ATELIER DU PADD - le SCOT Lille Métropole · 2012-06-27 · ATELIER DU PADD IMAGINER LA FORME...

ATELIER DU PADDIMAGINER LA FORME URBAINE

DE LA METROPOLE

SECONDE SÉANCE DE L’ATELIERPartie 1

L’armature urbaine et paysagère de la métropole

31 mai 2012 1

L’ARMATURE URBAINE ET PAYSAGÈRE DE LA MÉTROPOLE

RAPPEL : LE CONTEXTE D’ÉTALEMENT URBAIN

2

1983 1994

2001 2008

1971

Évolution de la tâche urbaine (surface artificialisée) de 1971 à 2008


L’ENJEU DE L’AMÉLIORATION DE LA LISIBILITÉ DE LA MÉTROPOLE

3

Lisibilité : • intensifier• qualifier• différencier• clarifier

Quelle forme pour la métropole ?

Essai de schématisation de la forme de la métropole lilloiseXDGA/FA – consultation LM2030


LES PRINCIPES DIRECTEURS

4

Principes directeurs :

• Prioriser l’action sur la ville existante

• Limiter, hiérarchiser et conditionner le développement urbain en extension

• S’appuyer sur les espaces libres d’urbanisation, éléments structurants de la forme de la métropole

• Construire des interfaces actives aux franges du territoire


5

PRINCIPE 1/4 :

PRIORISER L’ACTION SUR LA VILLE EXISTANTE


1/4 – PRIORISER L’ACTION SUR LA VILLE EXISTANTE

6

Sur l’ensemble de l’espace urbanisé existant :

• le renouvellement urbain

• l’optimisation foncière des tissus urbains existants

sont prioritaires, intensifiés et porteurs de qualité urbaine.


1/4 – PRIORISER L’ACTION SUR LA VILLE EXISTANTE

7

• Intensifier et distinguer les principaux centres métropolitains :

• Centre régional et international : Lille

• Centres métropolitains : Roubaix ; Tourcoing ; Villeneuve d’Ascq ; Armentières

• Qualifier et renforcer l’ensemble des centres historiques existants.

• Qualifier les espaces intermédiaires de l’agglomération centrale (entre Lille et Roubaix/Tourcoing et entre Lille et Villeneuve d'Ascq…)

• Poursuivre la réalisation des grands projets urbains (dont les pôles d’excellence) et créer des synergies entre eux et leur environnement

• Valoriser les stations de transport en commun (projets urbains adaptés…)


8

PRINCIPE 2/4 :

LIMITER, HIÉRARCHISER ET CONDITIONNER LE

DÉVELOPPEMENT URBAIN EN EXTENSION


2/4 – LE DÉVELOPPEMENT URBAIN EN EXTENSION

9

La limitation est affirmée par :

• Les obligations légales de limitation de la consommation d’espace (lois Grenelle 2)

• L’engagement politique (urbanisation SCOT 2030 ≤ urbanisation SD 2015)

Le besoin d’extension se mesure selon :

• La capacité en renouvellement urbain et optimisation foncière des tissus urbains existants (prioritaires)

• Comparée aux besoins d’urbanisation future (habitat, économie, parcs…)

LIMITER LE DÉVELOPPEMENT URBAIN EN EXTENSION



10

LOCALISER LE DÉVELOPPEMENT URBAIN EN EXTENSION EN CONTINUIT É DE

L’URBANISATION EXISTANTE TOUT EN MAINTENANT LES COUPURES « VERTES »



11

HORS AGGLOMÉRATION CENTRALE , CONCENTRER LE DÉVELOPPEMENT

URBAIN EN EXTENSION AUTOUR DES « CENTRES URBAINS D ’APPUI »

haltes TC lourd

TC lourd

TC lourd

le développement urbain en extension se concentre dans ces commues



12



13

MIEUX LOCALISER LE DÉVELOPPEMENT URBAIN EN EXTENSION AFIN DE

RESPECTER ET DE VALORISER LA GÉOGRAPHIE DU LIEU



14

IDENTIFIER DES SITES STRATÉGIQUES POUR DES PROGRAMMES

JUSTIFIANT DES IMPLANTATIONS EX NIHILO

Étude des zones d’accessibilité eau & railSECCHI/VIGANO – consultation LM2030


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PRINCIPE 3/4 :

S’APPUYER SUR LES ESPACES LIBRES D’URBANISATION, ÉLÉMENTS

STRUCTURANTS DE LA FORME DE LA MÉTROPOLE


3/4 – LES ESPACES LIBRES D’URBANISATION, ÉLÉMENT STRUCTURANTS

16

DISTINGUER ET VALORISER LA DIVERSITÉ DES GRANDES COMPOSANTE S DE LA

MÉTROPOLE (VILLES , ESPACES NATURELS ET ESPACES AGRICOLES ) EN

S’APPUYANT SUR LES COUPURES LIBRES D ’URBANISATION



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QUALIFIER LES INTERFACES DE L ’AGGLOMÉRATION CENTRALE POUR CONTENIR SON

DÉVELOPPEMENT, ORGANISER SA FORME ET LA RELIER AU GRAND PAYSAGE

maquette de travail des hémicyclesDE GEYTER/ALKEMADE/DESVIGNE – consultation LM2030



18

QUALIFIER LES INTERFACES DE L ’AGGLOMÉRATION CENTRALE POUR CONTENIR SON

DÉVELOPPEMENT, ORGANISER SA FORME ET LA RELIER AU GRAND PAYSAGE



19

STRUCTURER LA FORME DE LA PÉRIPHÉRIE DE L ’AGGLOMÉRATION CENTRALE

AUTOUR DES GRANDES PIÈCES LIBRES D ’URBANISATION (PLAINES , BOIS…)



20


21

PRINCIPE 4/4 :

CONSTRUIRE DES INTERFACES ACTIVES AUX FRANGES DU TERRITOIRE


4/4 – DES INTERFACES ACTIVES AUX FRANGES DU TERRITOIRE

22

METTRE EN COHÉRENCE LES RÉSEAUX DE TRANSPORTS STRUCTURANTS

À L’ÉCHELLE DE L ’A IRE MÉTROPOLITAINE DE LILLE

Transports terrestres Transports fluviaux


4/4 – DES INTERFACES ACTIVES AUX FRANGES DU TERRITOIRE

23

ÉLABORER DES COUTURES SPATIALES ENTRE L ’ARRONDISSEMENT DE

LILLE ET LES TERRITOIRES VOISINS

villes jumelles

plaine de la Lys

reliefs en Pévèlevallée de la Deûle

bassin minier

parc du Ferrain


DE LA METROPOLE


L’armature urbaine et paysagère de la métropole

31 mai 2012 24


DE LA METROPOLE


Les activités économiques : besoins et localisations préférentielles

31 mai 20121

Activités économiques

Objectifs : Rappel

« Le PADD a pour objet de définir les grandes orientations

et les objectifs en matière d’habitat, de développement

économique, de loisirs, de déplacements, d’environnement, économique, de loisirs, de déplacements, d’environnement,

issus de la volonté des élus et des partenaires ».

Loi SRU


Enjeux

« Développer l’emploi »

Accompagner le

développement et

Des enjeux Un objectif Une traduction

spatiale dans le

SCOT

« Attirer les talents »

« Créer des richesses »

développement et

l’accueil des

entreprises dans

tous les secteurs

de l’économie


Questions

La traduction spatiale suscite trois questions…

De combien d’hectares avons-nous besoin pour accueillir les

activités économiques ?

Quels principes généraux d’aménagement devront respecter

l’implantation des nouvelles activités ?

Comment définir des principes spécifiques en fonction des

typologies d’activités ?


Eléments de réponses

De combien d’hectares avons-nous besoin pour accueillir les activités

économiques?

� 459 000 emplois en 1975 et 518 000 emplois en 2008 (soit +0,37% par an).

Point sur l’évolution rétrospective et prospective de l’emploi

� Soit en 30 ans, une baisse de 70% de l’emploi industriel (-130 000 emplois) et

� une hausse de 80% de l’emploi tertiaire (+192 000 emplois)

3 scénarios d’emplois sont proposés :

� Un scénario tendanciel : + 55 000 emplois (taux de chômage : 12%)

� Deux scénarios « Regain d’attractivité » :

� + 120 000 emplois (taux de chômage 10%, niveau national)

� + 135 000 emplois (taux de chômage à 8%, niveau de grandes agglomérations françaises)

L’attractivité économique

Quelle économie en 2030 ?

Quatre scénarios :

Point sur l’industrie

� Un secteur en forte baisse : 57 000 emplois industriels en 2008, soit 11% de l’emploi

� Tendanciel (4% : part relative de l’industrie) : -30 000 emplois

� « Maintien de l’industrie » (11%) : + 13 000 emplois

� « Croissance raisonnable de l’industrie » (13% : moyenne France) : +26 000 emplois

� « Essor de l’industrie » (15% : niveau des grandes agglomérations industrielles

européennes) : +39 000 emplois


Quelques propositions :

1 ) Privilégier l’accueil des entreprises en site urbain

� Favoriser la mixité des fonctions

Quels principes généraux d’aménagement devront respecter

l’implantation des nouvelles activités?


� Favoriser la mixité des fonctions

� Préférer le maintien des industries et de l’artisanat en site urbain

� Réserver l’extension urbaine aux activités plus difficilement acceptées par la population

2) Tendre vers un équilibre économique territorial

� Permettre le développement économique dans tous les secteurs de l’arrondissement

� Réfléchir à l’accueil des activités à toutes les échelles d’espaces (centre urbain, villes,

villages…)


3) Trouver une cohérence entre développement économique et réseau de

transport

� Préserver les espaces dédiés à l’économie bord à voie d’eau et maintenir les voies ferrées

existantes

� Implanter les nouveaux espaces économiques prioritairement à proximité des infrastructures


� Implanter les nouveaux espaces économiques prioritairement à proximité des infrastructures

routières performantes et en lien avec des plateformes fer et eau (quai mutualisé)

� Prévoir 1 ou 2 sites embranchés fer et eau dont un pourrait servir de nouveau Delta 3

� Rendre accessible aux infrastructures très haut débit tous les sites économiques

� Réfléchir à la valorisation des espaces de part et d’autre des infrastructures routières

� Favoriser les sites bien reliés aux transports en commun (hors activités moins denses)


Comment définir des principes spécifiques en fonction des typologies

d’activités?

Quelques propositions :1) Les activités tertiaires

� Prioritairement dans les sites d’excellence et cœur

des villes pour le tertiaire supérieur


9

des villes pour le tertiaire supérieur

� Dans le tissu urbain en lien avec les transports en

commun pour les autres activités tertiaires

� En périphérie, essentiellement si l’activité tertiaire :

� est complémentaire avec une entreprise de

production et/ou de logistique

� ou au sein d’un produit mixte

� Ou en hôtel d’entreprise

� Réaliser des centres de télétravail dans les

centres-villes et les espaces ruraux stratégiques


2) Les activités commerciales

� Permettre à chaque habitant d’accéder à une

offre commerciale de proximité

� Privilégier les centralités historiques et

s’appuyer sur la hiérarchie commerciale

existante (pôles majeurs, structurants, relais et


10

existante (pôles majeurs, structurants, relais et

de proximité)

� Proscrire la création de nouveaux centres

commerciaux périphériques

� Limiter le développement des centres

commerciaux existants

� Réfléchir à la problématique de l’implantation

des commerces couplés aux sièges

d’entreprises

� Intégrer les nouveaux concepts dans

l’armature commerciale (drive, vente par

correspondance…)


3) Les activités artisanales, de petite production, la

logistique du dernier kilomètre

� Favoriser prioritairement leur implantation ou maintien en cœur de ville

� Sinon préférer leur localisation dans les sites de réhabilitation de friches

ou dans les parcs d’activités existants en densification…

� ou en continuité de la ville pour optimiser les équipements publics


4) Les activités industrielles et logistiques de grande taille

� Développement en extension urbaine

� Prévoir quelques sites répartis dans le territoire de l’arrondissement

� Privilégier la localisation de nouveaux sites en respectant les principes de

réseau de transport (cf. principe général n°3)


DE LA METROPOLE


Formes et qualités urbaines : quelques principes

31 mai 2012 1

Promouvoir des formes urbaines plus compactes

et denses, adaptées aux diversités des territoires

- Limiter l’étalement urbain et la consommation d’espace

agricole ou naturel,

2

agricole ou naturel,

- répondre aux besoins de logements et d’activités,

- réduire la dépendance à la voiture,

- réduire la consommation énergétique et les émissions

de gaz à effets de serre,

- mieux maîtriser les coûts, rentabiliser les équipements

publics,

…

27 lgts/ha27 lgts/ha27 lgts/ha27 lgts/ha

Pavillons et maisons de ville ou groupées

Compacité et densité

Le Sart, Cysoing

Maisons Sedaf, Wattrelos

3




Saint Eloi, Ostricourt

Le Clos de l’Erdre, Nantes


Maisons de ville ou groupées


Côté Parc, Tourcoing

Rue Gounod, Lille

4




Rue Gounod, Lille

Hameau du Château, Villeneuve d’Ascq

Soleil Intérieur, Lille


Collectif et maisons de villeCompacité et densité

Résidence HQE les Roseaux, Arques

5



400 maisons, Lille

Les Jardins du Moulin, Seclin


Collectifs, intermédiaires et maisons de villeCompacité et densité

Grand Large,Dunkerque

6



Haute Borne, Villeneuve d’Ascq

Bois Habité, Lille


Immeubles collectifsImmeubles collectifsImmeubles collectifsImmeubles collectifs


Îlots Rouges, Dunkerque

7



Nouveau Roubaix

Quais du Vieux-Lille

Compacité et densitéTraductions possibles dans le SCOT :

- fixer des objectifs de densité minimale ou de « valeurs-guide » adaptées

aux caractéristiques des territoires et tenant compte de la desserte en TC ;

- fixer des superficies moyennes maximales de consommation de foncier

par types d’habitat et suivant les secteurs ;

8

par types d’habitat et suivant les secteurs ;

- limiter l’habitat individuel isolé ;

- interdire les extensions urbaines qui ne sont pas en continuité avec le

tissu urbain existant, proscrire le mitage et l’extension des hameaux.

Hameau

Centre Bourg


Pour toute nouvelle opération résidentielle

Cœur de métropole > 45 logements/ha

Couronne d’agglo. > 25 logements/ha

Scot de Rennes

9

Pour toute nouvelle opération mixte ou d’activités majoritairement tertiaires

Cœur de métropole: COS > 0,40

Couronne d’agglomération: COS > 0,30

Couronne métropolitaine: COS > 0,18

à proximité d’un pôle d’échanges structurant

Cœur de métropole > 60 logements/ha

Couronne d’agglo. > 45 logements/ha

Couronne métropolitaine > 25 logements/ha

intensité A Cœur d’agglomération et/ou desservis par tramway :


Trois niveaux de densités pour les sites d’extension urbaine :

Scot de Montpellier

10

et/ou desservis par tramway :

> 50 logts/ha ou plus de 8 000 m² SHON/ha

Intensité B Sites en extension à proximité d’un réseau de TC ou dans les pôles d’appui :


Intensité C Sites en extension des villages en limite du grand paysage


Extrait de l’étude de stratégie foncière

de la Communauté de communes du Pays de Pévèle


11

Compacité et densitéExtrait de l’étude de LMCU : Parcs d’activités du XXIème siècle

12

Favoriser la mixité des fonctions urbaines

dans les nouvelles opérations de renouvellement

urbain comme dans l’extension urbaine

- Faciliter l’accès aux diverses fonctions quotidiennes, et

13

- Faciliter l’accès aux diverses fonctions quotidiennes, et

permettre la ville des « courtes distances »,

- réduire la dépendance à la voiture, la consommation

énergétique et favoriser les « modes actifs »,

- répondre à la problématique du vieillissement de la

population,

- optimiser les usages des espaces,

…

Mixité des fonctions urbainesMixité des programmes : exemples d’échelles différentes

S.I. EnergieLogements ateliers

14Site de l’Union

Roubaix

S.I. Energie

Lys les Lannoy

Place de Fives

Lille

Logements ateliers

Pays Bas

Traductions possibles dans le SCOT :

- fixer des objectifs, ou des exigences, de mixité fonctionnelle :

- dans les zones urbaines mixtes intégrer en plus du logement

une proportion d’espace permettant de répondre aux autres

Mixité des fonctions urbaines

15

une proportion d’espace permettant de répondre aux autres

activités urbaines (50% pour le SCOT de Grenoble) ;

- localiser en priorité les activités et équipements compatibles avec

l’habitat, dans les espaces urbains mixtes ;

- réserver les zones dédiées à l’économie aux activités non compatibles

avec la proximité de l’habitat ;

- ne pas fixer de vocation dominante pour les espaces intégrés dans le

territoire urbain : un seul principe de mixité fonctionnelle ;

- favoriser le développement d’une offre logistique de proximité.

Diversifier l’offre résidentielle, développer

des formes d’habitat qualitatives

- encourager la mixité des populations,

- augmenter l’attractivité résidentielle,

16

- augmenter l’attractivité résidentielle,

- conjuguer densité et qualité,

- améliorer le cadre de vie,

…

Diversité de l’offre résidentielleOrganum

Lille

Pie qui chante

Wattignies

17

Diversité de l’offre résidentielle

Pont à Marcq

Orée du Pévèle

18


- fixer des objectifs de diversification des formes d’habitat pour les

nouvelles opérations :

- proportion d’habitat individuel isolé

Diversité de l’offre résidentielle

19

- proportion d’habitat individuel isolé

- proportion d’habitat individuel groupé

- proportion d’habitat collectif

- limiter la proportion d’habitat individuel dans certains territoires.

Renforcer la trame d’espaces verts urbains, faire

pénétrer la nature en ville

- valoriser et embellir l’espace urbain,

- renforcer les aménités urbaines, améliorer le cadre de

20

- renforcer les aménités urbaines, améliorer le cadre de

vie des habitants,

- enrichir les relations entre l’intérieur et l’extérieur,

- favoriser la biodiversité,

- se préserver des îlots de chaleur,

…

Espaces verts urbains, nature en ville

21


- prescrire la réalisation d’espaces verts pour les nouvelles opérations et

les secteurs densifiés :

- taux minimal d’espaces végétalisés à fixer dans les documents

d’urbanisme locaux sur les unités foncières privées et publiques


22

et les espaces de stationnement,

- préconiser dans chaque quartier des espaces de détentes verts à

proximité des lieux de résidence,

- localiser et identifier au sein des espaces urbanisés ou à urbaniser des

principes de connexion d’espaces verts.


23

SCOT de Rennes SCOT de Lyon

Pacifier les espaces publics de voirie dans la ville

intense et les villages durables

Résorber les coupures urbaines générées par les

grandes infrastructures routières

24

- favoriser les circulations cyclables et piétonnes,

- réduire la dépendance et la présence de l’automobile,

- permettre l’accessibilité tous modes, pour tous publics,

et les courtes distances,

- réduire les coupures urbaines et impasses,

- valoriser le cadre de vie et le paysage métropolitain,

…

Espaces publics, coupures urbaines

25Aménagement du périphérique sud de Llille


- articuler les itinéraires piétonniers et cyclables locaux avec les itinéraires

départementaux,

- augmenter l’espace public disponible pour les piétons et les cyclistes,

- promouvoir un aménagement des espaces publics favorables à la

Espaces publics, coupures urbaines

26

- promouvoir un aménagement des espaces publics favorables à la

pratiques des « modes actifs »,

- garantir la desserte par les « modes actifs » des gares, des arrêts de TC,..

- définir, dans les PLU, des normes pour le stationnement vélo,

- rétablir les continuités sectionnées par les infrastructures,

- identifier des sites de projets : « agrafes urbaines ».

Promouvoir un urbanisme prenant compte les

enjeux climatiques et énergétiques

27

- réduire la consommation énergétique et les émissions

de gaz à effet de serre,

- développer les énergies locales et renouvelables,

- améliorer la santé des habitants,

…

Rappels :

dans la métropole, trois postes majeurs

d’émission de GES :

- le résidentiel,

- le transport de marchandises,

- les déplacements de personnes.

Prise en compte climat énergie

28

0

5 000 000

10 000 000

15 000 000

20 000 000

25 000 000

30 000 000

35 000 000

Chauffage urbain

Charbon

Pétrole

Electricité

Gaz naturel

- une consommation totale d’énergie non

renouvelable de 31 600 GWh :

- 48% bâtiment,

- 27% industrie,

- 25% transport.

Rappels :

- une production d’énergies renouvelables locales quasi inexistante = 0,01% en 2007

- un potentiel d’énergie renouvelable évalué à environ 4 200 GWh :

- géothermie,

- biomasse,

- éolien,

- solaire.


29

- solaire.


30

Pôle petite enfance , Roubaix

Cour Remery, Roubaix Mairie Haubourdin


-conditionner l’ouverture à l’urbanisation de nouveaux secteurs :

- au respect de performances énergétiques renforcées

- à leur desserte en transports collectifs et réseaux d’énergies

- identifier et localiser des zones de potentiel en énergie renouvelable


31

- identifier et localiser des zones de potentiel en énergie renouvelable

(éolien, photovoltaïque, géothermie, biomasse),

- inciter à l’implantation de réseaux de chaleur alimentés en énergie

renouvelable, (bois, déchets, …),

- favoriser la réhabilitation et le développement des bâtiments « éco-

performants » (incitation au bonus de COS),

- préserver et développer les plantations d’arbres et d’espaces verts, et la

présence de l’eau, au sein des espaces urbains.

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