1.1 Composition de l’atome
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1.1 Composition de l’atome
L’évolution du modèle atomique
Démocrite
Philosophe grec (460-370 av. J.-C.)
« Le monde est formé du vide et d’atomes » (première théorie atomique)
Nomme l’atome particule invisible (atomos), indivisible et indestructible
Pas de schéma de l’atome
Dalton (John)
Scientifique (chimiste) anglais (1766-1844)
Élabore 4 postulats qui ont formé la base de la théorie atomique moderne
(1809) (p.35)
o Toute la matière est constituée de minuscules particules appelées des
atomes. Il est impossible de créer un atome, de le détruire ou de le
diviser en particules plus petites.
o On ne peut pas transformer les atomes d’un élément en atomes d’un
autre élément.
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o Tous les atomes d’un élément possèdent les mêmes propriétés, par
exemple la même masse et la même taille. Ces propriétés diffèrent de
celles des atomes de tout autre élément.
o Les atomes d’éléments différents peuvent se combiner dans des
proportions précises pour former des composés.
Premier modèle atomique (pas de noyau, p+, n0 et e-)
Goldstein (E.)
Physicien allemand
Découvre les protons (1885)
Thomson (Joseph John)
Physicien anglais (1856-1940)
Découvre les électrons (1897)
Modèle atomique « Plum-pudding » (pas de noyau, pas de n0, MAIS p+ et e-)
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Rutherford (Ernest)
Physicien britannique (1871-1937)
Découvre le noyau situé au centre de l’atome
Découvre qu’il existe un vide entre le noyau et les électrons
L’expérience de la feuille d’or de Rutherford (1911)
But: Vérifier la position des particules dans l’atome.
Marche à suivre : Bombarder une très mince feuille d’or avec des particules
alpha (He2+).
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Cueillette des données:
La plupart des particules traversèrent la feuille d’or sans
être déviées et vinrent frapper un écran fluorescent placé
derrière la feuille d’or.
Quelques particules avaient été déviées.
Interprétation des données :
Il conclut que les atomes d’or devaient contenir beaucoup
d’espaces vides.
Qu’au centre de l’atome, qu’il devait y avoir un noyau très
petit et très dense chargé positivement.
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Modèle atomique nucléaire
(noyau avec p+, vide entre noyau et e-, pas n0)
Soddy (Frederick)
Chimiste anglais (1877-1956)
Découvre les isotopes (1902)
Bohr (Neils)
Physicien danois (1885-1962)
Propose un modèle atomique nucléaire avec des niveaux d’énergie où circulent
les électrons C’est le modèle planétaire
Modèle planétaire (noyau avec p+ et e- qui circulent sur des niveaux d’énergie, pas n0)
Chadwick (James)
Physicien anglais (1891-1974)
Découvre les neutrons (1932)
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Structure atomique
L’atome est composé de particules subatomiques (3);
proton (p+) dans noyau
neutron (n0)
électron (e-)
Schéma d’un atome :
Masse des particules subatomiques
masse p+ = masse n0 = 1u
masse e- = 0u
Symbole chimique
Abréviation utilisée pour représenter les éléments
(nombre de masse) A charge
(numéro atomique) Z indice
X
La masse d’un proton ou d’un neutron
est 1840 fois celle d’un électron.
u = unité de masse atomique
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Exemples :
sodium 23 Na A =
11 Z =
chlore 35 Cl A =
17 Z =
eau H2O
Indice (signifie qu’il y a 2 atomes d’hydrogène
dans une molécule d’eau)
Z = nombre de p+ A = p+ + n0 nombre de n0 = A – Z
Dans un atome NEUTRE, le nombre de p+ est égal au nombre d’e-.
Exemples :
7 Li 3
32 S 16
56 Fe 26
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Les isotopes
Nom donné aux atomes d’un même élément (même nombre de p+) qui a un
nombre différent de neutrons (différente masse).
Ex : Li73 (3p+, 4n0) Li8
3 (3p+, 5n0) Li63 (3p+, 3n0)
Il existe 3 isotopes de l’hydrogène
1H 2H 3H
1 1 1
protium deutérium tritium
1 proton 1 proton 1 proton
1 électron 1 électron 1 électron
0 neutron 1 neutron 2 neutrons
Il y a des isotopes qui sont très instables, ce qui amènent leurs noyaux à se
désintégrer. En se faisant, ils libèrent de l’énergie et des particules subatomiques.
C’est ce qu’on appelle la radioactivité.
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Théorie atomique moderne
Copier l’information p.39 (Comparer avec celle de Dalton)
Dalton, en énonçant sa théorie atomique, ne connaissait pas les particules
subatomiques. Pourtant, la théorie atomique moderne conserve une bonne partie de
ses observations.
Même si on peut le diviser, l’atome reste la plus petite particule d’un élément
qui possède les propriétés de cet élément et qui permet de le reconnaître.
Les réactions nucléaires (qui modifient la composition du noyau atomique)
permettent en réalité de transformer les atomes d’un élément en atomes
d’un autre élément.
Les différents isotopes d’un élément ont des nombres différents de
neutrons et, par conséquent, des masses différentes.
Les atomes des différents éléments peuvent se combiner dans des
proportions données pour former des composés.
1.2 Le tableau périodique
1. Les métaux sont à gauche les non métaux à droite.
B
Si
Ge As
Sb Te
Po
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2. Les colonnes verticales () sont les GROUPES (1 à 18) ou les FAMILLES (I à VIII).
Les éléments d’une famille ont des propriétés semblables.
Ils sont le même nombre d’électrons sur le dernier niveau d’énergie.
3. Les rangées horizontales () sont les PÉRIODES (1 à 7).
Ils ont le même nombre de niveaux d’énergie.
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4. Les éléments de la famille I s’appellent les MÉTAUX ALCALINS excepté
l’hydrogène.
Ces métaux sont très réactifs.
5. Les éléments de la famille II s’appellent les ALCALINO-TERREUX.
6. Les éléments de la famille VII ou groupe 17 s’appellent les HALOGÈNES.
Ils sont très réactifs.
7. Les éléments de la famille VIII ou groupe 18 s’appellent les GAZ RARES ou les
GAZ INERTES.
Ils sont très stables.
Ils ne réagissent pas chimiquement.
8. Les ÉLÉMENTS DE TRANSITION sont dans le milieu du tableau périodique.
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Propriétés des métaux
conduisent bien la chaleur et l’électricité
ont un éclat métallique (brille)
sont malléables et ductiles (plier, aplatir, etc.)
sont attirés par un aimant
Modèle atomique Bohr-Rutherford
Dans un atome, les électrons se déplacent dans des orbites autour du noyau.
Ces orbites sont appelées NIVEAUX d’ÉNERGIE.
Il y a 7 niveaux d’énergie.
Le 1er niveau d’énergie peut contenir 2 électrons.
Le 2e niveau d’énergie peut contenir 8 électrons.
Le 3e niveau d’énergie peut contenir 18 électrons.
Les 4e, 5e, 6e et 7e niveau d’énergie peuvent contenir chacun 32 électrons.
Voir tableau p.41 (figure 2.6)
Faire un dessin du tableau périodique avec le nom des familles à l’intérieur.
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Exemples :
1 H 7 Li 16 O 27 Al 1 3 8 13
Note : Un élément chauffé dégage une couleur spécifique. On appelle spectre
d’émission la couleur dégagée.
Pour trouver le nombre maximal d’électrons par niveau, il suffit d’utiliser 2n2.
Exemples :
1er niveau d’énergie 2 (1)2 = 2 X 1 = 2 électrons
2e niveau d’énergie 2 (2)2 = 2 x 4 = 8 électrons
3e niveau d’énergie 2 (3)2 = 2 x 9 = 18 électrons
Les niveaux d’énergie peuvent être divisés en sous niveaux appelés ORBITAUX.
1er niveau d’énergie comprend 1 sorte d’orbital : s
2e niveau d’énergie comprend 2 sortes d’orbitaux : s et p
3e niveau d’énergie comprend 3 sortes d’orbitaux : s, p et d
4e niveau d’énergie comprend 4 sortes d’orbitaux : s, p, d et f
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Une façon de décrire l’arrangement des électrons dans un atome s’appelle la
configuration électronique.
niveau d’énergie nombre d’électron
4s2
orbital
I VIII
1 II III IV V VI VII s
2
3
4 s p
5 d
6
7
f
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Ordre de remplissage
___________________________________________________________
Nombre d’électrons
maximal par orbitale
Exemples:
F19
9 :
Cl35
17:
Cr52
24:
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Diagramme de Lewis
Les e- sur le niveau d’énergie le plus élevé sont appelés électrons de valence.
C’est le nombre d’électrons de valence qui détermine les propriétés chimiques des
éléments. C’est pourquoi les éléments d’une même famille ont de propriétés
chimiques semblables.
Ces électrons sont représentés par des points autour du symbole.
Exemples : 1 H 1s1 H
1
7 Li 1s22s1 Li 3
12 C 1s22s22p2 C 6
23 Na 1s22s22p63s1 Na 11
28 Si 1s22s22p63s23p2 Si 14
19 F 1s22s22p5 F 9
35 Cl 1s22s22p63s23p5 Cl 17
V
Voir la règle de l’octet p.47
le numéro de la famille = nombre d’électrons de valence
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Tendances périodiques
Variation du rayon atomique
Le rayon atomique est la distance entre le noyau et l’électron de valence dans
un atome.
En descendant dans une famille (groupe), le rayon atomique augmente. Ceci se
produit car, au fur et à mesure qu’on descend dans la famille, on ajoute un autre
niveau d’énergie.
Dans une période, le rayon atomique augmente de droite à gauche. C’est
parce qu’il y a plus de protons dans le noyau et plus d’électrons autour du noyau (en
se déplaçant vers la droite dans le tableau). Parce qu’il y a plus protons et
d’électrons, ces derniers s’attirent plus fortement et diminuent la distance qui les
sépare. Ce phénomène produit donc un rayon atomique plus petit.
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Variation de l’énergie ionisation
L’énergie d’ionisation est l’énergie nécessaire qu’un atome doit utiliser pour
arracher un électron à un autre atome.
En descendant dans une famille (groupe) du tableau périodique, l’énergie
d’ionisation diminue. L’électron situé sur un niveau d’énergie plus loin du noyau
(grand rayon atomique) sera plus facile à arracher car il est moins attiré
fortement par le noyau. Donc, l’énergie d’ionisation sera plus petite.
En allant de gauche à droite dans une période, l’énergie d’ionisation augmente.
Le rayon atomique étant plus petit vers la droite, les électrons sont retenus plus
fortement par les protons du noyau. Ceci demandera plus d’énergie au 2e ’élément
qui essaie d’arracher un électron de valence au 1er élément.
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Réactivité des éléments
Les métaux alcalins et les halogènes sont les éléments les plus réactifs.
Les gaz rares ne réagissent pas et ne forment pas de composés car ils sont
déjà stables (8 e- de valence).
Lorsqu’un atome neutre perd 1 ou des électrons, il devient un ion positif
appelé CATION. (Ex : Na1+, Mg2+, Al3+…)
Lorsqu’un atome neutre gagne 1 ou des électrons, il devient un ion négatif
appelé ANION. (Ex : F1-, O2-, N3-…)
Les atomes ont tendance à gagner ou à perdre des électrons pour avoir la
même configuration électronique que le gaz rare le plus proche (8 e- de valence).
Exemple : 23 Na
11
Pour devenir stable le Na perd 1 é 23 Na 1+
11
Sa nouvelle configuration électronique ressemble au gaz rare le plus proche
(le néon).
20 Ne
10
20
Tendance électronique
1. Les éléments de la famille I (groupe 1) perdent 1 électron pour devenir un
ion 1+. Ils sont très réactifs.
2. Les éléments de la famille II (groupe 2) perdent 2 électrons pour devenir un
ion 2+.
3. Les éléments de la famille III (groupe 13) perdent 3 électrons pour devenir
un ion 3+.
4. Les éléments de la famille IV (groupe 14) ne forment pas d’ions (partagent
leurs électrons).
5. Les éléments de la famille V (groupe 15) gagnent 3 électrons pour devenir un
ion 3-.
6. Les éléments de la famille VI (groupe 16) gagnent 2 électrons pour devenir
un ion 2-.
7. Les éléments de la famille VII (groupe 17) gagnent 1 électron pour devenir
un ion 1-. Ils sont très réactifs.
8. Les éléments de la famille VIII (groupe 18) ne forment pas d’ions (déjà
stables).
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1.3 Classification des composés chimiques
Un composé est obtenu lorsque deux éléments ou plus du tableau
périodique s’unissent ensemble. On peut représenter un composé par une formule
chimique. (Ex : NaCl, H2O, …)
Les composés peuvent être classés en deux catégories :
les composés ioniques et les composés covalents.
Composés ioniques Composés covalents
M + NM NM + NM
(transfert d’électrons) (partage d’électrons)
Propriété Composé ionique Composé covalent
État (t0 de la pièce) Solide cristallin Liquide, gaz ou solide
Point de fusion (sl) Élevé Peu élevé
Conduit le courant électrique
(état liquide)
Oui Non
Soluble dans l’eau
(se dissout)
La plupart sont très solubles La plupart sont très peu
solubles
Conduit le courant électrique
(lorsque dissout dans l’eau)
Oui Généralement non
NaCl glucose
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Comme il est difficile de distinguer un composé covalent d’un composé
ionique en regardant les propriétés physiques, on utilise l’électronégativité pour
nous aider.
Électronégativité
o La force avec laquelle les protons d’un élément attirent ses électrons de
valence
o En règle générale, plus le rayon atomique est grand, plus l’électronégativité
est faible. C’est pour cette raison que l’indice d’électronégativité des non
métaux est plus élevé que celui des métaux.
o Plus grande est l’indice d’électronégativité, plus forte est la tendance d’un
élément à attirer (arracher) les électrons des autres éléments. Plus faible
est l’indice d’électronégativité, plus l’élément a tendance à donner ses
électrons lors de la formation des composés.
En montant dans une famille (groupe), l’indice d’électronégativité
augmente.
Dans un élément qui a un grand rayon atomique, les protons
attirent moins fortement les électrons de valence car la distance
est plus grande entre les deux.
Dans une période, l’indice d’électronégativité augmente de gauche à droite.
L’attraction entre les protons et les électrons d’un élément plus petit (petit
rayon) sera plus forte, ce qui augmentera l’indice d’électronégativité.
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Les liaisons chimiques sont des forces qui attirent les atomes l’un vers
l’autre dans un composé.
Ce sont les électrons de valence qui sont impliqués dans une liaison. Lors de
la formation de la liaison chimique, on obtient un composé plus stable que chacun
des atomes pris individuellement.
Exemple : La formation du NaCl (chlorure de sodium- sel de table)
Na (sodium) Cl (chlore) NaCl (chlorure de sodium)
Solide gris Gaz jaune Solide blanc
Métal Non métal Sel binaire
Explosif Explosif Comestible (on le mange)
+
Na(s) Cl2(g) NaCls
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Comment prédire le type de liaison interatomique? (ionique, covalent polaire ou
covalente non polaire)
C’est avec les valeurs d’électronégativité!
Pour déterminer quel type de liaison relie deux atomes donnés, il suffit de
calculer :
Si X 0,4 liaison covalente non polaire
0,4 X 1,7 liaison covalente polaire
X 1,7 liaison ionique
X = Indice d’électronégativité --- indice d’électronégativité
du 1er atome du 2e atome
Exemples :
1) Sr et O
2) NF3
3) Br et I
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Pour représenter la liaison ionique, nous pouvons utiliser le diagramme de
Lewis et l’équation ionique.
Pour représenter la liaison covalente polaire ou non polaire, nous pouvons
utiliser le diagramme de Lewis et la formule développée.
C et Cl N et N
Diagramme de Lewis Diagramme de Lewis
Formule développée Formule développée
Li et Cl Al et O
Diagramme de Lewis Diagramme de Lewis
Équation ionique Équation ionique
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1.4 Liaisons interatomiques
Il existe trois sortes de liaisons interatomiques.
a) liaison ionique
o métal réagit avec non métal
o transfert d’é
o doit suivre la règle de l’octet (8é périphériques)
b) liaison covalente
o entre deux non métaux
o partage d’é
c) liaison métallique
o à l’intérieur d’une sorte d’élément métallique
o attraction entre les cations et les électrons qui entourent le métal
o é de valence n’appartiennent à aucun atome métallique en particulier
o voir figure 3.21 p.83
Lorsque 2 atomes ou ions ont la même configuration électronique, on dit qu’ils
sont isoélectriques. Exemples : Cl 1-, Ar et K1+
Conductivité des composés ioniques
o À l’état solide ne conduit pas l’électricité
o À l’état liquide ou en solution conduit bien l’électricité grâce aux électrons
o Voir figures 3.13 et 3.14 p.79
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Il existe deux types de liaisons covalentes
a) liaison covalente non polaire (pure)
o la force d’attraction entre le noyau d’un 1er atome et les électrons
d’un 2e atome sont à peu près semblable à celle entre le noyau du 2e
atome est les électrons du 1er atome
o les électrons partagés ne sont pas plus d’un côté que de l’autre
b) liaison covalente polaire
o la force d’attraction entre le noyau d’un 1er atome et les électrons
d’un 2e atome NE SONT PAS semblable. (un attire plus fort que
l’autre)
o les électrons qui sont partagés sont plus près de l’atome ayant la plus
forte électronégativité
o Voir figures 3.24 et 3.25 p.86
Certains atomes, à l’intérieur d’une même molécule, partagent plus qu’une
paire (doublet) d’électrons. Ce sont des liaisons covalentes multiples.
Exemples : O2 liaison double
N2 liaison triple
Conductivité des composés covalents
o faible conductivité que ce soit à l’état solide, liquide ou gazeux
o raison : les liaisons ne se brisent pas pour former des ions
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Les composés covalents à connaître :
H2O eau NO2 dioxyde d’azote
CO monoxyde de carbone CH4 méthane
CO2 dioxyde de carbone NH3 ammoniac
SO2 dioxyde de soufre C3H8 propane
SO3 trioxyde de soufre
Il y a 7 éléments diatomiques qui existent comme molécules : H2, N2, O2,
F2, Cl2, Br2, I2 (dihydrogène, diazote, dioxygène, difluor, etc.)
1.5 Les forces intermoléculaires
o liaison chimique entre 2 molécules
o déterminent l’état (s, l ou g) de certaines substances
o exemple : HCl --- HCl
o voir figure 3.20 p.83
Il existe deux types de forces intermoléculaires :
a) forces van der Waals
o faible force (+ faible qui liaison interatomique)
o entre atomes de molécules rapprochés
o proviennent de l’attraction exercée sur les é d’un atome par les p+ d’un
autre atome
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b) liaison hydrogène (pont hydrogène)
o faible force entre 1 molécule qui contient de l’hydrogène et une 2e
molécule qui contient soit de l’azote(N), de l’oxygène(O) ou du fluor(F)
o type de liaison retrouvé dans la molécule d’ADN
o explique plusieurs propriétés de l’eau (faible mV de la glace, tension
superficielle et capillarité)