· 2016. 9. 5. · 4 Brive Mag’- N°291 - Septembre 2016 C’EST NOUVEAU Un Salon qui décolle...

Brivemag’www.brive.fr

Magazine municipald’information de BriveN° 291

SEPTEMBRE 2016

Dossier

Collecte des biodéchets

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3Septembre 2016 - N°291 - Brive Mag’

ÉDITO

Bousculer l’immuable statu quo n’est pas syno-nyme d’échec. Au contraire, c’est une obligationincontournable pour celles et ceux qui veulent

faire avancer les choses. Cette démarche, je l’ai vouluesans obéir à un dogme mais nourri de l’expérience quifut la mienne dans l’entreprise, confrontée mais nonopposée à la culture publique que je connais par monvécu des mandats d’élu pour Brive.

Les contraintes qui pèsent sur nos collectivités ne nous permettent plusde reproduire les schémas connus. La faiblesse des moyens financiers, no-tamment publics, parfois à bout de souffle, des villes françaises, est unevérité. L’impôt ne peut plus être la variable de redressement des comptespublics, lequel passe par une maîtrise et une gestion durable de notre dé-pense publique. Il apparait aussi que si l’action publique est indispensablepour porter une vision globale de la ville, elle doit aussi s’ouvrir à de nou-veaux modèles. Pourquoi alors le privé ferait-il plus mal que le public ?Ou le public plus mal que le privé ? La ville aborde la question sur le fondsans tabou mais avec la volonté constante de veiller avec ses moyens à laqualité de service rendue à la population.

Prenons l’exemple de Brive Festival. Son modèle, jusqu’alors déficitaire,a évolué ces 3 dernières éditions et présente pour la première fois cetteannée des résultats financiers positifs. Mais augmenter le nombre deconcerts comme trouver des artistes de grand renom représente un coûtet un risque certain. C’est une des raisons pour lesquelles nous avonsdécidé d’ouvrir Brive Festival à un partenaire privé, le groupe mondialVivendi. Cette évolution consolidera pour son modèle un accès à unpanel d’artistes et à des supports de diffusion nationaux, et affirmeraBrive dans le rang du festival urbain de premier choix.

Autre exemple, celui de la Page Urbaine. Ce dossier entend tracer lescontours du Brive des 20 prochaines années. Il s’appuie sur un travaild’analyse remarquable réalisé par les services techniques municipaux,tout en s’ouvrant aux avis du secteur privé, dans sa réflexion stratégiquecomme dans les projets structurants qu’il pourrait porter.

Chacun apportera ainsi une contribution dans un partenariat public-privé, suscitant la pertinence du développement futur de Brive. Sur biend’autres sujets, il faut que Brive porte une vision pragmatique et modernede son action publique.

Dans un principe de vérité, Brive se doit d’agir avec une triple exigence :la bonne gestion de nos finances, la qualité du service rendu à la popula-tion et le développement de notre territoire.

Frédéric SOULIERMaire de Brive

Président de la Communauté d’Agglomération du Bassin de Brive

SOMMAIRE DOSSIER - P 6En octobre va débuter la collectedes fermentescibles. Une expérimentation qui concernera le quartier des Rosiers.

PORTRAIT - P 18/19À 30 ans, le Briviste RomainGrosjean, cinéphile pointu et ac-teur majeur de l’action culturellecinématographique locale, prendles rênes du Rex.

PATRIMOINE - P 20/21Le programme des manifestations prévues àBrive les 17 et 18 septembre dans le cadre desJournées du patrimoine.

RENDEZ-VOUS - P 23Yannick Jaulin et Bertrand Cantat ouvrent la nouvelle saison des Treize Arches.

RENTRÉE - P 27/28/29 Près de 3 400 élèves vont faireleur rentrée dans les classes ma-ternelles et élémentaires de Brive.Sans oublier les 1 900 étudiants.

ÉVÉNEMENTS - P 30Le mardi 6 septembre à 19h à l’Espace Chadourne, les Brivistes sont invités à découvrir et à débattre de la Page Urbaine.

ASSOCIATION - P 36Généalogie en Corrèze organise son forumGenco 2016. 150 associations et 5 000 visiteurssont attendus.

0 801 800 900APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE

N° Vert

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4 Brive Mag’ - N°291 - Septembre 2016

C’EST NOUVEAU

Un Salon qui décolleLe premier Salon de l’aéronautique et du spatial de Brive se tiendra du 6 au 9 octobre à l’Espace Chadourne. Avec la participation duCNES. L’ambition est d’éveiller les vocations.Et de faire rêver.

Des ailes anciennes à Ariane 6. Pour les élèves et grand public.

Voilà longtemps que l’AIRAC, fervent défenseur du patrimoineaéronautique et spatial, avait en ligne de mire d’organiser unsalon du genre. L’association a même décroché le soutien et laparticipation du très sélectif CNES (Centre national d’étudesspatiales). Il faut dire qu’avoir dans ses rangs un ancien de lamaison parmi d’éminents membres, dont de nombreux pilotesémérites, a beaucoup compté. Ce premier Salon se tiendra àl’Espace Chadourne et aux abords. « C’est un galop d’essai. L’anprochain, on aimerait le faire à l’aéroport, assorti d’un mee-ting », espère Jean-Louis Basse.

Faire un robot martien ou piloter un A320Même « en ville », la manifestation promet des animations al-léchantes. Notamment les deux premiers jours davantage dédiésaux jeunes pour leur montrer toutes les potentialités de ce sec-teur, ses multiples débouchés professionnels et éveiller peut-être des vocations. Le CNES, présent seulement ces deux jours,y animera ainsi 4 ateliers où les jeunes pourront à loisirconstruire une fusée, un robot martien, le système solaire oudécouvrir les étoiles avec un planétarium. Des industriels lo-caux et régionaux intervenant dans ce domaine exposeront éga-lement leurs fabrications. « C’est un secteur d’avenir qui recrutedes ingénieurs mais aussi des bac pro, BTS, tourneurs, chau-

dronniers, électroniciens... » Les visiteurs pourront utiliser unsimulateur d’A320 « à la taille de la cabine » et de planeur (accèspayant aux deux), admirer le Cricri construit par les frères Mu-zergue (le plus petit bimoteur du monde pour la voltige aé-rienne), la reconstitution d’un Blériot, une montgolfière, desdrones, des maquettes... Il y aura aussi la présence des 3 armes,du Mémorial Normandie-Niemen, d’associations, des confé-rences, dont une d’Olivier Lechevalier, patron des Canadairs...De quoi voyager « Des ailes anciennes à Ariane 6 » comme l’in-vite ce Salon.

Marie-Christine Malsoute

Du 6 au 9 octobre, de 10h à 18h à l’Espace Chadourne. Les 6 et 7 pourles scolaires. Les 8 et 9 pour le grand public. Entrée gratuite.

Le boulevard de Jouvenel sécurisé

Durant l’été, le boulevard de Jouvenel a été entièrement réamé-nagé tout le long de l’établissement scolaire Cabanis : trois pla-teaux ralentisseurs à hauteur de l’entrée collège (qui aégalement été agrandie), de la rue Danton et du lycée profes-sionnel, des dépose-minutes, la réfection des trottoirs, du bar-

Réduire la vitesse. Aux abords des collège et lycée Cabanis.

riérage... Ce gros chantier, pensé en concertation avec le comitéde quartier, les responsables d’établissement et les associationsde parents d’élèves, a pour but évident de réduire la vitesse surcette artère. Son montant s’élève à près de 300 000 euros.« C’était une sécurisation incontournable » pour Jean-PierreVernat, adjoint chargé de l’aménagement urbain, « au vu dunombre d’élèves fréquentant le site, entre 3 000 et 4 000 chaquejour avec la proximité des établissements Danton et Bossuet,mais aussi du nombre de véhicules empruntant cet axe, notam-ment aux heures d’entrées et de sorties scolaires ». Quant auxarbres arrachés avant travaux, « le même nombre sera replantéau mois de novembre », précise l’élu.

Le programme se poursuit jusqu’en 2020« Ces travaux entrent dans le cadre de notre programme de sé-curisation de l’ensemble des établissements scolaires de la com-mune », rappelle Jean-Pierre Vernat. Il y a eu en 2015 l’école HenriGérard sur l’avenue Guynemer et Jules-Vallès sur l’avenue Dela-croix, puis cet été Cabanis sur le boulevard Jouvenel et Saint-Ger-main sur les rues Mozart et Berlioz (voir page 28). « D’autressuivront. L’objectif est de sécuriser l’ensemble d’ici à 2020. »




C’EST NOUVEAU

Des passages piétons plus sûrs

Le Teinchurier. Des passages piétons sécurisés.

La société Abel illumine désormais les passages piétons du giratoire du Teinchurier.C’est le premier à bénéficier de la technologiedéveloppée par la société briviste afin d’améliorer la sécurité.

La Ville et l’Agglo de Briveen un clicDe nouveaux sites internet qui surfent sur l’air du temps.

Modernes. De nouveaux sites plus clairs et faciles à utiliser.

Les sites internet de la Ville et de l’Agglo de Brive ont été entiè-rement refaits en interne. « C’est un travail énorme qui a né-cessité plusieurs mois de travail pour remettre au goût du jourdes sites datant de 2008 », explique Cyril Granet, directeur dela communication. Une modernisation loin d’être superflue :« Ces sites sont la première vitrine de la ville. » Tous les mois,celui de l’Agglo bénéficie de 8 500 à 10 000 visites et plus de60 000 internautes consultent en moyenne 100 000 pages sur lesite de la Ville.

Première vitrine de la ville Inscrits dans la stratégie d’attractivité de la cité portée par lamunicipalité, les deux sites internet, ainsi que celui de Brive En-treprendre, surfent sur la même arborescence. Ils ont été penséspour être plus faciles d’utilisation : « Le but est que ça aille vitepour l’internaute lambda. » Ainsi, des raccourcis permettentaux familles, aux jeunes, aux seniors ou aux personnes en si-tuation de handicap de rapidement trouver leur bonheur surle nouveau brive.fr qui compte quelque 200 pages illustrées. Recréées de toutes pièces sur la base des informations contenuessur les anciens sites et validées par les services, les nouvellespages se veulent plus claires. Brive.fr s’ouvre ainsi sur les actua-

lités importantes du moment, affichées de manière éphémèrecar « le site, géré jour après jour en interne, sera amené à évoluerrégulièrement ».À noter que brive.fr accueille désormais les articles du blog bri-vemag.fr. Une newsletter a également été mise en place et unFacebook de la Ville est à l’étude.

Jennifer Bressan

Infos : brive.fr/agglodebrive.fr/brive-entreprendre.fr

Abel, c’est près de 70 ans d’existence à Brive depuis la créationde l’entreprise en 1953 par les frères Fronty. Les descendantscontinuent l’aventure en misant toujours plus sur le progrèstechnologique. C’est ainsi qu’est née la borne S-Pass qui a reçu le Prix de l’in-novation en 2015 lors du Salon des maires à Paris.

Des Leds bleusInstallée au giratoire du Teinchurier, S-Pass est une borne pié-ton haute visibilité à LED. D’une hauteur de 1,30 mètre, elle estimplantable en zone urbaine comme en zone rurale.Cette borne est ce que l’on appelle un éclairage intelligent, maisc’est avant tout de sécurité dont il est question.Son avantage réside en effet dans la création d’un marquage lu-mineux bleu rasant et traversant le long du passage piéton.Cette couleur et la délimitation qu’elle projette sur le sol éveil-lent l’attention des automobilistes et les incitent à ralentir.La traversée des passages piétons se fait donc de manière plussécurisée. Un atout non négligeable quand on sait que près de 500 piétonsse font tuer chaque année en France, dont un tiers à proximitéou sur un passage protégé.

Patrick Meneyrol



DOSSIER

près une période d’informationmenée depuis février dernier surle terrain auprès des personnesconcernées (réunions publiques,

rendez-vous avec les 6 ambassadrices etambassadeurs...), la collecte des déchetsfermentescibles dans le quartier des Rosiersva être lancée le mois prochain, en octobre. Avec cette expérimentation, la Ville deBrive, en partenariat avec le Sirtom, sou-haite franchir une étape supplémentairedans la politique de tri des déchets déjàentamée il y a plusieurs années.

De nombreux bénéficesGrâce à celle-ci, depuis 2009, ce sont12 456 tonnes qui ont été détournées del’incinération. De bons résultats qui peu-vent être nettement améliorés sachantque les restes de nos repas constituentencore 30 % du contenu de nos poubellesmarron.

En les triant afin qu’ils soient collectés etvalorisés, les bénéfices seront multiples :des poubelles moins lourdes et sansodeurs avec au bout du processus uncompost et des engrais naturels de qualitéqui seront revendus. Bilan de l’opération : une économie subs-tantielle (le compostage d’une tonne dedéchets revient à 45 euros contre 110 eurospour l’incinération), et un impact moindresur l’environnement.

Obligatoire en 2025Ce sont les 2 300 foyers du secteur desRosiers qui vont donc se lancer danscette expérimentation. Les habitants dece quartier, choisi parce qu’il était repré-sentatif de l’habitat périurbain mêlant

logement collectif et résidences indivi-duelles, vont donc, armés de leurs bio-seaux, relever le défi. Pour que ces bio-déchets deviennent demain des biopro-duits. Dans un second temps, l’expéri-mentation dont la préparation est encours se poursuivra dans le cœur histo-rique de Brive.La démarche initiée par la Ville vient an-ticiper le futur puisque la loi de transitionénergétique d’août 2015 impose de gé-néraliser le tri à la source des déchets or-ganiques d’ici, 2025. Les collectivités de-vront disposer de systèmes de collecte etde solutions de compostage de proximité. Aujourd’hui, plus de 90 collectivités enFrance ont déjà mis en place la collecteséparée des biodéchets.

La liste des fermentescibles

Sont à mettre dans les bioseaux: épluchures, fruits, légumes abîmés, coquillesd’œufs, café et thé avec filtre et sachet, restes de repas, essuie-tout, viandes etpoissons, croûtes de fromages, coquilles et coquillages, plats périmés sans em-ballage, fleurs fanées et petits débris végétaux, cartons souillés.

transformer les déchets en ressources

En octobre, l’expérimentationconcernant la collecte desfermentescibles débutera surle secteur des Rosiers. 2 300foyers sont concernés.

A

REPÈRES

BIODÉCHETS PRÉ-COLLECTEDES BIODÉCHETS(dans la cuisine...)

COLLECTEDES

BIODÉCHETS

PLATEFORMEDE

COMPOSTAGE

COMPOST PLANTATION(légumes, fruits...)

OU

Collecte des biodéchets :



Textes : Michel Dubreuil, Marie-Christine Malsoute, Patrick Meneyrol - Photos : Diarmid Courrèges, Sylvain Marchou - Illustrations : Estelle Rezigat

Vous avez dit biodéchet ?

Les fermentescibles. Des déchets à trier.

e façon générale, on peut dire queles fermentescibles, ou biodé-chets, sont issus de ce qui a été vi-vant et qui donne lieu à un

pourrissement et donc à une fermentation.Ce sont essentiellement, pour un foyer,tous les détritus qui sont générés en fai-sant la cuisine ou en jardinant : restes ali-menta i re s ,épluchuresde légumesou de fruits.La tonte de lapelouse etf e u i l l e smortes, etc. sont considérées comme desbiodéchets mais ne seront pas ramasséesdans le cadre de cette collecte et conti-nueront à être déposées en déchetteries.On peut y inclure également certainsproduits issus du bois et notamment lacellulose qui compose les mouchoirs enpapier, l’essuie-tout ou les filtres à café.

Café dont le marc est d’ailleurs lui aussivalorisable.

Trier pour valoriserCar c’est bien de cela qu’il s’agit : valoriserses déchets.Ces restes ne le sont pas s’ils sont mélan-gés aux autres ordures ménagères. Ils

sont même pol-luants pourl’air, le sol etl’eau quand onest contraint deles incinérer oude les enfouir.

Triés en revanche, ils deviennent produc-tifs puisque leur compostage, qu’il soitindividuel ou collectif, permet de fabri-quer un très bon fertilisant. Ils peuvent également servir, par leur fer-mentation à produire du gaz méthane. Enfin, ils peuvent être utilisés à nourrirdes animaux, les poules notamment.

Les biodéchets, aussi appelés fermentescibles, sont tous leséléments organiques que vous jetez habituellement dans votrepoubelle. Plutôt que d’être incinérés, ou parfois enfouis, mieuxvaut les collecter pour les transformer.

« Les biodéchets sont un véritableor brun qui servira à produire pournous nourrir demain. »

REPÈRES

Le Libournais : depuis 2006

La ville de Libourne et son agglomération, en Gironde,collectent les fermentesciblesdepuis maintenant 10 ans.Le but était d’augmenter le tonnage de biodéchets collectés pour réduire celuides ordures ménagères classiques.Des résultats probants sontconstatés depuis cette datepuisque le poids des orduresménagères collectées a baissé de 18 % et le ramassage a étéréduit à une fois tous les15 jours dans certaines communes. En moyenne, 30 kilos de bio-déchets par habitant sont col-lectés chaque année.

D


DOSSIER


Une expérimentation sur les RLe bioseau ajouré pour la pré-collecte

Que ce soit pour la collecte par porte-seaux ou parconteneurs, le tri se fera d’abord dans l’habitat à l’aidede seaux ajourés et qui seront distribués courant sep-tembre. Chaque foyer en recevra un ainsi que des sacsen papier. Ce seau est ultra aéré de façon à permettreun dessèchement des fermentescibles et éviter lesodeurs.

Secteur en orange par bioseaux sur porte-seaux

collecte par bioseaux hermétiques déposés sur des porte-seaux.

fréquence des collectes : • Fermentescibles 2 fois par semaine • OMR (poubelle marron) tous les 15 jours• Tri (poubelle jaune) tous les 15 jours.

Secteur en vert par conteneurs

collecte à domicile des conteneurs fermés d’une capacité de 60 litres.

fréquence des collectes :• Fermentescibles 1 fois par semaine• OMR (poubelle marron) tous les 15 jours• Tri (poubelle jaune) tous les 15 jours

Pour les deux secteurs

pour l’habitat vertical (collectif), la collecte se fait par bac collectif ventilé de 120 à 240 litres

collecte des couches (fermées dans un sac plastique) déposées sur les porte-seaux (pour le secteur en orange) et sur les conteneurs de 60 litres (pour le secteur en vert)

Liquides interditsOn ne doit jamais verser

de liquides, jus ou sauces dans ce bioseau ajouré

afin d’éviter les odeurs ainsique le nettoyage de ce dernier.

Bioseau de collecte

Bioseau de pré-collecte



REPÈRE

Sous le regard de l’AdemeCe projet de collecte des fermentesci-bles intéresse particulièrement l’Agencede l'environnement et de la maîtrise del'énergie. Partenaire du projet, elle en accom-pagne les investissements et la commu-nication à hauteur de 60 %. L’opération sera également suivie deprès par un expert national de l’Ademe.

s Rosiers

Petit lexique de collecte

➽ SIRTOM : Syndicat intercommunal de ramassage des ordures ménagères qui gère 122 communes. Sa devise : « ensemble, faisonsplus pour jeter moins ».

➽ Fermentescibles : on dit aussi biodéchets ou déchets biodégrada-bles (voir leur composition page 7)

➽ OMR : ordures ménagères résiduelles, c’est la part des déchets quirestent après les collectes sélectives, parfois appelée poubelle grise.

➽ Tri : il s’agit de la poubelle jaune pour la collecte sélective des car-tons, emballages, métalliques, briques, flacons plastique...

Périmètre. Les deux zones du secteur des Rosiers concernées par la nouvelle collecte des biodéchets.



DOSSIER

Les ambassadeurs : un travail de fourmis

Les ambassadeurs. Ils sont présents pour répondre à toutes vos questions sur le tri des fermentescibles.

’est un travail de longue haleinequ’ont entrepris les six ambassa-deurs du tri, mandatés par lamairie, pour aller à la rencontre

des habitants des quartiers concernés parcette expérimentation sur la collecte desbiodéchets.Depuis le mois de juin, ils sillonnent, carteofficielle en main et badge sur la poitrine,les rues du quartier test des Rosiers.Du porte-à-porte, unvéritable travail defourmis. « Heureuse-ment se réjouit Anne,l’accueil est plutôt trèspositif de la part desriverains. Très peusont ceux qui refusent le dialogue ou quinous affirment leur désintérêt pour cettenouvelle collecte. »

Ni odeurs ni mouches« Notre rôle est avant tout d’être àl’écoute, de comprendre le questionne-ment des gens sur cette expérimenta-tion » précise Thomas, « et ainsi depouvoir répondre à leurs inquiétudes ».Ces dernières portent essentiellement surle surcoût éventuel de ce ramassage spé-cifique, et sur la problématique desodeurs ou des mouches qu’il pourrait en-

gendrer. « À nousd’être clairs insisteAndréa, l’utilisa-tion des bioseauxn’attire pas lesmouches et ne créepas d’odeurs nau-

séabondes. » Des arguments basés surl’expérience car les ambassadeurs les tes-tent depuis janvier dernier. De quoi ras-

Ils arpentent le quartier des Rosiers depuis le début de l’été. Les ambassadeurs du tri vont à votre rencontre.Écouter. Expliquer. Ils répondent à toutes vos questions et éventuelles craintes quant à cette nouvelle collecte. surer les plus récalcitrants, qui heureuse-

ment, sont plus que minoritaires. Il fautdire que le quartier des Rosiers étant lar-gement pavillonnaire, les habitants ontdéjà pris en compte le traitement de laplupart de leurs biodéchets alimentaires(sauf viandes, coquilles et coquillages) àtravers l’utilisation de composteurs indi-viduels, de broyeurs ou, à l’ancienne, depoules.

REPÈRES

Pour toute questionLes ambassadeurs sont toujours sur le terrain et disponibles pour venir vousvoir et répondre à vos questions.Pour les contacter :05.55.18.15.07collectedesfermentescibles@[email protected]

C

« C’est un sport collectif. Si on joue tous ensemble, tout le monde gagnera. »



Bernard LongpréMaire adjoint aux espaces verts et environnement

ous nous sommes donné 10 ansdans notre projet de mandat pourfermer l’un des deux incinérateursen Corrèze par une démarche de

réduction maximale de nos déchets et gas-pillages. La première étape indispensable àcette réussite est le tri des restes de repas(biodéchets), une richesse naturelle sous-estimée, l’or brun de demain, celle qui per-mettra de nourrir nos sols agricoles poursubvenir à nos besoins alimentaires. Avec larécupération de ces biodéchets triés à lasource, on pourra faire un excellent com-post, conforme aux exigences des labels bioet des engrais naturels de qualité qui serontrevendus. En triant ses déchets de table, on

se rend compte que le poids de sa poubelled’ordures ménagères diminue et qu’elle estsans odeur ou presque. Il est important dedire ici que lorsque la poubelle ne sent plus,on la présente deux fois moins souvent à lacollecte et on met fin aux nuisances olfac-tives pour les voisins dans les ruelles ou lescours intérieures.Trier la totalité de ses restes de repas signi-fie retirer 30 % du poids de sa poubelle,c’est énorme. Notre objectif est de captergraduellement jusqu’à 90 % de ces biodé-chets pour atteindre 100 % en 2025, ce quisera alors obligatoire selon l’Union euro-péenne. C’est un acte militant. Et un puis-sant catalyseur qui déclenche une envie

d’aller beaucoup plus loin au niveau du triet de refuser l’emballage inutile ou évitable.C’est aussi un appel fort à s’orienter versdes achats dans des commerces qui accep-tent de vous servir dans vos propres em-ballages (boîtes alimentaires pour lespoissons, viandes et fromages ; d’utiliserdes filets en coton lavable pour y mettrevos fruits et légumes, ou en dernier recoursdans des sacs papier kraft compostablesqui termineront dans le bioseaux après uneà plusieurs utilisations). Ou encore utiliservotre sac en coton pour aller chercher lepain. Pour un citoyen averti, c’est unefaçon intelligente de consommer en vou-lant préserver notre magnifique planète. »

a loi de transition énergétique im-posera en 2025 le tri à la source desbiodéchets. Il y a une date butoir etil faut s’y préparer, car changer les

habitudes demande du temps. Aujourd’hui, le tri est rentré dans lesmœurs et a considérablement augmenté.Nous le constatons aussi bien dans nos dé-chetteries que sur le ramassage sélectif.L’objectif est de réduire les déchets inciné-rés ou enfouis. Nous allons plus loin dans

cette démarche avec les fermentescibles,d’autant que leur collecte pourrait per-mettre de baisser la fréquence obligatoirede ramassage des ordures ménagères, avecdes conséquences sur le matériel, les ca-mions, les conteneurs, le travail des agents,leur formation. Nous sommes attentifs aux expérimenta-tions mises en place dans toute la France,dans la recherche de moindre coût etd’une meilleure efficacité. Nous accom-

Yves LaportePrésident du SIRTOM*

pagnons l’expérimentation entamée àBrive dont la spécificité est la collecte parpetits bacs. Cette expérimentation va servir pournotre territoire de 122 communes avec desspécificités différentes, mais aussi au ni-veau national, car chacun regarde ce quefait l’autre. »

* Syndicat intercommunal de ramassage et de trai-

tement des ordures ménagères

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«

ssommé par une propagande« verte », chacun d’entre nouss’est déjà posé la question de sa-voir quelles pourraient être les

actions concrètes et réellement utilespour améliorer notre lien avec l’environ-nement.

Le tri des déchets est une démarche sim-ple mais collective et pragmatique, doncréellement efficiente pour y participeractivement.

Avec l’engagement de chacun, trier lesfermentescibles, c’est :

produire des déchets « valorisables » ; réduire les quantités de déchets pol-luants (enfouis ou incinérés) ; faire des économies sur les coûts detraitement de ces déchets ; rendre la poubelle OMR (marron) ac-ceptable, puisqu’elle ne sent plus mauvais.

C’est un véritable travail d’équipe. Lesélus sont motivés ; le SIRTOM peaufinel’aspect technique, et chacun d’entrenous en tant qu’administré se sent forcé-ment impliqué !Changer ses habitudes est toujours undéfi. Nous allons le relever ensemble,

Daniel FischerVice-président de la commission environnement de l’Agglo

épauler par une équipe d’ambassadeursdu tri hyper-motivés. Cela permettra, àcourt terme, de généraliser cette collectespécifique à l’ensemble des zones urbani-sées de la CABB.

Merci par avance à tous ceux qui vontparticiper à cette expérimentation, nonpartisane et sans caractère politique, dontle seul but est d’améliorer notre quoti-dien à long terme.

TRIER, c’est agir pour notre environne-ment, nos enfants, notre ville, notreCorrèze !

A«

La collecte de fermentescibles, une démarche qui a du sens !



ACCESSIBILITÉ

Faire face aux troubles psychiques

’Unafam était l’Union nationaledes amis et familles de maladesmentaux. Elle est désormaisl’Union nationale des familles et

amis de personnes malades et/ou handi-capées psychiques.Derrière cette dénomination se trouveune association qui s’occupe « essentiel-lement de personnes qui souffrent de ceque l’on englobe dans le qualificatif « schi-zophrénie ». « Nous constatons, au fildes rencontres avec les familles, que, der-rière ce terme générique, on trouve presquesystématiquement des pathologies néesdu basculement d’un manque de confianceévident vers ce que l’on appelle une ma-ladie psychique. »

« Que va-t-il devenir ? »Selon Claude Baudin, président de l’Unafamde la Corrèze depuis 10 ans, « soutenir lesfamilles qui, souvent, ne comprennent pasce dont souffre leur enfant et ne saventabsolument pas vers qui se tourner esttrès important. Car nous faisons le constatsuivant : les parents de personnes maladeset/ou handicapées psychiques nous contac-tent car ils sont perdus, parfois parce qu’undiagnostic n’a pas été clairement posé, etsurtout parce qu’ils s’inquiètent de l’avenirde leur enfant. " Que va-t-il devenir lorsquenous ne serons plus là ? " est l’interrogationqui revient le plus souvent. » Le local bri-viste de l’association, situé quartier

Bouygue, derrière l’IUT, reçoit quelque70 visiteurs tous les ans lors des perma-nences qui se tien-nent les mercredis,de 14h30 à 18h.« Beaucoup vien-nent parce que lebouche-à-oreillefonctionne bien,d’autres ont trouvé nos coordonnées surinternet. »

Le combat de l’autonomieClaude Baudin place son combat pour l’au-tonomie des personnes touchées au-dessusde tout, et il alerte : « Quand les familles re-fusent de vivre avec leur enfant malade etque celui-ci n’a pas la possibilité de se loger,c’est très simple : on fabrique des clochards! »

Selon lui, « les malades n’ont, la plupartdu temps, aucune déficience mentale et

sont tout à faitcapables de vi-vre en auto-nomie. Et cecipasse, notam-ment, par lesfaire bénéficier

de l’Allocation aux adultes handicapéssans laquelle ils ne peuvent pas avoir unlogement indépendant. »

Olivier Soulié

L’Unafam est située à la maison de quartier,allée Bouygue. Tél : 06.35.48.29.88 et05.55.87.44.58. Courriel : [email protected]

REPÈRES

L’Unafam adhère au Collectif interassociatif sur la santéL’Unafam est membre du collectif CISS, pour Collectif interassociatif surla santé. Le CISS, créé en 1996, regroupe 44 associations intervenantdans le champ de la santé « à partir des approches complémentaires de personnes malades et handicapées, de personnes âgées et retraitées, de consommateurs et de familles ». Les associations membres, qui réunissent plusieurs centaines de milliers de patientsadhérents, couvrent la totalité des pathologies reconnues par le dispositif des 30 affections de longue durée (ALD), et, au-delà, proposent un très large éventail des problématiques en lien avec la santé.

« Quand les familles refusent de vivre avec leur enfant malade et que celui-ci ne peut se loger, on fabrique des clochards ! »

L

Unafam

Claude Baudin. Le président de l’Unafam de la Corrèze dans le local situé à la maison de quartier de l’allée Bouygue.



BRIVE ENTREPRENDRE

Porter ensemble le développe-ment économique du bassin del’Agglomération de Brive Depuis plusieurs mois, avec les acteursdu développement économique, l’Ag-glo du bassin de Brive et la CCI dela Corrèze ont impulsé une démarchecollective autour d’un concept sim-ple : structurer et promouvoir l’éco-système entrepreneurial de Brive etson agglomération. Cette réflexioncollective, menée en collaborationavec le cabinet Sémaphores, a permisde donner la parole aux entreprisesindustrielles et prestataires de servicesà l’industrie lors de 5 rencontresentre décembre 2015 et mai 2016.

Pour Frédéric Soulier, présidentde l’Agglo de Brive, et Jean-Louis Nesti, président de la CCI,cette manifestation s’inscrit dans ledroit fil de la feuille de route deBrive Entreprendre, présentée lorsde sa création voilà un an. « La dé-marche de réflexion menée avec deschefs d’entreprises locaux et le cabinetSémaphores servira de base pournos débats. Plus largement, elle nour-rira notre position vis-à-vis de laNouvelle-Aquitaine qui est doréna-vant la collectivité-pilote en matièrede développement économique »,souligne Frédéric Soulier.

De 16h30 à 21h30, à l’immeubleconsulaire de Brive !Au programme de cette demi-jour-née : présentation des premières am-bitions pour le territoire par lesconsultants de Sémaphores ; 2 sériesde tables rondes sur 4 thématiquesanimées par des experts et chefsd’entreprises ; un débat animé parl’écrivain, économiste Pascal Perri ;clôture de l’événement par un apéritifdinatoire.

Les Assises de l’entreprise

Inscription obligatoire à l’évènement et aux tables rondes surwww.brive-entreprendre.fr



Le Rex : « La Ville a tenu parole »

Le Rex. L’histoire continue.

Brive Mag’ : L’aventure du Rex continue ?

Jean-Marc Comas : Bien sûr ! La choseétait claire dès le départ. Nous avions ditqu’il n’y aurait pas de discontinuité dansl’activité du Rex et qu’elle serait pérenniséeet cela a été le cas, dès le 1er juillet dernier,à la fois dans la programmation et dansl’accueil du public. Un joli travail de lapart des équipes du service culture et decelle du Rex.

BM : Avec aussi l’arrivée d’un nou-veau directeur programmeur ?

J-MC : Oui. Romain Grosjean a pris lesrênes du Rex. Un choix judicieux puisqu’ilétait jusque-là directeur adjoint du centreculturel de Brive, mais aussi directeur duPôle régional d’éducation à l’image. C’était

un avantage pour ce poste, tout commeles projets qu’il a pour l’activité cinémaArt et Essai et tout ce qui gravite autourafin que Le Rex soit une véritable forcede proposition pour l’avenir.

BM : Cet avenir justement. Comment se dessine-t-il ?

J-MC : Avec des projets. Et le premier estd’ordre fonctionnel avec la création debureaux pour l’équipe du Rex à l’ancienneécole Firmin Marbeau. C’est importantdans le fonctionnement d’avoir un endroitoù se poser, archiver, recevoir, travailler.C’est un point d’ancrage pour Le Rexlui-même, mais aussi pour tout ce quiest en train de se monter autour ducinéma à Brive et notamment autour duFestival du moyen métrage. C’est unequestion de cohérence.Au niveau culturel, le cinéma continueson activité. Il travaille toujours avec lesassociations qui gravitaient autour avantla reprise en régie municipale. Rien ne change si ce n’est que, désormais,la direction de la culture sera associée à lavie du Rex. L’un des axes importants de travail vaêtre la conquête de nouveaux publics etnotamment les plus jeunes qui doivent

pouvoir venir vers le cinéma Art et Essaiet le découvrir, tout cela en complémentdu cinéma dit commercial. Tout ce qui se faisait déjà avec le Pôle ré-gional d’éducation à l’image, avec lesécoles, va être amplifié. Le Festival dumoyen métrage est un rendez-vous majeurcar, dans la Nouvelle-Aquitaine, il n’y aque trois villes reconnues pour ce genrede festivals : Brive, La Rochelle et Bordeaux.Il est donc logique que Brive devienneune ville incontournable en la matière.

BM : Le Rex, le Pôle, le Festival, au-tant d’outils pour une future maisonde l’image ?

J-MC : Oui. Si nous voulons que Brivereste un phare dans la nouvelle grande ré-gion, il faut, entre autres, mettre en valeurtout ce qui se fait autour de l’audiovisuelet du cinéma et cela passe par la créationd’une maison de l’image. Cette maison fédérera et organisera tousles acteurs qui travaillent sur ce thème àBrive, y compris un endroit qui devraitvoir le jour bientôt qui s’appelle le Tiers-lieu. Mais nous aurons l’occasion d’en re-parler.

Propos recueillis par Patrick Meneyrol

Jean-Marc Comas est adjoint au maire encharge de la culture.Après plusieurs semainesde « fausses rumeurs », ilfait le point sur le cinémaLe Rex et son avenir.

ÉVÉNEMENTS



PORTRAIT

e temps d’un été, le BrivisteRomain Grosjean a fêté ses30 ans, il est devenu papa ; etil va prendre au 15 septembreles fonctions de directeur pro-

grammateur du cinéma d’Art et Essai LeRex. Pourtant, le grand blond aux yeuxbleu gris semble incroyablement serein.« Avoir sous les yeux l’affiche de Man onhigh steel (du Sud-Coréen Jin Jang,NDLR) qu’on a réussi à programmer doitme galvaniser ! J’ai conscience que c’estun énorme challenge qui m’attend. » Assis dans un fauteuil rouge du Rex, il ra-conte les 7 ans écoulés comme ils ont dûpasser : en accéléré, depuis son stage aucentre culturel en 2009. Ses connaissancespuisées dans la matière même des œuvres,auprès des professionnels et dans les festi-vals, il a monté une à une les marches (ycompris celles de Cannes) jusqu’à prendreles rênes du Rex.

Des voyages au métrageDepuis 2013, Romain Grosjean est co-di-recteur du centre culturel de Brive et direc-teur du Pôle régional d'éducation à l'imageLes Yeux verts. C’est à l'issue d'un appel à candidaturesqu’il a été nommé à la tête du Rex par laVille qui a repris le cinéma d’Art et Essai enrégie municipale au 1er juillet. « J’ai beaucoup de chance, et en mêmetemps, dès que je me dis ça, je repense à toutle travail que j’ai dû accomplir pour en arri-ver là. Je suis passé par beaucoup de métiersde la filière, dont certains assez ingrats. »Après un bac littéraire en 2004 à Bossuet etun brevet de technicien supérieur de venteet productions touristiques en 2008 à Ba-huet, le natif de Brive a suivi une licence enmanagement administratif et commercialdes organisations, option tourisme durableà l’IUT de Digne-les-Bains. Son travailconsiste alors à organiser des voyages tou-ristiques axés sur le culturel. «Je cherchais un stage et c’est un peu par ha-sard que je me suis retrouvé sur le Festivaldu cinéma de Briveque je ne connaissaisalors que de nom etau centre culturel. »Un peu aussi grâce àune cinéphilie sans frontières forgée auClub puis au Rex, « là où j’ai découvertqu’un autre cinéma était possible, plusbeau, profond et pertinent. »

Médiateur culturel en 2009, il devient en2011 responsable du pôle bibliothèque etmultimédia du centre culturel de Briveainsi que des Yeux verts qui sont alors peuconnus. Consolidé entre ses mains, il enfera un véritable outil régional. L’ascension continue en 2013 et il complèteson cursus avec un certificat de formationspécifique à la sécurité des spectacles pourla licence d'entrepreneur. En l’espace de 7ans, Romain Grosjean a ainsi su faire saplace et se rendre incontournable dans lepaysage de l’action culturelle cinématogra-phique locale et régionale.

Mettre le cinéma à portée de tousRapprocher le cinéma de tous les publics, ycompris de ceux qui en sont le plus éloi-gnés, a constitué au fil des années le cœurde ses missions. Responsable des programmations scolairesdu Festival du cinéma de Brive, il accom-pagne aussi depuis 2012 le jury jeunes de cemême festival au grand raout cannois. Surplace, il leur construit un parcours cinéphi-lique de 3 jours durant lesquels ils vision-

nent entre 10 et 15longs-métrages. Loin des paillettes,il a également crééen collaboration

avec la Cité des métiers de Limoges et du Li-mousin Cinémamétiers, des ateliers quiveulent désacraliser l'insertion profession-nelle en misant sur la découverte d'un mé-

tier par le cinéma. Dans le cadre de ses mis-sions aux Yeux verts, il a enfin conçu en8 ans quelque 200 ateliers de pratiques ci-nématographiques à destination des écoles,collèges et lycées de la région.

L’artistique au premier plan Rapidement, Romain Grosjean met aussison nez dans la programmation (Fenêtresur courts, Mois du film documentaire,Jour le plus court, etc.).« C’est ce qui me plaît le plus ». Cela consti-tue aussi le cœur de ses nouvelles missionsqui englobent les négociations avec les dis-tributeurs, la direction du personnel ainsique l’ingénierie administrative et financièrepour œuvrer dans « un cadre légal avec unbudget maîtrisé ». Mais l’artistique restera une priorité. « Onveut garder l’ADN du Rex et programmerdes œuvres rares et belles, des sorties natio-nales et exclusives, des films du répertoiremais aussi et surtout la jeune création inter-nationale », assure le trentenaire pointu, enregardant du côté du Brésil ou de Singapour.

« Ouvrir son sens critique, développer sacuriosité, découvrir, émouvoir... Le cinémaest une vraie promesse d’altérité. Grâce àlui, on peut quasiment tout faire ». Peut-être exagère-t-il un peu. Mais de fait, sa tra-jectoire plaide pour lui.

Texte : Jennifer BressanPhoto : Diarmid Courrèges

Romain Grosjean

« On peut quasiment tout faire grâce au cinéma. »

L

Ascension. Spectateur fidèle du Rex hier, Romain Grosjean en prend aujourd’hui les rênes.

Cap sur Le Rex



PATRIMOINE

PROGRAMME------

Place Charles-de-GaulleExposition de voitures anciennes par leVABC (Véhicule Ancien Brive Corrèze) et leTorpédo Club.Samedi de 10h à 17h30 (VABC) et dimanchede 10h à 17h30 (Torpédo Club).Tél. 05.55.18.18.50

Collégiale Saint-Martin et sa crypteVisites commentées par l’équipe d’accueil del’édifice.Samedi de 10h à 12h et de 13h à 19h et dimanche de 10h à 11h30 et de 13h à 19h(en dehors des offices religieux).

Concert avec Guy Touvron trompettiste, Fré-déric Racine et Charles Balayer à l’orgue.Dimanche à 15h.

Archives municipalesVisites commentées des salles de conserva-tion des archives de Brive par le personnel.Démonstration d’impression de cartes an-ciennes, réalisée par Jean-Paul Ruiz, profes-seur au Centre municipal d’Arts plastiques.Samedi de 14h à 16h.

Présentation des activités de Généalogie enCorrèze : aide, assistance et recherches généa-logiques.Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h et dimanche de 14h à 18h.Tél. 05.55.18.18.50.

Intervention sur le thème « Trois Papes issusdu Bas Limousin » par Maurice Faure deBrive Généalogie et Gérard Leblanc.Samedi et dimanche (heures à déterminer) Tél. 05.55.18.18.50.

Exposition d’un circuit de modélisme ferro-viaire (Association Train Briviste Corrézien).Samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à18h.Tél. 05.55.18.18.50.

Brive TonneliersVisites des ateliers, fabrication des barriques,cuves et foudres.Jeux-concours : une dégustation de vins seraproposée.Samedi de 9h à 12h30. Inscription obligatoire au tél. 05.55.87.98.14.Brive Tonneliers-Foudrerie François - RueFrançois Labrousse - Zone industrielle deCana Est 19100 Brive-la-Gaillarde.

Centre-ville historiqueVisites guidées par l’Office de Tourisme.Rendez-vous à l’Office de Tourisme. Samedi à 10h30, 14h30 et 16h30 et dimanche à 10h30 et 14h30.Tél. 05.55.24.08.80.

Chapelle Saint-LibéralExposition, Jeunes filles et paysages par l’ar-tiste peintre Teruhisa Yamanobe.Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h et dimanche de 15h à 18h.Tél. 05.55.74.41.29.

Église Saint-SerninVisites libres de l’édifice.Dimanche de 10h30 à 18h.

Hôtel de villeVisites du bureau du Maire et de la salle duconseil municipal.Samedi et dimanche de 14h à 18h.

Salle d’Honneur.

Présentation du nouveau timbre à l’effigie dela Ville de Brive et exposition philatélique consa-crée à Brive-la-Gaillarde, par l’Association phi-latélique du Pays de Brive.Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h et dimanche de 14h à 18h.Tél. 05.55.92.39.39.

La ProvidenceOuverture de la Providence avec expositiondans la chapelle retraçant l’histoire de cetteœuvre. Accès au parc et au lavoir.Samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h.Tél. 05.55.74.37.36.

Le Garage, centre d’art contemporainVisites libres de l’exposition Costa Samedi de 10h à 12h et de 14h à 18h et dimanche de 15h à 18h.

Visites commentées par l’artiste Samedi à 14h30 et 16h.Tél. 05.55.88.80.81.

Samedi 17 et dimanche 18 septembre

Journées européennes du patrimoine



Médiathèque municipaleOuverture au public Samedi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 18h et dimanche de 14h à 18h.

Présentation d’ouvrages issus des fonds an-cien et contemporain de la collection patrimo-niale sur le thème de la Citoyenneté (portantsur l’éducation, le droit, la tolérance, l’environ-nement, l’architecture, les arts et lettres, etc.)Samedi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 18h et dimanche de 14h à 18h.Tél. 05.55.18.17.50.

Musée de l’Union compagnonniqueVisites libres du musée.

Séances vidéo sur le compagnonnage.Samedi et dimanche à 10h15, 14h15, 15h30 et16h45.

Ateliers vivants autour du bâtiment du musée(charronnage, couvreur, taille de pierre, etc.)Samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à18h30.Tél. 06.84.49.76.28.

Musée Edmond MicheletVisites libres de l’exposition temporaire sur la« Citoyenneté ».

Visites libres de l’exposition permanente et del’exposition temporaire : « Sport, sportifs et JeuxOlympiques dans l’Europe en guerre (1936-1948) ».Samedi et dimanche de 13h à 18h.Tél. 05. 55.74.06.08.

Musée LabencheVisites musicales contées intitulées « L’ourset la tempête » des collections permanentes dumusée par la compagnie « La Grande Ourse »et le collectif d’artistes « La Tempête ».Samedi et dimanche à 14h et 16h30.

Pour les enfants âgés de 8 à 13 ans :Visite-atelier « Découverte de l’expositionRaphaël Gasperi ».Visite de l’exposition suivie d’un atelier decréation au fusain, à la manière de l’artiste.Samedi de 10h30 à 12h (atelier gratuit surinscription au 05.55.18.17.70).

Visites libres de l’exposition temporaire sur

Raphaël Gasperi.Samedi et dimanche de 10h à12h et de 14h à18h.

Visites libres des collectionspermanentes du musée.Samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h.

Focus sur la société « Les Amis du Musée La-benche » et son rôle dans l’enrichissement descollections du musée.Samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h à 18h.

Place de la GuierleAccès libre au château d’eau. Samedi de 9h à 12h et de 14h à 18h et dimanche de 10h30 à 12h30 et de 14h à 18h. Tél. 05.55.24.08.80.

À la découverte de Brive à véloBalade à vélo sur le thème : « Patrimoine et ci-toyenneté ».Avec la participation de l’association BriveVille-Cyclable, le CAUE et les Archives de Brive.Dimanche, départ devant le Théâtre municipalde Brive à 10h30, avec vos vélos.Tél. 05.55.18.18.50.

Théâtre municipalVisites guidées du théâtre et de ses coulissespar les Treize Arches.Samedi de 10h à 12h et de 14h à 17h et dimanche de 14h à 17h.Tél. 05.55.24.62.22.

Cinéma Rex

Visites guidées et projections Samedi et dimanche de 14h30 à 19h.Accueil et visites commentées des coulisses ducinéma.Samedi à 17h30 et dimanche à 14h30 et 17h30.

Place du CivoireStand d’accueil des journées du patrimoineanimé par les élèves de BTS Tourisme de Bahuet.

Samedi de 9h30 à 18h30 et dimanche de 13h à 18h.Tél. 05.55.18.18.50.

Le Train Briviste Corrézien

Exposition modélisme ferroviaire.Visites des locaux et démonstration.Samedi et dimanche de 10h à 12h et de 14h30 à 18h.

Campus universitaire de BriveExposition sous forme de diaporama lors de ladéconstruction des anciennes maisons sur le siteet lors de la construction du campus.Samedi de 11h à 18h.Tél : 05.55.86.73.00

Sous-Préfecture de BriveVisite accompagnée des salles de réception del'hôtel de Cosnac, résidence des sous-préfets deBrive-la-GaillardeSamedi septembre de 10h à 12h et de 14h à 17h.Inscriptions au 05.55.17.69.46 à compter du5 septembre 2016.

Programme complet sur www.brive.fr

Renseignements : service archives et patrimoine

05.55.18.18.50



De 12h30 à 13h15, la salle d’honneur de l’hôtel de ville ouvre sesportes aux concerts sur le pouce. Gratuitement, et éventuellementsandwichs en main, le public peut ainsi faire une pause musicale entoute liberté et décontraction. À savourer sans modération...

Jeudi 6 octobre : Autour des femmes compositrices, duo harpe etvioloncelle avec Christine Grévin (harpe) et Ariane Louys (violon-celle). Au programme : Dring, Henson-Conant, Bonis, Renié, Challan,Monnot. (Dans le cadre de la Semaine de l’égalité).Jeudi 13 octobre : Sonates et fantaisies, récital de piano avec LaurentBourreau. Au programme : Mozart, Méhul. Jeudi 3 novembre : Les bons tuyaux, duo trompette et orgue avecFrédéric Racine (trompette) et Charles Balayer (orgue). Au programme : Torelli, Haendel, Bach, Boyce, Sweelinck.Jeudi 17 novembre : Trio Zadza avec Nicolas Granelet (piano),Dominique Bénété (contrebasse) et Alban Guyonnet (percussions).Au programme : compositions et improvisations.

Jeudi 1er décembre : Récital espagnol et argentin, duo de guitares Éric Franceries et Éric Sobczyk. Au programme : Sor, Granados,Cardoso.Jeudi 15 décembre : Musiques et danses d’Amérique du Sud, duoaccordéon et clarinette avec Frédéric Valy (accordéon) et PatrickMuller (clarinette). Au programme : Piazzolla, Villoldo, Williams,musique traditionnelle.

Contact : 05.55.18.15.25

Salle d’honneur. 6 concerts prévus pour la rentrée.

Les concerts sur le pouce font leur rentrée

RENDEZ-VOUS

Du 6 octobre au 15 décembre, six rendez-vousmusicaux vous sont proposés.

Yannick Jaulin et Bertrand Cantat

Il était une fois des voix, des voix qui portent loin. Celle de YannickJaulin en est une. Le conteur fait l’ouverture de saison avec sacréation Ma langue maternelle va mourir et j’ai du mal à vous parlerd’amour. Coproduite par les Treize Arches, elle est jouée hors lesmurs du théâtre : les 13 septembre à Nespouls, 15 à Ayen, 16 àAllassac et 17 au centre socioculturel Jacques Cartier à Brive.Dans cette conférence, à mi-chemin du conte et du récit, du texteécrit et de l’improvisation, la langue et les identités régionalessont louées avec l’art et la manière de cet artiste hors pair.Puis il y a des voix qui reviennent de loin. Mercredi 21 septembre,Bertrand Cantat va être le premier de la saison à fouler les planchesdu théâtre de Brive avec la création Condor live, une lecturemusicale d’après Condor, nouveau roman sur le Chili de CarylFerrey, maître du polar français. Un événement singulier, co-réalisé avec la librairie de la rue Farro La Baignoire d’Archimède. Suivra le 4 octobre la pièce de Shakespeare : Richard III Loyaultéme lie. Un spectacle très esthétique porté par deux comédiens :son créateur Jean Lambert-Wild, directeur du Centre dramatiquenational du Limousin, dans le rôle titre ; et Émilie Bordas, danstous les autres ! Puis, le 7, place à HIP 127 La constellation des cigognes, un balletjonglé contemporain, coproduit par le Sirque, Pôle national desArts du cirque de Nexon en Limousin.Éclectique et plurielle, cette nouvelle saison croise les arts etprogramme une cinquantaine de rendez-vous : théâtre, musique,cirque et danse. La part belle est encore faite aux scolaires et jeune

public avec, entre autres, un Cyrano japonisant et un Assommoirrevigorant. Elle mêle aux jeunes collectifs de grands noms commePeter Brook, Jean Bellorini, Anne Teresa de Keersmaeker pour ladanse, Johann Le Guillerm, le cirque.Hommage à l’écrivain congolais Sony Labou Tansi, expositionset festivals (Spectacles sans frontières à l’automne, Musik’avril etDanSe En Mai) complètent cette riche programmation.La billetterie pour les abonnements, déjà ouverte sur internet etpar courrier, le sera aussi à l’accueil du théâtre dès jeudi 1er etvendredi 2 septembre, de 10h à 19h ; ainsi que samedi 3 entre10h et 17h. Les réservations pour les places individuelles débutentmardi 6 septembre entre 13h et 18h.

Jennifer Bressan

Toute la programmation et les tarifs sur www.lestreizearches.com

lancent la saison des Treize Arches

Voix. Jaulin et Cantat se distinguent chacun dans leur registre.

En septembre, la voix de Bertrand Cantat va vibrer authéâtre, et celle du conteur Yannick Jaulin résonnerau-delà sur le territoire. La billetterie est ouverte.



QUARTIERSRencontre d’automne au Pont du BuyL’association du Quartier 5 « De la col-line à la rivière » organise une rencontred’automne les 16, 17 et 18 septembre, àla salle du Pont du Buy.

Cette manifestation regroupera divers thèmes : une expositiondes produits de l’automne (pommes, châtaignes, champignons,citrouilles...) avec la participation de confréries, et une exposi-tion de réalisations des habitants du Quartier 5 (peintures, loi-sirs créatifs, photos, broderies, maquettes...).

Calendrier des permanencesLes conseillers du quartier « Saint An-toine » (Quartier 9) organisent despermanences pour les habitants afinde recueillir leurs doléances les same-dis 24 septembre, 22 octobre et 19 no-vembre, de 10h à 12h, à la salle del’ancienne caserne Brune.

0 801 800 900APPEL GRATUIT DEPUIS UN POSTE FIXE

N° Vert

Vide-greniersUn vide-greniers sera organisé par l’as-sociation du Quartier 15 Vialmur-Rivetle dimanche 25 septembre, de 6h à 19h,place des Arcades à Rivet. Infos et inscriptions : 06.72.29.46.62.

Appel aux bénévoles pour le soutien scolaireRiv’Etudes est une nouvelle association d’accompagnement sco-laire qui vient de voir le jour à Rivet. Afin de remplir ses objectifsde nature pédagogique, le comité organisateur est à la recherchede bénévoles : professionnels, enseignants en activité ou en re-traite, et toute personne souhaitant s’impliquer au sein del’équipe en accompagnant les enfants de Rivet et alentour pourl’aide aux devoirs. Renseignements et inscriptions auprès de laprésidente de l’association : 06.85.13.27.50.Un don à l’école Lucie AubracLa directrice de l’école Lucie Aubrac a reçu des mains de l’infir-mière hygiéniste de la clinique des Cèdres une carte cadeaux de100 euros en récompense du concours de dessins réalisé dansle cadre de l’opération de sensibilisation à l’hygiène des mainssoutenue par le conseil de quartier. Quatre des plus beaux des-sins ont été affichés dans le hall d’entrée de la clinique.

AGENDA

Du 13 au 17 septembreÀ Nespouls, Ayen, Allassac et BriveMa langue maternelle va mourir etj’ai du mal à vous parler d’amourLa nouvelle saison des TreizeArches s’ouvre avec Yannick Jaulinqui nous livrera ses réflexions surl’identité et la langue maternelle.Mardi 13 à la salle des fêtes deNespouls à 20h30, jeudi 15 à lasalle des fêtes d’Ayen à 20h30,vendredi 16 à la salle culturelled’Allassac à 20h30, et samedi 17 aucentre Jacques Cartier à 18h30.Durée : 66 minutes. Tarifs : de 5 à14 euros. À partir de 8 ans.05.55.24.62.22. www.lestrei-zearches.com

Mercredi 21 septembre à 20h30À la grande salle du théâtreCondor LiveCe spectacle est une créationmusicale issue d’un extrait duroman de Caryl Férey, Condor.Bertrand Cantat lit et chante,entouré par Marc Sens etManusound. Les Treize Arches encoréalisation avec La baignoired’Archimède. Durée : 60 minutes.Tarifs : de 5 à 20 euros.05.55.24.62.22. www.lestrei-zearches.com

Conte-récit

Art vocal

Jeudi 8 septembre à 18h30À la médiathèque Rencontre avecAnnie BossutLa photographe propose un éclai-rage de sa démarche artistique.Entrée libre. 05.55.18.17.50 mediatheque.brive.fr

Samedi 10 septembre à 10h30À la médiathèque La ronde deshistoiresDe 3 à 8 ans. Durée 45 min.Entrée libre. 05.55.18.17.50 mediatheque.brive.fr

Mardi 27 septembre à 14h30Aux archivesBrive à l’intérieur de la premièreenceinte du Moyen Âge à nos joursDurée 2h.Entrée libre.05.55.18.18.50

Vendredi 16 septembre à 20h45À l’Espace Chadourne Swing vandalsConcert de jazz organisé par le Jazzclub 19100. Réservations à partir du10 septembre au 06.19.09.09.55 ouau 06.46.77.36.71. Tarifs : 12 euros et 10 euros pourles adhérents.

Conférence/Lecture

Concert

Jusqu’au 10 septembreÀ la médiathèque Histoires d’eauxPhotos d’Annie Bossut. Entrée libre. 05.55.18.17.50 mediatheque.brive.fr

Jusqu’au 18 septembreAu Garage, Fernando CostaEntrée libre. 05.55.88.80.81garage.brive.fr

Jusqu’au 25 septembreÀ la chapelle Saint-LibéralTeruhisa Yamanobé, jeune fille etpaysageEntrée libre. 05.55.74.41.29 museelabenche.brive.fr

Du 27 septembre au 22 octobreÀ l’accueil du théâtre et à lamédiathèque, Du Congo au mondeDans le cadre de l’hommage à SonyLabou Tansi. Entrée libre.05.55.18.17.50 - mediatheque.brive.fr05.55.24.62.22. www.lestreizearches.com

Jusqu’au 1er octobreAu musée Michelet Sport, sportifs et Jeux olympiquesdans l’Europe en guerre : 1936-1948Entrée libre. 05.55.74.06.08

Jusqu’au 2 octobreAu musée Labenche, Raphaël GaspériEntrée libre. 05.55.18.17.70 museelabenche.brive.fr

Expositions



DOSSIER

La rentrée a sonné

Transfert. Les 5 classes élémentaires du Pont Cardinal font leur rentrée à Saint-Germain.

l souffle comme un vent nouveau à latête des écoles publiques en cette ren-trée 2016 avec une dizaine de chan-gements de direction. L’événement

phare de la reprise n’en reste pas moins letransfert effectifdes classes élé-mentaires duPont Cardinal àSaint-Germain2, une sorte der éouve r t u repour cette école fermée depuis 2010.« Nous avons tenu nos engagements enrespectant le rapprochement des fratries »,atteste Valérie Taurisson, adjoint en chargede l’enseignement. Les parents des enfants

scolarisés en maternelle au Pont Cardinaldont le frère ou la sœur ont été transférésen élémentaire à Saint-Germain, ont ainsipu bénéficier d’une dérogation pour lamaternelle Saint-Germain, ce qui concer-

nait une qua-rantaine d’en-fants. Pour au-tant et fortheureusement,cela n’a pas eude consé-

quence sur la maternelle Pont Cardinalqui conserve son volume d’effectifs, à 2près (75 au lieu de 77) et reste sur site.« L’école maternelle ne bouge pas », réaf-firme d’ailleurs l’élue.

L’élémentaire a lui aussi maintenu ses ef-fectifs dans le transfert, passant de120 élèves à 112. « La différence s’expliquepar la volonté des parents qui bénéficiaientauparavant d’une dérogation de revenirsur l’école de leur secteur. »

De gros travaux d’aménagementLe transfert a nécessité pour la Ville d’im-portants travaux afin d’accueillir au mieuxenfants et enseignants. À hauteur de170 000 euros. Ne serait-ce que pour ap-porter une solution au problème de sé-curité des abords du groupe scolaire. Ontainsi été aménagé des zones plateau côtérue Mozart comme rue Berlioz et desplaces dépose-minute. Pour l’intérieur, ila été procédé au rafraîchissement despeintures dans toutes les classes et dansle bureau du directeur, à la pose de TBI(tableaux interactifs), l’aménagementd’une nouvelle cantine, la réfection dessanitaires garçons... Auxquels s’ajoute laréfection programmée de l’ancien restau-rant scolaire. Ce qui fait un total de247 000 euros. Sur site, se côtoient désor-mais deux entités élémentaires avec deuxdirecteurs. Et si pour l’instant, la Villeparle de transfert, l’Éducation nationalea déjà annoncé une fusion pour la rentrée2017.

(suite pages 28 et 29)

« Nous avons tenu nos engage-ments en respectant le rapproche-ment des fratries. »

REPÈRES

3 400 élèvesBrive compte 27 écoles primaires publiques qui accueillent quelque3 400 élèves, 1 300 en maternelle et 2 100 en élémentaire. Ils étaient3 447 en fin d’année dernière.

Cette rentrée 2016 voit le transfert des 5 classes élémentairesdu Pont Cardinal à Saint-Germain. Pour le reste, pas de groschangements : les effectifs des écoles sont stables, aucunesuppression de classe et l’atelier périscolaire a trouvé sonrythme hebdomadaire. La Ville aura aussi profité de l’été poureffectuer petits et gros travaux. C’est parti pour une année.

I

Dossier : Marie-Christine Malsoute - Photos : Diarmid Courrèges, Sylvain Marchou.



Gros travauxdans les écolesDésamiantage, réfections diverses, accessibi-lité... Comme chaque été, la Ville fait ses de-voirs de vacances et effectue des travaux dansles écoles. À hauteur de 700 000 euros.

À Marie Curie. Mise en accessibilité au rez-de-chaussée.

À Lucie Aubrac. Travaux de désamiantage.

« En charge des écoles, la Ville entretient son patrimoine toutau long de l’année, et notamment pendant l’été en profitant del’absence des élèves », rappelle la maire adjointe en charge del’enseignement. Des travaux effectués par des agents munici-paux ou des entreprises privées et qui peuvent être plus ou moins conséquents. L’enveloppe globale s’élève à 700 000 euros,

tant sur les bâtiments que sur l’espace public. Notamment, pourles principaux, la poursuite du programme de désamiantageavec 4 sites concernés : Louis Pons, Jules Vallès, Marie Curie etLucie Aubrac. Cette dernière école a également vu la réfectionde ses toitures terrasses.

Lancement du programme d’accessibilitéLa Ville a également entamé cet été dans les écoles la premièrephase de son Agenda d’accessibilité programmé (ADAP). Ellecourt sur 3 ans, de 2016 à 2019. Cette année, la Ville s’axe surl’accessibilité horizontale (des rez-de-chaussée). Ces travauxconcernent, entre autres, la création de rampes d’accès, le rem-placement de portes d’entrée, l’adaptation des sanitaires. Troisécoles sont concernées : Bouquet, Roger Gouffault et MarieCurie.

Un atelier périscolaire très suivi

Plus de 80 % des élèves en élémentaire suivent les activités pé-riscolaires mises en place par la Ville. Une belle fréquentationpour cet atelier qui a trouvé son rythme hebdomadaire l’an der-nier. D’une durée d’1h15, il s’insère dans l’emploi du temps, de14h45 à 16h, un jour par semaine (le jour variant selon lesécoles). Surtout, il propose un parcours élaboré sur l’année en5 grandes thématiques (sport, culture, citoyens du monde, en-

Parcours éducatif. Plus de 80 % de fréquentation.

vironnement, sciences) avec un système de passeport permettantà l’enfant un réel développement qualitatif. « Tous les ans, nousessayons d’améliorer les activités », précise Valérie Taurisson. Ilssont encadrés par un personnel municipal qualifié et formé àl’animation et pour des activités plus spécifiques par des presta-taires de services.

ALSH

Un lien renforcé sur l’annéeLe service Jeunesse gère 4 Accueils de loisirs sanshébergement (Cap Est, Cap Ouest, Jean de la Fon-taine et Jules Romains). Nouveauté cette rentrée,chaque structure aura tout au long de l’année unmême directeur (trice) pour encadrer les activitésproposées les mercredis après-midi de la périodescolaire comme pendant les vacances. Une unité quipermettra d’assurer un lien constant avec les fa-milles et un meilleur suivi de l’enfant sur l’année.Ces accueils proposent des activités culturelles,sportives, éducatives et ludiques.

DOSSIER



Campus : un diplôme en droit animalier

C’est une première en France et un atout sup-plémentaire pour le campus briviste qui s’en-richit aussi d’un nouveau DEUST en sport.

Brive défraie la chronique cette rentrée avec la toute premièreformation universitaire en droit animalier reconnue par un di-plôme national. Les cours intensifs concentrés sur 15 jours ontété initiés par des universitaires de Limoges en partenariat avecla fondation 30 Millions d’amis. « C’est un droit en plein déve-loppement qui tend à être reconnu comme discipline juridiqueà part entière », explique Lucille Boisseau-Sowinski, maître deconférences à l’université de Limoges. Ce DU (diplôme universitaire) s’adresse autant aux étudiantsà partir du niveau bac + 2 qu’aux professionnels, décideurs po-

Des repas équilibrés faits maison

342 000 repas ont été pris en cantine l’année scolaire dernière.Chaque jour, la cuisine centrale doit relever le défi de confec-tionner 2 250 repas équilibrés pour les 22 restaurants scolaires(sur le principe de la liaison froide avec remise à température

sur site). Ces menus sont élaborés par une diététicienne et va-lidés par une commission composée d’élus, de parents d’élèveset de responsables de services. Une démarche qui s’inscrit dansle cadre du PPNS (Programme national nutrition santé) auquella Ville participe activement. « Les produits sont frais, issus de circuits courts, avec des pro-ducteurs locaux, et fabriqués sur place par des agents qui pren-nent leur service dès 5 h du matin », précise Valérie Taurisson.« Des agents déjeunent également avec les enfants pour les aiderau cours du repas et les inciter à découvrir les plats. » À noterque les menus sont consultables en ligne sur le site de la Ville.

Éduquer aux fermentesciblesLes écoles se mettent aussi à la valorisation des déchets orga-niques biodégradables, les fameux fermentescibles. L’écoleHenri Sautet pratiquait déjà ce tri. L’école Roger Gouffault (an-ciennement Cité des Roses) se lance aujourd’hui dans l’aventuredans le cadre du quartier expérimental (voir page 6). D’autresécoles en ont fait également la demande pour promouvoir untravail pédagogique. Une façon de sensibiliser les enfants au trides déchets pour préserver dame nature et de les inciter ainsi àdevenir des citoyens éclairés.

88,1 %. L’indice de satisfaction des cantines.

DU et DEUST. Deux nouveaux diplômes.

REPÈRES

Une JANE et 1 900 étudiantsToutes filières confondues, ils sont 1 900. Pour leurpermettre de mieux se connaître, la Ville organisechaque rentrée une Journée d’accueil des nou-veaux étudiants mêlant sport et découverte deBrive. Cette JANE aura lieu jeudi 29 septembre.

litiques, magistrats, avocats, responsables d’associations de pro-tection animale, vétérinaires et inspecteurs vétérinaires… Entout, de 15 à 25 personnes par formation. La première se dé-roule ces deux premières semaines de septembre, afin de per-mettre aux professionnels de s’absenter sur une courte périodeet aux étudiants de poursuivre leurs études en parallèle. Et cen’est pas un hasard si elle a lieu à Brive. « C’est la ville où s’estillustré Edmond Michelet, à qui l’on attribue le décret du 7 sep-tembre 1959. Il a apporté une véritable révolution théorique àla condition juridique de l’animal en consacrant sa protectionpar sa valeur intrinsèque, en raison de sa sensibilité. »

AGAPSC ?Cette rentrée voit aussi l’ouverture d’un nouveau DEUST (Di-plôme d’études universitaires scientifiques et techniques) sousl’appellation imprononçable d’AGAPSC pour « Animation etgestion des activités physiques, sportives ou culturelles ». Ils’agit d’un diplôme de niveau III (Bac+2) qui offre une filièrecomplète à visée professionnelle. Son titulaire pourra exercerdes fonctions d’animation d’activités sportives mais aussi degestion de structures organisant ces pratiques.



La Page Urbaine en concertation

maginer le visage de la ville de demain,sous tous ses aspects, logements,stationne-ment, circu-

lation, espacespublics, com-merces, voirie,transports, éco-nomie... tel est l’esprit de cette page ur-baine. Ce document, réalisé par les servicesmunicipaux, est actuellement soumis àune large concertation avant d’être débattuet voté lors d’un prochain conseil muni-cipal. Il a déjà été présenté avant l’étéaux instances participatives, aux conseilsde quartiers, des sages, ainsi qu’aux pro-fessionnels. Les habitants sont à leur tourconviés à une réunion publique mardi 6septembre à 19h à l’Espace Chadourne.

Rendre la ville plus attractiveCette page urbaine entend en effet ac-tionner tous les leviers possibles pourrendre la ville plus attractive. Le projetest parti d’un constat : depuis 40 ans, lacommune a perdu près de 5 000 habitants,dont 3 600 pour la seule décennie quivient de s’écouler, ce qui a affecté l’en-semble des flux qui irriguent notre ville.C’est pour rompre cette dynamique né-gative qu’a été élaboré ce document. Ilfait la synthèse en une centaine de pages

de toutes les études sectorielles menéesjusque-là. Il dresse ainsi toute une série

de constats et d’ac-tions. « On regardeles évolutionscomme les dégrada-tions. On ne se cachepas les choses », a

précisé le maire de Brive et président del’Agglo, lors d’une précédente réunion.

S’affirmer dans un nouvel espaceCette page urbaine qui embrasse une« perspective globale du résident, du cha-land, du stationnant et du circulant »,entend faire réfléchir tout un chacun à laville de demain, « dans 20 ou 30 ans », atracé le maire. « Ce document est unepâte à modeler », a illustré Frédéric Soulier.

Pour le maire, « l’histoire de notre villeest aujourd’hui à la croisée des chemins ».L’enjeu est de « passer le cap des 50 000habitants d’ici à 10 ans ». Un seuil à dé-passer pour pouvoir être crédible depuisParis et exister dans cette nouvelle granderégion où nous ne représentons que 2 %.« Nous sommes une population microdans un territoire macro. Brive doit im-pulser un pôle urbain très dynamiquedans son agglomération, capable de croitreson influence structurante sur les 20 pro-chaines années, au sein du triangle mé-tropolitain futur autour de Brive-Péri-gueux et Cahors ».


Infos sur le site brive.fr.

REPÈRES

Réunion publique le 6 septembre

La réunion publique se tiendra le mardi 6 septembre à 19h à l’EspaceChadourne.Vous pouvez découvrir sur le site brive.fr le projet soumis à la concer-tation, le télécharger et participer à la Page Urbaine en apportant votrepropre contribution.

Page urbaine. Commerce, logement, circulation, stationnement, espace public... La Ville ouvre la concertation sur tous les aspects du Brive de demain.

« Ce document est une pâte à modeler. »

I

ÉVÉNEMENTS



ÉVÉNEMENTS

Le Conservatoire côté coulisseses inscriptions qui ont débuté enjuin au Conservatoire courenttoujours en cette période de rentréescolaire, et ce pour toutes les

tranches d’âge : dès deux ans et demiavec les jardins musicaux, jusqu’aux adultesqu’on retrouve beaucoup en cours dechant, musiques actuelles, théâtre et cer-tains gros cuivres. Mais c’est aux enfantsque la priorité est donnée. Beaucoupd’entre eux se ruent sur le piano et laguitare ; mais il reste encore des placesdans les chœurs, en chant, danse, théâtreainsi que tous les instruments de l’or-chestre. Pour favoriser l’ouverture vers des coursmoins plébiscités par les familles, lesateliers découverte, ouverts aux jeunesdès le CP, offrent d’ailleurs la possibilitéd’essayer plusieurs enseignements durantl’année. Ces ateliers ont par exemple per-mis à des jeunes de se révéler au hautboisou à l’alto.

1 150 enfants et 50 professeursIls sont 1 150 enfants et 50 professeurs àgraviter dans l’établissement de la rueMassenat, ouvert du lundi au vendredide 8h30 à 21h et le samedi entre 8h45 et18h. Pour faire tourner tout ce petit monde,9 personnes œuvrent en coulisses et surdes postes polyvalents. Il y a d’abordcelles que le public connaît le mieux.Anita Caubère et Marie-José Vilain onten charge l’accueil physique et télépho-nique mais elles gèrent aussi les absencesdes professeurs et des élèves, informentsur la saison ou orientent le public dansles locaux, véritable dédale pour le non-initié.Marie-Christine Randouillet, affectée àl’entretien des lieux, en sait quelque chose.« Les premiers mois de l’hiver 2012,quand je suis arrivée, il m’arrivait de meperdre. » Aujourd’hui, elle a trouvé sesmarques et malgré les contraintes horaires,confie ne « vouloir pour rien au mondeen partir. »

Des postes polyvalentsAu Conservatoire, même les missions decomptabilité occupées par Annie Doussetrevêtent des nuances singulières. « J’aiaussi en charge la gestion du parc instru-mental qui est mis en location à des prixabordables. »Idem pour Raphaël Josse qui s’occupe dela communication mais gère aussi le fonds

de partition de la bibliothèque ainsi quela régie orchestre. Une mission qu’il af-fectionne particulièrement car de là, « jepeux voir évoluer, grandir et progresserles jeunes ».L’équipe administrative compte égalementdans ses rangs Séverine Perrouault qui aen charge la billetterie et le service scolarité.Il regroupe la gestion des inscriptions,bulletins, examens et diplômes ainsi queles emploisdu temps etl ’at t r ibu-tion des 21salles que separtagentles 50 pro-fesseurs :« Un drôle de casse-tête... mais avec Ma-rie-José Vilain, qu’elle forme sur cesmissions, on y arrive ! » Quant à la partie plus technique, c’estThierry Nattero qui s’en charge. Il meten place l’orchestre et s’occupe de la régiede l’auditorium.

Conduire plutôt que diriger Trois personnes complètent l’équipe :Virginie Bastos, secrétaire de direction,elle a en charge la coordination, la vie duConservatoire et le suivi des projets ar-tistiques avec les professeurs.Benoît Quiniou, coordinateur généraldes études et de départements, réalise le

programme des heures musicales et faitle lien entre les professeurs et les familles,entre les équipes administratives, péda-gogiques et techniques et le directeur,qu’il seconde dans ses missions d’enca-drement. À la tête du navire, Éric Sobczyk conçoit,organise et s’assure de la mise en œuvrede l’ensemble du projet d’établissement,en accord avec la politique culturelle de

la Ville.« Notrecœur demétier, c’estl’enseigne-ment qu’ilfaut ouvrirau plus

grand nombre. Mais il comprend aussil’administration générale avec le rapportaux associations et aux partenaires insti-tionnels. Il faut savoir prendre en comptela complexité territoriale car il est essentielde s’ancrer dans le territoire. » Le directeurs’attache enfin à impulser des projetstransversaux croisant musique, danse etthéâtre. Et pour ce faire il préfère l’idéede conduire à celle de diriger, estimantque « chaque membre a son rôle à jouerdans l’harmonie de l’ensemble ».

Jennifer Bressan

Infos : 05.55.18.17.80 - www.conservatoire.brive.fr

« Les inscriptions qui ont débuté en juin se poursuivent ce mois-ci etcourent même jusqu’à la Toussaint »

L

Équipe. Ils sont neuf à faire tourner en chœur la machine Conservatoire.



EXPRESSION LIBRE

Tribune de la majorité

Par essence, la démocratie repose sur le choix que chaque individu peut faire lors de l’élection de ses représentants,entre différents candidats et donc différentes opinions et visions de la vie dans la ville. Dans le fonctionnementpolitique d’une collectivité, chacun peut attendre légitimement que ces visions se confrontent entre la majorité et laminorité, qui voit là l’occasion de développer des projets alternatifs à la majorité... Or, la minorité contourne cettebelle idée, en s’opposant par principe, sans proposer d’alternative... faute peut-être d’avoir agi là où il le fallait quandelle dirigeait la ville de 2008 à 2014 ? Par exemple sur :

- Les finances de la Ville : après avoir nié et minimisé dans son ampleur leur bilan financier (pourtantconfirmé par l’auditeur qu’ils avaient choisi six ans plus tôt), la minorité est restée silencieuse sur lessolutions de redressement ;

- La réforme du régime indemnitaire : les Cassandre sont heureux en donneurs de leçons. En la laissant enjachère pendant 6 ans, les écarts et les disparités sociales se sont creusés entre agents, par une gestion desressources humaines erratique ;

- Le Rex : la minorité a joué sur les peurs, alimenté la désinformation à un degré systématique : le cinémane devait plus rouvrir, le personnel serait licencié, etc. La réalité ? : depuis la reprise en régie, pas un jour defermeture, une programmation maintenue dans l’esprit du lieu et un nouveau directeur déjà à pied d’œu-vre ;

- Le transfert de l’école du Pont Cardinal : au renforcement d’un pôle scolaire en centre-ville, l’oppositionpréfère sans doute voir la situation des écoles de la ville continuer à se dégrader (l’élémentaire de Saint-Germain II en 2010, fermée à leur initiative et sans contrepartie, aurait dû leur servir d’exemple...) ;

- La Page Urbaine : bien que la concertation ne soit pas achevée, nous attendons toujours une contributionà la ville de demain. Alors que l’enjeu central de ce dossier est d’enrayer la perte d’habitants en relançantune dynamique de projet, l’opposition privilégie le statu quo : statu quo sur la halle alimentaire, statu quosur les projets urbanistiques envisagés à Churchill et Massenat, quasi statu quo sur le logement, à partdéplorer le nombre important de logements vacants. Auront-ils l’honnêteté de reconnaitre que leur taxesur les logements vacants a plus contribué à faire un impôt nouveau qu’à faire de nouveaux habitants... ? ;

- Sur la sécurité : ce sont les grands esprits libertaires et liberticides qui les poussent à ne pas soutenir lacréation des brigades de nuit et cynophile, les arrêtés anti-incivilités, le projet de déploiement d’undispositif de vidéoprotection. Sans doute l’opposition estimait-elle avoir assez agi pour faire de Brive une« [...] ville moyenne qui a des problèmes de délinquance et d’incivilités conformes à sa dimension [...] »1...avec pourtant 3 190 faits de délinquance constatés en 20152 !!!

Le groupe de la majorité municipale

1 (source : tribune groupe socialiste du BM de juillet/août 2015)

2 (source : Contrat Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance)



EXPRESSION LIBRE

Le bureau des élus de l’opposition, 14 boulevard du Salan - Tél : 05.55.18.02.18 - email : [email protected] du lundi au vendredi, de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 17 heures.

Tribune de l’oppositionGroupe des élus de l’opposition « Pour vous, pour Brive »

Un visage à 2 faces…

En 2015, les Brivistes ont été amenés à remplir un questionnaire intitulé : mes priorités pour ma Ville ayant conduit au Livre blanc. En 2016, le Maire propose, à la consultation des Brivistes, la Page Urbaine qui liste les futurs projets pour la Ville afin de faire un pôleattractif et compétitif soit le futur visage de Brive.Dans Brive Mag’, force est de constater que nombre des projets sont concentrés en centre-ville.Absents et tout aussi importants : le devenir de la Caserne Brune, les aménagements des quartiers Gaubre, Rivet, la ZA Brive Laroche.Les projets à l’intérieur de la 1re ceinture sont surtout des opérations immobilières avec la création de logements et surfaces commercialesalors que sont répertoriés 372 logements vacants et des magasins fermés.La halle alimentaire avec 17 commerces trouvera-t-elle preneurs compte tenu des loyers et de l’amplitude d’ouverture imposée ?La construction d’un bâtiment Place Churchill ne risque-t-elle pas de défigurer ce quartier, apprécié pour son jardin et espace vert attenant ?La dynamisation du centre-ville avec des projets « bétonnés » risque d’être mise à mal par des tarifs de stationnement prohibitifs ou encorepar une circulation difficile.En misant l’essentiel des projets plein centre, nous risquons l’asphyxie ; rappelons à Monsieur le Maire qu’une majorité de Brivistes vit àl’extérieur des boulevards.Le nouveau visage de Brive, voulu par notre édile, pourrait très vite conduire à 2 catégories de citoyens : ceux du centre et ceux qui vivent à lapériphérie et qui ont, aujourd’hui, le sentiment d’être abandonnés.

Élus communistes et républicains et mouvement des progressistes

« Tripatouillage », c’est le mot que j’avais employé en avril au sujet de la nouvelle répartition de la page de l’opposition.Je ne croyais pas si bien dire car le nouvel arrivant « socialo-communiste... progressiste » semble avoir renoncé à s’exprimer à titre personnel, car depuisplusieurs mois il cosigne les textes de ses collègues. De la basse besogne à mon encontre qui en dit long sur l’état d’esprit de ce conglomérat politique où « tous les coups sont permis ». Je m’autorise donc àreprendre, pour les mois à venir, l’espace qui m’était dévolu.

Jean-Claude Deschamps Modem

Patricia Bordas, Chantal Féral-Mons, Frédéric Filippi,Catherine Gabriel, Shamira Kasri

École Saint-Germain : quel accueil pour les enfants du Pont Cardinal ? Pour les familles ?

Gaubre : fermeture de l’école ?Où en est-on de la concertation ?

Ancienne école du Pont Cardinal : quel devenirpour ce bâtiment municipal ?

Des écoles municipales de sport :devenues payantes ?

Quel signe lancé !

Le Conservatoire et le centre municipald’arts plastiques : une augmentation

au détriment de qui ?

Cinéma le Rex en régie : nous veillerons à l’indépendance, à la qualité de la pro-grammation et à la place que joue cettestructure dans l’éducation à l’image en

lien avec tous les établissements scolaires dans la Nouvelle Aquitaine.

Les élus socialistes et républicains seront vigilants sur les conditions de rentrée de toutes et tous

Les élus socialistes et républicains sont inquiets surles augmentations tarifaires touchant les famillesbrivistes aux revenus modestes

Les élus socialistes et républicains sont inquiets surla politique culturelle menée par Frédéric Soulier etseront vigilants sur le Rex

Devenir professionnel des salariés du Rex

Application de « l’harmonisation » voulue par Frédéric Soulier à tous les personnels.

Les élus socialistes et républicains veilleront sur ledevenir professionnel des personnels de toutes lesstructures municipales



Hommage. La nouvelle antenne médicale du126e RI porte le nom du major Miloche, mort en

octobre 2010 en Afghanistan.

Prix. L’école maternelle de Gaubre a reçu leprix du jardin partagé décerné dans le cadre du

concours des écoles fleuries.

Libération. Le 72e anniversaire de la Libérationde Brive par la Résistance a été célébré le 15 août à

travers de nombreuses cérémonies.

Récompenses. 45 jeunes infirmières (iers)de l’IFSI de Brive ont reçu leurs diplômes remis à

l’Espace des Trois Provinces.

14 Juillet. Après la prise d’armes marquée par de nombreuses remises de médailles, une soixantaine d’hommes et de femmes ont défilé avenue de Paris,

survolés par deux avions de la base de Cognac.

ACTU EN IMAGES



ASSOCIATION

Genco 2016Le forum de Généalogie en Corrèze porte loin

Affluence. 5 000 personnes ont pris part au Genco 2014.

l avait 20 ans lorsqu’il est tombé de-dans. C’était en cherchant à retrouverles 5 frères et sœurs de son grand-père dans le Cher. En écumant les re-

gistres, il s’est retrouvé avec tout unpaquet de dossiers, qu’il n’a pas eu lecœur de jeter. C’en était fait. La généalogiel’avait attrapé. Prèsde 50 ans ont passéet Claude Jaillardn’a jamais décroché.Depuis lors, il est devenu président deGénéalogie en Corrèze et a remonté letemps jusqu’en 940, date à laquelle ilperd la trace de sa descendance. Maissurtout, il a eu l’idée en 2008 de lancerun forum de généalogie sur Brive. Organiséen septembre tous les deux ans, d’abordhalle Brassens, à présent à l’Espace desTrois Provinces, Genco est aujourd’huil’une des plus importantes rencontresgénéalogiques de France. Il attire les as-sociations de la France entière et mêmede l’étranger et avait réuni en 2014 quelque5 000 personnes.

800 adhérentsCréée en 2007, Généalogie en Corrèze afait suite à Brive Généalogie fondée en1986. Elle regroupe aussi l’association del’arrondissement d’Ussel et englobe lesantennes d’Argentat, Varetz ou encoreLubersac. L’association compte près de

800 adhérents. Le gros tiers est de Corrèzemais certains travaillent leur arbre avecl’aide de l’association depuis la Nouvelle-Zélande, l’Autralie ou le Canada. Avecleur base de données de plus de 5 millionsd’actes et leurs connaissances en paléo-graphie (art d’apprendre à lire les écritures

anciennes),les mem-bres de gé-néalogie en

Corrèze sont de véritables alliés pourceux qui se sont mis en quête de leurdescendance.

Mettre la généalogie à la portée de tousPoint d’orgue de ce travail fastidieux, leforum, qui est soutenu par la Ville et leDépartement, s’adresse aux novices comme

aux spécialistes. C’est l’endroit où il fautêtre pour faire grandir son arbre.Cette année, Genco s’ouvre aussi aux sco-laires le vendredi 23 et présente une re-constitution de tranchée et deux exposi-tions des archives départementales et mu-nicipales : les hôpitaux de l’arrière et leparcours du 126e pendant la guerre. « C’estlà faire œuvre de mémoire. J’en connaisbeaucoup qui font leur arbre en quête denoblesse mais l’enjeu véritable consiste àcomprendre d’où l’on vient. »

Jennifer Bressan

Infos : Généalogie en Corrèze, 11 placeJean-Marie Dauzier à Brive. Tel : 05.55.24.16.93 et 06.82.20.18.42 et surle site : genealogieencorreze.eu

PRATIQUE

GENCO 2016, les 24 et 25 septembreQuelque150 associations venues de toute la France mais aussi de l’étranger(Luxembourg, Allemagne, Autriche, Italie, Espagne, Belgique...) et 5 000 per-sonnes sont attendues pour cette 5e édition. Sont programmés 7 conférencesanimées par des spécialistes autour de l’héraldique, la psychogénéalogie, ou encore la vie des métayers en Bas-Limousin à la fin du XVIIIe siècle et unequinzaine d’ateliers allant de l’initiation à la généalogie et l’utilisation de logiciels aux décryptages paléographiques et le vocabulaire occitan. À l’Espace des Trois Provinces les vendredi 23 (scolaires), samedi 24 (10h-19h) et dimanche 25 septembre (9h-18h). Entrée libre et gratuite.

« Comprendre d’où l’on vient »

I



ENTREPRENDRE

Belle et bien dans sa lingerieLe pied de nez d’Hélène Porée-Breuzard à la maladie

Lingerie. Les dessous proposés par Hélène Porée-Breuzard sont adaptés à toutes les femmes.

ien ne la prédestinait à monterun jour son auto-entreprise. Deson propre aveu dénuée d’am-bition exacerbée et de fibre com-

merciale, Hélène Porée-Breuzard, secrétaireau département GEA de l’IUT de Briveet mère de deux enfants, s’est pourtantlancée dans cette aventure, à quaranteans passés. La faute à la maladie. Le cancer du sein qu’on lui a diagnostiquéen mars 2015. Face aux difficultés rencontrées après l’opé-ration pour retrouver de la lingerie jolie etadaptée, elle aurait pu baisser les bras. Ellea au contraire décidé de relever la tête.

« La double peine »« J’ai toujours aimé la lingerie mais là,quand j’ai vu ce qu’on nous proposait,vraiment, ça ne faisait pas rêver. C’étaitla double peine. » Le cancer, l’ablationd’un sein et maintenant les « dessous degrand-mère ».Alors, avant la fin de ses séances de rayons,elle s’est lancée : « C’était le 4 mars decette année,le jour demon anni-versaire. »Pas évidentpour une néophyte. Mais pas impossibleà qui a décidé d’avancer coûte que coûte. Trouver des fournisseurs a été le point dedépart. Mais pas n’importe lesquels. « Avec les cicatrices mal placées laisséespar les opérations, on ne supporte plusrien sur la peau. » D’où la nécessité dechoisir les articles les plus doux possible. Elle opte pour le coton, notamment celuifabriqué dans le Pays basque et prendgarde à le choisir sans produits toxiquesdans les couleurs.

Agrée par la Sécurité sociale, elle chercheaussi des soutiens-gorge féminins et jolis,sans armatures en fer, et prévus pour re-cevoir, si besoin, des prothèses mammaires. Parés de dentelles ou de nœuds et colorés,ces soutiens-gorge et maillots de bain sont

adaptés à toutesles femmes. Cellesqui ont dû se faireenlever un sein,celles qui ont fait

le choix de la reconstruction mais aussitoutes les autres. « Ce ne sont pas destrucs pour malades », comme elle se l’estentendu dire un jour...

« L’entreprise m’a aidée »La vente se déroule la plupart du tempschez elle. Mais si besoin, elle se déplaceaussi chez les clientes. « C’est un momentintime, de confidences, qui peut prendredu temps. » Hélène ne compte pas sesheures. « Mon but n’est pas de faire des

bénéfices mais de faire du bien, que lesclientes repartent avec le sourire. » Idempour les prix, tirés vers le bas. « C’estdéjà assez lourd ce que l’on vit, je neveux pas en rajouter une couche. Car cen’est pas remboursé. C’est considérécomme un luxe... C’est vrai que je peuxme le permettre car j’ai un travail à côté. » Elle le reprend ce mois-ci et le sait au-jourd’hui : « L’entreprise m’a aidée à tra-verser tout ça, à me lever tous les matinset à avancer. »Elle entend bien garder le cap : « J’ai leprojet de créer ma ligne de soutiens-gorge grâce au financement participatif.C’est mon nouveau challenge ! »

Jennifer Bressan

Clin d’œil, 20 rue du Claux, 19100 Brive.06.12.77.48.98 - www.clin-oeil.com etwww.bulbintown.com/projects/les-dessous-de-lilou

« Mon but n’est pas de faire du bénéfice mais de faire du bien. »

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C’EST NOUVEAU !

Naturopathe iridologueProfesseur de biologie au lycée agricole deVoutezac, Catherine Bellanger est parallè-lement naturopathe (médecine non conven-tionnelle dite naturelle). Cette éducatrice desanté pratique également l'iridologie, c'est-à-dire l'étude de l'iris. Elle est la seule surBrive et la région. Toutes les explicationssur son site http://naturokathe.jimdo.com/.Sur RDV au 06.28.55.25.10.

Chris Lavage Auto5 avenue André Malraux

Unique à Brive, ce centre de la-vage, outre de nouvelles lanceshaute pression, propose un por-tique nouvelle génération sansbrosses. Il lave sans aucunrisque de traces ou de rayuressur les carrosseries.

La Cale BasseRue Docteur Massenat

Le café de la rue Massenat rouvre ses portes après un moisde travaux. Nouveau propriétaire,nouvelle devanture, nouveau bar,mais comme avant, une formulede repas simples et bon marchéle midi.



INFOS

GENDARMERIE : 05.55.86.08.12 COMMISSARIAT DE POLICE :05.55.17.46.00 POLICE MUNICIPALE :05.55.23.79.22 URGENCES SOCIALES : 115 MÉDECINS ET PHARMACIENS DE GARDE : 05.55.17.46.00 DÉPANNAGE GAZ : 05.55. 23.17.19 DÉPANNAGE EDF : 09.72.67.50.19 DÉPANNAGE EAUASSAINISSEMENT : 05.81.31.85.03 SOS VIOLENCES CONJUGALES :05.55.88.20.02 SOS AMITIÉ : 05.55.79.25.25 ENFANCE MALTRAITÉE : 119 ALCOOLIQUES ANONYMES :06.74.09.42.58 CENTRE DE DÉPISTAGE MST :05.55.92.66.11 MAISON DES ADOS :05.55.93.10.00 FOURRIÈRE ANIMAUX :05.55.88.16.63 MAIRIE : 05.55.92.39.39 VIE DES QUARTIERS : 0.801.800.900 MÉDIATEUR MUNICIPAL : Jean-Louis Estagerie : 05.55.18.16.06

NUMÉROS UTILES

Atelier rédaction CV / lettre demotivation et préparation à l’entre-tien d’embauche, tous les mercredissur rendez-vous.

Une aide à l‘accès à l’emploi :permanence de Point TravailServices, tous les vendredis matin de9h à 12h sur rendez-vous.

Obtenir des informations sur lesmétiers et les formations dans lestravaux publics, mercredi 14 septem-bre de 14h à 16h.

Obtenir des informations sur lesmétiers et les formations dans lestransports et la logistique, jeudi 15septembre de 9h à 12h.

Des questions sur l’orientationscolaire et professionnelle ? Unconseiller répond à vos questions,mardi 20 septembre de 9h à 12h.

Créer son entreprise… lespremières réponses à vosquestions avec l'association

AIRELLE Corrèze, jeudi 22 septembrede 14h à 17h.

Connaître tous les métiers dusecteur hygiène, propreté etenvironnement et les formationsen apprentissage proposées par leCFA de Bordeaux-Pessac, jeudi 29septembre de 13h30 à 14h30.

Les jeudis de la création, un repré-sentant du pôle création de la CCIvous accompagne pour réussir votreprojet de création-reprise d’entre-prise, jeudi 29 septembre de 13h45 à17h30.

Le portail de l’apprentissage etde l’alternance, vous recherchez unemployeur pour un contrat d’apprentissageou un contrat de professionnalisation ?Vous êtes employeur et vous recherchez unapprenti ? Rendez-vous sur www.alter-nance.limousin.poitou-charentes.org !

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Renseignements et inscriptions au 05.55.23.43.80 – [email protected]

Cité des métiers / Service Information Jeunesse

ÉVÉNEMENTS

Sensibiliser à la pratique du vélo

« Le nom complet de notre association est Brive Ville Cyclable- Partager la rue. Notre but est d’améliorer la circulation et lasécurité des cyclistes, mais aussi et surtout de promouvoir unvrai partage de l’espace avec les autres usagers, que sont les pié-tons, les deux-roues motorisés et les automobilistes. »L’association d’usagers du vélo participe tous les trois mois àune réunion avec la Ville de Brive, « en présence de l’adjoint encharge de l’urbanisme Jean-Pierre Vernat, et de représentants

Zone de rencontre. Double sens cyclable autour de la collégiale.

des services techniques », précise Xavier Hochart, président deBVC. « Nous avons d’ailleurs fait une sortie vélo avec eux enjuin afin de constater ensemble les difficultés que les cyclistespeuvent rencontrer dans la ville. Le dialogue se passe très bien,les échanges commencent à être porteurs. »Au-delà de secteurs géographiques précis qui, sur le terrain etaux yeux de BVC, posent problème pour la circulation desvélos, association et Ville échangent autour de « la nécessité defaire de la pédagogie autour du vélo », explique Xavier Hochart.« Il faut sensibiliser les Brivistes, cyclistes ou non, à la pratiquedu vélo, notamment au double sens cyclable et aux zones derencontre. » Le double sens cyclable permet aux cyclistes depouvoir circuler dans les deux sens sur des voies où les véhiculesmotorisés sont, eux, en sens unique. Et ce double sens cyclables’applique aux zones de rencontre. Exemple concret : les vélospeuvent rouler autour de la collégiale Saint-Martin… dans lesdeux sens ! D’où la nécessité d’informer l’ensemble des usagersbrivistes du fait qu’ils peuvent toujours se retrouver avec unvélo arrivant face à eux, même dans un sens unique pour lesvéhicules à moteur, et que les cyclistes peuvent bel et bien avoirle droit de circuler ainsi.

Olivier Soulié

Brive Ville Cyclable : 05.55.74.28.71 et www.brivevillecyclable.org

Programme des animations septembre 2016



LES BRÈVES

Vide-greniers de la Bourrée LimousineUn vide-greniers organisé par La BourréeLimousine se déroulera le dimanche11 septembre sous la halle ouverte de laGuierle, de 9h à 18h. Renseignements etinscriptions au 05.55.86.10.18 ou06.73.20.48.85.

Bourse aux vêtements de l’AFBL’Association Familiale de Brive organisesa bourse aux vêtements automne/hiverà la salle du Pont du Buy, les samedi1er octobre de 14h à 19h, dimanche 2 oc-tobre de 9h à 18h et lundi 3 octobre de9h à 12h. Entrée libre. Contact :05.55.24.33.94 et sur le site association-familialedebrive.fr.

Conférence sur la GrèceL’association Franco-Hellenique de laCorrèze organise le samedi 17 septembreà 20h au centre Raoul Dautry, une confé-rence intitulée La flamme grecque éclaireencore, présentée par Gilles Denis et suivied’un apéritif dinatoire grec. Réservations : 06.87.57.60.43 ou [email protected]

Forum des associationsLe 11 septembre, aux Trois Provinces, de10h30 à 18h, se tiendra le Forum des as-sociations organisé par la Ville de Brive.Environ 200 d’entre elles seront présentesréunies à travers plusieurs thèmes : affairesagricoles et commerciales, anciens com-battants, culture, enseignement, déve-loppement durable, international et hu-manitaire, sports, social, tourisme etloisirs. De nombreuses animations, ex-positions et démonstrations sont prévues :baptême moto, danse, awalé, maquillageenfants, arts martiaux... Entrée gratuite.

Conférence-débat sur les directivesanticipéesLe comité d’éthique du centre hospitalierde Brive organise à la CCI de Brive levendredi 23 septembre à18h, salle Escande,une conférence-débat sur le thème : lesdirectives anticipées et la personne deconfiance, la notion d’autonomie relative.Elle sera animée par le professeur RégisAubry, médecin et chef du départementregroupant les soins palliatifs, le centred’évaluation et de traitement de la douleurdu CHU de Besançon, membre du Co-mité national consultatif éthique et pré-sident de l’Observatoire national de lafin de vie. Entrée libre.

Association

Santé

Bouger pour bien vieillirLe CCAS de la Ville de Brive, avec AG2RLa Mondiale et l’association Siel Bleu,organisent le lundi 19 septembre, à 14h,salle du pont du Buy, une conférence-débat sur le thème suivant : bien vieilliren équilibre ou les bienfaits de l’activitéphysique adaptée. Les principales causesde chutes, comment les éviter, le rôle del’activité physique adaptée autant dequestions qui seront abordées par ThomasVigne. Le conférencier rappellera que lapratique sportive permet de mieux vieillir.Entrée libre. Renseignements : 05.55.18.18.90.

Ateliers OccitanLes archives municipales organisent dansleurs locaux des ateliers Occitan les mardis13, 20 et 27 septembre de 17h30 à 19h.Renseignements : 05.55.18.18.50.

Journées aéronautiquesLes 14 et 15 septembre, de 9h30 à 18h,place Charles-de-Gaulle se tiendront lespremières journées aéronautiques de Brive.Organisées par les associations de Brive,en partenariat avec l’Éducation nationale,le Conseil départemental, la mairie, laCommunautté d’agglomération de Brive,l’Office de tourisme, les armées de terre,de l’air et la marine, elles permettront defaire découvrir au public les activités etles métiers de l’aéronautique.

Des bénèvoles pour la Foire du livreLa Ville de Brive fait appel aux bonnesvolontés pour intervenir en tant que bé-névoles pendant la Foire du livre.Si vous êtes intéressé(e), le formulaired’inscription (téléchargeable sur le sitede la Foire : www.foiredulivre.net) est àrenvoyer à la direction de la culture du1er au 30 septembre : soit par mail : [email protected], soit par courrier : di-rection de la culture, commissariat de laFoire du livre de Brive, Hôtel de ville,B.P. 80 433, 19312 Brive Cedex, soit pardépôt direct au commissariat de la Foiredu livre, 13 rue du Docteur Massenat, 1er

étage (permanences : lundi, mardi, jeudiet vendredi de 9h à 12h et 14h à 17h).

Projection-débat de Dis Maîtresseavec le réalisateurLe mardi 20 septembre à 21h, sera projetéau cinéma le Rex le film Dis Maîtressequi suit les enfants d’une classe de ma-ternelle de Vénissieux sur une année sco-laire. À l’issue de cette séance un débataura lieu avec le réalisateur Jean-PaulJulliand. Renseignements : 05.55.23.29.01

Loisirs

Foire bio à la halle BrassensLe 25 septembre, de 8h30 à 19h, se tiendraà la halle Georges Brassens la 22e éditionde la Foire biologique et artisanale orga-nisée par l’association Les Doryphores.Elle propose au public de rencontrer lesproducteurs labellisés AB, mais aussi desartisans ou des associations présents surprès de 80 stands.Des animations gratuites pour petits etgrands sont également prévues, de mêmequ’une conférence-débat animée par BrunoRiondet sur alimentation et climat : enjeuxsociaux et environnementaux de notre assiettecomme des gaspillages alimentaires. Un dé-jeuner bio sera préparé et servi (réservationsur place à partir de 10h)

Troc d’automne des plantesLe troc d’automne des plantes organisépar la Ville de Brive se déroulera le di-manche 2 octobre, de 9h à 12h au jardinpotager de la place Thiers. Gratuite etouverte à tous, cette manifestation réunitcurieux et amateurs pour échangerconseils et plantes. Renseignements : 05.55.18.15.16.

Sport dans ma villeLe samedi 3 septembre aura lieu la 9e éditionLe sport dans ma ville. Comme à l’accoutu-mée, de nombreux clubs sportifs brivistesinvestiront les rues et les places du centrepour réaliser des démonstrations de leursdisciplines auxquelles vous pourrez égale-ment vous initier. Cette journée est organiséepar la Ville de Brive, avec la participationdes associations et des commerçants.Renseignements : 05.55.18.15.79.

Découvrir le golfLe golf de Brive-Planchetorte proposeune journée découverte, ouverte à tousà partir de 10 ans, le samedi 10 septembre,de 14h30 à 16h30. Par petits groupes etsous forme d’ateliers, vous pourrez testerou vous faire conseiller gratuitementselon un programme bien précis : initia-tion à la pratique du golf (avec prêt dematériel), explications et présentationde l’équipement du golfeur, jeux sur put-ting green, zone d’approche, practice...visite du parcours en voiturettes, et dé-monstration.D’une durée de deux heures, la découvertesera encadrée par une pro, VéroniqueDufresne, deux éducateurs sportifs de laVille, et des bénévoles de l’Association GolfClub de Brive. Une inscription à l’avance àl’accueil du golf municipal ou par téléphoneau 05.55.87.57.57 est nécessaire.

Sports



ÉTAT CIVIL

17 juinCharles LAURENT et Estelle GERARDIN.18 juinPerrine LEFIÈVRE et Marion CAPRON. Laurent WARD et Françoise TRONC.25 juinJulien DESPLA et Valérie CUSSET. FranckSAINT RAYMOND et Pauline PEREIRA.2 juilletFaissène CAPOA et Marguerite INEA. Lionel GRANDEMANGE et Marie PRADEL.9 juilletJérémy LAURENSOU et Camille COULAUD.Alain MARSALES et Viviane DENOUX.16 juilletLudovic MARTINS et Anabelle LOURADOUR.23 juilletBenjamin BESTE et Nadia MOULIN. Olivier SALESSE et Aurélie DURAND.30 juilletCyrille FOUCAULT et Audrey DICK.6 aoûtMouhoudhari DAOUD et Vaiana AMARU.13 aoûtJonathan MARQUES et Laëtitia HENRARD. Joël RIBA et Amandine Pradel.

15 juinLouna COUDERT, de Pierre-Etienne Coudert etStéphanie Lamy.17 juinLucas GAUDEMER, de Geoffrey Gaudemer etWendy Moret. Enzo MARTINS, de KévinMartins et Sandrine Robin.18 juinCharles PIGNOL, de Frédéric Pignol et MorganeBonnefons.20 juinYassin HAMZAOUI, de Tristan Hamzaoui etAnaïs Arteil.21 juinEden ITOUA ENGOTI, de Franck Itoua Engotiet Mélissa Roche.22 juinBerat KARACA, de Galip Karaca et Zubeyde Çelik.23 juinAyden LADOWICHT, d’Anthony Ladowicht etMagdalena Martins Goncalves.24 juinAleph NOAILLETAS, de Mickaël Noailletas etPerrine Martineaud.27 juinEliott MAS, de Florent Mas et Magali Carbonneaux.29 juinLounis MONTFORT MABCHOUR, de CédricMontfort et Cihan Mabchour.30 juinThibault TIMBAL DUCLAUX DE MARTIN, deFrançois Timbal Duclaux de Martin et MathildeCoponet. 3 juilletInès BOUMSISSE, d’Abdelaziz Boumsisse etMouniya Abdaoui. Lyam MAQUIELECA, deBruno Maquieleca et Lola Boudries.5 juilletKevin BORELLI, de Robert Borelli et Eva Coly.6 juilletLola LEBON, de Sean Lebon et Annabelle Tribout.10 juilletKiara DE SOUSA, de Lionel de Sousa et VirginieRibeiro.12 juilletAnya MAYSONNAVE, de Thomas Maysonnaveet Sandra Peyrounette.16 juilletAmbre BLANC, de Julien Blanc et KarineAngelvy. Safia DE JESUS, de Daniel de Jesus et Sarah Tabet. Calie PLANCHE, d’Olivier Planche et Aurore Algret.18 juilletRowan CHRISTOPHE, d’Irwin Christophe etNawal Yhan Allah.

Mariages

Naissances

19 juilletAmbroise COUDERC, d’Emmanuel Couderc etEmmanuelle Bernadac20 juilletEnzo BRUNEAU, de Jean-Yves Bruneau etStéphanie Biaussac.21 juilletKenzo WELDIN, de Rémy Weldin et MarineGonnord.24 juilletAndréa VIGNERON, de Florent Vigneron etNissrine Choubi.25 juilletMaryam ARRACH, d’Ali Arrach et AïchaAzegrar. Léonore DAVOUST, de ThierryDavoust et Annette Poulard.26 juilletRayan EL MOUDDEN, d’Ismail El Moudden etSfia Cherkaoui. Logann PIRRINGUEL, deGrégory Pirringuel et Cyrielle Fonteyne. TiagoPOIRÉE, de Yannick Poirée et Sonia TeixeiraLeites.27 juilletKenza GUSCHING, d’Estelle Gusching. IanisMARASESCU, de Christian Marasescu et ElenaMarasescu. Mila PAYRAT FRECHINOS, deDavid Payrat et Charlotte Frechinos.30 juilletLucy MADEIRA, de Jacky Madeira et LudivineLemos. Bastien SCHNELLER MARTINS, deFrantz Schneller et Pauline Martins.1er aoûtJulia MIGNARDI, d’Arnaud Mignardi etJohanna Pujo.3 aoûtShaïma-Andréa BRAVO, de Carlos Bravo etKawtar El Hamdaoui.5 aoûtKarlie MARAIS, de Peet Marais et Lashé Preto-rius. Meïly PIGLIALEPRE, de Nicolas Piglialepreet July Duez.6 aoûtDionesse LAENE, d’Alphonse Tiago et ImeldaLaene. Aimé LEYMARIE, d’Amédée Leymarie etLucie Puech. Raphaël TISSERAND, de Chris-tophe Tisserand et Harmonie Vergne. LiliQUEYCY, de Maxime Queycy et Louise Lavaud.8 aoûtRaphaël RIGOBERT, de Jérôme Rigobert etMarion Durand.9 aoûtAaron ROMANO, de Franck Romano et AlysonThami. Alix SALERNO, de Baptiste Salerno etSylvie Paganel.10 aoûtFatih ERCIYAS, d’Osman Erciyas et EmineCoskun. Nathan PUJOLS, de Vincent Pujols etVanessa Brunaud.

13 juinSimone LACHAUD, épouse Massoutre, 87 ans.14 juinAndrée ROUANNE, veuve Fromont, 87 ans.15 juinMarie-Thérèse DESPLAT, épouse Chasseing, 89 ans.18 juinMichel HUCHELOUP, 77 ans. Raymond LIGER, 92 ans. Arlette STUREL, épouse Dussauze, 64 ans.19 juinPierrette MADELMONT, épouse Augier, 89 ans.Jeanne MAMY, veuve Sauvanet, 94 ans. Éliane PETIT, veuve Dauliac, 95 ans.21 juinJean DESPLAT, 80 ans.24 juinLaurent JOSSO, 47 ans. Jean MARTINIE, 83 ans.26 juinMichel MASSOULIER, 84 ans.28 juinMarie CAMINEL, veuve Jeanjean, 96 ans.1er juilletAndré BARDE, 70 ans.

Décès

3 juilletMarie POMMEPUY, veuve Nouaillat, 98 ans.4 juilletLiliane LAPERDRIX, veuve Rasse, 81 ans.5 juilletMarie TRONCHES, veuve Soulié, 97 ans.7 juilletGaston SAEZ, 76 ans.9 juilletFrancis PINHEIRO, 65 ans.11 juilletFrédéric BAZIN, 56 ans.12 juilletPaul DUBLANCHE, 90 ans. Cécile FÉBVRE, veuve Chabut, 84 ans. Renée MERCIER, veuve Longeval, 92 ans.14 juilletRaymond PUIDEBOIS, 59 ans.15 juilletMarie CHANEL, veuve Mestre, 95 ans. Arlette FOURQUIER, veuve Duvernet 81 ans.16 juilletMarie-Louise MONGALVY, veuve Mons, 92 ans.18 juilletJacques EDOUARD, 74 ans.19 juilletYvette BOURGEADE, 92 ans. Colette SEMBEIL, veuve Rigal, 85 ans.21 juilletAntoinette HOSPITAL, veuve Vergnol, 89 ans.Yves MONTEL, 67 ans. Pierre TREUIL, 88 ans.22 juilletRaymonde BARTHÉLÉMY, veuve Golfier, 96 ans. Camille JEAUSSEIN, veuve Rousseau, 103 ans.Alice PAULS, épouse Galaud, 83 ans.23 juilletJosette LESPERON, veuve Courtiol, 92 ans.24 juilletIrène BIEHLER, veuve Yan, 93 ans.28 juilletSimone MARGINIER, veuve Soustre, 83 ans.29 juilletSimon CEYRAT, 96 ans. Alix BRIAUD, 98 ans.30 juilletMichel PAJAK, 83 ans.1er aoûtDominique JOFFRE, 55 ans. Simone MONZAT, veuve Rocchetto, 93 ans.2 aoûtMichel DUPUIS, 81 ans. Monique RIQUET, épouse Boyer, 86 ans.4 aoûtMarie DELMAS, veuve Vège, 87 ans. Valentine GENESTE, 97 ans.5 aoûtBernadette BONNIN DE LA BONNINIÈRE DEBEAUMONT, 82 ans. Michel PASCAL, 78 ans.6 aoûtRoger GRANVAL, 82 ans. Marie LARCHER, épouse Magne, 59 ans.7 aoûtMaurice COLNAT, 87 ans. Jacqueline JERECZEK, épouse Devaud, 68 ans.8 aoûtAline MERCADAL, veuve Capponi, 82 ans.Michel MOREAU, 79 ans.9 aoûtChristian BERNIER, 56 ans. André BORDAS, 76 ans. Albert VERGNE, 86 ans.12 aoûtJoseph DAVID, 89 ans. Roger HELY, 79 ans.

Du 15 juin au 15 août

Brive Magazine : Tirage 35 000 exemplaires. Dépôt légal : Septembre2016. N° L 52560, 13 rue Docteur-Massenat, 19100 Brive-la-Gaillarde.Tél : 05.55.17.64.10 - Fax : 05.55.17.64.11 - Blog : brivemag.fr -Email : [email protected]. Directeur de la publication :Christophe Patier. Rédacteur en chef : Michel Dubreuil. Rédaction :Jennifer Bressan, Marie-Christine Malsoute, Patrick Meneyrol, OlivierSoulié. Mise en page : Estelle Rezigat. Photos : Diarmid Courrèges,Sylvain Marchou. Accueil et distribution : Fatima Kaabouch. Secré-tariat : Marion Magnaudet. Impression : Fabrègue imprimeur(Saint-Yrieix). Distribution boîte aux lettres : ADREXO(05.55.87.53.12). Abonnements : Abonnez-vous ! C’est 30,50 eurospar an, pour 11 numéros. Adressez votre demande accompagnée durèglement par chèque postal ou bancaire (à l’ordre de Trésorerie principalede Brive-la-Gaillarde municipal) à : Brive Magazine, 13 rue Docteur-Massénat, 19100 Brive-la-Gaillarde. Régie Publicitaire Municipale :Contact,Fatima Kaabouch ( 0 5 . 5 5 . 1 8 . 8 1 . 4 8 o u 0 6 . 2 6 . 7 1 . 0 7 . 2 3 [email protected]).


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