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Une découverte capitale : L’ion de Dioxyde de Chlore Cl O 2 Un supplément minéral qui pourrait bien sauver votre vie et celles de vos proches. 1ère partie, 2ème édition L’ion de Dioxyde de Chlore est le plus puissant destructeur de germes et de maladies qui soit connu. Une réponse possible aux SIDA, aux herpès, hépatites, tuberculose et à des dizaines d’autres maladies est décrite dans cet ouvrage. Plusieurs milliers de personnes ont déjà été guéries grâce à lui. Il ne s’agit pas d’un canular. Le Supplément Minéral Miraculeux du 21ème siècle. (Se dit MMS en anglais) Tome 1 Jim V. Humble 2ème édition Le MMS en Français sur Internet à http://mmsfrance.com Sujet du livre : Ce livre parle d’un complément chimique alimentaire très surprenant. Il permet de se rétablir malgré plusieurs mois de traitement classiques infructueux. Il agit en très peu de temps. Il a été découvert tout à fait par hasard. Ainsi, le paludisme, la maladie qui cause le plus de morts pour l’humanité est habituellement guérie en quelques heures avec lui. Cela a été prouvé par des essais cliniques au Malawi, un pays situé dans l’Est de l’Afrique. Ce produit a tué le parasite du paludisme dans le corps des patients. Il n’y pas eu un seul échec. Plusieurs dizaines de milliers de victimes du paludisme ont pris le Supplément Minéral Miraculeux puis sont retournés travailler. Ils ont désormais une vie productive. Aux dernières nouvelles, des cas de SIDA ont été guéris de leur maladie entre trois jours et un mois. Avec le MMS, la plupart des maladies et mauvaises conditions disparaissent simplement. Il est fort probable que si les patients des hôpitaux étaient traités avec cela, plus de 50% seraient de retour chez eux en moins d’une semaine, complètement guéris. Depuis des années les cliniques et les hôpitaux se servent sans le savoir de ce produit précieux pour stériliser leur milieu et les équipements. Il 1/86

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Une découverte capitale : L’ion de Dioxyde de Chlore Cl O2

Un supplément minéral qui pourrait bien sauver votre vie et celles de vos proches.1ère partie, 2ème édition

L’ion de Dioxyde de Chlore est le plus puissant destructeur de germes et de maladies qui soit connu. Une réponse possible aux SIDA, aux herpès, hépatites, tuberculose et à des dizaines d’autres maladies est décrite dans cet ouvrage.

Plusieurs milliers de personnes ont déjà été guéries grâce à lui. Il ne s’agit pas d’un canular.

Le Supplément Minéral Miraculeux du 21ème siècle.(Se dit MMS en anglais)Tome 1Jim V. Humble2ème édition

Le MMS en Français sur Internet à http://mmsfrance.com

Sujet du livre :

Ce livre parle d’un complément chimique alimentaire très surprenant. Il permet de se rétablir malgré plusieurs mois de traitement classiques infructueux. Il agit en très peu de temps. Il a été découvert tout à fait par hasard.

Ainsi, le paludisme, la maladie qui cause le plus de morts pour l’humanité est habituellement guérie en quelques heures avec lui.

Cela a été prouvé par des essais cliniques au Malawi, un pays situé dans l’Est de l’Afrique. Ce produit a tué le parasite du paludisme dans le corps des patients. Il n’y pas eu un seul échec. Plusieurs dizaines de milliers de victimes du paludisme ont pris le Supplément Minéral Miraculeux puis sont retournés travailler. Ils ont désormais une vie productive.

Aux dernières nouvelles, des cas de SIDA ont été guéris de leur maladie entre trois jours et un mois. Avec le MMS, la plupart des maladies et mauvaises conditions disparaissent simplement. Il est fort probable que si les patients des hôpitaux étaient traités avec cela, plus de 50% seraient de retour chez eux en moins d’une semaine, complètement guéris.

Depuis des années les cliniques et les hôpitaux se servent sans le savoir de ce produit précieux pour stériliser leur milieu et les équipements. Il leur manquait simplement la formule exacte, à la bonne concentration et au bon dosage, pour que ce soit un produit antiseptique comestible d’une puissance incroyable contre les pathogènes vivants à l’intérieur des organismes.

Ce puissant tueur de germes renforce le système immunitaire à tel point qu’il lui permet d’éliminer en toute sécurité les agents virulents logés dans le corps. Aussi étonnant que cela puisse paraître, quand c’est utilisé correctement, le système immunitaire utilise ce renfort pour détruire les germes, que ce soit des bactéries ou des virus dangereux, sans affecter les bactéries ni les cellules saines.

Copyrights :Le Supplément Minéral Miraculeux du 21eme siècle – parties 1 et 2Auteur : Jim Humble Copyright ©2006 Jim Humble.

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Toutes les copies et citations du présent ouvrage sont libres à condition de citer leur auteur. Il est important que le lecteur puisse aller puiser à la source du renseignement concernant le MMS car certaines informations pourraient avoir été altérées.

Il est encore possible de contacter l’auteur pour plus renseignements.

En cas de disparition de l’auteur ou de sa détention pour plus de 60 jours durant une période de 6 mois, ou même de son décès, le Copyright est annulé et ce livre tombe dans le domaine public.

Dans le cas où l’une des conditions mentionnées précédemment est avérée, la permission est donnée à toute personne ou groupe de distribuer ce livre, même gratuitement, à travers le monde.

L’adresse émail de l’auteur est [email protected].

Pour des raisons de filtres anti-spams, seuls les courriels qui auront pour objet « Stories of Success » seront lus.

Une fois que vous l’aurez lu, envoyez ce livre à vos amis, à vos proches et au plus grand nombre avec un mot de votre qui leur donne envie de le lire.

Remerciements :Merci à Bill BOYTON de Mina dans le Nevada pour son aide sur la chimie du dioxyde de chlore.

Merci à Clara TATE de Hawthorne dans le Nevada pour son aide, ses inspirations et ses idées.

Site officiel en français : http://mmsfrance.com

IntroductionDans ce livre, j’ai tenté au mieux de décrire les faits exacts qui se sont passés avec le MMS, de manière à ce que tout le monde puisse le comprendre. Il est très probablement mal écrit et décousu. Il peut contenir des erreurs de chronologie, car j’ai couché sur le papier mes souvenirs au fur et à mesure qu’ils me revenaient. J’ai tenté de les trier et de remanier le tout du mieux que j’ai pu. Certains épisodes pourront paraître anodins mais ils font partie de l’édifice qui m’a amené à découvrir le MMS. Ce texte doit également contenir beaucoup de fautes et de répétitions lourdes… je vous prie à l’avance de me pardonner pour ça. Je ne suis pas tout jeune, et j’ai tendance à radoter un peu, comme toutes les personnes âgées qui reviennent souvent sur ce qu’elles considèrent comme essentiel.

Mais, de grâce, que cela ne vous empêche pas de le lire. Je ne suis pas écrivain. Je n’ai aucun talent particulier pour l’écriture. Je ne suis qu’un aventurier sans doute bien plus inculte que vous. Mais j’ai tenu à rédiger cet ouvrage parce que son contenu est trop important pour que cela se perde dans la nuit des temps après ma disparition. Il est probable qu’il a dû en être ainsi pour beaucoup de techniques dans de multiples domaines à travers les âges. Il y a sans doute beaucoup de découvertes qui auraient pu être aujourd’hui utiles aux hommes, mais qui ont été perdues car personne n’en n’avait gravé le mode d’emploi dans la pierre.

Ce livre est l’histoire de la découverte et du développement du MMS. C’est le plus étonnant renfort du système immunitaire jamais découvert. De ce fait, c’est la plus importante solution pour les maux et maladies humaines connues actuellement. Je pèse mes mots et vous comprendrez pourquoi au fil de votre lecture. C’est plus qu’un médicament dans le sens clinique du terme. J’espère que mes efforts pour vous faire comprendre le déroulement de mon histoire vous conduiront à essayer ce produit et à répandre sa connaissance autour de vous.

A ce propos j’indiquerai plus loin tous les détails pour vous permettre sa préparation chez vous. La plupart des ingrédients s’achètent facilement. Il est tout à fait possible que vous puissiez désormais sauver une vie ou la vôtre après en avoir maîtrisé la fabrication.

Le Supplément Minéral Miraculeux fonctionne tel un booster pour le système immunitaire. Je l’ai appelé ainsi

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car il est vraiment miraculeux. Et vous comprendrez pourquoi. Peu importe que ce nom ne fasse pas scientifique ou sérieux. Je n’ai voulu qu’il rejoigne la longue liste de la pharmacopée allopathique connue. Il n’est pas destiné au traitement de symptômes en particulier, mais sert plutôt à améliorer le système immunitaire jusqu’au point de lui permettre de dominer de nombreuses maladies, et le plus souvent en moins de 24 heures.

La raison pour laquelle j’ai écrit ce livre est que cette information est trop importante pour qu’une personne seule ou un groupe ne s’en approprie le contrôle. C’est une information que tout le monde devrait avoir.

Après toutes mes espérances et mes multiples déboires, j’ai finalement réalisé que les données exactes devaient être transmises simplement au plus grand nombre, avec le maximum de détails pour que chacun puisse se faire sa propre opinion.

Il existe beaucoup d’informations importantes ignorées du grand public qui pourraient pourtant sauver des vies. Mon intention est d’empêcher que cela se produise au sujet de cette découverte.

Le Docteur Hector Francisco REMERO G., qui est médecin dans l’état de Sonora au Mexique a souhaité rajouter quelques mots. Il a une clinique très connue pour le traitement du cancer et d’autres maladies considérées incurables.

Il se sert, entre autres, du MMS, dont traite ce livre. Il est bien connu à Sonora pour le travail qu’il a fait auprès des Indiens du Mexique. Le docteur REMERO me fait paraître bien plus grand que je ne le suis. Cependant comment pourrais-je refuser ses mots en introduction :

« L’un de mes chers vieux amis au tempérament délicieux et respectable professeur de philosophie à Sonora, aimait à dire que les hommes apprennent continuellement à l’université de la vie. Il ajoutait que parfois certains laissent une trace impérissable de ce qu’ils y ont appris.

Il est rare de trouver quelqu’un qui n’a pas de talent d’écrivain particulier ayant le courage d’écrire un livre pour être en règle avec son intégrité.

C’est le cas de mon ami Jim Humble. Un challengeur, un explorateur, une personne qui s’est battue farouchement toute sa vie pour laisser finalement une grande contribution à l’humanité. Il a couvert des milliers de kilomètres, parfois souffrant, faisant phi de son confort et de son bien être. Il a été jusqu’au bout de ses idées pour démontrer qu’il est possible de compter sur des traitements alternatifs et sur le sien en particulier.

Ses expériences et son savoir faire ont donné de meilleures conditions de vie à des dizaines de milliers de malades vivant dans des zones à risques autour du globe.

Le paludisme et d’autres infections virales comme le HIV causent une grande mortalité. La découverte du MMS a été étudiée et reconnue par des autorités de la santé dans un pays africain. Le MMS offre les meilleurs espoirs pour une qualité de vie meilleure aux souffrants qui veulent bien l’essayer.

Notre expérience avec le MMS au Mexique, dans l’état de Sonora, a été de traiter des maladies comme des infections contagieuses, des tumeurs inflammatoires dégénératives, des cancers de la prostate et autres tumeurs malignes, avec des résultats incroyables, vraiment époustouflants. Ce produit donne un grand espoir à l’humanité.

Dieu semble enfin être venu en aide à ces villages misérables du monde qui n’ont plus rien à part la pauvreté, la maladie et la mort. Ces endroits sont oubliés et ignorés de la civilisation moderne. Pourtant les enfants qui y naissent et y vivent méritent un futur bien meilleur que celui auquel ils tendent. Le MMS représentent un très grand espoir pour l’amélioration de leur condition d’existence. Merci à mon ami Jim HUMBLE d’avoir permis à Dieu de s’exprimer à travers lui. Car il a transmis un moyen de libérer facilement les hommes du joug potentiel de la plupart des maladies graves connues.

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Affectueusement,A.F. REMERO G. »

Pour des informations complémentaires concernant la clinique oncologique du Dr REMERO, en voici les numéros de téléphone :

011 52 662 242-0422 (au Mexique).

1-937 558-5703, (coût d’une communication locale aux USA).

Chapitre 1 – La découverte :Le téléphone se mit à sonner. J’étais dans une maison longue et étroite. Je dus courir pour aller répondre. C’était Bill DENICOLO, un vieil ami de Chicago. Après quelques paroles d’usage, il me demanda :

- Jim, tu es bon dans la recherche de l’or, n’est-ce pas ?

- Il me semble bien, lui dis-je amusé. Je crois même que je suis parmi les meilleurs, dans ce domaine !

Ma réponse lui fut satisfaisante. Il me connaissait de longue date, bien assez pour me faire confiance.

Il poursuivit donc :

- Je travaille pour un groupe qui veut faire de l’extraction d’or dans la jungle, en Amérique du Sud. Nous avons besoin de l’aide d’un type comme toi. Nous couvrons les frais de l’expédition et tu auras une part des profits.

J’acceptais de partir. La date fut fixée approximativement un mois plus tard. Ils voulaient utiliser ma technique de recouvrement de l’or car ils savaient qu’elle était plus accessible pour détecter et extraire l’or dans la jungle. C’est une méthode que j’avais mis au point au cours des mes nombreuses explorations passées. Elle était plus économique, plus fiable mais surtout plus rapide et efficace que la plupart des autres. Malheureusement, comme vous le comprendrez au fil la lecture, je ne suis pas homme à savoir tirer avantage financier de mes astuces et découvertes. J’aurais pu être très riche parait-il, si j’avais su monnayer le quart de ce que j’ai mis au point le long de ma vie. Mais ce n’est pas le cas. L’argent ne m’intéresse pas vraiment. Mais j’avoue que j’ai souffert parfois de la précarité de ma situation. Enfin, peu importe. J’explique cela pour que vous soyez en mesure de cerner un peu mieux mon personnage.

La préparation du voyage, donc, me prit à peu près le mois entier. La chose la plus importante que je prévoyais d’emporter, qui sera le point de départ de mes découvertes dans un tout autre domaine, était des caisses de plusieurs bouteilles d’Oxygène Stabilisé. Il ne s’agissait pas encore tout à fait de la solution miracle dont je parle dans ce livre.

En fait, je pensais emporter ces bouteilles parce que l’eau dans la jungle est dangereuse à boire. Elle n’est absolument pas potable pour un organisme qui n’y est pas né et qui n’y a pas grandi. En Amérique du Nord, l’eau des courants rapides est généralement potable, mais là, peu importe sa fluidité, elle n’est pas saine.

On peut presque toujours garantir qu’une ou plusieurs maladies graves se présenteront aux occidentaux imprudents qui tenteraient d’en boire.

Pourtant, j’ouvre une parenthèse ici. Malgré cette certitude, un jour, terriblement assoiffé après une longue marche pénible dans cette jungle hostile, je finis par boire à un courant d’eau rapide. Je comptais sur le fait que mon corps s’était quelque peu immunisé après toutes ces années d’explorations passées dans différentes contrées exotiques. Mais quelques jours plus tard, je me retrouvais atteint de fièvre avec tous les symptômes de la typhoïde ! C’était pour vous dire que quelque soient les mises en gardes et les preuves du danger, nul n’est à l’abri des justifications irrationnelles !

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L’Oxygène Stabilisé est un truc de baroudeurs qui m’avait servi durant mes périples précédents. C’est un excellent moyen d’assainir l’eau. Cette solution a la faculté de tuer les pathogènes lentement à condition de la laisser se reposer toute une nuit.

J’avais déjà vérifié cela scientifiquement auprès d’un laboratoire après avoir traité de l’eau d’égout à l’Oxygène Stabilisé.

J’étais donc parti relativement confiant sur ce point. Nous n’aurions pas besoin de transporter des tonnes d’eau et pourtant nous ne crèverions pas de soif.

J’avais effectué un certain nombre d’expériences avec ce produit. Il a toujours excité ma curiosité, me laissant parfois sur ma faim. J’avais la vague intuition qu’il pouvait faire bien plus que purifier de l’eau.

Un ami qui vivait près de Las Vegas l’avait utilisé sur ses animaux. Il en versait dans leur eau pour, disait-il, les garder en bonne santé. Il en avait même injecté dans les veines de l’un de ses chiens qui avait été très malade. Son chien avait guéri en quelques heures.

A l’époque je le voyais souvent car je l’aimais bien. C’était quelqu’un d’un peu marginal, avec des idées bien à lui… tout comme moi !

Bill DENICOLO m’envoya donc un contrat chez moi, à Las Vegas, dans le Nevada. J’étais en train d’y passer une retraite paisible, après une longue carrière d’exploitations minières en métaux précieux, dont l’or en particulier.

Le contrat était assez généreux. Je devais être rétribué par un salaire confortable, et j’aurais 20% des droits de propriété dans l’affaire, à condition bien sûr que je découvre de l’or dans la jungle avec ma technique.

Je renvoyais donc une copie signée du contrat et reçu un billet d’avion en retour. J’avais 64 ans et me sentais en excellente condition physique. Je ne voyais aucun inconvénient à me déplacer dans la jungle.

Le pays à explorer était le Guyana. Le nom avait été changé quelques années auparavant de Guyane Anglaise à République de Guyane. C’est situé au dessous du Venezuela, sur la cote Est de l’Amérique du Sud. Ce pays est tristement célèbre à cause du gourou Jim Jones et de sa secte. Tous ses membres se suicidèrent. Plus exactement, quelques adeptes tuèrent leurs confrères et se suicidèrent ensuite au cyanure. Mais quelques-uns survécurent qui ont pu raconter toute l’histoire.

J’arrivais donc au Guyana par un jour pluvieux, au milieu de l’année 1996. Les jours de pluie y sont nombreux dans ces contrées. Il y fait chaud et humide.

Je fus accueilli par plusieurs autochtones qui devaient prendre part à notre expédition. Nous avons roulé environ 45 kilomètres jusqu'à Georgetown, la plus grande ville du pays et aussi sa capitale. Je fus conduit dans la maison de l’un d’eux et y suis resté jusqu'à ce que nous soyons repartis pour prospecter dans la splendide jungle Guyanaise.

J’ai rencontré Mike, un habitant qui possédait les droits de concession d’une grande part de terrain dans cette jungle. C’était aussi l’un des associés de l’affaire. J’ai également fait la connaissance de Joël KANE, qui vivait dans l’Est des USA. Il était aussi l’un des partenaires cités dans le contrat que j’avais signé. Il nous a rejoins moins de deux semaines avant notre départ pour la jungle. Il y en avait aussi un autre, qui était supposé nous retrouver, mais je ne l’ai jamais rencontré. Il était probablement arrivé après que nous sommes partis. Son nom était Beta. Le nom réel de Beta était Satkumar HEMRAJ, mais il préférait, parait-il, qu’on l’appelle Beta. Il était en relation avec un officiel important du gouvernement, Moses NAGAMOTOO. Moses était l’adjoint du Premier Ministre, Sam HINDS. Beta nous avait recommandé auprès de lui. Ainsi le deuxième soir de mon arrivée je fus invité chez ce fameux Moses NAGAMOTOO pour dîner.

Durant le repas, l’adjoint du Premier Ministre se plaint de ce qu’il décrivait comme un vieux problème de dos. Cela l’empêchait parfois de faire son travail au gouvernement. Je lui proposais naturellement mon aide en lui expliquant qu’il m’arrivait de manipuler des gens et de leur faire du bien. J’étais donc peut être en mesure de le

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soulager.

Après le repas Moses m’autorisa à toucher délicatement son cou. Au bout de quelques minutes sa douleur dorsale commença à se dissiper. Nous étions tous agréablement surpris et heureux pour lui. Très vite « mon patient » se dressa et marcha d’un pas léger dans la maison. Inutile de vous dire la gratitude dont il m’a témoigné ensuite !

Le jour suivant, l’un de ses domestiques m’appela pour me demander si je pouvais manipuler aussi le cou de la fille de Moses NAGAMOTOO. Elle souffrait aussi de problèmes de dos. J’acceptais bien évidemment et ils vinrent me chercher pour dîner encore une fois chez cette personnalité. C’était le troisième soir de mon arrivée.

Moses NAGAMOTOO avait deux filles, Angéla et Adila. Cette dernière n’avait pas de problème mais Angéla souffrait du même mal que son père. Elle se déplaçait avec peine lorsque je vins la voir ce soir là. Je décidais donc de lui faire les mêmes manipulations et le résultat fut tout aussi surprenant. Je n’avais pas toujours des succès aussi spectaculaires, mais cela arrivait quelques fois. C’est dans de pareils moments que l’on se sent très content d’avoir pris le temps d’apprendre à s’occuper des gens.

Se faire un ami comme Moses NAGAMOTOO était non seulement agréable mais pouvait être utile car il était puissant. Je ne réalisais pas à ce moment combien cela pouvait être utile. Mais il m’évita sans aucun doute de passer du temps en prison, ainsi que je l’expliquerais plus loin dans ce récit.

Jim PUNWASEE était le Ministre des Mines. Nous le voyions fréquemment et étions parfois invités chez lui.

Le gouvernement avait une sorte de laboratoire pour traiter l’or. Il servait notamment à vérifier ce que rapportaient les mineurs. L’or était généralement recouvert de mercure. L’extraction consistait à mettre le minerai sous une hotte puis à le chauffer au chalumeau. Ainsi le mercure s’évaporait. C’est une opération délicate, car les fumées de mercure sont très toxiques.

Celles-ci sortaient par une bouche d’évacuation et se répandaient dans la cour du bâtiment. Beaucoup de personnes s’étaient plaintes de cette pratique. Certaines m’en firent part lorsqu’elles me guidèrent à travers leurs installations. Je leur proposai alors de concevoir un récupérateur de fumées et ils acceptèrent mon offre. Mais ils avaient un très faible budget pour un tel projet. Je concevais donc un collecteur bon marché à partir de bric et de brocs et d’un tonneau de 200 litres. Pour compléter le système il me fallait des centaines de boules légères. Or il se trouvait que je possédais plusieurs milliers de balles de ping-pong stockées dans un hangar près de chez moi à Las Vegas. Elles provenaient d’un stock qui m’était resté sur les bras à la suite d’une de ces affaires foireuses dont j’avais l’art de m’attirer. Je n’avais jamais été doué en affaire, et pour une fois, le stock qui restait servirait à quelqu’un. Je fis rapatrier ces balles au Guyana pour les introduire dans le système que j’avais élaboré. Au moment où les balles sont arrivées j’étais dans la jungle. Mais les employés, en suivant mes indications, les ont mises dans le baril préparé, puis ont ouvert le robinet installé. Ça a très bien fonctionné. Il a bien remplit bien son rôle.

Avec le coup du collecteur des vapeurs de mercure, puis l’aide apportée au Premier Ministre adjoint et à sa fille, je me suis retrouvé très vite à la bonne avec des gens du gouvernement. J’ai pu bénéficier de certains appuis et de coups de piston !

Ainsi je me rappelle que j’avais un ami qui voulait déménager depuis la Russie vers le Guyana. J’en avais fait part au Ministre des Mines. Quelques jours plus tard le Ministre de l’Immigration m’indiquait par téléphone que mon ami pouvait se rendre au Consulat du Guyana à Moscou. Des papiers l’y attendaient pour son immigration.

Cela pour vous dire combien la chance m’avait sourit au départ de cette expédition. Elle m’a permis de me forger de bonnes relations qui m’ont sans nul doute protégées ensuite !

Durant notre première expédition, huit hommes se chargèrent de porter nos approvisionnements et d’installer les campements. On les appelait des « doggers ».

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Ils avaient été recrutés par Mike. Ils sont arrivés peu avant que nous commencions à empaqueter les provisions et les équipements. Un des doggers fut nommé contremaître. Il était chargé de diriger les autres dans leurs travaux.

Joël et Beta manquaient lorsque sonna l’heure du départ, mais nous ne pouvions pas nous permettre de les attendre. Nous voulions que les choses aillent de l’avant. En outre, il nous coûtait de garder les gars ici. Ils ne gagnaient que 6 dollars par jour, mais c’était conséquent pour cette région.

L’équipage, au final, se constituait de Mike, des huit doggers, et de moi. Nous chargeâmes nos paquetages sur un gros camion et quatre taxis supplémentaires. Il fallait environ une heure de trajet de Georgetown jusqu'à Parika, ville établie près du Mazaruni-Cuyuni, affluents du fleuve Essequibo. Puis nous avons mis à peu près 2 jours pour atteindre l’intérieur des terres.

L'Essequibo est le plus long fleuve du Guyana ainsi que le plus grand cours d'eau entre l'Orénoque et l'Amazone. Sa source se trouve dans les monts Acaraï, près de la frontière avec le Brésil. Il s'étend sur près de mille kilomètres jusqu’au nord, traversant la forêt tropicale humides et la savane. Puis il se jette dans l'océan Atlantique, à 21 km de Georgetown, la capitale du Guyana. On y rencontre des chutes d'eau et des rapides sur toute sa longueur. Son estuaire est parsemé de plusieurs petites îles.

L'Essequibo a beaucoup d'affluents. Le Mazaruni et le Cuyuni font partie des plus importants. Trois grandes îles plates et fertiles divisent le fleuve à une vingtaine de kilomètres avant son embouchure. Ainsi l'Ile du Fort, située à l'est de l'Ile Hog avait hébergé autrefois le siège du gouvernement colonial néerlandais au Guyana.

Nous sommes arrivés à Parika vers neuf heures du matin et avons chargé nos paquets sur de petits bateaux rapides. La rivière sur ce tronçon faisait plus de 7 kilomètres de large. Nous avons vogué relativement vite pendant environ quatre heures et sommes arrivés à Bartica, ville située vers le centre du Guyana. Nous nous sommes réapprovisionnés en nourriture auprès de marchands locaux installés dans des sortes de hangars. Ils avaient l’habitude de fournir les voyageurs qui faisaient des excursions à l’intérieur du pays.

Le responsable désigné de nos achats ne prit surtout que du riz et des haricots secs. En fait, normalement les voyageurs qui font ce trajet ne prennent que du riz. Car c’est nourrissant et facile à transporter. Mais comme j’étais là, ils ont ajouté plusieurs sacs de haricots secs. Par la suite, j’ai obtenu qu’ils achètent davantage de variétés d’aliments.

Nous avons ensuite rejoint un port à environ un kilomètre et demi plus loin, sur l’autre rive. Puis nous avons transféré nos bagages et équipements sur deux très gros tous-terrains. Le diamètre de leurs roues était supérieur à 1,80 m. C’était indispensable pour conduire à travers les chemins. Ils étaient balisés mais néanmoins profondément boueux. Malgré ces grandes roues, nous n’aurions pas pu rouler en dehors de ces « routes » tracées.

Les bagages étaient attachés solidement sur les 4x4. La plupart des hommes marchèrent à pied pour atteindre notre bivouac en utilisant des chemins parfois plus courts mais impraticables en voiture. Ils avaient préféré marcher car la route était très rude. Les 4x4 étaient secoués si violement qu’il fallait s’accrocher très durement pendant le trajet. C’était vraiment inconfortable.

Il n’y eu pas de repos durant les cinq heures que nous avons mis pour arriver vers un petit village qui était notre point de chute. Nous sommes arrivés la nuit. Il fait pratiquement nuit dès dix-huit heures dans ces régions, près de l’équateur. Mais le jour s’y lève très tôt aussi.

Nous avons dormi tant bien que mal cette nuit là. Il avait été trop tard pour s’installer correctement. Je me suis allongé sur un banc à l’extérieur d’un petit magasin. Le lendemain matin nos bagages furent de nouveau chargés sur des bateaux pour continuer ce qui s’appelait maintenant la partie Cuyuni de la rivière. Les bateaux que l’on y voyait circuler étaient habituellement chargés jusqu’à ras bord. Par endroits, la coque ne dépassait pas de plus d’une dizaine de centimètres de la surface de l’eau. Ils semblaient à la merci de grosses vagues, mais il n’y en a jamais sur ce fleuve. Il n’y a même jamais eu de tempêtes dans ces forêts. Il y pleut fort mais pratiquement aucun vent n’accompagne ces pluies. En fait, curieusement, il n’y a pas de désastres naturels

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dans cette partie du monde. Il n’y a ni tempêtes, ni ouragans, ni feux de forêt, ni tremblements de terre. C’est très étrange, mais c’est logique pour ce qui concerne les ouragans et les feux de forêts. Car la densité de la végétation casse la force des vents qui s’en approchent et l’humidité empêche les feux de prendre. En revanche pour les tremblements de terres cela parait très curieux. La densité et la profondeur des racines de cette végétation millénaire doivent sans doute y être pour quelque chose.

Nous avons mis quatre heures pour remonter la rivière et arriver à notre dernière étape. Nos hommes se sont occupés de décharger le fret et les approvisionnements. Ils faisaient une chaîne en transportant les charges sur leur dos de manière à ce que les poids soient appliqués sur leurs têtes. Une lanière passait sur le sommet de leur crâne et retenait ainsi le paquet appuyé contre leur dos. C’était, d’après eux, la moins fatigant de toutes les méthodes pour transporter de grosses charges. Ainsi pouvaient-ils porter jusqu’à quarante kilogrammes à travers la jungle et les montagnes.

En milieu de matinée, nous gravîmes une colline pour atteindre l’autre côté. Les autochtones parlaient de montagne mais en fait c’était une colline d’environ 350 mètres de haut. Le mot colline n’existe pas dans cette région. Toutes les hauteurs naturelles sont appelées des montagnes. Car leur franchissement, en raison des conditions naturelles pénibles, épuisait autant que les hautes montagnes situées dans les régions plus clémentes !

Notre « montagne » était complètement recouverte de jungle. Dans ces régions, l’humidité dépasse souvent les 100%. Qu’il pleuve ou non, on est très vite trempé de sueur. La transpiration ne peut pas s’évaporer. Les habits sont trempés. Les porteurs de bottes étanches se retrouvent bien vite avec les pieds macérant dans l’eau.

Pour ma part, fort de mon expérience, je ne portais que des chaussures légères aérées en toile. Les bottes offrent certainement une meilleure protection contre les animaux venimeux et les serpents en particuliers, mais sont très rapidement saturées d’eau et de sueur. La difficulté d’avancer augmente très vite à cause de cela. Je préférais donc être simplement plus vigilant et de faire attention où je mettais les pieds.

Certains de nos hommes eurent à faire des allers-retours pour apporter tous nos bagages de l’autre côté de la colline. Il nous a fallu environ 2 jours pour atteindre notre campement. Deux des nôtres furent affectés par le paludisme. J’en fus très inquiet. Nous avions pourtant été rassurés sur le fait qu’il n’y en avait pas dans cette région. J’ignore comment j’avais pu croire une telle absurdité !

Le problème est que nous n’avions pas emporté de médicaments pour ça. J’envoyais alors en urgence deux hommes au campement de la mine la plus proche, avec l’espoir qu’il y aurait des médicaments contre le paludisme. Ce qui voulait dire 2 jours d’attentes minimum dans le meilleur des cas, et au moins six jours s’ils devaient pousser leur recherche plus loin. Nous étions contraints par la situation. Nous n’avions pas de radio pour appeler un hélicoptère. De toute façon il était rare que les radios portatives à usage privé fonctionnent dans la jungle profonde.

Puis il me vint une idée. Considérant toutes les données que j’avais accumulées sur l’Oxygène Stabilisé, je tentais une expérience sur les gars atteints de paludisme. Je m’approchais d’eux et leur demandais s’ils voulaient bien accepter d’essayer une « boisson pour la santé venant des Etats-Unis ». Ils étaient allongés sur des hamacs, visiblement très souffrants. Ils avaient beaucoup de fièvre. Ils claquaient des dents, se plaignaient de maux de tête et d’autres douleurs dans leurs corps. Certains avaient de la nausée ou de la diarrhée. Et certains vomissaient aussi. Ils étaient donc prêts à essayer n’importe quoi. Ils accueillirent ma proposition avec espoir. Je leur donnais à tous les deux une très forte dose d’Oxygène Stabilisé avec de l’eau. Ils avalèrent le breuvage d’un coup. Je pensais que c’était tout ce que je pouvais faire en attendant le retour des autres.

Petite aparté : il faut savoir que je ne m’amusais jamais à donner des doses démesurées aux gens avant de les avoir pris moi-même pour voir si c’était supportable.

Curieusement, leurs tremblements ont cessés au bout d’une heure. Cela ne signifiait pas grand chose mais ils avaient l’air beaucoup mieux. Quatre heures plus tard, ils plaisantaient à propos de l’état dans lequel ils se sentaient peu avant ! Puis ils se sont levés et se sont mis à table en s’installant normalement avec les autres pour dîner.

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Le lendemain matin deux autres hommes firent aussi des crises de paludisme aigues. Je leur donnais les mêmes doses d’Oxygène Stabilisé et ils se sentaient bien à midi.

Nous étions tous étonnés. Mais ce n’était pas là toute l’histoire. Car, ainsi que j’ai pu m’en rendre compte plus tard, l’Oxygène Stabilisé, même à très haute dose, ne fonctionne pas dans tous les cas.

J’ai laissé ça de côté et nous avons repris la poursuite de nos objectifs. Nous devions prospecter de l’or. J’avais développé une méthode pour tester sa présence, c’est à dire déterminer la quantité d’or présente dans un minerai ou un bloc de sédiment. C’était assez simple, au point que j’étais capable d’effectuer les tests moi-même. Normalement il faut envoyer des échantillons à un laboratoire et attendre la réponse ensuite. Elle pouvait parfois prendre des semaines. Ma méthode était donc très prisée.

Je détectais assez vite la présence du métal précieux et nous commençâmes installer un moulin à or sur place.

Comme le sujet de ce livre n’est pas l’or mais le MMS, je ne vais pas m’étendre sur ma façon de détecter l’or ni sur le système d’extraction avec ce moulin.

Après avoir donné mes instructions pour son installation et m’être assuré qu’elles soient bien comprises et suivies, je continuais à prospecter avec quelques hommes pendant que d’autres installaient le moulin. Partout où ça me semblait utile, je proposais mon Oxygène Stabilisé aux gens que je croisais. La plupart étaient atteints de paludisme et parfois même de typhoïde. L’Oxygène Stabilisé fonctionnait dans près de 60% des cas. Cela me rendit célèbre dans cette jungle.

Ainsi, bien avant cela, nous étions tombés sur une exploitation minière fermée pour congé annuel. Il y avait là un certain nombre de personnes qui attendaient la réouverture imminente de la mine. L’un d’entre eux était assis à une table et semblait épuisé. Je lui avais demandé ce qui n’allait pas. Il voulait rentrer chez lui. Il était en train d’attendre l’arrivée un bateau. Car il se sentait trop malade. Il avait la typhoïde doublée du paludisme.

Je lui présentais mon Oxygène Stabilisé comme je l’avais fait pour les autres auparavant. Il fut naturellement lui aussi bien volontiers d’accord pour l’essayer. Lorsqu’à mon retour, plusieurs jours plus tard, j’étais repassé par ce coin, je fus surpris de le revoir. Il avait courut à ma rencontre pour me serrer vigoureusement la main. Il me dit qu’il s’était senti bien mieux les heures qui ont suivi mon départ et qu’il n’avait plus ressenti la nécessité de quitter les lieux. En repartant je lui laissais un flacon de quelques gouttes, comme je l’avais fait presque à chaque fois pour ceux que je traitais.

J’ai vraiment beaucoup d’anecdotes comme celles-ci mais ne vous en énumère que quelques-unes pour illustrer mes propos à travers ce livre. On aurait dit que la vie m’avait naturellement poussée à essayer ce produit de différentes manières en me faisant rencontrer des cas idéaux pour ça. Tous étaient favorables à l’essai de ce produit. Tous acceptaient mes suggestions et ne m’en voulaient pas quand ça ne réussissait pas comme je l’espérais.

Car, malheureusement à cette époque, il y avait aussi eut beaucoup de personnes pour lesquelles ça n’avait pas marché. Mais c’était malgré tout un traitement qui obtenait un pourcentage bien meilleur de résultats positifs que les médicaments contre le paludisme utilisés habituellement. Les gens qui vivaient dans ces endroits infestés de parasites ne pouvaient pourtant pas se permettre de prendre des vaccins. Car leurs effets secondaires étaient ensuite trop pénibles. Ce sont des produits très toxiques. Plusieurs de mes associés furent hospitalisés à cause de ces traitements préventifs.

Les visiteurs en prenaient seulement de façon ponctuelle. Les autochtones, eux, ne les prenaient jamais. Ils ne le faisaient qu’après avoir été sérieusement atteints par la maladie. Malheureusement, le parasite avait aussi développé une certaine résistance à ces produits.

Une fois j’ai visité une clinique de missionnaires près d’un village de mineurs situé dans la jungle. Ils avaient quatre lits. J’ai vanté les mérites de ma boisson spéciale mais ils me répondirent que le paludisme était une maladie envoyée par Dieu à cause du comportement sexuel dépravé des impies. Les responsables ne souhaitaient donc pas qu’il soit éradiqué. Je me sui sentis abasourdi et impuissant face à l’état d’esprit de ces

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gens.

Je culpabilisais alors, en voyant ceux qui souffraient, de ne pas pouvoir m’élever contre cela. Car je pouvais sans doute en soulager certains. Mais je devais repartir. Je n’indiquerais pas la religion impliquée. Mais je pense qu’ils ont dû changer d’avis concernant paludisme. Car j’ai appris par la suite que certains des missionnaires avaient découverts qu’ils avaient été eux-mêmes atteints.

De retour à Georgetown je téléphonais à mon ami Bob TATE pour lui parler de mes expériences et des effets de l’Oxygène Stabilisé sur le paludisme. Mes paroles l’intéressèrent beaucoup et il décida de me rejoindre au Guyana. Après discussions avons décidé de vendre de l’Oxygène Stabilisé dans ce pays. Encore une affaire foireuse, bien sûr. Nous avons mis une publicité dans un journal local vantant les mérites de notre produit contre le paludisme.

Ce fut une grande erreur car la station de télévision locale nous envoya immédiatement des journalistes pour nous interviewer. Nous passâmes à la télévision pour expliquer notre solution. Il faut savoir que dans ces pays, tout le monde est touché par le paludisme. C’est un sujet qui intéresse absolument tout le monde, directement ou indirectement. Toutes les populations sont concernées.

Ainsi nous passâmes pour des héros pendant trois jours. Mais la Ministre de la Santé nous convoqua. Elle nous fit comprendre que nous allions au devant de graves ennuis si nous continuions à vendre notre produit. En fait elle invoqua même la possibilité que nous allions dans une prison particulière. J’avais eu l’occasion de visiter la prison dont elle parla. J’ai compris qu’elle ne plaisantait pas.

Je fis alors appel à mon ami le Premier Ministre Adjoint, Moses NAGAMOTOO. Peu après s’être renseigné, il m’expliqua les raisons de ces paroles à notre encontre. Deux laboratoires pharmaceutiques avaient appelé la Ministre de la Santé et menacé de ne plus livrer de médicaments aux hôpitaux si on ne nous faisait pas taire rapidement.

Le gouvernement ne pouvait s’opposer à leur puissant lobby. Moses ne pouvait donc rien faire personnellement pour nous soutenir. Il suggéra quand même à la Ministre de nous laisser en liberté. Bob TATE compris que c’était le pot de terre contre le pot de fer et décida de rentrer chez lui.

Nous avions retiré nos annonces publicitaires, mais je fis l’erreur de continuer à vendre le produit aux nombreuses personnes qui en faisaient la demande. Je ne fus malheureusement pas assez discret.

Car une rumeur circula à mon propos. Heureusement, j’en fus informé rapidement. Les autorités comptaient m’accuser de crime ! Il fallait donc que je rentre chez moi aussi, ou du moins que je disparaisse. Ma chance fut que les gens de Georgetown sont plus effrayés dans la jungle que les habitants de Las Vegas ! Les autorités n’osent jamais s’engager dans leur propre jungle pour y poursuivre des criminels.

J’étais pour ma part toujours censé faire de la prospection aurifère. Nos installations étaient presque terminées. J’ai donc fait immédiatement le voyage vers l’amont de la rivière, et les approvisionnements me suivirent quelques jours après.

Je raconte ici l’une des anecdotes concernant les péripéties rencontrées avec l’Oxygène Stabilisé qui guérissait parfois le paludisme. Je n’avais pas encore établit la formule miracle que j’appelais finalement le Supplément Minéral Miraculeux.

Je suis resté environ six mois en amont de la rivière. Je travaillais sur le moulin collecteur d’or. J’avais moi-même financé cette partie de l’opération. Car Joël KANE tardait à arriver et n’avait pas encore fournit l’argent pour couvrir nos frais. Mais il arriva finalement. Cependant, après avoir constaté la quantité d’or que mon moulin générait, il a voulu reprendre tous les droits de concession, et m’offrir 3% au lieu des 20% établis au départ.

Je me suis offusqué. Nous nous sommes disputés si fort qu’il encouragea Mike, le propriétaire du terrain, à dire à ses doggers de démonter mon moulin. Celui-ci fonctionnait pourtant bien. Mais il était stipulé dans le contrat qu’on ne devait m’attribuer ces 20% que si c’était bien ma technologie qui était utilisée !

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Malheureusement pour eux, l’autre technique que mit en place KANE sur le terrain de Mike ne fonctionna pas. Donc non seulement j’ai perdu de l’argent, mais lui aussi. Cependant il était millionnaire et s’en moquait. Ca a été bien plus dur pour moi.

Au bout de six mois passés dans cette jungle, j’appris que mes problèmes avec le Ministère de la Santé avaient été oubliés. Je suis donc revenu en ville et suis rentré ensuite aux Etats-Unis.

J’avais perdu mon investissement financier, mais j’en avais appris davantage sur ce que pouvait faire l’Oxygène Stabilisé à très haute dose. J’étais devenu très excité à l’idée de poursuivre mes recherches là-dessus. L’or ne m’intéressait plus.

Je voulais comprendre pourquoi l’Oxygène Stabilisé n’avait pas fonctionné dans certains cas. Il me fallait des « cobayes » consentants. Les Etats-Unis ne regorgent pas d’individus atteints de paludisme. Et même si j’en avais trouvé suffisamment, peu, sans doute, auraient accepté de faire des essais avec moi. Je n’étais ni biologiste, ni médecin.

J’ai donc décidé de retourner au Guyana quelques mois plus tard. Je m’étais arrangé avec une société d’exploitation minière. En échange des frais du voyage, je l’aidais à améliorer son système de récupération d’or. Mais une fois sur place, je continuais aussi à travailler sur l’Oxygène Stabilisé.

Une nuit, durant ce voyage, j’ai été piqué par de nombreux moustiques. Ils m’avaient pourtant épargné lors de mes précédents périples. Mais je les laissais se rattraper ce soir là ! En fait, quand les moustiques ont commencé me à piquer, je me suis retenu de les en empêcher. Je n’y avais pas pensé plus tôt, mais l’occasion était trop belle. J’ai décidé de poursuivre la recherche en faisant des essais sur moi !

Plusieurs jours plus tard j’ai commencé à ressentir certains symptômes du paludisme. Au début cela traduit généralement par de petites indigestions après les repas. Ça n’est pas très prononcé. On ressent une sensation de nausée qui passe rapidement.

Mais plusieurs semaines plus tard je suis tombé réellement malade. J’ai donc commencé mon auto traitement. Mais j’ai voulu démarrer par un examen sanguin préalable auprès de l’hôpital de Georgetown. J’ai tenu à cela. Mais cela m’a été presque fatal. Car le bus qui allait de là où je me trouvais dans jungle jusqu’à Georgetown n’était pas venu. Or, je n’étais pas sans ignorer qu’on pouvait mourir dans ces régions si on traînait trop longtemps avant de traiter d’une manière ou d’une autre ses crises de paludisme.

Je suis devenu vraiment très malade. Pourtant, je voulais être absolument sûr, avec preuves à l’appui, que j’avais bien été atteint de paludisme. Je devais bientôt rentrer aux Etats-Unis, et n’aurais donc plus l’occasion de faire ce genre d’essais.

Pour poursuivre mes recherches sans interférences, je n’avais informé personne de mes intentions. Dès lors, me voyant très malade, mes employeurs voulurent m’envoyer en ville par avion. Sachant intérieurement que j’étais le seul responsable de cette situation, j’acceptais à condition de participer aux frais. Comme je n’en démordais pas, ils ont fini par accepter que cela se passe ainsi.

Il se trouve que nous avions une radio et qu’il existait un aérodrome assez proche. Un Cessna atterrit au quatrième jour de ma maladie. On m’a transporté en bicyclette jusqu’au lieu d’atterrissage. J’étais extrêmement faible. Puis, arrivé à Georgetown, j’ai été embarqué dans un taxi qui m’emmena directement à l’hôpital. Un des gars m’avait accompagné.

Là, j’ai attendu quelques heures avant de recevoir un test sanguin. J’avais désormais manifestement tous les symptômes du paludisme. Le docteur me l’a confirmé. Comme je lui ai indiqué que je devais repartir rapidement aux Etats-Unis, il m’a juste donné un flacon de pilules, pensant que j’allais être bien mieux soigné là-bas.

Evidemment, au lieu des pilules j’ai pris une forte dose de mon propre « médicament ». En quelques heures je me suis senti beaucoup mieux. Pour l’heure, j’étais heureux de constater que mon remède avait très bien

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fonctionné sur moi !

Afin de valider mes conclusions, je suis retourné quelques jours plus tard à l’hôpital pour un autre examen. Je me suis arrangé pour ne pas rencontrer les personnes qui s’étaient occupées de moi la première fois. Le test s’est révélé négatif au paludisme ! J’avais été aux anges ! J’étais le premier patient à avoir eu un examen sanguin avant et après avoir pris de l’Oxygène Stabilisé à très haute dose.

J’avais découvert une cure parfaitement efficace contre le parasite, preuves à l’appui ! Fort de ce succès, je n’ai pas voulu pousser davantage mes recherches et planifiais de quitter le Guyana peu après. J’avais une moto que j’avais achetée pour mes déplacements en ville lors de mon premier séjour. C’était une vieille Honda, mais elle me convenait très bien.

Alors que je la conduisais, je croisais un vieil ami du Canada qui se promenait le long d’une rue. C’était une bonne surprise ! Il était là pour de la prospection de diamant. Nous sommes tombés dans les bras l’un de l’autre. Puis nous nous sommes attablés à la terrasse d’un café situé au bord de la route. Pendant que nous causions, il remarqua la présence d’un autre ami à lui qui s’apprêtait à traverser la rue. Il l’apostropha et nous fûmes présentés. Son ami semblait très fatigué. Je lui ai demandé ce qui n’allait pas. Il était atteint de paludisme lui aussi. Je m’en doutais. Les médicaments que lui avait délivrés l’hôpital ne l’avaient pas beaucoup requinqué. Je lui fis donc mon laïus sur ce que je venais d’expérimenter. Il ne pouvait pas mieux tomber !

Ils attendirent que je rapporte de ce fameux produit car je n’en avais pas sur moi. Je l’avais laissé à la maison. A mon retour, je préparais un mélange et le lui donnais dans un verre. Nous avons continué à discuter. Une demi-heure après il nous dit :

- Vous savez, je me sens beaucoup mieux ! Ce doit être mon imagination !

Nous sommes restés assis là à bavarder environ deux bonnes heures. Nous constations son amélioration à vue d’œil. Au bout de deux heures, tous les symptômes avaient disparus.

Je lui donnais un petit flacon du produit. Le soir, il vint sonner à ma porte pour en obtenir un autre !

Je souhaitais alors terminer ma recherche et la faire connaître. C’était trop important. Il n’y avait plus à tergiverser. J’avais perfectionné un vieux remède à tel point que je devais absolument le faire connaître au monde.

Chapitre 2 – Futurs développements du MMS :

Je rentrais aux USA vers la fin de l’année 1997. Malheureusement, en raison de ma naïveté, peu avant de quitter le Guyana, une grosse somme d’argent m’avait été dérobée.

J’avais projeté de rentrer vite pour fabriquer mon propre matériel d’exploitation minière. Ceci afin de financer mes recherches sur l’Oxygène Stabilisé, en association avec Bob TATE.

Mais dès lors, nos fonds pour fabriquer les équipements d’explorations minières furent très limités. Je vendis alors, pour une somme relativement modeste, mon bateau de 13 mètres dans lequel j’habitais. Cela nous aida bien financièrement.

Je déménageais à Walker Lake dans l’état du Nevada, là où Bob TATE s’était déplacé avec mon laboratoire portable. Nous avons travaillé environ un an sur notre affaire. Bob s’occupait de la partie commerciale. Il était doué pour ça.

Malheureusement il contracta une maladie terrible et ne pu plus travailler. Nos ventes d’équipements miniers commencèrent à stagner puis s’effondrèrent. Il se trouve qu’à cette époque, nous étions focalisés sur le paludisme et il ne nous était même pas venu à l’idée que le MMS pouvait peut-être soigner Bob. Car les médecins avaient insisté sur l’aspect terrible et irrémédiable de sa maladie et nous nous étions laissé

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convaincre qu’il fallait suivre leurs propres solutions. La vie ne m’avait pas poussée encore suffisamment à perfectionner l’utilisation de ce produit et à l’utiliser sur autre chose que le paludisme.

Comble de malheur, un magazine dans lequel nous faisions de la publicité fit une énorme erreur dans une annonce et refusa de l’assumer. Cela nous coûta des milliers de dollars de pertes. Cet enchaînement d’infortunes finit par nous ruiner. Je commençais alors à toucher de modestes revenus par le bais d’une assurance que j’avais eu la bonne idée de contracter auparavant. Puis, pour me renflouer davantage, j’acceptais de vendre mes compétences pour quelques petites prospections de-ci de-là.

Pendant ce temps, avec l’aide de mon fils qui maîtrisait bien l’informatique, j’écrivais à des correspondants en Afrique. Par le truchement de nos échanges, je devins ami avec un homme en Tanzanie. Il organisait des safaris sur le Kilimandjaro. Son nom était Moses AUGUSTINO. Il voulait se faire des amis aux USA. Il espérait tomber sur une bonne opportunité lucrative américaine. Il en était à 40 dollars près. Je les lui envoyais malgré le fait que c’était de l’argent pour moi aussi. En contrepartie, je souhaitais qu’il essaie l’Oxygène Stabilisé sur des cas de paludisme en Tanzanie.

J’avais décidé à cette époque de l’appeler « Boisson de Santé Humble ». Après avoir reçu mon argent et les produits, il commença à contacter les victimes de paludisme qu’il y avait dans son entourage. Il leur délivra l’Oxygène Stabilisé selon mes instructions. De plus en plus de gens se rétablissaient rapidement, mais pas tout le monde. Il avait un ami médecin auquel il parla du produit. Ce docteur m’envoya un courriel pour me dire qu’il ne voyait pas comment de l’eau amère pouvait aider contre le paludisme ! J’envoyais deux bouteilles à ce dernier et lui enjoins d’essayer d’abord en suivant les instructions et de parler ensuite.

Cet homme eut l’honnêteté de le faire et en fut très surpris. Il se mit en tête de traiter ainsi tous ses patients atteints de paludisme. Cependant il n’y avait pas tellement de cas dans sa région. S’il y en avait eu autant que dans le sud de la Tanzanie, il aurait pu traiter des centaines de personnes. Cela aurait pu être une autre histoire. Mais il avait seulement quelques cas de paludisme par semaine. Vous trouverez dans les pages suivantes deux lettres de témoignages de la part de deux de ses patients.

Photo : Moses AUGUSTINO et sa femme aux environs de l’année 2000. Moses fut la première personne à guérir quelqu’un du paludisme en Afrique avec le MMS. Ils traitèrent ensuite beaucoup de personnes. J’obtins de précieuses informations grâce aux résultats de leurs expériences sur le terrain avec l’Oxygène Stabilisé.

Pendant ce temps je m’attachais à trouver et comprendre le principe chimique exact de l’action de l’Oxygène Stabilisé. Je cherchais aussi la raison pour laquelle ça n’était pas efficace dans 100% des cas. Ainsi j’appris que le Docteur William F. KOCH avait été le premier à travailler avec ce produit en Allemagne en 1926. Il l’utilisait sur des retardés mentaux, car il croyait que l’Oxygène Stabilisé apporterait plus d’oxygène au cerveau. Le Dr KOCH utilisa sa formule pendant dix ans. Malheureusement il n’obtint jamais les effets qu’il escomptait.

Soit la chimie n’était pas assez avancée pour que le Dr KOCH comprenne ce que ce produit faisait, soit il ne comprenait pas suffisamment la chimie générale.

La formule franchit quand même l’Atlantique et on la retrouva aux USA vers les années 1930. Au fil des ans, certains ajoutèrent divers produits, pensant que leur combinaison aiderait le corps à faire usage de l’Oxygène dilué.

Les chercheurs sur l’Oxygène Stabilisé continuaient à faire une grande erreur, et même encore aujourd’hui. En fait ce qui est appelé Oxygène Stabilisé depuis ces quatre-vingt dernières années ne contient pas vraiment d’oxygène exploitable pour le corps. Pour cela, l’oxygène doit se trouver sous sa forme élémentaire, c'est-à-dire non chargé. En d’autres termes, l’oxygène ne doit pas être sous forme d’ions d’oxygène. L’oxygène qui est dans l’Oxygène Stabilisé est de l’oxygène sous forme ionique avec une charge négative de 2. Dire que le corps pourrait l’utiliser depuis l’Oxygène Stabilisé reviendrait à dire que le corps pourrait par exemple utiliser l’oxygène contenu dans le dioxyde de carbone ou même dans l’eau.

Le dioxyde de carbone (CO2) a deux ions d’oxygène avec la même charge négative de 2. Or, respirer du dioxyde de carbone trop longtemps conduit à une mort certaine. C’est pareil pour l’eau.

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L’oxygène présent dans l’Oxygène Stabilisé devient plutôt de l’eau pour le corps. L’eau est faite d’oxygène et d’hydrogène. Sous cette forme, l’oxygène et l’hydrogène ne détruisent pas les pathogènes. Plus tard je fus étonné de trouver que plusieurs universités avaient fait aussi la même erreur au sujet de l’Oxygène Stabilisé.

Je ressentais simplement qu’il fallait améliorer le produit. Quand on inspire une bouffée d’air on aspire des millions d’atomes d’oxygène dans nos poumons. L’expiration contient de l’oxygène sous forme de gaz carbonique. La quantité d’oxygène sortante est presque la même que celle qui était entrée. Mais ce qui sort est du dioxyde de carbone. Ce n’est plus du tout pareil, bien que les ions se retrouvent à la sortie. Le dioxyde de carbone contient de l’oxygène, mais pour parler vulgairement, c’est de l’oxygène utilisé !

L’oxygène qui garde le corps en vie est oxydant. Il oxyde des choses dans le corps. L’oxydation consiste en ce que l’atome d’oxygène accepte des électrons. Cela détruit les poisons et neutralise les toxines. Il en résulte de la chaleur et du dioxyde de carbone ou du monoxyde de carbone ou d’autres combinaisons. Quand l’oxygène accepte des électrons, ce n’est alors plus un atome d’oxygène mais cela devient un ion d’oxygène avec une charge négative de 2. S’il est déjà sous forme ionique avec une charge négative de 2, comme c’est le cas dans l’Oxygène Stabilisé, il ne peut rienOxyder. Il n’a donc aucune valeur pour le corps en tant qu’oxygène.

Pourtant à ce point, je n’en savais concrètement pas davantage. Car si ce n’est pas l’oxygène qui tue le parasite du paludisme par oxydation, qu’est-ce que c’était ? Trouver et comprendre la formule de l’Oxygène Stabilisé ne fut pas simple pour moi en 1998, car mes connaissances en chimie étaient relativement limitées. La formule exacte de l’Oxygène Stabilisé n’était indiquée nulle part. J’avais fini par trouver une société qui donnait des instructions pour l’utiliser. Cela disait qu’après avoir mis les gouttes dans un verre d’eau, le produit devenait instable et qu’il ne fallait pas attendre plus d’une heure avant de le boire. Je trouvais cela très intéressant.

Je mis 10 gouttes dans un verre d’eau, j’attendis environ 8 heures et sentis l’odeur du mélange, comme les chimistes le font. Ca sentait bien sûr le chlore, comme j’avais pu le constater maintes fois auparavant. Je réalisais que si l’eau rendait l’Oxygène Stabilisé instable, c’était parce qu’elle l’avait rendue moins alcalin, donc plus neutre. J’essayais ensuite avec plus de gouttes. Puis, après avoir mis 20 gouttes d’Oxygène Stabilisé dans un verre d’eau, l’idée m’est venue d’ajouter un peu de vinaigre pour rendre la solution encore moins alcaline que ne le faisait l’eau. J’attendis plus de 24 heures cette fois-ci et pus détecter une odeur de chlore bien plus forte.

A cette époque mes amis en Afrique me faisaient confiance. Ceux pour qui ça n’avait pas fonctionné étaient donc disposés à essayer la nouvelle formule. Ils commencèrent à utiliser la formule améliorée de 20 gouttes d’Oxygène Stabilisé dans un verre plein d’eau avec une cuillère à café de vinaigre. Apres avoir attendu 24 heures ils en donnèrent à ceux qui n’avaient pas été aidés par la dose originelle. Cela fonctionna dans chaque cas quand ils utilisèrent le vinaigre et une attente de 24 heures.

Lors de mes essais, j’ai dû, un nombre incalculable de fois, contrôler mes mixtures au moyen de tests pour piscines. Je les avais achetés pour l’occasion et ils n’étaient pas donnés ! Au bout de quelques heures, les tests indiquaient un léger taux de chlore. Vingt-quatre heures après, ils indiquaient au moins 1 m (particule par million) de chlore. Je m’approchais de la réponse. Je ne réalisais pas encore que les testeurs mesuraient en fait le taux de dioxyde de chlore.

Puis je mis un couvercle sur le verre contenant les mélanges et découvris qu’il développait autant de chlore en 2 heures, qu’il ne le faisait en vingt-quatre heures sans couvercle.

Ceci, bien sûr, à condition de mettre du vinaigre. J’en découvris la raison. Le chlore s’évaporait moins vite. Je transmis mes observations en Tanzanie et ils commencèrent à utiliser cette nouvelle procédure. Ils ajoutèrent la cuillère de vinaigre, utilisèrent le couvercle et attendirent 2 heures avant de le donner aux victimes du paludisme. Cela fonctionna chaque fois. Ils ne rencontraient plus aucun échec.

J’en parle facilement aujourd’hui. Mais je fis des milliers d’essais différents au cours de l’année pour comprendre toutes les nuances. Je notais tout soigneusement à chaque fois. J’avais peu de moyens à part les tests pour piscines. Les différents produits que j’essayais coûtaient chers aussi.

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Pourtant je ne faisais rien de brillant. J’ai simplement « bricolé » avec ma faible connaissance en chimie, aidé de mes aptitudes d’explorateur. J’avais été ingénieur et chercheur pour l’industrie aérospatiale pendant 25 ans. J’avais mis au point des tests pour les bombes A et ce genre de choses. J’avais quand même une certaine expérience des tests.

================== FIN DE CORRECTIONS PAR MS (07/06/2009) =================

J’ai donc essayé plus d’une douzaine d’acides et une centaine de combinaisons. Mais bien que l’attente des deux heures soit acceptable pour un docteur, ce n’était pas très pratique. Ceux qui essayaient mes techniques étaient très souvent en déplacements. Il était contraignant de respecter cette procédure pour aider une personne atteinte de paludisme au hasard d’un voyage.

Ils avaient besoin d’une méthode pour préparer des doses en moins de cinq minutes. L’Oxygène Stabilisé est stable grâce à sa forte alcalinité. C’est l’opposé de l’acidité. Quand quelques gouttes sont ajoutées dans un verre d’eau, l’alcalinité des gouttes est neutralisée et les ions dans la solution deviennent instables. Ils commencent à libérer du chlore. En tout cas c’est ce que je croyais à l’époque. Donc la question était : comment fait-on pour que cela se fasse plus rapidement ?

Je poursuivais mes recherches par des essais avec différents acides. Presque tous y sont passés : les organiques, les minéraux, etc. Le vinaigre, composé de 5% d’acide acétique est un acide organique. Il semblait être celui qui fonctionnait le mieux. Ensuite je fis une petite découverte toute simple. Je ne rajoutais pas d’eau du tout dans les 20 gouttes d’Oxygène Stabilisé. Un quart de cuillère à café de vinaigre dans un verre vide, propre et sec, puis les gouttes, et c’était tout. Cela fonctionnait, et ne demandait que 3 minutes de repos ! Je vérifiais à nouveau avec les testeurs de chlore. Cela révélait plus de 5 ppm (particules par million) en 3 minutes de temps. Avec de l’eau cela diluait le mélange à moins de 1 ppm. Cependant, sans eau, le goût rendait la solution imbuvable. Avec de l’eau, c’était largement supportable avant que le chlore ne soit libéré.

Certaines personnes semblaient pourtant très bien supporter ce goût. Mais pour d’autres, comme les enfants par exemple, il était impossible d’approcher le verre de leur bouche.

Puis j’ai essayé différents jus pour améliorer ce goût. Il fallait quelque chose qui soit bon, mais aussi qui n’altère pas la quantité de chlore dégagée.

Apres avoir essayé beaucoup de jus et testé beaucoup de boissons, je m’arrêtais sur le jus de pomme traditionnel, celui sans vitamine C ajoutée. Je transmis cette information à mes amis en Tanzanie et ils l’utilisèrent pendant plusieurs mois. Curieusement la vitamine ajoutée dans les jus de fruit semblait réduire considérablement les effets du dioxyde de chlore. C’était d’autant plus étrange que ça n’était pas le cas avec un fruit fraîchement cueilli et pressé. La vitamine C naturelle contenue dans les fruits frais ne produit pas le même effet…

Plus tard, sans explications, je n’avais plus de nouvelle d’eux. Cela m’inquiétait car Moses faisait de fréquentes excursions sur le Kilimandjaro. Je craignais qu’il ne lui soit arrivé quelque chose. Son ami médecin me confirma qu’il n’avait plus de nouvelles non plus et qu’il comptait déménager. Je n’entendis plus jamais parler d’eux malgré mes nombreux courriels. Leurs rapports m’étaient précieux pour les recherches et je manquais désormais de praticiens et de « cobayes ».

J’ai finalement découvert la formule de l’Oxygène Stabilisé. N’importe quel chercheur l’aurait trouvé en une demi-heure, mais vivant sur un lac désert avec un revenu très modeste, cela me prit du temps.

La formule est NaClO2.

Le nom est chlorite de sodium (Natrium Chlorite).

Ca ressemble à la formule du sel, mais ça n’est pas tout à fait ça. Celle du sel de table est Na Cl et son nom est chlorure de sodium. Notez la différence des deux dernières lettres. L’un est chlorite, et l’autre est chlorure.

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Voici maintenant la raison pour laquelle les autres chercheurs n’avaient pas été plus loin avec cette formule.

L’odeur de chlore que je sentais était en fait autre chose dans l’air flottant au dessus de la solution. Car, en réalité il n’y avait pas de chlore dedans. Ce qui sentait était du dioxyde de Chlore. C’est bien différent, un peu comme le CO2 (gaz carbonique) est bien différent de l’O2 (l’oxygène).

Le chlorite de sodium (Oxygène Stabilisé) est hautement alcalin (le contraire d’acide). Quand il est neutralisé par de l’acide, il devient ce qu’on appelle instable et se met à diffuser du dioxyde de chlore, et non pas de l’oxygène ni du chlore. Mais c’est là que l’oxygène entre en jeu. La formule pour le dioxyde de chlore est ClO2. C’est un ion de chlore et deux ions d’oxygène. Le corps ne peut pas utiliser cet oxygène car il a perdu sa capacité à oxyder. L’ion de dioxyde de chlore, en revanche, est devenu par réaction un puissant oxydant. Le dioxyde de chlore est explosif. Il ne peut pas être stocké facilement car il exploserait et détruirait son container. Il est généralement produit sur le lieu de son utilisation car il peut difficilement être déplacé. Même une particule aussi petite qu’un seul ion de dioxyde de chlore explosera s’il entre en contact avec n’importe quelle particule acide ou particulièrement un agent pathogène situé dans le corps.

Une explosion est en fait une simple réaction chimique dégageant de l’énergie. C’est généralement une sorte d’oxydation. Quand un ion de dioxyde de chlore rencontre un agent pathogène, il prend 5 électrons comme charge et le résultat instantané est une oxydation. C’est une sorte d’explosion de l’élément précédent. Le résultat en est que l’ion de chlore est complètement neutralisé. Les deux ions d’oxygène qui faisaient partie de l’ion de dioxyde de chlore sont neutres, ce qui représente pour l’oxygène est un état de -2.

Cela signifie que l’ion d’oxygène ne peut plus rien oxyder, il ne peut que devenir de l’eau dans le corps. Le corps ne peut plus l’utiliser pour aucune sorte d’oxydation. L’ion de chlore devient un chlorure, c’est à dire juste du sel de table sans aucun autre pouvoir particulier. Tous les deux, l’oxygène et le dioxyde de chlore n’ont maintenant plus aucune charge qui puisse engendrer de l’oxydation. C’est donc l’ion de dioxyde de chlore qui fait le travail et c’est des centaines de fois plus puissant que l’oxygène seul.

Les chercheurs précédents s’étaient focalisés sur l’aspect Oxygène du produit. Ils n’avaient pas saisis que dans tous les cas, une inspiration profonde fournit bien plus d’oxygène au corps humain que ce que l’Oxygène Stabilisé pouvait éventuellement délivrer selon leurs suppositions. Donc quel était l’intérêt du produit selon leur logique ? Je l’ignore, mais les gens avaient simplement constaté qu’il pouvait soulager de certains maux dans quelques cas.

En fait lorsqu’on boit de l’Oxygène Stabilisé, l’oxygène devient de l’eau mais il ne peut pas être utilisé par le corps pour quelque chose d’autre. Le dioxyde de chlore fournit des électrons, mais il ne fournit pas d’oxygène. L’ion de dioxyde de chlore est un oxydant, pas l’oxygène dans ce cas. L’oxygène n’est pas le seul oxydant. Toute réaction au cours de laquelle des électrons sont transférés est considérée comme une oxydation. Si les chercheurs qui travaillaient avec l’Oxygène Stabilisé avaient été rompus à la chimie, ils auraient peut être mieux saisi leur erreur de base.

Il y a bien plus à dire sur cette formule et des réactions qu’elle entraîne et je compte bien le faire au cours de ce récit. Mais il me semble qu’il fallait mettre un terme à tout ce fatras d’idées erronées au sujet de l’Oxygène Stabilisé. Elles m’avaient conduit bien souvent dans des impasses. Comme les autres, j’étais parti de postulats complètement absurdes. Il y a de nombreuses expériences que j’aurais pu éviter si j’avais su tout cela au début. J’aurais gagné un temps précieux. Néanmoins je vous les ai épargnées durant ce récit.

A une époque j’emménageais à quelques kilomètres de la ville de Mina, toujours dans le Nevada. Je continuais d’échanger des mails avec d’autres personnes en Afrique. A quarante cinq kilomètres se trouve Hawthorne, une autre ville du Nevada. J’y faisais la connaissance de J. Andrew NEHRING, un petit commerçant qui tenait une boutique de loisirs. Nous avions des amis communs. Il était rentré quelques semaines plus tôt de la célèbre Clinique Mayo. Il y avait été opéré d’un cancer du pancréas. Il continuait d’être suivi par l’hôpital d’une ville voisine.

Malheureusement ses examens révélèrent une aggravation de la tumeur. Il devait subir une autre intervention chirurgicale à la Clinique Mayo. L’opération venait d’être fixée à environ deux mois plus tard. Un jour qu’il m’accompagnait voir un de nos amis communs, il m’entendit parler de ma solution. Bien que j’avais vanté les

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mérites de ce produit pour le paludisme, il se demanda si cela pouvait l’aider dans son cas de cancer.

J’avais entendu dire que des personnes avaient essayé l’Oxygène Stabilisé pour le cancer avec quelques maigres succès. Après réflexion je songeais que l’addition de vinaigre avait peut-être pu rendre la solution bien plus efficace sur ce point aussi. Ça avait été le cas pour le paludisme. Pourquoi ne pas essayer ? Je n’avais eu aucun rapport indiquant des effets secondaires négatifs de longue durée.

Il décida donc de prendre tous les jours de l’Oxygène Stabilisé en utilisant le vinaigre comme activateur. Deux semaines plus tard, ses examens indiquaient une régression de sa tumeur. Celle-ci se poursuivit de façon très nette jusqu’à sa disparition totale au bout de quelques semaines. Les médecins n’y comprenaient rien mais son rendez vous à la Clinique Mayo fut annulé. Ils cherchèrent à comprendre, mais nous nous sommes gardés d’expliquer quoi que ce soit. Je préférais tirer les leçons de mon deuxième passage au Guyana. Je ne me sentais pas encore certain de mon produit au point d’en garantir une efficacité absolue et tenir tête aux autorités médicales.

Aujourd’hui cette expérience n’est pour moi qu’une simple anecdote concernant le MMS et le cancer. Il y en eu beaucoup d’autres durant ces dix dernières années. Pour ne pas alourdir cet ouvrage, je les tiens à la disposition du lecteur intéressé, sur sa simple demande.

A cette époque donc, mon plan était de terminer la recherche et de répandre cette information de part le monde. J’élaborais une stratégie pour diffuser cette connaissance à travers Internet. J’avais planifié des envois d’emails en très grand nombre. J’imaginais un fichier exécutable non viral contenant toute la connaissance du MMS. Ce fichier proposait en fin de lecture de s’envoyer automatiquement à tout ou partie du répertoire contenu dans l’ordinateur. C’était pour moi un mode de diffusion très efficace. Mais l’on m’indiqua que les internautes se méfient des fichiers exécutables comme de la peste. Car il peut s’agir justement d’un virus. Un livre me semblait donc préférable mais quelqu’un me convainquit du contraire.

Je vendais mon procédé spécial que j’avais mis au point pour extraire l’or pour la modique somme de 17 000 dollars.

Puis je trouvais par Internet une société susceptible de développer mon idée de logiciel de distribution. Je me mis en rapport avec eux. Nous convînmes d’un acompte de 5.000 dollars augmenté au fur et à mesure du développement.

Il s’avéra que c’était une pure escroquerie. Je n’obtins jamais ce que j’avais demandé malgré avoir été délesté de 14.000 dollars. La société s’appelle Danube Technologies Inc., située à Seattle, Washington.

Ils prétendirent qu’ils m’enverraient le logiciel une fois achevé. Leur première proposition était prévue le 9 avril 2001. Mon dernier paiement a eu lieu le 11 novembre 2001. Le programme livré n’a jamais fonctionné comme je le souhaitais. Ils prétendirent que si mais que c’était illégal et qu’ils ne feraient rien de plus.

Six ans plus tard, j’ai finalement pu établir un petit site Internet, grâce auquel vous avez pu avoir accès à ce livre. Mais je songe aux centaines de milliers de personnes qui n’ont pas pu utiliser le MMS durant cette période…

L’on peut raisonnablement penser que des philanthropes comme Ophra WINFREY ou Bill GATES s’empresseraient de financer la diffusion d’un produit comme le MMS. Mais ça n’est pas le cas. Il m’a fallut des années pour être complètement désillusionné sur cette question. Ophra s’intéresse à l’audience de ses programmes TV, et Bill GATES cherche la reconnaissance de ses pairs en leur permettant d’augmenter leur puissance. Il n’avait rien à faire d’un petit gars comme moi. Ses millions vont aux grands laboratoires pharmaceutiques qui lui fournissent en retour de puissants appuis à l’échelle internationale.

Si l’on n’est pas soutenu par un groupe fort, investir dans quelque chose qui réduit le revenu des sociétés pharmaceutiques est suicidaire, même si la chose est efficace. Par l’intermédiaire de l’un de ses sbires, Bill GATES me fit savoir par téléphone qu’il ne nous apporterait aucune aide tant que nous n’aurions pas obtenu l’accord de la FDA (Food and Drug Administration). Or, obtenir cet accord, cela revenait à dépenser plusieurs millions de dollars. C’était justement pour ça que nous avions besoin de Bill GATES, entre autres !!

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J’ai envoyé beaucoup de lettres à des personnes influentes et à des douzaines d’organisations, en vain. Beaucoup semblaient pourtant intéressées. Mais depuis une centaine d’années, les médecins et la médecine sont tenus à coup de milliards provenant des laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers ont réussi à faire voter des lois au parlement afin d’écarter toute médecine alternative qui ne suit pas les dogmes officiels. Ils font passer les gens sincères comme moi pour des escrocs ou des charlatans. Pourtant, petit à petit, des millions de gens finissent par comprendre que nous ne le sommes pas.

Malgré les mises en garde provenant du milieu médical, de plus en plus d’individus découvrent chaque année des solutions à leurs maux par la médecine alternative. C’est aussi désormais un marché de plusieurs milliards de dollars qui échappe aux laboratoires. Des millions d’Américains concernés font leur choix. Ils ne sont pas tous stupides et ceux-là obtiennent de l’aide qui les sort vraiment de l’ornière.

Depuis la première parution de ce livre, la FDA a annoncé son intention de faire fermer au moins 50% des commerces de médecine alternative. La nouvelle loi établie par le congrès américain donne à la FDA tout pouvoir. Elle exige désormais que tous les compléments alimentaires, qui ne sont pourtant pas des médicaments, soient testés pour prouver leur efficacité. Ca paraît d’autant plus ridicule que le but ces compléments n’est pas de guérir, quoique cela arrive parfois parce qu’ils fournissent au corps ce qui lui manquait, mais de maintenir les gens en bonne santé. Tout cela veut dire que la FDA peut désormais stopper n’importe qui n’importe quand sur simples présomptions.

Les défenseurs de sa paroisse savent parfaitement qu’il en coûterait au minimum cinq millions de dollars pour l’homologation d’un seul de ces compléments, telle qu’une vitamine ou un sel minéral. C’est une manière pour eux de s’approprier également ce domaine. Car les compagnies qui vendent ces produits sains n’ont pas la puissance financière des laboratoires établis et soutenus par les gouvernements.

Alors que près d’un million de personnes meurent chaque année pratiquement à cause des médicaments et de la politique sous jacente qui y mène, l’industrie des compléments alimentaires n’enregistre même pas un mort par an. Mais si quelqu’un prétend avoir été malade à cause d’un de ces compléments, la FDA est en droit de faire fermer la société qui le commercialise. Dans tous les des cas, même si rien de vrai n’est avéré, le complément mettra beaucoup de temps avant d’être de nouveau commercialisé. Il est évident que tout ceci provient d’une politique destinée à faire en sorte que plus rien d’autre que les médicaments vendus à prix forts par les laboratoires pharmaceutiques ne soit à la disposition des gens.

Comme, en plus, la civilisation progresse vers une mondialisation, cet état de fait est en train de s’étendre à l’extérieur des frontières américaines. Peu à peu, l’Europe et les pays de l’Est sont en train de subir l’influence de groupes comme la FDA. Celle-ci les conseille d’ailleurs souvent.

Chapitre 3 – Oxygène Stabilisé, MMS, et un contrat :

Donc, comme je l’expliquais dans le chapitre précédent, j’emménageais en 2001 dans la petite ville de Mina, dans l’état du Nevada. J’y étais logé gratuitement sur un site d’exploitation minière par mon ami Dick JOHNSON. Il voulait m’aider dans mes recherches. Cela me permit d’économiser quelques dollars et de pousser ainsi mes investigations sur l’Oxygène Stabilisé. Au cours de la première année passée là-bas, j’y rencontrais un homme aux multiples talents que j’appellerais Arnold. J’ai volontairement modifié son nom afin de ne pas trop l’accabler, bien qu’il m’ait causé beaucoup d’ennuis et de perte de temps.

Il faut savoir que les mélanges à base d’Oxygène Stabilisé ont été renommés plusieurs fois depuis le début de mes essais avant que je ne trouve la bonne formule. Il n’est pas facile d’obtenir du Chlorite de Sodium, mais c’est toutefois faisable. Je parle davantage de ces détails techniques dans mon deuxième livre. On en trouve en vente chez quelques fournisseurs de produits chimiques.

J’ai décidé de reprendre le problème à sa source et, après différents essais, je me suis mis à préparer une solution beaucoup plus concentrée que l’Oxygène Stabilisé vendu habituellement dans le commerce. Pendant longtemps l’Oxygène Stabilisé était concentré à 3,5% de chlorite de sodium. Aujourd’hui, la solution que je préconise et que j’ai définitivement nommé « The Miracle Minéral Supplement (MMS) » (le Complément

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Minéral Miraculeux) a une teneur de 28% de chlorite de sodium. C’est huit fois plus fort que l’Oxygène Stabilisé commercialisé habituellement.

Il possède théoriquement un pouvoir de guérison huit fois supérieur à l’Oxygène Stabilisé classique et c’est le cas. C’est très appréciable, surtout lors d’excursions à travers la jungle ! Cependant, mes expériences m’ont indiquées que 28% était la concentration idéale. Une concentration plus élevée provoque trop de désagréments pour le corps chez beaucoup de gens. Cela peut être dangereux. Je ne l’ai évidemment pas vérifié sur le long terme, mais au vu des réactions, on peut le supposer.

Jusqu’à présent les chercheurs utilisaient cinq à vingt gouttes maximum de la solution à 3,5%. Dans toutes les documentations que j’ai pu trouver sur ce produit, personne n’avait osé essayer plus de 25 gouttes, et encore très peu allèrent jusque là.

Pour ma part, j’avais déjà utilisé le produit sur moi. J’ai bien vu que les réactions inconfortables éventuelles, aussi terribles qu’elles soient, n’étaient que passagères et conduisaient toujours à un mieux être. Donc quand je commençais à essayer ce produit contre le paludisme et autres maladies, je n’eu pas peur d’en donner davantage. Bien sûr j’aurais pu me tromper fatalement, mais j’ai penché pour l’idée simple de la quantité. Si dix gouttes fonctionnaient un peu, 40 gouttes seraient 4 fois plus efficaces !

Mais je faisais toujours un essai sur moi avant de délivrer une concentration élevée de chlorite de sodium à quelqu’un. Généralement les « patients » acceptaient d’en prendre après que je l’ai testé sur moi. Je ne suis pas allé de dix gouttes à cent vingt directement. Je me fixais un objectif de 120 gouttes, par exemple, et y allait progressivement. Puis je trouvais des raccourcis pour mes « patients ». Par exemple, au lieu de boire 100 gouttes en une fois, je répartissais cela en quatre prises de 25 gouttes espacées d’une heure. Puis j’observais l’efficacité et le niveau de tolérance du corps et comparais à l’effet d’une seule prise.

Ainsi je finis par trouver le niveau moyen de tolérance au produit et le dosage idéal pour lui permettre d’agir efficacement. Ce n’est pas un médicament, c’est un complément minéral. Je ne suis ni un inventeur ni un médecin. Je ne sais même pas ce que dit le serment d’Hippocrate. Pour que l’on ne s’y méprenne pas, je répète que je n’essaye pas de faire ce que font les médecins. J’ai cherché à développer un moyen sûr d’éradiquer le paludisme à partir de mes observations sur un produit particulier auquel le hasard de la vie m’avait familiarisé. Je pense n’avoir jamais mis quelqu’un en danger. J’ai pourtant personnellement « traité » plus de deux mille personnes.

Ensuite, aidé de mes équipes de « chercheurs praticiens » que j’avais formés sur le terrain au Guyana, en Tanzanie et ailleurs, et même par correspondance, nous avons pu traiter plusieurs dizaine de milliers de cas de paludisme et autres maladies. Ceux-là furent guéris à coup sûr, et pas un seul mort ne fut signalé durant cette période. L’on aurait pu s’attendre raisonnablement à plusieurs dizaines de décès selon les statistiques médicales habituelles pour une telle quantité de gens « traités ».

Quand je parle de cas guéris, je ne fais pas référence aux styles de rétablissements habituels rencontrés avec les traitements médicaux allopathiques. En faits, les personnes malades que nous avons soignées se sont relevées le sourire aux lèvres et sont rentrées chez elles complètement « lavées » de leurs symptômes accablants. Elles n’ont pas rechuté aux dernières nouvelles. Pour des observateurs objectifs il s’agissait à chaque fois de miracle pur et simple. C’est pourquoi j’ai nommé ma mixture le Supplément Minéral Miraculeux (MMS). Cela ne fait peut-être pas sérieux ou scientifique comme dénomination, mais qu’importe ! Je ne veux surtout pas que l’on noie le MMS dans la myriade de médicaments aux noms pompeux. Cette désignation veut bien dire ce qu’elle exprime.

Je précise toutefois que nous n’avons pas fait d’essais en double ou en triple aveugle. Non. Nous ne disposions pas de suffisamment de moyens pour ça. Nous avons tout tenté pour nous faire soutenir financièrement par des gens comme Bill GATES afin d’homologuer notre produit. Nous avions eu la naïveté de croire que nous pourrions le commercialiser par les circuits de distributions pharmaceutiques classiques. Nous avons rencontré des fins de non-recevoir quand ce n’était pas des attaques directes ou dissimulées. Tout au mieux nous avait-on répondu par téléphone, comme dans le cas de Bill GATES, qu’on ne pourrait pas nous aider tant que nous ne serions pas approuvés par la FDA. C’était le chat qui se mordait la queue ! Les procédures d’agrément exigées de la FDA coûtent des millions et c’est pour cela que nous faisions appel à eux !

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En fait, aujourd’hui je ne regrette pas du tout que le produit n’ait pas été repris par un laboratoire pharmaceutique. Qui sait ce qu’ils en auraient fait ! Ils l’auraient probablement enterré ou altéré pour qu’il ne soit plus aussi efficace.

Partout les malades qui purent retourner en pleine forme à leur travail grâce au MMS, se fichaient bien que de savoir si nous avions l’accord de la FDA ou pas. A ce propos, quand j’ai cherché à joindre les responsables de cet organisme pour expliquer nos problèmes, ils me firent comprendre qu’ils n’étaient pas directement impliqués dans mes déboires au Guyana et n’avaient pas encore beaucoup de pouvoir en Afrique. Ils n’interviendraient donc pas sur mes essais là-bas. En revanche je fus averti en substance que si je comptais faire de même sur leur territoire, en Amérique du Nord, alors là, cela serait une toute autre histoire.

Ils se moquent de savoir si c’est un médicament ou pas. A la minute où l’on parle de traiter une maladie, cela est considéré comme tel. On a intérêt dès lors à avoir passé les innombrables tests et évaluations en laboratoire. Seules les grandes puissances de ce système peuvent se payer ce luxe. Cela coûte des millions de dollars.

Le Malawi accepte maintenant le MMS comme complément minéral pouvant être donné librement. C’est une victoire. Les autorités, dont plusieurs membres ont été traités individuellement, se sont montrées raisonnables après constatation des résultats sur eux-mêmes et de leurs collègues. Ces faits ont été passés sous silence dans les pays occidentaux. Je me dis qu’il existe sans doute un système qui est bien tenu dans le monde occidental avec la complicité des médias. Ca n’est pas possible autrement.

Donc il y a peu de chances que nous puissions faire éclater cette vérité chez nous. Cela doit se faire de bouche à oreille, discrètement, ainsi que vous en avez eu la connaissance vous-même. Les sociétés pharmaceutiques se sont sans doute offertes les gouvernements à coup de milliards, pour qu’il existe autant de lois en leur faveur. Au risque de me répéter, je rappelle qu’aux Etats-Unis il y a plus de neuf cent mille personnes qui meurent chaque année pour des raisons liées de près ou de loin à l’utilisation de médicaments.

Par contre, quand une seule personne meurt soi-disant à cause d’un complément alimentaire acheté dans un magasin, la FDA se sert de ce prétexte pour fondre sur lui et la société qui le commercialise, si celle-ci ne fait pas partie du cartel des Laboratoires officiels. Les sociétés pharmaceutiques soutenues par la FDA font progressivement interdire tout ce qui pourrait réduire leur suprématie et leurs profits.

C’est démentiel. Mais c’est ainsi, au détriment des populations maintenues dans cette ignorance grâce aux médias. Les gens ne savent qu’il existe des produits réellement plus efficaces et plus sains que ce que les pharmacies et le système médical impose. Ils ne se doutent pas du tout du piège dans lequel ils tombent lorsqu’ils mettent un pied dans ce système. Je ne cherche pas à apporter de l’eau au moulin des théoriciens d’une conspiration mondiale, mais je peux décrire ce que je constate. Je ne suis heureusement pas le seul à le faire. Comment avons-nous pu laisser un tel carcan s’établir aussi insidieusement ? Et comment nous, la majorité de la population, pouvons-nous être tellement impuissants face à cette situation ? Comment pourrions-nous aujourd’hui renverser ce système, face à l’armada de lois qui soutiennent le lobby pharmaceutique et ceux qui en vivent ?

Ce sont des questions que je me pose souvent. La seule solution que j’ai trouvé, c’est le bouche à oreille, avec l’espoir que les médecins et ceux qui les gouvernent finissent par être contraints eux-mêmes de reconnaître les faits. J’ignore combien de temps cela peut prendre. Mais peu importe, je reste confiant dans l’idée que la vérité finit toujours par triompher.

Les médecins et les spécialistes de la santé sont « formatés » par des universités dont les programmes d’enseignements sont bien établis par les Ministères de l’Education et de la Santé de la plupart des pays. Cela semble une bonne chose qu’il en soit ainsi. Mais regardons d’un peu plus près cette situation. Il faut être docteur, avoir fait des études cliniques, avoir des millions pour faire des essais en double, puis en triple aveugle, et remplir des douzaines d’autres exigences pour être accepté en tant que découvreur dans le domaine médical. Aucun crédit n’est accordé pour faire ce genre des recherches si on ne fait pas partie du système scientifique officiel. Les lois indiquent que nous sommes simplement obligés de passer par leurs protocoles.

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Comment peut-on, dans ces conditions, laisser la liberté à chacun de proposer des solutions qui s’avéreraient peut-être efficace pour traiter une maladie ? Faut-il nécessairement être un « expert » d’un domaine particulier pour découvrir un fait utile ? Non je ne le crois pas. Au contraire peut-être. On a plus de recul ainsi.

Les médicaments actuels traitent majoritairement des symptômes, et non pas des causes des maladies. C’est un vieux refrain, certes, mais c’est un fait. Le MMS éradique les maladies jusque dans leurs racines. Il les élimine au cœur même de l’organisme. Il va chercher le mal là où il demeure encore à l’état de trace, tapie sous forme de germes qui ne demandent qu’à renaître de leurs cendres.

Quel intérêt auraient les vendeurs de médicaments à trouver un traitement qui ferait définitivement disparaître une maladie ? Est-ce que beaucoup se posent cette question ? De nombreuses personnes se la sont posée. Mais pas la FDA.

L’explication est qu’aussi longtemps que l’on traitera des symptômes, le mal subsistera, et l’on pourra continuer de vendre au patient des médicaments jusqu'à ce qu’il meurt, le plus tard possible, bien sûr.

J’ai rencontré des gens riches prêts à distribuer le MMS à Haïti. Ils voulaient éliminer le paludisme là-bas. Mais en approchant une quinzaine de cliniques de la région, nous avons découvert qu’elles étaient toutes contrôlées par des entités américaines. Nous en avons contacté les responsables. Curieusement, ils étaient totalement déterminés à ce que nous ne puissions pas délivrer le MMS, pas même à une seule personne de leurs cliniques.

Dès lors, des milliers de gens continuent d’avoir le paludisme là-bas. Pourtant, dans la plupart des cas, il suffit de 30 gouttes de MMS données en deux fois espacées de trois heures, pour soulager considérablement un individu atteint de paludisme. Le MMS est huit fois plus puissant que l’Oxygène Stabilisé classique (avec de l’Oxygène Stabilisé normal, il aurait fallut au moins 240 gouttes pour atteindre à peu près le même résultat).

Y a t-il eu des blessés avec le MMS ? Non, aucun. Y a t-il eu plainte de la part des patients traités ? Non plus. Nous avons obtenus des milliers d’individus heureux d’avoir été guéris définitivement. Dans un pour cent des cas l’on observe des réactions indésirables, c’est à dire inconfortables. Mais il ne s’agit pas d’effets secondaires négatifs dans le vrai sens du terme. Car ces effets disparaissent aussi sûrement qu’ils sont apparus lorsqu’on poursuit le traitement. Et quelle que soit la réaction, elle dure le plus souvent moins d’une heure.

Les réactions indésirables du MMS sont toujours positives pour le corps. Il semble qu’elles proviennent de son réajustement parce que le MMS détruit les cellules et les germes à l’origine de la maladie. Le corps veut ensuite éliminer rapidement les éléments toxiques que le MMS aura délogés. Après maintes expériences je peux garantir que le MMS n’a aucun effet négatif sur les cellules saines. Au pire, il ne se passe rien. En revanche, plus un corps est malade et plus le produit aura de l’effet. Il paraîtra donc d’autant moins supportable que l’organisme en a besoin !

Le MMS (solution à 28% de chlorite de sodium) produit du dioxyde de chlore (CLO2) lorsqu’il est mélangé à du vinaigre. L’acide acétique contenu dans le vinaigre neutralise la solution et la rend instable. Le vinaigre, en quelque sorte, bouleverse le milieu très alcalin de la solution. La réaction se traduit entre autre par de la diffusion de dioxyde de chlore. Nous savons que pour un dosage standard, il se crée approximativement 3 mg de dioxyde de chlore en 3 minutes.

Puis, quand on ajoute du jus de pomme (ou tout autre jus sans vitamine C ajoutée et hormis le jus d’orange), la solution de MMS continue de produire du dioxyde de chlore, mais beaucoup plus lentement. Autrement dit la réaction se fait désormais essentiellement après avoir ingurgité le produit. Elle continue de s’effectuer dans le corps. Chaque ion de dioxyde de chlore généré est transporté par le sang et va s’en prendre aux éléments qui n’ont rien à y faire. Pour imager la chose, c’est presque un lavage interne à la javel sans danger pour l’organisme !

Le chlore et le dioxyde de chlore sont utilisés pour assainir l’eau et désinfecter les hôpitaux. C’est l’un des plus puissants antiseptiques reconnus comme tels. On utilise d’ailleurs de plus en plus le dioxyde de chlore pour assainir les eaux à la place du chlore. La FDA l’autorise pour la désinfection des poulets et autres aliments.

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Les recherches ont prouvées que le dioxyde de chlore représente beaucoup moins de dangers que le chlore. Le chlore provoque des réactions dans le corps humain qui peuvent être cancérigènes. Ce n’est pas le cas du dioxyde de chlore. Il cible mieux les agents pathogènes dans l’eau sans réagir avec les autres éléments. C’est le principe de fonctionnement du système immunitaire !

La Société Américaine de Chimie Analytique déclarait en 1999 que le dioxyde de chlore était le plus efficace des désinfectants connus. Puisqu’il en est ainsi, les chercheurs auraient pu se pencher sur l’idée qu’il puisse être utilisé à l’intérieur des organismes. Malheureusement, je pense que le dioxyde de chlore est encore assimilé au simple chlore dans l’esprit des gens. La réaction classique des scientifiques auxquels j’ai parlé de cela consistait à réfuter mes arguments, car ils se demandaient comment le corps supporterait-il de la javel en interne qui est considérée comme un poison ! Ils se méprennent complètement sur cette molécule.

Les groupes pharmaceutiques auraient très bien pu découvrir cela depuis très longtemps, mais curieusement, ils ne l’ont pas fait. Il est impensable que des recherches n’aient pas été approfondies au sujet d’une solution buvable pourtant utilisée depuis un siècle pour désinfecter toute chose. Je parle de l’Oxygène Stabilisé. Ils refusèrent simplement de l’évaluer ou de déterminer son potentiel.

Or, que se passe-t-il quand on ingurgite de l’Oxygène Stabilisé ? En premier lieu, il va dans l’estomac. Certaines publications scientifiques indiquent que l’oxygène se sépare immédiatement lorsqu’il entre en contact avec l’acide gastrique. C’est leur théorie basée sur la chimie, mais pas sur les faits. Rien ne prouve cette hypothèse. J’ai utilisé de l’acide stomacal dans un tube à essai et je n’ai jamais pu confirmer cela. La molécule de chlorite de sodium semblait demeurer intacte, même avec de l’acide trois fois plus concentré.

En fait, quand la molécule de chlorite de sodium se brise, les résidus sont du sel et de l’eau ! C’est tout ce qui reste. Il n’y a rien d’autre laissé derrière. Le dioxyde de chlore explose au contact d’éléments pathogènes. Il accepte 5 électrons avec une très grande énergie, et cela sera quasiment toujours des éléments qui sont mauvais pour le corps et reconnaissable à leur différence de PH, même très légère par rapport à celui de l’organisme.

Il n’entre même pas en contact avec les cellules saines. Je décris davantage ce phénomène plus loin. Encore une fois, c’est le dioxyde de chlore qui est l’oxydant, pas l’oxygène. Sans l’utilisation d’un acide, trop peu de dioxyde de chlore serait produit. Tout le bénéfice de l’Oxygène Stabilisé se révèle avec de l’acide lorsqu’il est ajouté dans les bonnes proportions. Nous comprenons mieux la raison pour laquelle l’Oxygène Stabilisé provoquait parfois un rétablissement. Le dioxyde de chlore en était le principe actif. Et contrairement aux idées qui circulaient à l’époque, l’oxygène qui est libéré par le dioxyde de chlore n’est pas utilisable par le corps.

L’Oxygène Stabilisé que l’on vendait autrefois s’appelle aujourd’hui « solution de chlorite de sodium ». Avec 20 gouttes, une demi cuillère à café de vinaigre et du jus de pomme, le corps reçoit une dose d’environ 3 milligrammes de dioxyde de chlore. La solution continue ensuite de générer cette molécule pendant environ douze heures. En revanche, ce qui est intéressant, c’est que les globules rouges transportent le dioxyde de chlore à travers le corps comme si c’était de l’oxygène. S’il rencontre par exemple un parasite du paludisme, celui-ci sera détruit, tout comme l’ion de dioxyde de chlore. Les résidus qui en résultent sont de l’eau, du sel et les « cadavres » des parasites que le corps s’efforce ensuite d’éliminer. C’est pourquoi je conseille fortement aussi de boire beaucoup le lendemain de la prise de MMS. Le dioxyde de chlore a un pouvoir d’oxydation 100 fois supérieur à celui de l’oxygène. Malgré cela il n’endommagera pas les cellules saines.

J’aime comparer l’ion de dioxyde de chlore à Taz, le Démon de Tasmanie. Les germes des maladies seraient de méchants terroristes. Le Démon de Tasmanie est un petit gars, mais il est connu des siens pour sa grande férocité. Le globule rouge est le bus qui transporte tous les jours M. Oxygène. Un jour, il transporte aussi le démon de Tasmanie car le conducteur n’a rien à craindre. Taz, le dioxyde de chlore, est déposé par le globule rouge là où M. Oxygène descend habituellement. Les terroristes ne se doutent pas de sa férocité. Ils sont habitués à voir M. Oxygène. Mais cette fois il y a une surprise. Le gars qui descend du bus est féroce. Il est bien pire que M. Oxygène, dont ils avaient l’habitude de se moquer. C’est alors que Taz, le dioxyde de chlore, les massacre tous sans même qu’ils n’aient eu le temps de réagir.

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Si le dioxyde de chlore n’entre pas en contact avec un élément pathogène, il se détériore en gagnant un ou deux électrons. Puis il se fond dans le mélange d’acide hypochlorique généré par le système immunitaire. L’acide hypochlorique est très important pour la défense immunitaire. Il créé un milieu hostile pour les agents pathogènes et les cellules cancéreuses, de la même manière que la javel pour les bactéries.

Une déficience dans ce domaine s’appelle une déficience de myélopéroxydase. Beaucoup de personnes sont atteints de cette déficience et cela peut être une grande faiblesse en période de maladie. Nous savons que le chlorite de sodium continue de générer du dioxyde de chlore à m’intérieur même du corps une fois qu’il est ingéré. Nous savons aussi le dioxyde de chlore s’attaque aux pathogènes de l’organisme. Il neutralise également certains poisons. C’est la raison pour laquelle une personne atteinte de paludisme passe souvent de très malade à tout à fait guéri en moins de 4 heures. Les poisons que le paludisme génère sont neutralisés par le dioxyde de chlore et en même temps que les parasites sont tués.

Un jour j’ai tenté l’expérience avec un chien qui venait d’être mordu par un serpent très venimeux. Je lui ai donné à boire de notre solution toutes les demi-heures. Les chiens sentent quand on veut les aider. C’est difficile à croire quand on connaît l’odeur et l’aspect du MMS mais celui-ci a tout bu à chaque fois. Il fut rétabli en quelques heures. Le poison avait été neutralisé par le dioxyde de chlore.

Lorsque j’étais à Mina dans le Nevada, j’ai pu commander un bidon de 50 kilogrammes de chlorite de sodium. L’ami JOHNSON qui m’hébergeait fit de même. Je commençais à soigner quelques personnes en ville puis à vendre la solution. Je la mettais en bouteille dans ma cuisine. Il y a un certain nombre de personnes de ce côté qui utilise maintenant le MMS, et ce depuis plusieurs années. J’ai envoyé des bouteilles partout dans le monde et beaucoup de gens l’ont utilisé pour traiter des cancers et autres maladies causées par des bactéries, des virus, des champignons, des levures ou tout autre pathogènes.

Un jour je fus approché par Arnold, un homme d’affaire qui vivait à Reno et dont je tairai le nom pour les raisons que j’ai indiqué précédemment. Il possédait une mine d’or fermée, à Mina. Il me demanda d’évaluer le potentiel résiduel de la mine. Nous avons discuté d’un peu de tout et il fut très impressionné par mes recherches contre le paludisme. Nous nous sommes liés d’amitié en quelques jours puis avons fini par signer un contrat. Il financerait mes recherches et le développement du MMS à l’échelle mondiale. Il voulait mettre en place un site Internet à Budapest, et vendre le MMS depuis là-bas. Cependant, comme tous les riches que j’avais rencontrés, il ne voulu pas investir son propre argent, ainsi que je le comprendrais plus tard.

Il s’intéressait aux groupes humanitaires. Il passait pour un grand humanitaire lui-même. Il aidait les sans abris à Reno. Il s’arrêtait toujours pour aider quelqu’un dans le besoin. Il était actif chaque année dans la fourniture de biens aux organismes de secours. Il arrivait même qu’il fournisse du travail à des sans abris. Il distribuait des repas aux nécessiteux à la période de Noël. Nul doute qu’il ait été utile dans le développement du MMS en Afrique ces 6 dernières années mais pas autant que j’avais pu l’espérer.

Le problème est qu’il ne respecta aucun des éléments du contrat que nous avions conclu. Il cherchait toujours à trouver des gens qui financeraient la distribution du MMS plutôt que d’investir lui-même comme il me l’avait promis. Selon lui, nous étions toujours à deux doigts d’obtenir les fonds pour conduire des essais cliniques ou pour distribuer du MMS en Afrique. Pour soulager des gens, Arnold préparait personnellement du MMS selon mes instructions. Il en donna à beaucoup après s’être assuré qu’ils savaient comment l’utiliser correctement. Il trouva des vétérans du Vietnam qui avaient contracté le paludisme et leur fournit du MMS. Il fut rapidement convaincu de son efficacité.

Pourtant il ne me laissait jamais parler directement aux groupes ou aux personnes concernées qu’il avait approchées. Peu à peu les groupes et les gens perdaient leur intérêt pour le MMS et ne poursuivaient pas leurs relations avec Arnold. Il les décourageait au fur et à mesure mais je ne le perçus pas tout de suite et ne su jamais vraiment pourquoi.

J’habitais dans une région coupée du monde et ne me rendais pas compte de ce qui était en train de se passer. Car j’étais régulièrement informé des groupes et des personnes qu’Arnold contactait, mais jamais autorisé à communiquer avec eux directement. Lorsque je demandais à être mis en relation avec tel ou tel groupe, Arnold affichait une fin de non recevoir. Cela a continué ainsi pendant 5 ans. Je n’insistais pas trop car il me donnait l’impression de bien se débrouiller. Avec le recul je me suis rendu compte que ce n’était absolument pas le cas.

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Il faisait beaucoup d’erreurs. Par exemple il a payé un gamin pour faire notre site Internet. Le gamin en question nous fit ensuite un procès parce que nous n’arrivions pas à nous entendre sur la bonne marche du site. Le jeune homme nous conduisit devant les tribunaux parce qu’ayant découvert ses manquements nous avions refusés de payer davantage ses travaux. Mais le comble est qu’il nous diffama en envoyant des lettres aux agences gouvernementales pour nous traiter d’escrocs. Il leur dit que notre MMS était une arnaque alors qu’il ne l’avait jamais essayé et connaissait peu de chose de son histoire !

Ces calomnies nous empêchèrent d’obtenir le statut de groupe à but non lucratif auprès de l’IRS. Au moment où j’écris ces lignes, 5 ans après que cela était supposé terminé, nous n’avions pas toujours pas de site internet digne de ce nom alors que nous avons dépensé des milliers de dollars inutilement. Quatre autres personnes que nous avions engagées ensuite pour réparer les choses ont pris notre argent aussi et n’ont rien produit du tout. Quand j’y pense, si j’avais utilisé une partie seulement de tout cet argent perdu, j’aurais peut-être pu financer mes essais cliniques au Kenya.

Arnold supporta aussi un écrivain pour qu’il décrive bien l’histoire du MMS. Mais cet écrivain finalement, travailla aussi contre nous ! Car à cette époque commençait à germer en moi l’idée d’écrire un livre pour expliquer tout. Je ne voulais pas le faire moi-même, connaissant mes faiblesses en matière d’écriture. J’en profite pour vous indiquer que le récit que vous avez entre le main à été entièrement revu et corrigé par des gens qui ont compris mon message, mais qui ont aussi reconnu aussi ma piètre capacité à l’écrire !

Arnold s’avéra finalement très mauvais dans le rôle de relations public alors qu’il prétendait être particulièrement bon là-dedans. Mon erreur était de m’être laissé convaincre par lui. Je mentionne toutes ces choses négatives pour décrire mes mésaventures et les raisons qui m’amenèrent à écrire ce livre. Ca fait partie de l’histoire et il est bon que les gens la connaissent. J’aurais pu abandonner mille fois ce projet et continuer simplement à distribuer du MMS au hasard de mes rencontres et des besoins. Mais je ne pouvais pas me contenter de cela. Comme je l’ai déjà dit, des millions d’hommes pourraient guérir d’un nombre incalculable de graves maladies si le MMS était simplement mis dans leurs mains avec TOUTE son histoire. J’ai donc écrit ce livre. Et vous l’avez entre les mains. J’ai donc bien fait, je crois, de persévérer.

Je ne pense pas qu’Arnold était un mauvais gars. Mais j’ai réalisé finalement que notre association courrait à l’échec. Je voulais que le MMS soit mondialement connu et, avec Arnold, nous tendions à l’effet inverse. Il faisait fuir les gens. En plus, il refusait pathologiquement d’écouter mes conseils. Je devais donc le quitter pour faire réellement connaître le MMS au monde. Car, à ce point de développement du produit, je ne pouvais pas le laisser disparaître aussi bêtement. Il fallait qu’il soit connu. Trop de gens continuaient de mourir chaque jour à cause de son ignorance. Il m’a fallu prendre une dure décision et cela ne me fut pas facile. Car Arnold et moi nous entendions par ailleurs assez bien. Mais il y eut plusieurs autres incidents importants avant que je ne me décide à dénoncer notre association.

Chapitre 4 – Le Dr FLOMOJ’avais signé un contrat avec Arnold en 2001. Ce dernier s’adressa à de nombreuses personnes pour communiquer les données concernant le MMS. A cette époque nous appelions ce produit OS-82. Il voulait que les gens s’investissent dans le traitement et la guérison du paludisme en Afrique. Il avait l’art de dénicher régulièrement des individus qu’il croyait capables de nous avancer des fonds. Dans un premier temps, il souhaitait les faire investir dans les protocoles de recherches médicales pour prouver aux scientifiques que le MMS fonctionnait. Il pensait, comme moi à l’époque, qu’il serait plus simple de distribuer alors le MMS, car nous aurions le soutien des équipes médicales et des laboratoires pharmaceutiques.

Je demeurais à Mina, dans le Nevada. Je continuais d’envoyer des mails en Afrique et y développais un réseau non négligeable de correspondants. Je leur parlais du MMS. Beaucoup ne me croyaient pas et certains me demandèrent de ne plus correspondre avec eux. En Juillet 2003, j’entrais en contact avec un docteur en Guinée, dans l’est de l’Afrique. Son nom était Dr Moses FLOMO Senior. Je lui parlais des résultats que nous avions obtenus en Tanzanie. Il sembla tout de suite très intéressé. Je lui envoyais une bouteille de MMS. Il l’essaya sur l’un de ses patients malade du paludisme. Celui-ci fut guéri en quelques heures. Le Dr FLOMO se rendit alors immédiatement au Ministère de la Santé. A cette époque en Guinée, le Ministre de la Santé était un certain Dr GAMY.

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Cette photo montre le médecin Moses FLOMO Senior.

Moses FLOMO fut capable de négocier avec les autorités sans provoquer les réactions irrationnelles que nous avions pourtant l’habitude de rencontrer auprès du personnel médical. Il fut autorisé à tester vingt-cinq personnes. Il devait le faire gratuitement. Puis, si le MMS fonctionnait, il serait alors autorisé à facturer les gens pour ce traitement contre le paludisme.

Le Dr FLOMO afficha une publicité à l’extérieur de sa clinique. Celle-ci exprimait qu’elle avait un « traitement gratuit contre le paludisme ». En quelques dizaines de minutes plus de 25 personnes se présentèrent et furent toutes guéries le jour même. Le lendemain, il s’avéra, après examens, que tous ces gens avaient été libérés du paludisme.

En octobre 2003, il commença alors à soigner des malades pour moins d’un dollar. Les gens commencèrent à faire la queue à l’extérieur de son bureau. Cela ne désemplissait pas pendant plusieurs semaines.

Malheureusement, une fois de plus, un fait irrationnel fut introduit dans l’histoire du MMS. En fait, le Dr FLOMO entretenait depuis longtemps le rêve secret de gagner beaucoup d’argent en vendant des formulations de son cru d’herbes médicinales. Au lieu de voir la mine d’or qu’il avait entre ses mains avec le MMS, il se servit de l’affluence soudaine dans son cabinet pour vendre ses herbes !! C’est idiot, mais c’est ce qui s’est passé !

Il me demanda de lui procurer des gélules vides, des livres d’herboristerie, une machine à remplir les gélules, etc. Comme, d’après ses rapports à distance, il semblait faire du bon travail avec le MMS, j’accédais à ses demandes. Aussi je lui avais envoyé une première fois un colis avec quelques livres et une petite machine semi-automatique pour remplir des capsules. Malheureusement son bureau de poste ne l’a jamais délivré.

FLOMO n’était pas originaire de Guinée et pensait que c’était pour cette raison qu’il n’avait pas été livré. Il se mit tellement en colère contre eux qu’il en résulta la fermeture de sa clinique. Je ne connais pas les détails de toute l’histoire. Cela n’avait pas beaucoup de sens pour moi. Nous avons découvert plus tard que le postier avait en fait bien reçu le paquet et comptait le distribuer le lendemain. Mais il était tombé malade dans la nuit. Le paquet fut immobilisé pendant deux semaines pendant lesquelles il fut abîmé à cause d’une avarie due à la pluie ! C’est tout ce que je sais.

FLOMO décida une fois de se rendre dans la plus grande société Américaine de Bauxite (minerai pour l’aluminium) de cette partie du monde. Il connaissait un médecin au service médical de cette société. Il emporta du MMS et expliqua son fonctionnement. Ils commencèrent alors à traiter des ouvriers atteints de malaria. Ils sauvèrent ainsi environ deux mille personnes, ce qui résulta en une chute du taux d’absentéisme de plus de 50%. FLOMO négocia alors avec les responsables de l’entreprise pour leur vendre 150 bouteilles de MMS. Le montant fut établi à 60.000 $. Cela faisait 400 dollars la bouteille !

Je n’avais jamais eu l’intention de vendre ces bouteilles plus de 26 $ l’unité, somme qui couvrait tous les frais et me laissait un petit bénéfice. Mais FLOMO me fit comprendre que c’était une aubaine pour financer notre projet. Je me dis qu’au fond, nous n’avions jamais défini de prix exact. Du coup, j’acceptais, compte tenu de l’efficacité du produit.

A cette époque, mon association avec Arnold aux Etats-Unis, n’avait abouti à rien, à part des promesses ! J’autorisais donc le Dr FLOMO à poursuivre ses activités avec le MMS. Mais très vite, il y eut quelques problèmes d’accords avec la Bauxite Company. Nous ne perçûmes jamais ce que nous escomptions. Après enquête, je découvrais là aussi que notre souci principal était le Dr FLOMO lui-même. Encore un problème d’homme. Il dépensait son temps et son argent en voyages pour ses projets d’herboristerie. Il avait planifié d’acheter beaucoup d’acres de terrain et de les planter avec différentes variétés d’herbes. Le Dr FLOMO ne m’avait pas permis là non plus de parler avec les gars de la Bauxite Company. Nous devions toujours passer par lui. Mais il était le plus souvent occupé ailleurs !

Ceci est une photo de la clinique d’herbes du Dr FLOMO.

J’expliquais à Arnold la situation en Afrique et malgré mon interdiction, il se mit en rapport avec la société Américaine propriétaire de la Bauxite Company, pensant qu’il pouvait rattraper le coup. Il obtint le numéro du

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PDG en Guinée. Après de nombreuses discussions étalées sur plusieurs jours, ce dernier nous indiqua qu’on ne pouvait pas utiliser le MMS (OS-82) tant qu’il n’y avait pas eu validation officielle du produit. Cela mis fin à toutes nos transactions avec cette entreprise. Adieu les soi-disant soixante mille dollars ! Les membres du personnel là-bas rapportèrent qu’ils n’avaient plus le droit de toucher à notre produit.

Une fois de plus nous avons capoté à cause d’un facteur humain ! Si Arnold n’avait pas fait cette bourde, l’entreprise aurait continué à délivrer le produit pour son personnel. J’en avais parlé à Arnold mais ne voulais surtout pas remuer les choses au bureau de l’America Bauxite Company. J’avais bien sentis que nos accords étaient précaires. Aucun responsable sur place n’aurait suggéré d’arrêter sachant que leur taux d’absentéisme avait chuté de plus 50% durant la période où ils utilisaient le MMS. Le bureau officiel ne sut jamais que parmi ses très nombreux employés, plus de deux mille personnes avaient pourtant été guéries et remises au travail.

Malgré tout, je continuais de travailler avec le Dr FLOMO. Je lui ai envoyé dix mille capsules vides supplémentaires et plusieurs petites machines d’encapsulation. Mais il ne fit quasiment plus rien contre le paludisme en Guinée. S’il avait continué à traiter les gens pour un dollar chacun, il serait devenu riche dans cet endroit. C’était une somme réaliste pour les gens de cette région. Il pouvait payer cela. Il serait devenu extrêmement célèbre. Mais il préféra continuer à vendre ses herbes. Cela ne lui apporta aucun succès. Nous aurions fourni des quantités illimitées de MMS au Dr FLOMO et il aurait pu modifier tout un pays. Mais il voulait absolument développer son affaire d’herbes parce que quelqu’un lui avait mis en tête un jour que c’était devenu un marché très lucratif en occident. Il s’est mis à avoir de grands rêves de fermier exportateur !

Photo : Dr Flomo et un herboriste local préparant des formules à bases de plantes. Il commit une terrible erreur. Il fut tellement concentré sur ses buts qu’il ne put réajuster son point de vue. Il n’a pas souhaité véritablement aider les gens de son pays. Il voulait juste faire fortune. Il a pourtant permis à plus de deux mille personnes de guérir de la malaria. Le chapitre 17 explique comment faire une centaine de bouteilles.

Chapitre 5 – Le Kenya, à l’est de l’Afrique :Arnold connaissait le directeur du groupe de missionnaires appelé le Faith Christian Fellowship International ou FCF International, les Compagnons Internationaux de la Foi Chrétienne. Nous avions décidé plusieurs mois auparavant, que nous facturerions 5 dollars les doses de MMS par individu. Les Africains ne pouvaient pas se les payer mais cela n’avait pas d’importance. Nous comptions les faire financer par des organismes humanitaires. Mais hélas, comme toujours avec Arnold, cela n’aboutit pas non plus.

Puis il me vint une idée.

Je dis à Arnold que nous pouvions offrir une valeur de 200.000 dollars en MMS si les organismes payaient nos frais de voyages et la formation du personnel pour son utilisation. A l’époque le MMS s’appelait l’OS-82. Le nom a changé un certain nombre de fois, comme je l’ai déjà mentionné.

Nous avions calculé que produire deux cent mille dollars à 5 $ la dose de MMS, nous coûterait en fait 500 dollars. Il n’y a rien de choquant la dedans. Cela n’avoisine même pas les marges des laboratoires pharmaceutiques pour la production de pilules et autres médicaments.

J’ouvre une petite parenthèse ici : les traitements des deux mille personnes en Guinée, des cinq mille en Sierra Leone, et de plusieurs dizaines de milliers de l’Ouganda au Kenya, ont toutes été le résultat de mes trouvailles. Arnold a aidé, certes, mais il n’avait jamais les bonnes idées qui marchaient. Par ailleurs il ne fit rien pour la Guinée et la Sierra Leone. Mais il exigeait quand même que les choses soient faites à sa façon, parce que c’était soi-disant la volonté des donateurs. Or ceux-ci n’avaient finalement jamais rien donné ! Ca ne m’aurait pas dérangé, si Arnold avait effectivement eu des résultats tangibles. Mais ce ne fut jamais le cas. Tout le MMS fournit en Afrique était conditionné manuellement dans les fameuses bouteilles vertes de 120 ml que j’utilise encore aujourd’hui.

Donc, l’offre les impressionna et ils acceptèrent de m’envoyer au Kenya et en Ouganda. Mais là encore, Arnold ne m’autorisa pas à communiquer avec le directeur du FCF Int, ni à aucune autre personne du groupe. Pourtant il n’était pas qualifié pour distribuer le MMS en Afrique, et il le savait. Je dû y aller seul en promettant que les

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choses se dérouleraient à sa façon. Et je lui obéissais ! C’est bien sûr pour cela que je suis en train d’écrire ce livre. Car cette façon d’opérer ne nous à mené nulle part. Arnold a essayé, mais il a fait beaucoup d’erreurs.

Nous étions donc en 2003. Le FCF Int, nous accorda son financement en 2004. Je préparais des centaines de flacons contenant 650 doses par bouteille de MMS dans ma cuisine, en utilisant une balance de laboratoire très précise. En fait, à ce jour du 10 janvier 2006, j’étais la seule personne qui mettait en bouteille le MMS. A la seconde édition de ce livre, il y a plus de 4 fabricants de MMS. Les bouteilles de 120 ml, sur lesquelles nous avions finalement porté notre choix, étaient fines et vert foncé, incorporant un système de goutte à goutte sur leur bouchon. Il n’y avait aucune chance de trouver des flacons similaires en Afrique. Je souhaitais qu’elles soient reconnaissables entre mille ! Elles sont toujours utilisées aujourd’hui car je les trouve très bien. Les coordonnées des sociétés qui les fabriquent sont indiquées plus loin.

Le Dr OPONDO avec des bouteilles de MMS sur la table.

J’arrivais donc à Kakamega au Kenya le 31 Janvier 2004. J’étais accueilli à l’aéroport par quatre charmantes personnes qui me saluèrent avec effusion. Il y avait Javan OMMANI le directeur de la Mission, Herzon JUMA son adjoint, Gladis AYUGU, et puis Beatic IADECHE. Ils étaient très contents de me voir et je fus aimablement conduit à la Mission. Ils m’avaient préparé une très belle chambre avec moustiquaire et tout ce dont j’avais besoin. Le docteur Isaac OPONDO est venu me voir ce soir là, car il était le responsable de l’hôpital. On lui avait dit que j’allais donner des traitements pour soigner les malades du paludisme. Il en était inquiet. Il avait vraiment besoin de savoir ce que j’allais leur donner.

Je compris alors qu’un facteur humain pouvait encore tout faire stopper. Donc malgré les recommandations d’Arnold, je lui expliquais exactement ce qu’était le MMS, comment je l’avais découvert et comment il fonctionnait. Il en saisit le principe, notamment ce qui concernait le dioxyde de chlore. Ses connaissances scientifiques englobaient celles de l’assainissement des eaux et des produits utilisés pour ça. Il pouvait donc suivre sans faire d’amalgame avec chlore, la javel et tous ces produits toxiques par ingestion.

J’avais déjà remarqué que le fait d’exprimer l’exacte vérité fonctionnait bien mieux que de tenter de la dissimuler sous prétexte qu’elle pouvait être incroyable aux yeux de certains. C’est encore une des raisons pour lesquelles j’ai décidé de rédiger cet ouvrage.

Finalement le Dr OPONDO me dit :

- je comprends le truc ! Si vous pouvez vraiment introduire le dioxyde de chlore dans le corps, je pense qu’il fera exactement ce que vous avez décrit.

A partir du moment où il en saisit le concept de fonctionnement, il fut convaincu. A tel point qu’il ajouta que sa propre femme était atteinte de malaria et qu’il souhaitait la guérir tout de suite !

Nous décidâmes de nous occuper d’elle et il la fit venir immédiatement. Vingt minutes après, elle était là. Je préparais pour elle une solution légère de cinq gouttes seulement. A cette période, je considérais quinze gouttes comme une dose normale, et je ne me rappelle plus pourquoi je ne lui ai mis que cinq gouttes ce jour là. Je suppose que j’ai voulu la ménager pour ne pas la révulser avec une nausée éventuelle.

Mais il n’empêche qu’elle fut la première femme soignée du paludisme en Afrique par le MSS. Le lendemain matin, elle se sentit un mieux au réveil, mais pas complètement guérie. Cependant il était prévu que je commence à délivrer le MMS à l’hôpital de la Mission ce matin-là. Je la rassurais donc sur sa santé future. Son mari croyait en mon traitement. Le problème était que la variété de paludisme en Afrique était plus grande que celle que j’avais rencontré en Amérique du Sud. En observant l’état de la femme du docteur, je savais que ce n’était qu’une question de dosage. Je l’expliquais au couple et le Dr OPONDO approuva.

Ce matin là, donc, à huit heures du matin, j’enfilais ma blouse blanche sur laquelle était brodé « The Malaria Solution Foundation » en lettres dorées, et commençais à m’occuper des gens. Je portais un chapeau, comme à mon habitude et un pantalon beige léger avec des chaussures blanches. Je passais pour un parfait docteur occidental. Ou du moins de l’image que les autochtones en avaient ! OPONDO m’installa dans son bureau. J’avais beau expliquer au personnel que je n’étais pas docteur, ils s’en moquaient ! J’étais le seul

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homme blanc dans un rayon de 75 kilomètres à la ronde et cela seul comptait. Ils avaient un grand respect pour les hommes blancs.

Puis je me mis à discuter avec le Dr OPONDO sur le nombre de gouttes qui devaient être distillée sur chaque patient. Je défendais ma position sur le fait que la variété de paludisme d’ici était probablement plus forte que celle que j’avais expérimenté en Amérique du Sud. Nous décidâmes donc d’utiliser quinze gouttes par dose. Nous avons donc donné quinze gouttes à chaque patient durant toute la journée. Le jour suivant la plupart revinrent, se sentant mieux, mais non guéris !

Je décidais alors de fixer le dosage à 30 gouttes. Il me fallait trouver une dose unique. Nous ne pouvions nous permettre de traiter les gens en plusieurs fois. Ca aurait été fastidieux. L’hôpital était déjà surchargé. Le docteur OPONDO décida quand même de faire autant d’examens sanguins que possible. Toutes les personnes positives au paludisme après examen sanguin devenaient négatives après une dose de 30 gouttes. Cela prenait généralement entre une demi-journée et 24 heures pour que les traces soient parties.

Sa femme arriva ensuite pour avoir sa deuxième dose et rentra chez elle.

Beaucoup avaient d’autres maladies en plus du paludisme mais nous n’avons jamais connu d’échecs, du moins pour ce qui concerne le paludisme. Tout le monde n’a pas eu d’examen sanguin, mais au mieux de notre connaissance, il n’y a pas eu d’échec pour ce qui était de tuer le parasite du paludisme.

Nous avions traité ceux qui se sentaient le plus mal en premier, et tous étaient bien quand ils revinrent le jour suivant. Puis le Dr OPONDO admit qu’il fallait augmenter le dosage jusqu’à 30 gouttes. Ca commença à fonctionner en une seule prise. C’était 8 fois la dose utilisée en Amérique du Sud, c'est-à-dire 240 gouttes d’Oxygène Stabilisé normal. A l’hôpital, je traitais chaque malade atteint de paludisme et ceux qui pouvaient parler Anglais me décrivaient leurs symptômes. Je donnais une dose à chacune des personnes qui me le demandait, sans distinction. Je n’essayais pas de guérir seulement les malades du paludisme. Je sentais que le MMS était bon pour presque tous les problèmes liés à des germes.

Certains se mirent à avoir des nausées, à vomir ou à cracher des vers, et d’autres se rétablissaient simplement. Le Révérend OMMINI, le responsable de la mission, semblait fatigué. Il me dit qu’il avait eu un accident dont il ne s’était jamais complètement remis. Mais il m’assura qu’il n’avait jamais eu de problème avec le paludisme. Il marchait avec une canne et il avait des broches métalliques dans sa jambe. Il pensait que le métal causait naturellement une réaction dans son sang qui tuait les parasites du paludisme. J’ignorais d’où lui provenait cette idée et l’observais très attentivement. Ses yeux et son visage étaient pâles. Je pouvais seulement y détecter une fatigue extrême. Il était très malade mais je ne le savais pas. Je lui demandais s’il prenait quelque chose pour ses douleurs. Il prenait plusieurs cachets par jour.

Je lui dis :- Révérend, s’il vous plait, accordez-moi une faveur… Faites un test d’examen sanguin pour le

paludisme, on ne sait jamais. Tout à coup, il réalisa que c’était ce qu’il aurait dû faire depuis longtemps !

Photo : Dr Vincent Orimba parle à une mère a propos de son bébé qui vient de prendre du MMS.

En fait je lui suggérais de le faire dès le lendemain matin. Mais il alla réveiller le technicien de laboratoire. Une heure après il revint avec une étonnante nouvelle. Les personnes atteintes de paludisme qui se présentaient à l’hôpital pour un traitement présentaient un résultat moyen de 7 au test préalable. Le Révérend OMMINI obtint un résultat de plus de 120 ! Il aurait pu tomber raide mort n’importe quand depuis longtemps !

Je lui préparais immédiatement la plus forte dose que je pensais sûre à ce moment, c’est à dire 30 gouttes. Normalement, une personne atteinte de cette façon garde le lit, presque incapable de bouger. Mais ses cachets anti-douleurs en masquaient les symptômes ! Le lendemain matin, le Révérend OMMINI se sentit bien mieux. Mais il fut de nouveau malade à midi. A cette heure là son résultat sanguin indiquait un peu plus de 6. Il avait rejoint la moyenne. Je lui préparais à nouveau 18 gouttes de MMS. Le jour suivant, il était complètement guéri et se sentait très bien.

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Son test indiqua zéro. Il a été bien chanceux que les choses aient tournées ainsi. Il arrive souvent que les gens prennent des antalgiques et finissent par tomber raide mort.

Photo : Des gens à l’église qui attendent notre arrivée.

Il y avait plus de trois cent missionnaires dans cette église. Le Révérend OMMINI optimisa ses paroisses afin de pouvoir traiter rapidement les gens du paludisme. Chaque matin, huit d’entre nous allaient se serrer dans l’engin conduit par Peter MWANGI, propriétaire du minibus. Il était un simple pasteur de la région. Le bus avait plus de 20 ans. C’était presque une coquille avec un moteur sans sièges, ni rien ! En signe de respect, on m’installait devant, et par la suite, d’autres s’y mirent aussi. Le chauffeur bricolait suffisamment pour maintenir son véhicule en état de marche. Mais c’était presque une épave !

Chez nous, il n’est même pas envisageable qu’un tel véhicule puisse circuler dans cet état ! Mais là-bas, après tout, tout ce qu’il faut c’est un moteur, un châssis, et des roues ! Peter nous faisait la tournée des églises durant la journée. Il m’aidait aussi à prendre des photos. Il y avait généralement entre cinquante et deux cent personnes selon les églises. Il me présentait et me demandaient de dire quelques mots avant de commencer à nous occuper du monde. Oh, je parlais généralement moins de cinq minutes environ. J’exprimais mon plaisir d’être parmi eux et mon espérance de les voir soulagés du mieux possible.

Puis les gens se mettaient en file indienne pour boire leur verre de MMS. Lorsqu’il y en avait plusieurs centaines nous organisions plusieurs queues avec vingt ou trente verres. J’avais une petite cuillère pour y verser en une fois la dose exacte de MMS que nous avions décidé, c'est-à-dire 30 gouttes. Puis, de la même manière, j’ajoutais du vinaigre avec une autre cuillère prévue à cet effet et complétais le verre avec du jus d’ananas. On attendait 3 minutes, puis chaque personne recevait sa dose.

Parfois certains manifestaient leur déception quand ils apprenaient qu’il n’y aurait pas de piqûres ! Pour eux, seules les injections étaient dignes d’un traitement efficace ! Pourtant, ils se sentirent de mieux en mieux à mesure que les heures s’égrenaient. Leurs maux de tête se dissipaient tout comme leurs nausées, leurs courbatures et autres manifestations inconfortables. Les gens étaient surpris et heureux et ne se privaient pas de le dire. C’était toujours un plaisir à voir et à entendre.

Pendant que nous étions à Kakamega, Javan voulu nous faire visiter une clinique privée. C’était « The Bukura Community Nursing and Maternity Home », La Maison de la Maternité et des Soins de la Communauté de Bukura. Quand nous sommes arrivés il y avait une longue file de gens qui attendaient leur traitement contre le paludisme. Nous avons passé presque toute la journée là-bas. Et puis nous les avons quittés non sans laisser plusieurs bouteilles de MMS. Le nom du directeur était Vincent ORIMBA. Il soigna beaucoup de gens en faisant des examens sanguins avant et après les prises du produit. Malheureusement, sa clinique fut de celles dont les dirigeants en haut lieu pensaient que le paludisme avait été envoyé par Dieu pour purifier les hommes de leurs pêchers sexuels, entre autres. Ils me considéraient parfois comme un démoniaque venu détruire l’œuvre de Dieu.

Une photo du Dr ORIMBA dans sa clinique.

Durant le temps passé à Kakamega je ne vis aucun autre blanc. Il était très rare d’en croiser dans cette région. Il arriva même que des gens m’arrêtent dans la rue pour me serrer la main. Ceci juste pour impressionner leur proche en leur disant qu’elle avait serré la main d’un blanc !

Un jour, à table, en plaisantant, je dis à tout le monde que mon plus grand souci était que ces cannibales convertis pouvaient peut être un jour choisir de faire un bon repas plutôt que d’aller au Paradis. Je provoquais un immense éclat de rires dont je me souviens encore. Ceux qui avaient plus de 30 ans prétendirent être des cannibales convertis, mais je doute qu’aucun d’eux ne le fut. Nous aimions plaisanter. Ces gens étaient bons, simples et souriants.

Photo : M. Wade PORTER et sa femme autour de moi. Les autres étaient des infirmiers et des médecins. Wade cessa d’utiliser le MMS. Il me considéra comme démoniaque, étant donné que j’étais en train d’éradiquer le paludisme envoyé par Dieu pour punir les hommes.

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Chapitre 6 – L’Ouganda, Afrique de l’Est :Après Kakamega au Kenya, je m’envolais pour Nairobi. Là-bas, j’y donnais une conférence à Wade PORTER avec son groupe d’infirmières et de médecins. Mon discours fut bien reçu. Il y eut environ une heure de débats ensuite. Puis il y eut beaucoup de mots gentils et de mains serrées. Mais tout a fait irrationnellement, Wade et sa femme décidèrent que j’avais été envoyé par Satan. Ils mirent fin à mon plan pour traiter les villageois et la campagne environnante.

Une fois cette idée dans leur tête, ils ne voulurent plus en parler. Je ne pus les raisonner, en aucune manière. Par ailleurs, le directeur FCF International aux USA fut renvoyé quelques semaines après que je sois rentré. Il était l’homme qui avait prit la décision de m’envoyer là-bas. Peut être qu’il n’y a aucun rapport, mais il me semble étrange qu’il ait été renvoyé de son poste. Je n’en su jamais la raison véritable.

Mais l’histoire continue ! De Nairobi j’allais Kampala, en Ouganda. Je fus accueilli à l’aéroport par Salomon MWESIGE, le principal Pasteur de la mission où je devais me rendre. Il était aussi le propriétaire de la clinique attenante. Il me conduisit chez lui. Il m’avait préparée une chambre pour mon séjour. Comme de coutume dans les environs, j’ôtais mes chaussures avant d’entrer dans la maison.

Ils étaient très aimables. Le dîner était servi tous les soirs pour tout le monde et la nourriture y était bonne. En Ouganda, quand on ne se bat pas, il y a profusion de nourriture. En fait, un étranger penserait que c’est un pays où la nourriture y est abondante. Salomon me dit que je pouvais donner le MMS tous les matins dans sa clinique attenante à la mission. J’étais impatient de démarrer pour prouver l’efficacité du MMS. Après avoir pris un petit déjeuner chez lui, j’allais à sa clinique. Je me souviens très bien de ce jour. C’était le 14 Février 2004 vers 8 heures du matin. Les patients arrivaient déjà car Salomon avait annoncé mon passage à la mission.

Photo : L’auteur et une infirmière regardent une maman donnant le MMS à son bébé au centre « Life Link Medical Center » à Kampala en Ouganda.

Ils faisaient payer un petit prix pour mes bouteilles de MMS. Il était encore inscrit OS-82 sur les étiquettes. Il y avait longtemps que j’avais cessé d’appeler le MMS ainsi, depuis le Kenya en fait. Les docteurs et les infirmières avaient préféré le nom de « Malaria Solution », Solution contre la Malaria. Puis nous l’avions appelé ainsi tout le long de mon séjour en Afrique. Quand j’en avais parlé à Arnold, mon associé aux Etats-Unis, il accepta ce nom immédiatement.

J’ai commencé à me servir des données récoltées sur le MMS à la mission de Kakamega, au Kenya. Je mettais 30 gouttes et presque tout le monde se sentait mal et vomissait parfois. Quelques heures plus tard, voire le lendemain, ils allaient tous très bien. Mais le fait de vomir n’était pas populaire.

Le paludisme dans cette région semblait avoir une forme encore différente de ce que j’avais rencontré au Kenya. Les personnes atteintes de la malaria semblaient avaient avoir la rate enflée. D’une certaine façon les gouttes agissaient différemment avec cette variété de paludisme, et cela avait sûrement quelque chose à voir avec la rate enflée. Les gens à Kakamega n’avaient pas la rate enflée. Tout le monde ne vomissait pas et donc nous avions continué pendant plusieurs jours, mais certains se mirent à reculer face au traitement.

Puis je décidais de donner 15 gouttes seulement aux patients, à condition qu’ils reviennent 4 heures après pour une deuxième dose équivalente. Je n’avais aucune expérience de ce genre de prescription, mais cela fonctionna très bien. Personne ne vomit avec 15 gouttes et l’affluence revint rapidement. Une fois de plus les surprises avaient pu être surmontées. Toutes ces expériences s’accumulaient et j’en vins à établir un procédé standard pour délivrer le MMS.

Photo : Le « Life Link Medical Center » à Kampala en Ouganda.

Quand je mentionne les doses de 15 gouttes ou 30 gouttes de MMS, elles requièrent l’addition d’un quart à une demi cuillère à café d’acide comme du jus de citron, de l’acide citrique ou du vinaigre. Sans un de ces acides alimentaires, la solution ne fait pas grand chose. L’acide agit comme activateur. Il faut attendre 3 minutes de réaction avant d’ajouter quoi que ce soit. Passé ce délai on peut alors ajouter un demi verre d’eau

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ou du jus de fruit pour masquer en partie le goût parfois écœurant. Je n’ai jamais réussi à faire en sorte que la solution soit délicieuse au goût, à cause des vapeurs qu’elle dégage et qui rappellent l’odeur du chlore. Peut-être qu’un jour quelqu’un aura une idée pour faire disparaître cette dernière barrière à la prise du produit, sans que celui ne perde de son efficacité. Je mentionne tout de même encore pour le lecteur que quelque soit l’odeur rebutante du produit, il est absolument sans danger. Il faut juste, pour certains, arriver à passer ce petit cap difficile de l’avaler.

Si l’on ajoute du jus de fruit industriel, celui-ci ne doit pas contenir de vitamine C ajoutée (acide ascorbique). C’est la raison pour laquelle il vaut mieux utiliser un jus de fruits fraîchement pressés. Car presque tous les jus de fruit en boîtes ou en bouteilles contiennent de la vitamine C rajoutée et des conservateurs. Bien que la vitamine C soit bonne pour l’organisme, elle empêche le MMS d’agir à l’intérieur du corps. C’est curieusement un des effets remarqués de la vitamine C de synthèse avec le MMS. Ce qui prouve qu’elle n’est pas tout à fait identique pour le corps à la vitamine C naturelle.

Utilisez donc seulement de l’eau ou du jus de fruits frais pressé à la main. L’acide a un rôle très important. Il fait que le chlorite de sodium libère des ions de dioxyde de chlore de façon linéaire, et l’empêche de libérer trop d’ions à la fois. C’est important. Car on ne veut pas que la totalité de dioxyde de chlore soit libérée dès l’absorption du breuvage. Cela doit se faire lentement pour que le corps le supporte et en retire tout le bénéfice. Le citron ou le citron vert contient de l’acide citrique et le vinaigre contient de l’acide acétique. L’un de ces acides est nécessaire à l’activation du MMS.

La clinique de Salomon s’appelait « The Life Link Medical Centre », Le centre Médical du Lien de Vie. Ses coordonnées sont : PO Box 15081, Kampala, Ouganda, (Tél. 077 479017). Ils avaient un microscope et des techniciens compétents capables de déterminer la présence de parasites dans le sang. Durant le temps où nous étions là-bas, au moins cinquante patients avaient été testés positifs au paludisme avant notre traitement, et sont redevenus négatif après. Ce chiffre se limite au nombre d’examens que nous avons pratiqués. Mais nous avons traité plus de 500 patients. La plupart se fichaient de recevoir des examens. Ils voulaient juste aller mieux. Et c’est ce qu’on leur apportait dès les premières heures qui suivaient la première ou la deuxième dose. Le fait est qu’au moins 95% d’entre eux avaient le paludisme. Mais nous n’avions pas le temps matériel de vérifier le sang de chacun. Je ne peux donc témoigner, pour être précis, que des cas contrôlés avant et après traitement. Mais en réalité, au vu des réactions et des changements de tous, je peux affirmer que tout le monde à été guéri.

Peu de temps après mon arrivée à la clinique Life Link Centre, je rencontrais un Pasteur un peu spécial venant de la République Démocratique du Congo. Son nom était John TUMUHAIRWE. Il s’était intéressé au MMS et voulu immédiatement l’essayer sur lui. Il faisait régulièrement des crises de paludisme. Après avoir testé le produit sur lui, il nous aida à traiter tous les cas, au fur et à mesure qu’ils se présentaient. Il était très enthousiaste à propos du MMS. Il voulait que nous allions au Congo. Mais je n’avais pas d’argent ni suffisamment de soutien pour le faire. Il fit aussi toutes sortes de démarches pour que je puisse aller rendre visite aux soldats de l’armée qui faisaient front dans le nord de l’Ouganda. L’idée me plaisait car je savais que le paludisme était très répandu dans l’armée. Cela aurait peut-être contribué l’arrêt de la guerre. Et cela aurait sans doute été une très bonne publicité pour le MMS à cette époque. Mais John ne réussit pas à compléter les démarches en ce sens.

Photo : Jim HUMBLE donne à John TUMUHAIRWE son premier MMS pour un paludisme récurrent. John à écrit une lettre (à la fin de ce chapitre).

Quand je suis reparti, je lui ai laissé ma dernière bouteille de MMS. Il en restait de quoi traiter environ 180 personnes. Dans sa lettre, John indique qu’il a sauvé pas mal de gens au Congo. Quelques mois plus tard je lui envoyais dix bouteilles qu’il utilisa complètement. Sa lettre en parle aussi. Je viens d’ailleurs tout juste de lui en renvoyer une dizaine encore.

La photo montrée ici fut prise quand je lui donnais sa première dose de MMS. La plupart gens citées dans ce livre, tout comme John, peuvent encore être contactés. Plus de 50% de nos patients étaient des enfants. Il est certain que beaucoup seraient morts si nous ne leur avions pas distribué du MMS.

Photo : L’auteur mélange des doses de MMS dans la salle de traitement.

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Bien que les effets indésirables soient peu fréquents, c’était dans cette clinique que nous avons commencé à noter tous les types de réactions possibles au produit. Les voici :

- VERTIGES : Certaines personnes ressentent des vertiges plusieurs heures après avoir pris les doses. Ca ne dure jamais plus d’une heure. Les symptômes de la malaria disparaissent avec l’arrêt des vertiges.

- NAUSEES : Les nausées se manifestent généralement dans le quart d’heure qui suit l’ingestion du produit et s’estompent au bout d’un quart d’heure aussi.

- VOMISSEMENTS : Se produisent rarement et pas plus d’une fois.

- FATIGUE : Il arrive que l’on se sente complètement abattu si l’on est beaucoup atteint par une maladie. Une sorte de léthargie que j’avais d’ailleurs expérimentée moi-même la toute première que j’avais bu du MMS. Je faisais régulièrement de forte crise de paludisme. C’était il y a des années ! … Je me sentais complètement léthargique, dans l’incapacité de bouger. Ce n’était pas vraiment déplaisant. C’était plutôt une sensation bizarre qui m’avait alarmée car je ne m’y attendais pas. Ca dure de une à quatre heures, pas plus.

- UNE COMBINAISON DE PLUSIEURS OU DE TOUTES CES REACTIONS : C’est rare, mais c’est arrivé quelques fois. Il n’y a vraiment rien à faire quand elles se manifestent. Elles passent toutes, dans les 24 heures tout au plus, et n’ont pas d’effets durables.

Photo : La plupart des enfants considéraient le MMS comme une potion magique. C’était le cas de ces trois là !

Si mes souvenirs sont bons, la clinique avait 7 lits. Plusieurs des personnes alitées avaient récupéré après avoir pris du MMS. Le médecin sur place était un noir qui avait une grande compassion pour les enfants. Il les traitait avec bienveillance et semblait très concerné par ce qui se passait là-bas. Il sauva plusieurs vies pendant que j’y étais, parfois simplement en étant capable de faire de bons diagnostiques. Il me questionna en profondeur à propos du MMS. Dans nos discussions, je lui ai parlé de mon ami qui donnait à boire et injectait de l’Oxygène Stabilisé à ses animaux. Mon ami l’avait fait plusieurs fois. La concentration qu’il utilisait pour ces injections était de 15 gouttes dans 20 ml de solution injectable.

Vers la fin de mon séjour là-bas, j’avais remarqué souvent le docteur à l’extérieur de sa clinique parlant à des groupes d’individus. Il me dit qu’il s’agissait de personnes atteintes du SIDA. Des proches du docteur y étaient parmi elles. Je n’avais pas osé en parler davantage. Mais le jour de mon départ, il me prit à part et me dit qu’il allait essayer de traiter quelques malades du SIDA par injections de MMS. Il avait des relations au grand hôpital de Kampala. Il voulait approcher les sidéens en phase terminale qui étaient renvoyés chez eux pour y mourir. L’on peut imaginer mon état d’excitation à cet instant. J’étais pris de panique et en même temps envahit d’une curiosité enthousiasmante.

Puis cette idée s’est mise à germer dans mon esprit durant tout mon voyage de retour. Arrivé à Las Vegas, je convainquais mon ami qui l’avait fait sur ses animaux, de me faire une injection de MMS.

Nous avons commencé par une goutte, puis deux, puis trois. Puis j’ai fini par tenter la dose standard, 15 gouttes !

Je n’ai eu aucune réaction négative. En revanche je me sentais en excellente forme ! Dès lors, je n’étais plus inquiet pour les sidéens de Kampala que mon ami allait traiter. J’étais convaincu que ça marcherait. J’étais cependant très triste que nous ne puissions pas traiter chaque cas de SIDA sans perdre de temps. Les obstacles liés aux lois, aux idées reçues et à l’ignorance me semblaient trop grands. Beaucoup de gens continueraient à mourir chaque jour à cause de cela.

Encore une fois, le MMS libère du dioxyde de chlore dans le corps. Le dioxyde de chlore est le plus puissant antiseptique connu. Il n’y a pas de raison pour qu’il ne tue pas le virus du SIDA. La concentration standard de MMS dégage un taux de dioxyde de chlore efficace mais ne présentant aucun risque pour l’organisme. Cependant, il ne faut pas faire d’injection s’il l’on a utilisé du vinaigre comme acide.

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Le sang a un PH légèrement alcalin. Le MMS réagit au contact des éléments légèrement moins basiques comme les pathogènes. Il libère sur eux du dioxyde de chlore par réaction et cela les tue.

Sur le moment je n’avais pas encouragé le docteur mais ne l’avais pas découragé non plus. Je suis cependant resté en contact avec lui. Je tenais à suivre cela de près. Il traita 390 de cas de SIDA sur une période de huit mois. C’étaient des patients qui avaient été renvoyés de l’hôpital vers chez eux pour y mourir tranquillement, au sein de leur famille.

Les rapports qu’il me faisait parvenir étaient incroyables. Ils indiquaient que dans les 3 jours qui suivaient les injections, six cas sur 10 se sentaient bien mieux. Ils étaient pressés de reprendre leur travail ou de retourner à leur vie quotidienne. Les 40% restants avaient les mêmes réactions mais sur une durée plus longue d’environ un mois. Aucun des cas, dont il fut capable de suivre les traces n’a eu de rechute. Cependant deux moururent quand même parmi les 390. Nul ne sait pourquoi. Peut-être était-il déjà trop tard.

D’après le docteur, ceux qui se sentaient mieux dans les 3 jours avaient quand même besoin de temps pour récupérer complètement. Tous les cas se rétablissaient parfois malgré une très grande faiblesse. Tous ces patients avaient été condamnés par la médecine à mourir dans les semaines, voire les jours qui suivaient leur départ de l’hôpital de Kampala. Malheureusement, pour préserver sa sécurité, ce docteur m’a demandé de taire son nom. Il n’avait aucune raison de me mentir quotidiennement. Il ne m’a jamais rien demandé, pas même de MMS gratuit.

Depuis, j’ai moi-même délivré du MMS à des cas de SIDA. Et mon ami du Malawi, qui a toujours un commerce là-bas, a traité plusieurs de ses employés atteints du virus. Ils sont tous retournés au travail. Le propriétaire de la clinique était aussi le Pasteur d’une église locale. Son église faisait partie du Groupe Missionnaire FCF International pour l’Afrique. Il rencontra un problème similaire à celui de l’autre Pasteur, au Kenya que j’avais probablement sauvé de la mort in extremis.

Pour mémoire, Salomon MWSEGI prenait calmants pour masquer les souffrances causées par son paludisme. Sa femme et lui refusaient l’idée même qu’ils en étaient atteints. Les antalgiques peuvent suffisamment masquer le mal pour permettre de continuer à vivre. Mais il est très dangereux d’en prendre régulièrement, car le paludisme peut être si développé dans l’organisme que l’individu porteur peut presque en tomber raide mort, sans signes avant-coureurs significatifs.

En fait, quand je l’avais questionné, il m’avait répondu qu’il se doutait de ce que c’était, mais qu’il avait remis de s’en occuper à plus tard. C’est pourquoi il voulut prendre une double dose de MMS immédiatement. Je l’avais prévenu que cela risquait fort de lui donner beaucoup de nausée. Mais il préféra maintenir son choix. Il voulait en finir rapidement et complètement avec le paludisme dont il souffrait depuis un moment. Il avait observé attentivement ce que nous faisions et comment j’adaptais pour chaque cas le nombre de gouttes de MMS. Il décida donc de prendre une double dose standard (30 gouttes), en respectant toutes les procédures que j’effectuais à chaque fois. Il m’avoua plus tard qu’il avait besoin de se rendre malade sur le moment pour avoir la certitude que quelque chose était en train de travailler positivement dans son corps.

Voici ce que j’écrivais dans mon journal à ce moment-là :

« En moins de 20 minutes il devint nauséeux. Au bout d’une heure, il se sentit incapable de conduire sa voiture pour rentrer chez lui. Puis il eut de la diarrhée. Nous le ramenâmes chez nous. Il se sentit totalement épuisé, presque incapable de bouger. Nous l’avons aidé à aller aux toilettes. Nous avions commencé à onze heures ce matin-là. Vers seize heures il était bien mieux, mais toujours allongé. Il se leva vers vingt heures en prétendant que son mal avait disparu mais qu’il se trouvait encore faible. Le lendemain matin il se sentait légèrement étourdi mais bien. Je note quand même qu’il est resté très courageux et relativement enthousiaste durant toute l’expérience. Il a cru au MMS dès qu’il l’a vu fonctionner sur les autres. Le jour suivant, quand il se fut complètement rétabli, il ne pouvait pas croire à quel point il se sentait bien. Sa femme avait assisté à la scène, inquiète.

Elle était consciente de l’état d’avancement de la maladie chez elle et voulu suivre son mari. Il resta avec elle durant toute l’épreuve. Elle n’eut pas autant de nausée que lui mais resta pourtant alitée presque deux jours.

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Au bout du compte elle retrouva toute sa santé et sa joie de vivre.

Manifestement, quand le paludisme est caché par des calmants, le MMS devient encore plus réactif. Aujourd’hui je me dis qu’ils auraient pu éviter leur calvaire en prenant du MMS à moindre dose pendant plusieurs jours, au lieu de prendre une seule dose massive. Mais ils étaient toujours occupés et ne pensaient pas à prendre de leur temps pour se soigner. Ils avaient toujours espéré un remède miraculeux, et c’est ce qui leur était arrivé !

Les gens me faisaient confiance en Afrique. Je pense qu’ils avaient de bons instincts naturels pour détecter les personnes sincères des malintentionnées. Le temps passé à la clinique de Salomon m’a été très enrichissant. J’y ai acquis une très grande expérience en matière de MMS.

Mon chauffeur, Peter MWANGI, m’accompagnait presque tout le temps à Kampala. Salomon lui prêtait une chambre, tout comme à moi. Peter était d’une grande utilité. Il m’aidait à préparer le MMS, à prendre des photos et collectait autant d’informations que possible sur les différentes réactions.

Curieusement, au bout de plusieurs mois, Salomon accusa Peter d’avoir violé l’une de ses servantes. La fille était enceinte. Peter nia violemment son implication dans l’histoire. Cela me semblait impossible aussi car j’étais dans la même maison. J’aurais entendu des bruits ou vu la fille ou quelque chose d’autre. Mais je n’avais rien vu ni entendu. En revanche j’avais pu constater, en de nombreuses occasions, une grande intégrité de la part de Peter. Je le cru donc quand il a dit ne pas l’avoir fait. Mais une chose bizarre se passait souvent à la clinique pendant que j’y étais. Salomon renvoyait régulièrement du personnel pour des raisons inexplicables ou improbables.

Souvent c’étaient des personnes qui me semblaient tout à fait compétentes. Elles faisaient du bon travail. A part pour quelques-unes peut-être, je n’ai jamais compris pourquoi il les renvoyait. Je m’interrogeais donc beaucoup quand il dit que Peter avait violé sa servante. Mais je n’ai jamais voulu interférer dans la gestion de la clinique.

Nous avons traité plus de cinq cents personnes quand j’étais là-bas. Salomon souhaitait ma présence à chaque fois, car les gens avaient foi en l’homme blanc. Ils avaient beaucoup plus confiance dans le MMS quand un homme blanc le délivrait ! En fait, ils avaient confiance quand j’étais simplement présent, même si ça n’était pas moi qui le délivrais. Salomon avait promis qu’un homme blanc serait là et les patients venaient sereinement, même si je restais assis simplement sous le porche à l’extérieur.

Je suis finalement parti de Kampala le 27 février 2004 pour aller à Reno dans le Nevada. De là je repartais pour Mina, petit village dans un désert du Nevada.

De Mina je poursuivais ma correspondance avec tous mes contacts. J’envoyais également des courriels au président des Etats-Unis, à Bill Gates, et à différentes personnes qui semblaient vouloir faire des actions humanitaires. J’envoyais des bouteilles de MMS gratuites avec un mode d’emploi pour permettre aux gens de l’essayer. Je vendais aussi par correspondance des flacons de 120 ml contenant 325 doses à 20 dollars pièce. Je faisais un prix spécial pour les habitants de ma ville : 5$. Plus tard, j’ai conservé le même prix quand j’ai doublé la concentration de mon produit. Le temps passant, je trouvais de nouveaux usages au MMS en fonction des problèmes de santé dont les gens me parlaient.

Personnellement, j’ai toujours eu des problèmes de dents. La plupart sont manquantes et je porte un appareil dentaire. J’avais, d’après mon dentiste, des gencives trop molles. Mes dents se déchaussaient relativement facilement. Mes gencives étaient souvent irritées et douloureuses, et je songeais sérieusement à me faire arracher une dent. J’avais même pris rendez-vous avec mon dentiste pour ça.

Mais j’ai décidé de me laver les dents avec du MMS. J’ai utilisé à chaque fois six gouttes mélangées à une demi cuillère à café de vinaigre. Je remuais le tout dans un verre, j’attendais les 3 minutes obligatoires puis rajoutais un tiers d’eau. Je fus de nouveau surpris. Toutes les infections et irritations disparurent en quelques heures. Au bout d’une semaine mes gencives m’ont semblé endurcies. Quand je suis retourné comme prévu chez mon dentiste pour me faire arracher une dent, celui-ci prit une heure complète pour me l’enlever. Mes gencives étaient si dures et ma dent si bien accrochée qu’il eut beaucoup de mal à l’arracher. Elle ne venait pas.

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Evidemment je regrette aujourd’hui de me l’être fait retirer quand même. Il me semble qu’elle était en train de redevenir saine. Mon dentiste fut davantage surpris que je ne l’ai été. Depuis ce temps-là il y a beaucoup de gens qui ont utilisé le MMS pour se brosser les dents. Tous ceux qui avaient des problèmes buccaux ont eu les mêmes résultats. Un certain nombre a fait disparaître ainsi leur abcès dentaires.

Arnold en ce temps-là semblait s’échiner à nous obtenir des invitations pour des conférences en Afrique. Je pensais pourtant qu’il me suffisait d’un billet d’avion et assez pour couvrir mes maigres dépenses personnelles. Je me sentais capable de voyager n’importe où pour parler à des responsables de la santé, jusqu'à ce que nous trouvions un moyen d’obtenir les études cliniques officielles. Mais Arnold pensait que nous ne devions aller nulle part sans y avoir été invité. D’après lui, nous avions assez d’argent pour le voyage, mais comme il était persuadé d’avoir besoin d’une invitation, nous restâmes immobilisés pendant des années.

Pourtant Peter MWANGI, mon chauffeur en Ouganda que j’avais formé sur le MMS, nous obtint une invitation dans un hôpital au Kenya afin d’y effectuer des essais cliniques. Nous avions carte blanche pour tester cent personnes atteintes de la malaria avec examens avant/après à l’appui. Le tout nous aurait coûté moins de vingt mille dollars, frais de voyages et de séjours inclus. Nous avions cette somme, mais Arnold nous interdit d’y aller.

Il voulait plutôt aider Floyd HAMMER et sa femme qui avaient des soi-disant projets en cours en Tanzanie, supportés par des organismes humanitaires aux Etats-Unis. Peut-être mais ceux-ci ne s’en occupèrent jamais sérieusement, et, finalement, rien ne fut fait. Pourtant, Floyd HAMMER recevait régulièrement notre soutient financier par l’intermédiaire de la « Malaria Solution Fondation ». Nous avions crée cette fondation pour, entre autres, appuyer légalement ce genre de démarches. Mais Floyd ne nous rendait jamais de compte de l’utilisation de nos fonds. Nous l’avions par exemple aidé à acquérir un pick-up et à collecter puis envoyer beaucoup de nourriture en Tanzanie. Mais curieusement, quand Floyd rendait des comptes à ses responsables aux Etats-Unis, il ne précisait jamais que nous l’aidions. Il leur parlait de soigner des malades du paludisme mais ne mentionna jamais le MMS.

La validation des protocoles standards d’essais cliniques étaient ce qui nous préoccupait le plus en ce temps-là. Nous aurions pu l’avoir par Peter. Mais Arnold, par son mauvais choix une fois de plus, nous fit perdre encore cette opportunité.

Arnold décida finalement que nous ne leur enverrions plus d’argent. Mais s’il m’avait permis d’utiliser cette somme, j’aurais complété les essais cliniques au Kenya, et nous aurions eu les preuves officielles que tout le monde réclamait.

Il y a une autre chose aussi que j’avais essayé d’obtenir d’Arnold en vain. C’était simplement d’engager officiellement Peter MWANGI en Afrique. Il se serait rendu dans les hôpitaux, en particulier ceux qui acceptaient d’étudier le MMS. Il aurait pu aller dans les églises, les orphelinats et les cliniques. On lui faisait confiance et nombreux étaient ceux qui voulaient essayer le produit. Mais pendant ce temps nous avons tourné en rond avec Floyd. Peter aurait pu traiter des milliers de personnes dans des dizaines d’endroits différents. Malheureusement Arnold était le comptable de notre association, et bien que je les trouvais souvent absurdes, je respectais ses choix.

Mais rien de ce que je suggérais n’était pris en considération. Employer Peter, un résident sur place, au lieu d’envoyer quelqu’un depuis les Etats-Unis USA aurait été ridiculement bon marché. Il nous aurait coûté moins de 100 dollars par mois et lui aurions envoyé tout le MMS dont il aurait eu besoin. Ses dépenses auraient étaient le dixième de celles d’un étranger ou d’un missionnaire. En outre, il aurait effectué exactement ce que nous lui aurions demandé.

Mais Arnold ne faisait pas confiance à Peter. Il ne l’avait pourtant jamais rencontré. J’avais pour ma part travaillé chaque jour avec lui pendant un mois. Nous étions devenus de bons amis quand nous nous sommes quittés.

De l’autre côté, Floyd nous coûta des milliers de dollars et ne nous dit même pas un mot de remerciement. Tout l’argent que nous avions donné à Floyd n’a jamais abouti à quelque chose de concret.

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Mais Arnold continuait de faire erreur sur erreur, en étant toujours persuadé d’être le seul à savoir faire pour le mieux.

Je radote, mais je rage encore en repensant à ce gamin qu’il paya pour l’informatique et qui nous causa tellement de tords que cela nous empêcha d’obtenir la reconnaissance légale de notre association pour but non lucratif. Il engagea ensuite plusieurs personnes pour obtenir au final un site internet très médiocre. Puis il embaucha un autre gars, le paya d’avance, et notre site web ne fut jamais réellement amélioré.

Cela fait déjà six ans qu’Arnold disait qu’il nous obtiendrait la création d’un site Internet. Au moment où j’écris ces mots, nous n’en avons toujours pas de digne de ce nom. Il a envoyé des milliers de dollars à Floyd HAMMER et nous n’avons jamais obtenu de reconnaissance ou d’informations concernant les malades du paludisme traités avec notre MMS.

Avec l’argent qu’Arnold continuait de nous faire perdre, j’aurais pu avoir plusieurs essais cliniques complets au Kenya avec la preuve dont nous avions besoin pour convaincre les septiques. Il continuait à dire que nous étions sponsorisés à condition qu’il contrôle tout. Il freinait la diffusion du MMS alors qu’il clamait l’inverse. Il me disait qu’il était le chef de notre association et que les choses devaient se passer comme il l’entendait. Arnold et John disaient que je n’avais pas mon mot à dire sur la façon dont les choses devaient être faites parce que je n’étais pas assez bon dans les relations humaines. Je pense aujourd’hui qu’ils m’attribuaient leurs propres défauts et que j’avais été trop idiot de ne pas les avoir envoyés balader plus tôt !

Il n’y avait pas eu moyen de les convaincre du contraire de leurs certitudes absurdes. Lorsque j’essayais d’argumenter en présentant les résultats d’événements passés, ils se mettaient à hurler. Je n’avais pas le droit de faire valoir mon point de vue ou mes idées. Il voulait me faire passer pour un sénile à la mémoire défaillante. En fait, tout se passait calmement tant que je ne disais rien. Il leur arrivait pourtant de me demander mon avis sur des points particuliers. Mais je découvrais toujours en fin de compte qu’il n’avait jamais été suivi.

J’aurais pu les quitter avant, et j’aurais dû le faire, mais j’étais tenu par leurs promesses et leur art de me convaincre de notre proche victoire. Je me laissais bercer d’illusions par leur volubilité intarissable. Arnold et John avaient été mes conseillés associés jusqu’à ce que je réalise un jour que je pouvais tout simplement écrire ce livre pour dire tout. Et s’il n’était pas assez abordable, quelles qu’en soient les raisons, quelqu’un d’intelligent se chargerait de le rendre digeste.

J’avais écris plusieurs lettres à des gars de l’Organisation Mondiale de la Santé. Ils m’ont paru intéressés. Ils me répondirent par courrier qu’ils avaient des programmes d’essais de différents médicaments sur le paludisme. Le MMS les intéressaient disaient-ils. Après quelques échanges, ils me proposèrent un contrat que je devais signer. Nous avons négocié un peu, changé quelques points, et finalement nous sommes tombés d’accord. Je leur ai envoyé une bouteille de MMS. Environ un an et demi après que je sois revenu d’Afrique, je reçus finalement une lettre d’eux indiquant qu’ils essayaient mon produit dans un laboratoire séparé.

Ils avaient obtenu l’accord d’un médecin qui ferait les essais pour eux. Mais ce dernier fit des tests je ne sais comment sur des souris et rapporta que ça ne fonctionnait pas. J’en fus étonné, mais il indiqua clairement que ça ne guérissait pas les souris et n’améliorait même pas leur état. Je rageais parce que je pressentais que le médecin n’avait pas suivi mes indications. Je fus même très étonné qu’il n’ait jamais cherché à se mettre en contact avec moi. J’aurais pu lui fournir la compréhension nécessaire au produit afin qu’il puisse diriger correctement ses travaux.

Pourtant, à cette période, trente cinq mille personnes avaient été guéries sur le terrain. Mais ça ne pouvait pas guérir une souris ? Pardon, je ne le crois pas. Il y a un pays d’Afrique qui n’autorise pas l’OMS à traverser ses frontières. Et je le comprends. Car il me semble, au vu de tout ce que nous leur avons indiqué, que si l’OMS avait pour but réel d’aider le monde comme ils le prétendent, ils auraient au moins tenté un examen approfondi du MMS.

J’entrais donc en contact avec ce médecin après différentes démarches pour obtenir ses coordonnées. Je l’informais de mon étonnement sur ses constats face à nos résultats sur le terrain. Mais il ne fut pas intéressé. S’il l’avait été, ne serait ce qu’un petit peu, il m’aurait invité à venir l’aider. Ce docteur n’avait pas la moindre

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idée de ce que pouvait être le MMS. Il ne le comprenait pas. Il n’a pas saisi l’importance de son activation par l’acide. Il ne comprenait même pas les réactions chimiques que je lui décrivais. Il ne voulait pas savoir. Il préférait faire des tests sur mon produit sans savoir ce que c’était, ni sur ce que j’avais à lui dire.

Je pense donc qu’il voulait simplement proclamer que ça ne fonctionnait pas et c’est tout. Il n’était absolument pas intéressé par le fait que trente cinq mille personnes avaient été sauvées du paludisme grâce au MMS. Je lui ai parlé longtemps au téléphone, mais il ne me manifestait aucun intérêt particulier. Apparemment, tout ce que souhaitait l’OMS était la signature d’un représentant officiel de la santé pour désapprouver notre produit.

Il y eut aussi un docteur en Israël qui a testé le MMS. Il prétendit que ça ne marchait pas non plus. Mais ce dernier refusait d’utiliser du vinaigre ou de l’acide citrique pour l’activer ! Il soutenait que l’acétate était la même chose, et il n’utilisa que cela ! Mais le fait est que l’acétate n’est pas du tout la même chose que le vinaigre. C’est chimiquement totalement différent. Il ne voulut pourtant pas essayer le vinaigre. Il pensait qu’il savait mieux que moi de quoi il en retournait. J’avais moi-même fait des tests avec différents acides. Sans pouvoir l’expliquer encore j’avais découvert qu’il réagissait convenablement au vinaigre, au jus de citron et à l’acide citrique uniquement.

Mon contrat avec l’OMS fait plusieurs pages et je ne vais pas l’exposer ici en entier. Mais il était accompagné d’une lettre dont la copie se trouve en page suivante. Le contrat complet est à la disposition du lecteur sur sa simple demande. J’invite même toute personne sincèrement intéressée par le MMS à venir le lire chez moi.

Vers la fin de notre association, Arnold commença à disjoncter au sujet du MMS. Il ne voulait plus en donner. Il souhaitait garder un contrôle total sur chaque bouteille distribuée. De son point de vue il était l’initiateur de tout ce qui avait été fait en Afrique. Il continuait à rencontrer des gens et des groupes qui pouvaient éventuellement nous financer pour y retourner. Arnold continuait à m’interdire de rencontrer ces personnes. J’étais dans un désert, au propre comme au figuré.

Je rapporte cette anecdote parce que juste avant d’écrire cela j’ai donné deux bouteilles de MMS à deux personnes qui étaient venues me voir. Arnold l’a apprit et nous avons eu une discussion houleuse. Il me dit que j’allais me retrouver en prison à force de continuer à donner du MMS illégalement. Il ajouta qu’il venait de parler à un donneur potentiel avant de quitter San Francisco. Encore un de plus qu’il ne me laisserait pas rencontrer…

Mais depuis ici, dans le désert, en écrivant simplement des courriels vers l’Afrique, j’avais fait en sorte que cinq mille personnes aient été traitées et guéries du paludisme. Arnold n’avait rien fait de concret durant cette période, mis à part palabrer sur ce qu’il projetait de faire là-bas. A l’écouter l’on pouvait penser qu’il était riche à millions et qu’il voulait prendre en main le projet Afrique. Quant à moi, j’avais juste un petit chèque de mon assurance chômage qui me tombait chaque mois.

Un jour, environ un an après être revenu d’Ouganda, je travaillais sur la toiture de mon logement dans le désert. Je suis tombé et me brisait presque le dos et le cou. J’ai été emmené d’urgence vers l’hôpital le plus proche, mais il n’avait pas l’équipement nécessaire pour s’occuper de mon cas. On m’a donc envoyé à Reno par avion. Finalement, pour faire bref, ils ont placé une vis en titane sur ma deuxième cervicale. Ca ressemble à une vis à bois de 30 mm de long. Pour vous imager la chose, il s’agissait du même os que celui dont l’acteur Christopher REEVES (Superman) s’était cassé. Cela l’avait paralysé à vie.

Mon dos s’est rétabli assez vite, mais mon cou refusait de guérir. Le chirurgien avait malheureusement un peu trop écarté les os. En fait, il aurait du visser un demi tour de plus. Six mois sont passés sans que je puisse retrouver une vie normale. Puis le praticien a insisté pour opérer de nouveau. Il voulait placer deux vis supplémentaires. Les avis médicaux divergeaient, mais tous m’indiquaient qu’il fallait effectivement opérer de nouveau. Malgré tout je décidais d’attendre six mois avant de trancher.

Finalement, à force de parler de ma situation déplorable autour de moi, Michael HAYNES, un ami au Canada, me suggéra des séances de magnétisme. Il me conseilla fortement de me pencher sur le sujet. Je fis mes recherches et tombais sur un groupe de cliniques qui avait des résultats impressionnants avec ça. Malheureusement, leurs tarifs étaient très élevés. Je me suis donc renseigné énormément pendant des semaines sur les théories, les techniques et les dernières avancées en la matière.

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Je me procurais alors des aimants ultra puissants et décidais d’expérimenter les choses par moi-même. En fait ils étaient tellement puissants qu’ils en étaient dangereux. Ils pouvaient écraser un doigt ou le sectionner s’ils étaient mal manipulés. Le principe du magnétisme qui me semblait le plus abouti consistait en un circuit complet à travers le corps pour obtenir le maximum de guérison.

Selon ce que j’avais compris des théories étudiées, je fabriquais une pièce métallique recourbée destinée à maintenir les aimants en place selon un ordre précis. Il s’agissait de créer un champ magnétique fermé autour de mon cou, le pôle sud étant situé proche de la zone douloureuse. Puis je portais cela sans discontinuer. Je m’arrangeais pour dormir de sorte que cela reste bien en place.

Au bout de cinq jours et cinq nuits, mon cou se mit à enfler. Inquiet, je pris rendez-vous chez mon médecin pour le lendemain. Le jour suivant, je constatais que cela allait beaucoup mieux mais je mis quand même une minerve pour aller le voir. Il me fit faire une autre radio. Et là, surprise, l’os s’était complètement rétabli ! Le docteur retira mon appareil en disant que je n’en avais plus besoin. Il ajouta qu’il était content d’avoir attendu avant d’opérer à nouveau. Lorsque je lui mentionnais que j’avais utilisé des aimants, il s’en moqua et ne s’y intéressa pas du tout. Je crois qu’en fait, il aurait préféré sans doute m’opérer encore. Car ce n’est pas lui qui avait décidé d’attendre avant une autre opération. Si je l’avais écouté, Dieu seul sait dans quel pire état je me trouverais aujourd’hui.

Je ne comprends pas tout à fait l’action des champs magnétiques, mais j’ai bien senti que les aimants ont gonflé de sang les environs de la zone lésée. C’est peut-être ainsi que la guérison a pu se faire. J’étais bien soulagé de savoir que mon corps ne me poserait plus problème à ce niveau et que je pouvais retourner à mes activités principales.

Je sais désormais que lorsqu’on souffre d’os qui ne veulent pas guérir, il faut se pencher vers le magnétisme. Mais ça n’est pas simple. Il faut trouver les bons aimants et leur bonne disposition face à la blessure…

Durant cette période je continuais à communiquer avec beaucoup de personnes en Afrique. Un jour je reçu un appel de Guinée. Un homme souhaitait que nous y allions pour y traiter des gens avec le MMS. Il dit qu’il était ami de la Première Dame du pays, et qu’il pouvait obtenir facilement des laissez-passer. Il lui avait parlé de nous et elle était impatiente de nous rencontrer. Arnold ne pouvait pas reculer face à une telle proposition. Nous avions quelque part l’appui du gouvernement, tout de même !

Mais alors que nous préparions notre voyage, je passais un coup de fil en Guinée et découvris que tout était tombé à l’eau. Tout à fait irrationnellement, Arnold m’interdit de rattraper les choses. Il ne me laissa jamais tenter de parler davantage avec ce contact qu’il avait considéré entre-temps comme étant sien.

Il y eut une dispute entre nous comme je les détestais. Arnold reprit contact avec cet homme et prétendit que celui-ci voulait diriger chacun de nos mouvements en Guinée. C’était quelque chose que nous ne pouvions pas tolérer. En tout cas c’est ce qu’Arnold me dit. Nous ne sommes donc pas allés en Guinée. C’était pour moi très humiliant d’avoir l’interdiction de parler à quelqu’un.

Un jeune homme très actif, du nom de CHINO, me contacta aux environs de Mars 2005. Il me dit qu’il voulait en savoir plus à propos du MMS. Je le rencontrais à Beatty, dans le Nevada. Je lui en expliquais le fonctionnement et lui préparais quelques doses. Il en prit une. CHINO m’expliqua que sa famille possédait en Sierra Leone une grande mine d’or en bordure de la rivière principale. Il m’indiqua que la malaria était très répandue dans cette zone. Il me dit que tous les membres de sa famille étaient atteints. Il ajouta que beaucoup mourraient là-bas à cause de ça.

Il avait besoin de tout le MMS que je pouvais lui fournir. Je lui dis que j’allais essayer de lui en obtenir autant que possible. Nous avions décidé de facturer un prix que tout Africain pouvait payer à cette époque, c’est à dire 10 centimes. J’annonçais le prix, et me répondit qu’il trouverait l’argent. Puis je lui donnais 20 bouteilles, sachant que chacune contenait théoriquement de quoi traiter 450 personnes. Je les lui donnais gratuitement, mais il insista pour payer bientôt.

A peu près deux mois plus tard il vint me voir dans le désert. Il avait été en Sierra Leone et avait soigné environ

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1.000 personnes dans la région dans son village et la région avoisinante dans laquelle sa famille vivait. Il m’informa que d’autres personnes attendaient là-bas qu’il leur ramène plus de bouteilles de MMS. Il m’expliqua qu’il ne lui était finalement pas possible de faire payer les gens pour les doses qu’il donnait. Il me fit comprendre qu’il avait senti que dès qu’il commencerait à vendre les doses, quel qu’en soit le prix, le gouvernement l’arrêterait et lui confisquerait tout. Il s’accaparerait le produit pour le vendre chèrement à ceux qui peuvent se le payer.

C’est ainsi que ça se passe dans l’ouest de l’Afrique me confirma t-il. Le gouvernement voudrait s’accaparer tous les gains. En revanche, s’il n’y a pas d’argent à la clé, les autorités ne s’y intéressent pas. Donc le seul moyen pour délivrer le MMS en Sierra Léone, est de le faire gratuitement.

Cependant il ajouta qu’il connaissait des gens aux USA qui étaient prêts à payer pour que le MMS soit délivré gratuitement là-bas. Je n’exigeais rien pourtant, mais il insistait pour que nous soyons rétribués.

Photo : Les gens font la queue pour prendre une dose de MMS en Sierra Leone. Remarquez combien ils sont proches les uns des autres. C’était l’organisation de Chino.

Photo : Les proches de Chino, en Sierra Leone, l’aident à soigner des centaines de personnes. Chacun des verres en plastique contient une dose de MMS.

Je décidais donc de m’atteler à aider ce jeune homme qui m’avait l’air bien déterminé à aider ses semblables. Il m’avait communiqué beaucoup d’espoir et d’enthousiasme.

Je rassemblais une centaine de bouteilles de 450 doses chacune. Puis, avec lui je suis allé à Reno pour envoyer les bouteilles vers la Sierra Leone. Il insista pour payer les frais de transports. Je lui proposais qu’en échange de payer, il fasse en sorte que chaque personne guérie écrive une lettre signée en guise de témoignage et de remerciement.

Il partit ensuite lui-même là-bas pendant trois mois environ pour s’occuper des gens. Il soigna près de cinq mille victimes de paludisme. Il était accompagné de son cousin qui l’aidait et prenait des photographies de leurs actions.

Il revint sans lettres de succès mais plein d’images très parlantes. Il m’expliqua que ça avait été compliqué d’exiger des mots de sympathies car souvent les personnes étaient illettrées. Il eut donc l’idée de faire mitrailler toute l’opération par son cousin avec un appareil photo.

J’ai trouvé l’idée remarquable. Ce jeune homme était décidemment actif et efficace. J’accédais désormais à toutes ses demandes sans sourciller. Je ne faisais aucune objection, quelques soient ses exigences. Elles n’étaient jamais exagérées. Elle consistait le plus souvent en de petits envois de bouteilles supplémentaires. Vous trouverez ci-contre quelques photographies de son action en Sierra Leone.

Pendant ce temps, John continuait de palabrer sur notre séjour prochain Afrique, dès que nous aurions plus d’argent, ce qui devait se faire prochainement, et blablabla, etc. Quand à Arnold, il continuait d’insister sur le fait qu’il nous fallait une invitation avant de pouvoir y aller.

Je restais silencieux face à leur volubilité car au fond de moi, bien que peu convaincu, je me disais quand même que peut-être, après tout, quelque chose aboutirait finalement avec eux. Je gardais espoir car j’avais toujours le désir ardent de toucher l’Afrique à grande échelle avec le MMS. Ils le savaient et s’y prenaient souvent assez bien pour me le rappeler.

Mais ils m’interdisaient toujours de dire quoi que ce soit à leurs soi-disant contacts. Ils disaient à nos sponsors que personne ne serait payé pour la technologie et que tout l’argent versé serait utilisé uniquement pour traiter les gens en Afrique. Je ne pouvais pas vraiment m’opposer à ce discours. Ils considéraient que demander une rétribution personnelle pour mon travail de recherche, pour mes dépenses, pour toute l’énergie et le temps dépensé, souvent à cause d’eux d’ailleurs, était du pur égoïsme !

Le fait est que je n’ai jamais su qui étaient ces sponsors. Mais je découvris en fin de compte bien plus tard qu’ils

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voulaient utiliser ma technologie pour devenir connus au Malawi. En fait ils travaillaient sur plusieurs projets en joint-ventures commerciales. Cela incluait une mine et une nouvelle technologie concernant le riz qui aurait permis, parait-il, d’en fournir en grande quantité pour toute l’Afrique, et peut-être pensaient-ils, le monde entier. Je n’ai jamais été inclus dans leurs projets. Quand bien même, je n’aurais pas souhaité l’être malgré ma situation financière précaire. Je pensais plutôt sereinement qu’à force de me battre pour le développer, le faire connaître, et l’empêcher de tomber sous le contrôle de quelqu’un ou d’un groupe, le MMS m’apporterait d’une manière ou d’une autre, tôt ou tard, tout ce dont j’aurais besoin pour finir mes jours paisiblement. Aujourd’hui, après cette deuxième édition, je peux dire que je suis enchanté et fier d’avoir persisté dans ce sens. Ca n’est pas tellement que j’ai de l’argent, non, ça n’est pas encore le cas. En revanche je suis maintenant entouré par une multitude de gens de plus en plus nombreux à travers le monde qui me transmettent leur reconnaissance et leur soutien indéfectible. Et ça, mes amis, ça vaut tout l’or du monde ! Je sais que ne manquerais plus jamais de rien.

Photo : A gauche, Chino. Il donne une dose à un garçon qui recule devant l’odeur du MMS dans le verre. Mais la plupart des enfants étaient plutôt enthousiastes voyant le MMS comme un produit magique.

Chapitre 8 – Le Malawi

La Fondation Solution pour la Malaria, crée par Arnold et moi, reçut finalement une invitation. Elle ne venait pas d’un gouvernement mais d’un homme d’affaires au Malawi. Son nom est Zahir SHAIKH, un grand philanthrope. Après avoir entendu parler de nous grâce à mes emails, il voulut faire quelque chose pour son peuple.

Nous avions donc une invitation. Il ne nous manquait plus que l’argent. Mais celui-ci fut offert par John.

Arnold et moi décidâmes de partir au Malawi en Février 2006. Deux autres personnes choisies par Arnold devaient nous y accompagner.

Photo : De gauche à droite, James CHRISTIANSEN, moi, Zahir SHAIKH, et John WYAUX.

La veille de notre départ, John me dit lors d’un dîner convivial en tête à tête et sans témoins :

- Je tiens à ce que vous fassiez toujours exactement ce qu’Arnold vous indiquera, autrement je couperais le financement de votre séjour. Nous ne pouvons pas nous permettre que vous fassiez tout rater.

Je n’en revenais pas. J’avais envie de tout arrêter. Mais, soutenu par mon rêve d’atteindre l’Afrique, je finis par acquiescer. Si je me désistais maintenant, ce projet tomberait à l’eau et des remords s’ensuivraient. Je lui dis :

- Ne vous inquiétez pas, c’est d’accord, je ferais tout ce qu’Arnold me dira…

C’était cependant une recommandation inutile, car, comme je m’en suis rendu compte bien après, j’étais déjà depuis longtemps sous son emprise et agissais souvent selon ses ordres.

Il y avait pourtant eu beaucoup de choses réalisées sans la volonté d’Arnold. Heureusement que je ne l’avais pas écouté dans certains cas, comme avec Chino, par exemple.

Pourtant à mon retour le mois suivant, John me présentât ses excuses. C’était d’après lui sa petite amie qui avait été à l’origine de son discours à mon égard. Elle lui avait recommandé de me parler ainsi. Mais ça ne changeait pas vraiment les choses.

Je me disais alors que les gens riches avaient une fâcheuse tendance à ne pas respecter ceux qui ne l’étaient pas. L’argent, certes, n’était pas mon truc… Et alors ?! J’ai passé plus de 50 ans à dépenser des sommes folles pour étudier toutes sortes de choses. Cela allait des philosophies spirituelles et religions, jusqu’aux domaines scientifiques et mécaniques les plus pointus. J’ai quelque chose que John et Arnold ne comprendront jamais.

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Mes études spirituelles m’avaient rendu capable d’être suffisamment réceptif à de nouvelles possibilités sans être bloqué par des dogmes imposés. C’est ainsi que j’ai pu être porté par mes intuitions de manière telle que j’avais pu percevoir le potentiel de l’Oxygène Stabilisé, avant de créer le MMS. C’est le mélange de connaissances abstraites d’un côté et bien concrètes et solides de l’autre qui m’ont permis d’arriver jusqu’à lui.

Photo : Zahir SHAICK l’homme d’affaires qui nous invita au Malawi. Il est originaire de l’Est de l’Inde. Ses ancêtres s’étaient installés au Malawi bien avant sa naissance. Il nous faisait visiter la capitale et nous permis de nous introduire auprès de certains organismes gouvernementaux afin de nous aider à obtenir des autorisations pour le MMS (que nous l’appelions à cette époque la Solution contre la Malaria).

Notre succès concernant le MMS au Malawi provient complètement de l’implication de Zahir. Chaque jour il nous emmenait lui-même en voiture chez différents officiels. Il nous fit rendu compte, entre autres, le Chef de la Police, l’Inspecteur Général, le Ministre de la Santé, etc.

A chacune de nos visites auprès des représentants du gouvernement, Zahir nous appuyait avec beaucoup d’éloges et de gratitude. Puis Arnold parlait de notre mission en Afrique et je décrivais ensuite les détails du fonctionnement du MMS. Je passais alors de vingt à cinquante minutes à expliquer la chimie de base concernant le produit et son action. Le temps que ça prenait dépendait du nombre de questions qu’on me posait.

Mais quelque chose changea dans le comportement d’Arnold. Car il avait bien insisté auparavant pour que nous ne renseignions personne sur le fonctionnement du produit. Cela avait été l’un des points majeurs de nos disputes.

Photo : 3 des infirmiers de la prison regardant l’auteur montrer comment mélanger le MMS.

Ainsi je n’avais pas le droit d’en parler, mais Arnold, après quelque discours, dit à la toute première personne que nous étions allés voir :

- Voici l’inventeur du produit et je lui laisse la parole pour qu’il vous explique comment cela fonctionne.

Il m’avait mis en garde pendant des mois. Je ne m’étais pas préparé à en parler, et voici qu’il comprenait enfin qu’il était impossible de faire autrement que de donner des détails. Ce fut l’un des nombreux exemples qui montrent la volonté irrationnelle qu’avait Arnold de tout contrôler. Je savais pourtant bien que les docteurs et les gens formés par le cursus scientifique classique ne nous autoriseraient jamais à faire quelque chose sans une explication valable.

Arnold me dit même une fois, lorsque nous parlions d’aller en Guinée :- Si tu commences à leur donner trop de détails, je te ramène à l’avion illico et tu rentres à la maison !

Autre chose, Arnold ne voulait pas que nous administrions nous-mêmes le MMS. Il disait que nous devrions nous contenter seulement d’entraîner les gens à le faire. Ca n’était pas une mauvaise idée, c’était juste sa façon d’être catégorique là-dessus qui était inexplicable. Car il fallait bien que nous donnions l’exemple avant que d’autres ne puissent faire ce travail.

Le plus souvent ses ordres étaient tout simplement irrationnels et impraticables.

Je n’avais pas insisté là non plus, car je me doutais bien qu’Arnold serait obligé de changer de point de vue une fois sur place. Quand on apporte un nouveau médicament à des gens, on a intérêt à être préparé à devoir le leur administrer soi-même. Sinon, personne ne fera confiance à celui qui l’apporte, ni au produit. Ainsi c’est toujours moi qui ai préparé et donné les doses, et c’est logique.

Sur le terrain, Arnold fut assez intelligent pour comprendre cela rapidement. Tendre un médicament à quelqu’un et dire « prenez-le et donnez-le autour de vous » ne marche pas. Les gens en concluent que nous n’osons pas l’administrer parce que nous ne maîtrisons pas notre propre produit. Donc en tant qu’inventeur, quand nous arrivions en différents endroits, je m’assurais toujours de délivrer moi-même les doses. Heureusement qu’Arnold perçut quand même tout de suite que c’était nécessaire.

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Généralement, quand nous allions rencontrer des officiels, je préparais une dose pour nous tous, pas seulement pour eux. Ainsi, après nous avoir observés, chacun acceptait de boire après nous. Donc, au Malawi, la première des choses que j’ai du imposer à Arnold était de pouvoir distribuer personnellement les doses aux gens. Je l’ai fait aussi quand nous sommes allés dans les prisons et autres endroits sordides.

Il était évident que personne d’autre n’aurait pu le faire. Il fallait du temps pour mettre les gens en confiance, pour qu’ils acceptent de boire et finalement qu’ils tentent de le prendre eux-mêmes ? Ceci d’autant plus que l’odeur du MMS est assez rebutante. Puis il fallait encore plus de temps pour convaincre des gens d’en donner à d’autres gens.

En fait, tout se passa comme je l’avais prévu, mais Arnold ne le releva même pas. Au contraire, en toute occasion il cherchait encore à vouloir imposer ses vues violemment pour finalement devoir me laisser faire.

Heureusement les choses allèrent vite au Malawi. Les habitants y sont extraordinaires. Quand ils voient que vous donnez un médicament parce que vous êtes convaincu qu’il fonctionne et que vous le démontrez avec zèle, ils prennent les choses en main rapidement. Je n’ai jamais manifesté la moindre hésitation à en prendre ni à donner du produit. Autrement beaucoup auraient perdu notre confiance.

Un soir, Arnold renvoya soudainement les deux personnes qu’il avait entraînées avec nous au Malawi. L’un était photographe du nom de James HACKBARTH et l’autre était un ami à lui qui s’appelait John WYAUX. Je me rappelle seulement de quelques détails bizarres avant ce renvoi subit. Arnold n’a jamais souhaité m’en parler entièrement.

Je me souviens qu’une fois nous étions en costume cravate dans un des restaurants les plus chics de la ville. Il n’y avait pas d’autres blancs dans la salle. Tout à coup, Arnold se leva et hurla contre John WYAUX. Je n’ai jamais vraiment compris pourquoi. Evidemment tous les regards se sont tournés vers nous. J’étais vraiment très embarrassé et suis resté les yeux plongés dans mon assiette, n’osant affronter les yeux des clients aux tables voisines. Puis, l’air furieux, Arnold se tut, laissant place à un silence pesant dans la salle, un laps de temps qui parut interminable. Enfin, il quitta l’endroit, et l’ambiance feutrée des conversations murmurées se rétablit rapidement, comme si rien ne s’était passé.

J’ai appris le lendemain que John avait dit quelque chose à Zahir, notre serviable homme d’affaires. Mais apparemment, ni Zahir ni John ne comprenaient ce qui avait pu mettre Arnold dans cet état.

Jusqu'à ce jour, je ne sais toujours pas ce que John avait dit et n’ai aucune idée de la raison pour laquelle il fut renvoyé.

Trois jours plus tard, un soir, Arnold légèrement saoul, entra dans la chambre de James HACKBARTH et le renvoya aussi. Il invoqua le fait qu’il ne prenait pas d’assez bonnes photos. J’avoue pour ma part que je ne n’avais pas été satisfait non plus de certaines photos, mais de là à le renvoyer… cela me paraissait excessif. Nous aurions pu lui en parler d’abord.

En tous cas Arnold les renvoya tous les deux sans ménagement. Il leur demanda même de se débrouiller pour rentrer. Les quelques jours précédents leur départ, il était devenu odieux à leur égard. Je me dis alors que je devais peut être rentrer aussi car personne ne méritait ce genre de traitement. En effet, j’étais à peine mieux loti que les autres vis-à-vis d’Arnold car il me criait souvent dessus aussi.

Mais je voulais terminer ce projet au Malawi. Je voulais que ce soit un succès sur toute la ligne et décidais de mettre ma fierté de côté. Toutes mes décisions, et c’est encore le cas, étaient animées par la seule volonté de faire connaître et utiliser le MMS partout dans le monde.

Nous avons rencontrés au Malawi les mêmes problèmes qu’au Kenya. Les doses initiales que j’avais préparées étaient trop faibles. Nous avions commencé avec des prisonniers pour faire notre étude clinique. C’était l’idée des autorités. Elles ont voulu faire tester notre produit dans les prisons. Mais les gens traités n’étaient pas complètement guéris le jour suivant.

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J’augmentais donc les doses, mais il y eut un autre problème. Nous utilisions du jus qui contenait de la vitamine C rajoutée. La vitamine C de synthèse réduit l’efficacité du MMS d’environ 75%. Je l’avais déjà pressenti mais n’avais jamais fait de recherches le déterminer. Cependant, fort de mes présomptions, je décidais d’utiliser uniquement du jus de fruits fraîchement pressés, et d’augmenter le dosage. Nous obtînmes alors un taux de réussite de 100%.

Photo : Deux femmes détenues donnent le MMS à leurs bébés. Les deux bébés ont été guéris en 24 heures.

L’idée d’effectuer nos essais dans des prisons nous avait été suggérée judicieusement. C’étaient des endroits accessibles facilement lorsque nous étions recommandés ou munis d’autorisations officielles. Nous avons donc décidés d’accepter sachant que le MMS ne pouvait faire que du bien. L’emprise des autorités médicales y était faible. Elle n’était pas trop poussée dans le milieu carcéral, sauf peut-être lorsqu’il s’agissait de mettre certains détenus en camisole chimique. Les prisons au Malawi sont comme des camps de concentration. Elles sont entourées de grillages électrifiés avec barbelé au sommet. Il y a des gardes armés postés à chaque coin dans de petits abris. Quand nous étions là-bas, ils nous ont demandé si nous voulions voir le quartier des femmes, et bien sûr, nous avons accepté. Les femmes dormaient à même le sol, avec une ou deux couvertures. Arnold leur a dit qu’il allait essayer de leur obtenir des matelas en mousse. Les mères gardaient leurs enfants en bas âges avec elles en prison.

Les gardes détournaient la plupart de la nourriture destinée aux prisonniers et la vendait ailleurs. De ce fait ces derniers étaient mal nourris. Alors certains cultivaient quelques légumes, comme des pommes de terre. Il n’y avait qu’un seul WC pour toutes les femmes, avec un filet d’eau coulant en permanence. A part les sols, la prison était quand même assez propre. Les femmes se lavaient à l’extérieur, au moyen d’un simple robinet et d’un seau, à l’abri du regard des hommes.

Photo : des lits où dorment des prisonnières. Leurs enfants en bas âge les accompagnent.

Nous avons commencé par la prison locale nommée Maula, dans la ville de Lilongwe, capitale du Malawi. Le directeur nous présenta au technicien médical. Son assistant s’appelait S.S. KAMANJA. En pratique, c’était l’assistant qui faisait tout le boulot. L’autre n’était pratiquement jamais là. KAMANJA s’arrangea pour que nous fassions tous nos essais correctement. Nous lui avons glissé quelques dollars en plusieurs occasions et il était très coopératif, même sans cela. Il était gentil et très reconnaissant de notre soutien financier. Car la misère est très répandue au Malawi.

Nous avons cherché un laboratoire extérieur susceptible d’effectuer les examens sanguins. Il était important que ce soit une entité distincte. Nous avons finalement trouvé un hôpital médical du nom de MARS (Medical Air Rescue Service, Service Médical de Sauvetage Aérien) appartenant à une organisation internationale. Ils avaient un laboratoire qui convenait tout à fait. Le directeur était le Docteur Joseph ARYEE. Il était très intéressé par notre projet. Nous lui avons tout expliqué et il alla de l’avant en décidant de boire, comme la plupart des autres officiels au Malawi, la solution que je préparais devant lui. Il nous proposa les services d’un technicien de laboratoire qui s’appelait Paul MAKAULA. Paul accepta d’être entièrement à notre disposition si nous voulions bien lui verser un petit salaire pendant la période où il travaillerait avec nous. Nous sommes tombés d’accord pour 300 dollars sur une quinzaine de jours, plus les frais.

Le Dr ARYEE l’autorisa à utiliser librement le laboratoire de MARS pour vérifier nos essais. C’était pratique car ils avaient, entre autres, un microscope utile pour les examens sanguins. Ainsi nous avons pu prélever des échantillons à la prison et les faire examiner sans frais supplémentaires au laboratoire. C’était très généreux de sa part.

Il voulait nous aider. Partout au Malawi, les officiels que nous avons croisés prenaient du MMS après notre passage. Si nous l’avions présenté comme un médicament, ils ne l’auraient sans doute pas pris. Et s’ils n’en avaient pas bu eux-mêmes et vu les effets, ils n’auraient probablement pas permis que leur peuple en prenne. Ces officiels étaient très courageux dans leur volonté d’aider leur peuple. Ils ont accepté de prendre le MMS simplement parce que nous leur proposions de le faire. Le Comité de Pharmacie Médicale et des Poisons a facilement entériné notre MMS sous le terme de complément minéral, car de nombreux officiels l’avaient bu avec succès. Il ne pouvait s’opposer à l’évidence. C’est ma conviction. Beaucoup de gens voulaient voir le MMS aider leur pays, comme vous aujourd’hui pour vos proches, du moins je l’espère.

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Le lendemain matin, à la prison de KAMANJA on nous amena dix hommes. Il leur fut donné 6 gouttes chacun, avec un quart de cuillère à café de vinaigre. Nous avons attendu à chaque fois les 3 minutes réglementaires, et rajouté du jus d’ananas ensuite.

Arnold prit les températures de chaque personne. Nous avons découvert ainsi que les fameux thermomètres d’oreille ne fonctionnent pas uniformément, du moins en Afrique. Il est probable que cela vienne de la couche de cérumen accumulée dans les oreilles ou quelque chose comme ça. Les occidentaux appellerait cela plutôt de la crasse, mais peu importe ce que c’était, ces thermomètres ne sont pas si fiables que cela.

Heureusement nous en avions un souple en plastique qui s’appliquait sur le front. La température pouvait s’y lire en 10 secondes. Finalement Arnold utilisa ce thermomètre sur chaque personne qu’il examina. Cela fonctionna bien, et nous fûmes capables de renseigner la température de chaque patient. Elle était généralement élevée. Paul les piquait ensuite au doigt pour leur prendre un échantillon de sang. Puis il le mettait entre deux plaquettes de verre et y inscrivait le nom correspondant. Tout était expédié au laboratoire de MARS au fur et à mesure et Paul les examinait lui-même au microscope. Nous avons soigneusement enregistré les informations des dix patients de ce matin là.

Pendant les examens, j’ai préparé des doses dans des verres en plastique puis Arnold les offrait à boire. Arnold, dans l’action, nous était très utile et nous aidait beaucoup. Il tendait les doses aux patients et prenait leur température pendant que je préparais les doses et enregistrais les informations des personnes que nous devions traiter.

Après nous être occupés de ces dix détenus, nous avons demandé s’il y avait d’autres prisonniers qui se plaignaient du paludisme. KAMANJA me répondit qu’il y en avait une vingtaine de plus.

- Amenez-les, lui ais-je répondu !

Nous avons décidé de traiter tous les autres, sans examens préalables cette fois.

Lorsque nous sommes retournés là-bas dans l’après-midi, les résultats ne me satisfaisaient pas. Il n’y avait rien eu de fantastique. La plupart des trente personnes disaient qu’ils allaient mieux, mais elles avaient encore de la fièvre. Il n’y en avait qu’une qui semblait complètement guérie.

Je sentais que quelque chose n’allait pas.

J’ai décidé de revoir notre dosage. Nous décidâmes de délivrer six gouttes supplémentaires à chacun, mais le matin suivant tous étaient encore positifs au paludisme. Puis je me suis rappelé que j’avais utilisé une moyenne de 15 gouttes lors de notre séjour au Kenya. En fait, je m’étais habitué à recommander six gouttes aux américains, oubliant qu’il fallait fortement les augmenter dans ces régions.

Mais ça n’a pas suffi. Puis je commençais à comprendre ce qui se passait. En me rappelant certaines de mes expériences, j’en concluais que c’était probablement la vitamine C ajoutée qui réduisait l’effet du dioxyde de chlore. A ce stade, ça n’était qu’une intuition, mais bien plus tard, je découvrais en effet que la vitamine C de synthèse bloque la génération du dioxyde de chlore par le MMS sous l’action de l’acide.

Après quelques coups de fils passés, je découvrais finalement que le jus d’ananas que nous avion acheté à l’épicerie contenait bien de la vitamine C rajoutée et des conservateurs. Pourtant ça n’avait été indiqué nulle part. J’ai cherché alors à obtenir du jus sans vitamine C ajoutée. Nous avons donc acheté un extracteur de jus, avec des ananas et d’autres fruits, puis avons commencé à préparer notre propre boisson. En plus de cela, nous avons augmenté le dosage à 18 gouttes.

Parmi tous ces hommes, il y en avait un qui avait beaucoup de fièvre. Mais il réagissait négativement au test sanguin pour détecter le paludisme. Nous avons pensé au départ qu’il simulait quelque chose. Il avait cependant tous les symptômes de fébrilité avancée. Pourtant, quand nous lui avons donné du MMS, le lendemain matin sa température était redevenue normale, et les symptômes qu’il présentait avaient complètement disparu. Paul affirma qu’il avait testé le sang une deuxième fois sans rien trouver de significatif.

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En tout état de cause, ce prisonnier allait mieux, même s’il n’avait pas été atteint de paludisme. Nous ne saurons jamais de quoi il était atteint exactement.

Il y eut aussi un prisonnier qui refusa le traitement. Mais comme il était là, nous avons noté quand même son nom et sa température. Plusieurs jours après, en voyant que tous ses camarades se portaient très bien alors qu’il était encore souffrant, il voulu être traité aussi. Nous lui avons fait boire avec notre boisson la dernière dose que nous avions mis au point pour tout le monde, c’est à dire 18 gouttes, et, le lendemain, il était guéri !

Le premier matin suivant avant d’utiliser la nouvelle dose, nous avions de nouveau examiné nos patients. Un second examen sanguin fut établi. Ces examens ont montré que les parasites du paludisme étaient encore visibles, en moins grande quantité, mais qu’ils étaient déformés dans leur grande majorité. Autrement dit, ils avaient été visiblement mis à mal.

Ensuite nous avons donné 18 gouttes à chacun en utilisant notre jus d’ananas bien frais. Les tests sanguins du lendemain prouvèrent que tous étaient redevenus négatifs au paludisme. Tous les patients rapportaient en outre qu’ils se sentaient très bien.

En Ouganda j’avais pourtant appris que le moyen sûr de détruire le parasite du paludisme était d’utiliser 2 doses de 15 gouttes séparées d’environ 4 heures. Si j’avais opéré de cette façon au Malawi, nous n’aurions jamais rencontré autant de problèmes. Il y eut cependant un fait qui m’aida pour la suite. C’était l’histoire de la boisson. Cette expérience m’avait rapproché de l’idée, avant d’en acquérir la certitude, qu’il ne fallait pas utiliser de breuvage contenant de la vitamine C de synthèse.

J’avoue que je suis vieux avec une mémoire défaillante parfois. Deux ans s’étaient écoulés depuis les traitements effectués en Ouganda. J’en avais simplement oublié les détails et dû les retrouver à nouveau. Aux Etats-Unis j’avais l’habitude de servir 6 gouttes aux gens qui venaient me voir pour leurs petits maux. Mais il est souvent nécessaire de doubler voir tripler la dose pour guérir certaines maladies. J’avais oublié qu’en Ouganda nous avions établis le principe des 30 gouttes données en deux fois pour un même résultat. Je ne ferais plus jamais ce genre d’erreur, et j’espère de toute façon avoir finit de découvrir bientôt tout ce qu’il y à savoir sur le MMS.

A la fin de toute cette expérience qui dura un peu moins d’une semaine avec les prisonniers, le Dr ARYEE de l’hôpital de MARS, vérifia toutes les données établies par les examens sanguins de Paul. A la suite de cela, il nous écrit une lettre très encourageante. Le fait est que chaque patient qui avait été testé positif au paludisme au début du traitement, était redevenu négatif après. En outre ils se sentaient tous très bien. Donc, au final, nous avons obtenus 100% de succès, même si cela ne s’était pas tout à fait passé comme prévu au départ.

Par la suite, au Malawi, nous avons également visité plusieurs petits villages de tribus africaines vivant dans des huttes. Là-bas nous avons traité toutes sortes de maladies que l’on rencontre dans ces régions et ces climats. La chaleur trop sèche ou trop humide est propice à toutes sortes de maladies.

Les villageois marchaient pieds nus. Les cours d’eau étaient contaminés par des germes qui pouvaient pénétrer par la peau. Nous préparions des doses pour chaque personne en fonction de ce qu’elle nous indiquait qui n’allait pas pour elle. Tout le monde fut traité. Chacun y allait de son petit ou grand problème de santé. Alors nous essayâmes d’apporter du soulagement avec le seul produit que nous avions, c'est-à-dire le MMS. Nous avons pu guérir tous les cas qui semblaient être de type infectieux. Peut-être qu’après notre départ, d’autres ont connu aussi quelques rétablissements. Je ne le sais, mais je me doute que ce fut le cas pour certains.

Un grand nombre de personnes avaient vomi des vers et l’on retrouvait aussi des parasites morts dans leurs selles. J’espère pouvoir revenir encore avec assez de MMS pour tous les habitants des villages que nous n’avons pas pu traiter.

Arnold, après l’histoire du renvoi des deux personnes qui nous accompagnaient au départ, était devenu très actif en vue de ce que les choses soient bien faites. Il était transformé. On aurait dit qu’il voulait se rattraper de toutes les années qu’il avait passé à me faire des promesses. Il organisait tout. J’avais simplement à suivre le mouvement et tout allait bien. Je n’avais rien à rajouter. Il commandait tout, mais faisait vraiment en sorte que tout se passe bien. De temps en temps je lui faisais simplement quelques suggestions.

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Je m’occupais de toute le coté technique de l’opération. D’après Arnold je n’avais pas vraiment besoin d’être là. Mais il oubliait vite que ce fut nécessaire pour comprendre et corriger ce qui n’avait pas fonctionné dans certaines situations. Le fait est que toute l’opération fut un énorme succès sur le plan des guérisons. Parfois Arnold me demandait ce que j’aurais fait de différent à sa place pour certains cas. Il y avait sans doute quelques petits détails que j’aurais effectué autrement, tout simplement parce que chaque être humain est différent et qu’il agit différemment, mais rien de bien important. Il n’y avait aucune raison de pinailler.

J’avais plus été en désaccord avec sa façon de renvoyer les deux gars et sa volonté de garder le contrôle total sur tout, que sur sa façon d’agir dans le but d’être efficace pour guérir les gens. Comme c’était notre but, le reste n’avait pas d’importance. Je peux même dire maintenant que les choses ne se seraient peut-être pas si bien passées s’il n’avait renvoyé ces personnes et s’il n’avait été si ferme.

J’étais quand même un peu révolté du le contrôle qu’il exerçait envers les bouteilles de MMS. Ainsi, dans l’un des villages, je voulu laisser une bouteille au chef pour traiter éventuellement ceux qui auraient eu besoin d’une deuxième dose le lendemain. Mais Arnold refusa en prétextant que nous reviendrions. Pourtant nous n’y sommes jamais retournés, bien que je le lui ais rappelé plusieurs fois.

Dans certaines situations, nous ne tenions pas nos engagements et cela me peinait beaucoup. Car mon but n’était pas seulement d’apporter un soulagement en certaines occasions. Nous avons guéris beaucoup de gens et j’ai aimé cette tournée à travers les villages du Malawi. Mais ce que je souhaitais par-dessus tout était que les preuves de l’efficacité du MMS soient éclatantes partout et toujours de plus en plus aux yeux des gens. Sa réputation devait traverser irrésistiblement toutes les frontières. Je ne voulais laisser aucun échec derrière nous.

Actuellement, le monde envoie des milliards de dollars en Afrique. Le paludisme est l’une des plus grandes causes de mortalité. Chaque année 500 millions de personnes s’affaiblissent davantage à cause de ce fléau et certains ne peuvent plus travailler. Des millions d’autres ont le SIDA et autres maladies graves. Tout cela participe à la grande pauvreté des pays africains.

Ceux qui ne sont pas atteint ou qui sont plus résistants doivent nécessairement s’occuper de leurs proches qui sont malades. Tout le monde en Afrique est touché par la maladie, de près ou de loin. Il y règne beaucoup d’organisations humanitaires. Malgré tous les milliards de dollars investis, les choses ne semblent pas s’arranger pour autant, au contraire. Qu’en serait-il si tout le monde décidait d’employer le MMS là-bas ?

Tout cet argent pourrait être utilisé à d’autres fins plus productives une fois que la plupart de ces maladies seraient sous contrôle ou éradiquées. Le MMS peut faire cela. Ca n’est pas une conviction basée sur la foi. C’est une certitude provenant de l’expérience de son champ d’action, surtout dans ces pays là.

Nous avons accompli beaucoup au Malawi. Plusieurs agences gouvernementales ont accepté notre MMS en tant que supplément minéral contre le paludisme, ce qui est important, mais nous n’avons pas pu traiter suffisamment de personnes quand nous étions là-bas. Après que nous ayons obtenu l’autorisation du gouvernement et obtenus la validation de nos essais sur 30 cas officiels, nous sommes tout simplement rentrés, fort de notre acquis.

Six mois après notre départ, les essais cliniques conduits par les gens du Comité contre le Paludisme attachés au gouvernement, ont conduit aux mêmes taux de réussites de 100%. Il y a un espoir de traiter tout le pays, et j’espère que nous le ferons. Arnold a fait un très bon travail. Il s’y est attelé jusqu'à ce que nous ayons toutes nos informations. Par contre nous n’avons pas fait ce que nous étions venus faire. Nous devions passer beaucoup de temps à entraîner les chefs de villages et autres personnes à se servir du MMS. Pour moi c’est donc un demi-succès. Nous n’avons pas entraîné une seule personne à l’usage du MMS, dans les villages où nous sommes allés. Parce qu’Arnold l’a toujours refusé. C’était pourtant l’un de mes buts quand je suis parti là-bas. Mais Arnold craignait de laisser traîner les bouteilles et que tôt ou tard un accident arrive. Le cartel des médecins se serait alors jeté sur cette aubaine pour nous dénigrer et faire interdire l’usage libre du MMS. Peut-être qu’il avait raison. Je ne sais pas. Je pense simplement que tout le monde devrait être informé totalement et correctement sur le MMS. Chacun devrait être libre ensuite de prendre ses responsabilités vis-à-vis du produit.

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Nous sommes partis précipitamment à mon goût mais je ne sus jamais vraiment pourquoi. Nous n’avions plus d’argent je suppose. Je voulais rester et finir complètement notre travail. Il m’a simplement été indiqué par Arnold que nous devions rentrer à la maison et ce fut ainsi. Pour moi nous sommes rentrés bien trop tôt. Nous avons obtenus la validation officielle de nos essais cliniques au Malawi, certes. Mais ça n’était pas suffisant. Il fallait maintenant aller plus loin. Il fallait agir sur le terrain puisque nous avions les mains plus libres.

Nous sommes rentrés aux Etats-Unis le 27 Avril 2006. Les choses reprirent leurs cours. Tout est redevenu comme avant dans nos vies respectives. Et plus rien ne s’est passé au Malawi depuis notre passage, à part des quantités de nouvelles promesses faites par Arnold à ce sujet. Je travaille maintenant pour Arnold comme contremaître d’une équipe qui répare son moulin à or. C’est une chance pour moi de pouvoir gagner quelques dollars pendant que j’écris ce livre. John finance la plupart de l’opération ici au moulin. Il s’agit du John qui avait supporté financièrement notre voyage au Malawi. Ils dépensent des dizaines de milliers de dollars pour le moulin et la mine. Ils continuent de parler d’aller en Afrique, mais il ne me semble pas que cela arrivera prochainement. Car Arnold va devoir être très occupé à faire tourner l’affaire, sans quoi, ils perdront de l’argent.

Mon but était de faire connaître le MMS au monde entier. Ce livre le réalise en partie, du moins avec vous. Arnold ne m’autorise plus, encore une fois, à parler aux nouveaux groupes qu’il a trouvés, et qui sont intéressés à cette cause. Comme si rien ne s’était passé au Malawi. Il pense peut-être que je les ferais reculer. Jusqu’à quand continuera t-il à m’attribuer ses propres défauts et insuffisances ? Je ne comprends même pas comment il peut avoir autant d’emprise sur moi. Il me souffle le chaud et le froid, faisant miroiter monts et merveilles un jour et me dit l’inverse le lendemain. Je ne sais plus quoi penser.

Mais les choses ont changé, comme vous le verrez au paragraphe suivant. J’ai un désir fort de voir tout le pays du Malawi traité contre le paludisme. Arnold et John continuent de dire qu’ils vont fournir l’argent, mais Arnold ne veut pas me laisser partir seul là-bas. Il ne me fait pas assez confiance me dit-il. Il pense que je ne m’en sortirais jamais tout seul.

Pourtant, même s’ils décident de traiter tout le Malawi et de s’occuper d’un nouveau pays, ils pensent encore pouvoir garder secrète la formule du MMS. Ils veulent traiter toute l’Afrique en la gardant secrète ! Quelle folie !

Pour ma part, je raisonne différemment. Cette façon de fonctionner est celle employée jusqu’alors par les acteurs du monde de la santé. Je refuse de continuer ce jeu là, même si cela me coûte des milliards de manque à gagner. Je dois m’assurer que chacun obtienne toute l’information nécessaire pour comprendre le MMS. La formule complète et son mode de préparation en font partie. Ainsi personne ne pourra se l’approprier. Il doit demeurer libre. Cacher la formule n’a aucun sens. De toute façon n’importe quel laboratoire pourrait la découvrir. J’espère que tout le monde peut comprendre ça.

J’ai fourni toutes les informations que j’ai pu dans ce livre, de façon à ce que vous, lecteur, puissiez sauver des vies. Vous le pouvez vraiment, essayez seulement et vous verrez.

Cet ouvrage a été écrit sur une période relativement longue. J’y ai parfois rajouté des passages en fonction des notes que j’avais prises en Afrique et ailleurs. J’ai dénoncé mon contrat avec Arnold vers le milieu de l’année 2006, et suis allé à Mexico. De là j’ai publié la première édition de ce texte sur Internet. Plus de trois milles personnes l’ont lu depuis et cela semble prendre se poursuivre selon une croissance exponentielle. Car je sais par mon ami canadien que des milliers de gens prennent maintenant du MMS.

Beaucoup sont redevenus en bonne santé et des vies ont parfois été sauvées. Cette deuxième édition est prête à être diffusée, et une version espagnole est également en cours. J’espère qu’elle permettra de fournir ce qui est nécessaire en hommes, en projets et en argent pour terminer, entre autres, mon plan pour le Malawi. Je souhaite vraiment éradiquer tout le paludisme là-bas. C’est peut-être utopique, mais pas tant que ça pour qui connaît l’efficacité du MMS. Les seuls freins probables proviendront d’hommes aux vues étroites et uniquement d’eux. Le produit marche dans 100% des cas quand il est bien utilisé. Il faut juste arriver à le montrer aux réfractaires. Malheureusement beaucoup de ceux-là ont des postes influents et ont de grands pouvoirs de décisions de part le monde.

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Jusqu'à présent ce livre n’est publié que par l’intermédiaire de mon site Internet encore très rudimentaire. Mais j’espère qu’un éditeur s’y intéressera bientôt et augmentera encore sa diffusion. J’ai encore une autre bonne nouvelle : le MMS est maintenant disponible à la vente.

Si vous souhaitez éviter d’avoir à le fabriquer vous-même, car c’est assez contraignant, vous pouvez l’obtenir par Kenneth RICHARDS, un ami au Canada. Mais je sais qu’il existe d’autres personnes qui en fabriquent aussi.

Actuellement ils le facturent tous à peu près au même prix. La plupart le conditionnent dans la même bouteille, celle de 120 ml (165 grammes de produit) pour environ 20 dollars, transport en sus. Selon mes recommandations, les prix ont été maintenus le plus bas possible car je souhaite que tout le monde puisse s’en procurer relativement facilement. Il y a 650 doses dans chaque bouteille. Ca suffit pour une utilisation normale pendant environ deux ans.

Chaque bouteille de MMS contient une bien plus grosse concentration et quantité d’Oxygène Stabilisé que celui vendu habituellement.

Vous avez donc le choix de le faire vous-même ou de l’acheter.

Je vous prie de faire en sorte qu’il arrive dans le plus de mains possible.

Vous trouverez toutes les informations commerciales utiles sur le site Internet suivant : http://www.health4allinfo.ca mais aussi sur mon Site Web http://www.miraclemineral.org

Je n’ai aucun intérêt financier personnel dans ces commerces. En revanche mon ami canadien s’est engagé à donner 1 dollar par bouteille pour aider à financer le projet Afrique et il semble que d’autre veulent lui emboîter le pas. Vous ferez donc un geste supplémentaire en l’achetant plutôt qu’en le fabriquant vous-même.

Mon ami s’est également engagé à fournir gratuitement tout le MMS nécessaire au premier pays d’Afrique qui en ferait la demande.

Les pages suivantes montrent des documents provenant de différentes autorités du Gouvernement du Malawi. Elles sont en principe toutes joignable.

Chapitre 9 – Comprendre le MMS

Pour comprendre véritablement le MMS, il faut en saisir le principe de libération de dioxyde de chlore, par réaction à l’acide. C’est ce qui fait le travail dans le corps. Le dioxyde de chlore est un puissant explosif. Il est donc toujours produit sur le lieu de son utilisation. Il ne peut pas être transporté en temps que dioxyde de chlore. C’est trop dangereux. Il risquerait d’exploser violemment. Il ne peut pas non plus être diffusé dans des canalisations métalliques car il attaque le métal, et le plastique n’est pas suffisant pour contenir une explosion éventuelle.

Plusieurs méthodes ont donc été trouvées pour produire du dioxyde de chlore. Beaucoup de procédés chimiques sont basés sur ceux de la production de chlore simple. Le dioxyde de chlore est utilisé dans de nombreux procédés industriels, comme dans l’industrie du papier qui s’en sert notamment pour blanchir la pulpe de papier. On s’en sert également dans le textile pour le blanchiment aussi. Mais son utilisation principale est probablement celle d’assainir les eaux. Dans le monde entier, des milliers de systèmes de purification utilisent le dioxyde de chlore.

Ce dernier sélectionne les pathogènes et autres bio organismes qui sont nocifs envers les animaux et les humains. Il ne réagit pas avec des centaines d’autres éléments contenus dans l’eau comme le chlore le ferait. Le chlore libre se combine avec différents éléments présents dans les systèmes de filtration d’eau et crée parfois des composés cancérigènes. Ainsi, bien que le coût des systèmes basés sur le dioxyde de chlore soit plus élevé à l’installation que ceux utilisant du chlore, ils font économiser de l’argent sur le long terme. Ils sont en

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outre bien plus efficaces et plus sûrs pour la santé.

La méthode la plus répandue pour produire du dioxyde de chlore est celle qui transforme le chlorite de sodium, une substance blanche ou légèrement jaune. On en trouve en différents conditionnements dont le contenu présente un aspect floconneux blanc ou légèrement jaune. Ca ressemble à du gros sel de table mais c’est différent. Le sel de table est du chlorure de sodium. On produit le dioxyde de chlore à partir du chlorite de sodium. Ces deux lettres font toute la différence.

Aujourd’hui dans le monde entier, le chlorite de sodium (NaClO2), est probablement le produit le plus utilisé pour générer du dioxyde de chlore. Sa formule (ClO2) est la même que celle du chlorite de sodium, sans le sodium (Na). Le procédé utilisé devra donc séparer la molécule de sodium (Na) du dioxyde de chlore (ClO2). Vous n’avez pas besoin de comprendre cela. Il y a plusieurs dizaines de méthodes pour générer du dioxyde de chlore à partir du chlorite de sodium.

La FDA approuve plusieurs procédés qui consistent à ajouter un acide équivalent à celui utilisé pour les piscines, dans une solution liquide de chlorite de sodium. Cela produit, par réaction chimique, du dioxyde de chlore. Ces méthodes servent le plus souvent à stériliser les viandes. Puis elles sont rincées avant d’être vendues au public.

Ainsi l’acide fait réagir le chlorite de sodium et produit du dioxyde de chlore. Il existe des milliers de magasins pour la santé où l’on peut trouver aussi du chlorite de sodium sous forme liquide, connu sous le nom d’Oxygène Stabilisé. Dans presque tous les cas, l’Oxygène Stabilisé est fabriqué simplement en ajoutant 3,5% de chlorite de sodium à de l’eau distillée. Cela représente une concentration de 35.000 ppm.

Vous pouvez vous aussi produire vous-même du dioxyde de chlore dans votre cuisine avec cet oxygène stabilisé vendu dans le commerce. Il ne faut pas utiliser d’ustensiles en métal pour ce faire, pas même en inox. Utilisez uniquement du plastique ou du verre.

Mais vous feriez mieux de fabriquer votre propre MMS selon ma formule, ou de l’acheter tout prêt à quelqu’un qui le produit en suivant mes indications. Je vous dirai cependant un peu plus loin comment le faire.

Pendant plus de 80 ans, des milliers de personnes ont ajouté quelques gouttes d’Oxygène Stabilisé à leur eau de boisson, pensant que d’une certaine façon cela apportait de l’oxygène à l’organisme. Ceux qui ont réalisé qu’une odeur de chlore était générée l’ont noté en passant, mais insistaient toujours davantage sur le fait que l’efficacité du produit venait de l’apport d’oxygène à l’organisme. D’une manière ou d’une autre, durant toutes ces années, aucun des groupes de médecine alternative n’a décidé d’effectuer une vraie étude chimique de ce produit. En tout cas, rien de réellement scientifique n’a été écrit là-dessus. De tout temps, beaucoup de théories fumeuses ont cependant accompagné l’oxygène stabilisé, et même encore aujourd’hui.

Le fait est que la chimie de base démontre facilement qu’aucun atome d’oxygène libre n’est généré de sorte que le corps puisse l’utiliser. En revanche, le dioxyde de chlore est un puissant produit chimique qui a de nombreuses utilisations. C’est un oxydant plus puissant que l’oxygène, sans pourtant en utiliser.

Dans certaines conditions, le dioxyde de chlore explose au contact de certains éléments chimiques. Mais il reste neutre dans d’autres conditions. Il est sélectif. Techniquement parlant, une explosion est une réaction chimique rapide et principalement une oxydation qui libère de l’énergie.

Dans la formule ClO2 il y a deux ions d’oxygène. Mais ils ne sont pas utilisables par l’organisme parce qu’ils ont une charge négative de 2. Ils sont déjà le résultat d’une oxydation. Ils ne peuvent plus oxyder. Mais le chlore le peut. Quand le dioxyde de chlore touche un agent pathogène ou un poison, qui est plus acide par nature, il accepte immédiatement 5 électrons. Cela détruit donc l’élément dont il les extrait. Cela dégage de l’énergie sous forme de chaleur par la même occasion. C’est infime comme chaleur, mais suffisante à cette échelle pour rajouter à la destruction de l’élément en question. Bien qu’aucun atome d’oxygène n’entre en jeu ici, cela s’appelle quand même une oxydation.

Pendant la réaction, des atomes d’oxygène sont libérés du dioxyde de chlore, mais ce ne sont pas des atomes d’oxygène élémentaires. Ce sont des ions d’oxygène avec une charge négative de 2.

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Ils ont la même charge que l’oxygène dans le dioxyde de carbone, un gaz mortel à haute concentration. Pourtant, le dioxyde de carbone n’est pas un poison. En d’autres termes, il ne fait rien de mal au corps. En revanche il est asphyxiant dans l’air si sa teneur est bien plus élevée que celle de l’oxygène. Il réduit l’apport d’oxygène aux poumons et cela provoque une asphyxie. Lorsque l’hydrogène et l’oxygène se combinent, cela devient de l’eau (H2O). Donc l’oxygène à l’état brut peut servir à créer une molécule d’eau. Ou alors il peut devenir la partie d’une molécule de dioxyde de carbone (CO2). Le dioxyde de chlore, après réaction, perd sa charge et devient un chlorure, c’est à dire du sel de table, qui ne peut plus oxyder puisqu’il n’a plus de charge. Il ne reste plus rien qui puisse causer un effet secondaire.

L’idée de base est simplement que le chlore et l’oxygène doivent être chargés au bon nombre d’électrons, ou alors ils ne peuvent pas faire leur travail d’oxydation. Quand l’oxygène n’est pas capable d’oxyder, il ne peut pas faire le travail réservé à l’oxygène dans le corps. Ce que le chlorite de sodium fait réellement pour nous, est qu’il donne du dioxyde de chlore, un élément chimique qui est sélectif, pour détruire tous les « mauvais éléments » qui pourraient se trouver dans notre corps. La molécule de dioxyde de chlore a un pouvoir relativement énorme de destruction pour les éléments dont elle prend les électrons. Le dioxyde de chlore ne dure pas longtemps. Il a trop d’énergie concentrée dans un petit volume.

Il la perd après quelques minutes dans le corps. Il en est de même quand il est libéré dans les réseaux d’eaux publiques. Il agit et il « s’éteint ». Dans le corps, quand il n’est plus explosif, c'est-à-dire quand il a perdu son pouvoir oxydant, il se combine avec d’autres substances pour former du sel et de l’eau.

Dans l’organisme humain, le système immunitaire génère naturellement un acide qui s’appelle l’acide hypochloreux. C’est une solution chimique que l’organisme utilise pour créer un milieu hostile aux agents pathogènes. Le dioxyde de chlore est l’élément qui se rapproche le plus de cet agent chimique. Il ne produit aucun effet secondaire négatif à terme. Comme je le disais, le dioxyde de chlore est toujours fabriqué à l’endroit où il est utilisé. C’est ce que le corps fait aussi à partir de certains sels qu’il stocke. C’est une des raisons pour lesquelles les sels minéraux sont très importants dans l’organisme.

Précédemment, tous ceux qui utilisaient de l’Oxygène Stabilisé n’ont pas réalisé que les bienfaits qu’ils disaient en retirer, venaient en faits, du dioxyde de chlore. Ils n’ont donc jamais essayé d’en produire davantage. Confusément, ils pensaient que les bienfaits du produit avaient à voir à l’oxygène contenu dans son nom !

Il est indéniable que quelques gouttes d’Oxygène Stabilisé versées dans un verre d’eau, la rendent potable au bout de quelques heures. Car cela libère du dioxyde de chlore lentement, en petite quantité. C’est efficace pour un verre d’eau, si on n’est pas pressé. Mais ça n’est pas vraiment exploitable pour autre chose. Il y avait donc quelques bienfaits avec l’ancêtre du MMS, mais c’était bien loin de tout son potentiel possible. Le monde est passé à côté de cela pendant plus de 80 ans !

Donc l’Oxygène Stabilisé libère quelques ions de dioxyde de chlore par heure. Mais le MMS, en raison de sa concentration beaucoup plus élevée, produit bien plus par minute lorsqu’il est activé avec de l’acide.

En définitive, si nous voulons générer du dioxyde de chlore dans le corps, nous avons besoin que cela se fasse mille fois plus vite et plus longtemps que ce que fait l’ajout de quelques gouttes d’Oxygène Stabilisé dans un verre d’eau. Ce dernier génère 1 ppb (1 part par milliard) et ce dont nous avons besoin est 1 ppm (1 part par million), et même plus que ça. En fait, le MMS génère 1 ppt (1 part par millier).

Mais il n’est pas nécessaire de connaître tous ces détails techniques pour que ça fonctionne. Il faut juste savoir que ça peut par exemple détruire les virus du SIDA, alors que l’Oxygène Stabilisé n’a aucune chance de le faire.

Les procédés industriels consistent à ajouter de l’acide pour piscine à une solution de chlorite de sodium afin de générer du dioxyde de chlore. Ils utilisent des appareils qui ajoutent l’acide de façon régulée dans une solution de chlorite de sodium. La solution générée est utilisée immédiatement ensuite au fur et à mesure de sa production, pour ne pas avoir à la stocker. Dans le corps humain nous avons un problème plus complexe car nous voulons y faire passer une grande quantité de dioxyde de chlore, mais pas d’un coup. Nous voulons qu’il en existe pendant plusieurs heures afin qu’il puisse être emmené dans toutes ses parties.

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Mais le dioxyde de chlore se détériore rapidement. Il ne peut en outre simplement pas être avalé tel quel en grande quantité.

Personne n’a trouvé un système qui produit et déverse du dioxyde de chlore dans le corps de façon continue et régulée. C’est peut-être envisageable pour des solutions médicales. Pourquoi pas, si le système est au point. Comme je l’ai déjà mentionné dans ce livre, les injections de MMS sont possibles et encore plus efficaces. Cela demande cependant une préparation différente et soigneuse, pas tant sur le plan de l’hygiène que sur celui de la concentration et du dosage. Car les consignes strictes de stérilisations avant injections n’ont pas lieu ici puisqu’on injecte le produit même qui sert à désinfecter !

Le MMS s’approche d’une solution mécanique. Quand l’acide citrique - le meilleur élément retenu à ce jour pour activer le MMS - est ajouté au chlorite de sodium, il provoque une déstabilisation de la solution et celle-ci, en raison de sa forme liquide, commence à libérer progressivement du dioxyde de chlore pendant environ 12 heures.

Le mélange de 6 gouttes d’une solution de 28% de chlorite de sodium (le MMS) et de 30 gouttes d’acide citrique (5 fois plus), libère d’abord environ 3 mg de dioxyde de chlore en 3 minutes. C’est la raison pour laquelle il faut attendre ce délai. Puis, quand on ajoute de l’eau ou du jus de fruit, le processus ralenti jusqu'à 1 mg par heure.

Trois milligrammes, c’est énorme pour le corps, surtout quand c’est administré d’un coup. Donc l’acide citrique a une qualité particulière. Il ne réagit pas instantanément. Il ne fait que libérer une partie de dioxyde de chlore de tout de suite, mais surtout, il déstabilise le MMS de sorte que celui-ci va continuer de diffuser lentement tout le reste, pendant environ 12 heures. De plus il agit suffisamment avant l’introduction du MMS dans le corps pour que celui-ci ne libère pas tout le dioxyde de chlore d’un coup au contact de l’acide stomacal.

Ainsi, au fur et à mesure que les molécules de dioxyde de chlore « s’éteignent », de nouvelles sont produites, et ce continuellement pendant environ 12 heures à l’intérieur de l’organisme.

Sans l’ajout de cet acide, nous retombons dans l’ancienne utilisation de l’Oxygène Stabilisé, qui fut intéressante mais insuffisante pour détruire vraiment des éléments pathogènes dans un corps.

Lorsqu’on active le MMS selon la procédure standard, il commence par générer 3 mg de dioxyde de chlore, et ensuite continue à fournir du dioxyde de chlore au corps pendant 12 heures. Les 3 mg de départ sont tout aussi nécessaire pour le corps afin qu’il puisse démarrer la fonction d’assainissement. C’est un peu comme un véhicule. Pour démarrer, il faut un afflux soudain et important de carburant. Ensuite, proportionnellement, la consommation est moindre pendant qu’il roule normalement.

Le MMS est ainsi plus efficace pour détruire les pathogènes quand 2 ou 3 mg de dioxyde de chlore libre sont dans la solution au moment où elle est absorbée. Cela a un effet immédiat. J’ai souvent parlé d’une dose standard de 6 gouttes, qui est en fait la dose d’entretien. Si vous traitez une maladie particulière, 15 à 18 gouttes sont des doses plus adaptées. Mais si vous suivez exactement les instructions, vous commencerez alors avec une toute petite dose et augmenterez au fur et à mesure. Pour vous donner un ordre d’idée de ce qu’est un milligramme, considérez un grain de 1 gramme. Puis coupez-le en mille morceaux. Chaque part représentera 1 mg.

Cela montre combien le dioxyde de chlore est puissant. Un milligramme de dioxyde de chlore tue déjà un nombre significatif d’agents pathogènes. Durant une période de 12 heures le corps va en recevoir quelque chose comme 12 à 20 milligrammes, avec une présence permanente de dioxyde de chlore d’environ 1 à 2 mg durant toute cette période.

Lorsque la molécule de dioxyde de chlore est introduite dans le sang, ou bien elle détruit les pathogènes rencontrés, ou bien elle se détériore rapidement, sans danger pour l’organisme. Quand le dioxyde de chlore se détériore, les produits chimiques laissés derrière sont soit des éléments dont le système immunitaire a besoin, soit du chlorure, c'est-à-dire une infime quantité de sel de table, et de l’eau. A cause de cela, il ne peut simplement pas y avoir d’effets secondaires. Il ne reste rien pour en causer.

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Les ions de dioxyde de chlore sont très puissants. Ils possèdent d’énormes quantités d’énergie en proportion avec la taille de leur molécule. Mais cet état ne dure que quelques minutes. Ils contiennent trop d’énergie pour pouvoir exister ainsi plus longtemps. Dans le monde des particules d’énergie, ce sont comme des missiles à têtes chercheuses lancés contre les pathogènes.

La composition chimique du dioxyde de chlore lui donne cette qualité, et aucun autre élément chimique n’a cette même particularité pour l’organisme. Certaines personnes ont pris plus de 20 fois la quantité d’Oxygène Stabilisé recommandée (chlorite de sodium). Des gens en parfaite santé peuvent avoir une petite nausée pendant 10 à 15 minutes à cause de cette grande dose, sans plus. En revanche, si leur corps renferme des pathogènes en grande quantité, ils risquent d’être très nauséeux pour plus longtemps. C’est un des phénomènes rencontrés avec le MMS.

Plusieurs personnes, y compris moi-même, ont pris 25 fois la dose de MMS recommandée. Nous avons eu beaucoup de nausée, mais cela n’a entraîné aucun effet secondaire. Le fait est que non seulement le dioxyde de chlore n’est pas dangereux pour le corps, mais en plus il lui est d’un grand bénéfice. Devenir nauséeux est le résultat du dioxyde de chlore qui s’attaque aux choses qui n’ont rien à faire dans votre organisme.

Dans le cas d’une maladie du foie, comme une hépatite, on ressent presque toujours de la nausée. La raison pour cela est que le foie commence à évacuer les poisons quand le dioxyde de chlore les détruit. Mais il guérit aussi la maladie en un temps record. Une femme atteinte de l’hépatite C fit juste ce que je lui avais dit de ne pas faire. Au lieu de prendre 2 gouttes en premier, elle voulait être certaine de « tuer sa maladie ». Elle prit 30 gouttes, ajouta du vinaigre, attendit 3 minutes et ajouta du jus de pomme. Elle bu le tout et fut « malade » pendant près de 3 jours.

Puis elle mit le MMS de côté, et n’y toucha plus pendant 8 mois. A cette époque, j’expliquais mal le principe du MMS, où peut-être l’avait-elle mal compris. Car elle pensa que comme cela l’avait rendue malade, ça n’avait pas fonctionné. Mais quand elle décida finalement, près d’un an plus tard de faire de nouveaux examens, on ne trouva aucune trace d’hépatite dans son corps. Elle était époustouflée, et son médecin avec. J’ai délivré beaucoup de MMS à des personnes ayant des hépatites A, B ou C. Je peux garantir que 30 gouttes vont guérir n’importe quel patient. Mais il se sentira très malade pendant quelques jours et sera écœuré du MMS pour des mois, si ce n’est plus. Pour éviter cela, je préconise que ce ne soit pas la méthode à employer.

Un malade hépatique ne devrait jamais commencer avec plus de 2 gouttes. Dans ce cas, il ne va normalement pas sentir de nausée, et s’il continue à augmenter les doses jusqu'à ce qu’il puisse en prendre quinze, 2 fois par jour sans nausée, il sera débarrassé de toutes les hépatites. Ca mettra un peu plus de temps, environ une semaine, mais ce sera tout aussi efficace et bien plus supportable.

Le MMS et la longévité.

J’aimerais pouvoir dire à coup sûr que le MMS allonge l’espérance de vie. Mais je ne peux rien prouver pour l’instant. L’on peut s’en douter naturellement puisqu’il élimine les principales causes extérieures d’affaiblissent physique. Toutes les évidences nous entraînent donc vers cette conclusion. Des milliers de personnes prennent maintenant du MMS et ce nombre augmente de façon exponentielle. Nous verrons donc ce qu’il en est dans quelques années, avec le recul. La plupart des maladies mortelles, n’ont simplement plus de prises avec le MMS. Chez les personnes âgées le système immunitaire peut être rendu 100 fois plus fort que la normale. Le MMS élimine les craintes pour ce qui concerne les pneumonies, les grippes et autres maladies infectieuses. Elles ne seront plus fatales pour les personnes âgées aussi longtemps qu’elles prendront quotidiennement leur dose d’entretien. Les plus jeunes devraient prendre du MMS 2 à 3 fois par semaine pas plus. Quand on en prend une fois par jour, tous les jours, on peut se contenter de prendre des doses de 4 à 6 gouttes, voire 7 maximum, en respectant toutes les consignes. Ceux qui en prennent 2 ou 3 fois par semaine devraient toujours prendre au moins 6 ou 7 gouttes par prise.

Des dizaines de milliers de personnes prennent une solution voisine depuis plus 80 ans déjà. Je n’ai fait qu’y ajouter un peu d’acide et mis au point la concentration et les dosages. Aucun effet secondaire négatif n’a été rapporté durant toutes ces années, ni depuis ces six dernières que le MMS existe. Techniquement, il ne peut pas y en avoir. Par ailleurs, j’ai pu prouver que le dioxyde de chlore n’a absolument aucun effet sur les cellules

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saines. Rien n’est laissé derrière lui qui puissent s’accumuler et devenir toxique, comme c’est souvent le cas avec de nombreux médicaments.

Le dioxyde de chlore dure assez longtemps pour faire son travail mais pas suffisamment pour faire des dégâts. Et ce qu’il laisse derrière lui, c’est du sel et de l’eau en quantités infimes. Le dioxyde de chlore a seulement quelques minutes pour agir, puis il n’existe plus sous sa forme active. Il ne laisse rien derrière qui puisse s’accumuler négativement.

Ceux qui prennent du MMS pour la première fois devraient commencer avec 2 gouttes, pas plus. La raison est que 2 gouttes ne produiront pas assez de réaction chimique pour causer une nausée à ceux qui ont un problème de santé. S’il y a vraiment une très mauvaise condition physique, 2 gouttes peuvent causer une faible nausée pendant environ 10 minutes. Dans ce cas, continuez de prendre 2 gouttes plusieurs fois par jour jusqu'à ce que la nausée disparaisse complètement. Ensuite passez à 3 gouttes et continuez à augmenter de la même manière. Vous pouvez continuer ainsi jusqu’à 15 gouttes, pour un cas de maladie sérieuse, par exemple.

Gardez à l’esprit que quand je parle de gouttes de MMS, je sous-entends toujours toute la procédure préalable de préparation avec de l’acide, l’attente des trois minutes, et la boisson rajoutée.

Sans l’acide, le tout se résumerait à boire un jus bon pour la santé, sans plus. Cependant même les meilleurs jus pour la santé ne font pas ce travail. Il ne faut pas utiliser de jus avec de la vitamine C ajoutée ni conservateurs. N’utilisez pas non plus de jus d’orange. Ils ralentissent la formation du dioxyde de chlore. Je ne sais pas bien encore pourquoi.

Mettre un couvercle sur le verre rend le dioxyde de chlore encore plus fort. Certaines personnes font ça pour obtenir une boisson plus forte. Mais l’odeur y devient aussi très forte et il faut la boire ensuite… Ceux qui ont le nez bouché peuvent peut-être y arriver plus facilement ! Peut être que quelqu’un songera un jour à rajouter un pince-nez de nageur dans le kit MMS. C’est juste une idée pratique qui me traverse l’esprit. Mais si on en prend régulièrement, il est tout aussi efficace de ne pas laisser les gouttes et le vinaigre ensemble plus de 3 minutes avant d’ajouter le jus et de boire. Pour être sûr d’avoir une boisson au dioxyde de chlore puissante, buvez-la juste après avoir ajouté la boisson (eau ou jus de fruit).

Il y a deux phases de transformations chimiques produites avec le MMS. La première phase est la « détérioration » du Chlorite de Sodium. Après que l’acide ait été rajouté au MMS, le chlorite de sodium se « détériore » par rapport à l’élément qu’il était, et commence à libérer du dioxyde de chlore dans la solution, qui sont, comme j’aime à le répéter, des ions très puissants contenant de grandes quantités d’énergie par rapport à leur volume.

La deuxième phase est celle de la « détérioration » des ions de dioxyde de chlore eux-mêmes. A l’échelle moléculaire, une telle quantité d’énergie ne peut être conservée longtemps de façon stable. Les ions de dioxyde de chlore se « détériorent » donc eux aussi relativement rapidement, qu’ils aient pu « agir » pour le corps ou pas. En fait chaque ion de dioxyde de chlore peut être actif jusqu’à environ une demi heure, ce qui n’est pas si court. Mais dans le sang, ce temps est réduit d’environ de moitié. Cela lui laisse quand même un temps suffisant pour rencontrer des pathogènes sur son passage et les détruire ou les neutraliser instantanément. Après quoi, sans tout les cas, l’ion se dégrade. Il « vieillit » et « meurt ». En bref, il n’est plus actif. Il faut donc en diffuser beaucoup et de façon continue pour gagner une guerre microscopique contre des virus ou des bactéries installés par centaines de millions dans un organisme.

En réalité les ions de dioxyde de chlore commencent vraiment à perdre leur énergie dans les secondes qui suivent leur libération du chlorite de sodium, mais l’énergie qu’il leur reste est encore suffisante pour faire leur travail pendant environ un quart d’heure.

Quoi qu’il arrive, au bout de moins d’une heure environ, il ne reste absolument aucune trace du passage d’un ion de dioxyde de chlore dans l’organisme. Sauf bien sûr, pour le virus ou la bactérie qu’il a croisée sur son passage…

Pour être tout à fait précis, il n’est peut-être pas très scientifique de ma part de parler de « grande quantité d’énergie » quand je parle de l’ion de dioxyde de chlore. Car j’inclus dans ces mots son pouvoir potentiel de

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destruction des pathogènes. C’est, pour l’organisme, un potentiel d’énergie destructrice de grande valeur.

Arnold et moi avions fondé la Malaria Solution Foundation, la Fondation pour la Solution au Paludisme. Il en était le responsable. Je me suis retiré quand j’ai réalisé ses desseins véritables. En fait, soigner le paludisme en Afrique l’intéressait moins que ses petites affaires. Ils m’avaient garanti qu’il avait beaucoup d’argent, dont des millions qu’il octroierait à notre objectif. Il m’avait tenu avec cette idée pendant des années. Mais il continuait à perdre son temps avec des exploitations minières sans succès et des programmes de distributions de riz qui n’aboutirent jamais. Rien de concret n’était fait pour la distribution du MMS en Afrique. La seule action que je peux retenir de sa part, est son implication personnelle durant notre passage au Malawi. Mais notre action là-bas fut à mes yeux bien trop courte et largement incomplète. Elle m’a laissé un goût amer de frustration.

Je ne parle même pas de la nature de nos relations. Sa façon de me cacher des choses, de ne pas vouloir que je communique directement avec des sponsors et des responsables parce que, disait-il, je n’étais pas assez bon pour parler de mon produit, ont finit par ébranler sérieusement ma confiance personnelle.

Il prétextait souvent qu’il n’avait pas le temps, qu’il était trop occupé pour faire telle ou telle chose. Il a commis beaucoup d’erreur de choix stratégiques pour notre fondation. Beaucoup d’argent a été dépensé inutilement à cause de ces erreurs. J’aurais pu l’utiliser de façon bien plus productive qu’il ne l’a fait. Il refusait toujours mes idées et mes solutions pour répandre le MMS dans le monde. Au mieux il les altérait ou se perdait dans détails insignifiants. S’il avait eu le souhait véritable de faire quelque chose pour « notre » objectif, il m’aurait laissé partir en plusieurs occasions dans des pays qui réclamaient pourtant le MMS. J’étais tout disposé à le faire avec enthousiasme. Mais non, il préférait me retenir près de lui, trouvant toujours de fausses excuses pour que je ne parte pas. Il avait besoin de moi et de mes connaissances en exploitation des mines. Je lui rendais beaucoup de services avec l’espoir qu’il m’en serait gré et qu’il s’impliquerait davantage envers le MMS. En outre, j’étais fauché, et il me tenait d’une certaine manière en me délivrant au compte goutte ce dont j’avais juste besoin pour vivre. S’il avait dû acheter les services d’ingénieurs compétents pour les solutions techniques que je lui ai apportées sur ses chantiers, cela lui aurait coûté des fortunes.

Nous avions la solution contre la malaria, la maladie la plus destructrice pour l’humanité depuis des milliers d’années. Chacun des manquements d’Arnold était une perte de temps supplémentaire pour le sauvetage de ces millions de gens qui souffrent et meurent chaque année à cause d’un parasite.

Qu’est ce que faisait mon groupe dirigé par Arnold contre ça ? Nous étions allés en Afrique principalement pour donner des paquets de riz aux écoliers. C’était un joli programme. C’était bien de nourrir des enfants, mais notre but était de résoudre le problème du paludisme. A quoi servait-il de nourrir ces corps agonisants tant que nous n’avions pas résolu ce problème d’abord.

Beaucoup de personnes n’ont pas compris pourquoi j’avais quitté notre fondation. C’est parce que je voulais enfin me concentrer sur l’écriture de ce livre. Je voulais qu’il y ait une trace de l’histoire du MMS pour permettre au plus grand nombre de le comprendre et de se l’approprier. C’était la seule solution que j’avais trouvée après avoir retourné le problème dans tous les sens. Car j’avançais en âge et réalisais de plus en plus que je ne pouvais pas laisser ces informations entre les seules mains d’Arnold et de ses acolytes. J’avais compris qu’ils n’en feraient rien et qu’elles finiraient par être oubliées. Je ne pouvais laisser passer cela. Le monde a cruellement besoin de ces données.

Je doute qu’en mon absence, Arnold maintienne encore longtemps la fondation que nous avions créée ensemble. Mais si le site web de la Malaria Solution Foundation (malariasolution.com) existe encore quand vous lirez ces lignes, vous y trouverez plus de détails sur les programmes que nous avons conduits en Afrique. Vous verrez qu’ils étaient bien loin de l’idée de faire connaître le MMS. Pourtant, ainsi que vous l’aurez compris au fil de votre lecture jusqu’ici, le MMS fonctionne réellement, et Arnold le savait. Pourquoi, dès lors, n’y en a t-il pas accordé plus d’importance ? Je l’ignore. Il avait peur des laboratoires pharmaceutiques, des médecins, des lois et des gouvernements, disait-il parfois à mots couverts. Ca n’était pas pour moi des raisons suffisantes pour ne rien faire. Rien ne nous interdisait de contourner les obstacles en attendant d’obtenir une reconnaissance légale et officielle. Il manquait de persistance, voila tout.

Aux dernières nouvelles, le dernier voyage que fit Arnold et ses sbires au Malawi l’an dernier n’avait rien à voir avec le fait d’en éradiquer le paludisme. Il s’agissait plutôt de distribuer encore des paquets de riz à des

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orphelins. C’est enrichissant, certes, sur le plan de l’ego, mais c’est malheureusement bien moins utile que les objectifs que nous étions fixés avec la fondation.

Le gouvernement du Malawi a pourtant conduit ses propres essais cliniques. Ils ont obtenu les mêmes résultats avec le MMS que ceux que nous avons eu dans les prisons soit 90% de guérison en moins de 24 heures, et 100% en 48 heures. Aucun autre produit n’a jamais donné plus de 5 ou 10% succès en 24 ou 48 heures.

J’ai inclus 2 photos d’échantillons sanguins dans les pages suivantes. Elles ont été prises avec un microscope à champ obscur. C’est un appareil spécialement conçu pour analyser les plaquettes de sang.

La première photo montre le sang d’une personne avant de prendre une dose de MMS. Toutes les cellules montrées sont des globules rouges. Remarquez comme toutes les cellules sont agglutinées. C’est une condition de mauvaise santé. Cette personne a besoin de plus d’eau et de minéraux.

La deuxième photo montre le sang de la même personne deux heures après avoir pris 10 gouttes de MMS. Les globules rouges ne sont plus collés entre eux. Mais le plus remarquable, ce sont ces 3 globules blancs cerclés qui sont en train de se déplacer vers le large caillot de sang. Ils vont l’ingérer purement et simplement. Ces globules blancs sont devenus dix fois plus actifs que la normale après la prise de MMS. Il y a des vidéos que j’espère pouvoir mettre en ligne bientôt, qui illustrent cela bien davantage.

Adresses Internet :

www.miraclemineral.org

http://mmsfrance.com

Aux dernières nouvelles, la FDA est en train d’essayer d’interdire toutes les solutions alternatives qui laissent pourtant beaucoup d’espoirs contre par exemple le cancer. Cet organisme essaye aussi en outre de rendre illégales les informations circulant au sujet des médecines parallèles. Les cartels pharmaceutiques veulent imposer leur dictature sur tous les plans. En fait on a désormais le droit de penser ce qu’on veut tant qu’on ne parle pas et qu’on ne fait rien pour les gêner ! C’est incroyable mais c’est pourtant ce qu’ils essaient d’obtenir de plus en plus. Il faut que ça se sache.

Allez sur n’importe quel moteur de recherche et écrivez « FDA suppression ». Il y a une grande quantité de documents, remontants parfois jusqu’aux années 1930 qui permettent de comprendre les liens de la FDA avec ceux qui la dirigent vraiment.

Ne pensez pas que je sois paranoïaque ou que j’adhère aux folles histoires de conspiration. Je parle de faits.

Ils mettent la pression sur les auteurs indépendants en s’arrangeant pour les livrer et les laisser aux mains de la justice, jusqu’à ce qu’ils retirent leurs revendications. Le plus souvent un auteur épuisé abandonne ce combat inégal après avoir perdu tout son argent. Il y a des centaines de faits médicaux qu’ils essaient de faire disparaître et qui auraient peut-être pu sauver des milliers de vies dans le monde.

Il existe de nombreux dossiers concernant des chercheurs indépendants disparus dans des conditions mystérieuses qui avaient pourtant essayé d’informer le public.

Le MMS est un produit qui marche mais ne rapporte pas. Ils vont sans doute essayer de le supprimer aussi.

Essayez-le et découvrez qu’il fonctionne pour vous et vos proches. Votre vie et celles de millions d’autres sont en jeu. Je ne plaisante pas. Il s’agit vraiment d’une course contre la montre. Plus il y aura de gens rapidement mis au courant de cela, moins la FDA aura de pouvoir pour faire stopper ce qui, je l’espère, sera une évidence pour tout le monde. Pour l’instant elle peut encore, par l’intermédiaire des médias, faire passer dans le grand public beaucoup de contrevérités au sujet du MMS ou de ses ingrédients. Mais ça ne prendra pas si suffisamment de

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gens sont prévenus et connaissent bien l’action du produit pour l’avoir essayé.

Les faits sont là. Les médicaments achetés en pharmacie sont à 90% dirigés contre des symptômes. En d’autres mots, si vous avez par exemple un mal de crâne, on vous délivrera quelque chose contre la douleur, mais rien contre ce qui provoque réellement ce mal.

Si vous êtes insomniaque, vous aurez une drogue qui vous aidera à dormir mais rien contre ce qui vous maintient éveillé. Si vous avez de l’arthrite, vous aurez encore quelque chose contre la douleur, mais rien contre l’arthrite elle-même. En cas d’indigestion vous aurez des cachets pour neutraliser l’acide dans l’estomac, etc.

Je schématise peut-être, mais il y a des milliers de médicaments dirigés contre les symptômes mais dont les effets secondaires sont bien plus nocifs que ce qu’ils sont censés masquer. Presque tous les médicaments ont des effets secondaires. Pas tous n’entraînent la mort directement. Mais presque tous causent des décès d’une manière ou d’une autre par conséquences indirectes.

Pourquoi pensez-vous que les médicaments traitent presque tous des symptômes et non des causes ? Ca n’est pas un hasard ou faute de mieux. Les recherches médicales sont volontairement dirigées dans ce but au sein des principaux laboratoires pharmaceutiques. Cette façon de faire rapporte des milliards de dollars chaque année à ces entreprises.

Leur but n’est pas de résoudre définitivement les problèmes liés à la santé. Ce serait du suicide. Curieusement c’est une évidence que peu de gens comprennent.

Quelles sont, d’après vous, les raisons pour lesquelles aucune avancée significative n’a eu lieu dans le traitement des cancers depuis plus de 80 ans malgré les milliards investis ? Les seuls « progrès » concrets sont les dépistages et tout ce qui consiste à prendre bien en main les patients. Le système qu’ils ont réussi à mettre en place à grand renfort de publicités pour ne plus perdre les patients tombés dans leurs filets, fait partie de « leurs progrès ».

Bien sûr que certains traitements et certains médicaments guérissent définitivement de quelques maladies. Heureusement ! C’est la moindre des choses. Mais c’est toute l’astuce de leur piège ! C’est là-dessus qu’ils mettent l’accent pour attirer les gens dans les filets de leur système.

Le monde a avancé de façon fantastique dans presque tous les domaines, sauf dans le domaine de la santé. Je pèse mes mots. Il y a bien plus de maladies aujourd’hui qu’il y en avait autrefois. C’est un fait. Certaines ont été éradiquées, mais combien d’autres sont apparues ? Et rien n’indique que la médecine est responsable de la disparition de ces maladies. Pour ma part, je mettrai plutôt cela sur le compte de l’assainissement des eaux avec le chlore et le dioxyde de chlore, et l’amélioration de l’hygiène de vie des habitants de cette planète.

En fait les « responsables » de la santé affinent les traitements, font des médicaments plus purs, de meilleures aiguilles, améliorent les appareils médicaux, et peaufinent la manière de suivre les patients, etc. Mais le résultat de tout ceci n’a pas beaucoup changé en cent ans !

Les sociétés pharmaceutiques s’octroient à coup de millions les services d’avocats, de députés et de sénateurs. Ils essayent de faire supprimer les vitamines en vente libre. Je n’ai ni le temps ni l’envie de couvrir tous les faits ici tellement j’enrage.

Alors, s’il vous plait, informez-vous sur ce sujet. Nous avons la chance qu’Internet soit encore un moyen assez libre pour la circulation des informations. Mais pour combien de temps encore cette fenêtre restera t’elle ouverte dans le temps, avant que les ombres de la nuit nous poussent à les refermer ? Trouvez les bonnes informations. Apprenez, au moyen de votre intelligence et de votre logique, à trier les bonnes données parmi les myriades d’autres.

Les informations et les preuves sont disponibles. Il faut juste les faire ressortir. Ca prend du temps, mais il y va de votre liberté.

Les laboratoires dépensent des milliards pour influencer le Congrès et la FDA en invoquant les sois disantes

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questions de santé ou de sécurité publique. Pensez-vous que nous serions plus en sécurité si nous étions par exemple mis à l’abri des vitamines et des sels minéraux ? Ces questions touchent tous les pays du monde.

La FDA vient d’informer le public qu’elle a vraiment l’intention de faire fermer plus de la moitié des sociétés délivrant des compléments alternatifs pour la santé. Elle estime que ces compléments doivent aussi passer sous son contrôle.

Le MMS est un traitement si simple et si inoffensif qu’il n’a nul besoin d’être encadré par des docteurs. Les individus, détiennent avec ça une grande capacité à se traiter eux-mêmes.

Si notre combat est gagné à temps contre la FDA et ses organismes inféodés, nous aurons toutes nos chances de voir les générations futures libérées du joug terrible que les professionnels de la santé essaient d’installer partout.

Mais cette fois la FDA ne peut pas faire disparaître un couple de docteurs ou arrêter l’auteur d’un livre. Je me suis arrangé pour qu’ils ne puissent plus me trouver et ce livre circule déjà partout.

Heureusement que je ne suis pas devenu dépendant d’un grand laboratoire médical lorsque j’avais voulu faire homologuer le MMS.

Je suis toujours libre de mes mouvements, en pensées, en paroles et en actions.

Ils dépenseront sans doute des milliards dans les prochaines années pour faire disparaître toute trace de MMS et de ses ingrédients sur la surface de la terre. Mais c’est déjà trop tard. Il faudrait qu’ils décident aussi de faire fermer tous les systèmes d’assainissement des eaux basés sur le dioxyde de chlore. Ce sera autant de milliards perdus si le MMS devient aussi populaire que je le souhaite.

Je vous ai transmis tout ce que je savais. Maintenant vous prenez un peu ma responsabilité sur vos épaules. J’ai fais ce que j’ai pu pour que la connaissance du MMS ne se perde pas dans la nuit des temps. Il dépend maintenant que de vous pour le faire disparaître dans votre entourage.

Ca n’est pas très compliqué de le faire avec ce livre qui existe sous forme numérique. Il suffit de l’envoyer à tous vos contacts, avec un mot qui leur donne envie de le lire.

Nous pouvons gagner, je vous l’assure. Avec Internet, les choses peuvent aller très vite, et, d’ailleurs, ça en prend le chemin. C’est une des raisons pour laquelle la FDA et les organisations oppressives s’affolent pour faire interdirent nombre de choses dans le grand public.

Plus il y aura de gens qui auront lu ce livre, moins la FDA arrivera à faire interdire le MMS et les filières qui permettent de s’en procurer.

Jusqu’à maintenant ils m’ont plus ou moins laissé en paix, fort de leur conviction que je suis un charlatan. C’était ma meilleure protection. Mais quand ils vont commencer à entendre parler de plus en plus des incroyables histoires de guérison grâce au MMS, ça sera sans doute autre chose ! Je pense qu’ils vont vraiment s’agiter dans tous les sens dans la presse, les médias et toute la clique qui les soutient.

Cette édition est la deuxième. La première a déjà été bien diffusée et des milliers de personnes ont été guéries de plusieurs maladies, mais beaucoup ne relayaient pas l’information à leurs amis. Si nous voulons gagner, il va falloir retrousser davantage ses manches. Pourtant il s’agit simplement de l’envoyer à d’autres par emails ou de l’imprimer et de le donner à des gens. Ce n’est vraiment pas compliqué à faire. Le plus dur à déjà été fait, c’est dire, la découverte, la mise au point et la description des champs d’action potentiels du MMS.

Il faut impérativement que nous dépassions rapidement un point critique de nombre de personnes qui doivent être mises au courant. Si nous y arrivons, aucune fenêtre ne pourra plus être fermée sous notre nez. Ce sera quand assez de personnes auront pris du MMS, l’auront utilisé, et sauront que ça fonctionne vraiment. Il ne suffit pas que quelques millions de personnes soient au courant. Compte tenu de la puissance de la FDA et des organismes du même genre, il faudra beaucoup plus de gens que ça, de telle sorte que toutes les familles

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connaissent au moins une personne qui connait le produit. Il suffit que deux ou trois cent millions de gens soient au courant dans le monde occidental. Même si ce chiffre parait démesuré, c’est très faisable par Internet. C’est pourquoi il faut faire vite. Si chacun agit à son échelle, on y arrivera.

Encore une fois, attendez-vous à des campagnes médiatiques destinées à convaincre le public que les faits annoncés dans ce livre sont faux. Le problème est que chacun peut essayer le produit. Ils chercheront sans doute alors à utiliser la peur, comme ils font si souvent et si bien, pour empêcher des millions de gens de s’en approcher.

Nous avons besoin de millions de gens qui peuvent témoigner de l’efficacité du produit. Pour cela il suffit que les gens le prennent.

Rejoignez cette bataille. Des millions de vies sont en jeu, peut-être même parmi vos proches.

Bien sûr, si ne faisons rien non plus, il y aura peu de chance que les campagnes de dénigrement orchestrées par la FDA et les laboratoires pharmaceutiques se manifestent. Mais dans ce cas, ils continueront discrètement à poursuivre leurs actions oppressives sur d’autres produits jusqu’à ce que le MMS soit touché aussi.

Pardon de vous paraître un peu trop dramatique. Mais j’ai plus de 75 ans et je sais par expérience que les gens préfèrent connaitre tous les faits d’un sujet plutôt qu’on les traite comme des enfants qu’il faut ménager.

Je veux aussi dire que je suis en train d’écrire un deuxième livre qui reprend bien sûr l’essentiel de celui-ci mais qui contiendra surtout tout le développement de la recherche et des résultats obtenus sur d’autres maladies aussi graves que le paludisme. Je veux parler du cancer, du SIDA et autres maladies virales ou infectieuses qui sont la plaie de notre humanité.

Je compte le vendre par Internet afin de financer mes projets en Afrique. Ceux-ci consistent à faire disparaître à long terme les ravages causés par toutes sortes de maladies. Je précise cependant que je l’enverrai gratuitement sous forme numérique à toute personne qui en ferait la demande.

Par ailleurs, je suis à l’origine de la Fondation Kinnaman que j’ai fondé au Mexique. Vous pouvez soutenir ses projets américano-africains avec le MMS. Tout somme envoyée est déductible de vos impôts au moyen d’un certificat de contribution.

Enfin, pour vous protéger, rappelez-vous que le MMS ne soigne pas les maladies, mais qu’il renforce le système immunitaire.

Si pour une raison ou une autre, j’étais amené à disparaître, ce livre tomberait dans le domaine public. Vous pourrez en faire ce que vous voudrez, mais de grâce, n’en altérez jamais son contenu.

Merci.Jim Humble, 2007

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