22 juin>12 juillet 2012 - Flâneries Musicales de Reims · 2016-06-13 · Ses interprétations...

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Pour le bon déroulement des concerts et par respect pour les artistes, nous vous prions de bien vouloir éteindre vos téléphones portables et vous rappelons qu’il est interdit de filmer, d’enregistrer et de prendre des photos durant le concert. Nous vous remercions de votre compréhension. dimanche 18h Basilique Saint-Remi 25€* - 15€* (*selon catégorie) Orchestre Royal de Chambre de Wallonie Augustin Dumay /violon & direction • Antonin DVORÀK : Romance pour violon et orchestre op.11 (arr. pour cordes et 4 vents) • Wolfgang Amadeus MOZART : Concerto n°3 en Sol majeur K 216 1. Allegro 2. Adagio 3. Rondeau • Wolfgang Amadeus MOZART : Symphonie n°29 en La majeur K 201 pour orchestre 1. Allegro moderato 2. Andante 3. Menuetto 4. Allegro con spirito Les Flâneries Musicales maintenant disponibles sur : concert n°6 22 juin>12 juillet 2012 www.flaneriesreims.com juin ••• Partenaires

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dimanche 18h—BasiliqueSaint-Remi—25€* - 15€*(*selon catégorie)

Orchestre Royal de Chambrede WallonieAugustin Dumay /violon & direction

• Antonin DVORÀK : Romance pour violon et orchestre op.11 (arr. pour cordes et 4 vents)

• Wolfgang Amadeus MOZART : Concerto n°3 en Sol majeur K 216 1. Allegro 2. Adagio 3. Rondeau

• Wolfgang Amadeus MOZART : Symphonie n°29 en La majeur K 201 pour orchestre 1. Allegro moderato 2. Andante 3. Menuetto 4. Allegro con spirito

Les Flâneries Musicales maintenant disponibles sur :

concert n°6

22 juin>12 juillet 2012

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Entretien avec Augustin Dumay

À propos du concert

Immense violoniste, chef d’orchestre réputé et grand spécialiste de Mozart, Augustin Dumay est l’un des plus importants virtuoses de sa génération. Ses interprétations recèlent des trésors de musicalité où la notion de style est intégrée au point d’autoriser toutes les libertés. On le retrouve ici en complet maître d’œuvre, à la fois soliste et chef de l’Orchestre Royal de chambre de Wallonie, dans un programme autour de Mozart et Dvorák.

Pour ce concert, vous avez choisi de mettre une nouvelle fois à l’honneur Mozart dont vous avez gravé maints enregistrements de référence. Que représente Mozart pour vous ?Augustin Dumay : Si Mozart est le plus connu, le plus aimé et le plus populaire des compositeurs, c’est pour sa capacité extraordinaire à s’adresser à chacun d’entre nous. Bach parle à Dieu, Schubert s’adresse à l’intimité, Beethoven nous fait parler à l’ensemble de l’humanité. Mozart, lui, a développé tout un dialogue social opératique. Ses œuvres apparaissent comme des mini-opéras où chaque membre de la société peut se reconnaître à travers les personnages évoqués.

Quelles sont les caractéristiques des œuvres présentées dans ce programme ?Augustin Dumay : Le Concerto n°3 est une œuvre de jeunesse composée à l’époque galante dont Mozart parvient à se détacher par une invention mélodique inépuisable. Le deuxième mouvement est sans doute le plus bel adagio de Mozart, prémonitoire de ses grandes œuvres pour piano et de ses symphonies tardives. Quant au dernier mouvement, il instaure un véritable dialogue opératique et ludique, caractéristique de la musique du compositeur. La Symphonie n°29, écrite en 1874, un an avant le concerto, annonce également les développements ultérieurs. C’est une œuvre qui n’est jamais univoque et offre un contraste saisissant entre le bonheur le plus intense, et quelques mesures plus loin, un profond sentiment de mélancolie. Même dans ces œuvres dites galantes, Mozart nous surprend par cette dualité toujours présente qui le différencie des compositeurs de l’époque. A nous de l’exprimer…

Existe-t-il encore un mystère mozartien pour vous ?Augustin Dumay : S’il n’existait pas toujours des espaces à explorer dans les œuvres des grands compositeurs, la vie des musiciens n’aurait plus de sens. Il y a là un défi permanent à relever : être capable de mieux comprendre une partition, de révéler des aspects qu’on n’avait pas mis en valeur, d’exprimer des émotions nouvelles. Cela induit de faire des choix…

Comment abordez-vous ces œuvres justement?Augustin Dumay : Pour les interprètes, il y a une alternative : jouer ces œuvres comme des pièces de jeunesse, ce qu’elles sont, ou tenir compte de l’évolution du compositeur et de la suite de son œuvre. J’ai choisi cette dernière approche qui permet d’intégrer des éléments plus forts et plus dramatiques. Je fais le pari que Mozart aurait préféré qu’on prenne en compte l’ensemble de son œuvre pour éviter tout gâchis rétrospectif !

Vous allez jouer également une œuvre de Dvorák. Existe-t-il un lien pour vous entre ces deux compositeurs ?Augustin Dumay : Absolument pas ! S’il est très à la mode aujourd’hui de présenter des concerts musicologiques, de créer des liens plus ou moins artificiels autour d’un thème, je préfère pour ma part créer des ruptures, proposer une autre couleur dans le programme. J’ai choisi Dvorák pour le plaisir de faire découvrir cette Romance pour violon et orchestre qui est une pure merveille. C’est une des plus belles œuvres de Dvorák, une pièce très populaire et d’un grand romantisme.

Fait rare, vous jouez tout en dirigeant l’orchestre de votre violon. Comment parvenez-vous à concilier cette double fonction de soliste et de chef ?Augustin Dumay : Ce n’est pas si rare. Il s’agit plutôt d’un retour aux sources. A l’époque de Mozart, les Konzertmeister jouaient et dirigeaient en même temps. Cette tradition a disparu au XIXe siècle mais de nos jours, de nombreux musiciens, comme Daniel Barenboïm, exercent cette double fonction. C’est quelque chose de naturel pour moi. Cela permet une plus grande unité du discours et du concept, de tirer la quintessence du style et des caractères d’une œuvre. On ne peut pas le faire avec tous les orchestres mais avec des formations comme le Scottish Chamber Orchestra, l’Orchestre de l’Opéra de Berlin ou la Camerata de Salzbourg avec laquelle j’ai enregistré en tant que chef et violoniste les Concertos pour violon de Mozart, cela ne pose aucun problème.

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À propos des œuvres

Antonin Dvorák (1841-1904) est l’un des rares exemples de compositeur romantique ayant abordé avec succès tous les genres, à la seule exception du ballet. Sa musique est colorée et rythmée, inspirée à la fois par l’héritage savant européen et par l’influence du folklore national tchèque mais aussi américain (negro spirituals ou chansons populaires). Les premières œuvres de Dvorák furent influencées par la musique du compositeur autrichien Franz Schubert et par celle de Beethoven. Pendant toute sa carrière, il subit largement l’influence du compositeur Richard Wagner, et ce, en particulier dans ses opéras. Dvorák s’inspira des folklores tchèque et slave, et ses œuvres les plus achevées reflètent une profonde conscience nationale.

Antonin Dvorák a composé cette Romance en fa mineur pour violon et orchestre op.11, entre 1873 et 1877, à partir de l’Andante con moto de son propre quatuor à cordes n°5 op.9. La partie soliste de cette belle pièce d’un lyrisme touchant, révèle toute la ferveur et les couleurs très « mitteleuropa » de cette œuvre injustement négligée.

Romance pour violon et orchestre, opus 11 - Dvorák

Quelle est votre actualité discographique ? Augustin Dumay : Je vais enregistrer les concertos de Brahms et de Mendelssohn. Un album consacré à Saint-Saëns, enregistré avec le Kansai Philharmonic Orchestra, doit sortir le mois prochain en France. J’ai également enregistré la 1ère Sérénade de Brahms et je dois enregistrer prochainement les grandes sonates de Mozart avec Maria João Pires qui doivent paraître la saison prochaine.

Propos recueillis par Anne de la Giraudière

Composé en 1775, l’œuvre s’inscrit dans le style galant que Mozart (1756-1791) transcende par une profondeur d’expression maitrisée. Il est en trois mouvements. Construit sur le modèle unique hérité des italiens, le Concerto n°3 témoigne de l’étonnante maturité de pensée et de technique chez un Mozart à l’inépuisable imagination. Au-delà des critères formels, il parvient ici à renouveler le genre. Pour cela et grâce à l’orchestre qu’il emploie avec finesse et à-propos, il offre au soliste l’opportunité du dialogue et de l’échange, tout en lui conférant la place de choix qui lui revient. Si le moteur du discours reste la virtuosité, c’est le sentiment qui guide l’archet.

Concerto pour violon n°3 en Sol majeur KV. 216 - Mozart

Cette œuvre est l’une des dernières symphonies dites « Salzbourgeoises » (c’est-à-dire celles composées en « série » à Salzbourg entre 1770 et 1774) par Mozart. Composée début 1774, elle se distingue du style galant des autres symphonies de cette époque et se découpe en quatre mouvements. Malgré ses tendances à la joie caractéristiques de la tonalité en La majeur, la Symphonie n°29 repousse les limites de la musique de cour qui régissait les symphonies salzbourgeoises. L’Allegro moderato initial en est un parfait exemple, l’Andante, qui dépasse la dimension fine et élégante pour s’approcher du lyrisme, plus encore ; quant au final éclatant, il est incomparable avec les autres productions mozartiennes en termes de symphonies de cette époque.

Textes rédigés par Anne de la Giraudière

Symphonie nº 29 en La majeur KV. 201 - Mozart

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Orchestre Royal de Chambre de Wallonie

Biographies

Né de la grande tradition musicale, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie (O.R.C.W.) a été fondé en 1958 par Lola Bobesco. C’est le plus ancien orchestre de chambre de Belgique, le seul frappé du sceau royal.

L’orchestre a donné des concerts avec les plus grands artistes dont José Van Dam, Mstislav Rostropovitch, Aldo  Ciccolini, Mischa Maïski, Maurice André, Arthur  Grumiaux, Jean-Pierre Rampal, Paul Tortelier, Janos  Starker, Frank Braley, Jean-Bernard Pommier, Michel Béroff, Augustin Dumay, Jian Wang, Ivry Gitlis, Antoine Tamestit, Simone Kermes, Maria João Pires,…

Depuis 2003, l’orchestre bénéficie de la dynamique et de la renommée de son Directeur musical et Chef principal, Augustin Dumay.

Il s’est produit au festival d’été du Concertgebouw d’Amsterdam, aux festivals de Menton, de Radio-France, de Montpellier, de La Roque d’Anthéron, de Pékin (dans la Cité Interdite), à la Fondation Gianadda (Suisse), à Bucarest (Roumanie)... Dans le cadre de l’Année Mozart, l’ORCW s’est produit avec Augustin Dumay et Maria João Pires, au Théâtre des Champs-Élysées et dans la série internationale de Bozar à Bruxelles.

En 2008, l’orchestre a célébré son 50e anniversaire avec de nombreux artistes internationaux. ARTE et la R.T.B.F. ont retransmis le concert du cinquantenaire, avec Augustin Dumay, Maria João Pires et Pavel Gomziakov.

En 2011, l’orchestre a joué pour l’ouverture du festival d’Abou Dabi avec Abdel Rahman El Bacha.

Prochainement, l’O.R.C.W. se produira avec Augustin Dumay dans le cadre des « Concerts de Poche » (ainsi qu’avec David Walter dans Carmen de Bizet) à Toulouse,

aux festivals du Touquet et de Picardie. L’orchestre fera une tournée, avec Augustin Dumay, en Amérique du Sud et du Nord et dans les pays d’Europe du Nord et interprètera en France (Montpellier) et en Allemagne (Wiesbaden) l’œuvre de Josse De Pauw & Jan Kuijken « Les pendus », sous la direction d’Etienne Siebens.

L’ensemble joue régulièrement en Belgique sous la direction de son violon conducteur, Jean-François  Chamberlan. Il est un complice régulier du Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique et de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth. À Mons, sa ville de résidence, l’ORCW organise avec le Conservatoire Royal, le festival d’été « Côté Cour, Côté Jardin » ainsi que les concerts « Premières scènes » qui favorisent l’éclosion et le développement de jeunes talents.

L’O.R.C.W. participe aux actions menées dans le cadre de « Mons, Capitale européenne de la culture en 2015 ». De nombreuses récompenses ont salué les enregistrements de l’O.R.C.W. : « Diapason d’or », « Choc » du Monde de la Musique… Leur dernier CD consacré à Chausson et Ravel avec Augustin Dumay, a été salué par le Monde de la Musique.

L’O.R.C.W. bénéficie du soutien des pouvoirs publics : Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelles - Ministère de la Culture / Direction Générale des Arts de la scène, Wallonie-Bruxelles International, Agence Wallonne à l’Exportation, Loterie Nationale, Ville de Mons, Capitale Culturelle Européenne en 2015.

Site Internet : http://www.orcw.be/

Discographie :

Bartòk, Martinu, Strauss, Roussel, Hindemith, HoneggerSandrine Piau (soprano), Régis Pasquier (violon), Philippe Bianconi (piano) et Quatuor Parisii 2010 - Saphir Productions

Arthur Honegger : Quatuor à cordes n°3 - Hymne pour dixtuor à cordes - L’Ombre de la Ravine - Pâques à New York et autres pièces...Jérôme Corréas (baryton-basse), Philippe Bernold (flûte) et Quatuor Parisii 2006 - Saphir Productions

Maurice Ravel : Musique de ChambreCatherine Dubosc, Juliette Hurel, Marielle Nordmann, Patrick Gallois, Jean-Claude Pennetier, Régis Pasquier, Roland Pidoux, Quatuor Parisii, Michel Piquemal, Florent Héau et Nicolas Baldeyrou2004 - Orchard / Saphir Productions

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Augustin DumayAugustin Dumay est l’un des représentants les plus marquants de la grande tradition classique européenne et en particulier de sa branche franco-belge incarnée avant lui par Ysaÿe et Grumiaux. Le public européen l’a tout d’abord découvert grâce à sa rencontre avec Herbert von Karajan, ses concerts avec l’Orchestre Philharmonique de Berlin et ses enregistrements pour EMI, notamment les Concertos de Mendelssohn et Tchaïkovski avec le London Symphony Orchestra.

Sa place bien particulière de grand classique-styliste parmi les meilleurs violonistes de notre époque s’est vue confirmée par ses enregistrements incontournables des concertos de Mozart avec la Camerata Academica Salzburg (violon et direction, DG) « sans exagération l’un des plus beaux enregistrements des concertos pour violon de Mozart jamais réalisés » (Julian Haylock in Classic CD) et de l’intégrale des sonates pour violon et piano de Beethoven avec Maria João Pires (DG) « que l’on peut ranger aux côtés de Grumiaux et Haskil, Menuhin et Kempff, ou Perlman et Ashkenazy… » (Record Review, London).

La musique de chambre et la direction d’orchestre sont également deux axes essentiels qui illustrent cette trajectoire musicale. Ceci incite de plus en plus d’orchestres à inviter Augustin Dumay comme chef : il a ainsi été nommé Directeur Musical de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie jusqu’en 2013 et, après avoir été Principal Guest du Kansai Philharmonic Orchestra à Osaka, il y occupe le poste de Directeur Musical depuis 2011 et pour cinq saisons.

Augustin Dumay se produit régulièrement avec les plus grands orchestres du monde, sous la direction des plus grands chefs actuels.

Il est extrêmement concerné par la nouvelle génération de musiciens, c’est à ce titre qu’il est devenu l’un des maîtres à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, nouveau projet pilote européen basé à Bruxelles : il enseigne à quelques jeunes violonistes de très haut niveau dont la plupart ont reçu des prix importants dans des concours internationaux de premier plan.

Le cinéaste Gérard Corbiau (Le Maître de Musique, Farinelli…) a réalisé un film portrait intitulé Augustin Dumay – Laisser une trace dans le cœur, qui sortira prochainement en DVD.

Sa discographie, qui comprend une quarantaine d’enregistrements souvent récompensés par les prix du disque - Grammophon Awards, Audiophile audition, Preis der deutschen Schallplattenkritik, Grand Prix du Disque, The Record Academy Award - est disponible chez EMI et Deutsche Grammophon.

Ses prochains enregistrements en 2012 seront consacrés aux Concerti de Beethoven et de Brahms.

Site Internet : http://www.augustindumay.com/

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Discographie :

Camille Saint-Saëns : La Muse et le poète - Concerto n°1 - Symphonie n°1Augustin Dumay (violon), Pavel Gomziakov (cello), Kansai Philharmonic orchestra2012 - Onyx Classics

The very best of TchaikovskyAugustin Dumay, Emil Tchakarov et London Symphony Orchestra2007 - Emi

Mozart : Sinfonia concertante K. 364Augustin Dumay, Veronika Hagen et Camerata Academica Salzburg2001 - Deutsche Grammophon GmbH, Hamburg

Mozart : Sonates pour piano et violonAugustin Dumay (violon) et Maria João Pires (piano)1991 - Universal Music Division Classics Jazz

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Réservez vos billets

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Visite avant-concert

L’extraordinaire variété et beauté des lieux de concerts du festival nous a donné l’envie d’ouvrir des espaces au public avant l’entrée en scène des artistes. Une manière inédite et singulière de découvrir des lieux d’exception.

Vendredi 29 juin 2012L’Ange au Sourire de la Cathédrale de Reims avec Aymeric Péniguet de Stoutz, administrateur du Palais du Tau. Cette statue emblématique de Reims ne cessera jamais de nous surprendre. Quelle est l’origine de sa légende ?17h45 > rendez-vous devant le portail central de l’entrée principale18h-19h > visite19h > ouverture des portes au public20h > concert du Quatuor Talich dans la Salle du Festin du Palais du Tau (tarif : 15€)

Visite réservée aux personnes munies d’un billet pour le concert du Quatuor Talich.Étant donné le nombre limité de participants, l’inscription est obligatoire.Renseignements et inscriptions au 03 26 36 78 15.

Réservations et vente de billets

En ligne :Vous pouvez acheter vos places sur le site Internet du festival www.flaneriesreims.comou sur celui de la Fnac www.fnac.comRéservation par téléphone : 0 892 68 36 22 (0,34€/min)Points de vente :• Fnac, espace Drouet d’Erlon à Reims (du lundi ou samedi de 10h à 19h30)• Fnac, ZAC Nord de Thillois (du lundi au samedi de 10h à 20h)• Réseaux Fnac

Retrouvez-nous à bord du camion billetterie du 22 juin au 21 juillet• Place Drouet d’Erlon : du mardi au vendredi de 11h à 14h• Marché du Boulingrin : tous les samedis de 9h à 13h• Sur les lieux de concerts : une heure avant le début des concerts

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juin •••lundi 16h—Synagogue—10€

Claire Chevallier /pianoforte Érard 1904, Paris

• Claude DEBUSSY : Suite Bergamasque• Camille SAINT-SAËNS : Carillon• Camille SAINT-SAËNS : Rhapsodie d’Auvergne• Camille SAINT-SAËNS : Les cloches de Las Palmas• Claude DEBUSSY : Estampes

concert n°7

Vos prochains concerts

juin •••lundi 20h—Champagne Charles de CazanoveCuverie—15€

Emmanuel Rossfelder /guitare

Nicolas Dautricourt /violon

concert n°8

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• Niccolò PAGANINI : Sonate centone 1• Francisco TARREGA : Recuerdos de la Alhambra• Isaac ALBÉNIZ : Asturias• Pablo de SARASATE : Romance andalouse• Astor PIAZZOLLA : Tango « nightclub 1960 »• Jean-Sébastien BACH : Sarabande en ré mineur• Eugène YSAŸE : Sonate n°3 op.27 « ballade »• Jules MASSENET : Méditation de Thaïs• Fritz KREISLER et Gaëtano PUGNANI : Prélude et allegro • Manuel DE FALLA : 1ère danse de la vie brève• Manuel DE FALLA : Danse rituelle du feu

Le concert du 23 juin à 19h avec l’Orchestre National de Lille et Jean-Claude Casadesus à la direction est diffusé sur ARTE Live Web (www.arteliveweb.com) et reste disponible sur ce site pendant plusieurs mois.

Il sera diffusé sur ARTE le 16 septembre prochain à 19h.

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