2013 - Médias de Nettoyage
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STS sas Parc d’activité des 70 arpents
Rue de Belloy
95560 Montsoult
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Fax : 33 (0) 1 34 69 67 90
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Site Internet : www.sts-eco-planete-industrie.fr
A Le métier et l’offre de STS 1 à 8
B Comment choisir une technologie de Nettoyage 9
C Médias de nettoyage par projection 10 à 14
D
E
Médias de nettoyage par immersion
Glossaire
15 à 27
28 à 43
STS INDUSTRIE
Ingénierie des Surfaces
Parc d’activité des 70 arpents
Rue de Belloy - 95 560 MONTSOULT
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� Protection chimique
� Protection électrique
� Protection mécanique
� Encapsulation, Démoulage
� Anti-adhérence, aide à la nettoyabilité
� Chimiques
• Outillages standards et spécifiques
• Paniers de traitement
• Paniers de charge Anodique
• Têtes d’Alimentation
• Porte-Anode
• Eléments de chauffage de bains
� Organiques
• Balancelles et prototypage rapide
� Mécaniques
• Balancelles de Grenaillage inusables
� Thermiques
• Outillages mécano-soudés réfractaires
• Unités de Décapage UDECI & MODAC
pour pièces à valeur ajoutée
Par projection de médias écologiques:
Par immersion, en zéro-rejet liquide
pour :
� Nettoyage
� Dégraissage
� Dérochage
� Microbillage
� Décapage de peinture
� Grenaillage avant peinture…
Sols et Façades de Bâtiments
appartenant au Patrimoine Par technologie hydro ou Aéro- Gommage
Par application de Traitements liquides
� Décapant de crépis et Peintures
� Anti-mousse, algues, moisissures..
� Détergent Désinfectant écologique
� Nettoyeur graffiti, protection de pierres
� Détartrant, Désincrustant
� Minéral
� Végétal
� Métalliques
� Plastiques
� Billes de verre
� Bicarbonate de Sodium
� Air comprimé
� Glace sèche
cryogénique
� Décapant bio-sourcé
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ELECTROLYSE
(Revêtements
cathodiques et
Oxydation Anodique,
Préparation de
surface)
PEINTURE
Poudre, Liquide,
Cataphorèse
(PLC)
REVETEMENTS
INDUSTRIELS
(substrats éligibles)
Application au trempé,
projection électrostatique
ou lit fluidisé
PROCEDES
DE
DECAPAGE
Sur mesure, pour
sites clients & STS
GRENAILLAGE
(A charge
suspendue)
TRAITEMENTS
THERMIQUES
LOGISTIQUE
Outillages
spécifiques
revêtus de Plastisol
ou de F.A.A.X
Balancelles
spécifiques pour pièces
métalliques
Process convoyé
ou robotisé
ECOPLASTS
Zéro phtalate
Zéro monomère de
Chlorure de Vinyle
Famille PVC
MODAC :
Technologie
associant le
revêtement
FAAX
& Projection
d’Air Comprimé
Balancelles
de
Grenaillage
Spécifiques
“anti-usure”
Outillages
Réfractaires
Mécanosoudés
spécifiques
Racks spécifiques
pour transport
de pièces à
valeur ajoutée
Outillages
Rack & Roll
Pour la maîtrise des
entraînements
Revêtus de Plastisol
ou de F.A.A.X.
Balancelles
spécifiques pour pièces
plastiques
Process convoyé
ou robotisé
RILSAN
Themoplastique
Polyamide 11
Issu de l’huile de Ricin
UDECI Décapage /
immersion
Agro-Solvant,
en zéro rejet
Liquide
Masquage
à la demande,
réutilisable
Outillages
Standard
Titane Rosaces, hérissons,
Noix de serrage,
visserie…
Prototyper®
Outil de
Prototypage
rapide de
balancelle
F.A.A.X. Fluoropolymère à
formulation spécifique
Hydrophobe pour aide
au décapage +
Haute Protection
Chimique
Outillages
spécifiques
Titane
Masquage
spécifique,
réutilisable ou non,
décapable
Paniers
spécifiques � de charge anodique � de traitements
Autres
Equipements
de ligne de TS : � Porte-Anodes
� Têtes d’accrochage
� Chauffage de bain
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PRESTATIONS Sur site STS
PRESTATIONS Sur site CLIENTS
MEDIAS DE TRAITEMENT
DECAPAGE PIECES &
BALANCELLES
Technologie /
immersion
Zéro Rejet Liquide
Produit Actif
Bio-Sourcé
(UDECI)
PREPARATION DE SURFACE
� Dégraissage
� Grenaillage
� Micro-abrasion
DECAPAGE PIECES & BALANCELLES
Technologie / immersion
Zéro Rejet Liquide
Produit Actif Bio-Sourcé
Temps de cycle court
(UDECI)
NETTOYAGE
DECAPAGE
INDUSTRIE
Technologie /Projection
Micro-Abrasion
sur tous substrats
en jet libre
MEDIAS
DE TRAITEMENTS
INDUSTRIE
/ projection Minéral, métallique
Billes de verre
Bicarbonate de Sodium
Neige & Glace carbonique
Médias plastiques …
APPLICATION
DE
REVETEMENTS
� Remise en Peinture
� Application de
revêtement
Hydrophobe pour :
Aide au décapage
ou Haute Protection
Chimique
DECAPAGE
DE BALANCELLES SUR LIGNE DE
TRAITEMENT
Technologie / Projection
Associant
Revêtement FAAX
& Air Comprimé
(MODAC )
NETTOYAGE
PREPARATION DE
SURFACE
INDUSTRIE
Technologie/Projection
Machine fermée
Micro-abrasion
bicarbonate de sodium
avec ou sans charge
sur tous substrats
MEDIAS
DE TRAITEMENTS
INDUSTRIE
/ Immersion
Agro-Solvant
Dégraissants, Détergents,
Dérouillant,
Brillanteurs Alu & Inox,
…
NETTOYAGE
DECAPAGE
INDUSTRIE
Technologie /Projection
Cryogénie
en jet libre
sur tous substrats
MEDIAS
DE NETTOYAGE
BATIMENT
Par projection � Abrasif minéral
� Eau HP
� NETTOYAGE
FAÇADES
BATIMENT
Technologie /Projection
Aéro-Gommage
& Hydro-gommage
Avec ou sans aspiration
sur tous substrats minéraux
en jet libre
MEDIAS
DE TRAITEMENTS
BATIMENT Décapant crépis,
peinture…Traitement
hydro-Oléofuge, algicide,
détergent, désinfectant,
virucide, sporicide,
bactéricide, fongicide,
anti-tâche…
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Format
France
&
Europe
STS INDUSTRIE
Ingénierie des Surfaces
Balancelles « anti-usure »
Balancelles
de Grenaillage
à charge suspendue
Outillages réfractaires
- Outillages Fixes et
Dynamiques, standards
ou sur mesure, pour la
Galvanoplastie
- Solutions de
chargement automatique
de pièces
- Eléments de chauffage
des bains
- Paniers de Traitement
et de charge anodique
- Balancelles de Peinture
- Eléments de Masquage
- Prototypage rapide
- Solutions de Décapage
Outillages spécifiques
Pour Revêtements
cathodiques
• Sur cahier des charges
• Alliage hyper trempé à
haute résistance
• Ecrouissable
• Dureté 450HB-550HB
• Anti-Usure
• Garantie 5 ans
PLASTISOL, FAAX & RILSAN,
PLASTISOL pour :
• Haute protection chimique
• Encapsulation, Isolation électrique
• Protection mécanique
• Procédé d’application au trempé
Revêtement F.A.A.X
Hydrophobe
• Antiadhérence
• Antirayure
• Faciliter le Décapage
• Haute protection chimique
Formulé pour
environnements sévères et
hautes températures
Paniers
PHTALATE
FREE
PHTALATE
FREE
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Haute
résistance
aux acides
Antiadhérence
Antirayure
Outillages standards
Oxydation Anodique
2ème
solution :
Décapage en ligne
/ projection d’Air
comprimé, avec
balancelles faaxées
1ière
solution :
Décapage internalisé
/ immersion
Agro-Solvant
Zéro rejet liquide
Pièce métallique Pièce Plastique
Prototypage rapide
de Balancelles :
PROTOTYPER® MASQUES à Aimants, faaxés, réutilisables
Outillages réfractaires
Paniers pour fours de Traitements thermiques
Paniers de traitement
Paniers de charge anodique
8 Médias solides et gazeux :
Granulat minéral, végétal,
métallique, billes de verre,
médias plastiques,
bicarbonate de sodium,
glace sèche, air comprimé
2- Procédé de Décapage écologique / Projection
en jet libre ou machine de médias solides, gazeux…
Micro-Gommage
Cryogénie
Gommage
Dégraissage lessiviel et par
immersion
Préparation de
surface par micro-
abrasion
P e i n t u r e
Grenaillage à charge
suspendue
Décapage en zéro rejet liquide
Substrats métalliques ou plastiques
Agro-Solvant
Temps de cycle court
Procédé « internalisable » sur site client
Prestations Décapage par immersion en machine fermée, Zéro rejet liquide Substrats métalliques ou plastiques Décapant biosourcé Procédé écologique UDECI
1- Procédé de Décapage écologique / immersion
3- Procédé de Décapage par Projection, en ligne,
de balancelles de Peinture, à l’air comprimé,
Décapage des « oversprays » sur
balancelles, en ligne, à la pression de 7
bars d’air comprimé.
Les balancelles éligibles étant pré-
revêtues de revêtement hydrophobe
Application
de revêtements
hydrophobes,
pour aide au
décapage
4- Médias de Nettoyage liquide
Agro-Solvant, produit actif biosourcé, Dégraissants écologiques, Détergents,
Dérouillant passivant, Brillanteurs Alu & Inox, convertisseur de rouille,
décapant aéronautique …
STS INDUSTRIE
Ingénierie de la Propreté
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Choix
technique PROJECTION IMMERSION
Choix du
meilleur
Couple
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Technique de
nettoyage
En fonction: � De la nature du substrat à traiter
� De l’aptitude à altérer ou non l’état de surface
� De la pièce (poids, volume, afin d’orienter vers un traitement unitaire ou vrac)
� De la nature de la salissure (huile, graisse, particules, peintures….)
� De la caractéristique de la salissure (épaisseur, vieillissement, adhérence, dureté…)
� De l’environnement
Médias 8 Médias solides et gazeux � Bicarbonate de Sodium
� Glace et neige carbonique
� Billes de verre
� Médias plastiques
� Abrasifs métalliques & Corindon
� Abrasifs à caractère végétal
� Abrasifs à caractère minéral
� Air comprimé
Médias de Nettoyage liquides « propres » :
� Agro-Solvant, produit actif biosourcé
� Décapant biochimique homologué Aéronautique
� Solvant dégraissant écologique
� Convertisseur de rouille
� Dérouillant passivant
� Détergent dégraissant anti-corrosion
� Brillanteur Alu et Inox
SALISSURES La solution technique sera mise en œuvre en
traitement unitaire ou vrac, en fonction de:
• L’adhérence et incrustation de la salissure
• Son épaisseur
• Son degré de vieillissement
• La nature du substrat
• La taille et le poids de la pièce et sa fragilité
METAUX PLASTIQUES COMPOSITES
Acier
Fonte
Acier
Inox
Cuivre
Laiton
Bronze
Alu
Zinc
Alliages
Nickel Chrome Titane
et alliages
Salissures huileuses
liquides ou pâteuses Lubrifiants
(huiles et produits anti-corrosion)
Hydrocarbures
Bitumes
� Nettoyage par projection de Bicarbonate de Sodium
� Nettoyage par projection cryogénique
� Par immersion ou aspersion dans des Solutions liquides
dégraissantes
Nettoyage
par
� Projection de
Bicarbonate
de sodium,
� Projection
Cryogénique
� Immersion
dans des
préparations
liquides
écologiques
Nettoyage
par
� Projection de
bicarbonate
de Sodium,
� Projection de
médias à
caractère
végétal
� Projection
Cryogénique
Particules solides adhérentes chargées
copeaux, pâtes à polir, abrasifs, résidus de
résines, colles, adhésifs, mastics, encre,
calamine, peintures, oxydes, sels, matières
carbonées, lubrifiants graphités, …
� Nettoyage par projection de bicarbonate de Sodium
� Nettoyage par projection de bicarbonate de sodium associé
à des particules métalliques
� Nettoyage par projection de médias plastiques
� Nettoyage cryogénique
� Nettoyage par Billes de verre
� Par immersion dans des Décapants liquides
� Par couplage de revêtement préventif hydrophobe (F.A.A.X.)
et projection d’air comprimé pour décaper
Traces diverses
Minérales, de doigts, d’additifs contenus
dans les lubrifiants, produits aqueux de
ressuage, de polymères utilisés pour la
trempe des métaux, moisissures, micro-
organismes.
� Nettoyage par projection de bicarbonate de Sodium,
� Nettoyage par projection cryogénique
� Par immersion dans des préparations liquides écologiques
9
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STS INDUSTRIE
Ingénierie de la Propreté
REVETEMENTS
INDUSTRIELS
POUR SURFACES
METALLIQUES
ELIGIBLES
STS INDUSTRIE
Ingénierie de la Propreté
MEDIAS DE NETTOYAGE
PAR PROJECTION
Pour Substrat métallique ou plastique
� Abrasif métallique
� Corindon
� Abrasif végétal
� Médias plastiques
� Billes de verre
� Granulat minéral
� Glace et ou neige carbonique
� Bicarbonate de sodium
….
Pour Substrat minéral
� Granulat minéral : Archifine, Garnet, Rugos
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MICROBILLAGE
Billes de verre N O O O N O O O O O
GRENAILLAGE Abrasifs métalliques N O O N N O N O O O
DEROCHAGE Média végétal N O N N N N N N O O
Média plastique N O O O N O N N O O
DEGRAISSAGE DEROCHAGE
Bicarbonate de Sodium
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DECAPAGE + DEGRAISSAGE
Bicarbonate de Sodium +abrasifs Alu
N O O N O O N O O O
GOMMAGE
Archifine N N N N N O N O O O
Garnet N N O N N O N O O O
Rugos N N N N N O N O O O
CRYOGENIE Glace carbonique O N N O O O O N O N
CRYO +
GOMMAGE
CO2 + Granulats Doux O N N O O O O N N O
CO2 + Granulats durs N N O N N O N O O O
11
Média plastique
Bille de verre
Grenaille Acier
Grenaille Inox
Glace carbonique
Bicarbonate de Sodium
et Bicarbonate de Sodium
avec abrasif Alu
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STS INDUSTRIE
Ingénierie de la Propreté
Grenaille minérale Grenaille végétale
Média Caractéristiques Dureté MOHS
Nature de l’action
Propriétés
Bicarbonate de Sodium (Armex®)
Poudre cristalline blanche - granuleuse - inodore - Sans effet toxicologique - Reach : Conforme à la règlementation CE 1907/2006 -Nécessite un rinçage après opération - L’exposition à des températures supérieures à 109 °C ou à des matières incompatibles (acides) n’est pas conseillée. -Associable à des abrasifs de dureté différente
2
Micro abrasion
+ dégraissage
� 99,6% Natrium bicarbonate � Solubilité totale dans l’eau, à 20°, à 9,5% en masse � Ph 8,4 (pour une solution à 1% en masse) � Densité : 0,98kg/dm3 � Exempt de silice libre, � Non réutilisable � Qualité Alimentaire, � Antidéflagrant, Ininflamable, Non toxique, � Non conducteur � Insolubilité des peintures, huiles, graisses… dans le granulat � Bonne alcalinité et action sur réduction du volume des déchets � En opération, entraîne un moindre niveau de protection, � Flexibilité de sa formulation pour s’adapter à ses applications � Facilite la visualisation des fissures du substrat
Médias plastiques
Particules synthétiques, sous forme de grains angulaires monochromes ou polychromes, issues de résines polymérisées.
Tamis Granulométrie
12-16 1700 –1200 µ
12-20 1700 – 850 µ
20-30 850 – 600 µ
30-40 600 – 420 µ
40-60 420 – 250 µ
60-80 250 – 150 µ
3 à 4
Micro abrasion
� Inodores, non toxiques, ininflammables, de nature chimique inerte, de masse volumique 1,5
� Obtenus par broyage, tamisés, calibrés et traités antistatique pour limiter le collage des particules sur les surfaces traitées
� Plus rapide et moins coûteux que les médias chimiques � Permet un nettoyage rapide sans pollution et altération du
dimensionnel des moules et outillages � Utilisé pour un décapage sélectif des peintures sur substrat en
alliages légers, titane, aluminium, magnésium, acier Inox et composites (Industries aéronautique, du caoutchouc..) sans altération des couches inférieures
� Sera utilisé dans les opérations de nettoyage, décapage chaque fois que l’état de surface du substrat et son dimensionnel ne devront pas être modifiés.
� Utilisé dans des équipements de projection à air comprimé (à succion ou pression dans des machines à manche ou à jet libre.
Glace carbonique
Produite par détente de CO2 puis compression dans une filière
<2
Pouvoir dégraissant
+
décapant
� Qualité alimentaire � Ne conduit pas l’électricité � Ne produit pas de déchets supplémentaires autres que les
contaminants retirés et en réduit le volume � Pas de nécessité de protéger l’environnement de l’application � Pas d’abrasion des substrats
Corindon Oxydes d'aluminium cristallisés obtenus par fusion au four élec. Abrasif aux propriétés physiques et chimiques contrôlées. Densité réelle : 3,94
9
Décapage
+ Dégraissage
(si granulométrie faible)
� Rendement de décapage � Peut être associé à de l’Armex � Réutilisable de 8 à 20 fois, selon l’utilisation � Granulométrie de 3µ à 2,4 mm avec géométrie angulaire � La fusion garantit la régularité de la qualité et l'absence rigoureuse de
silice libre (point de fusion 2050°)
Billes de verre
Utilisé en confinement total tel que boîte à gants
Verre sodo-calcique Classe A
SILICE LIBRE = 0
SiO2 70 à 75%
Na2O 12 à 15%
K2O < 1,5%
CaO 7 à 12%
MgO < 5%
Fe2O3 < 0,5%
AlO3 < 2,5%
SO3 < 0,5%
Température de ramollissement 730°C
Poids spécifique absolu 2,46
Densité apparente ~1,5
Densité réelle ~ 2,5
Indice de réfraction 1,51
Particules angulaires <3%
GRANULOMETRIE
425 - 600 µm
250 - 425 µm
180 - 300 µm
150 - 250 µm
106 - 212 µm
75 – 150 µm 53 - 106 µm
45 - 90 µm
4 -45 µm
Sodo Calcique : 5,5 à 6
Alumino-Silicates :
6 à 7 (pour
opérations de pré-
contraintes en
Aéronautique et
Médical)
Structure non
anguleuse
� Réutilisation possible si soin apporté à la phase récupération. � Peut constituer l’unique traitement de surface ou être mis en
œuvre après de l’Archifine, Rugos, Garnet ou Corindon, pour obtenir un profil de rugosité plus faible et ainsi une finition plus éclatante des pièces en métal ferreux ou non.
� Sphères permettant une détérioration minimale des surfaces (respects des cotes, gravures, arêtes…) en créant une rugosité à vague et non à crête.
� Verre minéral doté d’un grand module d’élasticité assurant une faible fragmentation et un nettoyage précis
� Grande inertie chimique ce qui évite toute post contamination � L’absence de silice libre rend ce process sans impact
environnemental et sans risque pour l’opérateur � La maîtrise contrôlée de la granulométrie permet variété ‘ de mat
profond à satiné fin, reproductibilité des nuances d’état de surface, l’obturation de porosités, le fini décoratif…
� Utilisé dans des équipements de projection à air comprimé (à succion ou pression dans des machines à manche ou à jet libre, en milieu sec ou humide
Utilisations types : Nettoyage, finition et ébavurage
Nettoyage : moules, enlèvement de rouille non adhérente, Finition : suppression des petites irrégularités d’aspect (rayures, cordon de soudure…), satinage ce qui donnent aux pièces une finition uniforme sur acier, inox…(médical, alimentaire)
Ebavurage : Cet abrasif est utilisé pour l’ébavurage de pièces en métaux non ferreux, ferreux, après usinage, emboutissage, effacement de rayures sur pièces plastiques,
Précautions : Les opérateurs travaillent à une pression < 5 bars, car au delà, le produit se fragmente, Les cabines à manches (succion ou pression) sont équipées d’un réglage de la pression de travail, d’un cyclone avec dépoussiéreur, permettant de trier et nettoyer la microbille de verre.
12
Toute opération de Nettoyage –Décapage nécessitera une phase de test préalable
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Ingénierie de la Propreté
Plus communément appelé ARMEX©, il est utilisé en raison de ses propriétés uniques.
Il est conforme à la règlementation CE 1907/2006 (REACH)
Il permet de nettoyer ou décaper les peintures et de dégraisser une grande variété de supports incluant les métaux ferreux,
l'aluminium, les matériaux composites, le plastique et les matériaux de construction.
La faible dureté du grain d’Armex® et sa grande friabilité permettent de l'utiliser en milieux sensibles.
Contrairement aux autres granulats, la proximité de joints d’étanchéité ou de roulements n'empêche pas l'utilisation de l'Armex®.
Excellent dégraissant, soluble dans l'eau, non conducteur, anti-déflagrant et absent de silice libre, l'Armex® est un granulat
écologique de qualité alimentaire.
Il remplacera avantageusement les produits chimiques agressifs, les méthodes de décapage mécanique manuel, les solvants et le
nettoyage Haute Pression ou le sablage... Différentes nuances sont disponibles pour couvrir tous les besoins
Les applications faisant appel au bicarbonate de sodium sont avant tout industrielles (agro-alimentaire, aéronautique, chimie,
plasturgie, industrie pétrolière etc.).
L’abrasif « ARMEX » est très efficace pour le décapage de toute la gamme de peinture, en passant des acryliques aux polyamides
jusqu’aux peintures poudres.
Cette technologie est utilisée par exemple dans le secteur de l’aérospatial et l’entretien industriel. Ce décapage est utilisé sur les
subjectiles tels que :
- aluminium et composites de qualité aérospatiale - plastiques automobiles - ponts de bateaux.
Le bicarbonate de sodium est utilisé pour le décapage des pièces avant les essais non destructifs, puisqu’il facilite la visualisation de
fissures très fines sans avoir besoin de nettoyer le substrat.
La peinture et les salissures semblables sont insolubles dans l’ARMEX et peuvent facilement être séparées.
La solubilité de l’ARMEX dans l’eau à la température ambiante est de l’ordre de 10 %.
Les avantages des produits de la série ARMEX sont les suivants :
� Abrasif doux � Sans silice libre
� Hydrosoluble � Non-conducteur
� Fongistatique � Qualité alimentaire
� Non toxique � Anti-déflagrant
� Ininflammable � Très dégraissant
� Saveur
légèrement
alcaline
� Possibilité de supprimer l’étape de masquage
Attention : le caractère hygroscopique du bicarbonate de sodium
fait en sorte qu’un rinçage est presque obligatoire
après l’opération de dégraissage ou dérochage.
Pour mémoire :
MINERAUX DE REFERENCE DURETE MOHS
Talc 1
Gypse 2 Armex
Calcite 3
Fluorite 4
Apatite 5
Feldspath 6 Bille de verre
Quartz 7
Topaze 8
Corindon 9
Diamant 10
13
QUELQUES REFERENCES � Nez avant A 380 (Socata Tarbes) � Réservoir carburant Galaxy (Sogerma Rochefort) � Hélicoptère FENNEC (CGTM Pau) � Mobiles Voilure A 320 (Air France Toulouse) � Eléments de train d’atterrissage A 340 (Goodrich Toulouse) � Moulage carbone poutre A 380 (Airbus Nantes) � Moulage panneaux cabine A 320 et A 340 (Airbus Toulouse) � Moulage cockpit A 320 et A340 (Composite Aquitaine) � Turbine APU (Microturbo Toulouse) � Vérin d’aile Tornado (Ratier Figeac) � Pale Bréguet Atlantic (Ratier Figeac) � Aérofrein Mirage 2000 (Mécaprotec) � Console de tir Rafale (Mécaprotec) � Cloison Falcon 900 (Mécaprotec) � Perche ravitaillement F1 (Mécaprotec)
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Ingénierie de la Propreté
Média
Caractéristiques Dureté
sur l’échelle de Mohs
Nature de l’action
Propriétés
ARCHIFINE Scories de fusion de centrale thermique couleur bronze ou blanche inodores
� Composition chimique : SiO2: 48/51% (silice liée en cristal homogène compact)
AL2 O3 : 28/34% Fe2O3 : 8/12% K2O :3/5% CAO :2/5% Non hygroscopique, inerte Fer libre, Cuivre, soufre < 0,01% (non mesurable) Non toxique, non soumis à des conditions particulières
7 Micro abrasion
� Ph neutre (7,5)
� Non réutilisable, non biodégradable
� Exempt de silice libre donc utilisable sans adjonction d’eau
� Le plus utilisé dans les opérations de gommage en bâtiment
� Densité : 1,3 kg/ dm3
� Non soluble � Granulométrie : 0,09/0,25mm
N° 4 (forte granulométrie) à N° 8 (faible))
RUGOS Scories de fusion de centrale thermique
� Composition chimique : SiO2 50,86%
(silice liée en cristal homogène compact)
AL2 O3 : 27,27% Fe2O3 : 9,68% K2O :3,96% CAO :2,46% MgO:1,90% TiO2:0,90% Na20:0,08%
Non hygroscopique, inerte Fer libre, Cuivre, soufre < 0,01% (non mesurable) Non toxique, non soumis à des conditions particulières
6-7 Décapage � Pouvoir abrasif important le rendant apte au décapage dur sur métal, granit…pour lequel il remplace la silice interdite sans eau
� Ph : 9,2
� Non réutilisable
� Densité : 1,3kg/dm 3
� Existe en 3 granulométries : 50/80 ; 20/30 et 12/14
� Pré-enregistrement REACH : n° TT 289 891
GARNET Minerais Almandite Couleur : rose à terre cuite inodores
� Composition chimique : SiO2 : 36% (silice liée en cristal homogène compact)
AL2 O3 : 20% Fe2O3 : 2% FeO :30% CAO :2% MgO:6,09% TiO2:1% MnO:1% Non hygroscopique, inerte Fer libre, Cuivre, soufre < 0,01% (non measurable) Non toxique, non soumis à des conditions particulières
7,5-8 Décapage � Poids spécifique: 4,1kg/dm3;
� Densité : 2,38kg/dm3
� Non conducteur,
� Non soluble,
� Recyclable
� Réutilisable jusqu’à 6 fois en circuit fermé
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STS INDUSTRIE Ingénierie de la Propreté
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REVETEMENTS
INDUSTRIELS
POUR SURFACES
METALLIQUES
ELIGIBLES
STS INDUSTRIE
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MEDIAS DE NETTOYAGE
PAR IMMERSION
Pour Substrat métallique ou plastique
� Agro-Solvant
� Dégraissant biochimique
� Détergent-Dégraissant anticorrosion
� Convertisseur de rouille
� Brillanteur Alu et Inox
� Dérouillant passivant
� Solvant Dégraissant écologique
� Détergent Désinfectant écologique…
Pour Substrat minéral
� Traitement anti tâche, aspect mouillé
� Nettoyeur Graffiti écologique
� Traitement hydrofuge
� Nettoyeur spécial pierres
� Décapant de crépis et peintures
� Traitement algicide…
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.
Solvant à séchage rapide
Détergent Dégraissant
anti-corrosion
Dérouillant Passivant
Solvant Dégraissant PE 62°C
TDP
SD
DDA
Convertisseur de Rouille TSR
SSR
Décapant de Peintures
Ecologique, Bio-sourcé
Brillanteur ALU
Brillanteur INOX
Solvant Dégraissant
Ecologique
TBI
SDE
TBA
A.S.E.S.T.S
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D.A.1.S.T.S.
CARACTERISTIQUES DES CONTAMINANTS
a- Contaminants faible épaisseur, vieillis et chauffés
b- Contaminants épais, vieillis, chauffés et durcis
c- Contaminants faible épaisseur, récents
d- Contaminants épais, récent
CONTAMINANTS
SUBSTRAT
Métal Composite Plastique Acier
Fonte
Acier
Inox
Cuivre
Laiton
Bronze
Alu
Zinc Et alliés
Ti Ni Cr Résines phénolique
Polyester, verre époxy…
PE, PVC, PC, Pu, PP,
PET, PTFE…
Huiles
et
Graisses
Graisse
et huile
Carbonée
Végétale Sicativant
SDE (SOLVANT DEGRAISSANT ECOLOGIQUE)
SSR (SOLVANT A SECHAGE RAPIDE)
SD (SOLVANT DEGRAISSANT)
DDA
(DETERGENT DEGRAISSANT ANTI-
CORROSION)
Evanescent
Cuite
Animale De protection
Pâte à polir
Cuite
Minérale Standard
Graffitées et
additivées
Pâte à roder
Cuite
Graisses et huiles siliconées SD (SOLVANT DEGRAISSANT)/ SSR (SOLVANT
A SECHAGE RAPIDE)
Peintures
Solvantées
ASESTS (AGRO-SOLVANT)
ASESTS (AGRO-
SOLVANT)
ASESTS
(AGRO-
SOLVANT)
Hydosolubles
Hydrodiluables
Poudre Epoxy
Poudre Polyester
Polyuréthane
Hydrocarbure SSR (SOLVANT A SECHAGE RAPIDE)
/ SD (SOLVANT DEGRAISSANT) SDE (SOLVANT DEGRAISSANT
ECOLOGIQUE) Bitume SDE (SOLVANT DEGRAISSANT ECOLOGIQUE)
Particules
chargées
adhérentes
Camboui SSR (SOLVANT A SECHAGE RAPIDE)
/ SD (SOLVANT DEGRAISSANT)
/ SDE (SOLVANT DEGRAISSANT ECOLOGIQUE)
DDA (DETERGENT DEGRAISSANT
ANTI-CORROSION)
Ciment TDP- (DEROUILLANT PASSIVANT) TDP (DEROUILLANT PASSIVANT)
Dépôts de combustion carbonée
(suie..) DDA (DETERGENT DEGRAISSANT ANTI-
CORROSION)
DDA (DETERGENT DEGRAISSANT
ANTI-CORROSION)
Rouille oxyde TSR (CONVERTISSEUR DE ROUILLE) /
TDP (DEROUILLANT PASSIVANT) ///////////////////////////
Colles Résines et adhésifs ASESTS (AGRO-SOLVANT)
ASESTS (AGRO-
SOLVANT) ASESTS
(AGRO-SOLVANT)
Encre et Toner SD (SOLVANT DEGRAISSANT)
/ SSR (SOLVANT A SECHAGE RAPIDE)
SDE (SOLVANT DEGRAISSANT
ECOLOGIQUE)
Ces informations sont données à titre d’exemple et ne sauraient engager la responsabilité de STS sas, car chaque situation appelle un examen, un essai afin d’ajuster la
solution adéquate, par rapport au substrat et au contaminant, en fonction de son ancienneté, son épaisseur, son vieillissement…Il n’est pas rare de plus d’être confronté à
une accumulation de plusieurs contaminants. Les temps de traitement seront donc ajustés en fonction des caractéristiques des contaminants (a, b, c, ou d)
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de
la
Pro
pre
té
� Utilisable au trempé à chaud à 70°C
� Efficacité sur les couches de peinture, en couches multiples ou épaisses
� Sécurité sur les matériaux : il n'attaque pas les métaux ferreux, les aciers inox et galvanisé, les polypropylènes, les aluminiums …
� Produit biosourcé donc rigoureusement exempt d'hydrocarbures, de solvants chlorés, de chromates et de phénols… Tous les composants
sont biodégradables.
� L'absence de chlorés autorise le classement des déchets de peinture dans une catégorie de traitement économiquement très favorable.
� L’absence totale de solvants volatils permet de conserver le bain longtemps en état optimum de fonctionnement.
� Sans odeur forte
� Décapage en bain des peintures glycérophtaliques, alkyd-uréthanes, polyuréthanes, époxys, Polyester, acrylique...
� Enlèvement des revêtements, mastics et joints utilisés pour l'étanchéité des assemblages métalliques.
� Décapage de balancelles, crochets, pièces en acier à repeindre.
� Aspect physique à 20°C : liquide fluide
� Couleur : Jaune-Orange
� Odeur : Caractéristique
� pH (en concentration) : 3,0 – 4,0
� Densité = 1,05 (moyenne à 20°C)
� Viscosité ; < 50 mPa.s
� Solubilité dans l’eau: Dispersible
� Point éclair : > 100°C (ISO 2592)
Nom de la substance Valeurs N° CAS /ENEIC N° REACH Classification
Amyl-Xyloside >10% 444-850-4 01-0000018776-57-0000 R36
Acide glycolique <5% 79-14-1 R22 –R34
Propan-2-ol <5% 67-63-0 R11/R36/R67
Decyl-glycosides <5% 50-522-3 01-0000020220-90-0000 R41
� La température d'emploi est de l'ordre de 70°°C, selon la nature des peintures à décaper et leur épaisseur, et le temps de décapage
désiré.
� En bain, une agitation par rampe d'air comprimé ou par agitateur à vitesse lente accélère le travail. Un caillebotis permet de reposer les
paniers contenant les pièces, un fond conique avec vidange au point bas permet de recueillir les déchets de peintures. Après vidange des
déchets, le niveau du bain sera juste réajusté avec du produit neuf.
� Après décollement ou dissolution des couches de peintures, une phase de rinçage sous pression sera nécessaire
conformément aux directives 67/548/CEE, 1999/45/CE et leurs adaptations : Irritant
� Ce mélange ne présente pas de danger physique.
� Ce mélange ne présente pas de danger pour l’environnement. Aucune atteinte à l’environnement n’est connue ou prévisible dans les
conditions normales d’utilisation.
� Phrases de Risques : R36/38 (irritant pour les yeux et la peau)
� Phrases de Sécurité : S25 –S26 –S39
Des tests de décapage seront toujours effectués, dans les conditions précisées ci-dessus, pour qualifier le procédé sur site client.
STS INDUSTRIE
Ingénierie de la Propreté
Parc d’activité des 70 arpents
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WWW.sts-eco-planete-industrie.fr
Tel : 01 34 69 95 10
Fax : 01 34 69 67 90
Email : [email protected]
1
• Principe : « stripage » + décollage du film de peinture
• Le temps de cycle de décapage sera déterminé par le nombre de balancelles à
traiter simultanément, la température du décapant, le nombre de couches de
peinture et leur épaisseur (de 1 à 6H)
• Récupération des résidus en phase rinçage.
Ces résidus sont éliminés, après séchage, et traités comme D.I.S
• Maîtrise parfaite des risques sanitaires ou environnementaux
La machine sera située dans un endroit permettant le chargement et le
déchargement dorsal des balancelles.
• Fonctionnement en zéro rejet, Avec réduction des volumes consommés, stockés
Il sera toujours effectué des essais préalables à la définition de l’Unité pour
apprécier son temps de cycle.
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Date : 30 juillet 2012
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1 IDENTIFICATION DE LA PREPARATION Nom commercial : BIO-STRIPPER Type de produit : Liquide Usage : Réservé à un usage professionnel.
2-IDENTIFICATION DE LA SOCIETE :
STS sas Parc d’activité des 70 arpents Rue de Belloy 95 560 MONTSOULT Tél : 33 (0)1 34 69 95 10 Fax : 33 (0)1 34 69 67 90 E-mail : [email protected] Site web : www.sts-eco-planete-industrie.fr Numéro de téléphone d’appel d’urgence Tél : 33 (0)1 34 69 95 10 ou 07 86 25 28 77
3- COMPOSITION / INFORMATIONS SUR LES COMPOSANTS Substance / Préparation : Préparation Composants : Ce produit contient des composants dangereux (Directive 67/548/CEE). Composition
Nom de la substance Valeur(s) N° CAS / ENEIC
N° REACH Classification
Amyl-Xyloside > 10% 444-850-4 01-0000018776-57-0000 R36 Acide Glycolique <5% 79-14-1 R22 – R34 Propan-2-ol <5% 67-63-0 R11 / R36 / R67 Decyl-glycosides <5% 50-522-3 01-0000020220-90-0000 R41
4- IDENTIFICATION DES DANGERS
Identification des dangers : Selon la Directive pour les préparations 1999/45/CEE le produit n’est pas classé. Phrases relatives aux dangers : Pas de danger spécifique identifié
5- PREMIERS SECOURS
- Inhalation : Faire respirer de l’air frais. Repos. - Contact avec la peau : Rincer soigneusement la zone concernée à l’eau pour enlever le produit concentré. Enlever les vêtements souillés.
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- Contact avec les yeux : Rincer immédiatement et pendant au moins 15 minutes avec de l’eau en abondance (bien rincer sous les paupières et, si possible, après avoir enlevé les lentilles). Quelque soit l’état initial, adresser systématiquement le sujet chez un ophtalmologiste, en lui montrant l’étiquette. - Ingestion : Garder au repos. NE PAS faire vomir. Faire immédiatement appel à un médecin et lui montrer l’étiquette.
6- MESURES DE LUTTE CONTRE L’INCENDIE
Risques spécifiques : Aucun Moyens d’extinction appropriés : Dioxyde de carbone (CO2), poudre, mousse ou eau pulverisée (brouillard). Moyens d’extinction non appropriés : Ne jamais utiliser de lances d'incendie (jet bâton) car elles pourraient favoriser la dispersion des flammes. Protection contre l’incendie : Soyez prudent lors du combat de tout incendie de produits chimiques (voir rubrique 8).
7- MESURES A PRENDRE EN CAS DE DISPERSION ACCIDENTELLE Précautions individuelles : Eloigner le personnel concerné. Eviter le contact avec la peau et les yeux. Précaution pour l’environnement : Si le produit s'est répandu dans un cours d'eau ou un égout, avertir les autorités de la présence éventuelle de corps flottants. Eviter que le produit ne se déverse dans les égouts ou dans un cours d'eau ou ne contamine le sol. Mesure après fuite / épandage sur le sol : Ramassage mécanique. Contenir les déversements et les récupérer au moyen de sable ou de tout autre matériau inerte absorbant. Eliminer les résidus à l'eau. 8- MANIPULATION ET STOKAGE Manipulation : Prévoir une bonne ventilation de la pièce. Produit à manipuler en suivant une bonne hygiène industrielle et des procédures de sécurité. Ne pas manger, ni boire, ni fumer pendant l'utilisation. Eviter le contact avec la peau et les yeux. Conserver à l'écart de toute source d'ignition. Disposer de douches et de fontaines oculaires Stockage : Conserver les récipients fermés en dehors de l'utilisation, conserver à l'écart de toute source d'ignition. Entreposer dans un lieu sec, frais et bien ventilé. Ne pas entreposer en présence de produits alimentaires.
9- CONTROLE DE L’EXPOSITION / PROTECTION INDIVIDUELLE
Protection individuelle - Protection respiratoire : Prévoir une bonne ventilation de la pièce. - Protection de la peau : Lors de l’élimination de produit écoulé accidentellement, porter des gants imperméables - Protection des yeux : Lors de l’élimination de produit écoulé accidentellement, en cas d’utilisation intensive ou en cas de risque de projections, porter des lunettes de protection. - Limites d’exposition professionnelle : 2-propanol : VME Valeur momentanée: 980 mg/m³, 400 ppm.
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10- PROPRIETES PHYSIQUES ET CHIMIQUES Etat physique à 20°C : Liquide Couleur : Jaune / orangé. Odeur : Caractéristique pH (produit concentré) : 3,0 – 4,0 Densité : 1,05 Viscosité : < 50 mPa.s Solubilité dans l’eau : Dispersible Point d’éclair (ASTM D 92) : > 100 °C.
11-STABILITE ET REACTIVITE
Stabilité et réactivité : Produit stable aux conditions usuelles de stockage, de manipulation et
d'emploi.
Conditions à éviter : Ne pas stocker à t°< 0°C et > 50°C. Conserver à l’écart de toute source d’ignition.
Matières à éviter : Eviter le contact avec les agents oxydants forts
Produits de décomposition : Aucun(es) dans les conditions normales.
12- INFORMATIONS TOXICOLOGIQUES
Toxicité aiguë
Ingestion :
Toxicité très faible par ingestion. L'ingestion de petites quantités ne devrait
pas provoquer d'effets nocifs. Une ingestion peut entraîner une irritation
gastro-intestinale.
La DL50 pour une dose unique par voie orale n'a pas été établie.
D'après des informations sur le(s) composant(s): Estimation DL50, rat >
2.000 mg/kg
Contact avec les
yeux :
Peut irriter les yeux. Peut provoquer des lésions cornéennes.
Contact avec la
peau :
Un bref contact peut provoquer une irritation cutanée accompagnée d'une
rougeur locale.
Absorption
cutanée :
Un contact prolongé avec la peau ne devrait pas entraîner l'absorption de
doses nocives. La DL50 par voie cutanée n'a pas été établie.
D'après des informations sur le(s) composant(s): Estimation DL50, lapin >
2.250 mg/kg
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13-INFORMATIONS ECOLOGIQUES
Information
sur les effets
écologiques
Biodégradabilité
D’après les informations sur le(s) composant(s) : Totalement biodégradable.
Toxicité
aquatique ;
D’après les informations sur le(s) composant(s) : non toxique pour les
organismes aquatiques (toxicité aiguë)
14- CONSIDERATIONS RELATIVES A L’ELIMINATION
Elimination des déchets : Se conformer à la réglementation en vigueur.
15- INFORMATIONS RELATIVES AU TRANSPORT
Information générale : Non classifié.
16- INFORMATIONS REGLEMENTAIRES
Symbole(s) CE : Non classé
Phrase(s) R : Aucune
Phrase(s) S : S25 : Eviter le contact avec les yeux.
S26 : En cas de contact avec les yeux, laver immédiatement et abondamment avec de l’eau et
consulter un spécialiste.
S39 : Porter un appareil de protection des yeux / du visage.
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17- AUTRES INFORMATIONS
Autre(s) donnée(s) : aucune Liste des phrases R pertinentes : R11 : Facilement inflammable (Chap. 2) R22 : Nocif en cas d’ingestion. R34 : Provoque des brûlures R36 : Irritant pour les yeux R41 : Risque de lésions oculaires graves R67 : L'inhalation de vapeurs peut provoquer somnolence et vertiges. Sources des données utilisées : Fiches de données de sécurité et autres données dans la documentations des fournisseurs. Révision : Première version de cette FDS dans ce format. Date d’impression : 30 / 03 / 2012. Le contenu et le format de cette fiche de données de sécurité sont conformes au règlement (CE) N° 1907/2006 du
parlement Européen et du Conseil.
DENEGATION DE RESPONSABILITE Les informations contenues dans cette fiche proviennent de sources que nous
considérons être dignes de foi. Néanmoins, elles sont fournies sans aucune garantie, expresse ou tacite, de leur
exactitude. Les conditions ou méthodes de manutention, stockage, utilisation ou élimination du produit sont hors de
notre contrôle et peuvent ne pas être du ressort de nos compétences. C'est pour ces raisons entre autres que nous
déclinons toute responsabilité en cas de perte, dommage ou frais occasionnés par ou liés d'une manière quelconque à la
manutention, au stockage, à l'utilisation ou à l'élimination du produit. Cette FDS a été rédigée et doit être utilisée
uniquement pour ce produit. Si le produit est utilisé en tant que composant d'un autre produit, les informations s'y
trouvant peuvent ne pas être applicables.
Fin du document.
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� Utilisable au trempé à froid ou à chaud (20 à 40°C).
� Efficacité à froid remarquable permettant de l'utiliser en temps masqué sur la plupart des peintures.
� Grand spectre d'action : testé avec succès sur les revêtements alkydes, alkyde-uréthanes, polyuréthanes, époxys,
acryliques, etc.
� Efficacité sur les couches de peinture, en couches multiples ou épaisses.
� Sécurité sur les matériaux : il n'attaque pas les métaux ferreux, les aciers inox, les polypropylènes, les aluminiums.
� Rigoureusement exempt d'hydrocarbures, de solvants chlorés, de chromates et de phénols. Tous les composants sont
biodégradables.
� L'absence de chlorés autorise le classement des déchets de peinture dans une catégorie de traitement économiquement
très favorable.
� Le taux réduit de solvants volatils permet de conserver le bain longtemps en état optimum de fonctionnement. Les
pertes sont minimisées par une couche anti-évaporation et anti-odeurs inerte.
� Peut s'utiliser à température ambiante, pour maîtriser les dépenses d'énergie, mais au détriment du temps de décapage.
� Décapage en bain des peintures glycérophtaliques, alkyd-uréthanes, polyuréthanes, époxys, etc.
� Enlèvement des revêtements, mastics et joints utilisés pour l'étanchéité des assemblages métalliques.
� Décapage de balancelles, crochets, pièces en acier à repeindre.
� Aspect : liquide fluide
� Densité = 1 (moyenne à 20°C)
� Point éclair : > 60°C (ISO 2592)
� La température d'emploi est de l'ordre de 20 à 40°C en moyenne selon la nature des peintures à décaper et leur
épaisseur, et le temps de décapage désiré.
� En bain, une agitation par rampe d'air comprimé ou par agitateur à vitesse lente accélère le travail. Un caillebotis permet
de reposer les paniers contenant les pièces, un fond conique avec vidange au point bas permet de recueillir les déchets
de peintures. Après vidange des déchets, le niveau du bain sera juste réajusté avec du produit neuf.
� Après décollement ou dissolution des couches de peintures, une phase de rinçage sous pression sera nécessaire
conformément aux directives 67/548/CEE, 1999/45/CE et leurs adaptations : Irritant
� Ce mélange ne présente pas de danger physique.
� Ce mélange ne présente pas de danger pour l’environnement. Aucune atteinte à l’environnement n’est connue ou
prévisible dans les conditions normales d’utilisation.
� Phrases de Risques : R36/38 (irritant pour les yeux et la peau)
� Phrases de Sécurité : S26 –S37 –S60
Un test de décapage sera toujours effectué, dans les conditions précisées ci-dessus, pour qualifier le procédé sur site client.
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D.A.1.S.T.S.
Abrasifs et préparation de surface
Dans les traitements de surfaces par impacts, le projectile joue le rôle principal. Celui de l'outil qu'il faut savoir choisir et utiliser suivant la nature du subjectile et du résultat à obtenir. Le choix du type de projectile est prépondérant et sera fonction des 7 paramètres suivants:
- son agressivité: Le projectile imprime sur la surface à traiter une empreinte dont la marque est directement liée à sa forme. Les formes rondes sont plus adaptées aux traitements de nettoyage, d'aspect ou de précontrainte, tandis que les formes angulaires sont plutôt réservées à la préparation de surface, pour l'obtention d'une rugosité.
- sa masse: Les effets du traitement dépendent de sa masse et de la vitesse de projection. (voir rubrique paramètres) Plus un projectile est dense et sa vitesse grande, plus son impact sur la surface sera important. Lorsque le grain frappe la surface d'une pièce, il y a transformation brutale de son énergie cinétique sous forme de travail (déformation de la surface) et sous forme d'une nouvelle énergie cinétique (le rebond des grains).
- sa dureté: Elle sera fonction de la nature de la surface à traiter et du type de traitement recherché. Les duretés varient beaucoup suivant les types d'abrasifs, partant des plus tendres, les plastiques aux plus durs, les corindons (voir rubrique définitions). La durée de vie du projectile et des équipements de projection sont directement liés à son choix.
- sa résistance: C'est son pouvoir à résister à l'éclatement, ou à la modification de ses formes sous l'impact. Le rendement d'un produit est lié à la dureté, à la résilience et à l'élasticité de la matière qui le compose. Au cours des impacts successifs, le grain subit des modifications de forme et de dimensions, provoquées par l'abrasion qu'il supporte et par son éclatement. Le projectile perd progressivement ses caractéristiques initiales au cours des traitements.
- sa compatibilité: Elle tient compte de la nature, de l'épaisseur, de la forme ou de la qualité de la pièce à traiter. Intervient également l'état initial de la surface à traiter par rapport à l'état final recherché. Il faut prendre aussi en compte la compatibilité du produit projetable et du procédé de projection.
- sa granulométrie: C'est la caractéristique qui définit le calibre de chaque grain (grosseur ou diamètre) donc leur nombre par kilogramme projeté. Elle est obtenue par tamisage et définie suivant la norme AFNOR NF X 501 et ISO 565. La grosseur des grains est importante car elle influe sur le rendement et la qualité du traitement. Plus le grain est gros, à vitesse égale, plus fort sera l'impact; mais plus le grain est petit, plus grand sera le nombre d'impacts et meilleur sera le recouvrement (voir rubrique paramètres).
- son coût: Il est fonction de la qualité du produit (homogénéité, dureté, tolérances de forme et de granulométrie). Le coût du traitement est directement lié au prix d'achat du produit et à la consommation de celui-ci.
Les qualités des abrasifs sont indéniablement supérieures au sable, et ont très vite supplanté ce dernier. A ce jour l'utilisation de produit siliceux est donc interdite, mais tolérée dans certaines applications où la projection s'effectue par voie humide, où sèche et humidifiée pour le nettoyage sans poussière des façades. Le décret N° 69-558 du 6 juin 1969 portant règlement d'Administration en ce qui concerne les mesures particulières de protection des travailleurs applicables aux travaux de décapage, de dépolissage ou de dessablage au jet d'abrasif stipule que: "l'abrasif utilisé ne doit pas contenir plus de 5% en poids de silice libre", étant entendu que seule la silice pure est visée et non la silice mélangée sous forme de silicate. Depuis, la composition des abrasifs ne manque pas d'être vérifiée à l'occasion de prélèvements fréquents sur les chantiers par la sécurité du travail afin d'éviter les risques de silicose chez les opérateurs. Ce décret a véritablement bouleversé la profession en général, puisqu'il s'agissait de supprimer rapidement l'agent décapant le plus naturel et le moins onéreux à l'origine même du traitement par impacts, "le sable".
Les abrasifs perdus Généralités Les abrasifs dits "perdus" sont généralement utilisés en cabine sans recyclage, ou en chantier extérieur. Ils ont remplacé les sables d'origine siliceuse dont l'emploi est devenu interdit. (voir ci-dessus). Dans cette catégorie d'abrasifs "non siliceux", on trouve généralement des abrasifs à courte durée de vie, d'origines et de fabrications diverses et en particulier: Les laitiers Les laitiers de haut fourneau concassés, sont composés de silicate complexe d'aspect vitrifié. Ce sont des résidus de fabrications nobles, (ex: cuivre ou chrome) tributaires de la matière première et du processus d'élaboration. Il en résulte que ces derniers ne sauraient être de composition rigoureuse et d'aptitude suivies. Le laitier de haut fourneau a un comportement comparable à celui d'un sable de silice. Mais, son handicap majeur vient de sa forte émission de poussière, qui se traduit par une mauvaise appréciation du produit par ses utilisateurs. - Il se présente sous forme de cristaux à angles aigus de couleur foncée. - Il a une densité apparente de 1,3 et une densité réelle de 2,6. Les scories Les scories métallurgiques diverses, sont aussi des résidus employés comme abrasif perdu. Les plus utilisées sont les scories de cuivre dont les grains angulaires, ont un aspect noir vitrifié . Les scories de cuivre ont pour avantage de créer moins de poussière, mais pour inconvénient d'augmenter le temps de décapage qui résulte de la difficulté d'apprécier la qualité de la surface décapée. Elles ont en outre une durée de vie moyenne supérieure aux laitiers, mais comme ces derniers, elles laissent souvent sur la surface des traces noirâtres et des inclusions non métalliques, visibles ou pas. - les duretés varient entre 6 et 7 Mohs. Les abrasifs de synthèse Contrairement aux précédents, les abrasifs de synthèses ne sont pas des résidus d'une fabrication, mais l'aboutissement d'un procédé spécifique. Ils sont réalisés à partir d'une masse fondue de verre de silicate d'aluminium, élaborée par fusion contrôlée à haute température, refroidie et broyée. La rigueur et la constance du procédé de fabrication apportent à ces abrasifs des qualités évidentes qui sont: - une stabilité de la matière première, - une couleur ne laissant pas de traces noirâtres, - une poussière claire et parfaitement sèche, - un aspect de surface rugueux et brillant, - une consommation réduite. Ils se présentent en cristaux durs et tranchants dont la couleur se nuance du topaze au brun avec: - une densité apparente de 1,3, - une dureté comprise entre 6 et 7 Mohs. - une granulométrie de 0,3 à 1,7 mm (3 grades, 50-80, 20-30, 12-14) - un cycle d'utilisation variable de 1 à 3 (suivant calibres et utilisations).
28
Abrasifs et préparation de surface
Le sable de quartz Il est composé de silice naturelle et se trouve à l'état naturel dans de nombreuses roches sous forme de sable. Il est généralement de couleur blanche selon la pureté des veines d'extraction. En raison de sa dureté (7 sur l'échelle de Mohs) et sa très grande abrasivité, il fut le premier abrasif utilisé en projection par air comprimé en cabine ou en abrasif perdu. Son inconvénient est qu'il est très fragile. Les grains se fragmentent rapidement en dégageant un très grand nombre de particules fines. Son usage fût interdit et abandonné à cause du risque élevé de silicose provoqué par les poussières inhalables de 5 à 6 microns (voir rappel ci dessus). Néanmoins, son emploi subsiste encore, essentiellement en projection par voie humide, dans des postes à manches ou machines automatiques, ou par voie sèche humidifiée pour le nettoyage des façades de bâtiments.
ABS
Acrylonitrile Butadiène Styrène (ABS)
L’ABS se caractérise par sa bonne résistance à la déformation thermique et aux chocs même à basse température. Il est dur, résistant à l’abrasion et présente une bonne stabilité dimensionnelle. Les résines ABS représentent l’un des mélanges les plus précieux de résine et d’élastomère et leur succès est dû aux excellentes propriétés provenant de cette alliance. Leurs propriétés fondamentales étant la ténacité, la résistance aux chocs et la dureté superficielle, elles sont surtout employées dans la fabrication de meubles, éléments pour l’industrie automobile, châssis de téléviseurs, panneaux ..
Acide Chlorhydrique
L'acide chlorhydrique est une solution aqueuse de chlorure d'hydrogène HCl. Sa formule chimique est (H3O++ Cl-(aq)) et non pas HCl(g) qui est la formule chimique du gaz chlorure d'hydrogène. C'est un acide fort (il s'ionise totalement en solution aqueuse)
Acide Chromique
L'acide chromique est un diacide. C'est un oxacide de formule H2CrO4. Par la perte de deux protons (H+), il forme l'ion chromate Attention : En industrie et santé, la dénomination acide chromique est parfois également utilisée pour le trioxyde de chrome (CrO3) ou anhydride chromique
Acide
Phosphorique
L'acide phosphorique est un oxacide à base de phosphore de formule H3PO4. C'est un triacide.
Acides Carboxyliques
Le terme acide carboxylique désigne une molécule comprenant un groupement carboxyle. Ce sont des acides et leurs bases conjuguées sont appelées carboxylates. En chimie organique, un groupe carboxyle est un groupe fonctionnel composé d'un atome de carbone, lié par une double liaison à un atome d'oxygène et lié par une liaison simple à un groupe hydroxyle.
Acier Alliage métallique constitué de fer (métal de base) et de carbone (<2%) avec éventuellement des éléments d’addition (métalliques ou non)
Acier Inoxydable (INOX)
La résistance à la corrosion de l’acier inoxydable est due à une couche d’oxyde, passive, riche en chrome qui se forme naturellement à la surface de l’acier. C’est l’état normal des surfaces d’acier inoxydable, connu sous le nom de « passif ». La passivation peut être soutenue par des traitements oxydants à l’acide. Contrairement au décapage,, aucun métal n’est enlevé de la surface pendant la passivation à l’acide. Les aciers inoxydables sont fortement alliés et leur résistance est obtenue grâce à la présence d’un minimum de 13% de chrome. Selon la classe à laquelle ils appartiennent, ils ont une résistance à la corrosion, des propriétés et des utilisations différentes. On distingue : - Les aciers ferritiques qui contiennent de 13 à 30% de chrome et de 0,07 à 0,1% de carbone. Ils ne se corrodent pas dans le milieu ambiant, en présence d’acide nitrique, d’acides organiques. Ils sont soudables. Utilisation : industries chimiques, alimentaires, coutellerie - Les aciers martensitiques qui contiennent de 13 à 17% de chrome, de 0 à 2% de nickel et de 0,08 à 0,5% de carbone. Ils sont durs et coupants, résistent à l’usure mais sont très fragiles. Utilisation : fabrication d’instruments chirurgicaux. - Les aciers austénitiques : il existe une gamme d’aciers comportant de 13 à 30% de chrome et de 8 à 35% de nickel. Ils contiennent de 13 à 30% de chrome et de 0,07 à 0,1% de carbone. On obtient des aciers qui ne résistent pas à l’eau de mer, aux acides sulfuriques et chlorhydriques. Ils ne sont pas soudables. Tous ces aciers contiennent du chrome. Ils présentent donc à leur surface une « couche » d’oxydes complexes de chrome très stable qui ralentit et même arrête et rend difficile la réalisation de dépôts adhérents. Il faut donc trouver un moyen de détruire ces oxydes (milieu réducteur) et de déposer une couche mince de métal empêchant la formation d’une nouvelle couche d’oxydes (Nickel de Wood)
Adhérence Force de liaison qui s'exerce entre un revêtement et son support. Elle conditionne l'accrochage du dépôt et sa résistance au décollement. L'adhérence mécanique résulte de l'ancrage des particules sur le relief du support. L'adhérence physico-chimique résulte des forces d'attraction moléculaires entre le dépôt et le support.
Additif
Substance (ou préparation) ajoutée à un produit pour des raisons de fabrication, de conservation ou de présentation. Substance (ou préparation), de composition chimique très variée, qui apporte des propriétés spécifiques aux produits auxquels elle est ajoutée. Ex. : agent plastifiant (substance permettant d'améliorer la consistance de produits divers comme le caoutchouc, les pâtes céramiques, etc....) , agent dispersant.
Adjuvant Un adjuvant est quelque chose qui aide à l'accomplissement d'un processus. Synonyme d’additif
Adsorption
1) Fixation d'espèces à la surface d'un solide. L'adsorption peut être physique ou chimique (Chimique : forces de valence, physique : forces de type Van der Waals) 2) Rétention physico-chimique superficielle d'un fluide ou d'un solide par une substance ou un organisme vivant
Aérosol Ensemble de particules solides ou liquides en suspension dans un gaz
Agents
épaississants
C'est la propriété d'une substance fluide pourvue d'une certaine viscosité. Une substance épaississante, est capable d'augmenter la viscosité d'une autre substance.
Agglomérats Masse de substances minérales agglomérées.
Alcalin Nature d'un produit aqueux à pH> 7 (alcalin faible pH entre 8 et 11, alcalin fort pH supérieur à 12). En chimie moderne, un alcali désigne les bases, les hydroxydes métalliques, ainsi que l'ammoniaque.
Alcool
Substance chimique de la forme R-OH (R= radical non benzénique) Alcool méthylique = méthanol CH3-OH; Alcool éthylique = éthanol CH3-CH2-OH; Alcool propylique = propanol CH3-CH2-CH2-OH; Alcool butylique = butanol CH3-CH2-CH2-CH2-OH
Alcools Primaires
Un alcool est dit primaire, lorsque le groupe hydroxyle OH est porté par un carbone primaire (c'est-à-dire lié à un seul carbone). L'alcool primaire est de la forme: R − CH2 − OH
Alcools
Secondaries
Un alcool est dit secondaire, lorsque le groupe hydroxyle OH est porté par un carbone secondaire (c'est-à-dire lié à deux autres carbones).
Alcools Tertiaires Un alcool est dit tertiaire, lorsque le groupe hydroxyle OH est porté par un carbone tertiaire (c'est-à-dire liés à trois autres carbones).
Alcoool Méthylique
Le méthanol, également connu sous le nom d’alcool méthylique, de carbinol, d’alcool de bois, de naphte de bois ou d’esprit de bois est un composé chimique de formule : CH3OH (souvent abrégé en MeOH). C’est le plus simple des alcools, et il se présente sous la forme d’un liquide léger, volatil, incolore, inflammable, toxique avec une odeur caractéristique un peu écœurante, plus douce et sucrée que celle de l’éthanol (alcool éthylique).
Aliphatiques Linéaires
Se dit des composés dont le squelette fondamental est constitué par une chaîne carbonée linéaire ou ramifiée mais non fermée.
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Alliages
Un alliage est une combinaison d'un métal avec un ou plusieurs autres éléments. Les éléments d'alliages sont le plus souvent des métaux, mais ils peuvent également être d'autres éléments chimiques : le carbone dans l'acier ou la fonte, le silicium dans l'aluminium, etc. Alliages légers : Alliages d'aluminium, de titane, de magnésium,
Aluminium
S’obtient par électrolyse à l’état de fusion de son oxyde Al203 (Alumine).Pour répondre aux applications industrielles, il est généralement allié (Magnésium, Silicium, Zinc, Cuivre, Manganèse) ce qui améliore ses performances mécaniques (Elasticité, Charge de rupture…)
Amines
Composé de la forme N-R',R'',R''' où R, R' et R" sont des atomes d'hydrogène ou des chaînes aliphatiques. Ex. : Diéthylènetriamine NH2-C2H4-HN-C2H4-NH2.
Amphiphile Se dit d’une molécule qui présente à la fois une partie hydrophile et une partie hydrophobe
Amphotère Se dit d’une substance qui peut avoir un caractère tantôt positif, tantôt négatif, en fonction du pH
Anaérobie Se dit de réactions de dégradation (par exemple la fermentation) se produisant en absence d'oxygène
Analyse du cycle de vie
Se définit selon 3 grands critères : - Efficacité énergétique - Impact sur l’environnement et la santé - Recyclabilité
Anionique Qui concerne les anions (ion chargé négativement), les phénomènes qui se passent à l’anode
Anisotropie Orientation particulière dans la structure interne d’une pierre
Anode
Electrode positive soluble ou insoluble immergée dans l’électrolyte qui permet le passage du courant électrique. Anode bipolaire : Pièce métallique (ou en graphite) placée de telle manière et isolée électriquement du montage qu’une de ses extrémités soit dirigée vers l’anode et l’autre vers la partie de la pièce (cathode) située en retrait (partie désavantagée par la distribution du courant). Anode platinée : insoluble (Pt) réalisée en Ti, recouverte de quelques µ de platine, utilisée dans certains traitements /ex : dorure.
Atex La réglementation ATEX concerne les ATmosphères EXplosibles. Elle résulte des directives européennes 94/9/CE et 1999/92/CE
Bactéricide Produit ou procédé qui permet d’éliminer les bactéries
Balancelle Montage porteur de pièces, généralement en forme de cadre, assurant la continuité électrique dans les dépôts organiques aussi appelé « Sapin » dans les opérations de traitement par grenaillage (sans passage de courant)
Basique Se dit d'un composé ayant la propriété d'accepter des protons (ions H+). Les bases sont caractérisées par pH > 7. Ex. : Hydroxyde de sodium = soude ; Hydroxyde de potassium = potasse; Ammoniaque.
Bicarbonate de Sodium
(ou ARMEX©,) il est utilisé en raison de ses propriétés uniques et remarquables. Il permet de nettoyer ou décaper les peintures et de dégraisser une grande variété de supports incluant les métaux ferreux, l'aluminium, les matériaux composites, le plastique et les matériaux de construction. La faible dureté du grain d’Armex® (2,5 sur l’échelle de Mohs) et sa grande friabilité permettent de l'utiliser en milieux sensibles. Excellent dégraissant, soluble dans l'eau, non conducteur, anti-déflagrant et absent de silice libre, l'Armex® est un granulat écologique de qualité alimentaire. Il remplacera avantageusement les produits chimiques agressifs, les solvants et le nettoyage haute pression ou le sablage... Différentes nuances sont disponibles pour couvrir tous les besoins. Les applications faisant appel à l’Armex sont avant tout industrielles (agro-alimentaire, chimie, plasturgie, industrie pétrolière, chaudronnerie etc.).
Bille de Verre Sa structure non anguleuse permet une finition plus éclatante des pièces en métal ferreux ou non. Nocif par inhalation et peu biodégradable, son utilisation doit être encadrée de mesures de protection pour l'opérateur et d’une phase soigneuse de récupération en vue d’une ou plusieurs réutilisations éventuelles (dans machine à manches, cabine de microbillage..).
Biocide Toute substance ou mélange qui tue ou empêche le développement de micro-organismes
Biodégradabilité
Possibilité d'élimination des composés organiques sous forme de constituants cellulaires microbiens (biomasse), de CO2, H2O et produits minéraux divers, exprimée en mg / l ou % par rapport à DCO ou DThO. Synonyme de dégradation biotique.
Borate
Un borate est un composé de bore et d'oxygène avec des éléments électropositifs. Le bore trouvé dans la nature est toujours sous la forme d'un borate, voire l'article minerai de bore. Parfois, il est combiné à un silicate pour former un borosilicate. L'ion borate se trouve sous diverses formes. En solution aqueuse, on trouve l'acide borique, H3BO3 ; et en milieu alcalin, l'ion d’ hydrogénoborate, H2BO3-, l'ion hydrogénoborate, HBO32-, et enfin l'ion borate, BO33-.
Calcaire Roche contenant au moins 50% de calcite, de la Dolomite, de l’argile, des oxyde de fer, du quartz,…
Calcin Couche de carbonate de calcium qui se situe sur la pierre lorsque l'eau de carrière ou l'eau de pluie s'évapore. Cette fine couche est une véritable protection de la pierre.
Calcite Minéral composé de carbonate de calcium(CaCO3) faisant effervescence à l’acide. Composant majoritaire des calcaires.
Calepinage Relevé de la disposition des éléments d’un mur, d’une façade, d’un pavage..
Carbonate
En chimie, carbonate désigne un ion formé d'un atome de carbone et de trois atomes d'oxygène portant une double charge électrique négative (CO32-), ainsi qu'un composé chimique comprenant cet anion. Exemples : carbonate d'argent : Ag2CO3 / carbonate de baryum : BaCO3 / carbonate de manganèse : MnCO3.
Carbonitruration Diffusion superficielle au gaz de carbone et d’azote dans les pièces en acier, afin de leur conférer par trempe ultérieure une très grande dureté superficielle compatible avec l’absence de fragilité de l’ensemble.
Cataphorèse Peinture primaire cationique (dispersion de molécules organiques et de pigments minéraux en milieu aqueux). La formation de la couche se fait sous apport de courant.
Cationique Qui concerne les cations (ions chargé positivement), les phénomènes qui se passent à la cathode
Cathode Electrode reliée au pôle (-) du générateur dans les dépôts électrolytiques. Les pièces sont à cette polarité
Cémentation Traitement thermochimique permettant la diffusion de carbone dans la couche superficielle d’un acier pour lui donner des qualités de trempabilité
Cétone Composé de la forme R,R'-C=O ; Ex. : Acétone, méthyléthylcétone, méthylisobutylcétone, cyclohexanone.
Chélation
La chélation (prononcer kélassion, du grec khêlê : « pince ») est un processus physico-chimique au cours duquel est formé un complexe, le chélate, entre un ligand, dit chélateur (ou chélatant), et un cation (ou atome) métallique, alors complexé, dit chélaté Le chélate se distingue du simple complexe par le fait que le cation métallique est fixé au chélateur par au moins deux liaisons de coordination définissant un cycle avec le métal, à la manière d'une pince, d'où le nom.
Chromate Synonyme de l'acide chromique
CMR Cancérogène, mutagène, reprotoxique
CO²
Le dioxyde de carbone ou CO2 est un gaz inodore, non inflammable et est environ 1,5 fois plus lourd que l‘air. Normalement l‘atmosphère terrestre contient environ 0,03 % de CO2. Le CO2 se trouve en grande quantité dans les volcans, les fissures terrestres et autres sources telles que le métabolisme humain, végétal et animal. Le CO2 est présent aujourd‘hui principalement comme produit secondaire de différents processus chimiques et est stocké dans des réservoirs après son extraction. Le dioxyde de carbone peut exister sous trois formes:
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CO²
- gazeuse (pour l‘industrie agro-alimentaire) - liquide (dans un réservoir de stockage sous forme de gaz sous pression) - solide (ladite glace carbonique, pour le refroidissement, la projection etc.)
Co-distillation Phénomène de non séparation lors de la distillation de l'huile et du solvant
Complexant En chimie, un complexe, ou composé de coordination, est une structure consistant en un atome ou molécule central faiblement connecté aux atomes ou molécules qui l'entourent. Synonyme de complexe.
Composé Organique
Composé Organique
Composé ou substance chimique dont les molécules sont formées d'atomes de carbone, d'hydrogène et très souvent d'oxygène et d'azote. En plus de ces éléments, elles peuvent également contenir d'autres atomes comme le soufre, des halogènes, des métaux (organométalliques). Le nombre de composés organiques connus est très grand (plusieurs millions), le nombre de combinaisons à partir des quatre atomes de base est en théorie infini. Le qualificatif "organique" vient de la matière vivante essentiellement constituée par ces composés. Couramment les produits organiques sont tous les produits non-aqueux ou minéraux, par exemple solvants, polymères, peintures, produits pharmaceutiques, biologiques, etc.
Concentration
La cncentration désigne la proportion d'un soluté dans une solution. Concentration massique, rapport d'une masse par rapport à un volume, exprimée en g/L. Concentration molaire, rapport d'une quantité de matière par rapport à un volume, exprimée en mol/L.
Condenser
La condensation est le nom donné au phénomène physique de changement d'état de la matière qui passe d'un état dilué (gaz) à un état condensé (solide ou liquide). Synonyme de condensation
Conductivité Aptitude d’un corps à laisser passer le courant électrique, c’est l’inverse de la résistivité. Unité : le siemens (S)
Consommation
Quantité réellement utilisée et perdue. La consommation selon la Directive sur les COV est la différence entre les entrées de solvants utilisés et la quantité de déchet envoyé en régénération externe (et non récupérée dans l'installation).
Contaminant
Substance dont la présence, généralement en quantité très faible, rend dangereuse le contact, la consommation ou l'inhalation d'un produit ou altère la qualité de l'environnement. Synonyme de salissure. Contaminant Minéral : Salissure de type non organique : particules, sels métalliques, … Contaminant Organique : Salissure de type huile graisse animale, végétale ou synthétique.
Corindon Oxyde d'Alumine artificiel broyé, employé comme abrasif en remplacement du sable interdit
Corps Gras Un corps gras est une substance composée de molécules ayant des propriétés hydrophobes.
Corrosion Altération d'une surface par réaction chimique d'un oxydant, accompagnée d'une production d'oxydes (rouille pour un acier)
Couche d'Ozone Stratosphérique
La couche d'ozone ou ozonosphère désigne la partie de la stratosphère contenant une quantité relativement importante d'ozone (concentration de l'ordre d'un pour cent mille). Son existence est démontrée en 1913 par Charles Fabry grâce à son interféromètre optique. Cet ozone est produit par l'action du rayonnement solaire sur les molécules de dioxygène à haute altitude (entre 20 et 50 km d'altitude). À cette haute altitude, la couche d'ozone a pour effet d'absorber la plus grande partie du rayonnement solaire ultraviolet, qui se trouve être dangereux pour les organismes vivants.
COV
Les Composés Organiques Volatiles, ou COV sont des composés organiques (hydrocarbures, composés constitués de carbone et d'hydrogène) pouvant facilement se trouver sous forme gazeuse dans l'atmosphère. Ils peuvent être d'origine humaine (raffinage, évaporations de solvants organiques, imbrûlés...) ou naturelle (émissions par les plantes).
Chemical Vapor
Déposition
(C.V.D)
Procédé thermochimique permettant d’obtenir, entre autre des couches de carbure ou nitrure. Les matières premières nécessaires à la réaction sont amenées sous forme gazeuse sur la surface préalablement chauffée du matériau où elles se déposent en une couche mince et compacte. La température du dépôt dépend du matériau de base. Le C.V.D permet d’obtenir une grande variété de dépôt, présentant en général une haute dureté et une bonne résistance à la corrosion.
Cryogénie et Nettoyage
Le CO2 a un pouvoir solvant et dégraissant. Ainsi, à température et pression ambiante, le CO2 conditionné sous forme liquide, se détend pour former de la neige carbonique qui ensuite se sublime au contact de la pièce, passant de l'état solide à l'état gazeux sans passage par la forme liquide. Le principe du nettoyage par neige carbonique est très similaire à celui par glace carbonique. La principale différence réside dans la taille des particules. Les particules de neige étant plus petites que les pellets (glace carbonique), la couverture de la surface de la pièce est mieux assurée. Le nettoyage cryogénique dans le cadre d’une opération de décontamination de moisissures utilise les propriétés physiques de la glace carbonique propulsée par de l’air comprimé : vitesse, impact, choc thermique et sublimation.
Cycloparafinique Chaine fermée d'hydrocarbures.
Décalaminage Consiste à enlever une épaisse couche d’oxyde gris foncé, visible à la surface, en général en 2 étapes : brisure de la « calamine » puis enlèvement de la couche détachée de la surface métallique.
Décapage
Ce terme est souvent assimilé au traitement des surfaces par un procédé "chimique" (ex : acide nitrique et fluorhydrique). Néanmoins, dans les traitements "par impacts", il est employé pour désigner tous les procédés projetant toutes sortes de produits, dans le but d'éliminer tous les polluants d'une surface (sable, rouille, calamine, résidus de peinture ou autres revêtements). Ce terme, lié au résultat, s'est vulgarisé dans le langage des applicateurs industriels.
Déchets
Les Déchets Inertes : Ils ne réagissent pas de manière physico-chimique, c’est-à-dire qu’ils ne se décomposent pas, ne brûlent pas et ne produisent aucune réaction susceptible de nuire à l’environnement. Ce sont par exemple : les matériaux minéraux naturels, la terre cuite, les gravats, le carrelage, le béton, les sables de fonderie, les produits de polissage (corindon, sable…)… Les Déchets Non Dangereux : Ils ne sont ni inertes ni dangereux ; ils sont assimilables aux ordures ménagères. Ce sont par exemple : les emballages propres, le papier, le carton, le verre, les métaux, les chutes de bois non traité, les tapisseries, les vitrages, le polystyrène, les chutes de cuir, les textiles… Les Déchets Dangereux : Ils contiennent des produits qui sont susceptibles de nuire à la santé de l’Homme et à l’environnement en raison de leur caractère toxique, corrosif, irritant… Les déchets dangereux des entreprises artisanales sont souvent en petite quantité et dispersés géographiquement. Ils sont aussi appelés Déchets Toxiques en Quantité Dispersée (DTQD). Ce sont par exemple : les emballages souillés, les fluides de coupe, les boues de décapage, polissage, les bains usagés de décapage, polissage, les solvants, les colles, les peintures..
Dégraissage
Le dégraissage est une méthode de nettoyage simple, sans attaque physique du substrat métallique. Cette méthode est utilisée dans de nombreuses activités industrielles parmi lesquelles la peinture, l’émaillage, l’électro galvanisation, l’assemblage ou le soudage. Le choix du produit de dégraissage et du procédé dépend de plusieurs critères : la nature du substrat, le type et la quantité de souillures présentes et la nature des pièces (complexités, taille…). Les contraintes réglementaires et environnementales ont fortement influencé les évolutions des pratiques dans ce domaine. Plusieurs formes de dégraissage peuvent être identifiées : • Le dégraissage solvant utilise le pouvoir dissolvant de liquides organiques chlorés, hydrocarbures ou oxygénés, dans un
procédé à froid ou à chaud. Il est souvent utilisé en pré-dégraissage pour les pièces fortement grasses. Un des inconvénients majeurs est la toxicité des composés utilisés.
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Dégraissage
• Le dégraissage lessiviel, en phase aqueuse ou semi-aqueuse, exploite les réactions de saponification et l’usage de tensioactifs. Ce dernier est parfois couplé à une polarisation de la pièce pour améliorer le procédé (dégraissage électrolytique). Cette technique présente l’inconvénient du traitement des rejets occasionnés.
• Le dégraissage UV-ozone oxyde les contaminants présents pour conduire à la formation d’eau et de dioxyde de carbone. Cette technique n’est pourtant pas applicable à tous les substrats.
• Le dégraissage par voie mécanique utilise soit le dioxyde de carbone congelé ou des billes de glace par projection. Nous sommes ici à la limite du décapage par abrasion de surface. Le coût reste l’inconvénient majeur de cette méthode.
• Le dégraissage par dioxyde de carbone supercritique est une alternative écologique récente aux solvants. • L’avantage réside dans l’absence d’effluents à traiter en fin de procédé. Cette méthode reste limitée aux petites pièces. A l’heure actuelle, seuls les dégraissages en solvant ou lessiviels sont répandus dans les industries métallurgiques ou mécaniques. Etant donné le caractère complémentaire de ces techniques (dissolution de graisses et solubilisation de corps gras, respectivement), leur utilisation successive conduit généralement à l’obtention d’une surface propre, prête à l’emploi
Dégraissant
Substance ou préparation destinée à éliminer par solubilisation, entraînement ou absorption, les corps gras présents en vue de rendre le matériau apte au traitement envisagé. Un dégraissant agit généralement par une fonction solvant, à l'inverse d'un nettoyant qui procède plutôt par un mécanisme d'entraînement.
Degré de saturation
Il s'agit du niveau de concentration à partir duquel une substance ne peut plus se dissoudre dans un solvant.
Degré de soins
Valeur définissant le niveau de propreté d'une surface préparée :
Mode de préparation
Degré de soin
Caractéristiques essentielles des surfaces ainsi préparées
Projection d’abrasifs
DS3 ou Sa 3 La calamine, la rouille, les revêtements et les matières étrangères sont éliminées. La surface doit avoir une couleur uniforme et métallique
DS 2 ½ ou Sa 2 ½
La calamine, la rouille, les revêtements et les matières étrangères sont éliminées. Les traces de contamination qui subsistent doivent apparaitre simplement comme de légères tâches sous forme de points ou de traînés.
DS2 ou Sa 2 La calamine, la rouille, les revêtements et les matières étrangères sont éliminées. Toute contamination résiduelle doit être très adhérente
DS1 ou Sa 1 Seuls la calamine, la rouille, les revêtements peu adhérents et les matières étrangères sont éliminées.
Nettoyage à la main ou à la machine
St 3 La calamine, la rouille, les revêtements et les matières étrangères peu adhérents sont éliminés. Toutefois la surface doit être traitée beaucoup plus soigneusement que St 2, pour donner un reflet dû à la nature métallique du subjectile
St 2 La calamine, la rouille, les revêtements et les matières étrangères peu adhérents sont éliminés.
Nettoyage à la flamme
Fi La calamine, la rouille, les revêtements et les matières étrangères sont éliminés. Tous résidus restants doivent apparaitre seulement comme une décoloration de la surface (ombres ou différentes couleurs)
Décapage à l’acide Be La calamine, la rouille, les restes de revêtements sont éliminés complètement. Les revêtements doivent avoir été éliminés par des moyens appropriés avant décapage à l’acide.
Dénudage Opération permettant d’enlever le PVC sur une zone voulue pour un passage de courant
Dépassivation Solutions diluées- Immersion de courte durée afin de retirer les films d’oxyde peu épais (étape incluse dans le process
Dépollution
Biologique : Suppression ou diminution de la quantité d'organismes vivants présents sur une surface
Chimique : Diminution du taux de substances chimiques présents en surface
Particulaire : Diminution de la quantité de particules présentes en surface
Dépôts Minéraux
Un minéral est une substance normalement inorganique, plus rarement organique, formée naturellement ou synthétisée artificiellement, définie par sa composition chimique et l'agencement de ses atomes selon une périodicité et une symétrie précises qui se reflètent dans le groupe d'espace et dans le système cristallin du minéral.
Désaromatisation
Opération chimique d'enlèvement de composés aromatiques en vue de la diminution de la toxicité d'une substance (hydrocarbures désaromatisés).
Déshuileur Appareil permettant de séparer des produits de phases différentes (huile/eau par exemple).
Détergence
Le dichlorométhane ou chlorure de méthylène est un composé chimique utilisé principalement comme solvant pour les composés organiques. C'est un liquide incolore et volatil émettant une odeur douceâtre relativement forte.
DID Déchets Industriels Dangereux. Doivent suivre une filière d'élimination agréée
Dilution
Substance ou mélange, généralement solvant organique, que l'on incorpore à des résines, cires, gommes ou à des préparations telles que peintures, graisses, encres, colles... afin d'en diminuer le titre, la viscosité ou l'extrait sec. Synonyme de diluant.
Dispersion Un dispersant est un adjuvant qui a la propriété de maintenir en suspension des particules se trouvant dans un bain. Synonyme de disperser.
Dissolution La dissolution est le passage en solution d'un composé dans un solvant.
Distillation
La distillation est un procédé de séparation de mélange de substances liquides dont les températures d'ébullition sont différentes. Sous l'effet de la chaleur, elles se vaporisent successivement, et la vapeur obtenue est condensée pour donner le distillat.
Durée de vie dans l'air
Photodissociation d'une substance dans l'air (Niveau troposphérique) sous l'action combinée du rayonnement et de radicaux (OH en particulier). Généralement exprimé en période (ou T1/2 vie).
Dureté
La dureté est un paramètre permettant de caractériser les matériaux. Il existe plusieurs manières de déterminer la dureté d'un matériau dont certaines font l'objet de norme précise.
- La dureté de Mohs - La dureté Brinell - La dureté Vickers - La dureté Knoop - La dureté Rockwell B et C
La dureté de Mohs La première notion de dureté (1822) provient du minéralogiste allemand Friedrich Mohs qui recherchait un paramètre pour définir les minéraux.
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Il propose une échelle de 10 classes de dureté relative basée sur la résistance à la rayure par rapport à des matériaux donnés, le talc et le diamant étant les extrêmes.
La dureté est une grandeur anisotrope, variant avec les directions cristallographiques ; il est difficile de s'en servir comme caractéristique absolue. Il existe, de plus, une dureté apparente de certains agrégats friables : l'ocre rouge se raie à l'ongle, mais est formée de fins grains d'hématite rayant le verre. La texture peut également donner un résultat faux. Par exemple, si la structure est à grains fins, on peut confondre une rayure et l'arrachement de petits grains. De plus l'échelle n'est pas linéaire, ce qui n'est pas adapté à la mesure des matériaux industriels comme l'acier. Il faut bien distinguer ténacité et dureté : ainsi le diamant, le plus dur des corps naturels connus, peu tenace, se casse facilement grâce à son excellent clivage octaédrique. Aujourd'hui, la dureté est mesurée grâce à l'empreinte que laisse un pénétrateur dans un matériau sous une force donnée. Il existe différents essais selon la forme du pénétrateur et la nature de la mesure de l'empreinte (surface ou profondeur).
Type de matériaux Indice de dureté Type de matériaux Indice de dureté
Diamant * 10 Opalite * 5
Carbure de bore 9,5 Verre Agicides (Noyaux et coques)
4,5 - 6,5 4 - 5
Carbure de silicium 9,3 Fer 4 - 5
Alumine 9,2 Platine 4,3
Chrome 9 Fluorite * 4
Corindon * 9 Médias plastiques 3 - 4
Carbure de tungstène 8,5 Laiton 3 - 4
Topaze * 8 Calcite * (calcaire) 3
Zirconium (silicate) 7,5 Argent 2,5 - 7
Céramique 7 Or 2,5 - 3
Sable 7 Cuivre 2,5 - 3
Quartz * 7 Zinc 2,5
Pyrite 6,3 Amidons (blé ou maïs) 2 - 3
Agate 6 - 7 Aluminium 2 - 2,9
Feldspaht * 6 Gypse * 2
Acier 5 - 8,5 Talc * 1
* matériaux standards pour l'échelle
Dureté
Mesure de la surface : La dureté est donnée en mégapascal (MPa) puisqu'elle est le rapport d'une force en Newton (N) sur une surface calculée en millimètres carrés (mm2).
Dureté Brinell L'essai Brinell utilise comme poinçon une bille en acier trempé ou en carbure de tungstène de 10 mm de diamètre (D). La pression est maintenue pendant 15 à 30 s selon le métal. On applique une charge (F) de 500 ou 3000 kgf. On mesure le diamètre (d) de l'empreinte en millimètres. On doit l'essai Brinell à l'ingénieur métallurgiste suédois Johan Brinell (1849 - 1925). Il s'applique aux métaux "peu durs". La norme Brinell de dureté a été éditée dès 1924.
Dureté Vickers La dureté Vickers a été conçue dans les années 1920 par les ingénieurs de la société Vickers en Angleterre. Elle est caractérisée par l'empreinte faite par un identeur sous une charge donnée durant 15 secondes. L'indenteur est formé d'une pyramide en diamant à base carrée dont les faces opposées font un angle de 136°. La charge appliquée est comprise entre 1 et 120 kgf. Le côté de l'empreinte est de l'ordre de 0,5 mm, la mesure s'effectuant à l'aide d'un microscope. La dureté Vickers (HV) est calculée e à l'aide de la formule suivante : où F est la charge appliquée en kgf et D, la diagonale de l'empreinte en millimètres. La profondeur de pénétration H est H = D / 7. Cet essai est appliqué principalement aux métaux, mais peut l'être également appliqué aux céramiques avec de très faibles charges. La norme de dureté Vickers a été adoptée en 1952 et celle de microdureté, en 1969.
Dureté Knoop L'essai de Knoop permet la mesure de dureté des matériaux fragiles comme le verre et la céramique. Le pénétrateur en diamant est de forme pyramidale à base rectangulaire avec un angle de 172°30' entre deux faces opposées et 130° pour les deux autres faces. Les charges appliquées sont inférieures à 1 kgf. Le pénétrateur laisse une empreinte dont la taille est comprise entre 0,01 et 0,1 mm (D = 7 d et H = D / 30).
Si on mesure la longueur et la largeur de l'empreinte à l'aide d'un microscope, la dureté de Knoop (HK) est donnée par la formule suivante : HK =14,229F /D² où F est la charge en kgf et D2, l'aire de l'empreinte en millimètres carrés. La norme de micro-dureté Knoop a été adoptée en 1969. Mesure de profondeur :
Dureté Rockwell Essai Rockwell : mesure de la dureté d'un métal selon l'enfoncement d'une bille d'acier, appelé dureté Rockwell B (HRB) ou d'un cône de diamant de 120°, dureté Rockwell C (HRC). La norme de dureté Rockwell date de 1932.
L'essai consiste à appliquer une précharge de 100 N sur le pénétrateur qui s'enfonce d'une profondeur e0. On applique une force supplémentaire F, pendant 3 à 8 s, le cône s'enfonce d'une profondeur e1. On supprime la force F, le cône reste enfoncé d'une profondeur e2. La profondeur rémanente (e2 - e0) permet le calcul de la dureté selon la formule :
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Dureté
Les indices Rockwell peuvent se lire directement sur un cadran gradué.
ROCKWELL C HRC = 500(100-(e2-e0)) Le pénétrateur est un cône de diamant de 120° et d'extrémité sphérique (Ø 0,2 mm). La charge F est de 1400 N (150 kgf).
ROCKWELL B HRB = 500(130-(e2-e0)) Le pénétrateur est une bille d'acier de 1,59 mm de diamètre. La charge F est de 900 N (100 kgf).
Dureté - résistance Il existe une relation entre la dureté et la résistance à la traction ou rupture Rm. Pour les aciers au carbone :Rm = 3,5 HB
TABLE DE CONVERSION ECHELLES DE VICKERS, BRINELL, ROCKWELL
HV = dureté Vickers - HB= dureté Brinell - N/mm2 = Résistance à la traction (Rm) HRC et HRB = Dureté Rockwell HV HB N/mm² HRB HRC HV HB N/mm² HRB HRC
90 90 310 550 515 1800 51.7
100 100 350 57 560 522 1820 52.3
110 110 390 63 570 529 1860 52.9
120 120 420 68 580 536 1890 53.5
130 130 450 73 590 543 1930 54.1
140 140 480 77 600 549 1960 54.6
150 150 510 81 610 556 2010 55.1
160 160 540 84 620 562 2060 55.6
170 170 570 87 630 568 - 56.1
180 180 600 90 640 574 56.6
190 190 630 92 650 580 57.1
200 200 660 94 14 660 586 57.6
210 210 690 95.5 16 670 592 58.1
220 220 730 97 18 680 598 58.5
230 230 760 98.5 20 690 604 59
240 240 780 100 22 700 609 59.4
250 250 810 102 23.5 710 615 59.9
260 260 840 103.5 26.5 720 620 60.3
270 270 870 104.5 28 730 625 60.7
280 280 900 104.5 28
740 630 61.1
290 290 930 105.5 29.5 750 635 61.5
300 300 970 106.5 31 760 640 61.9
310 310 1000 32
770 645 62.3
320 320 1040 33
780 649 62.6
330 330 1070 34 790 654 63
340 339 1100 35 800 658 63.3
350 349 1130 36
810 663 63.7
360 358 1170 37 820 667 64
370 367 1200 38 830 671 64.4
380 376 1240 39 840 675 64.7
390 385 1270 40 850 679
65.1 400 394 1290 41
860 682
65.4 410 403 1330 4.8 870 686
65.8
420 412 1360 42.6 880 689
66.1 430 421 1400 43.4
890 693
66.5 440 429 1430 44.2 900 696
66.8
450 438 1460 45 910 699
67.2 460 446 1490 45.7
920 702
67.5 470 454 1520 46.4 930 705
67.8
480 462 1560 47.1 940 708
68.1
490 470 1590 47.8 950 711
68.4 500 477 1620 48.5 960 713
68.7
510 485 1660 49.2 970 716
69
520 492 1690 49.8 980 718
69.3 530 500 1730 50.5 990 720
69.6
540 507 1760 51.1 1000 722
69.9
Autres types de duretés La dureté a été définie comme résistance d'un matériel à la pénétration permanente par un autre matériel plus dur. La mesure est faite auprès de la dimension de l'empreinte laissée (surface ou profondeur) après que la force d'essai ait cessé.
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Dureté
Cette méthode ne permet pas d'apprécier la déformation élastique.
Un ensemble de mesure de dureté permet d'affiner les caractéristiques mécaniques des différents types de matériaux. - dureté Shore (1907) : mesure l'élasticité par la profondeur de pénétration, utilisée dans le domaine des élastomères, - dureté Meyer : mesure la plasticité et l'élasticité, On utilise un duromètre Brinell. Soit D (mm), le diamètre de l'empreinte laissée par une charge F (N) : HM = 4F/πD2 - dureté Berkovich : pénétration d'un indenteur de forme "pyramidal" tétraédique, - dureté Barcol : pénétration d'une pointe en acier, utilisé pour les plastiques durs, résines composites (éviers, baignoires...), échelle graduée de 0 à 100, - dureté Leeb (1975) : mesure du rebond d'un percuteur, du nom de D. Leeb ingénieur suisse, - dureté UCI ultrasonic convert impedance (1961) : méthode de mesure électrique, - dureté Martens, - dureté Buchholz : domaine des revêtements organiques (vernis et peintures), longueur de l'empreinte laissée par une roue biseautée sous une charge de 500 g, - dureté crayon ou Wolff-Wilborn : domaine des surfaces fragiles (peinture, revêtement,...), trace laissée par un crayon dans la gamme 6B à 7H sous une charge de 7,5 N et un angle de 45°, - dureté Persoz-König, dureté Sward : domaine des revêtements organiques (peintures,...), - dureté Monnin, dureté Janka : utilisée pour le bois,… Exemple de conversion dureté shore A, shore D et dureté Vickers
Eau douce L'eau est dite douce en dessous de 15 degré français
Eau dure L'eau est dite dure au-delà de 35°français La dureté de l’eau exprime la teneur d’une eau en ion calcium et magnésium. Elle s’exprime par le TH (titre hydrotimétrique)
Ecrémeur Appareil permettant une évacuation de l'huile surnageant en surface d'une solution aqueuse. Les déshuileurs à disque ou à bande sont des écrémeurs
Ecrouissage
Travailler un métal ou un alliage à une température inférieure à sa température de recuit et au-delà de sa limite d'élasticité, afin d'augmenter sa résistance à la déformation. L'écrouissage d'un métal correspond aux modifications qu'il subit lorsque les contraintes qui lui sont appliquées sont suffisamment fortes pour provoquer des déformations plastiques, permanentes. Ces modifications sont d'ordre métallurgique (modification de la structure interne du métal) et ont généralement une influence sur ses propriétés mécaniques. L'écrouissage ne se produit que sur les matériaux ductiles et dans le domaine plastique. L'écrouissage se caractérise par une augmentation de la limite d'élasticité et de la dureté, qui devient aussi plus fragile. Suivant les métaux considérés les propriétés mécaniques peuvent évoluer vers une augmentation de la résistance (cas des aciers alliés) jusqu'à un certain point (seuil de rupture) ou à l'inverse vers sa diminution (cas des aciers peu alliés). Concentration de contraintes et écrouissage local
Lorsque la pièce comporte une variation de section ou un défaut — cavité, inclusion (précipité) plus dur ou moins dur que le reste du matériau — il peut se produire localement une concentration de contraintes. Alors que l'on pense être dans le domaine élastique, on entre localement dans le domaine plastique. Il peut donc se produire un écrouissage local. Ce phénomène est une des principale causes de la naissance de fissures dans les phénomènes de fatigue. Multiplication des dislocations
La déformation plastique d'une pièce métallique se fait par le mouvement des dislocations. Ces dislocations se multiplient selon le mécanisme de Franck et Reed : elles sont épinglées (par des défauts ponctuels, des précipités ou d'autres dislocations normales au plan de mouvement) ; les parties épinglées restent fixes, les parties mobiles s'étendent autour de l'épinglage ; lorsque les parties mobiles se rejoignent, cela forme une boucle de dislocation qui bouge (s'étend) librement tandis que la partie épinglée recommence le cycle. Or, les dislocations se gênent mutuellement : si elles sont dans le même plan de glissement, elles s'attirent ou se repoussent, et si elles sont dans des plans orthogonaux, elles s'épinglent mutuellement (phénomène des « arbres de la forêt »). Donc plus il y a de dislocations, plus il y a de déformations possibles, mais moins les dislocations sont mobiles car elles se gênent. La perte de mobilité des dislocations entraîne une élévation de la limite d'élasticité, donc de la dureté, ce qui constitue l'écrouissage.
Efflorescence Dégradation chimique de la surface d’un matériau due à l’évaporation de l’eau se traduisant par l’apparition de marques blanches (sels minéraux présents dans l’eau)
Effluents Emanations gazeuses ou eaux de process usées (terme plus souvent utilisé en tant que déchets pour les procédés aqueux).
Elastomères Haut polymère naturel ou artificiel possédant des propriétés semblables à celles du caoutchouc. Voir résine.
Electrolyte Terme utilisé pour désigner la solution (le bain) dans laquelle sont plongées les pièces et leur outillage, contenant les composés chimiques permettant la formation d’un dépôt ou la transformation superficielle d’un substrat, sous l’action d’un courant électrique : c’est l’électrolyse
Emaillage L’émaillage consiste à appliquer sur une surface métallique un revêtement minéral vitrifié par cuisson à température élevée.
Emissions Emanations gazeuses et autres polluants.
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Emulgateur Substance favorisant la production d'une émulsion.
Emulsion
Une émulsion est un mélange homogène de deux substances liquides non miscibles (eau et huile par exemple). Une substance est dispersée dans la seconde substance sous forme de petites gouttelettes. Le mélange reste stable grâce à un troisième ingrédient appelé émulsifiant.
Enduction Action d’étendre sur la surface d’un support un produit destiné à lui conférer des caractéristiques particulières : résistance aux attaques chimiques, isolant électrique…
Epargne Procédé visant à sélectionner les zones à traiter d’une même pièce en faisant obstacle aux lignes de courant du bain de traitement (scotch, plastique, métal revêtu…)
Epaufrure Brisure du rebord d’une arête, d’un angle ou d’un fragment superficiel d’une pierre de taille sous l’effet d’un choc ou d’une surcharge
Etats de Surface
Caractéristiques chimique et physique d'une surface, définissant son apparence (qualité et degrés de soins). C'est la caractéristique de la partie extérieure et visible d'un corps. La frontière entre les deux milieux physiques différents que sont la matière et son environnement. Au cours de sa fabrication, un corps subit des transformations, qui peuvent faire varier sont état de surface. Ces variations sont la conséquence: - soit d'une exposition aux éléments extérieurs (eau, air, température) qui peut altérer sa surface par l'apparition de polluants, - soit des modifications ou transformations de la matière, liées aux diverses opérations de façonnage (laminage, usinage, soudage etc..). Ces variations on peut d'intérêt, dans la mesure ou les caractéristiques de l'état final recherché sont obtenues. Ces caractéristiques, adaptées aux conditions d'utilisation, seront différentes suivant qu'elles intéressent: - l'homme, par des qualités d'aspect, - la machine, par des qualités mécaniques, - l'environnement, par la résistance aux éléments. L'état de surface est donc obtenu en faisant varier les deux caractéristiques fondamentales que sont l'état physique et l'état chimique. Ceci afin de créer les quatre caractéristiques principales d'un état de surface, qui sont: -l'aspect, qualité visuelle et tactile qui améliore la présentation d'une surface. -le degré de soin, niveau d'élimination des contaminants polluants une surface. -la rugosité, profil microgéométrique d'une surface permettant d'augmenter l'accrochage d'un revêtement de protection -la dureté, qualité mécanique d'une surface obtenue par la réalisation de contraintes superficielles. Buts d'un état de surface Le but va s'orienter vers 4 fonctions principales: -Améliorer l'aspect final d'une surface, afin de valoriser sa présentation et son esthétique. -Nettoyer une surface, pour en éliminer les contaminants naturels ou résiduels. -Préparer une surface en créant une rugosité, pour augmenter l'accrochage d'un revêtement de protection ou d'un dépôt ultérieur. -Modifier la structure superficielle d'une surface pour accroître ses qualités mécaniques.
L’amélioration d’une surface peut s’effectuer par Polissage-Satinage- Brossage, afin d’éliminer les rugosités de premier ordre et/ou de créer des rugosités de 2° ordre.
La préparation consiste en une mise à nu du substrat de la pièce par : -Décapage (qui retire les films d’oxydes épais ou Dérochage) -Dé passivation (qui retire les films d’oxydes fins) -Dégraissage (qui retire les corps gras)
Le conditionnement de la surface, qui suit, peut comporter : -Phosphatation (conversion avant peinture) -Activation (création de sites actifs avant dépôts) -Couche barrière pour éviter une diffusion
Contrôles de sa propreté Notion fondamentale Les contrôles permettent de s'assurer que les différentes conditions requises pour la bonne réalisation d'un traitement sont respectées, afin d'obtenir en final, un résultat qui soit conforme au but préalablement fixé. Ils doivent être appliqués à différents stades, de façon rigoureuse, pour s'assurer la qualité finale du produit. Avant traitement: 1) Vérifier la compatibilité du projectile (abrasif) avec celle du subjectile (pièce), ainsi que la compatibilité du procédé de projection avec le traitement recherché 2) Vérifier que la pièce à traiter est exempte de toute graisse ou huile: - par le test du "film d'eau" pure, que les surfaces grasses ne garde pas (mouillage impossible). - par le test au "sulfate de cuivre" qui ne se dépose pas sur une surface grasse. - par le test de "fluorescence UV", qui fait ressortir les taches de graisse sous la lumière ultraviolette. 3) Vérifier que la pièce à traiter est exempte d'humidité. 4) Comparer l'état initial de la surface contaminée aux clichés de référence normalisés. Après traitement: Contrôler l'état de propreté, absence de calamine, rouille ou autres contaminants: 1) par la méthode "visuelle", basée sur la comparaison du résultat obtenu par rapport à des clichés étalons échelonnés suivant les 4 degrés de soins (voir clichés de référence). Cette comparaison qui fait intervenir l'interprétation personnelle du contrôleur et qui peut engendrer des litiges par son caractère subjectif, peut être remplacée par: 2) la méthode "scalométrique" qui consiste à récupérer sur une bande adhésive, préalablement appliquée sur une surface préparée, des particules résiduelles, dont le pourcentage peut être interprété par une cellule photo-électrique. 3) la méthode de "mesure de lumière réfléchie" décrite dans la Norme Anglaise BS 4332 (1967). Conclusion: La propreté est la caractéristique d'un traitement de surface la plus difficile à mesurer, puisqu'elle se réfère à un état parfait impossible à obtenir. En conséquence, on prendra pour état de référence, celui qui permet d'assurer les conditions requises
pour l'obtention de la qualité finale souhaitée.
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Etats de Surface et Contrôle de Rugosité
Contrôles de la rugosité D'une manière générale, le contrôle de la rugosité est suffisant par comparaison "visuelle" et "tactile", sauf dans le cas de pièces de grande précision, ou de fabrication de série. Dans le domaine du traitement par impacts, on se contente souvent d'évaluer une rugosité, en situant son apparence dans une fourchette acceptable. Sachant qu'il est difficile de vérifier avec certitude, que la rugosité obtenue après traitement, est bien celle dont on aurait besoin idéalement. Contrôle viso-tactile: La rugosité est appréciée par comparaison avec des plaquettes étalon, dont les plus répandues en France sont celles du "Laboratoire Central de l'Armement" (LCA) et du "Commissariat de l'Energie Atomique" (CEA), appelées "Rugotest". Elles reproduisent, selon la norme NF E 05 051 , 18 états de surface, représentant: 2 types de formes obtenus:
- A - par grenailles sphériques - B - par grenailles angulaires dans des traitements: - a - par des grains grossiers - b - par des grains fins
Chaque état de surface représenté, ayant sa correspondance en mesure de rugosité moyenne Ra. Si la présence sur la surface de colorations étrangères, liées à l'environnement, ou induite par le projectile, vient perturber le contrôle visuel, on le remplacera par un contrôle tactile. Contrôles par mesures: Cette catégorie de contrôles regroupe les procédés, qui par mesure directe ou indirecte, déterminent les paramètres caractéristiques du profil d'une rugosité. Ces contrôles, aux moyens sophistiqués pour certains, se font généralement hors chantier: - par palpeur à pointe de diamant, relié à un capteur inductif, qui amplifie et enregistre les signaux relatifs au déplacement du palpeur sur la surface contrôlée. Ces appareils, communément appelés "rugosimètres", indiquent un ou plusieurs critères de profil, par lecture directe. - par rayon laser, procédé similaire au précédent, mais où le palpeur est ici remplacé par un moyen sans contact mécanique avec la surface, donc sans risque de marquage. L'analyse tridimensionnelle est obtenue par une série de micro déplacements. - par microscopie interférentielle, où on mesure la déviation provoquée par la rugosité, sur la réflexion d'une lumière de longueur d'onde connue, par une surface éclairée. Ce procédé ne s'applique qu'à des surfaces ayant un pouvoir réfléchissant élevé. Les caractéristiques des différents appareils de contrôles ne sont pas toujours identiques. Aussi, pour comparer et interpréter plusieurs résultats, il est indispensable de toujours utiliser le même.
Exothermique
Qui produit de la chaleur
F.a.a.x
(revêtement)
France-Anti-Adhérent-X : Revêtement applicable sur un substrat métallique éligible en vue de fonctionnaliser la surface revêtue (anti-adhérence, anti-rayures…éco-décapage) . Revêtement destiné à répondre à des attaques chimiques, doté d’une exceptionnelle résistance à l’usure, abrasion, sur des plages étendues de pressions, de vitesse, de températures et de rugosité de contact. Cette famille de polymères est utilisée aussi en raison de ses très faibles tensions de surface pour résoudre des problèmes d’anti-adhérence associée à l’inertie chimique et résistance mécanique.
Filler Fraction fine dont la granulométrie est < à celle du sable, ajoutée dans un béton ou mortier pour en augmenter la compacité et donc la résistance. (souvent de nature calcaire)
Fongicide Produit capable de tuer les moisissures (champignons et leurs spores qui sont des coques épaisses fabriquées par certaines bactéries pour résister à des conditions extérieures défavorables (températures extrêmes, pression…)). Les spores définissent aussi les organes de reproduction des levures et moisissures.
Galvanisation Revêtement de zinc sur fer, acier, fonte en vue d’une protection contre la corrosion. Utilisé en général dans le sens de galvanisation à chaud.
Géomet® Dépôt de zinc lamellaire effectué par trempage ou par pulvérisation, suivi d’une centrifugation, sans chrome 6
Germicide Produit ou procédé physique qui élimine les germes (ex :UV)
Glace carbonique
La glace carbonique est fabriquée à partir de CO2 liquide. Le CO2 liquide est détendu dans un pelletiseur dans des conditions contrôlées. Lors de ce processus physique, on obtient de la neige carbonique. Celle-ci est pressée par une plaque extrudeuse en granulés ronds et durs (grains allongés de 3 à 1,7 mm de diamètre). La glace carbonique a une température d‘environ -79°C.
Gommage Consiste à projeter à sec une poudre microfine grâce à de l’air comprimé. L’opération s’effectue sans addition de produits détergents ou chimiques et se met en œuvre pour traiter les salissures.
Granulométrie
Répartition statistique de particules par classes de taille
Gravimétrie
Mesure de la masse: utilisé pour caractériser la masse d'une pollution particulaire
Grenaillage Projection de particules angulaires ou cylindriques d’acier sur des pièces positionnées sur une balancelle ou sur tapis, en vue de décalaminer, ébarber ou apporter par précontraintes des propriétés de tenue en fatigue au matériau ainsi grenaillé.
Ce terme est couramment employé pour désigner les techniques de projection de produits "métalliques". Généralement associé au procédé mécanique par "turbine", ce terme est souvent compris comme étant une technique qui exclue les autres procédés de projection et les autres matériaux projetables, comme les agicides, les synthétiques ou les minéraux. En réalité, il s'applique à tous les procédés qui projettent toutes sortes de produits sous forme de grains, quelle que soit leur nature ou leur forme. Il donnera par la suite le nom de "grenailleuse" aux machines de projection par turbines
Grenaillage de pré-contraintes
Le grenaillage de précontrainte contrôlé, ou "shot peening", est une technique sensible, basée sur la transformation structurelle des matériaux. Le procédé consiste à mettre des pièces mécaniques sous compression superficielle, par la projection de petites billes d'acier, de verre ou de céramique. Appliquée sur toute la surface à traiter, cette opération de microbillage crée une zone comprimée qui augmente la résistance des pièces. En créant une zone de compression de 0.1 à 1 mm, le grenaillage limite l'apparition de micro-fissures dues aux tensions, augmente la tenue à la fatigue et renforce la résistance des pièces à la corrosion sous tension.
Hydrocarbure Combinaison de carbone et d’hydrogène
Hydrogommage S’appuie sur la projection à basse pression d’agrégats de très faible granulométrie, doux et fins (poudre de grès, craie, microfine de verrerie..) avec un mélange eau/air pour traiter sur la pierre les encroûtements et salissures noires. Double effet : lavage à l’eau pour ramollir et emporter les salissures et abrasion du support par les poudres mises en œuvre.
Hydrolyse L'hydrolyse d'une substance est sa décomposition par l'eau
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Hygroscopique Se dit d’une substance qui a tendance à absorber l’humidité
Hydrophile Caractérise un produit qui a de l’affinité pour l’eau. Son contraire est hydrophobe et hyper-hydrophobe
ICPE
ICPE
En fonction de l’activité et des dangers (pollution, risques…) qu’elle peut faire courir à l’environnement, l’entreprise pourra être soumise à la réglementation relative aux Installations Classées pour la Protection de l’Environnement. Les installations concernées sont soumises à déclaration ou autorisation préfectorale et doivent respecter des prescriptions techniques visant à préserver l’environnement.
RUBRIQUE ACTIVITE CONCERNEE SEUIL DE DECLARATION SEUIL D’AUTORISATION 286
Stockage et récupération de déchets de métaux (en fonction de la surface utilisée)
Surface> 50 m²
1433
Emploi de liquides inflammables (en fonction de la capacité équivalente de liquides inflammables stockés)
Quantité > 1 tonne et ≤ 10 tonnes
Quantité > 10 tonnes
1530
Dépôt de bois, papier, carton ou matériaux combustibles analogues (en fonction de la quantité stockée)
Quantité > 1000 m3 et ≤ 20 000 m3
Quantité > 20 000 m3
1531
Stockage de bois non traité (par voie humide : immersion ou aspersion) (en fonction de la quantité stockée)
Volume > 1000 m3
2351
Teinturerie et pigmentation de peaux (en fonction de la capacité de production)
Capacité > 100 kg/jour et ≤ 1t/jour
Capacité > 1t/jour
2360
Fabrication de chaussure, travail du cuir (en fonction de la puissance installée des machines)
Puissance > 40 kW et ≤ 200 kW Puissance > 200 kW
2410
Travail du bois :(en fonction de la puissance installée de toutes les machines présentes dans lʼatelier)
Puissance > 50 kW et ≤ 200 kW
Puissance > 200 kW
2415
Mise en œuvre de produits de préservation du bois :(en fonction de la quantité de produit présente dans l’installation)
Quantité > 100 l et ≤ 1000 l Quantité > 1000 l
2510 Exploitation de carrières
Superficie d’affouillement > 1000 m2 et si la capacité d’extraction est >20 t / jour
2515
Broyage, concassage, nettoyage, tamisage, criblage …de produits minéraux naturels ou artificiels (en fonction de la puissance installée de l’ensemble des machines concourant au fonctionnement de l’installation)
Puissance > 40 kW et ≤ 200 kW Puissance > 200 kW
2520 Fabrication de ciments, chaux, plâtres Capacité de production > 5 t/jour 2521
Enrobage au bitume de matériaux routiers - A chaud Autorisation systématique - A froid
Capacité > 100 t / jour et ≤ 1500 t / jour
Capacité > 1500 t / jour
2522
Emploi de matériel vibrant pour la fabrication de bétons et agglomérés :
(en fonction de la puissance installée du matériel vibrant)
Puissance > 40 kW et ≤ 200 kW
Puissance > 200 kW
2523 Fabrication de produits céramiques et réfractaires Capacité de production > 20 t/jour 2530
Fabrication et travail du verre - Verres Sodocalciques (en fonction de la capacité de production des fours de fusion et de ramollissement)
Capacité de production > 500 kg/jour et ≤ 5 t/jour
Capacité de production > 5 t/jour
- Autres verres (en fonction de la capacité de production des fours de fusion et de ramollissement)
Capacité de production > 50 kg/jour et ≤ 500 kg/jour
Capacité de production > 500 kg/jour
2531
Travail chimique du verre et du cristal (en fonction du volume maximum de produit de traitement présent dans l’installation)
Volume > 50 l et ≤ 150 l Volume > 150 l
2550
Fonderie de plomb (en fonction de la capacité de production)
Capacité de production > 10 kg/jour et ≤ 100 kg/jour
Capacité de production > 100 kg/jour
2551
Fonderie de métaux et alliages ferreux (en fonction de la capacité de production)
Capacité de production > 1 t/jour et ≤ 10 t/jour
Capacité de production > 10 t/jour
2560
Travail mécanique des métaux et alliages : (en fonction de la puissance installée de toutes les machines présentes dans l’atelier)
Puissance > 50 kW et ≤ 500 kW Puissance > 500 kW
2661
Emploi de matières plastiques (par tout procédé méca : sciage, meulage, découpage…)
Quantité > 2 t/jour et ≤ 20 t/jour Quantité > 20 t/jour
2564
Nettoyage, décapage, dégraissage de métaux, matières plastiques … (par des procédés utilisant des liquides organohalogénés ou des solvants organiques) :
Cuves ouvertes Volume > 200 l et ≤ 1500 l Volume > 1500 l Cuves fermées Volume > 20 l et ≤ 200 l Volume > 200 l
2570
Emaillage Fabrication Quantité de matière susceptible
d'être fabriquée > 50 kg/j quantité de matière susceptible d'être fabriquée > 500 kg/j
Application quantité de matière susceptible d'être traitée > 100 kg/j
2575
Emploi de matières abrasives (sables, corindon, grenailles..) pour des actions de sablage, polissage de matériau quelconque (en fonction de la puissance installée des machines)
Puissance > 20 kW
2910
Installations de combustion (en fonction de la puissance thermique des installations)
- Lorsque l'installation consomme exclusivement, seuls ou en mélange du gaz naturel, des gaz de pétrole liquéfiés, du fioul domestique du charbon, des fiouls lourds ou de la biomasse
Puissance > 2 MW et ≤ 20MW Puissance > 20 MW
- Lorsque que les produits consommés seuls ou en mélange sont différents
Puissance > 0,1 MW
2940
Utilisation de vernis, peinture, apprêt, colle, enduit, etc.
- Procédé "au trempé" Quantité présente > 100 l et ≤ 1000 l
Quantité présente > 1000 l
- Procédé "autre que le trempé" Quantité utilisée > 10 kg/jour et ≤ 100 kg/jour
Quantité utilisée > 100 kg/jour
- Procédé utilisant des poudres à base de résines organiques
Quantité utilisée > 20 kg/jour et ≤ 200 kg/jour
Quantité utilisée > 200 kg/jour
Imputrescible Qui ne peut pourrir, se pétrifier
Laser Procède par photoablation confinée : les photons du faisceau cassent les liaisons moléculaires des salissures. Cet éclair provoque une micro-onde de choc qui éjecte les particules sous forme de poussière.
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Laser
Sous l’effet du rayonnement les couches de salissures foncées absorbent l’énergie, se réchauffent instantanément et sont vaporisées. Une fois les couches noires disparues la pierre blanche sous-jacente réfléchit le faisceau laser en n’absorbant que très peu d’énergie. A réglage adapté, la pierre n’est pas attaquée.
Lipide Corps gras d’origine animale –: propriété d’un corps qui attire les lipides.
Lipophile Affinité pour les graisses. Aptitude à se mélanger aux graisses ; son contraire est Lipophobe
Liquides Ioniques Les liquides ioniques sont des mélanges de sels organiques et/ou minéraux qui présentent la particularité d'avoir un point de fusion très bas. C'est-à-dire qu'ils se présentent sous forme liquide à une température inférieure à 100°C et pour bon nombre d'entre eux, à une température proche de l'ambiante.
Matériaux
Classement par structure :
Elémentaires (Métaux) Théoriquement recyclables Non renouvelables Moléculaires (plastique, polymère)
Difficilement recyclables Non renouvelables, stocks dépendent des matières premières
Cellulaire (Bois, papier…) Difficilement recyclables Renouvelables
Classement par nature
Matériaux issus de ressources non renouvelables (gisements fossiles, réserves limitées) Matériaux issus de ressources renouvelables (forêts, agriculture..)
Matières particulaires
Les matières particulaires sont composées de particules solides et de gouttelettes liquides se trouvant dans l’air. Elles peuvent être assez grosses pour qu’on les voie sous forme de poussière, ou beaucoup plus petites que le diamètre d’un cheveu humain. Elles sont composées de sulfates, de nitrates, d’ammoniac, de carbone organique, de carbone noir, de métaux et de poussière
Mesure de l’efficacité du
nettoyage
� Inspection visuelle
� Inspection du chiffon blanc
� Test de rupture du film d’eau : La zone de rupture du film d’eau est caractéristique d’un défaut de nettoyage
� Test de la résistivité de l’eau : La diminution de la résistivité est fonction de la pollution (poussières, sels..)rend cette méthode plus difficile à mettre en œuvre
� Comptage de particules : A partir d’un flux d’azote ionisé, comptage des particules > 0,3µM
� Contrôle par micropesée : Mesure de la différence de poids entre pièce polluée et non polluée. Le taux de pollution mesurable est de l’ordre du µg/cm².
� Spectrométrie par Infrarouge : Les énergies du rayonnement IR correspondent aux transitions vibrationnelles des liaisons chimiques. Le spectre d’absorption de ce rayonnement est caractéristique de la composition chimique et de la géométrie d’une molécule.
La pollution mesurable est de l’ordre de 10-4µg/cm² Efficace pour les traces de silicone
Microsablage Méthode de nettoyage à sec, consiste à nettoyer une surface comprenant des encroûtements noirs et salissures noires et vertes par projection constante et sous forte pression d’air comprimé chargé de particules abrasives
Module d’élasticité
Rapport de la contrainte à la déformation pris dans la partie linéaire de la courbe obtenue lors d’un essai de compression simple. La contrainte est le rapport de force appliquée à l’échantillon à sa section. A la même dimension qu’une pression et s’exprime en GPa.
Neige carbonique La neige carbonique est utilisée pour des opérations de Nettoyage qui consiste à pulvériser un mélange air-CO2 liquide. Ainsi à température et pression ambiante, le CO2 liquide se détend pour former de la neige qui ensuite se sublime au contact de la pièce à nettoyer.
Nettoyage
Concept large qui peut inclure l’élimination d’oxydes, de peintures, d’huiles, de bactéries… et les niveaux de propreté nécessaires dépendent des applications. L’état de surface initial doit être connu afin de pouvoir indiquer des valeurs acceptables au niveau des produits résiduels pouvant rester en surface.
• Nettoyage biologique : Le nettoyage biologique consiste au traitement de souillures, d’effluents ou de pièces industrielles par des micro-organismes cultivés à cet effet. Le nettoyage biologique peut être utilisé partout où un nettoyage aqueux traditionnel peut l’être également.
• Nettoyage écologique : Le nettoyage écologique consiste à choisir pour chaque type de nettoyage les produits ayant un impact nul pour l’environnemental (rare) ou plus limité
• Nettoyage manuel Le meulage, le ponçage, le brossage, le brûlage ou l'écaillage au marteau à aiguilles, sont des procédés tributaires de la main de l'homme et donc de ses fluctuations. La régularité et la répétitivité est impossible, de même que le contrôle de l'efficacité du travail. (enlèvement ou pas de matière).Manque de qualité, de précision et de rendement (sauf avec machines automatisées).
• Nettoyage par frottement ou par choc Les pièces sont chargées en vrac dans un tonneau en rotation et se frottent les unes contre les autres. Cette méthode de "tonnelage" à donné naissance à la "Tribofinition". Cette technique est surtout utilisée pour traiter de petites pièces qui peuvent présenter une certaine fragilité, ou une précision de fabrication à respecter. Utilisé pour le polissage de petites pièces (généralement sur des matériaux non ferreux).
• Nettoyage chimique Dans ce procédé de décapage dit "à bain d'acide", les pièces sont trempées dans de l'acide et ensuite rincées. Il convient pour de petites et moyennes pièces en raison du volume du bain et est très contraignant au niveau des rejets. Limité en gabarits, sans agression de la surface (soumis à une législation rigoureuse).
• Nettoyage hydraulique (Projection d'eau) On utilise une lance du type incendie, qui projette de l'eau à haute pression atteignant plusieurs centaines de bars. Ce procédé n'est généralement utilisé que sur de très grosses pièces de plusieurs tonnes, dont la manutention est difficile voire impossible. (travail sur chantier) Généralement aucune agression de la surface (sauf avec une très haute pression).
• Projection d'eau + sable C'est le même principe que le précédent, mais avec la projection d'un mélange composé de 80% d'eau et 20% de sable. Le sable peut être récupéré par décantation dans une trémie pour être réutilisé après filtrage. Ce procédé est dit "Hydro-Blast". Les types de pièces traitées par ce procédé peuvent être très variés. Traitement doux, sans agression violente ni poussière.
• Nettoyage hydropneumatique Projection d'abrasif + eau + air Le principe est identique à l'Hydro-Blast, mais le vecteur n'est plus l'eau à haute pression, c'est de l'air comprimé qui propulse et pulvérise sur les pièces le mélange eau/abrasif, amené au niveau de la buse par une faible pression d'eau. L'eau ici, jouant un rôle d'amortisseur de chocs, la surface subit peu d'agression. Ce procédé est dit à "Voie humide" (voir rubrique procédés). Il s'utilise en cabine avec opérateur extérieur et s'adapte bien aux machines automatisées pour un travail en continu. Les applications sont très variées, pour des pièces de qualité et de précision. Traitement est très doux et sans poussière.
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Nettoyage • Nettoyage de façades par voie humide : Cataplasmes – Electro- lessivage – Nébulisation – Nettoyage Haute pression – Vapeur – Procédés chimique
• Nettoyage de façades par voie sèche : Laser – Peeling – Ponçage – Retaille
• Nettoyage de façades par projection de matière : Gommage – Hydrogommage – Sablage à sec – Sablage hydropneumatique – Microsablage
Nitruration Traitement thermochimique permettant la diffusion d’Azote dans la couche superficielle d’un acier pour lui donner des qualités de dureté.
Parement Face visible d’un bloc ou d’un ensemble de blocs maçonnés.
Pathologies de la pierre
- Résidus de peinture - Salissures et encroûtements noirs : directement liées à la pollution atmosphérique : dépôt généralement peu adhérent de résidus de la combustion du fuel, de l’essence, de produits industriels…Sur les pierres tendres et poreuses, l’encroûtement est très rapide car des cristaux de gypse ou de calcite retiennent les particules noires.
- Salissures grasses : Salissures invisibles à première vue formant une pellicule grasse sur le support, provenant de la pollution atmosphérique qui accompagnent en général les salissures noires.
- Salissures rouges : Apparaissent suite à une abrasion de la pierre ou de la brique. Ne procèdent pas d’une superposition sur le support mais d’une mise à nu d’une couleur d’origine minérale ou végétale, contenue à l’intérieur de celui-ci.
- Salissures vertes : D’origine biologique : mousses, lichens, moisissures, algues..dont le développement est favorisé par l’humidité et le vent.
- Alvéolisation : Dépression sableuse ou pulvérulente creusée dans la pierre, due à l’action de particules abrasives portées par le vent.
- Délitage : Séparation des plans de stratification ou de schistosité de la pierre, d’origine souvent mécanique, dans laquelle la texture de la pierre n’est pas modifiée et sans zone pulvérulente. C’est une desquamation par débit en feuillets.
- Désagrégation sableuse : Dépression sableuse ou pulvérulente apparaissant à la surface des pierres calcaires et due à l’action des remontées capillaires. S’apparente à de l’alvéolisation.
- Désagrégation saccharoïde : Dépolissage de la pierre dont la surface prend l’aspect du sucre après une très forte exposition au soleil et quand il y a de façon adjacente des matériaux de capacité d’absorption différente de l’énergie solaire.
- Desquamation ou écaillage ou exfoliation : Décollement en croûte ou en plaques de la surface du matériau dû généralement au cycle gel/dégel.
- Eclatement: Rupture du béton dû à la corrosion des armatures mises à nu ou enrobées de béton en trop faible épaisseur. - Efflorescences : Dégradation chimique de la surface d’un matériau due à l’évaporation de l’eau se traduisant par l’apparition de marques blanches (sels minéraux solubles de type nitrates, sulfates… présents dans l’eau) si non encrassés.
- Dissolution : Désagrégation de surfaces des pierres calcaires due à l’acidité de l’air et des pluies par dissolution du carbonate de calcium (CaCO3).
- Epaufrure : Eclat causé par un choc direct - Nitrification : Dissolution de la surface de pierre calcaire due à l’action de micro-organismes, les bactéries nitrifiantes générant des acides nitreux et nitriques à partir de l’ammoniaque et de l’azote contenu dans l’eau de pluie ou les remontées capillaires. La surface de la pierre se transforme en poudre grossière constitué de grains siliceux ou de gros cristaux de calcite qui résistent mieux aux acides que le calcaire.
Peeling Nettoyage mécanique sans risque de réaction chimique, consiste à déposer sur le mur à traiter (poussières et salissures noires) un enduit plus ou moins liquide et qui , après solidification, absorbe la pollution. Une fois sec se retire comme un film plastique, à la manière d’un sparadrap.
Pétrographie Science de la description des roches, en termes de nature, de forme des minéraux qui les composent, de pourcentage et de forme de la porosité, de densité…
pH Le Ph ou le potentiel d’hydrogène exprime la quantité d’ions positifs contenue dans une solution. Il est représenté sous forme d’une échelle graduée de 0 à 14 qui indique le degré d’acidité, d’alcalinité ou la neutralité d’une solution. La connaissance du Ph d’un produit permet de déterminer son champ d’action, c'est-à-dire sur quel type de salissure il peut agir ainsi que son agressivité sur différents matériaux.
Photocatalyse La photocatalyse est un procédé physico-chimique qui requiert deux composants : • La lumière et •Un catalyseur Le choix des composants suivants : • Rayons ultra-violets et •Dioxyde de Titane TiO2 entraîne les conséquences suivantes : En présence d'ultra-violets, le dioxyde de Titane devient un oxydant extrêmement puissant qui casse les chaînes carbonées. Les polluants sont minéralisés et transformés en vapeur d’eau et en gaz carbonique.
Pierres utilisées en construction
-Pierres calcaires : d’origine organique ou chimique, représentent 20% des roches sédimentaires qui couvrent 70% des surfaces exposées. C’est pourquoi elles sont majoritaires dans la construction et pierre de taille. Elles sont sensibles aux encrassements et aux encroûtements et à la dissolution par une eau riche en gaz carbonique. -Les marbres: Roches métamorphiques, d’origine volcanique ou sédimentaire ayant subi une transformation physique ou chimique par augmentation des températures et des pressions. Densité 2,7 avec forte résistance à la rupture sous charge -Pierres volcaniques: trachytes , basaltes, à caractère intrusif ou extrusif. -Les granites: constitués de quartz, feldspath et mica appartenant à la famille des roches volcaniques -Les Gneiss : d’origine sédimentaire ou magmatique, peu utilisé en France dans la construction. - Les grès: roches à caractère détritique, constitués de sable et de liant à base de silice ou de calcaire, ils sont poreux et souvent lités. Fournissent le pavement de voirie. -Les schistes : roches métamorphiques issues de sédiments argileux, utilisés pour les dallages, appuis de fenêtre, couvertures. Elles sont sensibles aux cycles gel/dégel et aux pluies acides.
Plasma Un plasma est un gaz dont une certaine portion des constituants est ionisée, mais qui est macroscopiquement neutre électriquement. Les plasmas sont des milieux hors équilibre thermodynamique qui requièrent pour leur maintien un apport permanent d’énergie. Il est constitué des particules chargées électriquement ainsi que des particules neutres extrêmement réactives. Toutes ces espèces vont réagir avec la surface du matériau soit par réaction directe soit par collisions élastiques. On distingue deux grands types de mise en œuvre ; · le plasma sous vide nommé aussi « en enceinte » permettant de nettoyer des pièces unitaires ou en batch avec un fonctionnement à des pressions inférieures à 2mmbar · le plasma à pression atmosphérique (projection du plasma sur la surface) est créé dans une buse dans laquelle un flux d’air comprimé traverse une décharge électrique de haute tension à haute fréquence.
PMMA Principales caractéristiques : transparence ; excellente tenue aux UV ; alimentarité ; bonnes propriétés électriques ; faible résistance aux chocs ; tenue limitée à la chaleur Existe sous 2 formes : coulée ou extrudée
Point de Rosée le point de rosée indique la quantité d'humidité dans l'air. Plus le point de rosée est haut, plus la teneur en humidité de l'air à une température donnée est élevée.
Polissage électrolytique
Opération consistant à traiter la pièce en anode dans un électrolyte de composition déterminée, et sous des conditions électriques telles que les aspérités de la surface se trouvent dissoutes préférentiellement.
Polyacétal Polyoxyméthylène (POM)
Matériau thermoplastique dont le degré de cristallinité est élevé, caractérisé par une haute solidité et rigidité ; il présente de bonnes propriétés de glissement et une bonne résistance à l’usure tout en faisant état d’une faible reprise d’humidité.
Polyamide (PA) Principales familles dans l’Industrie : PA 6 - PA 66 – PA 66GF (renforcé fibre de verre) - PA 6G – PA 6G +Huile – PA 12 6PA 6/12G -
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Polycarbonate (PC)
Thermoplastique amorphe qui présente une résistance aux chocs très élevée, une température de déformation sous charge élevée et une bonne résistance mécanique, dans une plage de température entre – 100 et 120°C.
Polychlorure de Vinyle (PVC)
Polychlorure de Vinyle (PVC)
Le PVC présente de bonnes propriétés de protection et une résistance aux UV mais une plage de température opérationnelle limitée, devenant fragile à 5°C et une température d’utilisation maximum de 50°C. La teneur en chlore du PVC en fait un matériau difficilement inflammable. La température d’inflammation du PVC est supérieure de 150°C à la température de la flamme du bois. Dans tous les cas c’est un matériau auto-extinguible. Principales caractéristiques du PVC : bonne tenue chimique en général ;bonne rigidité jusqu’à 70°C ; autoextinguibilité bonne stabilité dimensionnelle ; sensibilité à la chaleur et au fluage ; densité élevée ; faible prix
Polyester (PETG) Souvent utilisé en présence d’hydrocarbures, le PETG se place comme le compromis entre le PMMA et le Polycarbonate. En effet, sa transparence est comparable à celle du PMMA mais il offre une meilleure résistance mécanique pour un prix inférieur au Polycarbonate. Principales caractéristiques : très bonne résistance au choc ; excellente résistance au feu ; thermoformage facile ; pliage à froid et à chaud ; facile à imprimer ; facile à coller et souder ; alimentarité
Polyéthylène (PE)
Principales caractéristiques : bas prix - transformation aisée - inertie chimique - résistance aux chocs - faible absorption d’eau faible densité - bon isolant électrique - faible coefficient de frottement. 2 familles : Haute Densité et Basse Pression
Polyéthylène Téréphtalate (PETP)
Compte tenu de sa bonne résistance au fluage ainsi que de sa faible reprise d’humidité et de son excellente stabilité dimensionnelle, le matériau se prête tout particulièrement à la réalisation de pièces complexes devant répondre à des exigences du plus haut niveau en matière de stabilité dimensionnelle et de qualité de la surface
Polyfluorure de Vynilidène (PVDF)
Le PVDF est un homopolymère semi-cristallin pur, contenant environ 59% de fluor. Le PVDF est un matériau noble, sans aucun additif, doté de propriétés remarquables, dont les plus importantes sont : Excellente résistance aux produits chimiques, même les plus agressifs - Exceptionnelle tenue au vieillissement, due à une inertie totale aux rayons ultraviolets - Stabilité thermique remarquable aux températures d’utilisation et de mise en œuvre. Le PVDF ne brunit pas sous l’action de la chaleur - Bonne résistance à l’abrasion permettant son utilisation avec des liquides chargés - Très faible fluage - Grande résistance mécanique Le taux de cristallinité du PVDF a été choisi pour obtenir d’excellentes propriétés, telles que l’imperméabilité aux gazs ou le très faible gonflement dans certains solvants, tout en conservant une tenue aux chocs très importantes, et une grande stabilité dimensionnelle. Le PVDF peut être utilisé dans une large plage de température (-50°C à +150° C). Il est difficilement inflammable (classement UL 94 : VO en 0.8 mm d’épaisseur), et se met en œuvre facilement avec des machines d’injection, d’extrusion, tout à fait classiques. A partir d’éléments standards produits par extrusion ou compression, il est possible de réaliser avec le PVDF des pièces volumineuses ou complexes avec des méthodes d’usinage, de chaudronnerie…
Polypropylène (PP)
La qualité la plus importante du polypropylène est son excellente résistance chimique aux réactifs organiques et aux acides : pour cette raison le polypropylène est irremplaçable dans les dans les installations de galvanoplastie, pétrolières et chimiques en général pour obtenir des soupapes, pompes, raccords et aussi des pièces mécaniques qui ne sont pas exposées à des sollicitations élevées. A volume équivalent il est 2 fois plus léger que le pvc.
Polystyrène (PS)
Principales caractéristiques : facilement thermoformable ; faible retrait ; faible absorption d’humidité ; légèreté ; rigidité. Le polystyrène est un matériau comparable à l’ABS pour sa très bonne résistance aux chocs
Polyuréthane (PU)
Le PU remporte aujourd’hui un franc succès dans l’industrie notamment Automobile puisque à l’instar du PE il n’agresse pas les pièces avec lesquelles il est en contact. Le polyuréthane est un polymère obtenu par polyaddition des isocyanates et des polyols. Il se présente sous forme de matériau aussi bien rigide que flexible, ce qui explique ses très nombreuses possibilités d'emploi. Sous forme flexible, il est par exemple utilisé pour fabriquer des coussins, des matelas, des meubles, des revêtements de tissus ; et sous forme rigide, dans l'industrie automobile, dans le bâtiment, dans l'ameublement et décoration. Il peut parfaitement remplacer le cuir et le bois dans la fabrication de revêtements. Il constitue également un excellent isolant thermique et acoustique. Le polyuréthane a une excellente résistance à la traction, au déchirement et à l'abrasion ainsi que pour les mousses, des propriétés d'isolation thermique et phonique. Ils peuvent être coulés dans des moules bien isolés et exempts d'humidité
Préparation de Surface
La préparation de surface a pour objectif de rendre la surface suffisamment active afin que des réactions chimiques puissent s'y dérouler lors des traitements ultérieurs. Elle comporte en général 2 opérations complémentaires : Le dégraissage qui permet d'éliminer les huiles et les graisses qui souillent la surface. Le décapage qui permet d'enlever des couches superficielles qui gênent la réalisation des traitements (oxydes, couches écrouies, etc.). Il peut être effectué par voie chimique ou par voie mécanique (sablage).
Projection thermique
Technique consistant à projeter des particules en fusion sur une surface préalablement préparée. Elle englobe tous les procédés de projection et tous les matériaux projetables, qu'ils soient métallique ou non. Appelée couramment métallisation, elle permet de réaliser des dépôts de forte épaisseur (de 0.1 à plusieurs millimètres) de métaux, alliages, céramiques, carbures… Elle peut être réalisée par flamme, plasmas, arc électrique… et permet de répondre à certains problèmes de tribologie, frottement, usure, abrasion, isolation thermique et électrique.
Propreté -Biologique : Présence d'organismes vivants, en surface, inférieure à une limite fixée -Chimique : Présence de produits chimique sur une surface, inférieure à une concentration définie -Particulaire : Contamination d'une surface par des particules, inférieure à un niveau fixé
PVD
(physical vapour deposition)
Les dépôts sous vide regroupent différentes techniques (pulvérisation, évaporation, pulvérisation cathodique,…) permettant de réaliser sous faible pression et à basse température toutes sortes de revêtements (métaux, alliages, céramiques…). Ce procédé non polluant permet de traiter n’importe quel type de substrat. En revanche, il subsiste quelques inconvénients comme une faible vitesse de dépôt (5microns/heure) et la difficulté de traiter des alésages de faibles diamètres.
Rack & Roll Gamme d’outillages dynamiques, pour les traitements de surface par voie humide, conçus pour maîtriser les entraînements de liquide, en mettant en mouvement les pièces à traiter de façon à évacuer les rétentions de liquide et supprimer les opérations de bouchonnages sur pièces à trous borgnes.
Radiaplaque Elément permettant le chauffage ou le refroidissement d’un bain par conduction thermique d’une circulation d’un fluide autour de la cuve - * peut être remplacée par un serpentin de chauffage
Ragréage Fait de supprimer les aspérités ou les irrégularités de la surface d’une pierre de taille ou du parement d’un ouvrage liées à l’altération en les recouvrant d’une couche plus ou moins fine de mortier dit de ragréage.
Recuit Chauffage du matériau au-dessus du point de transformation et refroidissement relativement lent. Le but du recuit est d’adoucir les aciers en éliminant les effets antérieurs de fabrication (écrouissage, trempe) ainsi que les impuretés dues à leur élaboration (laminage, soudage…)
Revêtements antimicrobiens
Ces revêtements enrobent les molécules d’agents antimicrobiens dans une matrice (hydrophile), l’action du composé actif étant contrôlée par la mouillabilité du revêtement. Ces revêtements peuvent aussi empêcher l’adhérence des bactéries aux surfaces en utilisant des polymères avancés ou des biomolécules aux propriétés de photoactivation. L’utilisation de nanotechnologies permet d’incorporer certaines particules d’oxydes métalliques dans les revêtements polymériques, empêchant, ainsi, le développement de bactéries. La technologie de micro-encapsulation permet aussi d’introduire ces particules à la surface des plastiques pour inhiber la formation de biofilms.
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Rilsan Fibre synthétique polyamide obtenue à partir de l’huile de ricin.
Risques pour la santé humaine
R 10 Inflammable R 11 Facilement inflammable R 20 Nocif par inhalation R 20/21 Nocif par inhalation et par contact avec la peau R 20/21/22 Nocif par inhalation, par contact avec la peau et par ingestion R 30 Peut devenir facilement inflammable pendant l'utilisation R 36 Irritant pour les yeux R 36/37/38 Irritant pour les yeux, les voies respiratoires et la peau R 36/38 Irritant pour les yeux et la peau R 37 Irritant pour les voies respiratoires R 38 Irritant pour la peau R 40 Effet cancérogène suspecté, preuves insuffisantes R 41 Risques de lésions oculaires graves R 43 Son contact avec la peau peut entraîner une sensibilisation R 45 Peut causer le cancer R 46 Peut causer des altérations génétiques héréditaires R 49 Peut causer le cancer par inhalation R 50/53 Très toxique pour les organismes aquatiques, peut entraîner des effets néfastes à long terme pour
l'environnement R 52/53 Nocif pour les organismes aquatiques, peut entraîner des effets néfastes à long terme pour
l'environnement aquatique R 60 Peut altérer la fertilité R 61 Risques pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant R 65 Peut provoquer une atteinte des poumons en cas d'ingestion R 66 Répétée, peut provoquer dessèchement ou gerçures de la peau R 67 L'inhalation des vapeurs peut provoquer somnolence et vertiges
Rugosité Relief microgéométrique d'une surface, défini suivant divers critères de forme.
Salissure Ensemble des souillures d’origine organique, animale, végétale, humaine ou minérale (tartre, ciment, plâtre, rouille formant une pélicule terne et rugueuse sur les substrats). Elles peuvent être adhérentes (taches…) ou non adhérentes (poussières).
Saponification Il s'agit de l'hydrolyse en milieu basique. Transformation des salissures grasses en savon sous l’action des tensio-actifs d’un produit alcalin.
Sol Gel
Il s’agit de la formation d’un gel à partir d’une solution colloidale, utilisés pour fabriquer des nanopoudres, des dépôts céramiques… Ce procédé permet l’introduction de molécules organiques ou non organiques dans le gel selon l’application visée. On peut aussi combiner différentes méthodes avec des sels, des pigments, des résines organiques…Les dépôts sol-gel trouvent des applications intéressantes dans le domaine de la protection anticorrosion de l’aluminium et de l’acier.
Solvants A2 : Solvants à point d'éclair entre 21°C et 55°C A3 : Solvants à point d'éclair entre 55°C et 100°C Organiques : Un solvant est un liquide qui a la propriété de dissoudre et de diluer d'autres substances sans les modifier chimiquement et sans lui-même se modifier. Le terme solvant organique se réfère aux solvants qui sont des composés organiques qui contiennent des atomes de carbone. Oxygénés : Solvant organique contenant des liaisons oxygène, alcools, cétones, …
Spore Coque épaisse fabriquée par certaine bactérie pour résister à des conditions extérieures défavorables (température, pression…), définit aussi l’organe de reproduction des levures et moisissures.
Sulfin Couche d'environ un millimètre constituée de dépôts de pollutions généralement gras, provenant de la combustion de produits pétrolier sur la pierre. Cette couche peut se détacher sous l'effet du lavage sur les pierres dures, mais nécessite un traitement dans les autres cas.
Téflon (Polytétrafluoroéthylène - PTFE)
Téflon (Polytétrafluoroéthylène - PTFE)
Le PTFE a une composition chimique particulière de polymères qui ne renferment que des atomes de carbone et de fluor. Cela lui confère un ensemble de propriétés chimiques, physiques et diélectriques particulièrement remarquables qui placent le PTFE parmi les thermoplastiques bien qu’il ne fonde pas. Le PTFE est très résistant vis à vis de pratiquement tous les produits chimiques. Cette propriété est due d'une part à la force de la liaison C-F (484 kJ/mol comparés aux 412 kJ/mol de la liaison C-H) et d'autre part au fait que la chaîne polyéthylénique est "enrobée" dans une gangue d'atomes de fluor qui la protège. Par exemple, le PTFE PFA, immergé pendant sept jours dans l'eau régale à 120°C subit une modification de ses propriétés physiques (traction, allongement) de l'ordre de 1 % seulement. Il peut subir des températures d'utilisation élevées. Elles vont de 155°C pour le Tefzel à 260°C pour le Téflon PTFE pour les utilisations permanentes et peuvent être augmentée dans le cadre d'utilisations plus courtes. Ces produits ne commencent à se dégrader que vers 400-500°C.
Tension interfaciale
Rapport entre le travail réversible fourni pour étendre une interface de séparation fluide-fluide et l'extension correspondante de l'interface.
Tensio-actif Agent de surface surfactant composé chimique présent dans les détergents, dispersé ou dissous dans l’eau. Possède un ensemble de propriétés physico-chimiques. Il abaisse la tension superficielle de l’eau ou du milieu dans lequel il est dissous. Ils peuvent être : Hydrophobes, hydrophiles, avoir un effet moussant, un effet mouillant permettant un meilleur étalement sur les surfaces.
Tension superficielle
Ensemble des forces d’attraction donnant la forme sphérique à une goutte d’eau et empêchant celle-ci, de par sa forme, de venir en contact étroit avec la surface à nettoyer et de mouiller la salissure. Pour casser la tension superficielle de l’eau, on utilise des détergents dans lesquels les tensio-actifs vont augmenter le pouvoir mouillant.
Traitements de Surface
Procédé industriel permettant de conférer, par réaction physico-chimique la surface de pièces plastiques ou métalliques afin d’améliorer leur tenue à la Corrosion et leurs propriétés: Mécaniques –Electriques –Optiques -Alimentaires et de répondre à une fonction de Décoration. Pour cela, des techniques de Conversions chimiques avec ou sans courant électrique de dépôts chimiques avec ou sans courant électrique ainsi que des techniques sous vide sont mises en œuvre. On distinguera : -Le revêtement organique (Peinture, Vernis, Corps gras) -Le revêtement métallique (à partir de métal fondu, immersion dans un bain en fusion ex : Galvanisation Zinc) -La réduction chimique d’un sel dissout : -Dépôts par échange d’ions (déplacement) -Dépôts auto catalytiques (dépôts chimiques) -Dépôts électrolytiques (Electrolyse) -Traitements de Conversion : modification chimique de la surface (Oxydation) -Patines-Passivation-(Chromisation) -Phosphatation -Oxydation électrolytique (Anodisation)
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Traitements de Surface
Parmi les grandes étapes du procédé, on distinguera :
-L’amélioration des états de surface (Polissage) -Le positionnement et le décrochage des pièces des montages -La préparation des surfaces -Pré revêtement -Revêtement -Finitions. Après traitements on peut effectuer : -Passivation, ex : Argent-Zinc-Brillantage, ex : surfusion de l’étain, avivage, gratte bossage -Rectification, ex : après chromage -Polymérisation, ex : cuisson ou séchage des peintures et vernis) -Rinçages (Statique et/ou cascade) présents entre plusieurs phases opératoires -Traitement de l’eau et des effluents (Techniques de récupération des matières premières et Dé cyanuration)
Entrent dans la catégorie traitement de surface tous les procédés de revêtements visant à modifier les propriétés de surface d’un métal sans modifier les propriétés mécaniques.
Traitements de conversion
Ces traitements consistent à modifier la surface d'un métal pour former un composé insoluble. On distingue 2 procédés : La conversion chimique dont le principe est de conjuguer l'action d'une attaque chimique du métal et la précipitation d'un composé insoluble. C'est le cas de la phosphatation des aciers, de la chromatation des alliages d'aluminium ou de la passivation des aciers inoxydables. La conversion électrolytique ou anodisation qui permet, par polarisation anodique, d'élaborer une couche d'oxyde sur des matériaux tels que l'aluminium, le titane, le magnésium et leurs alliages
Traitements de déposition
Ces traitements consistent à former un revêtement sur le substrat. On distingue plusieurs procédés : Le dépôt électrolytique dont le principe est la réduction d'un cation métallique en solution par polarisation cathodique du substrat. Ce procédé permet de réaliser des dépôts minces (quelques µm) pour des applications décoratives, anticorrosion ou tribologiques ainsi que des dépôts épais (quelques centaines de µm à plusieurs mm) pour du rechargement ou pour la réalisation d'objets par électroformage. Le dépôt chimique qui consiste à réaliser sur la surface du métal la réduction d'un cation métallique grâce à un couplage oxydo-réducteur avec un réactif soluble. Le cas le plus fréquent est le dépôt de nickel. L'immersion dans un métal fondu permet la formation d'un alliage de liaison par diffusion du métal d'apport dans le substrat et réciproquement. La galvanisation (zinc) est le cas le plus connu. L'immersion à froid du substrat dans un milieu liquide contenant le métal d'apport sous forme de paillettes. Le revêtement est constitué de lamelles métalliques (aluminium et/ou zinc) dans un liant minéral ou organique. Une cuisson est nécessaire après déposition. La projection thermique permet de réaliser des dépôts épais (de 0.05 à plusieurs millimètres). Le métal à déposer est préalablement fondu dans une source de chaleur, puis le matériau en fusion est projeté sous forme de fines gouttelettes sur une surface préparée. Les particules s'écrasent sur le substrat et se superposent pour réaliser le dépôt. Les techniques les plus utilisées sont la flamme subsonique, la flamme hypersonique HVOF, l'arc électrique, le soudage-rechargement (PTA).
Traitements de finition
Le polissage et le brillantage qui visent à améliorer l'état de surface des matériaux aussi bien pour des applications décoratives que pour limiter la rétention de produits ou de contaminants sur les surfaces. La mise en compression des surfaces de manière à augmenter la résistance à la fatigue ou à la corrosion sous contrainte des matériaux métalliques. Elle est réalisée par grenaillage ou galetage
Ultrason Sous l’effet d’une onde ultrason produite par des appareils appelés transducteurs ou générateurs, les particules se détachent de leur support. Cette méthode, douce et respectueuse de l’environnement, s’applique sur des objets transportables dans un bain. Ce procédé nécessite de démonter les pièces à nettoyer, de les manutentionner, de les immerger dans un bain pendant des heures, souvent en temps masqué.
Unités de mesure de pression et conversion
1 N/M² = 10-5 Bar 1 MPa = 10 Bars 1 MPa = 145 Psi 1 Bar = 14,51 Psi 1 Bar = 1020 gr/cm² 1 Psi = 70,3 gr/cm²
Vapeur sèche Le procédé consiste à pulvériser de la vapeur d’eau dite « sèche » (moins de 5% d’eau liquide) à une température de 140°C et une pression de 8 bars. La rapidité du séchage lui permet d’être considéré comme un procédé sec.
Virucide Produit ou procédé ayant la propriété d’inactiver les virus
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NOTES
Parc d’activité des 70 arpents
Rue de Belloy - 95 560 MONTSOULT
WWW.sts-eco-planete-industrie.fr
Tel : 01 34 69 95 10
Fax : 01 34 69 67 90
Email : [email protected]
Ingénierie
des Surfaces
Ingénierie
de la Propreté
dans l’Industrie
Ingénierie
de la Propreté
dans le Bâtiment
Brochures
1- Outillages pour dépôts électrolytiques
2- Outillages standards Oxydation Anodique
7- Outillages pour Traitements thermiques
6- Revêtements Industriels FAAX - ECOPLAST
8- Balancelles de Grenaillage
4- Solutions de Chauffage de bains
5- Balancelles de Peinture – Procédés de Décapage
3- Paniers Anodiques, Traitement, Logistique
10- Prestations de service STS
11- Médias liquides et solides de Nettoyage
12- Procédé de Décapage / Projection
13- Procédé de Décapage / Immersion
14- Décapage au Bicarbonate de Sodium
15- Procédé de Nettoyage / Cryogénie
16- Procédé de Nettoyage / Gommage
17- Médias liquides et solides
18- Nettoyeurs HP
Ces brochures sont
aussi consultables
sur les sites
internet de STS,
et de l’Exposition
permanente de
l’Usine Nouvelle
9- Catalogue des Outillages pour l’Electrolyse
Web site: www.sts-eco-planete-
industrie.fr
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