4agc _biblio2_2010

60
La recherche documentaire scientifique 4ème année Génie Civil 2010/2011

description

Module recherche 4A GC INSA Toulouse Recherche bibliographique séance 2

Transcript of 4agc _biblio2_2010

Page 1: 4agc _biblio2_2010

La recherche documentaire scientifique

4ème année Génie Civil

2010/2011

Page 2: 4agc _biblio2_2010

• Démarche critique : évaluation de la qualité d’une publication

• Les ressources du web• Rédiger une bibliographie• Droit et plagiat

PLAN DE LA SEANCE

GC/2010

TD 2

•Rappels méthodologiques•Les ressources INSA TD 1

Page 3: 4agc _biblio2_2010

EVALUER LA QUALITE

GC/2010

Démarche critique

Objectif :Evaluer la qualité d’une

publication ou d’un site web

Page 4: 4agc _biblio2_2010

EVALUER LA QUALITE

GC/2010

S’interroger sur le document lui-même

• Son(ses) auteur(s)

• L’organisme d’affiliation de(s) l’auteur(s), la notoriété de cet organisme

• L’éditeur

• La source : Titre du périodique…

• L’année de publication

Page 5: 4agc _biblio2_2010

EVALUER LA QUALITE

GC/2010

S’interroger sur le contenu

• Fiabilité de l’information

• Possibilité de vérifier les données fournies

• Précision et fraîcheur de l’information

• Qualité de l’argumentation, rigueur de la méthode

• Valeur ajoutée : qu’est-ce que le document apporte ? information nouvelle, synthétique, utile … originalité

• La démarche scientifique apparaît-elle ?

• Indication des sources

• Le document est-il cité par d’autres documents ?

Page 6: 4agc _biblio2_2010

EVALUER LA QUALITE

GC/2010

S’interroger sur la mise en forme du document

• Présentation

• Lisibilité

• Clarté

• Accessibilité (pour les sites web)

Page 7: 4agc _biblio2_2010

EVALUER LA QUALITE

GC/2010

Des grilles d’analyse existent :

* Pour évaluer un site web

http://bibli.ec-lyon.fr/documents/formation_pe/session_2/3.2_Grille_analyse_site%20web.pdf

* Pour évaluer un article scientifique

http://bibli.ec-lyon.fr/documents/formation_pe/session_2/3.3_Grille_analyse_article_scientifique.pdf

Page 8: 4agc _biblio2_2010

EVALUER LA QUALITE

GC/2010

Démarche critique : études de cas

Clonage d’un chien par une équipe sud-coréenne en 2005 : articles publiés dans Science (2004 et 2005) et Nature (2005)

http://www.sciencepresse.qc.ca/archives/2006/cap0901066.html

Plagiat dans le monde académique (doctorant, master, chercheurs…)

Page 9: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Les ressources d’Internet

Page 10: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Les limites d’Internet

• Problème de qualité et de fiabilité

• Difficultés de repérages•• « Volatilité » de l’information

• On ne trouve pas tout et on ne trouve pas tout gratuitement :

Certaines informations n’existent pas sur le web

L’accès à certaines informations est payant

Page 11: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Répertoires : typologie

Généralistes Régionaux Spécialisés par sujet

Yahoo !

Google annuaireGoogle annuaire

Open Directory project (DMOZ)(DMOZ)

Yahoo France !

La Toile du Québec

SAPRISTISAPRISTI

DOAJDOAJ

Signets universités (CERIMES / (CERIMES / ABES)ABES)

Page 12: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Moteurs de recherche : typologie

Généralistes Universitaires Spécialisés

Google

Exalead

Altavista

Alltheweb

Bing

Yahoo search

Google Scholar

Scirus

Scitopia

OAIster

Google Blog Search

CiteSeerCiteSeer

Driver (projet Driver (projet européen d’archives européen d’archives institutionnelles)institutionnelles)

Page 13: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Les métamoteurs

• Interrogent en parallèle plusieurs outils du web

• Intéressants pour rechercher sur des sujets pointus

Exemples :

IxQuick : parmi les plus puissants

Copernic : interroge jusqu’à 32 moteurs – version gratuite et payante

Polymeta : interroge les moteurs majeurs + clustering + cartographie des résultats

MetaCrawler : 13 moteurs de recherches interrogés

Page 14: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Le Web invisible

établit sur la base de la figure"Distribution des sites du Deep Web par types de contenu" de l'étude Bright Planethttp://c.asselin.free.fr/french/invisible_web.htm.

Page 15: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Le web invisible / Deep webPartie du web qui n’est pas indexée par les

outils traditionnels de recherche

- Documents ou bases de données trop volumineux pour être intégralement indexés- Sites (bases de données) interrogeables uniquement par leur propre moteur de recherche- Pages protégées par leur auteur- Pages soumises à authentification- Pages « orphelines », non liées à d’autres pages- Pages créées dynamiquement

Page 16: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Le web invisible / Deep webWeb invisible = 260 fois le volume du web visible(selon une étude de BrightPlanet datant de 2001)1

= 70 à 75% du Web (Pisani et Piotet, 2008)2

« Afin de couvrir le mieux possible le web de surface, il faut utiliser au moins 2 moteurs pour se rapprocher d’un taux de couverture de 10% »3

« En terme de pertinence la qualité du web profond est estimée comme 3 fois supérieure à celle de web de surface »3

1 – BrightPlanet. The 'Deep' Web: Surfacing Hidden Value [en ligne]. 2001. Accessible à l’adresse : http://www.brightplanet.com/index.php/white-papers/119.html. Consulté le 5 mars 20082 – Pisani, F. et Piotet, D. Comment le web change le monde : l'alchimie des multitudes. Paris : Pearson, 2008. p.1883 – Digimind. Découvrir et exploiter le web invisible pour la veille stratégique [en ligne]. 2006. Accessible à l’adresse : http://www.digimind.fr/actu/publications/white-papers/222-decouvrir-et-exploiter-le-web-invisible-pour-la-veille-strategique-2.htm. Consulté le 17 septembre 2010

Page 17: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Moteurs scientifiques : des outils du web invisible

Page 18: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

MOTEURS SCIENTIFIQUESQuoi ?

• Spécialisés dans les documents scientifiques publiés sur le web

• Destinés à la communauté universitaire et scientifique

• Pluridisciplinaires ou spécialisés

• Gratuits

Pourquoi ?• Obtenir des

résultats ciblés• Interroger le web

invisible• Indexer des

données à accès contrôlé

• Espace réduit mais plus pertinent

Page 19: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

GOOGLE SCHOLAR www.scholar.google.com

• Contenuindexation

d’articles issus de périodiques avec évaluation par les pairs, thèses, livres, rapports

• Sourceséditeurs

scientifiques (sauf ACS), sociétés savantes, répertoires de preprints, serveurs universitaires (SUDOC, INIST)

• Avantages / inconvénients :Simple, gratuitManque d’info sur les éditeurs et les serveurs indexésLacunes importantes dans les archives

Page 20: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

SCIRUS / SCIVERSE www.scirus.comMoteur réalisé par Elsevier, 1er éditeur scientifique

Index + de 250 millions de documents

Contenu

- Pages d’universités- Organisations scientifiques (.org) et pages de congrès, conférences- Pages d’organisations fournissant de l’information scientifique- Pages gouvernementales (.gov)- Pages de scientifiques

Sources

-Web -ScienceDirect- Bases de données (Medline, Nasa…)- Brevets américains- Serveurs de pré-publications- Open Archive

Page 21: 4agc _biblio2_2010

Sciverse

Interrogation simultanée de

Science Direct + Scirus + Scopus

Ressource payanteINSA abonné

Ressource libre Ressource payanteINSA pas abonné

Accès possibleau document s’il

appartient au périmètre d’abonnement

Accès possible au document

Accès impossible au document

OUTILS DU WEB

GC/2010

Page 22: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DE RECHERCHE

GC/2010

Scitopiahttp://www.scitopia.org

• ContenuCrée en 2007 sous

l’impulsion de 15 sociétés savantes américaines (IEEE, IOP, APS, ASCE…). 22 y participent à ce jour.

• SourcesInterroge les fonds

documentaires des sociétés savantes, du département de l’énergie américain et des offices de brevets

Page 23: 4agc _biblio2_2010

ARCHIVES OUVERTES

GC/2010

Les archives ouvertes

Page 24: 4agc _biblio2_2010

ARCHIVES OUVERTES

GC/2010

Entrepôts

Réservoirs d’informations

• Archives thématiques

• Archives institutionnelles

• Projets nationaux / internationaux

Répertoires d’entrepôts

Référencent les entrepôts

Proposent des classements thématiques

Parfois évaluent les entrepôtsMoteurs de recherche

ou répertoires

Moteurs spécialisés permettant d’explorer

plusieurs entrepôts simultanément

Page 25: 4agc _biblio2_2010

ARCHIVES OUVERTES

GC/2010

Entrepôts

HAL Hyper Articles en LigneArchive pluridisciplinaire créée en 2001, articles scientifiques et thèseshttp://hal.archives-ouvertes.fr/

ArXivArchive en physique, maths, informatique, biologie quantitative. Créée en 1991http://fr.arxiv.org/

(Propagation de HAL vers ArXiv)

OATAOArchive de 4 établissements toulousains INPT, ENVT, ISAE, ENFAhttp://oatao.univ-toulouse.fr/

Répertoires d’entrepôts

OpenDOARCrée en 2006. Recense plus 1700 entrepôtsEvalue la qualité des entrepôtshttp://www.opendoar.org/

ROARCrée en 2005. Près de 900 entrepôts recenséshttp://roar.eprints.org/

Page 26: 4agc _biblio2_2010

ARCHIVES OUVERTES

GC/2010

Moteurs de recherche OAIsterCouvre plus de 930 archives. Projet universitaire en cours d’améliorationhttp://oaister.worldcat.org/Open-J-GatePortail d’accès à + de 4700 revues. Lancé en 2006http://www.open-jgate.com Scientific commonsCouvre près de 850 archives ; 13 millions de documentshttp://en.scientificcommons.org/

DRIVERProjet européenA la fois répertoire et moteur de recherchehttp://www.driver-community.eu/

DOAJ+important répertoire de revues en libre accès. 4766 titres en 2010Crée par l’Université de Lund (Suède) en faveur du libre accèshttp://www.doaj.org/

Page 27: 4agc _biblio2_2010

OUTILS DU WEB

GC/2010

Interrogation des bases

Rechercher des documents dansGoogle Scholar, Scirus, Scitopia, les

archives ouvertes

(voir adresses dans support de cours)

Page 28: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Droit d’auteur et plagiat

Page 29: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Le droit d’auteur

œuvre = production littéraire, artistique, journalistique, scientifique originale quelles que soient la forme et le support

Le droit d’auteur protège toute personne qui a produit une œuvre

Code de la Propriété Intellectuelle

Loi DADVSI (1er août 2006)

Une œuvre ne peut être reproduite même partiellement qu’avec l’autorisation de son auteur

Page 30: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Le droit d’auteur

Double nature :

– patrimonial (rémunération, reproduction, représentation)

– moral (inaliénable)

Les droits patrimoniaux sont limités dans le temps : 70 ans après le décès de l’auteur l’œuvre tombe dans le domaine public

L’article L122-5 du Code de la Propriété Intellectuelle et la loi DAVDSI définissent des exceptions et notamment l’autorisation de citation

Page 31: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Les exceptions au droit d’auteur

Représentation dans le cercle de famille

Copie pour usage privé du copiste

L’analyse et la courte citation

Les revues de presse

Les discours destinés au public

La copie technique provisoire

La reproduction et la mis à disposition à des fins pédagogiques et de recherche

Page 32: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Droit d’auteur et Internet

Les règles du CPI s’appliquent aussi à Internet

La loi « création et Internet » (HADOPI) tente de protéger davantage les auteurs :

– Contrôle du piratage

– Avertissement, amende, coupure d’abonnement Internet…

Page 33: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Page 34: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Le plagiat : qu’est-ce que c’est ?

« Utilisation frauduleuse de l’oeuvre d’autrui soit par emprunt, soit par imitation »

Grand dictionnaire terminologique, http://www.granddictionnaire.comConsulté le 23/02/2009

«Vol littéraire. Le plagiat consiste à s’approprier les mots ou les idées de quelqu’un d’autre et de les présenter comme siens.» Petit Robert, Volume 1, 2005

Plagiat = non respect de l’autorisation de citation, exception au droit d’auteur définie par le Code de la propriété intellectuelle

Page 35: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Le plagiat : des exemples• Copier textuellement un passage d’un livre, d’une revue ou d’une page Web sans le mettre entre guillemets et/ou sans en mentionner la source

• Insérer dans un travail des images, des graphiques, des données, etc. provenant de sources externes sans indiquer la provenance

• Résumer l’idée originale d’un auteur en l’exprimant dans ses propres mots, mais en omettant d’en indiquer la source

Infosphère. Exemples de situations de plagiat. http://www.bibliotheques.uqam.ca/recherche/plagiat/exemples.html. Consulté le 23/02/2009

Page 36: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Le plagiat : des exemples

• Traduire partiellement ou totalement un texte sans en mentionner la provenance

• Réutiliser un travail produit dans un autre cours sans avoir obtenu au préalable l’accord du professeur

• Utiliser le travail d’une autre personne et le présenter comme le sien (et ce, même si cette personne a donné son accord)

• Acheter un travail sur le web

Infosphère. Exemples de situations de plagiat. http://www.bibliotheques.uqam.ca/recherche/plagiat/exemples.html. Consulté le 23/02/2009

Page 37: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Pourquoi ne pas plagier ?

Par souci d’intégrité et de respect du travail d’autrui (éthique)

Pour respecter le droit d’auteur (juridique)

Pour attester d’une démarche scientifique

Pour être capable d’argumenter

Pour développer et mettre en valeur vos capacités de synthèse et de critique

Pour être vous-même auteur

Parce que plagier est répréhensible

Page 38: 4agc _biblio2_2010

DROIT AUTEUR / PLAGIAT

GC/2010

Comment ne pas plagier

UTILISER LA CITATION – NOTER LES SOURCES• Si vous utilisez les mots, les données, etc. de

quelqu’un d’autre, utilisez les guillemets et fournissez la référence complète (nom de l’auteur, date, page…)

• Si vous empruntez les idées de quelqu’un d’autre, donnez la référence complète

GARDER TRACE• Notez la provenance de vos informations au fur et à

mesure que vous les trouvez. Prenez des notes !

VIGILANCE• Ne travaillez pas à la dernière minute• En équipe, assurez-vous de la fiabilité de toutes les

sources

Page 39: 4agc _biblio2_2010

Plagiat : un exemple

International Journal of Info and Com Sciences for Decision Making, 11 (2003) 12-18 Modèle pour l'explicitation d'un problème décisionnel: un outil d'aide à la décision dans un contexte d'intelligence économique Najoua Bouaka a, 1, Amos David a, 1 (2003) Dans un contexte d'intelligence économique (IE) où l'environnement est souvent incertain, l'information constitue de plus en plus un facteur clé de succès qui doit être identifié et interprété au bon moment pour aider le décideur dans son processus décisionnel. La compréhension de ces informations, qui peuvent être un signal auquel on peut faire correspondre un problème, peut être plus ou moins complète et plus ou moins explicite. La compréhension est une étape essentielle et délicate, qui se trouve en amont du processus de recherche d'information. Elle présente de nombreuses difficultés théoriques et pratiques ; nous nous sommes intéressés à plusieurs d'entre elles. En effet, la compréhension des signaux en provenance de l'environnement par le décideur ainsi que la reformulation du problème correspondant en terme de paramètres, constituent le fondement de notre contribution dans ce papier. Nous présentons un modèle pour l'explicitation d'un problème décisionnel basé sur la modélisation du décideur, de son environnement et de son organisation. a – UNIVERSITE NANCY 2 1: SITE (LORIA) INRIA – CNRS : UMR7503 – Université Henri Poincaré - Nancy I – Université Nancy II – Institut National Polytechnique de Lorraine - INPL

Page 40: 4agc _biblio2_2010

Plagiat : un exempleExtrait d’un mémoire de master recherche en

Génie Industriel

Page 41: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Règles de citation et références bibliographiques

Page 42: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Règles de citation

• Une citation doit être entre guillemets

• La référence du document cité doit être indiquée en note de bas de page ou entre parenthèses dans le texte

• En fin de document la bibliographie doit lister tous les documents utilisés avec leur référence complète

Page 43: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Comment citer ?

Ce que nous nommons OGM est en fait le résultat non seulement d’une modification génétique mais aussi d’une hybridation très commune de l’OGM (organisme qui vient d’être obtenu) avec les meilleures variétés agronomiques du moment.

Séralini explique ce que sont les OGM : «Ce que nous nommons OGM est en fait le résultat non seulement d’une modification génétique mais aussi d’une hybridation très commune de l’OGM (organisme qui vient d’être obtenu) avec les meilleures variétés agronomiques du moment.» 1 _______________________________1 Gilles-Éric Séralini, Ces OGM qui changent le monde, Paris, Flammarion, 2004, coll. «Champs», p. 53.

Exemple tiré du site Infosphère

Utiliser les guillemets

Indiquer la source

Page 44: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

L’appel de citation par numéro

Dans le texte, les citations sont numérotées par ordre d’apparition. Les numéros sont placés entre crochets, parenthèses ou exposants

Exemple : « Pour une réalisation d’un certain nombre de composants du circuit primaire dont les traversées du couvercle de cuve….» [6]

Dans la bibliographie, les références sont classées par numéro

Exemple : [6] Pinard Legry G. Fiabilité des materiaux de structure dans l’industrie nucléaire. Matériaux et techniques, 1996, n°7-8, pp. 11-18.

Exemple tiré de http://repere.enssib.fr

Page 45: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

L’appel de citation par auteur

Dans le texte, les citations sont placées entre cochets, formées du nom du 1er auteur suivi de l’année de publication

Exemple : «…le changement d’une propriété physique due à une réaction au niveau de sa surface avec le gaz à examiner.» [Esaki 94]

Dans la bibliographie, les références sont classées par ordre alphabétique du premier auteur, puis chronologiquement

Exemple : [Esaki 94] Esaki, Microwave infrared detector with semicondustor supperlattice region, USA, Brevet n° 4348686, 28/07/1994

Exemple tiré de http://repere.enssib.fr

Page 46: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Règles de citation : les illustrations

• 1er cas : vous êtes l’auteur de l’illustration

Fournir une légende explicative pour le lecteur

• 2ème cas : vous n’êtes pas l’auteur de l’illustration

Fournir une légende et indiquer les références soit : – en dessous de l’image– en note de bas de page – dans la bibliographie

Page 47: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Règles de citation : les illustrations

FIG 2.1 – Schéma du dispositif expérimental de photoluminescence résolue en temps [1]

Dans la bibliographie : [1] LOMBEZ, Laurent. Injection optique et injection électrique de spin dans des nanostructures semiconductrices. Thèse de doctorat : physique de la matière. Toulouse : Institut National des Sciences Appliquées Toulouse, 2007, 135 p.

Page 48: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Règles de citation : les illustrations

[1] Un supporter du Stade Toulousain durant la final du Top 14 en 2008

[1] ROSSIGNOL, Pascal. A Stade toulousain fan cheers during de French Rugby union final against ASM Clermont Auvergne at Stade de France in Paris, June 28, 2008 In : Factiva. Disponible sur <http://global.factiva.com/sb/default.aspx?NAPC=S&fcpil=fr>

Page 49: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Rédiger une bibliographie

Page 50: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Citez vos sources

Pour attester du caractère scientifique de votre démarche

Pour respecter le droit des auteurs

Pour permettre à vos lecteur d’identifier et de retrouver les sources des informations que vous avez utilisées

Page 51: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Rédiger une bibliographie

Bibliographie = liste de tous les documents utilisés

La référence de chaque document doit permettre

De l’identifier sans ambiguïté

De le retrouver facilement

Page 52: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Rédiger votre bibliographie

Une référence bibliographique

• Comporte des éléments précis, mis dans un ordre défini et obligatoire

• Est constituée d’éléments indispensables au bon signalement (auteur, titre, année, etc.)

• Est présentée de façon homogène dans un style précis (normes AFNOR et ISO)

Page 53: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Rédiger votre bibliographieExemples

Un livre

GUIMELLI Christian. Structures et transformations des représentations sociales. Neuchâtel, Switzerland : Delachaux et Niestlé, 1994, 277 p.

Un article

SANCHEZ L. Rafael. A new cyclic anisotropic model for plane strain sheet metal forming. International journal of mechanical sciences, 2000, vol. 42, n° 4, pp. 705-728.

Un site Web

Agence de l’eau Adour Garonne. Qualité des eaux superficielles (en ligne). Disponible sur http://www.eau-adour-garonne.fr/page.asp?page=1420. Consulté le : 1er octobre 2008

Page 54: 4agc _biblio2_2010

CITATION / BIBLIO

GC/2010

Exemples à ne pas suivre

Rapport de stage de fin d’étude INSA de Lyon

Rapport publié sur Internet

Page 55: 4agc _biblio2_2010

VEILLE

GC/2010

La veille informationnelle et documentaire

Page 56: 4agc _biblio2_2010

VEILLE

GC/2010

La veille informationnelle

La veille est « une activité continue et en grande partie itérative visant à une surveillance active de l’environnement technologique, commercial etc…pour en anticiper les évolutions » (Norme XP X 50-053 )

Il existe plusieurs types de veille : veille scientifique, veille commerciale, veille stratégique, veille informationnelle etc …

« La veille informationnelle est l’ensemble des stratégies mises en place pour rester informé, en y consacrant le moins d’effort possible en utilisant des processus de signalement automatisés. » (JP Lardy - Urfist de Lyon)

Page 57: 4agc _biblio2_2010

VEILLE

GC/2010

Pourquoi faire de la veille ?

• Recherche amontÉtude de faisabilité, recherche de nouveaux concepts

technologiques• Rédaction de rapport d’étude ou de rapport

d’expertise• Veille technologique (ingénieur expert) pour

des études de besoin, des études de marché• Veille concurrentielle• Recherche et développement (R&D)

Page 58: 4agc _biblio2_2010

VEILLE

GC/2010

2 types d’actions possibles• lettres d’information• listes de discussion• systèmes d’alerte par mail• fils RSS• blogs• forums• réseaux sociaux

Mais aussi …:• La participation à des congrès, colloques, conférences• La participation à des salons, expositions• Les échanges au sein de son réseau relationnel professionnel

PULL

PUSH

Page 59: 4agc _biblio2_2010

VEILLE

GC/2010

Les outils web 2.0 pour les chercheursPour répondre aux besoins de partage, conservation, échange, valorisation…

• Outils de capture, archivage et gestion de bibliographie

• Plateforme de partage :

– Partage de favoris ou références (social bookmarking) 2collab, Connotea, Diigo, Cite U Like, Refworks, Zotero…

– Partage de profils ou réseaux sociaux spécifiques à la communauté scientifique (Researcher ID, Pronetos, SciLink, Academia.edu…) ou professionnels (Linkedin, Viadeo…)

Wikis, blogs, plateforme de travail collaboratif…

Page 60: 4agc _biblio2_2010

CONCLUSION

GC/2010

Stratégie de recherche documentaire efficace

Méthode

Diversité des sources

Evaluation / Qualité / Fiabilité

Droit et déontologie