d’Égypte, Mohamed
comprend le français, l’anglais et l’arabe. Il vous faut, pour cela, faire la demande par e-mail en
indiquant votre nom et adresse, pour avoir le livre :
Ou bien adresser une lettre postale :
MOHAMED TAHA P.O.BOX : 834 ALEXANDRIA, EGYPT
2- Ouvrage complet et mis en ligne :
http://dialoguecm.free.fr/spip.php?rubrique2 (…)
Publié par Mehdi, le 16 Février 2007.
- Ouvrage complet en téléchargement au format Word :
http://islammedia.free.fr/livres/Autre_religion/Dialogue_C%20vs_M.rar (…)
Publié et révisé par Abu Ahmed, le 25 Août 2006.
Après ce débat, place à une question pertinente :
PIERRE EST-IL MUSULMAN OU CHRÉTIEN ?
Texte rapporté et traduit par Abu Hamza Al-Germâny le 31 Décembre 2009. Note du
traducteur : « Chers frères et sœurs, nous vous proposons une petite exhortation qui pourra
toucher les cœurs de ceux qui sont encore attirés par les différents événements et festivités qui
nous sont proposés tout le long de l’année : le Jour de l’An, Halloween, Noël, la Saint Valentin,
Pâques, la fête des Mères, des Pères, la fête de la musique etc… ». Correction Ribaat. Citation :
(…) « Pierre est-il musulman ou chrétien ?
Soufiane raconta à des amis ce récit :
Pierre est un français de cinquante ans.
Il vit paisiblement à Orléans avec sa femme, son fils et sa fille…
Lorsque le mois de Dhul-Hijjah arriva…
Pierre, son épouse et ses enfants commencèrent à suivre les infos…
Pour connaître quand débuterait le mois de Dhul-Hijjah…
Pierre écoutait la radio,
Sa femme regardait la télé,
Et le fils surfait sur les sites Islamiques…
Lorsque la détermination du premier jour de Dhul-Hijjah fut confirmée…
Pierre et sa famille se préparèrent à la venue de la fête de l’Aïd Al-Kebir qui tombe le dixième
jour de Dhul-Hijjah après l’arrêt des pèlerins sur le mont Arafat, le neuvième jour.
Le deuxième jour de Dhul-hijjah, la famille alla à la ferme…
Pour l’achat d’un mouton,
Qui fut choisi avec soin en fonction des conditions Islamiques liées à l’offrande,
Pour l’immoler le premier jour d’al Aïd Al-Kébir.
Le mouton dans la voiture, commença à bêler…
Et la petite fille de Pierre de cinq ans, Delphine, commença de sa belle voix douce à chantonner
avec lui…
Elle dit à son père : « Papa ! Comme est belle la fête de l’Aïd !
Je vais mettre mes plus beaux habits !
Je pourrai avec l’argent offert, m’offrir une belle poupée !
Je m’amuserai toute la journée avec mes copines !
Comme j’aime cette fête !
Si seulement tous les jours de l’année étaient tels le jour de l’Aïd. »
Quand ils arrivèrent à la maison,
L’épouse demanda : « Chéri ! J’ai appris que le sacrifice rituel devait être divisé en trois :
Une partie pour les pauvres et les nécessiteux,
Une autre pour nos voisins Michel, Laurianne, et Roxanne,
Et une autre que nous mangeons et conserverons.
Le jour de l’Aïd venu,
Pierre et son épouse se demandèrent où est la direction de La Mecque pour le sacrifice,
Ils ont conclu qu’elle devait être en direction de la Kaaba, comme le sont les 5 prières
quotidiennes obligatoires…
Pierre sacrifia donc son mouton.
Sa femme divisa la viande en trois parties…
Soudain, Pierre cria : « Zut ! Nous sommes en retard pour l’église !
Aujourd’hui c’est dimanche ! Vite on va rater la messe !
Pierre ne rate jamais la messe…
Fin du récit.
Un ami de Soufiane s’exclama : Ton histoire est à dormir debout ! Dis-moi : Pierre est
musulman ou chrétien ?!
Soufiane rétorqua : Pierre et sa famille sont des chrétiens, ne croient pas en un Dieu Unique,
mais croient en la « Trinité » et ne croient pas que Muhammad (paix et bénédiction de Allah sur
lui) est le dernier des Prophètes et des Messagers, envoyés à l’humanité jusqu’au Jour de la
Résurrection !
Une stupeur se produit chez ses amis, et des voix s’élevèrent ! L’un d’eux dit : « Ne mens pas
Soufiane, comment pourraient-ils êtres chrétiens ! Comment le chrétien peut-il accomplir les
valeurs de l’Islam et des musulmans et célébrer leurs fêtes ! C’est impensable ! Comment
s’intéresseraient-ils au calendrier Hégirien ! C’est une farce ! Comment peuvent-ils acheter un
mouton et le distribuer aux pauvres !
Soufiane dit avec un sourire : « Mes frères pourquoi ne croyez-vous pas mon histoire ?
Pourquoi ne pensez-vous pas qu’une famille chrétienne puisse faire cela ?
Ne voit-on pas des Abdullah, des Mohamed, des Khaled, des Mehdi, des Khadija, des Fatima,
des Salima, etc ; célébrer les fêtes chrétiennes et les fêtes juives ou païennes !
Ne célébrons-nous pas, nous musulmans aveuglés, le Jour de l’An, Halloween, Noël, la Saint
Valentin, Pâques, la fête des Mères, des Pères, la fête de la musique et j’en passe !
Pourquoi les chrétiens ne célèbreraient-ils pas nos fêtes ! Qu’y a-t-il d’étonnant à cela !
Pourquoi condamnons-nous Pierre pour cet acte et ne condamnons-nous pas lorsqu’on célèbre
leurs fêtes !
Pourquoi ne condamnons-nous pas nos familles pour cela ! »
Ensuite, Soufiane leva sa main en s’exclamant de nouveau : je suis né et je vis en France et du
haut de mes 32 ans, Dieu notre Créateur, sais que je n’ai jamais vu de chrétiens ou de juifs
célébrer une de nos fêtes ! Je n’ai vu personne porter de l’intérêt à nos fêtes ! Personne y
participer ! Personne ! Et toujours je vois des musulmans fiers et heureux de célébrer les fêtes
chrétiennes et païennes ! Il n’y a de puissance ni de force, si ce n’est en Allah le Très Grand !
En ces temps où beaucoup de musulmans participent aux fêtes de Noël en achetant même des
sapins qu’ils exposent chez eux et les cadeaux, qui participent en masse au Jour de l’An et ses
débordements moraux et physiques, j’ai jugé bon d’exhorter mes frères et sœurs en prenant
l’exemple fictif de Pierre pour endiguer ce mal dont souffrent les musulmans aujourd’hui !
Aurions-nous un manque de fierté d’appartenir à une communauté dont l’Unique Religion des
Prophètes (paix sur eux) a été merveilleusement parachevée par Allah Lui-Même, depuis Sa
dernière révélation Divine, le saint Coran ? A-t-on besoin de se mêler aux égarements des
chrétiens et des athées, après que Dieu nous a donné la Religion qui perdure, au-dessus de
l’idolâtrie mondiale ?
Que Allah nous guide et fasse qu’on soit fier de notre Religion et ses beaux principes et fasse
qu’on rejette les actent des polythéistes, des incroyants et des égarés ! » (Fin citation : Bureau
de prédication islamique de Rabwah-Riyadh : http://islamhouse.com/fr/articles/261922)
…Cette morale est exemplaire pour ceux qui réfléchissent à l’unique Religion des Prophètes
(paix sur eux tous), l’Islam ! Décortiquons encore plus Noël, dans cette petite histoire
terriblement vraie :
IL ÉTAIT UNE FOIS, LE PÈRE NOËL…
Chers lecteurs et chères lectrices, manifestement et de voir que ces enfants terrifiés dans le
monde, ressentent périodiquement la supercherie de ce rituel païen, qui fait peur et n’inspire pas
confiance au fil du temps !
Voici le TOP 25 des Décembres ou plutôt des Cauchemars DU PÈRE NOËL aux 20ème
et
21ème
siècles, lors des séances photos et autre artifices souvent représenté par le père ou le
grand-père. Classé et numéroté par ordre d’intrigue, du 1er jour au 25
ème jour, c'est-à-dire le
« Calendrier de l’Avent », et qui tire encore une fois sa source de la mythologie dite
germanique, servant à faire patienter les enfants jusqu’au jour « J » de Noël !
Et bien, le voici dans ses véritables Jours :
Et enfin, plus important le 25ème
jour qui est le summum du hit-parade :
Finalement, un mensonge reste un mensonge quelle que soit sa forme donnée ! Même en petit
statut, l’effet est bouleversant face à cette pierre dressée du Père Noël.
Incroyablement, les enfants du passé qui étaient traumatisés et jetés en sacrifice au feu, pendant
qu’ils s’agitaient, pleuraient et criaient sous le coup des tambours des parents, à cause des
rituels du Soleil divinisé et fêté en fin d’année dans la mythologie mondiale ; trouvent leurs
prolongations ; chez ces enfants modernes qui sont traumatisés, s’agitent, pleurent et crient
encore aujourd’hui, à cause des rituels de Noël divinisé et fêté en fin d’année sous le coup des
photographes et artifices des parents ! Tout comme l’astre du Soleil anciennement divinisé
qui porte des noms et des représentations différentes, il en sera de même pour le Père Noël
international divinisé qui porte des visages et des costumes différents !
L’une comme l’autre, ces deux fêtes païennes qui ont des points communs que nous venons
d’étudier historiquement, rassemblent aussi les mêmes supplices traumatiques chez les enfants
du monde aujourd’hui !
Dans un prochain numéro spécial, une autre surprise vous attend « Il était une fois, le Lapin de
Pâques… », et faisant suite à cette comparaison amusante, révélatrice et tout en images.
Structuré dans mon « Livre 05 : Le Vatican : Corruption, Mythologie et Satanisme » 1er
Édition Août 2012 »
Continuons par cette leçon importante :
TELS QUE VOUS ÊTES, TELS QUE VOUS SEREZ
TELS QUE VOUS ÊTES,…
Jusqu’ici, vous pouvez constater que l’idolâtrie du Prophète Jésus et sa mère la Vierge Marie
(paix sur eux), ainsi que le Père Noël, divinisés et dressés en statue de pierre ou de bois, sont
fabriqués de différentes manières et assujettis à l’usure du temps, au déplacement et la casse. De
même que l’obélisque Égyptien et le Sapin de Noël furent aussi divinisés et dressés sur la place
Saint-Pierre au Vatican. Tout ceci, n’a jamais été enseigné par notre Créateur Immuable, encore
moins seraient-ils des égaux à Lui.
Dans ce convoi infernal, la mythologie viendra infester le Vatican à Rome ainsi que le monde
entier, c’est-à-dire les Églises ; les Synagogues ; les Abbayes, les Hôtels de ville
Démocratiques ; les Temples Chiites/Soufis/Mourjia faussement appelés « Mosquées » par
leurs gourous puis par les médias et les hypocrites manipulateurs d’esprits, et tant d’autres
pièges de Satan/Iblis le djinn !
Et bien, Allah le Grand Stratège a le Pouvoir de retourner subtilement, toutes les assertions et
les comportements des mécréants en tout temps, contre eux-mêmes. Cela est vérifiable déjà sur
terre alors que l’encre des anciens livres d’histoire a déjà séchée, quand d’autres événements
voient le jour aujourd’hui. Mais aussi, de manière considérant et à venir dans l’Au-delà, après le
Jour inéluctable de la Résurrection de l’humanité et des djinns.
Allah notre Dieu Unique par Sa Parole de vérité, dit : « Ô les croyants ! Le vin, le jeu de
hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu’une abomination, œuvre
du Diable. Écartez-vous en, afin que vous réussissiez. » (Coran : sourate 5 Al-Maidah, verset
90)
Ainsi « les pierres dressées », représentent toutes ces statues de pierre ou de bois qui furent
divinisées et dressées. Aussi bien par les nations impures disparues, que par les incrédules
aujourd’hui, quelque soit le temps, le lieu et la doctrine des hommes inspirés ou aspirés (c’est
pareil) par Satan. L’idéale vérité, est de ne pas suivre cette œuvre du Diable, car elle est une
abomination et alors vous ne réussirez votre vie ni sur la terre provisoire, ni dans la tombe
intermédiaire, et enfin ni dans l’Au-delà éternel à cause de l’idolâtrie et ces rituels
invraisemblables.
En effet, combien de fois ces criminels sacrifiaient des êtres humains ou leurs enfants pour leurs
idoles inertes et sans vies. De plus, ils sacrifiaient aussi des animaux, ce à quoi Allah le
Législateur interdit la chair de ses animaux immolés inutilement à l’autel des idoles fictifs :
«…(Vous sont interdits aussi la bête) qu’on a immolée sur les pierres dressées,… » (Coran :
sourate 5 Al-Maidah, verset 3)
De ce fait et à titre d’exemple, si un chrétien apportait de la dinde sacrifiée sur l’autel
symbolique de Noël un 25 Décembre, en passant par le four en cuisine de madame, pour en
offrir une partie à son voisin musulman, il lui serait interdite à sa consommation ! Allah le Très-
Haut poursuit à la suite de ce même verset 3 sourate 5 Al-Maidah : «….Car cela est
perversité…. ».
…TELS QUE VOUS SERREZ
Jusque-là, on peut dire que Satan/Iblis le djinn a dressé ses partisans dans les labyrinthes de
l’idolâtrie engluant, de la même manière qu’un Dompteur a dressé ses animaux dans les cages
des cirques ambulants ! Sauf, qu’un animal quelconque n’a pas de raison alors qu’un idolâtre
est « censé réfléchir » sur terre :
« Ne vois-tu pas celui qui a fait de sa passion sa divinité ? Est-ce à toi d’être un garant
pour lui ? Ou bien penses-tu que la plupart d’entre eux entendent ou comprennent ? Ils ne
sont en vérité comparables qu’à des bestiaux. Ou plutôt, ils sont plus égarés encore du
sentier. » (Coran : sourate 25 Al-Furqane, versets 43 et 44)
« Nous avons destiné beaucoup de djinns et d’hommes pour l’Enfer. Ils ont des cœurs,
mais ne comprennent pas. Ils ont des yeux, mais ne voient pas. Ils ont des oreilles, mais
n’entendent pas. Ceux-là sont comme les bestiaux, même plus égarés encore. Tels sont les
insouciants. » (Coran : sourate 7 Al-Araf, verset 179)
Ainsi, la passion de Noël est suivie par les insouciants et les insouciantes, « censés avoir une
raison » parmi les djinns et l’humanité vivant sur terre. Alors que les bestiaux ne fêteront jamais
le 25 Décembre, encore moins leur propre date de naissance et encore moins la date de leur
mort fêtée par d’autres animaux vivants, n’est-ce pas !?
Allah le Juge révèle le futur, malgré les rappels des Prophètes sur l’interdiction de l’idolâtrie et
ses rites, paroles toujours lié au rappel de l’adoration de notre Créateur Légitime et l’application
de Ses Lois bénis, le comportement de tous ces mécréants insensés à vouloir systématiquement
dresser les idoles et les doctrines du mauvais chemin, se retourneront finalement contre eux-
mêmes, au Jour de la Résurrection de l’humanité et des djinns :
« le jour où ils sortiront des tombes, rapides comme s’ils couraient vers des pierres
dressées ; » (Coran : sourate 70 Al-Maarij, verset 43)
Combien de fois dans l’histoire, les nations incrédules couraient après toutes ces pierres
dressées, que ce soit quotidiennement ou pendant les rituels et cérémonies ? Et qui plus est
aujourd’hui ? Ce jour-là, les incrédules ressuscités corps et âme, de toutes générations courront
plutôt vers le Jugement de Allah notre Maître à tous !
« Nous mettrons des carcans à leurs cous, et il y en aura jusqu’aux mentons et voilà qu’ils
iront têtes dressées. » (Coran : sourate 36 Ya-Sin, verset 8)
Ceux qui séjourneront en Enfer, seront préalablement amenés pour beaucoup en ayant les têtes
verticalement bien dressées ainsi que tout le corps, comme le furent leurs idoles de pierre et de
bois dressées verticalement en place publique ou dans les habitations !
« ‹Vous serez, vous et ce que vous adoriez en dehors de Allah, le combustible de l’Enfer,
vous vous y rendrez tous. Si ceux-là étaient vraiment des divinités, ils n’y entreraient pas ;
et tous y demeureront éternellement. » (Coran : sourate 21 Ta-Ha, versets 98 et 99)
De ce fait, des mécréants et des hypocrites ne baisseront pas la tête, mais ils entreront de plein
fouet avec l’œil de la certitude ou plutôt l’œil de la déception accompagnés de leurs propres
idoles comme combustibles inséparables, c’est comme s’ils diraient ce jour-là :…« nous
sommes des gens élus…des gens élus et dressés en Enfer, nous n’avons pas d’échappatoire à
cause de nos cœurs noirs » !
En effet, non seulement leurs cœurs étaient noirs et aveugles sur terre, mais ils le seront encore
plus une fois carbonisés, corps et âme entier, dans les flammes éternelles de l’Au-delà, en Enfer
et sans jamais mourir, ni jamais vivre !
« Ceux qui croient et accomplissent de bonnes œuvres, Allah les fera entrer dans des
Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux. Et ceux qui mécroient jouissent et mangent
comme mangent les bestiaux ; et le Feu sera leur lieu de séjour. » (Coran : sourate 47
Muhammad, verset 12)
Un autre comportement qui va toujours de pair chez les idolâtres et les tyrans de ce monde, est
que tous dévorent la vie avidement à l’identique des bestiaux qui boivent et mangent à longueur
de journée, sans aucun but dans leur vie puisque les mécréants refusaient de suivre les rappels
des Prophètes, pendant que les croyants sont honorés au Paradis, loin du séjour de l’Enfer !
À nouveau, la lecture se poursuit en rencontrant le Prophète Jésus (paix sur lui) historique :
LE PROPHÈTE JÉSUS (PAIX SUR LUI) DANS LE SAINT CORAN
Notre Créateur Allah, l’Immuable qui est béni éternellement, rappel des faits historiquement
Divine par Sa Parole, depuis qu’Il a légiféré la Religion (Code de vie) pour l’humanité, dans
son dernier LIVRE révélé, le saint CORAN merveilleux.
« Je n’ai créé les djinns et les hommes que pour qu’ils M’adorent. » (Coran : sourate 51 Ad-
Dariyat, verset 56)
Notre adoration pour Lui et le fait de Son Bon plaisir, selon Sa Loi (Sharia) sur Sa terre,
appliquée par Ses serviteurs sincères, notamment Son Khalifa responsable de l’application de
Ses Lois Divines, au sein de la Oumma dans l’État Islamique béni.
« Lorsque Ton Seigneur confia aux Anges : ‹Je vais établir sur la terre un vicaire
‹Khalifa›. » (Coran : sourate 2 Al-Baqarah, verset 30)
Après la création de notre père Adam, premier Homme, Prophète et Khalife, d’autres Prophètes
(paix sur eux tous) successifs accompagnés les peuples pour rappeler et fortifier le but de notre
vie sur terre.
« Et Nous lui avons donné Isaac et Jacob et Nous les avons guidés tous les deux. Et Noé,
Nous l’avons guidé auparavant, et parmi la descendance (d’Abraham) (ou de Noé), David,
Salomon, Job, Joseph, Moïse et Aaron. Et c’est ainsi que Nous récompensons les
bienfaisants. De même, Zacharie, Jean-Baptiste, Jésus et Élie, tous étant du nombre des
gens de bien. De même, Ismaël, Élisée, Jonas et Lot. Chacun d’eux Nous l’avons favorisé
par-dessus le reste du monde. » (Coran : sourate 6 Al-Anam, versets 84 à 86)
« Nous avons envoyé dans chaque communauté un Messager, [pour leur dire] : ‹Adorez
Allah et écartez-vous du Tagut›. Alors Allah en guida certains, mais il y en eut qui ont été
destinés à l’égarement. Parcourez donc la terre, et regardez quelle fut la fin de ceux qui
traitaient [Nos messagers] de menteurs. » (Coran : sourate 16 An-Nahl, verset 36)
Alors que beaucoup de nations furent totalement détruites pour avoir niés leurs Prophètes
respectives, surviendront dans l’histoire, l’avant dernier Prophète Jésus (‘Issa ou Hissa, en
arabe), paix sur lui. Il fut envoyé au peuple d’Israël qui avait oublié l’adoration de Allah et le
délaissement de Ses Lois Justes. Les enfants d’Israël étaient aussi coupables de l’adoration des
idoles de pierre et de bois, ainsi que l’adoration des idoles de chaire, c’est-à-dire le suivi
aveugle des rabbins corrompus et la falsification des anciennes écritures, tout ceci se traduit en
un seul mot arabe, le « Tagut » (Taghout) !
« Et Nous avons envoyé après eux Jésus, fils de Marie, pour confirmer ce qu’il y avait
dans la Thora avant lui. Et Nous lui avons donné l’Évangile, où il y a guide et lumière,
pour confirmer ce qu’il y avait dans la Thora avant lui, et un guide et une exhortation
pour les pieux. » (Coran : sourate 5 Al-Maidah, verset 46)
Le Prophète Jésus est né miraculeusement de la Vierge Marie (paix sur eux), sans l’intervention
d’un homme.
« (Rappelle-toi,) quand les Anges dirent : ‹Ô Marie, voilà que Allah t’annonce une parole
de Sa part : son nom sera ‹al-Masih› ‹Hissa›, fils de Marie, illustre ici-bas comme dans
l’au-delà, et l’un des rapprochés de Allah›. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son
âge mûr et il sera du nombre des gens de bien›. - Elle dit : ‹Seigneur ! Comment aurais-je
un enfant, alors qu’aucun homme ne m’a touchée ?› - ‹C’est ainsi !› dit-Il. Allah crée ce
qu’Il veut. Quand Il décide d’une chose, Il lui dit seulement : ‹Sois› ; et elle est aussitôt. »
(Coran : sourate 3 Al-Imran, versets 45 à 47)
Le Prophète Jésus, rappellera ce que disaient ses prédécesseurs.
« Allah est mon Seigneur et votre Seigneur. Adorez-Le donc : voilà le chemin droit.› »
(Coran : sourate 3 Al-Imran, verset 51)
Puis, le Prophète Jésus n’a jamais été crucifié.
« et à cause de leur parole : ‹Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le
Messager de Allah›… Or, ils ne l’ont ni tué ni crucifié ; mais ce n’était qu’un faux-
semblant ! Et ceux qui ont discuté sur son sujet sont vraiment dans l’incertitude : ils n’en
ont aucune connaissance certaine, ils ne font que suivre des conjectures et ils ne l’ont
certainement pas tué. Mais Allah l’a élevé vers Lui. Et Allah est Puissant et Sage. »
(Coran : sourate 4 An-Nisa’, versets 157 et 158)
Sachant que ce « faux-semblant », fut le traître JUDAS ISCARIOTE qui fut mis à mort par
crucifixion et relaté dans l’Évangile de Barnabé. Malgré cela, de faible ruses de Satan qui
mènent en Enfer, proliféreront juste après cette conjecture de crucifixion de Jésus ou plutôt
« Cruci-Fiction » adoptée et vénérée par les idolâtres et les polythéistes au cœur plus dur que
la pierre, puis finalement réfutée par notre Dieu Unique, tels que :
1- Le « péché de Adam non pardonné ou péché originel », est RÉFUTÉ :
« Et il leur jura : ‹Vraiment, je suis pour vous deux un bon conseiller›. Alors il les fit
tomber par tromperie. Puis, lorsqu’ils eurent goûtés de l’arbre, leurs nudités leur
devinrent visibles ; et ils commencèrent tous deux à y attacher des feuilles du Paradis. Et
leur Seigneur les appela : ‹ Ne vous avais-Je pas interdit cet arbre ? Et ne vous avais-Je
pas dit que le Diable était pour vous un ennemi déclaré ? › Tous deux dirent : ‹ Ô notre
Seigneur, nous avons fait du tort à nous-mêmes. Et si Tu ne nous pardonnes pas et ne nous
fais pas miséricorde, nous serons très certainement du nombre des perdants›. » (Coran :
sourate 7 Al-Araf, versets 21 à 23)
« Puis Adam reçut de son Seigneur des paroles, et Allah agréa son repentir car c’est Lui
certes, le Repentant, le Miséricordieux. » (Coran : sourate 2 Al-Baqarah, verset 37)
- Le « péché de Adam porté par sa descendance », est RÉFUTÉ :
« Dis : ‹Moi, mon Seigneur m’a guidé vers un chemin droit, une religion droite, la religion
d’Abraham, le soumis exclusivement à Allah et qui n’était point parmi les associateurs.
Dis : ‹En vérité, ma Salat, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort appartiennent à
Allah, Seigneur de l’univers. À Lui nul associé ! Et voilà ce qu’il m’a été ordonné, et je
suis le premier à me soumettre.› Dis : ‹Chercherais-je un autre Seigneur que Allah, alors
qu’Il est le Seigneur de toute chose ? Chacun n’acquiert [le mal] qu’à son détriment,
personne ne portera le fardeau (responsabilité) d’autrui. Puis vers votre Seigneur sera
votre retour et Il vous informera de ce en quoi vous divergez. C’est Lui qui a fait de vous
les successeurs sur terre et qui vous a élevés, en rangs, les uns au-dessus des autres, afin de
vous éprouver en ce qu’Il vous a donnés. (Vraiment) ton Seigneur est prompt en punition,
Il est aussi Pardonneur et Miséricordieux. » (Coran : sourate 6 Al-Anam, versets 161 à 165)
- Le « péché de Adam effacé par le sang de Jésus ou rédemption », est RÉFUTÉ :
« Et concourez au pardon de votre Seigneur, et à un Jardin (Paradis) large comme les
cieux et la terre, préparé pour les pieux, qui dépensent dans l’aisance et dans l’adversité,
qui dominent leur rage et pardonnent à autrui - car Allah aime les bienfaisants - et pour
ceux qui, s’ils ont commis quelque turpitude ou causé quelque préjudice à leurs propres
âmes (en désobéissant à Allah), se souviennent de Allah et demandent pardon pour leurs
péchés - et qui est-ce qui pardonne les péchés sinon Allah ? - et qui ne persistent pas
sciemment dans le mal qu’ils ont fait. Ceux-là ont pour récompense le pardon de leur
Seigneur, ainsi que les Jardins sous lesquels coulent les ruisseaux, pour y demeurer
éternellement. Comme est beau le salaire de ceux qui font le bien ! » (Coran : sourate 3 Al-
Imran, versets 133 à 136)
- Le « fils de Allah », est RÉFUTÉ :
« Les Juifs disent : ‹Uzayr est fils de Allah› et les Chrétiens disent : ‹Le Christ est fils de
Allah›. Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants
avant eux. Que Allah les anéantisse ! Comment s’écartent-ils (de la vérité) ? » (Coran :
sourate 9 At-Tawbah, verset 30)
« Dis : ‹Il est Allah, Unique. Allah, Le Seul à être imploré pour ce que nous désirons. Il n’a
jamais engendré, n’a pas été engendré non plus. Et nul n’est égal à Lui›. » (Coran : sourate
112 Al-Ihlas, 4 versets)
« Il ne convient pas à Allah de S’attribuer un fils. Gloire et Pureté à Lui ! Quand Il décide
d’une chose, Il dit seulement : ‹Soi !› et elle est. » (Coran : sourate 19 Maryam, verset 35)
« Et dis : ‹Louange à Allah qui ne S’est jamais attribué d’enfant, qui n’a point d’associé
en la royauté et qui n’a jamais eu de protecteur de l’humiliation›. Et proclame hautement
Sa grandeur. » (Coran : sourate 17 Al-Isra, verset 111)
- La « seigneurie de Jésus ou sa divinité », est RÉFUTÉE :
« Certes sont mécréants ceux qui disent : ‹Allah, c’est le Messie (Jésus), fils de Marie !› -
Dis : ‹Qui donc détient quelque chose de Allah (pour L’empêcher), s’Il voulait faire périr
le Messie, fils de Marie, ainsi que sa mère et tous ceux qui sont sur la terre ?…. À Allah
Seul appartient la royauté des cieux et de la terre et de ce qui se trouve entre les deux›. Il
crée ce qu’Il veut. Et Allah est Omnipotent. » (Coran : sourate 5 Al-Maidah, verset 17)
« Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme
Seigneurs en dehors de Allah, alors qu’on ne leur a commandé que d’adorer un Dieu
unique. Pas de divinité à part Lui ! Gloire à Lui ! Il est au-dessus de ce qu’ils [Lui]
associent. » (Coran : sourate 9 At-Tawbah, verset 31)
- La « trinité : trois dieux en un, ou, un dieu en trois », est RÉFUTÉE :
« Ô gens du Livre (Chrétiens), n’exagérez pas dans votre religion, et ne dites de Allah que
la vérité. Le Messie Jésus, fils de Marie, n’est qu’un Messager de Allah, Sa parole qu’Il
envoya à Marie, et un souffle (de vie) venant de Lui. Croyez donc en Allah et en Ses
messagers. Et ne dites pas ‹Trois›. Cessez ! Ce sera meilleur pour vous. Allah n’est qu’un
Dieu unique. Il est trop glorieux pour avoir un enfant. C’est à Lui qu’appartient tout ce
qui est dans les cieux et sur la terre et Allah suffit comme protecteur. Jamais le Messie ne
trouve indigne d’être un serviteur de Allah, ni les Anges rapprochés [de Lui]. Et ceux qui
trouvent indigne de L’adorer et s’enflent d’orgueil… Il les rassemblera tous vers Lui.
Quant à ceux qui ont cru et fait de bonnes œuvres, Il leur accordera leurs pleines
récompenses et y ajoutera le surcroît de Sa grâce. Et quant à ceux qui ont eu la morgue et
se sont enflés d’orgueil, Il les châtiera d’un châtiment douloureux. Et ils ne trouveront,
pour eux, en dehors de Allah, ni allié ni secoureur. » (Coran : sourate 4 An-Nisa’, versets
171 à 173)
Finalement, le dernier Prophète Mohammed (paix et bénédiction de Allah sur lui) envoyé à
l’humanité entière jusqu’à la fin du monde, est venu abroger toutes les anciennes écritures, par
le Saint Coran inaltérable. C’est le Livre Divin qui vient parachever la Religion de Allah,
proportionnellement au parcours de l’homme sur terre. De la même manière qu’un nouveau-né
apprend à vivre et s’épanouit graduellement à son entourage pieux en grandissant, ceci est une
question de relativité du temps qui prend un tout autre sens ici.
« Ô gens du Livre ! Notre Messager (Muhammad) vous est certes venu, vous exposant
beaucoup de ce que vous cachiez du Livre, et passant sur bien d’autres choses ! Une
lumière et un Livre explicite vous sont certes venus de Allah ! Par ceci (le Coran), Allah
guide aux chemins du salut ceux qui cherchent Son agrément. Et Il les fait sortir des
ténèbres à la lumière par Sa grâce. Et Il les guide vers un chemin droit. » (Coran : sourate 5
Al-Maidah, versets 15 et 16)
« Et sur toi (Muhammad) Nous avons fait descendre le Livre avec la vérité, pour
confirmer le Livre qui était là avant lui et pour prévaloir sur lui. Juge donc parmi eux
d’après ce que Allah a fait descendre. Ne suit pas leurs passions, loin de la vérité qui t’est
venue. À chacun de vous Nous avons assigné une législation et un plan à suivre. Si Allah
avait voulu, certes Il aurait fait de vous tous une seule communauté. Mais Il veut vous
éprouver en ce qu’Il vous donne. Concurrencez donc dans les bonnes œuvres. C’est vers
Allah qu’est votre retour à tous ; alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez.
Juge alors parmi eux d’après ce que Allah a fait descendre. Ne suit pas leurs passions, et
prends garde qu’ils ne tentent de t’éloigner d’une partie de ce que Allah t’a révélé. Et
puis, s’ils refusent (le jugement révélé) sache que Allah veut les affliger [ici-bas] pour une
partie de leurs péchés. Beaucoup de gens, certes, sont des pervers. Est-ce donc le jugement
du temps de l’Ignorance qu’ils cherchent ? Qu’y a-t-il de meilleur que Allah, en matière
de jugement pour des gens qui ont une foi ferme ? » (Coran : sourate 5 Al-Maidah, versets
48 et 50)
Aujourd’hui, nombreux sont les sataniques lucifériens, les athées, les sectes, puis les traîtres et
les apostats, c’est-à-dire ceux qui sont sortis de l’Islam ! Ces faux-musulmans qui ont une
maladie au cœur, en un mot les HYPOCRITES à toutes époques, ceux du dernier et 7ème
étage
de l’Enfer le plus amer au Jour des Comptes, pour avoir vendu leur âme et la Religion au Diable
en échange d’une vile poignée de billets-papier ici, puis un petit bout de pouvoir-illusoire là, en
combattant l’État Islamique et son Khalifa, bénis et restaurés en ce début du 21ème
siècle,
suivant l’actualité bien réelle.
« Ô les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns
des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne
guide certes pas les gens injustes. Tu verras, d’ailleurs, que ceux qui ont la maladie au
cœur se précipitent vers eux et disent : ‹Nous craignons qu’un revers de fortune ne nous
frappe.› Mais peut-être que Allah fera venir la victoire ou un ordre émanant de Lui. Alors
ceux-là regretteront leurs pensées secrètes. » (Coran : sourate 5 Al-Maidah, versets 51 et 52)
Que Allah guide dans le droit chemin, les gens sincères et les doués d’intelligence, amine. Nous
sommes presque arrivés au bout de la lecture, terminons cette étude :
DES QUESTIONS ET DES RAPPELS
Ci-dessus et au visage qui en dit long, l’ex-NAZI Joseph Ratzinger ou pape blanc Benoît XVI,
lors du traditionnel discours aux chrétiens, adressant ses vœux depuis la place Saint-Pierre à
Rome, le 25 Décembre 2005, jour de la fête annuelle et païenne de Noël !
DES QUESTIONS,…
Surfons à nouveau sur le site Aimer-Jésus.com. Citation :
(…) « Questions logiques à se poser en ce qui concerne « la divinité du christ » :
Pourquoi il n'y a aucun passage (de la Bible) où Jésus dit « je suis votre Dieu adorez-moi »,
alors que c'est le dogme principal chez les chrétiens aujourd'hui ? (et ne dites pas qu'il avait peur
des juifs !).
Pourquoi les autres nations (ceux qui sont venus avant le Christ, et dont les Prophètes) ne
croyaient pas à la Trinité, seraient-ils envoyés en Enfer pour cela ?
Si Jésus est (prétendument) venu pour délivrer l'humanité du péché original commis par Adam,
pourquoi ne l'a-t-il jamais dit ? Vu que la Bible ne contient aucune parole du Christ parlant du
péché originel, on signale là que cette doctrine a été développée bien après au début du 5ème
siècle par un prêtre nommé Augustin !
Pourquoi Dieu le Tout Puissant devrait-Il faire descendre son prétendu fils, pour pardonner aux
gens leurs péchés, ne pouvait-Il pas simplement pardonner ces péchés ?
Comment Dieu peut-Il être trois en un et (en même temps) un en trois ? (sans donner l'exemple
de l'œuf ou celui de la pomme qui n'y correspondent pas).
Si le Christ est Dieu pourquoi le Christ affirmait que c'est Dieu qui l’a envoyé ?
Si le Christ était d'accord sur ce qui lui arrivait et qu'il était Dieu pourquoi prierait-il sur la
croix : « eli eli lama chabaktani » (traduit : mon Dieu, mon Dieu pourquoi tu m’as abandonné) ?
Quand Dieu, le Créateur était sur la croix (Gloire a Lui de ceux que les chrétiens prétendent),
qui s'occupait de la terre et des sept cieux, qui répondait aux prières de gens, qui... ?
Pourquoi la libération des péchés n’a pas été faite au temps d'Adam ? » (Fin citation :
http://aimer-jesus.com/questions_logiques.php)
…Après ceci, d’autres questions peut-être ? Allons-y :
Croyez-vous encore à la « Trinité », qui n’a jamais été enseignée par Jésus, et encore moins par
l’ex-Nazi Joseph Ratzinger ?
Croyez-vous encore à la crucifixion (Cruci-Fiction) de Jésus et la rédemption inventée depuis
des siècles ?
Êtes-vous un ÂNE qui suit la carotte ou un HOMME qui suit la raison ?
Êtes-vous fière de votre Din (Religion ou code de vie) en Islam et ses beaux principes ?
Rejetez-vous les actes des païens, des polythéistes, des idolâtres, des sataniques lucifériens, des
athées, des sectes et des égarés ?
Avez-vous compris l’imposture du Vatican Jésuite/Juif noachide, de l’Église catholique
romaine et du Nouvel ordre mondial séculier Illuminati/Franc-maçonnique ? Avez-vous
toujours envie de fêter le rituel païen de Noël chaque année, avec les génocidaires et les tyrans
de ce monde, en partis ci-dessous ?
…ET DES RAPPELS
Même le Vatican, déclare sa propre tromperie au Codex Vaticanus, daté du 4ème
siècle le plus
ancien et contenant l’Ancien et le Nouveau Testament, déclarant que le Prophète Jésus (paix sur
lui), fut associé de force au jour de la fabrication de L’IDOLE MITHRA, le 25
Décembre !...Le faux apôtre Saul-Paul sera l’un des premiers scélérats trompeurs dans la
destruction des vrais enseignements du Prophète Jésus (paix sur lui).
Puis, un philosophe et théologien humaniste italien Jean Pic de la Mirandole (1463-1494),
rapporte les propos du pape blanc Léon X (1475-1521), qui fit cette déclaration : « Quel
bénéfice cette fable du Christ ne nous a-t-elle pas déjà apporté ! » (Dictionnaire philosophique
de Voltaire).
Un autre rapporteur le philosophe néerlandais Baruch Spinoza (1632-1677) explique que :
« C'est le jugement qu'en portait le Pape Léon X, comme il parait par ce mot si connu et si hardi
dans un siècle où l’esprit philosophique avait fait encore si peu de progrès. (Pape Léon X) : «
On sait de temps immémorial, disait-il au Cardinal Bembo, combien cette fable de Jésus-Christ
nous a été profitable ! ». (Voir les œuvres de Baruch Spinoza)
Puis « l'Encyclopédie des mythes et des secrets », de l’auteur américaine Barbara G. Walker
(1930-…), à la page 471, citée par le Révérand Robert Taylor (1784-1844), dans son livre au
long titre « The Diegesis : being a discovery of the origin, evidences, and early history of
Christianity, never yet before or elsewhere so fully and faithfully set forth » publié en 1829, 1er
Édition London : R. Carlile [and] J. Brooks ; rapporte une version légèrement différente du
Pape Léon X dans sa lettre au cardinal Bembo, ce qui suit : « Il est bien connu combien, de
temps immémorial, cette fable du Christ nous a été profitable.» (« The Diegesis » Édition
Health Research Books, 1997 + PDF 1er
Édition 1829 :
https://archive.org/details/diegesisbeingdis01tayl)
Et enfin, le Pape Paul III (1468-1549), confiera à l’ambassadeur d'Espagne à Rome le duc de
Mendoza, que n'ayant pu découvrir aucune preuve de la réalité historique du Jésus-Christ de la
légende chrétienne, il était dans l'obligation de conclure à un dieu Solaire mythique de plus.
(Preuves que l’on retrouve aussi dans les ouvrages de l’auteur français Robert Ambelain
(1907-1977), dans la collection Les Énigmes de l'Univers, Édition -Paris Robert Laffont,
les trois livres suivant : « Jésus ou le Mortel secret des Templiers », 01 Juin 1970 / « La
Vie secrète de Saint Paul », 01 Janvier 1971 / « Les Lourds Secrets du Golgotha », 1974)
Ceci étant dit comme déjà rappelé, Saul était un Juif faussement converti à l’Évangile, et
devenu Paul. Cet imposteur manipulera les enseignements de Jésus de l’intérieur, d’où la
doctrine du Paulisme qui consiste à détruire le monothéisme pur qui mène au Paradis et le
remplacer par le Néo-paganisme catholique qui mène en Enfer !
Et pour terminer sur cette indigeste mixture de divinités périmées, voici une des branches de
l’idolâtrie mondiale, c’est-à-dire le SATANISME avec ses mille et un visages. La photographie
ci-dessus découverte en Décembre 2016, figure une représentation des « MAINS
CORNUES » ! L’un des signes d’Iblis le djinn lapidé, utilisé chez les adorateurs de Satan
ambulants ou initiés, en tant que Lucifer ou encore Baphomet ses autres noms, puis manifestés
par ces jeunes hommes égarés, et habillés pitoyablement en Saint Nicolas et son acolyte Père
Fouettard...Une dégénérescence sans limite !
À cela, Allah notre Créateur et Dieu Unique, dit : «… Y a-t-il quelqu’un pour réfléchir ? »
(Coran : sourate 54 Al-Qamar, verset 15)
Il est temps chers lecteurs et chères lectrices, de passer à la conclusion :
CONCLUSION
Par Allah le Très-Haut qui a créé les 7 Cieux prodigieux, Son Siège inouïe et Son Trône
sublime sans jamais égaler Sa Grandeur immuable, trois choses à dire :
La Première chose, rappelons à tous musulmans et musulmanes soucieux d’apprendre la
Religion de vérité, le fait de s’éloigner et rejeter toutes les fêtes et coutumes mécréantes. Allah
le Législateur dit : « et quiconque se repent et accomplit une bonne œuvre c'est vers Allah
qu'aboutira son retour. Ceux qui ne donnent pas de faux témoignages ; et qui, lorsqu'ils
passent auprès d'une frivolité, s'en écartent noblement » (Coran : sourate 25 Al Furquane,
versets 71 et 72)…Concernant le verset 72 «…et qui, lorsqu'ils passent auprès d'une frivolité,
s'en écartent noblement », et bien l’historien et juriste shâfi’ite Ibn Kathir (701h-774h) a dit
dans son Tafsir (Exégète du Coran), volume 3, à la page 2097, ce qui suit : « Abou Al Aliya,
Tawous, Mouhammad Ibn Sirin, Dahhak, Rabi' Ibn Anas et autres ont dit que cela concerne les
fêtes des mécréants. ». (PDF : http://exegese-coran-tafsir-quran.over-
blog.com/2014/11/tafsir-exegese-commentaire-explication-ibn-kathir-complet-en-francais-
pdf-telecharger-en-un-clic.html)
C’est ce que confirme le dernier Prophète Mohammed (paix et bénédiction de Allah sur lui) qui
dit : « Quiconque imite un peuple en fait partie » (Rapporté par Abû Dawôud et jugé
authentique par cheikh Al-Albâni.).
De même, nous lisons aussi et d'après 'Abdallah Ibn 'Omar (que Allah les agrées), le dernier
Prophète Mohammed (paix et bénédiction de Allah sur lui) a dit : « Celui qui ressemble à un
peuple fait partie d'eux ». (Rapporté par Abû Dawôud dans ses Sounan n°4031 ; et
authentifié entre autres par les cheikhs : Ibn Taymiya dans Majmou Al Fatawa 25/331 ;
Dhahabi dans Siyar A'lam Noubala 15/509 ; Ibn Hajar dans Fath Al Bari 10/282 ; et
Albani dans Sahih Al Jami n°6149)
Ajouter à cela, les commentaires d’autres oulémas/savants chronologiques, tels que le
théologien et juriste Ibn Qayyim Al Jawziyya (691h-751h) dans son livre « Ahkām Ahl al-
Dhimma » à la page 441 de dire :
« En ce qui concerne les félicitations pour les rites spécifiques à la mécréance alors ceci est
interdit par consensus des savants. Comme exemple le fait de les féliciter pour leurs fêtes et
leurs jeûnes en disant : - bonne fête à toi - ou - félicitation pour cette fête - ou ce genre de
paroles… ». Plus loin à la page 1245, Ibn Qayyim est catégorique : « Il n'est pas permis au
musulman d'assister aux fêtes des mécréants par consensus des gens de science. Les juristes des
quatre écoles juridiques (Hanafite, Malékite, Shâfi’ite, Hanbalite) ont explicitement mentionné
cela dans leurs ouvrages ». (Plusieurs ouvrages PDF : http://bibliotheque-islamique-coran-
sunna.over-blog.com/pages/Ibn_Qayyim_Al_Jawziya-5132775.html)
Allah le Bien Informé dit :
« Ce ne sont que des noms que vous avez inventés, vous et vos ancêtres. Allah n'a fait
descendre aucune preuve à leur sujet. Ils ne suivent que la conjecture et les passions de
[leurs] âmes, alors que la guidée leur est venue de leur Seigneur. Ou bien l'homme aura-t-
il tout ce qu'il désire ? À Allah appartiennent la vie future et la vie d'ici-bas. » (Coran :
sourate 53 An-Najm, versets 23 à 25)
La Deuxième chose, est que nous vivons les Derniers événements historiques de notre but sur
terre, après ceci il n’y aura jamais de second retour sur terre pour ceux qui échoueront à cause
d’un mauvais choix ! Pour en être ainsi récompensé soit au Paradis et ces délices, soit en Enfer
et ces supplices. Éternellement, au Jour des Comptes, au Jour de la Résurrection ! Arrivé
jusqu’ici, il est donc facile de choisir entre bien vivre comme un croyant, ou vivre mal comme
un mécréant.
Allah l’Unique Dieu sans associé dit :
« Et c'est Lui qui agrée de Ses serviteurs le repentir, pardonne les méfaits et sait ce que
vous faites, et exauce [les vœux] de ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres et
leur accroît Sa faveur, tandis que les mécréants ont un dur châtiment. » (Coran : sourate 42
Achoura, versets 25 et 26)
La Troisième chose, est que toutes les découvertes et les décryptages dans les -Livres de
Ribaat- sont dus en temps et en heure grâce à la Volonté de Allah le Planificateur qui choisit et
guide qui Il veut parmi Ses serviteurs, seules les erreurs sont de nous-mêmes.
En effet, Allah l’Unique Dieu, le Très Haut qu’Il Soit Loué dit :
« Bien au contraire, Nous lançons contre le faux la vérité qui le subjugue, et le voilà qui
disparaît. Et malheur à vous pour ce que vous attribuez [injustement à Allah]. » (Coran :
sourate 21 Al-Anbiya, verset 18)
« Et quant à ceux qui luttent pour Notre cause, Nous les guiderons certes sur Nos sentiers,
Allah est en vérité avec les bienfaisants. » (Coran : sourate 29 Al-Ankabut, verset 69)
« Puis, quand Jésus ressentit de l’incrédulité de leur part, il dit : ‹Qui sont mes alliés dans
la voie de Allah ?› Les apôtres dirent : ‹Nous sommes les alliés de Allah. Nous croyons en
Allah. Et sois témoin que nous Lui sommes soumis. Seigneur ! Nous avons cru à ce que Tu
as fait descendre et suivi le messager. Inscris-nous donc parmi ceux qui témoignent›. Et ils
[les autres] se mirent à comploter. Allah a fait échouer leur complot. Et c’est Allah qui sait
le mieux leur machination ! (Rappelle-toi) quand Allah dit : ‹Ô Jésus, certes, Je vais
mettre fin à ta vie terrestre t’élever vers Moi, te débarrasser de ceux qui n’ont pas cru et
mettre jusqu’au Jour de la Résurrection, ceux qui te suivent au-dessus de ceux qui ne
croient pas. Puis, c’est vers Moi que sera votre retour, et Je jugerai, entre vous, ce sur
quoi vous vous opposiez. Quant à ceux qui n’ont pas cru, Je les châtierai d’un dur
châtiment, ici-bas tout comme dans l’Au-delà ; et pour eux pas de secoureurs. Et quant à
ceux qui ont la foi et font de bonnes œuvres, Il leur donnera leurs récompenses. Et Allah
n’aime pas les injustes. Voilà ce que Nous te récitons des versets et de la révélation précise.
Pour Allah, Jésus est comme Adam qu’Il créa de poussière, puis Il lui dit ‹Sois› : et il fut.
La vérité vient de ton Seigneur. Ne sois donc pas du nombre des sceptiques. À ceux qui te
contredisent à son propos, maintenant que tu en es bien informé, tu n’as qu’à dire :
‹Venez, appelons nos fils et les vôtres, nos femmes et les vôtres, nos propres personnes et
les vôtres, puis proférons exécration réciproque en appelant la malédiction de Allah sur
les menteurs. Voilà, certes, le récit véridique. Et il n’y a pas de divinité à part Allah. En
vérité, c’est Allah qui est le Puissant, le Sage. Si donc ils tournent le dos… alors Allah
connaît bien les semeurs de corruption ! » (Coran : sourate 3 Al-Imran, versets 52 à 63)
« Ne vous ai-Je pas engagés, enfants de Adam, à ne pas adorer le Diable ? Car il est
vraiment pour vous un ennemi déclaré, et [ne vous ai-Je pas engagés] à M’adorer ? Voilà
un chemin bien droit. Et il a très certainement égaré un grand nombre d’entre vous. Ne
raisonniez-vous donc pas ? Voici l’Enfer qu’on vous promettait. Brûlez-y aujourd’hui,
pour avoir mécru›. Ce jour-là, Nous scellerons leurs bouches, tandis que leurs mains Nous
parleront et que leurs jambes témoigneront de ce qu’ils avaient accompli. Et si Nous
voulions, Nous effacerions leurs yeux et ils courront vers le chemin. Mais comment alors
pourront-ils voir ? Et si Nous voulions, Nous les métamorphoserions sur place ; alors ils ne
sauront ni avancer ni revenir. » (Coran : sourate 36 Ya-Sin, versets 60 à 67)
J’espère pour vous, que ces vérités seront une première Résistance, conséquemment à d’autres
Libérations Intellectuelles, inchaAllah. Puisse Allah guidez généreusement tous ceux qui
méditent vers un sérieux retour à la seine nature (fitra) d’un cœur sincère vers l’Islam, amine.
Et la dernière parole digne du Tout Miséricordieux du Très Miséricordieux :
Louange à Allah, Seigneur de l’univers.
LIVRE 01
« Fête de Noël, culte païen sous couverture chrétienne »
https://ribaatlivres.wordpress.com/
- Les Livres de Ribaat -
1er
Édition 1433H / Août 2012
2ème
Édition 1438H / Mai 2017
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Toute vérité est due à Allah, les erreurs sont de nous-mêmes
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et sans chercher à en tirer un profit matériel. Mais uniquement pour servir dans le Sentier de
l’Islam et la future congrégation du Royaume de Allah, le Seul Législateur dans Sa justice et
Sa paix promises sur la terre entière. Ainsi qu’une invitation à tous, sur l’étude impartiale de
la vérité qui mène au Paradis loin de l’Enfer.