2008 - Adriana Argalia

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2008 / 09

Transcript of 2008 - Adriana Argalia

MAISON DE LA dANSE

8, AVENUE JEAN MERMOZ

69008 LYON FRANCE

RENSEIGNEMENTS

ET ADMINISTRATION

TÉL (33) Ø4 72 78 18 18

FAX (33) Ø4 78 75 55 66

LOCATION

TÉL (33) Ø4 72 78 18 00

WWW.MAISONDELADANSE.COM

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COUValonzo2 2/04/08 14:18 Page 1

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Édito 3

Dans le cadre de la Biennale de la Danse

SEPTEMBRE

Montalvo-Hervieu 4

Ballet de l’Opéra de Lyon 5

Ballet de Lorraine 6

Legend Lin 7

Anne Teresa De Keersmaeker 8

Balletto Teatro di Torino 9

Olga de Soto 10

Tero Saarinen 11

Angelin Preljocaj 12

OCTOBRE

Europa Danse 14-15

Kettly Noël 17

Jérôme Savary 18-19

Collectif Loge 22 20

NOVEMBRE

Denis Plassard 21

Grupo Corpo 22-23

Raimund Hoghe 25

Jonathan Burrows & Matteo Fargion 26

DÉCEMBRE

Victoria Abril 27

Dave St-Pierre 29

Le Cirque Invisible 30-31

Che Malambo 32

JANVIER

Yan Raballand 33

Cie Käfig 34

Pina Bausch 35

Aurélien Bory 36-37

Josef Nadj 38

Philippe Decouflé 39

Cie A’Corps 40

SOMMAIRE

FÉVRIER

Les Ballets C. de la B. 41

Kataline Patkaï 42

MARS

Fame Le musical 43

Maurice Béjart 44-45

Introdans Ensemble pour les Jeunes 47

Alonzo King 48-49

Christian Rizzo - Stijn Celis 50

AVRIL

Compañía Flamenca En Sus 13 51

Andonis Foniadakis - Talia Paz 52-53

MAI

Jeune Ballet du CNSMD de Lyon 54

Saburo Teshigawara + Karas 55

Michel Kelemenis 56

Jeune Public 57-60

Vidéothèque 61

Projections vidéo 62-63

Mode d’emploi 64-71

Vidéo-Bar-Restaurant 72

Calendrier 74

L’équipe 75

Visuel d’après une photo de Marty Sohl : Laurel Keen et Brett Conway/Alonzo King’s Lines Ballet

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ÉDITO

CORPS ACCORD

À l’aube de cette vingt-neuvième saison, quel-ques réflexions et quelques pistes à partager.

2007/2008. 15 000 abonnés, 189 levers derideaux, 160 000 spectateurs, un taux de fré-quentation de 93%, tous spectacles confon-dus, de Caterina Sagna à Coppélia, de NasserMartin-Gousset à Alvin Ailey… Un taux desatisfaction toujours délicat à mesurer maisque nous savons élevé, à la lecture de vos let-tres, de vos courriels et des messages déposéssur le site www.maisondeladanse.com.

2007/2008. La mort de Maurice Béjart. Nouslui rendons hommage en présentant ceZarathoustra testamentaire que le destin nousa empêché de montrer au moment même oùMaurice vivait ses derniers instants. Une fres-que majeure qu’il souhaitait tant présenter àLyon comme un ultime présent.

2007/2008. Le départ de Gérard Violette. Toutau long de ces années, de nombreux specta-cles que nous avons présentés à la Maison,nous les avons découverts à Paris au Théâtrede la Ville qu’il a dirigé avec passion pendantvingt-deux ans. Tous ensemble nous lui disonsmerci.

2007/2008. La nomination de José Montalvoet Dominique Hervieu à Chaillot. Le talent, l’in-telligence, l’ouverture à la tête d’un théâtrenational, quel bonheur ! La danse à Chaillot,quelle impudence pour ceux-là mêmes qui il ya seize ans protestaient contre l’attribution duThéâtre du Huitième à la danse, avec cetteaffirmation par les faits démentie « On donneun théâtre à la danse qui n’a rien à dire ».Courage et bon vent les amis !

2008/2009. 40 spectacles, 195 levers derideaux, malgré l’inflation non prise encompte, les difficultés financières, les nôtres,les vôtres et celles des compagnies souventexsangues.

2008/2009. Le corps plus que jamais envaleur. Le corps de Joséphine la sublime, lagénéreuse, qui avait un demi-siècle d’avancesur son temps et à qui, malgré ses triomphes,on imposait d’entrer dans un palace new-yorkais par les cuisines. Qu’elle serait belleaujourd’hui aux côtés d’Obama !Le corps des brésiliens de Grupo Corpo, galbé,félin, joyeux, explosif de vitalité et des califor-niens d’Alonzo King, entre frénésie et douceur,irradié de tendresse comme l’image qui fait lacouverture de ce programme.

Le corps mis à nu, travesti, du québécois DaveSt-Pierre, auteur d’un sauvage et boulever-sant cri d’amour, et celui vibrant des éclopésdu cœur d’Alain Platel dans une société tris-tement moderne. Tous en quête d’un peu detendresse.

2008/2009. Le choix de la poésie, source d’ins-piration. Face à la violence du monde, une pro-grammation de créations lumineuses : LegendLin, inventeur de sublimes images au pouvoirhypnotique, Aurélien Bory, magicien de l’équi-libre et de la virtuosité, Philippe Decouflé,explorateur solitaire de la mémoire, chasseurde rêve, Victoria Chaplin et Jean-BaptisteThiérrée, ou l’amour mis en cirque…

2008/2009. Vingt-neuf ans déjà !

Guy Darmet

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GERSHWIN (création Biennale)

14 interprèteschorégraphie : José Montalvo et DominiqueHervieu • scénographie et conception vidéo : JoséMontalvo • costumes : Dominique Hervieu •musique : George Gershwin • création sonore :Catherine Lagarde • lumières : Vincent Paoli • col-laborateur à la vidéo : Etienne Aussel • assistanteà la chorégraphie : Joëlle Iffrig • chef de projet :Yves Favier

coproduction : CCN de Créteil et du Val-de-Marne / CompagnieMontalvo-Hervieu, Théâtre National de Chaillot, Grand Théâtrede Luxembourg, Biennale de la Danse de Lyon, Théâtre Nationalde Bretagne, Het Musicktheater (Amsterdam), MC2 (Grenoble),Maison des Arts de Créteil, Le Théâtre-Scène Nationale deNarbonne, Espace Jean Legendre - Théâtre de Compiègne.Le CCN de Créteil et du Val-de-Marne est subventionné par leMinistère de la culture et de la communication - DRAC Île-de-France, le Conseil Général du Val-de-Marne et la Ville de Créteil.Accueil : Maison de la Danse, Biennale de la Danse

spectacle accueilli avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre du réseau des villes

MAISON DE LA DANSE

SEPTEMBRE

sa 6 20h30

di 7 15h

me 10 19h30

je 11 20h30

ve 12 20h30

sa 13 20h30

ma 16 20h30

me 17 19h30

je 18 20h30

ve 19 20h30

sa 20 20h30

di 21 15h

durée : 1h20

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

tarif réduit 27 € 20 €

location à partir du 3 juin

rencontre avec les artistesmercredi 17 à l’issue de la représentation

B projection vidéo salle Jacques Demy :La danse, l’art de la rencontre

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cCN DE CRÉTEIL ET DU VAL-DE-MARNE /

COMPAGNIE MONTALVO-HERVIEUJOSÉ MONTALVO ET DOMINIQUE HERVIEU

Après avoir révolutionné l’opéra avec LesPaladins de Jean-Philippe Rameau, JoséMontalvo et Dominique Hervieu relèvent ledéfi d’une autre écriture musicale proche dela danse, celle de George Gershwin, qui adonné son tempo à l’Amérique des annéesfolles. De l’art du collage, du décalage et dumélange de Montalvo-Hervieu à l’art deGershwin, qui a subjugué de ses notes lesthéâtres de concert classique comme la scènede Broadway et les studios de Hollywood, iln’y a qu’un pas. D’où Gershwin, un nouveau« show » de musique et de danse, toniqueet lumineux. Alternant les « songs » et la « musique sérieuse » pour mieux célébrerl’œuvre vive et jubilatoire du génialcompositeur, José Montalvo et DominiqueHervieu empruntent respectivement à laculture savante et aux « arts mineurs »,rendant ainsi sensible le dialogue entre lamusique et la danse. Clin d’œil aux comédiesmusicales des années 1930, le spectacle faitencore la part belle aux chants live, au slam,aux claquettes ou autres percussions des « Shim Sham » du Savoy. Un hymne à la joiepour ouvrir avec bonheur et évidence laBiennale.

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bALLET DE L’OPÉRA DE LYONODILE DUBOC / BORIS CHARMATZ / MAGUY MARIN

WILLIAM FORSYTHE

DIRECTEUR DE LA DANSE DE L’OPÉRA DE LYON : YORGOS LOUKOS

PROGRAMME 1 :

ODILE DUBOC/BORIS

CHARMATZ/MAGUY MARIN

À CET ENDROIT (2007)

15 danseurs • chorégraphie : Odile Duboc • musi-que : Benoît Louette, pour quatuor à cordes et quatresirènes musicales • scénographie et lumières :Françoise Michel • costumes : Dominique Fabrègue •quatuor à cordes : musiciens de l’Opéra de Lyon

OTOMO (création 2008)

2 danseurs • chorégraphie : Boris Charmatz • lumiè-res : Yves Godin • duo extrait de : Con Forts Fleuve

GROSSE FUGUE (2001)

4 danseurs • chorégraphie : Maguy Marin • musi-que : Ludwig van Beethoven (Grosse Fugue, op.133,pour quatuor à cordes) • costumes : Chantal Cloupet• lumières : François Renard • quatuor à cordes :musiciens de l’Opéra de Lyon

coproduction : Opéra de Lyon et Biennale de la Danse de Lyon

PROGRAMME 2 :

WILLIAM FORSYTHE

SECOND DETAIL (1991)

14 danseurs • chorégraphie, scénographie et lumiè-res : William Forsythe • musique : Thom Willems •costumes : William Forsythe, Issey Miyake

DUO (1996)

2 danseuses • chorégraphie, costumes et lumières :William Forsythe • musique : Thom Willems

ONE FLAT THING, REPRODUCED (2000)

14 danseurs • chorégraphie, scénographie, costu-mes et lumières : William Forsythe • musique : ThomWillems

coproduction : Opéra de Lyon, Biennale de la Danse de Lyon

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OPÉRA DE LYON

SEPTEMBRE

PROGRAMME 1

ma 9 20h30

me 10 20h30

PROGRAMME 2

je 11 20h30

ve 12 20h30

sa 13 20h30

durée : 1h30

1è série 2è série 3è série

plein tarif 30 € 23 € 15 €

tarif réduit 27€ 20 € 12 €

location à partir du 3 juin

C’est avec un double programme qui cultive lecontraste à travers des vocabulaires chorégra-phiques et des répertoires musicaux différentsque le Ballet de l’Opéra de Lyon montre l’excel-lence de ses danseurs, capables d’explorer denouveaux langages et de tout danser. D’unesoirée à l’autre, ils nous font partager des expé-riences sensibles où éclatent l’intransigeance etla beauté. Duboc-Charmatz-Marin : trio dechoc résolument contemporain et engagé.Forsythe : la virtuosité au cordeau.

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Pour comprendre la fascination que provoque toujours le chorégraphe Dominique Bagouet, il fautdécouvrir ou redécouvrir Les Petites pièces de Berlin portées par le Ballet de Lorraine, une troupequi non seulement s’approprie cette partition avec bonheur, grâce à la technicité et la précisiondes danseurs, mais qui rend surtout sensible la présence de la personne plutôt que celle dudanseur. Développées en 1988 à la Biennale, Les Petites pièces de Berlin correspondent aumoment où Dominique Bagouet s’interroge, le premier, sur la place de l’interprète. D’où cinqpetites pièces abstraites, raffinées et complexes, qui privilégient le fragment et l’intime, et unedanse drôle et grave dans un décor très graphique : des spirales et des zigzags sont peints sur unetoile de fond et une série de dix bancs cubiques est redisposée de façon différente par les danseursà chaque intermède dansé. Cette recréation, avec ses piétinements et ses grands sauts, bouleversepar l’envie irrésistible de renouveau vissée au cœur de la pièce et réinvente le désir de danser.

STUDIO 24 - VILLEURBANNE

SEPTEMBRE

je 11 20h30

ve 12 20h30

sa 13 16h30

durée : 1h15

plein tarif 22 €

tarif réduit 19 €

location à partir du 3 juin

LES PETITES PIÈCES DE BERLIN(création 1988 / Recréation Biennale)

10 danseurschorégraphie : Dominique Bagouet • directionartistique : Didier Deschamps • responsable artis-tique 2008 : Sylvie Giron • assistante : CatherineLegrand • avec l’aide de : Thomas Guerry, KarinHermes, Laurent Pichaud • musique : Gilles Grand• décors : William Wilson • costumes : DominiqueFabrègue, William Wilson • lumières : LaurentMatignon

coproduction : Biennale de la Danse

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cCN BALLET DE LORRAINEDOMINIQUE BAGOUET

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AMPHITHÉÂTRE

CITÉ INTERNATIONALE

SEPTEMBRE

lu 15 20h30

ma 16 20h30

me 17 20h30

je 18 20h30

durée : 1h30

1è série 2è série 3è série

plein tarif 35 € 29 € 15 €

tarif réduit 32 € 26 € 12 €

location à partir du 3 juin

MIROIRS DE VIE (1995 / Recréation Biennale)

24 danseurs direction artistique et chorégraphie : Lee-chen Lin• musique : Karunesh, Tsai Hsiao-Yüeh • accessoi-ristes : Wang Chang, Nien-chou Chen • styliste :Lee-chen Lin • dramaturgie : Lee-chen Lin • cos-tumes : Tim Yip, Lee-chen Lin • création lumières :Kuo-yang Cheng • direction musicale : YoungChen

coproduction : National Chang Kai Shek Cultural Centeravec le soutien de : National Chang Kai Shek Cultural Center,Council for Culture Affairs (Taiwan), National CulturalAssociation, Taipei County Government, Banciao CityGovernment, SimbaLion, ChinPoSn Group, Xue Xue Institute,Centre Culturel de Taïwan à Paris

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DANCE THEATRELEE-CHEN LIN

Le Legend Lin Dance Theatre de Taïwan, troprare en France, revient à la Biennale avecMiroirs de vie, une vaste pièce de groupe quis’inspire, de façon spectaculaire, d’unecérémonie traditionnelle taoïste, le Jiao : unrituel populaire qui se déroule en plein airdepuis des siècles pour réarticuler lacommunauté des vivants et celle des esprits.Tout le talent de la chorégraphe Lee-chen Linest de rendre sensible ce monde étrange etmenacé de disparition, en créant des imagesbelles et fortes, qui réactivent à travers lesrituels et les pratiques corporelles, une culturetraditionnelle séculaire. Le spectacle qui adéjà séduit le Festival d’Avignon en 1998,donne à voir, dans sa recréation, des corpscolorés et poudrés qui bougent avec lenteuret douceur entre ciel et terre. La violence peutaussi surgir, mais dans cette ambiancespiritualisée, les danseurs, dont la beautéplastique impressionne, semblent enharmonie intense avec la nature. Chacun deleur geste ou mouvement hypnotise. Cepoème méditatif et visuel rappelle que ladanse a une histoire et un devoir de mémoire.

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OPÉRA DE LYON

SEPTEMBRE

ma 16 20h30

me 17 20h30

je 18 20h30

ve 19 20h30

durée : 2h

1è série 2è série 3è série

plein tarif 30 € 23 € 15 €

tarif réduit 27 € 20 € 12 €

location à partir du 3 juin

D’UN SOIR UN JOUR (création 2006)

15 danseurschorégraphie et direction artistique : Anne TeresaDe Keersmaeker • vocabulaire de danse : AnneTeresa De Keersmaeker, Rosas, David Hernandez,matériel de danse de 2 parties de Erase-e(x)(Johanne Saunier [Joji inc], the Wooster Group,Anne Teresa De Keersmaeker) • fragment de lachorégraphie originale Prélude à l’après-midi d’unfaune : Vaslav Nijinsky • film : Blow up (M.Antonioni, 1966), Turner Entertainment Co •musique : Claude Debussy, Igor Stravinski,Georges Benjamin • décors et éclairages : JanJoris Lamers • costumes : Tim Van Steenbergen,assisté de : Anne-Catherine Kunz • assistancemusicale : Alain Franco • analyse musicale : AlainFranco, Bojana Cvejic • recherche matériel de

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danse historique en collaboration avec : SimonHecquet, Millicent Hodson • assistance artistique :Anne Van Aerschot, assistée de : Lazara RosellAlbear, Lise Vachon • assistance décors et éclaira-ges : Wannes De Reydt, Jan Herincks, BardiaMohammad, Simo Reynders, Jitske Vanden-bussche • habilleuses : Valérie Dewaele, EmmaZune • régie générale : Johan Penson assisté deTom Van Aken

production : Rosas & La Monnaiecoproduction : Théâtre de la Ville (Paris)

accueil : Opéra national de Lyon, Biennale de la Danse

D’un soir un jour -un ensemble de six cour-tes pièces lumineuses qui repensent desrépertoires sur la musique de ClaudeDebussy, d’Igor Stravinski et de GeorgeBenjamin- est d’une cohérence parfaitedans le parcours de Anne Teresa DeKeersmaeker. L’exceptionnelle chorégrapheflamande, qui renouvelle sans relâche le dia-logue entre la musique et la danse, interrogeici son propre vocabulaire -reprenant sesphrases, les agençant autrement- et celui deNijinsky, dont elle revisite audacieusementdeux pièces : Prélude à l’après-midi d’unfaune et Jeux. On est happé par les circon-volutions vertigineuses d’une danse pure,par les corps qui s’abandonnent sur destables aux pulsations de la musique et parles poses réglées sur les postures des bas-reliefs antiques. Quinze danseurs d’une vir-tuosité magistrale tissent une relation fluideet intense avec la musique pour explorerl’infini du mouvement, sous la lumière desprojecteurs.

rOSASANNE TERESA DE KEERSMAEKER

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TOBOGGAN - DÉCINES

SEPTEMBRE

me 17 20h30

je 18 20h30

ve 19 20h30

sa 20 20h30

durée : 1h

plein tarif 22 €

tarif réduit 19 €

location à partir du 3 juin

PRIMO TOCCARE (création Biennale)

8 danseurs chorégraphie : Matteo Levaggi • direction artisti-que : Loredana Furno • décors : Corpicrudi(Samantha Stella et Sergio Frazzingaro) • costu-mes : Atelier Walter Dang • mannequins habilléspar : Alessandro De Benedetti • lumières : MarcoPolicastro

coproduction : Biennale de la Danseavec le soutien de : Ministère Italien pour les Biens et lesActivités Culturelles, Région Piémontremerciements : Compagnia di San Paolo (Turin)

accueil : Le Toboggan, Biennale de la Danse

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bALLETTO TEATRO

DI TORINOMATTEO LEVAGGI

L’histoire du Ballet Théâtre de Turin ne seraitpas tout à fait la même sans Matteo Levaggi,chorégraphe-danseur résident et l’un desartistes les plus appréciés de sa génération.Grâce au succès fulgurant de ses créationspour le Ballet, depuis 1999, cette compagniede création contemporaine ouverte à toutesles formes mais aussi à des projetschorégraphiques liés à la recherche et à lamémoire historique (autour de José Limón, deSerge Lifar ou de Karole Armitage), a pris unvéritable envol sur la scène internationale.Avec Primo Toccare, tout se joue à lapremière touche, au premier regard, commesi la pièce voulait incarner d’emblée lafugacité de la vie et celle de l’œuvre d’art.Dans un jeu d’images évanescentes, entreimmobilité et fluidité, se succèdent desensembles, des duos et des trios quiavancent, forts de leur technique classique,pour produire des sensations et desexpériences de danse : des danses transpa-rentes comme le verre et la lumière blanchequi baigne la scène. Cette élégance decomposition et cette recherche formelles’inscrivent dans un espace scénique original,conçu par le duo d’artistes visuels Corpicrudi,reconnu pour ses projets hybrides entre artcontemporain, musique et mode. Unhommage discret à Merce Cunningham pourune danse d’aujourd’hui.

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MAISON DE LA DANSE

STUDIO JORGE DONN

SEPTEMBRE

je 18 19h

ve 19 19h

sa 20 19h

durée : 1h15

tarif unique 10 €

location à partir du 3 juin

HISTOIRE(S) (création 2004)

Spectacle chorégraphique / Vidéo-performancedocumentaire

concept, direction et chorégraphie : Olga de Soto• créé avec : Vincent Druguet et Olga de Soto •interprètes : Vincent Druguet ou Cyril Accorsi etOlga de Soto • musique : J.S. Bach (œuvres pourpiano) • scénographie : Thibault Vancraenen-broeck • costumes : Olga de Soto • réalisationvidéo, caméra et son : Olga de Soto • montagevidéo : Montxo de Soto et Olga de Soto • avec lestémoignages de : Micheline Hesse, SuzanneBatbedat, Robert Genin, Brigitte Evellin, JulienPley, Françoise Olivaux, Olivier Merlin et FrédéricStern • création éclairages : Henri-EmmanuelDoublier • régie éclairages : Geni Diez • régie son :Pierre Gufflet • régie générale et régie vidéo :Christophe Gualde

coproduction : NIELS (Bruxelles), KunstenFESTIVALdesArts(Bruxelles), Centre national de la Danse (Pantin) - avec l’aidede : COM4 HD (Madrid), Ministère de la Communauté fran-çaise Wallonie-Bruxelles/Secteur danse

histoire(s) est une vidéo-performance documentaire, une œuvred’analyse dont le point de départ est le spectacle Le JeuneHomme et la Mort de Roland Petit, créée le 25 juin 1946 auThéâtre des Champs-Élysées à Paris.histoire(s) a été créée en mai 2004 au KunstenFESTIVALArts àBruxelles.

accueil : Maison de la Danse, Biennale de la Danse

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25 juin 1946, Paris. La foule se presse auThéâtre des Champs-Élysées pour la premièred’un ballet mythique créé sur un argument deJean Cocteau. L’étonnant danseur JeanBabilée tient le haut de l’affiche dans le rôledu jeune homme qui meurt d’amour.Cinquante sept ans plus tard, la chorégrapheOlga de Soto mène l’enquête sur ce balletdevenu mythique et part à la recherche desspectateurs présents ce soir là pour donner laparole à leurs souvenirs et à leurs trous demémoire. Les récits personnels se mêlent àcelui du ballet et rares sont ceux qui racon-tent la même histoire ou qui se souviennentde la mort, inscrite au cœur de la pièce. Nireconstitution, ni réinterprétation, histoire(s)de Olga de Soto donne à voir et à entendre,avec des témoignages filmés et projetés surdes écrans posés sur scène, comme le tempspasse et comme la mémoire et la mémoire dela danse sont nécessaires pour s’interrogersur notre héritage, au passé, au présent et aufutur. Bouleversant et fascinant.

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avec le soutien de la Fondation BNP Paribas

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C’est avec Hunt, triomphe de la Biennale 2004, un solo qui explore les arts numériques pourmieux réinventer la communauté perdue du Sacre du printemps, que le danseur et chorégrapheTero Saarinen s’est hissé au niveau mondial. Next of Kin, sa nouvelle création pour six danseurset un musicien, pousse plus loin la quête du primitif au sein de la chorégraphie moderne. Elleinterroge nos peurs les plus profondes, nos cauchemars d’enfance les plus terrifiants et notreinconscient collectif, peuplés de figures sombres et macabres. Dans cette chorégraphie, TeroSaarinen s’inspire ainsi d’influences diverses comme la danse Butoh, le cinéma expressionnisteallemand, les films d’horreur des années 1930, l’univers de l’écrivain Edgar Allan Poe et celuidu peintre Odilon Redon. Il s’appuie à nouveau sur les nouvelles technologies pour donner àvoir des rêves angoissants. De cette secousse surgit une danse très physique qui associe lasensibilité de la pensée à un raffinement de mouvements « grotesques ». Intelligence etvirtuosité !

NEXT OF KIN (création 2008)

6 danseurs et 1 musiciendirection artistique et chorégraphie : Tero Saarinen• musique composée par : Jarmo Saari • musiqueinterprétée par Jarmo Saari Solu • création lumiè-res : Mikki Kunttu • création costumes : ErikaTurunen • création sonore : Heikki Iso-Ahola •création maquillage et perruques : Pekka Helynen

production : Tero Saarinen Company

coproduction : Biennale de la Danse de Lyon, The Joyce Theater(États-Unis), The Alexander Theatre (Finlande), SouthbankCentre (Grande-Bretagne), Helsinki Festival/Finland andLithuanian Dance Information Centre with Vilnius – EuropeanCapital of Culture 2009 (Lithuanie)

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TOBOGGAN - DÉCINES

SEPTEMBRE

ma 23 20h30

me 24 20h30

je 25 20h30

durée : 1h

rencontre avec les artistesmercredi 24 à l’issue de la représentation

plein tarif 25 €

tarif réduit 22 €

location à partir du 3 juin

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À la recherche du merveilleux. Créateurinfatigable d’une danse fluide et très écrite,née de la virtuosité, Angelin Preljocaj a réuniles vingt-six danseurs de sa compagnie pourcréer un grand ballet romantiquecontemporain. Avec Blanche Neige, AngelinPreljocaj invite à la rêverie avec les plus bellespages des symphonies de Gustav Mahler,comme il a déjà construit Le Parc sur lamusique de Mozart, pour le Ballet de l’Opérade Paris. Glissant la danse dans un universscénographique baroque et merveilleux et lescorps dans les costumes créés par le couturierJean-Paul Gaultier, Angelin Preljocaj ose seconfronter à la narration pour mieux réveillerla figure de Blanche Neige, l’incarnation denombreux fantasmes. Cette relecture incisiverepose les questions d’écriture et d’espacepour offrir une nouvelle liberté polyphoniqueet une nouvelle pureté du mouvement. Unsens de la féerie et un langage contemporainpour nous conter une histoire intemporelle.

BLANCHE NEIGE (création Biennale)

26 danseursdirection artistique et chorégraphie : AngelinPreljocaj • musique : Gustav Mahler • costumes :Jean-Paul Gaultier • décors : Thierry Leproust •vidéo : Gilles Papain • assistant, adjoint à la direc-tion artistique : Youri Van den Bosch • assistanterépétitrice : Claudia De Smet • choréologue : DanyLévêque

coproduction : Biennale de la Danse de Lyon, Théâtre Nationalde Chaillot, Grand Théâtre de Provence, le Duo Dijon,Staatsballet Berlin (Allemagne), Théâtre Reggio Emilia (Italie),Conseil général du Rhône.Le Ballet Preljocaj, Centre Chorégraphique National, est sub-ventionné par le Ministère de la culture et de la communica-tion – DRAC PACA, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur, leDépartement des Bouches-du-Rhône, la Communauté du Paysd’Aix et la Ville d’Aix-en-Provence.Avec le soutien de : Groupe Partouche - Casino Municipald’Aix-Thermal pour le développement de ses projets et deCulturesfrance - Ministère des Affaires étrangères pour certai-nes de ses tournées à l’étranger.

B projection vidéo salle Jacques Demy :Pavillon Noir

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MAISON DE LA DANSE

SEPTEMBRE/OCTOBRE

je 25 20h30

ve 26 20h30

sa 27 20h30

di 28 17h

ma 30 20h30

me 1er 19h30

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sa 4 15h

sa 4 20h30

durée : 2h20

1è série 2è série

plein tarif 35 € 29 €

tarif réduit 32 € 26 €

location à partir du 3 juin

rencontre avec les artistesmardi 30 à l’issue de la représentation

accueil : Maison de la Danse, Biennale de la Danse

spectacle accueilli avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre du réseau des villes

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bALLET PRELJOCAJ

ANGELIN PRELJOCAJ

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Le spectacle Picasso et la danse présente quatre ballets dont le peintre composa lesscénographies, et souvent inspira profondément l’esprit, aux côtés du compositeur Erik Satie etde l’écrivain Jean Cocteau. Parade, créé en pleine guerre en 1917 est un véritable manifestecubiste avec ses costumes insensés. Pulcinella, qui avait été créé en 1920, est entièrementremonté par Ana Maria Stekelman qui compose un ballet néoclassique charmant sur la musiquede Stravinski. D’après Mercure, créé en 1924, Thierry Malandain invente une fantaisied’aujourd’hui, très proche de l’esprit qu’avait voulu y imprimer Picasso en son temps. EnfinCuadro flamenco est un récital de danses espagnoles, ici exécutées par les jeunes élèves duConservatoire de Madrid, avec des robes conçues par Picasso et des châles comme destableaux. Une production d’Europa Danse exemplaire. Ces vingt-deux nouveaux talents etPicasso, une cure de jouvence !

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eUROPA DANSEJEUNES DANSEURS EUROPÉENS

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Le programme est interprété avec fougue et unvrai professionnalisme. Au-delà de l’homogénéitéqui caractérise la troupe, on distingue quelquespersonnalités dont on sent déjà la carrière sedessiner.Sonia Schoonejans, Ballet 2000

Fondée et dirigée depuis neuf ans par Jean-AlbertCartier, Europa Danse est une compagnie itinéranteoù vingt jeunes danseurs travaillent pendant un anà acquérir une expérience professionnelle. (…) Le spectacle Picasso et la danse est éclatant, et lesrideaux de scène reproduits selon les travaux del’artiste, magnifiques.Gérard Mayen, Danser

MAISON DE LA DANSE

OCTOBRE

ma 7 20h30

me 8 19h30

ve 10 20h30

sa 11 20h30

di 12 15h

matinées complices les 8 et 11

matinées scolaires les 9 et 10

durée : 2h entracte compris

rencontre avec les artistesmercredi 8 à l’issue de la représentation

B projection vidéo salle Jacques Demy :Hommage à Diaghilev

1è série 2è série

plein tarif 27 € 21 €

réduit 24 € 18 €

location à partir du 1er juillet

PICASSO ET LA DANSE

22 danseurs

PARADE (1917)

chorégraphie originale : Léonide Massine •remontée par : Susanna della Pietra • argument :Jean Cocteau • musique : Erik Satie • rideau,décors, costumes : Pablo Picasso

PULCINELLA (1920)

chorégraphie nouvelle : Ana Maria Stekelman •musique : Igor Stravinski d’après Jean-BaptistePergolèse

MERCURE (1924)

chorégraphie nouvelle : Thierry Malandain • musi-que : Erik Satie • rideau, construction scénique,costumes : Pablo Picasso

CUADRO FLAMENCO (1921)

Suite de danses andalouses • musiques et choré-graphies traditionnelles remontées par : BeatrizMartin et Ricardo Franco • décors : Pablo Picasso

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direction artistique Europa Danse : Jean-AlbertCartier

Picasso et la danse est présenté avec le concours de l’École deFlamenco du Conservatoire Royal de Madrid et avec l’accordde Picasso Administration

coproduction : Équinoxe-Châteauroux • rideaux de scène,décors et costumes réalisés d’après les œuvres originales dePablo Picasso, Succession Picasso 2007 • avec le soutien duMinistère de la Culture et de la Communication, RégionCentre, Région PACA, Département d’Eure et Loir, Théâtre deChartres • mécénat : Veolia (Mercure), Rte (Parade), Générali(Pulcinella), North management consulting

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TOBOGGAN/DÉCINES

OCTOBRE

ma 14 20h30

me 15 20h30

durée : 1h10 sans entracte

« Les à propos » du Toboggan mercredi 15animés par Gallia Valette-Pilenko, journalistedanse, à l’issue de la représentation

plein tarif 20 €

réduit 17 €

location à partir du 1er juillet

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CHEZ ROSETTE (création 2008)

10 danseurs, comédiens et circassiensconception, direction artistique : Kettly Noël • scé-nographie, costumes : Joël Andrianomearisoa •musiques : Rokia Traoré (en cours)

production : Donko Seko/la Compagnie Kettly Noël, LesProductions de la Seinecoproduction : Festival Montpellier Danse 08, Parc de LaVillette-Paris, Culturesfrance, Le Merlan Scène nationale deMarseille, Service de Coopération et d’Action Culturelle del’Ambassade de France au Mali, Centre Culturel Français deBamako-Mali

spectacle programmé par la Maison de la Danse-Lyonen coréalisation avec le Toboggan-Décines

Nous voilà loin des danses traditionnelles qu’ellecite à l’envi et s’amuse à détourner, ainsi que dessalamecs à tiroirs propres à l’Afrique. (…) Lachorégraphe porte haut les revendicationsd’émancipation des femmes dans l’Afriqued’aujourd’hui.Muriel Steinmetz, L’Humanité

Kettly Noël en met plein la vue en mordant àbelles dents dans les clichés. (…) Un rendez-vousqui colle à l’époque.Rosita Boisseau, Le Monde

« Je suis une sorcière, une autoritaire, mais jen’ai pas le choix. Je suis une femme, unedanseuse, vivant dans un pays musulman etformant des danseurs, en majorité deshommes. Lorsqu’on veut m’impressionner, j’aides ressources. Je suis haïtienne et le vaudou,ça fait toujours peur. » Le ton est donné ! Ladanseuse et chorégraphe Kettly Noël,aujourd’hui installée au Mali, sait ce qu’elleveut, elle a du chien et de l’éclat. Elle dressedans son œuvre le portrait en filigrane d’unedanse africaine contemporaine de hautedensité. L’action de sa dernière création sedéroule dans un maquis, lieu de rendez-vousincontournable en Afrique où l’on mange etoù l’on boit, où l’on danse, chante. Où secôtoient en permanence le bien et le mal, leslarmes et les balles, les rires et les soupirs. Surscène des interprètes venus d’Afrique,d’Europe et des Caraïbes, font fusionner lesfigures de danse et celles du cirque, lesmusiques électroniques et celles de RokiaTraoré, les corps et l’image vidéo.

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kETTLY NOËL

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Le jazz, la danse, l’humour, la sensualité, l’émotion, l’impertinence : tout ce que Jérôme Savarya toujours aimé depuis le Grand Magic Circus se trouve concentré dans À la recherche deJoséphine, une généreuse et formidable fable jazzy inspirée de la vie de Joséphine Baker. Enune dizaine de tableaux, il évoque l’histoire du peuple noir et de sa musique à travers le destinde Cindy, une jeune artiste de La Nouvelle-Orléans rêvant de décrocher le rôle de JoséphineBaker dans une nouvelle version de la « Revue Nègre » qui fit swinguer le Tout-Paris en 1925.L’action se situe dans le paysage dévasté de La Nouvelle-Orléans après le cyclone Katrina. Unemanière pour l’auteur d’affirmer sa solidarité avec les musiciens du Mississippi. « DepuisCabaret que j’ai monté il y a vingt-cinq ans, c’est le spectacle qui me tient le plus à cœur ! »assure-t-il. À nous aussi, ce spectacle tient particulièrement à cœur pour fêter le grand retourde Savary au Huitième, et souhaiter la bienvenue à la vedette explosive du spectacle, NicoleRochelle qui chante à merveille, danse, fait le clown et porte la ceinture de bananes avec lamême générosité que son inoubliable modèle.

jÉRÔME SAVARY

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SPECTACLE MUSICAL

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MAISON DE LA DANSE

OCTOBRE

je 16 20h30

ve 17 20h30

sa 18 15h

sa 18 20h30

di 19 17h

ma 21 20h30

me 22 19h30

je 23 20h30 (hors abonnement)

ve 24 20h30

durée : 1h50 sans entracte

À LA RECHERCHE DE JOSÉPHINE

New Orleans for ever (2006)

5 rôles (comédiens, chanteurs),10 danseurs, 8 musiciensmise en scène, décors : Jérôme Savary • lumières :Pascal Noël • costumes : Michel Dussarat • son :Virginie Hilaire • arrangements, chef d’orchestre :David Boeddinghaus • images infographie :Mathieu Deshayes • chefs des chorégraphies :Stéfanie Battant Bland, Brian Scott Bagley

coproduction : L.R.N. Production, «La Boîte à Rêves»Compagnie Jérôme Savary

B projection vidéo salle Jacques Demy :Joséphine Baker

1è série 2è série

plein tarif 45 € 35 €

réduit 40 € 30 €

location à partir du 24 juin

Un hymne à la black attitude et au music-hall :Savary retrouve le charme de ses meilleurescréations. (…) À elle seule, Nicole Rochelle vautle déplacement.Hubert Lizé, Le Parisien

Osez Joséphine ! Savary connaît toutes les ficellesde son métier, mêle en habile maître queux, jeuxd’illusions et moments plus politiques,divertissement et engagement. La « Revue nègre »avec punch et éclat.Fabienne Pascaud, Télérama

La troupe de danseurs, qu’ils osent les claquettes,la salsa ou le boogie est formidable. NicoleRochelle et son joli brin de voix, est convaincantecar elle n’essaye jamais de copier JoséphineBaker. (…) On passe dans la même soirée du rire,avec Ma Tonkinoise, au plus grave, le I Have adream de Martin Luther King sur des images duKu Klux Klan.Philippe Noisette, Les Échos

Savary rend un brillant hommage, à traversJoséphine Baker, à La Nouvelle-Orléans et au jazz.Avec du panache, des plumes, des bananes etbeaucoup d’émotions.Charles Danna, France Soir ©

DR

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Le Collectif Loge 22 est né à Lyon, il rassemble trois formidables danseurs, Marie Goudot, JulienMonty et Michael Pomero. Ils ont travaillé avec les chorégraphes Merce Cunningham, RussellMaliphant, Jérôme Bel, Angelin Preljocaj ou encore Anne Teresa De Keersmaeker dans leurscompagnies ou au sein du Ballet de l’Opéra de Lyon. Ils ressentent aujourd’hui le besoin dedévelopper leur propre langage et envisagent le collectif comme un cadre de partage, derencontres et de collaborations. Selon les projets, ils endossent les rôles d’auteur oud’interprète. La chorégraphie de Rémanence ou il fait bon, je tombe que nous avons découverten 2007 au Croiseur est cette fois signée par Julien Monty. La pièce réunit sur le plateau lestrois danseurs en interaction avec deux compositeurs de musique électronique. La rémanencedésigne la propriété d’une sensation, notamment visuelle, de persister après la disparition dustimulus. Le point de départ est le sentiment du chorégraphe qu’« après un désastre : il reste ledésarroi ». Le langage résolument contemporain éreinte ici les actions simples commes’allonger, se lever, courir, tomber, dans une boucle sans fin et assez hypnotique, baignée dansune lumière crépusculaire.

MAISON DE LA DANSE

STUDIO JORGE DONN

OCTOBRE

je 23 19h

ve 24 19h

sa 25 19h

durée : 50 minutes

tarif unique 10 €

location à partir du 1er juillet

RÉMANENCEou il fait bon, je tombe (2007)

3 danseurs, 2 musiciensconcept, chorégraphie : Julien Monty • musiqueen direct : Fabrik (Ben Merlin, Guitos Fournier) •danseurs : Marie Goudot, Julien Monty, MichaelPomero • costumes : Cathy Garnier

remerciements : Le Pacifique-CDC/Grenoble, Centre nationalde la Danse en Rhône-Alpes, Opéra national de Lyon, LeCroiseur-Scène découverte/Lyon, CCN de Rillieux-La-Pape

SStudio

cOLLECTIF LOGE 22

avec le soutien de la Fondation BNP Paribas

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MAISON DE LA DANSE

NOVEMBRE

me 5 19h30

je 6 20h30

ve 7 20h30

matinée scolaires le 6

rencontre avec les artistes jeudi 6 à l’issue de la représentation

B projection vidéo salle Jacques Demy :Têtes de sardines

1è série 2è série

plein tarif 24 € 18 €

réduit 21 € 15 €

location à partir du 30 septembre

DÉBATAILLES création 2008 en résidence

à la Maison de la Danse

spectacle en forme de défis pour 5 danseurs et 3 musicienschorégraphie, mise en scène : Denis Plassard •création lumières : Nicolas Boudier • costumes :Béatrice Vermande

coproduction : Maison de la Danse-Lyon, Château-Rouge-Annemasse, Théâtre du Puy-en-Velay, Théâtre Durance-Château Arnoux, Cie Propos

spectacle accueilli avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre du réseau des villes

Avec Denis Plassard, notre regard sur lemouvement se trouve chahuté, bousculé,dérangé, délicieusement malmené.Sophie Bauret, Le Dauphiné Libéré

Depuis plus de dix ans, Denis Plassard s’interrogesur le sens du mouvement en passant parl’utilisation du texte, une certaine théâtralité oul’absurde. Ses dernières pièces semblent être uncondensé de ses recherches. La danse n’a jamaisété aussi intense, les danseurs aussi présents, lamusique aussi intelligente et la chorégraphieaussi écrite, précise, émouvante…Martine Pullara, 491

Depuis ses débuts, le travail de Denis Plassard se nourrit du décalage et n’hésite pas à utiliserle ressort de la dérision et de l’humour. À chaque nouvelle création, il s’amuse à se confronterà d’autres esthétiques, à se plonger dans d’autres univers et recherche inlassablement lesfrottements et les rencontres artistiques. De Kafka à Mermet, de Bizet à Labiche, des planchesà la piste, les idées se bousculent et les genres s’entrechoquent. Dans ce nouveau spectacle enforme de défis, deux équipes de danseurs s’affrontent sur un terrain de jeu loufoque. Inspiré desbattles hip hop, des danses traditionnelles et des compétitions de danse sportive, DéBataillesse déroule comme un vrai concours. Délirantes ou tendrement cruelles, les joutes physiquess’enchaînent. Un petit orchestre -accordéon, guitare, percussions- accompagne sur scène lesduels dansés. La bizarrerie, le plaisir et la virtuosité sont les clés de la victoire !

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gRUPO CORPO DIRECTION ARTISTIQUE : PAULO PEDERNEIRAS

S’il existe un son du Brésil -« le son du rêve », a dit joliment Caetano Velloso- il y a aussiune gestuelle, une manière de marcher, d’onduler et de crier sa vitalité sensuelle au mondeentier. « Ça part des hanches, commente malicieusement le chorégraphe RodrigoPederneiras. Le corps suit alors le mouvement, comme une vague. » Là-bas, on a le diableau corps, et la danse dans la peau. La danse ? Ce n’est pas seulement un art, c’est uneidentité ; et Grupo Corpo en est le parfait reflet. Depuis 1994 à Lyon, leur danse frénéti-que et fluide enchante irrésistiblement le public. Pour ces belles retrouvailles cet automne,la dernière création Breu, créée en 2007 sur la musique de Lenine, fabuleuse symphoniegraphique en noir et blanc, poème de corps à corps qui confirme l’évolution de RodrigoPederneiras, déjà sensible dans Onqotô acclamée lors de leur dernière visite. Et la reprisede Sete ou oito peças para um ballet, pièce signature de la compagnie sur la musique dePhilip Glass, couleur Brésil, couleur bonheur.

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MAISON DE LA DANSE

NOVEMBRE

ma 11 20h30

me 12 19h30

je 13 20h30

ve 14 20h30

sa 15 20h30

di 16 17h

me 19 19h30

je 20 20h30(hors abonnement)

ve 21 20h30

sa 22 20h30

ma 25 20h30

me 26 19h30

ve 28 20h30

sa 29 20h30

matinée scolaires le 27

durée : 1h40 entracte compris

La séduction directe et l’efficacité virtuose deGrupo Corpo ont depuis belle lurette étéplébiscitées par le public lyonnais puis celui desscènes du monde entier. Non sans raison. Dansson registre classique-contemporain savammentépicé, Grupo Corpo brandit une force vive lustréepar une écriture impeccable.Rosita Boisseau, Le Monde

La compagnie phare du Brésil a su inventer unstyle fusionnel entre le Brésil et ses rythmeschaloupés, ses influences métissées et une dansenéoclassique. C’est un vrai bonheur de les voirdanser et le public ne s’y trompe pas qui leuraccorde à chaque passage un formidable succès.Agnès Benoist, Le Figaro Lyon

Échappant à tout pittoresque ou poncif sur leBrésil, le génie alchimique du chorégrapheRodrigo Pederneiras consiste à fondre dans unmême mouvement endiablé samba, forro des balspopulaires, danses africaines, mais aussi hip hopou danse classique.Jean-Emmanuel Denave, Tribune de Lyon

SETE OU OITO PEÇAS PARA UM

BALLET (1994)

21 danseurs chorégraphie : Rodrigo Pederneiras • musique :Philip Glass, Uakti • costumes : FreusaZechmeister • scénographie : Fernando Velloso •lumières : Paulo Pederneiras

BREU (2007)

21 danseurschorégraphie : Rodrigo Pederneiras • musique :Lenine • costumes : Freusa Zechmeister • scéno-graphie, lumières : Paulo Pederneiras

Grupo Corpo bénéficie du soutien de Petrobras

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B projection vidéo salle Jacques Demy :Montage d’archives vidéo autour des danses brésiliennes

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 23 septembre

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www.airfrance.fr

Nouveau : Lyon-New YorkVol direct

Vol opéré par Delta Air Lines à partir du 18 juillet 2008.Renseignez-vous sur www.airfrance.fr, au 3654 (0,34€ ttc/min à partir d’un poste fixe) ou dans votre agence de voyages.

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LA CROIX-ROUSSE

SCÈNE NATIONALE DE LYON

NOVEMBRE

PROGRAMME 1

je 13 20h30

durée : 2h10 entracte compris

NOVEMBRE

PROGRAMME 2

sa 15 20h30

durée : 2h30 entracte compris

plein tarif 24 €

réduit 21 €

tarif spécial guichet 35 €

les deux programmes

tarif spécial abonné 17,50 €

le deuxième

location à partir du 14 octobre25

PROGRAMME 1

BOLÉRO VARIATIONS (2007)

6 interprètesconception, chorégraphie : Raimund Hoghe • col-laborateur artistique : Luca Giacomo Schulte •musique : Maurice Ravel, Giuseppe Verdi, PeterIlitch Tchaïkovski, boléros d’Amérique du Sud •lumière : Raimund Hoghe, Amaury Seval • son :Frank Strätker

production : Raimund Hoghe-Düsseldorf/Paris • coproduction :Les Spectacles vivants-Centre Pompidou, Festival d’Automne àParis, CCN de Franche-Comté à Belfort avec le soutien de laConvention Culturesfrance/Conseil Régional de Franche-Comté/Drac Franche-Comté, Tanzquartier-Wien • avec le sou-tien financier de Kulturamt der Landeshauptstadt-Düsseldorf

Raimund Hoghe livre avec Boléro Variations unepièce ample et suffocante, défiant les attentes etles références. (…) Une pièce insondable,fascinante, considérable.Gérard Mayen, Mouvement

Ex-dramaturge de Pina Bausch, RaimundHoghe a décidé il y a douze ans de « jeter soncorps dans la bataille » selon Pasolini qu’ilaime à citer, et depuis, il a créé une dizaine depièces minimalistes et bouleversantes. Faisantde la difformité de son corps un élémentcentral, poignant et saisissant de son œuvre,le chorégraphe allemand a composé ununivers nourri de rituels lents et répétitifs, quitraduisent avec poésie toute la fragilité dumonde. Ce double programme offrel’occasion de découvrir sa vision trèspersonnelle de deux standards de la musiqueet du ballet classiques : Le Boléro et Le Lacdes cygnes. Son Boléro est une réflexion surla charge chorégraphique que suggère cettemusique répétitive, primaire et entêtante.Quant aux interprètes de son Lac, ils selaissent traverser par la réminiscence des pasde la chorégraphie et forment un tableaudont la beauté rare transcende le mythe etbouleverse les codes.

rAIMUND HOGHE

PROGRAMME 2

SWAN LAKE, 4 ACTS (2005)

5 interprètesconception, chorégraphie : Raimund Hoghe • col-laborateur artistique : Luca Giacomo Schulte •musique : Le Lac des cygnes Peter Ilitch Tchaïkovski• lumière : Raimund Hoghe, Amaury Seval • son :Frank Strätker

production : Raimund Hoghe-Düsseldorf, Groupe Kam Laï-Paris • coproduction : Festival Montpellier Danse 05, La BâtieFestival de Genève, Tanzquartier-Wien, création-résidence auQuartz Scène nationale de Brest, CCN de Franche-Comté àBelfort, Le Vivat-Scène conventionnée d’Armentières • avec lesoutien du Kaaitheater-Bruxelles

spectacle accueilli avec le soutien du Goethe Institut

spectacle programmé par la Maison de la Danse-Lyonen coréalisation avec La Croix-Rousse / Scène natio-nale de Lyon

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Raimund Hoghe fait du plateau de son Lac descygnes un espace pour des créatures féeriquesqui ne paient pas de mine mais nous saisissentpar leur capacité à aller à l’essentiel. Juste unbrin d’amour.Marie-Christine Vernay, Libération

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Cette poésie de joyeux bavards, qui aimentpousser la chansonnette et lever le pied pourdanser, réussit à se situer presque à égale distanceentre régalade populaire et concept savant.Rosita Boisseau, Le Monde

C’est typiquement le genre d’intervention quipourrait passer pour de l’arrogance d’artisteautocentré. Sauf que la dextérité des deuxinterprètes face à leur partition est époustouflanteet que leurs jeux de regards complices s’avèrentcontagieux.Cathy Blisson, Télérama

MAISON DE LA DANSE

STUDIO JORGE DONN

NOVEMBRE

je 20 19h

ve 21 19h

sa 22 19h

durée : 40 minutes

tarif unique 10 €

location à partir du 1er juillet

BOTH SITTING DUET (2002)

le 20 novembreTHE QUIET DANCE (2005)

le 21 novembreSPEAKING DANCE (2006)

le 22 novembre

concept, performance, production : JonathanBurrows & Matteo Fargion

coproduction : The Jonathan Burrows Group, Arts CouncilEngland, Kaaitheater de Bruxelles, Dance Umbrella-Londres,Nott Dance Festival-Grande-Bretagne, Joint Adventures-Munich, PARTS/Rosas, Dance 4, The Laban Centre-Londres

avec le soutien de la Fondation BNP ParibasSStudio

C’est avec Speaking Dance que le choré-graphe britannique Jonathan Burrows et lecompositeur italien Matteo Fargion ont closleur « trilogie pour deux messieurs », troisperles de spectacles de danse minimalistes, àl’humour subtil. Dans Both Sitting Duet, inspiréd’une composition de Morton Feldman,Burrows et Fargion sont chacun assis sur unechaise et exécutent un certain nombre degestes avec une virtuosité rythmique et avecpour seule musique, celle du son naturel queproduisent leurs mouvements. Dans The QuietDance, les deux hommes, debout cette fois,accompagnent les pas qu’ils effectuent desons correspondants. Le résultat donne un pasde deux comique, qui engendre un plaisirpresque enfantin, tant chez les interprètes quechez les spectateurs. Speaking Dance peut êtreconsidéré comme la synthèse des deux voletsprécédents : on danse, mais on parle et onchante également. Un petit bijou chorégra-phique, musical et poétique.©

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jONATHAN BURROWS

& MATTEO FARGION

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MAISON DE LA DANSE

DÉCEMBRE

ma 2 20h30

plein tarif 35 €

réduit 32 €

location à partir du 30 septembre

Ô LALA ! (nouvel album)

Victoria Abril, 1 danseuse et chant palmas, 2 gui-taristes, 1 percussionniste cajon, 2 danseurs pal-meros et chant

en accord avec Les Visiteurs du Soir

Enfin la voilà ! Retenue sur le tournage d’un nouveau film, Victoria Abril était contrainte lasaison dernière d’annuler la tournée de son concert. Comme promis, elle est avec nous à laMaison de la Danse cet hiver pour un concert unique. Les chansons qu’elle interprète sont cellesde son deuxième album Ô lala ! qui suit les traces du précédent album disque d’or Putcherosdo Brasil. Victoria Abril, qui dit avoir appris le français il y a vingt-cinq ans en écoutant leschansons que son fiancé de l’époque lui faisait découvrir, a décidé d’en reprendre certaines,hommage à une langue et une culture qu’elle a faites siennes... Et comme l’Espagnole n’oubliepas non plus ses racines, elle les revisite façon flamenca ! On devrait dire : elle les réinvente,tant les sons et les rythmes d’Andalousie sont ici prégnants. Gainsbourg -La Javanaise-, Ferré -Jolie môme-, Piaf -La vie en rose-, Bourvil -Le bal perdu-, Nougaro -Le jazz et la java, Ah ! Tuverras-… Humour et séduction garantis. C’est très réussi sur des titres qui portent déjà en

eux les couleurs du sud (Bidonville, Histoire d’un amour), ou même sur les très osées Nuitsd’une demoiselle, entonnées avec délice par uneinterprète malicieuse. Elle parvient à mettre unelangueur et une ardeur qui manquaient à l’original !Valérie Lehoux, Télérama

C’est autant par son traitement flamenco que parle choix des chansons d’hier que séduit Victoria.Les arrangements pour guitares, «palmas,nudillos, jaleos e taconeos», d’une grandesobriété, sont très audacieux et personnels.Thierry Coljon, Le Soir

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SPECTACLE MUSICAL

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MAISON DE LA DANSE

DÉCEMBRE

je 4 20h30

ve 5 20h30

sa 6 20h30

durée : 1h45 sans entracte

Des scènes de nudité peuvent heurter la sensibilité de certains spectateurs.La Maison de la Danse déconseillefortement ce spectacle aux moins de 16 ans.

B projection vidéo salle Jacques Demy :Montage d’archives vidéo autour de la nudité

1è série 2è série

plein tarif 24 € 18 €

réduit 21 € 15 €

location à partir du 14 octobre

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UN PEU DE TENDRESSE BORDEL

DE MERDE ! (2006)

16 interprèteschorégraphie : Dave St-Pierre en collaborationavec les danseurs • conseiller musical : EmmanuelSchwartz • texte : Enrica Boucher • musiques :Pierre Lapointe, Emmanuel Schwartz, Dave St-Pierre, Cat Power, Arvö Part • costumes : EugénieBaudry, Dave St-Pierre

coproduction : Usine C-Montréal,Agora de la Danse-Montréal,Maison de la Culture Frontenac-Montréal, Sommer SzeneSalzburg, JuliDans-Amsterdam, Scène Québec/Centre nationaldes Arts-Ottawa, Mouson Künstlerhaus Mousonturm-Franckfort, Dance festival-Munich, Théâtre Sévelin 36-Lausanne • avec le soutien de : Conseil des Arts du Canada,Conseil des Arts et des Lettres Québec, Affaires Étrangères etCommerce International Canada

La succession de scènes hallucinantes, d’audaceet de justesse, et de personnages, aussi fascinantsque repoussants, offre un miroir grossissant de ceque nous sommes.Aline Apostoloska, La Presse

Le langage de St-Pierre est aussi éloquent quebrutal. C’est à la fois euphorisant et dérangeant.Une œuvre rare et saisissante qui vautcertainement le détour.Catherine Cardinal, VOO.CA

Raflant les prix et tutoyant le succès dès saseconde pièce, le Québécois Dave St-Pierre est lephénomène chorégraphique du moment. Il agace,il étourdit, il bouleverse.Gérard Mayen, Mouvement

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Obscène ? Non, lucide. Dave St-Pierre n’estni un provocateur ni un romantique attardé.Ce perturbateur des conventions de la scène,destroy et trash, ose la dérision la plus kitschet le sentimentalisme le plus retors pourdébusquer quelques vérités dérangeantes surnotre rapport à l’amour et à la tendresse. S’ilne refuse aucune image forte, aucune mise ànu, aucun travestissement grotesque, riendans sa démarche n’est gratuit. Dans Un peude tendresse bordel de merde ! il met enscène des handicapés du cœur, quis’accrochent à des bouées qui ont tôt fait decouler avec eux. Sa mise en scène catapulteune vingtaine de danseurs/acteurs, hommesbarbus et nus, grandes folles aux perruquesblondes, femmes en robes synthétiques, dansune confrontation jusqu’au-boutiste avecl’épuisement. Loin des conventions et desdogmes, le théâtre dansé de Dave St-Pierre,tout de fulgurances et de désolations, fait dela représentation un nerf à vif.

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dAVE ST-PIERRE

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lE CIRQUE INVISIBLEVICTORIA CHAPLIN ET JEAN-BAPTISTE THIÉRRÉE

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Ils sont deux à avoir créé « tout un cirque »… On se frotte les yeux : on dirait qu’ils sont dix !Jean-Baptiste Thiérrée et Victoria Chaplin nous emportent dans un tourbillon demétamorphoses surréalistes. Lui, clown et magicien, tire de ses incroyables valises à images unmonde enchanté ; elle, fée acrobate et reine de cœur fait naître par ses costumes extravagantstout un bestiaire fantastique. Célébré de New York à Pékin, leur Cirque invisible tourne depuistrente ans autour de la planète. Après la découverte et le triomphe de leur fils James Thiérrée,quel bonheur et quelle justice d’accueillir enfin les parents, poètes inventeurs et véritablestrésors vivants. Des géants du spectacle pour la première fois sur la scène de la Maison de laDanse, un exceptionnel moment de grâce, inoubliable.

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MAISON DE LA DANSE

DÉCEMBRE

ma 9 20h30(hors abonnement)

me 10 19h30

je 11 20h30

ve 12 20h30

sa 13 20h30

di 14 17h

ma 16 20h30

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di 21 15h

durée : 2h entracte compris

LE CIRQUE INVISIBLE

de et avec Victoria Chaplin et Jean-BaptisteThiérrée

production : Jean-René Pouilly pour Karavane

B projection vidéo salle Jacques Demy :La Veillée des Abysses

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 7 octobre

Elle, fille de Charlot, lui, fils de mai 68, en géniesdes métamorphoses, inventent soir après soir sansautorisation ni autre légitimité que la leur, unehistoire héroïque et secrète, féerique et gracieuse,celle d’un cirque libertaire et fraternel. À moinsqu’il ne s’agisse d’une histoire d’amour. Où est ladifférence ?Daniel Conrod, Télérama

C’est une œuvre de magie qui se déploie commeune évidence… Ce bestiaire imaginaire est d’unebeauté à couper le souffle… Ainsi se noue, dansle talent de deux artistes, l’union de deux êtres etde deux mondes, en qui chacun trouvera de quoise reconnaître.Brigitte Salino, Le Monde

Retrouver Le Cirque invisible est un bonheurprofond. Tous deux illuminent le plateaud’invention et de générosité, tous deux ont lanoblesse des grands du cirque.Armelle Héliot, Le Figaro

C’est à l’intérieur d’un rêve que le père dunouveau cirque et la fille de Chaplin se sontrencontrés. Le rêve que le rêve ne finirait jamais.Le rêve d’élever leurs enfants dans la piste. Lerêve de partager leur amour avec tous les publics.Ils l’ont vécu et vont nous le faire vivre !Jean-Michel Ribes,in programme Théâtre du Rond-Point

Haute silhouette, tignasse blanche, acteurfacétieux, Jean-Baptiste Thiérrée change de vestecomme de valise. C’est un grand magicien, et ilfait surgir selon l’humeur, un objet insolite ou unlapin blanc, voire deux. À ses côtés, VictoriaChaplin, longue chevelure et silhouette menue :entre ses mains, théières, parasols, tissuss’enchantent et se métamorphosent.Odile Quirot, Le Nouvel Observateur

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Les petits-fils des gauchos, bercés au rock’n’roll et à la danse contemporaine, ont maintenantdébridé leur danse. Che Malambo est un ballet unique en son genre et percutant oùs’expriment la virtuosité du malambo argentin et la puissance peu commune de seszapateados, frappes de pieds caractéristiques. Telle une horde sauvage, emportée, énigmatique,ils sont treize danseurs, mi-hommes mi-chevaux offrant du premier au dernier souffle unspectacle vibrant des traditions de la pampa. Ils rivalisent de virtuosité en frappant leszapateados, battent la mesure et rythment le galop avec le bombo, gros tambour en bois et enpeau, et font tourner au-dessus de leurs têtes les boleadores, variantes sud-américaines dulasso, de façon vertigineuse. Che Malambo vous invite à une fête spectaculaire, concert demusique, de danse et de sueur sans retenue. Explosif.

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TOBOGGAN/DÉCINES

DÉCEMBRE

ma 9 20h30

me 10 20h30

je 11 20h30

ve 12 20h30

sa 13 20h30

di 14 17h

durée : 1h20 sans entracte

plein tarif 27 €

réduit 24 €

location à partir du 21 octobre

CHE MALAMBO (2007)

13 danseurschorégraphie : Christian Vattimo, FernandoMattoso, Gilles Brinas et l’ensemble des danseurs• lumières : François Éric Valentin • costumes :Ateliers Fran Yard-Buenos Aires • concept, mise enscène et direction générale : Gilles Brinas, assistéde Sylvie Peron

spectacle programmé par la Maison de la Danse-Lyonen coréalisation avec le Toboggan-Décines

SLes rythmes primitifs des tambours, les frappes depieds endiablées, la vitalité masculinesuperbement affirmée, le tempo restitué par lagrâce et la puissance incarnée des corps…Alfredo Quesada, The Herald Buenos Aires

Par bonheur, Che Malambo ne tombe pas dans lespièges du folklore. Si cette création puise dans latradition des gauchos de la pampa argentine etleur façon de transformer l’exubérance physique ducavalier en virtuosité dansée, elle se nourrit aussides énergies contemporaines de Buenos Aires.Elmar Stolpe, Danse

L’exubérance de ces danseurs, leur fougue, leurflamme, leur spontanéité méritaient la traverséede l’Atlantique. Le spectacle est époustouflant.(…) Une danse fascinante qui rejaillit sur lespectateur subjugué et conquis.Jean-Marie Gourreau, Danse

cHE MALAMBOCIE PAMPA ARGENTINA

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Yan Raballand a fait ses classes au CNSMD deLyon et travaille désormais à Clermont-Ferrandoù il inscrit ses premières pièces dans unrapport à la musicalité à la fois intemporelle etmature pour un si jeune créateur. Au studio il ya deux ans, il créait avec Sylvie Giron, unecomédienne et un violoncelliste Ici et là, unepièce délicate où planait l’ombre deDominique Bagouet. Elle avec ses airs degarçon manqué et lui, éternel adolescent. Lesspectateurs comme les journalistes à l’époqueont tous été séduits par sa « gueule d’ange »,et c’est justement cette idée qui guide lacréation de ce nouveau solo. Et si l’ange quel’on veut bien voir en lui n’était pas quefragilité, douceur, androgynie ? Et l’angedéchu ? Celui qui se rebelle ? Celui qui se lèvedu mauvais pied et n’a pas du tout envie detirer une flèche dans le cœur des amoureux ?Avec la facétie et l’humour qu’on lui connaît,Yan Raballand va ici tenter de décaler lescodes de représentations de l’ange et enimaginer d’autres.

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MAISON DE LA DANSE

STUDIO JORGE DONN

JANVIER

je 8 19h

ve 9 19h

sa 10 19h

durée : 45 minutes environ

tarif unique 10 €

location à partir du 1er juillet

L’ANGE (création 2008)

solochorégraphie, interprétation : Yan Raballand •assisté de : Evguénia Chtchelko • costumes :Dominique Fabrègue • lumières : LaurentMatignon • bande son : Francine Ferrer

coproduction : CCN-Ballet de Lorraine - accueil studio ; Maisonde la Danse ; résidences de création : Fédération des ŒuvresLaïques de la Drôme/Festival Danses au Fil d’avril, HôtelleriePontempeyrat • avec le soutien de : Drac Auvergne, ConseilRégional d’Auvergne et du Conseil Général Puy-de-Dôme

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SStudio

yAN RABALLANDCIE CONTREPOINT

avec le soutiende la Fondation BNP Paribas

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Les spectacles allient une techniqueépoustouflante et une dimension poétiqueinégalée. (…) Un nouveau défi signé Käfig :attention aux surprises !Bulles de gones

Pour satisfaire la curiosité de tous les jeunes quilui demandent comment on fabrique un spectaclede hip hop, Mourad Merzouki a imaginé Tricôté.De quoi susciter quelques vocations.Grains de sel

MAISON DE LA DANSE

JANVIER

sa 10 19h30

matinées complices les 7 et 10

matinées scolaires les 6, 8 et 9

durée : 1h sans entracteplacement libre

plein tarif 15 €

réduit 12 €

enfant 7 €

location à partir du 28 octobre

TRICÔTÉ (2008)

5 danseursdirection artistique, chorégraphie : MouradMerzouki • assistant du chorégraphe : KaderBelmoktar • musique et voix : AS’N • réalisation,enregistrement, mixage : Studio Albedo & AS’N •conduite musicale : Serge Folie • textes : AS’N,Olivier Borle • lumières : Yoann Tivoli • scénogra-phie : Benjamin Lebreton • costumes : BéatriceVermande

production : Cie Käfig • coproduction : Espace des Arts –Scène nationale de Chalon-sur-Saône, Espace Albert Camus deBron • la compagnie Käfig reçoit le soutien de la FondationBNP Paribas • remerciements : studio Lucien-Cie Propos

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Reprise pour cause de raz-de-marée. Des milliers de demandes non satisfaites la saison dernièrequi pourront l’être cette fois. Mourad Merzouki retisse le lien avec le jeune public grâce à cespectacle dédié tout particulièrement aux enfants (et à la curiosité des adultes!), dans le droit filde son adaptation de la fable Le Chêne et le roseau extraite des Fables à La Fontaine. Avec sescinq jeunes danseurs rompus à toutes les techniques du hip hop, il met en scène et chorégraphieles coulisses d’un spectacle.Avec un réel souci de lisibilité et de pédagogie, trois temps forts sontprésentés : les auditions d’abord, les répétitions puis le trac des premières représentations… Unebelle façon de parler du processus créatif et de dévoiler quelques secrets d’artistes ! Et pournous, l’occasion de fêter avec Mourad l’ouverture récente de son centre Pôle Pik, entièrementdédié au hip hop et aux pratiques urbaines à Bron, au cœur du quartier de Parilly.

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MAISON DE LA DANSE

JANVIER

je 15 19h30

ve 16 19h30

sa 17 19h30

durée : 3h environ entracte compris

B projection vidéo salle Jacques Demy :Dames et messieurs de plus de 65 ans

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du jeudi 6 novembre

KONTAKTHOF Une pièce de Pina Bausch avec des jeunesde plus de 14 ans (reprise 2008)

26 interprètesmise en scène, chorégraphie : Pina Bausch • scé-nographie, costumes : Rolf Borzik • collaborationartistique : Rolf Borzik, Marion Cito, Hans Pop •musique : Charlie Chaplin, Anton Karas, JuanLlossas, Nino Rota, Jean Sibelius… • direction desrépétitions : Bénédicte Billiet, Josephine AnnEndicott

droits : Édition L’Arche-Paris • première : 9 décembre 1978 •L’extrait du film Lebensraum in Gefahr de Theo Kubiak est dif-fusé avec l’autorisation gracieuse de l’auteur et de RadioBremen

spectacle accueilli avec le soutien du Goethe Institut

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Devant Kontakthof, le spectateur frôlel’hallucination. (…) Pina Bausch impose sonthéâtre dansé ouvert sur le monde. Un art de la(sur)vie qui parle à chacun de nous.Philippe Noisette, Les Inrockuptibles

Kontakthof continue une carrière éblouissante.(…) La pièce, qui traite des rapports de séductionentre les hommes et les femmes, ne perd pas ungramme de sa conviction et de son humanité ; aucontraire elle gagne une seconde jeunesse et unevérité hallucinante.Rosita Boisseau, Le Monde

Tout l’art de Pina est là, sa danse, sa façonunique de demander à ses interprètes de sedonner, son sens de l’humour et de la solitude.Magistral !Brigitte Hernandez, Le Point

HORS ABONNEMENT

TANZTHEATER WUPPERTAL

PINA BAUSCH

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Après une nouvelle version pour des interprètes non professionnels de plus de soixante-cinq ansprésentée en tournée depuis 2000, Pina Bausch décide de confier Kontakthof à des adolescentsâgés de quatorze à dix-huit ans, tous originaires de Wuppertal où elle travaille.Avec cette dernièretransmission des plus émouvantes, Pina Bausch semble vouloir continuer de nous dire qu’àn’importe quel âge, l’important c’est aimer. Ou danser, ce qui revient au même… Un chef-d'œuvred'humanité pour trois représentations à la Maison de la Danse, un événement en soi ! Est-ilencore besoin de présenter Pina Bausch ? En inventant le Tanztheater -ce théâtre dansé quiexacerbe les sentiments les plus intimes et leur fait atteindre l'universel par le mouvement- lachorégraphe a révolutionné tous les codes de la danse et influencé bon nombre de metteurs enscène de théâtre dans la seconde moitié du XXe siècle. À plus de soixante-cinq ans, elle demeuresur le qui-vive, alternant créations et reprises de pièces anciennes emblématiques. Dans lePanthéon « bauschien », Kontakthof est une œuvre majeure, créée en 1978. Dans le décorimprobable d’une immense salle de bal fanée, elle porte en elle tous les thèmes chers à lachorégraphe : amour, violence, angoisse, tristesse, désir et bien sûr tendresse.Ce spectacle est vendu hors abonnement à partir du jeudi 6 novembre.

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y14 artistes de la ville de Dalian (Chine)conception, scénographie, mise en scène : AurélienBory • collaboration artistique : Pierre Rigal • tra-duction et assistante à la mise en scène : Evita deAyguavives • création lumières, régie générale :Arnaud Veyrat • lumières plateau, régie générale :Tristan Baudoin • composition musicale : RaphaëlWisson • mixage et son : Stéphane Ley • musiqueadditionnelle : Arvo Pärt • costumes : SylvieMarcucci • réalisation décors : Pierre Dequivre etles Ateliers de la Fiancée du Pirate à Toulouse

LES SEPT PLANCHES DE LA RUSE (2007)

production : Scènes de la Terre, Cie 111 • production déléguée :Scènes de la Terre • production exécutive en Chine : Écoled’Art de Dalian • coproduction : Théâtre de la Ville-Paris, direc-tion de la Culture-Ville de Dalian, Équinoxe Scène nationale deChâteauroux • accueil en résidence : Scène nationale deSénart • avec le soutien du Ministère de la Culture/Drac Midi-Pyrénées, Région Midi-Pyrénées, Ville de Toulouse, ConseilGénéral de la Haute-Garonne, Culturesfrance • la Cie 111-Aurélien Bory bénéficie du soutien de la Fondation BNPParibas

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MAISON DE LA DANSE

JANVIER

ma 20 20h30

me 21 19h30

je 22 20h30

ve 23 20h30

sa 24 20h30

di 25 15h

durée : 1h15 sans entracte

rencontre avec les artistesmercredi 21 à l’issue de la représentation

B projection vidéo salle Jacques Demy :Cirque d’Aujourd’hui

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 25 novembre

Avez-vous déjà été ému par un cube, des triangles et des carrés qui glissent comme si vousjouiez au jeu vidéo Tetris avec la poésie en plus ? Cette géométrie mouvante se retrouve surscène grâce à l’imagination et au talent d’Aurélien Bory. Lui vous le connaissez, il était notreinvité avec sa Cie 111 en décembre 2004 avec Plan B, quatre garçons sur un plan incliné,un mélange décapant entre l’art du corps et les arts visuels. Les Sept planches de la ruse aété créé en Chine avec quatorze artistes de Dalian formés à l’Opéra de Pékin. Le metteur enscène s’est inspiré d’un jeu traditionnel chinois, le tangram, un carré de bois découpé ensept morceaux pour plus de deux mille combinaisons et assemblages possible. Assis dansson siège, le spectateur se demande sans cesse quelle forme va apparaître. Aurélien Boryassisté du chorégraphe Pierre Rigal fait jouer ses interprètes sur un registre singulier met-tant en valeur les qualités d’habileté, de virtuosité et de concentration de ces artistes horsdu commun. Grâce, puissance, esthétique dépouillée au service d’une harmonie parfaite. Ontremble, on rit, on est ému et on quitte la salle sur un petit nuage.

Inspiré d’un puzzle chinois à géométrie variable,le spectacle Les Sept planches de la ruse estbluffant de poésie et de prouesse équilibrée.Marie-Christine Vernay, Libération

Les variations d’Aurélien Bory autour du tangramchinois font rimer poésie visuelle avec lagéométrie. Le résultat est soufflant.Philippe Noisette, Les Inrockuptibles

En quelques spectacles avec sa Cie 111 oud’autres artistes tel Pierre Rigal, Aurélien Bory aimposé sa signature singulière dans le paysage dunouveau cirque. Les Sept planches, bellesymphonie en noir et blanc est une sorte de balletqui se joue des éléments d’un tangram géant. Onrêve de le voir un jour créer pour des danseurs.Philippe Noisette, Danser

Le résultat scénique est un ballet acrobatiqued’objets dont la méticulosité de manipulation estextrême. On est suspendu aux interprètes en trainde surveiller la rotation des pièces, puis fascinépar la pointe d’un triangle en train de chuter surla tranche d’un rectangle. Le spectacle donne uneenvie : aller acheter un jeu de tangram pourapprendre ses règles.Rosita Boisseau, Le Monde

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TOBOGGAN/DÉCINES

JANVIER

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durée : 1h20 sans entracte

« Les à propos » du Toboggan vendredi 23animés par Gallia Valette-Pilenko, journalistedanse, à l’issue de la représentation

plein tarif 24 €

réduit 21 €

location à partir du 28 octobre

ENTRACTE (création 2008)

4 danseurs, 4 musicienschorégraphie, scénographie : Josef Nadj • compo-sition musicale : Akosh Szelevényi • conceptionlumières : Rémi Nicolas • mise en son : Jean-Philippe Dupont • constructeur décors, objets scé-niques : Olivier Berthel, Clément Dirat, JulienFleureau • décoratrice : Jacqueline Bosson • cos-tumes : Françoise Yapo • conception vidéo :Thierry Thibaudeau

production : Ccn d’Orléans • coproduction : Théâtre de la Ville-Paris, La Filature Scène nationale de Mulhouse, Opéra de Lille• avec le soutien de : Carré St-Vincent Scène nationaled’Orléans

coréalisation : Maison de la Danse-Lyon, Toboggan/Décines

spectacle accueilli avec le soutien de la Région Rhône-

Alpes dans le cadre du Réseau des Villes

À ses heures perdues, Josef Nadj dévore deslivres, il en a toujours deux ou trois avec lui. Iladore Beckett, Büchner, Borges, Schulz ouRoussel, qui lui ont tous inspiré des specta-cles. Récemment nous présentions le fantas-tique et mystérieux Asobu nourri de l’universd’Henri Michaux. L’ « interlocuteur » qu’il achoisi et le territoire sur lequel il a décidé des’aventurer pour sa dernière création, n’estpas un écrivain ou un artiste et son univers,mais l’une des œuvres fondatrices de la civi-lisation et de la sagesse chinoises, qui est à lafois mode de pensée, vision du monde et dela vie. Il s’agit du Yi King ou Livre des trans-formations – ouvrage composite et collectif,qui s’est élaboré au cours des siècles. Cettepièce réunit un double quatuor, c’est-à-direquatre danseurs pour quatre musiciens.Composée en parallèle à la partition choré-graphique, la musique d’Akosh Szelevényi estlittéralement au cœur du dispositif.

jOSEF NADJCCN D’ORLÉANS

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Inutile de chercher à quel passage littérairecorrespond telle ou telle image. Ce que vise Nadj, c’est une danse en écho. Écho de la passion du dessin et de la calligraphie, et duvoyage abordé comme une hallucination, uneaventure intérieure.Marie-Christine Vernay, Libération

La qualité d’absurde très particulière desspectacles de Nadj n’appartient qu’à lui. Elle tientdu cinéma muet, de l’art des bonimenteurs et d’unbestiaire échappé de cauchemars archaïques.Odile Quirot, Le Nouvel Observateur

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Philippe Decouflé propose aux spectateurs, avecune intelligence subtile et une habiletésupérieure, un voyage dans son monde. Au centrede son univers. Une planète où les images et lesreflets ont la première place, la réalité ou l’illusionles rôles principaux.Roland Massabuau, Midi Libre

Ce n’est pas un solo de danse mais du grandspectacle, riche, coloré, truffé d’humour et demille artifices. (…) Philippe se meut en tous senset les images défilent, insolites, fantastiques,éblouissantes, sans qu’on puisse en percer tousles mystères.René Sirvin, Le Figaro

Il s’agit moins d’un solo que d’un songe, un one-Decouflé-show servi avec lumières et effets vidéo.Trompe l’œil et gags à l’horizon. Du gestesingulier au poète pluriel.David S. Tran, Le Progrès

Philippe Decouflé, inventeur de mondes, danseur, chorégraphe et cinéaste, revient à la sourcemême de son œuvre : la danse… qu’il interroge à partir d’un corps unique, le sien. Un solopour tout oser : oser la solitude après vingt ans de travail en groupe, oser montrer ses pieds,des photos de ses parents et de ses filles, oser rêver que l’on puisse faire autant de dégâtsqu’un tremblement de terre avec deux doigts qui bougent… Un plongeon dans le lac flou dela mémoire, avec cette musique qui vient de loin, inconnue et familière, où le portrait se faithésitant, poétique, poignant. Grâce à un arsenal simple et sophistiqué d’écrans et de caméras,le chorégraphe dresse un piège d’images et d’ombres chinoises qui dialoguent à l’infini. Dansune construction non narrative, où le fond est dans la forme, l’argument dans le corps et lachair, Decouflé cherche des effets d’optique inédits, de nouvelles interactions entre danse,image, lumière, théâtre et musique… Un éblouissement permanent.

SOLO (2003)

direction artistique, interprétation : Philippe Decou-flé • musique : Joachim Latarjet • vidéo : OlivierSimola • lumières : Patrice Besombes • son : ClaireThiébault • régie plateau, vidéo : LaurentRadanovic • accessoires : Pierre-Jean Verbraeken,Agathe Saint-Girons

production : Compagnie DCA-Philippe Decouflé • coproduc-tion : Grand Théâtre de la Ville de Luxembourg, Festival deDanse de Cannes • La Compagnie DCA est subventionnée parMinistère de la Culture et de la Communication - DRAC Île-de-France, le Conseil Général de la Seine-Saint-Denis et la Ville deSaint-Denis

B projection vidéo salle Jacques Demy :La Planète Decouflé

1è série 2è série

plein tarif 27 € 21 €

réduit 24 € 18 €

location à partir du 18 novembre

MAISON DE LA DANSE

JANVIER/FÉVRIER

me 28 19h30

je 29 20h30

ve 30 20h30

sa 31 20h30

ma 3 20h30

me 4 19h30

je 5 20h30 (hors abonnement)

ve 6 20h30

sa 7 20h30

durée : 1h15 sans entracte

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bpHILIPPE DECOUFLÉCOMPAGNIE DCA

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Entre butô, capoeira, danse contemporaine et hip hop, la virtuosité des danseurs d’A’corpséclate dans Comme un reflet. Avec cette pièce pour cinq danseurs créée à la Comédie deValence, les deux chorégraphes Karim Amghar et Olé Khamchanla franchissent un nouveau pas,avec cette idée forte de fêter dix années de complicité artistique de la plus belle manière. Sousle regard du comédien et metteur en scène Emmanuel Daumas, ils affirment leur esthétiquechorégraphique, une poésie de mouvements hip hop métissés. Ils ont imaginé une dansecomme un miroir où chaque danseur voile et dévoile les facettes de sa personnalité, au pointde se surprendre parfois. Ils explorent avec humour et tendresse les différents regards que l’onporte les uns sur les autres, ou sur soi-même. Sans renier son identité forgée dans la culture hiphop, leur travail est ancré dans une écriture résolument contemporaine, dans une quête du senset de l’identité derrière la prouesse et la vélocité.

LA CROIX-ROUSSE

SCÈNE NATIONALE DE LYON

JANVIER/FÉVRIER

je 29 20h30

ve 30 20h30

sa 31 15h

sa 31 20h30

di 1er 15h

durée : 1h sans entracte

plein tarif 24 €

réduit 21 €

location à partir du mercredi 12 novembre

COMME UN REFLET (2008)

5 danseurschorégraphie : Karim Amghar, Olé Khamchanla •collaboration artistique : Emmanuel Daumas •lumières : Celiman Mezatni

production déléguée : Comédie de Valence, CDN DrômeArdèche • coproduction : Cie A’Corps, Dôme-Théâtred’Albertville, Festival Hip Hop Ways-Toulouse

spectacle programmé par la Maison de la Danse-Lyonen coréalisation avec La Croix-Rousse / Scène natio-nale de Lyon

spectacle accueilli avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre du Réseau des Villes

cIE A’CORPSKARIM AMGHAR, OLÉ KHAMCHANLA, EMMANUEL DAUMAS

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Les chorégraphes de la Compagnie A’Corps ne selassent jamais de parcourir d’autres territoires,comme d’insatiables voyageurs. Comme un refletoffre une succession de surprises, un art maîtriséà la perfection.Laurent Delauney, Le Dauphiné Libéré

A’Corps fait rebondir le vocabulaire hip hop. Nonseulement il se développe en s’appuyant surd’autres techniques, mais il est malaxé dans desphrases inventives qui s’échappent du systèmerépétitif hip hop, pour baliser une nouvelle routeaux accents rythmiques.Rosita Boisseau, Le Monde

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MAISON DE LA DANSE

FÉVRIER

me 25 19h30

je 26 20h30

ve 27 20h30

sa 28 20h30

B projection vidéo salle Jacques Demy :Les Ballets de-ci de-là

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 6 janvier

Chorégraphie, théâtre, concert ? Comme chez lapionnière Pina Bausch dans les années 80, lesfrontières n’existent plus guère. À chacune descréations d’Alain Platel, on est ainsi pris à lagorge par la force de vie, brute, brutale, radicale,qui se dégage de la scène la plus ordinaire.Fabienne Pascaud, Télérama

Implacable leçon d’humanité, le travail d’AlainPlatel est une déclaration d’amour au-delà desnormes. (…) Rarement on a vu un spectacle nousbroyer le cœur sans perdre sa superbe plastique.Rosita Boisseau, Le Monde

En 2006 durant la Biennale, Alain Platelcélébrait avec la pièce vsprs, sur les Vêpres dela Vierge de Monteverdi les vingt ans d’uneaventure unique, celle du collectif des BalletsC. de la B. qu’il a initié. Vingt ans de danseréinventée, carambolage de théâtre, demouvement, de musique comme on n’enavait pas connu depuis longtemps. Vingt ansqu’avec une lucidité infernale, une tendresseécorchée, Platel convoque sur le plateau lespaumés, les éclopés, les déconnectés pour lesfaire danser, chanter, jouer une sociététristement moderne où ils n’ont plus leurplace. Le nouveau spectacle du chorégrapheet du compositeur Fabrizio Cassol, déjà co-auteurs de vsprs, puise cette fois soninspiration musicale dans la Passion selonsaint Matthieu. Sur scène, dix danseurs,quatre chanteurs et sept musiciens adaptentle chef-d’œuvre de Bach, qui a pour thèmeprincipal le sacrifice ultime auquel puisseconsentir un individu : celui de soi.

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lES BALLETS C. DE LA B.ALAIN PLATEL/FABRIZIO CASSOL

PITIÉ ! (création 2008)

10 danseurs, 4 chanteurs, 7 musiciensconcept, mise en scène : Alain Platel • musiqueoriginale : Fabrizio Cassol d’après La Passionselon saint Matthieu de Jean-Sébastien Bach •dramaturgie : Hildegard De Vuyst • dramaturgiemusicale : Kaat Dewindt • scénographie : Peter DeBlieck

production : Les Ballets C. de la B. • coproduction : Théâtre dela Ville-Paris, Le Grand Théâtre de Luxembourg, TorinoDanza,Ruhr Triennale 2008, KVS-Bruxelles • avec le support excep-tionnel de : Kunstencentrum Vooruit-Gand, Holland Festival-Amsterdam • avec l’appui des autorités flamandes de la Villede Gand et de la province de la Flandre-Orientale

spectacle accueilli avec le soutien de la Région Rhône-Alpes dans le cadre du Réseau des Villes

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kATALINE PATKAÏ

Studio

Le corps fin de la jeune femme, parfois perdue,parfois complice, rend très émouvantes cespostures de sex-symbol rock’n’roll mâle.Philippe Verrièle, La Scène

Dos au mur d’amplis et de caissons de basse duplus bel effet, Kataline Patkaï expose la transepropre au rock, prend la pose et finit torse nu,corps offert. (…) L’esprit du rock en résumé.Philippe Noisette, Danser

Transe, crispation, yeux clos, sexe attitude,sursauts... Le corps des bêtes de scèneexprime tout à la fois la révolte, la sensualité,la souffrance. Dans Rock Identity, la danseuseet chorégraphe Kataline Patkaï s’arroge lagestuelle de trois figures du rock -JimMorrison, Kurt Cobain et Bertrand Cantat-pour en extirper la moelle d’une danseexacerbée. Pour approcher la singularité oùs’initie l’invention du mouvement, pourdévoiler le corps intérieur d’une icône portée,enchaînée, éclatée par sa musique et sonpublic. Agrippée à son micro, elle découpeune silhouette tendue dont l’énergie sedéverse dans des poses insolites. Inventéespar un homme mais interprétées par unefemme, indissociables d’une personne maisreprises par une autre, hors de leur contexte,ces poses forcément se transforment.Kataline Patkaï, qui ne manque ni de style nide mordant, tente de dépasser les clichés etcreuse l’identité féminine sous toutes sesfacettes.

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avec le soutien de la Fondation BNP Paribas

MAISON DE LA DANSE

STUDIO JORGE DONN

FÉVRIER

je 26 19h

ve 27 19h

sa 28 19h

durée : 50 minutes

tarif unique 10 €

location à partir du 1er juillet

ROCK IDENTITY (création 2008)

solo accompagnéconception : Kataline Patkaï • interprétation :Céline Debyser, Kataline Patkaï • édition son :Vincent Itard • scénographie, lumières : PierreJorge Gonzalez • régie générale : BenjaminBoiffier

production : Association Patkaï • coproduction : Théâtre deVanves • avec le soutien de Catherine Develay - Théâtre LeRanelagh-Paris, micadanses-Paris, Centre national de la danse-Pantin pour le prêt de studios.

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MAISON DE LA DANSE

MARS

ma 3 20h30

me 4 19h30

je 5 20h30

ve 6 20h30

sa 7 20h30

di 8 15h

durée : 2h20 entracte compris

FAME LE MUSICAL (création 2008)

30 artistes et musiciensconception : David de Silva • livret : JoséFernandez • paroles : Jacques Lévy • musique :Steve Margoshes • la chanson titre Fame a étéécrite par Dean Pitchford et Michael Gore adaptation française :livret : Stéphane Laporte, Danielle Mathieu-Bouillon • paroles : Stéphane Laporte • mise enscène : Ned Grujic, assisté de : Sonia Sariel • cho-régraphie : Raphaël Kaney Duverger • directionmusicale : Samuel Séné

production : Maurice Molina, Lorenzo Vitali Entertainment,Atelier Théâtre Actuel

Inspiré du film et de la célèbre série télévisée des années 80, Fame, le spectacle musical mythiquea déjà fait le tour du monde. Le voilà enfin dans une production toute française. Histoire simpleet vraie : des jeunes gens apprennent à chanter, à danser et à jouer la comédie… Issus d’horizonssociaux et ethniques différents, réunis par une même passion pour leur art et une formidable enviede réussir, encadrés par des professeurs tout entier dévoués à leur discipline, ils comprendront auterme de quatre années d’études que cette école du spectacle est aussi l’école de la vie et quel’on n’atteint pas la célébrité en un claquement de doigts. Sur scène aujourd’hui, la troupecomposée de trente jeunes artistes -danseurs, chanteurs, musiciens- donnent du corps et de lavoix de façon magistrale et fidèle au scénario qui n’a pas perdu un gramme de son charme ni deson actualité à l’heure des Star Academy, Nouvelle Star et autres Pop Star ! Les thèmes del’éducation, du racisme, de la compétition sont traités avec force et conviction. L’enthousiasme, lavitalité et le talent du casting de choc sont ici communicatifs et forcent l’admiration.

FAME LE MUSICAL

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B projection vidéo salle Jacques Demy :Best-of de clips vidéo dansés

1è série 2è série

plein tarif 40 € 30 €

réduit 35 € 25 €

location à partir du 9 décembre

L’adaptation du film en comédie musicale estformidable et a déjà ravi des milliers despectateurs dans le monde. Des chanteurs-danseurs-musiciens d’une énergie folle qui donneà tout un chacun l’envie de danser ! (…)Ideal.es

Vingt ans après, le thème du spectacle continuede parler au plus grand nombre : dépassementde soi, travail, amour, passion pour la scène.Canarias 24 Horas

Il est très à la mode aujourd’hui de se donneren spectacle à la télévision et les émissions quipromettent aux candidats gloire et célébrité nemanquent pas. En 1980, Fame faisait figure deprécurseur.El Comercio

Intemporel et universel, un grand spectacle pourtoutes les générations.El Día

SPECTACLE MUSICAL

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mAURICE BÉJARTBÉJART BALLET LAUSANNE ©

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Maurice Béjart nous a quittés mais son amitié nous reste intacte, gravée dans le cœur commesa dédicace « Danser, danser, danser… ». Il a confié les rênes de la compagnie à Gil Roman,qui devra préserver l’héritage du maître et renouveler le répertoire. La Maison de la Dansereprend cette saison le spectacle initialement prévu en novembre 2007, Zarathoustra, Le Chantde la danse, remplacé au dernier moment par L’amour, la danse suite à la blessure du danseurprincipal. Véritable testament sur les pages musicales des compositeurs qu’il aimait par-dessustout -Wagner, Beethoven, Bach, Vivaldi, Mahler- Zarathoustra, Le Chant de la danse est ladernière grande fresque baroque de Béjart, qui rappelle implicitement les spectacles-épopéesdes années 70. Il met en scène la vie de Nietzsche comme on feuillette un livre d’images. On yretrouve comme une synthèse ou une récapitulation de son art, car c’est toute sa vie, sa raisond’être, ses amours qu’il y transfigure.

HORS ABONNEMENT

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L’AMPHITHÉÂTRE

CITÉ INTERNATIONALE

MARS

me 11 20h30

je 12 20h30

ve 13 20h30

sa 14 20h30

di 15 15h

ma 17 20h30

me 18 20h30

durée : 2h entracte compris

1è s. 2è s. 3è s.

plein tarif 55 € 45 € 35 €

réduit 50 € 40 € 30 €

tarif abonné 45 € 35 € 25 €

location à partir du 2 décembre

ZARATHOUSTRA, LE CHANT DE

LA DANSE (2005)

34 danseurschorégraphie : Maurice Béjart • costumes : HenriDavila • lumières et disposition scénique :Clément Cayrol • musiques : Richard Wagner,Ludwig Van Beethoven, Manos Hadjidakis, Farah,Jacques Offenbach, Jean-Sébastien Bach, AntonioVivaldi, Friedrich Nietzsche, Pietro Metastasio,Thierry Hochstätter, Jean-Bruno Meier, Gagaku,Chuck Berry, Pugliese

Ouvert à toutes les cultures et à toutes lesmusiques, le chorégraphe-star a fait entrer ladanse dans le XXe siècle. (…) Maurice Béjart oula révolution du ballet.Jean-Claude Diénis, Télérama

Un danseur dans les étoiles : il avait fait de ladanse un art formidablement populaire. (…) Il futl’auteur de chefs-d’œuvre prêts à affronter lessiècles.Raphaël de Gubernatis, Le Nouvel Observateur

Avec Gil Roman aujourd’hui à la tête du BéjartBallet Lausanne, codirecteur de la compagniedepuis 1993, le flambeau est bel et bien repris.Rosita Boisseau, Le Monde

L’esprit de la danse en deuil. Son empreintemarquera durablement l’univers de la danse.Muriel Steinmetz, L’Humanité

Maurice Béjart, l’âme de la danse. Tout au longde sa vie, il a hissé son art au plus haut niveau,en le rendant populaire.Ariane Bavelier, Le Figaro

Parlé, dansé, merveilleusement dansé,superbement costumé, décoré et éclairé, ceZarathoustra boucle la boucle. Béjart a tout dit.Mais on ne se lasse pas de l’écouter.Jean-Pierre Pastori, 24 Heures

Maurice Béjart fut pendant plus de quarante ansun des chorégraphes majeurs du XXe siècle parson art éclectique du collage qui mixa latechnique classique aux avant-gardes les plusexpérimentales.Marie-Christine Vernay, Libération

Maurice Béjart rejoint les étoiles. (…) Il estcertainement le seul chorégraphe dont le mondeentier connaît le nom. À la vie, à la mort.David S. Tran, Le Progrès

Maurice Béjart, la danse pour le temps présent.(…) Au plus près de l’actualité, Béjart a racontéson époque. En donnant à son œuvre valeur detémoignage.Joséphine Mulon, La Croix

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MAISON DE LA DANSE

MARS

sa 14 19h30

matinées complices les 11 et 14

matinées scolaires les 12, 13 et 16

durée : 1h30 entracte comprisplacement libre

plein tarif 15 €

réduit 12 €

enfant 7 €

location à partir du 6 janvier

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Inutile d’être un enfant ou d’accompagner unenfant pour apprécier les productions d’Introdans,toutes taillées pour emporter l’adhésion du plusgrand nombre.Jack Anderson, New York Times

Introdans propose très certainement lesprogrammes « tout public » les plus toniques etles plus séduisants que l’on puisse voiraujourd’hui.Kelly Apter, The Scotsman

iNTRODANS ENSEMBLE

POUR LES JEUNES

Introdans Ensemble pour les Jeunes, compa-gnie néerlandaise pour le jeune public, pré-sente depuis plus de quinze ans aux Pays-Baset en tournée à l’étranger un répertoire richeet ouvert, idéal pour sensibiliser les enfants àl’art chorégraphique. Se voulant contempo-raine mais sur une base classique, la compa-gnie a attiré de très nombreux chorégraphesde tendances diverses et désireux de partici-per à cette aventure originale. Pour cettedeuxième invitation à la Maison de la Danse,un programme au titre presque imprononça-ble et à tiroirs, tout à fait révélateur de l’hu-mour et de la fantaisie qu’il comprend :Slapstripstick ! La reprise d’une pièce sur leschansons de Nina Hagen et Laurie Andersondu maître Hans Van Manen, deux pièces deRobert Battle et la création de DavidMiddendorp, l’hilarant Sad Case de PaulLightfoot et Sol León (chorégraphes résidentsau Nederlands Dans Theater) et une transmis-sion inédite de Wrapped d’Inbal Pinto, pré-senté à la Biennale en 1998. Des pièces aussiremarquables pour leur humour que pour leurvitalité et la qualité de leur interprétation.

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SLAPSTRIPSTICK

14 danseurs

ELLA (entrée au répertoire 2008)

chorégraphie : Robert Battle

PROMENADE (création 2008)

chorégraphie : Robert Battle

CRÉATION 2008chorégraphie : David Middendorp

WRAPPED (entrée au répertoire 2005)

chorégraphie : Inbal Pinto

SAD CASE (création 2008)

chorégraphie : Paul Lightfoot & Sol León

IN AND OUT (entrée au répertoire 2003)

chorégraphie : Hans van Manen

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Cette légende de la danse black US est une sacréedécouverte. Dix danseurs, un plateau vide pour unconcentré d’abstraction sensuelle et puissant.Aucun besoin de décor pour ce chorégraphe quipossède une science magique du geste et del’espace.Rosita Boisseau, Le Monde

aLONZO KINGALONZO KING’S LINES BALLET

Les titres des pièces d’Alonzo King tintent commedes haikus imprimant dans le sillage des mots,l’élan spirituel d’une danse qui enchante le corps.À la technique virtuose, il allie une sensualitémusclée, une fluidité toute féline qu’il affinejusqu’au pur plaisir esthétique.Gwenola David, Danser

Alonzo King, droit au chœur. La chorégraphie saitaussi bien écrire les ensembles amples etondulatoires que des duos sculpturaux et charnels.Marie-Christine Vernay, Libération

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MAISON DE LA DANSE

MARS

je 19 20h30

ve 20 20h30

sa 21 15h

sa 21 20h30

di 22 17h

ma 24 20h30(hors abonnement)

me 25 19h30

ve 27 20h30

sa 28 20h30

matinée scolaires le 26

durée : 1h35 entracte compris

B projection vidéo salle Jacques Demy :Alonzo King goes to Venice

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 20 janvier

MIGRATION : THE HIERARCHICAL

MIGRATION OF BIRDS AND MAM-

MALS (2006)

chorégraphie : Alonzo King • musique : MiguelFrasconi, Leslie Stuck

avec le soutien de : Movimentos, Festwochen Der Autostadt inWolfsburg

IRREGULAR PEARL (2007)

chorégraphie : Alonzo King • musique : ArcangeloCorelli, Marin Marais, Antonio Vivaldi, DomenicoScarlatti…

avec le soutien de : Fleishhacker Foundation

RASA (2007)

chorégraphie : Alonzo King • musique : ZakirHussain

avec le soutien de : Bernard Osher Foundation

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Le retour du King. Décembre 2004, premièreen France, deux pièces virtuoses et sensuellesfont chavirer de bonheur le public de laMaison, qui découvre une compagniesomptueuse avec quelques-uns des plusbeaux danseurs au monde, et un maître de lacomposition chorégraphique, Alonzo King.Sur une base classique, il développe unedanse inventive et vibrante. Pour WilliamForsythe, « Alonzo King est l’un des raresvéritables maîtres de ballet de notre époque ».Dans ce nouveau programme, tout estmouvement continu, fluide, musicalitéexceptionnelle, car la danse et la musique ontune respiration commune. Solos, duos,ensembles, pointes et pieds nus, bras toujoursexpressifs forment un vocabulaire unique quibouleverse les amoureux de la danse au-delàdes styles et des techniques. Les cascades depas affolent le corps en tous sens, l’inventionchorégraphique est sans fin. Alonzo King, legéant de San Francisco.

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MAISON DE LA DANSE

STUDIO JORGE DONN

MARS

je 26 19h

ve 27 19h

sa 28 19hdurée : 1h environ sans entracte

tarif unique 10 €

location à partir du 1er juillet

COMME CRÂNE, COMME CULTE

(2005)

proposition : Christian Rizzo • interprétation :Jean-Baptiste André

production : l’association fragile • coproduction : SACD,Festival d’Avignon dans le cadre du programme Le Sujet à Vif• avec le soutien de : CNDC Angers

DEVANT L’ARRIÈRE-PAYS (2007)

chorégraphie : Stijn Celis • interprétation : JulieGuibert

production : l’association fragile • coproduction : SACD,Festival d’Avignon dans le cadre du programme Le Sujet à Vif

Une pièce de Christian Rizzo, c’est une plongéeen apnée au cours de laquelle la pression monteet les sens gagnent en acuité. (…) Unedélicatesse et une pureté éblouissantes.Renan Benyamina, Hétéroclite

Julie Guibert, solaire, déploie une énergieintérieure, repliée sur elle-même, marche lesjambes pliées ou joue de sa langue, un bout detissu rouge sang dans la bouche, tel un faunetransgenre. On ne quitte pas du regard cet animalapeuré, sa présence dans la lumière suffisant àtransporter le public saisi.Philippe Noisette, Danser

Sobriété et rigueur fascinantes. Deux solos d’une rare intensité sur le même tapis blancimmaculé. Dans comme crâne, comme culte de Christian Rizzo, Jean-Baptiste André évoluedans une combinaison de motard qui recouvre tout son corps, mains comprises, le visagemasqué sous la double protection d’un casque et d’une cagoule noire. Chaque partie de soncorps souple et fluide se déforme et dessine des mouvements d’une grande précision. AvecDevant l’arrière-pays chorégraphié par le Belge Stijn Celis, Julie Guibert impose une partitiontrès consistante, sorte de concentré de modernité que son interprétation impeccable porte à dessommets de poésie chorégraphique. Tous ses membres transpirent une gestuelle déliée, unenvol de sensualité. Dans les deux solos, la même lenteur des gestes proches des arts martiaux,le même silence avant l’injection finale de musiques emphatiques, impossibles à oublier.

SStudio

cHRISTIAN RIZZO /

STIJN CELIS

avec le soutien de la Fondation BNP Paribas

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Les quatre magnifiques solistes Olga Pericet,Manuel Liñán, Marco Flores et Daniel Doña seréunissent pour la première fois sur scène etprésentent En Sus 13 à la Biennale de Sévilleen septembre 2008 puis à la Maison de laDanse. Tous lauréats de prix d’interprétationen Espagne à Cordoue et Madrid, chacun avecun style et une écriture chorégraphique quileur est propre, ils défendent un projet de belledanse, purement flamenca, sans argument. Unflamenco actuel et dépouillé de tout folkloreostentatoire. Sur scène pour les accompagner,cinq musiciens et chanteurs vibrants, deux jeu-nes danseuses-palmeras. En Sus 13 signifie « en toute conviction », « camper sur ses posi-tions », « ne pas en démordre » : ces quatre-là relèvent le défi de renouveler la traditionflamenca et de laisser libre court à leur libertécréatrice. Le flamenco explose d’invention, etla Maison et son public en sont les témoinsprivilégiés !

MAISON DE LA DANSE

AVRIL

me 1er 19h30

je 2 20h30

ve 3 20h30

sa 4 20h30

durée : 1h20 sans entracte

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 27 janvier

EN SUS 13 (création 2008)

6 danseurs, 5 musiciens et chanteursdirection artistique, chorégraphies : Olga Pericet,Manuel Liñán, Marco Flores • artiste invité :Daniel Doña • musique originale : AntoniaJiménez, Arcadio Marín • création lumières :Gloria Montesinos • costumes : Olga Pericet,Manuel Liñán, Marco Flores

distribution : Arte & Movimiento Producciones

B projection vidéo salle Jacques Demy :Adelita, Sevilla y flamenco

cOMPAÑÍA FLAMENCA EN SUS 13OLGA PERICET, MANUEL LIÑÁN, MARCO FLORES

ARTISTE INVITÉ DANIEL DOÑA

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Olga Pericet est une femme menue et tenace.Elle devient grande sur scène tant sa danse et sontempérament illuminent la scène.El País

Manuel Liñán est la bombe qui a explosé l’annéedernière. Plus qu’un bon danseur, il réunitl’instinct, la sensibilité et le caractère du meilleurflamenco d’aujourd’hui, une créativité différentegrâce à des silences éloquents et des glissementsabsolument magiques.El Mundo

À seulement vingt-cinq ans, Marco Flores danse lemartinete le plus extraordinaire qu’on ait vudepuis longtemps. À lui seul, il garantit rappels etstanding ovation !El Mundo

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MAISON DE LA DANSE

AVRIL

sa 18 20h30

di 19 17h

lu 20 20h30

durée : 2h entractes compris

B projection vidéo salle Jacques Demy :Montage d’archives vidéo autour du solo

1è série 2è série

plein tarif 24 € 18 €

réduit 21 € 15 €

location à partir du 24 février

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aNDONIS FONIADAKIS /

TALIA PAZ

Deux interprètes d’exception, aux parcoursdifférents mais dont le point commun est dedégager une énergie brute et une sensualitépeu commune sur scène. Le grec AndonisFoniadakis et l’israélienne Talia Pazs’entendent pour imaginer un programmeriche et original, spécialement pour la Maisonde la Danse. Andonis Foniadakis est unancien danseur du Ballet de l’Opéra de Lyon,déjà présenté durant la Biennale et dont nousavons vu récemment une pièce forteinterprétée par le Ballet du Grand Théâtre deGenève sur la musique de Bach. Il présente iciun solo qu’il crée en collaboration avec undramaturge chypriote. Talia Paz, étoilenotamment au sein des compagnies Batshevaet Cullberg, dévoile son charme à traversdeux solos créés pour elle. Elle s’amuse dansHabayta, la comédie musicale revisitée par lemembre fondateur de DV8, Nigel Charnock.Elle se love dans le poème chorégraphique duBelge Stijn Celis Magnolia, bien accordé autragique et parfois au grinçant de la 4e

Symphonie de Mahler. Andonis Foniadakis etTalia Paz, une rencontre au sommet.

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CRÉATION 2008

solochorégraphie, interprétation : Andonis Foniadakis• scénographie, dramaturgie : ChristodoulosPanayiotou • musique : Julien Tarride

HABAYTA (2006)

solochorégraphie, costumes : Nigel Charnock • inter-prétation : Talia Paz • musique : Underworld,Acoustic Ladyland, Rodgers and Hammerstein,Frank Sinatra, Jeff Buckley • lumière : JackieSchemesh

MAGNOLIA (2006)

solochorégraphie : Stijn Celis • interprétation : TaliaPaz • musique : Gustav Mahler, 4e Symphonie •lumière : Jackie Schemesh • costume : KathyBrunner

Talia Paz est accueillie avec le soutien de la Divisiondes Affaires Culturelles et Scientifiques du Ministèredes Affaires Étrangères d’Israël, les Services Culturelsde l’Ambassade d’Israël en France

Le travail d’Andonis Foniadakis est uneinterrogation sur la chair et l’esprit, latranscendance et la temporalité... Dans unmouvement ininterrompu, organique, presque enfusion, les corps exultent.Lisbeth Koutchoumoff, Le Temps

Talia Paz nous entraîne dans un parcours où soncorps et ce qu’il peut devient le sujet même d’unerêverie. Où la danseuse apparaît comme lemonstre fragile, la chimère qu’elle est : tour à tourinquiétante, envoûtante, délicate, irréfragable,glaciale, inaltérable, douce, sensible…Agnès Izrine, Danser

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MAISON DE LA DANSE

MAI

ma 5 20h30

me 6 19h30

je 7 20h30

B projection vidéo salle Jacques Demy :Apprendre à danser, danser pour apprendre

direction du CNSMD : Henry Fourès • directionartistique : Jean-Claude Ciappara • maître de ballet :Gaëlle Communal Van Sleenchorégraphies • classique : Pierre Darde, création ;Julien Ficely, RH99 • contemporain : WilliamForsythe, reprise ; David Drouard, création ;Gaetano Battezzatto, création

jEUNE BALLET DU CNSMD DE LYONCONSERVATOIRE NATIONAL SUPÉRIEUR MUSIQUE ET DANSE

Un partenariat privilégié lie le Jeune Ballet à la Maison de la Danse, qui l’invite chaque saison.Quatrième et dernière année du cursus du Conservatoire National Supérieur Musique et Dansede Lyon, le Jeune Ballet constitue, pour le jeune danseur, la première phase de son insertionprofessionnelle. Son objectif est de créer des rencontres avec des chorégraphes confirmés, maisaussi des créateurs qui abordent une première œuvre et des compositeurs aux conceptions etesthétiques diverses. Au programme, les pièces créées pour eux des chorégraphes Pierre Darde,David Drouard et Gaetano Battezatto, et les pièces transmises par Julien Ficely et WilliamForsythe. Un programme exceptionnel de technique classique et contemporaine, où lesdanseurs s’épanouissent par l’apprentissage de la scène et la rencontre avec différents publics.

plein tarif 15€

réduit 12€

location à partir du 24 février

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On ne dira jamais assez à quel point Saburo Teshigawara est un artiste majeur de la créationen Asie. Son œuvre abstraite, d’une beauté visuelle à couper le souffle, donne à voir dans sarigueur et sa netteté, une forme d’idéogramme vivant. Danseur prodigieux, son corpsdésarticulé avec une évidence qui laisse coi, électrise l’air sans relâche. La violence intime aveclaquelle il s’engouffre dans sa danse est saisissante. À chaque instant, souplesse et tension serelaient dans un mouvement continu et poétique. Après Absolute Zero pour la Biennale et lapièce Luminous à la Maison de la Danse, Saburo Teshigawara présente son dernier solo Mirokuoù l’esthétisme triomphe à chaque pas. Dans un impressionnant décor-écrin de lumièreévanescente, sa silhouette dessine des circonvolutions sans cesse nouvelles dont il semble sesurprendre lui-même. C’est cet étonnement, cet égarement même devant son mouvement quirendent sa présence si singulière. Inoubliable.

sABURO TESHIGAWARA + KARAS

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Dès que Saburo Teshigawara apparaît, il n’abesoin d’aucun accessoire pour que son écritures’impose. Désarticulation invraisemblable,spasmes de la tête aux pieds, il balance entrel’anémone de mer et le pantin.Rosita Boisseau, Le Monde

À chaque fois avec Teshigawara, c’est uneredécouverte, même si le style est repérable :abstrait, rapide, sobre, épuré. Plastiquementirréprochables, intelligentes corporellement, sespièces sont des joyaux.Marie-Christine Vernay, Libération

Conquête permanente de l’espace, vitesse demouvements étourdissants, expression du corpsunique… La silhouette de ce danseur imprimedurablement la rétine.Agnès Benoist, Lyon Figaro

Il n’y a presque rien sur scène parce que lespectacle, c’est lui. La merveille, c’est lui. Il luisuffit de bouger le petit doigt pour installer lechaos dans ses veines.David S. Tran, Le Progrès

MAISON DE LA DANSE

MAI

je 14 20h30

ve 15 20h30

sa 16 20h30

durée : 1h sans entracte

B projection vidéo salle Jacques Demy :Saburo Teshigawara, danser l’invisible

1è série 2è série

plein tarif 30 € 23 €

réduit 27 € 20 €

location à partir du 10 mars

MIROKU (2007)

solochorégraphie, scénographie, lumière, costume :Saburo Teshigawara • musiques : Niel Griffiths,Kei Miyata, Saburo Teshigawara • collaborationartistique : Kei Miyata

coproduction : Karas, New National Theater-Tokyo

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MAISON DE LA DANSE

MAI

ma 26 19h30

matinées complices le 27

matinées scolaires les 26, 28 et 29

placement libre

plein tarif 15 €

réduit 12 €

enfant 7 €

location à partir du 17 mars

L’AMOUREUSE DE MONSIEUR

MUSCLE (création 2008)

trioconception générale, chorégraphie : MichelKelemenis • conception musicale : André Serré •costumes : Philippe Combeau

mICHEL KELEMENIS

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complices

Notre fidélité et notre attention constante autravail de Michel Kelemenis sont plus quejamais d’actualité. Une fois encore, il aprouvé la saison dernière, avec la grandepièce Pasodoble créée en collaboration avecle compositeur Philippe Fénelon, son talent etson intelligence. Il est l’ardent défenseurd’une danse fluide, généreuse, aux accentslyriques. Une danse de ballet ! Cette saison, ilcrée un spectacle spécifiquement destiné aujeune public : L’Amoureuse de MonsieurMuscle dont l’axe central est la découverte del’anatomie du corps humain. Les membres,leurs segments, les articulations, la peau, sonélasticité, la tête et le poids des idées… sontautant d'entrées dans les séquences danséesdu spectacle qui se veut ludique, vif etpoétique. Trois danseurs endossent les rôlesde l’Amoureuse, Monsieur Muscle et dumystérieux Anatom... Michel Kelemenisconfie la création musicale de la pièce àAndré Serré, lyonnais de cœur et compositeurtalentueux, qui s’est déjà par le passé illustrédans la réalisation de spectacles musicauxinitiatiques.

La danse aime parfois se nourrir judicieusementde l’influence de ses maîtres. Michel Kelemenis aété formé par l’un des plus talentueuxchorégraphes français de la décennie 80 :Dominique Bagouet. Fidèle à sa conception de ladanse, Kelemenis joue du grand écart entre danseabstraite, désir de séduire et humanité.Francis de Coninck, Lyon Poche

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JEUNE PUBLIC

La Maison de la Danse convie les plus jeunes à découvrir la danse d’aujourd’hui, celled’hier, la danse du monde, à travers des pièces majeures et des propositions artistiquesinnovantes.

Avec les Matinées scolaires, découvrez l’art et la culture dès le plus jeune âge.Enseignant, éducateur ou responsable d’une structure sont accueillis et conseillés parl’équipe des relations publiques afin de les accompagner dans leur projet culturel etpédagogique. Choix des spectacles, rencontres avec les artistes ou encore vidéo-conférences pour les groupes, sont autant de propositions du service Jeune Public pourfavoriser ces premières rencontres avec le spectacle vivant. Ces matinées, réservées auxscolaires, ont lieu à 10h ou 14h30 et durent une heure environ.

Les spectacles Complices sont proposés aux parents, grands-parents, baby-sitters ouéducateurs les mercredis et samedis pour partager avec les enfants un moment d’émotionet de découverte. Quand s’ajoutent à cette complicité, pertinence, humour et tendresse, lesyeux des enfants et des plus grands pétillent de plaisir et d’émerveillement.Nous vous proposons 6 spectacles Complices à 15h ou 19h30 réservés aux enfants à partirde 5 ans et de moins de 14 ans accompagnés d’un adulte. L’âge minimum est donné àtitre indicatif. Le placement est libre.

SCOLAIRES

Vous pouvez mettre une option à partir du20 mai 2008 - Contactez Noëlle Boulay :[email protected] tél. 04 72 78 18 18 / fax. 04 72 78 70 90

Tarifs scolaires

élève 5,50 €

Les enseignants-accompagnateurs sontinvités (un pour dix enfants)

Tarif Grupo Corpo 12 €ou carte M’ra

COMPLICES

Vous pouvez acheter des places auguichet ou souscrire un abonnement Complices composé de 3 spectacles auchoix (voir p. 69).

Tarifs guichet Complices

réservé aux enfants et leurs accompagnateurs

Complices 15h 12 € tarif adulte

7 € tarif enfant

Complices 19h30 15 € tarif adulte

12 € tarif réduit

7 € tarif enfant

Abonnement Complices

42 € un enfant et un adulte

16,50 € supplémentaires dès le 2ème

enfant

36 € adulte supplémentaire

© M. Logvinov

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SEPTEMBRE

CIE ÉTANT DONNÉ

EN APARTÉ

AU RADIANT / CALUIREBienvenue au royaume de la maison ! Enaparté est une invitation à découvrir le beau,le poétique, le ludique dans l’univers le pluscommun : notre quotidien. Un voyage au paysde tous les jours, une exploration de laroutine qui éclaire enfin chacune de nosactions comme un événement unique. À tra-vers le corps des deux interprètes, chaquegeste devient danse, chaque bruit devientchant transformant l’habitat en un territoiremerveilleux. / de 5 à 8 ans

COMPLICES

me 10 15h

sa 13 15h

SEPTEMBRE

CIE CONTOUR PROGRESSIF

EFFET PAPILLON

AU RADIANT / CALUIREEffet papillon convoque les codes du jeuvidéo pour interroger les représentations ducorps dans les univers de réalité virtuelle : uncorps médiatisé, sans durée ni gravité, necraignant plus la mort puisque les résur-rections sont illimitées. La chorégraphe cernepar la danse la contamination des corps réelspar leurs avatars, ces corps virtuels composésde pixels. Les danseurs sont équipés decapteurs qui permettent de sonoriser leurspas, leurs sauts, leurs combats et qui génè-rent des effets lumineux. La rencontre de ladanse et du jeu vidéo est-elle une façon defaire muter le corps ? / à partir de 10 ans

COMPLICES

sa 20 19h30

me 24 15h

OCTOBRE

EUROPA DANSE

PICASSO ET LA DANSE

PARADE / PULCINELLA / CUADRO FLAMENCO

Ce spectacle présente trois ballets dontPicasso composa les décors et les costumesriches et colorés, introduisant ainsi le cubismesur scène. Parade nous emmène au cœurd’une fête foraine fantasque où acrobates,clowns et autres saltimbanques s’animent surune musique d’Erik Satie. Sur une compositiond’Igor Stravinski, Pulcinella reprend les aven-tures amoureuses de Polichinelle. Ana MariaStekelman revisite ce ballet en donnant librecours à une chorégraphie contemporainesans négliger les clins d’œil à la CommediaDell’arte. Enfin, Cuadro Flamenco rassembledes danseurs espagnols sur des danses et desmusiques andalouses traditionnelles./ à partir de 5 ans

SCOLAIRES

je 9 10h / 14h30

ve 10 14h30

COMPLICES

me 8 15h

sa 11 15h

© Cie Étant Donné © Mathieu Bouvier © M. Logvinov

JEUNE PUBLIC

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NOVEMBRE

GRUPO CORPO

Grupo Corpo ou le mariage d’une traditionrégénérée et d’une inventive modernité. Lacompagnie a tout intégré : la sacro-saintesamba et ses innombrables variantes, le forródes bals populaires, les traditions africainesissues de l’esclavage, et le ballet classique,gage de virtuosité et d’élégance, pour inventerun style chorégraphique endiablé qui enflam-me les scènes du monde entier. On ne résistepas au dynamisme, à l’exubérance et auxdéhanchements sensuels des danseurs, ils ontle rythme dans la peau et le feu au corps ! / lycéesTarif spécial 12 € ou carte M’ra

SCOLAIRES

je 27 14h30

JANVIER

CIE KÄFIG

TRICÔTÉ

« Comment fabrique-t-on un spectacle ? Parquoi, par où commence-t-on ? Commentchoisit-on les danseurs, la musique ? Com-ment sont créés les mouvements ? ». Autantde questions que l’on peut se poser à proposde la réalisation d’une pièce. Avec ses cinqdanseurs rompus à toutes les techniques duhip hop, Mourad Merzouki met en scène etchorégraphie les coulisses d’un spectacle : lesauditions d’abord, les répétitions puis lareprésentation. Trois côtés pour dérouler ettricoter le fil qui nous mène de la conceptionà la réalisation ; trois moments pour voir semonter sous nos yeux un spectacle cousumain ! / à partir de 8 ans

SCOLAIRES

ma 6 14h30

je 8 14h30

ve 9 14h30

COMPLICES

me 7 15h

sa 10 15h / 19h30

NOVEMBRE

DENIS PLASSARD

DÉBATAILLES

CRÉATION 2008 EN RÉSIDENCE À LA MAISON

DE LA DANSE

Depuis ses débuts, le travail de Denis Plassardse nourrit du décalage et n’hésite pas àutiliser le ressort de la dérision et del’humour. À chaque nouvelle création, ils’amuse à se confronter à d’autresesthétiques et à se plonger dans d’autresunivers. Dans ce nouveau spectacle en formede défis, deux équipes de danseurss’affrontent sur un terrain de jeu loufoque.Inspiré des battles hip hop, des dansestraditionnelles et des compétitions de dansesportive, le spectacle se déroule comme unvrai concours. Délirantes ou tendrementcruelles, les joutes physiques s’enchaînent.Un petit orchestre -accordéon, guitare,percussions- accompagne sur scène les duelsdansés. La bizarrerie, le plaisir et la virtuositésont les clés de la victoire ! / collèges/lycées

SCOLAIRES

je 6 14h30

© José Luiz Pederneiras © Julien Piffaut© Christian Ganet

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MARS

INTRODANS ENSEMBLE POUR

LES JEUNES

SLAPSTRIPSTICK

SAD CASE / WRAPPED / PROMENADE / NEW

WORK / IN AND OUT

Basé aux Pays-Bas, Introdans s’attachedepuis plus de dix ans à créer des spectaclespour le jeune public. Le programme présentédévoile une large palette de styles et d’écolesde la danse contemporaine en réunissant despièces de différents chorégraphes : Sad Casede Paul Lighfoot et Sol León, Wrapped d’InbalPinto, Promenade de Robert Battle, Newwork de David Middendorp et In and outd’Hans van Manen. Des pièces variées quiforment un ensemble drôle, surprenant etlibre de toute frontière stylistique. / à partir de6 ans

SCOLAIRES

je 12 10h / 14h30

ve 13 14h30

lu 16 10h / 14h30

COMPLICES

me 11 15h

sa 14 15h / 19h30

MARS

ALONZO KING

Venue de San Francisco, voici l’une des plusimportantes compagnies de danse aux États-Unis, l’une des plus enthousiasmantes aussi.Le chorégraphe Alonzo King la dirige depuisplus de vingt ans, projetant à toute allure sesinterprètes dans une danse qui conjugue lelangage classique et une invention toutepersonnelle qui se loge notamment dans untravail ahurissant des bras et des mains. Unedanse inventive, surprenante et vibrante.L’intensité des danseurs n’a d’égale que laforce du chorégraphe à créer un univers./ collèges/lycées

SCOLAIRES

je 26 14h30

MAI

MICHEL KELEMENIS

L’AMOUREUSE DE MONSIEUR

MUSCLE (CRÉATION 2008)

L’axe central de cette pièce est la découvertedu corps. L’Amoureuse découvre le corps deson Monsieur Muscle tandis qu’un troisièmepersonnage, danseur, musicien ou maître decérémonie, tire les fils de l’amour sous le nommystérieux... d’Anatom. Ce personnage deMonsieur Muscle est un point d’entrée dansl’anatomie. Les membres et leurs segments,les articulations, la peau et son élasticité, latête et le poids des idées… sont autant deséquences dansées qui composent unelecture du corps basée sur une approcheludique, vive et poétique. / de 5 à 9 ans

SCOLAIRES

ma 26 14h30

je 28 10h / 14h30

ve 29 10h / 14h30

COMPLICES

ma 26 19h30

me 27 15h

© Hans Gerritsen © Marty Sohl © DR

JEUNE PUBLIC

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LA VIDÉOTHÈQUE

LA VIDÉOTHÈQUE DANS LES BOXES VIDÉO

Pour visionner des vidéos de danse, des documentaires autour des chorégraphes,des œuvres ou des grands courants de danse, la vidéothèque met à votredisposition deux boxes (jusqu’à six personnes par box).Le catalogue informatisé mis à disposition dans le hall vous permet d’effectuervos recherches par titre, chorégraphe, danseur, réalisateur, mot-clef... Ce centrede ressources de près de 1 000 titres, unique en région, est aussi utilisé à desfins pédagogiques : il nous permet d’organiser au sein de la Maison des vidéo-conférences tournées vers le jeune public et le monde de l’éducation.

CONSULTATION GRATUITE ET ILLIMITÉE

du lundi au vendredi 14h30 à 18h30

et samedis de représentations

La réservation de votre box est souhaitable au 04 72 78 18 00

LES VIDÉO-CONFÉRENCES

Ouverte à tout groupe constitué, une vidéo-conférence aborde le sujet de votrechoix, qu’il soit thématique (par exemple : ombre et lumière, les retrouvailles...)ou historique (les grands courants de danse).Elle se prépare en amont avec le vidéo-conférencier et se déroule dans la sallevidéo Jacques Demy, salle en gradin de 42 places. Le déroulement d’une séancede 60 à 90 minutes fait alterner des extraits de notre fonds d’archives -spectaclesfilmés, documentaires, films de danse- avec des temps de parole qui construisentle propos de la conférence. Le niveau et la parole sont adaptés à chaque âge, desgrandes sections de maternelle aux professeurs en formation. L’image est l’undes vecteurs les mieux adaptés à la transmission de la danse, elle devient sourced’émotion, d’émerveillement et de découverte !

ACCUEIL SUR RENDEZ-VOUS

Pour plus d’informations, contacter Olivier Chervin au 04 72 78 18 18

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PROJECTIONS AVANT ET APRÈS SPECTACLE

PROJECTIONS APRÈS LE SPECTACLE

MONTALVO-HERVIEU

LA DANSE, L’ART DE LA RENCONTRE

réal. Dominique Hervieu et José Montalvo (2007, 57’)

Poursuivant la réflexion sur les relations que tis-sent diversité, ouverture et identité culturelle,Dominique Hervieu se mue en passeuse ludiquepour nous guider d’un monde à l’autre, du Mali,au Cambodge en passant par la Tunisie. En nousmontrant ces artistes au cœur du processus d’in-vention, le film interroge la place et la nécessitéde la danse dans chacune de ces sociétés.du 6 au 20 septembre 08

PROJECTIONS APRÈS LE SPECTACLE

ANGELIN PRELJOCAJ

PAVILLON NOIR

réal. Pierre Coulibeuf (2006, 23’)

Un bâtiment, objet radical de béton noir ajouré,conçu par Rudy Ricciotti pour le Ballet Preljocaj,inauguré en 2006 à Aix-en-Provence. Sept dan-seurs nous font découvrir ses espaces à traversune création inédite. Actions chorégraphiques etsituations parodiques mènent le jeu en croisantdifférents langages et plusieurs thèmes : l’es-pace, le temps, le mouvement.du 25 septembre au 4 octobre 08

AUTOUR D’EUROPA DANSE

HOMMAGE À DIAGHILEV

réal. Colin Nears (1990, 50’)

Le pygmalion le plus célèbre du monde, quidécouvrit les plus grands chorégraphes et dan-seurs et associa à ses projets Picasso, Stravinski,Satie, Debussy, Poulenc, Chanel, pour ne citerqu'eux, présente, par l’entremise de la voix deCharles Picq, deux des plus illustres chorégra-phies des Ballets Russes qu'il anima pendantprès de vingt ans : Le Spectre de la rose etPrélude à l'après-midi d'un faune.du 7 au 11 octobre 08

AUTOUR DE JÉRÔME SAVARY

JOSÉPHINE BAKER

réal. Jacques Pessis (1996, 26’)

Joséphine Baker occupe une place à part dansl'histoire du music-hall. Cette célèbre meneusede revue qui a parcouru les scènes internationa-les sa vie durant, était aussi une femme deconviction. Agent d'espionnage pour les forcesde la France libre, elle fut aussi un farouchedéfenseur de la cause antiraciste. De la « RevueNègre » à Bobino, cinquante ans de music-hallet don de soi.du 16 au 24 octobre 08

AUTOUR DE DENIS PLASSARD

TÊTES DE SARDINES

réal. Denis Plassard, Pascal Nottoli (2007, 50’)

Ce soir, c’est une autre facette facétieuse du tra-vail de Denis Plassard qui nous est donnée àvoir sur écran : quatre têtes débarrassées de leurcorps pour une chorégraphie de visages ! Entreclignement d’œil, regard et grimace, les prisesde têtes sont fréquentes : cohabiter n’est paschose facile !du 5 au 7 novembre 08

AUTOUR DE GRUPO CORPO

L’histoire (d’amour) entre la danse et le Brésiln’est pas nouvelle mais on n’imagine pas ladiversité de créations qui fait danser ce vastepays. Ce soir, nous vous proposons un voyage autravers des spectacles présentés depuis 15 ans àla Maison de la Danse : Grupo Corpo, LiaRodrigues, Deborah Colker, Henrique Rodovalho,Jomar Mesquita et bien d’autres coups de cœurferont partie de cette sélection.du 11 au 29 novembre 08

AUTOUR DE DAVE ST-PIERRE

Justifiée ou pas, l’exploitation de la nudité dansla danse contemporaine frappe l’imaginaire àtout coup. Jan Fabre, Angelin Preljocaj, DavidWampach pour les contemporains, mais aussiAnna Halprin pour les précurseurs, seront pré-sents au travers d’extraits mettant en scène lecorps nu. Avec la danse, le corps occupe l’avant-scène, il est là, il nous parle.du 4 au 6 décembre 08

Avant et après chaque représentation, découvrez la programmation de documentaires ou de films autour de votre spectacle dans la salle vidéo Jacques Demy. Dix-neuf propositions pour vous accompagner dans le monde de la danse et dans les coulisses de la création.

entrée libre dans la salle vidéo Jacques Demy tous les jours de spectacle à 19h (le mercredi à 18h) et à l’issue de la représentation à l’exception du dimanche et desreprésentations des samedis 15h et 19h30

Autour de la Biennale de la Danse

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AUTOUR D’ALAIN PLATEL

LES BALLETS DE-CI DE-LÀ

réal. Alain Platel (2006, 52')

Le scénario du film traverse les pièces de quatrechorégraphes : Koen Augustijnen, Sidi LarbiCherkaoui, Christine de Smedt et Alain Platel.Avec le même processus qu’il utilise dans sesspectacles, Platel suit chaque personnalité danssa vie comme au travail. Le point de départ estune série de questions simples : qui sont ces artis-tes, ces danseurs ? D’où viennent-ils et quel estleur quotidien ? du 25 au 28 février 09

AUTOUR DE FAME

Trente minutes non-stop des meilleurs clipsvidéo dansés depuis ces vingt dernières années,histoire de poursuivre le revival Fame !du 3 au 7 mars

AUTOUR D’ALONZO KING

ALONZO KING GOES TO VENICE

réal. Dikayl (2004, 30’)

Des répétitions à San Francisco au triomphe desreprésentations à Venise, ce film, presque sansparoles, nous fait entrer dans les corps et l’inti-mité de la compagnie Lines Ballet. Avec commebouquet final, de longs extraits de pièces.du 19 au 28 mars 09

AUTOUR DU FLAMENCO

ADELITA, SEVILLA Y FLAMENCO

réal. Magali Negroni (1995, 25’)

En plein cœur de Séville se niche un petit palaisaux murs couverts d'azulejos. Depuis 50 ans,Madame Adelita Domingo y a fondé une écolede danse et de chant flamenco. Les élèves sontsélectionnés très jeunes, pour une quinzained'années d'apprentissage. Voyage au plus pro-fond de l'âme espagnole et de la générosité del'acte de transmission.du 1er au 4 avril 09

AUTOUR D’ANDONIS FONIADAKIS

ET TALIA PAZ

Montage d’archives (40’)

Retrouvons la magie des solos qui ont illuminéles soirées à la Maison de la Danse, avec entreautres Tero Saarinen, Talia Paz, Carolyn Carlson,Michel Kelemenis, Susanne Linke...du 18 au 20 avril 09

AUTOUR DU JEUNE BALLET

DU CNSMD

APPRENDRE À DANSER, DANSER

POUR APPRENDRE

réal. Marie-T Lemaître (2004, 30’)

Dans sa Classe d'Intégration Scolaire (CLIS),Joëlle Pijolat, professeur des écoles spécialisées àMeyzieu, s'attache à aider les enfants à se réinté-grer dans le système scolaire qu'ils ont rejeté ouqui les a rejetés. La pratique artistique et créatricede la danse est ici le fil d'Ariane qui conduit auxapprentissages scolaires. Remarquable.du 5 au 7 mai 09

AUTOUR DE SABURO TESHIGAWARA

SABURO TESHIGAWARA, DANSER

L’INVISIBLE

réal. Elisabeth Coronel (2005, 58’)

Ce documentaire nous propose un voyage dansl’univers d’un artiste qui a abordé la danse entant que plasticien, pour expérimenter le corpscomme matériau. Et pour qui la danse est deve-nue, non pas un but, mais un commencement,une affaire de conscience et de sensation.du 14 au 16 mai 09

AUTOUR DU CIRQUE INVISIBLE

LA VEILLÉE DES ABYSSES

réal. Charles Picq (2006, 80’)

Avec une inventivité rare, James Thiérrée célèbreles noces de l’humour et de la poésie. Le spec-tacle jongle allègrement avec les genres, mêlantperformance acrobatique du cirque, élégance dela danse, jeu décalé des musiques et humourclownesque.du 9 au 19 décembre 08

AUTOUR DE PINA BAUSCH

DAMES ET MESSIEURS DE PLUS DE

65 ANS

réal. Lilo Mangelsdorff (2002, 60’)

Kontakthof, la création originale remonte à1978. En 2001, Pina Bausch décide de repren-dre cette pièce avec une distribution constituéed’interprètes non professionnels âgés de plus de65 ans. Le poids de l’âge apporte un supplé-ment d’âme à la représentation qui provoqueautant de nostalgie que de tendresse.du 15 au 17 janvier 09

AUTOUR D’AURÉLIEN BORY

CIRQUE D’AUJOURD’HUI

Dans le cadre de l’opération « Numéro(s)Neuf(s) », en 2005, la Société des AuteursCompositeurs Dramatiques (SACD) provoque larencontre entre artistes de cirque et de l’image.De ces collaborations naîtront une série decourts-métrages aussi singuliers qu’inattendusdont nous proposons une sélection.du 20 au 24 janvier 09

AUTOUR DE PHILIPPE DECOUFLÉ

LA PLANÈTE DECOUFLÉ

réal. François Roussillon (1998, 70')

On saute dans cette Planète Decouflé deFrançois Roussillon comme dans un tableau deMary Poppins, avec la même confiance dans lespropositions saugrenues offertes à la dégusta-tion !du 28 janvier au 7 février 09

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RÉSERVATIONS

Les réservations se font à partir d’unedate d’ouverture de location définie pourchaque spectacle. Référez-vous aux pagesdes spectacles.

Au guichet

Les réservations au guichet se font auxhoraires d’ouverture de la Maison de laDanse. Le guichet est ouvert une heureavant le lever de rideau, uniquement pour la représentation qui suit.

Par téléphone au 04 72 78 18 00

Du lundi au vendredi à partir de 11h et les samedis de représentation à partir de 14h et jusqu’à 18h45.

Sur internet

www.maisondeladanse.comPaiement sécurisé par carte bancaire.Majoration de 2 € par billet pour frais deréservation. Les billets achetés en ligne nepeuvent être ni échangés, ni remboursés.Le retrait des billets achetés sur Internetpeut se faire au guichet en journée auxheures d’ouverture ou les soirs de repré-sentation sur présentation du numéro detransaction et d’une pièce d’identité. En casd’achat de places à un tarif préférentiel,tarif réduit ou demi-tarif, un justificatif voussera demandé lors du retrait des billets.

Dans les agences FNAC Bellecour, FNAC Part-Dieu,Progrès Spectacles, Virgin Megastore.

MODE D’EMPLOI

RÈGLEMENTS

Par chèqueÀ l’ordre de la Maison de la Danse. Aprèsavoir réservé vos places, votre chèque doitnous parvenir impérativement dans undélai de sept jours, accompagné d’uneenveloppe timbrée à votre adresse. Lesréservations non réglées dans ce délaisont annulées et remises en vente.

Par carte bancaire Ce mode de paiement est accepté au guichet, par téléphone et sur internet, enprécisant le numéro de votre carte, sa dated’expiration ainsi que les trois dernierschiffres du cryptogramme situé au dos dela carte.

Pass’ Culture/Ville de Lyon, carte M'raUniquement au guichet.

TARIFS

Référez-vous aux pages des spectacles.

Tarifs réduits Uniquement sur présentation d’un justificatifAbonnés Maison de la Danse, AbonnésBiennale de la Danse 2008, étudiants demoins de 26 ans, demandeurs d’emploi surprésentation d’un avis de situation de moinsde 6 mois, plus de 65 ans, clients BNPParibas et groupes de plus de 10 personnes,à l'exception des spectacles présentés dansle studio Jorge Donn. Pour les personneshandicapées, des tarifs spéciaux sont réser-vés, se renseigner auprès de l’Accueil.

Demi-tarifs

Uniquement sur présentation d’un justificatif moins de 18 ans, à l'exception des specta-cles Jérôme Savary, Victoria Abril, Dave St-Pierre, Maurice Béjart et des spectaclesprésentés dans le studio Jorge Donn.Trente minutes avant le début du spectacleet dans la mesure des places disponibles,les étudiants de moins de 26 ans, les plus de 65 ans et les demandeurs d’emploi peuventbénéficier d’un demi-tarif à l'exception desspectacles Jérôme Savary, Victoria Abril,Maurice Béjart et des spectacles présentésdans le studio Jorge Donn.

La Maison de la Danse vous accueille 8 avenue Jean Mermoz 69008 Lyon du lundi au vendredi de 11h45 à 18h45 et les samedis de représentation de 14h à 18h45. Fermeture du 26 juillet au 24 août 2008 inclus.

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GROUPES ET COLLECTIVITÉS

Le service des relations avec le public se tient à votre disposition pour vous guider dans la programmation.

Pour toute collectivité constituée d’aumoins 10 personnes -monde de l’entre-prise, associations, centres sociaux, MJC,cours et écoles de danse, particuliers- vous pouvez bénéficier d’avantages :- priorité de réservation sur les spectacles

de la Maison de la Danse. Réservez lesdès aujourd’hui sous forme d’options.Certaines dates n’apparaissent pas dansla plaquette et vous sont exclusivementdestinées, n’hésitez pas à nous contacterà ce sujet.

- tarifs réduits dans la mesure des placesdisponibles à l’exception des spectaclesprésentés dans le studio Jorge Donn.

- envoi d’informations complémentairessur les spectacles pour votre communication interne.

Nous pouvons vous aider à construire un projet autour de notre programmationet de vos objectifs (rencontre avec lesartistes, visite du théâtre, vidéo-conféren-ces, tarifs préférentiels...).

Renseignements et réservations :Ghislaine Hamid-Le Sergent Service des relations avec le publictél. 04 72 78 18 18fax. 04 78 75 55 [email protected]

MODALITÉS DE L’ABONNEMENT

La Maison de la Danse est équipée de deux salles de spectacles.La salle principale de 1 100 places dont77 strapontins. La seconde salle, le studioJorge Donn, de 92 places non numérotéesqui offrent un rapport de qualité de lasalle à la scène.Au début de la saison, pour chaque spectacle, des contingents sont réservés :les plus importants aux abonnés et lesautres au public achetant ses places auguichet.

Il est indispensable de remplir un bulletind’abonnement.Vous pouvez le photocopier, le téléchargersur Internet ou en demander d’autresexemplaires au 04 72 78 18 18.

Pour tout abonnement d’un montantsupérieur à 350 €, ou à votre demande,vos billets vous seront envoyés par recommandé moyennant la somme de 5 €.

Aucun duplicata ne sera délivré le soirmême du spectacle concerné. Toute pertede billet devra être signalée au moins 48 heures avant la représentation.

ABONNEZ-VOUS DÈS LE LUNDI 5 MAI !

AUCUN ABONNEMENT DÉPOSÉ DURANT LES PRÉSENTATIONS

DE SAISON NE SERA TRAITÉ AVANT LE 5 MAI 2008.

PENDANT LA FERMETURE DU 26 JUILLET AU 24 AOÛT 2008 INCLUS,

LA CAMPAGNE D’ABONNEMENT CONTINUE PAR CORRESPONDANCE.

La programmation étant établie longtempsà l’avance, la Direction se réserve le droitde modifier programme, distribution,dates, heures, lieux et places en cas denécessité. Ces modifications ne donnerontlieu à aucun remboursement.

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AVANTAGES ABONNÉS

AVANTAGES BIENNALE

DE LA DANSE

BIENNALE « RETOUR EN AVANT »

du 6 au 30 septembre 2008

8 spectacles Biennale sont proposés au choix dans l’abonnement Maison de la Danse.En tant qu’Abonné Maison de la Danse,vous bénéficiez du tarif réduit pour tousles spectacles de la Biennale (ne figurantpas dans votre abonnement), sur présentation de votre carte d’abonnement2008/09, dans la mesure des places disponibles.

LOCATION DES PLACES BIENNALE

à la Biennale de la Danse

Galerie des Terreaux 12 place des Terreaux 69001 Lyon tél. 04 72 26 38 01• du 3 juin au 30 août

ouverture du mardi au vendredi de 12hà 19h, le samedi de 11h à 19h, ferme-ture les lundis, dimanches et jours fériés.

• du 1er septembre au 30 septembreouverture du lundi au vendredi de 12h à 19h, le samedi de 11h à 19h, ferme-ture le dimanche.

Attention ! Pendant la Biennale, les ventesde places pour les représentations ayantlieu le jour même s’arrêtent à 14h.Vente en ligne à partir du 3 juin 2008 :www.biennale-de-lyon.org

à la Maison de la Danse

• du 3 au 27 juin 2008 inclusdu lundi au vendredi de 11h45 à 18h45

• à partir du 1er juillet 2008location uniquement à la Galeriedes Terreaux.

AVANTAGES MAISON

Priorité de réservation

Au moment de la souscription devotre abonnement, vous pouvezréserver et acheter vos places pourtous les spectacles de la saison nefigurant pas dans votre abonne-ment, à l’exception de Kontakthofde Pina Bausch.Pour bénéficier de cet avantage, vousdevez nous indiquer la date et le tarifchoisis.Quotas spéciaux pour le spectaclede Maurice Béjart : chaque abonnépourra acheter au moment de lasouscription de son abonnement 1 place au tarif spécial abonné et 2places maximum au tarif réduit.

Tout achat supplémentaire ne pourrase faire qu’à l’ouverture de locationaux tarifs habituels.

Tarifs réduits

En tant qu’Abonné, vous bénéficiez personnellement• du tarif réduit - pour tous les spectacles programmés par

la Maison de la Danse et ne figurant pasdans votre abonnement, à l'exceptiondes spectacles présentés dans le studioJorge Donn

- pour tous les spectacles de la Biennalede la Danse « Retour en avant »

• du tarif spécial Abonné de 17,50 €pour l’achat d’un deuxième programmede Raimund Hoghe.

• du tarif spécial Abonné pour le spectacle de Maurice Béjart.

Privilège abonnement 12 spectacles

En tant qu’Abonné 12 spectacles, vousbénéficiez d'une invitation au spectacle de Denis Plassard, veuillez préciser la date de votre choix sur le bulletin de souscription.

Facilités de paiement

Vous avez la possibilité de régler vosabonnements en deux, trois ou quatrefois. Les prélèvements se font mensuelle-ment, le premier étant effectué aumoment du traitement de votre abonnement. Un échéancier vous seraadressé avec vos billets et votre carted’abonné.

Attention : en cas de rejet d'un prélèvement, les frais bancaires durejet, soit 5 €, vous seront refactu-rés sur le prélèvement suivant.

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Toute médaille a son revers. Et le succèshistorique de la Maison de la Danseentraîne quelquefois l’incompréhensionet le mécontentement de ceux qui nousfont confiance. Pour la première fois lasaison dernière, nous avons dû arrêter la campagne d’abonnement par manquede places disponibles sur certains specta-cles. Forts de notre expérience, nousessayons de planifier le nombre de repré-sentations selon des prévisions aléatoirescar nous n’avons à notre disposition ni institut de sondages ni Madame Soleil.Pourquoi certaines années les abonnés désirent-ils tous les mêmes spectacles,le même jour, mystère !Il faut savoir que vous êtes désormaisplus de 15 000 à vous abonner, ce quireprésente plus de 100 000 places à éditer. La première semaine des présenta-tions, avant le début du traitement, vousavez déjà déposé 8 000 bulletins soit 60 000 places. Même avec 15 personnes,cela prend du temps pour vous placer au mieux et sans favoritisme.

Pour répondre au mieux à votredemande, nous avons cette saisonallongé le nombre de représentations desspectacles phares. Par exemple 13 pourGrupo Corpo, 10 pour Le Cirque Invisible,8 pour Alonzo King… Et retiré de l’abon-nement Pina Bausch qui ne peut donnerque 3 soirées.Et nous vous demandons un petiteffort supplémentaire en indiquantpour toutes les catégories un spec-tacle et 2 dates de repli pour vousplacer au mieux. Cela ne devrait pasêtre trop difficile, la programmation étantextrêmement riche et diversifiée. Nousvous demandons également de lire attentivement les indications suivantesque nous avons poétiquement intitulées « L’art d’être abonné ».

IL EST OBLIGATOIRE...

• d’indiquer un spectacle de remplace-ment dans les catégories a, b, c etdimanches. En cas de spectacle complet,cela nous permettra de traiter sans délaivotre abonnement, évitant le retard qu’en-traîne un contact personnel.

• d’indiquer 2 dates de repli pour cha-que spectacle, qui permettent de vousattribuer de meilleures places si la pre-mière date choisie est très chargée. Pourles longues séries, il est préférable dechoisir au moins un repli sur la deuxièmesemaine.

• d’indiquer vos coordonnées précises-adresse, téléphone, mail- afin que nouspuissions vous joindre rapidement en casde problème (spectacle complet, annula-tion, changement de programme…)

• de vérifier vos billets dès réception de votre abonnement, aucune réclamationne pourra être prise en compte ultérieure-ment.

• de lire les textes de la plaquette-programme. Et ce n’est pas pour tousune évidence ! Cela évite les malentenduset vous guide avec justesse dans votrechoix. La création restant bien entendudans le domaine du virtuel, de la curiosité,de l’engagement et du risque.

IL EST CONSEILLÉ...

• de prendre en compte la donnée sui-vante : les mardi, mercredi et vendredi sontles jours les plus choisis en abonnement.

• de prendre quelques minutes d’avance,surtout les mercredi et vendredi, en raisondu bouchon du Bachut. Il faut parfois 10 à 15 minutes aux automobilistes pourfranchir les 300 derniers mètres qui lesséparent de la Maison de la Danse.

• de vérifier avant de partir le lieu etl’heure de votre spectacle car l’abonnementpeut vous faire voyager aussi à La Croix-Rousse, au Toboggan et Biennale oblige,aux quatre coins de l’agglomération.

• d’acheter ses places pour Kontakthof dePina Bausch dès l’ouverture de la locationle jeudi 6 novembre à partir de 11h partéléphone et internet, et à partir de 11h45sur place.

• de bien respecter l’avertissement suivant :le spectacle de Dave St-Pierre Un peu detendresse… est fortement déconseillé auxmoins de 16 ans et aux personnes que lanudité pourrait choquer.

• d’oublier son quotidien, son stress, sessoucis, mais pas ses billets !, en franchis-sant les portes de la Maison. Il faut entrercurieux, disponible, attentif et généreuxcomme le sont les artistes sur le plateau.

L’ART D’ÊTRE ABONNÉ

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9 ABONNEMENTS

5 SPECTACLES 120 €

2 spectacles catégorie a2 spectacles catégorie b1 spectacle catégorie c

8 SPECTACLES 180 €

3 spectacles catégorie a3 spectacles catégorie b2 spectacles catégorie c

12 SPECTACLES 220 €

4 spectacles catégorie a4 spectacles catégorie b4 spectacles catégorie c

+ 1 place pour le spectacle

de Denis Plassard offerte

4 AVENTURES 50 €

4 spectacles catégorie c

5 SPECTACLES JEUNES 50 €

2 spectacles catégorie a2 spectacles catégorie b1 spectacle catégorie c

jeunes de moins de 26 ans

4 AVENTURES JEUNES 30 €

4 spectacles catégorie c

jeunes de moins de 26 ans

NOUVELLES FORMULES D'ABONNEMENT POUR UNE PLUS GRANDE

LIBERTÉ DE CHOIX DANS TROIS CATÉGORIES DE SPECTACLES : A, B ET C.

ET AUSSI L'ABONNEMENT 5 DIMANCHES EN MATINÉE, LE 4 AVENTURES,

LE PLUS INTÉRESSANT POUR LES FOUS DE DANSE CONTEMPORAINE,

L’ABONNEMENT MUSICAL ET L'ABONNEMENT COMPLICES À DÉCOUVRIR

EN FAMILLE.

ABONNEMENT MUSICAL 84 €

3 spectacles

Jérôme Savary

Victoria Abril

Fame Le musical

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aMontalvo-Hervieu

Ballet de l’Opéra de Lyon

Anne Teresa De Keersmaeker

Jérôme Savary

Grupo Corpo

Le Cirque Invisible

Les Ballets C. de la B.

Saburo Teshigawara + Karas

cBallet de Lorraine

Balletto di Torino

Europa Danse

Kettly Noël

Denis Plassard

Dave St-Pierre

Che Malambo

Josef Nadj

Cie A’Corps

Cía Flamenca En Sus 13

Andonis Foniadakis / Talia Paz

Jeune Ballet du CNSMD

bLegend Lin

Tero Saarinen

Angelin Preljocaj

Raimund Hoghe

Aurélien Bory

Philippe Decouflé

Fame Le musical

Alonzo King

Montalvo/Hervieudimanche 7 ou dimanche 21

septembre à 15h

Angelin Preljocajdimanche 28 septembre à 17h

ou samedi 4 octobre à 15h*

Europa Dansedimanche 12 octobre à 15h

Jérôme Savarysamedi 18 à 15h*

ou dimanche 19 octobre à 17h

Grupo Corpodimanche 16 novembre à 17h

Le Cirque Invisibledimanche 14 à 17h ou dimanche

21 décembre à 15h

COMPLICES (1 enfant + 1 adulte) 42 €

3 spectacles au choix

Cie Étant donnéau Radiant

mercredi 10 ou samedi 13

septembre à 15h

Cie Contour progressifau Radiant

samedi 20 à 19h30 ou mercredi 24

septembre à 15h

Europa Dansemercredi 8 ou samedi 11 octobre

à 15h

Cie Käfigmercredi 7 à 15h ou samedi 10

janvier à 15h ou à 19h30

Introdansmercredi 11 à 15h ou samedi 14

mars à 15h ou à 19h30

Michel Kelemenismardi 26 à 19h30**

ou mercredi 27 mai à 15h

** exceptionnellement le mardi à 19h30

Che Malamboau Toboggan/Décines

dimanche 14 décembre à 17h

Aurélien Borydimanche 25 janvier à 15h

Fame Le musicaldimanche 8 mars à 15h

Alonzo Kingsamedi 21 à 15h*

ou dimanche 22 mars à 17h

Andonis Foniadakis/Talia Pazdimanche 19 avril à 17h

* exceptionnellement le samedi à 15h

5 DIMANCHES EN MATINÉE 140 €

5 spectacles au choix

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INFOS PRATIQUES

ACCÈS À LA SALLE

L’ouverture de la salle se fait 30 mn avantl’heure annoncée du début du spectacle,sauf impératif technique.Les enfants de moins de 3 ans ne sontpas admis dans les salles de spectacle (cf Art. 198 - Ord. P.P. du 01.01.1927).Il est interdit de photographier, de filmer,d’enregistrer ou d’utiliser des téléphonesportables dans la salle de spectacle.

RETARDATAIRES

L’accès aux places numérotées n’est plusgaranti après l’heure indiquée sur le billet.Par respect pour le public et les artistes,les retardataires seront placés dans lamesure des places disponibles en corbeilleou au balcon et ne pourront plus réinté-grer leurs places à l’entracte.

VESTIAIRE

Un vestiaire gratuit est à votre dispositionau niveau de l’orchestre.

CHANGEMENTS DE DATE

Vous avez la possibilité de changer dedate pour un spectacle dans la mesuredes places disponibles. Les reports doiventse faire sur présentation de votre billet et,au plus tard, 48 heures avant la date àmodifier. Les changements ne peuventêtre effectués ni par téléphone, ni les soirsde spectacle.

Les changements sont gratuits dans lalimite de :- 1 changement gratuit par spectateur

ou Abonné- privilège Abonné 8 spectacles :

2 changements gratuits- privilège Abonné 12 spectacles :

3 changements gratuits.Le coût de l'échange supplémentaire est de 4 € par billet.

ACCÈS AUX PERSONNES

À MOBILITÉ RÉDUITE

Douze places en orchestre, pouvantaccueillir huit fauteuils roulants, vous sontréservées à un tarif préférentiel. Se rensei-gner auprès de l’Accueil. L’accès parascenseur se situe sur le côté du théâtreavenue Général Frère.Pour vous accueillir dans les meilleuresconditions, nous vous remercions de nous prévenir à l’avance de votre venue.

PLAN DE SALLE

Maison de la Danse8, avenue Jean Mermoz69008 Lyon Francewww.maisondeladanse.comLocation : (33) ø4 72 78 18 00Renseignements et administration :tél (33) ø4 72 78 18 18fax (33) ø4 78 75 55 66

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MAISON DE LA DANSE

ACCÈS EN TRAMWAY,

MÉTRO, BUS ET VÉLO

tramway ligne T2

station Bachut-Mairie du 8e dernierstramways/direction Perrache : 0h16direction St Priest : 0h47

métro ligne D

station Grange Blanche puiscorrespondance tramway ligne T2 / directionPerrache / station Bachut-Mairie du 8e

derniers métros/direction Gare de Vaise : 0h23direction Gare de Vénissieux : 0h35

en bus

ligne 23 départ Cordeliers/St Bonaventurearrêt Bachut-Mairie du 8e

derniers bus/direction Cordeliers : 23h09direction Parilly : 23h54ligne 34 départ Charpennesarrêt Cazeneuve-Berthelot derniers bus/direction Charpennes : 21h21direction États-Unis Viviani : 21h37ligne 24 départ Bron/7 Cheminsarrêt Bachut-Mairie du 8e dernier bus/direction Bron/7 Chemins : 0h00

en Vélo'v

deux gares Vélo'v :place du BachutMairie du 8e

À la sortie des spectacles,service TCL assuré tous les jours Allo TCL 0 820 42 7000Internet : www.tcl.frÀ la sortie des spectacles,appel taxis à l’accueil.

SPECTACLES HORS LES MURS

Le Radiant

1 rue Jean Moulin 69300 Caluire-et-Cuirerenseignements : 04 78 23 84 02métro Ligne C - station Cuire puis correspondance bus ligne 33 - arrêt Caluire-Hôtel de VilleParkings à proximité

Le Toboggan

14 avenue Jean Macé 69150 Décinesrenseignements : 04 72 93 3000tramway T3 - Arrêt Décines CentreDépart en direction de Part-Dieu toutes les32 minutes après 20h. Derniers tramway à22h09, 22h41, 23h13 et 23h45métro ligne A - station Carré de la Soiepuis correspondance tramway T3 - arrêtDécines Centremétro ligne D - station Grange Blanchepuis correspondance bus ligne 79 - arrêtDécines CentreRestauration légère et rapide avantet après les spectacles Parking gratuit

T2

ACCÈS PAR LA ROUTE

parking gratuit

L’Amphithéâtre / Cité Internationale

50 quai Charles de Gaulle 69006 Lyonrenseignements : 04 72 82 26 26bus ligne C1 - arrêt Cité Internationalemétro ligne A - station Foch puiscorrespondance bus lignes 4, 58 - arrêt Cité InternationaleParkings payants à proximité

La Croix-Rousse / Scène nationale

de Lyon

Place Joannès Ambre 69004 Lyonrenseignements : 04 72 07 49 49métro ligne C - station Croix-Rousse,Hénon ou Cuirebus lignes 13, 41, 61 arrêt Croix-Rousse-Hôpital/MargnollesParkings payants à proximité

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À la Maison, le plaisir commence ou sepoursuit chez Ginger et Fred. Pour ce vidéo-bar-restaurant unique dans le réseau desthéâtres en France, nous avons, comme pourla programmation, fait le choix de la qualité,de la diversité, de la bonne humeur.

Chaque soir de spectacle, Sylvain Noble etson équipe vous accueillent et vous guidentdans la courte carte de saveurs subtilesélaborée avec talent par Cédric Ribaud, lechef de cuisine. L’occasion aussi pour vous derevoir les images des créations quis’inscrivent dans la mémoire, projetées surgrand écran par Fabien Plasson et TristanCastella.

VIDÉO-BAR-RESTAURANT

L'occasion d’échanger vos impressions avecvos amis et les danseurs et chorégraphesdont les autographes s'affichent sur les murs.Parce que nous avons le plaisir de vousaccueillir de plus en plus nombreux après lespectacle, nous vous conseillons de réservervotre table.

de 19h à 24h tous les jours de spectacle

de 18h à 23h les mercredis

1h avant et 1h après les dimanches de spectacle (salon de thé)

à partir de 18h30 les jours de spectacle au studio Jorge Donn

Le bar de l’orchestre est ouvert pendant les entractes

Réservations Ginger et Fred à partir de 18h : 04 72 78 18 26

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DIRECTION

Guy Darmet : directeur général Adélia Villevieille : assistante de direction

PROGRAMMATION/RELATIONS ARTISTES

Michèle Luquet-Bonvallet : secrétaire généraleBenjamin Perchet : attaché à la programmation

PÔLE VIDÉO

Charles Picq : directeur développement vidéoFabien Plasson, Tristan Castella : vidéo jockey

RELATIONS AVEC LE PUBLIC

Noëlle Boulay : relations publiques/jeune publicGhislaine Hamid-Le Sergent : relationspubliques/collectivités Olivier Chervin : relations publiques/vidéo

COMMUNICATION/DÉVELOPPEMENT

Jérôme Devèze : directeur de la communicationet du développement Romain Tissot : adjoint communication/développement Francisca Angorrilla : assistante PAO etbureautique

L’ÉQUIPE

La Maison de la Danse, Société Coopérative Ouvrière de Production S.A., ne pourrait exister,se développer et rayonner, sans l'appui des collectivités qui participent à son financement,ni l'aide efficace et généreuse de partenaires de plus en plus nombreux.

La Maison de la Danse est subventionnée par :La Ville de Lyon : Délégation à la Culture et au Patrimoine • Le Ministère de la Culture et de la Communication :Direction Régionale des Affaires Culturelles Rhône-Alpes • La Région Rhône-Alpes • Le Département du Rhône

Elle bénéficie de l'appui de la Fondation BNP Paribas depuis 1986.

Avec le soutien de :La Holding Textile Hermès • Air France • L’Association des Amis de la Maison de la Danse, Friends • ClubEntreprises de la Maison de la Danse • Centre national de la danse-Lyon et Pantin • Division des AffairesCulturelles et Scientifiques du Ministère des Affaires Étrangères d’Israël, les Services Culturels de l’Ambassaded’Israël en France • Goethe Institut • Culturesfrance • La Mission d’Action Culturelle du Rectorat de Lyon

Elle remercie pour leur concours :L’équipe d’agents d’accueil • L’équipe de serveurs du restaurant • L’équipe de saisie d’abonnements •Marianne Feder, Alexandra Lucas, Anaïs Germain • Les Services Techniques de la Ville de Lyon • La Direction de l’Information et de la Communication de la Ville de Lyon • La Mairie du 8e • Les équipes du Toboggan /Centre culturel de Décines, de L'Amphithéatre / Cité Internationale, de La Croix-Rousse / Scène nationale deLyon • Citadines Apart'hotel, l’Hôtel Carlton, la Résidence Citéa, le Park & Suites Lyon Part-Dieu • GroupeJCDecaux • Le Groupe Tarvel / Décoration Florale • Véolia Transports • Les TCL / Transports en Commun Lyonnais

Partenaires de la Maison de la Danse sous l’égide du Club EntreprisesAgence Immobilière Mercure Rhône-Alpes, Atelier d'Architecture Hervé Vincent, Caisse d’Épargne Rhône-AlpesLyon, C.A.S. Conseil Actions Services, CDA Informatique CLM, Elyo Centre-Est-Méditerranée, Lyonnaise deBanque, Sogelym Steiner

graphisme : graphica / Julie Bayard et Fanny Lanz / www.juliebayard.fr

licences 1-125594, 2-125595, 3-125596

PRESSE

Jean-Paul Brunet : attaché de presse

ADMINISTRATION

Juliette Rajon : administratriceClaude Baverel : adjointe administration/productionMarie-Laure Oger : adjointe gestion/comptabilitéFarida Banchet : adjointe paie/social

ACCUEIL DU PUBLIC

Nathalie Théry : responsable billetterie Sandrine Dutreuil, Véronique Elvira, NicolasJousselin, Guillaume Brasseur Leclerc : accueilbilletterie Wardia Bon, Jean-Marie Colin : standardErnesto Cordoba : chef de salle

RESTAURANT

Sylvain Noble : responsable restaurant Cédric Ribaud : chef de cuisine

DIRECTION TECHNIQUE

Dominique Hurtebize : directeur techniqueKarine Le Berre : assistante technique

ÉQUIPE TECHNIQUE VILLE DE LYON

Alain Bernard : chef de service intérieurbâtimentFrédéric Segaud : régie générale,chef sonorisationRémy Beyssac : chef électricienJean-Michel Favre : chef machiniste adjointMatthieu Métral, Julien Sonnet : sonorisateursPhilippe Bonaudo, Marc Fintzi,Jean-Luc Miraillet, Michel Négrier : électriciensYassine Dahmani, Mathieu Favre,Carl Machado : machinistesPatrick Landi : technicien de maintenanceMohamed Benaïssa, Henri Carcaillet,Philippe Seybald, Roger Suchon : gardiens

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MAISON DE LA dANSE

8, AVENUE JEAN MERMOZ

69008 LYON FRANCE

RENSEIGNEMENTS

ET ADMINISTRATION

TÉL (33) Ø4 72 78 18 18

FAX (33) Ø4 78 75 55 66

LOCATION

TÉL (33) Ø4 72 78 18 00

WWW.MAISONDELADANSE.COM

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