16 AOÛT 1905. Les Fêtes Franco-Anglaises -...

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Trente-deuxième le Mercredi, ÏST" 33 16 Août 19O5 ABONNEMENTS : Six mois Un an 2fr. 25 4fr. Issoire Dép artement 2 fr. 7 5 5 fr. Hors du Département . 3 fr. 25 6 fr. JOURNAL D'INFORMATIONS GÉNÉRALES ANNONCES JUDICIAIRES, AGRICULTURE, LITTÉRATURE & NOUVELLES ANNONCES : Annonces Judiciaires 20 c. la ligne Réclames et Avis divers .. 25 c. la ligne UN NUMÉRO : 5 C. L'Abonnement se continue jusqu'à réception d'Avis contraire. Tout ce qui concerne le Journal doit être adressé à l'Imprimerie BOTJOïïEJFtOIV & •VJESsSEJLiY. Suco r8 de BODNOURE et OLLIER RUE DE CHATEAUDUN ET BOULEVARD D E L A MANLIÈRE, A ISSOIRE Les Articles d'Agriculture et de Littérature sont insérés gratuitement. CAISSE D'ÉPARGNE Résumé des opérations faites aux séances publiques des jeudi 10, samedi 12 et dimanche 13 août. I. VERSEMENTS Reçu de 77 déposants dont 28 nouveaux: 32.513 fr. IL REMBOURSEMENTS Payé à 48 déposants dont 7 pour solde : 10.795 fr. 92 ISSOIRE, LE 16 AOÛT 1905. Les Fêtes Franco-Anglaises L'escadre française du Nord est allée à Portsmouth, pour rendre à la flotte anglaise la visite que cel- le-ci lui avait faite, il y a un mois, à Brest. Les fêtes données, à ce sujet, à nos officiers et à nos marins ont été superbes et grandioses ; mais ce qui les a surtout caractérisées, c'est l'amabilité. Les Anglais se sont tous montrés charmants, gracieux, depuis le boy ce gavroche de l'autre côté de la Manche, jusqu'au solennel club- man. Ils n'avaient plus leur air saxon si connu et ressemblaient plutôt à de bons Normands pleins de jovialité qu'à de froids insulaires. La surprise, il faut le dire, a été grande chez tous les Français qui ont assisté à ces fêtes : ils s'atten- daient bien à être reçus correcte- ment, mais ils ne croyaient pas que le csmt britannique pouvait faire place au bon ton français. Cet effort fait par les Anglais pour se franciser, en quelque sorte, prouve combien grand était leur désir et leur volonté d'affirmer pu- bliquement que l'entente est bien cordiale. * * « Maintenant que resto-t-il de ces fêtes ? Les banderolles, les dra- peaux, les guirlandes, les arcs de triomphe, les banquets et les ré- jouissances n'étaient-ils là que pour nous (Hounlir ci nous empêcher de songer aux choses sérieuses? Certains journaux prétendent que l'Ang'elcrre nous dupe et que nous payerons i 1K.T les violons de la ïête qu'elle nous donne à grand renfort de poudre de guerre et aussi de poudre aux yeux ! Selon ces journaux, l'Angleterre ne chercherait à faire de la France que « son soldat, son mercenaire » qui irait verser son sang à flot, ris- querait l'invasion et la défaite pour permettre à Londres de défier im- punément Berlin. * # * .Te ne crois pas, que cette fois, l'Angleterre recherche simplement l'alliance française pour lui faire tirer les marrons du feu des san- glantes batailles ; le rôle de Ber- trand qu'elle a joué, elle n'essaye plus de le reprendre, du moins pour le moment. Pourquoi ? parce que les circons- tances ne sont plus les mêmes, parce qu'il y a beaucoup de chose ue changé en Europe, parce que le danger n'est plus seulement pour le naïf Raton mais aussi pour le rusé Bertrand. L'intérêt vital fait faire bien des choses et transforme bien des ca- ractères. Or, il est absolument né- cessaire pour l'existence, de l'An- gleterre que le colosse germanique finisse de grandir et de s'étendre. Si autrefois, c'est du côté de la Seine que montait l'orage, c'est aujourd'hui de la Sprée que vien- nent les nuées menaçantes et mal- faisantes : le grand Empereur est mort, mais un petit Empereur qui rêve de devenir grand vient de sur- gir en Germanie. ( Voilà la raison de la transforma- tion qui s'est opérée chez nos voi- sins et voilà pourquoi, je crois, que leurs sentiments à notre égard sont sincères. La France et l'Angleterre ont tet je naêrne pérjlrçuiles menace ; elles ne sont plus rivales depuis qu'elles ont devant elles un sérieux et peu scrupuleux rival. HENRI NICOLE SUR LE PONT VIEUX Z'érais na har sere Françounettè faire ïn tour le teste de le Brô, z'èvans tèpa ïn dzente ran de mudadè, mas tout de même quo faijait plaise de sentre toumba, sans meuvas temps, quelle boun- nè aiguè que n'ayans tant besuan pè nos- tras recordas. Quo z'ait be empêtsa las drôlas de na dansa le tsau pèce que z'euyont pèfi lieurras fieras reubas, mas l'essenchél quo érait que leus raijïns se- ront coufflas c'mô tsaut et que las bè- chollas de vendeniè tiraront quoques pouats de mais de vïn pus boun. Quo est c'mô quo que parlavans en t'ai- jant las quatre tzez nostre parent, quand le garçou de Dzacques le Greuti contunié le convarsècheu en dijant : « Sans compta que che las vendenias sont bounnas, las cubas seront plenas et alors quelleus que z'ont de doulours rhumètiques las peu- dront souégna à lieur aise. » « Che voulez dire que le vïn z'est boun pè las doulours te comprenne ; mas autrement l'y seis pus. » « Oh Françounnet, quo est li inè veuille histouérè que me stounne que le cougnissez pas. Vous reppelas pas le Ca- tounet Treistieus, que dèmouravait dïns le temps deu quarté de le moulïn de l'Eu- morne. » — « Oh ! che m'en suvegne, crèzebe,z'éraitbouétousèdelasdouaspaut- tas, c'mè le dzuslicè, le paurrè garcè, sans coumpta que z'érait pas bian ritsè et que z'ayait pas inventa l'aiguë sucradè. » — « Èh be quo est vè z'elliè dzustèment que z'est 'rriba ce que vous vole dire. In dzour que se plandzait de sas doulours que l'em- pêtsavont de dourmi c'mè che leus tchel'y goulavont leus arteis, dzè ti que Lieunard que se tourbavait par è ti l'y digue : Tenez Catounet, che me voulez creire, sarezgua- ridè parfaitement. Oh ! paurre Lieu- nard, che faisez quo, vous en sarez re- counischente le restant de meus dzours et vous bailarez le récompense que veudrez ; didzas me donc de que tsaut faire. È ti, faigué Lieunard, teustot las vendenias sont en tran , eh be tsaut tout bounnèment caidza ïnè cube toutes leus seres et se nas dzeire tout d'èbord en sortant de le cube. Re de meliour las doulours que quelle tsèlour de Fasse et quell'spécè de bain z'est be bou que non pas quelleus de Sant- Nectaire. Poudez be essaidza, quo est pas in'eltaire et tourbarez be quoqu'ùn pei vous laissa caidza se cube. — -Oh pardi, respondigué le Catounel, mon cuje Cade- lou z'est tout lourba, l'y vans d'èbjrd. Et c'm'en eiïet, le Catounet s'en fugué tourba le Cadelou et convenguéront teus dous de le tsosè; même que pè mais réuche le Catounet démourayait à coeutsa vé le maisou pei l'y fècheleta son trelèment de bains d'asse. Le même serè, le Catounet dzuda pei le Mariounè et d'autras bounnas fennas deu quarté, coummenqué le cai- dzèment de le cube. Quo segué pas inè pitsotè besugnè de l'entra et de le sotrè sans coumpta que le stouffl manqué de l'y piqua le naz dous ou treis cops. Enti le bouteront bian que poudiait dïn le leit pei ly faire le réeccheu. Le lendemau se levé bouétouse c'mè devant et quand segué sourtidè le Cadelou en entant dïns se tsambre pei l'y pregne tiquand que z'ayait besuan, se resté tout moujequa devant son leit... Ah ! le bougresse, que fègué quell' homme, se paut na souègna ounte veudrait mas pus éche ! Vesez pas quelle garcè, que z'ai pèna son tieu le ilugenè de mon. tsèbel! FRANÇOUNET. FOUR. LES SOINSDELAPEÂ&JI rien n'est meilleur que l'emploi régulier et quotidien delà POUDRE SAVON SIMON aux mêmes parfum». 'MÉDAILLE d'OR, Paris 1900 irçiftM C9, rue du faubourg DPBÎQ 10' lj'ltifl, ' Saint-MarUnjrnijIo ^ Chronique Locale et Régionale L'ouverture de la Chasse L'ouverture de la chasse pour la 3° zone, dans laquelle est compris le Puy-de-Dôme, serait fixée, dit-on, au dimanche 27 août prochain. Manoeuvres du 13 B Corps Les manoeuvres du 13 9 corps (manoeu- vres de brigade, puis manoeuvres de divi- fo) s'exécreront d» 3 m 10 septembre dans la zone comprise entre Clermont, Chateldon, Thiers, Ambert, Cunlhat, Brioude et Massiac. Nomination Ecclésiastique M. l'abbé Auguste-Félix Chalimbaud, maitre-d'étude au Petit Séminaire, a été nommé vicaire à Anzat-le-Luguet. Société Lyrique La Société Lyrique donnera un- concert dimanche prochain, sur la Place de la Montagne à 4 heures du soir. En voici le programme : 1. Le Joyeux Bourguignon, (p. r.) PAPONNEAU 2. Allégresse (ouverture) KELSEN 3. Dame. Vision (valse) BAGOERS 4. Cortège de Ballet (fantaisie) AVON 5. Jeanne (polka) A. VIOLOT Course Vélocipédique La course vélocipédique Issoire-Lempdes et retour, que nous avions déjà annoncée, a obtenu un grand succès ; vingt coureurs y ont pris part et grâce aux mesures d'ordre, aucun accident ne s'est produit. Voici dans leur ordre d'arrivée les noms des 8 coureurs classés : l or Vernay, de Monlferrand ; Boilon, de Montferrahd ; 3° Jay, de Clermont ; 4° Laurent, de Montferrand ; o 3 Baudot, de Clermont; Vincent, d'Issoire; 7 e Béraud, d'Issoire ; Paquet, d'Issoire. Manoeuvre de Pompes à Incendie Le dimanche 24 septembre 1905, aura lieu à Neschers une manoeuvre de pom- pes à incendie et l'organisation d'une Société de secours mutuels, sous les aus- pices de la municipalité et sous la prési- dence d'honneur de M. Bony-Cisternes, député et de M. le sous-préfet de l'arron- dissement d'Issoire. En voici le programme : A H h. 1/2, arrivée de MM. les officiers, membres du jury. A 11 h. 45, réception de M. le député et de M. le sous-préfet. A midi, grand banquet démocratique, sous la présidence de M. Bony-Cis- ternes, député et de M. Grosjean, sous- préfet d'Issoire. A 2 heures, réception des compagnies. A 2 h. 1/2, revue du personnel et du matériel ; manoeuvre, et 4° divisions; attaque d'un feu au rez-de-chaussée; ma- noeuvre d'ensemble ; attaque d'un feu simulé, par toutes les compagnies, grand défilé par toutes les compagnies avec leur matériel. A 4 h. 1/2, réunion de tous les officiers pour la critique, par le commandant Ber- rier, inspecteur départemental directeur de la manoeuvre ; vin d'honneur. A 6 heures, bal public, amusements divers. Nota. Le prix du banquet est fixé à 2 fr. 50. Les adhésions et le montant devront être adressés à M. Auzenat An- tonin, avant le 10 septembre. Incendie Dans la nuit de mercredi à jeudi, un incendie s'est déclaré à Montaigut-le-Blanc dans un hangar et une buanderie à M. Aureyre Joseph. Les pertes évaluées à 2.000 fr. sont couvertes par une assurance. Vol Des malfaiteurs profitant de l'absence de M. Vigier, du hameau de la Visade, près Egliseneuve-d'Entraigues, se sont intro- duit chez lui et ont dérobé deux pièces de toile, cinq saucissons et un pain de grais- se d'environ une dizaine de livres. Jusqu'à ce jour ils sont demeurés in- trouvables. Escapade de Chetnineau Un chemineau s'étant présenté chez Mme Poton, d'Espinchal et se disant très fatigué, cette dernière lui donna de quoi se restaurer et, sur sa demande, l'engagea comme ouvrier agricole, Mme Poton,fitseller sa jument et ac- compagna son nouveau serviteur, à la montagne son personnel extrait actuel- lement de la gentiane. •L'ouvrier prétextant à nouveau la fati- gue, Mme Poton, lui céda sa monture, mais celui-ci ful-il à peine dessus, qu'il fit un long pied de nez à sa patronne et s'en- fuit à toutes guides. Il,ne fut pas loin ce- pendant et mis aussitôt en état d'arresta- tion, il a été conduit à la maison d'arrêt de notre ville. D r KERAUDREN S écoles de médecine navale, nez, gorges, oreilles, larynx, Clermont Ferrand, 17, rue Montlosier, de 1 heure à 4 heures, consul- tations gratuites jeudi et samedi de 9 h. à midi. Trams SUISSES] Publications de Mariages du i3 Août 4905 M. Brugière, boulanger demeurant à Issoire, et Mlle Morin Jeanne-Marie, sans profession demeurant à Issoire. LA. VIE AUX DÉSESPÉRÉS MALADIES DE LA POITRINE et des voies respiratoires Les maladies des voies respiratoires les plus répandues, puisque, à elles seules, elles causent chaque année plus de 15U.0U0 décès — ont désonnais leur traitement cura! if, par la méthode Phymalofuge de l'Instilut de Régénération. A la suite d'un rhume négligé, causé souvent par un refroidissement, une toux sèche survient ; il se produit entre les épaules ou dans les côtés des douleurs lan- cinantes, plus lard, les sueurs nocturnes se manifestent, la toux, devient abondante, avec e-ssouLlemenls ou suffocations; puis le malade inaigrit, il perd ses forces et son état ne larde pas à devenir désespéré. Dès le^ premiers symptômes, il faut avoir recours à la méthode Phyinatofuge et pour cela, il suffi!, à ceux qui souffrent d'une affection des voies respiratoires, d'écrire à M. le Directeur de l'Institut de Régénération, 7, rue de Londres, à Paris, qui se fait un plaisir d'adresser gratuite- ment à toutes les personnes qui en fonl la demande, le "Journal des Forces Vitales" qui indique la méthode pour guérir en peu de temps les maladies de la poitrine, des bronches et de toutes lee affections de l'ap- pareil respiratoire. CAVEAU LYONNAIS (11° Concours Annuel). Le Caveau Lyonnais ouvre un concours public de chansons inédites (paroles seule- ment). Ce concours est absolument gratuit. Chaque chanson ne devra comprendre au plus que huit coup els. On ne peul, concou- rir qu'avec une seule chanson. Les concurrents adresseront leur pièce, sous pli cacheté et affranchi, à M. Camille ROY, président du Q-iveau Lyonnais, 74, cours de la Liberté, à Lyon, avant le 31 août 19 JS, avec cette mention extérieure : « Concours du Caveau Lyonnais ». Un second pli cacheté, renfermé dans le premier, devra porter comme suscription le titre de la chanson et contenir intérieu- rement le nom et l'adresse de l'auteur. Toute chanson signée sera exclue du con- cours. Il sera décerné les prix suivants : l or prix: Les Poésies de Sully-Prud- homiufi, de l'Académie française, (5 volu- mes, avec dédicace au.logra.phe) , 2° prix; Un tableau du peintre Louis Boulanger ; S" prix: Les Poésies d'Albert Mérat, (li vo- lumes, avec dédicace autographe) ; El cinq mentions honorables. Une Femme qui est bien Slurige bien. Celles qui prennent les Pilules IMnk mnngont bien. Les pilules Pink ont guéri de son mau- vais estomac une jeune 11 Ile dont nous don- nons ci-dessous le portrait: Aille k"lèle Coulloux de Limoges, elle habite '>'> rue Gondinet. ' Mlle Hdlcnc Coulloux de Limoges, guéfic par les Pilules Pink. « Depuis environ dix-huit mois écrit-elle je souflrais beaucoup de l'estomac, digérant très mal et perdant mes forces progressive- ment. Ma faiblesse était telle que j'étais essoufflée au moindre effort. Je ne man- geais plus, je maigrissais, j'étais nerveuse, et donnais très mal. J'avais essayé en vain toutes sortes de remèdes et je désespérais de guérir, quand une de mes amies me conseilla do prendre les pilules Pink. J'ai pris ces pilule.-; et après avoir usé deux boîtes, j'étais complètement guérie. J'ai retrouvé de bonnes couleurs, un excellent appétit, et des digestiois parfaites. » Toutes les femmes, toutes les jeunes filles, tiennent à être bien comme santé, comme figure, comme apparence. Elles ne seront jamais bien de figure si elles ne sont pas bien de santé, et surtout si elles souf- frent de l'estomac. La femme qui souffre de l'estomac, porte la trace de ses souffrances sur son visage. Elle n'a pas le leint clair, ses yeux sont cernés et enfoncés, la dou- leur cl les migraines qui accompagnent toujours les mauvaises digestions creusent les rides. La femme qui a des maux d'esto- mac, ne profite pas de sa nourriture, elle maigrit, elle perd l'harmonie de ses formes. Les mauvaises digestions sont une des principales causes de l'insomnie, par con- séquent la femme qui a un mauvais esto- mac perd journellement ses forces, puis- qu'elle ne se nourrit pas, et que la nuit elle ne se repose pas. Elle ne tarde pas à être épuisée. Les pilules Pink rétablissent rapidement les estomacs délabrés. Elles donnent de l'appétit et d'excellentes digestions. En môme temps elles fortifient tout l'organis- me et font retrouver les forces que le mau- vais état de l'estomac a fait perdre. Les pi- lules Pink obtiennent ce résultat grâce à leur puissante action sur le sang, qu'elles enrichissent et renouvellent pour ainsi dire. A l'affaiblissement des organes de l'esto- mac succède sous l'influence d'un sang pur, l'état de force et de bon fonctionne- ment de ces mêmes organes. Les pilules Pink attaquant la racine du mal, le sang pauvre et le changeant en sang riche, gué- rissent les maladies d'estomac d'une façon durable. Elles ne font pas comme certains remèdes dont l'effet ne persiste pas après qu'on a cessé do les prendre. Par leur ac- tion sur le sang et le système nerveux, les pilules i'ink sont souveraines contre l'ané- mie, la chlorose, la neurasthénie, la fai- blesse générale, les rhumatismes, les mi- graines, névralgies, sciatique. Elles sont en vente dans toutes les pharmacies et au dé- pôt pharmacie Gablin, 23, rue Ballu, Paris. 3,KO la boîte, 17,50 les six boites franco. Idéale Beauté Lavée au savon du Congo, Rafraîchie à l'eau da toilette, Vit-on jamais astre plus beau Que l'attrayante Mariette ? V. L. à Victor Vaissicr. ; M. J. BOURASSET Pharmacien, Place de la République à ISSOIRE I informe sa clientèle qu'il est désormais unique dépositaire des BOULETTES DENTAIRES de Fourgeaud : une seule guérit infaillible- ment, en une seconde et sans retour la plus violente RAGE DE DENTS. 1 fr. 50 le Flacon ©S ANNEES DE SUCCÈS HORS CONCOURS PARIS 19001 GRAND PRIX,St-Louis 1904 mm VÊRI•jfifou; ALCOOL u M mm ï CALME la SOIF et ASSAINIT l'EAU ï i Dissipe les MAUX deTÉTE.de COEUR.d'ESTOMAC E 1 laOHOLÉR§NE w Un tvta grand nombre do pornonnç,© r ont rétabli leur Ciinf «t la oonaervent par I P É r «it« vuuiuiiui» ^AI i uurng Q.GB PILULES DÉ PU HATIVES f Remèdo populaire depuis longtemps. \ S efficace, Économique, facile à prendre,! tPuritiant le sang, û convient dane presquol | toutes les maladies chroniques, telles quel Ï Vartrea, Rhumatismes, Vieux lUiumee, r iTratcheurs, Engorgements, Lait répandaJ AQlnndea, Maux de Nerfs, Perte d'appétit,à ffl Bchsilftemenl, Faiblesse, Anémie, * i&uuvais Estomac, Intestins paremenx. tr. la boite aveo 1s GD10E SE U JiSIE / ULHÙ TonTBS LBD VUA.UMAQlïit U (if li petit frtinco cul» Bitfat ijtusé 147, Faubourg S'-Denis !_IL_i- ..JJiLi"!" li' PO'^feS ENFANTS TUBERCULEUX osseux ou ganglionnaires «le SP Ecrire à M. COSTE-PIZOT, Dir r gén 1 de 1' " Exprctt", ag« gén' de la Loterie,UU«.Joind.

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Trente-deuxième le Mercredi, —ÏST" 3 3 16 Août 19O5

ABONNEMENTS :Six mois Un an

2fr. 25 4fr.IssoireDép artement 2 fr. 75 5 fr.Hors du Département . 3 fr. 25 6 fr.

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UN NUMÉRO : 5 C.

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Les Articles d'Agriculture et de Littératuresont insérés gratuitement.

CAISSE D'ÉPARGNERésumé des opérations faites aux

séances publiques des jeudi 10,samedi 12 et dimanche 13 août.

I. VERSEMENTSReçu de 77 déposants dont 28

nouveaux: 32.513 fr.IL REMBOURSEMENTS

Payé à 48 déposants dont 7pour solde : 10.795 fr. 92

ISSOIRE, LE 16 AOÛT 1905.

Les Fêtes Franco-AnglaisesL'escadre française du Nord est

allée à Portsmouth, pour rendre àla flotte anglaise la visite que cel-le-ci lui avait faite, il y a un mois,à Brest.

Les fêtes données, à ce sujet, ànos officiers et à nos marins ontété superbes et grandioses ; maisce qui les a surtout caractérisées,c'est l'amabilité.

Les Anglais se sont tous montréscharmants, gracieux, depuis le boyce gavroche de l'autre côté de laManche, jusqu'au solennel club-man. Ils n'avaient plus leur airsaxon si connu et ressemblaientplutôt à de bons Normands pleinsde jovialité qu'à de froids insulaires.

La surprise, il faut le dire, a étégrande chez tous les Français quiont assisté à ces fêtes : ils s'atten-daient bien à être reçus correcte-ment, mais ils ne croyaient pas quele csmt britannique pouvait faireplace au bon ton français.

Cet effort fait par les Anglaispour se franciser, en quelque sorte,prouve combien grand était leurdésir et leur volonté d'affirmer pu-bliquement que l'entente est biencordiale.

** «Maintenant que resto-t-il de ces

fêtes ? Les banderolles, les dra-peaux, les guirlandes, les arcs detriomphe, les banquets et les ré-jouissances n'étaient-ils là que pournous (Hounlir ci nous empêcher desonger aux choses sérieuses?

Certains journaux prétendent quel'Ang'elcrre nous dupe et que nouspayerons i 1K.T les violons de laïête qu'elle nous donne à grandrenfort de poudre de guerre etaussi de poudre aux yeux !

Selon ces journaux, l'Angleterrene chercherait à faire de la Franceque « son soldat, son mercenaire »qui irait verser son sang à flot, ris-querait l'invasion et la défaite pourpermettre à Londres de défier im-punément Berlin.

*# *.Te ne crois pas, que cette fois,

l'Angleterre recherche simplementl'alliance française pour lui fairetirer les marrons du feu des san-glantes batailles ; le rôle de Ber-trand qu'elle a joué, elle n'essayeplus de le reprendre, du moinspour le moment.

Pourquoi ? parce que les circons-tances ne sont plus les mêmes,parce qu'il y a beaucoup de choseue changé en Europe, parce que ledanger n'est plus seulement pourle naïf Raton mais aussi pour lerusé Bertrand.

L'intérêt vital fait faire bien deschoses et transforme bien des ca-ractères. Or, il est absolument né-cessaire pour l'existence, de l'An-gleterre que le colosse germaniquefinisse de grandir et de s'étendre.

Si autrefois, c'est du côté de laSeine que montait l'orage, c'estaujourd'hui de la Sprée que vien-nent les nuées menaçantes et mal-faisantes : le grand Empereur estmort, mais un petit Empereur quirêve de devenir grand vient de sur-gir en Germanie.

( Voilà la raison de la transforma-tion qui s'est opérée chez nos voi-sins et voilà pourquoi, je crois, queleurs sentiments à notre égard sontsincères.

La France et l'Angleterre onttet je naêrne pérjl rçui les

menace ; elles ne sont plus rivalesdepuis qu'elles ont devant elles unsérieux et peu scrupuleux rival.

HENRI NICOLE

SUR LE PONT VIEUXZ'érais na har sere vé lé Françounettè

faire ïn tour vé le teste de le Brô, z'èvanstèpa ïn dzente ran de mudadè, mas toutde même quo faijait plaise de sentretoumba, sans meuvas temps, quelle boun-nè aiguè que n'ayans tant besuan pè nos-tras recordas. Quo z'ait be empêtsa lasdrôlas de na dansa vé le tsau pèce quez'euyont pèfi lieurras fieras reubas, masl'essenchél quo érait que leus raijïns se-ront coufflas c'mô tsaut et que las bè-chollas de vendeniè tiraront quoquespouats de mais de vïn pus boun.

Quo est c'mô quo que parlavans en t'ai-jant las quatre tzez nostre parent, quandle garçou de Dzacques le Greuti contuniéle convarsècheu en dijant : « Sans comptaque che las vendenias sont bounnas, lascubas seront plenas et alors quelleus quez'ont de doulours rhumètiques las peu-dront souégna à lieur aise. »

— « Che voulez dire que le vïn z'estboun pè las doulours te comprenne ; masautrement l'y seis pus. »

— « Oh Françounnet, quo est li inèveuille histouérè que me stounne que lecougnissez pas. Vous reppelas pas le Ca-tounet Treistieus, que dèmouravait dïnsle temps deu quarté de le moulïn de l'Eu-morne. » — « Oh ! che m'en suvegne,crèzebe,z'éraitbouétousèdelasdouaspaut-tas, c'mè le dzuslicè, le paurrè garcè, sanscoumpta que z'érait pas bian ritsè et quez'ayait pas inventa l'aiguë sucradè. » —« Èh be quo est vè z'elliè dzustèment quez'est 'rriba ce que vous vole dire. In dzourque se plandzait de sas doulours que l'em-pêtsavont de dourmi c'mè che leus tchel'ygoulavont leus arteis, dzè ti que Lieunardque se tourbavait par è ti l'y digue : TenezCatounet, che me voulez creire, sarezgua-ridè parfaitement. — Oh ! paurre Lieu-nard, che faisez quo, vous en sarez re-counischente le restant de meus dzours etvous bailarez le récompense que veudrez ;didzas me donc de que tsaut faire. — È ti,faigué Lieunard, teustot las vendeniassont en tran , eh be tsaut tout bounnèmentcaidza ïnè cube toutes leus seres et se nasdzeire tout d'èbord en sortant de le cube.Re de meliour pè las doulours que quelletsèlour de Fasse et quell'spécè de bain z'estbe tè bou que non pas quelleus de Sant-Nectaire. Poudez be essaidza, quo est pasin'eltaire et tourbarez be quoqu'ùn peivous laissa caidza se cube. — -Oh pardi,respondigué le Catounel, mon cuje Cade-lou z'est tout lourba, l'y vans d'èbjrd.

Et c'm'en eiïet, le Catounet s'en fuguétourba le Cadelou et convenguéront teusdous de le tsosè; même que pè mais réuchele Catounet démourayait à cœutsa vé lemaisou pei l'y fècheleta son trelèment debains d'asse. Le même serè, le Catounetdzuda pei le Mariounè et d'autras bounnasfennas deu quarté, coummenqué le cai-dzèment de le cube. Quo segué pas inèpitsotè besugnè de l'entra et de le sotrèsans coumpta que le stouffl manqué de l'ypiqua le naz dous ou treis cops. Enti lebouteront tè bian que poudiait dïn le leitpei ly faire le réeccheu. Le lendemau selevé tè bouétouse c'mè devant et quandsegué sourtidè le Cadelou en entant dïnsse tsambre pei l'y pregne tiquand quez'ayait besuan, se resté tout moujequadevant son leit...

— Ah ! le bougresse, que fègué quell'homme, se paut na souègna ounte veudraitmas pus éche ! Vesez pas quelle garcè, quez'ai pèna son tieu vé le ilugenè de mon.tsèbel!

FRANÇOUNET.

FOUR. LES

SOINSDELAPEÂ&JIrien n'est meilleur quel'emploi régulieret quotidiendelà POUDRE

SAVON SIMONaux mêmes parfum».

'MÉDAILLE d'OR, Paris 1900irçiftM C9, rue du faubourg DPBÎQ 10'lj'ltifl, ' Saint-MarUnjrnijIo ^

Chronique Locale et RégionaleL'ouverture de la Chasse

L'ouverture de la chasse pour la 3° zone,dans laquelle est compris le Puy-de-Dôme,serait fixée, dit-on, au dimanche 27 aoûtprochain.

Manoeuvres du 13B CorpsLes manœuvres du 139 corps (manœu-

vres de brigade, puis manœuvres de divi-fo) s'exécreront d» 3 m 10 septembre

dans la zone comprise entre Clermont,Chateldon, Thiers, Ambert, Cunlhat,Brioude et Massiac.

Nomination EcclésiastiqueM. l'abbé Auguste-Félix Chalimbaud,

maitre-d'étude au Petit Séminaire, a éténommé vicaire à Anzat-le-Luguet.

Société LyriqueLa Société Lyrique donnera un- concert

dimanche prochain, sur la Place de laMontagne à 4 heures du soir.

En voici le programme :1. Le Joyeux Bourguignon, (p. r.) PAPONNEAU2. Allégresse (ouverture) KELSEN3. Dame. Vision (valse) BAGOERS4. Cortège de Ballet (fantaisie) AVON5. Jeanne (polka) A. VIOLOT

Course VélocipédiqueLa course vélocipédique Issoire-Lempdes

et retour, que nous avions déjà annoncée,a obtenu un grand succès ; vingt coureursy ont pris part et grâce aux mesuresd'ordre, aucun accident ne s'est produit.

Voici dans leur ordre d'arrivée les nomsdes 8 coureurs classés :

lor Vernay, de Monlferrand ; 2» Boilon,de Montferrahd ; 3° Jay, de Clermont ;4° Laurent, de Montferrand ; o3 Baudot,de Clermont; 6° Vincent, d'Issoire; 7e

Béraud, d'Issoire ; 8° Paquet, d'Issoire.

Manœuvre de Pompes à IncendieLe dimanche 24 septembre 1905, aura

lieu à Neschers une manœuvre de pom-pes à incendie et l'organisation d'uneSociété de secours mutuels, sous les aus-pices de la municipalité et sous la prési-dence d'honneur de M. Bony-Cisternes,député et de M. le sous-préfet de l'arron-dissement d'Issoire.

En voici le programme :A H h. 1/2, arrivée de MM. les officiers,

membres du jury.A 11 h. 45, réception de M. le député

et de M. le sous-préfet.A midi, grand banquet démocratique,

sous la présidence de M. Bony-Cis-ternes, député et de M. Grosjean, sous-préfet d'Issoire.

A 2 heures, réception des compagnies.A 2 h. 1/2, revue du personnel et du

matériel ; manœuvre, 3° et 4° divisions;attaque d'un feu au rez-de-chaussée; ma-nœuvre d'ensemble ; attaque d'un feusimulé, par toutes les compagnies, granddéfilé par toutes les compagnies avecleur matériel.

A 4 h. 1/2, réunion de tous les officierspour la critique, par le commandant Ber-rier, inspecteur départemental directeurde la manœuvre ; vin d'honneur.

A 6 heures, bal public, amusementsdivers.

Nota. — Le prix du banquet est fixéà 2 fr. 50. Les adhésions et le montantdevront être adressés à M. Auzenat An-tonin, avant le 10 septembre.

IncendieDans la nuit de mercredi à jeudi, un

incendie s'est déclaré à Montaigut-le-Blancdans un hangar et une buanderie à M.Aureyre Joseph. Les pertes évaluées à2.000 fr. sont couvertes par une assurance.

VolDes malfaiteurs profitant de l'absence

de M. Vigier, du hameau de la Visade, prèsEgliseneuve-d'Entraigues, se sont intro-duit chez lui et ont dérobé deux pièces detoile, cinq saucissons et un pain de grais-se d'environ une dizaine de livres.

Jusqu'à ce jour ils sont demeurés in-trouvables.

Escapade de ChetnineauUn chemineau s'étant présenté chez

Mme Poton, d'Espinchal et se disant trèsfatigué, cette dernière lui donna de quoise restaurer et, sur sa demande, l'engageacomme ouvrier agricole,

Mme Poton, fit seller sa jument et ac-compagna son nouveau serviteur, à lamontagne où son personnel extrait actuel-lement de la gentiane.

•L'ouvrier prétextant à nouveau la fati-gue, Mme Poton, lui céda sa monture,mais celui-ci ful-il à peine dessus, qu'il fitun long pied de nez à sa patronne et s'en-fuit à toutes guides. Il,ne fut pas loin ce-pendant et mis aussitôt en état d'arresta-tion, il a été conduit à la maison d'arrêtde notre ville.

Dr KERAUDREN Sécoles de médecine navale, nez, gorges,oreilles, larynx, Clermont Ferrand, 17, rueMontlosier, de 1 heure à 4 heures, consul-tations gratuites jeudi et samedi de 9 h. àmidi.

Trams SUISSES]

Publications de Mariagesdu i3 Août 4905

M. Brugière, boulanger demeurant àIssoire, et Mlle Morin Jeanne-Marie, sansprofession demeurant à Issoire.

LA. VIE AUX DÉSESPÉRÉS

MALADIES DE LA POITRINEet des voies respiratoires

Les maladies des voies respiratoires —les plus répandues, puisque, à elles seules,elles causent chaque année plus de 15U.0U0décès — ont désonnais leur traitementcura! if, par la méthode Phymalofuge del'Instilut de Régénération.

A la suite d'un rhume négligé, causésouvent par un refroidissement, une touxsèche survient ; il se produit entre lesépaules ou dans les côtés des douleurs lan-cinantes, plus lard, les sueurs nocturnes semanifestent, la toux, devient abondante,avec e-ssouLlemenls ou suffocations; puis lemalade inaigrit, il perd ses forces et sonétat ne larde pas à devenir désespéré.

Dès le^ premiers symptômes, il fautavoir recours à la méthode Phyinatofuge etpour cela, il suffi!, à ceux qui souffrentd'une affection des voies respiratoires,d'écrire à M. le Directeur de l'Institut deRégénération, 7, rue de Londres, à Paris,qui se fait un plaisir d'adresser gratuite-ment à toutes les personnes qui en fonl lademande, le "Journal des Forces Vitales"qui indique la méthode pour guérir en peude temps les maladies de la poitrine, desbronches et de toutes lee affections de l'ap-pareil respiratoire.

CAVEAU LYONNAIS(11° Concours Annuel).

Le Caveau Lyonnais ouvre un concourspublic de chansons inédites (paroles seule-ment). Ce concours est absolument gratuit.

Chaque chanson ne devra comprendre auplus que huit coup els. On ne peul, concou-rir qu'avec une seule chanson.

Les concurrents adresseront leur pièce,sous pli cacheté et affranchi, à M. CamilleROY, président du Q-iveau Lyonnais, 74,cours de la Liberté, à Lyon, avant le 31août 19 JS, avec cette mention extérieure :« Concours du Caveau Lyonnais ».

Un second pli cacheté, renfermé dans lepremier, devra porter comme suscriptionle titre de la chanson et contenir intérieu-rement le nom et l'adresse de l'auteur.Toute chanson signée sera exclue du con-cours.

Il sera décerné les prix suivants :lor prix: Les Poésies de Sully-Prud-

homiufi, de l'Académie française, (5 volu-mes, avec dédicace au.logra.phe) ,

2° prix; Un tableau du peintre LouisBoulanger ;

S" prix: Les Poésies d'Albert Mérat, (li vo-lumes, avec dédicace autographe) ;

El cinq mentions honorables.

Une Femme qui est bienSlurige bien.

Celles qui prennent les Pilules IMnkmnngont bien.

Les pilules Pink ont guéri de son mau-vais estomac une jeune 11 Ile dont nous don-nons ci-dessous le portrait: Aille k"lèleCoulloux de Limoges, où elle habite '>'>rue Gondinet. '

Mlle Hdlcnc Coulloux de Limoges, guéfic par lesPilules Pink.

« Depuis environ dix-huit mois écrit-elleje souflrais beaucoup de l'estomac, digérant

très mal et perdant mes forces progressive-ment. Ma faiblesse était telle que j'étaisessoufflée au moindre effort. Je ne man-geais plus, je maigrissais, j'étais nerveuse,et donnais très mal. J'avais essayé en vaintoutes sortes de remèdes et je désespérais deguérir, quand une de mes amies me conseillado prendre les pilules Pink. J'ai pris cespilule.-; et après avoir usé deux boîtes,j'étais complètement guérie. J'ai retrouvéde bonnes couleurs, un excellent appétit,et des digestiois parfaites. »

Toutes les femmes, toutes les jeunesfilles, tiennent à être bien comme santé,comme figure, comme apparence. Elles neseront jamais bien de figure si elles ne sontpas bien de santé, et surtout si elles souf-frent de l'estomac. La femme qui souffre del'estomac, porte la trace de ses souffrancessur son visage. Elle n'a pas le leint clair,ses yeux sont cernés et enfoncés, la dou-leur cl les migraines qui accompagnenttoujours les mauvaises digestions creusentles rides. La femme qui a des maux d'esto-mac, ne profite pas de sa nourriture, ellemaigrit, elle perd l'harmonie de ses formes.Les mauvaises digestions sont une desprincipales causes de l'insomnie, par con-séquent la femme qui a un mauvais esto-mac perd journellement ses forces, puis-qu'elle ne se nourrit pas, et que la nuit ellene se repose pas. Elle ne tarde pas à êtreépuisée.

Les pilules Pink rétablissent rapidementles estomacs délabrés. Elles donnent del'appétit et d'excellentes digestions. Enmôme temps elles fortifient tout l'organis-me et font retrouver les forces que le mau-vais état de l'estomac a fait perdre. Les pi-lules Pink obtiennent ce résultat grâce àleur puissante action sur le sang, qu'ellesenrichissent et renouvellent pour ainsi dire.A l'affaiblissement des organes de l'esto-mac succède sous l'influence d'un sangpur, l'état de force et de bon fonctionne-ment de ces mêmes organes. Les pilulesPink attaquant la racine du mal, le sangpauvre et le changeant en sang riche, gué-rissent les maladies d'estomac d'une façondurable. Elles ne font pas comme certainsremèdes dont l'effet ne persiste pas aprèsqu'on a cessé do les prendre. Par leur ac-tion sur le sang et le système nerveux, lespilules i'ink sont souveraines contre l'ané-mie, la chlorose, la neurasthénie, la fai-blesse générale, les rhumatismes, les mi-graines, névralgies, sciatique. Elles sont envente dans toutes les pharmacies et au dé-pôt pharmacie Gablin, 23, rue Ballu, Paris.3,KO la boîte, 17,50 les six boites franco.

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