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T im , • IIhhiimiiI préf^uir $tt non» I Senli». loas 1rs âce do Marihé àn rs de la aenainf. Oiinancbe,' rue dû lies. coneerae Fart dû îciçllea d’après Us S s’il emploie pour nés doni ae ser^ ’aris. rande habitade de rofome ou l’éiiin ” ippareil, est^lS , que Mll.-lesoé loi faire ëtbérisn 8BNUS. *)• fvama I^iruf^ HEABLIOES. ii*l|arle*Alption8«‘), loiselle Ligiidreui rr«hçois«Narci8sr), ei d>*molfrelle Des- à Seuils. ilN . 6joi«. rne; — 19 *• Same d iïn ic i Rflfnp iHfvr 'èifr.'Sbe. >3 '’ io Pova là Doiircc'St.d’AlKtutuwMoti^ |d«4e w^boarK»-*** Trais auMiJ js U«4ili . 7 clàl’Omceeprrct tous Ir* T' ANNONCES.JUDlCIAlbcé^» ib te n a is bgaà- ANNONC^DIVKOSM^^i^^JJ. G*, >. N^.-0.-diçK^\Ui*«»«r ImprMenrt «tiaDieii'<‘r At a Sixmois. Trou mois Tbos.tx DxrsxitHxaT a;i rs ïïm m m dé dîdoiré^i'^éicb ou m .fîOilnl 'H i. 1 iS U O tO a * ’. V. 'M _ '• '■' ' ^ 1 ' SENbl». [«IM adïi'W B » verijiêii .lu» torricad»; ll« 6 m eo»oii«iirpÿ*w IfurBCTvicë èu* lOTOlidi-a. i n m > : . I. Les ciloyenji deiBeaiiï-iB sont q"' V . *d— Il avtf BsnlalAl A' *A 11*11 r. Xpl«di|»iW'joqi4',4hïffy8'ai|iÇfn>ie I . ; ]-<pcoa«elle bewiip, ildS|iMidpe»*»1b»l« do»«alr>t!*l«i nihilPt. à CB.UllM dpMiig; dw.piw pnwlea. J’iu«qrrpc- T tous «xprimer.oolhi'rtcmiiuiiwmï- |dBKilisiiéliOe^iW»p«emeot) ^ ^ - I donl rous avez fait preuve daos cefP»fiUimrèu8aSijoiir.nM8. J qii*’ ^i^jf'«dtë,»iDpaëp loaisià.quel priXfigrand .Dieu! Que do sang I à celui qni A prouvera *que VEau Ite EAU DE tOB — Flacon à & et S811 o Paris. Ou HEDOES VAL n. 08 80 07 10 08 80 06 08 06 00 06 00 Oi 72 00 00 00 00 07 26 06 36 06 65 07 83 06 46 j.| 00 00 00 00 00 00 00 00 n 00 00 00 00 00 QO 05 86 00 00 07 00 00 Oo 06 66 00 OU 'xeentimés, dUciimê ijiçcopBp^fwU iq pïpB.win* 8»yoir» dpiDipUlre de p»w....' Qpel •cbirncinenl iocroydble I quelle lulle désespdrdu ! On le sen- ipU : «Vieil ope l«||e de « e el,.i|«. mon |»or le eoeiilfc Aorni; la parde: aaiianaleel.ràrm<e.oM'«llen éié:lndbmnlablea. Auaai, Im gardea nallonaab aoni-ilaeceoonie deoooïlds'poiooi de la FriiKei portefaecourabieurt frire* di Paid*;'6t>roi^ef avee eo» l’orldrè' aOcialMnlre iMjèftbrl* impies duCpinn^lu^ . . Abi saqs doole c’est,uup «ffreose épreoMf 'mai* deeciqoel eoo- rage.^eeec-quelle' rdaoloiion 'héroïque elle'e- élé'siipiioiqée! L’ad- yersKi déoeloppe ei|l;^liUlt (ë* pï^^ilea'comnie liiéiiiaîrtto^^^^ el'an- dwsd* del teriénià' de la "ïi* !“ yo iiraél'^ # Pë6qilf.|<»^^^ dé»00WWPli»S. de»eirqo’oot m»nWiilp* ’WfBiiseor*idoPotdre,:de la-llbérlé-ePde la KNsiélé. Jamais'ba-be^poami rMdiO noejosliçe «tériréoMMiiCei b rais.ypplHi fl«e mesifunciioiM .mlMmmot'peniiia-rb me joindre a ' ipp: |»s,m<|le|nwle.p.i|léet,ni(M;pn:iiialilé. le. fosil^sur l'é- iyiis|ezHI>oi. «0«sÿife qw CPif^pai m le,moindre de*.rç. .,p,c«;H* qni re*|*ient.,de pB,pi^*pir'paiiepr ,yo»,périls!.mBb, nous von*’i'atBrmonai nous vous lÿona suivi là-bas... yar vouf; aviez emporté nos cœurs et nos peuipes avec vous. NTool le monde. en celte cireco^nce. a fait son devoir : la garde nalionale, l’armée, le clergérlns onvrierb.' ei'r jesnis heu reux de le reconnaître, la magislrptlgw aussi a-fait son-deveilb.v- Oui, citoyens, e’islAvec un scnlimept dbnrxpiimable bonheuë que j ’ai va an milieu de vous mon pi éntKmt et mon subslitntt et qiand je parle de b magbtratnre, ne eroym pas queje veuille l’élever du- dessus de* abtres; non, citoyenseje-be rappelle trop bieurque nous' sommes sons le règne île b Répidditm, et que la Républiquea 'écrit' sur son drapeau : Literti, igalüi, fTattnUi. 1,’un des mçls de eettO devise est ^galMi les meristyéfs ici lie sotal Viëb '^ué des ci- j toyens, et c'est comme citoyens ijné'ÿi 1rs Hlicite, eux comrrie vous. » Abl'ài'cètte fanléqiii'm‘e n lo il# ^ n **it jisriér, cbacun vieu- liou'dn magnifique bétel destiné à la vieillesse de'po* soldais,:airut en l’hoppeur d’y entrer en arme». Ils «ni élé passés en-revue par bimaréobal 'Holitér, qui les a vivement ïélicilés.de lepr «ueigiqae patriotisme. — ^amiiili, lorsque le bataillon de Pouiolse est arriv^ à ip nia|rie du i " arréndissüineiit, M.Mourgues.ancieu Sous-Piétei de Ppiiloisç, sanvéïlApateiP' ' - noAJ''iinè Sbciéié'qèiVebité dè'pkiwAaïiiemUr^Ve ^ résolution, de patience, qui ae relève ainsi sons la grêlé des bal eo«tfiralli*rnitnail«P'.»V*-i« Insempète vnee-v*er-ne«l<iA d * " - » eelb-lè ne-pent,périr, ellnepérië* pesé - ' ' ' Il -i ■“ ■ 'I '" ' ■■■-•- _ , Il 1,1 II M l . 1... ■ , ■ — ............... / i^^r r i'- .’ - • :i J't • - . • '.4lju*oh \ Iwut : Sôjez bénifi 'voîis qui avez ctmconrq à Moyerja pairtu menacée. Les poilri'nel sont oppr«(l&éesîtàV’ykit éVi qqt httjdeniaiide sortir : Vhe éé Bépubliqnt t Nûtu^nale de 1 È e te ltt /•'■•'' . ■ • iI » J i Ce çri fui répété )|J^r (leux milia voix- : ; / ■ pnsevf!; W - ÇV a|t<|. la copppaguié de la Çoutellopo . que j ’y prenne ma plaw7 et UimOurgues a marché avec lebalaillou à la barricàde nu filHpourg Séini-Denis.Ciiàcona étéémujlélé relroriver en per^lVÇiCircons. tancé : cette action ne peut qu’apgqrculer lës regrelp .quq k|. ètonrgues a laissés à Pouloise, comme homme et comme qqmt; ; liistràtéur. ' , , , v La blessure de 5L Lamarre, quoique-grave, est moins ,dauge- reuse qu’on ne l’avait cm. Il a pu revenir à Péiiioise le lendeniain.— ll..Roroib«salné, aoutrlienletianjt dans la î-.compsgiiie, ainsi que R.Odtnier, mpcgitl,dans b même crmiwguie, ont.reqn dm bles- i surqS-qn’on.assitre n’pvoir point dcgravité, M. Lagrave, Uit-Borv dehis, des sapeurs-pompiers, aen bmain traversée par nne,balle. H . tioitel, btûssiçr à Harines, qui aVbit joint au bataillon dei’on- toiae/arequ-une blessure à,b cuisse. ., i. Le càpiisipCi dp, la ilc«mpagoio„à bquelle apparienail U . ,w - nëy|oii, yient.de se.reodreAiParb, accompagné de plusieurs oifi- ijiers et ganles nalioiiamt de.cptto «ompagoie, afin do rapportif,.sbl est possible, |« corps dé leur bfptilpné.camarade. ; La, bbriqné de ,Sainl-IIaclo.n vbnt de,-décider qulolle-brait à ses {rais lps.;fnnéraiite* de celte yictime -de sou dévoncmént à l’ordre ppblic. . , ' . ' ....................................... de IV.- pabis. — Le citoyen,^^«^çqjtflrrbenville i sous-éommièmirp di roiulissemenyjléç'omp^gué, a été noqimé administratenr,,du CtRCVLATRS de U. le Proeàrimr dé là W pàblijiie pi-èe te <«-' banal de Senlit'i «"*«-: U i Maitet de téarondieleinent. Senlis, lé 28juin 1848. , Monsieur le Haire, Par répandre dans snite des événements de Paris, beanconp d’Iiisnrgés vontae Ire dans b prqvincet'tl iibparté qu'ils lie pnislient échappei- à plus a'diive surveilbécc è I ivélrwit dané ëotié cominnne. __ _ r-r ............... » lia^étt'i Toh* les fétlillerez mèmèV'et Cèlb q n i'V jfturrnill vdds’doniier dé*'ex(i|iC*Uona satià-^ faiSantâ idé'seténi imihédlalèœéul ébtiduîtsi 'eséottés'i^r deux garilès natbnaUk Si'U jsCtiiUnèbrieHë'b |i«nl, ÙiiiVrèurd. Saidt et ^raiérnité. - - i. CâTELLIe ' •’ / On fort déiscbeméni d^ la ga-dè nàJmBalë de Seq(is, com-I L V liabdé par ‘f* il feîW Î’ S à Œ foni I le citoyen ^iq q e , si çonttn,è,$Ppli*et,4aua les environs, tous; le im de fbnvlmjrreiiaitdpV'N ’engS .dm gardes nationsux qui se. Ipris.eq.yeéouçs.do l>rdre;isa eonduiie a élé «elle _ ... ..ont il i)BP*V"i*é!Ï'lled«ns lé peloton où se trouvait le fils de H . Bernbr dé Borést, Depuis mardi dernier, toutes les dames de Senlis n'ont été oc cupéesqu’a bire dy lacluirpie, pour l'.çitvaj|ecMX b6pitaox.de Paris. M. leVsire plie les Mrspanes qui continuent à.pu, faire, de b porbr à I'li6tel-üé.ville; iVminialration municipale se cliarge de.l'envoyer |i à destination.. ' Des coups de fusil, ilrés entre minuit «Inueb'ure, pendant la llinit dn."26 an 21' juin, ont.jetéVabrmedan* les quartiers qui uvoi-' itiw itt les'rnilériët. On a «ra pu moment, que les insurgés repre- 'naieni'les armiEr..ltoVnètv,il,tien; mais, hélas! par une méprise !dïblérSWeï^iim gardea tiatiVaux avaient tiré le* uns sur.lea autres, ,Voici cequtVuit arrivé.,, I , ,, , Versminuit.ia garde nationale d«.lj>iret,fut«bargée de transb- rer dans une «nire prison deux conte .dca prisonnwra-qui étabnt cntermés'dans lééout'errain de b lértgemidn berd de l'can. Les pri sonniers, qu>'n’éttieoi,'pas attachés, marchaient- entre depx rangs de gardes n'aiïonapx. ^rrivès sur b place du Carfpnsal, -un monve- -iL..', sé manifeste parmLVm prwnnipts- Aussitôt les foni feu sans rcfléopig qp'eit tirant «müm-hommea. Pinsicnra nationale parisbuke; la esiUM dé’^riitt, MwilVMé*. 1 JômbeKléSé m! mÿm'ratîSm* isi, quelle mortelle angoiéH fortnraR, iKnitout 11 • '* V t é » .‘ “ '"if* 'jsi^xsiH|ie..de' '■ nialn^^è{ii|ièri( là' ^ébcMWél D^oà.cyà lôVéliàp Mp<Wèté'éttil»héàréaàè^ééd0 0trpfaoÿCT ejéfih é^vm:à pàwJ, , . . t ilati6éàl^l*nSI étA èlwvM à éiiWi'àiilîàe ctMrjKraii d« c«il0 Ij Oii àÿj^rU defjçiw^^.du Jff Jj* diffioileeliiérilleaie Éxl»èièè;l>i»t!iJÏà&ilwJ*Ûnlirep^^^^ jiWytté»; nd «eryic0 d i|à|bql#iic0fu^^ i^éÛWHlelSiWIfeiéélfléWrxl^qlrlIïàf^ iMm-, || éi lW Û i ibui 0» qui li é ^ l b u iw m ^ fli poffiUp, ,<àir« poor. T*:ièà1i^"<ttiWé‘« < ilà 'd*oblÆèl«;’Jo^Vàaiféi>mW^^^ é ; ; û. ’* Rimi el non* rapporta de leurs nouvelles; heuretisenent, elles r ''Dfeokéraciers dé l’elsl-iusjor oe l^l^rde nalionalt ont été nlci-. . . . Par arrêté dd ministre dès fiiiâncè», lé ciloyèn ^impffeup iHEpcéteur des forèrs à piris, é été liomiué ii riiis|>eciion do Çom- piègnè, en i«inpUcénleiti du ciloyéu Poirson. — Dimancbe dernierp 25 de ce moi», à 10 lienres do s ^ , drux inecnilies cul éclaté simulunémelll dans la'OOmmaiie de V ^ooy* envTbelle» au domicile des sieurs Voyer et Bnulletg a ^ o U du maire de la commune. Ces deux habitations ont été bruléess^iSp gêfico aux prompts secours apportés par les pompiert d#fleaillp> en-TheUep les maisons voisines ont été préservéet. On àWhkué cet incendie à la malveillauoo; l’auteur en est inconnu. — Nous trouvons dans on compte reodn de la Commtwibfi des DontU Offrandes Jaüs àla patrie, la liste suivante dedoos^siLs à la date du 6 juin, par dé» habitants du département de l’Oise. . Uuanonyme. , . . Taopin ( receveur* pariionlior des finances à Senlis................................... Bardot, Wariu et Obry, employé» .. . . Les percepteurs dé rarroodiséeméot de Senlis. . Choron, sornaméraire*perceptenr, , . *. . Les conducteurs et piquenrs des ponts-el-chaos- séea de l’arrondissemeut de Senlis. . . ' - * • Tlürial (Zscharie), propriétaire. . . . - Les employés des contributions indirccles de l’arrondissement de Senlis. . . . . Total. . . . 251 fr. *c . 25 6 . - 115 » 95 95 » 1,588 95 i0 8 0 ' 95 ^ Le jury d’admission à l’école d’adroiiiislration, composé de quinze examiuxteors, du dbreçteor.des. élodes et du 80us*secrélaire d'Etat del^hslroètloh'pdWhlùe/présideiU^ après trois séances cou- saerées à la discussion |les titres dè» OAndidat», a arrêté la liste des cent cinquante preiriicfs.' Le.jeune Brossin de Saiiit-Didicr. ancien élève de l’institution I Saint-Vincent, à Senlis, esl.aorli le 2* de la liste, i Les élèves du collège de France doiveiil ctrç reiidus^à Paris, le londi 3 juillet, jour fixé pour l’ouverture des cours. ^ lïdést Lesi^àiueS uaùonanx de Seu iM^pnUl^oya,partie dn poste i. Iloyi ..., Jeîfirs foyers. Ce retonr ont lieu, le mardi 27. Nous eu fAmes iufor- métl'a««miq-„m i»6ti|lPiUé partit. mdMqpe,emêie, an.4eye0 tiidoiSeO‘fseres^ qh5s|lo PMooâlVa lin gué de Crcil. f réside ionle la popélatioD seniisienne s’était jolwJ-JwMÿ'de^sor^^^ ^ n lis de nos noblei compagnonstl^réfei éiéil mie vénuble entrée triomphale. . -..-..«ACh-.- La bstsilloo inrivé snr b pbee én msrcbé sn blé, .fol . tnis|>|llwMiiraisonl urès grièv jidqjm«Hj,{^tlé’-s|mWt ébsM.ibvns dm moru ont ffl,liiy^.«t,«m|qMm*-h*m'llmiTmk(,i«s A, b. .nquyelbdeqmgyM événwsqnb'èmivisniséat'dbasan- l^s « ^ s l.|,in ls «anbifsrdmwitiwmi» doi Besnvib, sons u comnuiti invnliibs Î f e .-smttaqbwtMiéninmipnrlb snàndi; J« Rsrbi ib 4M é té i|ih ^ d»s«rvi«v ébx se Néliontb ponr cmrêciMr b «mstructioa TRIBUNAL DE POLICE CORRECTIONNELLE DE SENLIS. PsésiDiNCK D 'i M. Bouimxizz. idttdienee d àik \9Ài. 't.q'iniluqsl de |mlice eorieolionnelle -s'est occapé priécipala- ment,’dans ss sésiice de ce jour, des sf^ices forosiièresJ'Vingi-nne sffsires ont été appélées, elq niire seulement ont . été jugées par défunt: L’admiiiisirslion des,fqr(5ls*'est toujonns montrée .éxirènte- m ^ t indulgénie, ijurlout djii^ jm temppdilG^lys dans, lesquels NOM bons komnieS Ïrbiivéà 'dépùis quelques mois; «epiyaitahlt'mr b nombre de,ces affaires,-noqs eu rencpnlr5 ^s,.enqur« dixibnùid]ut (W ln m liV é s * ifèièntèVémeiils de géiièts on d’berbes, déliu corn- m b par des malheureux sans occupation et sans ressources, et dont

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T im , • IIhhiimiiI préf^uir $tt non»I Senli». loas 1rs âce do Marihé àn

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nés doni ae ser ’aris. rande habitade de rofome ou l’éiiin ” ippareil, est^lS , que Mll.-lesoé loi faire ëtbérisn

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- I donl rous avez fait preuve daos cefP»fiUimrèu8aSijoiir.nM8. J qii*’^i^jf'«dtë,»iDpaëp loaisià.quel priXfigrand .Dieu! Que do sang

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A prouvera *que VEau

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Abi saqs doole c’est,uup «ffreose épreoMf 'mai* deeciqoel eoo- rage.^eeec-quelle' rdaoloiion 'héroïque elle'e- élé'siipiioiqée! L’ad- yersKi déoeloppe ei|l;^liUlt (ë* pï^ ilea'comnie liiéiiiaîrtto ^ el'an- dwsd* del teriénià' de la "ïi* !“yoiiraél'^# Pë6qilf.|<» ^ dé»00WWPli»S.de»eirqo’oot m»nWiilp* ’WfBiiseor*idoPotdre,:de la-llbérlé-ePde la KNsiélé. Jamais'ba-be^poami rMdiO noe josliçe «tériréoMMiiCei b

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N Tool le monde. en celte cireco^nce. a fait son devoir : la garde nalionale, l’armée, le clergérlns onvrierb.' ei'r jesnis heu­reux de le reconnaître, la magislrptlgw aussi a-fait son-deveilb.v- Oui, citoyens, e’islAvec un scnlimept dbnrxpiimable bonheuë que j ’ai va an milieu de vous mon pi éntKmt et mon subslitntt et qiand je parle de b magbtratnre, ne eroym pas que je veuille l’élever du- dessus de* abtres; non, citoyenseje-be rappelle trop bieurque nous' sommes sons le règne île b Répidditm, et que la Républiquea 'écrit' sur son drapeau : L ite rti, iga lü i, fTattnU i. 1,’un des mçls de eettO devise est galMi les meristyéfs ici lie sotal Viëb '^ué des ci-

j toyens, et c'est comme citoyens ijné'ÿi 1rs Hlicite, eux comrrie vous.» Abl'ài'cètte fanléqiii'm‘enloil#^n**it jisriér, cbacun vieu-

liou'dn magnifique bétel destiné à la vieillesse de'po* soldais,:airut en l’hoppeur d’y entrer en arme». Ils «ni élé passés en-revue par bimaréobal 'Holitér, qui les a vivement ïélicilés.de lepr «ueigiqae patriotisme.

— ^amiiili, lorsque le bataillon de Pouiolse est arriv^ à ip nia|ried u i" arréndissüineiit, M.Mourgues.ancieu Sous-Piétei de Ppiiloisç,

sanvéïlApateiP'' - noAJ''iinè Sbciéié'qèiVebité dè'pkiwAaïiiemUr^Ve ^résolution, de patience, qui ae relève ainsi sons la grêlé des bal eo«tfiralli*rnitnail«P'.»V*-i« Insempète vnee-v*er-ne«l<iA d *" -» eelb-lè ne-pent,périr, ellnepérië* pesé - ' ' ' Il

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pnsevf!; W - ÇV a|t<|. la copppaguié de la Çoutellopo . que j ’y prenne ma plaw7 et UimOurgues a marché avec lebalaillou à la barricàde nu filHpourg Séini-Denis.Ciiàcona étéémujlélé relroriver en per lVÇiCircons. tancé : cette action ne peut qu’apgqrculer lës regrelp .quq k|. ètonrgues a laissés à Pouloise, comme homme et comme qqmt;

; liistràtéur. ' ■ , , , vLa blessure de 5L Lamarre, quoique-grave, est moins ,dauge-

■ reuse qu’on ne l’avait cm. Il a pu revenir à Péiiioise le lendeniain.— ll..Roroib«salné, aoutrlienletianjt dans la î-.compsgiiie, ainsi que R.Odtnier, mpcgitl,dans b même crmiwguie, ont.reqn dm bles-

i surqS-qn’on.assitre n’pvoir point dcgravité, M. Lagrave, Uit-Borv dehis, des sapeurs-pompiers, aen bmain traversée par nne,balle. H. tioitel, btûssiçr à Harines, qui aVbit joint au bataillon dei’on- toiae/arequ-une blessure à,b cuisse. ., i.

Le càpiisipCi dp, la ilc«mpagoio„à bquelle apparienail U . ,w- nëy|oii, yient.de se.reodreAiParb, accompagné de plusieurs oifi- ijiers et ganles nalioiiamt de.cptto «ompagoie, afin do rapportif,.sbl est possible, |« corps dé leur bfptilpné.camarade. ;

La, bbriqné de ,Sainl-IIaclo.n vbnt de,-décider qulolle-brait à ses {rais lps.;fnnéraiite* de celte yictime -de sou dévoncmént à l’ordre ppblic. . , ' . '

....................................... de IV.-pabis.

— Le citoyen,^^«^çqjtflrrbenville i sous-éommièmirp diroiulissemenyjléç'omp^gué, a été noqimé administra tenr,,du

CtRCVLATRS de U . le Proeàrimr dé là W pàblijiie pi-èe te <«-' banal de Senlit'i «"*«-: U i Maitet de téarondieleinent.

Senlis, lé 28juin 1848. ,Monsieur le Haire,

Par répandre dans

snite des événements de Paris, beanconp d’Iiisnrgés vontae Ire dans b prqvincet'tl iibparté qu'ils lie pnislient échappei- à

plus a'diive surveilbécc è I ivélrwit dané ëotié cominnne.

__ _ r - r ...............» lia^étt'i Toh* les fétlillerezmèmèV'et Cèlb qn i'V jfturrnill vdds’doniier dé*'ex(i|iC*Uona satià- faiSantâ idé'seténi imihédlalèœéul ébtiduîtsi 'eséottés'i^r deux garilès natbnaUk Si'U jsCtiiUnèbrieHë'b |i«nl, ÙiiiVrèurd.

Saidt et ^raiérnité.■ - - i. CâTELLIe ' •’ /

On fort déiscbeméni d^la ga-dè nàJmBalë de Seq(is, com-I L V liabdé par ‘f* i l f e îW Î ’ V » S à Œ foni I

l e citoyen ^ iq q e , si çonttn,è,$Ppli*et,4aua les environs, tous; le im de fbnvlmjrreiiaitdpV'N ’engS .dm gardes nationsux qui se.

Ipris.eq.yeéouçs.do l>rdre;isa eonduiie a élé «elle _ ... ..ont il i)BP*V"i*é!Ï'lled«ns lé peloton où se trouvaitle fils de H . Bernbr dé Borést,

Depuis mardi dernier, toutes les dames de Senlis n'ont été oc­cupées qu’a bire dy lacluirpie, pour l'.çitvaj|ec MX b6pitaox.de Paris. M. leVsire plie les Mrspanes qui continuent à.pu, faire, deb porbr à I'li6tel-üé.ville; iVminialration municipale se cliarge de.l'envoyer

|i à destination..

' Des coups de fusil, ilrés entre minuit «Inueb'ure, pendant la llinit dn."26 an 21' juin, ont.jetéVabrmedan* les quartiers qui uvoi-' itiwitt les'rnilériët. On a «ra pu moment, que les insurgés repre- 'naieni'les armiEr..ltoVnètv,il,tien; mais, hélas! par une méprise ! dïblérSWeï iim gardea tiatiVaux avaient tiré le* uns sur.lea autres, ,Voici cequtVuit arrivé.,, I , ,, ,

Versminuit.ia garde nationale d«.lj>iret,fut«bargée de transb- rer dans une «nire prison deux conte .dca prisonnwra-qui étabnt cntermés'dans lééout'errain de b lértgemidn berd de l'can. Les pri­sonniers, qu>'n’éttieoi,'pas attachés, marchaient- entre depx rangs de gardes n'aiïonapx. rrivès sur b place du Carfpnsal, - un monve- -iL..', sé manifeste parmLVm prwnnipts- Aussitôt les

foni feu sans rcfléopig qp'eit tirant «müm-hommea.Pinsicnra

nationale parisbuke; la esiUM dé’ r iitt, M w ilVM é*. 1 JômbeKléSé m! mÿm'ratîSm*

isi, quelle mortelle angoiéH fortnraR, iKnitout 11 •'* V té » .‘ “ '" if*'jsi^xsiH|ie..de' '■

nialn è{ii|ièri( là' ébcMWél D^oà.cyà lôVéliàp Mp<Wèté'éttil»héàréaàè^ééd0 0trpfaoÿCTejé fih é^vm:à pàwJ, , . . tilati6éàl^l*nSI étA èlwvM à éiiWi'àiilîàe ctMrjKraii d« c«il0 Ij Oii àÿj^rU defjçiw ^^.du Jff Jj*diffioileeliiérilleaie Éxl»èièè;l>i»t!iJÏà&ilwJ*Ûnlirep ^ jiWytté»; nd «eryic0 d i|à|bql#iic0fu ^i^éÛWHlelSiWIfeiéélfléWrxl^qlrlIïàf^ iMm-, || éi lW Û i ibui 0» qui li é ^ l bu iw m ^fli poffiUp, ,<àir« poor.T*:ièà1i^"<ttiWé‘« < ilà 'd*oblÆèl«;’Jo^Vàaiféi>mW^^^ é ; ; û. ’*Rimi el non* rapporta de leurs nouvelles; heuretisenent, elles r ''Dfeokéraciers dé l’elsl-iusjor oe l^l^rde nalionalt ont été nlci-.

. . . Par arrêté dd ministre dès fiiiâncè», lé ciloyèn ^impffeup iHEpcéteur des forèrs à piris, é été liomiué ii riiis|>eciion do Çom-piègnè, en i«inpUcénleiti du ciloyéu Poirson.

— Dimancbe dernierp 25 de ce moi», à 10 lienres do s ^ , drux inecnilies cul éclaté simulunémelll dans la'OOmmaiie de V^ooy* envTbelle» au domicile des sieurs Voyer et Bnulletg a ^ o U du maire de la commune. Ces deux habitations ont été bruléess^iSp gêfico aux prompts secours apportés par les pompiert d#fleaillp> en-TheUep les maisons voisines ont été préservéet. On àWhkué cet incendie à la malveillauoo; l’auteur en est inconnu.

— Nous trouvons dans on compte reodn de la Commtwibfi des DontU Offrandes Jaüs à la patrie, la liste suivante dedoos^siLs à la date du 6 juin, par dé» habitants du département de l’Oise.. Uuanonyme. , . .

Taopin ( receveur* pariionlior des finances à Senlis................................... • • •

Bardot, Wariu et Obry, employé» .. . .Les percepteurs dé rarroodiséeméot de Senlis. .Choron, sornaméraire*perceptenr, , . *. .Les conducteurs et piquenrs des ponts-el-chaos-

séea de l’arrondissemeut de Senlis. . . ' - * •Tlürial (Zscharie), propriétaire. . . . -Les employés des contributions indirccles de

l’arrondissement de Senlis. . . . .

Total. . . .

251 fr. *c .

25 6 . -

115 »

9595 »

1,588 95

i0 8 0 ' 95

^ Le jury d’admission à l’école d’adroiiiislration, composé de quinze examiuxteors, du dbreçteor.des. élodes et du 80us*secrélaire d'Etat del^hslroètloh'pdWhlùe/présideiU après trois séances cou- saerées à la discussion |les titres dè» OAndidat», a arrêté la liste des cent cinquante preiriicfs.'

Le.jeune Brossin de Saiiit-Didicr. ancien élève de l’institutionI Saint-Vincent, à Senlis, esl.aorli le 2* de la liste, i Les élèves du collège de France doiveiil ctrç reiidus^à Paris, le

londi 3 juillet, jour fixé pour l’ouverture des cours. ^

lïdést Lesi^àiueS uaùonanx de Seu iM^pnUl^oya,partie dn poste

i.

Iloyi ...,Jeîfirs foyers. Ce retonr ont lieu, le mardi 27. Nous eu fAmes iufor- métl'a««miq-„m i»6ti|lPiUépartit. mdMqpe,emêie, an.4eye0 tiidoiSeO‘fseres qh5s|lo PMooâlVa lin gué de Crcil. f réside ionle lap o p é la tio D seniisienne s’était jolwJ-JwMÿ'de^sor^^^^nlis de nos noblei compagnons tl^réfei éiéil mie vénuble entrée triomphale. . -..-..«ACh-.-

La bstsilloo inrivé snr b pbee én msrcbé sn blé, .fol .

tnis|>|llwMiiraisonl urès grièvjidqjm«Hj,{^tlé’-s|mWt ébsM.ibvns dm moru ont

ffl,liiy^.«t,«m|qMm*-h*m'llmiTmk(,i«s

A, b. .nquyelbdeqmgyM événwsqnb'èmivisniséat'dbasan- l^s « ^ s l.|,in ls «anbifsrdmwitiwmi» doi Besnvib, sons

u comnuiti

invnliibs

Îf e .-smttaqbwtMiéninmi pnrlb snàndi; J« Rsrbi ib 4M é té i|ih ^ d»s«rvi«v ébx se Néliontb ponr cmrêciMr b «mstructioa

TRIBUNAL DE POLICE CORRECTIONNELLE DE SENLIS.

PsésiDiNCK D 'i M. Bouimxizz.

id ttd ienee d à i k \ 9 À i .

't.q'iniluqsl de |mlice eorieolionnelle -s'est occapé priécipala- ment,’dans ss sésiice de ce jour, des sf^ices forosiièresJ'Vingi-nne sffsires ont été appélées, elqniire seulement ont . été jugées par défunt: L’admiiiisirslion des,fqr(5ls*'est toujonns montrée .éxirènte- m ^t indulgénie, ijurlout djii^ jm temppdilG lys dans, lesquels NOM bons komnieS Ïrbiivéà 'dépùis quelques mois; «epiyaitahlt'mr b nombre de,ces affaires,-noqs eu rencpnlr5 s,.enqur« dixibnùid]ut (W lnmliVés* ifèièntèVémeiils de géiièts on d’berbes, déliu corn- mb par des malheureux sans occupation et sans ressources, et dont

Page 2: Samebmsenlis.com/data/pdf/js/1848-1851/bms_js_1848_07_0… ·  · 2014-02-12J’iu«qrrpc- T tous «xprimer.oolhi'rtcmiiuiiwmï- |dBKilisiiéliOe^iW»p«emeot) ^i^jf'«dtë,»iDpaëp

V

- iI

ue cm* qui le» «nioDrcni. ra pas. PiOUS le juroos povinrtrde ciwiflihiiirtrmiv'p k wüUlliffWMimnti

lu» femmes.60uvpn| ctijtrgi^es Ji* lênieiii, pàfces rnavens,ü'acloHçir ^êkUtiiice de cvto* qui les «ntoDrcnu' - m wPi a prononcé eu outre trois acqiiitlemeiiis; car à répoqu» oà nous sommes les ^ribonaux c^dpIBHflÜlies

i i S B w laluenl rinteulion de uui^ ‘fldiïis* ctf^i'eat'l^fRf^la p \n scrupuleuse circonspccliOn'^ ilO f(ronoii^)il| dés.pe^s^'^v^res,

. contre ceux que le licso^ fait atfh et à «Ai i*aÿmi^^|«(Tiiç1 ouila tendresse funt conmelll^.drmfiims laiivgnvité, Idiri|-ÿ4 '4*'t ne portent qu’un préjudli» u(^ a p n r ^ . ' , . ‘ i

— Ap'ès les affi^s'ipjiVfêJs V'’l i r^qiiéfc Je rANlniliirslVdlIàli (les foi'ôis, so|it vcuus detix affalies cuiitre des individus de Si'iilis.

Msrie*Joseph l.aisilé, de 3u ans, né et demeurant à Seiilfs'; qa çifé.ayêc'aÀ fille à Cpiiiparutire Rêvant le tribunal coiruue pii^v^ wuid’avoir soustrait Irauduleiisemont du liois chez le sieur Delà- cour, cnlliraleurà Senlis. I aisiié avait très bien rlioisi son ti-mps; ifétait près'dè dis hinres dil. quand il s’introduisit dons le ctosayco sa fiûe^$^à.i| ,13.ans( I4 r4f ho> g0i>ii les bras de cet en* faut & JttêmO:.d!ttU.:Us dgrimis, sans se douter que la fille E^mery, domestique de M.> Delaconr, le regardait, du haut de sa cliambie. Cette fllle^luicria bientôt & ^ n | ne vous gênez pas;vousaunêz^pWciidre iin âne. vous aurièz eu plus tôt' fait dé de ménager ces billoniieltes. »^. M> DJacour informé courut immé* diatemenl.au olos liiais le vol et leO voleurs étaient euvolé»

Lsisné et sa fille nièrent tons denx avoir commis-cq vôl, et comme lOut mauvais cas est niable; aiijaurd’bni à l’akniienue ils licrsisicnt dans IvnisdénégaiioAs; mais attendu que tout les accliSe d’avoir clé vus , le Iribnnal uoiidainne Laisné à denx itiois dé prison; rt faisant à la fille l’applicaiinn.de l’a r t ic le .d q code pénal.' ôli riécide'qu’elle a agi sans discernriheut. et elle est acquillée vt rcnvo^éè à sa famille.

MéthfcnlÀix parents, quand donc cèssrn*z*voqs de mettre des exemples aussi fiMtèstcs sous les yeux de vos enfants, et de leSton* traiitdro même à se rendre complices «je vba vols et dë vos dilapi» dations; votre conscience ne vous lep'rbche donc point de pqrdi e ces innocentes créaluresauxqilcllcs.pourlâ plupart, tons ii’apcdrdéz la nonéritoire'que lorsqu’ils l’oiit ^gnée pà des moyens que ré* prbuve l’hoilnêur, et qtté voùè seuls leur dépeignez sous lés cbulèors de là probité.ct de là'déllMtesse; un Jour iU lèouverotii natïircis les ra]iiues. les maraudages, les vols, et celle habitude les conduira à une peste inévitable.

' ^ Joséphine Ffampul. femme Compiègne; dite jiésits. anciénne jardinière, demeurant iSettlIs. a pris depnîs nombre d’aiikiées'l’bà* bitode de s’enivrèrf le cMboî dé la bOissOh s’est Sccru seiisiblcnleiit cl a Ait natire d’abord là (lééOnfilure dans ai^ affaires; ellba quiitip le domicile Goi itgal poor vagabonder à Son gré; sans'asilé, saé's travail, elle n'a depuis longtemps en vue qde rindustkrie iqbi'jféüi lui'pPécorer quelques soua quVile placé immédiatement clii-z l’êpi* nier Ou l« débitant jP«au*de'Vie;tnaS'l(% tnbyeds'sonl dèvèbiii Itbbs; rt'oepëiidaot jn^o’à présent, sa eonddiiifli'Évait doiitié lien à cune poiirsuite judieiaire,- lorsqUeVté 13 juin courant, passaht sùé un dës fobiilavans de 5«nlis; cllé tit iiiijédhê'^bomhie endormi sur rberbe. En Paxaminaint d’uii pcu'près, elle rêmà'rqiia un bordoii dë eûreté, et se doutant bien qu’au boni de celle bride devait-sé irëti»

tée apssitAtPriM au dénonrvn.force, fut à la voleuse d|^yoqer sa faute; aussi

anjourd’buiBefait'élIe^decet aveu une <i f^se : — J’ai avoué tout de sèitè, dit«clle. et bien miriix .éncoré, J|af. ^endu la montre.' ~ Tout cela est fort beau et gcnéiéux dé sa part saiis doute; ioais lé irilmnai la condamtie néanu^nius à un mois de prison et aux frais, r t ordonne la restitution do la.moulre volée.

Dans la séance do 28, le général Cavaignae rst véhu remettre à l ’AsitimUée lea pouvoirs txlraordinaii es qo’oti lui avait confiés! la Chambre l’a confinné par un voté unanime. Ainsi le géncrnl Ca- vaignacMtchefdu pouvoir exécutif; il'prenjrale titru dvpiéi^ident du roitseil et nommera lés ministres. I l y aura de plus un décret pénr doitsià.ter ses services et la reconnaissance de l’Assemblée nalioaale.. L’armée, la garde nationale, l’archevêque,,et les chefs de corps sont compris dans celle mention d’Iioiineur. r

Voici la-li&le du cabinet nonveau :M.\l. Câyaignac, présidêul saiis portefeuille;

Séhârd, intéricùr; ' 'Thourel, commerce;Reciiri, travaux publics; bastide,.marine; .(p^éral Bedeau, affaires étrangères;Lamoricière, guerre ;Qelbmont. justice;Gonddba'ux,'financés ;Camot, instruction publique.

' ' M l a k tm m n U i^ Â iè ,

l u d... I. Muc. du >t m.r., p.r N. I. rrà iànt d. I

IFrançais!

L anarchie est vainrae, Paris est.debout, et justice sera faite.5 ï ï î ! î ! I i î? d 1 ” y ®‘ de la garde nationale de(w »9«^e»ddR arten ienu l r

et la propridté qa’on Vol. floua victime

I ^ è n s l e s e a i eflbrl

>'«|qè6n d’eu i nes* i’ f i l I

H o n n ir ï notre brave et toujours glorieuse armée, b notre jeune gaMe mobile, b nos écoles, b la ganle républicaine, et à tant de généreux volontàireb qtii sont vénù's sé jeter sur la brèche ponr la défense de.rqrdrp et.ife la libertél Tous au mépris de leur vie et avw un courage surbnmain, ont refoulé de barricade en pa^fade et poursuivi jusque dans leurs dèrflieis repalies e æ r o r c ^ 'q n i . sans principes, séns drapeau, sènIMaient ne s‘étïè ^ é s que ) ^ r le massacre et le pillage. FémiBe, instübtioU liberté, petne. tout était fra p^ au « H , etbôdsTéJ'cduft é îé ^ nouveaug baibares, la civilisation du dix-nfeùvième si&le étiS menaete de périr. . . ™. iM ^ iiod, ta ciimisation ne pèdt'|>as i^rirj jibn, la h^pntfi’m

œuvre de Dieu, loi vivante dcrl’l las. Noiis le jurons pour b‘ ~

la Répubiqiie ne péri- it entière, qui repousse

« M f t W B B M M W Il W M --------I le jurons par le sang lU

W fiiWI le tant de

. i . i i i i l i i i m ü.>'taiimoH£ht(AMAtêksMlMHbàicJb! a9afdiaJ

l ' î i t i r . r ’

jurons par balles frai '

iique s’étaieni '. Ils sont vai|

lever leur.ui sublime d U H ^ ^ S ltH le s p o m ts

ers Paris B u ^ U B è H ^ t s â love n o H M ia H I S e noos ai _______ , ___

le r ^ m e du sulfrage univrasel et direct, le plus grand des crimes est de sUnsuiger contre ta>soiiveraineié du iieuple. etlradéorels

bliqne i l n’y a plus de classes, plus de privilèges possibles, ^ e les ouvriers sont nos frèrés. que-ieur^ntérét a toujours été pour nous l ’intérêt le plus sacré, et qu’après avoir rétabli énei^que- ment l’ordre et assuré une ^vère justice, nous ouvrons nos bras et nos cœaral lrtbus'odnx'iqui ufavaiHpnt et qnl Sonifrent/parmi nous? '

Praneata, unls«>aitqtoB»date1rtalitrateg|ta détapatrlerelliF çons les.dentarés.tiuceqAe.nos disomtas civilesimaintenoua fer­mement to u t^ les conwétes delà.liberté et.de.ta.<Mmoeratié; que rien ne nous fasse dévier du. principe de notre revolution, mais n’oublions jamais qqp ',ta 'SI|ciété Védi 'être'dirigée, que l ’<taaliiéei la fraternité ne sé'développent que ddnsHa concorde<et dans la paix,>et quê ta liberté a besoin de l’ordre pours'afiermir et pour sO défendre do ses propres excès. " I ' "' C’est ainsi que nous imifSolidiiions iratre ijeune République e t

que nous -ta' verrons s’avaucerverS'I'avebir'de jour en jour plus ^ n d e . jd u s p m s ^è ; et-puisant unettoliyelldforcé'et nne'nou- véllegairaniie de durée dabs lès épreûVcs'lilèUiés qü’elle Mèut'd'e traverser. ...................

— Le piésiileiil ilr l’Asieaibléo.natioiihte ■ préposé, au nom de l’Assemblée, un «léiToi «iiiai'coiiçu t :. . i .- . .

. Tout iudiviituprîs.te.ariiit>s'àrta-main, sera déporté, aXe penvvir ( xéculif est rhargé de tVxéeulfon du déorei. *Le piêsideni a en ouliyt luoposé la fern ietnre 'dra clubs-ri-connuK

dangervim. eti 1. siippreshieu drs journanx- lapables d 'rx t i iie r à la- reso lle .'' .

■— -Une ccfnin istion de q ip iiu m ewbrra a éré nommée, po i.r faire, nne enquête sur ta valise d q .l. rébe lliitn ,;.! .pour reprendre la su ite de r io s trn v tiq ii rv ja liv e à i ’j^v^ti,eii.dp.lg,Çbpm.b4«,.|ts l i .m s i, .

— Dab'S'’|S'Sédiicédà''^b'.‘ l*ÂsSêni1iïéé’'na.iionaIe.Vi proréifé a'JS] notiiiiiâlip'ti d>-''toii "ptêiittaiiV, en Téiniitaveinviil de l l l . .'Séiiardynnilimé'ii/liii.iii'éil'ê Pijitéi’iedèi'Véiciiv rcséïtai du scru'tiii : ' , ^

' ’Lvc itoyea U itr ie a (d)lrm i ’ 4 I I suffiag«‘* . '.Le ciiuyen Dufaurv, 2117, ,Le «’iloye ii Lacrostié, ' * ‘ i ’ ’ • '

Eu conséquence, le c ilo y m Maaiu-ayanI obtenu la m a jo r ité , est|vv»«l«st»6 |>raniU«Skl sla» l ’ AavvNibléo lia iîu lia ie.

I.a rlwmlire a votéd'rfli^edé rériinipiVtièliiatlSiialé, tiriè’jiénsion de pension de I rois èiillb francs', éii ib té u t'd t f 'lÿ 'VéUTé'ttlt geiiéràl Négrier; son fils, engagé vblqntbilé, 'rgt 'iiiihili/é 'ibltis.liehli-Ëiiil'.'éV le cœur du général ser* conservé tlaila- le grAtid iMobriiu dés liiéjii; liilrs. ^ '■ ■ ■' -i

— Le 27 jiiin , R; rarcUéVéqne dé PoViS i tliccoïniié i la blessure.' qu’il avait ri-qiie'ala'Iéll'ricadé dii fatiUiliirg Sàrii(-Jliiito|n'i>’Celje ent'elle eatkiiirépliè plonge Paris illins ta édlISterilatioli', él roro||le' la mesure île U douleur naiiiniale. C’est inainteiiant qiï’i i i i pèse 'él qu’on juge ce qno cofttelit Irt'gUOITes civiles. Hélas I quelques heures avant de reçx-voir le coup mortel, le copragenx évdqiie liar- courait nos rues an milieu Ués Mil^|létinnt piljiùtaires.' ’Aj,Alré iln Dieo de paix, de clémence et ilé Utii-ilah,'iil allait partéi-.,la-ë^dii éi'

lalionaux ttléft à l’atlaqiit..;^ i« barr'< ^ ^ v e Ma Leclerc fiU, t« compa>

lans les rangs à côté goiif [oix (la la Légiou-d’Hooneni air ' le Sailli*Joseph, u*8. Cemst»-

(le feu. Tenait do lomber* stteini d’un second coup

[, H qui, cette fois, l’a mbr-s' tellement frapi é.r ÿ f jl^cl^rc père, apiès avoir tépuéJomidmrtiaxIotaoivfihEdanft.' uu^nim oii voisine, quitte les.ra^^sde MM^pagnie, et vole è.sat l’inisomz.uii second fils lui 'rçsie vucqrètt.APP^Ci'^re, tué; prends un fusil et viens U-remplaoea «itvênger sa mort., itUûi- tôt ap'è», le père, ayant à son côté souiMCopd fils, repraiMjL placedanslusrangsdesacompagttie.^ ’ '

Le jeune Martin (Hyaciulhe), âgé dondid<]huit ans, gardb liio- bile du 13* bataillon; a.enlevé,'au'miKirt''d^rào firèlé''fië'hâllabÿtintlr«!nî8!<a«S. <£ .»Ja illîS l»JJ«> |à tfe® kbt>Hj».és.ltaJàÆqq de Menilmontanl. *

Le général Lamoricière ii^,j^une homme, on peol< direcet enfant, à l’Asseroldée nationale.' Ha iliii a été ensuite présenté

{au général Cavaigiiac, qui l ’a embrassé avec effusion, et, détavbeut de la .bouiojpiièiuc dq ( ( briiel Çhar^as I» jçrèia- dyi la ,^^»ou*d'lmu* rièiir; Ta kjécbië'iilèsàmâiti, ipii hu disant :'«,tui*às.bieù'gagnéè!.p ' 'MdHrié',^6Vsi'ééHé';‘W'Oh1 cohfnié riiiéi'j^èl'e và^fRrë'cbntëiii'd U'

pleurait; de jèiô. éf'ceux qui assislaik^nr à '^ l e Bcèhe touchintei avaiuèt i ’iiX/0 têlni;s leayèukibajgnés'de'lxrmes. . -). .

! “ Les itisuV ^; malgl^ïe sang qu’ils ôôljyèrséavec lanl de liir reur| iiê'nribâ'foîit'p‘as'oikDl1èr'q«ie'lè lédrétaii'auA8i(lùsatijtTraii^i^, eiqné plusieliëè’oitlété stibliiknis dé cttiirag*^.'\Wi' jÂtritii ébx.'iiün vériiablcC'œlia^:;-

Une grande» et tlellejeèhë'përsàrtnëi^ête ntie. lé' df VéntMlës (diéveoK pi'coiivert d^ulie.fanchon idc-deuielloy brsM) nés ;<eiimbe'Ue' l>nr.ège rayée, et qMÎ,,par sea maiwères d sou oostume semblo’ap*

? “ I f ô f a ' e m p a r q dit ^lra» ■pt'âu, passe nar dessus là iMrnç^de et s’avança, l’entr^. de la*piie Gléry, agîtanf^h «lrk'|ieâü, eî liè la'vblx^èi'du gesW provo()paiï(’1» garde'nafionalr;quelqaes’iiisianiB après, vllé est lOtiiÜéepërcéè<'de piusipnra .balle,Sb- Ibie antre jewwi femme avance à lècuvitaur,i;a!eqi^

AprèsiU'fiisionides deuid cérps/iUwaOàiicë |ilèiA>d’inaiété a régl é' p<*<M|Aiiifqqq|q(|esin|«ni tt;«|iriiolt«partieqlHrboHlevarl.I.. ;i”'

■ ^yji^i^e'urjî'dû^'oùl m irr^ ^ __

( l e ' l a iAribiiaiH'éh'Vfô^rlfAytr^uyiVe’Ité iim ^ ^ üki'«ux(m«b<èil||ir<Aliatèüt^>géiiéra(yt'Uë«IA'fi(lël< MdIHiéi'è. Mb* line de Saiut-Yon, ancien ministre de la goorre, et le liétallOoiva*^

içnrjïdtii'oiil marclh 'd’àm'ies (m iea -

: 'U ë « t» 'f i( l i. . le^nétaàlÔmva-^

.«■m.:ff , J Ftioê ftiinir. •!.•» a>îp ’ti» ,in )iiu ! ’- ..

A d c t t s c ^ s a m c a d a v re -d q 'X le ii f i tXVOqflep'HM a'éféAi^dai D u c h è n f, dé |> osé à la m a i r i e dy gr, a r y o n d is s e « if i i l , . 'o n iy o y a i l sA e - p o ro |ie s a i s ie d a n s le s b a r r i c a d e s d e la b a r r i è r e R o c h e c h o û a i t. lUr r é s e r v o i r d e c e t t e p o m p r é w ttyj(fcf tn iM iu i|p d é v i t r i o l q u e le s i(isu.r« g é s j e t a i e n t a u v is a g e d e s d é f e n s e u r s d e l ’o r d r e . A c ô té d e c e l le p o iv p ft a e t rx m v f i e n i q u in g e b p ta ie iU c v .d A , f f w b l ë n t ïo u të *l ia n t d y .l e s s e n c e d e l ê r é b e u tb iu e d e i ^ l i i f ^ à J n ç p / f ^ i e t 's N m a i^ iiS b .

p a r t e s r e b e l le s , o n e lu u r p ip i i t r e r u n e

é i d e la c iv i lU

-rOps actes d*une révoltante atrocité, commis par h été signalêil. Nutis n’itilsiféns pas à les publier, pour fuis pour toutes quels sont les ennemis de là socieié e satipii.

le signe ée la récmiclIlBiibA’au’fililfiéi'Uil ihciliiré et M Li eal'lombé'snr lé licù niedie^de'ta-Hatiille;'et'6h dinil'èltiAaam ma.aat.mai.aX' .1 SSImA. Ai « - — *lai a;. > Lot ■ igiiài !I . ai>_ é(.?>

I cariû^e. Il’

pour l’tmibànitfi.ofMeb A' i-oinü'yèttré'Ùiilt ii?s l’éitè^Ws*ta'qui avait commis ou cet épnuvanlable crime'i/li cÜt éffj-ééii'màlhcqr.'

-lin ptésénCC de-i!e<sécVtfiri!'élÂ)IIHie,'leA coeurs cbi'élien's séroni pariagés'eblrl- té aenillHcntil’UfiVAiiiroi'gèril et chtiii il'iiiiè' ihcoii- solabie Irisiesar. L'Iifkléirii lié V^lisé it’<jffèe pas une lilus ailnii-' lable-pége, *'' -'--'-’ ..i u. i pensée; ileriiler ■elle duson tlétonusiej-et ses pneresoiiiarioie rœuvréaln sàlig.. uv, v>- ptalion.'Après hVoib.' gU itliKiqi<)lètaUt é’.iitf', a, frappé céiiè inno. ceiile elsaiAté ViCltaM. Ml éirtit que ta Wi^t sVsi enfin lassée. ;

m aca c .lasaam ...éir^__ a » A ’

talHq.plétaée'éihiiié, Ùé'léiHgtitataifé\4é bé rage, ïè p lW AglW ii« l»k-iW ple '«a '|tas«gè 'diè jt|yté to .ilé ‘i a

dié ertwnklrtléè.î'tkktenra réservent encore une part de la rm éj'iiU à iA it m a'Avr nn; e d ' méW pwir'iW iéi'i- ■ -' h • uh "1 - -

*p»è» avbîV été b l iè i i i l ’tli lltalMiWèiJtIbiitail', k l; l ’arafcevïque'iié Paria A'été (W iia ^ r if iv M iis 'uUé'éili'itôb ilé la Vue S a lubA iiio i ' pü isob l ’. lv é rA iM é b e rn a iratlAM nM i'I'Ilé isli^édHe. ’ - ' " '

Pa)i«khl<ta ’ib é lé ', f f é l l i lb i^ r lê '^ t ta è "desViardeà physbyAoilfiérfiin'ée'éeA 'cbhragitag 'énfeiis 'PàvAii 'frappé, ltav«m ' va «M ilNniita ''bt 'W rilé ita r ên aStafc^k béé if ii ié m i, èprés en a v . f r ' JV to fies b léA IW ltb l'U t f té . ' p e s ç o a v q ir

i l l ’a fait approcher, i l avait encore ta force de aonléveraeabna: taiainriaiaiiarpelite eroikldetalii'iÉriwoàtêO tt’Oil (bétâketoôèMm dumà unicottier<aelr, MVè remise êh jAiiHe Hérita èb-M 'dUAbj

■ F ra i^ 'it fiehvrigitaroi rfeti t a * * é tafr gef biè'hl.le.waine juinrea 01 dOa«aao'atiimdé'dM|lVièlê; e knitaef Vei- ‘A l^ lata ' c q .p n ^ a > a 4 i» a n ir id * vé itaM bfe lgM lB féM liU lil'. ‘ -

I V f e ' f 'w r ÏT - »T!i?«ili fCABcbipoipluoieuré

se deji,qp

'^V j^b fr i^ ta J llH ii a é l^.|i||wn^;rt,feà.iDta?raHkl q “ '

• - 1- la .lêlo a,!■ * * r W f w ? ) S « R iiw -

W f l “ iR . W i <IaBa.ta;bqigjhp,de,ta-* R''V"V.*'Î,SW.‘ Pjaiiléo,aqr.

jacàieni cbmm s Mllp cRroypbjp krtar,W,<*qn^ie«l.q*lonr to 'hideux Iropliee : Det lampiont,

— Le nquibrailes insurgés incarcérés à la suite des événements I des 23,24, 24 el 26 juin s’élève enjçe mpmeiii à 6,400 environ. Ils connaissaient Ions i’état de sfégo, et dans le premier moment' ils

i d i S t a é S î M

S S iS ilil^ ^ S À fa :MbbbëèL.. pe,TllT>f..JA MH

r tîp ilfe ifè fta é ;.Jiij.’il’.i-r'Miiiifl «'’J? ! -I) iino'î -i'. i t' üi ' ,'if •défit tl 'pkeüijiààl&li l'^Wlsn kodâ scèfl a nar'ci»'

qbo'taM dilÆ ?e>'llètowfe

Jnuttm» lê jpn r- PiUri<n1*P*,U^. <

.. : . ii) - , - i - ... - li ni’i I ...t^Qfi.«^«pp4^rà la oomiaioh d’ctttniètë. m draMaa Oh Ih-

aiiiigdB,MRlfiqatl;étaiciit'lècfitaën'lcifrM-yëa{ft< éëë'MëU’ ”^ ^ '

. .

t . : . '

!.fl .ô; 1 mi Iili mnJ 'j ..................

Page 3: Samebmsenlis.com/data/pdf/js/1848-1851/bms_js_1848_07_0… ·  · 2014-02-12J’iu«qrrpc- T tous «xprimer.oolhi'rtcmiiuiiwmï- |dBKilisiiéliOe^iW»p«emeot) ^i^jf'«dtë,»iDpaëp

aH».cl(argfta.ilc.U Mï«Ks«e n à l’aciion'ik i'«r* Wl«n», 11» n dirigj »noiin«i.|u,ii*id„Be «dtd. P ttu g tt ta

fe s îS Ë S î^j v f 'a t f l i i i f i i

pont du l*Hdtel>

cûtip. Par(oi|l, la ioti( lîeiir‘îiifiÿio vnrds u'offi e diiè'lé âilëM é tU

rMil^MHi^'èfuUrirde la cdiion. Parfoutÿ doa aolUaia, dei lt*rio t>l <tf*9 caiiontiiers, seiilo i

? r * ^.“ " 1 '; 1 - l V i i i ! h 4 ' ^ ’m Î ^ ,.a .,K (. J ' . i l r r ï , 'l:,v ' ' æ S . *S" Tglwjî, •« n io ro le fl «H ' ’•’d lJü i'r.’iIn'Vλ"-’ ,!)«)!, , ' •-•-«<»•• . -. , I 5 j!'»l f|: l‘l -/'••« - »'. (

' ’ »< »l«l vqudwd.qije |c pmjc-.(Jpl iniirit'i il »H i riH éiii-k céllliiii> fltdio niir ...

ta n c ÿ .^■dus par dn ii

j i . « r r g i ^ r . P W l ' l # f e w a tn là lilaià Mauberl rt lo| poni ou i noiei-

♦ 5 Sanil-Deiils, etilrcjeliiit ledepüî«’ tBt;.aoù^;!Ppi^pi^,,f4[^'„',qü’rMi!ii7Q’' Æa aaffancar artères qui do C('squailliei s''dè8c«iideiiîP««flHR#tf'4(ipSil» verale* hallea et ver. rHileWe-Ville. "

ftffit*Antoîiiy, s’étendait par <«Mla>Uii9«e me |naqafèd’é|[lis94riiiiiOcr i aISp'iiui a Aèrep uoioma*' on «ait pxi derrrière'l’HôtteMa^VilU . • ‘é i ^éMadtietle ils avaient formé uqe forte à l’eipée de U,^»Uce ^

11 est 8tiASiil4.(raj^pr,gpe ^n^es Iqs rnos principales et les pe-uumbrpases barricades '

. . . - ^

ipuirt -fos' aülrës•Vj «y I leihéS-tre. Il est sépeilld «|ii-e qii’uiie multitude Je pedieS bandes'

for uuéfo^c depoints pdbr leurcomufe font en'se.rUlacliaiit,de,loiu î î utie des q a a ic S } to ld h n e W ^ H J c |U ^ V ' n

.journées. ,qna.-iiiiné jïé,<pr)voqs , la

^ fijS saœ siîffiis ïï^ ^n w flT O lo a d M ü é |.» r ie m e i i l« . g i | r t l » .v d « , » i lH t t; îg a i7lB5> d r s «oni.(AlinM rèraha;‘«u ’hNIUpVonifiMneai'àd'iBi UoiuU de: baviaiia.' Ridlt Ue'|duÉ llibW W d ff

’e i i d ÿ i 'M t|i ( i o n t l ê i » p o u r •■n'rir '

b l iy » l 'd 8 |i l iA l'lU[ hiiliM IruM %ti«('launi>f«diiirM/:iaiM leiirk iiiié.

; -T-nâ ï . '*'“/ * » i* SiplaMliiW. » la ««litéKi î ! \ l 9 'î S?P ,"”'*' lwiifrB «bidld PtpIibbp*«tir nij il ^^(r,'V?rfîirWî “ aii.iaoîn pii« boiisblaflÿiI'an’dt’iil^B des

npù àÿo.iijl #iif lei léiBO,liji( i/ iiaallt itbU’jliul-»n tl.aj|goist<;s.,,|| . ' '-• ■-■■'•■■■I < ■

t in c ii lsq u i il b ien ;

D U P R É f l i U .

quantque les coi n â c V t e ' i ÿ * ' ' ' ' b a f r i t a l l ^

tre directions aeiiles la fusillade et les

fous lès qnaiftiprs dp fois.S''fH?rJW ^ l«Merla-gbt>l« nalipinlé de Partsa Jéùio

“ !® 'ïï . . ;V A •‘' “ « • s f * >i’bI«>t*i a 1»nie SaiiiUDeuii. uana.le reste de cette iournéei âlh b’flbfi ftknbaoutenupolie ISilid-Deuiî. Dana.le reite da celle jourûéêl âihikalie 'daiis «!!'«•*»%’?? Çt«ljiaTV,.e!lB,a;dlé panagtt,éidei^ «er.ices, Uoe parue dra lialaillpna cifigaae narcheicUinlgedbai iâire cl coiarae rdaerw-are» l»CTfM»)IW it r f l» t l f fm C T ^ garde l’iiilé-

' r » ^ " «»<»

aanaAVUaiinrVibr)HirttoiVdli‘r)^d)'i^é. Oïdrp'ÿ eliaciiii de rester _ et des bou«

U(|M)|*,.«^mêrïmiiirir Mnnadlt^ la roe,dilië;liBJcpMWilea Wipaidv DuMlft«Mk M ia la i parlièdej maispiis, Cette y * P l W S * . W f l » S* jR P , to ! ) l .e ( ie ^ |i> '^ , l t s p > l ia , .irrfa .jio ÿ jj^ ^ !!ï4îiPW^“i.<"®Aîi9*'WfWfj5jfw4w)4>«wH»t^BlSoHp&^^ Guneux, presque aùssi naistlirea, d’encombier. la Vfîq,ip|t|i|iqiie et,

(maintien de l’ordre. ' fois, des

barricades acraicul élevées a lousles.^iia Jn il9e'pa<! loÉimalveil®' laiis.

^ 'ji^sA inut tp i4 ____ ____■ i n V > t e . p g ( ) r « i i | <|apa.lqa,r;a*^'«è’Ia gifra*

iiauoiiale et rep piif «pu^^q^ea ppitilapt presque louléliyodnüè.W.CftWWfiRVS® •!? ladilijsjpqoiiilR t Xlraordiqairij '

, !*• ' -IT.ti. -I. ' ;i|f » 7 TTlTi are-i e. .»• DT“V/"*i ue.vi p i^iqç^qe, ^pf.lgjiq|^aij^p,qar||it diijidro loqt p

• il. i h ! i : ^ ! ^ î r B R R

q u e

-ïl-T-e •• . '■• 'C elui q m ju g e ra it d n p rd lre p a r lÿ l l m d e M J M ie b U e f/se n il i. Ip l# d e

la .e d r i té j 11 e u fa it n u tr is te l a b l e a é t 'r à - e u ip u u r r a l l deBM dilw (« ire un 5 ? I J V « 'p a stîTaient ^ é u . n t s > e a r de . tous Ib s o rd r e ;d 'n u m m e s le ‘p re tm rà rp e u t- 'é li le d j ^ ç e .

M ais p o u r u i i e u i ju g e r la question ; il ra lla li e ila m in e r la d u eirin e i a e a n t le d isc ip le ; ro n s id d re r 'so n ie sp ri l ; s a liiorlile, lUfr ra p p o ri i lu «o-

é i r e ceb iî q tit fo u M îid e 'p lu s ho p n cc ê iu q^ii

a i ro e ^ à s e r v ir e t à p k id n n o e r ; e t , ce la u n e fo is re c o in iu , c o n c lu re q u e to u s e e u x q u i o ’o o t pas l ’e sp r it d « r e l i é d o c lr lu e , ii’e n s o û l p as les d is --nplrs'.';'' •<••■■ i ’ p , •■ N e v o ir le s é b b w s q u e .d 'û n r è i é , «*est s’e ip o s e r è e n m al ju g e r . U « te riv a iD q u i n e v o it q u e le m al p a r to u t , fa îl d o u te r d e son J O ^ e n l ou d e> so n im M r tia l ilé ; s a n s d o u té l’/ ^ i s e e u t au ss i d a n s - s o n se in de* M m m e s q u ’e lle ré p ro u v e ; m ai* p o u r n n A lex a n d re V I , d n B w v ia , un M rs lie r , d o n t e lle s ’afll':ge, e lle « om pté d e s V fo ten ! .de W i i j ) 'd e s B f l - x uD w . d cS 'lA C asas , de* P é n é lo n ,d b n l e lle s’h o n o re . D e to u t te m p s , il y e u t d e m au v a is p ré ir« i,> eo m 'm e 'd e ip a d v a is 'so ld a is , CKta a ’eropécfaê m s q u e le sac e rd o c e a l ’E ta t n e fn iscD t;des choses fort b o u o es e n soi;_ l l n e fo u i p a t i o g e r d u p rê tr e p a r ^ c ru k q u e l l iU to t ^ a a é i r i t . 'C e lu i de«

. . a!®V.a >* t*' P "? **• l’é v a n g ile . c’est l ’apÔ tre m o n d a in ;• ^ u r llfî il fa u t H avo iie rv ad m lji p i |r le lu x e d e v ille s , éq la cé d a d s Irb a lT a irn d e lacpolilique^ eX pésé a i tU id a o t d<« p ass io n s , c id tM h é d n iis le

dans Son- . 'I P ^ f ! a S ! ! j i . .® t J e u j la > im jili ,itd U e « m :ia i i i t i i t ! o tt ;> le i , 'c e u 'e ti^ p lo s

ce b rd ia n t a b b é d e i a lo n , c e d ire e te ijr e o m p la l r a n b d o g r u e d a 'd a m K ne d o u îe re n x W a p a r e u r d e b iena e t < ie d lg lti(é« r |d n iu n |p lé ÿ c e g rk ild d é ^

■“ '• 'M r 'd i t i lla rd ', lilKiielii fo u i I étOié. b o m a n l s a v id i d c iu m re s b q u d ris . so b im in lsk ére h 'h o h ' a u te l; k l

p a rc e q u e Sa <p«iv»l0 é s i dé- sa parait!*#, i l eU IW pÜ-.

'W .U HWqpljlià r; il c a tfo h iio lM ip e l|ta :« u rau ta a con*

m o io s p o u r lu i q u e p o u r to u s :

.«.iété S4S£LÏ2aSSej9J34-&le.kU.foeiété,. dq(pt>>e W I en< ap l,..rphurJeur^e la tcm m e "e n ne m i dn m ari,

i r q w . i je . k qopnq iiitT tipa i, < ion i.flira !t.on : n u s le jugea sur dÜs o io J Â n , g [ ^ i R P ‘F» >.'."(!Olini|a gbra 'O iu lesw nibTn i celui q u i tro u -

SI Vous v e u ie z d if^ PfPÇj

v au t s u r u n a r b iv quelque* . rr ii i |s àiauvk ié ; e n c o n c lu ra ii que^ io o s les qqlr<es son t d e q ié in e . * ^ —

< rt«ti, péjnjnr, la (oeiété n’eut pu rendnrer J il jr a longtemps qu'il <'.ï‘ lMStW p.MlbiT9“,P»r>F (WiflwJlIwi tle'Inidterfon traitrmeht, c’est.

eohsiijérattoiis qid SG rattacbepl'aii rbiistianrénie, lu nn.dè'oir dé

l’îe diatéiietlcdiirluiie ebuscniii'le d'sliiavoir Hlébic'daq.* éa Vle icçre, d o rt gue.dii Si^npie

pfoléiaîW'eomthè imiiv subjugué paV urie'fémniè, i nrie 'fHmille,‘ Jull«nt contre le bè*oin, p'iéoét iiné ‘Je jiîlle r^pjd’à f la ire s 'd N n té ré lS i’el' ày a rtt nOs'^néVelléii; dôs p etites

!üîr il C

ifoiaUi— - I 11 ■ .. ■r'».....*”*• vhoscqiii'le 4 'silngue du1 m que nous vo -onsén Im pliis q«Vu S’iftpie

^ c.’ , S? . •®‘l offréftchr de* nos'rbatiids pobr mieux nous eO soula­ger; S> il II ülail qu nD'prolétairë'Com'thn iinus; «i>lti»u aiÀ'k<iV .«.{lléi'ÀV-r:.Orabarhisüé d’tsoins jdtériénîp,ju ...«ira y inicrei«).ei. ayant iim qnerellés: doi politesa , • .'t '■ — «aiasia >SV9 UMTfVaiCpassii/ns, nos‘lUutmrtils du présent, iios soucis de l'aveuîr, sdnlTrant di^s ébaciid de scs enfants et dévoré d’inqniétwle pour toul

«barilé, quelle auihône ponrraîl-il exercer?'< _______. pn» w rhorome divin, et.uoiis n’irioui

ponrraîl-il exercer?'qufe Wraii &a i l’homme divin, et.uoiis n’irioui

celiir. qui en uuraiiii plus liesoîii

Il ne fadi donc pnw que le p rê tr e soit, marié; nitü* s’il n e fnnt pas ou fras» e«...m.a. .1 f- .. a _ C T . .

pai 'déiriandcr de comolp îon* 'qhé nous.

“ t ’L"f f9“liPa**>oi»:pb|aqu’il suitirichif, ou dépciuiani dd l,«q,^».pnlrésont|c* évuef)* <la »a aalnlelé; lu retraite, la niédio»

Lrilé, vodpr iÿap^eg«f(^sdesa,yçitu,, ; i ■ ,.M«i*rleS<MU*r^x>qkii|eur aceordenl lé moins; dit Rousseau, en

sont .le* nwMii* dépéudnuta; tels furent; sans doute, cés anachbretes, ce. piimxMbrrmiles, ces chastes seryarites du seigneur, qiir vcciireiit dain ' dè célibat,: et dont la. v.ie. n’est critiquée des gens du moniK?qpé parce qu ilS ne peuvent la comprendre;, ceux qui se tiennent éloigné* des voluptés, et ue q s^upeqt qoe; des choses saintes, arrivent par dMré .pu tripqiphe.d cMxTinémes. Qui donc a dit à,M, Michelet que Im BasIW. (es mhrqise,.|efl Bernyd, les. Jérôme et tant 'autres ne pouvaient être qi>0 de vplpptnenx 8olil>ires. de pieu bj rliiis? d que pronveut qud- ques Exemples, dont (.1 s’aiiloriscj, contre nl et enipfçs çonlraii es?a,JJf.r“ .*®5'* ‘*ji Jvi q<ie d’une question dtigel nfqrdonnez lepreire. SI ytfus lè voulez, qi|p qq pd, I9 jeunesse a Jeté Ses btmilldai. n!?? - î î <l*bije*, Ip raison ; plus forte, ie jugomenl plus

** monde anitf

*‘j«® înifenlé,. dfb-ofi encore au-prêtre; vous restci Àfon»' gyç p nos ai s,, sf nosilntqiéces, ènotfe.’philoaophie. Jbt' pt-éire n’a ïleM invente, non, ri n,.qne, Ip;salut.de r&me e» .U.eivitfsation do mènêd.

jl'JÇ .* d.e> charité ,et> prq tîqiie d«i iveitd*. Qu’jAftIehtIés Kllîï?*®!»?.* • «Jirfjpaqlppîpj ■««raqi .qv îpnl dnacn-

. .“ XÇÇlfr V!;*l WW".* «** J l i P ® « * * les pau rcsr il*

•mpiidiqucs ou barbarps, ll9,.foisq|eqt |pnt Itpmldor .. joiblaiciit eux-mém'es devant.le,cœur d’ub-bo^ ou

T.1*P. ? ^ 7“* t RR*'*A frommea' à np Iremlder queét i's aimér WUs fen foij'cWén son nom que, d ^

vouement heroi«iiié. Il tf phiiiié *a é?éi* d^s lès glhek du i^fo et sous tes feux dujtroptque; qu’il a bninanisé des peuplades sanva’gés et transporte les lur|iièéeSdl;la civllisétion dans lès éoébrès de la' bàÆarie*

l^bifoAaM.Ifo^ s«^.i.xi.xn!—..X ______- . * . ‘

u lu i le u ie iu a i^ r o u .< ta viji^tmie; c esl.encoro liit qni, parla plhme d'mi ^ i s y e l , d pn Béut;daloue« d ’u n Afossillon, à doté P o ire l i t t é ré l i t r r de ses p lu s ra re s c h e f * ^ œ u v res . S’il n’a d o p te p as to u tes nos in n o v a tio n s f /V Î ® » /« 'fo ® â itism e p as d e to u s no* p ro g r è s , ç ’es» qp’ilsah q u e d o u é I e sp r it d e I bomme, Ip sc içnce est bien so u v en t un fru it ip d ig eN b ; V é * t

Wêpnçnl.plps que linargu*-

Victor Orvaqr Je.l^ymqia^n.tuent* de tous nos liVres

A nnonces lo t i f a s i iE s , «érV j'hréigW K

n r n iLm PrùpriétMÛfii^érant, RBGNtER.

A n n o n c e i | , ; ; ^ i a d j ( c i f t i r e a . ;

Suivant expIMi (Tet!anai;.!r(ji‘y','’liiiissier à Sen-

Ràtiflcaltoo é élé lafie a M, le Procureur de le-------•—«»». ua Ma aw a avaeiiaaui UO m • , ai» i r — — —-...-....w»Répiibliqtie»«A>tfo4vilwiB>l^nsldo-pneiitre 4 ^ v f i j . y I S f y a j U ^lanceséaiii à Senlis, département de rOise, ' ' i<yP»;»>;!d’«Wberc» dressé par ledit M» Gay et}

A râ ieqûdIë dë l» S I.* 'a îa a S :i^ ^ M* Ç<^a«l, soir collègoo; notaires-è Bearnoonti' ^ ^ . «PI «if^is», te tB+te aoAl I84S, ienrrgistid} 2* « d

tfhp |>éK|fi-®çiibal rfqi|.|i9r les méotpy, qoiabesî; te'lreiitedin des mimes mois et an. aussi euro.

propriétaire, demfur#nt>à

iriélaife;? deibeuraiitj

ninieroljt». cÂnIqif. ^

'e;p deifièuraiit| à Cliqmblj ; if*«llounier, pi

2tM.;HfopoIviê à Cliambb

^ e n r i q ,Ânlqif

dk) Al

!oi|as8* M} tihuil

demeurunt air k f N e ’fN d a rè tf

ftobiv;ife,l èlfi'

\

i<nM4i<4(| gt.fa' ijtiiia; r.rO|lrMl(iirei deatettiaut ad^i^i'-tÿbi 4 V U t i R r R l ^ f o l m a t t h .M H jrgbct.: ] ,r ti |( r ia ( ( iA .Teuraat «u tatm» G8n,iMiù|Mri

; Çollaaiifilaj lai liiaateiuij (dmimtntii ài li(tai1ibl ÿ u rt t . eôtamijiai dai Gb«ii4l;|< > 7* H.' (lachié.

* VralbfMa':naaM.4)r(Miriétairqi >nt«alïii kbilol-aib,,H ‘ .ScfoemMi k)i^nalil}(.ia‘( ll( n d iM h d lh àM b i , fen:yiii|ite|iiiUM iM i/i(dt«^llt^'ii Cljallabl,|l»' f # . : s . É g . n i i V 4 i M i y u { u d 4 ) < v > M i > r i a ! i r 4 ’i

.fe«aMHMtaia'.i«*««.iWein,W n.r«<*4#taaéM''Ij V(«i*^'FiiaWia*iir((j'dtMM(rlHl|nk (B^aiiK 4 .4w 4 ) l w ) l l l ^ a t . ' J M n . ■ a g l M ( l 4 M r i t t , iM■ "teiiit, depiiB**^* ‘ aafo.Mitiakifoiaiwx.xi.'f’ü

«^Negillg.prtn; RrcBiftiatra;’ilan iiim t~ i

i f e i ï t e a s i t t t i t »;cher;.calt»alw«4eaHarantl Moranglea, eadloo

y de Heni|l}.u>.‘iael. CMg loua letqiMU reqnénaa donkileealdtow l'ataig .dgCQUaaNéry,

Dcl’exp4Ji1iondAdienten rormeij’nn acte fuilau greffei|naiidlrib'i)|ial,ledis.iienrjuinl8 i 8 ,eiiregia. lid,«. inl«laM(l»dd|iAi ra«(pnrif^iHI*6 nllnHÂT; audit grefle, au iioni j ea .requérants, de la rn|iie

I collalioniiée signée par II* Guy, noleire à Beau- I niqut.8U(OIsé,;'é!i .ilblb' ‘dii ijuatéfké juiii,'-t)e la I présente année perlant h'mention suirante, enre. ;gistré à Beauninnl, lé'l 'i&tbrze jnin 1848, I* 30, 'àV: e.'Tk'fiefti niirlranotdéciiner dix eertiimed,

I ’ ' AUNDUCrs' DiVEBSBt, . p." / . ® ligne.

I Et'dn I h l’ritirée

. •f®“i®'litt 4fa méinea mois et an', aitssl. eurc(gl!^<^«na>UJUljlilU»lian à Ja cequAle da

“ ».rc.l>ind n>. gi>«ei:,'Aen)4 ijlüRl g< ?lt.t.8ur-Qi„ * ,eii dn qtandalgirg.niriWW’. ÏHOW*'#®.® .auiiiTOiigiie de MM. Santardi

Pr®l>.” «WitlP. ;démenraiu,àv«»ris,: !l»yrt »• s. .et; (!«,*>: PietTo;IVW III i i<J®8®«**,"* ,SPl®d!ra ,. <!®tPgBr«llt à; wn» MW* fbrtrait, .Dei1ia|;ÂGrey.y;^dieger .et;

i, W W '** )l»i!'®.“ ®‘ WVMé'femmitHWM» Mo; ,WiyftiW)»SW"«'«'Aiilo «mtr .C,iqil|er||,rnard: SBlrjrtr <#*rw«d îwwmgroei J!t.d»niR. Mariaev iW W w S W ® )" .« .WWW»» *i».e«|rant amti, Û

W**®®»®. wMi» wéer rw rw t ipii aâ WWWf 1*9*. «w.wn:»yia.q»’e»> (Wlltli. da

An %inoflt 'db ; 4

SI* |ét fle‘.IVéchère coninésé d’iié'’j^n'liu e de GbSnilllÿ, lièn ilit'Néi(iiéçoi]ct','Gôh.

tenant 23 ares !^«eii|iàrés plani^ ji'sibrfo à fruits, clos de baieii yivM fet dlun' inur 'sur'la **®‘'fcvîWîï'**î®i* Cloniiier, d’autre rété" IW.ut à ta rqitty,.et, d’aqire bout

a'uitqcquiit, ipuyi!p;iajii |, soiniue de (e prix pritit'i|ial,

3* tt.' HijtJ^lÿtè 'Çolias l'ère, ausnommé, du 23’ lot de l’anciièré,’ cdinpbsé de I liectare 36 areà ltVtlWnliaréa dé "terre, terroir de Chambly, lieui dit la DIate Forme, tenant d'un eftlé les iiéfi- tirrs~llaaben;-d’amre tAté M.l>pêMëlior; d®tïri bout H. Hippolyte (^Jlaa, et'd’autre bout (e sieur Tirlet, moyennant la somme de 6,025 francs de p r i x | d i d i s ^ l / . ' . ^ iM I . - iT : j ! i : n i ’ I ' i ”

f 4£n.«IW.l'l>*lN«cede (^tqbrj., danire c6ie M. TeppÜw, iCtemAit; frmiier, d un bout la fcrpsRd® |?ewabÿef)d’éulre {k|>|( la admme de^3;06a

4? Hb Delafontaine ci®dessns nommé' g1n 9itlAi’

cAlé aiix rrurAseutanls Cbédéon, d’auira cAlé I I . Duquébel, d’uii bout à plusieurs, et d’autre

de l’awtl-----

(WMBW llecbetmn

da/awMirt dbprincipal.

Bt dta-Sgatdi'etjjailHi d, 48art de terre . mSttA Vcréolr; liéd dit là ehémm dé

Æatia. t«naa(.4l’en cAlé MM; Delafoetaine etaa a ii'. .Sni'wt(rtl®m«B tûiéjl'.teapitè'.ife aiauibiÿ;''d<uii

bout M i Htibert, ét d’aiiire ’bért'Ife''éhéiSn de Paris, mo^eiiiiaul la somme de 2,325 francs de prix principal^

d S. ■ W ..!'9»"“®.;o.48j ?4*. I®»de l enclièfo coinposé jle 8if at qs 71, écpijares. deI f f e ’ Qt»<ïli!y. •»»>» d»t l, Beini»é,deW®,“!yy. |e<iw>l d’on, télé M. Ouqnénel, dtautr, cÿlé M. IJrQo.yenc®. ,d’uu, boni an cUemini et g qutre bOut une sente„moyentiaul la sodime dé 2,040 francs de prixipriBcipal,

1 '^■®'V“'" • fl'RPé'yfe .Gcllas 6)s-,.du 21": |o|l ; composf (le ' 2 bectargs 64 'ares

îf f îiiW l •'? ferp», tgrreir do filambly.Heu' 9" !® W|J|S,„lett,nt d’nn tAlé M. d® Rorét et » ïS f^ g •"('■®('4',d.M. IJe^oénel,ll’lln,bén Pboa■ ptce dp f^m bly ,.,et. iVautre lout la feiUe dn UqRU(|.Saitil.Denia. ..'moyennant la .somme .d' 9»3A0'ffaitCa.dQ prite.prlneipal;

V Mi.'Ftan ; su* W< ,do '2|r" lot çé:.

2 2 JH®r9" “ pmre coie.ai. ueHorettcé.^ « I «tidalilè Gsiilpny.gt i&'tqaysSI, Sï® » »«Smi»o de MM.'frgpc»dé,prf)t prtjicipaj, . ., : ■.

,8» H . Ikrry déjà ndinmé, dn 28" lot oémiiiKld' de 44 ééeoi8ll oeiitiareè^de' terre; tnjliM téifiii'r,

t«|t^nabl'lf sÀtd4ié'dé:'|825fjbnA^p‘i;, ■ ,;i,i

- «rÇ'iepqti*,.atni*i; anstmatmé', iduiaBi'iièé' «»!W®4»idp.,JI4 are* tO:aeitliaijM 'd*ia*éic;<btaM: terroir deCbiimblyi lien dit le Froid.VeMii«)atit'd"im-ï*trt76M'i:ar»MLubbé , (l’un "bout les héritiers Charprtilicr, >c|P

Page 4: Samebmsenlis.com/data/pdf/js/1848-1851/bms_js_1848_07_0… ·  · 2014-02-12J’iu«qrrpc- T tous «xprimer.oolhi'rtcmiiuiiwmï- |dBKilisiiéliOe^iW»p«emeot) ^i^jf'«dtë,»iDpaëp

■iV ■I. 'i

'il.'

It-'

I:

â’ttiitie iioul la aeiiie Je Neuîlly» (noyewnaiJ U sommé de 900 francs dé prix principal,

10* U« Réné-Prodcut Meunier» ans nomme» do 81* lot composé do 51 ares T dentiarw' do terre» terroir da l|e8nll*Saint-Ortti8, lien diido clos Nainrille ou lè Pâéillbn» tériani d*on'é9ié |^Hippbleie 'Collas, d'aniré cèié' M« 1■iPnh Imnt madame Crouxéli o< d*ô«ire boni poljle Daquénel, moyeunati'i la somme dé 3,500 drancs de prix principal,

I I* H. JeaihBaptUlc Lheiirin aosnorome» du 33* lot, composé dé 25 are* 51 cenilaree dr tejre» lerroii* du 'Mesoîl-Saini-Deiiia, lien dît lé Beau 'Pré. lenanl d’nn iftlé H. Mroiiier. d’autre côté Bl. Lepellier, d’nrt boni M. Hérissant» et d autre 1m>uI M. Clinrlemague Ferry, moyennant somme dé 1850 francs da prix principal » ^

12* M. liéopo|d‘Benjamin Diiii », aussi sns* nommé, du 30* lot de l’enchère, composé de 25 «res 54 centiares de bois, terroir de Chambly, 1ii>n dit Ica Pdiés Chands » tenant d’un coté M. Compagnon, d’antre c6 lé M. Lemaire, moyen* naut la somme de 800 francs de prix principal»

13* Et U 8i* Gerroain*Hippo|yle'Collos, Anchois et Boucher, ciodevant- nommés 'Conjointement et indivisément entr’eux M.'Collas pour trois vingt* cinquièmes» et MM. Anchois et Boucher pour les

Juiirnui dr Stnlts, con-Ponr,exlri*it à ioiçrer au

Q7 centiares de tétréi ttUflné teiroîr,' faîsiÉlcI^drtanl I moitié de a hêctarW i l aéeS M centiares, dit la I Jnstire ou le Fond de Pétséfi, loP 66 arm W'Één-

J^T R É yituitchuuâ fwain‘i dtmêuntnt à Éonti,

', l« * «K étSrferii |i lr« n lirf* i ô « r i r M t t ï i b

l'd. anllU.k «■rf.tt'dii *rn«*4mi'Inin1 it.irfi à à. Iitaiw 1». lundi dlkiidpl jniHét W » . i heure de midi, en la chanbredU'COnseil dudit tlribù

I leur avis tanlanr laicemDesilien d e 'lA t’dw i^wn- inijm de .plaéïKara i,Mto«la«del'u-

iG «rn à wuliaret de terre, md|«e terroir, (ie dit le Yeun. |.rè« !.. Remise; deTAtseut; oo erei 3 centiares de terre, même terroir, lieu dit le ^emm de Chnmbiy 5 Neullly-en-Tbelle, i6 i hecmm J a ares i4 centiares de terre» même terroir, lien dit la

! Pointe ,à. la Guérîne» faisant cî-devant moitié..Je a hectares 4 centiares, et ce moyenuénl la 1

somme de 33,34o franc* de prix prineiMl, otrtre les charges, lequel prix payable par BL Ualmeipérejet mère» iosqu’à concurrence dc!9 qoo francs» et le surplus par.M.Calmel fils. .

Dcuxièuieineut, d’une .expédîtion 4 on autre eo^

. igpé ^sMsav.

un frêne dix centin ei,Enil^Ut ré 5 ' Sëhlis‘,'lè‘

terre, luêrae.lçrroiri lieo.dît le-l^tJé ] ipstaW ^ul à:Sf?nlîf, .faisqut fondions de tnbuofl 1' ® “ ! ., . ‘ .y

de terre. r.js«U «i-dev»»t le q;i*rt de 4 |iW«M I j , , ..3 are»3 , oenliarf», méiy terroir,,lieu ÿ I ■ te 'friGiinal' nomme le iieur André Anl^rl, pr^de Chainfil, an McjnilTSemt-peni», .«4 }. I -■fiéüîri.'; deraeureht.a Seuil», rue de Beàneai», »,»-■fi— ....i;.,.. .1. iinrrr. même terroir, tien oit le 1 Ij, Caillfle dn '»ienr 'EI' ! Co>me-Rieol Duço»,

maître ehâl-|iHltlér,‘delneüraot k Cliàntill j , en rem- placcnieul du sieur Audier» démissionnaire.

Pour insertion.Jjt Greffier dû TVréimnf,' ' '

Signé Boucan.

Pour lûsètéidôi"Le Greffier > ’ ‘

• ' Ijgné'BoCcttEa.r r- .h

B jJP

'viiigt-deux vinglMsinquièmes, de 5 hectares 10 i tratreciiparledilM.ûimarre,oolaire»lc^nini843» ■ ' ’ Cliambi-y» | conienant vente par le mandataire de BL t^rnif-•mes 70 centiare» de‘terre, terroir de Cliambly, I conienant vente par le mandataire de flL M rm f-

lictt dit le chemin de^^ris, leaaiild'un côté au | A u g u s te P e r r o t . sus ntwmé» an profil de W v U a ^cbëmin du Mesnil-Saiut-Deiiiic, il’aulro cfilé la sente du Uartray, d’itii bout plusieurs, et d'amra bout le chemin do Paris, raoyconaot la somme de 25,000 francs de prix principal que les aieurs Collas, Auchois et Boother se soui solidairement J

• ensemble obligés de payer. _ ‘Avec déclaration à mondit sieur le Procureur

de la République près te tribunal civil de ^iilis t

A r t . ' 6 .' GREFFE DU TRÏBUMAL DE SENUS.

A V ISj t u x Criemciets présumi* du sieur BfwrCosm ^R ieul

U* GÀ^lSEAU» coauuiswnrofprisear A Senlis.

VENTÉ

M mfils, de fil are» 9 centiares de-IWrc, shiiés-territpiro de Fresuoy-eo-Thelle» Ijeu dit le» ChampaWs» ^ moyennant la somme de 1700 franc» de prix princi­pal, outre des ébarges.‘ i.éitdépét .ffmué pour p.r.cnir . pntpr I» 1 I"™ ""hjpolbèqoM Ug.l« poo..nl grerer Iw bienyi-ndm. qm,nmtr-hnit, hnire de

l i * r i r . . ! t oIi.mfcreaneon.2il dudit tribiinkl, kl»e i

PUCOS, matm eltarftnikr, dtmiurwt à Clam- I e U Ht Sàilù,-•/t.' ■ ' ! . . • jti uu'MS-liffy. , . « II Les créanciers présume» du sieur ünços» su^ j

nommé, déclaré en étal de faillite par jugement dU tribunal d« Si‘olis.,e« éale du Ireiie juin miljiml |

Avec oé(

Pour cause dë dépaéi dé M -Doi. izi jafdÎDier* flédiIttA',

Ue 'DtVhanchë'a' Juitm i8;iÉ, à midi. P a r 'I t m ia iiïè rt Hud^^ Jtl* |S»niKUii, (ommù-

t9M n-prki*r. .

qne, premièrement, que Indite notification .Im èt.it 1 .. _A. A liii vemblait.JieiC, |fiv>e>a..i»>a..%.»i», .|ww --------- - L1 ••aite pour qn’îî edi è reqnérir, si bon lui semblait»

Qu’il ail à requérir dans un «eiai ue ucuyp«« i profit de qüi dede ce jour au bureau des hypothèques dcSeiills I ioscriptinus d’I poihêquc» légale» qu”toutes inscriptions d’hypothèques légales qu il avi* Isera» et que famé par lui de le faire dans ce délai lea inuneubles susdésignéaeo seronliaffranchis.

Eufin que les anciens propriétaires desüils ira* iminsubles sont» outre les sieur et dame Cainillé <Fortraitci*des8us nommés, savoir :

t)e tons lesdits immeubles à exception d une panié du 3 1* loi, et il’une éftre partie do 27* lot,H . Jean-Victor Duqoénel. propriétaire, et diUie Harie*Harine GenrViève Angé sa fémme, de* meunint à ChanSbly, Plrrrd Augé,; piérié*A»* loine Dnpré, et dame Geneviève Hqlbdnt, veuve dudit siéor Xugé et épouse àirOrCéè dp tùohdit.■icnt^Dupré, son sécoud tnari.

De 54 ares S ceutiares, faisant psrtie du 21* lot, lesdits sieur et daine Diiqiiénel et L^uis*JJauricé Duvadon, propriélaire , .demeurant à Pari»,

Enfin de 32 ares 69 centiares, faisant parua du 27* lot, M. Delafoiitaine CHlessus nommé et les ai^nrs Pierrc-Simoii Marguet, chaipeutier » et •«lame Mar.ir*Aiigél!qne Domont sa femme, demeu* tant h Cbambly, conjoiutement ensemble, ' et le s ieur Charles Dnquénel, avocat, demeurant à Paris.

En outre qne ne connaissant pat tons ceux du «hef -desquels il pourrait être requis des inscrip­tions pour raison d’hypothèques légales, les ré* qoérauts feraient iiisdrer la présente uotificalion cooformément à la loi dans un jonmal de l’arron* d iiifa n t de-fienlis.

Pour insertion.Signé Collas Néav.

Deuxièmement, quelesaocirUspropriétsiresdeadits biens sont, outre le vendeur, . «•

■I* Angustfoè DamUlcr» veuve île M. Aalwa**DI«— colas Perrot» ..

a* Gbarles-Nicolas Domiller père» ^3* Suxaoue-Adé,U'tde Lebaslîvr de Rainviller»,

veuve de l’èx-comte Franqoîs-Alnandft de^u^ tcvès»

4* Augnst!nc*Louise Perrot,5« Ledit Autoine-Nicolas Perrot. ^Trciiièmeroent, et que ne conuaissanl pas tontes

les persdnor» du chef desquelles il_po«iiraii éirqî fe- qoîs des inscriptions pour raison d'hÿpolhéqw»légale» le requérant ferait faire.la préserile-pubUcatièn-ron- formeoiéol à l’avis du couseil-d’éial dU ■«««.

' sauctlooné lé premier juin :suivaut.Paur.ioseriion. .

Signé Lvior.

SènUs. au Palais de Justice», pour v donner leur avis tant sur lacompositia** de l’état .de»’créanciers, qUe I sur la nomination,d’un oo de plusieurs syndics défi­nitifs de iîa faillite . ‘eo'.exécutioo de l’article qnadu | code.de commerce.

Seulis» le vingt-neuf juin i848. -! Le Juge-Commissaire de.la faiiMe,' I . Signé Bcxoot.

Enregistré i Senlis, le ^ juin i ^ 8 ..Requ no franc dix ceotime»».dixième compris. .

: I Signé' BomfxvAt..,, . Pour insertion.

■ h t Greffier^Signé Boocaea,

A r t . 7 .

A r t . 3.Etude de M* Jolrs THEMRY, avoué è Senlis.

DEMANDE EN SÉPARATION DE BIENS.D'un exploit du ministère de l^roy» huissier à

I Chambly, en date du trente juin 1848» enregistré,Il appert :Qm -madame Reinr-Vi^oire l.acelle. éponse de

I M. Emmanuel Détré, marchand mercier, avec Ivqnel

f PÙ T BtBUNAE DE SENUS. . I1 ■ 'D’ire iiffiçn'iiiit rtndq .n'tribiJil.V''3»1 î«u«è# W n i k (9«^,

inél dé iommer'IjèV en'daté du

ccpt lannle-^hùil.

r iribnéél dé 'commerce; bodr' îikdit arrhddhàeiqjfhtdè I &nl|è; en'daté du mardi ribgl*iepl’juîd mlUliàit 1

Cduuàîssaurla'taille des Arbres fruitiers» la oui* lure dèë'Dégümrii èt dèé fitèbès','1é qoildnito

’ d’nrieOrdUgarie»'élla col iiiw desTelrreii.

Seidresetri^ Iiog0»t^les9VUi^$ei, prê$'’€ re i l t *J«MuHonjio*iw^^

•' ui<XiRS*apanopm,,_;rPÀIE9i SüiîmBm»! Co«- fWi» /a m ^ 'S M wlm arttr^ 78.

niWOTteîvTlffiSthîSlIB'dè {èrévètiir iin 'M n *

idièlia' .qtfHwll Y lM ii'Ii Sàilftlli'ièii»V»MàHt», bKèiÉi^Vi'^irtiMfcj-V'IU& 'au UfcriW ,a

, AèlAèxtrailcèqiiîioili ' . ,' Le Tribuhâl déclaré le sîenr‘Emmanuel Uélre»

msrchhnd foraîri » dehiéiiraot i Boran, en état de faillite

saircAuberl

Art. a.

Etude da H* LEROY huissier è Chambly.

PURGE LEGALE.D'un exploit du ministère de Leroy, Huissier à

Chambly, en date dn 3o join-lBéS, énreeislré, è la requête de 1* M. Pierre-Hiéodore Gamiel père» prèpriétaire, et dame Mai^uerile-Rosalic Ferry, son éponse » demeurant ensemble h Chambly , a* M. l^rre-Hippolytc-iliéodorc Galmel fils , propri^ taire-euUivatcur, demeurant au Mesnil-&iut-Denis(Oise). - . . , » •• Agissant tant en son nom personnel ^u au nom > et comme tritenr naturel et légal de Julie Galmel» » Yliéodore-Slanislas; Galmel cl Ernésl Galmel, ses «trois èhfiMs inineiirs Issés'de’sôn'ihhriage kvec u dàthS Mfirgueritefc*Adéla1de Hérissant, ’imn épooM «•décédée» avec laduelle 11 était commun enbieus, • .

Notification a été faîte à M.- le Procnèeur de la Ré­

elle demeure è Boran» ladite dame ddmenl autorisée IBcauvais» . . . . ; V r<»,èAeatle.<m, p*r«rdo««aiWéAêM;lhaÀiÿ,^t<ê pAiî j ^ lâfin, ordonne le dépèl de la wrwnne du failli, empêchement, de BI. le Président du tribunal civil 1 «a la maison d’arrél de U ville de &iw». , Jde preai^ iqstanoè séantè oli» dojisé), en daleMu^ Pouf* cXtraH k înlértr ab Jmirnàl de 'Scnlis, iéoim vingt*4 Îx juin 1848, enrrgistréo» aYofmé sa demande | forroément i la loi. t. M»A».* aâ%tl* inAri Al.Aen séparation débiens contre leVeur son ibafi,'cl qne BI*.,Thcary, avoué, dcmcurapt 5 Senlis, rue idu Cbitel, U* *31, eM constitué \ F^et d’occuper pour ladite daine snr cette demande.

Sentis, le premier jiilllèt 1848.Pour extrait.

Signé JoIm TnxMav. ;Enr^istré à' Senlis, lé premier juillet i843« '«•

* c. . Re^ on frane dix centimes » dîxiè|ué‘ compris.

Signé QoRMKVat.Pour inierliou. , , v

Signé Jules Tqxliir.

&nlis, le vingl-oeafjuin i'J i e Greffier^

Signé 'Booodxa.

C IV IL 'D E SENLIS

Go Aideaô tLéoH'

A *j. 8.' _GREFFE DE TRIBDNAE DE SENUS.

A V ISj t u a Créaiteiêrs présumé* i a -situ* E m m m utl

A r t . 4 .

ÉRÉFFE DU TRIBUNAL DE SENUS. . " | j

twDi.u. u ..« >».- I D*fcq'j^^wcni ÿfcè'fià' au Irï^iual 3c prenjcn , puÜiqnc prê» le Irifcunil d. Scnl», do l'« |^ ilioa I iiillanw '««At » &n1U t o t r e ) , faïUpf fouclîp , d, I a’oD iclc fait au crelTuldudil tribunal, «nnlalant lo I lllbonèl de cumidçrçe pUlir Udil arAndi..çmçfl,, I: dèptl fait audit, greffée la cpgic, prçmièicjnenl, I en drtè du tnardi IreiM jUio lAil Huit èCnt ^uar^fe^ d’un confràt reçu par Bjr ^inarre» notaire è,Chain-; I huit, eorqpsl^j' . ,bly» témohi>.préjkrtU,‘lè‘cinq ^ f **.??*«ontebant vciitc' ào' jiiifii des requérants» par I Le Tribunal déclare le siêhf ol-Cosme-RféhlM>. (Wrnie Atiga»ie Pe^rèlVpropriéiahf, demeurant i'Docos, maître charpentier, detneurant è GhantlIIY,ÿGonrnay-sér-Arondc (OIsè), dè‘i*36are» fio cch-I en étal de faül^ , , • ' . w"tiares de terre» sis terroir dii Blesnil-Saîni- I Fixe firtjVismrem ^Denis, lieu dit rOrmeteau,Cassette, a* 36êre*43 I 'c^lîércf de terre, mêmc.lerroîr» lien dit las Tartre», I Ordôhné3* .^ ares 6 i centiares;de terre, faisabi partie r apposé jior ici veoB^» e^iM*- - t--*— -, arcs 39 centiares, sis terroir de | dises, HVte»;dn .9 : b9rix.res y,7 .«iv» ou cvntmres, ■»* «vm»» „•> 1 "•'«■pG q a m Ô y , lieu d i t la . H a u te I ^ o e l l e p a l a B u tte 5 I.Clitninies» 4*'fii arcs 7 centiare* de Hrre, mêo», l'commtssairddiiPlé wlllile» ei pour lyqaïc dn^le. tmùhr^ieu dît ta Fosse Corbillon ou la Remise de IjM. Julien Audièr, Winhhshd de iwls, la Croix Madelon, 5* 38ares 3o centiares de lerrt, I Senlis, .i ■*êmë<èrrbir, lieo'dit la SêUtedéla RêruMi l’As- I Enfin, ordonne le.Jépôt Je la pc.rmne-^afailUp asAI,fi* ‘i hectare *4 RrtB^i («ntlares 'de teiYe;' téi ' l en. Itf maison d*.arreiaè |a ville de ;

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VlLI-KS.

Paxts, . . GoRrièoiit, . flttttm'. i' i' . SoA^iis» . . Svi*QtntNTiii» SKti«s;''d i . MofitbibtxR,

’fttftR'',*'* AlIlRfis, fc' fc . Pour» ^"4 d .

‘«CRért» . . ’Mxaiix; V . Brauvais , . .ÇLppWOffT,, ..

DÀtts.'

o uiS Jniti.' . 18 Juilti . 17 Juin. . 17 Juin. . 17 Juin^ . 27 Jttin . 20 Juin. 20 Jdin. . ■ »'. ... 20 Juin. 23 Jâln.17 Jàin. 17 JuiA 17 Jilln, 17 Juin,

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Blé; , ,A'ËM'iJtelé, Idnd IcV )iitlN''dfc U oéiniine.

f excepté lA MlTrili, lé Jénill él le Dim.ù‘t!h«. énï én ‘ Chai(ge;YOi'' ' ' i" “ '

Et à Crépy, Ion» le» Dimenche». ,H . AU'DY f»U lont'cë 'l(ill ’c4Wièrne r»rldo

Fii'cproeisoiremenl 1. eeiMtion de >e». paieneoUfl dcniiué, il ÿoee lé»' dCnléértSfièiéHe» d|aplès le» ..q"Whgt-ira» juin 1848, lourde I» dMaretion, I arêlleor» pië«Mé»; leantOTenéité’il eniplolé'pqur ‘ Ordonne que 1er leellè» seront i.mipédiptemnt I ,^ni«réer lé» dent» »oét fé» inè(nM''dbM4 ie ècr*

»ppo.é..urIe» meuble»; clTet».»4obilier», nuick>n-.l »,ni lé»’l«eHlénr»Je)itbl|e»déi»irl»: dî»e»,li»re», ri*î»tre»ét p»pièi»dureilii, . , 1 JVéM.'H. And. • une »l gé*üdo'h»b!ttaÿ'de

Nomme M. Uambry. jngeen ee tribunal, «mmj»- I pg||,»ri»»ti6n, »oit par le eblorofolme ou l’étlter • delaMKte, ri P«nr «yndm d içelle M -^ d r f («n» »pp»I«i1. éél »i fé-

. t , proprtétmre. demeurent a Seul», ru. d. | j,deeins se font on plâisiir de lut faire éthériscr

■ w m .Vachet (Maiguerite-^axpqce), femme Piique, dit

Cagnv, aoens.- d t f ' M lS i:" " -----------

ieompteedn j^ap jR i» ,,,. I,.,

I^qoelilé,- 3 | é. i|i kUo^||ntiAé) — 2~*,.I8 c.

M E K ' U U H I A L K i h . , ,

00 60UI6 00 0665>0i>00 OT 16109 00 06 46 0000 0.6 fifi OO'lOO'

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un ui* canibuai, disuh^)t>il

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SENUS. — TYPOSRAPIllÉ ET UTiiÙGÉAPHIE DE RBQNIER, HUE DE BEAUVAIS. 4.