197 P n N P n DM5.1

Projet de réserve aquatique de la rivière Ashuapmushuan

Saguenay-Lac-Saint-Jean 6212-01-202

MUNICIPALITÉ DE LA DO&

ANNEXES AU MÉMOIRE PRÉSENTÉ

PROJET DE &SERVE AQUATIQUE DE LA RIVIÈRE ASHUAPMUSHUAN

Solutions, ~ innovat ions , transformat ions -

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vol. 3, N 13 - 9 juin 2004 Publication du . : . ': '.. ' . . :~'

New York a deux pas d'une obligation verte de 25 % La semaine dernière, un juge de la Commis- sion des services publics de I'ftat de New York a rendu une décision qui devrait mener à Sadoption d'une obligation échangeable d'énergie verte (ou Renewable Poriolio Standard en anglais - RPS), tel qu'annoncé par le gouverneur George Pataki en janvier 2003. Le 3- État le plus populeux des ttats-Unis exigera alors que 25 % de son électricité provienne de sources vertes d'ici 2013. devenant ainsi un leader national en

sources Defense Coiincil, i< le RPS est un bon investissement pour New York. Cela va créer de Sempioi, aider à réduire le prix élevé du gaz nalurel et stabiliser le prix de i'électricité lors de la pointe ».

<< Les changements climatiques soni la me- nace environnemeniale numéro un A laquel- le les Etats-Unis et i'Etat de New York font face », affirme Anne Reynolds, direclrice du Droiet Air et Eneraie du groupe Environ-

~~ ~ ~. ~ ~ . . mental A-dvocafes of New Yorh. c Le RPS. s'il est approuvé, rédvira les émissions de CO, dans l'Ela1

Le RPÇ réduira les

matière d'énergie verte.

Cette << decision recommandée )>

est le point cuiminanl d'un pro- émjçsionç de prés de 8 %, ce qüi marquera cesçus coliaboratif qui a impliqué un réel progrès pour New York et la participation de 150 parties (re- de 'O2 dans les autres États du Nord-Est qui groupées en différents coalitions) l'État de travaillent ensemble à combattre sur une p6riode de 15 mois. Cet- près de 8 oj0 les changements climatiques au te décision fera l'objet d'une série niveau régional ». de huit séances publiques à travers l'État de New York et de commentaires et répliques Selon la décision recommandée, seules les écrites des parties. Ensuite, les quatre mem- centrales mises en service après 2003 sont bres de ia Commission des services publics éligibles pour le RPS (sauf quelques excep- décideront d'adopter ou de modifier la déci- tions). L'incinération des déchets est exclue Sion recommandée. d'emblée de la définilion d'énergie renouve-

labie. Les nouvelles cenlraies hydrauliques Une vingtaine de groupes environnemen- à fil de l'eau sont éligibles, avec une puis- fauxet de leaders de l'industrie des énergies sance maximale de 30 MW. La puissance renouveiables pressent maintenant la Corn- additionnelle resultani de refeclions des mission d'approuver rapidement la décision cenlrales existantes est aussi éligible, dans du juge. Plusieurs de leurs porte-paroies ont la mesure où les réservoirs existants ne sont commenté la nouvelle. Pour Nathanael pas élargis. Greene, analyste senior pour le Nafional Re-

> Pou? en Savoir mus

, . !.;.~.~<'i;~,.- ,,.. ;t,,;, ~. ,,,

Six pays d'Europe signent un accord pour renforcer la coopération Dans le cadre de Renewables 2004, la con- ference internationale sur les Bnergies re- nouvelables qui s'est tenue à Bonn du 1"au 4 juin dernier, six pays européens ont signe un plan d'action conjoint destiné à bâtir un réseau international pour le développement

des énergies renouvelabies. II s'agit de six des vingt-sept pays membres de l'Agence internafionaie de l'énergie (AiE) : I'Ailema- gne. la France, I'irlande, rilalie, le Danemark et la Norvège.

(suile an page 2)

Six pays européens signent un accord pour renforcer la coopération 1

:i Élections canadiennes 2004 : l'éolien au cceur des promesses électoralss

IPE : un plan énergétique résolument Verl

L'eflicacité énergétique et les vents marins au menu du Plan de Long Island

Natsource reçoit Une cornniande pour 3.6 Mt d'un industriel japonais 4

Poilution au Canada~i-ü : une opportunité pour les énergies vertes et a kfficacité 7 5

La Chine vise 10 y/o d'ici 2010 5

Les autobus hybrides desservent Seattle 6

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Le Centre Hélios collabore avec le FlNA Le directeur du Centre Philip Raphals a été invilé à la table du ministre de I'Envi- ronnement du Québec, Thomas J. Mulcair, lors d'un petit-déjeuner confb- rence qui aura lieu le lundi 14 juin. Orga- nisé par le Forum sur !intégration nord- américaine (FINA), cet événement souli- gne les dix ans de l'Accord nord-améri- cain de coopération dans le domaine de I'environnernent. M. Mulcair présenlera un bilan de l'accord selon une perspec- tive québécoise.

Le Centre a déjà collaboré avec le FlNA i

pour la préparaiion d'une colloque au , Mexique sur la secunlé énergélique nord- : américaine.

Pouf s'inscrire Conlacter le FlNA au (5141 844-8030 ou à inscription@fina-;iafi.~rg !

. ~ . <

Quelles rivières à ouananiche contribuent le plus à la pêche?

Ashua~mushuan Mistassini Aux Saumons Métabetchouane

Note: résultats tirés d 'analyses génétiques réalisés par 1 'Université Laval, période 1994 à 1996 années confondues

T i: F rl (8

m

Année

1980 1981 1982 1983 1984 1985 1986 1987 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003

iux Saumons

362 588 462 564 362 62 309 554 646 653 406 378 34 27 38 194 73 797

2385 51 5 134

1

1

1

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1

1

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1

1

2

- Décompte partiel 2 .

Mistassini

427 326 482 682 528 334 317 396 1003 1634 81 3 597 256 137

123 560 1721 1553 1523 455 135 49 209

iontaison év -

détabetchouane

570 2

429 612 931 2

649 1565 1486 685 2

I I 9

iée par capture reca

Açhuapmushuan

520 1

2435 i

3722 i

864 i

315 730 i

i

ire

mm Québec- Gouvernement d u Québec Cabinet du ministre délégué à la Forêt, à la Faune et aux Parcs. ministre rerponsabie de la région de l'Abitibi-Témiscamingue et de ia région du Nord-du-Québec et député d'Abitibi-Est

Québec, le 22 juillet 2004

Monsieur Mario Gagnon Secrétaire-trésorier adjoint MRC du Domaine-du-Roy 901, boulevard Saint-Joseph Roberval (Québec) G8H 2L8

Monsieur,

J'ai pris connaissance de la correspondance que vous avez adressée au ministre délégué à la Forêt, à la Faune et aux Parcs, monsieur Pierre Corbeil, concernant le fait que la Direction de l'aménagement de la faune de la région du Saguenay - Lac-Saint-Jean n'ait pas procédé, en 2004, au rappel de leurs cinq techniciens saisonniers, dont quatre se consacraient presqu'exclusivement, bon an mal an, à des travaux d'acquisition de connaissances sur la ouananiche et l'éperlan du lac Saint-Jean. Je suis conscient, comme vous, que notre organisation se prive ainsi de gens dévoués a la cause faunique et possédant une expertise indéniable.

Malgré l'intervention du député de Roberval, monsieur Karl Blackburn, je me dois, cependant, de vous souligner que cette mesure, s'inscrivant parmi d'autres à la Société, n'est pas exceptionnelle a cette région puisqu'elle a été prise dans toutes les directions régionales et centrales.

La conséquence principale de ces compressions d'effectifs saisonniers et de budget à la Direction régionale du Saguenay - Lac-Saint-Jean est qu'il ne sera pas possible d'effectuer le suivi des montaisons des reproducteurs ouananiches dans le bassin de la rivière Ashuapmushuan. Cette activité était réalisée essentiellement par des techniciens saisonniers et étudiants dans des conditions difficiles de sorte que nous obtenions seulement un ordre de grandeur des montaisons. Quoique cette donnée était fort utile, il sera quand même possible de connaître les tendances en poursuivant le suivi des montaisons dans la rivière Mistassini, là où nous possédons la plus longue et la plus valable série de données.

! ... 2

Québec va1 d'or Bureau A . ~ O S 888, 3'Avenue. suite202 5 7 0 0 . 4 ~ A V W ~ ouest Val d'Or (Québec) 19P 5E6 Québer(Québed G1H 6R1 Téléphone : (819) 824-3333 Téléphone : (4181 643-7295 Télécopieur: (819) 824-4300 Télécopieur: (418) 643-7524

Québec va1 d'or Bureau A . ~ O S 888. 3'Avenue. suite202 5 7 0 0 . ~ 4 ~ A V W ~ ouest Québer(Québed G1H 6R1 Téléphone : (4181 643-7295 T6lémniwr: 1418) 643-7524

Val 20, (Québe;) 19P 5E6 Téléphone : (819) 824-3333 Télécopieur: (819) 824-4300

Document préliminaire pour discussion seulement

La Boréalie et le Nitassinan

Une proposition de forêt habitée

Municipalité de La Doré 2003

Mise en Contexte

La présente se veut une proposition concrète de la Municipalité de L u Doré laquelle considère qu’elle perincttrait, au-delà de la théorie, nne occupation dynatniqne (lu territoire dans le cadre du pacte rural de la M.R.C. Domaine-du- Roy.

Cefte approche suppose une vision nouvelle pour la survie de notre municipalité en ùéclin.

Cette vision s’appuie sur deux orientations stratégiques de la Municipulité.

L a première étant de fieines la baisse de notre population et la seconde de favoriser la nrise en place de nouvelles activités reliées aux potentiels des territoires d’appartenance traditionnelle de nos concitoyens.

Cette proposition pertnettrait 1 ’atteinte de plusieurs objectgs de cléveloppentent durable.

Ce cottcep, assurerait ainsi une plus grande emprise sur les ressources par les citoyens de notre municipalité et aussi par celle de plusieurs concitoyens des tnitnicipalités avoisinantes.

Ces personnes, qui ont des rapports fréquents avec les espaces visés, lesquels sont de dvférentes intensités et dans des secteurs d’activités cliversifiés, contribueraient ainsi effectivement à une occupation dynamique et réelle du territoire. il permettrait collectivement, la ré-appropriation de certains leviers essentiels à la réorganisation et à lapéreunitt? de l’économie locale et régionale.

La municipalité sonmet cette suggestion dans le cadre des travaux en cours de révision du schéma d’aménagenrent en prévision des audiences annoncées par le ttiinistre Boisclair de protéger la rivière Ashrraptnushuan, ainsi que cles débats en cours et ‘a venir sur l’entente de princiyes entre les deux puliet‘s de Gouvernement et le Conseil de bande des Montagnais.

Nous proposons une approche pro-active ajin de nous clégager des contraintes supplémentaires que nous imposent ces récentes décisions en plus de celles déjà subies par la C.P.T.A.Q. Les C.A.A.F. ainsi que les nombreuses levées de boucliers à Ifencontre des coupes à blanc, les inini centrales, les porcheriees, les barrages etc.. .

Le territoire visé

Nous pourrions convenir sommairement que, sur le plan de la géographie du territoire, cet espace serait plus ou moins la partie ouest du contrefari de la M.R.C. Domaine-du-Roy et qu’il intégrerait une partie du bassin versant de la rivière St-Maurice.

Au nord-nord-ouest, il serait contigu à la réserve faunique Ashudpmushuan.

La totalité de ces espaces serait soustraite des T.N.O. de la M.R.C. et serait annexée à la municipalité de La Doré à partir de son territoire dont la limite se situe présentement au km 12 de la route L-211, la rivière aux Trembles et la ville de St- Félicieii.

La M.R.C. et la municipalité de La Doré disposeraient donc d’un territoire important dont la totalité serait dans le Nittassinan.

Il représenterait la base de nouvelles propositions de développement à planifier au schéma révisé et à négocier éventuellement dans une approche coinmune avec Mastheuiatsh.

Le concept de la Forêt Habitée

Les espaces, ainsi délimités, accueilleraient des usages combinés et mixtes d’agriculture, d’agro-foresterie, de sylviculture, de recréotourisme, de villégiature et de récolte faunique et dans certaines spécialités sectorielles à convenir et à établir.

Les planifications de ces développements, seraient proposées en tenant compte des usages actuels et elles intégreraient des propositions de développements en fonction des ressources identifiées. Les orientations d’un développement durable et d’une occupation dynamique du territoire soutiendraient cette approche el elles s’inspireraient des principes de solidarité rurale et de ceux de la simplicité volontaire.

La tenure des espaces visés.

Les propriétaires détiendraient leurs droits par acquisition ou par location par un bail de longue durée SUT différentes catégories et superficies dont ils seraient les producteurs ou les exploitants d’établissements de celte ré-organisation du territoire.

Ces établissements, i titre indicatif, pourraient avoir de 50 à 200 hectares selon l’usage et la richesse potentielle de la zone considérée.

Ainsi, le propriétaire ou le locataire pourrait tirer des revenus viables provenant de plusieurs activités tels les modes de la première occupation de ces territoires par la colonisation.

C’est ainsi que le riverain propriétaire ou locataire, en étant reconnu coinme un travailleur autonome, tirerait sa subsistance des activités traditionnelles en récoltant le bois à maturité de son temitoire, en aménageant celui-ci selon des plans de gestion intégrant la foresterie, la récolte des petits fruits, la culture végétale spécifique comme la culture des champignons, la récolte de l’if du Canada, la récolte d’huiles essentielles etc.. .

Il pourrait mettre en service, des activités de pêche en étang, de pêche sur glace, de chasse guidée, de chasse à cour, de chasse à forfait pour certaines espèces tels l’ours, le lièvre et la perdrix.

Il pourrait aussi organiser ou réintroduire certaines productions et/ou chasses telle celle du sanglier, du dindon sauvage, du faisan, du clievreuil, du wapiti, du bison, du renne, du caribou, etc.. .

Dans d’autres zones la villégiature rentable pourmit être structurée et organisée en la jumelant avec des activités encadrées ou structurées de plein air.

Celles-ci, seraient axées sur le récréotourisme et spécialisées en fonctions des grands espaces et lorsque pertinent, en paitenariat avec les Montagnais de Mastheuiatsh.

La Structuration des activités et la production sur ces espaces.

Les propriétaires et locataires, selon les éventualités, seraient des producteurs forestiers à l’intérieur du C.A.F.F. et reconnus conilne bénéficiaircs par le détenteurs.

De plus, ils auraient le statut d’usager de son territoire aux fins des différentes vocations sectorielles.

Récréa-tourisme

Les exploitants mettraient en inarché des activités ou des forfaits récréo-touristiques structurés. D’autres activités libres et/ou à la carte poumient être proposées tels que des excursions planifiées et libres (hiking). Ces excursions, autant en hiver qu’en été, pourraient prendre la forme de balades (de 2 heures à 12 heures), d’excursions (de 1 à 3 jours) et d’expéditions (de 3 jours à 7 jours).

Les moyens de déplacement seraient diversifiés et inultiples. Les clients pourraient utiliser la raquette, la randonnée pédestre, le vélo de montagne, l’équitation, le traîneau à chien, le ski de fond, le canot, le V.TT., la motoneige d e piste et hors piste, l’autoneige, la carriole, l’hydroglisseur sur eau ou sur neig, etç.. ..

Les excursions et les expéditions pourraient comprendre des activités de survie, de camping sauvage, de pêche, de bivouac, de trappage du lièvre, de chasse au petit gibier, etc.. .

On pourrait y introduire des grands jeux, des rallyes, des raids, etc.. .

Dans un premier temps, tout cet espace pourrait être sous la coordination d’une coopérative de locataires et de propriétaires lesquels, opéreraient pour ainsi dire coinme une agence de mise en valeur.

Cette structure pounait temporairement être identifiée comme «La pourvoirie du Village)) laquelle pourrait être située sur le site du Moulin des Pionniers, soit au grand camp, au pavillon, à un kiosque à mettre en place ou ailleurs.

À cet endroit, on louerait les équipements, le matériel, les chalets et l’accès aux activités. On y organiserait des expéditions en partenariat avec les riverains et les locataires.

Fores terie

À venir

Faune À venir

À venir

Structiires

À venir

Financement

A venir

Mise en marché

À venir

programmation

À venir