Du bonheur avec ça ?

la semaine des sciences humainesprésente

le bonheur sous la loupe des sciences humaines

25 au 29 mars 2019

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Du bonheur avec ça ?Vous connaissez les classiques « Un chausson avec ça ? » ou « Un billet de loto avec ça ? » qu’on vous offre lors d’un achat ? Parfois, on a l’impression que ça pourrait être « Du bonheur avec ça ? », comme si le bonheur était une marchandise qu’il faut se procurer à tout prix !

Le bonheur est-il effectivement devenu une marchandise sur laquelle il suffit de mettre un prix ? Existe-t-il une recette du bonheur, un dosage d’ingrédients qu’il faut intelligemment mélanger pour l’atteindre ?

Souhaiter être heureux est un objectif certes louable, mais encore faut-il exercer un regard critique face aux offres, aux recettes et aux injonctions qui nous sont proposées pour être heureux. Et c’est ce regard critique et multidimensionnel que vous propose la Semaine des Sciences humaines cette année.

Quels facteurs dans notre vie contribuent au bonheur ? Peut-on le mesurer, ce bonheur ? Notre société nous impose-t-elle le bonheur à presque tout prix ? La conception du bonheur varie-t-elle selon le territoire que nous habitons ou à travers l’histoire ? Ce ne sont là que quelques questions auxquelles la Semaine des Sciences humaines tentera de répondre en cette deuxième édition du 25 au 29 mars prochains.

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mot Des DirectionsChers participants et participantes

Le programme des sciences humaines est l’un des plus anciens programmes au Cégep de l’Outaouais. Il permet aux étudiantes et aux étudiants, depuis près de 50 ans, d’en apprendre davantage sur le monde qui les entoure, tant au plan collectif qu’individuel.

C’est avec grand plaisir que nous vous invitons à participer aux conférences et aux activités dans le cadre de la semaine des sciences humaines. La programmation offerte vous permettra de découvrir plus en profondeur un sujet qui vous touchera toute votre vie, le bonheur.

Ces 32 conférences, rien de moins, aborderont divers facettes et points de vue sur le bonheur. Ce sera un moment privilégié d’acquisition de connaissances et de réflexion sur la vie et sur le sens que l’on veut donner à celle-ci. De plus, le thème du bonheur prend un sens bien particulier en cette année de lancement de notre Plan stratégique 2019-2024 qui a comme objectif global de soutenir et de consolider une culture d’engagement et de collaboration, prélude certain pour un milieu de travail davantage propice au bonheur.

Le Cégep de l’Outaouais est donc fier de vous permettre de vivre l’expérience d’un colloque scientifique, grâce au travail et à l’expertise des enseignantes et des enseignants des sciences humaines.

Au plaisir de vous croiser lors d’une conférence et d’échanger avec vous.

Prêts pour la quête du bonheur ?

Frédéric Poulin Directeur général

Jacqueline LaCasse Directrice des études

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mot Dela fondation

La Fondation du Cégep de l’Outaouais est fière d’encourager les échanges de connaissances et l’ouverture vers le monde de ses étudiantes et de ses étudiants. C’est au moyen de la colla-boration et de l’engagement que se réalisent les plus beaux projets. Au nom de tous nos membres, nous souhaitons à toutes et tous une superbe semaine des Sciences humaines !

mot Du programme des sciences humaines

Explorer différentes facettes de l’activité humaine et cultiver l’ouverture d’esprit font partie intégrante de notre programme.

Cette année, la Semaine des Sciences humaines est entièrement consacrée au bonheur. Ce concept, anodin en apparence, sera scruté à la loupe de l’anthropologue, du géographe, de l’historien, de l’économiste, du sociologue, du politicologue, du psychologue, du gestionnaire et du statisticien. En effet, Le Petit Bonheur que chantait Félix Leclerc intéresse autant les artistes que les scientifiques. Mais si les premiers le chantent, les seconds l’analysent, le replacent dans différents contextes, le critiquent même.

Mon souhait le plus cher ? Plongez tête première dans cette mer de conférences, délectez-vous, avec bonheur, des toutes dernières recherches et réflexions à son sujet. Et cultivez le bonheur d’étudier en Sciences humaines !

Mélissa DessureaultDirectrice générale Fondation du Cégep de l’Outaouais

Geneviève DesjardinsResponsable de la coordination du programme de Sciences humaines

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9 : 00

Martin robitailleVivre en Outaouais : le bonheur de contribuer au développement de son milieu et de sa région

10 : 30

ouverturePierre bélanger La net-amorphose de l’information et du divertissement

13 : 00

Mélanie leDuc, grouPe De francisation Atelier – Café échange : le bonheur dans les diverses cultures

Jacqueline lacasseAtelier – Engagement, bonheur et réussite !

14 : 30

Katy tanguay et Diane le MayAtelier – Où est le bonheur : développer sa résilience suite à des épreuves. C’est possible

MohaMeD yaguine DraMeLa richesse et la croissance économique font-elles le bonheur ?

9 : 00

PatricK PilotteBonheur maudit : est-il permis d’être malheureux ?

réMi st-Pierre, aqDrAtelier – La bonheur pour tous

10 : 30 anDrée MartineauLe bonheur au travail : 3 trucs pour garder un moral d’acier en emploi

13 : 00

robert valleranDLe rôle de la passion dans le bonheur

stéPhane cariniLe bonheur et le sens de la vie : pourquoi le bonheur n’est paS le but de la vie

14 : 30

luc girouxRévolution et bonheur au XVIIIe siècle

chantal PaquetteBonheur céleste et bonheur terrestre au Moyen Âge

calenDrierL U N

25M A R S

M A R

26M A R S

gabrielle-roy

conférences ouvertes au public

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9 : 00

siMon beauDry et angélique DuguayAtelier – Des outils pour moins procrastiner : transformer sa motivation

sébastien larochelleIl est où le bonheur ?

11 : 00 Pierre côtéMaudit bonheur

12 : 30Marie-clauDe élie-MorinLa recherche du bonheur est-elle en train de nous rendre malheureux ?

14 : 00Martin hébertImaginer le bonheur : un exercice anthropologique

9 : 00angélique Duguay et Julie gosselinGuide de survie pour une session réussie

10 : 30

tatou ParisienLa résilience chez les enfants victimes d’abus sexuel

13 : 00Pierre haMelLe bonheur coûte combien le kilo ?

M E R

27M A R S

V E N

29M A R S

9 : 00

renée-Pier trottier-cyrLe petit bonheur des amitiés chez les enfants

MaxiMe PeDneauD-JobinL’asphalte ou la bibliothèque : il est où le bonheur ?

10 : 30

Keven bosaStatistiques et satisfaction de vie : enquête

christine girarD De la défaite à la victoire

13 : 00

Mathieu Perron-DufourLa conception du bonheur en science économique

Michèle Matteauau bonheur des mots…

14 : 30

Julien vervilleUne réforme du mode de scrutin peut-elle contribuer au bonheur du citoyen ?

J E U

28M A R S

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9 : 00 Julie PaquetteExiste-t-il un algorithme du bonheur ?

10 : 30tatou ParisienLa résilience chez les enfants victimes d’abus sexuel

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ouverture Martin robitailleVivre en Outaouais : le bonheur de contribuer au développement de son milieu et de sa région

13 : 30

Mélanie rousseau et nancy MurrayAtelier - Le dé magique : Définir le bonheur et la spontanéité par les arts

14 : 30

angélique Duguay et Julie gosselinAtelier - Guide de survie pour une session réussie

10 : 30

luc girouxRévolution et bonheur au XVIIIe siècle

chantal Paquette Bonheur céleste et bonheur terrestre au Moyen Âge

13 : 00

sonia DalyJe suis petit, je deviendrai grand : cinq choses à savoir pour rendre notre monde meilleur

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Martin hébertImaginer le bonheur : un exercice anthropologique

L U N

25M A R S

M A R

26M A R S

félix-leclerccalenDrier

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9 : 00

Marie-clauDe élie-MorinLa recherche du bonheur est-elle en train de nous rendre malheureux ?

anDré DuPré et Mélanie rousseau 2 hrsAtelier - Reconnaitre le bonheur

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françois chalifourTable ronde « le bonheur est dans la ville ? »

Pierre bélangerLa net-amorphose de l’information et du divertissement

12 : 30Mathieu Perron-DufourLa conception du bonheur en science économique

14 : 00

siMon beauDry et angélique DuguayAtelier – Des outils pour moins procrastiner : transformer sa motivation

Mélanie leDuc, grouPe De francisationAtelier – Café échange : le bonheur dans les diverses cultures

Jacqueline lacasseAtelier – Engagement, bonheur et réussite !

9 : 00

Pierre haMelLe bonheur coûte combien le kilo ?

stéPhane cariniLe bonheur et le sens de la vie : pourquoi le bonheur n’est paS le but de la vie

10 : 30

PatricK PilotteBonheur maudit : est-il permis d’être malheureux ?

Katy tanguay et Diane le MayAtelier – Où est le bonheur : développer sa résilience suite à des épreuves. C’est possible réMi st-Pierre, aqDratelier – La bientraitance de nos ainés

13 : 00

MohaMeD yaguine DraMeLa richesse et la croissance économique font-elles le bonheur ?

9 : 00sébastien larochelleIl est où le bonheur ?

10 : 30Julien vervilleUne réforme du mode de scrutin peut-elle contribuer au bonheur du citoyen ?

13 : 00

Jessica blanchetLe bonheur : une perspective clinique auprès de la clientèle atteinte de maladies neurologiques

renée-Pier trottier-cyrLe petit bonheur des amitiés chez les enfant

14 : 30Keven bosaStatistiques et satisfaction de vie : enquête

M E R

27M A R S

V E N

29M A R S

J E U

28M A R S

conférences ouvertes au public

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Descriptions Desconférences

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présente

Pierre côtéconsultant en communication, fondateur de l’indice relatif du bonheur

Maudit bonheur

Dans cette conférence, Pierre Côté, fondateur de l’Indice relatif de bonheur (IRB), y explique les raisons qui l’ont amené à créer cet indice et présente, de long en large, les différents facteurs qui le définissent.

En total contrôle de sa matière, il s’attarde aux principales attitudes et aux comportements qui favorisent le bonheur et présentent les quatre clés qui, selon lui, devraient se retrouver dans notre trousseau. Le tout est appuyé de nombreux tableaux, d’exemples et de graphiques.

Comme un chirurgien, Pierre Côté décortique le bonheur, au grand plaisir des personnes présentes et se livre généreusement aux nombreuses questions soulevées par l’auditoire.

extraits viDéos et information

conférences ouvertes au public

Pierre bélangerprofesseur au département de communication, université d’ottawa

La net-amorphose de l’information et du divertissement

On n’aura jamais autant écrit. Ni aussi fréquemment.  Texto, WhatsApp, Facebook, Instagram, Snapchat, etc. font désormais partie de notre quotidien et ont largement modifié notre rapport aussi bien à l’information qu’au divertissement. Appuyée d’exemples tirés du paysage numérique actuel, cette présentation examine les manières avec lesquelles les nouvelles technologies facilitent  l’accès, la production, la transmission et le partage des contenus qui ordonnent notre vie de tous les jours.

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Inspirée des idées développées dans La dictature du bonheur, cette conférence au ton intime et chaleureux est aussi riche en contenu sur les dernières recherches en psychologie du bonheur et pose la question un peu inattendue: est-ce que le bonheur est en train de nous rendre malheureux ?Les thèmes abordés dans la conférence : • L’image qu’on projette sur les réseaux sociaux

vs. la réalité • Le culte de la pensée positive et

ses effets pernicieux • Les mythes entourant le stress,

les émotions et la maladie • Ces gourous du bonheur qui veulent

votre bien – et votre argent • Le piège de la quête du bonheur• Ce qui fonctionne vraiment pour

une vie plus satisfaisante à long termePour visionner son documentaire: la Dictature Du bonheur (zone viDéo télé-Québec)

Marie-clauDe élie Morinauteure, journaliste indépendante et scénariste documentaire

La recherche du bonheur est-elle en train de nous rendre malheureux ? 

conférences ouvertes au public

Mathieu Perron-Dufourprofesseur au département des sciences sociales, uQo

La conception du bonheur en science économique

Je me propose de parler de la conception du bonheur en science économique, avec (1) quelques retours en arrière dans l’histoire de la pensée économique, (2) quelques commentaires sur l’influence que ces idées ont pu avoir sur les politiques publiques mises en place ou sur la vision qu’on a de certaines dynamiques économiques, notamment dans la sphère de la consommation, et (3) quelques pistes pour reconceptualiser le truc dans une vision qui se veut plus sociale et plus en harmonie avec l’environnement. Dans le processus, je parlerai de certaines initiatives récentes à cet effet et je tenterai également de montrer comment la posture méthodologique qu’on adopte, consciemment ou pas, peut modeler conception et résultats scientifiques de manière importante.

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siMon beauDry et angélique DuguayGestionnaire de l’infrastructure de recherche, école de psychologie, université d’ottawa

enseignante en psychologie, cégep de l’outaouais

Des outils pour moins procrastiner : transformer sa motivation

Atelier : 40 participants max.

Atelier interactif misant à en apprendre davantage sur la motivation scolaire, ses facteurs explicatifs ainsi que des moyens pour l’améliorer. Dans cet atelier, vous vous familiariserez avec la théorie de l’autodétermination dans un contexte ludique et dynamique! »

Jessica blanchethôpital neurologique de montréal

Le bonheur : une perspective clinique auprès de la clientèle atteinte de maladies neurologiques

Comment atteindre le bonheur et y rester ? Avant de pouvoir répondre à cette question, il est important de définir ce qu’est le bonheur et de le différencier d’autres termes. Vous comprendrez alors que le bonheur est un état qui ne change pas au jour le jour selon les événements. Ceux-ci peuvent néanmoins faire changer l’état d’une personne. Qu’est-ce qui rend ces événements capables d’enlever le bonheur de quelqu’un ?

En neurologie, nous avons découvert plusieurs causes du bonheur: le rôle de la sérotonine, la responsabilité du noyau accumbens, l’impact d’une atrophie fronto-temporale, par exemple. Nous comprenons pourtant très mal comment une situation peut faire baisser le taux de sérotonine. Lorsqu’on travaille en neurologie, on voit beaucoup de gens lourdement handicapés. Et pourtant, beaucoup d’entre eux se disent heureux. On croit, à tort, que plus une personne est affectée par sa maladie, moins bonne est sa qualité de vie. Sans qu’on ait pu établir de prédicteur de cette qualité de vie, comme cliniciens, on remarque un thème récurrent: la perception d’utilité que ressent une personne. Il apparait donc pertinent d’aborder ceci dans cette présentation.

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Keven bosastatistiques canada

Statistiques et satisfaction de vie: enquête

Le présentateur décrira son parcours mathématique et statistique et présentera son employeur, Statistique Canada.  Ensuite, il présentera le processus rigoureux d’enquête qui doit être suivi (établissement des objectifs de l’enquête, sélection de la base de sondage, détermination du plan de sondage, estimation et analyse).  

Le tout sera présenté en parallèle avec l’enquête sur la satisfaction de la vie (le bonheur) et il présentera les résultats principaux reliés au bonheur.

stéPhane carinienseignant de philosophie, cégep de l’outaouais

Le bonheur et le sens de la vie : pourquoi le bonheur n’est PAS le but de la vie 

Le bonheur est-il vraiment notre but ultime ? Est-ce que c’est l’objectif que nous cherchons tous à atteindre ? Avons-nous plus de chance d’être satisfait de notre vie en visant le bonheur que n’importe quoi d’autre ?

De l’antiquité grecque jusqu’à aujourd’hui, plusieurs grands philosophes ont répondu que le bonheur constitue effectivement le but ultime de tout être humain, car c’est ce qui rend la vie digne d’être vécue. Ça parait être une évidence, car en effet, qui voudrait être malheureux ? Mais, peut-être que le bonheur ne devrait pas avoir le statut privilégié que nous lui attribuons couramment ? Voilà la thèse centrale de cette conférence : que le bonheur n’est pas un but en soi, qu’il est tout au plus un ajout désirable aux buts que nous avons.

Le but de la vie consiste davantage à faire des choses qui donnent un sens à la vie, et à notre existence, et cela n’est pas atteint en visant le bonheur.

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françois chalifourenseignant du département des arts, cégep de l’outaouais

Table ronde « le bonheur est dans la ville ? »

La Galerie, en association avec le département des arts du Cégep de l’Outaouais, propose dans le cadre de la Semaine des sciences humaines 2019 une table ronde sur la question du bonheur dans la ville. Les intervenants poseront un regard critique sur la géographie, l’architecture, le design, l’urbanisme et les arts visuels, toutes disciplines qui seront sollicitées pour ce vaste questionnement lié à la présence et à l’organisation des diverses parties de nos environnements proches. Y aurait-il une incidence entre celles-ci et notre sentiment de bonheur ?

sonia Dalyconseillère soutien aux communautés, avenir d’enfants

Je suis petit, je deviendrai grand ! 5 choses à savoir pour rendre notre monde meilleur

Au Québec, plusieurs enjeux de société font souvent les manchettes : le décrochage scolaire, le suicide, les problèmes de santé mentale, la santé des aînés, etc. Nous savons tous qu’il est urgent d’agir sur ces problèmes, mais par où commencer ? La réponse à cette question pourrait grandement vous étonner ! 

Frederick Douglass a jadis écrit « qu’il vaut mieux construire des enfants forts que de réparer des hommes brisés ». La recherche en neurosciences des 30 dernières années lui donne entièrement raison. Si la petite enfance vous intéresse, si vous souhaitez avoir plus d’outils pour faire une différence, si vous êtes convaincu qu’il vaut mieux prévenir que guérir, alors cette conférence est pour vous !

www.agirtot.org

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MohaMeD yaguine DraMéenseignant d’économie au département de sciences sociales, cégep de l’outaouais

La richesse et la croissance économique font-ils le bonheur ?

Lorsque le revenu est faible, un surcroît de revenu tend à augmenter le bonheur, mais à partir d’un seuil qui varie selon les études, davantage de re-venu ne signifie plus ou quasiment plus davantage de bonheur. Des études économiques montrent que la relation entre bonheur et revenu n’est pas forcément linéaire. Sous certaines conditions, les personnes pauvres peuvent être en moyenne plus heureuses que les personnes riches.  

Les économistes ont donné deux explications à ces résultats : la comparaison sociale et l’adaptation.  

Je tenterai donc de répondre, à partir d’exemples simples dans la société, à la question suivante :  L’économie du bonheur peut-elle participer à améliorer notre bonheur ? À suivre...

angélique Duguay et Julie gosselin enseignantes en psychologie, cégep de l’outaouais programme « Je tiens la route »

Guide de survie pour une session réussie 

Dans cet atelier interactif, vous vous familiariserez avec des outils pour prendre soin de vous et de votre santé mentale ! De la méditation à l’activité physique en passant par la gestion du temps, les deux animatrices vous donneront des trucs pratiques ainsi que des stratégies afin que vous ayez une santé mentale optimale. Elles vous exposeront aussi les diverses ressources disponibles pour les étudiants du Cégep.

christine girarDmédaillée canadienne des Jo en haltérophilie

De la défaite à la victoire

La présentation de Christine se centrera principalement sur le récit de son livre De la défaite à la victoire, c’est à dire sur ce qu’elle a vécu entre 2008 et 2012. L’échec d’un podium,  la dépression, le surmenage caractériseront cette première année remplie de changements et de transitions. Les succès vécus à cette période ne seront pas suffisants pour aider Christine à sortir de cette période sombre.  

Alors comment y est-elle arrivée ? Comment peut-elle maintenant affirmer que les 6 mois avant les JO de Londres furent les plus heureux de sa carrière d’athlète ? Et comment ce bonheur fût affecté par les obstacles qu’elle a dû vivre la semaine avant sa compétition du 31 juillet 2012 ?  

La présentation se terminera en mettant en lumière le processus émotif qu’elle a vécu en 2016 lorsqu’elle a appris tous les changements de médailles. Si le bonheur est une habitude, Christine y a certainement travaillé des années et nous partagera sa recette l’ayant menée au succès. 

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luc girouxenseignant en histoire, cégep édouard-montpetit

Révolution et bonheur au XVIIIe siècle

Dans la Déclaration d’Indépendance des États-Unis d’Amérique (1776), Thomas Jefferson affirme que « la recherche du bonheur » fait partie des droits inaliénables qui doivent être garantis par tout gou-vernement. En 1793, durant la Révolution française, le député Saint-Just lance à ses collègues que « Le bonheur est une idée neuve en Europe. » Quel est ce bonheur dont, dans la foulée du mouvement philosophique du XVIIIe siècle, les révolutions font un devoir politique? Est-il individuel ou collectif? spirituel, sensuel, matériel? Quelles sont les conditions de sa réalisation? Qui peut en profiter réellement?

Luc Giroux enseigne l’histoire au Cégep Édouard-Montpetit. Il s’intéresse particulièrement à la philosophie des Lumières, à la Révolution française ainsi qu’à l’histoire des sciences.

Martin hébertprofesseur au département d’anthropologie, université laval

Imaginer le bonheur: un exercice anthropologique

La question du bonheur, du bien-vivre, de l’harmonie avec soi-même et avec le monde est une préoccupation humaine fondamentale. Je débuterai cette présentation par un tour d’horizon d’exemples ethnographiques illustrant une diversité de manières dont la question du « bonheur » a été abordée à travers l’histoire et dans différentes sociétés.

Ces imaginaires du bonheur sont souvent envisagés comme des idéaux à atteindre, comme des prescriptions nous disant qui nous devrions  être, ou comment nous devrions agir. Cependant, ils reflètent tout autant les manières dont nous concevons l’être humain tel qu’il est et tel qu’il agit ici et maintenant. En d’autres mots, je reprendrai ici l’idée d’Emmanuel Kant voulant que de parler du bonheur et de ses conditions, c’est faire une anthropologie. Cette expression ne fait pas référence à la « découverte » de vérités anthropologiques qui viendraient donner des fondements immuables et universels à notre vision du bonheur en décrétant que l’être humain est comme ceci ou comme cela. 

Elle nous invite plutôt à assumer l’acte de liberté et de créativité, mais aussi de négociation, qui intervient dans la redéfinition incessante de cet être humain que nous voudrions voir heureux.  Est-ce à dire que toutes les anthropologies et tous les projets de bonheur qu’elles impliquent se valent ? Est-ce à dire que tous les projets vers le bonheur sont réalisables, ou même souhai-tables ? Près de trois siècles après Kant, sa question résonne toujours : dans ma recherche du bonheur, « que m’est-il permis d’espérer ? ».    

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Pierre J. haMelprofesseur-chercheur à l’institut national de recherche scientifique (inrs)

Le bonheur coûte combien le kilo ?

Tout en concédant qu’il s’agit d’une notion subjective et relative, certains prétendent pouvoir mesurer le bonheur, ou à tout le moins, un indice de bonheur; cet indice partage les grandeurs et les misères méthodologiques de tous les indices  quantitatifs, qui sont tous construits essentielle-ment de la même façon, même ceux qui sont bien faits, que ce soit l’indice des prix à la consommation ou les indices boursiers. On peut utiliser ces indices pour ordonner des individus ou des villes et produire des palmarès : le palmarès des villes dont les habitants sont les plus heureux, les meilleures villes pour étudier ou les « plus meilleurs » pays du monde. De nombreux jeux de grande stratégie, comme les jeux de construction de ville, mettent en application diverses recettes de bonheur où on amène le joueur à trouver le bon dosage des ingrédients : quels éléments contri-buant au bonheur faut-il incorporer au mélange  et dans quelles proportions ? Les technocrates soviétiques jouaient au même jeu en planifiant des villes (qu’ils souhaitaient) parfaites et nos urba-nistes carburent souvent aux mêmes fantasmes.  Il est pratiquement impossible de ne pas tomber dans les mêmes travers méthodologiques; il est donc important d’identifier les sources d’erreurs les plus communes pour développer son sens critique et cesser de gober n’importe quoi. 

Jacqueline lacassedirectrice des études , cégep de l’outaouais

Engagement, bonheur et réussite !

Atelier : 45 participants max.

Dans le cadre de cet atelier interactif, le Cégep souhaite entendre la voix des étudiantes et étudiants quant à la mise en oeuvre de son Plan d’aide à l’apprentissage et à la réussite (PAAR)  2019-2024. Venez donc échanger entre collègues afin de recommander à la Direction des pistes d’actions prioritaires visant à soutenir et consolider une culture d’engagement et de collaboration. 

Comment favoriser votre sentiment d’appartenance  au Cégep  ? Quelle est votre définition d’un milieu de vie dynamique, bienveillant et accueillant ?  Que doit-on faire pour multiplier les occasions de créer et renforcer les liens  ? Quelles sont les conditions nécessaires pour soutenir votre  intégration au collégial ? Comment créer une communauté véritablement inclusive qui reconnaît et célèbre la diversité ? Comment mieux répondre à vos besoins et favoriser une santé mentale optimale  ? Qu’est-ce qui favorise  le développement de l’estime de soi ? Comment peut-on vous aider à définir votre projet de sens et à devenir des citoyens engagés et autonomes ?  Quel est le meilleur moyen pour soutenir une culture de développement de talents et de dépas-sement ? Comment prendre conscience des enjeux de la société et s’engager dans sa communauté ?  

 Bref, que peut faire le Cégep pour contribuer à votre engagement, bonheur et réussite ? Vous êtes les experts de votre réalité et le Cégep nécessite votre avis pour offrir des activités et services répondant à vos besoins.

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sébastien larochelleprofesseur du département de psychoéducation et de psychologie, uQo

Il est où le bonheur ?

Il est où le bonheur ? Comme le dit si bien la chan-son de Christophe Maé, telle est la question que tout le monde se pose. Mais pour le trouver, faut-il d’abord savoir ce que l’on cherche ! L’objectif de la présentation est de définir le bonheur et d’iden-tifier les capacités à développer pour le trouver. Des données de recherche, obtenues chez plus de 3000 cégépiens, sont présentées afin de soutenir l’argumentaire avancé.

Mélanie leDucGroupe de francisation, cégep de l’outaouais

Café échange: le bonheur  dans diverses cultures

Atelier : 40 participants max.

Venez discuter de la conception du bonheur avec des étudiantes et étudiants en francisation venus de tous les coins du monde. Notre culture, nos expériences multiples et diverses teintent-elles notre conception du bonheur ?

anDrée Martineauenseignante en administration, cégep de l’outaouais

Le bonheur au travail - 3 trucs pour garder un moral d’acier en emploi

avec les demandes clients variables, les attentes des employeurs de plus en plus élevées et les requêtes des collègues demandées pour hier, ce n’est pas toujours facile de maintenir son niveau d’énergie stable. Dans cette conférence, vous découvrirez 3 façons de garder le sourire peu importe les événements que la vie professionnelle vous présentera et repartirez avec un choix de 3 mantras que vous pourrez pratiquer dans votre quotidien afin de muscler votre intelligence émotionnelle.

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Michèle Matteauécrivaine, journaliste et pédagogue

Au bonheur des mots…  

Atelier : 40 participants max.

BONHEUR : un mot qui nous galvanise et que nous galvaudons allègrement. Nos vies sont axées sur lui, mais nous peinons à le définir. Il doit nous  combler, mais la recherche effrénée que nous lui vouons nous désespère et nous obsède au point de nous faire plonger dans son contraire : le MALHEUR.  

On dit des gens heureux qu’ils n’ont pas d’histoire.  Mais doit-on le croire ?  Tous les arts dont le matériau premier est le MOT se nourrissent d’émo-tions et d’idées et placent le bonheur et son reflet en creux – le malheur – au cœur même de leurs histoires. Pour densifier son œuvre, l’artiste est-il condamné à être malheureux  ? Pour sonner vrais ses mots doivent-ils naître dans les larmes et le désespoir ? Devient-il plus humain si sa vie personnelle baigne dans le drame ? Serait-ce  uniquement dans le malheur que nous saisissons le sens du bonheur ? Et de quoi est donc tissé ce bonheur qui nous rend si… malheureux ? 

Julie Paquetteprofesseure en éthique, justice et service public, université st-paul

Existe-t-il un algorithme pour le bonheur ? 

Dans le cadre de cette conférence, nous nous demanderons s’il est possible, voire souhaitable, d’user d’un dispositif prédictif qui soit à même de nous permettre de toujours choisir la meilleure option pour nous. Choisir ce qu’il y a de mieux, n’est-ce pas le meilleur moyen d’atteindre le bonheur et de se maintenir dans cet état ? Dans cette conférence, nous répondrons aux questions suivantes : qu’est-ce qu’un algorithme ? Qui décide de la meilleure option pour moi ? Que devient alors l’adage : on apprend de ses erreurs ? Qu’arrive-t-il si on souhaite ne pas suivre la suggestion formulée par cet algorithme ? Mon bonheur est-il possible sans le bonheur des autres ? La chose est évidemment hypothétique, il n’existe pas (pas encore diront certains) d’algorithme pour le bonheur. Mais l’exercice de pensée nous permettra à tout le moins de soulever certaines questions philosophiques, sociales et politiques, d’une actualité déconcertante.

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chantal Paquetteenseignante d’histoire, cégep andré-laurendeau

Bonheur céleste et bonheur terrestre au Moyen âge 

Les documents de l’Occident médiéval qui traitent du bonheur, issus essentiellement de l’Église, nous livrent une vision d’un bonheur spirituel tourné vers le salut de l’âme et mis en opposition au bonheur terrestre. Ce bonheur sur terre existe pourtant et nous tenterons de l’illustrer à travers des sources documentaires autres que religieuses. Nous  constaterons ainsi l’existence d’une vie familiale  heureuse et d’une affectivité parentale et filiale.  Nous nous interrogerons sur le couple et son  « bonheur conjugal », dans un contexte où le choix du partenaire est rarement libre. Nous verrons qu’une société où les normes sexuelles sont fort sévères ne peut empêcher toute forme de plaisir charnel, tout en vérifiant si la littérature de l’amour courtois offre une image réaliste du  bonheur passionnel.

tatou Parisientravailleuse sociale et coordonnatrice clinique au centre d’intervention en abus sexuels pour la famille (ciasF)

La résilience des enfants victimes d’abus sexuel

La conférence proposée vous permettra d’acquérir des connaissances théoriques et pra-tiques pour faciliter le rétablissement et la reprise de fonctionnement chez les enfants âgés entre 6 et 12 ans. La présentation aborde ce qu’est le CIASF, le phénomène d’abus sexuel, le phénomène de la résilience et ses théories, et certaines techniques et outils d’intervention issus de cette théorie et appliqués dans les programmes du CIASF.

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PatricK Pilotteenseignant de sociologie, cégep de l’outaouais

Bonheur maudit: est-il permis  d’être malheureux  ?

Qu’est-ce que le bonheur ? Le bonheur serait-il un sentiment ? Dans ce cas, serait-il purement psychologique et relèverait-il des choix et aptitudes personnelles ? La résilience serait-elle suffisante pour assurer le bonheur ? Le malheur serait-il une anormalité, peut-être même une pathologie, alors que les savoirs psychologiques et les pratiques thérapeutiques offriraient les ressources pour acquérir les capacités d’être heureux ? Sous cet angle, le bonheur serait-il une obligation structurant la vie des individus ? Le bonheur serait-il une conséquence des conditions de vie ? Dans ce cas, serait-il purement sociologique et relèverait-il des intérêts et structures collectives ?

L’accès aux ressources adéquates serait-il suffisant pour assurer le bonheur ? Le malheur serait-il une discrimination, peut-être même une anomie, alors que la sociologie et les pratiques de changements du social offriraient les mécanismes pour insti-tutionnaliser les conditions d’être heureux ? Sous cet angle, le bonheur serait-il un droit structurant les orientations des actions collectives ? Et si la complexité des sociétés contemporaines demandait à la compréhension scientifique d’élargir ses visions du bonheur pour les intégrer ?

Il resterait encore cette question : quelles places les sociétés contemporaines réservent-elles aux individus n’ayant ni les aptitudes psychologiques, ni les conditions sociales pour le bonheur ? En somme, est-il acceptable d’être malheureux ? 

MaxiMe PeDneauD-Jobinmaire de Gatineau

L’asphalte ou la bibliothèque :  il est où le bonheur ? 

Moins de nids de poule, plus de bonheur ?  Alors qu’on a longtemps pensé que la mission des villes était simplement de gérer les services traditionnels comme l’asphalte, le déneigement et la gestion des matières résiduelles, on est aussi de plus en plus conscients du rôle central que les villes jouent dans plusieurs secteurs d’activités. Sports et loisirs, développement social, lutte à la pauvreté, culture et identité, aménagement du territoire : les outils sont nombreux pour faire de nos quartiers plus que juste une somme d’individus qui vivent les uns à côtés des autres, mais une vraie communauté qui se parle, qui s’entraide et qui s’épanouit.  

M. Pedneaud-Jobin propose une discussion autour du rôle des villes au 21e siècle, de son amour pour Buckingham, Gatineau et l’Outaouais, et des défis de l’engagement politique en 2019. 

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Martin robitailleprofesseur du département des sciences sociales, uQo

Vivre en Outaouais: le bonheur de contribuer au développement de son milieu et de sa région

Une des premières questions que l’on nous pose en voyageant est : d’où venez-vous ? Notre réponse dépend souvent de la force de l’identité qui nous rattache à notre milieu. Osez répondre à un Français, un Américain ou même un Québécois que vous venez de Gatineau, cela vous expose à des interrogations de leur part pour lesquelles il existe des arguments forts qui nous rendent fiers d’appartenir à notre ville ou à notre région. Encore faut-il les connaitre ? Ma conférence interactive aura donc comme objectif principal de faire émerger cette identité d’appartenance à votre milieu de vie en vous faisant mieux connaitre les particularités de l’Outaouais et ses enjeux de développement, afin que vous puissiez contribuer à son essor.

Mélanie rousseau et anDré DuPréenseignants en technique d’éducation à l’enfance, cégep de l’outaouais

Reconnaitre le bonheur

Atelier : 20 participants max.

Le titre de l’atelier est en fait l’un des éléments essentiels du programme des CPE Accueillir la petite enfance. L’atelier permettra aux participantEs d’observer des enfants dans deux contextes propres au programme Techniques d’éducation à l’enfance et de réfléchir sur l’expression du bonheur de chaque enfant.

Il se compose de 2 visites: une visite en salle d’observation du CPE Petit Félix et une visite en salle d’observation du département de technique d’éducation à l’enfance. Finalement, une discussion sur le thème de « Qu’est-ce qui est à l’origine du bonheur des enfants ? » suivra.

Mélanie rouseau et nancy Murrayenseignantes en éducation à l’enfance, cégep de l’outaouais

Le dé magique : Définir le bonheur  et la spontanéité par les arts

Atelier : 20 participants max.

avec l’aide de la technique de la gravure, cet atelier ludique permettra aux étudiantes et étudiants de créer un personnage plein de charme et d’humour. Ils découvriront l’aspect joyeux et gratifiant que les arts peuvent apporter dans leur quotidien.

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réMi st-Pierreassociation québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées (aQdr)

Le bonheur pour tous

Le bonheur a plusieurs connotations différentes, il peut être associé à la chance, à une émotion ou à un état d’esprit positif. Dans la présentation, il sera principalement question du bonheur chez les aînés. Nous traiterons des éléments et des comportements qui nuisent au bonheur de ceux-ci ainsi que des attitudes bientraitantes à adopter pour favoriser le bonheur. 

renée-Pier trottier-cyrFinissante à la maitrise en psychoéducation, uQo

Le petit bonheur des amitiés chez les enfants

Deux projets de recherche (Côté, 2014; Gervais, 2016) se sont intéressés à comprendre la façon dont les enfants, issus de familles lesboparentales  ou encore nouvellement arrivées au pays, se représentent leur parenté, leurs liens biologiques et sociaux. En rencontrant une cinquantaine d’enfants (4-15 ans), ils nous ont surpris en évoquant l’amitié comme un élément marquant de leur vie. Ils nous ont bien expliqué, à leur façon et dans leur vocabulaire, comment nous, les adultes, on ne comprend rien au mot « ami » chez les enfants. C’est donc tout un monde à découvrir ! 

Katy tanguay et Diane leMayagente de liaison autochtone, cégep de l’outaouais

enseignante en histoire, cégep de l’outaouais

Où est le bonheur ? : Développer  la résilience suite à des épreuves... c’est possible!

Cet atelier s’adresse aux étudiants intéressés par la culture autochtone et prêts à vivre une expé-rience qui touche simultanément le cœur et l’esprit. L’activité vous transportera au cœur de la réalité des Premiers Peuples tout en suscitant de l’espoir, tant au niveau sociétal que personnel. L’activité favorise la connaissance et la compréhension de notre histoire commune tout en donnant des stratégies pour un mieux-être.

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robert J. valleranDprofesseur au département de psychologie, uQam

Le rôle de la passion dans le bonheur.

Qu’est-ce que le bonheur ? Quels sont certains des facteurs qui peuvent contribuer à atteindre un tel état ? Le but de cette conférence est de présenter une perspective multidimensionnelle du bonheur et démontrer le rôle fondamental de la passion envers une activité importante dans l’atteinte de cet état de fonctionnement optimal. Dans ce cadre, je présente le Modèle dualiste de la passion (Vallerand, 2010, 2015; Vallerand et al., 2003) et le concept de Fonctionnement optimal en société (Vallerand, 2013). De plus, j’illustre les effets de la passion dans l’atteinte du Fonctionnement optimal en société avec l’aide de diverses recherches démontrant le rôle adaptatif d’un type de passion (harmonieuse) et celui moins adaptatif, et même parfois mésadaptatif, d’un autre type de passion (obsessive). Enfin, certaines pistes d’application sont offertes.  

Julien vervilleenseignant en politique, cégep de l’outaouais

Une réforme du mode de scrutin peut-elle contribuer au bonheur du citoyen ?

Le débat sur la réforme du mode de scrutin est relancé au Québec. Le premier ministre François Legault s’est engagé à réformer le scrutin majori-taire uninominal à un tour (SMUT) et à déposer un projet de loi dans la première année gouvernemen-tale (soit d’ici octobre 2019). Malgré tout, rien n’est joué dans ce dossier. Des occasions de réformes électorales se sont présentées au cours de l’histoire récente du Québec et cette conférence veut expliquer pourquoi nos gouvernements n’ont pas agi à ce jour sur la question. Nous aborderons aussi la nouvelle formule de mode de scrutin envisagée. Enfin, nous verrons pourquoi une réforme du mode scrutin peut contribuer à votre bonheur comme citoyen.

Julien Verville est enseignant en science politique au cégep de l’Outaouais. Ses recherches universi-taires ont porté sur l’absence de réforme du mode de scrutin au Québec expliquée par une approche néo-institutionnaliste.

notices biographiQues

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siMon beauDryDr Beaudry est un diplômé de la Faculté des sciences sociales de l’Université d’Ottawa et est titulaire d’un doctorat en psychologie sociale expérimentale. Ses études doctorales portaient sur l’examen de la motivation humaine dans le contexte des relations, la saine alimentation et le comportement pro-environnemental. Il travaille actuellement sur des projets de recherche explorant la motivation en classe, l’utilisation de la technologie dans l’éducation et de la communication de la santé promotionnelle.

Pierre c. bélangerPierre C. Bélanger, Ph.D. est professeur titulaire au département de Communication de l’Université d’Ottawa. Ses domaines de spécialisation sont les industries des médias et des télécommuni-cations canadiennes ainsi que la sociologie des innovations technologiques. Parallèlement à sa carrière académique, il a travaillé à la direction de la Société Radio-Canada à titre de Directeur des nouveaux médias et a été associé au groupe Astral Radio où il a agi à titre de conseiller principal au développement des technologies émergentes. Il commente et analyse depuis plusieurs années, sur différentes tribunes publiques, les politiques et les développements en matière de radiodiffusion canadienne ainsi que dans le secteur des nouvelles technologies d’information et de communication. Il est récipiendaire du prix d’Excellence en éducation de l’Université d’Ottawa attribué pour la qualité de son enseignement et de son programme de recherche. Il est également diplômé d’honneur de l’Université de Montréal en reconnaissance de sa contribution à l’avancement de la société. 

Jessica blanchetJessica M. Blanchet est infirmière à l’hôpital neurologique de Montréal depuis 2010. Elle a complété son baccalauréat international en science santé au Champlain Regional College en 2006 et son Baccalauréat ès science à la faculté des sciences infirmières à l’Université de Montréal en 2009. Elle a ensuite travaillé comme infirmière clinicienne et assistante infirmière chef en chirurgie générale à l’hôpital de Verdun. En 2012, elle obtient un DESS en neuroscience de l’Université McGill ainsi que sa certification en neuroscience de l’Association des infirmières et infirmiers du Canada (AIIC). Elle a de plus été enseignante en sciences infirmières au Champlain Regional College de 2014 à 2017. Elle donne également des cours de préparation à la certification en neurosciences de l’AIIC.

Keven bosaKevin Bosa est diplômé d’un baccalauréat en mathématiques à l’Université de Sherbrooke. Il a également complété une maîtrise en statis-tiques à la même université en 2007. Il travaille à Statistique Canada depuis 2007. Actuellement, il est responsable de la méthodologie de l’Enquête nationale sur les voyages et de plusieurs travaux de recherche visant à utiliser des données alternatives aux données d’enquêtes pour produire des statistiques. Il a eu l’opportunité de travailler sur le remaniement de plusieurs enquêtes économiques et sur des projets utilisant les données de taxes et de collaborer à deux articles scientifiques dont un fut publié en décembre dernier dans la revue Techniques d’enquête.

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stéPhane cariniStéphane Carini détient un BAC en philosophie de l’université d’Ottawa et une Maîtrise de l’universi-té Queen’s. Il enseigne la philosophie au cégep de l’Outaouais depuis 2009. Il s’intéresse principale-ment aux questions éthiques et politiques et en particulier à tout ce qui concerne la liberté, l’art de vivre et la vertu.

Pierre côtéDiplômé en communication de l’Université Laval et consultant d’expérience, Pierre Côté travaille depuis plus de 30 ans dans le domaine du marketing et des communications. C’est en 1980, avec le Groupe Cossette communication qu’il débute sa carrière pour ensuite fonder en 1984 sa propre agence de publicité, Olive communication. Il y cumule les fonctions de président et directeur général jusqu’en 1994, année où il décide de délaisser le milieu des agences pour se consacrer essentiellement à la consultation marketing et communication. Au cours de sa carrière, Pierre Côté s’est intéressé dans de nombreux dossiers touchant différents domaines, ce qui lui confère une vision éclatée des problé-matiques et des enjeux auxquels il est confronté. Il siège actuellement sur le conseil d’administration du Fond d’emprunt Québec.

sonia DalyMme Daly est conseillère chez Avenir d’enfants et candidate au Ph.D. en psychologie communautaire à l’UQAM. Depuis plus de 10 ans, elle accompagne des professionnels dans leurs pratiques d’intervention; elle vulgarise des contenus scientifiques pour le grand public et conseille des décideurs politiques au sujet de la famille et de la petite enfance. Elle est aussi blogueuse. Son doctorat porte sur les nouvelles façons d’inclure les familles de jeunes enfants dans la vie municipale. 

MohaMeD yaguine DraMeMohamed Yaguine Drame est enseignant d’écono-mie au Cégep de l’Outaouais. Il détient une maîtrise en évaluation des programmes de l’École nationale d’administration publique et une maîtrise en économie/monnaie-finances de l’Université de Créteil à Paris.

angélique DuguayAngélique Duguay est psychoéducatrice et enseignante en psychologie et en éducation à l’enfance au Cégep de l’Outaouais. En plus d’enseigner, elle coordonne les programmes Je tiens la route, Sentinelles et Défi-Santé. Elle se spécialise dans le développement du bébé, l’enfant et de l’adolescent ainsi qu’en santé mentale.

anDré DuPré André est enseignant au programme de Technique d’éducation à l’enfance du Cégep de l’Outaouais.

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Marie-clauDe élie-MorinMarie-Claude Élie-Morin est autrice, journaliste indépendante et scénariste documentaire. Elle a publié La dictature du bonheur en 2015, un essai personnel doublé d’une enquête sur l’industrie de la croissance personnelle et le culte de la pensée positive. Elle en a tiré un documentaire sur le même sujet pour Télé-Québec en 2016. Elle se passionne particulièrement pour tous les sujets en lien avec la psychologie et les tendances de société. Depuis 2018, elle tient le blogue Namaste Whatever (na-mastewhatever.com).  

christine girarD Christine Girard est devenue la première médaillée canadienne en haltérophilie féminine aux Jeux Olympiques de 2012 à Londres en y recevant une médaille de bronze. En 2008, elle avait terminé au pied du podium, en 4ème place. Or, suite à un scandale de dopage, , elle recevait, au mois de décembre dernier, la médaille d’or pour les jeux olympiques de 2012 et la médaille de bronze pour les jeux de 2008.

Dans son livre De la défaite à la victoire, Christine nous raconte les années difficiles de 2008 à 2012 qui lui auront permis d’atteindre des sommets inégalés dans sa discipline.

Détentrice d’un baccalauréat en enseignement des mathématiques, elle fait un retour sur les bancs d’école dans l’espoir de devenir ergothérapeute. Mère de trois enfants et entraineure, elle saisit aussi toutes les occasions qui se présentent pour aider à la lutte internationale pour un sport sans dopage.

luc girouxLuc Giroux enseigne l’histoire au Cégep Édouard-Montpetit. Il s’intéresse particulièrement à la philosophie des Lumières, à la Révolution française ainsi qu’à l’histoire des sciences.

Julie gosselinDiplômée en psychologie et en éducation collégiale, Julie Gosselin est enseignante au département de psychologie et spécialiste de contenu en éducation à l’enfance et en éducation spécialisée au Cégep de l’Outaouais. En plus d’enseigner, elle coordonne les programmes Je tiens la route, Sentinelles et Défi-Santé. Ses années d’expérience comme athlète et entraineure en gymnastique l’ont amenée à se pencher sur le stress et ses effets.

Pierre J. haMel Pierre J. Hamel est professeur-chercheur à l’Institut national de la recherche scientifique   (INRS-Urbanisation, culture et société), depuis 1986.  Il a une formation de premier cycle en administration (HEC-Montréal), une maîtrise en sociologie (Université de Montréal) et un doctorat en économie  et sociologie (LEST-CNRS et Université de la Méditerranée — Aix-Marseille II).  Travaillant pour le compte de syndicats, d’associations, d’entreprises,  de municipalités, de ministères ou encore dans le cadre de recherches subvention-nées, il s’intéresse de diverses façons aux finances publiques locales, tant à la gestion des services publics locaux  (gestion des services d’eaux, entre autres choses) qu’à la fiscalité locale;  il travaille no-tamment sur l’impôt foncier et la tarification  (comp-teurs d’eau, gratuité des services publics),  de même que sur différentes formes de partenariats entre les secteurs public et privé,  et cela, depuis déjà de très nombreuses années. Dans un tout autre ordre d’idées, il développe, depuis de nombreuses années,  une critique méthodologique de diverses stratégies de quantification (de la qualité de vie ou du bonheur) qui prennent souvent la forme de palmarès.

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Martin hébertMartin Hébert est professeur titulaire au département d’anthropologie de l’Université Laval. Ses terrains ethnographiques au Mexique, au Guatemala et au Canada portent principalement sur la question des imaginaires sociaux. En s’intéressant aux diverses manières dont les gens se racontent leur propre société, tant pour en exposer les problèmes que pour formuler leurs projets, aspirations et utopies qui visent à la transformer, il examine l’imbrication étroite entre les productions imaginaires, l’action sociopolitique et les « mondes » qu’elles construisent et reproduisent. Il est membre du Groupe de recherches sur les imaginaires politiques en amérique latine (GRIPAL) et du centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones (CIÉRA).

sébastien larochelleDétenteur d’un doctorat en psychologie clinique de l’Université Laval, Sébastien Larochelle  occupe depuis plus de 10 ans les fonctions de professeur à l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Il y dirige des recherches sur la santé mentale et la psychothérapie dont les résultats ont été publiés dans des revues internationales. Depuis peu, le Pr Larochelle réalise des recherches sur le bonheur et les conditions qui y sont indispensables.  Psychothérapeute agréé par Kernberg, psychanalyste de renommée mondiale et directeur du Personality  Disorders Institute du Weill Medical College  de la Cornell University à New York, le Pr Larochelle  pratique la psychothérapie auprès d’adultes qui souhaitent devenir plus heureux. Enfin, le Pr Larochelle poursuit constamment sa réflexion à propos de la santé mentale et partage ses connais-sances en participant activement à la formation clinique d’étudiants au baccalauréat et au doctorat en psychologie à l’UQO.  

Jacqueline lacasseJacqueline LaCasse, B. Sc., B. Ed. et M. Ed., est directrice des études et responsable des pro-grammes d’études, de la vie étudiante et du plan d’aide à l’apprentissage et à la réussite. Depuis ses débuts au Cégep comme enseignante de physique, la qualité de l’expérience étudiante et la réussite éducative sont au cœur de ses préoccupations et décisions.

Diane le MayDiane Le May est enseignante d’histoire au département de géographie-histoire du Cégep de l’Outaouais.

anDrée MartineauAndrée Martineau est enseignante au Cégep de l’Outaouais en techniques administratives et coach certifiée en gestion de carrière.  Membre de l’Association internationale des professionnels en carrière (AIPC), Andrée accompagne, soutien et inspire les employés depuis plus de 15 ans dans leur évolution personnelle et profession-nelle.  Chroniqueuse à la Revue Cheminement, autrice de l’infolettre Rayon de Soleil et de la Série Coaching Virtuel, elle explore le marché du travail et développe des stratégies pour s’épanouir au travail et y trouver le bonheur. 

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Michèle MatteauMichèle Matteau elle a mené de front plusieurs carrières : pédagogue, journaliste, recherchiste pour la télévision, scénariste pour des films documen-taires, rédactrice pour des institutions culturelles et éducatives. Mais elle a toujours placé l’écriture au centre de sa vie.  

Romancière, dramaturge et poète, ses œuvres lui ont mérité plusieurs prix littéraires. Elle a pu-blié jusqu’ici sept romans, deux recueils de poésie, un recueil de nouvelles et une pièce de théâtre. Un roman pour les 14-18 ans est en production et deux autres œuvres (roman et recueil de poésie) sont en écriture.  

nancy Murray Nancy Murray est enseignante en Technique d’éducation à l’enfance au Cégep de l’Outaouais.

chantal Paquette Chantal Paquette a fait une maîtrise en histoire médiévale et est professeure d’histoire au Cégep André-Laurendeau.

Julie PaquetteJulie Paquette est docteure en Science politique. Après son doctorat complété à l’Université d’Ottawa, elle a enseigné dans plusieurs institutions collé-giales et universitaires avant d’obtenir en 2016 le poste de professeure adjointe à l’École d’éthique, de justice sociale et de service public de l’Université Saint-Paul à Ottawa. Elle est, depuis 2018, co-directrice du Centre de recherche en éthique publique et gouvernance (CRÉPuG). Ses recherches portent d’une part sur les nouvelles technologies et les nouvelles formes de fascisme et d’autre part sur l’art, le scandale, la liberté d’expression et le politique. 

tatou ParisienTatou Parisien est travailleuse sociale depuis 2008 et psychothérapeute depuis 2011.  À l’emploi du Centre d’intervention en abus sexuel pour la famille (Ciasf) depuis 7 ans, elle a été en charge des services thérapeutiques pour les enfants victimes d’abus sexuel âgés entre 6 et 18 ans et des services thérapeutiques pour les enfants présentant des comportements sexuels intrusifs âgés entre 7 et 12 ans.  Depuis mai 2018, à titre de coordonnatrice clinique, elle est responsable de l’ensemble des services cliniques thérapeutiques offerts par le Ciasf.

MaxiMe PeDneauD-JobinNé en 1968 à Buckingham, Maxime Pedneaud-Jobin est engagé depuis longtemps au sein de sa communauté. Le succès auquel il est le plus fier d’avoir participé est la relance de la Laiterie de l’Outaouais, un projet où toute la région s’est mobilisée. 

Membre fondateur de Projet Gatineau, un groupe de réflexion sur la politique municipale, il est également fondateur et chef d’action Gatineau, le premier parti politique de la nouvelle ville de Gatineau. Avant de faire le choix de la politique, il a œuvré pendant cinq ans comme adjoint au PDG de l’Agence de la santé et des services sociaux de l’Outaouais. 

Il est détenteur d’une maîtrise en développement régional à l’Université du Québec en Outaouais, maîtrise dans laquelle il a étudié la relation entre l’Outaouais et Ottawa. Il s’est aussi fait connaître comme commentateur de l’actualité régionale, œuvrant dans de nombreux médias pendant plu-sieurs années. Il est marié et père de trois enfants.

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Mathieu Perron-DufourJe suis un économiste dont les recherches s’ins-crivent dans une tradition d’économie politique. Mes sujets d’études sont variés, allant des politiques publiques québécoises et canadiennes, comme le salaire minimum, aux crises financières internationales, en passant par les questions de productivité et de rémunération des travailleurs. En ce moment, j’ai deux projets de recherche financés. Le premier porte sur l’étude du discours entourant la rémunération des travailleurs dans les médias de masse et l’autre sur les impacts de l’ALÉNA depuis sa mise en œuvre. En parallèle, je passe aussi beaucoup de temps à me questionner sur la meilleure manière d’enseigner la science écono-mique comme science sociale, dans une perspective ouverte et pluraliste.

PatricK PilottePatrick C. Pilotte est un sociologue. Préoccupé par la misère humaine, il partage sa vie socio-logique entre ses interventions de clinicien sociologique en développement communautaire, ses créations de chercheur en sciences sociales au-près des familles vulnérables et ses transmissions d’enseignant de sociologie au Cégep de l’Outaouais.

Martin robitailleMartin Robitaille est professeur titulaire au département de sciences sociales de l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Il détient un doctorat en sociologie de l’Université de Montréal. La sociologie du travail, le développement territorial et la méthodologie constituent ses principaux champs d’études. Il est associé au Centre de recherche en développement territorial (CRDT) et au Réseau québécois en innovation sociale (RQIS).

Mélanie rousseau Mélanie est enseignante au programme de Technique d’éducation à l’enfance du Cégep de l’Outaouais.

réMi st-PierreRémi St-Pierre est chargé de projet à l’AQDR Outaouais pour la maltraitance et la bientraitance faites envers les aînés, étudiant au baccalauréat en Sciences humaines, avec spécialisation en gérontologie sociale. 

L’association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées (AQDR) de l’Outaouais est un organisme à but non lucratif qui compte déjà 40 années d’existence. Il s’investit dans la défense de droits des aînés par l’éducation populaire, la participation citoyenne, la mobilisation sociale, la représentation des aînés auprès des élus et dans les médias et, finalement, l’accompagnement vers diverses ressources.  

renée-Pier trottier-cyrÉtudiante à la maîtrise en psychoéducation à l’Université du Québec en Outaouais (UQO). Elle occupe les fonctions de coordonnatrice de recherche depuis maintenant plusieurs années où elle a développé, grâce aux opportunités des chercheures principales, de solides connaissances dans le champ de la recherche auprès des enfants.

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Katy tanguay Katy Tanguay est Anishnabe (Algonquine), de la Nation Abitibiwinni de Pikogan. Issue d’une mère Algon-Cri et d’un père non-autochtone, elle a appris à naviguer dans deux cultures très différentes. Travailleuse sociale et agente de liaison autochtone, son parcours prend une autre voie lorsqu’elle réalise de l’impact que les pensionnats ont eu sur sa vie. Ses présentations sont donc teintées d’expériences personnelles et professionnelles. Madame Tanguay est présentement agente de liaison autochtone au Cégep de l’Outaouais.

robert valleranD Le professeur Vallerand est professeur Titulaire en Psychologie à l’Université du Québec à Montréal où il détient une Chaire de Recherche du Canada de niveau 1 sur les processus motivationnels et le fonctionnement optimal. Il y est également Directeur du Laboratoire de recherche sur le comportement social. Il a obtenu le doctorat de l’Université de Montréal et réalisé des études postdoctorales à l’Université de Waterloo (Ontario). Il a également été Professeur à l’Université de Guelph et à l’Université McGill où il a été aussi titulaire d’une Chaire de Recherche du Canada de niveau 1.

Le professeur Vallerand est reconnu comme l’un des chercheurs les plus influents dans le secteur des processus motivationnels où il a développé des théories sur la motivation intrinsèque et extrin-sèque ainsi que sur la passion envers des activités. Il a publié ou édité 7 livres et plus de 300 articles et chapitres scientifiques.

Julien vervilleJulien Verville est enseignant en science politique au cégep de l’Outaouais. Ses recherches universi-taires ont porté sur l’absence de réforme du mode de scrutin au Québec expliquée par une approche néo-institutionnaliste.

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Du bonhe r avec ça ?

la semaine des sciences humaines

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