aStrÉe - FORUM CINEMAS

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Tél. 04 79 72 38 71 www.forum-cinemas.com PROGRAMME DU 22 AU 28 AOÛT 2018 Tél. 04 79 33 40 53 À noter dans vos agendas ! Mardi 11 Septembre à 20h30 - Astrée : Avant-première « Le Pape François, un homme de parole » de Wim Wenders En présence de Mgr Ballot Archevêque des 3 diocèses de Savoie et du Père Jean-Claude Brunetti Émission radio en public de 30 minutes avec débat autour du film FORUM ASTRÉE Mercredi 22/08 Jeudi 23/08 Vendredi 24/08 Samedi 25/08 Dimanche 26/08 Lundi 27/08 Mardi 28/08 14h30 14h30 11h * 14h30 Les indestructibles 2 * tarif unique de 5 € 14h15 / 21h 14h15 / 21h 14h15 / 21h 21h 14h / 20h45 14h15 / 21h 14h15 / 21h Under the silver lake 16h30 / 19h 16h30 / 19h 16h30 / 19h 16h30 / 19h 16h30 / 18h45 16h30 / 19h 16h30 / 19h My Lady 11h * Une pluie sans fin 14h / 18h30 21h 14h / 18h30 21h 14h / 18h30 21h 14h / 18h30 21h 14h / 18h30 21h 14h / 18h30 21h 14h / 18h30 21h BlacKkKlansman 17h45 17h45 17h45 17h45 17h30 17h45 17h45 King : de Montgomery à Memphis 19h15 19h15 19h 19h 19h 19h 19h15 The guilty 16h45 Le goût du saké 16h45 Le goût du riz au thé vert 16h45 Printemps précoce 11h * Crépuscule à Tokyo 16h45 Fleurs d’équinoxe 16h30 Voyage à Tokyo 14h15 14h15 14h15 14h15 14h 14h15 14h15 Le Poirier sauvage 21h 21h 21h 21h 20h45 21h 21h Une valse dans les allées 17h 17h 17h 17h 16h30 17h 17h Sur la plage de Chesil 14h15 / 21h 16h45 / 21h 14h15 / 20h45 14h30 / 20h45 14h / 20h45 14h15 / 20h45 16h45 / 21h Silent voice 11h * Woman at war RÉTROSPECTIVE YASUJIRÔ OZU 10 films du maître japonais en version restaurée et en V.O.s.t. Bonjour 1h34 - 1959 Avec Keiji Sada, Yoshiko Kuga, Chishu Ryu. Crépuscule à Tokyo 2h20 - 1957 Avec Setsuko Hara, Ineko Ari- ma, Chishu Ryu. Été précoce 2h05 - 1951 Avec Setsuko Hara, Chishu Ryu, Chikage Awashima. Fin d’automne 2h08 - 1960 Avec Setsuko Hara, Yoko Tsu- kasa, Mariko Okada. Fleurs d’équinoxe 1h57 - 1958 Avec Shin Saburi, Kinuyo Ta- naka, Ineko Arima. Le goût du riz au thé vert 1h56 - 1952 Avec Shin Saburi, Michiyo Ko- gure, Koji Tsurata. Le goût du saké 1h53 - 1962 Avec Shima Iwashita, Chishu Ryu, Keiji Sada. Printemps précoce 2h24 - 1956 Avec Chikage Awashima, Ta- kako Fujino, Ryo Ikebe. Printemps tardif 1h48 - 1949 Avec Chishu Ryu, Setsuk Hara, Yumeji Tsukioka. Voyage à Tokyo 2h16 - 1953 Avec Chishu Ryu, Chieko Hi- gashiyama, Setsuko Hara. Fermeture estivale Travaux de rénovation en cours TARIFS Normal Astrée : 8,80 € / Normal Forum : 5,80 € / Carte abonnement de 10 places : 68 € (+ 1 € achat carte) Tarifs réduits à l’Astrée - le Mercredi et 1 ère séance de l’après-midi en semaine: 6,80 € (sauf jours feriés et veille de fête) - Etudiants, Famille nomb., Séniors (+60 ans), Invalidité : Réduit semaine : 6,80 € / Réduit week-end, jours feriés et veille de fête : 7.80 € - Carte amicale de la ville de Chambéry : 6.80 € - Moins de 14 ans : 4 € - Demandeurs d’emploi : 5 € (sur présentation d’un justificatif de moins de 6 mois) Rétrospective OZU Silent voice Japon - 2h12 - 2018 - V.O.s.t. Un film d’animation de Naoko Yamada. Nishimiya est une élève douce et attentionnée. Chaque jour, pour- tant, elle est harcelée par Ishida, car elle est sourde. Dénoncé pour son comportement, le gar- çon est à son tour mis à l’écart et rejeté par ses camarades. Des années plus tard, il apprend la langue des signes... et part à la recherche de la jeune fille. « Adapté du manga de Yoshitoki Oima, Silent Voice est le premier long-métrage d’une jeune réalisa- trice japonaise très prometteuse. À seulement 33 ans, la cinéaste n’a rien à envier aux grands de l’animation japonaise. En témoi- gne ce récit brut et brutal racon- tant l’histoire d’amour tragique entre Ishida, un jeune homme impulsif et violent, et Nishimiya, une adolescente sourde muette qui rêve d’amour et d’amitié. Le harcèlement scolaire est un sujet d’actualité qui reste cepen- dant tabou, que l’audiovisuel a pourtant pris à bras le corps de- puis longtemps déjà. On se sou- vient du Carrie de De Palma, et plus récemment, de la série 13 Reasons Why qui a largement contribué à un nouvel éveil des consciences ces deux dernières années. Dans la même lignée, Silent Voice est un film éprou- vant, sans complaisance avec ses personnages, tous mal dans leur peau, cependant que la beauté fantasmagorique de l’ani- mation, revigorante et apaisante, rappelle sans cesse que tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Une histoire forte, dure et terri- blement actuelle, sublimée par une mise en scène pleine de charme. » aVoir-aLire BlacKkKlansman États-Unis - 2h16 - 2018 - V.O.s.t. Grand prix Festival de Cannes 2018 Un film de Spike Lee avec John David Washington, Adam Dri- ver, Topher Grace. Au début des années 70, au plus fort de la lutte pour les droits civi- ques, plusieurs émeutes raciales éclatent dans les grandes villes des États-Unis. Ron Stallworth de- vient le premier officier Noir amé- ricain du Colorado Springs Police Department, mais son arrivée est accueillie avec scepticisme, voire avec une franche hostilité, par les agents les moins gradés du com- missariat. Prenant son courage à deux mains, Stallworth va tenter de faire bouger les lignes et, peut-être, de laisser une trace dans l’histoire. Il se fixe alors une mission des plus périlleuses : infiltrer le Ku Klux Klan pour en dénoncer les exactions. « Le réalisateur n’a pas perdu son mordant et son humour de sale gosse férocement militant pour cette charge anti-raciste et anti- Trump. Spike Lee s’en donne à cœur joie : pas de pitié pour ces bouseux bas du front et paranoïa- ques qui prétendent représenter la crème de la race blanche et faire le ménage. Pas de subtilité qui vaille, c’est dent contre dent, mépris contre mépris. Rappeler l’horreur absolue du ra- cisme. Se moquer, sans relâche, de ces Blancs qui prétendent à la suprématie. Mettre la musique à fond (la bande son est génia- le) pour noyer les affronts. Mais aussi, comme un leader du Black Power y exhorte son public, au dé- but du film, dire et redire la beauté des Noirs. Les exhorter à la fierté. Lors de ce discours, il cadre et isole des visages dans l’auditoire. Sublimes images d’une puissance artistique qui vaut tous les mani- festes. Après avoir ri contre la bê- tise la plus dangereuse, on a en- vie de lever le poing, comme dans les années 70. » Télérama King : de Montgomery à Mem- phis États-Unis - 3h02 - 2018 - V.O.s.t. Un documentaire de Sidney Lumet et Joseph L. Mankiewi- cz avec Martin Luther King Jr., Anthony Quinn, James Earl Jones. Depuis le boycott des bus de Montgomery en 1955, l’une des premières actions inspirées par Martin Luther King, jusqu’à son assassinat, le 4 avril 1968 à Memphis, ce documentaire retra- ce les étapes cruciales de la vie du leader non violent, prix Nobel de la paix en 1964, qui prononça devant plus de 250 000 person- nes un discours resté célèbre, commençant par ces mots : « I Have a Dream ». « Réalisé deux ans après l’as- sassinat de Martin Luther King à Memphis avec la collabora- tion de Sidney Lumet et Joseph L. Mankiewicz, ‘King : de Mon- tgomery à Memphis’ fut diffusé dans près de 500 salles aux États-Unis le 20 mars 1970. De- puis cette date, le film a été dif- fusé dans une version écourtée de plus d’une heure. L’entrée du film en 1999 au National Film Registry pour sa préservation, et la restauration récente du film, réalisée par The Library of Congress en collaboration avec Richard Kaplan (producteur as- socié), permet aujourd’hui de découvrir cette oeuvre dans sa version longue pour la première fois au cinéma en France. Le travail de restauration a été réa- lisé grâce à des éléments four- nis par le MoMA (New York), d’après le négatif original. » Notes de production facebook.com/cinemaastree

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Tél. 04 79 72 38 71www.forum-cinemas.com

programme DU 22 aU 28 août 2018

Tél. 04 79 33 40 53

à noter dans vos agendas !Mardi 11 Septembre à 20h30 - Astrée : Avant-première « Le Pape François, un homme de parole » de Wim Wenders

En présence de Mgr Ballot Archevêque des 3 diocèses de Savoie et du Père Jean-Claude Brunetti émission radio en public de 30 minutes avec débat autour du film

ForUm

aStrÉeMercredi 22/08 Jeudi 23/08 Vendredi 24/08 Samedi 25/08 Dimanche 26/08 Lundi 27/08 Mardi 28/08

14h30 14h30 11h * 14h30Les indestructibles 2

* tarif unique de 5 €

14h15 / 21h 14h15 / 21h 14h15 / 21h 21h 14h / 20h45 14h15 / 21h 14h15 / 21hUnder the silver lake

16h30 / 19h 16h30 / 19h 16h30 / 19h 16h30 / 19h 16h30 / 18h45 16h30 / 19h 16h30 / 19hMy Lady

11h *Une pluie sans fin

14h / 18h3021h

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BlacKkKlansman

17h45 17h45 17h45 17h45 17h30 17h45 17h45King : de Montgomery à Memphis

19h15 19h15 19h 19h 19h 19h 19h15The guilty

16h45Le goût du saké

16h45Le goût du riz au thé vert

16h45Printemps précoce

11h *Crépuscule à Tokyo

16h45Fleurs d’équinoxe

16h30Voyage à Tokyo

14h15 14h15 14h15 14h15 14h 14h15 14h15Le Poirier sauvage

21h 21h 21h 21h 20h45 21h 21hUne valse dans les allées

17h 17h 17h 17h 16h30 17h 17hSur la plage de Chesil

14h15 / 21h 16h45 / 21h 14h15 / 20h45 14h30 / 20h45 14h / 20h45 14h15 / 20h45 16h45 / 21hSilent voice

11h *Woman at war

RéTRoSPecTiVe YASuJiRô ozu10 films du maître japonais

en version restauréeet en V.o.s.t.

Bonjour1h34 - 1959Avec Keiji Sada, Yoshiko Kuga, Chishu Ryu.

crépuscule à Tokyo2h20 - 1957Avec Setsuko Hara, Ineko Ari-ma, Chishu Ryu.

été précoce2h05 - 1951Avec Setsuko Hara, Chishu Ryu, Chikage Awashima.

Fin d’automne2h08 - 1960Avec Setsuko Hara, Yoko Tsu-kasa, Mariko Okada.

Fleurs d’équinoxe1h57 - 1958Avec Shin Saburi, Kinuyo Ta-naka, Ineko Arima.

Le goût du riz au thé vert1h56 - 1952Avec Shin Saburi, Michiyo Ko-gure, Koji Tsurata.

Le goût du saké1h53 - 1962Avec Shima Iwashita, Chishu Ryu, Keiji Sada.

Printemps précoce2h24 - 1956Avec Chikage Awashima, Ta-kako Fujino, Ryo Ikebe.

Printemps tardif1h48 - 1949Avec Chishu Ryu, Setsuk Hara, Yumeji Tsukioka.

Voyage à Tokyo2h16 - 1953Avec Chishu Ryu, Chieko Hi-gashiyama, Setsuko Hara.

Fermeture estivale Travaux de rénovation en cours

TARiFSNormal Astrée : 8,80 € / Normal Forum : 5,80 € / carte abonnement de 10 places : 68 € (+ 1 € achat carte)

Tarifs réduits à l’Astrée- le Mercredi et 1ère séance de l’après-midi en semaine: 6,80 € (sauf jours feriés et veille de fête)

- etudiants, Famille nomb., Séniors (+60 ans), invalidité : Réduit semaine : 6,80 € / Réduit week-end, jours feriés et veille de fête : 7.80 €

- carte amicale de la ville de chambéry : 6.80 €- Moins de 14 ans : 4 €

- Demandeurs d’emploi : 5 € (sur présentation d’un justificatif de moins de 6 mois)

Rétrospective ozu

Silent voice

Japon - 2h12 - 2018 - V.o.s.t.

Un film d’animation de Naoko Yamada.

Nishimiya est une élève douce et attentionnée. Chaque jour, pour-tant, elle est harcelée par Ishida, car elle est sourde. Dénoncé pour son comportement, le gar-çon est à son tour mis à l’écart et rejeté par ses camarades. Des années plus tard, il apprend la langue des signes... et part à la recherche de la jeune fille.

« Adapté du manga de Yoshitoki Oima, Silent Voice est le premier long-métrage d’une jeune réalisa-trice japonaise très prometteuse. À seulement 33 ans, la cinéaste n’a rien à envier aux grands de l’animation japonaise. En témoi-gne ce récit brut et brutal racon-tant l’histoire d’amour tragique entre Ishida, un jeune homme impulsif et violent, et Nishimiya, une adolescente sourde muette qui rêve d’amour et d’amitié. Le harcèlement scolaire est un sujet d’actualité qui reste cepen-dant tabou, que l’audiovisuel a pourtant pris à bras le corps de-puis longtemps déjà. On se sou-vient du Carrie de De Palma, et plus récemment, de la série 13 Reasons Why qui a largement contribué à un nouvel éveil des consciences ces deux dernières années. Dans la même lignée, Silent Voice est un film éprou-vant, sans complaisance avec ses personnages, tous mal dans leur peau, cependant que la beauté fantasmagorique de l’ani-mation, revigorante et apaisante, rappelle sans cesse que tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. Une histoire forte, dure et terri-blement actuelle, sublimée par une mise en scène pleine de charme. » aVoir-aLire

BlacKkKlansman

états-unis - 2h16 - 2018 - V.o.s.t.Grand prix Festival de cannes 2018Un film de Spike Lee avec John David Washington, Adam Dri-ver, Topher Grace.Au début des années 70, au plus fort de la lutte pour les droits civi-ques, plusieurs émeutes raciales éclatent dans les grandes villes des États-Unis. Ron Stallworth de-vient le premier officier Noir amé-ricain du Colorado Springs Police Department, mais son arrivée est accueillie avec scepticisme, voire avec une franche hostilité, par les agents les moins gradés du com-missariat. Prenant son courage à deux mains, Stallworth va tenter de faire bouger les lignes et, peut-être, de laisser une trace dans l’histoire. Il se fixe alors une mission des plus périlleuses : infiltrer le Ku Klux Klan pour en dénoncer les exactions.« Le réalisateur n’a pas perdu son mordant et son humour de sale gosse férocement militant pour cette charge anti-raciste et anti-Trump. Spike Lee s’en donne à cœur joie : pas de pitié pour ces bouseux bas du front et paranoïa-ques qui prétendent représenter la crème de la race blanche et faire le ménage. Pas de subtilité qui vaille, c’est dent contre dent, mépris contre mépris. Rappeler l’horreur absolue du ra-cisme. Se moquer, sans relâche, de ces Blancs qui prétendent à la suprématie. Mettre la musique à fond (la bande son est génia-le) pour noyer les affronts. Mais aussi, comme un leader du Black Power y exhorte son public, au dé-but du film, dire et redire la beauté des Noirs. Les exhorter à la fierté. Lors de ce discours, il cadre et isole des visages dans l’auditoire. Sublimes images d’une puissance artistique qui vaut tous les mani-festes. Après avoir ri contre la bê-tise la plus dangereuse, on a en-vie de lever le poing, comme dans les années 70. » télérama

King : de Montgomery à Mem-phis

états-unis - 3h02 - 2018 - V.o.s.t.un documentaire de Sidney Lumet et Joseph L. Mankiewi-cz avec Martin Luther King Jr., Anthony Quinn, James earl Jones.Depuis le boycott des bus de Montgomery en 1955, l’une des premières actions inspirées par Martin Luther King, jusqu’à son assassinat, le 4 avril 1968 à Memphis, ce documentaire retra-ce les étapes cruciales de la vie du leader non violent, prix Nobel de la paix en 1964, qui prononça devant plus de 250 000 person-nes un discours resté célèbre, commençant par ces mots : « I Have a Dream ». « Réalisé deux ans après l’as-sassinat de Martin Luther King à Memphis avec la collabora-tion de Sidney Lumet et Joseph L. Mankiewicz, ‘King : de Mon-tgomery à Memphis’ fut diffusé dans près de 500 salles aux États-Unis le 20 mars 1970. De-puis cette date, le film a été dif-fusé dans une version écourtée de plus d’une heure. L’entrée du film en 1999 au National Film Registry pour sa préservation, et la restauration récente du film, réalisée par The Library of Congress en collaboration avec Richard Kaplan (producteur as-socié), permet aujourd’hui de découvrir cette oeuvre dans sa version longue pour la première fois au cinéma en France. Le travail de restauration a été réa-lisé grâce à des éléments four-nis par le MoMA (New York), d’après le négatif original. »Notes de production

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Astro’kids

Les indestructibles 2

états-unis - 1h58 - 2018à partir de 9 ans

Un film d’animation de Brad Bird.

Notre famille de super-héros préférée est de retour ! Cette fois c’est Hélène qui se retrouve sur le devant de la scène laissant à Bob le soin de mener à bien les mille et une missions de la vie quotidienne et de s’occuper de Violette, Flèche et de bébé Jack-Jack. C’est un change-ment de rythme difficile pour la famille d’autant que personne ne mesure réellement l’étendue des incroyables pouvoirs du pe-tit dernier… Lorsqu’un nouvel ennemi fait surface, la famille et Frozone vont devoir s’allier com-me jamais pour déjouer son plan machiavélique.

« L’original était déjà le meilleur film jamais sorti des studios Pixar, et il semblerait que Brad Bird soit parvenu à trouver la formule de la suite parfaite. »mad movies

Woman at war

islande / France / ukraine - 1h40 - 2018 - V.o.s.t.Prix SAcD Semaine interna-tionale de la critique cannes 2018

Un film de Benedikt Erlings-son avec Halldora Geirhards-dottir, Jóhann Sigurðarson, Davíd Thór Jónsson.

Halla, la cinquantaine, déclare la guerre à l’industrie locale de l’aluminium, qui défigure son pays. Elle prend tous les risques pour protéger les Hautes Terres d’Islande… Mais la situation pourrait changer avec l’arrivée inattendue d’une petite orphe-line dans sa vie…

The Guilty

Danemark - 1h25 - 2018 - V.o.s.t.Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heur-ter la sensibilité des spectateurs

un thriller de Gustav Möller avec Jakob cedergren, Jakob ulrik Lohmann, Laura Bro.Prix de la critique au Festival international du film policier de Beaune 2018

Une femme, victime d’un kid-napping, contacte les urgences de la police. La ligne est coupée brutalement. Pour la retrouver, le policier qui a reçu l’appel ne peut compter que sur son intui-tion, son imagination et son té-léphone.

« Cadre, sons, lumières : tout converge tandis que le huis clos initial s’efface au profit d’un th-riller mental. Autant dire que l’on ne s’ennuie pas une seconde ! »positif

« Tout concourt à harponner fer-mement le spectateur jusqu’à la dernière minute de ce thriller captivant mais aussi boulever-sant. »La Croix

« Traité en dialogues et sons créant des images chez le spec-tateur, ce thriller psychologique prenant va au-delà du simple exercice de style. »Les Fiches du cinéma

« Subrepticement, le suspense se fait de plus en plus haletant, les rebondissements d’autant plus inattendus que, depuis son siège, l’on s’est presque forgé sa propre intrigue. »rolling Stone

« Alfred Hitchcock rêvait d’un th-riller dans une cabine téléphoni-que, ce Danois l’a fait. »télérama

Une pluie sans fin

chine - 1h59 - 2018 - V.o.s.t.Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heur-ter la sensibilité des spectateurs

un thriller de Dong Yue avec Duan Yihong, Jiang Yiyan, Du Yuan (ii).Grand Prix au Festival inter-national du film policier de Beaune 2018

1997. À quelques mois de la rétrocession de Hong-Kong, la Chine va vivre de grands changements… Yu Guowei, le chef de la sécurité d’une vieille usine, dans le Sud du pays, en-quête sur une série de meurtres commis sur des jeunes femmes. Alors que la police piétine, cette enquête va très vite devenir une véritable obsession pour Yu… puis sa raison de vivre.

Les prochains films à l’affiche

à l’Astrée

My Lady

Grande-Bretagne - 1h45 - 2018 - V.o.s.t.

Un film de Richard Eyre avec emma Thompson, Stanley Tucci, Fionn Whitehead.

Faut-il obliger un adolescent à recevoir la transfusion qui pour-rait le sauver ? Fiona Maye, Juge de la Haute Cour, décide de lui rendre visite, avant de trancher. Leur rencontre boule-versera le cours des choses. « Une thèse de l’intime et de l’éthique, culminant dans un suspense de déontologie et d’humanité qui bouscule les a priori. L’un des meilleurs rôles d’Emma Thompson, qui retrou-ve les non-dits des ‘Vestiges du Jour’ et la logorrhée d’’Au nom du père’. »aVoir-aLire« Nous avons pu filmer dans les locaux de la Haute Cour, qui sont impressionnants, et rare-ment montrés au cinéma. Nous avons veillé à ce que ce soit une cour moderne, sans perruque ni boiseries. Nous avons tenté de filmer un Londres plutôt secret mais majestueux. C’est une expérience bien plus boulever-sante que le pénal, il me sem-ble. Il n’y a pas de crime, mais un terrible chaos dans des vies quotidiennes où des gens qui se sont aimés se déchirent et cela dure des heures et des jours, durant lesquels on décortique le détail de chaque existence. Le juge doit avoir des nerfs d’acier pour faire face à des sentiments aussi violents… » richard eyreNotes de production« Le solide metteur en scène de théâtre et de télévision aime fil-mer les comédiennes ‘stradiva-rius’, dans des compositions so-lides et complexes. Judi Dench, Kate Winslet et Cate Blanchett sont passées devant sa camé-ra. Avec le roman de son ami Ian McEwan, que ce dernier a adapté en scénario pour lui, il a trouvé un sujet en or pour sa pat-te classique et son goût du duo directeur d’acteur/comédienne. Une mécanique parfaitement huilée, qui allie la précision de la dramatique à l’ancienne à la minutie documentaire. »Bande à part

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under the silver lake

états-unis - 2h19 - 2018 - V.o.s.t.Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heur-ter la sensibilité des spectateurs

Un film de David Robert Mit-chell avec Andrew Garfield, Ri-ley Keough, Topher Grace.

À Los Angeles, Sam, 33 ans, sans emploi, rêve de célébrité. Lorsque Sarah, une jeune et énigmatique voisine, se volatilise brusquement, Sam se lance à sa recherche et entreprend alors une enquête ob-sessionnelle surréaliste à travers la ville. Elle le fera plonger jusque dans les profondeurs les plus té-nébreuses de la Cité des Anges, où il devra élucider disparitions et meurtres mystérieux sur fond de scandales et de conspirations.

ProchainAstro’kids à l’Astrée

Le Poirier sauvage

France / Turquie / Allema-gne / Bulgarie - 3h08 - 2018 - V.o.s.t.Un film de Nuri Bilge Ceylan avec Doğu Demirkol, Murat Cemcir, Bennu Yıldırımlar.

Passionné de littérature, Sinan a toujours voulu être écrivain. De re-tour dans son village natal d’Ana-tolie, il met toute son énergie à trouver l’argent nécessaire pour être publié, mais les dettes de son père finissent par le rattraper…

« La profondeur du film, sa beau-té plastique inouïe prennent par moment des virages oniriques inattendus, quand l’image elle-même semble prise de transe et que le héros vacille, en même temps que le réel et les percep-tions des spectateurs. »première« Le cinéma de Nuri Bilge Cey-lan a toujours favorisé la parole. Mais l’élégance de sa mise en scène, dans «Le Poirier sauva-ge», donne à cette parole une grâce étonnante, une force de mise en mouvement du monde dont la Turquie semble, en tout cas pour un jeune homme, être totalement dépourvue. » Les Inrocks« Le film repose sur des plans-séquences que leur discrétion rend presque invisibles. Sur des ellipses foudroyantes aussi et d’extraordinaires plans fantas-matiques. La dérision — ainsi que la déraison, d’ailleurs — semble la seule façon possible de survivre dans la Turquie d’aujourd’hui. Et dans le monde tel qu’on l’a voulu ou accepté. Voir un cinéaste, sans doute au sommet de son art, construire ainsi, de film en film, une œuvre que l’on sait désormais capi-tale, fait partie des joies que se réservent les cinéphiles. Et les justifie dans leur passion. »télérama

Sur la plage de chesil

états-unis - 1h50 - 2018 - V.o.s.t.Un film de Dominic Cooke avec Saoirse Ronan, Billy Howle, Anne-Marie Duff.1962. Dans une Angleterre corse-tée par des conventions sociales étouffantes, Florence et Edward, la petite vingtaine, viennent de se marier. Aussi inexpérimentés l’un que l’autre, ils passent leur pre-mière nuit ensemble dans un hôtel guindé sous l’œil un rien moqueur du personnel. Totalement téta-nisés à l’idée de faire le moindre faux-pas, ils se souviennent, cha-cun, de leur rencontre. Florence, brillante violoniste élevée dans une famille fortunée et conserva-trice, était tombée sous le charme d’Edward, aspirant écrivain issu d’un milieu plus modeste…

une valse dans les allées

Allemagne - 2h05 - 2018 - V.o.s.t.Un film de Thomas Stuber avec Franz Rogowski, Sandra Hüller, Peter Kurth.Le timide et solitaire Christian est embauché dans un supermarché. Bruno, un chef de rayon, le prend sous son aile pour lui apprendre le métier. Dans l’allée des confiseries, il rencontre Marion, dont il tombe immédiatement amoureux. Cha-que pause-café est l’occasion de mieux se connaître. Christian fait également la rencontre du reste de l’équipe et devient peu à peu un membre de la grande famille du su-permarché. Bientôt, ses journées passées à conduire un chariot élé-vateur et à remplir des rayonnages comptent bien plus pour lui qu’il n’aurait pu l’imaginer…

« Dans ce cadre géométrique d’horizontales et de verticales mé-talliques où s’exerce la mélancolie jaillissent la tendresse, l’émotion, quelques éclats de bonheur. Et toute la beauté du film. »Le monde

« Moderne dans sa mise en scène et son portrait social, «Une valse dans les allées» observe, boule-versé, ce monde du travail qui fait et défait l’individu. Impression-nant. » Cinéma teaser

« Thomas Stuber suit avec une tendresse manifeste le parcours de ses personnages, gens ordinai-res, physiques du quotidien. Cela mérite d’être souligné quand, chez certains, l’empathie est de façade. Sandra Hüller et Franz Rogowski, les deux nouveaux visages du cinéma allemand, forment ici un touchant ‘non-couple’ dont la rela-tion pulvérise la grisaille ambian-te. Cette douce valse mériterait de faire danser le public tout l’été. » Le petit bulletin

« Il faut assurément appuyer le courage d’un réalisateur qui prend la tangente inverse des discours officiels en regardant au plus près, en quoi les décisions publi-ques bouleversent des existences entières. En ce sens, Une valse dans les allées fait presque figure de film politique. Derrière cette apparente sobriété de la mise en scène, se cache une réflexion dense et aboutie sur l’état des ouvriers, à la façon d’une œuvre de Kaurismäki, qui préférerait, à la violence des images, à la rugo-sité de la dénonciation, la douceur d’un poème. »aVoir-aLire