20110126 - Livre blanc Osiatis grey

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Migrez vers le Cloud en toute confiance Livre Blanc Février 2011 DDCR Dynamic Datacenter to be Cloud Ready

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Migrez vers le Clouden toute confiance

Livre BlancFévrier 2011

DDCRDynamic Datacenterto be Cloud Ready

Au sommaire de ce livre blanc

1. Cloud : de la définition aux bénéfices! 3

1.1. Les caractéristiques essentielles des services Cloud 3

1.2. Les grands modèles d’usage du Cloud 4

1.1.1. Infrastructure as a Service 4

1.1.2. Platform as a Service 4

1.1.3. Software as a Service 4

1.3. Cloud public, privé ou hybride ? 5

2. DDCR : pourquoi une offre de transformation Cloud ?! 6

2.1. DDCR en bref 6

2.2. Répondre aux enjeux de virtualisation et d’automatisation des

infrastructures 7

3. DDCR : une démarche basée sur le meilleur des technologies

Microsoft! 8

3.1. Hyper-V et System Center : un socle solide pour un Cloud

compétitif 8

3.2. Des expertises et bonnes pratiques établies 9

4. Osiatis : une vraie légitimité pour vous guider vers le Cloud! 11

4.1. Une expertise reconnue des environnements Microsoft 11

4.2. L’accompagnement du Cloud privé vers le Cloud hybride 11

•2 •

Eric Boustouller,

Président,

Microsoft France.

“Je suis très heureux que notre coopération de longue date avec Osiatis dans le domaine des infrastructures IT trouve aujourd’hui son prolongement naturel dans l’accompagnement de nos clients vers le Cloud Computing. Les expertises et références d’Osiatis sont un gage de réussite pour tous nos clients communs engagés dans des réflexions ou des projets Cloud”.

Bruno Grossi,

Co-Président,

Osiatis France

“Nous souhaitons disposer des meilleures technologies pour accompagner nos clients dans la transformation vers le Cloud. Osiatis a la capacité d’être un acteur de référence dans ce domaine et le lancement de l’initiative DDCR avec Microsoft est un élément important de cette stratégie”.

1. Cloud : de la définition aux bénéfices

Même si de nombreux acteurs le présentent comme une révolution, le Cloud computing est en fait une

évolution logique des infrastructures informatiques d’entreprise, une évolution qui permet aux DSI de répondre

de façon plus souple et plus rapide aux besoins des métiers.

Selon la définition fournie par le National Institute of Standards and Technology (NIST), le Cloud computing est

un modèle permettant un accès facile et à la demande, via le réseau, à un pool partagé de ressources

informatiques configurables (par exemple, réseaux, serveurs, stockage, applications et services) qui peuvent

être rapidement mises à disposition des utilisateurs ou libérées avec un effort minimum d’administration de la

part de l’entreprise ou du prestataire de service fournissant les dites ressources.

1.1. Les caractéristiques essentielles des services Cloud

Même s’il existe aujourd’hui de multiples formes de services Cloud, tous ont en commun quelques

attributs essentiels. Globalement, on peut considérer que les services en nuage partagent les

caractéristiques suivantes :

• Un accès via le réseau : les services de type Cloud sont accessibles au travers du réseau (interne ou

externe) par le biais de mécanismes standards qui permettent une utilisation depuis de multiples types de

terminaux.

• Un SI plus agile : l’utilisateur final du service peut provisionner rapidement les ressources dont il a besoin

(serveurs, réseaux, stockage, applications...) et en disposer sans avoir à passer par de longues et

complexes étapes de configuration manuelle. Le SI permet ainsi de répondre plus vite aux besoins des

métiers, aux demandes de changements, ainsi qu’aux exigences croissantes de time-to-market.

• Des ressources mutualisées pour des coûts contrôlés : les ressources en nuage sont mises en

commun et mutualisées afin de servir de multiples utilisateurs (plusieurs départements ou divisions dans le

cadre d’un Cloud interne à l’entreprise ou plusieurs entreprises dans le cas d’un service en Cloud public).

Les ressources sont réallouées de façon dynamique en fonction de la demande et des SLA sans que

l’utilisateur n’ait à effectuer quelque opération que ce soit. Chaque utilisateur est ainsi assuré de l’atteinte

des objectifs de performances définis dans le cadre de son contrat.

• Elasticité des ressources : de nouvelles capacités peuvent être automatiquement mises à disposition des

utilisateurs en cas d’accroissement de la demande et peuvent être rapidement mises en sommeil

lorsqu’elles ne sont plus nécessaires. Pour l’utilisateur final, le nuage crée l’illusion d’une capacité infinie qui

peut être mise en service à tout moment. Cette élasticité permet de faire face aux pics d’activité, si besoin

en recourant à des ressources externes à l’entreprise.

• Une facturation à l’usage : la consommation des ressources dans le Cloud s’adapte au plus près des besoins des

utilisateurs. Les services de Cloud intègrant des mécanismes avancés de suivi de la consommation, il devient aisé de

facturer les utilisateurs en fonction de ce qu’ils ont réellement consommé.

•3 •

Selon le rapport «Cloud dividend» du Centre for Economic and Business Research, l’économie du Cloud devrait représenter près de 37,4 milliards d’euros en France en 2015 et près de 177,4 milliards d’euros pour les cinq principales économies européennes. Elle devrait aussi permettre de créer près de 2,4 millions d’emplois dans ces économies entre 2010 et 2015.

1.2. Les grands modèles d’usage du Cloud

Trois grands modèles d’usage du Cloud se dégagent actuellement : le Cloud d’infrastructure (IaaS ou

Infrastructure as a Service), le Cloud applicatif (PaaS ou Platform as a Service) et le logiciel à la demande

(SaaS ou Software as a Service).

1.1.1. Infrastructure as a Service

Dans le premier cas, il s’agit de fournir un socle d’infrastructure virtualisée, distribuée et très largement

automatisée capable de répondre aux exigences de mise en production des applications de l’entreprise.

Ce socle d’infrastructure est composé d’un ensemble de ressources (serveurs, réseaux, stockage)

accessible de façon granulaire et avec de multiples niveaux de service prédéterminés.

1.1.2. Platform as a Service

Le PaaS est un niveau d’abstraction supplémentaire car outre l’infrastructure, il fournit aussi la plate-

forme applicative prête à l’emploi permettant aux développeurs et aux utilisateurs d'exécuter leurs

applications (.Net, Java, Ruby, PHP...). Quelques exemples de nuages PaaS connus sont Azure de

Microsoft, Force.com de Salesforce ou App-Engine de Google.

1.1.3. Software as a Service

Enfin, le dernier niveau est le SaaS, qui propose à une entreprise d’accéder à une application en mode hébergé

sans avoir à se préoccuper ni de la plate-forme d’infrastructure ni de la plate-forme logicielle. L’utilisateur achète

•4 •

IaaS, PaaS et SaaS : qui fait quoi ?

Modèle classique

Applications

Runtimes

Intégration SOA

Bases de données

Système d’exploit.

Virtualisation

Matériel serveur

Stockage

Réseau

IaaS«Infrastructure as a Service»

Applications

Runtimes

Intégration SOA

Bases de données

Système d’exploit.

Virtualisation

Matériel serveur

Stockage

Réseau

PaaS«Platform

as a Service»

Applications

Runtimes

Intégration SOA

Bases de données

Système d’exploit.

Virtualisation

Matériel serveur

Stockage

Réseau

SaaS«Software

as a Service»

Applications

Runtimes

Intégration SOA

Bases de données

Système d’exploit.

Virtualisation

Matériel serveur

Stockage

Réseau

L’entreprise Fournisseur cloud

alors une fonction qu’il consomme à la demande. Quelques exemples d’application SaaS sont le CRM de

SalesForce, la solution bureautique Office 365 de Microsoft ou l’offre ITSM SaaS d’Osiatis. Mais on peut aussi

considérer que la messagerie d’entreprise est typiquement un service SaaS rendu par le SI, lorsqu’elle est

facturée à la boîte aux lettres.

1.3. Cloud public, privé ou hybride ?

Chacun des trois grands modèles d’usage du Cloud (IaaS, Paas et SaaS) peut être déployé en interne par

l’entreprise ou hébergé chez un tiers. On parle de Cloud privé lorsque l’entreprise dispose en propre de

son infrastructure (qu’elle soit dans son propre datacenter ou hébergée chez un tiers). L’appellation Cloud

public est utilisée lorsque les ressources sont fournies par un prestataire tiers et mutualisées pour un

usage par plusieurs clients.

Osiatis travaille aujourd’hui sur les deux modèles, d’une part, en accompagnant les entreprises dans la

transformation de leurs infrastructures internes vers un modèle de Cloud interne et, d’autre part, en

bâtissant un Cloud public dont les ressources pourront être mises à disposition de ses clients. L’objectif

est à terme de proposer aux clients un modèle hybride où une partie de la production est réalisée sur le

Cloud interne et une autre sur le Cloud public (avec la possibilité de basculer des applications d’un

modèle à l’autre de façon transparente).

Les grands types et bénéfices du Cloud

•5 •

Public Privé Hybride Communautaire

Software as a Service (SaaS)

Platform as a Service (PaaS)

Infrastructure as a Service (IaaS)

SI agile disponible à la demande

Elasticité des ressources Accès via le réseau

Facturation à l’usage Ressources mutualisées

Deskstop as a Service (DaaS)

Il est à noter qu’une enquête récente d’IDC révèle que pour 55% des entreprises françaises, le Cloud privé est l’approche la plus appropriée, contre 5% pour le Cloud public et 14% pour le Cloud hybride (le solde des répondants, soit 26% n’ayant pas encore décidé du modèle à suivre).

Sofware as a Service (SaaS)

Platform as a Service (PaaS)

Infrastructure as a Service (IaaS)

Desktop as a Service (DaaS)

SI agile disponible à la demande

Elasticité des ressources

Accès via leréseau

Ressources mutualisées Facturation à l’usage

Public Privé Hybride Communautaire

2. DDCR : pourquoi une offre de transformation Cloud ?

Pour profiter des bénéfices promis par le Cloud (réduction des coûts, plus grande souplesse de

déploiement des applications, élasticité des capacités...), les entreprises doivent faire évoluer leur

infrastructure IT. L’un des objectifs est notamment de briser progressivement les silos d’infrastructure

construits au fil du temps pour migrer vers une infrastructure virtualisée, largement mutualisée, à même

d’accueillir la plupart des applications de l’entreprise.

Cette transformation passe par l’adoption de la virtualisation, la mutualisation du stockage via le SAN,

mais la mise en place d’un vrai Cloud suppose d’aller bien au-delà puisqu’il s’agit d’automatiser

largement les processus de provisioning, d’administration et d’orchestration afin de mettre à disposition

des métiers un socle d’infrastructure standardisé, où l’intervention humaine est minimale et que les

utilisateurs puissent consommer à la demande.

Cette infrastructure de type Cloud doit permettre à la DSI de répondre de façon souple et réactive aux

besoins des utilisateurs et de se consacrer ainsi à sa mission : délivrer rapidement les services

applicatifs dont ont besoin les métiers de l’entreprise et ce, de façon compétitive et dans un mode

tarifaire flexible de type "pay as you go".

2.1. DDCR en bref

DDCR (Dynamic Datacenter to be Cloud Ready) est une initiative commune à Microsoft et Osiatis dont

l’objectif est d’accompagner les directions informatiques dans la transformation de leur système

d’information vers un modèle de type Cloud.

Le Cloud, une évolution et non une révolution

•6 •

Optimisation de l’infrastructure

(Virtualisation, consolidation)

Portail de servicesAutomatisation

Portage applicatifDatacenter Osiatis

Modèle on-demand

Optimisation de l’infrastructure

(Virtualisation, consolidation)

Interface Cloud privé / hybride

Portail de servicesAutomatisation

Portage applicatifDatacenter Osiatis

Modèle on-demand

Optimisation de l’infrastructure

(Virtualisation, consolidation)

SIsur site

Conseil et mise en oeuvre

Infrastructureoptimisée

Cloudprivé

Cloudhybride

Cloudpublic

SIhébergé

Il s’agit d’aider les entreprises à rompre avec le modèle

traditionnel d'organisation de l’infrastructure en silos pour

migrer progressivement vers des architectures de type

cloud mutualisées entre les métiers et consommables à la

demande.

Cette offre couvre toutes les étapes du processus de

transformation, de l’étude d’opportunité avec analyse du

TCO et détermination du ROI, jusqu’à la migration vers un

datacenter sur site client ou géré par Osiatis.

2.2. Répondre aux enjeux de virtualisation et d’automatisation des infrastructures

La plupart des entreprises qui ont commencé à virtualiser leur production informatique se sont pour

l’instant souvent limitées aux grands composants d’infrastructure de leur SI. Si la première phase de

la virtualisation s’est en général effectuée dans le cadre de vastes plans de consolidation, la phase

qui vient va nécessiter une large automatisation du datacenter.

La multiplication du nombre de machines virtuelles (VM) va en effet singulièrement compliquer leur

administration. De même, des problématiques de gestion du cycle de vie de ces VM vont apparaître.

Enfin, avec la généralisation de la virtualisation dans le datacenter, les entreprises vont commencer à

généraliser l’usage de technologies encore sous-utilisées comme la mobilité des VM, afin de tirer parti

au mieux des bénéfices qu’offre la virtualisation en matière de flexibilité.

Tous les cabinets d’analystes s’accordent sur le fait que face à cette explosion de l’usage de la

virtualisation, les entreprises vont devoir répondre par

une industrialisation croissante de leur infrastructure. Le

cabinet Gartner, par exemple, recommande la mise en

oeuvre de principes d’architecture communs afin de

maximiser le retour sur investissements et la réutilisation

des savoir-faire.

C’est tout l’objet de la démarche mise en avant par

Microsoft et Osiatis avec DDCR : aider les entreprises à

t ransformer leur infrastructure en s’ inspirant des

c o n c e p t s d u C l o u d e t n o t a m m e n t d e s n o t i o n s

d’automat isat ion, a f in de les accompagner dans

l’industrialisation de leur SI.

Pourcentage des applications x86

fonctionnant dans une VM

0 %

12,5 %

25 %

37,5 %

50 %

2008 2009 2010 2011 2012

Les grands scénarios d’usage de DDCR

• Consolidation des infrastructures de production

• Déménagement d’un nouveau datacenter

• Flexibilité des infrastructures pour disposer d’une capacité à la demande

• Continuité d’activité

• Tests et développement

• Extension à la virtualisation du poste de travail

•7 •

Sou

rce

: Gar

tner

Selon Gartner, environ 75% des applications du datacenter seront virtualisées d’ici à 2013. Aujourd’hui, environ un quart des applications tournent déjà en environnements virtualisés au sein des datacenters d’entreprises.

3. DDCR : une démarche basée sur le meilleur des technologies Microsoft

Pour concevoir l’offre DDCR, Osiatis s’est appuyé sur son expertise reconnue en matière de gestion des opérations de

production informatique et sur son partenariat historique avec Microsoft. L’approche s’appuie sur une démarche

éprouvée d’analyse et d’intégration, élaborée par les équipes  Osiatis (vision scope, architecture générale et détaillée,

maquette, pilote, déploiement, transfert de compétences) et sur les composants logiciels issus du socle technologique

Microsoft  : Hyper-V pour la virtualisation et la gamme System Center (SCCM, SCOM, SCVMM, Opalis) pour la

supervision, la gestion de conformité et l’orchestration.

3.1. Hyper-V et System Center : un socle solide pour un Cloud compétitifComme l’explique Jean-Daniel Diot, responsable de l’activité application delivery et virtualisation d’Osiatis : «  la

majorité des entreprises a commencé à déployer des solutions de virtualisation, même si toutes n’ont pas la

même maturité. Le choix des solutions Microsoft pour l’offre DDCR a été très simple dans la mesure où la plupart

des clients qui opèrent aujourd’hui des serveurs Windows, ont basé leur infrastructure autour d’Active Directory

et utilisent System Center pour administrer ces environnements ».

Selon le dernier baromètre du marché mondial des serveurs d’IDC, près de la moitié des nouveaux serveurs mis en

production (toutes architectures confondues) sont aujourd’hui des serveurs Windows, une part qui n’a cessé de croître au

cours des cinq dernières années. Dans un tel contexte, un socle de Cloud basé sur Hyper-V et System Center est à

même d’apporter un niveau de service similaire à celui des solutions VMware pour une fraction du prix, Hyper-V étant

intégré en standard à Windows Server. Et à l’échelle d’un datacenter virtualisé ou d’un Cloud, cet argument tarifaire est

implacable.

Un autre avantage du choix des outils Microsoft est la familiarité des équipes d’administration avec les outils

System Center de Microsoft. « Nombre d’entreprises utilisent déjà des outils comme System Center Operations

Manager (SCOM) ou comme System Center Configuration Manager (SCCM). Pour ces opérateurs, l’outil

d’administration des environnements virtualisés de Microsoft, System Center Virtual Machine Manager (SCVMM)

est déjà familier et l’effort de montée en compétences est peu important », constate ainsi Jean-Daniel Diot.

Pour Hervé Thibault, responsable d'activité infrastructures Microsoft chez Osiatis (par ailleurs MVP SCCM et

président de la communauté des utilisateurs français de System Center), « Il y a un engouement des clients pour

les technologies de management de Microsoft car technologiquement et en matière d’intégration, ce sont les

meilleures du marché pour gérer les environnements Windows, mais aussi désormais Unix et Linux, nativement

intégrés dans SCOM. Parmi les autres points forts de la gamme Microsoft System Center on ne peut manquer de

souligner la convivialité et l’homogénéité des interfaces, la qualité d’intégration entre les différentes composantes

de l’offre et la compétitivité de l’offre tarifaire ». C’est pour cela qu’Osiatis a choisi d’appuyer DDCR sur System

Center. « Dans la plupart de nos engagements, SCOM est souvent présent et parfois déjà intégré à un outil de

supervision tiers », ajoute Hervé Thibault. « De nombreuses entreprises utilisent aussi certains composants de

SCCM, notamment dans le cadre des déploiements Windows 7 et Windows Server 2008 R2 ».

•8 •

« L’offre DDCR conçue par Osiatis et Microsoft s’appuie sur des architectures de référence éprouvées, que les entreprises peuvent implémenter en toute confiance pour mettre en place un Cloud privé. Grâce à ces architectures basées sur Hyper-V et sur les outils System Center, le SI dispose d’une infrastructure de Cloud privé efficace et optimisée sur laquelle les métiers peuvent rapidement déployer leurs services et leurs applications via un portail de self Service ».

Julie Desoeuvres, Chef de produit Windows Server et Cloud privé, Microsoft France

Notons enfin System Center Opalis, l’outil d’orchestration et d’automatisation récemment ajouté à la famille System

Center. Cet outil, racheté l’an passé par Microsoft et rapidement intégré à la gamme System Center est la clé de

voûte du socle technique proposé par Osiatis et Microsoft dans le cadre de DDCR. C’est en effet la brique

d’automatisation et d’orchestration pour l’offre de transformation de datacenter. Et elle permet de basculer d’une

exploitation informatique traditionnelle vers un mode de production de type Cloud.

3.2. Des expertises et bonnes pratiques établies

L’objectif de DDCR est de transformer le datacenter pour qu’il devienne dynamique, mais aussi pour qu’il puisse être

opéré de façon plus efficace. Osiatis dispose aujourd’hui de près de dix ans de recul sur les outils de management de

Microsoft et en a fait le socle de DDCR. L’idée est d’aider progressivement les clients à migrer leur infrastructure

existante vers une architecture de type Cloud en s’appuyant sur un ensemble de bonnes pratiques (dont le Microsoft

Operations Framework) mais aussi en prenant en compte l’existant du client.

« Aucun SI n’est pareil à un autre » explique Hervé Thibault. « Avec DDCR, nous nous attachons à coller aux

besoins du client tout en l’accompagnant vers un idéal aussi proche que possible de la référence. Nous

commençons en général par un POC (Proof of concept) pour démontrer la pertinence de la solution, puis

une fois l’aval du client obtenu, nous l’accompagnons dans la montée en charge de son environnement

virtualisé. Et au fil de cette transformation, nous mettons ce client dans une position où il pourra déployer

des modèles de type Cloud ».

Cette transformation n’est pas que technique. Pour déployer des modèles de Cloud, il faut que des équipes autrefois

séparées apprennent à se parler et à travailler ensemble. Cela requiert de soigner la conduite du changement et

d’accompagner les équipes IT, notamment avec des plans de formation adaptés. Osiatis accompagne ainsi régulièrement

ses clients dans leur montée en compétences. Ses équipes peuvent aussi assurer l'exploitation de l'environnement jusqu'à

•9 •

Trajectoire d’évolution d’une architecture de Datacenter

POCSocle de

virtualisationDatacenter virtuel Cloud privé Cloud étendu

• Environnement de référence

• Mise en place d’une infrastructure de stockage

• Virtualisation des environnements hors production (<15%)

• Intégration du socle dans le datacenter

• Virtualisation des environnements de production (<50%)

• Mise en place de mécanismes de redondance

•Généralisation à l’ensemble du parc serveurs (95%)

• Automatismes

• Portail

• Facturation des services

• Extension à la virtualisation du poste de travail

• Extension à des Clouds publics

Baie destockage

Hyper-V

Baie destockage

Baie destockage

Hyper-V

Baie destockage

Hyper-V Hyper-V

Baie destockage

Baie destockage

Hyper-V Hyper-V Hyper-V

ce que l'équipe du client soit autonome pour assurer la gestion de sa production. « C'est une de nos forces que d'avoir des

équipes d'infogérance expérimentées qui peuvent accompagner nos clients dans leurs projets » explique ainsi Jean-Daniel

Diot. Osiatis est également à même de proposer des cursus de formation et de montée en compétences des équipes dans

le cadre de DDCR. Au final, la transformation s’achève par la mise en oeuvre de portails directement accessibles par les

utilisateurs métiers et qui leur permettent de requérir des ressources de façon transparente et flexible.

L’éditeur de progiciels Sage a récemment fait confiance à Osiatis pour l’aider à améliorer l’administration de son SI et à automatiser certains de ses processus infrastructures et métiers avec un ensemble d’outils Microsoft comprenant notamment System Center Operations Manager (SCOM) et System Center Opalis. Comme l’explique Christophe Drouin, Responsable Système Groupe au sein de la Direction des Services de l'Information et de l'Organisation (DSIO) de Sage, le projet doit largement contribuer à homogénéiser le socle technique du SI de Sage et à accroître la productivité des équipes. Pour Christophe Drouin, « ce socle devrait être un élément essentiel de l’industrialisation en cours du SI de Sage ». Un SI déjà largement virtualisé et dont l’automatisation est en marche.Ce qui a initié le projet est la volonté de la DSIO d’unifier et d’automatiser ses processus et son architecture. Sage recherchait notamment un outil de supervision moderne à même de lui fournir des alertes précises et permettant de déléguer certains pans des fonctions de supervision aux entités appropriées de la DSIO. L’éditeur recherchait aussi un partenaire expérimenté sur ces t e c h n o l o g i e s e t à m ê m e d e l’accompagner dans son déploiement.

Un SI déjà largement virtualiséSage opère aujourd’hui plus de 400 instances serveurs sur une infrastructure largement virtualisée. Dans un premier temps, le périmètre du projet est celui du SI patrimonial de l’entreprise (gestion des commandes, CRM, SI gestion...) soit approximativement une centaine de serveurs fonctionnant pour l’essentiel sous Windows (environ 5% des serveurs sont sous Linux).Jusqu’alors ce périmètre était supervisé via Nagios, mais ce logiciel ne répondait pas à certains besoins notamment en matière de délégation de la supervision à des entités bien définies de la DSIO. SCOM a finalement été choisi pour remplacer Nagios. « Le choix de SCOM a été évident : c’est un produit Microsoft qui s’intègre très bien à notre existant. Les management packs de SCOM sont développés par les développeurs des logiciels Microsoft, ce qui fait que l’on était certains d’avoir les meilleures alertes pour nos produits d’infrastructure comme Windows Server, SQL Server ou Active Directory (...) » explique Christophe Drouin : « SCOM nous permet dans un premier temps de répondre aux besoins d’une population technique ; l’autre intérêt étant la possibilité d’offrir des rapports synthétiques et des indicateurs métiers à nos utilisateurs métiers ».

Opalis de son côté a été retenu dans un premier temps pour remplacer le vieil ordonnanceur en place chez Sage et automatiser les processus métiers tels que les commandes. « Nous nous apprêtions à entamer la migration de notre SI de gestion vers notre progiciel X3. Nous avons profité de cette évolution pour remplacer notre ordonnanceur, Automate, par Opalis ». A terme, Opalis devrait voir son spectre d’application s’élargir : « nous lui voyons aussi un intérêt pour automatiser des workflows techniques » indique ainsi Christophe Drouin, tout en ajoutant : « nous devrions également, dans le futur, déployer d’autres modules de la suite d’administration de Microsoft comme System Center Configuration Manager (SCCM) ».

Un projet mené dans des délais très courtsSage a commencé à travailler sur le projet en juin 2010 et a sélectionné Osiatis dans le courant de l’été. Le déploiement proprement dit a débuté en octobre et s’est achevé début décembre 2010. Tout au long du projet, une équipe de plusieurs experts Osiatis a accompagné Sage

dans son déploiement. Cette équipe a aidé à poser ce nouveau socle d’administration et d’automatisation. Pour la partie SCOM, le nouveau socle est opérationnel et supervise tous les types d’éléments qui sont actuellement en service

chez Sage : « L’aide d’Osiatis nous a été très précieuse pour ce projet » explique Christophe Drouin : «la mission que nous leur avions assignée était de nous guider tout au long de la mise en place de SCOM et d’Opalis, de poser le socle des deux applications et d’effectuer le transfert de compétences ». Le cahier des charges sur SCOM prévoyait notamment l’installation des logiciels et la configuration des remontées d’alertes sur l’ensemble du périmètre serveur installé. Sur Opalis, Osiatis devait également permettre à Sage d’avoir la possibilité de gérer et de créer les flux et automatismes répondant à ses besoins. Cette mission a été accomplie dans les délais impartis malgré un calendrier que Christophe Drouin qualifie de très serré. « Nous sommes très satisfaits de la prestation d’Osiatis. Il y a eu une réelle interaction entre les intervenants de l’intégrateur et nos administrateurs et responsables SI. Le transfert de compétences était d’autant plus intéressant sur Opalis que les choix que nous avons faits n’étaient pas usuels ce qui ajoutait un défi supplémentaire ». Prochain défi à relever pour Sage : étendre le périmètre des nouveaux outils à l’ensemble de son infrastructure...

•10 •

Osiatis accompagne Sage dans l’industrialisation de son SI.

4. Osiatis : une vraie légitimité pour vous guider vers le Cloud

Fort de l’expertise de près de 3000 salariés, Osiatis est un expert reconnu de l’exploitation des infrastructures

informatiques dans l’hexagone. L’industrialisation, la modélisation des processus et des services font partie de l’ADN

de la société. Osiatis est d’ailleurs un des membres fondateur de l’itSMF l’association française visant à promouvoir

ITIL en France et ses consultants et chefs  de projet sont certifiés ITIL.

4.1. Une expertise reconnue des environnements Microsoft

Depuis de nombreuses années Osiatis a acquis une expertise reconnue des environnements Microsoft et a d’ailleurs

obtenu le plus haut niveau de certification délivré par  Microsoft Consulting Services, le label “Microsoft Service

Ready”. Cette certification permet à Osiatis de mener à bien les projets de virtualisation, et d’administration chez ses

clients en se conformant à la méthodologie (démarche et livrables) définie par Microsoft Consulting Services. Et c’est

en s’appuyant sur ce socle méthodologique et sur l’expertise de la production d’Osiatis que l’offre DDCR a été bâtie.

La conviction d’Osiatis est que le Cloud n’est pas une révolution mais une évolution logique des datacenters

s’appuyant sur des briques existantes et requérant des efforts d’automatisation et d’industrialisation. Forts de leurs

expertises respectives, Microsoft et Osiatis ont donc conçu DDCR comme un tremplin vers le Cloud, à même de

répondre au plus près aux objectifs des clients tout en respectant le rythme d’évolution qu’ils souhaitent adopter.

Plusieurs grands clients d’Osiatis ont ainsi déjà utilisé des briques de l’offre DDCR pour refondre leurs SI et accroître

leur niveau d’automatisation, mettant en oeuvre certains des préceptes clés des architectures Cloud. C’est par

exemple le cas d’un spécialiste de la distribution qui a mis en place une infrastructure Windows Server 2008 R2 sous

Hyper-V en mode cluster hébergeant environ 80 machines virtuelles. Une grande entreprise du secteur des transports

a aussi confié à Osiatis la mise au point d’une plateforme de référence à base de Windows Server 2008 R2 sous

Hyper-V pilotée par System Center Virtual Machine Manager et protégée par System Center Data Protection Manager.

Cette plate-forme est aujourd’hui dupliquée sur 22 sites en France.

4.2. L’accompagnement du Cloud privé vers le Cloud hybride

Au delà de la migration de votre infrastructure vers un modèle de Cloud privé, l’offre DDCR est aussi une étape vers la

mise en oeuvre de modèles de Cloud plus sophistiqués et notamment vers des modèles de Cloud hybride. En mettant

en oeuvre une infrastructure de Cloud virtualisé avec les technologies Microsoft, DDCR pose les bases techniques et

organisationnelles nécessaires pour permettre la mobilité à la demande de certains workloads sur des Clouds

externes utilisant des technologies similaires. Ce modèle hybride ouvre la porte à de nouveaux scénarios d’usage

pour l’entreprise. On peut ainsi imaginer protéger des applications jusqu’alors hors du périmètre de plan de reprise

après désastre en les dupliquant sur un Cloud externe, ou migrer hors du périmètre de l’entreprise sur un

infrastructure à plus faibles coûts des applications en fin de vie. De même en cas de manque de ressources sur son

Cloud interne, l’entreprise pourra utiliser des ressources du Cloud externe en mode débordement (par exemple pour

faire face à une pointe d’activité saisonnière sur certaines applications).

Dans le courant de 2011, Osiatis proposera à ses clients une offre de Cloud public s’appuyant sur les mêmes

technologies que celles préconisées dans le cadre de l’offre DDCR, une offre qui permettra à ses clients de profiter de

tous les avantages d’un modèle de Cloud hybride.

•11 •

Osiatis a aujourd’hui en charge près d’un million de postes de travail Windows et opère plus de 100 000 serveurs dans ses propres datacenters et dans les datacenters de ses clients.

Dynamic Datacenter to be Cloud Ready Migrez vers le Cloud en toute confiance

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