images.phytalliance.frimages.phytalliance.fr/allianceminceur/secretplantes/... · 2019-06-14 · «...

sommaire

Maigrir ou M’aigrir ? 5MarC DuMoN 9

Médecin

Pourquoi les régiMes Ne tieNNeNt-ils Pas leurs ProMesses ? 13Ce qu’il Faut (aBsoluMeNt) saVoir sur les regiMes 15

tous les régiMes FoNt Maigrir ? oui Mais... 19

éCHeCs réPétés Des régiMes : 20un risque d’aggravation des troubles du comportement alimentaire

CoMMeNt sortir De la sPirale NégatiVe ? 23

eXPliqueZ-Nous DoCteur… 25Perte de poids : la solution au cas par cas

les eFFets Des regiMes sur la saNte 29Pourquoi il ne faut pas faire de régimes amaigrissants a répétition

le «PoiDs» Des seNiors 32

eN quoi la MétHoDe PHYtalliaNCe est-elle DiFFéreNte ? 37uNe MetHoDe Basee sur uN triPle a : 39

accompagner, adapter, accepter

les BieNFaits De la PHYtotHéraPie 43

eFFet DraiNaNt et DePuratiF Des sYsteMes HePatiques et reNauX 47Mettez-vous au vert

le stress Fait-il PreNDre Du PoiDs ? 51

CHolesterol 55Ces plantes qui agissent...

uN sPeCialiste De la NutritioN 59

les ProDuits PHYtalliaNCe : 63les ProDuits PHYtalliaNCe : 65

Des plantes pour maigrir

le Brule-graisse star : 67thé vert

CouP De PouCe DigestiF : 69artichaut

CoNFort iNtestiNal : 71levure de bière

stoP au stress : 73eleutherocoque

BieN-etre geNeral : 75Krill

Du BoN usage Des eXerCiCes PHYsiques 79PerDre Des Kilos graCe a la MarCHe 85

Nous Vous aCCoMPagNoNs VraiMeNt… 87Des Mots De Vérité… 88

« Comment perdre du poids durablement grâCe aux plantes » - 2


« Plus je grossis, plus je m’aigris, plus je m’aigris, plus j’ai le cœur gros. Le désespoir rend difforme »

Claude Frisoni, écrivain


Maigrir ou M’aigrir ?

La méthode Phytalliance est aux antipodes des solutions pour maigrir présentées dans la presse. Elle ne vous promet pas un résultat « sur commande », « sans effort, » « ni visible à l’œil nu en seulement quelques semaines »…

Notre discours dénonce bien au contraire les faiseurs de miracles. Moins « glamour » que certains messages publicitaires, il fait appel au contraire à votre sagesse, à votre esprit critique et à votre intelligence.

Comme tous les experts de santé, nous dénonçons la problématique des régimes et analysons les causes et les conséquences des échecs répétés sur votre état de santé psychologique et diététique. il rejoint en cela de nombreuses études et rapports scientifiques sérieux, comme celui de l’agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (aNSES), ou encore la grande étude Nutrinet1 coordonnée par l’unité de recherche en Epidémiologie Nutritionnelle (urEN) de Paris 13.

si vous avez déjà suivi un régime avec, au passage, une prise de poids supérieure à celui d’origine, vous savez de quoi nous voulons parler. Si c’est votre première tentative, nous vous expliquons dans cet ouvrage combien il est important de faire preuve de bon sens et de discernement lorsqu’on souhaite maigrir.

Pour autant, est-il si facile de résister au mythe d’un ventre plat, d’une silhouette fine, d’un bien-être retrouvé dans son corps et dans son esprit ? Bien sûr que non. C’est la raison pour laquelle il est nécessaire de prendre le temps de comprendre notre méthode, en commençant par sa dimension physiologique.


Comment ? C’est tout l’intérêt de ce second livret rédigé par nos spécialistes dans un langage accessible à toutes.

Mais au préalable, nous vous proposons de découvrir un maillon essentiel de notre équipe, à savoir notre médecin Marc Dumon, qui aide chaque année des milliers de femmes à perdre du poids durablement sans régime.

Bienvenue dans la méthode d’accompagnement Phytalliance.

1 www.etude-nutrinet-sante.fr


Je suis originaire des Hautes-Pyrénées. Toute mon enfance s’est passée à courir les prés et les bois, à pêcher le long des torrents, à escalader les rochers et à ramasser les châtaignes après l’école. De cette enfance me reste ce goût pour ce que nous appelons aujourd’hui « le bio » et « l’écologie ». Et c’est tout naturellement que j’ai débuté, quelques années plus tard, mes études de médecine à la faculté de Bordeaux.

Très vite, j’ai été déçu par la façon dont les enseignants expliquaient les maladies, voire soignaient les malades, sans chercher les raisons cachées de leurs dysfonctions au niveau de la personne même, de sa vie et de son environnement. Heureusement, la découverte de l’homéopathie et de la phytothérapie, de l’acupuncture m’ont permis de garder l’envie de continuer cette voie. Je me suis notamment vite rendu compte que bon nombre de problèmes de santé étaient dus avant tout au surpoids.

aujourd’hui, l’alimentation peut et doit être notre première médecine. Je l’ai toujours associé à mes traitements. J’ai toujours cherché les raisons d’une dysfonction, d’une pathologie, en premier lieu dans la façon dont mon patient se nourrissait.

Ces dernières années, ma pratique dans le traitement du surpoids et de ses causes et conséquences a été –elle l’est toujours- de favoriser un équilibre alimentaire et de rééquilibrer l’organisme à l’aide de la phytothérapie et des oligo-éléments. L’amincissement est certes moins spectaculaire, mais tellement plus durable, sans effets néfastes pour l’organisme. il vaut mieux souvent, lorsque par exemple on a 15 kg à perdre en théorie, n’en perdre que la moitié, mais de manière durable et sans les reprendre, que de fondre des 15 kg rapidement et d’en reprendre 20 par la suite.

MédecinmarC DUmoN


Au fil du temps, déçu par les résultats des régimes à long terme, je n’ai plus pratiqué de régimes avec mes patientes. Par l’écoute puis le dialogue, je les ai aidés à prendre conscience des problèmes pour tendre vers un rééquilibrage autant alimentaire et physique que psychique.

aussi, lorsque l’équipe de Phytalliance m’a expliqué ce qu’elle faisait et son besoin d’expertise dans le domaine de la santé-nutrition, nous nous sommes trouvés tout de suite en osmose et j’ai accepté de devenir le conseil scientifique du laboratoire.

J’émets ainsi des avis et je donne des conseils sur l’utilisation de certaines plantes et formulations. J’assure par ailleurs de la formation interne car il est important que les salariés de Phytalliance connaissent les effets secondaires, les intolérances et les contre – indications de certaines références. Je rédige en outre des articles sur la phytothérapie et ses avancées, ainsi que sur les grandes étapes de la vie et ses conséquences sur le poids. Ces informations sont communiquées sur le site internet de Phytalliance. Je veille également aux évolutions et aux nouveautés en matière de phytothérapie et de nutrition.

Je participe enfin aux travaux qui nous ont amenés à développer une méthode, expliquée dans cet ouvrage, qui permet à toute personne qui le souhaite d’être accompagnée par une équipe pluridisciplinaire. Celle-ci réunit une psychologue et un médecin, moi-même en l’occurrence. Ce regroupement de compétences, associé aux produits de phytothérapie du laboratoire, ouvre de nouvelles perspectives pour permettre à des femmes aux profils totalement différents de perdre durablement du poids.

La méthode Phytalliance n’est pas miraculeuse. elle réunit en revanche tous les atouts pour réussir à maigrir efficacement de manière saine et naturelle grâce à une complémentarité de savoir-faire,des produits à base de plantes et d’un accompagnement personnalisé et adapté à chacune d’entre vous.


Pourquoi LES régiMES NE TiENNENT-iLS PaS LEurS ProMESSES ?En parcourant les revues féminines ou les sites internet, les professionnels de santé sont pris de vertige : les articles ou les méthodes d’amaigrissement sont légions, promettant toutes des résultats mirobolants sans efforts. Devant un tel foisonnement de recettes miraculeuses, il est difficile de résister au dernier régime « à la mode ». Tant pis si ça ne marche pas à long terme, on misera sur le prochain… Cette situation est révélatrice de notre société de l’immédiateté et du paraître. Le résultat à très court terme l’emporte sur le bon sens, au détriment des effets secondaires. Combien de médecins ont été confrontés à cette quête du « maigrir vite et beaucoup » et ont mesuré les désillusions et dommages qu’elle engendrait, tant sur les risques de santé qu’en perte de l’estime de soi et en renforcement du sentiment d’échec ! aujourd’hui, nous vous invitons à ne plus céder aux chants des sirènes, mais à faire preuve d’esprit critique. Si vous voulez perdre du poids sérieusement et durablement, vous devez savoir pourquoi les régimes ne fonctionnent pas à long terme…


un des premiers principes enseigné par les maîtres de la médecine a été de ne jamais nuire aux patients. C’est tout le sens de la locution latine primum non nocere. or, les scandales suscités par l’utilisation de médicaments néfastes pour la santé utilisés pour maigrir montrent combien ce monde peut aller à l’encontre des règles de l’éthique (ainsi que certains médecins hélas). La mise en œuvre d’un changement important dans sa vie – du type de celui de maigrir durablement - nécessite une prise de conscience, une assimilation et une acceptation. Pour arriver à un but, il faut toujours en payer le prix. Dans ces conditions, l’objectif avoué est de faire en sorte que le prix à payer ne nuise pas à votre santé physique et mentale. Ce processus se finalise par un résultat positif et une récompense, et non une illusion éphémère et destructrice. Pour cela, il est important de reprendre le problème par le bon bout… Vous avez dit « homéostasie » ?

Pour se maintenir en vie et en bonne santé, l’être humain est obligé de se nourrir à partir de son environnement. a ce stade, la vie est la résultante du bon équilibre de divers systèmes qui se maintiennent en équilibre entre eux. C’est ce qu’on appelle « l’homéostasie ». Ce processus physiologique permet de maintenir certaines constantes du milieu intérieur de l’organisme (ensemble des liquides de l’organisme) nécessaires à son bon fonctionnement (entre les limites des valeurs normales). il s’agit notamment de la température du corps, du fonctionnement du système cardio-vasculaire, de la pression artérielle, etc. L’ensemble est régulé par le système nerveux végétatif et le système hormonal. Le comportement alimentaire humain représente le versant comportemental de ces mécanismes énergétiques et nutritionnels qui assurent cette homéostasie. il débute par un signal de faim et se termine par le rassasiement et la satiété. Le comportement alimentaire humain se situe à la réunion de trois pôles : la fonction physiologique, la fonction psychologique et la fonction symbolique (voir schéma)

Ce QU’iL FaUT (aBsoLUmeNT)

saVoir sUr Les reGimes


Les 3 pôles du comportement alimentaire humain

La fonction physiologique correspond au besoin instinctif de manger pour assurer la survie et la santé au niveau biologique « apprentissage des préférences et des rejets alimentaires »

La fonction psychologique sert à la construction de l’identité, contribuant ainsi à l’équilibre psychologique individuel par l’intermédiaire des affects et des émotions. « L’Homme aime ce qui le nourrit » en quelque sorte.

Enfin, la fonction symbolique, d’ordre relationnel et culturel, est constituante de l’appartenance à la communauté humaine, ce que l’on appelle « le lien social ». C’est pour cela notamment qu’on « apprend à avoir faim à l’heure ».

Fonctionphysiologique

Fonctionpsycologique

Comportement alimentaire humain

Fonctionsymbolique


en conséquence, effectuer un régime implique forcément de « bousculer » ces fonctions physiologique, psychologique et symbolique, ce qui engendre des conséquences multiples et variables d’un individu à l’autre. Quelles sont-elles et quelles sont ces incidences ? Nos explications…


Tous les régimes amaigrissants, du plus scientifiquement élaboré au plus fantaisiste, reposent plus ou moins ouvertement sur le même principe : fournir un cadre alimentaire qui réduise la quantité de calories ingérées à un niveau inférieur à celui des calories dépensées. Manger moins pour peser moins, le principe est logique, simple et efficace. Qui d’entre nous n’a pas vu disparaître les deux ou trois kilos pris pendant les fêtes ou les vacances en supprimant le pain et/ou le beurre, et/ou le fromage, et/ou les gâteaux pendant huit ou quinze jours ?

« À brève échéance, tous les régimes font maigrir. Plus ou moins vite, plus ou moins bien, plus ou moins facilement. mais les résultats pondéraux les plus spectaculaires à court terme sont quelquefois les plus catastrophiques à long terme »

Le sentiment d’avoir eu « le déclic », qui donne la force et la volonté de « contrôler » son poids et son alimentation pour « prendre soin de soi », joue évidemment sur l’humeur, l’estime de soi, la confiance en soi et la foi en l’avenir. Il en résulte un sentiment euphorique qui « donne la pêche ». Tous les patients le proclament, toutes les études l’attestent.À long voire moyen terme en revanche, la désillusion est souvent amère…

ToUs Les rÉGimes FoNT maiGrir ? oUi mais...


Le sentiment d’échec suite à des régimes amaigrissants qui n’ont pas donné les résultats escomptés porte atteinte à l’estime de soi et à la confiance en soi. De fait, il risque de déclencher ou d’aggraver les troubles du comportement alimentaire et le surpoids, lesquels aggravent encore la mésestime de soi, etc. Le Barzic propose un schéma illustrant l’enchevêtrement des registres pondéraux, psychologiques et comportementaux, dans un cercle vicieux susceptible de conduire les sujets souhaitant entreprendre des régimes amaigrissants dans une spirale d’échec à plus ou moins long terme.

Le cercle vicieux pondéral de Le Barzic :

Tentative d'amaigrissement

Accès alimentairesDépression

Mésestime de soiDésinhibition

SURPOIDS

RESTRICTION

ÉCHeCs rÉPÉTÉs Des rÉGimes :

Un risque d’aggravation des troubles du comportement alimentaire


Lorsque l’on entreprend un régime, on se donne pour objectif une perte de poids relative à ce que l’on estime des kilos en surplus de notre poids de forme. Notre motivation ? Notre jean devenu trop petit, l’arrivée de l’été, un événement familial qui approche, des remarques désobligeantes sur notre poids, des problèmes de santé, etc. Tout un tas de raisons valables ou non, justifiant notre volonté de maigrir. Les régimes, ce n’est pas ce qui manque, tous promettent une perte de poids efficace. Alors, on opte pour celui testé par la copine, la voisine ou la collègue et on se lance. on peut toutes s’accorder sur le fait que l’on perd effectivement du poids, rapidement notamment. Tant mieux, c’est ce que l’on souhaitait. Mais quelques jours, quelques semaines ou quelques mois plus tard… Le choc ! au mieux, on a repris les kilos perdus ; au pire, on a repris notre poids initial avec en cadeau quelques kilos supplémentaires. Malgré le résultat déplorable, on réitérera probablement, dans un an ou plus, via un autre régime miracle et pour les mêmes raisons. Le résultat ? Le même ! Ce que l’on appelle « l’effet yoyo » est loin d’être une légende. Alors pourquoi ces régimes, efficaces à court terme, ne fonctionnent pas sur le long terme ? Si, plutôt que de s’intéresser à la conséquence, on s’intéressait à la cause. Celles-ci peuvent être multiples : des problèmes de santé, une grossesse, la ménopause, une mauvaise alimentation, etc. Lorsque l’on exclut les causes liées à la santé et à la diététique, on peut se centrer sur les causes psychologiques de notre comportement alimentaire.

Cette approche, moins connue du grand public, fait pourtant l’objet depuis des années et des années d’études, dont les résultats ont été prouvés et éprouvés. Mais il est plus simple « de vendre des produits » ou « des recettes miracles » pour une marque que de prendre en compte la dimension psychologique du processus de prise de poids. La Méthode Phytalliance consiste justement à associer cette dimension de manière harmonieuse et équilibrée en lien avec la santé et la diététique, comme nous l’explique Marc Dumon, notre Médecin.

CommeNT sorTir De La sPiraLe NÉGaTiVe ?


Vous dites que l’inefficacité à long terme des régimes amaigrissants est aujourd’hui argumentée, avec même un risque d’aggravation. Pourquoi cette situation ?

Ces constats sont admis par les cliniciens et sont démontrés par la recherche. Le problème ne réside donc pas dans la caractéristique d’un régime, mais dans son principe même. Il s’agit là d’un changement radical de perspective1. Le principe d’un régime en général repose sur une modélisation standardisée des corpulences et des appétits. il entretient les patients dans l’illusion qu’ils peuvent – voire doivent – atteindre les normes de corpulences prônées par l’oMS ou celles qui sont valorisées par les magazines de mode. À court terme, le régime préétabli simplifie la tâche du praticien et lui fait gagner du temps. En fournissant un guide alimentaire certifié sain par la faculté, il rassure les patients découragés par la cacophonie diététique ambiante. À long terme, il garantit l’échec de tous.

Que faut-il faire alors ?

L’abandon de la « solution régime » s’impose dès lors que l’on accepte de reconnaître que les possibilités de perte de poids sont à la fois limitées et variables selon les individus. C’est donc le changement en profondeur du comportement alimentaire qui permettra l’équilibre durable des nutriments et non l’inverse.

Perte de poids : la solution au cas par cas

eXPLiQUeZ-NoUs DoCTeUr…


Comment « changer en profondeur son comportement alimentaire », seule solution pour maigrir durablement ?

La clinique individuelle relativise les normes statistiques et les connaissances nutritionnelles, elle les ajuste au cas particulier. Cette pratique exige du nutritionniste une disponibilité au long cours, d’abord pour prendre le temps d’évaluer soigneusement l’histoire de poids du patient en relation avec son environnement social et familial, et pour guider son patient jusqu’aux réaménagements existentiels en profondeur qui permettront la modification et/ou la restauration durable de son comportement alimentaire. Elle requiert la spécialisation approfondie de cliniciens confirmés. À ces conditions, patient et praticien pourront partager à long terme la satisfaction d’un résultat durable.

1 Référence à un « changement 2 » (Watzlawick et al. 1975) tel qu’il est défini par les systémiciens, qui s’oppose au « changement 1 », lequel « semble reposer sur le bon sens ».


« La pratique, souvent répétée des régimes, n’est pas sans conséquence sur la santé physique. Soumettre son corps à d’incessants va-et-vient de poids a des conséquences qui peuvent être désastreuses. La répétition de régimes, souvent plusieurs fois par an, aboutit au phénomène dit de « yoyo », dont les adeptes ne mesurent jamais l’importance et les réels dangers ».

rÉGimes amaiGrissaNTs : LeUrs eFFeTs seCoNDaires1 sUr L’iNDiViDU

Déséquilibre nutritionnel : trop de sel, pas assez de fibresLa plupart des régimes modifient radicalement les apports alimentaires, certains sont très hypocaloriques, d’autres hyperprotéinés… Dans l’ensemble, les différentes phases des régimes ne permettent pas de couvrir correctement les apports nutritionnels journaliers. il y a globalement trop de sel et pas assez de fibres. Dans environ 80 % des régimes, les apports en protéines sont supérieurs aux recommandations et les apports en fer ne sont pas couverts pour les femmes, encore plus si elles sont enceintes. Pour la vitamine D, les apports sont inférieurs aux recommandations dans la plupart des régimes.

absence de stabilisation du poids : il diminue puis augmente plus encoreC’est le gros défaut, souvent dénoncé, des régimes amaigrissants, en particulier des plus radicaux qui suppriment beaucoup d’aliments sur une durée assez courte : le poids perdu est vite repris. 4 personnes sur cinq qui ont fait un régime reprennent du poids au bout d’un an. Chez des personnes qui ont un iMC normal, les régimes peuvent même favoriser la prise de poids. Les apports énergétiques qui permettent de maintenir le poids perdu après un régime amaigrissant sont inférieurs à ceux qui permettaient de maintenir un poids stable avant la perte de poids, ce qui

Les eFFeTs Des reGimes sUr La saNTe

Pourquoi il ne faut pas faire de régimes amaigrissants a répétition


favorise d’autant la reprise de poids. En période d’amaigrissement, la diminution de la leptinémie, en association avec de nombreux autres signaux nutritionnels, neuronaux et endocriniens, envoie un signal de « déficit énergétique » au niveau cérébral, ce qui se traduit par une augmentation de la sensation de faim. Le retour au poids initial s’accompagne enfin d’une récupération préférentielle de la masse grasse.

Perte de la masse musculaire : le gras se taille la part du lionLa restriction calorique importante et non contrôlée ne fait pas seulement fondre la graisse, mais aussi la masse musculaire. Pire encore: une fois le régime terminé, c’est la masse grasse qui se reconstitue le plus vite, la masse musculaire ne revenant pas spontanément à sa situation d’avant-régime ! Cela alimente un cercle vicieux : moins la masse musculaire est importante, moins elle consomme de calories, plus on fait du gras…La perte de masse musculaire joue donc un rôle majeur dans la diminution de la dépense énergétique (principalement du métabolisme de base) observée après restriction calorique ce qui souligne l’importance de limiter les pertes de masse musculaire par l’exercice, lors de la restriction calorique.

Fragilisation des os : un risque de fracturePour 10 % de poids perdu, on observe une diminution de la densité minérale osseuse de 1 à 2 %, en particulier chez des personnes qui avaient un indice de masse corporelle normal. Ce facteur est particulièrement dommageable chez les femmes quinquagénaires. Chez la femme ménopausée, une réduction pondérale de 4 à 13 % est associée à une perte osseuse de l’ordre de 1 à 4 %. Ce qui est important à considérer, c’est que l’amaigrissement (dès 5 % de perte) et l’effet« yoyo » sur le plan pondéral contribuent à exacerber le risque de fractures.

risque rénal et hépatique : attention aux calculsLes données des études suggèrent que les régimes à très faible apport calorique provoquent des inflammations et fibroses modérées aux niveaux hépatique et portal ainsi que des calculs biliaires. Les régimes hyperprotéiques non hypocaloriques induisent des apports qui dépassent le seuil des apports satisfaisants (2,2 g/kg/j). En conséquence, un bilan rénal s’impose chez les sujets à risque d’insuffisance rénale, avant tout régime hyperprotéiné. Certains régimes amaigrissants et particulièrement les régimes hypoglucidiques sont fréquemment associés à des troubles digestifs, généralement passagers. il s’agit en particulier de constipation liée, notamment, à la baisse de consommation de fibres.


risque cardiovasculaire : de battre mon cœur s’est arrêtéLes régimes très hypocaloriques peuvent induire de façon aiguë des accidents avec mort subite, par troubles du rythme cardiaque. L’innocuité des régimes très hypoglucidiques n’est pas établie sur le plan cardiovasculaire. Dans ce cadre, un apport élevé en acides gras saturés peut accroître l’insulino-résistance malgré la perte de poids. Les régimes très hypolipidiques sont délétères car ils entraînent un profil lipidique athérogène (formation de plaques dans les artères), notamment en cas de syndrome métabolique. La fluctuation du poids pourrait être un facteur de risque cardiovasculaire et de syndrome métabolique. Chez le sportif amateur, la pratique associée d’une activité physique et d’un régime amaigrissant s’accompagne à court terme d’un risque d’accident cardiovasculaire (essentiellement lors de la reprise d’une activité physique chez un sujet sédentaire depuis plusieurs années ayant un ou plusieurs facteurs de risques vasculaires) et/ou d’un risque de malaises (hypoglycémique, vagal, et/ou aggravé par la déshydratation) lorsque cette restriction alimentaire est très importante.

Perte de poids : une perturbation du métabolisme à gérerLa perte de poids conduit à une augmentation de la libération des polluants organiques persistants qui ont pour conséquence des perturbations des systèmes endocrinien, reproducteur et immunitaire, des dysfonctionnements métaboliques, pouvant contribuer à la reprise de poids, des troubles du développement, ainsi que des cancers.

La femme enceinte : faire attention au fœtusPour les femmes enceintes, la restriction calorique peut ralentir la croissance du fœtus au second et troisième trimestre de grossesse.

1 Liste non exhaustive. Consultez votre médecin traitant pour en savoir plus


Dès 2020, notre pays devrait compter 17 millions de personnes de plus de 60 ans, 4 millions d’octogénaires et quelques dizaines de milliers de centenaires. Les personnes qui ont 55 ans aujourd’hui ont peut-être encore 30 à 40 années d’espérance de vie. autant d’années durant lesquelles l’alimentation va jouer un rôle clé pour le maintien de la santé et du plaisir de vivre. a l’initiative de l’institut français pour la nutrition (iFN), médecins nutritionnistes, gériatres, psychologues, sociologues, professionnels de la communication et du marketing se sont penchés sur l’alimentation des seniors. Les liens entre alimentation, bien-être et santé se resserrent quand on vieillit. Contrairement à une idée reçue, les besoins alimentaires ne diminuent pas avec l’âge. au contraire, l’utilisation des nutriments par l’organisme est moins bonne. « il faut manger autant, sinon plus. Et surtout manger mieux » ! au menu, les protéines pour préserver les muscles qui ont tendance à « fondre » sont recommandées (viande, poisson, œufs, produits laitiers). Même chose pour le calcium (produits laitiers) et la vitamine D pour empêcher la déminéralisation des os, ainsi que les vitamines et les minéraux pour diminuer le stress oxydatif, principal facteur de vieillissement : fruits et légumes, produits de la mer, laitages, etc. Enfin, on recommande des acides gras et des vitamines pour maintenir les fonctions cognitives : poisson, huiles, beurre…

effets des régimes chez les seniorsLes régimes et les restrictions ne sont pas justifiés chez les seniors en bonne santé. Le maintien du poids est essentiel, l’essentiel étant de préserver l’envie de manger. Chez les seniors obèses ou en surpoids, la restriction calorique à visée amaigrissante a des effets bénéfiques reconnus sur la fonction cardiaque, le risque de développer un diabète de type II, et les marqueurs circulants d’inflammation chronique. Cependant, les quelques études concernant des personnes âgées suggèrent plusieurs particularités par rapport aux individus plus jeunes.

Le «PoiDs» Des seNiors


ainsi, l’impact négatif du surpoids (25-29,9 kg/m2) sur la mortalité est moins net (Janssen et al. 2007), de même que l’association entre IMC et risque cardio-vasculaire (Miller et al. 2008). Par ailleurs, l’association entre la perte de poids et la baisse de 4 marqueurs du syndrome métabolique (tour de taille, hypertension, cholestérol HDL et glycémie), et à l’inverse, leur association positive avec la prise de poids, serait moins nette après 50 ans (Bot et al. 2010). Enfin, une méta-analyse récente suggère que les régimes à visée amaigrissante auraient un moindre effet sur le poids, avec une baisse de 3 kg en moyenne, et seraient sans effet sur le cholestérol HDL, cholestérol LDL et triglycérides après 60 ans (Witham et al. 2010).

attention à la malnutrition

La malnutrition est fréquemment observée chez les personnes âgées. Celle-ci est d’origine multifactorielle associant, entre autres, diminution de l’appétit, difficultés physiques ou neuropsychiques pour s’alimenter, maladie, médications diminuant l’appétit ou augmentant les pertes fécales. Cette malnutrition aggrave le développement des escarres de pression et retarde leur guérison. Ce risque devrait être pris en compte chez les personnes âgées obèses avant d’envisager un régime à visée amaigrissante. L’avancée en âge s’accompagne généralement d’une perte de poids liée à une perte de masse grasse mais aussi de masse maigre. La restriction alimentaire à visée amaigrissante de sujets âgés obèses accélère la fonte musculaire et devrait donc être limitée chez ces sujets. Les régimes amaigrissants, s’ils s’accompagnent de déficience en magnésium (apport moyen de 101 mg/jour), peuvent aggraver le risque d’arythmie cardiaque, et de fibrillation auriculaire, chez les femmes après la ménopause. Les données suggèrent que l’impact négatif de la perte de poids est plus marqué chez les personnes âgées en ce qui concerne le risque de récidives de tumeurs colorectales, l’évolution des escarres, et surtout la perte de masse musculaire et la minéralisation du squelette. La malnutrition fréquemment observée chez les personnes âgées, qui aggrave le développement des escarres de pression et retarde leur guérison, doit enfin être prise en compte.


Quel âge a un senior ?C’est une question piège ! En effet, aucune circulaire officielle ne précise l’âge d’un senior, contrairement à celui de la majorité qui a un fondement juridique. résultat : les chiffres les plus subjectifs circulent. Certains classent les seniors après 50 ans, d’autres à partir de 55 ans, d’autres encore de 55 ans à 64 ans. Parfois, on parle de seniors comme de personnes âgées, notion très aléatoire. Selon un sondage TNS Sofres de 2004, une personne en France serait âgée à partir de 73 ans. Enfin, le terme prend un sens différent dans le monde du travail et encore dans le sport où, dans certaines disciplines, on est seniors à partir de 20 ans !

La méthode Phytalliance prend en compte votre âge dans l’approche de votre suivi, une donnée très étudiée par notre médecin et notre psychologue.


EN quoi La MéTHoDE PHYTaLLiaNCE EST-ELLE DiFFérENTE ?Phytalliance, laboratoire de phytothérapie, aide plus de 100 000 femmes à faire face à une situation de surpoids. Notre expérience nous a permis de nous doter d’experts qui ont pris en compte la déception, le dépit et parfois même la souffrance de toutes celles qui ont tenté des régimes et échoué, avec toutes les conséquences que cela engendre. refusant la spirale de l’échec comme une fatalité, Phytalliance leur a proposé une solution globale, aujourd’hui prouvée et éprouvée. Cette méthode résulte d’un long travail d’études et d’analyses. Diamétralement opposée au principe même de régime, elle consiste en une démarche à la fois saine, efficace et durable pour perdre du poids, en s’appuyant notamment sur les bienfaits des plantes et une activité physique, même légère mais régulière.


La Méthode Phytalliance consiste à accompagner toutes les femmes qui cherchent à maigrir durablement. Pour cela, elle s’adapte le mieux possible à la réalité de chaque personne, en prenant en compte sa situation sur le plan médical, nutritionnel et psychologique, et en sollicitant son acception pleine et entière. Ainsi, la relation de confiance réciproque peut s’instaurer pour mettre en œuvre une vraie stratégie de lutte contre les kilos superflus ou un surpoids plus ou moins important. Cette collaboration s’effectue dans le cadre d’une totale transparence, sans fausse promesse ni recette miracle, à l’image de ce livre qui décrypte par le menu la méthode proposée.

Progressivement, la personne assimile cette nouvelle réalité. La comprenant et voyant les résultats durables obtenus, elle l’accepte comme un nouvel équilibre de vie. C’est une méthode qualifiée « d’holistique » (globale) et de « pluridisciplinaire » (regroupement d’experts). Tous les aspects liés à une démarche de perte de poids sont étudiés, de manière plus ou moins intensive selon les individus. Pour certains, l’accent sera mis sur la dimension diététique, d’autre sur l’aspect psychologique ou médical. Mais à chaque fois, les causes et conséquences du trouble alimentaire sont analysées sous leurs différents aspects. ainsi réunie sous la bannière Phytalliance, vous allez tendre durablement vers votre objectif.

Concrètement, qu’est-ce que cela implique ?

Tout d’abord, la méthode Phytalliance implique d’entendre, d’écouter, de comprendre et d’accepter votre situation en termes de poids. Ensuite, elle nécessite d’évaluer vos potentialités d’amaigrissement sur le plan physique et psychologique et d’adapter la méthode à vos

UNe meTHoDe Basee sUr UN TriPLe a :

AccoMPAgner, AdAPter, AccePter


caractéristiques : âge, mode de vie, état de santé, motivations, parcours de vie, etc. a ce titre, l’étude psychologique sur les différentes catégories de patientes est intéressante car elle peut vous aider à mieux appréhender votre cas personnel. Celui-ci sera affiné au cours des échanges confidentiels que vous aurez avec nos équipes, de manière individuelle et personnalisée. La méthode Phytalliance sous-tend également une vraie complicité, l’objectif étant de vous donner les moyens d’être vous-même, de développer votre bon sens et votre esprit critique. Lorsque nous fustigeons les régimes yo-yo sur la base de preuves scientifiques, notre laboratoire vous amène à renoncer à l’illusion de la toute-puissance du prescripteur. Cela peut d’ailleurs nous conduire à vous dire que maigrir, dans votre cas précis, n’est pas forcément la bonne réponse. oui, vous lisez bien : un laboratoire de phytothérapie dont la finalité est d’aider à maigrir revendique le principe de dire « non » à certaines de ses clientes dans leur intérêt personnel (et dans la limite du « refus de vente », interdit par la loi). Nous sommes aujourd’hui totalement convaincus (comme toutes les études sérieuses) que la perte de poids durable ne peut pas se limiter à une absorption de produits.

Seule une méthode agissant sur le plan physique, diététique et psychologique, et sur les piliers que sont l’alimentation, l’hygiène de vie et le mental, peut permettre de maigrir sans reprise de poids, sans effets secondaires nocifs pour la santé et sans impact psychologique néfaste pour son équilibre de vie. Cette méthode d’accompagnement existe et porte notre nom : Phytalliance.

Concrètement, en quoi consiste-t-elle ?

La préservation physiologique et psychologique à court, moyen et long terme de nos clientèles est une condition sine qua non de notre action. La méthode Phytalliance vise à cet effet à une réduction prudente et adaptée du poids de chacune d’entre vous. Cela passe par des étapes de planification et de stabilisation personnalisées, avec des moyens appropriés. Le concept de la méthode réside dans la conjonction de trois approches complémentaires. La première concerne le volet physique et prend en compte toutes les caractéristiques de votre organisme. Le second se focalise sur votre approche nutritionnelle pour vous aider


à retrouver le bon sens et la mesure de l’équilibre alimentaire. La troisième prend en compte votre dimension psychologique afin de comprendre les causes de votre surpoids et mieux agir sur les conséquences de votre trouble alimentaire, qu’il soit faible, modéré ou plus profond. La méthode Phytalliance s’appuie sur une triple action : accompagner, adapter et accepter.

Une triple action à votre service : accompagner, adapter, accepter

• accompagner, car la méthode implique d’agir simultanément sur de nombreux paramètres et implique un suivi personnalisé dans le temps en fonction des objectifs recherchés et validés par nos équipes expertes. Nous sommes avec vous. • adapter, car l’expérience multidisciplinaire de notre laboratoire est adaptée à chaque personne, dans le respect de son histoire et de ses caractéristiques physiques, nutritionnelles et psychologiques. Notre solution sera sur-mesure et propre à vous.• accepter, car la méthode se fait avec vous et nécessite votre participation active pour un résultat durable grâce à nos conseils, nos recommandations et nos prescriptions de produits de phytothérapie. Nous agissons ensemble.


Utilisée depuis la nuit des temps, on peut dire sans crainte que la phytothérapie est la mère de la médecine. Durant des milliers d’années, l’homme a appris à se servir à bon escient de ce que lui offrait la nature végétale. Hippocrate, un des pères de la médecine, ne disait-il pas « c’est la nature qui guérit les malades ». Le 20e siècle a modifié considérablement la donne, avec l’avènement de la chimie moderne. Ce progrès scientifique s’accompagne d’un revers de médaille : les remèdes synthétisés comprenant un ou deux principes actifs ont accompagné leurs effets bénéfiques de nombreux effets secondaires. Cela a engendré un regain d’intérêt pour les médecines traditionnelles, que l’on s’est mis à appeler « douces », en contradiction de la médecine moderne, très efficace mais souvent dure à supporter. Notre médecin, marc Dumon, vous explique dans les pages suivantes comment utiliser à bon escient les plantes pour agir sur votre poids…

Il est maintenant devenu évident, même pour les détracteurs de la phytothérapie, que les plantes représentent un réservoir inépuisable de ressources thérapeutiques. il existe d’ailleurs encore des pratiques traditionnelles basées presque totalement sur les plantes dont la vitalité n’est pas en cause. il en est ainsi de la médecine ayurvédique de l’inde et de la médecine chinoise. On ne doit pas oublier que 70 % de la population de la planète n’a aucun accès à la thérapeutique occidentale et se soigne exclusivement de façon traditionnelle. il reste que bon nombre de remèdes majeurs actuels sont toujours tirés des plantes.

Les BieNFaiTs De La PHYToTHÉraPie


Une thérapeutique en devenir La phytothérapie constitue une thérapeutique d’avenir : identification à partir de nouvelles découvertes de plantes de nouveaux principes actifs, mise en évidence de nouvelles propriétés pharmacologiques, nouvelles formes d’utilisations de ses principes actifs (plus pratiques, plus adaptées et plus efficaces), etc. Tout ceci contribue à faire de la phytothérapie une médecine à part entière, et les plantes d’authentiques médicaments. Celles-ci agissent de manière douce et progressive, en respectant la physiologie de l’individu.La phytothérapie n’agit pas comme un seul principe actif extrait, comme c’est le cas dans le médicament chimique classique, mais par l’interaction de l’ensemble de ses constituants (le totum de la plante). Ainsi, une même plante aura, de ce fait, plusieurs actions thérapeutiques : souvent un effet drainant pour le rein ou le foie, un effet apaisant pour le système nerveux, une stimulation des défenses naturelles de l’organisme, etc. on peut donc employer la phytothérapie en médicament symptomatique d’une affection, en renforcement d’un médicament classique, en traitement préventif, en médicament de terrain.Bien choisies et utilisées par des personnes averties, les plantes guérissent ou contribuent à guérir, parfois très rapidement, des problèmes courants et actuels tels que le stress, le surmenage, l’arthrose, les rhumatismes, la fatigue, la perte de sommeil, les problèmes de poids ou encore de circulation du sang.

Des plantes médicinales pour lutter contre le surpoids et l’obésitéCertaines plantes médicinales sont particulièrement intéressantes dans le cadre d’une démarche d’amaigrissement. Elles peuvent agir à plusieurs niveaux grâce à l’ensemble de leurs molécules actives, ce que l’on appelle « le totum ». Les spécialistes de la phytothérapie savent utiliser leurs principes actifs. ainsi, l’effet anorexigène de plantes permet la diminution de l’appétit et de la faim et l’augmentation de la thermogenèse (lire encadré). L’effet drainant et dépuratif a de son côté une incidence positive sur les systèmes hépatiques et rénaux. L’effet adaptogène, pour sa part, présente un caractère calmant et augmente l’adaptation au stress. il est aussi possible de s’appuyer sur la phytothérapie pour faciliter


l’absorption intestinale des sucres, ou aider des personnes victimes de cholestérol ou de diabète. Voici un tour d’horizon des effets les plus significatifs que Phytalliance exploite au service de la lutte contre le surpoids et l’obésité.

Certaines plantes médicinales peuvent agir de plusieurs façons et à plusieurs niveaux dans le cadre de l’amaigrissement : effet anorexigène, diminution de l’appétit et de la faim, augmentation de la thermogenèse, effet drainant et dépuratif des systèmes hépatiques et rénaux, effet calmant et augmentation de l’adaptation au stress, effet sur l’absorption intestinale des sucres, effet sur le cholestérol, etc.

Qu’est-ce que « la thermogenèse » ?

Lorsque vous bougez, vous vous déplacez ou que vous faites du sport, votre corps brûle des calories. Ce phénomène s’appelle « la thermogenèse ». Certains principes contenus dans certaines plantes permettent d’augmenter de manière naturelle cette thermogenèse. C’est le cas par exemple de plantes dont la caféine se libère lentement, permettant ainsi de profiter des pouvoirs de la caféine tout en évitant les problèmes d’énervement et d’insomnie aux doses usuelles.


La notion de drainage est une notion âprement discutée dans le milieu médical. D’un côté, les tenants d’un matérialisme scientifique en nient carrément la possibilité. D’un autre côté, des thérapeutes de tout horizon ont tendance à utiliser le drainage à tout vent, en affirmant que cela est une panacée universelle. Comme toujours, la vérité est à rechercher dans une voie médiane, une voie du milieu. Les animaux n’ont pas ce genre de dilemme car ils mangent les herbes qui les purgeront, obéissant à un instinct ancestral qui les pousse à le faire. Le terme même de drainage appliqué à l’homme a été inventé au début du XXe siècle, par le Dr Nebel de Lausanne. il utilisa la phytothérapie raisonnée pour drainer ce que l’on appelait « les émonctoires ». il s’agit des cinq organes épurateurs du corps humain, dont le foie (qui filtre et neutralise à lui seul bon nombre de déchets et toxines éliminés par le circuit biliaire) et le rein (qui détoxique le sang et élimine les impuretés par les urines). Les trois autres organes éliminateurs sont la peau, le poumon et les intestins. Les plantes agissent donc sur ces émonctoires en les stimulants. Elles forcent l’organe à augmenter son action épuratrice pendant un temps donné, un peu comme une réserve de puissance que l’on peut actionner pendant un temps défini.

eFFeT DraiNaNT eT DePUraTiF Des

sYsTemes HePaTiQUes eT reNaUX

Mettez-voUs AU vert


Dressons un petit catalogue non exhaustif des plantes qui agissent sur ces différents organes épurateurs :

• action sur le foie : il s’agit ici des plantes dites cholagogues (qui facilitent l’élimination de la bile) et cholérétiques (qui augmentent la sécrétion de la bile par le foie). Dans la première catégorie, citons l’olivier, le radis noir, l’ortie et le romarin, et pour les secondes la sauge, le pissenlit, le thym, le tilleul, le romarin et la fumeterre.

• Pour le rein : reine-des-prés, l’ortie, le pissenlit, la bruyère, le cassis.

• Pour la peau : la bourrache, la pensée sauvage, la bardane.

• Pour le poumon : l’hysope, le marrube, la guimauve.

• Pour les intestins : les artichauts, la vigne, l’olivier.

il est intéressant de connaître ces notions de drainage, car il est souvent nécessaire de « nettoyer » avant d’agir en profondeur sur une fonction organique. Si votre souhait est de perdre du poids, parallèlement à la modification de votre alimentation, la prise de ces plantes sera d’un grand effet et facilitera confortablement votre amincissement.


De l’anglais «stress», ce qui veut dire « effort intense », ce terme a été «inventé» au début du 20e siècle par un endocrinologue et chercheur canadien du nom de Hans Selye, surnommé depuis « le père du stress ». Celui-ci a montré l’existence, chez l’être humain, d’un dispositif d’adaptation aux diverses agressions qu’il subit. La réponse à un stress se déroule en trois phases consécutives : une phase d’alarme, une phase de réaction, et une phase d’épuisement. C’est ce qui constitue le syndrome général d’adaptation. La réaction de l’organisme aux agressions est normale et salutaire. Sans cela, nous ne pourrions plus vivre. L’homme s’est adapté depuis la nuit des temps aux différents «efforts intenses» pour survivre. Le problème de l’adaptation au stress est à considérer lorsque l’organisme est dépassé et ne peut plus répondre sainement à celui-ci. Henri Laborit, chirurgien chercheur et vulgarisateur des neurosciences, a défini deux sortes de réponse pour l’homme exposé au stress : soit la personne lutte, soit elle s’enfuit. Si ces deux réactions ne peuvent être remplies, elle entre dans ce qu’il appelle l’inhibition d’action et la maladie peut alors se développer (cf. l’excellent film d’Alain Resnais, mon oncle d’Amérique). Les conséquences du stress sont multiples et reconnues comme facteur de déclenchement ou d’aggravation de maladies. Lorsque le stress devient trop important, ou dure trop longtemps, l’organisme est submergé, ne peut plus réagir et s’épuise. apparaît alors la longue liste des troubles fonctionnels : fatigue, maux de tête, palpitations, tremblements, angoisses, insomnies, dépression, etc. il est important de réagir tôt, car, sinon, ces troubles fonctionnels pourront aboutir vers des pathologies organiques, cardiovasculaires, tumorales, métaboliques, rhumatismales, etc.Le stress « mal digéré » conduit aussi à des conduites addictives sur le plan alimentaire qui ne résoudront rien et aggraveront la situation : grignotages, repas rapidement avalés debout contre un comptoir, etc. Ceci entraînera l’organisme dans un cercle infernal : prise de poids, mal être et poursuite des conduites inadaptées. Dans ce cas-là, le stress fait grossir !

Le sTress FaiT-iL PreNDre DU PoiDs ?


Des plantes « zen »

La phytothérapie aide à lutter contre le stress « nocif » (terme employé par certains en opposition au stress « positif » qui ferait avancer). Pour cela, on emploie de préférence des plantes dites « adaptogènes ». il y en a de nombreuses dans la nature. Elles aident l’organisme dans la lutte contre le stress et le maintien de « l’homéostasie » (capacité d’un « système » à conserver son équilibre de fonctionnement en dépit des contraintes qui lui sont extérieures). Parmi elles, citons en priorité la lavande, employée pour sa capacité à calmer les angoisses, les palpitations, les états dépressifs et les insomnies. C‘est la plante par excellence des troubles psychosomatiques. L’éleuthérocoque, surnommé le ginseng russe, s’associe avec profit pour lutter contre le stress et redonner vigueur et gaieté. C’est la plante la plus à même à gommer les effets des changements de vie (comme par exemple le passage à l’heure d’été qui perturbe grandement les enfants. Elle aide l’organisme à s’adapter au stress quotidien et à pouvoir l’endurer positivement). a ces deux grands remèdes, il est bon d’y ajouter des plantes calmantes, comme la passiflore ou la bergamote. Vous avez le pouvoir de vous mettre dans de bonnes dispositions pour maigrir et de vous faire accompagner en profitant de notre expertise de la phytothérapie. Lisez-nous jusqu’au bout et si vous pensez que nous pouvons vous aider « avec vous » et « sans stress », parlons-en !

a savoir

Médecine efficace, la phytothérapie peut avoir quelques effets secondaires et des contre-indications. utilisée à bon escient et à bon dosage, elle n’engendre pas d’effets négatifs, ou ils sont très rares. il faut cependant faire attention au mélange entre phytothérapie et médicaments chimiques. C’est notamment le cas dans le traitement fluidifiant ou anticoagulant, une insuffisance cardiaque, l’hypertension, les troubles du rythme cardiaque, l’asthme, le diabète, les calculs biliaires ou rénaux et un cancer féminin hormono-dépendant.


indispensables à notre organisme, les 2/3 de notre cholestérol sont fabriqués par notre foie, le reste par l’alimentation. quand il est associé à une protéine qui l’évacue de l’organisme via le foie (HDL-cholestérol), on parle de « bon cholestérol ». quand il est associé à une protéine qui le maintient dans l’organisme (LDL-cholestérol), on parle de « mauvais cholestérol ». En fait, avoir trop de LDL-cholestérol est mauvais, alors que beaucoup de HDL-cholestérol est bénéfique. Les études épidémiologiques ont permis de montrer que l’excès de «mauvais cholestérol» et le manque de «bon cholestérol» sont des facteurs de risque de maladie cardio-vasculaire, le cholestérol étant un des agents responsables de l’athérosclérose qui conduit aux maladies cardio-vasculaires. quelques mesures diététiques simples peuvent aider à faire remonter un bon cholestérol s’il est trop bas, en consommant davantage d’acides gras polyinsaturés de la famille des omégas 3. Ces omégas 3 se retrouvent en grande quantité dans les huiles de colza, de noix et de soja. Les plantes médicinales sont très utiles pour contrôler l’hypercholestérolémie quand elles sont associées à une diététique appropriée.

Quelles plantes choisir ?

il existe de nombreuses plantes médicinales qui sont actives sur le métabolisme des lipides : par exemple l’ail qui est souverain dans ce cas. D’autres agissent sur la synthèse et l’excrétion des sels biliaires. Ceux sont les plantes cholagogues et cholérétiques : artichaut, boldo, fumeterre, pissenlit, romarin. Enfin, celles qui préviennent le développement des plaques d’athérome (épaississement des artères) : thé vert, ginseng, vigne rouge.

CHoLesTeroL

ces PlAntes qUi Agissent...


Si l’on ne peut pas traiter directement le diabète par la seule phytothérapie, les plantes peuvent être d’un grand secours pour améliorer les effets secondaires du diabète, ainsi que pour aider au suivi du régime diabétique (perdre du poids). Certaines plantes diminuent l’absorption du glucose au niveau intestinal, accélèrent la consommation de celui-ci au niveau sanguin. D’autres plantes, par leurs tanins, favorisent l’action de l’insuline, et peuvent avoir une action sur les complications du diabète, par leur pouvoir antioxydant. on connaît classiquement l’oignon et l’ail, l’eucalyptus, le fenugrec, l’olivier. il sera bon d’associer des plantes agissant sur la sphère hépatique et intestinale. Cela améliorera l’action des médicaments indispensables au traitement du diabète.

Parmi les plantes utilisables dans le diabète, l’olivier a une place particulière, de par son efficacité, son ancienneté et son utilisation ancestrale.


a l’origine, Phytalliance est née d’une idée : proposer les meilleures alliances de produits de phytothérapie afin d’optimiser efficacement les mécanismes de perte de poids. Les plantes concentrent des principes actifs qui, bien associés, décuplent les facultés pour traiter la rétention d’eau, la cellulite ou encore les problèmes digestifs. En ce sens, elles sont un allié naturel à l’alimentation puisqu’elles vont compléter ce qui peut manquer dans les aliments (oméga 3, antioxydants…) et aider le corps à rétablir des mécanismes naturels ralentis, comme la thermogénèse par exemple, un principe qui vous a été expliqué dans ce livre. avec l’âge, les grossesses ou la ménopause, le corps a tendance à ralentir sa capacité à brûler les graisses ou à évacuer l’eau en trop dans les tissus. Les plantes aident le corps à rétablir ces mécanismes, voire même à les accélérer. Nous nous sommes entourés d’experts dans ce domaine afin de vous proposer les produits de phytothérapie les plus efficaces grâce à des formules les plus justement dosées. Marc Dumon, Médecin et co-auteur de cet ouvrage, nous accompagne depuis la création de la marque, preuve de notre volonté de travailler au long cours pour des résultats efficaces et pérennes sur la durée. L’expérience de ce médecin phytothérapeute nous est précieuse pour choisir les savants dosages, anticiper d’éventuelle interaction entre les formules ou éviter des incompatibilités de certaines plantes avec d’autres traitements médicamenteux.

UN sPeCiaLisTe De La NUTriTioN


L’objectif consiste à trouver par les plantes et les règles alimentaires la formule la plus équilibrée adaptée à votre situation personnelle pour vous aider à atteindre vos objectifs de perte de poids et à vous sentir bien dans votre corps et dans votre esprit.

Sur ce dernier volet, l’arrivée dans notre équipe de Nadia Poleya, psychologue et co-auteur de cet ouvrage, complète le dispositif mis en place pour agir sur tous les paramètres possibles et imaginables du surpoids et de l’obésité, afin de vous donner les moyens de maigrir durablement sans régime.

Une exigence de rigueur et de qualité

Notre expertise, au-delà des femmes et des hommes qui nous accompagnent, se manifeste par un partenariat de longue date avec deux laboratoires de référence en France, situés près de Lyon. Certains produits sont formulés exclusivement pour Phytalliance, que vous ne trouverez nulle part ailleurs. a votre demande, nous avons privilégié le bio sur la majorité de nos produits, gage de santé et de sécurité. Pour

Le Témoignage de marc Dumon

La validation d’un produit Phytalliance commence par l’étude de ses constituants et la synergie qu’ils peuvent avoir entre eux. En distinguant chaque substance dans la formule du produit, je m’assure que les effets décrits ont fait l’objet d’études scientifiques et que leurs actions sont conformes aux résultats de ces études. Je recherche aussi dans la littérature scientifique mondiale quels effets secondaires ont pu avoir les plantes qui entrent dans la composition du produit. Puis je mets à jour les interactions possibles de ces plantes entre elles et, surtout, avec les pathologies et traitements médicamenteux (diurétiques, anticoagulants, hormones …). après cette phase d’étude, je diffuse les résultats à l’ensemble des équipes Phytalliance sous la forme d’exposé et de support papier (fiches produits) pour les aider à bien conseiller les produits et à mettre en évidence leurs contre-indications.


être Bio, un produit doit contenir plus de 95 % d’ingrédients issus de l’agriculture Biologique (le fameux aB !). Les plantes utilisées dans la gamme Bio de Phytalliance sont 100 % issues de l’Agriculture Biologique. Mais il ne suffit pas d’être AB pour commercialiser du bio, encore faut-il également être certifié comme tel. C’est un organisme de contrôle agréé par les pouvoirs publics qui s’en charge : Ecocert. Le contrôle se fait sur l’ensemble du système de production. Le cahier des charges à respecter est extrêmement rigoureux afin de respecter les produits et l’écosystème. En consommant un produit Bio, vous savez que vous respectez l’environnement et que la qualité de votre produit est maximale grâce à une concentration très élevée. En exigeant que 95 % au minimum des plantes utilisées soient issues de l’agriculture Biologique, nous nous donnons le maximum de sécurité pour vous offrir les produits de qualité les plus actifs. ainsi, chaque formule (Bio ou non) développée est soumise à une batterie de tests afin de valider la sécurité du produit aux différents stades de sa production. Sous chacun des produits Phytalliance, vous trouvez un numéro de lot. Celui-ci permet de retrouver grâce à sa traçabilité le lot de produit qui a été fabriqué en amalgame. Chaque lot subit des contrôles à différents stades. Si un seul produit ne répond pas aux exigences de qualité lors des phases tests, nous retirons purement et simplement le lot en entier de la vente.


Phytalliance a élaboré une trentaine de produits à base de plantes, dont une partie en bio. Cette gamme présente de nombreuses atouts pour augmenter la thermogenèse, lutter contre la rétention d’eau, déstocker les graisses, profiter de vertus diurétiques de la phytothérapie, etc. Voici un tour d’horizon des composants essentiels sur lesquels Phytalliance s’appuie pour proposer le produit adapté à chacun de ses clients, associé à un traitement personnalisé.

LES ProDuiTS PHYTaLLiaNCE : La rENCoNTrE DES CoMPLéMENTS aLiMENTairES ET DES PLaNTES


Pour chacun des produits Phytalliance, nous sélectionnons les plantes les plus reconnues pour les vertus que nous recherchons. Nous prêtons attention à ce que ces plantes se marient bien entre elles et décuplent l’efficacité de la formule finale. Voici quelques plantes que nous utilisons régulièrement dans nos produits :

des PlAntes PoUr MAigrir

Les ProDUiTs PHYTaLLiaNCe :


Le thé vert stimule la thermogenèse, accélérant la consommation des graisses, qui sont brûlées pour produire de l’énergie. Par ailleurs, il inhibe des enzymes digestives, les lipases, dont le rôle est de dégrader les triglycérides, entraînant ainsi une diminution de la digestion des graisses et de leur accumulation dans le foie et les autres régions du corps. Le thé vert contient de puissants antioxydants, des polyphénols (des catéchines) et des flavonols. Ainsi le thé vert a 2 actions principales :

1/ augmenter la thermogenèseDes chercheurs de l’université de genève ont démontré que le thé vert a des propriétés thermogéniques et qu’il favorise l’oxydation des graisses. L’extrait de thé vert a provoqué un accroissement de 4% de la dépense d’énergie en 24 heures qui peut être traduite par une augmentation de 35 à 43 % de la thermogenèse quotidienne. Cette étude a été portée sur 10 jeunes hommes en bonne santé. Ceux qui ont pris l’extrait de thé vert ont dépensé 266 calories de plus chaque jour que ceux sous placebo. Le thé vert a donc le potentiel d’influer sur le poids.

2/ Le thé vert augmente le déstockage des graissesLe thé vert accélère la capacité des cellules musculaires à prendre et à brûler des acides gras, donc à dégrader les graisses. Cela pourrait aussi expliquer en partie que le thé vert aide à perdre du poids.

Le BrULe-Graisse sTar :

thé vert


L’artichaut, est l’une des plus ancienne plante cultivée dans le monde et son histoire remonte à plus de 2 000 ans. il a d’abord été cultivé en Ethiopie puis est passé en Europe du sud via l’Egypte. Les grecs et les romains l’utilisaient pour faciliter la digestion. Dans la médecine traditionnelle européenne, les feuilles de l’artichaut étaient utilisées comme diurétique et cholérétique. L’artichaut possède des vertus diurétiques et digestives. une mauvaise digestion et un drainage insuffisant peuvent empêcher la perte de poids, et ainsi favoriser la rétention d’eau et les gonflements au niveau du ventre. L’artichaut participe à la désinfiltration des tissus en réactivant les fonctions d’élimination de l’organisme. il agit principalement sur le foie en stimulant la sécrétion biliaire et son élimination. ainsi, toxines et déchets sont plus facilement éliminés et l’organisme peut entamer une perte de poids plus efficacement.

CoUP De PoUCe DiGesTiF :

ArtichAUt


La levure de bière est un champignon microscopique aux propriétés aussi riches que variées. il est important de distinguer la levure de bière de la levure chimique utilisée en pâtisserie, qui elle n’a aucune valeur nutritive. il existe 2 formes de levures de bière : la levure de bière active (vivante) et la levure de bière inactive. Cette dernière est obtenue dans les brasseries, après la fermentation du malt et du houblon : c’est un résidu de la bière. Ce procédé a l’avantage d’être peu coûteux mais il inhibe une partie des bienfaits de la levure de bière. La levure de bière vivante, cependant, est spécialement cultivée dans des laboratoires et conservée grâce à des techniques très particulières, qui lui permettent de conserver toutes ses qualités. La levure de bière vivante fait partie de la grande famille des probiotiques. Les probiotiques sont des micro-organismes vivants qui exercent un effet bénéfique sur l’organisme et rééquilibrent la flore intestinale. Il existe de nombreuses espèces de levures et de bactéries qui agissent ainsi, mais chacune a une action spécifique. La levure de bière est particulièrement recommandée pour soigner les diarrhées, ainsi que pour éviter les désagréments dus à la prise d’antibiotiques. En effet, ces médicaments détruisent une partie de la flore intestinale. Cette action participe grandement au rééquilibrage intestinal permettant de retrouver un ventre plat.

CoNForT iNTesTiNaL :

levUre de bière


L’éleuthérocoque est un arbuste épineux qui pousse principalement en Sibérie, en Corée et dans le Nord de la Chine. Il fait partie de la même famille botanique que le ginseng, avec lequel il est souvent confondu. L’éleuthérocoque est d’ailleurs couramment appelé (à tort) ginseng de Sibérie. En phytothérapie, on utilise la racine de l’éleuthérocoque, sous forme de poudre.

Le stress est la réaction naturelle de l’organisme face aux contraintes extérieures, qui lui permet de s’adapter à son environnement. Cependant, sur le long terme, le stress peut entraîner des conséquences négatives sur la santé, et notamment sur la prise de poids. En effet, en situation de stress, l’organisme sécrète de grandes quantités de cortisol, une hormone qui favorise la sensation de faim et le stockage des graisses. réduire son stress est donc une première étape pour la perte de poids.La racine de l’éleuthérocoque, comme le ginseng ou la gelée royale,

fait partie des substances dites adaptogènes qui permettent d’accroître la résistance générale de l’organisme aux différents stress, tout en provoquant un minimum d’effets secondaires. L’avantage de l’éleuthérocoque est que son action continue après l’arrêt de la prise.

sToP aU sTress :

eleUtherocoqUe


L’huile de Krill est une source relativement nouvelle d’oméga 3. Plusieurs enquêtes suggèrent que l’huile de crevettes de l’Antarctique serait de qualité supérieure et moins susceptible d’être contaminée que celle provenant de l’huile de poisson. Le krill étant à la base de la chaîne alimentaire il est beaucoup moins contaminé que les grands poissons carnivores du haut de la chaîne. De plus, le Krill contient une forte proportion d’astaxanthine. L’astaxanthine est un antioxydant très puissant de la famille des caroténoïdes. Son action anti radicaux libres peut être jusqu’à 50 fois plus efficace que la vitamine E ou le bêta-carotène. L’Astaxanthine exercerait également une action anti-inflammatoire et stimulerait le système immunitaire. Cette source d’oméga 3 a également un effet cardio-protecteur, contribue à diminuer les taux de cholestérol et de triglycéride. une des propriétés les plus intéressantes de l’astaxanthine est son rôle dans la protection et la réparation de dommages de la rétine et de la dégénérescence maculaire liée à l’âge (La DMLa est la première cause de cécité avec l’âge).

BieN-eTre GeNeraL :

Krill


retrouvez tous nos produits et leurs caractéristiques sur notre site internet www.phytalliance.com.

Nos équipes sont également à votre disposition pour vous adresser les informations que vous souhaitez sur simple appel téléphonique.


Du BoN uSagE DES EXErCiCES PHYSiquES La méthode Phytalliance vous propose une solution pour maigrir durablement sans régime grâce à un accompagnement basé sur une alimentation équilibrée, un soutien psychologique et l’optimisation des ressources naturelles des plantes grâce à la phytothérapie. Ce cocktail vertueux doit être complété par un minimum d’activités physiques, simples, douces et régulières. ici aussi, les conseils de Marc Dumon vous sont précieux…


il vous faut prendre l’habitude, comme une seconde nature, de pratiquer l’exercice physique dans votre vie quotidienne. Vous vous lavez bien le matin ? Vous vous brossez les dents ? Vous vous habillez avant de sortir ? a ces règles, ajoutez celle de « bouger ». un accroissement de l’exercice physique a de nombreuses répercussions positives sur la santé et joue un rôle essentiel dans la réduction pondérale. Bouger tous les jours amène de nombreux changements au sein de l’organisme. Premièrement, une combustion plus importante des calories et des graisses. De plus, l’amaigrissement se produit au profit des graisses et non de la masse musculaire qui est au contraire renforcée. En effet, en perdant du poids, on perd simultanément de la graisse et des muscles. La meilleure manière de réaliser en même temps une perte de poids et de maintenir sa masse musculaire est de combiner une alimentation à calories réduites et pauvre en matières grasses avec un programme d’activités physiques. Face à la réduction de la quantité de nourriture et à la perte de poids, le corps réagit de manière physiologique. il « croit » à une réelle situation de pénurie et limite autant que possible ses besoins énergétiques (réduction du métabolisme basal). Cette réaction est la bienvenue pour assurer la survie dans des conditions difficiles, mais elle est naturellement indésirable lorsque l’on désire perdre du poids. En pratiquant davantage d’exercice physique, vous pouvez annuler ce mécanisme de régulation et jouer sur les deux tableaux : augmentation de votre masse musculaire et perte de poids.

Plus de bien-être et de maîtrise du stress

En bougeant plus, vous vous sentirez mieux de jour en jour et vous aurez la certitude d’être sur la bonne voie. L’activité physique permet en outre de maîtriser le stress. Elle est de ce fait très utile chez les personnes ayant tendance à compenser par la nourriture. L’activité physique est, parallèlement à une alimentation adaptée, essentielle pour réaliser une perte de poids. Elle l’est par la suite également pour éviter de reprendre les kilos perdus.


L’observation durant un an de personnes ayant suivi avec succès un programme amaigrissant a révélé que celles qui ont poursuivi leurs efforts au niveau de l’activité physique ont beaucoup mieux réussi à maintenir leur nouveau poids corporel que celles ayant renoncé à toute forme d’activité physique. Plus d’activité physique signifie en outre une meilleure protection contre l’ostéoporose, moins d’infarctus du myocarde et un allongement de l’espérance de vie. Votre bien-être physique et psychique profitera d’un accroissement de l’activité physique.

Bouger, mais comment et combien de temps ?

il ne faut pas confondre exercice physique et sport. Vous n’avez pas besoin de pratiquer une quelconque activité sportive. De plus, le sport, souvent repris trop tard et trop intensivement au cours de l’existence est toujours source de fatigue et blessures, ce qui aboutit à l’inverse de l’effet escompté.

Si vous êtes sportif, restez-le, sinon faites attention et consultez un médecin au préalable. actuellement, la faculté préconise 30’ par jour d’exercice physique, ce qui semble suffisant pour se maintenir en bonne santé. on peut y rajouter d’autres activités liées à votre vie quotidienne. Prenez les escaliers plutôt que l’ascenseur ou l’escalier roulant. Si l’effort est trop grand au début, contentez-vous d’un ou deux étages à pied et prenez l’ascenseur pour le reste. Descendez du bus ou du tram un arrêt avant votre destination et faites le reste du chemin en marchant d’un bon pas. Ne parquez pas votre voiture directement devant la porte. Laissez-la un peu plus loin et faites le reste du chemin à pied. a midi, faites un petit détour sur le chemin d’un commerce. allez-vous promener régulièrement avec votre chien ou, mieux encore, constituer un club d’amis ou rejoignez une association. Pas besoin donc de devenir un habitué des clubs de fitness ! Cherchez tout d’abord à faire plus de mouvement dans votre vie de tous les jours. il y a à coup sûr maintes occasions de bouger plus, même si ces efforts paraissent minimes pris séparément. Comme par exemple se lever pour changer de programme à la télévision ou ouvrir la


porte du garage soi-même au lieu d’utiliser la télécommande. Laissez aller votre imagination et découvrez ce qui vous convient vraiment : retournez à la piscine, essayez les activités ludiques (comme le vélo ou le bowling), Essayez surtout d’intégrer ces activités supplémentaires dans votre vie quotidienne afin qu’elles deviennent pour vous aussi essentielles que dormir ou manger. au bout de trois mois, l’habitude est prise et ne plus le faire deviendra un manque. Vous aurez gagné !


La marche à un rythme soutenu est une manière idéale de pratiquer un exercice physique d’intensité moyenne. Vous êtes indépendant des horaires d’un club de fitness, ne payez pas de cotisations onéreuses et n’avez pas besoin d’équipement ou de vêtements particuliers. En outre, le risque de blessures est pratiquement nul, la charge sur les articulations est minime et un rythme de marche individuel vous permet de vous entraîner sans vous exténuer. En commençant à pratiquer la marche régulièrement, vous faites un pas décisif vers la perte de poids. Commencez dans les limites de vos possibilités et augmentez peu à peu la dose d’effort. Dans la pratique, vous commencerez par exemple par marcher pendant 15 minutes selon votre rythme. Si vous n’aimez pas marcher pour marcher, effectuer des safaris photos (on oublie les kilomètres à la recherche de la photo du siècle), allez cueillir des mûres, chassez les escargots ou les papillons. Vous souriez ? N’ayant pas peur du « ridicule » car ce qui l’est, c’est de rester chez soi à regarder la télévision et s’apitoyer sur ses kilos en trop.

montez en puissanceaprès une période de « mise en train », augmentez progressivement la durée de l’exercice par paliers de cinq minutes pour arriver à un exercice journalier de 30 à 60 minutes. Marchez d’un bon pas, mais sans vous épuiser. Pas question d’arriver à bout de souffle, mais vous devez tout de même faire un effort plus marqué que si vous marchiez normalement. N’augmentez le temps ou le rythme de marche que lorsque vous vous sentez parfaitement à l’aise. il ne sert à rien de précipiter votre entraînement. Certaines personnes préfèrent faire du jogging, ou d’autres activités physiques. L’important est que vous pratiquiez une activité qui vous plaise et surtout que vous soyez régulier. Faites de l’exercice si possible quotidiennement. Ne perdez pas de vue qu’un peu d’activité physique, c’est toujours mieux que rien ! Les calories supplémentaires que vous aurez brûlées au cours d’une journée s’ajoutent les unes aux autres et forment un supplément dans la balance énergétique.

PerDre Des KiLos GraCe a La marCHe


NouS VouSaCCoMPagNoNS VraiMENT… Santé, diététique, psychologie, phytothérapie, qualité, écoute, partage, accompagnement, plaisir, équilibre, activités physiques…

Voici les éléments fondamentaux de notre méthode Phytalliance pour maigrir sans régime, que nous avons commencé à vous présenter à travers cet ouvrage.

Vous savez dorénavant pourquoi les régimes échouent et comment, au fil des ans, chacun de nous peut être amené à grossir, même au prix de nombreuses restrictions alimentaires.

Voilà pourquoi il nous a semblé utile d’aborder avec vous la dimension physiologique d’une perte de poids durable, notamment en prenant conscience de l’importance d’une activité physique régulière et des bienfaits de la phytothérapie, véritable don de la nature que nous mettons à profit pour vous accompagner vraiment dans ce projet, sans faux-semblants ni promesses aléatoires.

etes-vous prête à maigrir ?

Si la réponse est oui, nous sommes là pour vous !


Les témoignages cités ici sont réels. ils correspondent aux propos spontanés de notre clientèle, sans contrepartie d’aucune sorte. Pour des questions de confidentialité, nous avons seulement supprimé leur nom de famille et le type de produits utilisés. Certains de ces résultats, notamment pour les pertes de poids très importantes, résultent d’un accompagnement par des professionnels de santé. a travers ces mots de vérité, nous avons voulu valoriser des personnes qui ont maigri par des prises de conscience et de nouveaux comportements sur le plan psychologique, diététique et physique. La méthode et les produits Phytalliance n’ont fait que les accompagner, avec professionnalisme et empathie. Puisqu’elles ont réussi, nous sommes persuadés que vous pourrez le faire aussi.

marianne, Bouvelle (59)« Je suis très satisfaite, j’ai perdu 10 kg en 6 mois ! Je me sens mieux et je n’ai pas eu de difficultés. Je suis toujours en suivi et espère pouvoir atteindre la barre des 60/65 kg (j’en pèse actuellement 74). Merci à Phytalliance et à sa formidable équipe ! »

Cindy, Brest (29)« [...] J’ai essayé vos produits il y a deux semaines (sérieusement, car avant je ne le faisais pas correctement) et j’ai pu constater le résultat sur la balance ! En 2 semaines, j’ai perdu 2 kg ce qui n’est pas rien. [...] »

Des moTs De VÉriTÉ…


mme T, Pessac (33)« J’utilise les produits Phytalliance depuis trente-quatre jours. Ma perte de poids est de 9 kg. J’associe ce traitement à mes habitudes alimentaires : par goût beaucoup de salades, des soupes de légumes faites maison, du laitage, des fruits, de la viande blanche et du poisson. Aucune fatigue, donc que du bonheur ! »

Jacques, Lempdes (63)« Bien des jours se sont écoulés depuis que j’ai entamé diverses cures sur les conseils et le contrôle de vos conseillères. Mon surpoids traité dès le début des prescriptions a été ramené de 96 Kg à 80 Kg sans difficulté. [...] Je remercie Phytalliance pour cette joie de vivre retrouvée. »

Nathalie, romainville (93)« Madame, Monsieur. Je voudrais témoigner spontanément pour l’efficacité de vos conseils et de vos produits que je trouve personnellement fantastiques et un super accompagnement à un régime équilibré et adapté à chaque personne. J’étais en obésité morbide soit 186 kg 800 au 18 décembre 2007, je me trouve actuellement à 78 kg [...] j’ai eu un appel de Phytalliance qui me proposait une solution, plutôt un accompagnement à mon amincissement et là, ce fut un miracle : le ventre s’amincit, l’eau je l’évacue plus facilement et en plus, j’ai une pêche d’enfer. Cela fait plusieurs mois que je continue le programme avec des gélules, cela marche super bien et je me sens bien dans ma peau en perdant en centimètres et en poids. Je tiens à souligner que chaque conseillère que j’ai eu (Carole, Isabelle, etc.…) ont été d’une gentillesse et d’une efficacité débordantes. Elles prennent leur métier à cœur et redonnent le moral, je les salue personnellement et les remercie de leur bonne humeur égale à chaque coup de fil. Je souhaite à chacun et chacune d’entre vous de croire que l’on perd du poids avec Phytalliance dans la sécurité, car ceux sont des plantes, et aucun effet secondaire à constater, je peux vous le garantir [...] »


isabelle, Le Poinçonnet (36)« Ayant été satisfaite par l’utilisation de vos produits, j’en ai parlé à une amie ! Celle-ci aimerait avoir vos conseils pour débuter une cure. Puis-je la parrainer ou du moins la faire entrer en contact avec vous ? Merci d’avance. »

sandrine, Demangevelle (70)« Je vous adresse ce courrier afin de vous dire pour ma part que je suis pleinement satisfaite en ce qui concerne Phytalliance. Je suis contente d’avoir comme interlocutrice Elodie qui me suit aujourd’hui depuis 4 mois, et que je trouve fort sympathique. Non seulement elle n’hésite pas à répondre à mes questions, mais elle m’encourage à continuer ce programme afin de perdre mes kilos. J’ai perdu 23 kg et j’en suis satisfaite. »


Ce livret est un extrait du livre complet

de 178 pages « La Méthode Phytalliance :

l’accompagnement pour maigrir sans régime »

rédigé par Marc Dumon (Médecin), Hélène

Vaillant (Diététicienne) et Nadia Poleya

(Psychologue).

Direction éditoriale : Jean-Michel Le Calvez

Chef de projet éditorial : Virginie Poëx

Mise en page et illustration : raphaël Pique

Parution : Septembre 2013

Crédit photo : Shutterstock, Fotolia

Nous remercions toutes celles et ceux qui ont

participé ou contribué à la réalisation de cet

ouvrage, ainsi que les clientes, collaboratrices

et partenaires de Phytalliance pour leurs

témoignages.


Depuis des années et des années, des millions de femmes effectuent des régimes qui promettent monts et merveilles et qui se terminent tous par un échec à court, moyen ou long terme. Est-ce une fatalité ?

Fruit de la collaboration d’un médecin, d’une diététicienne et d’une psychologue, ce livre détaille par le menu le travail d’accompagnement effectué par Phytalliance pour aider chaque année des dizaines de milliers de femmes à maigrir… sans régime.

En proposant d’agir simultanément sur l’alimentation, l’exercice physique, le mental et en vous faisant bénéficier d’un programme sur mesure selon votre profil nutritionnel et psychologique, Phytalliance vous offre une vraie alternative.

Pédagogique et illustré, ce livre fera du bien à toutes celles qui souffrent dans leur chair de kilos en trop ou de surpoids et qui veulent comprendre pour agir vraiment et durablement.

Pour cela, appuyez-vous sur les connaissances de nos équipes, les témoignages de nos clients, les résultats de nos tests et les bienfaits de nos produits à base de plantes pour vous forgez votre propre opinion.

En un mot, lisez ce livre !

« UN LIVRE VÉRITÉ SUR LES RÉGIMES » (Fabienne, de Monceau-les-Mines)

« J’AI (PRESQUE) TOUT COMPRIS. VOTRE MEDECIN, VOTRE PSYCHOLOGUE ET VOTRE DIÉTETICIENNE CHERCHENT À EXPLIQUER, PAS A VENDRE » (Valérie, de Metz)

« UNE SOLUTION TOTALEMENT DIFFÉRENTE ET NOUVELLE D’ABORDER LE PROBLÈME DES KILOS EN TROP ET DU SURPOIDS » (Pierrette, de Cherbourg)

la méthode phytalliance

L’aCComPaGNemeNT Pour Maigrir saNs régiMe

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