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Date: 01.03.2013 Online-Ausgabe Le Courrier 1211 Geneve 8 022/ 809 55 66 www.lecourrier.ch Genre de média: Internet N° de thème: 375.9 N° d'abonnement: 1073023 Type de média: Presse journ./hebd. Lire en ligne Le pôle «arts et neurosciences» s’éloigne de la Jonction MERCREDI 30 JANVIER 2013 Mario Togni Postez un commentaire Genève • L’Etat étudie d’autres lieux que la pointe de la Jonction pour son projet. Les fonds du Human Brain Project n’y changeront rien. L’ex-conseiller d’Etat Mark Muller rêvait d’un «CERN du XXIe siècle» à la pointe de la Jonction, juché entre Arve et Rhône. En novembre 2011, il présentait avec son collègue Charles Beer un concept développé par les Hautes Ecoles et l’université de Genève, qui prônait un centre de recherche à la croisée entre les arts et les neurosciences. La Haute Ecole d’art et de design (HEAD) et la Haute Ecole de musique (HEM) devaient y trouver place, à côté de groupes de chercheurs en neurosciences. Aujourd’hui, le sort de ce projet est plus que jamais incertain, du moins en ces lieux. On a pu croire, à l’inverse, que l’octroi d’importants fonds européens annoncés lundi au Human Brain Project, un projet de modélisation du cerveau piloté par l’EPFL, pourrait lui donner un second souffle. Dans un communiqué, le Conseil d’Etat genevois évoquait en effet que cette vaste structure, à laquelle Genève participe via un Institut d’imagerie moléculaire aux HUG, « devrait permettre le développement d’autres recherches, à l’instar du projet ‘Nouvelle Jonction. Arts, Neurosciences, Cité’». Ce n’est le cas qu’en théorie, puisqu’il n’y a rien de concret à ce stade. «Ces deux projets sont différents, mais des synergies sont possibles», explique Tamara Diaz, chargée de coordination du projet Nouvelle Jonction pour le compte du Département de l’instruction publique (DIP). Ce qui est clair en revanche, c’est que l’Etat n’est plus arrimé au site de la Jonction pour aller de l’avant. «Le concept établi par les Hautes Ecoles (HES-SO Genève) et l’université tient toujours et le DIP le soutient, mais des discussions sont encore en cours concernant sa localisation, poursuit Tamara Diaz. Les contraintes sont nombreuses, notamment liées au déplacements des dépôts TPG, et d’autres lieux sont également à l’étude.» Lesquels? On n’en saura pas plus. Aucune décision n’a donc été prise. Le Conseil d’Etat aurait même, selon nos informations, suspendu le projet de réaménagement de la pointe, alors que certains estiment que ce site devrait accueillir en priorité du logement. La question du financement est également délicate, alors que le canton fait face à une crise budgétaire. Qu’en pense le Département de l’urbanisme, où François Longchamp a succédé entre-temps à Mark Muller? « L’avenir de la pointe de la Jonction n’est de loin pas scellé, confirme Bernard Favre, secrétaire général adjoint. L’annonce de l’Union européenne n’a en ce sens aucune implication sur ce dossier spécifique.» Observation des médias Analyse des médias Gestion de l'information Services linguistiques ARGUS der Presse AG Rüdigerstrasse 15, case postale, 8027 Zurich Tél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01 www.argus.ch Réf. Argus: 49068307 Coupure Page: 1/1 Français Rapport page: 130/141

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Date: 01.03.2013

Online-Ausgabe

Le Courrier1211 Geneve 8022/ 809 55 66www.lecourrier.ch

Genre de média: Internet N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd. Lire en ligne

Le pôle «arts et neurosciences» s’éloigne de la Jonction

MERCREDI 30 JANVIER 2013 Mario TogniPostez un commentaire

Genève • L’Etat étudie d’autres lieux que la pointe de la Jonction pour son projet. Les fonds du Human Brain Projectn’y changeront rien.

L’ex-conseiller d’Etat Mark Muller rêvait d’un «CERN du XXIe siècle» à la pointe de la Jonction, juché entre Arve etRhône. En novembre 2011, il présentait avec son collègue Charles Beer un concept développé par les Hautes Ecoleset l’université de Genève, qui prônait un centre de recherche à la croisée entre les arts et les neurosciences. LaHaute Ecole d’art et de design (HEAD) et la Haute Ecole de musique (HEM) devaient y trouver place, à côté degroupes de chercheurs en neurosciences.

Aujourd’hui, le sort de ce projet est plus que jamais incertain, du moins en ces lieux. On a pu croire, à l’inverse, quel’octroi d’importants fonds européens annoncés lundi au Human Brain Project, un projet de modélisation du cerveaupiloté par l’EPFL, pourrait lui donner un second souffle. Dans un communiqué, le Conseil d’Etat genevois évoquaiten effet que cette vaste structure, à laquelle Genève participe via un Institut d’imagerie moléculaire aux HUG, «devrait permettre le développement d’autres recherches, à l’instar du projet ‘Nouvelle Jonction. Arts, Neurosciences,Cité’».

Ce n’est le cas qu’en théorie, puisqu’il n’y a rien de concret à ce stade. «Ces deux projets sont différents, mais dessynergies sont possibles», explique Tamara Diaz, chargée de coordination du projet Nouvelle Jonction pour lecompte du Département de l’instruction publique (DIP).

Ce qui est clair en revanche, c’est que l’Etat n’est plus arrimé au site de la Jonction pour aller de l’avant. «Le conceptétabli par les Hautes Ecoles (HES-SO Genève) et l’université tient toujours et le DIP le soutient, mais des discussionssont encore en cours concernant sa localisation, poursuit Tamara Diaz. Les contraintes sont nombreuses, notammentliées au déplacements des dépôts TPG, et d’autres lieux sont également à l’étude.» Lesquels? On n’en saura pasplus.

Aucune décision n’a donc été prise. Le Conseil d’Etat aurait même, selon nos informations, suspendu le projet deréaménagement de la pointe, alors que certains estiment que ce site devrait accueillir en priorité du logement. Laquestion du financement est également délicate, alors que le canton fait face à une crise budgétaire.

Qu’en pense le Département de l’urbanisme, où François Longchamp a succédé entre-temps à Mark Muller? «L’avenir de la pointe de la Jonction n’est de loin pas scellé, confirme Bernard Favre, secrétaire général adjoint.L’annonce de l’Union européenne n’a en ce sens aucune implication sur ce dossier spécifique.»

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claudia.olivarez
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Date: 01.03.2013

Magazine ESPACES contemporains1070 Puidoux-Gare021/ 946 37 41www.espacescontemporains.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Magazines spéc. et de loisir

Tirage: 13'068Parution: 6x/année

Page: 102Surface: 34'745 mm²

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es acesVITRINES

En novembre dernier, l'enseigne de bureaux genevoise ouvrait un nouvel espacedont l'agencement a été conçu par la Head. Visite de ce showroom où se découvrent toutesles méthodes de travail contemporaines. MAGALI PRUGNARD

Bi-OFFICE LA PREUVE PAR L'EXEMPLE

Pour y accéder, il faut se glisser dansles allées de la zone industrielle desAcacias puis monter tout en hautd'une grande cheminée de verre.Quelques pas suffisent alors pourse retrouver face à un plateau de600m2 inondé de lumière. Le nou-veau showroom de bj-office est à nospieds.Depuis plus de cent ans, cette en-seigne haut de gamme commercialisedu mobilier de bureau pour les archi-tectes, les entreprises et les particu-liers coutumiers du home working.Elle marque aujourd'hui un nouveau

départ grâce à la création de cet es-pace novateur, qui se présente nonseulement comme un showroom

pour mettre en scène les piècesde mobilier mais aussi comme unlieu de travail, dans lequel l'activitéprofessionnelle elle-même est miseen scène. En effet, cet espace, quiest occupé par l'ensemble des col-laborateurs de l'enseigne, permet dedécouvrir comment l'équipe utiliseau quotidien des solutions d'orga-nisation innovantes. Ici, la plupartdes employés déambulent dans lamême journée d'un poste de travail

à un autre. Ils rangent leur téléphoneet leurs effets personnels dans descaissons sur roulettes, qu'ils placenten fin de journée dans un «parc à ca-siers». Le courrier et les papiers sontclassés grâce à des appareils de ges-tion électronique des documents. Etles réunions informelles se déroulentsur de confortables canapés aux pro-priétés acoustiques.

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LA COLLABORAION AVEC LA HEM)Pour mettre en place des solutionsd'optimisation de l'espace et innoverdans son propre champ de compé-tence, bj-office a fait appel à la HauteEcole d'art et de design de Genève(Head). En amont, le questionne-ment sur l'organisation spatiale desenvironnements de travail a débou-ché sur l'idée de diviser la surface enune série d'îlots. Si certains d'entreeux devaient être réservés aux postesde travail fixes (achat, service clients,comptabilité...), la plupart pouvaientservir à de multiples activités et ac-cueillir différents employés (servicecommercial, communication...). Lesnotions de flexibilité de l'espace etde déambulation des employés sesont ainsi rapidement retrouvées aucur du projet. Avec une attentiontoute particulière accordée à la signa-létique: chaque îlot est délimité parun tapis rond dont la couleur indiques'il s'agit d'une zone où l'on peuts'installer librement. Ludique maisfonctionnel!Visites sur rendez-vousIg-officeRoute des Acacias 43,BAT I.,Les Acacias, Genève,tél. 022 708 08 08.

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Date: 18.03.2013

20 minutes Romandie SA1001 Lausanne021/ 621 87 87www.20min.ch/ro

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd.

Tirage: 119'973Parution: 5x/semaine

Page: 25Surface: 28'488 mm²

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L'informatique a tout pourplaire à la gent férninine

Celles qui choisissent cette profession typiquement masculine restent encore très minoritaires. -AFP

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Rapport page: 150/176

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Date: 18.03.2013

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Jean-Philippe Trabichet, res-

«Dans ma boîte,les hommes sontplus nombreuxque les femmes.Mais il n'existepas de disparitéssalariales entreles deux sexes»Sonia Perrotte,38 ans, informaticienneà Genève.

ponsable de la filière informa-tique de gestion à la HauteEcole de gestion de Ge-nève. Mais elles se bat-tent pour s'imposer etobtiennent souvent demeilleurs résultats.»

Pour Michel Lazeyras,responsable du Dépar-tement ingénierie destechnologies de l'infor-mation à la Haute écoledu paysage, d'ingénierieet d'architecture deGenève, la différencede rémunération est«si minime qu'ils'agit d'un hasard.Mais les femmesparviennent sûre-ment mieux à sevendre lors d'entre-tiens d'embauche»,avance-t-il.

Si le nombre d'in-formaticiennes

reste encore faible (entre 5% et10%), l'emploi a de quoi sé-

duire: «Il y a un côté créatiftrès intéressant, affirmeSonia Perrotte, cheffe de

projet en informatique.C'est varié et il y a sanscesse de nouveaux chal-lenges.» Celle qui baignedans ce monde depuisonze ans apprécie ausside bosser avec des hom-mes, car elle trouve l'am-biance plus détendue.

«Les professions del'informatique fonction-nent bien avec une viede famille, affirme Jean-Philippe Trabichet. Lesmamans parviennentgénéralement à concilierles deux grâce à la flexi-bilité des horaires et à lapossibilité de travaillerdepuis la maison »

-MARINE GUILLAIN

GENRES. Egalité des salaires,challenges et flexibilitédes horaires: la professionprésente son lot d'avantagespour les femmes. Peu sontcelles qui en profitent

Les hommes continuent d'êtremieux payés que leurs collè-gues féminines, selon les résul-tats de la dernière enquête dejobs.ch sur le baromètre des sa-laires. Les revenus des femmespeuvent être jusqu'à 25% in-férieurs dans des secteurstels que la banque ou les assu-rances.

Exception surprenante: lebastion masculin de l'informa-tique, où ces dames gagnent unpetit peu plus (0,73%). Com-ment expliquer ce chiffre? «Oncompte au maximum to%d'étudiantes chez nous, relève

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Date: 01.03.2013

EDI DE

Eidgenössisches Departement des Innern3003 Bern031/ 322 80 41http://www.edi.admin.ch/

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Schweizer Filmpreis 2013: Die Öffentlichkeit kann an der «Woche der Nominierten» das aktuelleSchweizer Filmschaffen entdecken

Bern, 01.03.2013 - Vom 19. bis 25. März 2013 ist der Schweizer Film unter dem Titel «Woche der Nominierten» inden Cinémas du Grütli in Genf und im Filmpodium in Zürich zu Gast. Die Veranstaltungen bilden dasRahmenprogramm anlässlich des Schweizer Filmpreises 2013, der am 23. März verliehen wird und richtet sich an einbreites Publikum, das so die Vielfalt und die Experimentierfreude der Schweizer Filmproduktion des vergangenenJahres entdecken kann. Die Association «Quartz» Genève Zürich veranstaltet dazu Filmvorführungen undPodiumsdiskussionen, an welchen Gedanken, Fragen, Visionen, Träume im Zusammenhang mit dem Schweizer Filmzur Sprache kommen sollen.

Die Verleihung des Schweizer Filmpreises findet am 23. März 2013 erstmals im Bâtiment des Forces Motrices in Genfstatt. Sie wird von verschiedenen Rahmenveranstaltungen vom 19. bis 25. März begleitet, der sogenannten«Woche der Nominierten ». Die Association «Quartz» Genève Zürich, die vom Kanton und von der Stadt Genf sowie der Stadt Zürich gegründetwurde, ist die Initiatorin dieses gemeinsamen Projektes. Die Woche der Nominierten soll eine Plattform für dasaktuelle Filmschaffen bieten und den Austausch zwischen den beiden wichtigsten Regionen der SchweizerFilmproduktion fördern.

Vorführung der nominierten FilmeDas Programm der Woche der Nominierten sieht vor, dass die für den Schweizer Filmpreis 2013 nominierten Filmevom 19. bis 25. März 2013 in den Cinémas du Grütli in Genf und im Filmpodium in Zürich gezeigt werden.Regisseurinnen und Regisseure, Produzentinnen und Produzenten, Verleiherinnen und Verleiher sowie andere Akteureder Kulturszene sind an zahlreichen Vorführungen anwesend.Podiumsdiskussionen über die Zukunft des Schweizer FilmsDie Zukunft denken und neu erfinden – dies ist das zentrale Thema der zwei Podiumsdiskussionen. Beide drehen sichum die Frage «Wovon möchten wir träumen? Neue Visionen für den Schweizer Film». Die Veranstaltungen finden am21. März 2013 im Filmpodium in Zürich und am 22. März 2013 in den Cinémas du Grütli in Genf statt.

Plattform für Schweizer Filmschulen HEAD und ZHdKUm den Blick auch in die Zukunft zu richten, werden zwei Schweizer Filmschulen – die Haute école d’art et de design(HEAD) in Genf und die Zürcher Hochschule der Künste (ZHdK) – Diplomfilme der Master und BachelorStudiengänge in den Partnerkinos zeigen: am Dienstag, 19. März 2013 in Zürich und am Mittwoch, 20. März 2013in Genf. Bei dieser Gelegenheit können sich die Studierenden der beiden Schulen treffen und austauschen. Auch dasjunge Publikum wird einbezogen und kann sich als Jury versuchen; denn die nominierten Kurzfilme werden auch anverschiedenen Schulen in Genf gezeigt.

Filmbrunch mit den prämierten Filmen 2013 zum AbschlussDer Sonntag, 24. März 2013 schliesslich steht ganz im Zeichen des Feierns, sowohl in Genf als auch in Zürich. DasPublikum kann sich die prämierten Filme (nochmals) ansehen, sich mit den Preisträgerinnen und Preisträgernaustauschen und einen geselligen Moment im Rahmen eines Filmbrunchs verbringen.

PressebilderPressebilder der für den Schweizer Filmpreis 2013 Nominierten befinden sich ab 6. März auf der Internetseitewww.schweizerfilmpreis.ch, unter der Rubrik «Medien».

Programm Woche der Nominiertenwww.cinemas-du-grutli.ch

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Allemand

Rapport page: 12/141

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Date: 01.03.2013

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Eidgenössisches Departement des Innern3003 Bern031/ 322 80 41http://www.edi.admin.ch/

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www.filmpodium.chwww.schweizerfilmpreis.chAdresse für Rückfragen:Koordinatorin Woche der Nominationen

Winka Angelrath, Kantonale Fachstelle für Kultur, Kanton Genf022 546 63 85, [email protected]

Association « Quartz » Genève Zürich:Thylane Pfister, KulturbeauftragteKantonale Fachstelle für Kultur, Kanton Genf022 546 66 82, [email protected]

Claire Schnyder, Stv. Direktorin KulturStadt Zürich Kultur044 412 31 36, [email protected]

Kommunikation Schweizer Filmpreis 2013:Susanne Goldschmid, Verantwortliche Kommunikation Schweizer Filmpreis 2013Bundesamt für Kultur031 322 92 34, [email protected]:Bundesamt für KulturInternet: http://www.bak.admin.chVolltextsucheSucheerweiterte SucheDateianhänge:Plakat Woche der Nominationen (pdf, 3076kb)

Zusätzliche Verweise:www.schweizerfilmpreis.ch

Die Bundesbehörden der Schweizerischen [email protected]| Rechtliche Grundlagenhttp://www.news.admin.ch/message/index.html?lang=de

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Page 8: 03 March 2013 / clippings

Date: 01.03.2013

Online-Ausgabe

Fédération de l'industrie horlogère suisse FH2502 Bienne032/ 328 08 28www.fhs.ch

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Journée suisse contre la contrefaçon 2013Grand public et étudiants sollicités

(1er mars 2013)

Reconduite chaque année, la Journée suisse contre la contrefaçon 2013 revêtira une forme inédite. Pour la premièrefois, la créativité du grand public et de jeunes étudiants des écoles d’art et de design de Suisse a été sollicitée pourla réalisation d’affiches et de courts-métrages sur la contrefaçon. Les résultats seront présentés le 22 mars à l’Ecolecantonale d’art de Lausanne.

La contrefaçon est un véritable fléau qui nous concerne tous et auquel nous contribuons directement en tant queconsommateurs. Le phénomène et sa propagation ont atteint des proportions alarmantes et le nombre d’entreprisessuisses victimes de faussaires ne cesse de s’accroître. Aucun secteur économique n'est épargné: montres,médicaments, films, musique et articles de mode font l’objet de contrefaçons. Les pertes économiques dues à lacontrefaçon et au piratage se chiffrent à deux milliards de francs suisses et à plusieurs centaines de milliards defrancs au niveau mondial.

L’initiative nationale de la Journée suisse contre la contrefaçon 2013 est placée sous l’égide de STOP PIRACY, laplateforme suisse qui lutte contre la contrefaçon et le piratage. Elle vise à sensibiliser le grand public sur les méfaitséconomiques et sociaux de la contrefaçon. Cette année, l’évènement est organisé par la FH en partenariat avec laFondation de la haute horlogerie. Afin d’obtenir un maximum d’impact auprès du public, la FH a souhaité associerdeux autres grands secteurs d’activité économique à cette initiative, à savoir l’industrie pharmaceutique et le secteuraudiovisuel, convaincue que l’union fait la force et que travailler ensemble serait une démarche à la fois novatrice etféconde.

La Journée suisse contre la contrefaçon du 22 mars prochain s’articulera autour de la remise des prix des trois

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Rapport page: 121/141

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Date: 01.03.2013

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Genre de média: Internet N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Organisations spécialisées Lire en ligne

concours qui ont été lancés à cette occasion sur la thématique de la contrefaçon avec des écoles d’art et de designen Suisse, ainsi qu’avec le grand public. La Haute école d’art et de design de Genève (HEAD) et l’Ecole de cinémade Genève ont réalisé des courts-métrages, alors que les étudiants de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL)ont élaboré des affiches. Un concours de films a également été initié sur Internet afin de faire participer le grandpublic. Les 400 invités ainsi que la presse auront ainsi l'occasion de découvrir les résultats de cette collaborationinédite.

Un jury composé d’éminentes personnalités ainsi que des différents partenaires a évalué les créations des étudiantset du public et décernera les prix pour les meilleurs œuvres lors de la journée nationale du 22 mars qui se dérouleradans les locaux de l’ECAL. Des montres suisses de prestige récompenseront les lauréats.

Afin de donner à cette initiative une dimension internationale et d’optimiser la communication transfrontalière enmatière de contrefaçon, la FH a souhaité inviter à la manifestation des organisations étrangères. Ainsi l’Institutnational de la propriété intellectuelle français INPI a été convié à l’évènement. Les invités à la journée du 22 marsauront l’occasion de visiter l’exposition itinérante sur la contrefaçon de cette institution. L’Union des fabricants,association française à l’action tout à fait exemplaire dans la lutte contre la contrefaçon, s’est également jointe àl’initiative.

L’exploitation des affiches et la diffusion des films contribueront dans une large mesure à sensibiliser le public. Il estdonc planifié de montrer les meilleurs courts-métrages dans les cinémas suisses et sur quelques chaînes de télévisionprivées helvétiques. Quant aux affiches, elles seront publiées dans les médias imprimés.

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claudia.olivarez
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Date: 14.03.2013

Service d'information de la FHS2502 Bienne032/ 328 08 28www.fhs.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse spécialisée

Tirage: 1'475Parution: mensuelle

Page: 9Surface: 27'561 mm²

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Yves BugmannDivision [email protected]

La contrefaçon est un véritable fléauqui nous concerne tous et auquel nouscontribuons directement en tant queconsommateurs. Le phénomène et sapropagation ont atteint des proportionsalarmantes et le nombre d'entreprisessuisses victimes de faussaires ne cesse des'accroître. Aucun secteur économiquen'est épargné: montres, médicaments,films, musique et articles de mode fontl'objet de contrefaçons. Les pertes éco-nomiques dues à la contrefaçon et aupiratage se chiffrent à deux milliards defrancs suisses et à plusieurs centaines demilliards de francs au niveau mondial.

L'initiative nationale de la Journéesuisse contre la contrefaçon 2013 estplacée sous l'égide de STOP PIRACY,la plateforme suisse qui lutte contrela contrefaçon et le piratage. Elle vise

JOURNÉE SUISSE CONTRE LA CONTREFAÇON 2013

Grand public et étudiantssollicités

La Journée suisse contre la contrefaçon 2013

revêtira cette année une forme inédite. Pour la

première fois, la créativité du grand public et de

jeunes étudiants des écoles d'art et de design de

Suisse a été sollicitée pour la réalisation d'affiches

et de courts-métrages sur la contrefaçon.à sensibiliser le grand public sur lesméfaits économiques et sociaux de lacontrefaçon. Cette année, l'évènementest organisé par la FH en partenariatavec la Fondation de la haute horlogerie.Afin d'obtenir un maximum d'impact au-près du public, la FH a souhaité associerdeux autres grands secteurs d'activitééconomique à cette initiative, à savoirl'industrie pharmaceutique et le secteuraudiovisuel, convaincue que l'union faitla force et que travailler ensemble se-rait une démarche à la fois novatrice etféconde.La Journée suisse contre la contrefaçondu 22 mars prochain s'articulera autourde la remise des prix des trois concoursqui ont été lancés à cette occasion sur lathématique de la contrefaçon avec desécoles d'art et de design en Suisse, ainsiqu'avec le grand public. La Haute écoled'art et de design de Genève (HEAD) etl'Ecole de cinéma de Genève ont réalisédes courts-métrages, alors que les étu-diants de l'Ecole cantonale d'art de Lau-sanne (ECAL) ont élaboré des affiches.Un concours de films a également étéinitié sur Internet afin de faire participer le

grand public. Les 400 invités ainsi que lapresse auront ainsi l'occasion de découvrirles résultats de cette collaboration inédite.

Un jury composé d'éminentes personna-lités ainsi que des différents partenairesa évalué les créations des étudiants etdu public et décernera les prix pour lesmeilleurs uvres lors de la journée natio-nale du 22 mars qui se déroulera dans leslocaux de l'ECAL. Des montres suissesde prestige récompenseront les lauréats.

Afin de donner à cette initiative une di-mension internationale et d'optimiserla communication transfrontalière enmatière de contrefaçon, la FH a souhaitéinviter à la manifestation des organisa-tions étrangères. Ainsi l'Institut nationalde la propriété intellectuelle français INPIa été convié à l'évènement. Les invités àla journée du 22 mars auront l'occasionde visiter l'exposition itinérante de cetteinstitution sur la contrefaçon. L'Uniondes fabricants, association française àl'action tout à fait exemplaire dans la luttecontre la contrefaçon, s'est égalementjointe à l'initiative.L'exploitation des affiches et la diffusiondes films contribueront dans une largemesure à sensibiliser le public. Il est doncplanifié de montrer les meilleurs courts-métrages dans les cinémas suisses et surquelques chaînes de télévision privéeshelvétiques. Quant aux affiches, elles se-ront publiées dans les médias imprimés.

Français

Rapport page: 103/176

Page 11: 03 March 2013 / clippings

Date: 01.03.2013

Scènes Magazine1211 Genève 4022/ 346 96 43www.scenesmagazine.com

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Magazines spéc. et de loisir

Tirage: 5'000Parution: 10x/année

Page: 11Surface: 8'420 mm²

Observation des médiasAnalyse des médiasGestion de l'informationServices linguistiques

ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Réf. Argus: 49075097Coupure Page: 1/1

Cinéma et art contemporain à Genève : Start Making Sense!

C'est l'injonction contenue dans le titre du colloque international Start

Making Sense! Cinéma et art contemporain transforment l'essai qui se dérou-

lera du 7 au 16 mars. Organisé par le Département de Cinéma/cinéma du réel

de la Haute école d'art et de design de Genève, en partenariat avec

l'Université de Genève, La Comédie de Genève, Les Cinémas du Grûtli, le

Centre d'Art Contemporain et le Cinéma Spoutnik, ce colloque propose une

série de conférences, de projections, de programmations et de rencontres.

Approche transdisciplinaire, historique et prospective pour traiter de l'es-

sai, cette "forme qui pense" dont Jacques Rivette disait " L'essai, depuis plus

de cinquante ans, est la langue même de l'art moderne ; il est la liberté, l'in-

quiétude, la recherche, la spontanéité... " . Une modernité que l'on peut faire

remonter à Montaigne. C'est de cette recherche à la croisée de la littérature,

de la philosophie, de l'histoire de l'art et, depuis plus d'un demi-siècle, du

cinéma et de l'art contemporain que le colloque témoignera.

A signaler particulièrement la venue le 9 mars à La Comédie du philoso-

phe et historien de l'art Georges Didi-Huberman qui s'interrogera à propos de

La Rabbia (1963) de Pier Paolo Pasolini sur cet extraordinaire objet film-

essai-poème du grand cinéaste. Autres intervenants annoncés: Jean-Pierre

Gorin, figure mythique (depuis sa collaboration avec Godard) peu présente en

Europe suite à son exil californien, mais aussi André S. Labarthe, Arnaud des

Panières ou Jean Starobinski.

Christian BernardProgramme détaillé: http://head.hmge.ch/daema

http://wwitcomedie.chievenement

Français

Rapport page: 133/141

claudia.olivarez
Texte surligné
Page 12: 03 March 2013 / clippings

Date: 02.03.2013

Tamedia Publications Romandes1211 Genève 11022/ 322 40 00www.tdg.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd.

Tirage: 48'688Parution: 6x/semaine

Page: 3Surface: 15'108 mm²

Observation des médiasAnalyse des médiasGestion de l'informationServices linguistiques

ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Réf. Argus: 49077353Coupure Page: 1/1

Les lunettes de Google et la montre d'Apple...Dans le petit monde du high-tech, les

amateurs de nouveautés n'ont d'yeuxque pour les derniers smartphones.Mais si l'avenir - plus ou moins proche -du téléphone était franchement ailleurs?Dévoilées en avril 2012, les Google Glass- des lunettes sans verre mais intelligen-tes - devraient être sorties en 2013.Jusqu'ici, peu de détails techniques ontfiltré de la firme de Mountain View, misà part une vidéo de démonstration. Toutjuste sait-on (ou imagine-t-on) que ceslunettes seront connectées à Internet.Cela permettra aux utilisateurs detéléphoner (via les applicationsde téléphonie vocale du type Slcype), derecevoir des messages, mais aussi depercevoir le monde en réalité augmentée,via un minuscule écran transparent.De quoi séduire le grand public?«Je suis un peu sceptique, confie NicolasNova, enseignant à la Haute Ecole d'artet de design de Genève (HEAD) etfondateur du Near Future Laboratory.A priori, l'idée semble séduisante. Mais

les expériences montrent que cela nemarche pas bien. Les utilisateursn'apprécient guère d'être dérangés àn'importe quel moment. Imaginez: vousêtes dans une discussion importante et,d'un coup, un message se met àclignoter devant vos yeux... Cettesurcharge d'informations se révèle viteingérable.» Toutefois, Nicolas Novan'enterre pas définitivement le projet:«Je pense que ce type d'objet vaintéresser les personnes qui souhaitentpartager des vidéos sur les réseauxsociaux. Il suffit d'aller en montagnepour voir le nombre de personneséquipées de minicaméras du typeGoPro. A l'avenir, les lunettes vont les

111,Google Glass: sortiront-elles en 2013?

remplacer.» Selon les rumeurs quicirculent sur la Toile, l'autre mastodontedes smartphones, Apple, travailleraitsur un projet de montre intelligente,l'iWatch. Là encore, il s'agirait d'unobjet connecté au Web permettant derecevoir des messages et de téléphonertout en contrôlant sa santé. «La montreintelligente représente le Graal desobjets technologiques, sourit NicolasNova. Mais pour le moment,les modèles existants demeurent desgadgets et des échecs commerciaux.Cela dit, j'attends avec impatience ceque va faire Apple.» BE.B.

Français

Rapport page: 136/141

claudia.olivarez
Texte surligné
Page 13: 03 March 2013 / clippings

Date: 03.03.2013

SonntagsZeitung8021 Zürich044/ 248 40 40www.sonntagszeitung.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd.

Tirage: 177'411Parution: hebdomadaire

Page: 69Surface: 119'247 mm²

Observation des médiasAnalyse des médiasGestion de l'informationServices linguistiques

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Réf. Argus: 49087280Coupure Page: 1/4

London, Mailand, Paris, NewYork, London, Mailand, Paris.Das ist die Reihenfolge der Mode-metropolen, in denen seit AnfangJahr die wichtigsten Modeschau-en für Herbst/Winter 2013/2014stattgefunden haben. Noch bisnächste Woche zeigen in Paris dieDesigner ihre Kollektionen. Dannist bis im Sommer Pause. Doch dagibt es noch einen Anlass: Direktnach Paris findet in Zürich nächs-te Woche und ein paar Tage spä-ter in Genf die dritte Ausgabe derMode Suisse statt. Die Veranstal-tung, die vor einem Jahr vom Ber-ner Showproduzenten und -kon-zepter Yannick Aellen und derEventmanagerin Ursina Widmer(siehe Kasten Seite 70) ins Lebengerufen wurde, «liegt saisonalrichtig», so Aellen. Dann nämlich,wenn die Winterkollektionen fer-

tiggestellt und die Einkäufer gera-de noch unterwegs sind.

Etablierte Schweizer Mode-designer wie Lela Scherrer oderIda Gut haben bei der Mode Suissegenauso Platz wie die Senkrecht-starter Julian Zigerli oder LaendPhuengkit. Die Kollektionen las-sen sich auch im internationalenKontext sehen, denn viele Schwei-zer setzen auf eine hochwertigeVerarbeitung. Das Label PortenierRoth etwa stellt seine Kleider ineiner eigenen Produktionsstättein Thun her. Und zeigt wie alleMode-Suisse-Teilnehmer die neus-ten Entwürfe für den Herbst/Win-ter 2013/14.

In den Modemetropolen mag esselbstverständlich sein, dassFashion-Shows vorausschauendfunktionieren. In der Schweiznicht. Zwar sorgten Events wie die

Gwand, die bis 2005 stattfand,oder der Swiss Textiles Award(bis 2010) für mediale Beachtung.Allerdings handelte es sich umnicht saisonale Preisverleihungen,an denen immer wieder neue De-signer teilnahmen. «Dabei ist Kon-tinuität etwas vom Wichtigsten,um die Qualität eines Labels be-urteilen zu können», sagt Aellen.Deshalb versucht er, möglichst vie-le Labels, die bei den ersten zweiAusgaben dabei waren, wieder zuverpflichten und immer wiederEntdeckungen zu «scouten». Fürihn ist klar: «Noch nie gab es soviele spannende und professionel-le Schweizer Modelabels.»

Die Fashion Days Zurich, dieim November zum dritten Malstattgefunden haben, brachten dieSchweizer Mode ebenfalls ins Ge-spräch. Allerdings präsentierensich dort auch internationale, sai-sonal wild zusammengewürfelteFashionlabels. Zudem richtensich die Fashion Days im Ver-gleich zur Mode Suisse nicht anein Fachpublikum. Mit CharlesVögele als Hauptsponsor in denersten zwei Jahren sowie mit derAutomarke Mercedes Benz, dieseit 2012 hinter dem Event steht,machen die Veranstalter kein Ge-heimnis darum, dass es sich umeinen perfekt organisierten Cüpli-Sp onsorenanlass handelt. Folge:Die wenigen Modejournalistenschnöden im Zweifelsfall lieberüber den Anlass, als über dieSchweizer Mode zu schreiben. Anein noch grösseres Publikum rich-tet sich die Lange Nacht der Mo-de, die am 21. März in Zürichstattfindet. Präsentiert wird derEvent, bei dem sich alles umFashion und Style dreht, vonCaff Latte.

Viele, die an der Mode Suisseauftreten, arbeiten im Ausland

Vivela

SuisseAn der Mode Suisse zeigen

22 Schweizer Designer neueKollektionen. Der Anlass steht

für einen lang erwarteten Aufbruchin der heimischen Modeszene

VON CLAUDIA SCHMID (TEXT]UND OLIVER NANZIG (FOTOS]

Allemand

Rapport page: 31/141

Page 14: 03 March 2013 / clippings

Date: 03.03.2013

SonntagsZeitung8021 Zürich044/ 248 40 40www.sonntagszeitung.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd.

Tirage: 177'411Parution: hebdomadaire

Page: 69Surface: 119'247 mm²

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Réf. Argus: 49087280Coupure Page: 2/4

Solche Anlässe dienen dem Stadt-marketing; für einen längerfristi-gen Austausch zwischen denSchweizer Modedesignern sindsie nicht gemacht. «Deshalb sindwir glücklich, dass es die ModeSuisse gibt. Weil sie ein Event ist,der aus der Szene selbst gebo-ren wurde», sagt die japanisch-schweizerische ModedesignerinKazu Huggler. Sie schätzt denAnlass, weil «ich an einem Abenderfahren kann, woran die anderenDesigner arbeiten. In der Schweizarbeiten wir eher zurückgezogen,und es gibt keinen Rahmen, woein regelmässiger Austausch statt-findet.» Zumal viele, die an derMode Suisse auftreten, im Aus-land tätig sind. Neben LaendPhuengkit, dem Zürcher Desig-ner mit thailändischen Wurzeln,lebt auch Tutia Schaad in Berlin.Schaad, die in der Romandie auf-gewachsen ist, betreibt mit Johan-na Perret das Label Perretschaad,das in Deutschland gut unterwegsist. Nina Egli, Designerin vonToujours Toi Family Affairs, arbei-tet in New York.

Wie alle der 22 Modelabels, diean der Mode Suisse teilnehmen,wird sie ihre Kollektion in einemöffentlich zugänglichen Show-room zeigen. Dort entstehen diefür die Modemacher wichtigenGespräche mit Kunden, Journa-listen oder Einkäufern. So hängendie Foulards von Ginny Litscherdank einem Kontakt, den sie ander Mode Suisse knüpfen konn-te, in einem Shop in Lausanne.

Dass die Mode Suisse schon seitder zweiten Ausgabe auf dieUnterstützung der Migros zählenkann im Rahmen des neuen För-derfonds Engagement , hat nichtnur damit zu tun, dass Designeraus der Deutschschweiz und derRomandie zusammengeführt wer-den. Auch die zwei wichtigsten

Schweizer Modeschulen werdenberücksichtigt. So schickt dieKunsthochschule Genf (HEAD)unter anderem den 22-jährigen Je-remy Gaillard ins Rennen. Er darfim Rahmen der HEAD-Show derMode Suisse seine Herrenmodezeigen. Die Kunsthochschule inBasel (HGK) mit dem Institut fürModedesign ist dieses Mal verhin-dert weil in drei Wochen dieDiplom-Modeschau ansteht.

Nicht zuletzt steht und fällt derAnlass mit Aellen. Der 36-Jähri-ge, der schon Dutzende von Mo-deschauen in der Schweiz und imAusland organisiert hat, ist Dreh-und Angelpunkt der SchweizerModeszene. Er kennt die Desig-ner, die Models, die Stylisten.Egal, wen man nach ihm fragt, dieAntwort lautet: «Der ist im Falltotal professionell.» Offenbar istdas eine Fähigkeit, die in derSchweizer Modeszene nichtselbstverständlich ist genausowie dieses neue Gefühl von Zu-sammenhalt. «In der SchweizerModeszene ist ein Aufbruch zuspüren», sagt Patrizia Crivelli,Leiterin der Abteilung Design imBundesamt für Kultur. «Und dieMode Suisse ist ein wesentlicherTeil davon.»

Statements wie diese hat manlange nicht mehr gehört. Dennnoch ist die Mode schwerer fassbarals die im Ausland gefeierte und imInland geförderte Kunst oderArchitektur. Die einzige brauchba-re Publikation über Schweizer Mo-de («Schweizer Mode 1972-1997»)liegt schon 15 Jahre zurück. Doches deutet alles daraufhin, dass sichdie Mode Suisse zur wichtigstenModeplattform entwickeln wird.So hat Pro Helvetia diese WocheFörderbeiträge gesprochen; im Ju-

ni ist eine Kooperation mit derMesse «Design Miami» in Basel ge-plant. Und vielleicht heisst es jabald: London, Mailand, Paris, NewYork, London, Mailand, Paris, Zü-rich, Genf.Mode Suisse Zürich: 9.3., Schiffbau.Showroom (öffentlich) ab 15 Uhr,

Mode Suisse Genf: 15.3., PavillonSich, www.modesuisse.com. Am23.3. findet die Diplomschau desInstitutes für Modedesign in Baselstatt. Infos: www. doingfashion.ch

JEREMY GAILLARD studiert Modedesign in Genf. An der ModeSuisse zeigt er Männeroutfits in zurückhaltenden Farben

Allemand

Rapport page: 32/141

claudia.olivarez
Texte surligné
Page 15: 03 March 2013 / clippings

Date: 03.03.2013

SonntagsZeitung8021 Zürich044/ 248 40 40www.sonntagszeitung.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd.

Tirage: 177'411Parution: hebdomadaire

Page: 69Surface: 119'247 mm²

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Réf. Argus: 49087280Coupure Page: 3/4

PORTENIER ROTH aus Thun haben kürzlich den Eidgenössischen Preis für Design gewonnen. Sabine Portenierund Evelyne Roth setzen auf eine jährliche «Hauptkollektion», die sie mit einzelnen Stücken ergänzen

Allemand

Rapport page: 33/141

Page 16: 03 March 2013 / clippings

Date: 03.03.2013

SonntagsZeitung8021 Zürich044/ 248 40 40www.sonntagszeitung.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Presse journ./hebd.

Tirage: 177'411Parution: hebdomadaire

Page: 69Surface: 119'247 mm²

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Réf. Argus: 49087280Coupure Page: 4/4

Ursina Widmer und Yannick Aetten: Die kreativen Köpfe der Mode SuisseShowproduzent Yannick Aellenund Event-Organisatorin UrsinaWidmer haben schon mehrereFashion-Events zusammenorganisiert. Ihr Pilotprojekt«Mode Suisse? Oui!» fand 2010statt. Im März vor einem Jahrführten sie die Mode Suisseerstmals im Papiersaal in Zürichdurch.Yannick Aellen, der aus Steffis-burg BE stammt, hat sich schonvor der Mode Suisse einen Namengemacht. Unter anderem war erfür die Produktion der SwissTextiles Awards verantwortlich, ercastet Models für Heidi Klums«Germany's next Topmodel» unddie «Energy Fashion Night» undarbeitete für Louis Vuitton; zudemist er für die Fashionshow desfranzösischen Couturiers AlexisMabille verantwortlich, die dieseWoche in Paris stattgefunden hat.

LELA SCHERRER aus Basel arbeitet regelmässig mit Künstlern zusammen und hat auch schon Wohnaccessoires entworfen

Allemand

Rapport page: 34/141

Page 17: 03 March 2013 / clippings

Date: 04.03.2013

Genève-Servette Hockey Club1211 Genève022/ 338 30 00http://www.gshc.ch/

Genre de média: Internet N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Organisations, loisir Lire en ligne

. Le « 4e tiers » sera diffusé en direct de l’Eagle Lounge Club après le match avecJean-François Regali, ancien attaquant et capitaine du GSHC, comme consultant.

Pour le coup d’envoi : Boris Chamoulaud etSpecial Olympics SwitzerlandBoris Chamoulaud est le chef des ventes de Feldschlösschen pour la Suisse romande. Partenaire du Genève-ServetteHC depuis la promotion de 2002 en LNA, la brasserie bâloise est fidèle au club grenat depuis 10 ans.

Six athlètes de Special Olympics Switzerland accompagneront M. Chamoulaud. Ils ont représenté la Suisse lors desWorld Winter Games 2013 de PeyongChang (Corée du Sud) du 26 janvier au 5 février dernier.

Match sponsor : FeldschlösschenFeldschlösschen est la première entreprise Suisse de distribution de boissons et possède à Rheinfelden, près de Bâle,l'une des plus belles brasseries d'Europe. Feldschlösschen soutient le GSHC depuis 2002 et pour longtemps encore.Allez les Aigles !

Thème et cause à l’honneur : Genève Futur HockeyLa 3e édition du Genève Futur Hockey Challenge aura lieu du 4 au 7 avril 2013. Ce tournoi international de hautniveau réunira 28 équipes de 10 pays (dont le Canada et la Russie ou encore l'Espagne et la Turquie), réparties en 3catégories masculines (U15 Top, U13 Top et A) et 1 féminine (U15). Le Challenge se déroulera simultanément surles patinoires des Vernets, de Sous-Moulin et de Meyrin.

Chèque PostFinance TopScorerLors de son entrée sur la glace, le PostFinance TopScorer du Genève-Servette Hockey Club Kevin Romy remettra unchèque de CHF 6'800 à la relève genevoise. Celle-ci sera représentée par Jean-Philippe Paradis, directeur sportif del’Association Genève Futur Hockey.

Animations aux VernetsDrapeau :Grâce à SIG, les spectateurs recevront des drapeaux. Ils devront suivre les instructions de Calvin et Calvina àcertains moments du match pour créer une atmosphère inoubliable.

Opération « Tous en blanc » :Les spectateurs sont invités à venir en blanc lors des matchs aux Vernets. Le but est de créer une atmosphère uniquedans la patinoire grâce à la couleur dominante dans le public.

HEADTreize étudiantes et étudiants de la Haute École d’Art et de Design de Genève ont porté un œil neuf sur le GSHC etses coulisses. Une sélection de leurs photos est exposée aux Vernets pendant les Playoffs.

Première pause :Grâce à ebookers.ch, les spectateurs auront la possibilité de gagner un voyage à Istanbul en début de pause.

Deuxième pause :Les Geneva Wild Eagles Cheerleaders seront fidèles au rendez-vous et présenteront notamment une chorégraphiespéciale Harlem Shake. En fin de pause, des tirs au but seront organisés.

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ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Réf. Argus: 49113627Coupure Page: 2/2

Français

Rapport page: 52/183

claudia.olivarez
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Page 18: 03 March 2013 / clippings

Date: 04.03.2013

Online-Ausgabe DE

globus.ch8957 Spreitenbach058 455 22 04www.globus.ch

Genre de média: Internet N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Sites d'entreprises Lire en ligne

Mitmachen und gewinnen!

Mit Globus und Toni&Guy zur Mode Suisse Edition 3

Nach dem grossen Erfolg der ersten beiden Ausgaben geht die Mode Suisse bereits in die dritte Runde: Am 9. März2013 wird die Edition 3 im Schiffbau in Zürich stattfinden. Kurz darauf, am 15. März 2013, präsentieren sich dieteilnehmenden Schweizer Designer im Pavillon Scli in Genf. Die an ein Fachpublikum gerichtete Modeschau vonYannick Aellen und Ursina Widmer wird seit der zweiten Ausgabe von Globus unterstützt. Erste Namen für dieModeschau wurden bereits bestätigt: Head (Haute Ecole d'Art et Design Genève), Julian Zigerli, Laend Phuengkit,Lela Scherrer, Portenier Roth, Stefanie Biggel, Marc Stone, Javier Reyes, Asesor en Seguros und viele mehr.

Unter dem MottoHair Meet Wardrobe» wird das Geheimnis des perfekten Looks auf eine simple Formel gebracht: Es ist die Summeaus Haarstyling und Outfit, die den persönlichen Auftritt unverwechselbar macht. Da passt es perfekt, dass Toni&Guybei der Mode Suisse Edition 3 für das Hairstyling verantwortlich sein wird.«

Der Showroom am Nachmittag ab 15:00 ist öffentlich, der Besuch der Modeschauen ist jedoch nur mit Einladungmöglich. Globus und Toni&Guy verlosen jetzt je 2 Tickets für die dritte Edition von Mode Suisse in Zürich und Genf.Und so einfach geht’s: Einfach Email senden an:[email protected]

Der Anmeldeschluss für Zürich ist der 6. März 2013, für Genf der 11. März 2013.

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ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Réf. Argus: 49113630Coupure Page: 1/1

Allemand

Rapport page: 8/183

claudia.olivarez
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Page 19: 03 March 2013 / clippings

Date: 05.03.2013

Magazine Culturel Genevois

GO OUT! Magazine1204 Chêne-Bourg022/ 328 10 90www.gooutmag.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Magazines spéc. et de loisir

Tirage: 15'000Parution: 10x/année

Page: 15Surface: 100'068 mm²

Observation des médiasAnalyse des médiasGestion de l'informationServices linguistiques

ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Réf. Argus: 49119737Coupure Page: 1/5

DéséquilibresD'un point de vue général d'abord, on voit que lesdisparités selon les sexes restent importantesdans l'éducation: 17% d'hommes contre 83% defemmes enseignent dans le primaire, 52% contre48% dans le secondaire, 61% contre 39% dans les

Hautes écoles spécialisées (HES) et 83% contre 17%

à l'Université. Plus le niveau d'éducation monte,moins les femmes sont représentées.

Inaccessibles responsabilitésAboutissement de cette situation: l'importantesous-représentation des femmes dans les postesde direction. Elles occupent en moyenne uneplace sur trois parmi les professions de cadre oudans les mandats politiques. Autre donnée non-négligeable, à niveau de hautes responsabilitéséquivalent, le salaire est inférieur d'environ 30%pour la gent féminine, à Genève.

On découvre

LA CULTURE AVECUN GRAND F

XD HERVÉ ANNEN, OLIVIER GURTNER JADD HILAL

NICOLAS SCHOPFER

Avec seulement 30% des postes de direction, 29% des plein temps et 19% des emplois àrevenu supérieur à 8'000 francs, dire que l'on tend à la parité entre hommes et femmes estune chimère. Trente années de luttes féministes et d'études genre n'ont manifestement passuffit: les postes de direction demeurent l'apanage des hommes. Qu'en est-il dans le mondeculturel? Quel rôle jouent les femmes dans cette économie des émotions et de la réflexion?Go Out! a sorti son thermomètre pour prendre la température, avec six destins croisés.

Percée assuréeLa tendance se marque tout de même par unelégère amélioration, notamment dans le servicepublic, où les inégalités de salaires sont désormais

de 14.7% contre 16.5 trois ans plus tôt. A noterpourtant un écart de 23.6% dans le secteur privé.Malgré ces statistiques qui incitent à rester alerte,les trajectoires individuelles existent. Go Out! veutmontrer dans ce dossier le parcours de femmesengagées, qui contribuent à façonner la scèneculturelle romande. D'ailleurs, l'idée de retenir despersonnes à la tête d'institutions plutôt que desartistes est volontaire, pour montrer l'implicationdes femmes dans les postes à responsabilité.

Parcours de vieAnne Brüschweiler au Forum Meyrin, IsabelleGraesslé au Musée international de la Réforme,Florence Notter aux Amis de l'Orchestre de laSuisse romande, Barbara Poila chez Analix forever,

Chantal Prod'Hom au Musée de design et d'artsappliqués contemporains (MUDAC), Kristin Steinet Sibylle Rochat chez SAKS... découvrez cesmuses chéries par Go Out!, leurs convictions, leurs

engagements artistiques, et leurs trajectoires entant que femmes.

Français

Rapport page: 60/183

Page 20: 03 March 2013 / clippings

Date: 05.03.2013

Magazine Culturel Genevois

GO OUT! Magazine1204 Chêne-Bourg022/ 328 10 90www.gooutmag.ch

Genre de média: Médias imprimés N° de thème: 375.9N° d'abonnement: 1073023Type de média: Magazines spéc. et de loisir

Tirage: 15'000Parution: 10x/année

Page: 15Surface: 100'068 mm²

Observation des médiasAnalyse des médiasGestion de l'informationServices linguistiques

ARGUS der Presse AGRüdigerstrasse 15, case postale, 8027 ZurichTél. 044 388 82 00, Fax 044 388 82 01www.argus.ch

Réf. Argus: 49119737Coupure Page: 2/5

Florence NotterPrésidente de l'association des Amis de l'Orchestre de Suisseromande (OSR) depuis 2009, active au sein de la Fondation pour

Genève.

«Mon but premier à la tête des Amis de l'OSR est de défendre

Genève en tant que ville de culture et de la promouvoir dansnotre canton et à l'extérieur. En contribuant à cette association,

j'aimerais faire partager mon enthousiasme pour la scèneculturelle et musicale de très haute qualité dont nous béné-ficions. Mon objectif consiste à faire découvrir aux résidents,aux nouveaux arrivés et aux personnes de passage la scènegenevoise et surtout notre orchestre, bientôt centenaire etclassé parmi les meilleurs du monde. Sur la question de lasensibilité artistique, la situation est assez claire: notre budgetadministratif est limité, alors nous avons besoin de toutel'énergie des bénévoles, en l'occurrence des personnes trèscompétentes et engagées. Avec les nouveaux moyens de com-munication et pour développer notre association nous avonsbeaucoup à faire, donc j'ai moins de temps pour m'occuper du

côté artistique, ce que je regrette. Néanmoins, j'ai la chance depouvoir côtoyer régulièrement l'orchestre et ses musiciens detalent, qui me font découvrir leur passion.

Si le milieu économique peut refléter un certain machisme, je n'ai

pas le sentiment que ce soit le cas pour le milieu culturel. Je pense

que chacun travaille selon ses capacités et sa volonté. Person-nellement, je suis entourée d'hommes et de femmes, que nousavons choisis pour leurs compétences et leur valeur respec-tives. Dans mon cas, je suis persuadée que le fait d'être une

femme n'a pas compté non plus. Généralement, je considèreque c'est la plus-value que chacun peut amener au sein d'uneorganisation qui importe le plus. En ce sens, je suis convaincueque c'est d'abord le dynamisme, les idées, l'engagement et lavolonté de réussir qui font la différence, au-delà des questionsde genre.»

Français

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Anne BrüschweilerDirectrice artistique du Théâtre Forum Meyrin, ancienne présenta-trice du journal télévisé de la RTS.

«En tant qu'actrice culturelle, je ne défends pas une seule valeur.

Au Théâtre Forum Meyrin, nous favorisons l'accueil et non la créa-

tion. Comme nous présentons des projets variés, il est difficile d'ytrouver une idée commune. Mes responsabilités, bien qu'étantvastes, ne m'empêchent pourtant pas de développer ma sensi-bilité artistique. Même si une directrice d'institution n'est pas uneartiste, elle doit rester attentive aux actualités culturelles et laisserune place de choix au plaisir et aux rencontres. Il ne faut pas selaisser déborder par les feuilles Excel.

S'agissant du machisme, il provoque à mon sens des inégalités

partout, indépendamment du milieu professionnel, culturel ounon. Au théâtre, il est moins évident de programmer des femmes,leur parcours restant percé de responsabilités familiales. Je restetoutefois très attentive à la création féminine, même si, pour moi,la qualité dépasse les questions de genre. Personnellement, je le

conçois comme un avantage et un désavantage. La personnalité,l'expérience, le type... tout s'imbrique. Le plus grand problème

réside dans la perception liée aux femmes sur le marché du travail.

Aux yeux de certains, des postes perdent de leur valeur uniquementparce qu'ils ont été repris par elles.»

Ireaull MARS 13

Barbara PoilaEnseignante à la Haute école d'art et de design (HEAD) Genève,

Barbara Poila est également écrivaine et directrice de la galerie

Analix Forever.

«Ce qui me passionne, c'est de favoriser avant tout la culture et la

diversité de la pensée. Ces deux valeurs nous permettent de vivre,

humainement. Je prône le fatras créatif. Je souhaite abattre lesmurs qui cloisonnent les disciplines. Ce n'est pas un hasard si chez

moi, tout ce qui touche à l'administratif devient chaotique. J'aimebeaucoup interagir avec les artistes. Heureusement, mon foutoir

administratif ne m'empêche pas de proposer de magnifiquesexpositions.

S'agissant des inégalités hommes-femmes, rien n'échappe au

machisme: médecine, politique, culture... toutes les disciplines sonttouchées. Seul l'engagement dépasse ce clivage. Aujourd'hui, mes

idées ont pris le pas sur mon sexe. Cela a néanmoins pris beaucoup

de temps...Dans ma carrière, le fait d'être une femme a beaucoup

compté. Ma sensibilité féminine a été primordiale dans chaquedomaine. Il ne faut absolument pas renier son genre. J'ai quatre

enfants et j'aime les hommes!»

Français

Rapport page: 62/183

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Isabelle GraessléDocteure en théologie, directrice du Musée international dela Réforme depuis 2004, ancienne directrice du Centreprotestant d'études de Genève.

«Tout au long de mon parcours, je n'ai jamais voulu me

cantonner à la littérature, la théologie ou l'administration.Je prône l'ouverture et la perméabilité. En fait, je suis profon-dément rebelle à toute spécialisation. Diriger une institutioncomme le Musée de la Réforme me permet de compléter

ma sensibilité artistique, et inversement. Par exemple, jeconsacre beaucoup de temps à la réflexion et à l'étude pourmener une bonne communication. Ainsi, cinq minutes passées

à l'antenne d'un média nécessitent pour moi une heure detravail intellectuel.

Sur la question du genre, je pense que le problème vient de

la hiérarchisation. Il prend le dessus sur les autres caractéris-tiques des individus: les compétences, l'expérience ou le

caractère. Le monde de la culture n'échappe pas à cetteséparation. Au mieux, il l'atténue. Dans mon cas, je me suisprésentée pour un poste de professeure, un rôle de premierplan qui ne m'a pas été accordé par peur que ma parole en

public, en tant que femme, puisse engendrer des répercus-sions. On m'a même suggéré de ne plus me maquiller ni deporter de bijoux, un autre signe s'il en fallait d'un certainmachisme.»

Kristin Stein et Sibylle RochetDirectrices de SAKS, galerie d'art contemporain.

«Notre valeur première réside dans }'ouverture d'esprit, c'estelle qui permet de confronter sa vision à celle des autres. Et

ensuite le courage, celui de défendre ses idées. Le galeriste abesoin de cette force, il s'occupe de tout, il couvre tout l'éventaildes tâches menant à la création d'une exposition, beaucoup de

logistique en effet. Mais une galerie ne se conçoit pas comme

un lieu d'exposition à louer. Une exhibition est le fruit de la col-

laboration entre tous les acteurs. Lartiste ne présente pas sontravail chez un galeriste par hasard. Lorsque nous exposons.nous défendons également notre position, nous ne sommesjamais neutres.

L'univers des galeries échappe légèrement aux inégalités. Il seconçoit comme un monde d'individus. Un galeriste incarne sonespace. Homme ou femme, le genre n'est pas le point crucial. Lavision de l'art ne change pas fondamentalement selon le sexe dupublic. En tout cas, le genre n'a jamais compté dans nos cas.»

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Chantal Prod'HomDirectrice du musée de design et des arts appliquéscontemporains de Lausanne (MUDAC), diplômée enmuséologie de l'Université de New York, ancienne

directrice de Fabrica (centre de recherche et de créationde Benetton).

«Dans ma démarche, je place la transmission au-dessus

de tout. Un professionnel de musée sert la création. Il faiten sorte qu'elle soit vue par le plus grand nombre. Il est

nécessaire de laisser la parole aux artistes afin qu'ils nousaident à mieux comprendre le monde.De ce point de vue, organiser des expositions fait partiedu processus créatif. Sans vision d'ensemble, l'expositionne se fait pas.

De manière générale, les professions culturelles restenttrès féminines. Au niveau de la direction et des domaines

techniques néanmoins, les femmes sont sous-représen-tées. Personnellement, mon expérience professionnelledépasse la question du genre. Mon parcours atypique aeu plus de conséquences, positives ou négatives, que lefait d'être une femme.»

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Rapport page: 64/183

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JEUNES CREATEURS

MODE SUISSE

MODED'EMPLOI

A La Suissesse Martel Manuela obtenu son master à la célébreRoyal Academy of Fine Artsd'Anvers à 23 ans à peine(ci-dessus et ci-contre à droite).

Dotée de prix prestigieuxet de structures quis'améliorent, la modesuisse se professionnaliseet donne des ailes aux"wannabee" couturiers.

TEXTE PASCALINE SORDET

i vous demandez à un couturierparisien ce qu'il connaît de la modesuisse, il aura de la peine à vousrépondre. Ou peut-être qu'il connaît

Bally et la dentelle de Saint-Gall, ironise Yan-nick Aellen, cofondateur avec Ursina Widmerde la structure Mode Suisse. Lorsqu'on se ré-fère au savoir-faire suisse en matière de créa-tion vestimentaire, on évoque plus souventl'industrie textile que les jeunes stylistes dela relève. Un état de fait qui pourrait évoluergrâce à une jeune génération de créateursprêts à en découdre.

Aimer les vêtements, s'inscrire dans uneécole de design, avoir une idée de collectionen tête, penser à lancer sa marque, passerson diplôme... et ensuite? Grâce aux struc-tures existantes, les jeunes créateurs demode ont à disposition un panel de soutienpour se lancer dans le monde professionnel.Patrizia Crivelli est responsable de l'Encou-ragement du design pour la Confédération,qui distribue chaque année une vingtaine deprix dans ce domaine. Pour elle, ces récom-

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penses sont importantes mais ne font pastout. « Il faut suivre les designers de trèsprès, avoir un showroom à Paris une annéeet ensuite plus rien, ce n'est pas suffisant.»Bien qu'elle assure rester en contact avecles créateurs primés et les aider par desconseils et des contacts, elle est conscientedes limites des prix fédéraux de design,notamment dans la mode : «On ne disposepas d'assez d'argent pour faire un véritablesuivi économique. Dans le domaine du gra-phisme, qui n'entraîne pas de gros frais deproduction, le prix est adapté, mais pour lamode, 25 000 francs, ce n'est pas suffisantpour lancer une collection.» Un avis partagépar Yannick Aellen, qui nuance toutefois, « ily a moins de prix, mais ils sont prestigieux.Car s'ils ne suffisent pas à lancer une carrière,ils sont important en terme de visibilité», enSuisse comme à l'étranger. Et le passage parl'international, Yannick Aellen le recommandeà tous: «C'est très important de quitter laSuisse, si on veut travailler sérieusement. Ilfaut absolument bouger pour avoir une bonnevision de ce monde.» Une idée pas forcémentpartagée par la responsable de la section de-sign mode de la HEAD de Genève, qui assureque la Suisse dispose d'un vrai réseau de com-pétence. « A Paris, on est un styliste parmi lafoule, contrairement à ici. Il n'y a pas de règle,les deux peuvent fonctionner.» Pour que lesétudiants ne passent pas à côté d'une expé-rience dans une grande maison étrangère,la responsable a tout de même introduit desstages au niveau bachelor.

Tous les diplômés en design de mode nerêvent cependant pas de lancer une collectionet de devenir entrepreneur. Mariel Manuel, di-plômée de la section mode de l'Académie desBeaux-Arts d'Anvers, a gagné deux années desuite le Prix fédéral de design pour ses collec-tions de fin d'études. Elle a décidé d'utiliserl'argent pour financer une période de stagechez Balenciaga à Paris. Un parcours qui luia finalement valu un poste d'assistante dansla maison aux côtés de Nicolas Ghesquièrenotamment: «J'apprend énormément. Biensûr j'ai envie de refaire une collection, demontrer mes créations, mais tout le systèmeéconomique de la production ne m'intéressepas vraiment. Je n'ai pas envie de m'engouf-

frer dans une dynamique où il faut constam-ment se vendre.» Pour ceux qui veulent quandmême se lancer, derrière le dessin et les tissus,l'aspect business du lancement d'une marqueest effectivement conséquent. C'est à cetteréalité de leur métier que les professeurs de laHEAD à Genève forment les étudiants. Chris-tiane Luible, la responsable de la section, ex-plique qu'en master,« les étudiantes ont toutesle projet de créer une ligne, c'est une viséepersonnelle qui se développe sur une périodede deux ans». Coachs invités et profession-nels chevronnés sont là pour guider les futursdesigners sur le chemin de l'indépendance. Aleur sortie de l'école, certaines entreront dansl'incubateur, une structure qui propose desplaces de travail pour une période de dix-huitmois. Là, les créateurs développent non plusleur idées artistiques seulement, mais aussileur business plan. « La volonté de créer desentreprises est assez nouvelle, analyse Chris-tiane Luible, à mon arrivée il y a cinq ans, lesétudiants n'avaient pas des buts très élevés.Je crois qu'ils ont maintenant plus confiance

AVOIR U\SHOWROOM

À PARISUNE ANNÉE ETU\E ENSUITE

PLUS RIE\CE VEST PAS

SUFFISANTPATRIZIA CRIVELLI

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Page: 82Surface: 75'911 mm²

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en eux, en leur possibilité de réussir.» PourYannick Aellen, les écoles helvétiques font untravail remarquable: « Comparé avec ceux decertaines écoles londoniennes par exemple,qui misent uniquement sur la créativité, lesétudiants suisses sont bien mieux préparésaux réalités de leur métier.» Actif dans le mi-lieu de la mode depuis plus de dix ans commeproducteur et organisateur de défilés, YannickAellen constate une professionnalisation ré-jouissante de la création textile en Suisse.« Il ya en ce moment d'excellents créateurs, commeJulian Zigerli», se réjouit-il. Mode Suisse, nou-velle venue sur la scène mode nationale, rem-plit un vide en termes d'exposition médiatiqueet artistique pour les créateurs. Un projet en

V Camille Kunzest la lauréate duprix Head Fashion,Angels 2012.

forme de lobbying, pour son co responsable,qui le décrit comme « une plateforme neutrepour montrer le travail des designers, les col-lections. Selon lui, la jeune génération a trèsbien intégré, « bien mieux qu'il y a dix ans», lesusages de la mode internationale et les façonsde travailler des capitales.» La profession aenvie de vivre en Suisse, de montrer que c'estun business créatif, pas seulement du glamour.Est-ce à dire qu'il ne se passait rien aupara-vant?« Il y a toujours eu des essais, depuis lesannées 90, analyse Yannick Aellen, mais sur-tout par des structures événementielles quiétaient trop tournées vers le sponsoring, lessoirées et le champagne et pas suffisammentsur les créateurs eux-mêmes.»

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Essai sur l’essai

MERCREDI 06 MARS 2013 Samuel SchellenbergPostez un commentaire

GENEVE• Avec colloques, projections ou expo, la HEAD pointe ce format dans l’art et le ciné.

A Genève, la Haute écoled’art et de design se penche sur l’essai: du 7 au 16 mars, expo, colloques, conférences, discussions et projectionstenteront de faire le tour de la question. Le tout sous le titre de «Start Making Sense! Cinéma et art contemporaintransforment l’essai» et en partenariat avec l’université de Genève, La Comédie, le Centre d’art contemporain, LesCinémas du Grütli et le Spoutnik.

Prises de position à la subjectivité assumée, manière de réfléchir (sur) le monde, l’humain ou le langage: l’essai est àl’aise à la croisée des domaines – littérature, philo, art, cinéma. «Start Making Sense!» propose une sorte d’essai surl’essai, avec une perspective généalogique et une cartographie de ses incarnations.

Une introspection précisément au cœur de l’exposition vernie jeudi soir à l’espace LiveInYourHead, à voir jusqu’au 6avril. Elle comporte des films et vidéos d’une quinzaine d’artistes (Apichatpong Weerasethakul, Francis Alÿs, IngridWildi, Ursula Biemann, Deimantas Narkevicius, etc.).

Vendredi, un colloque sur «L’essai en littérature et dans les arts» réunira à l’université un panel international. Alorsque Georges Didi-Huberman donnera samedi une conférence autour deLa Rabbia(1963) de Pasolini. Le même jour, au cinéma Spoutnik, une programmation réalisée avec le Centre d’artcontemporain présenteraMonuments(2010) et Walk Through(2012) de Redmond Entwistle.

Egalement sur grand écran, aux Cinémas du Grütli, Olivier Hadouchi propose lundi une programmation autourdes «cinémas de libération» des années 1960 (Solanas, Getino, Hiszman); alors que Véronique Terrier Hermann, aumême endroit mardi, explore le sujet des «Cinematic Excursion», avec notamment le film-performanceGlobodrome, en présence de sa réalisatrice Gwenola Wagon – un tour du monde virtuel sur les traces de Phileas Fogg.

Mercredi 13 mars, Jean-Pierre Gorin donnera une conférence intitulée «La danse du termite», puis présentera son film Poto andCabengo(1980). Alors que jeudi, quatre films s’inscriront dans une soirée «Revolutions happen like Refrains in a Song». Enfin,vendredi 15 et samedi 16 mars, au Bâtiment d’art contemporain, un colloque reprend le sous-titre de lamanifestation («Cinéma et art contemporain transforment l’essai»). L’occasion de suivre conférences et conversationsentre différentes personnalités – artistes, chercheurs, critiques, etc.

> Vernissage de l’exposition demain à 18h à LiveInYourHead, 4 rue du Beulet, Genève. A voir jusqu’au 6 avril, me-sa 14h-19h.

> Entrée libre, à part les soirées aux Cinémas du Grütli et au Spoutnik. Programme détaillé surwww.head-geneve.ch

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Le Courrier

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Tirage: 7'791Parution: 6x/semaine

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A Genève, la Haute école d'artet de design se penche sur l'essai:du 7 au 16 mars, expo, colloques,conférences, discussions et pro-jections tenteront de faire le tourde la question. Le tout sous letitre de «Start Making Sense!Cinéma et art contemporaintransforment l'essai» et en parte-nariat avec l'université de Genè-ve, La Comédie, le Centre d'artcontemporain, Les Cinémas duGiiitli et le Spoutnik.

Prises de position à la sub-jectivité assumée, manière deréfléchir (sur) le monde, l'hu-main ou le langage: l'essai est àl'aise à la croisée des domaines

littérature, philo, art, cinéma.«Start Making Sense!» proposeune sorte d'essai sur l'essai,avec une perspective généalo-gique et une cartographie deses incarnations.

Une introspection précisé-ment au coeur de l'expositionvernie jeudi soir à l'espace Li-veInYourHead, à voir jusqu'au6 avril. Elle comporte des filmset vidéos d'une quinzaine d'ar-

Essai sur l'essaiGENÈVE Avec colloques, projections ou expo,la HEAD pointe ce format dans l'art et le ciné.

tistes (Apichatpong Weerase-thakul, Francis Alys, Ingrid Wil-di, Ursula Biemann, DeimantasNarkevicius, etc.).

Vendredi, un colloque sur«L'essai en littérature et dansles arts» réunira à l'universitéun panel international. Alorsque Georges Didi-Hubermandonnera samedi une conféren-ce autour de La Rabbia (1963)de Pasolini. Le même jour, aucinéma Spoutnik, une pro-grammation réalisée avec leCentre d'art contemporain pré-sentera Monuments (2010) etWalk Through (2012) de Red-mond Entwistle.

Egalement sur grand écran,aux Cinémas du Grütli, OlivierHadouchi propose lundi uneprogrammation autour des«cinémas de libération» desannées 1960 (Solanas, Getino,Hiszman); alors que VéroniqueTerrier Hermann, au même en-droit mardi, explore le sujet des«Cinematic Excursion», avecnotamment le film-performan-ce Globodrome, en présence de

sa réalisatrice Gwenola Wagonun tour du monde virtuel sur

les traces de Phileas Fogg.

Mercredi 13 mars, Jean-PierreGorin donnera une conférenceintitulée «La danse du termite»,puis présentera son film Potoand Cabengo (1980). Alors quejeudi, quatre films s'inscrirontdans une soirée «Revolutionshappen like Refrains in a Song».Enfin, vendredi 15 et samedi16 mars, au Bâtiment d'artcontemporain, un colloque re-prend le sous-titre de la manifes-tation («Cinéma et art contem-porain transforment l'essai»).L'occasion de suivre conférenceset conversations entre diffé-rentes personnalités artistes,chercheurs, critiques, etc. SSG

> Vernissage de l'exposition demain à 18hà Live InYourHead, 4 rue du Beulet, Genè-

ve. A voir jusqu'au 6 avril, me-sa 14h-19h.

> Entrée libre, à part les soirées aux Ciné-mas du Grütli et au Spoutnik. Program-me détaillé sur www.head-geneve.ch

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L`Evénement syndical1005 Lausanne021/ 321 14 60www.evenement.ch

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Mobilisation contre la haussedes taxes d'études à GenèveLe projet de budget 2013 du canton de Genève pré-voit la suppression de l'exonération des taxes pourles étudiantes et étudiants dans les Hautes écolesspécialisées (HES). Actuellement les étudiants dontle lieu de résidence fiscal se trouve à Genève béné-ficient de cette exonération, environ 2000 étudiantssont concernés. Pour ces derniers, cela signifiequ'ils devront s'acquitter de taxes de 1000 francspar an dès la rentrée de septembre 2013.Les députés ont également prévu d'introduire unetaxe supplémentaire pour les étudiants étrangers àla HEM (musique) et à la HEAD (arts et design).

Ces mesures s'inscrivent dans une tendance générale d'at-taque contre les conditions de vie des personnes en forma-tion, comme le montre les récentes augmentations de taxesdans les écoles polytechniques fédérales et les universitésalémaniques (Zurich, Berne, Saint-Gall). Il est temps quetoutes les personnes visées par l'austérité issue d'une crisequi n'est pas la leur s'organisent ensemble pour combattreces mesures.Plus de 700 signatures ont ainsi été récoltées par les associa-tions des HES au semestre dernier, mais il n'est pas questiond'en rester là. Les étudiants des HES, épaulés par les collé-giens et les universitaires, comptent répondre solidairement àces attaques. Le vendredi 22 février au matin, des banderoles«Des HES pour les riches? Stop à la hausse des taxes» ontété posées dans plusieurs établissements du canton: Hauteécole de travail social, Haute école d'art, Haute école de santé,Haute école de musique, Uni-Mail, Collège Voltaire, CollègeAndré-Chavanne, Collège Rousseau, Collège Calvin.Nous continuerons de nous battre autant qu'il le faudra contretoutes mesures qui promeuvent un système éducatif élitiste enrestreignant son accès et nous serons mobilisés durant le votedu budget 2013 du canton.

Aeies, Aeh, Soupô, Cuae, ResActe

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Date: 07.03.2013

Ciné-Bulletin1004 Lausanne021/ 642 03 30www.cine-bulletin.ch

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Die HEAD macht SinnDie Abteilung Cinema/cin8ma du lie' derHochschule für Kunst und Design (HEAD)in Genf organisiert einen Anlass unter demMotto Start Making Sense!Vom 7. bis 16. März finden Begegnungen,Konferenzen, Filmvorführungen und eineAusstellung Geneve, LiveInYourHead

statt. Die Veranstaltung erfolgt in Zu-sammenarbeit mit der Universität Genf,dem Zentrum für zeitgenössische Kunst,der Comedie und den Kinos Grütli undSpoutnik. Bekannte Persönlichkeiten wer-den anwesend sein, so der KunsthistorikerGeorges Dicii-Hubermanjean-Pierre Go-rin der in Europa selten anzutreffen ist,seit er in Kalifornien lebt sowie Andre S.Labarthe, Nicole Brenez, Patrizia Lombar-do, Ursula Biemann, Arnaud des PallieresundJean Starobinski. (red)

Faire sens ä la HEADLe Departement Cin8ma/cin8ma du Meldela Haute ecole d'art et de design de Geneveorganise l'evenement Start Making Sense!qui propose, du 7 au 16 mars prochains,une sehe de rencontres, de conf8rences, deprojections et une exposition dans l'espacecuratorial de la Head Geneve, LiveI-nYourHead. Cette manifestation, mon-t8e en collaboration avec l'Universit8 deGeneve, le Centre d'art contemporain Ge-neve, la Com8die de Geneve, les Cin8masdu Grütli et le Cinema Spoutnik accueillerades intervenants de renom comme GeorgesDidi-Huberman, historien de Part, Jean-Pierre Gorin, figure mythique peu pr8senteen Europe depuis son exil californien, maisaussi Aridr8 S. Labarthe, Nicole Brenez, Pa-trizia Lombarclo, Ursula Biemann, Arnauddes Pallieres ou Jean Starobinski. (red)

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Rencontre samedi9 mars 2013

«L’essai est une pensée vivante, en chemin»

Elisabeth Chardon

Vue de «Making Sense». Au cœur de l’exposition de la Head, trois écrans mettent en tension trois pôles du «film essai». (Eddy Mottaz)

La manifestation pluriforme «Start Making Sense» pense l’essai à Genève . L’éclairage de Bertrand Bacqué et CyrilNeyrat, ses deux protagonistesPublicitéPublicité

L’essai est au cœur d’une manifestation proposée par la Haute école d’art et de design – Genève (Head). «StartMaking Sense» conjugue images et écrits, projections, conférences et conversations, pour ausculter non pas ungenre, mais une forme, née dans l’écriture, poursuivie dans le cinéma, et exploitée par les artistes contemporains.Nous avons rencontré les deux principaux organisateurs de ces rendez-vous, Bertrand Bacqué et Cyril Neyrat, quienseignent l’histoire et l’esthétique du cinéma à la Head.

Le Temps: Comment le département cinéma/cinéma du réel de la Head s’est-il intéressé à l’essai?

Bertrand Bacqué:Ce département de cinéma appartient à une école d’art et il s’agissait de faire dialoguer ses registres. L’artcontemporain permet au cinéma de trouver de nouvelles formes de récit et il s’empare aussi beaucoup du cinéma.Avant l’organisation d’une manifestation publique, notre mandat a été de mener une recherche à laquelle nousavons associé artistes et étudiants. L’implication pédagogique est forte, notamment avec la venue, depuis deux ans,de cinéastes et d’artistes qui ont travaillé avec les étudiants, Allan Sekula, Harun Farocki et Ursula Biemann. Nousavons aussi organisé des visites de l’exposition que le philosophe et historien de l’art Georges Didi-Huberman aconçue à partir de l’Atlasimaginé dans les années 20 par Aby Warburg. Cette façon de juxtaposer les images pour tenter de cartographierune histoire de l’art a nourri notre réflexion sur le montage et nous a conduits naturellement à la question de l’essai.Il s’agit pour nous de multiplier les approches pour établir une généalogie et une cartographie de l’essaicontemporain

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Cyril Neyrat:C’est aussi l’occasion de pratiquer, en école d’art, des modes de recherche distincts et complémentaires de larecherche universitaire.

– Quelle est donc l’histoire de l’essai?

C. N.:Montaigne écrit ses Essaisen réaction contre une pensée dogmatique. Il adopte une forme libre, subjective, qui ose la divagation. Dans sestextes, on peut distinguer un travail de montage, comme il se développera au cinéma. Plus tard, Denis Diderotdéveloppera encore ces principes, en opposition aux grandes déductions à la Descartes. En 1958, dansL’Essai comme forme,Theodor Adorno dit que l’essai, par essence, est l’hérétique. Georges Didi-Huberman parlera lui de désobéissance.

B. B.:L’essai montre une pensée vivante, en chemin, qui accepte le risque des fausses pistes et qui ne conclut pas. C’estune expérience de l’auteur qui suscite aussi celle du lecteur, du spectateur.

C. N.:Oui, si l’essai prend une telle place aujourd’hui, c’est que c’est une forme des temps de crise. Après Montaigne à lafin de la Renaissance, Rousseau et Diderot au temps des Lumières, les philosophes allemands de l’entre-deux-guerres, les remises en cause de l’après-guerre, aujourd’hui, l’essai s’en prend à la domination et à la saturation desimages, pour en critiquer les usages.

– On en vient donc au cinéma?

C. N.:Oui, sans remonter à Vertov, à Vigo, l’essai est la forme privilégiée de Marker, qui soulignera le fait que sondocumentaire Lettres de Sibériedate de 1958, comme le texte d’Adorno. C’est aussi la forme de Godard pour quiPenser avec les mains, que Denis de Rougemont a écrit en 1936, est une référence. Le montage à la Godard, c’est ça, c’est penser avecles mains. Harun Farocki, ou les Gianikian, démontent et remontent les images pour faire réapparaître le sens.

– Et l’art contemporain?

C. N.:Il a fortement investi cette forme depuis le début de la mondialisation. Les artistes s’intéressent au document, àl’archive. L’essai permet de questionner l’histoire et il paraît particulièrement intéressant pour les cultures qui n’ontpas été dominantes, en Asie, en Amérique du Sud.

– L’essai ne concerne-t-il que les formes documentaires?

B. B.:Non, il est aussi en œuvre dans le roman. Proust, Musil ou encore Virginia Woolf défont la narration pour l’ouvrir àla pensée. Ce qui confirme qu’il s’agit d’une forme plutôt que d’un genre.

C. N.:

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Jean Starobinski a défini l’essai comme «un essaim verbal dont on libère l’essor». Ce sont des idées qu’on laissepartir dans tous les sens pour qu’elles puissent en rencontrer d’autres. Parmi les images que je trouve aussipertinentes, je citerai la balance, la pesée des idées, qui sont au cœur de tout le cinéma de Godard.

Start Making Sense,jusqu’au

16 mars, divers lieux à Genève. www.head-geneve.ch

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Essai samedi9 mars 2013

L’exposition «Making Sense» remonte le temps des images

Elisabeth Chardon

Dans l’espace curatorial de la Head – Genève, elle se visite comme une cartographie du «film essai»PublicitéPublicité

La manifestation Start Making Senseest elle-même pensée comme un essai. Dans la façon de travailler entre secteurs de la Head et de chercher descollaborations hors école (Cinémas du Grütli, Centre d’art contemporain, Université, Comédie, Spoutnik). Enadoptant aussi la forme de la conversation entre artistes et critiques plutôt que de simples conférences.

L’exposition Making Sense, dans l’espace curatorial de la Head, est révélatrice de cette façon d’expérimenter l’essai. Bertrand Bacqué et CyrilNeyrat ont travaillé avec les historiennes de l’art et commissaires d’exposition Véronique Terrier-Hermann et ClaraSchulmann, assistées par la réalisatrice Lucrezia Lippi. Il faudrait un véritable générique pour rendre compte detoutes les forces en action.

Making Senseremonte le temps. Elle commence par de petites vidéos d’étudiants, inspirées par de courts essais contemporains. Lesfilms se regardent sur des écrans posés sur une longue table, où l’on prend le temps de tout picorer, d’aller etrevenir.

Trois pôles en dialogue

Au cœur de l’exposition, trois écrans proposent un choix de «films essais», réalisés au XXIe siècle, que lescommissaires ont élus parce qu’ils dialoguent, font sens, selon trois pôles. Le pôle Réflexions investit le «je» commeforme pensante, à la Montaigne. Le pôle Inscriptions scrute les archives, s’intéresse à l’histoire. Et le pôleExplorations investigue le monde. Chaque écran est le support de deux pôles et le visiteur tourne à loisir autour dece triangle d’images en mouvement.

Enfin, on ira chercher des références, cinématographiques et littéraires, au calme, dans la petite pièce du fond.L’exposition mérite donc un peu de temps, mais on se prend assez vite à son tour à «transformer l’essai».

Making Sense,LiveInYourHead, rue Beulet 4, Genève. Jusqu’au 7 avril. head.hesge.ch

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Journée suisse contre la contrefaçon 2013 - Grand public et étudiants sollicités

Le 08-03-2013

de FH - Fédération de l'industrie horlogère suisse

Mise en relation directement

avec notre société

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Reconduite chaque année, la Journée suisse contre la contrefaçon 2013 revêtira une forme inédite. Pour la premièrefois, la créativité du grand public et de jeunes étudiants des écoles d’art et de design de Suisse a été sollicitée pourla réalisation d’affiches et de courts-métrages sur la contrefaçon. Les résultats seront présentés le 22 mars à l’Ecolecantonale d’art de Lausanne.

La contrefaçon est un véritable fléau qui nous concerne tous et auquel nous contribuons directement en tant queconsommateurs. Le phénomène et sa propagation ont atteint des proportions alarmantes et le nombre d’entreprisessuisses victimes de faussaires ne cesse de s’accroître. Aucun secteur économique n'est épargné: montres,médicaments, films, musique et articles de mode font l’objet de contrefaçons. Les pertes économiques dues à lacontrefaçon et au piratage se chiffrent à deux milliards de francs suisses et à plusieurs centaines de milliards defrancs au niveau mondial.

L’initiative nationale de la Journée suisse contre la contrefaçon 2013 est placée sous l’égide de STOP PIRACY, laplateforme suisse qui lutte contre la contrefaçon et le piratage. Elle vise à sensibiliser le grand public sur les méfaitséconomiques et sociaux de la contrefaçon. Cette année, l’évènement est organisé par la FH en partenariat avec laFondation de la haute horlogerie. Afin d’obtenir un maximum d’impact auprès du public, la FH a souhaité associerdeux autres grands secteurs d’activité économique à cette initiative, à savoir l’industrie pharmaceutique et le secteuraudiovisuel, convaincue que l’union fait la force et que travailler ensemble serait une démarche à la fois novatrice etféconde.

La Journée suisse contre la contrefaçon du 22 mars prochain s’articulera autour de la remise des prix des troisconcours qui ont été lancés à cette occasion sur la thématique de la contrefaçon avec des écoles d’art et de designen Suisse, ainsi qu’avec le grand public. La Haute école d’art et de design de Genève (HEAD) et l’Ecole de cinémade Genève ont réalisé des courts-métrages, alors que les étudiants de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL)ont élaboré des affiches. Un concours de films a également été initié sur Internet afin de faire participer le grandpublic. Les 400 invités ainsi que la presse auront ainsi l'occasion de découvrir les résultats de cette collaborationinédite.

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Un jury composé d’éminentes personnalités ainsi que des différents partenaires a évalué les créations des étudiantset du public et décernera les prix pour les meilleurs œuvres lors de la journée nationale du 22 mars qui se dérouleradans les locaux de l’ECAL. Des montres suisses de prestige récompenseront les lauréats.

Afin de donner à cette initiative une dimension internationale et d’optimiser la communication transfrontalière enmatière de contrefaçon, la FH a souhaité inviter à la manifestation des organisations étrangères. Ainsi l’Institutnational de la propriété intellectuelle français INPI a été convié à l’évènement. Les invités à la journée du 22 marsauront l’occasion de visiter l’exposition itinérante sur la contrefaçon de cette institution. L’Union des fabricants,association française à l’action tout à fait exemplaire dans la lutte contre la contrefaçon, s’est également jointe àl’initiative.

L’exploitation des affiches et la diffusion des films contribueront dans une large mesure à sensibiliser le public. Il estdonc planifié de montrer les meilleurs courts-métrages dans les cinémas suisses et sur quelques chaînes de télévisionprivées helvétiques. Quant aux affiches, elles seront publiées dans les médias imprimés.

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Mise à jour : 8 mars 2013

Thème :Culture

Prix du Cinéma suisse 2013

Originalité, audace, poésie et critique sociale caractérisent les films retenus pour l'attribution des Prix du cinémasuisse, le 23 mars prochain au Bâtiment des Forces Motrices (BFM).

Le public genevois pourra, quant à lui, découvrir les 22 films, concourant dans 10 catégories différentes, qui seront projetés lors de laSemaine des nominés entre le 19 et le 25 mars.

Les films nominés aux Prix du cinéma suisse 2013 sont à l’affiche des Cinémas du Grütlià Genève du 19 au 25 mars (séances auprix unique de 5 CHF). Des réalisateurs, des producteurs, des distributeurs et d'autres acteurs du monde culturel seront présents pendant etaprès bon nombre de projections et lors du débat du 22 mars autour des questionnements et des rêves qui animentle cinéma helvétique. Enfin, ledimanche 24 mars sera synonyme de fêteet d'émotion. Le public est invité à re(voir) les films primés, à échanger avec les lauréats et à partager un moment deconvivialité autour d'unciné-brunch.

Les Cinémas Scalaprennent aussi part à la manifestation en proposant l’avant-première dudocumentaire Thorberg, jeudi 21 mars en présence du réalisateur.

Les élèves genevois sont invités à visionner divers courts métrages, films d'animation, fictions et documentaires, dansles salles des Cinémas du Grütli. Quant aux étudiants en cinéma de laHaute école d'art et de design (HEAD)de Genève, ils proposent un choix de réalisations lors d’uneprojection spéciale mercredi 20 mars à 21h.

A moins de 15 jours de l'ouverture de la Semaine des Nominés, plus de 500 élèves se sont déjà inscrits, à raison de 431 pour le Cycle d'orientation et 80 pour l'enseignement postobligatoire. Un succès qui conforte leDIP dans sa volonté de sensibiliser tous les élèves du canton à la culture durant leur scolarité.

L’association «Quartz» Genève Zürich fondée en août 2012 par le canton et la Ville de Genève ainsi que la ville deZurich – qui propose aussi sa Semaine des nominés au public zurichois – est à l’origine de ce projet rassembleur etfestif visant à offrir une vitrine à la création cinématographique actuelle et à favoriser les échanges entre les deuxpôles nationaux du cinéma suisse.Pour tout complément d'information

Programme de la Semaine des nominés

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Winka Angelrath, coordinatrice Semaine des nominés

Service cantonal de la culture, République et canton de Genève

Tél. 022 546 63 85,winka.angelrath(at)etat.ge.ch

Association «Quartz» Genève Zürich:

Thylane Pfister, conseillère culturelle

Service cantonal de la culture, République et canton de Genève

Tél. 022 546 66 82,thylane.pfister(at)etat.ge.ch

Jean-Bernard Mottet, conseiller culturelDépartement de la culture et du sport, Ville de Genève

Tél. 022 418 65 05,jean-bernard.mottet(at)ville-ge.ch

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«fessai est une pensée vivante, en chemin»Rencontre «Start

Making Sense» pensel'essai à Genève

L'éclairage deBertrand Bacquéet Cyril Neyrat, sesdeux protagonistes

Elisabeth ChardonL'essai est au coeur d'une manifes-

tation proposée par la Haute écoled'art et de design - Genève (Head).«Start Making Sense» conjugue ima-

ges et écrits, projections, conféren-ces et conversations, pour ausculternon pas un genre, mais une forme,née dans l'écriture, poursuivie dansle cinéma, et exploitée par les artis-tes contemporains. Nous avons ren-contré les deux principaux organi-sateurs de ces rendez-vous,Bertrand Bacqué et Cyril Neyrat, quienseignent l'histoire et l'esthétiquedu cinéma à la Head.

Le Temps: Comment le départementcinéma/cinéma du réel de la Heads'est-il intéressé à l'essai?Bertrand Bacqué: Ce départementde cinéma appartient à une écoled'art et il s'agissait de faire dialo-guer ses registres. L'art contempo-

rain permet au cinéma de trouverde nouvelles formes de récit et ils'empare aussi beaucoup du ci-néma. Avant l'organisation d'unemanifestation publique, notremandat a été de mener une recher-che à laquelle nous avons associéartistes et étudiants. L'implicationpédagogique est forte, notammentavec la venue, depuis deux ans, decinéastes et d'artistes qui ont tra-vaillé avec les étudiants, AllanSekula, Harun Farocki et Ursula

Biemann. Nous avons aussi orga-nisé des visites de l'exposition quele philosophe et historien de l'artGeorges Didi-Huberman a conçue àpartir de l'Atlas imaginé dans lesannées 20 par Aby Warburg. Cette

façon de juxtaposer les imagespour tenter de cartographier unehistoire de l'art a nourri notreréflexion sur le montage et nous aconduits naturellement à la ques-tion de l'essai. Il s'agit pour nous demultiplier les approches pourétablir une généalogie et une carto-graphie de l'essai contemporain.Cyril Neyrat: C'est aussi l'occasionde pratiquer, en école d'art, desmodes de recherche distincts etcomplémentaires de la rechercheuniversitaire.

- Quelle est donc l'histoire de l'essai?C. N.: Montaigne écrit ses Essais enréaction contre une pensée dogma-tique. Il adopte une forme libre,

subjective, qui ose la divagation.Dans ses textes, on peut distinguerun travail de montage, comme il sedéveloppera au cinéma. Plus tard,Denis Diderot développera encoreces principes, en opposition auxgrandes déductions à la Descartes.En 1958, dans L'Essai comme forme,Theodor Adorno dit que l'essai, paressence, est l'hérétique. GeorgesDidi-Huberman parlera lui dedésobéissance.

B.: L'essai montre une penséevivante, en chemin, qui accepte lerisque des fausses pistes et qui neconclut pas. C'est une expérience del'auteur qui suscite aussi celle dulecteur, du spectateur.

N.:Oui, si l'essai prend une telleplace aujourd'hui, c'est que c'estune forme des temps de crise. AprèsMontaigne à la fin de la Renais-sance, Rousseau et Diderot autemps des Lumières, les philoso-

phes allemands de l'entre-deux-guerres, les remises en cause del'après-guerre, aujourd'hui, l'essais'en prend à la domination et à lasaturation des images, pour encritiquer les usages.

On en vient donc au cinéma?C. N.: Oui, sans remonter à Vertov, àVigo, l'essai est la forme privilégiéede Marker, qui soulignera le faitque son documentaire Lettres deSibérie date de 1958, comme le texted'Adorno. C'est aussi la forme deGodard pour qui Penser avec lesmains, que Denis de Rougemont aécrit en 1936, est une référence. Lemontage à la Godard, c'est ça, c'estpenser avec les mains. Harun Fa-rocki, ou les Gianikian, démontentet remontent les images pour faireréapparaître le sens.

Et l'art contemporain?C. N.: Il a fortement investi cetteforme depuis le début de la mon-dialisation. Les artistes s'intéressentau document, à l'archive. L'essaipermet de questionner l'histoire etil paraît particulièrement intéres-sant pour les cultures qui n'ont pasété dominantes, en Asie, en Améri-que du Sud.

L'essai ne concerne-t-il que lesformes documentaires?

B.: Non, il est aussi en oeuvre dansle roman. Proust, Musil ou encoreVirginia Woolf défont la narrationpour l'ouvrir à la pensée. Ce quiconfirme qu'il s'agit d'une formeplutôt que d'un genre.

N.:Jean Starobinski a défini l'essaicomme «un essaim verbal dont onlibère l'essor». Ce sont des idéesqu'on laisse partir dans tous les senspour qu'elles puissent en rencon-trer d'autres. Parmi les images queje trouve aussi pertinentes, je citeraila balance, la pesée des idées, quisont au coeur de tout le cinéma de

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Start Making Sense, jusqu'au16 mars, divers lieux à Genève.www.head-geneve.ch

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Une exposition qui remonte le temps des images> «Making Sense» Neyrat ont travaillé avec les histo- trois pôles. Le pôle Réflexions inves-

riennes de l'art et commissaires d'ex- tit le «je» comme forme pensante, àse visite comme position Véronique Terrier-Her- la Montaigne. Le pôle Inscriptionsune cartographie mann et Clara Schulmann, assistées scrute les archives, s'intéresse à Phis

du «film essai»-

par la réalisatrice Lucrezia Lippi. Il toire. Et le pôle Explorations investi-faudrait un véritable générique pour gue le monde. Chaque écran est lerendre compte de toutes les forces en support de deux pôles et le visiteur

La manifestation Start Making action. tourne à loisir autour de ce triangleSense est elle-même pensée comme Making Sense remonte le temps. d'images en mouvement.

Elle commence par de petites vidéos Enfin, on ira chercher des réfé-un essai. Dans la façon de travaillerentre secteurs de la Head et de cher- d'étudiants, inspirées par de courts rences, cinématographiques et litté-cher des collaborations hors école essais contemporains. Les films se re- raires, au calme, dans la petite pièce(Cinémas du Grütli, Centre d'art con- gardent sur des écrans posés sur une du fond. L'exposition mérite donctemporain, Université, Comédie, longue table, où ln prend le temps un peu de temps, mais on se prendSpoutnik). En adoptant aussi la de tout picorer, d'aller et revenir, assez vite à son tour à «transformerforme de la conversation entre anis- l'essai». El. C.

tes et critiques plutôt que de simples Trois pôles en dialogueconférences. Au coeur de l'exposition, trois Making Sense, LivelnYourHead, rue

L'exposition Making Sense, dans écrans proposent un choix de «films Beu let 4, Genève. Jusqu'au 7 avril.l'espace curatorial de la Head, est ré- essais», réalisés au XXIe siècle, que head.hesge.chvélatrice de cette façon d'expérimen- les commissaires ont élus parceter l'essai. Bertrand Bacqué et Cyril qu'ils dialoguent, font sens, selon

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2013.03.12, www.lemonde.fr, A Saint-Etienne, pour dessiner le futur

LE MONDE | 12.03.2013 à 13h27 • Mis à jour le 12.03.2013 à 13h57 Par Mélina Gazsi

Elle a changé de saison. La Biennale internationale du Design de Saint-Etienne (Loire), qui se tenait en hiver, s'installe au printemps. Autour du thème de "l'empathie et l'expérience de l'autre", ce ne sont pas moins de cinquante expositions et une trentaine de rendez-vous - colloques, forums, conférences, rencontres, qui auront lieu du 14 au 31 mars. La plupart d'entre eux se déroulent dans l'ancienne et imposante manufacture d'armes abritant aujourd'hui la Cité du design. D'autres à la Serre - ex-Ecole des beaux-arts - et au Musée de la mine, ainsi que dans le territoire stéphanois, notamment à Saint-Chamond et à Firminy, dans le château des Bruneaux et l'église Saint-Pierre, sur le site bâti par Le Corbusier. Jusqu'à Lyon qui entre dans la danse avec une myriade d'événements sous le titre "C'est beau une ville demain !".

Pourquoi ce thème de l'empathie ? C'est "une manière d'appréhender ce qui n'est pas rationnel dans le design, c'est-à-dire l'émotion", explique Elsa Francès, la directrice de la Biennale, rappelant que le terme ""empathie" a été créé au XIXe siècle par un philosophe allemand pour désigner la relation avec une oeuvre d'art, qui permet d'en comprendre le sens". Il s'agit de "sonder tout autant l'empathie du designer avec l'objet, l'utilisateur et la marque qui le lance, que celle du consommateur qui s'approprie l'objet dans son quotidien", précise-t-elle.

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GRANDES ÉCOLES EUROPÉENNES

Cette relation n'est pas sans rappeler le concept du "Design Empathy", inventé par l'architecte Richard Joseph Neutra, qui observa comment Freud se servait du mobilier de son bureau pour susciter les processus de libre association de ses patients. L'explorant à nouveau, l'exposition "The Dream Team", pilotée par Alexandra Midal, chercheuse et professeure à la Haute Ecole d'art et de design de Genève, présente une sélection de travaux des grandes écoles européennes, dont celle de Saint-Etienne.

Peut-on regarder et construire autrement le monde grâce à l'empathie ? Les réponses circulent à travers les diverses expositions : dans "Traits d'union, objets d'empathie", par exemple, l'agence parisienne EliumStudio met en scène objets et mobilier du design industriel qui répondent à la fois à des envies esthétiques et à des questions environnementales et d'espace (le lavabo des frères Bouroullec pour Axor Hansgrohe).

"EmpathiCITY, Making our city together" rassemble les projets urbains des métropoles du réseau Villes créatives de l'Unesco, dont la cité stéphanoise fait partie depuis 2010 et raconte comment une ville se fait avec ses habitants. Parmi les millions d'objets mis sur le marché, le designer britannique Sebastian Bergne a choisi pour "Design with Heart" non pas des icônes mais des objets du quotidien qu'il "aime". On en a tous quelques-uns, devenus fétiches, avec lesquels l'on entretient une relation affective. Sa sélection ? Un plateau à fromages signé Stéphane Bureaux, une lampe, la Tidelight du designer Pierre Favresse éditée par Petite Friture, ou une horloge minimaliste qui dit l'heure à travers le mouvement et le toucher, création de la jeune designer française Eva Rielland, qui considère positivement les déficiences liées au vieillissement et pas uniquement à travers la seule accessibilité.

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claudia.olivarez
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PROSPECTIVE ET INNOVATION

L'empathie n'élude pas la prospective et l'innovation - l'ADN de la Biennale. Bien au contraire. Dans son exposition "Nano-Ordinaire", Matali Crasset sensibilise le public aux enjeux énergétiques. Elle montre comment notre propre corps pourrait, grâce à la technologie et au design, produire de l'énergie. Sous la houlette de Claire Fayolle, journaliste et enseignante à l'Ecole des beaux-arts de Saint-Etienne, "Demain, c'est aujourd'hui", l'exposition centrale de la Biennale, va encore plus loin : comment par exemple les nanotechnologies vont révolutionner notre vie en s'invitant à notre table jusque dans nos assiettes... Des objets du futur innovants autant que décoiffants !

De quoi mettre en appétit. D'Aurélie Filippetti à Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin en passant par Michèle Delaunay, déléguée aux personnes âgées, et Sylvia Pinel, chargée du commerce et de l'artisanat, ils sont cinq ministres. Des mesures de soutien à la filière design en perspective ?

Arnaud Montebourg devrait évoquer deux mesures pour renforcer les liens entre créatifs et industriels et inscrire le design au coeur de la stratégie de redressement productif. La première concerne l'extension du crédit impôt recherche aux dépenses liées au design et à la réalisation de prototypes. La seconde, la création d'une "équipe de France du design" : "Une petite structure composée de tous les profils de designers, une tête de pont résolument avant-gardiste que le gouvernement va mettre à la disposition de toutes les PME", explique le ministre, qui divulguera les dix à vingt noms de designers qui feront partie de cette équipe dont "la vocation est de s'enrichir peu à peu de nouveaux talents", précise-t-il.

EMBLÉMATIQUE VITRINE

Car contrairement aux pays scandinaves ou anglo-saxons, le design reste en France un parent pauvre. "Au-delà de l'emblématique vitrine que représente la Biennale, changer cette image auprès des chefs d'entreprise est une des missions de la Cité du design de Saint-Etienne", commente son directeur, Ludovic Noël. "Les entreprises qui font appel à des designers ont de meilleurs résultats."

Ce n'est pas nouveau, l'Ecole supérieure d'art et de design de Saint-Etienne, vieille de plus de deux cents ans, s'appelait Ecole des arts industriels, et la ville de l'arme, du cycle et du ruban a toujours fait appel à des dessinateurs pour rendre à la fois plus ergonomiques et plus beaux ses fusils. Le design, une histoire très ancienne donc, si l'on en croit l'exposition imaginée par le Musée de Saint-Romain-en-Gal, "Le design a 2000 ans". Regards croisés entre les objets archéologiques gallo-romains et les pratiques des designers d'aujourd'hui. Toujours une affaire d'empathie.

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DES SUISSES DANSL'EQUIPE IDÉALEDESIGN A l'occasion de la Biennale Interna-tionale Design de Saint-Etienne, qui ouvreaujourd'hui, la HEAD a été sélectionnée pourprésenter un projet aux côtés de la RoyalAcademy of Fine Arts d'Anvers, le RoyalCollege of Art de Londres, le SandbergInstitute d'Amsterdam et l'ESAD de Saint-Etienne. Joli coup pour l'école genevoise.

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le prix Créagir de la HES-SO Genève

Des abeilles en villeLa HES-SO Genève remettra ce midi, 14 mars 2013, à APIDAE, Association pour l’installation des abeilles enentreprise, le prix Créagir, d’une valeur de 6'000 CHF. La HES-SO Genève récompense ainsi le meilleur projetinterdisciplinaire issu de la première édition d’un cours transversal en matière de développement durable appliqué àla région. Toutes les écoles HES du canton ont été invitées à participer à cet atelier novateur.

Des ruches sur les toits de GenèveL’objectif d’APIDAE est de créer et de développer un réservoir écologique d’abeilles en milieu urbain, soit des ruchesinstallées sur les toits ou toute autre parcelle appartenant à des entreprises et des collectivités du canton. Les coloniesd’abeilles s’installent en ville car l’environnement agricole est désormais trop agressif, résultat de l’utilisation depesticides en agriculture. En sus des ruches et de la commercialisation du miel, APIDAE offre aux entreprisespartenaires une gamme de services inédits par le biais d’organisation d’événements comme les formules familles ouportes ouvertes, ainsi que des kits de communication personnalisée valorisant leur engagement durable auprès desclients. Le prix Créagir doit aider l’association, composée quatre étudiant-e-s (Haute école du paysage, d'ingénierieet d'architecture (HEPIA), Haute école d’art et de design (HEAD), Haute école de gestion (HEG), et Haute école detravail social (HETS)), à démarrer concrètement ses activités.

« L’interdisciplinarité et le réalisme (…), ça change de l'école ! »L’atelier inter-école Créagir a pour but de favoriser une pédagogie interdisciplinaire et pratique. Il favorise et valorisela diversité, la complémentarité, l’interprofessionnalité et l’applicabilité des formations HES au service de la régionen matière de développement durable. Né de l’initiative de professeurs intéressés, c’est le premier moduled’enseignement de ce type au niveau genevois.

Depuis septembre 2012 et avec l’appui de spécialistes, 14 étudiant-e-s des hautes écoles du paysage, d'ingénierieet d'architecture (HEPIA), d’art et de design (HEAD), de gestion (HEG), de la santé (HEdS) et de travail social (HETS)ont travaillé sur 4 projets interdisciplinaires différents. Au vu du succès et de la qualité de cette édition, l’expériencesera reconduite en automne 2013. Ce projet est ouvert aux étudiant-e-s de 2ème et 3ème année.

Remise du prix :Jeudi 14 mars 2013, 12h15Direction générale de la HES-SO Genève,Chemin Château-Bloch 10,1219 Le Lignon.

Plus d'informations en ligne: HESGE

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PRIX

La HES récompense un projet estudiantin de ruchers urbains

Le prix Creagir est décerné au projet Apidae, qui veut installer des ruches sur les toits et terrains des entreprises

L’association Apidea a pour projet d’installer des ruches sur les toits ou les terrains d‘entreprises et de collectivités enmilieu urbain

Image: Pierre AbensurPartager & Commenter

La Haute école spécialisée de Suisse occidentale a remis ce jeudi le prix Créagir à l’association Apidae. Celle-ci apour but d’installer des ruches sur les toits ou les terrains d‘entreprises et de collectivités en milieu urbain. Le prixd’un montant de 6000 fr. doit aider l’association à lancer ses activités. Apidae est un projet monté par 4 étudiantsdes hautes écoles du paysage, d’ingénierie et d’architecture (HEPIA), d’art et de design (HEAD), de gestion (HEG), etde travail social (HETS).

L’atelier inter-école Créagir est un cours transversal en matière de développement durable appliqué à la région.Toutes les écoles HES du canton de Genève ont été invitées à y participer. L’idée est de favoriser une pédagogieinterdisciplinaire et pratique. Au vu du succès de cette édition, l’expérience, ouverte aux étudiants de 2e et 3eannées, sera reconduite en automne 2013.(TDG)

Créé: 14.03.2013, 16h30

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Bilder vom Event: Die dritte Mode Suisse in Zürich war ein voller Erfolg

Text: Yolanda Pantli; Fotos: Mode Suisse, Alexander Palacios15. März 2013

Die dritte Ausgabe der Mode Suisse in Zürich überzeugte auch dieses Jahr wieder mit hochstehender Mode undillustren Gästen. Die annabelle-Redaktion war vor Ort und zeigt die schönsten Bilder des Events.0117 h

Gründer von der Onlineshoppingplatform Mooris.ch: Frank Urech, Innenarchitekt und Produktgestalter undJeannette Zingg, Modedesignerin, Stylistin und Journalistin.

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Moderatorin Annina Frey

Das Schweizer Model Jenny Bachmann trägt Portenier Roth.

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Design von Lea Scherrer

Design von Ikou Tschüss

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Designer Julian Zigerli im Show Room

(v.l.n.r.) Jürg Welti, Leiter Corporate Communications und Mediensprecher Globus, Cilgia Pfleiderer, delegierte

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Psychotherapeutin bei Psychiatrische Psychotherapeutische Praxis Milchbuck (schwarz) mit Kollegin.

Im Showroom bei Designerinnen Sabine Portenier (mitte) und Evelyne Roth (r.) von PortenierRoth: «Unsere Kleidersollen sinnlich sein, ohne die alltäglichen Bewegungen einzuschränken».

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Die Designerin Kazu Huggler wuchs in Japan und der Schweiz auf – mit Lifestylejournalist Jeroen van Rooijen.

Ezgi Cinar, Brand Manager Agent Provocateur Switzerland

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Loïc van Herreweghe, HEAD (Haute école d’art et de design Genève)

Marc-André Capeder, Redaktor 20 Minuten Friday mit Play Hunter, Kunst- und Modebloggerin.

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Sonntagszeitungredaktorin Claudia Schmid und Stylist Phlipp Junker (ganz rechts,philippjunker.ch).

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Ohne sie gäbe es Edition Suisse nicht: Organisatoren Mirjam Schobert und Rolf Nungesser von Real Time Society.

Model Anthony Thornburg für Marc Stone.

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Hatte schon fast alle grossen Hollywoodschauspieler vor der Linse: Fotograf Maurice Haas.

Karl Baldinger von SRF Glanz&Gloria mit Eliane Diethelm (l.) und Joanna Skoczylas von Little Black Dress.

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Moderatorin Annina Freyef

Alle Designer der dritten Mode Suisse

Asandri, Berenik, En Soie, Ginny Litscher, HEAD Genève, Ida Gut, Ikou Tschüss, Javier Reyes, Julian Zigerli, JulieEgli, Kazu, Laend Phuengkit (feat. Baies d'Erelle), Lela Scherrer, Little Black Dress, Mademoiselle L, Marc Stone, PerretSchaad, PortenierRoth, Sandro Marzo, Stefanie Biggel, Toujours Toi*Family AffairsZum dritten Mal bot die Modeveranstaltung Mode Suissejungen und etablierten Schweizer Designern wie En Soie, Ikou Tschüss, Julian Zigerli, Little Black Dress oder LaendPhuengkit eine Plattform.

Im Zürcher Schiffbau konnten Modeliebhaber und Fachleute aus der Modebranche sich von der Kreativität undVielfältigkeit der Schweizer Modedesignszene überzeugen. Nebst der Modenschau könnnen sich die Besucher imShowroom persönlich mit den Designern austauschen und es besteht die Möglichkeit die Kreationen gleich vor Ortzu kaufen.

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7 RUE PUITS GAILLOT69202 LYON CEDEX 01 - 04 72 98 05 00

MARS 13Mensuel

Surface approx. (cm²) : 1015N° de page : 70-71

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Eléments de recherche : MATALI CRASSET : designer, toutes citations

CULTURE EXPOSITIONS

8e BIENNALE INTERNATIONALE DU DESIGN DE SAINT-ETIENNE

"LE DESIGN NE S'ARRÊTEPAS À LOBJET M'AS-TU-VU"

À l'heure où la ville de Saint-Étienne et toute la région Rhône-Alpes s'apprêtent à inaugurer la 8e éditionde la Biennale internationale du design, Alexandra Midal, historienne du design, enseignante à la HEAD

(Haute École d'art et de design de Genève) et commissaire d'exposition indépendante, revient sur lesapports majeurs du design, sur son avenir et sur le thème de cette édition : l'empathie.

Lyon Capitale : Quels sont lesapports majeurs du design dansnos sociétés ? Qu'a-t-ilprofondement modifie dans nospratiques quotidiennes ?Alexandra Midal : Le design est neavec l'avènement de la revolutionindustrielle, et les designers sesont immédiatement demandequel était le sens d'une productionde biens de consommation siandardises, que ce soit au xix* siecleou aujourd'hui A l'origine, ledesign était un projet démocra-tique, de la façon dont une production qu'ils imaginaient bonmarche et accessible allait amelio-rei le niveau dévie Cela ne passaitpas par l'achat de jolis objets, bienau contraire II s'agissait de repon-dre a un besoin de premiere né-cessite, tout en étant soucieux dela qualite et de la pérennité Al'époque, on parlait de reintrodaire de la dignite dans les foyersAujourd'hui, l'apport du design semanifeste dans la mecanique (voi-tures, avions, etc ) et jusque dansl'électroménager Maîs, d'une ma-niere generale, le design réfléchitaux conséquences des transfor-mations sociales et economiquesLes designers cherchent des alter-natives, comme passer du travailen usine aux/ab lab - des produclions autonomes qui ne dépen-

dent pas d'un systeme capitalisteL apport du design est partout etmultiple, dans les technologies auquotidien maîs aussi dans les dis-couis sur l'éveil des consciencesEst-ce que le design n'est pasréduit dans l'espnt commun à ladéco d'intérieur et au mobilier ?Est-ce que la discipline ne pâtitpas de l'utilisation du terme"design" pour tout et n'importequoi?C'est le design le moins importantselon moi. Une enieme table, unecnieme chaise. C'est un designqui se place davantage du cote dusigne exterieur de richesse, lie dufait de faire partie d'un bobolandparticulier II y a d'un côte la mer-veilleuse dynamique du design - ilnva jamais eu autant d'étudiantsdans les branches design qu'au-jourd hui -, et ce qui est le plus vi-

sible, la pointe de I iceberg qui s affiche dans les magazines Le designne se résume évidemment pas aumobilier, aussi élégant et habilesoit-il Le design souffre d'uneimage réductrice et dégradanteLorsqu'on songe à des produits deconsommation courante, quimettent le design au cœur de leurrecherche et de leurcommunication, par exemple ceuxd'Apple, le design ne sert-il pas àsurévaluer le prix d'un produit ?Pour le cas Apple, la marque avraiment fait appel a un designer,pas a un ingénieur ou un geek, etses preoccupations ne concer-naient pas que l'allure et le prixd'un ordinateur maîs commenttraduire une aisance et une facilitedans l'utilisation iiieme d'un oi dinateur a destination du grand pu-blic Maîs il y a évidemment des

travel s qui font qu'il y a une valeurajoutee On s'éloigne du projet democratique initial Maîs ce n'estpas propre a Apple, cela concerneles marques en general Tout lemonde a une part de responsabi-lite dans tout ça. fe constate unetendance a accuser le design et ledesigner d'un certain nombre demaux de la societe industrielle. Jcne prétends pas la sainteté dudesign, maîs les responsabilitéssont partagées et le poids du des-igner est infime dans la chaîne dumarcheLe design a intègre les foyersfrançais dans nos usagesquotidiens, mais l'exposition dedesign ne concerne-t-elle passeulement les professionnels ?Comment atteindre le grandpublic ?

Il v a quèlques annees, je dirigeais

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7 RUE PUITS GAILLOT69202 LYON CEDEX 01 - 04 72 98 05 00

MARS 13Mensuel

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CRASSET1172345300509/GMA/OTO/2

Eléments de recherche : MATALI CRASSET : designer, toutes citations

un fonds regional d'art contempo-rain. Les premieres expositions dèdesign que j'ai faites, après avoirorganisé des expositions d'artistescontemporains connus et recon-nus, ont attiré un public incroya-blement plus important que l'art.Ie pense que le design est plus ac-cessible. Il y a tout un pan du des-ign qui fait appel a notre imagi-naire, notre histoire, nos usages ouceux de nos parents. C'est quelquechose qui est en grande partiecompréhensible, en termes d'cx-periencc ct de reconnaissanceSouvent, la culture des gens passeuniquement par la déco, et ce n'estpas tout a fait la même chose. Ledesign est une discipline, commeon parle des sciences, ou dessciences humaines, c'est une ma-nière de penser, et ce n'est pas for-cement une production d'objetsMaîs, en France, nous ne bénéfi-cions pas des outils et dispositifs del'art contemporain. Il n'y a pasd'institution, de centre ou degrand musee du design. Le seulexemple reste la Biennale de Saint-Etienne. Les expositions de designne se réduisent pas à la monstra-tion de l'évolution d'un objet duquotidien, il est aussi importantd'y montrer la dimension poli-tique, engagée et spéculative. Lesdesigners sont souvent des gensqui imaginent et essaient d'inter-préter de maniere presque vision-naire ce qu'il va se passer. Le motitalien pour design est progetto.zwne II parle bien de cette anlicipation des designers. Lt ce qui esttout a fait intéressant avec ledesign, c'est qu'il y a a la fois labranche pratique, avec les obj'etsdu quotidien, et tout un autrechamp légèrement spéculatif, quiregarde juste demain, pas après-demain, qui regarde comment latechnique se met à la fois au ser-vice des individus maîs soulevéégalement des problèmes écolo-giques, moraux, qualitatifs sur les-quels la discipline se penche sansnaïveté ou complaisance. Ledesigner s'interroge, ne produitpas forcement la réponse maîspose la question haut et fort.Comment avez-vous accueilli lethème de l'empathie pour cetteédition 2013 de la biennale ?Que vous a-t-il évoqué ?Ma première reaction a été • Ça al'air cucu gnangnan, tout ca ' Ledesign dans ses présentations, çaveut toujours être gentil, sympa .Maîs, apres reflexion, et au regardde ma proche collaboration avec la

designer Matali Grasset, très por-tée sur ces questions-la, je me suisintéressée a ce que ce terme cache.C'est une terminologie qui a etétrès fortement utilisée dans lechamp de l'art, notamment autournant du xi\c siècle et notam-ment la notion de sentiment, de lacommunication intuitive avec lemonde L'empathie est findlementun très beau sujet, parce qu'ilcontredit directement l'idée dudesign comme decoration et qu'ilparle d'une notion historique-ment essentielle. Le design ne s'ar-rête pas à l'objet m'as-tu-vu -"Re-garde, j'ai la plus belle table, qui\ient de la galerie Trucmuche, et tune peux pas te la payer ! " Ce qui estpassionnant, c'est d'observer la fa-çon dont on s'assoit autour d'unetable, dont le corps se tient, com-ment on communique d'une au-tre manière entre les individus. Et,dernier point, l'empathie c'est allerau delà de la norme, supplanter le"tout doit être identique" parquelque chose qui est de l'ordre dela psychologie. L'empathie, c'estprendre en considération ce quel'on ressent. Je trouve intéressantde remettre la psyché dans l'esthé-tique Faire valoir la notion d'em-pathie, c'est faire valoir une esthe-tique psychologiqueVotre exposition rassemble lestravaux d'étudiants européens.Dit-elle quelque chose sur l'avenirdu design ?Oui. J'ai vu a quel point les étu-diants vont au-delà du fonction-nalisme, qui est poui moi le smicdu design. Le minimum qu'onpuisse demander a un fauteuil,c'est qu'il soit confortable. S'il nel'est pas, c'est qu'il y a un pro-blème ' Tout ce qui est de l'ordrede la sensation, de l'émotion, de lapathologie jusqu'à l'inconscientest un sujet qui interesse nosjeunes designers. C'est d'autantplus intéressant de voir cela chezdes gens qui sont formés pour re-pondre à une question. La théma-tique choisie par Elsa Francès [di-rectrice de la Biennale, NdlR] entreen résonance avec les préoccupa-tions d'une grande partie clesdesigners d'aujourd'hui. Peut-êtreparce que nous sommes en crise,peut-être parce que nous avonsfait Ic tour d'un fonctionnalisme aoutrance. C'est incroyable la ma-nière dont ils repensent l'individuet s'attaquent finalement a des en-treprises de normativation

PROPOS RECUEILLISPAR ALEXAMDRINE DHAINAUT

LES GRANDES LIGNESDE L'ÉDITION 2013Avec plus de SO expositions, cette nouvelle edition s'annonce denseet diversifiée Lieu névralgique de la biennale, la Cité du design ac-cueille de nombreuses expositions, notamment : "Demain c'est au-jourd'hui #4" panorama des productions de design tournées vers lefutur ; "Nano-ordmaire", sur la recuperation énergétique par lecorps (commissariee par Matali Grasset, designer desomiais incon-tournable) , "Les androides rêvent-ils de cochons électriques ?" ré-flexion sur la production d'animaux mecaniques ; "Artifact", cabinetde curiosité rassemblant les productions de designers tous azimuts,"The Dream Team", une selection de travaux des étudiants desdépartements design de cinq écoles européennes, dont ceux de lasection Design industriel de l'Ecole superieure d'art et design deSaint-Etienne , ou encore "C'est pas mon genre '" qui interroge ledesign a la lumiere du genre féminin. Des grands noms de la crea-tion made in France sont à l'honneur, comme le couple Marithé etFrançois Girbaud et leur recherche formelle et technique autour dujean au musée d'Art ct dindustrie de Saint-Etienne |usqu au 6 mai,ou encore Charlotte Fernand dans une exposition soulignant l'in-fluence du Japon sur l'œuvre de la grande prêtresse du design fran-çais au musée d'Art moderne de Saint-Etienne jusqu'au 26 mai.

Biennale internationale du design de Saint-Etienne 2013.Du 14 au 31 mars Intégralité des evenements sur www biennale-design com

ÉCOLE NATIONALE SUPËRIEUREDES BEAUX-ARTSDESSINE-MOI UN FOULARDAu Réfectoire des nonnes,'Foulards', une installation deMaroussia Rebecq et des étudiantsde l'option Design textileL'ENSBA invite la créatrice de modeMaroussia Rebecq, fondatrice ducollectif Andrea Crews, agence decréation entre art et mode, a réaliseret présenter une installation avec lesétudiants dè l'option Design textile ÀI issue de l'exposition, un desfoulards exposés sera édité et mis envente à la boutique du musée desTissus et des Arts décoratifs de LyonDu 22 au 31 marsVernissage le 21 mars à 18h30ENSBA 8 bis quai Saintvincent Lyon I"

RÉSONANCESDELABIENNALEÀ LYON

Grand Hôtel-Dieu - Les designers imaginent la ville de demainPendant six jours, le public lyonnais pourra découvrir sur plus de10 DOO m2 la vision des designers (certains issus du Village descréateurs de Lyon) de la ville de demain et l'apport du design auquotidien dans un contexte urbain (mobilité, signaletique, lumiere,espaces verts, mobilier urbain, etc.) Au programme • expositions,visites et conferences.Du 14 au 17 mars www.lyoncltydesign. fr

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Date: 15.03.2013

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Un projet de ruchersurbains est récompensé

Quatre étudiants des hautesécoles ont reçu 6000 francspour installer des ruchessur les toits en villeQuatre étudiants de quatre écolesspécialisées genevoises ont été ré-compensés hier pour un projettransdisciplinaire. Leur idée: ins-taller des ruches en milieu urbain,sur les toits ou les terrains d'entre-prises et de collectivités. Leur as-sociation Apidea a reçu le prixCréagir, d'un montant de6000 francs, remis par la HES-SOGenève. Cette somme doit aiderces étudiants issus des hautes éco-les du paysage, d'ingénierie etd'architecture (HEPIA), d'art et dedesign (HEAD), de gestion (HEG)et de travail social (HETS) à lancerconcrètement leurs activitésd'apiculture urbaine. Celles-ciconsisteront non seulement à ex-ploiter les ruches et commerciali-ser le miel, mais aussi à organiserdes événements pédagogiques.Trois autres projets portés par dixétudiants leur faisaient concur-rence.

L'atelier interécole Créagir estun cours transversal en matièrede développement durable appli-qué à la région. Toutes les HES ducanton de Genève ont été invitéesà y participer. L'idée est de favori-ser une pédagogie interdiscipli-

De campagnardes, les abeillesvont devenir citadines. P MAEDERnaire et pratique. L'expérience,ouverte aux étudiants de 2e et3e année, sera reconduitel'automne prochain.

Les toits de Genève commen-cent à être très convoités par lesapiculteurs. Plusieurs d'entre euxont déjà installé leurs ruches enmilieu urbain ou envisagent de lefaire. En novembre, la JeuneChambre internationale de Ge-nève a remis son prix IDDEA de5000 fr. à un projet similaire

Avec les pesticides et la mono-culture, la campagne est devenuemoins propice à l'apiculture quela ville, où la biodiversité est plusgrande. Antoine Grosjean

Français

Rapport page: 134/176

claudia.olivarez
Texte surligné
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Date: 17.03.2013

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Rêves d’école à la HEAD - Genève

Laurent Wolf

© Sandra Pointet, HEAD – Genève

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Etudiants, enseignants, chercheurs, vers 2028 avec la Haute Ecole d’art et de design genevoise. Six projets entre lesouhaitable, le possible et l’imaginaire

« Le Temps » s’est associé avec la Haute Ecole d’art et de design de Genève (HEAD) pour chercher avec ellequelques vestiges du futur dans les travaux de ses étudiants, de ses enseignants et de ses chercheurs en design. Il nes’agit pas de se projeter vers une date plus ou moins proche et de dire ce qui sera. Mais d’imaginer ce qui pourraitêtre: six projets choisis avec Daniel Sciboz, responsable du Master en Media Design et avec Christiane Luible,responsable de la filière Design Mode, Accessoires et Bijou de la HEAD, six paillettes d’avenirs possibles qui sontautant de questions. Faut-il se laisser emporter par les sortilèges de la technologie et se précipiter vers une humaniténouvelle ou au contraire chercher à retenir ce qu’elle a de meilleur? Faut-il aller vers le plus ou vers le moins?Accepter, même en la poussant jusqu’à l’étourdissement, la logique de la fuite en avant ou sauver ce qui peutencore l’être? Pour une école comme la HEAD, l’irréalisme a autant d’importance que le pragmatisme, parce quel’irréalisme est le début de l’invention et le pragmatisme le b.a.-ba du savoir-faire. Les designers créent des formesqui régissent les relations entre les individus. Ils organisent l’espace dans lequel se déploie la vie sociale. Ils sontdonc sommés de faire des choix essentiels sur ce que seront ou devraient être les existences. Et ils les donnent à voir.Ecrire à l'auteur

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Rapport page: 149/176

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Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

n Le service économique hebdomadaire du design

Lundi 18 mars 2013 > page 1 Design fax 839

Design fax : 80-82 rue du Chemin Vert 75011 Paris - Tél. : 01 43 38 37 32 - [email protected] un an 47 n° : 320,14 euros HT (382,89 euros TTC) - 20 n° : 150,92 euros HT (180,50 euros TTC)Éditeur : Design Fax SARL au capital de 9146,94 euros - Siège social : 289 rue des Pyrénées 75020 Paris

R E N D E Z - V O U S> Biennale Internationale duDesign : 8è édition, jusqu’au 31mars, Saint-Étienne. 61 expositionswww.biennale-design.com> Élise Fouin : Parcours dedesigner, conférence 26 mars,9h30-11h, Le Lieu du design, Paris.www.lelieududesign.com> Journée Agences Ouvertes :plus de 40 agences à Paris et enrégion, 26 mars, organisée parl’Association des Agences-Conseilsen Communication (AACC).www.agencesouvertes.com> Café de l'EcoDesign : spécialpackaging, 26 mars, 9h-12h30,L’Édito, 18 quai de l’Hôtel de Ville,Paris. http://observatoire-ecodesign.com> Pack Design : 10è congrèsINDP, 28 mars, Lieu du design,Paris. www.indp.net> La fabrique des idées : ENSCI-Les Ateliers, 30 ans de design,expo jusqu’au 28 mars(changement de date), Le Lieu duDesign. www.lelieududesign.com> arrrgh! monstres de mode :expo jusqu’au 7 avril, Gaîté lyri-que. www.gaite-lyrique.net> Ettore Sottsass : expo jusqu’au22 juillet, Sèvres-Cité Céramique .

[email protected] : @design_fax

«LA Biennale, c’est comme visiter 300 salons professionnels.» Il y adu vrai dans ce qu’affirme, sur le ton de la boutade, une person-

ne de l’équipe de la Biennale Internationale de Design. La forcedes idées, des concepts, leur nombre, leur diversité, leur prove-nance de nombreux pays… Tout cela fournit un concentré d’in-formations et d’inspiration d’une richesse exceptionnelle. Ce nesont pas seulement les patrons des agences et les designers inté-grés qui doivent se rendre à la Biennale, les directeurs marketinget chefs d’entreprise ont tout intérêt à faire le déplacement.

CE n’est pas un hasard si quatre ministres ont programmé unevisite : Aurélie Filippetti mercredi dernier, Arnaud Montebourg

et Fleur Pellerin ce lundi, Michèle Delaunay (chargée despersonnes âgées) jeudi. Cette édition 2013 fournit de précieuxéclairages par rapport aux préoccupations de l’époque et, surtout,elle montre les pistes à explorer. C’est le cas des deux expositionssituées dans la Platine (le bâtiment étendard de la Cité du Design)et, en particulier, de Demain C’est Aujourd’hui #4. Cette 4è éditionde l’expo conçue par Claire Fayolle livre une nouvelle vague deproduits concepts et de recherches prospectives émanant dedesigners, de services design de grands groupes ou delaboratoires. Cette cuvée 2013 explorent les produits et marchésdes après-crises (alimentaire, énergétique, environnementale,démographique…). Les propositions dessinent un mondetotalement nouveau et assez déstabilisant. Parmi les caractéris-tiques de cette année : beaucoup de projets traitent de lanourriture (nouveaux aliments avec leurs packagings et circuits dedistribution) et le recours aux nanotechnologies se généralise.

Biennale Design St-Étienne :une mine de concepts En prise directe avec les mutations en cours, cettemanifestation unique en son genre révèle, de manièretangible, le monde à venir.

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LA semaine de l’industrie sera lancée, sous le signe du design, celundi en fin d’après-midi depuis la Cité du Design à Saint-

Étienne. Auparavant, Arnaud Montebourg et Fleur Pellerin aurontvisité Demain C’est Aujourd’hui #4, l’une des expos de la BiennaleInternationale de Design. Arnaud Montebourg avait lui-mêmeindiqué, le mois dernier, que des mesures en faveur du designseraient dévoilées ce lundi. En fait, le ministre du Redressementproductif ne devrait rien annoncer de nouveau, d’après ce queconfiait, vendredi soir, son cabinet. Cela ne l’empêchera pasd’évoquer les réflexions en cours. Plusieurs projets sont à l’étudeou sur le point d’aboutir.-L’équipe de France du design.Elle ne sera pas connue ce lundi. La liste de ses membres n’est pasencore arrêtée. Dans l’esprit du ministère, il s’agira d’un collèged’une vingtaine de designers avec des profils divers : créateurs,indépendants, directeurs d’agence, designers intégrés… Ils serontnommés à titre personnel. Et cette équipe ne comprendra aucunreprésentant d’organisme existant. Ce sera un collège «libre,indépendant», qui devra «identifier les priorités» et conseiller leministère sur les décisions à prendre. -Rapprocher entreprises et designers.Arnaud Montebourg a évoqué, le 1er mars, l’idée d’un Meetic dudesign et le ministère a parlé d’une plateforme de mise enrelation. Celui-ci souhaite examiner les actions déjà menées enrégion et, éventuellement, les soutenir. Exemple : la conventiond’affaires Design Map, initiée à Saint-Étienne. Le ministère seraitfavorable à ce que cette opération soit rééditée et dupliquerailleurs en France.

Bercy et la Culture peaufinentleurs mesures pour le designEquipe de France du design, crédit impôt recherche, statut dudesigner… Autant de dossiers sur lesquels planchent ArnaudMontebourg, Fleur Pellerin, Aurélie Filippetti.

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Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

n Design with heart : cette expo présente des objetscontemporains choisis par Sebastian Bergne. «Desobjets créés avec humanité, intelligence et passion pouraméliorer notre façon de vivre et d’agir».n Nano-ordinaire : Matali Crasset invite à découvrir lesnano-énergies dans la maison «Empathic». L’objectifest de montrer «une autre relation à l’énergie, aux objetstechnologiques». L’idée n’est «pas du tout de présenterdes résultats. Les produits ne sont pas dessinés en tantqu’objets, mais en tant que potentiels.»n Rhône-Alpes : l’équipe régionale du design Afin d’harmoniser les initiatives autour du design etd’éviter la concurrence entre organismes, un CO-Design (Coordination opérationnelle design en Rhône-Alpes) a été mis en place sous l’égide de la Région etde l’État (DIRECCTE). Initié en janvier 2011, ce comitéfait sa première apparition publique à la Biennale, avecun nom et un logo. Depuis deux ans, ses membres sesont réunis régulièrement afin d’essayer de mettre enplace une politique commune et de préciser le rôle dechacun. C’est semble-t-il chose faite. La Cité du Design a pour mission de faire la promotiondu design auprès du grand public et des industriels. LeCollectif Designers+ a un rôle d’accompagnement desdesigners en matière de formation et de présence surles salons. Originaire de Saint-Etienne et de la Loire, ceCollectif étend désormais son action sur la région maisil ne devrait plus avoir de relations avec les industriels(mission incombant à la Cité). La FéDI est un syndicatde défense de la profession qui, notamment, édictedes règles sur les pratiques professionnelles ouélabore la charte Qualidesign afin de définir lesmétiers du design. L’ARDI (Agence de l’innovation)s’occupe de la relation avec les clusters .

n Antoine Fenoglio, co-fondateur des Sismo, témoigne-ra ce lundi après-midi, lors du lancement de laSemaine de l’industrie par Fleur Pellerin et ArnaudMontebourg, à la Cité du Design. Il évoquera lesrelations entre les institutions et un designer. «Il y a desmoments clés qui peuvent influencer le designer, l’aider àréfléchir, à mieux comprendre son métier. C’est importantd’avoir un soutien des institutions, ne serait-ce qu’intel-lectuel», indique Antoine Fenoglio. Lui et FrédéricLecourt, son compère des Sismo, ont participé à toutesles Biennales et conçu deux expositions à la Cité duDesign. Durant son intervention, Antoine Fenoglioprévoit aussi d’insister sur les relations au quotidienentre designers et entreprises : «comment et pourquoielles ont évolué en 15 ans».n Quatuor Rhône-Alpin. Barré & Associés, Avant-Première, EDDS et Design Office ont toutes environ unquart de siècle d’existence. Les quatre principalesagences de design industriel en Rhône-Alpesenvisagent des actions communes. Rien d’officiel pourl’instant. Ce sont juste des contacts qui ont été noués.Mais il y a la volonté d’être un contrepoids et d’afficherun savoir-faire régional en design produit. n La soirée Designers intégrés, jeudi à la Biennale, alaissé des participants sur leur faim. La présentation duDesigncode n’a guère permis d’en savoir plus sur lesactions prévues par ce groupe. Il s’est fait connaître ennovembre [Df 825] et réunit Anne Asensio, FrançoisLenfant, Pierre-Yves Panis, Philippe Picaud et GillesRougon rejoints par Carole Favard. «On aurait dûrefuser le Pecha Kucha», confie un des membres ennotant, par ailleurs, qu’il n’y avait «pas beaucoup» dedesigners intégrés. La formule du Pecha Kucha a don-né lieu à une succession d’interventions promotion-nelles, sans permettre d’échanges et sans que les pro-blématiques du design intégré ne soient abordées .

ALORS que Demain C’est Aujourd’hui #4 balise lafuture offre de produits, de l’autre côté de la

Platine, l’expo Traits d’union, conçue par EliumStudio,radiographie l’offre actuelle. Les deux expos secomplètent parfaitement. L’une explore et balaie leshypothèses, l’autre analyse et ordonne. Au passage,EliumStudio réussit à faire sentir le supplément d’âmequ’insuffle le design à un produit. L’agence rebonditd’ailleurs sur l’empathie, le thème de la Biennale choisipar Elsa Francès, commissaire générale. «Trop souvent,note Pierre Garner, dirigeant d’Elium, le designindustriel est traité sous l’angle de l’usage, de l’ergonomieou du process pour expliquer comment on fait du design.Le thème de l’empathie a permis de porter un regarddifférent sur ce métier et de montrer sa richesse.»

AUTRE exposition significative : Singularité, deFrançois Brument et David-Olivier Lartigaud. La

notion de «singularité» désigne le moment où l'ordina-teur entraîne l'humanité dans une spirale techniquequ'elle ne maîtrise plus. «Si on ne fait rien, en 2045 on iradroit dans le mur et ce seront des machines qui décide-ront à notre place», annonce David-Olivier Lartigaud,en présentant une expo plus ludique qu’inquiétante,où des «pièces anecdotiques, humoristiques ont été choi-sies parce qu’elles posent des questions». Les créateurspoussent souvent la démarche jusqu’à l’absurde. Unprojet prévoit d’utiliser le prototypage rapide pour fa-briquer une coquille pour un bernard-l’hermite. L’expomontre des insectes porteurs de bombes ou des«semelles pilotées par iPhone pour s’élever du sol et re-garder droit dans les yeux», elle propose de «tout trans-former en clavier. Le monde devient jouable»… «AI vs AI :lorsque deux intelligences artificielles conversent ensem-ble, le dialogue parfaitement logique se transforme en unsketch absurde», proclame un autre projet .

Biennale Internationale Design Saint-Etienne

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Lundi 18 mars 2013 > page 3 Design fax 839

Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

Stéphane Thirouin - directeur design Groupe Seb-Équipe de France du design. Si elle est forméeuniquement de designers, cela va perdre de son intérêt.C’est déjà notre problème : nous sommes toujours entrenous. Il faut réfléchir avec d’autres. Il faut nous associer avec nos partenaires naturels dansles projets et se faire aider par des personnes des scienceshumaines.On a besoin d’aide pour structurer notre discours. Pour être crédibles, ce qui nous manque ce sont les belleshistoires racontées par les managers et non les designers,et le thermomètre pour mesurer la fièvre.Les agences de communication ont des indicateurs deperformance, elles justifient les coûts qu’elles imposent.-Convention d’affaires. Les organisateurs de cesmanifestations font payer cher des rendez-vous à desagences en attirant des décideurs dans un bel hôtel. J’yvais par curiosité. Mais je n’ai conclu aucun business. Mieux vaut créer des bals populaires que monter un siteInternet.-Crédit impôt recherche. C’est très bien pour les PME.Mais les grosses entreprises constituent un gros moteuren dépenses de design. Avec le CIR, Decathlon pourraitembaucher 50 designers de plus pour le même coût.-Statut des designers. Il y a un double problème. D’une part, cela renforce l’idée que le designer est unartiste. D’autre part, qui cela va-t-il tuer ? Les agences. Cela crée un décalage de coût entre une agence qui a dessalariés et une association d’indépendants inscrits à laMaison des artistes .

Antoine Fenoglio - Les Sismo-Équipe de France du design. Il faut que cette équipesoit représentative de toutes les typologies de métier dudesign. Il ne faut plus défendre des approches spécifiquesdu design, des chapelles. Un produit peut être conçu avecdes grosses agences, des créateurs, du design intégré, desspécialistes de l’innovation… Cette diversité correspondà la diversité des besoins des entreprises. La question : Quelle est la bonne structure qui permetd’éviter de recréer une chapelle ?Que l’équipe soit composée seulement de designers, c’estune bonne base de départ, mais je ne suis pas fermé pourla suite. Le métier du designer souffre déjà du fait qu’on ne luifasse pas confiance. Je suis fatigué de voir le designerconsidéré comme une petite chose qui ne sait pas parleraux entreprises. Le temps que nous passons à convaincreles entreprises est supérieur à celui consacré à la création.C’est une opportunité. Proposons des choses concrètesdans six mois au ministre. La profession doit être capablede se prendre en main. Il n’y a jamais eu cette fenêtreouverte. C’est le moment pour les designers de faire valoirleur capacité à produire des idées, du concret, montrerleur intégration dans la société.-Statut. Je ne suis pas sûr que la solution soit un statutspécifique. Pas sûr que cela aide la profession dans sonaffichage. Mais, étant donné la diversité de la profession,si certains ont besoin du statut des artistes, pourquoipas? C’est adapté à une des pratiques du métier qui estdavantage liée à la revendication d’une signature.Certains n’iront jamais vendre de la stratégie de marque.Ce qui est dangereux c’est de penser que le design c’estune chose ou une autre. Le design, c’est tout cela. Signertrois chaises pour les vendre à Miami ou réfléchir avecUnibail .

Les designers réagissent aux projets du gouvernementLes designers rencontrés à la Biennale se félicitent, dans leur ensemble, de l’intérêt porté au design parplusieurs ministres. Mais ils divergent sur certaines mesures envisagées.

-Crédit impôt recherche.Son extension au design est acquise. Mais l’étendue deson champ d’application reste à préciser. Cela faitl’objet de tractations entre ministères à Bercy.-Statut des designers.Ce sujet est suivi particulièrement par AurélieFilippetti. La ministre de la Culture l’a confirmémercredi en inaugurant la Biennale : Les designers«doivent pouvoir exercer leur profession dans uneparfaite sécurité juridique, sur les plans social et fiscalnotamment. Je souhaite travailler sur la question de leursta tut. Cela va concourir a ussi à une meilleurereconnaissance de cette profession, qu'elle soit exercéecomme salarié ou comme indépendant.» La ministre aaussi évoqué les difficultés rencontrées par certainsdesigners avec «leur régime de sécurité sociale au seindu régime des artistes-auteurs. Avec Marisol Touraine etJérôme Cahuzac, nous avons lancé une mission conjointedes inspections généra les de nos ministères pourréformer le régime des artistes auteurs et nous avonsinsisté sur la nécessité que les problèmes des designerstrouvent leur solution dans la réforme qui sera engagéepar le gouvernement» .

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Design fax : 80-82 rue du Chemin Vert 75011 Paris - Tél. : 01 43 38 37 32 - [email protected] un an 47 n° : 320,14 euros HT (382,89 euros TTC) - 20 n° : 150,92 euros HT (180,50 euros TTC)Éditeur : Design Fax SARL au capital de 9146,94 euros - Siège social : 289 rue des Pyrénées 75020 Paris

n Le service économique hebdomadaire du design

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Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

ainsi, avec la Fedi, l'Apci, l'Afd et Designers interactifs,depuis 6 ans, nous avons fait un front commun pourpousser une réécriture partielle du texte sur le créditimpôt recherche. Si le design était explicitement excludu dispositif, seule une exception persistait lorsquequ'il s'agissait de concevoir un prototype. C'est cettenotion que nous avons voulu élargir et la dynamiquegouvernementale en faveur de l'innovation nous yaide (*).Nous l'avons compris le 1er mars, un texte est en coursd'écriture à Bercy et nous en espérons la publicationprochaine au bulletin officiel.Pour nos entreprises françaises, cela va avoir pour effetde considérer la fonction design au niveau desfinances des entreprises. Un impact direct sur leurrésultat économique. Certains se plaignent de nepouvoir recruter dans leur entreprise, eh bien voilà unsuper outil pour apprendre à discuter avec un DAF.N'ayons pas peur !Assumons cette nouvelle responsabilité et devenonsles acteurs référents de ce dispositif. Celui qui saitmettre des chiffres devant les rêves, celui quicontribue à la croissance "en temps réel" del'entreprise qui l'emploie et qui y associe une visioncréative de ce qui fera gagner demain. S'il y a uneseule chose à retenir du talent de Steve Jobs, c'estcela, un design pour l'actualité économique et pour lesconquêtes de demain.Si un cycliste sait regarder le col qu'il souhaiteatteindre, il sait avant tout appuyer sur la pédale etregarder devant sa roue !Le CIR nous donne cette chance, ne la manquonspas! Car inévitablement d'autres s'en saisiront à notreplace. Ce peut être cela un changement immédiat !

Joseph MazoyerLe dirigeant de DO-Design Office à Lyon réagit au Design fax spécial Designers intégrés de lundi dernier (Df 838) et aux projets du gouvernement.Je suis abasourdi par la morosité des témoignages dudernier Design Fax. Où est l'esprit d'entreprise et decréation qui doit nous animer et que nous nousdevons de transmettre.Je ressens la peur de se mettre an danger, et c'estpourtant sur ce point que le design est une révolution"possible" de notre environnement économique etsocial. C'est à nous d'être rassurants et convaincantsauprès de ceux qui prennent des risques. Et nonl'inverse! Le designer doit être "mature" pour savoirguider, et ne doit pas attendre que d'autres prennentles décisions à sa place. J'ai ressenti le même pessimisme qu'à la réunion du1er mars à Bercy !Arrêtons de nous plaindre, montrons que noussommes crédibles pour accompagner leschangements. Et, dans ce sens, il y avait pourtant de quoi se réjouir,et personne n'en a débattu ! Nous venons de gagnerune victoire importante : le design va être reconnu etéligible au crédit impôt recherche (CIR).C'est un événement MAJEUR qui peut énormémentchanger les mentalités dans les milieux économiquesà l'égard des investissements sur le design. Il va attirerl'oeil des argentiers sur des process innovants et vaainsi doper la valeur design dans l'entreprise. Lafonction design ne doit plus représenter l'épaisseur dutrait dans les comptes résultats des entreprises. Toute la communauté en ressentira les effets, salariés,conseils externes, et toutes les disciplines du designconfondues. Voire même certains appels d'offresdesign indignement tarifés.C'est dans cet esprit que je me suis investi, là où çapèse. Dans l'efficience fiscale pour les entreprises. Et,

Pour ce qui est du statut, mon sentiment est qu'il nefaut pas souffler dans toutes les directions au risqued'être encore plus mal compris. Si j'ai bien compris cequi anime cette demande de reconnaissance, c'est lesouhait d'adhérer à la Maison des artistes. Et si pourcertains c'est une reconnaissance ultime, je crains quecela contribue à l'atomisation d'une profession quisouffre déjà beaucoup d'individualisme. Or, le risqueserait de nous isoler encore plus de la réalité sociale denos environnements respectifs. N'y a-t-il passuffisamment d'intermittents du design ? Si c'est pourdes questions de fiscalité individuelle, cela peut êtreentendu et faire l'objet d'un débat à part entière. Personnellement, je préférerais plutôt que cela ouvrele débat sur l'épineuse question du droit d'auteur ausein des entreprises et de sa valorisation que nousconnaissons tous à travers les contrats de travail ou decollaboration que nous proposent les juristes. Unequestion très complexe mais bien réelle qui nousrenvoie automatiquement vers une autre maison, cellede l'INPI déjà reconnu unanimement dans l'industrieet les commerces. Profitons-en, et investissons-noustous ensemble auprès de cette institution pour que ledesign y trouve sa place, qu'il y soit mieux connu etrelayé. Seul l'INPI a les outils pour que le designdevienne un actif quantifiable. Une approchecomplémentaire de valorisation de la fonction design !

(*) A partir du prototype, considérer comme éligibles, unensemble d'activités du design impliquées dans laconception de produits ou services innovants, qu'elles soientinternes ou externalisées. Tels que l'analyse, les étudesd'usages, la recherche créative, la notion de concept deproduit et d'offre, le maquettage formel, les démonstrateursmatériels et numériques, les tests utilisateur... .

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Design fax : 80-82 rue du Chemin Vert 75011 Paris - Tél. : 01 43 38 37 32 - [email protected] un an 47 n° : 320,14 euros HT (382,89 euros TTC) - 20 n° : 150,92 euros HT (180,50 euros TTC)Éditeur : Design Fax SARL au capital de 9146,94 euros - Siège social : 289 rue des Pyrénées 75020 Paris

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Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

UN événement «inédit et hors norme» : Audencia Nantess'apprête à «renouveler le monde des écoles de commerce avec

ses rêves», proclame l’école. Celle-ci va connaître lundi et mardi unhappening original. 420 étudiants d’une même promotion de laGrande Ecole auront pour objectif de «repenser le business modeldes écoles de management. Une idée : le faire avec la pensée et lesoutils du designer», explique Nicolas Minvielle, responsable duMastère Spécialisé Marketing Design et Création. Concrètement,une vingtaine de designers accompagneront des groupesd'étudiants. Ce lundi matin, création de scénarios. Lundi soir, votesur un format de type Pecha Kucha. «Le mardi matin, on récupèreles rêves scénarisés et on les construit (lego modeling, 3D, pièce dethéâtre etc.), puis on revote le soir en live sur youtube avec les 10 000anciens invités, et la direction s'engage à mettre en place les rêvessélectionnés.» L’événement a été précédé d’une campagne deteasing sur Internet et sur les bus et trams de la vil le.www.dreaming.audencia.com .

n Mazarine cédée. Paul-Emmanuel Reiffers,président fondateur de l’agence, vient de céder sesparts à Fondations Capital. n Bruneau adopte une nouvelle identité visuelleavec l’aide de Saguez & Partners et de sa filiale DesFaits Des Actes.n 4uatre annonce deux nouveaux budgets :nouveau concept de communication et ensembledu territoire visuel de la filiale française d’ImperialTobacco qui redevient SEITA ; changement de nomet d’identité visuelle de la fédération des foires,salons, congrès et événements de France. n Carré Noir signe les nouveaux packagingsd’Oenobiol Paris.n Dragon Rouge rafraîchit l’identité de Quézac.n EliumStudio : la prochaine Carte blanche du VIAest attribuée à cette agence.n BEDA : Isabel Roig, directrice du Barcelona DesignCentre, est la nouvelle présidente du Bureau ofEuropean Design Associations. Elle remplaceDeborah Dawton, directrice de la Design BusinessAssociation britannique. Robin Edman, directeurde la Swedish Industrial Design Foundation,devient vice-président du BEDA.n Futur en Seine : Jean-Louis Frechin est lecommissaire de l’édition 2013 du festivalinternational des innovations numériques organisépar Cap Digital (13 au 23 juin). www.futur-en-seine.frn Raymond Interactive est désormais dirigé parBruno Auret, co-fondateur du pôle Interactif deSaguez & Partners et directeur de création. La so-ciété spécialisée dans la digitalisation des pointsde vente et l’e-commerce indique : «De nombreuxrecrutements seniors sont actuellement en cours.»n Toyo Ito reçoit le Prix Pritzker 2013 .

Dubai Lynx : l’avis de Sylvia Vitale Rotta

PRÉSIDENTE du jury Design aux Dubai Lynx, Sylvia Vitale Rotta,PDG de Team Créatif, commente : «Globalement, nous avons eu

un bon travail à juger. Certaines catégories comme CorporateIdentity, Environmental Design, Typographie et surtout les catégoriesBranding Packaging sont sous représentées. Elles ont besoin, pourgrandir, d’avoir plus d'entrées, car elles représentent une grossepartie des marques de grande consommation et du business. En cequi concerne le Grand Prix (Personal Extinction Prevention Book deY&R Dubai pour Land Rover), il y a une excellente idée créative.Simple, pleine d’espoir, un design bien conçu, bien réalisé, bienexécuté avec un beau travail typographique. Écologiquementcorrect.»

LE Festival international de la créativité, pour la région MiddleEast and North Africa, posède une catégorie Design depuis 3

ans. Nombre de dossiers : 112 (97 l’an dernier) de 9 pays (UAE,égypte, Kuwait, Liban…) .

Audencia : «deux jours de rêve pour se réinventer»Brandimage cherche des freelances

B R A N D I M A G E , D E S G R I P P E S & L A G A , groupe dedesign international et multiculturel, accompagne lesmarques pour révéler leur personnalité à travers unea p p r o c h e m u l t i d i s c i p l i n a i r e e t t r a n s v e r s a l e e ndéveloppant des produits, des services et des espacesqui créent une expérience unique et un lien émotionnelfort avec l'être humain. Brandimage recherche :

- des architectes d’intérieur spécialisés retail et desdesigners d’espace, freelances uniquement, pour étof-fer ses équipes sur certaines missions, à toutes les pha-ses d’un projet, de la création aux dossiers techniques.

Vous connaissez les enjeux des marques et votrecréation est au service des marques. Vous êtes à l’affûtdes innovations et des nouvelles tendances. Vous avezun sens esthétique éprouvé. Vous êtes exigeant quant àl a q u a l i t é d e s r e n d u s . V o u s a v e z u n e t r è s b o n n econnaissance des normes spécifiques aux espaces com-merciaux, des matériaux et des procédés de fabrication.

Vous maîtr isez Autocad, I l lustrator et Photoshop.Une bonne connaissance de Rhino serait appréciée.

- des designers volume, freelances uniquement, pourétoffer ses équipes sur des missions, à toutes les phasesdu projet, de la création aux dossiers techniques.

Vous connaissez les enjeux des marques et votrecréation est au service des marques. Vous êtes à l’affûtdes innovations et des nouvelles tendances. Vous avezun sens esthétique éprouvé. Vous êtes exigeant quant àl a q u a l i t é d e s r e n d u s . V o u s a v e z u n e t r è s b o n n ec o n n a i s s a n c e d e s m a t é r i a u x e t d e s p r o c é d é s d efabrication.

Vous maîtrisez Illustrator, Photoshop et un logicielde 3D (Rhino de préférence).

Adressez vos books à [email protected] .

n Offres freelances

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Design fax : 80-82 rue du Chemin Vert 75011 Paris - Tél. : 01 43 38 37 32 - [email protected] un an 47 n° : 320,14 euros HT (382,89 euros TTC) - 20 n° : 150,92 euros HT (180,50 euros TTC)Éditeur : Design Fax SARL au capital de 9146,94 euros - Siège social : 289 rue des Pyrénées 75020 Paris

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Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

n Appels d’offresCour des comptes : création d'une identitévisuelle pour les juridictions financières : logotype etcharte graphique. Sélection de 5 candidats.Indemnisation : 900 euros HT. Date limite de réceptiondes candidatures : 27 mars. «L'identité visuelle de laCour des comptes et des chambres régionales etterritoriales des comptes doit donner une image desérieux, de modernité, d'accessibilité…»Tél. : 01 42 98 97 17. e-mail : [email protected] (tech).Tél. : 01 42 98 54 08. e-mail : [email protected] (adm).Ministère des Affaires étrangères : refontegraphique, passage en responsive design,amélioration fonctionnelle de la maquette des sitesInternet des postes diplomatiques. Montant maximumestimé : 80 000 euros HT. Date limite de réception desoffres : 27 mars.e-mail : [email protected] Pyrénées Tourisme : création de l'identitétouristique et des chartes graphiques de la destinationPau Porte des Pyrénées et missions d'assistance àmaîtrise d'ouvrage sur le déploiement des outils decommunication générale. Date limite de réception desoffres : 2 avril.e-mail : [email protected] Grand Hainaut : création et réalisationgraphique de documents de communication éditéspar les membres du groupement dans leursdifférentes missions : brochures, dépliants, bâches,affiches, livres, diplômes... Mais essentiellement sur lethème numérique. Montant prévisionnel noncontractuel estimé à 25 000 euros HT par an. Datelimite de réception des offres : 8 avril.Tél. : 03 27 51 31 41. www.grandhainaut.cci.fr

Brest : design des cabines de la liaison aérienne parcâble entre la station Château du Tramway et lesAteliers des Capucins de l'agglomération brestoise. Lesprestations requises se décomposent en cinq phases :1- étude du design des cabines et synthèse du design.2- étude détaillée et présentation publique. 3-rédaction des prescriptions du dossier de consultationdu concepteur-réalisateur. 4- assistance lors de laconsultation et de l'analyse des offres de conception-réalisation. 5- assistance lors de la mise au point dumarché. Date limite de réception des offres : 9 avril.Tél. : 02 98 80 99 00. e-mail : [email protected] : prestation d'un architecte - scénographe pourla 2e exposition du partenariat «Le Château de Versaillesà Arras» 2014-2015. Sélection de trois candidats.Indemnité : 2 000 euros. Date limite de réception descandidatures : 28 mars. L'enveloppe prévisionnelleaffectée aux opérations de muséographie (prestationde scénographie incluse) est 300 000 euros HT. Tél. : 03 21 71 25 30. e-mail : [email protected] (tech).Tél. : 03 21 50 50 53. e-mail : [email protected](adm). http://arras.frLyon : scénographie et graphisme de l'expositionJoseph Cornell et les surréalistes / Dali, Duchamp,Ernst, Man Ray, au musée des Beaux-Arts. Date limitede réception des offres : 2 avril.e-mail : dac.saj.marches@mairie-lyon.frwww.marchespublics.lyon.frLoir-et-Cher : refonte, conception, créationgraphique et suivi du site Internet du conseil général.Date limite de réception des offres : 25 mars. Tél. : 02 54 58 41 41. e-mail : [email protected] www.le-loir-et-cher.fr

Confédération pyrénéenne du tourisme :refonte du site Internet lespyrenees.net. Date limite deremise des candidatures : 25 mars. Tél. : 05 34 40 78 40.e-mail : [email protected]ées Orsay, Orangerie : création graphiqued'e-mailing, de publicité pour le web et les mobiles (lot2 : campagnes d'e-mailing). Date limite descandidatures : 3 avril. Tél. : 01 53 85 16 34. e-mail : [email protected]ôme : création d'une identité visuelle et designalétique pour la véloroute voie verte de la valléede l'Isère. Date limite de réception des offres : 2 avril.Tél. : 04 75 79 26 23. e-mail : [email protected](tech). Tél. : 04 75 79 27 57. e-mail : [email protected] (adm).SPL ONEM : création d'un site Internet pour la SPLOuest Normandie Energies Marines. Date limite deremise des offres : 22 mars. Tél. : 02 61 45 17 30. e-mail : [email protected] .

Tic Tac lance le concours Design ton Pack invitant lesinternautes à créer des décors pour les packagings.Dépôt des projets jusqu'au 4 mai sur le site : www.tic-tac.fr/fr/design-ton-pack. Les 12 projetsfinalistes seront exposés du 14 au 31 mai à la Galerie W(Paris XVIIIe) à côté d'œuvres d’artistes. Vingt-quatreprix : un Mac Book Air, 11 iPad Mini, 12 iPod Nano.James Dyson Award 2013 : concours ouvert auxétudiants et jeunes diplômés, designers et ingénieurs.Thème : «apporter une solution innovante à unproblème de la vie quotidienne». Prix : 30 000 livres aulauréat (34 424 euros) et 10 000 livres à son école.Candidatures jusqu’au 1er août.www.jamesdysonaward.org .

n Concours

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Design fax : 80-82 rue du Chemin Vert 75011 Paris - Tél. : 01 43 38 37 32 - [email protected] un an 47 n° : 320,14 euros HT (382,89 euros TTC) - 20 n° : 150,92 euros HT (180,50 euros TTC)Éditeur : Design Fax SARL au capital de 9146,94 euros - Siège social : 289 rue des Pyrénées 75020 Paris

n Le service économique hebdomadaire du design

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Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

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suivantes : suivi des chantiers pour la mise en place des nouvellesenseignes et changements de façades, relation avec les différentsinterlocuteurs internes et externes, mise à l’image des magasins,veille au respect du nouveau concept et des délais, gestion desb u d g e t s . T i t u l a i r e d ’ u n e f o r m a t i o n t y p e B T S b â t i m e n t o uarchitecte, vous justifiez d’une expérience de 1 à 2 ans minimumsur un poste similaire en pilotage de magasins en architecturecommerciale ou enseigne. Vous maîtrisez les normes ERP et lesl o t s t e c h n i q u e s . C e p o s t e , b a s é à P a r i s , n é c e s s i t e d e sdéplacements sur la France (4 jours par semaine). Titulaire dupermis B obligatoire. Contrat : CDD de 24 mois suivi d’un CDI.Salaire : 2700 euros brut + prime + participation. Référence :1503-CDP-TRX-DF.

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Merci de transmettre votre lettre de motivation, CV et book àThierry Rutge : [email protected]

Graphistes SAGU E Z & P AR T N E R S recrute :- De talentueux directeurs artistiques seniors Graphisme.Vous avez minimum 5 ans d’expérience en agence d’identité de

m a r q u e s / d e s i g n g l o b a l . V o u s ê t e s i s s u ( e ) d ’ u n e f o r m a t i o nsupérieure en communication visuelle Bac+4 (DSAA Écoles ArtsA p p l i q u é s , E N S A D , E S A G , é c o l e s é t r a n g è r e s : L a C a m b r e , S tMartins). Le graphisme, la mode, la photographie, l’architecture

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Design fax : 80-82 rue du Chemin Vert 75011 Paris - Tél. : 01 43 38 37 32 - [email protected] un an 47 n° : 320,14 euros HT (382,89 euros TTC) - 20 n° : 150,92 euros HT (180,50 euros TTC)Éditeur : Design Fax SARL au capital de 9146,94 euros - Siège social : 289 rue des Pyrénées 75020 Paris

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Lundi 18 mars 2013 > page 8 Design fax 839

Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

Aéropor t du futur, Altran Pr [ i ]me et EADSinnovation WorksLa recherche présentée vise à réduire à 10 minutes letemps nécessaire entre l’arrivée à l ’aéroport etl’embarquement.The Future by AirbusCe programme met en scène la vision d’Airbus àl’horizon 2050 et reflète sa stratégie en matièred’innovation. Deux de ses trois volets - l’avion conceptet la cabine concept - sont présentés. La cabineconcept utilise des matériaux issus de fibres naturelles,des matériaux autonettoyants ou autocicatrisants. Lesparois peuvent changer d’aspect : elles deviennentopaques ou transparentes, elles s’animent avec laprojection de décors virtuels.Toyota Window to the world Ce concept, mis au point par Toyota et CopenhagenInstitute of Interaction Design, transforme les vitres dela voiture en une interface interactive. Grâce à la réalitéaugmentée, la fenêtre Toyota permet de dessiner,zoomer, traduire, évaluer les distances. Velocity, b’Twin et Local MotorsCroisement entre un vélo et une automobile, c’est lepremier engin à trois roues et à assistance électriqueconçu par une communauté mondiale sur le web.b’Twin, marque cycle d’Oxylane, s’est associée avecLocal Motors, constructeur américain qui s'appuie surune communauté de designers et ingénieurs, pourorganiser sur le web, un concours international visantà inventer le tricycle du 21ème siècle. Un prototyperoulant est à l’essai dans les laboratoires de b’Twin.

Microbial Home, Philips DesignMicrobial Home envisage la maison du futur comme unécosystème autonome dans lequel tout se recycle.C’est une recherche de Philips Design dans le cadre dela série Probes consacrée aux projets prospectifs.L’objectif est de consommer moins d’énergie, voired’en produire, et de réduire la pollution. A cette fin,Philips Design a tenté de réinventer la façon dont ons’éclaire, on nettoie, on conserve la nourriture ou on sedébarrasse des déchets dans une maison.Ento, Royal College of Art et Imperial CollegeLondresCe projet global imagine une marque et despackagings consacrés à «l‘art de manger des insectes».BMW, Institut Européen du Design, BarceloneLe vêtement qui te transporte imagine des conceptscroisant l’univers automobile et celui de l’habillement.Un concept de gilet-poncho-véhicule électrique segare sur des poteaux faisant offices de parkingsverticaux. Une fois stationné, le véhicule muni dediodes électroluminescentes et de panneaux solairesdevient une source d’éclairage urbain. B-motion estune veste pantalon associée à un skateboardnumérique. La tenue est confectionnée dans un tissurétroéclairé réagissant aux émotions de l’utilisateur.Lorsque le skateboard roule, elle se gonfle comme unairbag. A l’arrêt, elle se glisse dans un sac à dos.Flymag est un véhicule réduit à sa plus simpleexpression : une veste .

Eating In-Vitro, Next nature lab, EindhovenLa viande in-vitro sera cultivée dans des bioréacteurs àpartir de cellules souches animales. Pourquoi devrait-elle ressembler à la viande que nous consommonsaujourd'hui ?Algaculture (Michael Burton et Michiko Nitta)Nouvelle façon de nourrir le corps. C’est le projet qui adéjà fait le plus de presse : unes de journaux (supplé-ment Libé de mardi, par exemple) et ouvertures deblogs. Algaculture imagine que les hommes, dansl’avenir, puiseraient des forces à partir d’algues vivantà l’intérieur de nouveaux organes. Cela leur permet-trait de bénéficier du processus de semi-photo-synthèse. Du coup, les hommes pourraient, comme lesplantes, tirer leur alimentation de la lumière.WikiCellsLes WikiCells, imaginés par David Edwards (prof àHarvard et fondateur du Laboratoire à Paris), sont desaliments dont on peut manger l’emballage, unemembrane évoquant la pêche, la pomme ou le raisin.Un jour, un distributeur automatique permettra d’enacheter partout. La maquette de celui-ci a été conçuespécialement pour l’expo. Insects au gratinInsects au gratin (de Susana Soares) propose decuisiner les insectes en utilisant l'impression 3D. Lesinsectes sont séchés, broyés et réduits en poudre. Lafarine d’insecte ainsi obtenue est mélangée à desagents épaississants et aromatiques pour former unepâte adaptée à l’impression. L'esthétique des alimentsest créée avec un logiciel 3D.

BIENNALE Demain C’est Aujourd’hui #4 - Commissariat : Claire FayolleQuatrième édition de ce panorama international des concepts prospectifs imaginés par des designers en agences, entreprises ou laboratories. Plus d’une centaine depropositions : Airbus, Altran, Citroën, JCDecaux, Domyos, Design Academy Eindhoven, Electrolux, ENSCI-Les Ateliers, Iniciativa BMW, Local Motors, Orange, Philips,Renault, Royal College of Art, Toyota, Yamaha… Jusqu’au 2 juin. Cité du Design.

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Lundi 18 mars 2013 > page 9 Design fax 839

Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

- L'empathie conceptuelle Le champ d'action de la créativitéCette section présente des objets parlesquels l’usager est sollicité, en sortequ’il participe au service, qu’il ait à lesconfigurer, qu’il prenne part àl’interprétation finale de créationsproches du do-it-yourself , ou qu’ildevienne acteur dès le concept initialet intervienne sur leur formalisation etleur réalisation, grâce aux Fab Labs.Il est ici fait état d’approchessingulières et propres à chaqueindividu, mais qui conservent lecaractère de reproductibilité à l’infinide l ’objet. Un phénomèneparticulièrement intéressant. Cars’échappant de la production sérielletraditionnelle qui a fondé le designindustriel et l’idée de « standard ».

- L'empathie sensorielleL 'ex tension du confor t de nossensCette section montre comment ledesign d’innovation donne unedimension nouvelle à nos sens. Ainsi, lebouleversement majeur que constituel’abandon de la lumière àincandescence a laissé place à unnouveau confort de produits lumineuxqui se préoccupent autant d’éclairerque de satisfaire la perception visuellepropre à chaque usager – en intégrant,par exemple, les apports de laluminothérapie. Cette approcheenrichie vaut tout autant pour le son,tour à tour atténué, quand il estnuisance, ou exalté, quand il s’agit d’enaugmenter la qualité. Il en va de mêmepour le goût, qui connaît peut-être lesréponses les plus avancées, avec destravaux et recherches tels quel’«aérocuisine» qui ne cessent d’élargirnotre palette de sensations gustatives.

- L'empathie technologiqueL e d e s i g n f a ce à l 'o m n i f o n c-tionnalité Cette section explore la façon dont latechnologie enrichit les objets, lesservices, les usages, par l’interaction oul’interface, et amplifie notre relation àcette dernière par un accès ouvert àd’innombrables fonctionnalités.L’objet-terminal a envahi peu à peu nosunivers domestiques. De l’énigmatique boite noire, vecteurde contenus en transit, en passant parles objets permettant à l’utilisateurd’appréhender des réalitésaugmentées de métadonnées,jusqu’aux dispositifs issus du quantifiedself, l’objet s’efface ici en tant qu’entitépour mieux exister au sein d’un réseau,ce qui confère une autre singularité. Ilacquiert un statut d’outil, de potentiel àexploiter.

BIENNALE Traits d’union, objets d’empathie - Commissariat : Eliumstudio«L'Objet-medium, trait d'union d'un dialogue entre l'homme et le monde, l'homme et ses besoins, sert de guide aux quatre axes de l'exposition,conçus sous la forme d'empathies multiples». Jusqu’au 1er septembre. Cité du Design.

- L'empathie environnementale L 'avènement d'une consciencealtruisteUne conscience environnementaletoujours plus forte a induit denouveaux comportements et usages,démontrant la fragilité d’unécosystème construit sur l’exploitationimmodérée des matières premières(énergies et ressources). Cetteproblématique, imposée à toutdesigner industriel, peut êtreappréhendée selon deux axescomplémentaires.D’une part, des produits composés dematériaux recyclés ou recyclables,témoignent d’une démarched’écoconception qui s’inscrit dans uneécologie de l’artificiel dédiée à ce quiest produit pour l’homme.D’autre part, une autre génération deproduits, mettant l’économie ou/et lapréservation des ressources, commel’eau – « l’or bleu » -, l’énergie, au centrede la démarche, s’inscrit dans uneécologie du naturel et de lapréservation des écosystèmes, via unemaîtrise de la consommation.Chacun de ces objets acquiert un statutde manifeste, face à l ’obligationimpérieuse d’agir .

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Lundi 18 mars 2013 > page 10 Design fax 839

Directeur de la publ icat ion : Jean-Char les Gaté - Direction artistique : Pierre-Yvon CarnoyEnquêtes : Claire Fayolle - Collaboratrice extérieure : Gersende de Whitby - Japon : Keiko MurataReproduction interdite. Loi 11 mars 1957 Code pénal article 425 - ISSN 1259-4849 - RCS Paris B 398 907 535

DESIGN + HUMOUR = GADGET ?L’humour appliqué au design produit des effetsétranges. Il occulte souvent purement et simplementles autres fonctions de l’objet. Si celui-ci vous décrocheun sourire, il devient pour beaucoup un « gadget »,comme pour souligner sa futilité occultant son utilitéréelle. En design « la forme suit la fonction »… etl’humour semble l’effacer. Pourtant, à moins qu’elle neserve à rien, une création drôle ne devrait peut-êtrepas mériter le vocable de gadget, mais sûrementrentrer de plain-pied dans le champ du design ?Cette exposition tente de mettre en scène le territoireréel du design drôle et utile.

- DONNEZ-NOUS NOTRE SOURIRE QUOTIDIENCes créations sans prétention nous racontent deshistoires drôles avec comme simple désir d’illuminervotre regard au petit matin, de raviver vos repas ouvotre journée, de déclencher les fous rires de vosenfants ou de divertir vos amis. De quoi vous apportervotre dose quotidienne de sourires et sûrementaugmenter votre espérance de vie. Riez c’est bon pourla santé !

- RESSORT COMIQUEL’humour a parfois ce talent d’être un « exhausteur »de fonction. Il est capable de nous prendre par la mainet de nous pousser sur la pente ou le trampoline. Envéritable diplomate, il peut nous inciter à prendre unchemin que nous n’aurions pas pris s’il ne nous y avaitpas invités avec bonhommie. Son atout maître : safaculté à tromper l ’ennui ou la peine et dedédramatiser les situations en un clin d’oeil.

- LE SENS DE L’HUMOURPas besoin d’allonger les designers sur le divan pourdeviner que leurs plaisanteries ne sont pas toujoursgratuites, mais recèle très souvent quelques piques,allusions, critiques. Elles témoignent tout aussi bien deleur regard aiguisé sur la société que de la faculté del’humour à se transformer parfois en un subtil langage.

- HUMOUR A REVENDREConsommateur qui rit, à moitié conquis ? Peut-être.Certains designers et entreprises n’hésitent pas àfranchir la ligne blanche du sourire et à dérider leursproduits les plus sages pour tenter de conquérir lesacheteurs .

Jamais autant d’attention bienveillante n’a été portéeau design : on analyse, on disserte, on théorise surcette discipline qui s’intellectualise. Mais le design nese prendrait-il pas trop au sérieux ? Quand les formes s’épurent, que le minimalisme estmagnifié, quelle place reste-t-il pour l’émotion,l’empathie et surtout l’humour dans le design ? Less is mort ?

Plus que jamais en ces temps difficiles, voire moroses,la légèreté s’avère pourtant essentielle et c’est unealliée efficace pour qui sait la manier. Au risque de froisser les ascètes, au même titre quel’ergonomie ou l’esthétique, l’humour est bien unefonction comme une autre, avec un rôle à jouer dansle design. Heureusement, certains designers etéditeurs l’ont bien compris.De quoi commencer à allumer les feux de l’humour.

BIENNALE Vous voulez rire ? - Commissariat : Benjamin GirardInstallée dans l’église conçue par Le Corbusier, à Firminy, cette exposition, scénographiée sobrement par les 5.5 Designers, invite à se recueillir sur des petits chefsd’œuvre d’humour. Une légèreté qui apparaît comme un don du ciel. Jusqu’au 31 août.

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Date: 18.03.2013

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18 mars 2013. Dephone, une série d’extensions, distribue vos sources d’information dans la maison et libère votretemps pour les autres. Par Maria Beltràn, diplômée du Master en Media Design à la HEAD – Genève

Lutter contre l’addiction au smartphone

lundi1/1

Miniatures

Dephone explore de nouvelles interactions avec l’information. Vous restez actif en ayant accès quand vous le désirezaux contenus qui vous intéressent. (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

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Pour lutter contre l’addiction au smartphone, un dock principal vous invite à bloquer votre téléphone. Il sertégalement à charger l’appareil. (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

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Le smartphone utilise ensuite la communication sans fil pour transmettre les informations de vos applications auxextensions disposées dans la maison. (Maria Beltràn, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

Cet objet reprend des fonctions telles que l’alarme ou le minuteur. Une jauge lumineuse représente le temps. Pouréteindre l’alarme basculez l’objet. (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

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Les voix et des sons de clavier communiquent l’activité des réseaux sociaux. Vous écoutez un bruit constant sauf pourles messages qui vous concernent. (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

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Une diode LED clignote votre nombre de mails non lus pendant le même laps de temps. De combien ce chiffre va-t-il augmenter sans que vous vérifiez vos messages? (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à laHEAD - Genève

Dephone est une porte ouverte à de nouvelles interactions. Il nous invite à regarder notre environnement et partagernotre temps avec les autres. (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

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Le but de Dephone est aussi de remettre en question notre attachement au smartphone ainsi qu’à son excèsd’information. (Photo : Raphaëlle Mueller, HEAD – Genève) Rêves d’école à la HEAD - Genève

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Rêves d'école à la HEAD - GenèveLaurent Wolf

> Etudiants,enseignants,chercheurs dela Haute Ecole d'art etde design genevoiseimaginent 2028

> Six projetsentre le souhaitable,le possibleet l'imaginaire

Rien n'est aussi imprévisible quel'avenir. Pourtant, il faut bien s'y at-teler. Et répondre à ses injonctions:anticiper, innover. Plus tard, il seratoujours temps de faire le tri entreréussites et échecs. Les réalistes nesont pas des gens qui en savent plusque les autres, ce sont des gens quele réel rejoint. Tant mieux pour eux.Il existe heureusement des endroitsoù ces calculs ne sont pas l'uniquenorme, des endroits où l'on ap-prend à créer sans céder sans cesseaux contraintes, à donner librecours à l'imaginaire tout en con-

naissant ses limites, à faire sans dé-savouer l'être. Ces endroits où lerêve tourbillonne avec le vent desréalités, ce sont, ce devraient être,les écoles et les laboratoires.

C'est pourquoi Le Temps s'est as-socié avec la Haute Ecole d'art et dedesign de Genève (HEAD) pourchercher avec elle quelques vestigesdu futur dans les travaux de ses étu-diants, de ses enseignants et de seschercheurs en design. Il ne s'agit pasde se projeter vers une date plus oumoins proche, dans les quinze oules vingt ans qui nous attendent, etde dire ce qui sera. Mais d'imaginerce qui pourrait être.

Les six projets en Media Designet en Design, Mode, Accessoires etBijou qui sont présentés dans cespages sont un kaléidoscope. Ils cor-respondent aux attitudes contra-dictoires et fécondes que les débatssociaux, les enjeux économiques etmatériels obligent souvent à esqui-ver ou à reléguer dans les brumesde la pensée pure. Pour une écolecomme la HEAD, l'irréalisme aautant d'importance que le prag-matisme. Parce que l'irréalisme estle début de l'invention et le prag-matisme le b.a.-ba du savoir-faire.

Les designers conçoivent des ob-jets, parfois des choses matérielles,parfois des systèmes virtuels. Ilscréent des formes visibles qui régis-sent les relations entre les indivi-dus. Ils organisent l'espace dans le-quel se déploie la vie sociale. Ils sontdonc sommés de faire des choix es-sentiels sur ce que seront ou de-vraient être les existences. Et ils lesdonnent à voir.

Ces six projets ont été choisisavec Daniel Sciboz, responsable duMaster en Media Design, et avecChristiane Luible, responsable de lafilière Design Mode, Accessoires etBijou de la HEAD. Les auteurs desimages et des textes sont ceux quiles ont conçus, six paillettes d'ave-nirs possibles qui sont autant dequestions. Faut-il se laisser empor-ter par les sortilèges de la technolo-gie et se précipiter vers une huma-nité nouvelle ou au contrairechercher à retenir ce qu'elle a demeilleur? Faut-il aller vers le plus ouvers le moins? Accepter, même en lapoussant jusqu'à l'étourdissement,la logique de la fuite en avant ousauver ce qui peut encore l'être? Rê-vons donc avec la HEAD.

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> «Dephone», une série d'extensions, distribuevos sources d'information dans la maisonet libère votre temps pour les autres.Par Maria Beltràn

Ci-contre: «Dephone» explore de nouvelles interactions entreutilisateurs et information. Il vous propose de détacher votreattention du smartphone et d'accéder quand vous le désirez auxinformations qui vous intéressent à travers des extensions. Ecoutezpar exemple vos messages sur Facebook en buvant votre thé.

A gauche, en haut: Pour lutter contre l'addiction au smartphone, undock principal vous invite à bloquer votre téléphone. Il sert

Communiquerpar casquestélépathiques

> Les smartphones sont obsolètes,«Telepathy» utilise des amplificateursen verre qui permettent decommuniquer sans parlerPar Laura Couto Rosado, AliceHaldenwang, Li Yu, Tinting Zhang

Lutter contre l'addictionau smartphone

également à charger l'appareil. Le smartphone utilise ensuite lacommunication sans fil pour transmettre les informations de vosapplications aux extensions disposées dans la maison.

A gauche, au centre: Le clignotement d'une diode LED indique lenombre de courriers non lus sur votre boîte e-mail. Combien detemps tiendrez-vous sans vérifier vos messages? Le but est deremettre en question l'immédiateté de la communication.Aujourd'hui, l'addiction est plus évidente.

A gauche, en bas: Cette extension reprend des fonctions de basede votre smartphone telles que l'alarme ou le minuteur. Une jaugelumineuse représente le temps restant. Pour éteindre l'alarme ilvous suffit de basculer l'objet de côté. Rebasculez-le pour leremettre à zéro.

A gauche: «The Original» est un casque sensorielpermettant à celui qui le porte de recevoir etd'envoyer un message télépathique avec l'un de sescinq sens. Ce casque met en avant le fait que l'onpeut transmettre et recevoir par télépathie nonseulement des pensées et des mots, mais aussi dessensations physiques.

En dessous, à gauche: le casque «The InstinctSpeaker» a été conçu pour favoriser lacommunication télépathique entre les êtres humainset les animaux. Il permet à celui qui le ported'amplifier son intuition et de percevoir le danger queressentent les animaux sauvages. Des catastrophespeuvent être ainsi anticipées et évitées.

En dessous, à droite: «The Tasty Thought» est undispositif qui offre la possibilité à deux personnes dese transmettre par télépathie des pensées qui fontappel au sens du goût. Si la conversation estplaisante, les utilisateurs sentiront des saveursagréables dans leur bouche, sinon ils ressentiront ungoût amer déplaisant.

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> Peut-on représenter, modifieret contrôler nos relationsinterpersonnelles en ligneavec des modèles mathématiques?Par Matthieu Cherubini

Ci-contre: «rep.licants.org» permet à des internautesd'automatiser leur activité sociale à l'aide d'un algorithme.

Automatiser la vie socialeCe dernier récolte des données relatives à l'utilisateur etreproduit son activité en ligne pour le simuler et l'aider àdevenir virtuellement plus sociable.

Tout à droite: lorsqu'une personne s'inscrit sur«rep.licants.org» un robot virtuel est automatiquementinstallé sur son compte Facebook ou Twitter. Ces robotspeuvent, entre autres, discuter entre eux, répondre à desmessages et commencer des discussions avec denouveaux usagers.Gérer son identité sur les réseaux sociaux peut être unetâche ardue. Ces robots «rep.licants.org» font office de

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I

o 10 bots Facebook10 bots Twitter

Facebook Twitter

Esquisses de machines exquises> Des biotechnologies à la maison, les machines de «The futureof food production» produisent des aliments rares et luxueuxPar Wendy Gaze et Cécile Fou rcade

années de soins apportés à la machine, chaque printempsCi-contre: Foie gras. Les organes nécessaires à la qui suivra verra la production régulière du mets le plusproduction du foie sont maintenus en vie par un système prisé car le plus rare: le caviar.de circulation extracorporelle. Une pompe à oxygène faitcirculer le sang dans tout l'organisme. Douze jours Tout à droite, en bas: Café Kopi Luwak. Les organesavant de servir le foie, une bouillie de maïs administrée ne se réfèrent plus à un animal précis. La production et laà la machine permettra d'obtenir le foie gras. consommation deviennent neutres et n'engendrent pas de

culpabilité. Les graines de caféier introduites dansTout à droite, en haut: Caviar. Les parties mécaniques de l'appareil digestif de la civette perdront toute amertumela machine s'hybrident avec celles organiques et vivantes durant le processus de digestion, reproduisant lecréant une nouvelle espèce d'animal-objet. Après dix luxueux café.

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prothèses virtuelles aidant les utilisateurs les plus ligne.introvertis à se forger une identité de ce qu'ils aimeraientêtre, tout en leur maintenant une activité constante en

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Matériaux versatiles,la poésie des tissus innovants

> «The white dress», un projet de robe de mariéehybride, composée d'une accumulation de chapeletsphosphorescents. Par Magdalena Brozda

quelques instants. La séparation«The white dress» est à mi- entre le vêtement et sa conceptionchemin entre l'objet vestimentaire est enfin dépassée.et l'objet non vestimentaire. En Cette robe est inspirée par l'histoirefonction des conditions d'éclairage, de l'assassinat tragique et de lal'esthétique de la robe change.Grâce au matériauphosphorescent, il devientsemblable à un ectoplasmeéphémère qui disparaît après

canonisation des quatre filles dudernier tsar Nicolas Il en 1918.L'apparence mutable du matériauutilisé, d'aspect virginal de jour etmorbide de nuit, suggère la double

signification du destin de cespersonnages.La robe est construite grâce à uneaccumulation complexe etfinement élaborée de chapelets enplastique phosphorescent. La robede mariée et le chapelet, emblèmesdu mariage et de la dévotion, sontfinalement désacralisés.

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La simulation 3D au servicedu design-mode> De nouveaux outils numériques appliquésdès la création textile permettent d'inventerdes tissus aux comportements inattendus.Par Juliette Sallin, Daniel Herman, Christiane LuibleCi-dessous: l'utilisation de lasimulation 3D ouvre la voie audéveloppement de nouvellesformes dont les caractéristiquesesthétiques et fonctionnellesinventées en simulation nepourraient pas être imaginées parune autre méthode. Cettetechnologie de pointe est unesource prometteuse d'innovation etde créativité.En bas, à gauche: le mannequinvirtuel à gauche porte une veste enjean de très haute résistance à laréflexion qui est susceptible deremplir une fonction de protection.Les mannequins à droite portentdes robes en tissus d'une grandefluidité, proche du comportementde l'eau, qui n'existent pas encoreaujourd'hui.

En bas, au centre et à droite:les méthodes de simulation devêtements renouvellent le langageesthétique des textiles dans desdirections qui ne sont exploitéesni dans la culture de la modeni dans l'industrie vestimentaire.En altérant numériquement lesparamètres des tissus, il estpossible de créer virtuellementdes textiles dotés de nouvellesesthétiques et de nouvellesfonctionnalités.

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En photos et en vidéos,l'imagination débordantedes étudiants de la HEAD

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Date: 19.03.2013

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La Ville expose sesmeubles à Saint-Etienne

Espace public

ableDe g. à dr: les assises du collectif Assemblage, qui reviendront fin mars sur l'île Rousseau. L'horloge publique sur l'entrée d'Uni Dufour,réalisée par un étudiant de l'ECAL. Les supports d'exposition, sur le quai Wilson, également par Assemblage. REMY GINDROZ/VILLE DE GENEVE

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Le designer ClaudeBrulhart estresponsable dumobilier urbain àGenève. Il nous parlede sa fonctionAnna Vaucher

Si vous allez vous balader, d'ici àla fin mars, entre les stands de laBiennale de design de S aint-Etienne, vous y trouverez des ob-jets familiers. La Ville de Genèveexpose le nouveau mobilier ur-bain de l'île Rousseau ces assisesblanches et grillagées que les pro-meneurs peuvent déplacer et as-sembler à leur guise. Conçus parle collectif Assemblage pour ha-biller le pavillon d'informationinstallé en 2012 à l'occasion dutricentenaire du philosophe, cessièges seront réinstallés sur l'île àla fin du mois de mars.

«Ils ont été énormément utili-sés l'an dernier, à tel point quenous avons décidé d'en doubler lenombre et de les disposer de ma-nière pérenne», explique ClaudeBrulhart. Diplômé de l'ECAL en1994, il est le designer de la Villede Genève depuis dix ans, au seindu Service de l'aménagement ur-bain et de la mobilité, et le pre-mier à remplir cette fonction.A cheval sur son mobilierLa Ville gère 150 lignes d'objetsbancs (4000), poubelles (3000),luminaires, signalétique, abribus,pavillons événementiels... «Notreprincipale mission est d'aména-ger, sur des critères esthétiques etfonctionnels, les rues et les placesde la Cité. La difficulté est de choi-sir où développer ces lignes d'ob-jets et de faire en sorte qu'ellescohabitent bien ensemble», pré-cise le designer. Son arrivée coïn-cide avec «une volonté du Conseiladministratif de l'époque de met-

tre davantage d'efforts dansl'aménagement de l'espace pu-blic. C'est un domaine qui a levent en poupe, et qui prend deplus en plus d'ampleur.» Un certi-ficat intitulé Civic design, qui sepenche sur ces questions, ad'ailleurs été mis en place à laHaute Ecole d'art et de design deGenève (HEAD) en 2011.

Le poste de Claude Brulhartétait auparavant occupé par desarchitectes, comme c'est le cas ac-tuellement à Zurich et à Lau-sanne. «A la différence d'un archi-tecte qui s'occupe du contexte, undesigner a pour spécialité l'objet

«Le design urbainprend de plus enplus d'ampleur»Claude Brulhart Designer

et son processus d'industrialisa-tion.» Si de nombreuses villes ontaujourd'hui recours à la sociétéJCDecaux qui a racheté la So-ciété Générale d'Affichage pourse fournir en mobilier urbain, Ge-nève souhaite garder la maîtrisede ses objets. «Il n'est pas envisa-geable de laisser le soin à des so-ciétés privées de trouver un con-sensus sur notre mobilier, préciseRémy Pagani, magistrat en chargedes constructions et de l'aména-gement. Quand je suis arrivé dansle Département, j'ai été surpris devoir que nous avions un designer!Mais sa présence permet de fairedes choses belles et de pacifier ledébat.»

Claude Brulhart travaille en re-lation avec les multiples associa-tions qui font Genève. «Dès lorsque l'espace public est destiné àtous, il faut que chacun y trouveson compte. Et les publics qui sesentent lésés le font savoir. Parexemple, avec l'installation d'unprototype d'abrivélos devant laComédie, nous sommes en discus-sion avec les associations de dé-

fense des cyclistes, des personneshandicapées, des piétons. Nousnégocions avec les lobbyistes, enamont, pour éviter les recours. Etquand on réalise plusieurs mil-liers de bancs, il est importantd'entendre les arguments pour nepas se tromper.»Nouveaux usages en villeLes bancs, justement, sont au cen-tre d'un important enjeu visant àréduire le nombre de séries hété-roclites des objets dans la ville.«L'attention sur l'espace publicétait moins grande auparavant, etannée après année, des aménage-ments ont été installés. Nousavions une vingtaine de modèlesde bancs contre cinq ou six au-jourd'hui. Cela posait des problè-mes d'esthétique, mais aussi d'en-tretien. Depuis 2003, nous avonsdéjà posé 800 pièces de la gammeGenève, ce qui permet plus de co-hérence.»

C'est également pour éviterl'encombrement de la ville, déjàdense, que Claude Brulhart a faitfabriquer, en 2007, toutes les cais-settes à journaux sur un mêmemodèle. Le principe a été déve-loppé dans un workshop par uneclasse des arts décoratifs de Ge-nève, où le designer enseigne,avant d'en confier le développe-ment à un bureau professionnel.

Le réaménagement de l'espacepublic est aussi lié à l'apparitionde nouveaux usages. «L'un des en-jeux est de créer du lien social, etd'installer des endroits où les genspeuvent se rencontrer. Avec le dé-veloppement du fast-food, onmange de plus en plus dehors.Cela nécessite du mobilier où s'as-seoir confortablement, mais éga-lement davantage de poubelles,de plus grande contenance, enraison des déchets générés par cesusages.» Avec la plate-forme enbois sur le pont de la Machine,une place publique a été gagnéesur l'eau. A voir la manière dont

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Date: 19.03.2013

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ces zones sont prises d'assaut du-rant l'été, les chaises sur l'îleRousseau ne seront pas de trop.

Le mobilier répond aux contraintesLes sièges de l'île Rousseau

répondent à différentescontraintes propres au mobilierurbain. Si on peut les déplacer,ils restent suffisamment lourdspour éviter d'être emportésle vol et le vandalisme sontrécurrents, avec en moyenne unabribus détruit chaque jour àGenève. Ces assises nécessitentpeu d'entretien grâce à leurstructure grillagée qui laissepasser eau et saletés. La légèretéde leurs lignes et leurs tonsneutres se fondent dans le

paysage. «Il était important deconserver de la transparence,pour ne pas alourdir les lieux.Nous avons travaillé avec dumétal déployé, qui à la foisévoque les nasses des pêcheurs,puisque nous sommes sur le lac,et permet d'obtenir unesouplesse sur l'assise», préciseFabrizio Ravetti, fondateur ducollectif Assemblage, qui a étémandaté pour ce projet. Lesdesigners ont conçu un mobiliermultifonctions, avec des siègesd'une à quatre places. «Notre

système permet de plugger cesdosserets verts pour transfor-mer le pouf en fauteuil, le siègeen dormeuse. On doit pouvoirlire, discuter et même sevautrer! Les différentes maniè-res d'assembler les pièces fontpenser à un puzzle. Il n'y a doncdes accoudoirs que d'un seulcôté.» A.VA.

Biennale internationale DesignSaint-Etienne Exposition «Visible».Jusqu'au 31 mars. www.citedude-sign.com

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Date: 20.03.2013

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FONDATION DE LA HAUTE HORLOGERIE - Journée suisse contre la contrefaçon 2013:Communiqué de presse

Le 20-03-2013

de Fondation de la Haute Horlogerie

Mise en relation directement

avec notre société

Envoyer à

un ami

Communiqué de presseJournée suisse contre la contrefaçon 2013« Tous ensemble contre le faux »

Reconduite chaque année, la Journée suisse contre la contrefaçon 2013 revêtira une forme inédite. Pour la premièrefois, la créativité du grand public et de jeunes étudiants des écoles d’art et de design de Suisse a été sollicitée pourla réalisation l’affiches et de courts-métrages sur la contrefaçon. Les résultats seront présentés le 22 mars à l’Ecolecantonale d’art de Lausanne.

Les partenairesLa Journée suisse contre la contrefaçon est une manifestation annuelle placée sous l’égide de STOP PIRACY, laplate-forme suisse de lutte contre la contrefaçon et la piraterie. Cette année, la Fédération de l'industrie horlogèresuisse (FH), en collaboration avec la Fondation de la Haute Horlogerie (FHH), organise cet événement national quiaura lieu le vendredi 22 mars à l'Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL). La FH a souhaité associer deux autresgrands secteurs d’activité économique à cette initiative, à savoir l’industrie pharmaceutique et le secteur audiovisuel,convaincue que l’union fait la force et que travailler ensemble serait une démarche à la fois novatrice et féconde.Ces secteurs sont représentés par l'Association des sociétés pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche(Interpharma), l’Institut suisse des produits thérapeutiques (Swissmedic) et l’Association suisse pour la lutte contre lepiratage (SAFE). La journée suisse contre la contrefaçon bénéficie aussi du soutien de Médias Suisses.

Le fléau de la contrefaçonL’objectif de cette journée est de sensibiliser le grand public sur les méfaits économiques et sociaux de lacontrefaçon, intimement liée aux organisations mafieuses, et trop souvent considérée comme une activitécouramment admise. Le phénomène et sa propagation ont atteint des proportions alarmantes et le nombred’entreprises suisses victimes de faussaires ne cesse de s’accroître. Aucun secteur économique n'est épargné:montres, médicaments, films, musique et articles de mode font l’objet de contrefaçons. Les pertes économiques duesà la contrefaçon et au piratage se chiffrent à deux milliards de francs suisses et à plusieurs centaines de milliards defrancs au niveau mondial.

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Trois concoursLa Journée suisse contre la contrefaçon s’articulera autour de la remise des prix des trois concours qui ont été lancésà cette occasion sur la thématique de la contrefaçon avec des écoles d’art et de design en Suisse, ainsi qu’avec legrand public. La Haute école d’art et de design de Genève (HEAD) et des étudiants de l’Ecole de cinéma de Genèveont réalisé des courts-métrages, alors que l'Ecole cantonale d'art de Lausanne (ECAL) a élaboré des affiches. Unconcours de films a également été

initié sur Internet afin de faire participer le grand public. Un jury composé d’éminentes personnalités a évalué lescréations des étudiants et du public et décernera les prix pour les meilleurs oeuvres lors de la journée nationale du22 mars.

Collaboration internationaleAfin de donner à cette initiative une dimension internationale et d’optimiser la communication transfrontalière enmatière de contrefaçon, la FH a souhaité inviter à la manifestation des organisations étrangères. Ainsi l’Institutnational de la propriété industrielle français INPI a été convié à l’évènement. Les invités à la journée du 22 marsauront l’occasion de visiter l’exposition itinérante sur la contrefaçon de cette institution. L’Union des fabricants,association française à l’action tout à fait exemplaire dans la lutte contre la contrefaçon, s’est également jointe àl’initiative.

Le jury• Jean-Daniel Pasche, Fédération de l’industrie horlogère suisse (FH) - Président

• Leo Baumgartner, Association suisse pour la lutte contre le piratage (SAFE) - Directeur Général de Warner Bros

• Thomas Cueni, Association des sociétés pharmaceutiques suisses pratiquant la recherche (Interpharma) -Secrétaire Général

• Nicolas Henchoz, Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), Ecole cantonale d’art de Lausanne ECAL Lab -Directeur

• Christine Laï, Union des fabricants (UNIFAB) - Directrice

• Fabienne Lupo-Magnaudet, Fondation de la Haute Horlogerie (FHH) - Présidente Directrice Générale

• Karoline Mathys Badertscher, Institut suisse des produits thérapeutiques (Swissmedic) - Membre de la direction

• Frédéric Mermoud, Cinéaste• Zep (Philippe Chappuis), Auteur de bandes dessinées

Journée suisse contre la contrefaçon 2013 - « Tous ensemble contre le faux »

Vendredi 22 mars 2013Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL)Avenue du Temple 51020 Renens (VD)

Conférences, présentation des affiches et courts-métrages, remise des prix

9h30 Café d’accueil10h00 Discours et cérémonie

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13h00 Déjeuner buffet

Langue Originale: Français Menu

Présentation >Adresse

Médias ->ArchivesNews

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Date: 23.03.2013

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JOURNÉE SUISSE CONTRE LA CONTREFAÇON 2013Hier, 11 jeunes créateurs d'affiches et de courts-métrages qui ont pris part au concours organisé dans le cadre de cette journée ont été récompensés

Un commerce qui attire les criminels

TousEnsemble

Contre teFaux

L'affiche de Jean-Vincent Sinnonet est l'une des quatre récompensées. LDD

Tous les secteursComme l'a relevé le président de

la FH, «aujourd'hui, tout peut êtrecontrefait: des montres aux médica-ments en passant parla maroquine-rie et autres textiles, mais égalementdes pièces de rechange pour des véhi-cules. Certaines contrefaçons peu-vent donc avoir des conséquencesdramatiques pour votre santé et vo-

PHILIPPE OUDOT

«La contrefaçon est devenue unfléau mondial qui nous concernetous, et qui a atteint des propor-tions alarmantes.» C'est par cesmots que Jean-Daniel Pasche,président de la Fédération de l'in-dustrie horlogère suisse (FH), aouvert hier la Journée suisse con-tre la contrefaçon 2013, placéesous l'égide de Stop Piracy, laplate-forme suisse de lutte con-tre la contrefaçon et la piraterie.L'événement s'est tenu dans leslocaux de l'Ecole cantonale d'artde Lausanne (ECAL), en pré-sence de plusieurs centaines depersonnes.

L'endroit n'avait pas été choisiau hasard. En effet, pour la pre-mière fois cette aimée, les organi-sateurs la FH, ainsi que la Fon-dation de la haute horlogerieont sollicité la créativité de jeu-nes étudiants de l'ECAL, de laHaute Ecole d'art et de design deGenève (HEAD), de l'Ecole de ci-néma de Genève, ainsi que dugrand public. Hier, les 11 lauréatsdu concours ont été récompen-sés (voir «Grande créativité»).

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claudia.olivarez
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Date: 23.03.2013

Le Journal du Jura2501 Bienne032/ 321 90 00www.journaldujura.ch

Genre de média: Médias imprimésN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Presse journ./hebd.Tirage: 9'945Parution: 6x/semaine

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tre sécurité.» Et comme toutes lesactivités économiques peuventfaire l'objet de contrefaçons, la FHa voulu associer l'industrie phar-maceutique, ainsi que le secteurde l'audiovisuel à cette journée. Ils'agit donc d'éduquer le consom-mateur, car sans demande, il n'y apas d'offre de contrefaçon.

A propos du piratage de la mu-sique, devenu un phénomènemajeur, Jean-Daniel Pasche aconstaté qu'«i/ menace très claire-ment notre culture». Il a dénoncéle fait que de plus en plus de gensse servent gratuitement des oeu-vres des artistes, «comme si leurscréations n'avaient aucune va-leur». C'est un peu comme si onse rendait chez son boulanger,qu'on se servait d'un bon pain etqu'on partait sans payer, a-t-il il-lustré.

Perte de deux milliardsLe président de la FH a ainsi

qualifié l'industrie de la contrefa-çon de «machine infernale et illé-gale», aux conséquences désas-treuses. Uniquement pour laSuisse, les pertes économiquess'élèvent à deux milliards defrancs les produits horlogersétant particulièrement visés.«Partout autour du globe, nos mar-ques horlogères riment avec qualité,précision, bienfacture, esthétisme.Les contrefacteurs le savent et es-saient de tirer profit de la valeur denos marques avec des produits quin'ont rien à voir avec les origi-

nawc.»Sur le plan mondial, a-t-il pour-

suivi, les pertes s'élèvent à plu-sieurs centaines de milliards defrancs. Et le phénomène ne con-cerne d'ailleurs pas que les gran-

des multinationales, mais égale-ment bon nombre de PME.«Combattre la contrefaçon et le pira-tage, c'est protéger nos emplois et laplace industrielle suisse!», a-t-il af-firmé.

Se montrer intransigeantConseiller d'Etat vaudois en

charge de l'Economie, PhilippeLeuba a insisté sur le rôle de lapolitique dans la lutte anti-con-trefaçon: «Elle doit se montrer in-transigeante vis-à-vis des activitésdes contrefacteurs.» La contrefa-çon est en effet «un vol d'identité,la spoliation d'un succès, la menaced'un abâtardissement contre lequelnous devons vigoureusement nousélever». Accepter ce phénomènereviendrait à se résigner face à latricherie, à brader un patri-moine, à affaiblir l'économie:«En un mot comme en cent, c'estscier /a branche sur laquelle noussommes assis», a martelé le con-seiller d'Etat.

Activité criminelleSi la Suisse est plutôt à l'abri

comme site de production decontrefaçons ce secteur vise eneffet des profits maximum , elle

est par contre inondée de pro-duits contrefaits, a constaté

Anastasia Li, présidente de Stop

Piracy. C'est justement pour lut-ter contre ce phénomène queStop Piracy a vu le jour, en 2005.«Notre objectif est de sensibiliser lepublic au problème que représen-tent /a contrefaçon et /a piraterie.»Depuis 2007, a poursuivi Anasta-sia Li, Stop Piracy participe régu-lièrement à des actions menéespar les aéroports, ainsi qu'à dessalons, en collaboration avec lesautorités douanières.Toutefois, même si la législa-

tion suisse interdit l'importa-tion de marchandises contrefai-tes depuis 2008 même pourl'usage privé , nombre de con-sommateurs ne réalisent pasque l'industrie du faux ne consti-tue pas uniquement une viola-tion du droit de la propriété in-tellectuelle, mais aussi qu'elleattire les criminels

Le commerce des produitscontrefaits génère en effet «desprofits plus élevés, et les sanctionsmoins sévères que dans le cadre dutrafic de stupéfiants», a-t-elle af-firmé. Et d'ajouter que le crimeorganisé n'hésite pas à recourir àla force, à l'intimidation, et semoque des normes de sécurité,de qualité, ainsi que de la protec-tion des travailleurs. «Nous nedevons pas soutenir de telles struc-tures criminelles par l'achat demarchandises contrefaites!», a-t-elle lancé au public.

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Rapport page: 140/179

Page 99: 03 March 2013 / clippings

Date: 23.03.2013

Le Journal du Jura2501 Bienne032/ 321 90 00www.journaldujura.ch

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Une lutte permanenteDIZAINES DE MILLIONS La lutte anti-contrefaçon est undes chevaux de bataille de la FH. Elle estime en effet que desdizaines de millions de fausses montres suisses sont produi-tes chaque armée dans le monde, générant un bénéfice d'unmilliard de francs, alors que la production effective de mon-tres Swiss made est d'environ 30 millions de pièces par an. Auniveau mondial, les contrefaçons de montres et de bijoux re-présentent 9% des saisies, ce qui en fait les deuxièmes produitsles plus contrefaits, derrière les textiles.

Pour lutter contre ce phénomène, la FH dispose d'un serviceanti-contrefaçon. Notamment d'une cellule internet, le Webétant devenu un des principaux canaux de distribution desmarchandises contrefaites. «Par ce biais, c'est la copie quivoyage, plus le consommateur», a souligné Jean-Daniel Pasche.L'an dernier, la cellule est parvenue à faire retirer 260 000enchères de fausses montres, et fermé plus de 500 sites d'en-chères. Depuis 2007, la cellule a réussi à empêcher la vented'un million de fausses montres. PHO

Grande créativitéTROIS CONCOURS A l'occasion de cette journée, les orga-nisateurs ont mis sur pied trois concours sur la thématique dela contrefaçon: pour le premier, le grand public était invité àréaliser un court-métrage. Pour le 2e, les étudiants de l'ECALdevaient plancher sur des affiches. Quant au 3e, les étudiantsde l'HEAD et de l'Ecole de cinéma de Genève ont travaillé surdes courts-métrages. Hier, le jury, présidé par Jean-DanielPasche, a remis pas moins de 11 prix des montres de presti-gieuses maisons suisses aux lauréats. Il a salué le travail detous les participants, soulignant notamment leur grandecréativité.

Dans la catégorie «grand public», 13 films ont été présentéset deux récompensés. Les deux prix sont revenus à RaphaëlTschudy et Arnaud Baur pour leurs deux films «Un hommeCH made» et «20 dernières». Dans la catégorie «Affiches»,19 étudiants ont participé. Les quatre lauréats sont Jean-Vin-cent Simonet, Laurence Rasti, Manon Wertenbroek et Sabri-na Gruhne. Quant à la 3e catégorie «courts-métrages», 22créations ont été présentées, et cinq ont été primées. Les ga-gnants sont: Lorenzo di Ciaccia («Moon Light 1»),Guillaume Vautier et Michael Martin («Fausses boîtes»),Joël Baud («Le cinéma est mort»), Malena Azzam (poursix témoignages sur de faux médicaments), le coup decoeur du jury revenant à Mei Fa Tan et Basile Manent pour«Tout du lard». PHO

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claudia.olivarez
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Date: 25.03.2013

Promoédition SA1211 Genève 11022/ 809 94 60www.annee-horlogere-suisse.com

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Le stand Tissot conçu par la HEAD.

La HEAD réalise des bornespour TissotPour son stand à Baselworld 2012, Tissot a confié à la HEAD Genève la réalisation dequatre bornes interactives et sensorielles dans lesquelles le visiteur est invité à glissersa main. Etudiante en master Media Design, Cassandre Poirier-Simon a conçu un systèmeoriginal qui permet d'explorer l'univers des montres de la série Touch. Chaque bornecomprend un système innovant de captation de mouvements, couplé à un dispositif deprojection d'air, ainsi qu'un écran tactile sur lequel apparaissent des images digitalesinteractives et des illustrations 3D.

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Rapport page: 39/215

claudia.olivarez
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Page 101: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

SAM SA1204 Genève022/ 700 13 80www.artpassions.ch

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Type de média: Magazines spéc. et de loisirTirage: 15'000Parution: 4x/année

Page: 54Surface: 108'744 mm²

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artgenève 2013UNE FOIRE QUI SÉDUIT LES AMATEURS D'ARTLES COLLECTIONNEURS ET LES FINANCIERSThomas Hug, Directeur du Salon et Simon Lamunière, President du Comité de sélection,ont de nombreuses raisons de se montrer heureux de l'accueil réservé à la deuxième éditiond'artgenève et peuvent dorénavant être rassurés quant à la pérennité du Salon international d'art.

cellente place dans le calendrier des foires d'art inter-

nationales et que la dimension actuelle d'artgenève

devrait se stabiliser autour de soixante-dix stands en-

viron. C'est que le Comité de sélection désire privilé-

gier la qualité des galeries présentes ainsi que celle des

programmes développés pendant ces quatre jours.

Exposition Substance,Head - Genève 2006-2012,artgenève 2013,C HEAD-Genève, photo: Rebecca Bowring

Thierry Lagache

Timon Lamunière maîtrise bien le concept

d'un salon qui n'a certes pas vocation à riva-

liser avec des foires comme Artbasel ou laFIAC, mais davantage d'offrir un complé-

ment à ces grands événements grâce à la singularité

du projet. Il précise néanmoins qu'il a trouvé une ex-

Français

Rapport page: 35/215

Page 102: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

SAM SA1204 Genève022/ 700 13 80www.artpassions.ch

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Fort de son bon positionnement dans le calendrierdes événements qui comptent sur le marché del'art, artgenève commence à attirer bon nombrede financiers et maintes entreprises basées auxPorts Francs de Genève. De plus, le haut niveau de

qualité des oeuvres présentées a rassemblé dans la

Cité de Calvin une multitude de collectionneursdu monde entier. Au-delà des galeries de Genève,Bâle et Zurich, l'édition 2012 a permis égalementd'attirer des galeries de Londres, Paris, Vienne,Turin et Berlin.Et puisque le monde de la finance est devenuindissociable du monde de l'art, soulignons l'in-térêt grandissant d'entreprises comme The FineArt Fund Group (Fonds britannique de plus de300 millions de francs) qui, à partir d'indicesartistico-financiers, compare les rendements desoeuvres d'art à ceux des titres cotés sur les placesboursières. Le groupe relève que de plus en plusde gestionnaires de banque recourent au conseilen oeuvres d'art, ceci dans le but d'obtenir unemeilleure diversification des portefeuilles de leursclients. l'oeuvre d'art, tout en gardant sa valeuresthétique, est désormais valorisée comme unplacement offrant d'excellents retours sur inves-

tissement.Cela dit, revenons à l'événement et saluons d'em-

blée le vif succès du vernissage... Sans doute laprésence du tableau de Christian Robert TissotVive les riches, un clin de l'oeil qui n'est pas passé

inaperçu et a fait sourire bons nombres d'invités,y a-t-elle contribué... Jamais une foire d'art à Ge-nève n'avait attiré autant de professionnels et decollectionneurs venus de toutes les grandes capi-tales européennes.

La présence d'institutions comme le Mamco, leCentre d'art de Genève ou encore les Fonds muni-cipal et cantonal d'art contemporain a égalementassuré au public des propositions artistiques debelle qualité. On peut ainsi noter l'approche subtile

et sensible de Mai-Thu Perret, curatrice de l'expo-sition présentée pour le Mamco.

Plus loin la dynamique École des arts et du designde Genève, la HEAD, a mis en lumière le travaild'une quinzaine de jeunes artistes émergents, issusde cette école réputée au niveau international.De jeunes collectionneurs ont pu ainsi acquérir,à des prix accessibles, des oeuvres uniques ou deséditions limitées d'artistes émergents. On n'omet-tra pas de mentionner, entre autres talents, l'une

des dernières créations de Sabrina Soyer et SachaBéraud, fraîchement récompensés par le 1" PrixNEW HEADS-Fondation BNP Paribas.Enfin, soulignons l'excellente initiative baptisée«solo show» qui offre aux galeries l'opportunitéde valoriser tout particulièrement le travail d'unartiste. Quinze espaces ont ainsi mis en lumièrequinze artistes. Le montant du prix (10 000 CHF)permet l'achat d'une ou plusieurs oeuvres de l'ar-tiste primé, qui seront confiées à un musée enSuisse, lequel reste à déterminer. Le jury, consti-tué de Christian Bernard (dir. MAMCO), AndreaBellini (dir. Centre d'Art Contemporain) et BeatrixRuf (dit Kunsthalle Zurich) a décerné le prix decette édition à Thomas Huber, artiste allemandconfirmé de la galerie Skopia à Genève, pour sonoeuvre Massgabe. Un ensemble de formes en verre

de même couleur dialoguant avec deux toiles del'artiste pour qui les formules géométriques dansl'espace n'ont plus de secret.

artgenève, un salon d'art moderne et contemporain

original, résolument novateur, tout en demeuranten quête d'idées nouvelles. Un salon au riche pro-gramme inédit de visites de collections privées ou de

talk shows, durant lequel pas moins de 350 artistes

ont été présentés à la vente. Ainsi, l'une des collec-

tions privées, particulièrement rare et sublime, pro-

posait une trentaine de Collages de Kurt Schwitters

(1887-1948), l'autre dévoilait quelques peintures et

dessins d'Ernst Ludwig Kirchner (1880-1938).

artgenève devrait nous réserver de nouvelles sur-

prises en 2014 et continuera, n'en doutons pas,à éveiller notre curiosité et notre besoin constant

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Rapport page: 36/215

Page 103: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

SAM SA1204 Genève022/ 700 13 80www.artpassions.ch

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d'évasion, à susciter nos rêves et, pourquoi pas,à créer des moments uniques dont il a encore lesecret. Si le monde financier genevois et interna-

tional n'est pas éloigné de celui des galeries, lesoeuvres d'art restent au centre des admirations etdes convoitises de tous les visiteurs, du plus jeuneamateur au plus grand des collectionneurs.

VIVE LES RICHES

Christian Robert TissotVive les riches

Galerie Bernard Ceysson

Stand des Fonds municipal etcantonal d'art contemporain

(FMAC et FCAC)

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Rapport page: 37/215

Page 104: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

SAM SA1204 Genève022/ 700 13 80www.artpassions.ch

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Type de média: Magazines spéc. et de loisirTirage: 15'000Parution: 4x/année

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Réf. Argus: 49368414Coupure Page: 4/4

Thomas HuberMassgabeGalerie Skopia

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Rapport page: 38/215

Page 105: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

L'Agefi1002 Lausanne021/ 331 41 41www.agefi.com

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Menace majeure sur l'innovationLa journée suisse contre la contrefaçon s'est déroulée vendredi dans les locaux de l'ECAL à Renens. Extrait des deux interventions.

JEAN-DANIEL PASCHE*Pourquoi organiser une journéesuisse contre la contrefaçon et yinvestir autant d'énergie me de-manderez-vous? La réponse esttoute simple! La contrefaçon estdevenue un véritable fléau mon-dial qui nous concerne tous. Au-trefois majoritairement canton-née au domaine du luxe, sapropagation a entre-temps atteintdes proportions alarmantes Au-jourd'hui, tout peut être contre-fait: des montres aux médica-ments, en passant par lamaroquinerie et autres textiles, ycompris des objets tels que des fu-sibles ou des pièces de rechangespour véhicules. Comme vousvous en doutez, certaines contre-façons peuvent avoir des consé-quences dramatiques pour votresanté et votre sécurité, et peuventmême, à votre insu, mettre votrevie en danger!Le piratage de la musique est aussidevenu un phénomène majeur,qui menace très clairement notreculture. Les artistes, notammentles artistes suisses et les jeunes ta-lents, n'ont-ils pas droit à un re-venu décent pour leurs créations?Est-ce normal que tout le mondese serve gratuitement de leurs oeu-vres, comme si de telles créationsartistiques ne valaient rien? Celane revient-il pas à se rendre chezle boulanger, se servir dans l'éta-lage d'une bonne baguette de painet partir sans payer?L'industrie de la contrefaçon s'estdéveloppée en une machine in-fernale et illégale, bien rodée, dontles répercussions sociales et finan-cières sont désastreuses. Les per-tes économiques dues à la contre-

façon et au piratage se chiffrentseulement pour la Suisse à près de2 milliard de francs. Au niveaumondial, ce sont plusieurs centai-nes de milliards qui sont en jeu.La contrefaçon et le piratage nefrappent pas que des multinatio-nales mais aussi de nombreusesPME suisses. Elle menace les va-leurs qui ont fait de la Suisse cequelle est devenue aujourd'hui:l'innovation, la perfection et le sa-voir-faire. Combattre la contrefa-çon et le piratage, c'est protégernos emplois et la place industriellesuisse. Nous avons donc tous unintérêt à nous engager dans cettelutte!L'industrie horlogère est particu-lièrement touchée par le phéno-mène de la contrefaçon. Notrebranche a su forger une réputa-tion mondiale et unique, qui s'estconstruite petit à petit au fil desquatre derniers siècles. Partout au-tour du globe, notre pays et nosmarques horlogères riment avecqualité, précision, bienfacture, es-thétisme. Les contrefacteurs le sa-vent et essaient de tirer profit dela valeur de nos marques en usur-pant ces dernières en relation avecdes produits qui n'ont rien à voiravec les originaux. La contrefa-çon dans notre domaine est un volnon seulement de notre propriétéintellectuelle par l'usage de nosmarques, de nos designs, mais enplus de notre réputation quadri-centenaire.La journée suisse contre la contre-façon est organisée sous l'égide deSTOP PIRACY, la plateformesuisse de lutte contre la contrefa-çon et la piraterie, par la Fédéra-

tion de l'industrie horlogèresuisse, communément appeléeFH, en collaboration avec la Fon-dation de la Haute Horlogerie. LaFH a souhaité associer deux au-tres grandes industries à cettejournée, à savoir le secteur phar-maceutique, représenté par l'As-sociation des sociétés pharmaceu-tiques suisses pratiquant larecherche, Interpharma, et l'Ins-titut suisse des produits thérapeu-tiques, Swissmedic, ainsi que lesecteur audiovisuel, représentépar l'Association suisse pour lalutte contre le piratage, aliasSAFE. La journée suisse contre lacontrefaçon bénéficie aussi dusoutien de Médias Suisses. Nousaimerions sincèrement remercierces partenaires pour leur soutienimportant tout au long de l'orga-nisation de cet évènement! Noussommes convaincus que l'unionfait la force, car la contrefaçon etle piratage nous concernent tous!L'édition 2013 de la journée suissecontre la contrefaçon est particu-lière. D'une part, nous avonsvoulu collaborer avec le grand pu-blic en lançant un concours defilm sur Internet. D'autre part,nous avons travaillé avec des jeu-nes artistes en formation qui sont- en tant que jeunes- les cibles pri-vilégiées de la contrefaçon et dupiratage. Nous aimerions donc re-mercier l'Ecole cantonale d'art deLausanne (ECAL), la Haute écoled'art et de design de Genève(HEAD) et l'Ecole de cinéma deGenève, ainsi que les étudiants deces écoles pour leur disponibilitéet surtout pour leur créativité dansla réalisation d'affiches et de

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Rapport page: 157/179

claudia.olivarez
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Page 106: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

L'Agefi1002 Lausanne021/ 331 41 41www.agefi.com

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Réf. Argus: 49344397Coupure Page: 2/3

LES PERTES ÉCONOMIQUES DUES

À LA CONTREFAÇON ET AU PIRATAGE

SE CHIFFRENT SEULEMENT À PRÈS

DE 2 MILLIARDS POUR LA SUISSE.

L'élargissement positif du cadre d'échangePHILIPPE LEUBA* mais de ce qu'elle révèle de positif, dès lors que(...) A côté de l'encouragement du canton à l'on n'te guère que ce qui est perçu commel'innovation, nous ne devons pas oublier, ici étant de qualité. Cependant, être contrefait,moins qu'ailleurs, que la lutte contre la contre- ce n'est pas un privilège ou une carte de visite.façon procède de la même ambition. Au fond, C'est au contraire un vol d'identité, la spolia-encourager l'innovation, c'est à la fois pro- tion d'un succès, la menace d'un abâtardisse-mouvoir l'original et rejeter la copie. ment contre lequel nous devons vigoureuse-Cette lutte ne doit connaître aucune limite, ment nous élever. Accepter ce phénomène, sepuisque la contrefaçon elle-même n'en connaît résigner face à la tricherie, c'est accepter depas: ni de temps, ni de lieu, ni d'objet. Je li- brader un patrimoine, d'assurer la victoiresais encore récemment une ancienne chro- de la médiocrité, la disparition de savoir-fairenique judiciaire rappelant qu'en 1937 déjà, et, au final, contribuer à affaiblir un secteurHans Wilsdorf, le créateur de la marque Ro- économique-clef dans lequel nous pouvonslex, obtenait gain de cause devant le Tribunal apporter une réelle plus-value à l'échelle in-fédéral contre un contrefacteur qui avait imité ternationale. En un mot comme en cent: c'estson Oyster, dans sa forme du moins, davan- scier la branche sur laquelle nous sommestage que dans ses capacités techniques d'avant- assis.garde. Je ne doute pas que vous ayez à coeur de me-Pour votre symposium, vous avez d'ailleurs fort ner ce combat avec détermination. Je croisopportunément décidé d'élargir le cadre de vos pouvoir dire que les autorités de ce payséchanges à l'industrie pharmaceutique et à l'au- comme celles de ce canton sont aussi résoluesdiovisuel, deux secteurs où, malheureusement, que vous l'êtes à cet égard, conscientes des ris-la fraude bat aussi son plein. Et l'on pourrait en- ques inhérents à la conduite d'une politiquecore explorer d'autres secteurs où le mensonge laxiste en la matière. La lutte contre la contre-et l'imitation font des ravages: l'alimentation, la façon est indissociable de notre appui à l'in-parfumerie, l'industrie textile. C'est dire que dustrie de pointe pour prolonger et rendre plusvous êtes malheureusement promis à organiser sûr encore notre chemin économique. C'estd'autres journées comme celle-ci. une question de cohérence.Bien sûr, il s'en trouvera toujours pour se fé- Cette approche est nécessaire face à l'augmen-liciter, non pas de la contrefaçon elle-même, tation de la concurrence internationale. Des

courts-métrages des plus inno- nomènes mondiaux. Par consé- la Propriété Industrielle, l'INPI,vants. Ils contribuent ainsi gran- quent, une solution à ce problème et celui de l'Union des fabricants,dement au succès de cette mani- doit aussi être globale. La collabo- l'UNIFAB, tous deux très enga-festation! Vous aurez l'occasion ration internationale et transfron- gés en matière de lutte anticontre-de voir ces films et ces affiches. talière est donc primordiale et façon. (...)Les réalisateurs des meilleurs tra- nous avons dès le début souhaitévaux recevront une vraie montre associer des institutions étrangè- * Président de la Fédérationsuisse. res à notre initiative. A cet égard, horlogèreNous le savons tous, la contrefa- nous sommes fiers d'avoir obtenuçon et le piratage sont des phé- le soutien de l'Institut National de

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Rapport page: 158/179

Page 107: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

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Réf. Argus: 49344397Coupure Page: 3/3

études ont en effet démontré que les paysémergents, longtemps cantonnés à la produc-tion de biens à faible valeur ajoutée, soutien-nent eux aussi désormais activement l'inno-vation et drainent les talents. Il importe quenous soyons aussi compétitifs qu'eux dans cedomaine, pour le bien également des indus-tries que vous représentez et pour l'avenir ducapital humain exceptionnel qu'elles em-ploient.Châteaubriand relevait qu'un écrivain origi-nal n'est pas celui qui n'imite personne, maiscelui que personne ne peut imiter. Puisse l'éco-nomie de notre pays rester inimitable en conti-nuant sur la voie de l'originalité, de la diver-sification et de l'innovation.D'elle dépendent compétitivité, niveau de vieélevé et marché du travail épanoui.

Conseiller d'Etat, Vaud

Français

Rapport page: 159/179

Page 108: 03 March 2013 / clippings

Date: 25.03.2013

Swiss Watchmaking Year1001 Lausanne021/ 321 30 60www.jahr-der-schweizer-uhren.com

Genre de média: Médias imprimésN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Presse spécialiséeTirage: 17'500Parution: annuelle

Page: 80Surface: 11'614 mm²

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Réf. Argus: 49355275Coupure Page: 1/1

The Tissot stand designed by HEAD.

The HEAD creates terminals for TissotFor its Baselworld 2012 stand, Tissot entrusted HEAD Geneva with producing fourinteractive, sensory terminals into which visitors can slide their hands. Media DesignMaster's student, Cassandre Poirier-Simon, invented this original system which allowsusers to explore the universe of watches in the Touch series. Each terminal has aninnovative system of movement detection coupled with an air screening device, as wellas a touch screen on which interactive digital images and 3D images appear.

Anglais

Rapport page: 23/215

claudia.olivarez
Texte surligné
claudia.olivarez
Texte surligné
Page 109: 03 March 2013 / clippings

Date: 26.03.2013

Online-Ausgabe

Fédération de l'industrie horlogère suisse FH2502 Bienne032/ 328 08 28www.fhs.ch

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Organisations spécialisées Lire en ligne

Journée suisse contre la contrefaçon 2013«Ensemble contre le faux»

(26 mars 2013)

Jean-Daniel Pasche

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Réf. Argus: 49375360Coupure Page: 1/3

Français

Rapport page: 46/215

Page 110: 03 March 2013 / clippings

Date: 26.03.2013

Online-Ausgabe

Fédération de l'industrie horlogère suisse FH2502 Bienne032/ 328 08 28www.fhs.ch

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Organisations spécialisées Lire en ligne

Anastasia Li

La Journée suisse contre la contrefaçon a tenu toutes ses promesses lors de son édition 2013, qui s'est déroulée le22 mars. Cet événement, destiné à sensibiliser le grand public aux méfaits de l’industrie du faux, était placé sous lesigne de la créativité avec la remise des prix aux lauréats des concours d’affiches et de courts-métrages spécialementorganisés pour l’occasion.

«Je remercie et salue tous ceux qui ne portent pas de contrefaçons et tous ceux qui n’ont aucune intention d’enacheter». C’est en ces termes qu’Anastasia Li, présidente de STOP PIRACY, a accueilli les participants à la Journéesuisse contre la contrefaçon 2013, tenue le 22 mars dans les locaux de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne.Précisément placée sous l’égide de STOP PIRACY, la plateforme suisse de lutte contre la contrefaçon et la piraterie,cette journée était organisée cette année par la Fédération de l’industrie horlogère suisse en collaboration avec laFondation de la Haute Horlogerie. Egalement conviés à l’événement, l’industrie pharmaceutique et le secteuraudiovisuel, représentés par Interpharma, Swissmedic et SAFE. Pour la première fois, ce rendez-vous destiné àsensibiliser le grand public aux méfaits de l’industrie du faux, qui touche ces trois secteurs au premier chef, étaitplacé sous le thème de la créativité. En effet, un concours d’affiches et de cours-métrages a été organisé sur le

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Réf. Argus: 49375360Coupure Page: 2/3

Français

Rapport page: 47/215

Page 111: 03 March 2013 / clippings

Date: 26.03.2013

Online-Ausgabe

Fédération de l'industrie horlogère suisse FH2502 Bienne032/ 328 08 28www.fhs.ch

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

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thème de la contrefaçon, ouvert au public et aux étudiants d'écoles d’art et de design suisses.

L’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) et la Haute école d’art et de design de Genève (HEAD), deux des plusprestigieuses écoles suisses d’art et de design, ont répondu présent. Toutes deux ont soutenu la démarche de cettejournée contre la contrefaçon en faisant participer leurs étudiants au concours, pour la réalisation de courts-métrages (HEAD) et d’affiches (ECAL). Des étudiants de l'Ecole de cinéma de Genève ont aussi pris part à ceconcours. Le grand public, enfin, a été sollicité, via Internet, pour entrer dans la compétition cinématographique.

Ces différents concours ont tenu toutes leurs promesses: loin d’être un pur exercice de style, les réalisations priméessont destinées à être diffusées dans les cinémas, à la télévision, tout comme dans la presse. Les sites Internet desorganisations impliquées dans cette Journée contre la contrefaçon s’en feront également le relais, conformément àleur objectif: «Tous ensemble contre le faux».

Le fléau que représente la contrefaçon, source de financement pour nombre d’organisations criminelles, menace surl’emploi et l’innovation, est de ceux que l’on ne saurait jamais trop prendre au sérieux. En ce sens, unconsommateur averti est un consommateur qui n’apporte pas son soutien à ces pratiques mafieuses. Une «vérité» quidoit nécessairement être comprise par les jeunes générations.

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Réf. Argus: 49375360Coupure Page: 3/3

Français

Rapport page: 48/215

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Texte surligné
claudia.olivarez
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Page 112: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

Online-Ausgabe

Bieler Tagblatt Online2501 Biel/Bienne032/ 321 91 11www.bielertagblatt.ch

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Presse journ./hebd.UUpM: 80'000Page Visits: 259'030

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Lausanne Heute, 09:26

Schweizer Tag gegen Fälschung 2013

Der Schweizer Tag gegen Fälschung 2013, der am 22. März stattfand, hat alle seine Versprechen gehalten.

Symbolbild: Keystone

(mt) „Ich danke allen, die keine Fälschungen tragen und allen, die überhaupt nicht die Absicht haben, welche zukaufen”. Mit diesen Worten begrüsste Anastasia Li, Präsidentin von STOP PIRACY, die Teilnehmerinnen undTeilnehmer am Schweizer Tag gegen Fälschung 2013, der am 22. März in den Räumlichkeiten der Ecole cantonaled’art de Lausanne abgehalten wurde. Unter der Obhut von STOP PIRACY, der Schweizer Plattform für den Kampfgegen Fälschung und Piraterie, wurde dieser Aktionstag dieses Jahr vom Verband der Schweizerischen Uhrenindustriein Zusammenarbeit mit der Fondation de la Haute Horlogerie organisiert. Eingeladen waren auch diePharmaindustrie und der audiovisuelle Sektor, die durch Interpharma, Swissmedic und SAFE vertreten waren. DieserAktionstag soll die Öffentlichkeit für die Machenschaften der Fälschungsindustrie sensibilisieren, die in erster Liniediese drei Sektoren betrifft. Er stand zum ersten Mal unter dem Zeichen der Kreativität: Es wurde einPlakatwettbewerb und ein Kurzfilmwettbewerb zum Thema Fälschung durchgeführt, welcher der Öffentlichkeit undden Studierenden von schweizerischen Hochschulen für Kunst und Design offen stand.

Die Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) und die Haute école d’art et de design de Genève (HEAD), zwei derrenommiertesten schweizerischen Kunst- und Designhochschulen, folgten dem Aufruf. Beide unterstützten dieBestrebungen dieses Aktionstages gegen Fälschung, indem sie ihre Studierenden am Wettbewerb für die Realisierungvon Kurzfilmen (HEAD) und von Plakaten (ECAL) teilnehmen liessen. Studierende der Ecole de cinéma de Genèvenahmen an diesem Wettbewerb ebenfalls teil. Schliesslich wurde die Öffentlichkeit über Internet in denFilmwettbewerb mit einbezogen.

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Allemand

Rapport page: 4/215

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Page 113: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

Online-Ausgabe

Bieler Tagblatt Online2501 Biel/Bienne032/ 321 91 11www.bielertagblatt.ch

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Presse journ./hebd.UUpM: 80'000Page Visits: 259'030

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Diese Wettbewerbe haben gehalten, was sie versprochen hatten: Die prämierten Realisierungen – bei Weitem keinereine Stilübungen – sollen nun in den Kinos und im Fernsehen ausgestrahlt und in der Presse veröffentlicht werden.Die Websites der Organisationen, die sich für diesen Aktionstag gegen Fälschung eingesetzt haben, werden dieseBeiträge ebenfalls übernehmen. Denn sie entsprechen ihrem Ziel: „Gemeinsam gegen Fälschung”.

Die Geissel Fälschung, eine Finanzierungsquelle für viele kriminelle Organisationen, bedroht Arbeitsplätze und dieInnovation. Sie stellt eine Gefahr dar, die man gar nicht ernst genug nehmen kann. In diesem Sinne ist ein gewarnterVerbraucher ein Konsument, der diese mafiösen Machenschaften nicht unterstützt. Eine „Wahrheit”, die von denjungen Generationen unbedingt verstanden werden muss.

Preisträger/innen Eine aus bekannten Persönlichkeiten bestehende Jury wertete diese verschiedenen Kreationen ausund bestimmte die folgenden Preisträgerinnen und Preisträger:

Öffentlicher Kurzfilmwettbewerb Eine Auswahl von 13 Filmen stand im Wettbewerb für zwei Auszeichnungen.Verliehen wurden sie von der Jury und vom Publikum, das seine Stimme über die Website von STOP PIRACY abgebenkonnte.

Jury-Preis und Publikumspreis • „Un Homme: Swiss Made”, Raphaël Tschudi und Arnaud Baur

Plakatwettbewerb – Ecole d’art de Lausanne Rund dreissig Plakate im Wettbewerb für vier Auszeichnungen.

• „Belle de loin, loin d'être belle”, Manon Wertenbroek, ECAL

• „La fesse cachée”, Laurence Rasti, ECAL

• „Contrefaçon”, Jean-Vincent Simonet, ECAL

Spezialpreis der Jury • „Cher contrefacteur”, Sabrina Gruhne, ECAL

Kurzfilmwettbewerb – Ecole de Cinéma de Genève und Haute école d’art et de design de Genève

17 Filme im Wettbewerb für fünf Auszeichnungen.

• „Moon light 1”, Lorenzo Di Ciaccia, HEAD

• „Carton”, Guillaume Vautier und Michael Martin, HEAD

• „Le cinéma est mort”, Joël Baud, ECG

• „Témoignages pharma, 6 séquences”, Malena Azzam, ECG

Spezialpreis der Jury • „Tout du lard”, Mei Fa Tan und Basile Manent, ECG

Stichwörter:Schweizer Tag gegen Fälschung 2013, Piraterie, Lausanne, Aktionstag

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Réf. Argus: 49380103Coupure Page: 2/2

Allemand

Rapport page: 5/215

Page 114: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

Genève

Le Courrier1211 Genève 8022/ 809 55 66www.lecourrier.ch

Genre de média: Médias imprimésN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Presse journ./hebd.Tirage: 7'791Parution: 6x/semaine

Page: 16Surface: 2'409 mm²

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Réf. Argus: 49372954Coupure Page: 1/1

ART CONTEMPORAIN, GENÈVE

Mai-Thu Perret en conversationLa plasticienne genevoise Mai-Thu Perret sera ce soir(19h) en discussion avec l'historien de l'art Samuel Gross,dans le cadre des soirées Talking HEADS de la Haute écoled'art et de design de Genève. SSGHEAD, 15 bd James-Fazy, Genève, www.hesge.ch/head

Français

Rapport page: 63/215

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Texte surligné
Page 115: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

W The Journal2000 Neuchâtel

www.wthejournal.com/

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Organisations, loisir Lire en ligne

Schweizer Tag gegen Fälschung 2013 « Gemeinsam gegen Fälschung »

Der Schweizer Tag gegen Fälschung 2013, der am 22. März stattfand, hat alle seine Versprechen gehalten. DieseVeranstaltung zur Sensibilisierung der Öffentlichkeit für die Machenschaften der Fälschungsindustrie stand unter demZeichen der Kreativität: Den Gewinnern der speziell für diesen Anlass organisierten Plakat- und Kurzfilmwettbewerbewurden die Preise überreicht.

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Réf. Argus: 49380107Coupure Page: 1/3

Allemand

Rapport page: 6/215

Page 116: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

W The Journal2000 Neuchâtel

www.wthejournal.com/

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Organisations, loisir Lire en ligne

27.03.2013„Ich danke allen, die keine Fälschungen tragen und allen, die überhaupt nicht die Absicht haben, welche zu kaufen”.Mit diesen Worten begrüsste Anastasia Li, Präsidentin von STOP PIRACY, die Teilnehmerinnen und Teilnehmer amSchweizer Tag gegen Fälschung 2013, der am 22. März in den Räumlichkeiten der Ecole cantonale d’art deLausanne abgehalten wurde. Unter der Obhut von STOP PIRACY, der Schweizer Plattform für den Kampf gegenFälschung und Piraterie, wurde dieser Aktionstag dieses Jahr vom Verband der Schweizerischen Uhrenindustrie inZusammenarbeit mit der Fondation de la Haute Horlogerie organisiert. Eingeladen waren auch die Pharmaindustrieund der audiovisuelle Sektor, die durch Interpharma, Swissmedic und SAFE vertreten waren. Dieser Aktionstag solldie Öffentlichkeit für die Machenschaften der Fälschungsindustrie sensibilisieren, die in erster Linie diese dreiSektoren betrifft. Er stand zum ersten Mal unter dem Zeichen der Kreativität: Es wurde ein Plakatwettbewerb und einKurzfilmwettbewerb zum Thema Fälschung durchgeführt, welcher der Öffentlichkeit und den Studierenden vonschweizerischen Hochschulen für Kunst und Design offen stand.

Die Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) und die Haute école d’art et de design de Genève (HEAD), zwei derrenommiertesten schweizerischen Kunst- und Designhochschulen, folgten dem Aufruf. Beide unterstützten dieBestrebungen dieses Aktionstages gegen Fälschung, indem sie ihre Studierenden am Wettbewerb für die Realisierungvon Kurzfilmen (HEAD) und von Plakaten (ECAL) teilnehmen liessen. Studierende der Ecole de cinéma de Genèvenahmen an diesem Wettbewerb ebenfalls teil. Schliesslich wurde die Öffentlichkeit über Internet in denFilmwettbewerb mit einbezogen.

Diese Wettbewerbe haben gehalten, was sie versprochen hatten: Die prämierten Realisierungen – bei Weitem keinereine Stilübungen – sollen nun in den Kinos und im Fernsehen ausgestrahlt und in der Presse veröffentlicht werden.Die Websites der Organisationen, die sich für diesen Aktionstag gegen Fälschung eingesetzt haben, werden dieseBeiträge ebenfalls übernehmen. Denn sie entsprechen ihrem Ziel: „Gemeinsam gegen Fälschung”.

Die Geissel Fälschung, eine Finanzierungsquelle für viele kriminelle Organisationen, bedroht Arbeitsplätze und dieInnovation. Sie stellt eine Gefahr dar, die man gar nicht ernst genug nehmen kann. In diesem Sinne ist ein gewarnterVerbraucher ein Konsument, der diese mafiösen Machenschaften nicht unterstützt. Eine „Wahrheit”, die von denjungen Generationen unbedingt verstanden werden muss.Preisträger/innen

Eine aus bekannten Persönlichkeiten bestehende Jury wertete diese verschiedenen Kreationen aus und bestimmte diefolgenden Preisträgerinnen und Preisträger:Öffentlicher Kurzfilmwettbewerb

Eine Auswahl von 13 Filmen stand im Wettbewerb für zwei Auszeichnungen. Verliehen wurden sie von der Jury undvom Publikum, das seine Stimme über die Website von STOP PIRACY abgeben konnte.

Jury-Preis und Publikumspreis• „Un Homme: Swiss Made”, Raphaël Tschudi und Arnaud Baur

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Réf. Argus: 49380107Coupure Page: 2/3

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Rapport page: 7/215

Page 117: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

W The Journal2000 Neuchâtel

www.wthejournal.com/

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

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Plakatwettbewerb – Ecole d’art de Lausanne

Rund dreissig Plakate im Wettbewerb für vier Auszeichnungen.• „Belle de loin, loin d'être belle”, Manon Wertenbroek, ECAL• „La fesse cachée”, Laurence Rasti, ECAL• „Contrefaçon”, Jean-Vincent Simonet, ECAL

Spezialpreis der Jury• „Cher contrefacteur”, Sabrina Gruhne, ECALKurzfilmwettbewerb – Ecole de Cinéma de Genève und Haute école d’art et de design de Genève

17 Filme im Wettbewerb für fünf Auszeichnungen.• „Moon light 1”, Lorenzo Di Ciaccia, HEAD• „Carton”, Guillaume Vautier und Michael Martin, HEAD• „Le cinéma est mort”, Joël Baud, ECG• „Témoignages pharma, 6 séquences”, Malena Azzam, ECG

Spezialpreis der Jury• „Tout du lard”, Mei Fa Tan und Basile Manent, ECGVeröffentlicht in : Verband der Schweizerischen Uhrenindustrie FH, Fondation de la Haute Horlogerie,Mitteilungen

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Réf. Argus: 49380107Coupure Page: 3/3

Allemand

Rapport page: 8/215

Page 118: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

Online-Ausgabe FR

Magazine de la Haute Horlogerie FR1205 Genève022/ 307 09 90journal.hautehorlogerie.org

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

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Actualitésmercredi, 27 mars 2013

Journée suisse contre la contrefaçon 2013

La Journée suisse contre la contrefaçon a tenu toutes ses promesses lors de son édition 2013, qui s'est déroulée le22 mars. Cet événement destiné à sensibiliser le grand public aux méfaits de l’industrie du faux était placé sous lesigne de la créativité avec la remise des prix aux lauréats des concours d’affiches et de courts-métrages spécialementorganisés pour l’occasion.

« Je remercie et salue tous ceux qui ne portent par de contrefaçons et tous ceux qui n’ont aucune intention d’enacheter ». C’est en ces termes qu’Anastasia Li, Présidente de STOP PIRACY, a accueilli les participants à la Journéesuisse contre la contrefaçon 2013, tenue le 22 mars dans les locaux de l’Ecole cantonale d’art de Lausanne.Précisément placée sous l’égide de STOP PIRACY, la plate-forme suisse de lutte contre la contrefaçon et la piraterie,cette journée était organisée cette année par la Fédération de l’industrie horlogère suisse en collaboration avec laFondation de la Haute Horlogerie. Également conviés à l’événement, l’industrie pharmaceutique et le secteuraudiovisuel, représentés par Interpharma, Swissmedic et SAFE. Pour la première fois, ce rendez-vous destiné àsensibiliser le grand public aux méfaits de l’industrie du faux, qui touche ces trois secteurs au premier chef, étaitplacé sous le thème de la créativité. En effet, un concours d’affiches et de cours-métrages a été organisé sur lethème de la contrefaçon, ouvert au public et aux étudiants d'écoles d’art et de design suisses.

L’Ecole cantonale d’art de Lausanne (ECAL) et la Haute école d’art et de design de Genève (HEAD), deux des plusprestigieuses écoles suisses d’art et de design ont répondu présent. Toutes deux ont soutenu la démarche de cettejournée contre la contrefaçon en faisant participer leurs étudiants au concours, pour la réalisation de courts-métrages (HEAD) et d’affiches (ECAL). Des étudiants de l'Ecole de cinéma de Genève ont aussi pris part à ceconcours. Le grand public, enfin, a été sollicité via Internet pour entrer dans la compétition cinématographique.

Ces différents concours ont tenu toutes leurs promesses: loin d’être un pur exercice de style, les réalisations priméessont destinées à être diffusées dans les cinémas, à la télévision, tout comme dans la presse. Les sites Internet desorganisations impliquées dans cette Journée contre la contrefaçon s’en feront également le relais, conformément àleur objectif: « Tous ensemble contre le faux ».

Le fléau que représente la contrefaçon, source de financement pour nombre d’organisations criminelles, menace surl’emploi et l’innovation, est de ceux que l’on ne saurait jamais trop prendre au sérieux. En ce sens, unconsommateur averti est un consommateur qui n’apporte pas son soutien à ces pratiques mafieuses. Une « vérité» qui doit nécessairement être comprise par les jeunes générations.

PalmarèsUn jury composé d’éminentes personnalités a évalué ces différentes créations pour aboutir au palmarès suivant :

Concours public de courts-métragesUne sélection de 13 films en compétition pour deux distinctions décernées par le jury et le public invité à seprononcer via le site Internet de STOP PIRACY.

Prix du jury et Prix du public:« Un Homme : Swiss Made », Raphaël Tschudi et Arnaud Baur

Concours d’affiches – Ecole cantonale d’art de LausanneUne trentaine d’affiches en compétition pour quatre distinctions:« Belle de loin, loin d'être belle », Manon Wertenbroek, ECAL

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Réf. Argus: 49387335Coupure Page: 1/2

Français

Rapport page: 60/215

claudia.olivarez
Texte surligné
claudia.olivarez
Texte surligné
Page 119: 03 March 2013 / clippings

Date: 27.03.2013

Online-Ausgabe FR

Magazine de la Haute Horlogerie FR1205 Genève022/ 307 09 90journal.hautehorlogerie.org

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« La fesse cachée », Laurence Rasti, ECAL«Contrefaçon», Jean-Vincent Simonet, ECAL

Prix « Coup de Cœur du Jury »:« Cher contrefacteur », Sabrina Gruhne, ECAL

Concours de courts-métrages – Ecole de Cinéma de Genève et Haute école d’art et de design de Genève

17 films en compétitions pour cinq distinctions:« Moon light 1 », Lorenzo Di Ciaccia, HEAD« Carton », Guillaume Vautier et Michael Martin, HEAD« Le cinéma est mort », Joël Baud, ECG« Témoignages pharma, 6 séquences », Malena Azzam, ECG

Prix « Coup de Cœur du Jury »:« Tout du lard », Mei Fa Tan et Basile Manent, ECG

Communiqué de presse

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Rapport page: 61/215

claudia.olivarez
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Page 120: 03 March 2013 / clippings

Date: 28.03.2013

Tamedia Publications Romandes1211 Genève 11022/ 322 40 00www.tdg.ch

Genre de média: Médias imprimésN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Presse journ./hebd.Tirage: 48'688Parution: 6x/semaine

Page: 34Surface: 5'271 mm²

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Réf. Argus: 49387096Coupure Page: 1/1

CurateurLa Haute Ecole d'art et dedesign de Genève (HEAD)propose à 19 h une conférencede Marc-Olivier Wahler, curateurdu Prix New Heads BNP Paribas2013. Successeur de GiovanniCarmine, directeur de laKunsthalle Sankt Gallen, l'anciendirecteur du Palais de Tokyo àParis et curateur indépendanttiendra une conférence publiquesur son parcours et son activité,ainsi que sur l'entrée des artistesdans le monde professionnel.Entrée libre sans inscription.Bd Helvétique 9,1205 Genève.Tél. 022 388 51 00. A 19 h.

Français

Rapport page: 100/215

claudia.olivarez
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Page 121: 03 March 2013 / clippings

Date: 28.03.2013

twitter.com/ Unternehmen

Twitter, Inc.94107 San Francisco

www.twitter.com

Genre de média: InternetN° d'abonnement: 1073023N° de thème: 375.9

Type de média: Weblogs, forums en ligne Lire en ligne

Six game designers de la HEAD – Genève à Swissnex San Francisco pour#GDC13 head.hesge.ch/La-Head-Geneve… swissnexsanfrancisco.org/Ourwork/events…

28.03.2013 10:10:47

Alp ICT@Alpict Geneva, SwitzerlandAlpict is a startup accelerator for swiss entreprises developing within and across borders ;-)http://blog.alpict.com/

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Rapport page: 13/215

Page 122: 03 March 2013 / clippings

, www.societe.20min.ch

RO_societe1 13P_Controle 27 mars 2013 1:35 AM Steiner Gilles Geneve, Vaud 22

Mercredi 27 Mars 2013 / www.20Minutes.ch

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Histoire de célébrer en grande pompe la saison qui s’achève, la station vaudoise organise la pre­mière édition du Final Count­down Festival, du 29 mars au

14 avril. Le but? Donner vie à la station durant les vacances de Pâques. Outre les traditionnelles courses aux œufs, des concerts et soirées DJ auront lieu, ainsi

que des balades en raquettes à la rencontre de la faune. Durant cette période, les prix des hôtels et des abonnements de ski se­ront en forte baisse.

Une ambiance festivalière pour animer Les Diablerets

22 Votre week-end Votre week-end 23

BéLier Les planètes vous rendent particu-lièrement impatient,

voire intolérant. Attention aux emportements! En affaires, vous foncez avec une pêche d’enfer.AmoUr HHHI

JoB HHHH

VitALité HHHH

BALAnce Dans le domai-ne financier, lisez atten-tivement tout document

avant de le signer. Côté senti-ments, les planètes vous soumet-tent à un courant décoiffant.AmoUr HHHI

JoB HHHI

VitALité HHHI

tAUreAU Le quotidien vous appelle à régler quelques problèmes

laissés de côté. Mais grâce à Mars et Jupiter, un coup de pouce va booster votre secteur financier.AmoUr HHHI

JoB HHHI

VitALité HHII

Scorpion Mettez de l’eau dans votre vin pour limiter les fric-

tions au quotidien. Célibataire: vous pourriez être titillé par quelqu’un qui sort de l’ordinaire.AmoUr HHHI

JoB HHvI

VitALité HHHI

GémeAUx Côté profes-sion, une nouvelle voie se révélera conforme à

vos aspirations. Dans un climat amoureux animé, certains ont tendance à s’éparpiller.AmoUr HHHI

JoB HHHH

VitALité HHHH

SAGittAire Vos rela-tions vous réservent de l’inattendu, mais n’ac-

cordez pas votre confiance au premier venu. Et financièrement, montrez-vous plus prudent.AmoUr HHHI

JoB HHHI

VitALité HHHH

cAncer Un ras-le-bol pourrait vous inciter à des décisions radicales,

au boulot comme sur le plan sentimental. Mais réfléchissez pour ne rien regretter.AmoUr HHII

JoB HHHI

VitALité HHHI

cApricorne Mercure vous conseille d’écou-ter un conseil avisé

avant de prendre une décision sur le plan financier. Côté cœur, ne vous laissez pas bousculer.AmoUr HHHI

JoB HHHI

VitALité HHHI

Lion Vous n’en faites qu’à votre tête et ce n’est pas toujours ap-

précié. Attention aux frictions avec les représentants de l’auto-rité. Côté cœur, vous foncez.AmoUr HHHH

JoB HHHI

VitALité HHHH

VerSeAU Grâce à Mer-cure, vos envies d’éva-sion vont se concrétiser

avec facilité. Mais professionnel-lement, tenez compte des autres dans vos désirs de changement.AmoUr HHHH

JoB HHHI

VitALité HHHH

VierGe Côté cœur, vous jouez cartes sur tables avec des attentes rai-

sonnables, mais côté finances, la Pleine Lune vous confronte à quelques turbulences.AmoUr HHHH

JoB HHHI

VitALité HHHI

poiSSonS Côté finan-ces, un courant de chan-ce ne vous dispense pas

de toute prudence. Solo ou duo, Mercure vous demande de vous exprimer avec plus de clarté.AmoUr HHHI

JoB HHHH

VitALité HHHH

Les astres et vousPar natacha [email protected]

Mars et Pluton nous placent sous tension et on pourrait prendre des décisions radicales pour mettre fin à une situation.

S’amuser à la montagnefeStiVitéS. Nendaz (VS) et Les Diablerets (VD) organisent durant ce week-end pascal des événements combinant les plaisirs de l’eau et de la glisse.

«Le but, c’est bien sûr qu’ils fi-nissent tous complètement dé-trempés», résume, sourire en coin, Henri Pichard, l’un des organisateurs de Surf Over, ce samedi dans les Alpes vaudoi-ses. Un «contest» qui consiste à se laisser glisser, si possible déguisé, sur une surface d’eau

avec des skis, un snowboard ou tout autre engin capable d’avancer sur quelques mètres au moins. «Nous avons déjà vu une baignoire ainsi qu’un lit auxquels les participants avaient ajouté des lattes. D’autres ont construit un ra-deau avec des tôles, et ils avaient posé des chaises des-sus», raconte l’organisateur.

L’ambiance qui prévaut dans un tel événement est bon enfant; il n’y règne aucun es-prit de compétition. «Il s’agit d’abord de passer un moment

déjanté, en famille ou avec ses amis», poursuit-il. Une vision partagée par Laetitia Gui-gnard, chargée du Water slide à Nendaz, qui aura lieu lundi. «Nous voulons que les partici-pants s’éclatent, tout en leur

garantissant un cadre sécuri-sé.» Raison pour laquelle le matériel est contrôlé lors de l’inscription, histoire de bien s’assurer qu’il ne représente pas un danger pour ses utili-sateurs. –cAtherine mULLer

Contests de glisseWaterslide à Haute-Nendaz (VS). Lu 1er avril, lac de Tracouet. Gratuit, sur inscription (par internet ou sur place). , www.nendaz.chSurf Over aux Diablerets (VD). Sa dès midi (inscr. sur place jusqu’à 11 h). Prix: 10 fr. , www.diablerets.ch

Le Bal des créateurs organise de nombreux événements culturels. –DR

La manifestation est la plus im-portante du genre en Suisse. –DR

Stylistes et bijoutières du cru sortent du boisGenèVe. Six jeunes designers locaux dévoileront leurs dernières créations au cours d’une exposition-vente.

Il y a ces bagues aux formes or-ganiques dont on ne sait si les matières sont précieuses ou s’il s’agit d’os et de plumes. Les créations poétiques de Florie Dupont, une étudiante de l’Ecole d’art et de design de Genève, sont captivantes. La jeune femme ainsi que cinq autres de ses collègues, fort ta-lentueuses, ont tapé dans l’œil de l’équipe du Bal des Créa-teurs, un espace lové au cœur de Plainpalais. Le responsa-

ble des lieux, Christophe Durand, leur a

proposé d’ex-

poser leurs produits dans ses locaux. Une occasion rare pour des jeunes designers lo-caux (stylistes et bijoutiers) de faire reconnaître leur ta-lent et vendre leurs objets. Les mondains se précipiteront au vernissage, qui se tiendra de-

main de 18 h à 21 h. Il y aura du beau linge! –emmAnUeL coiSSy

ExpositionDu jeudi 28 mars au 5 avril.Bal des Créateurs, rue de l’Arquebuse 25, Genève. Entrée libre., lebaldescreateurs.wordpress.com, www.head. hesge.ch

Les fans de culture nipponne en folie

montreUx (VD). L’événement phare dédié à la culture pop

et aux jeux vidéo délaisse cette année Lausanne et

prend ses quartiers sur la Riviera. En dé-ménageant au Centre

des Congrès, Polyman-

ga peut ainsi proposer une of-fre plus étoffée à ses visiteurs, notamment en organisant da-vantage de tournois de jeux vi-déo. Le cosplay, les web-séries et les mangas se dérouleront dans des amphithéâtres plus imposants. Enfin, cerise sur le gâteau, la durée de l’événe-ment a été prolongée. L’an pas-sé, plus de 20 000 fans de culture japonaise avaient fait le déplacement. –cAm

PolymangaDe vendredi à lundi, au Centre des Congrès de Montreux. Entrée: 18 fr. par jour. Pass (4 jours): 35 fr., www.polymanga.ch

Déguster du vin et des pro-duits du terroir valaisan, tout en voguant sous les vignobles. Telle est l’expé-rience décoiffante que pro-pose Fest’Hivers. Plusieurs musiciens se produiront dans ce cadre unique, dont

l’acous tique pourrait sur-prendre plus d’un mélomane. Des navettes sont affrétées depuis Lausanne et Vevey. Réservation obligatoire!Apéro-concertDi 31 mars à 17 h 30 dans les grottes de Saint-Léonard (VS). Prix: de 60 à 90 fr., www.festhivers.ch

Un apéro lacustre sous terre

... et encore

Les œufs au muséeLausanne. Les établissements de la capitale vaudoise et ceux de Pully sont rejoints pour la première fois par ceux de la Riviera, pour la 8e édition de Pâkomuzé. au total, 28 musées proposent une programmation pour petits et grands gour­mands de culture., www.lausanne.ch/pakomuze

Passants à l’honneurFRibOuRg. Le Musée d’art et d’histoire accueille l’exposition «Des regards, des passants». Les clichés sont tous issus du Musée albertina de Vienne et leurs auteurs font partie des plus grands noms de la photo., www.mahf.ch

Un petit coin d’AsieaigLe (VD). Le plus grand jardin zen de suisse, dans le Chablais, ouvre ses portes pour la belle saison ce samedi. un Chemin des sons sera inauguré. Diverses animations auront lieu et l’en­trée sera libre., www.images-atmospheres.ch

GenèVe. L’homoparentalité fait l’objet d’une exposition, venue de France, qui s’achèvera sa-medi. Cet accrochage s’inti tule «Fils de...», un nom qui ré-sonne comme le début d’une insulte mais qui, en fait, intro-duit des portraits et des témoi-gnages d’individus ayant été élevés par des gays et des les-biennes. En phase avec des questions brûlantes d’actuali-té, les photos et les textes pré-sentés sont empreints de so-briété et de joie de vivre.

«Fils de...»A voir jusqu’au 30 mars.Bibliothèque de la Cité, place des Trois-Perdrix 5, Genève. Entrée libre., www.ville-ge.ch/bm

enfants d’homos et fiers de l’être mArtiGny (VS). CinéMaNoir est

une programmation qui, à en croire ses responsables, est une «mécanique bien huilée».

Tous les jeudis, l’apéro débute à 19 h; suit un long mé trage en version originale sous-titrée dont la projection est agré-

mentée de pop-corn dès 20 h. L’objectif: livrer des perles du 7e art, si possible des films d’auteur. Demain, la comé-die «Soul Kitchen» sera diffusée dans le cadre de la Semai-ne contre le racis-me.

«Soul Kitchen»Caves du Manoir, pl. du Manoir 1. Martigny (VS). Je 28 à 20 h. Prix: 10 fr., www.cavesduma noir.ch

Se faire une toile au pop-corn

Les manifestations de ce genre marquent la fin de la saison d’hiver. –SWiSS-iMAGE

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Date: 30.03.2013

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PortraitDeux architectes d'intérieur emballent le festival Electron de film plastique alimentaireMargaux Mosimann

Munissez-vous

de filmplastique alimentaireargenté, enroulez-le

soigneusement autour destructures invisibles et modelez-lepour en faire des fanions, desballons et autres symboles festifs.Ajoutez-y l'aspect brillant et sonorede la matière, vous obtiendrez unrendu récréatif inattendu. Voilà larecette décorative concoctée pardeux jeunes architectes d'intérieurpour accompagner les festivaliersd'Electron dans leur parcoursnocturne.Aux manettes de cet habillagefestif, Réanne Clot et JulietteRoduit, architectes d'intérieurdiplômées de la Haute Ecole d'artet de design de Genève (HEAD),tissent des liens entre les différentslieux du festival à l'aide de cematériau inédit. Ainsi, les étapes separeront de drapeaux, minitenteset autres objets emblématiquesliés au thème de la fête, enrobés dece papier argenté aux propriétésréfléchissantes. Les lieux enquestion? La grande tente centrale,le parcours liant l'Usine aux autresscènes, le bus, le restaurant desartistes et la Locanda au Palladium.En 2012 déjà, les deux complicesavaient habillé de fougèresenvahissantes l'intérieur du bus dufestival dédié aux interviews. Ceprintemps, elles se voient chargéesdu secteur décoration. Rencon-trées dans leur atelier à laFondation Ahead aux Acacias, ellesexpliquent les spécificités d'un telprojet. «Concevoir une scénogra-phie pour un festival implique descontraintes particulières, expliqueJuliette Roduit. Comme travailleren extérieur selon la fonction deslieux, sur une courte durée et avecun budget restreint, le tout en

anticipant l'affluence.» Et sonacolyte Réanne Clot de rebondir:«Nous sommes loin de l'atmo-sphère feutrée d'un musée mais ladémarche reste identique. Qu'ils'agisse de réaménager 500 m2 debureau ou de créer une scénogra-phie, nous répondons aux mêmesquestions: quels sont les besoinsdu lieu? Comment le mettre envaleur? Par quels moyens rendreun impact sensoriel à l'espace? Siles données sont différentes, ellesguident la réflexion.»Pour cette édition anniversaire, lamanifestation mise plus que jamaissur une identité visuelle forte.Juliette Roduit: «Il fallait doncpenser à une intervention efficaceplastiquement qui n'interfère pasavec l'esprit du festival.» Flirtantavec la signalétique et l'installation,sans en être, c'est une véritableunité visuelle qu'elles dessinentautour du parcours. «Avec sonaspect métallisé, le film alimentaires'allie parfaitement aux néons misà l'honneur cette année, et lamatière possède même desqualités sonores», explique RéanneClot. Au contact du vent et deslumières du festival, le matériauconnaîtra alors une fonctionnalitéinopinée.

www.clot-roduechDécouvrez la galeriephoto du festival surwww.electron2013.tdg.ch

Réanne Clot (à g.) et Juliette Roduit au travail. PASCAL FRAUTSCHI

Français

Rapport page: 126/215

claudia.olivarez
Texte surligné
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