Accord gouvernemental : un premier pas dans la bonne direction

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  • 8/3/2019 Accord gouvernemental : un premier pas dans la bonne direction

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    >INFORFEBWWW.FEB.BE

    La newsletter pour dcideurs

    [ 9 DCEMBRE 2011 N 39 ]

    Aprs 540 jours, notre pays a enfin un nou-

    veau gouvernement fdral. Un nouvel chec

    ntait plus acceptable. Face la crise qui

    enflamme la zone euro, lescalade du taux

    des fonds publics belges et linquitude

    croissante des banques, des entreprises et des

    mnages, il tait grand temps de lancer unsignal propre rtablir la confiance. Les ngo-

    ciateurs mritent toute notre estime pour y

    tre parvenus.

    Par rapport au premier texte qui a circul en

    juillet, on note un progrs : une part plus

    importante de leffort budgtaire de 15,9 mil-

    liards EUR raliser dici 2014 provient de

    rductions des dpenses plutt que de nou-

    veaux impts. Les rformes structurelles

    annonces en matire de pensions, de prpen-

    sion et de chmage ont gagn en crdibilit et

    en efficacit. Lcart avec les meilleurs lves

    de la classe europenne reste important, mais

    limpact sur le terrain sera nettement plus

    sensible que celui du Pacte de solidarit entre

    les gnrations.

    Le point faible de cet accord gouvernemental :

    on ny trouve aucune vision de la manire de

    crer de la croissance conomique dans notre

    pays. Lhypothse de croissance de 0,8% en

    2012 et de 2,1% en 2013 et 2014 ressemble

    un peu la manne tombe du ciel. Or, a pas-

    se ou a casse, car pour chaque dixime de

    point de croissance en moins, le gouverne-

    ment devra rechercher 200 millions EUR sup-

    plmentaires. Le risque est donc rel que les

    objectifs budgtaires fixs ne soient pas

    atteints et que des mesures complmentaires

    doivent tre prises.

    Sans entreprises comptitives, nous ne retrou-

    verons pas notre potentiel de croissance ant-

    rieur la crise conomique et financire. Les

    diffrentes mesures contenues dans laccordgouvernemental nempcheront certainement

    pas nos cots salariaux de continuer draper

    par rapport ceux de nos principaux parte-

    naires commerciaux. La rforme de lindex

    n'est pas l'ordre du jour, linflation et donc

    aussi lindex est ravive par des prlve-

    ments supplmentaires et certaines cotisa-

    tions patronales sont majores ou rorientes

    au dtriment des travailleurs de la connais-

    sance. On ne trouve aucune amorce de solu-

    tion pour le dossier ouvriers-employs. Enfin,

    le chapitre nergie nous laisse galement sur

    notre faim : les centrales nuclaires seront fer-

    mes et lon a peu de garanties que lapprovi-

    sionnement continuera dtre assur un cot

    comptitif.

    Les investissements souffriront galement.

    Sur papier, les recettes de limpt des soci-

    ts devraient augmenter dun quart environ,

    mais cette projection repose manifestement

    sur une approche trs statique. Les investis-

    seurs trangers vrifieront minutieusement

    que les points forts de notre pays continuent

    contrebalancer suffisamment ces charges

    supplmentaires.

    Pour les entreprises sensibles aux fluctuations

    cycliques, la dduction des intrts notionnelsperd beaucoup de son intrt ds lors quil est

    dcid que les dductions ne peuvent plus

    tre reportes sur les annes suivantes. Enfin,

    la liaison du deuxime pilier aux pensions les

    plus leves de ltat freinera le recrutement

    de talents de premier plan.

    La mise en uvre des dcisions est prsent

    la premire priorit du nouveau gouverne-

    ment. Mais, au fil des mois, les lacunes de

    laccord gouvernemental seront de plus en

    plus manifestes. Le travail ne fait donc que

    commencer. Mais ce qui a t accompli est

    dj remarquable aprs un an et demi de

    paralysie totale.

    RUDI THOMAES, ADMINISTRATEUR DLGU

    Pour plus de dtails concernant les mesuresde l'accord budgtaire, nous vous renvoyons au

    site www.feb.be > Dossiers > Budget 2012 et l'Annexe cet Infor.

    Le point faible de cet accord : onny trouve aucune vision de lamanire de crer de la croissanceconomique dans notre pays.

    Accord gouvernemental :

    un premier pas dans la bonne direction

    > GOUVERNANCE CONOMIQUE > Lancement du secondsemestre europen

    VACANCES ANNUELLES > L'Europe met la Belgique endemeure

    DMATRIALISATION > Une nouvelle taxe sur la conversiondes titres au porteur

    HEBDOMADAIRE BUREAU DE DPT : SINT-NIKLAAS P409959

    LE CHIFFRE DE LA SEMAINE PINGLER

    www.feb.be > publications > chiffres et faits

    Salaire mensuel brut moyenLe salaire mensuel brut moyen d'unsalari occup temps plein dansle secteur priv est, selon le SPFconomie, de 3.027 EUR. Le salai-

    re mdian 50% gagnent moins, 50% gagnent plus se montequant lui 2.639 EUR.

    3.027EUR

  • 8/3/2019 Accord gouvernemental : un premier pas dans la bonne direction

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    La Commission europenne a rendu le 24

    novembre un avis motiv affirmant que notre

    pays na pas transpos correctement dans sa

    lgislation larticle 7 de la directive sur le

    temps de travail. Selon cette disposition, les

    travailleurs doivent bnficier chaque anne

    de quatre semaines de congs pays. Dans la

    rglementation belge actuelle, il faut parfois

    plus de douze mois avant quun travailleur

    puisse bnficier de quatre semaines de

    vacances. Ainsi, la personne qui commence

    travailler le 1er juillet 2011 na pas droit des

    vacances en 2011 et ne peut prtendre qu

    deux semaines en 2012. Les partenaires

    sociaux se concertent depuis plusieurs mois

    dj ce sujet au sein du Conseil national du

    travail et de lOffice national des vacances

    annuelles. Pour les jeunes frachement dipl-

    ms et les quinquagnaires qui reprennent le

    travail aprs une longue interruption, les

    vacances jeunes et seniors apportent dj

    une solution partielle. Le problme ne concer-

    ne dailleurs que loctroi des jours de vacances

    et pas le calcul du pcule de vacances. En

    effet, ce dernier est calcul du premier au der-

    nier jour doccupation et est effectivement

    pay dans tous les cas.

    Pour la FEB, une solution technique

    rpondant aux critiques europennes est par-

    faitement possible, sans cot supplmentaire,

    ni pour les entreprises, ni pour la scurit

    sociale. Il importe aussi dviter la complexit

    administrative.

    Anneleen Bettens [email protected]

    DMATRIALISATION

    Une nouvelle taxe sur la

    conversion des titres auporteur

    La notification du budget 2012 prvoit une taxe

    sur la conversion des titres au porteur encore en

    circulation, que cette conversion ait lieu en titres

    dmatrialiss ou en titres nominatifs.

    Cette taxe concerne aussi bien les socits

    cotes que les socits non cotes. En effet,

    lAdministration des Finances considre quil

    y a encore trop de titres au porteur en circula-

    tion et quil faut 'inciter' les investisseurs

    convertir leurs titres. Cette taxe de 1% en

    2012, 2% en 2013 et 3% en 2014 sera pr-

    leve par les institutions financires lorsque

    linvestisseur viendra dposer ses titres encomptes-titres en vue de les dmatrialiser.

    Elle sera perue par lmetteur si linvestis-

    seur se prsente en vue de la mise au nomi-

    natif de ses titres. Cette taxe sera perue sur

    la base du dernier cours avant la date de

    conversion pour les titres de socits cotes.

    Pour les titres de socits non cotes, la base

    de taxation doit encore tre prcise par

    lAdministration. Le texte dfinitif mettant en

    uvre cette taxe de conversion nest pas enco-

    re connu. Le texte prvoira une sanction lour-

    de en cas de non-perception de la taxe par

    lmetteur ou linstitution financire.

    La FEB dplore que cette nouvelle taxe

    pnalise les metteurs et les investisseurs. Ce

    sera galement une charge administrative com-

    plmentaire pour les socits et pour les insti-

    tutions financires qui ne sont pas organises

    pour la percevoir ds le 1er janvier 2012.

    Nathalie Ragheno [email protected]

    >

    La FEB Varsovie

    Le prsident de la FEB, Pierre Alain De Smedt,a assist le 2 dcembre dernier, Varsovie, au

    Conseil des prsidents des fdrations

    membres de BUSINESSEUROPE. Lors de cet-

    te runion, une dclaration sur le ncessaire

    renforcement de la gouvernance de la zone

    euro a t finalise (*). Les dbats ont gale-

    ment port sur les liens commerciaux et din-

    vestissements entre lUE et les USA.

    Olivier Joris [email protected]

    (*) www.businesseurope.eu

    Brevet unitaire : lettre auministre Van Quickenborne

    En vue de la discussion relative au brevet uni-

    taire, qui sest tenue lors Conseil Comptitivit

    des 5 et 6 dcembre, la FEB a sensibilis le

    ministre de lconomie en affaires courantes,Vincent Van Quickenborne, divers points dat-

    tention lis la juridiction centralise en ges-

    tation. La FEB a attir lattention du ministre

    sur les problmes qui pourraient survenir en

    matire de financement et de fonctionnement

    de celle-ci, par exemple le choix de la juridic-

    tion comptente et de la langue utiliser lors

    dun diffrend li un brevet unitaire.

    Anne-Laurence Cock [email protected]

    La FEB au ChiliRudi Thomaes, administrateur dlgu de la

    FEB, a pris part cette semaine la mission

    commerciale conjointe prside par le Prince

    Philippe au Chili. Lors d'un petit-djeuner de

    travail organis par la FEB, Vittorio Corbo, un

    des conomistes les plus rputs dAmriquelatine et ancien gouverneur de la banque cen-

    trale chilienne, a donn un expos sur les rai-

    sons du succs conomique actuel de son pays

    (croissance annuelle de 5% depuis 20 ans,

    solides institutions financires, absence de

    dette publique nette, etc.). La mission fut ga-

    lement loccasion de mettre en avant certaines

    de nos entreprises de pointe lors de runions

    de travail avec le prsident Piera, le ministre

    de lnergie ou encore avec le CEO du gant

    minier Codelco.Vincent Caulier [email protected]

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    ACTION FEB

    VACANCES ANNUELLES

    L'Europe met la Belgique en demeure

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    Le 23 novembre dernier, la Commission europenne a publi son Annual

    Growth Survey (AGS) 2012, donnant ainsi le coup d'envoi du second

    semestre europen. L'AGS donne un aperu des thmes qui devraient,

    selon la Commission, tre mis en avant en 2012 en termes de politique

    et de rformes socio-conomiques et budgtaires. Concrtement, ilappelle lUE et ses tats membres se concentrer sur cinq priorits :

    une consolidation des finances publiques propice la croissance, le

    rtablissement de laccs au financement pour lconomie relle, le ren-

    forcement de la croissance et de la comptitivit, la lutte contre le ch-

    mage et les retombes sociales de la crise et la modernisation de

    ladministration publique. Dans les semaines et mois venir, les diff-

    rentes formations du Conseil discuteront de lAGS pour faire rapport au

    Conseil en mars 2012. Celui-ci formulera ensuite un avis politique aux

    tats membres individuels, qui devront leur tour en tenir compte lors

    de llaboration des programmes nationaux de rforme, de stabilit et

    de convergence dposer au mois davril. Aprs avoir analys ces pro-grammes, la Commission formulera nouveau des recommandations

    spcifiques chaque pays et le Conseil les approuvera dans le courant

    du mois de juin. Enfin, les tats membres devront mettre cet avis final

    en uvre dans leur politique conomique et budgtaire nationale.

    La FEB attache beaucoup dimportance au semestre europen.

    Tous les pays doivent prendre cur les analyses et recommandations

    de la Commission europenne en

    vue daccrotre leur croissance

    potentielle et dassainir leurs

    finances publiques. Il sagit en

    outre dun ingrdient essentielpour conjurer la crise au sein de la

    zone euro.

    Pieter-Jan Van Steenkiste

    [email protected]

    CRDIT-TEMPS PARTIELS ETINTERRUPTION DE CARRIRE

    Indemnit de pravis

    calcule sur la base du

    salaire rduit

    Les travailleurs qui rduisent leurs prestations

    dans le cadre de l'interruption de carrire (dans

    le secteur public) ou du crdit-temps de la

    CCT 77bis (dans le secteur priv) n'ont droit

    qu' une indemnit de pravis calcule sur la

    base de leur salaire actuel savoir le salaire

    peru pour les prestations de travail rduites et donc pas sur le salaire temps plein peru

    antrieurement. C'est ce qu'a dcid la Cour

    constitutionnelle dans deux arrts du 10

    novembre dernier. Dans la premire affaire, un

    employ du Conseil d'tat a t licenci pen-

    dant sa priode d'interruption de carrire mi-

    temps. La seconde portait sur deux travailleurs

    qui avaient rduit leurs prestations de travail

    en application du rgime prvu pour les + 50

    ans dans la CCT 77bis (emplois de fin de car-

    rire). Dans les deux arrts, on a invoqu une

    violation du principe d'galit garanti par la

    Constitution, parce que les travailleurs en

    cong parental temps partiel ont quant eux

    droit une indemnit de pravis calcule sur

    la base d'un salaire temps plein hypoth-

    tique. La Cour constitutionnelle a jug que ce

    principe n'avait pas t transgress. La Cour

    souligne que le cong parental doit tre valu

    dans le cadre de l'Accord-cadre europen,

    lequel prvoit des conditions spcifiques, ce

    qui n'est pas le cas pour les rgimes contests.

    Le lgislateur dispose ds lors d'une plus gran-

    de libert pour dterminer la protection contre

    le licenciement et il a opt pour l'indemnit

    complmentaire de licenciement forfaitaire de

    6 mois en cas de licenciement autre que pour

    motif grave ou motif suffisant. Ce n'est donc

    pas manifestement draisonnable.

    La Cour constitutionnelle a ainsi dfi-

    nitivement mis un terme l'inscurit juri-

    dique qui rgnait sur le terrain.

    Monica De Jonghe [email protected]

    DROIT EUROPEN DELA VENTE

    La proposition doit treporteuse de scurit

    juridique et de simplicitLa proposition de la Commission europenne

    en faveur de la cration d'un droit commun

    europen de la vente soulve des questions

    critiques en matire de scurit juridique, de

    complexit et de protection des consomma-

    teurs. L'objectif qui consiste stimuler et

    faciliter les changes transfrontaliers au sein

    du march intrieur la fois pour les consom-

    mateurs et pour les entreprises est, certes,

    louable. Mais la ralisation du droit europen

    de la vente via l'introduction d'un instrument

    optionnel pour les contrats de vente transfron-

    taliers ne peut se rduire dans la pratique

    une strate supplmentaire de rgles et de for-

    malits complexes. Il est indispensable que

    son lien avec le droit national et europen des

    contrats soit prcis d'une manire qui soit

    applicable dans la pratique. On s'interroge parailleurs sur la faisabilit d'une application et

    d'une interprtation identiques par les juges

    nationaux des diffrents tats membres.

    La FEB souligne que l'instrument

    optionnel ne peut porter atteinte la libert

    contractuelle entre entreprises et ne peut,

    terme, dboucher sur une application obliga-

    toire du droit commun europen de la vente.

    Elle reconnat qu'une rglementation unifor-

    me pour les contrats transfrontaliers peut

    constituer une source d'conomies sensibles,

    surtout dans le domaine du commerce lec-

    tronique. Cet instrument ne pourra toutefois

    reprsenter une valeur ajoute que sil gnre

    la scurit juridique de manire cohrente, sil

    >

    >

    GOUVERNANCE CONOMIQUE

    [INFOR

    FEB

    39

    9DCEMBRE

    ]>

    Lancement du second semestre europen

    >

    L'Annual Growth Survey

    appelle lUE se concen-trer sur cinq priorits,e.a. sur la lutte contre lechmage.

  • 8/3/2019 Accord gouvernemental : un premier pas dans la bonne direction

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    Grap

    hismee

    tpro

    duc

    tion:

    The

    Ma

    ils

    hop

    tl.037711230

    ma

    il@thema

    ils

    hop

    .be

    est simple appliquer et sil tablit un qui-

    libre entre les intrts du consommateur et

    ceux de lentreprise. La proposition actuelle

    ne rpond pas suffisamment ces conditions.

    Stefaan Verhamme [email protected]

    SIMPLIFICATIONADMINISTRATIVE

    Un protocole sur la

    facturation lectronique

    Lors du congrs annuel des professions co-

    nomiques du 1er

    dcembre 2011 - le Forumfor the Future, les principaux acteurs en la

    matire (dont la FEB) ont conclu un protoco-

    le destin amorcer une vritable dynamique

    en vue de favoriser la perce de la facturation

    lectronique dans les entreprises et en parti-

    culier dans les PME. Chacune des parties pre-

    nantes a un rle important jouer dans cet

    objectif : les autorits, en prvoyant un cadre

    lgislatif appropri, les solution providers,

    en dveloppant des solutions simples, effi-

    caces et peu onreuses, les professions co-

    nomiques, en donnant des conseils experts

    leurs clients, et les entreprises elles-mmes,

    en surmontant leurs craintes.

    La FEB se rjouit que ce protocole ait

    t sign non seulement par les parties pre-

    nantes du secteur priv, mais aussi par le SPF

    Finances et lAgence pour la simplification

    administrative. Cette initiative sinscrit dans le

    prolongement de luvre de pionnier joue

    par la FEB en 2009 avec la cration du

    Belgian E-Invoicing Forum qui a abouti en

    2010 une premire simplification de la

    rglementation. La FEB soutient donc cette

    nouvelle initiative avec beaucoup denthou-

    siasme.

    Alain Lecocq [email protected]

    PCULE DE VACANCES

    Provisions comptabili-

    ses dans les bilans au31 dcembre 2011

    Sous rserve de la rponse de lAdministration

    des contributions directes, la FEB a propos

    les taux suivants pour les provisions pour

    pcule de vacances comptabilises dans les

    bilans au 31 dcembre 2011 qui peuvent tre

    admises en frais professionnels :

    18,8% des rmunrations fixes et variables

    alloues en 2011 aux employs admis au

    bnfice de la lgislation sur les vacances

    annuelles des travailleurs salaris.

    10,27% des 108/100 des salaires accords

    en 2011 aux ouvriers et apprentis admis au

    bnfice de la mme lgislation.

    Jean Baeten [email protected]

    >

    >

    FEB Fdration des Entreprises de Belgique ASBLrue Ravenstein 4 1000 Bruxelles tl. 02 515 08 11 fax 02 515 09 15

    RDACTION : Anne Michiels tl. 02 515 09 44 [email protected]

    Thrse Franckx tl. 02 515 09 50 [email protected]

    DITEUR RESPONSABLE : Charles Gheur rue Ravenstein 4 1000 Bruxelles

    PUBLICATION MANAGER: Stefan Maes tl. 02 515 08 43 [email protected]

    ANNEXES PUBLICITAIRES : ADeMar bvba tl. 03 448 07 57 [email protected]

    CHANGEMENTS DADRESSE : FEB Service mailing tl. 02 515 09 06 fax 02 515 09 55 [email protected]

    COPYRIGHT : Reproduction autorise moyennant mention de la source

    LInfor est imprim sur du papier issu de la gestion durable des forts. La gestion durable des forts tient compte de l'cosyst-

    me forestier, respecte les aspects sociaux (droits des populations indignes et des travailleurs forestiers*) et est

    responsable d'un point de vue conomique.

    >

    DATE :

    16TH DECEMBER 2011,

    6TH & 13TH JANUARY

    2012. FROM 12.30 P.M.

    TO 6.00 P.M.

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    Lauteur, Nadine Beaufils, nest pasune inconnue dans le monde des res-sources humaines. Avocate-associe

    chez Taquet, Clessse & VanEeckhoutte, elle a une longue exp-rience. Elle est aussi conseiller externe la Fdration des entreprises deBelgique.

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