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To11iotgse, 7 Avril.

BOURSE DC' PARIS,Darllcit mpli t ire

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1296 0, frédrt foncocr n on . omp, 0330

760 r, Crédit connn. et ind.. ((Oomp. 770770 n J. ov. G00 Pr. 4211 p...(Fia o. 760 ,,,,67 80 ltalfen(n.a,,,, ).... omp. G7 5.'61919 Rspagne 3 010 axF ...

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Gédit for"cioe 4 0101, novembre.

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Rousseau ; Lnroma'n-RULLInn U.m CI.1, 8, place de la l'ourse; FoNTAmn, 22, rue de Trévise,titorue Saint-Rome, 1...le c oi eeepondmts par, les annoneas,

00016 SE DE I'A il18(Par dépl.he.)

0o G Aveu, 1864.

asr rs,ai.e;.e:. . ua.3e,

Au Aoniptunti pour 100 80 0 004 1/2 p. 100 .,,,, 93 20 0 00

A terni

bote eosepli.ité dans les Ilohes procédés donton lacon, .

Lord Falmerslon est beR 'onvninmiquo M. ia sfoeld attache

00 u00

,o grande mis Frnncal 1toute à l é ité de l p. de

lui I1

Pl'aloi 4 1 1 6 11l A .Îlc't le'-vaincu enfin que M. Slansf,ld L0 npernd,

le'-vaincunouit le monde, que la sdourité personnellede l'empereur et la prospérité cla so dynaslicot n ol t'a plus grande ie 70000e

lo pe pl. I y I I I gonvm or., mai qu'ils eta Si fort esserrtsols à l té t gêné al de 1Eu.oie

D de, 4 avril,clonaisLe gouvernement 0ve00 ol p

publier plusieurs nouveaux

vient de

. dacrem.

Par un de ces décrets, en dure du 12 marsil ne.,bon, les pouvoirs administradfs auxchefs militaires.

Par MI autre, en date du 15, il autorisecous-ci à régler les impôts qui doivent etre

perçus rovisoirement.

Enfin, dans une proclamation aux paysans ,en loto, du 25 mare, YI dit

. Lc gouvorncmens national vous remet tretermes 2 1 aym', non comme gràcc, mais à titrede do v lootoirc fait par les nobles pour laprospbrilé commune..

0 00

000

î p 100 1 ,s, 66 05 0 00 0 00D Y /b 00 0 00 005

Italien 5p 100 17 f5 0 00 0 00dLM t-n ... 904576 000 .375

Crédit mob. Lsp... 610 00 0 00 2 50, uaams ça Usa.

Drléans.......... 890 00 0 00 0 00

000, Eep......... 482 50 0 00 8 75Lgmi libéré....... 935 00 0 00 15 00

YHdf ............. 601 7'à 0 00 8 75

Antrïchiens... ... 415 00 0 00 3 75LJmbaeds........ 517

'00 00 6 25

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IA.Sa ab LonU:i89.

Gcnaoliddr : 1 h.... 91 518 ... 0 010

il01136SE DE TOU1.0US14ml 6 nvm= 1861.

De 10 à I I heurts du matin.Au complant

5./. P. 100. ............. ....... G5 R0

8h. dlfdf ....................... 291 25

0h. de Saeogosse..201 25--2G0 00-211 25

ab, Pampelnne .................. 238 75

0h. Séville... 5............20

00N 00

A. 15 avril,Mobilier espagnol dont 10......... 118 75

A. 30.Mobilier Espagne............ e.... 100

......623 Iradont 10.... IJ

9G 2û - f0. 6 010 1. novembre..)440 .. _. 500 t. 3 Ot0 id.90 .. - 10. 3 OJa 1,..

:399 le - . n . 3110 ''81 25 - - 5. 2 010 J. mai,

880 0. - Peom. 3 010 J. mai. .

298 7ü Booorboanais S UIU J. janvier.307 50 Ntédnenanée IfloE 55 Y I... .305 ,. No d3 OlO id....295 n , Or 78' 2 id.. .300 .. 016 L} 3

M55'l293

7G Grand C, tai r1.. .

292 601Lycu.Oeoooc 1055 id.. .291 E5302193 `U5

39Û

Lyon i855 1. octobre..... ,Pans-Lyoo-MCditer. 3 OLO J, Janv.Ouest nouveau J. PUB

1nt 3 010 J, décembre. , . , .

492 301 Dauyhinn3010 id.. ... .P 0 fA t t' 1 ptembre.. .28 0Lâ b dVé0t' Y7 J,,v.,..210Y y 3043u Lo 311010 ,1... .s B6 25287 1,0 {Sevdio Cadi J. t5 j a n2 1 2' nouer l b e.241 2,6 Saregesse lhmpélu ] t280 . Nord do d

237 5U Nlo uLhnu Raus W.

72épéeRa TéldegrapHtlrluo privée.Vienne, 6 avril.

expliqueLale6butduzeitee

de Vienne, do en6ni aionvril,àa la conlé-qme

arcProlongation

s

renne est d'éviter une prnloagation de la lussepouvant pioee uu cos ules européen.

Elle espero qo, tintas les pmssanoes seImontreronteoecilmmes poulun 01 relogé ;

mais l'Autriche et la Prasso ayant en; ,é lece , "fin.. abattusoulutte pour ofive,podes d

s 'c'esor

pourront pasdit moins relative,perrnetne qu'elle su i0r'mme sons obila desgo . mies suffisantes.e

Les dnehée doivent avoir non-secieinrnl mmnniors (adndnistrative; m ussi u C

npoliligne avec las rupporlss de f0: orotionemtoron 0f F 0 lemagne.

oo Ef1 saiES la iLio lo 'vit ?3;.UCSL 1 11 i0 avril, s r

M Stansfeld annonce qu'il a donné sa dé-mission. Il l'explignr. par le discanrs da Pro-cureur impérial de Perla. 19. S

;s à_

mnsfold repous-se l'accusation 1'avoi,' iill de sinodrité

vis de la chambre,ilIl avoue nos so ps.

,hies pour le but de la vi de Mazzini, savoirl'unité et l'iodépeodaoca de l'Ralie. Il 111 I11détail tous les gciefs dirigés am1r0 lai, et sedéfend d nna ee05ce des complotsry

L d Y l mot dit que dl. Slaosfeld ad ce s d -s de telle faim qu'sl a fallu1 accepter Je suis eJe un cn, alonfe m{nie-t que les moues de

endénis

Sentlent à

ce,fau

honorables, rat IY trou' U S.p e tee loi t satisfais t's Lord Pelmerstod

^ielua la es l0 dit concours de M. $fan5feldqui litait, U9tP-il, uu membre précieux de gon

ment. Il ropoussc avec loisir les bUxidirigées coni re M. Smnsfcld 11 estuU

P r amen aonv ioa que Cdernier est misaiéloigné qu'aucun membre de la chambre de

261 2:

131 2

212'287 '0

7E2522 6

7 '0220 nn Ligna, d'Italie 7. janv.....130 2,1 Portugais 3 0f0.. ... 2372:11 GO

Lii ali0ns Oltoinanos... 3. t 25. I477 a.. OOompr477 $aie immobilii;Y'9 da Paris. 457'0 ïU.l53 75 - Ob.iga10e.. 273 255ü os lG,aisse géra, des chemins de lier. 73 75

Les Chasseurs Abeilles

(Sténos de la vie mexioaine.j

tondes de la rive opposée du Veuve,Don Femaado remit la brida à 110000 chevale,l

dans son zneap6, et, après s'être

assuré que .1 armes 0tai,et eu bon état , ilShcença en selle sans toucher l'étrier, et entra

dans le fleuve.Devant lui, à peu de distance, s'étendait mie

22 fie couverte de peupliers et de cotonniers; cefol vers celle lie qu il se dirigea; le trajet ne

(Suite. Voir le Journal do Toulouse de 5 un'41.) fut pas long ; il dors à peine quelques minn-

A és avoir 0té la bride au cheval, afin les.Pr quilui

Les sbordsep l'ile émirat faciles ; re cheval,pe laisser l facilité de brouter l'herbe pl goement reposé per les deux heures de re-

aident hauteeet drue lot... de loi , lu 7{exi-

ien, f que son maître Ion it il données , nagea

n étendit sil zarapd à terre, se coucha des. vgour e usemem et gravit le talus presque onsus et ferma les t'eus.

dioiteligne avec son point de dépara,

Pendent deux meures miviron, rien ue remit' A peine le Mexicain abordait il dansbéa le silence du désert, aucun bruit ne s'éleva qo un cavalier émorgeo du rouvert 01, s' r -dans la 10,1. Uon Fernaodo demenra immobile tant à uue distance de vingt pas environ odecomme s'il eil blé mort, la tète appuyée sur lui, cria d'uni noix haute, avec un accent da]e boss gauche rejeté on arrieee et les yeux vif m6comenmmo,t(remis. -Tu as bien tsedéà eéiondreàea. signaitDoreait.il 4 veillait il ? Nul n'aurait P. r5- 11 's actirai

Ai. ca, da. p ..,ee.

Taris, 6 avril.La Pairie annorioe , d'après une dépeoi:e

de Trieste, qnC le prince Masimilieo recevrapeohsblemom deromu jeudi la depuaalianare

Toulouse, imp. Ph. MONTacae, pe

Antre depéelre,Paria, jeudi 7 avril.

Par décret imp6eiol, M.pu

àlo-Il a de La-borthéle a été nommé substitut à Tarbes.

Le dlonifeur annonce, d'après des nouvelles

va , somcdrP0 ohms, 1. députationil punira le dimanche suivons pour le atoxique,

1t t i I levers éugaçéments

ruSH.

loi,sons Duppei sans g d spurtanee,

Londres, 7 avril.Il. Dilhoyn fera des interpellalims pour se.

voir s'il est exact que Sonderbund o été haro'

hardée Sans sommoiion presluble, t 9 l'Au-gletcrre u r'ppelé à la Prusse qu'elle doit fairela guerre conformément aux usages des payscivilisés.

Marché du G,

3/6 betterave, 71 L 50

Cous de 311x1. des abonnes dontl'ai.on expire le i5 de ée

, cool priée de le !'er. o nveleril afin. vealexus pan épr.uver d'è¢-

terrnptian dans l's¢vo1 let lourent.Tourie de,unnde d'abmenemjnt, nonneeorupaguse du pris:, ses consl-dcrée eomme non avenue.

a

£l,lEdlinQUE LOCALE.

Les Abonnés nouveaux du 1., avrilrecevront tout ce qui a paru du feuille-ton en cours de publication : Les

Ckasseura d'Abeilles, ainsi quo les débatsr-Le Pe neil des Actes Administratif de la

Caule-Gnronue, no 2030, porteunecirculaire da M. le Préfet relative au

des mrrv: es produites par la photogr ph10.

Uue autre c c I- t e' l'exécution dudécret 1m'0éoiai do ..2.,00 10es 1863 eu ce qui

les ecgagaments do o v c et d'ap-prentis marins pour l'équipage de le forte.

Le Rocoeil des Actes admimsleatifs o° 2071,iodle l'arcblé de M. le Préfet et le programme1010Lf au Collants agcieole du département dela Honte Garculs,

Parmi les ouvrages, lobs nombreux sur celte

ligne, nous signalons le pont de 'Pailleter, surla rrvsere de l'Agoft IL lo passage do la rigoled'elimsamllm du Canal du Midi, dans la com-

mme de Caramte.aCes deux ouvsa0es sont le. 11 p sut,

de la Isgne, Si l'on excepte letunnelt

litel-naudor, qui mérite use mort r 1aune des

ycm000nlanacs tout-il fait asept m-

oelles dans lesquelles il a été ronstruixCe grand travail qui a été exécuté sous las

k I .f t n..moire, de M. 11by,M. Guillaume g( d I I ligne

de Castelmud } ( t t été lié dM. Douaeche et Cha ml, t p r de-

puis dix o us, dans la compagnie des chemins

de fer du Nbd9.Nous ferons remoegaee qu'en cette e5rcons-

tanor,cesentrepreneurs repurent une marquemets particulière do I., coufance que la Com-pogeie avait en leur fntelbgmce et surtout enleur aolovrté qui lai brait bien connue.

Ces travaux, en effet, leur furent donnés degré à gré, c'est à dire d'une manille tout-à-faitesoeptoomellc, contraire même u l'usage suivicarède cens compagnie, qui; On pareil ras, pro-

Ioujonee, comma toutes les irand'S Com-pagnies, Pa' adjudlcalim.

^',ths tr0uvcron dans le rapide historiqueque cous allons doorce de l'important travailqui nous occupe, les raisons qui oie motivé dola part de la Compagnie, cette mesoce tonte

ou, prise ,,il , qui En'easont moulais

Douarrdiet Choume

gnes.Le 10 juin 18f,3, 51.11. Douarche et Chaumeil

signèrent avec la Compagnie des chemine defer du Midi, un marcb6 par lequel ils s'enga-geaient à exécuter du fi, août au 111 septem-bre survant, c est à dire en quarante jours, untunnel de 100 mitres de longueur, sous le litdu Canal du Midi, au pied do la ville de Castel.

na cary.Cette date du 1= aotlt au 10 septembre était

colle du ch7oeoge dit Canal de Midi et ne pou'voit par coach

Îacomatrr, dlpassleo

eud'an

Nieslut eul

jour, sans quo pagne ce yerpcrfsn presque incalculables par les indemnitésqa c3e aura., 110 obligée de payer, sans aucundouta, loi% elvecains et merlus du Canal.

L'ensam6lo des travaux présentait ainsi douxéide,,Danslaprem!èe périe InquYdevad uIrailnr

entre lo 10juin,J

tour de la sgmtaro du 0 aile,et le août, époque eu dotons cesser la novealion, on devait approvisionner tous Ire n Io

-lirions qui dnvaieut entrer dans la construc-ion du Meurt, et, an mémo romps, eux rir Iolion

hé6 aux abords du Canal.Dans la deusiàme période qoi devait s'éeou

ter entre le 1"Taoist et e 10 septembre, on de-vait continuer la tranchée sous le lit même dua o1 et cm.sirniee le tunnel.

La police vient de dresser des procès-ver- c Nous allons rendre compte aussi brièvement

1,11 1 ronce dit que ee informations part cu baux coutre 1 i débitants cle O oissoes, cafebrrs que possible de ce qui fut toit d.ms ebacnne do

Iféres ne Permettent malheurenscment as dl et cabara.i, rs qui, au mépris de l'artocle 10 de es deux périodes.d

1 p l'arrêté du mars 18bo, iml et 'HHY- r Leu approvisionnement 1. lénenx quire,ole ruuje que la maladie du Pape ne d nest tre raiera hubduellemenl dans leurs btabl sscments furent faits dans la peemiàre période ont ai-le sj et de Il" al mes pour le mmide catl.u

des mineurs a dessous de 18 ans. t ,ligue 6 les flo bri survant

!! 160 lie braques; 5,000 mètres nées do

1. 1 r al d Czpp a a e que Garibaldi cuit on rrnew vnr. m 7l , 2,"500 mitres cubes de sable; 360est attendu samedi a LOndron. La Compap oie des cbemdlls de fer du Midi I mettes Cubes de grau ici 1'00 tonnes de chaux;

t'rabientôt

feemiod tous les neveux d art etLisbonne, c. avril. de terrassement du nonvet embranchement

Den% l'régoles et uns cauomièro ool-ichian- qû elle eo0strait entre Castelnaudary et Cas-erssont parties pour la Baltique. t lias.

e.200 mètres cubes de bois de charpenifous cas approvi,ionnemmts air isr nt par

le canné du Midi, cotre le 20 juin et le 20,jnil-let

autre que ou, homme étrange, saisit vivement - Il est inutile de revenir là-dessus, m rions; dopais deux ms quo pour; aun pistelot at l'orme. ne discute pue un fait accompli, on la subit; fous j'ai paru à Sa Lucor, jo n a pais perdu

'- Reyo do 010., Si lu bouges, je lebrûle la cervcllc.

- Allons donc! dit l'autre en ricanant, etmoi, que ferai je pendant co temps-là Y mèvede mener"es, ou je v.as me comme un chien 1

Par au geste acssi prompt quo celui duChat 'Cigre, il avoir armé pistelot et enavait dirigé le eaudn du côte de son adore'eaiLe

Clu,a-Tigro ecpassl, en riant son arme àsa ceiumro

-Oserail ta donc le faire? dit-il.- Ne sais La donc pas que dose tout? ré-

pondit le Mexicain. -

- A"" de lampa perdu; acnsme, dit ilv9eillard eo manant pied à more.

- Causons, soit ! que me vunlez-von,?répliqua don Ferdando m dosceudsel deheval,

- Pourquoi in°as-tu trompé et l'es4u tournécontre moi, au lieu do rno servir, ainsi que lule devais?

- Jo ne m'étaie oega^b à r9en cuver. vous,o traire, j'avais neïlemelri ce

osé

la irIl, cie-sien dont

vousavez absolument voulu me

charNo pouvnis.ui pue vostae neutre et laisser

çetombe, cet gens eu mon pavoir "+- Non, mon hounear m'obligeait à ioa dé-

fendre.honna u Y fit le Chat-Ti0ee ,ce an

Lmdgi u

agit ose sonals se froneércnt , mais i I se conhnt et répondit feoide-

em

ppoSndra àcatte question,

tj

mudmn raversa - e0l-iI micas valu gYül en fitle houho'n"Int du hibou peut-atrc

l'es idoainsi, riposta aignnuent non Fecuaudo.

Um Fernande en r dressa comme poussé .-Ab! oh 1 fit l'autre d'un air moqueur, est-

par ua ressort, se pencha eu .,.et et .routa en de ce 11,1 que souffle le vent?

les yeux lises sur le ciel, - Peu importe d'où i1 souî0e, si jc no suisla unit émit profonde, les étoiles conti- pas l'impulsion q 'il me donne. Nie voiri, quo

Huaient à déverser sur la ferre leur obscure et me Voulez .v-ous Y Soyez bref surtout, car je n'ai

0eoblématique clarté, rien ne présageait le la' 4' Il peu de lampa a vous donner;ver

`ê',

jour. - Vive Duo, de bien grands eferêts vousappelle que vu.rat donc là d'où

11 ait à peine deux heums da malin; le hi, vous

'il U

venez

bon est ae siuu le r oiseau dont le cri al t s s I rossé d y .tourner aaie appas le (le soleil , mass lo Iii Ecoullz, Chat Tigre, Yépand 1t nettement

c pas le jour trui s heures d'avance, -dalgni -. seclam 00 ;s vous il m'svezIC appelé ici avec !eut de persistance que pour mcsi il avait entenducrierfec on du]a n

i,d yp

dodlex doutais ; 0t saun second hc[ai I

dis. arguer t m e pcrsi 0or,

il est in ai lele cn

-- I; LcspitnlitG est sacrée dans la prairielamerat

nt presgoe aussitat suivi d'un lroisià.nedis. demmYre davamag

trois repris

e avec vous : aiesi, adieu! ses drain; coni ünpreacriplibles; les gens que

si a les doutes don Fernande ; il sa leva, EH disant cela non roman lu fit mY n . jo guidais s'étaient ,i' -mêmes placés s,P

s res diïf,,,entes d imiie à son tour Met comme s'il coût voulu rétrograder etqui4 uvegde tus ahan]amer ou ne pas lesr d'rendre aurait été leu trahir; vmsmameeis J su ce. i er

't roiun-eau

' i ainsi que e l ieae crème cri (Sertit mi bout de quelques S, û

teer

Lef lie.

a

âg q d' ra c r sa n iuterlocutéur u btt .ciel

AUx : MUE, SA`fNT-i(0

reçoit les abonnements et les al.nonces :()

eedu pas revenu auprès de moif au occasion de nouer las 'ol0ticee loi, pluspourquoi n- Parce que j'vi prbfor6 demeurer

àà San tard, vous seront utiles; birr que mes Jppa-

Lecar. rillons soie,, rares dans le pueblo et mes v-Ou9, la vie civi3séa faille quand mime, sites far, coud es,je eroia cepmdout avoir et-

c double s ' l e que tu joues à tes eisgnea e, pG- trios la bon que vans sono pro; lits lorsque vousails a pour loi des charmes, je le comprends : ni avez donné vos ordres; lo voole mystérrea.dm Fernande Corril es, reçu à bras ouverts qui ma couvre ma servi plus que je ,auraisdans les salmis de la haute société mexicaine : ose l'espérer : Je me sois oüacbé la plupart desmais crois-mof,

'atout'prends garda que tan vaqueras et des leperos do peesidio, sans do

,prit aventureux ne Centra1ne deus quelque sac et de corde pour la plupart, m i: Jo paisfaussa démarche dont foule la témirit6 du. compter sur eux et ils me sent tous adévouésCm,r-da-pierre ne te pourrait tirer, s hommes ne me oennaissent quo soto61.

- Je ne sels p- son ici cbaroher des com- in de don Fernaodo Parrü.colts. - Je ne l'ignorais pas, 0101v Chat-Tigre,

- C'est vrai , mais ces conseils que tu n'es - Ah ! fit le àlexiooin eu lançant ni regardpas velu chercher, il o.t de mon devoir de te de colère au vieillard.Ion donner :bien yue ja reste au désert, je ne - 70e foi-je pas dit que je nu te perdais pasle perds pas nn i crocs de vue ; jo connais de vue Ymutes tes démarches , jr n'ignore rien de ce - pal, pour ce qui regarde mesa0airesper-qui te regarde. sonnrlloe,

- A quoi boa cet espionnage Y répondit don - Dref, l'heur[ est varan de récolter caqueFernande avec hauteur, nous avons se é parmi ces bandits, qui, mien.on s

rslBouges auxquels je n'ose me fier- A Bavoir si je puis toujours avoir en toi cas les femcoulla même ion, ru' comPlttemeet, nous sera'iront .,ce ce,I ooro

- Eh Lien, qu'avez vous appris sur mou atriotes par la connaissance de la tactiquecompte Y

ppagnolu at par leur adresse àse serv c des er-

- Rion que de satisfaisant' seulement je mes à feu. Maiumnmt sou rôle aaprès de cestiens à se que tri me diras o0 nous en sommes picaros est à peu près fini, le mien commence;pasiiivnneal aujourd'hui. j'ai besoin dcntera en relations directes aven

- Est-ee quo vos e,proo, es 0.as tiennent eus.pas au courant de mas moindres actions? - A v e 'se, je vous remercie de me

- Si, de celles yni te sont l.ersonnelles : décharger Lce la eespoosabilim d'une affaireosi le sors que lu n as pas e o é te pré dont vous o) 1 gé a propos de no

stator 1 don Padro de 1"un, , ndit il d'un tonde Imsser e 1 .vair le bat, c t est avec la plusperilogc. grand Plaisir que je cous y.rooueorai les mo-

- Eu efiot , mais demain je le verrai. Wons do traiter persooeellement avec ber coie oral sà votre vice.Le Cha4'Cigre houssa las épaules cveo dé gens qno

Joie.

A tq>i.pndsétuellas sontser

las raisins qoi- Parlons d'ata'a9res sdrienses, repr4-il , où la fortdéafrae de renn'ec en posa eeim de ta

re sommes-nnus ! [Hier l6, je les approuve d'autant plus que est

l'Oi âe point en point vos instruc t rani le premier qui Col inspiré le désir do fallu

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Le lac t du I l I 1 Y, liet f 1 1 rot M de la R lie T r 1 t I t lire, tes, dent la 'rodait sera affectéet d p s gt0 p d t t t l t t l. "" sur, é 3 1 I I! t de la prison et du palais ded, d I l- { I 3tà[ II d t n{. j 't cou M. .sac.,ci e '. es an n, 1q a t I f le C r u t 1 L I .,ai lion, grand qui !

't rD6 i 1 t I f dett h d paintri aa,ni

ih .t t lit I es, , ilé fil t 1 . g .en se

u blé teh gl I 11 q f t j . t d. xdo camion et mémo djoui s s qoi rend r, qui, I, o' rat, ,pp

,n DI

noi qu'il a été osé.ci,pendant c s quelques joli h

Lamtelmmdary

ry Daté ri moins de qanante

e fours.crue ancienne vie dont elle. n n plus qui: le M. Farcira erg s avoir hauteur ont b dite Ics

ingénieurs chargés d,. .: n da tun-snnv dis c ou

. Alby et Gnillarme,Taudis qan cas nombreux matériaux or mal de C mer o, Nl'onvoient de mus céms, douze cerfs ouvriers, me voulut

témo témoi

gnera entrepreneurs,ras de louras las contrée.,, d'alentour et mucor MM. Uouarohe et Uen élu , tende sa saLiSfscti..

des départementsvoisinss,

travaillaient à ouvrir en leur do.. et des éloges bien mérités surl'immense tranchée qui devait passer sans le leur rare activité et en accordant à leurs ou-ocoal da Midi. cors aile généreuse marque de se profonde

Cespare re iformé dans cette tranchée est .si admiration, pour le grand ouvrage qu'ils us-restreinl qu'en ,Si à se demznder encore con- sent d'élever.

ment on a pu 0ocuper mgnre moment, un uaNous commettrions une grave tojostiee si,nombre errai omisuterable d'ouvriers. n terminant, n as ne r ppelsoes pas les

C'est là, il est vrai, que réside touai la diffi- noms de ceux i ont pris également part à latunnel de Cxsleiuaudary.arilié des travaux de ce genre, lorsque suraeut construction

dot'

ils doivent être rapidement exécutés :pouvoM. Cary, ingénieur de l'École des sils etn etiet, occuper utilement un grand nombre tnanufactores, remplissant les fonctions de chef

d'unvriees dans nv esp . I proie e d fui. G I. ngéra car, étaldt u Ii ll. bl d lsoup-d'md, semblerait

ld ! t àl 1 llli, Ies contenir; les dusp I que il,qu'ils ne se g,aloi pas 1 l

u

t ,I> l I Jais, d_ peul, I h é

Lier en quelque sorte ] ! I I and .It t d

pde

ie lot dé la ligne de Caseil cois merveilleux qu't 1 m t I Ib tué a!xtel d 1 I I s rgrands uevanx, peut seul este r o e , v - }

ainom oe qui donne la }este mesua u m6- I r ra. .s têtes du tunnel sont lacs au

rira entreproitrs

crayon i délicat, et si pur de 01. Ouh ac, rdut e ions a rosi que ài11

le le, chargédans le service de N. lrma,

E'est depr6aaeme° rl:: L recuit 1101100 des bàtiments de

'a"a

I

la liIJnuarehe et L'hanmeil, sous lhabile direction gneAc leurs 'ug6nieurs, MM Alhy

Ilfl ui paume, Castalnaudnry Grilles.

ont te nard cette teu ap eatinnd 0 Enf n, Ai. l;igal, com m a chef dessinateur duai ,U,,ndes travaux qui leraa evelu l'adnneatioo de bureau de M. (indi rime adgalmn.nt travaillé

mus ceux qui ont fin visiter leurra .hanuers, à ne grand ouvroge qui appmtient désormaisoà l'on v toit, sur des galeries habilement ans halles aunaies de la construction du réseau

des chemins de fer do Midi.mbr oi bl il oure nno a es uvr ers supermérugérs,Posés et pou dire étagés r tonte la

'ils enveloppaient et ni, vraient de mann, m; 2, néenmxe nn "I'e.tranchée gnleurs corps, comme s'ils eussent dûul'emportce Pregrarnme des ana...... qan seront exéewtés,dans tours bras. a jmard'hui 7 avril Igiit , Sur les Allées

C'est par cet al eurent admirable deLouie-iNapollon,

de 3 d 4 h eures et Ironie.leurs auvncrs rau'enr moins de cinçpanle jours 1. Ouverture des Dragons de Villars. (Mail-

entrepreneurs parent exGouter 40 lard).mètres cubes rte déblai, dort tous les champs o première fantaisie sur Ilaydéc. (Auber).

L

s encore couverts. 3. Les Port herone, mosaïque. (Griser).osienons

sou

à le seconde période, qui devait 4. Bouquet de valses. ((toué).oroprendre , comme nus l'avons déjà dit, 5. La Dame harets, fanaisie. (Boi!Idieu).

la eenbnuation de la tranchée sous le lit mémo 6. Les l'oliehoms uadrille. Blaneheteau .

Le Il août, on continua la tranchée à ire. I1Gv e nn msisus naaasxmc.vers le lit du ,,mal qui avait blé mie à sec la amsrpou au

veille au soir. Pengrentme des rnoreeenx qui sera,,( exécutésDix ,jours après, n avait enlevé encore 15 noed'hai 7 aeeil 9864, au Grand-Rond,

mille mètres cubes de déblais, et la tranchée de 3 d 4 heures et demie.se trouvait ès lors cotePlétement oaverlydan s 1. PIS redoublé Constantine 29. Iluss .

'U ho

muai SU lnueur.On commença aussitôt à creuser dans le rue 3 Boléro.(:1.rapillo. 4tv

las feudataires des deux énormes

-ailles

4.

. Jalousie d'Orosnnana, Si, pour baryton.qui devaient soutenir l'immense voûte du ton- (L. nordese).net. 6. I.a Turbulente, polka. (Plnmcoq).

Le travail du jour oc pouvait plus suffire. G. Pandore, valse. ({troll).Oo navait, en Effet, que trente jours pour 61e 7, Ma Tabatière, quadrille. (A. Papillon).

mille nôtres cubes de roauonneries; ilfallut utiliser la nuit.

Denx """il'électriques placés sur les CAISSE D' PARGSCS D6 TOULOUSE

bords de la tranchée, jetaient leurs ru}'ove per. non ans surs, 22.vanta et blafards su an flot de travailleurs, Séances des dimanche 3 et lundi 4 avril.doublés en quelque sorte pv leurs propres Nouvemx déposante, 0*ombras, dont les formes, vivement détachées'

Recru es Dimanche. . 19,264 fr, 16amblaient prendre part, elles aussi, à ces fée-

duDépenses du Lundi. , 1'd,O64 05

rigne, travaux. -_---Noscraignons pas d'être taxés d'ex allé-

Reste... - 171 11d n 'urons g aussitôt qu elleration lorsque none

furent enUn

suce., les immenses muraille debriques

riet de moMlons qui devraient recouvrir OBSRBVATIONS ME TEOBOLOGIQUES.

les parois de la traechée', grendirent à vue De M. Biancti, - Da G tuent 1864,O.d'mil Minimum: +l"Eu effet, en m iras de vingt jours, c s u- Thermomètre centigrade.f Msxnnurn i16 ,0.

railles, de mènes d'épaisseur et de 00mètres de lo it la e chacune, émirat terminées, s 5ve. àTAT nu onciel.n. vnrvrs.

et on eLçoit la charpente qui devait recevoir 9 h. dom..,

, IIm,737 Nuageux.'- 5. O.la

T

voûte. 3 h. do soir, 0-,756 fi- N. 0.Cette charpente était si parfaitement Ira. Le baromi;tre se maintient toujours à près

ouillée , qu'on eût pu croire qu'elle ul'fi- de beau temps.rail, à elle seule, pour soutenie tact l'on- Le temps est 150(0055 couvert, il a plu quel.

que p,v hier au soir.te voûte, que 1'o. e aimons aussitôt que Fier tacts la chmrips Irrels 61 mm a lit prestde,sIc ciel- furent posé, fat terminée eu douze A. P-L.jours, on put réformer alors le bassin du canal,

'enoeimo et y ramener Le Dfonitane publie la loi en vertu de la.t estabi r las mass dartement de Tarn-es Galonna estml eavant le dél i fi r l minis- déé ll lv que pes roux m a x pa e e e I du 22. actuellement à Nice.tri des travaux publics. ulorisd conformément à la demande que le,

gsnéral en a faite dans sa aussi.. de -Ainsi que nous le faisions pressentir hier,A peine ces immenses travaux talent-ils Conseilteruniu,'és, que M. Pereire, président du. Con- 1863, à s'imposer extraordinairement pendent n vent furieux s'est de nouveau déchaîné etscie d'ad,mnistration de la compagnie des che- doux ans, à partir de x1805, t centime 3 dixie. balaie nos rues sans le secours des hommesmies de fie' da Midi, accmnpagné de t11. durcit mes additionnels au

plilooupal

des quatre non- préposés à la voirie; mais il n'a pas, comme

plus n ple 00.n 'usance avec ]a charmantefille de dû. Pedro de Lion.

- Pas ait mot e lus sur ce sujet, dit danPrrnoedo avec vidolepnce; Si jusqu'à présent, j'ai

senti à laisser diriger par venu et àau,,dLétr à v ordres sans les discuter, l'heure est,cour

de poser clairement et catégoriquementla question entra nos, afin que duos l'avenuean malsolendu ne soit pas possible; velte ral-

seule a été assez pressante pour mc fairecette nuit répondre à voua appel.

Lo Chat.Tigre lança au leste homme unregard protenddment investigateur, puis au boutd'a. menait il répondit:

- Parle donc , insensé, qui ne vois pasle précipice ouveet sors !os pas, parle, e t'6-

Des.Don Pernendo demeura quelques minutes

sile.cieusement accoudé au tronc ...casd'o-p uplir, la tete penches et les regards dirigés

r- Chat-Tigre, dit. il enfin, ignore qui vous

Pies et quel ..ilff vous e pouss à once, à

désert etla vin civilisée pour vous retirer ai'enadopter les mmws mdienaes, je ne veux pasle .savoir : chaque homme doit fore reponsa-ble de ses actions et ne doit en rendes compte

a.-, qui ma regardequ'à sa c..scieuce; pds

euecul -aen mot de votre boa-telle

,

che ne majrt<tivit ni du lien de ma lai-me,

ni de la famille à itguelle j'appartiens; bien queez. élevé ci yu'ansst Iran que romon-

tent mes souvenirs d'enr neeje ne me rappellepas avoir vu près de mai d'autre homme quavans, cependant je doute qu'ut existe entre

'étais voire filsnous dea liens de parenté; si j

tes que celle que ai reçue d'après vos ordresexprès.- Que

veux-tu dire , malheureux? quelsreproches prétends-tu m'adresser ? inter:

le vieillard aven un mouveunent de co-lère

-Ne m'interrompez pas, Chat Tigre, lais-aez.mai vous dire ma pensée lent entière, né-pondit le Mexicain avec tristesse ; je ne vansadresse pas de reproches, m aie depuis que,ma.s le nm de

donFornando

maismeus m a-

vez contraint à me niôlcc eu mouvemcot de lecivilisation , malgré moi et malgré vous, sansdouai, j'ai appris bien des choses, mes yeux assont ouverts es J'ai compris lu signification dedeux mots dont jusque-là j'avais complètementignoré la perlée : ces deux mots ont changé,on pas man caraclèrn, mais le façon dentenvisageais loi cbsses jusyue-là, car, dans un

but que je na puis ni ne veux deviner, dès mapremière jeunesse vous vous 'tes appliqué àdévelopper ai tuas les mauvais sennmentsqui elaient

e oge me dans man e.or et à

étouffer avec soin le peu de barres qualitésque, sans donte, sans ce système adopté par

mua, j'aurais possédées nn jour; en m mat,j'ai maintenant la connaissance du bien et du.tel; je sais que vos efforts out tendu conli-nuellammd à faire rle m

u

mue bel. fauve :-voas réussi? c'est ee que l'avenir n

apprendra. Anx pensées qui bouillonnons dansr en vous parlant, je' crains que vous

n'ayez obtenu le résollat que vous cherchiez ;quoi gu ïl m soif, je ne veux pWs Pire votreesclave, jai Imp longtemps servi dbostrumententre vos mains pour l'accomplissement d'actes

ou seulement a membre éloigné de votre fa- I dont je ne comprenais pas lu portée; sons-mé-mille, il est évidant pour moi que l'édacatim I e avez matines et maintes fois répl quaque vnus m'auriez duuuce eût été tout au- les liens de la famille n'existaient pas à l'état

L'action,tt J. Marie f t 3 Iul l'. p i

N 1 1 d C. t IL, 1 l l at àAuch, rient dut urr à Gzaulon tIège de85 nos.

Longtemps admisistratcor de la communede Cazaubon , sou administration fat douas et

paternelle. C'est en effet à loi que l'en doit le

premier hôtel .de-ville, les nomem es, les prome-

adea, rte. il en avait préparé les liémsots qued'autres recueillirent plus tard. Ce fat à l'aidede quelgvas vros.ts communaux, et sans im-lionnedes chargea n la commune, gant réussità acquérir te premien batnl-de-vine-

Pidàle à sel principes politiques , Jean-Marin Carrent de I.obadso résigna ses fonctionsen 1530.

'Cous à Cazaubon evaiem e,.pell et amourpool cet [somme vers leax et ilp modeste, quifut à la fois, bon fils, han époux, tendre fiera,ami fidèle et dévoué.

(C u ier;ar du Cire )

Nous dors l 1 ('t. Cazette de Ilaon'-li

1'. 29 Dans, jeune homme il, M Igmllard étif I d5 1. op,çonsP

I. Bg .I ou 1i-icani. AI I ont I s. mol Iu p.uent6n quela mie er,le Ics veluppa. L u ge to hait àgros It i et tourbillonnait ou eo nuu ni,il devenait da plus en plus difficile davamcer,Et les trois malheureux étaient ro d'ove.art ai. Dun e. Deux d'arme eux se rappelant

entesdicton populaire que dans eue tourm etidl n'a(ten pas eu may, abandonnèrent leurompagnon après avoir

vainementessayé de

l'emporter avec en . Ils atteignirentPavelle,

con lèvent leur lugubre aventure. De hardiset conraçesx mo.tlgn,,da se mirent immédia-tement ou marche, graviront le Dol at reh'ou.

cv P, , Dormi, vivant moue le jaunev.yag,u Crpe la transporteront àal'hép'sal de

Fayote, mais ce ma:heureux rendit le derniersoupir presqu'en y arrivant.

Lyon, avil.La tribunal correctionnel a eu à juger et a

condamné quinze individus, qui, le ,jour de lar

collél'oront cté surpris metmut dans

leue

pêche l'argent jetd dus 00,01rss aux uvteure.Un de ces individus aurait été

trouvénanti

d'mm somme de quatre cents francs environ.(C. de Lyon.)

Voici le Icxte de l'avertissement donné àl'Zredépendant de le Charente Infdrieure:

Nous, préfet du département de la Charen-te-Inférieure, officier de l'ordre impérial de laL6giomd'ifonnnsr;

Vi le numéro du journal l'Inddpondaort de!a Charente-Infirinaer, en dam du 29 mam,Irquet comieuu u article intiu,16 : ]:'[relionsde Paris, t sigaé Vellein, commençant parces rouis : Deux aieeonscriptione, Baissant parcens-ci : Accorder librement;

Ilonsidéram que l'entour do cet article abc,.ale à égarer l'opinion publique et à exciter dla haine et au mépris do gouvernement qu'ilreprésente comme s .a pouvom sans frein,a, ne

onlrepoids et pouvant tout se permet-tre; ,

Va la lettre de son Excellence M. le mis.tes de l'inmrimne, en date da 1=r avril;

V l'article 52 da décret 17organique dufévrier 181!2 sur la pressa;

Arienne : U. premier avertiesemont estdonne an journal l'Indépendant de 1. Charen-te-Iwfe dnnbij dans la personne de M. LIrua oIlgérant vdil jan l], et deus celle de

M,

,

Tal-

lein, simuezacaire

de

e 18le.AJon,

le 3 avrilril 1861,Signé Bocemms.

Marseille, 5 avril.(Correspondance particulière.)

Le 55. régiment de ligne, qui lient garnisondans notre ville, depuis plus d, 2 ana, a déta-ché un de ses bataillon pour aller faire le ser-vice de place à Toulon, en remplacement du

'87' envoyé en Algérie et en attendant larrivée

naturel des sociêtée, que c'étaient des ppréjugés

absurdes, des entraves inventées par la oivih-

satim, que mal homme n'avait le droit d'im-puter à un ses volonms, quo l'hommefort était celui qui marchait libre dans le vie,

mis ai parants, ve reconnaissent d'autremuitre que sou oapniee. Eh bien P ces prGoep-tes, que vous m'avez si longtemps répétés , jetee mets en pratique aujonrd'Imi. Que je sois

mexieaiodon t'amenda Csrril , le -fusil.ou le Cmur-de-Pierre, le chasseur d'abeilles,peu m'importe. Brigand d'après vos

propres

canonne,la 'Il

Io en varia, je repu ndsmu. libre arbitre et on. indépendance vis à-sisde vous, ne vous rocounaissaut plus le droitde peser sur ma vie ni en bien n en mal, etprétendant me diriger dorénavant d'après mespropres iospiratiaas, quelles que surent les

wuLneea dans lesquelles ma jette cette dé.

lerininalion.

- Va, enfant! répondit le CIra4Tigrs avenm

"..ailerailleur ; agis à m guieq ans, ta

auras beau faire, m eiendeon bientôt ,car tu m'appartiens malgrétoi; tu le reconnaî-tras avant peu. Nuis je ne t'en veux pas de

ir parlé ainsi que ta Pas rail : oa n'estpas toi lui a pet 16, c'est la passion. Je suisbien vieux, Gernaudo, mais pas assez ceprs.dent peur avoir perdu le souvenir de mes en'

années. L'amour s'est e.ipseé de toncmure1 lorsqu'il l'aura entièrement slein6, 1a

.viendras au désert, comtale tu comprendrasréellement 0e que c'est que cette vie dans la-quelle nr entres à pinne, ignoranq, pauvre ru-font !que l'homme "est dans ce monde qu'uneplume bafoués durs tous les sens par le ventdas passions, et que celui qui se croit le plusfort devient, au souille énervant de l'amour,aussi faible que I'fIre la plus faible et la plus

eux, la precanlmn d'a rosat pr lai bl t desorte qne les flots ic p0050 . 1 I lèveveugil i

a lent impimyablmnent taux les p ei t .

t j mursLe mais d'avril qui, d'ordi r 111pluvieux dans notre ville, sera ventons, a ce 111

"''d parait Les petits pois elles fcvre sont vu

ait ouetranes de celle tempemmse quiles desscebe an, la pleut,, m ban de hâter leurmaturité.

Le mouvemcot de nos parle, pendant la2- quisaeioc de mors, nous a donné les rGsul-

lots snivarts :

Entrée, grande navigation, 8 navires flan-

osis, 7 étrangers.Sortie, grande -galbes, 9 navires flou-

ais, 3 navires étrangers.Gourée, cabotage, Itt navires français, 72

navires étrangers.

Sortie, cabotage, 203 navires français, 96navires étrangers.

1,0,00 balles de colon , importées d'Alexan-

drie, suai venues accroître notre stock.

- Les lettres de Rame, du 2 avril, ,,mon-' nl que le iPapo est presque entièrement ré-

Îabli de son indisposition. Il doit ce rendre, laalne,e proch. à 115f. 9 Anvto, ail il pas

O B I i do Mexique.q

Ill , I la Qui- 1.

L h tell t u é,il

laa ,, "a,-bled t i ait meus parlions haro,

aomm'mt

mot de b,«t ainsi conçu :s L'Atlas,

A perde son équipage'or

on rasent avantd'arriver. Nous sommes dors une embarcation.La mer est très mauvaise, et nous n'espéronspas evoi, la terre.

,Adieu, Julie; Si ce billet te parvient, garde-le pour souvenir,

n Ton ami,Passager

de

el'Alleul'Ali..

Nous ajoute..... ue sur la liste des Tissu-gars et sur elle, de l'équipage, il ne figure au-

o

semblable il a peu prèsidentique. Ledoute subsiste rimai encore, non pas sur laperle dm navire, mais sur le point où le sinistrea eu

Les blés ont été encore plus calmes ajourd'hui, et on na connu que des ventes de,détail.

Les arrivages sont .uls.

L. Neyeet.

Toulon, 4 avril,

Les poissons d'avril oe se pré .ratent pas tou-jours sous la forme d'une mystification, si l'one juge d'après ce qui sel arrivé dans la mati-nés du 2 de ce mois au patron de pêche PierreTache.

Il avait établi ses engins sur les bancs situésentre La Galet et Bandol, non r1'arelter quel.ques thons au passage, lorsque son attention futéveillée par des phénomènes extraordinaires ,

no cent que des 6a énemcnss mystérieux da-

'en rmIe fis sousl'ea.,vaLesfilets paraissa ie

alateiula de convulsions

violentes et éprouvaient des seeonsses qui, me...'art de tout briser, exigeaient des mesuresprô ptes et énergiques si l'on voulait sauver lematériel.

Après des efforts inoùfs, an est soli. par-venu à amariner (non sans courir de grandsdangers) un poisson monstrueux qui ne sem-blait pas du tort disposé à as laisser prendresans résistance.

C'étail uoe énormapeau bleue (famille de re-quins), mesurant. 40 mètres 60 c. de long et

po On aftes obligé dotletcouper par blocs pourpouvoir le transporter à Toulon, où ilja étémis en tonte et deladil avec lo plus grandsuccès sous la nom de Lamie. Ce qui prouvequ on toutes choses, même en affaires de goût,il s'agit que de sauver les apparences.

Les rosteors des gros arceaux ont P. sa-tisfaire leur appétit et an régaler à bon compteen dévorant, en toute sàrete, un superbe pais.son qui, d'après la disposition et lesproportions de ses ..chaires , est visiemmentsoupçoé d'en avoir fait autantde tous les in.dividusnnqui

avaient pu lui tomber sous ladents!

Le frégate à vapeur le Caciqueembarque au-jourd'hui deux bataillons, le colonel, le drapeauet la musique du 87= de ligne, qu'elle trans-portera à Alger'; il parait que tous les mcuve-

nts de troupes moire Toulon, la Corse etl'Algérie seront effectués par ce navire qui enaura bien pour trois mois de navigation avantd'avoir terminé sa mission.

CSavière,

misérable de la créalimm. Mais brisons là : luve Eure libre, sois le ; avant tout tuas à merendre un compte fidèle de la mission dont jeToi

chargé.- Je suis prêt à le faire, présentez.vous m

mou nom aoa vaqueras, ce diamami, ajouta-t-ile. retirent une bague de son doigt, sera votrepasse-port. Ils sont avertis, et m le leur mo.-trant, ils vous obéiront commeà moi-même,

- Dans quel endroit s0 réunissant ces hem.mes ?

- Vous les rencontrerez pour la plupartdans une pulquarie borgne du nouveau pue-hl. de Sou-Lueur : mais u000.0005 dore réel-lementl'intention de vous aventurer dans le pie.enfin Y

- Certes; maintenant un mat : malgré asqne lu m es dit tout à l'heure , puis-je 00m.pter sur loi lorsque la moment d'agir seravenu?

Oui, Si ce que vous voulez faire estjuste.

- AI ! ah! tu commences déjà à imposerdes conditions.

- Ne vous ai.je pas averti ? pr6f6rez.vous

que je reste neutre ?- Non, j'ai besoin de toi; tu habiteras sans

doute la maison que ta as achetée ; tous lesjours un I mne sûr te tiendra au courant dece qui se fera, et lo m ont vonu ,j'an suisconvaincu, tu seras auprès de mai.

- Peut être; dans tous les cas, croyez.manu.yc ptrz

pas.J'y file, au contraire, voici pourquoi;

dans ce maniant, lu es dans tout le feu do I.upassion, t naturellement tas raisonnements

'subissent l influence des sentiments qui le ma)-trisent, mais avant nn mois il arriveralablemenl ceci : ou tu rénst a:, et après l'a. (La Cuite auprachain e.)

fissile.Berne, 2 avril.

La beau temps mol mevenu et le Sait-Père enprotué; j -] I s midi , il et sorti du

Vauoau p II I. 'a'. une p I l seporto biev t 1 dd 1 , reudrr à l'église, de

Sle-5Lurie de la N erre

Je soin en mesure de vous donner des nou-velles plus précises sur le nenval empruol quese propose d'émettre le gouvernement povbl-mal. Vous qu'on 18Gû le Saint.Père Cuto-

uemprum calhellque de 5o millions de

flansa,,

pair; mais à cc taux ilan

fut sous-critque 28 millions. En 1862, lorsqu'on St

omplémenlaire de 211 millions decerlifimatsudo Trésor , la annuelle souscriptioneut lien au taux de 76 francs. Ce fat ainsi queest

de 50 millions fie es var t. Mainte-nant on a résolu d'ouvrir peur les catholiques

autre eonsoriplion Ao 30 millions an tauxquisera possible. Les consolidés romains à labourse de Paria saut à 77; par conséquent, legouvernement

ospourra pas trouver un taux

plus élevé peur le nouvel emprunt.Le gouver-nemont e

'Ici` 1qne pote les 100 millions des

1 Tuant 1t0, I q I o t n rat soitfait .e I, fonds 1 Denier d 9t pierre,Tiole

I.s I f .. p l f 1 présen-t t un déficit cor,ld .s l l L continuationd'Un pareil Malin quo cal donc pour le In over-

enl du Saint Siège une situation bien diffi.ile et bien muéroAnjourd'ts

a.,r la place Trfane, a en

lion une petits collision entre dos col ntificaa. aidas français.

d Is pan

Les trois dragons pontineaox accusés d'a,.insulté, ea proveectiov , des s Note

français, ont ét6 jugés par le conseil deguerre français; l'un o dlG condamné à deux.aie

de prison ; l'autre à un mois et la troisiè-me a été mis nn liberté.

Pour extrait: A. Pujol.

Paris, ii avriLi.(Correspondance paelienlière,j

Ainsi qne je l'avais priva, lord Palmorstons'est 116 d'amorcer le succo s qu'il vient d ob-tenir : tous les signataires du traité rte 1852,a-t-il dit, ont consenti à envoler des repr6-,entente à la conférence; la Diète, qui n'a passigné ces traites, n'a pas encore répondu. Ilsemblerait, après cela, o est-il pas vrai, qu'il

reste plus q"à se rendre à l'Gvïdence et àfermer les yeux pour attendre la réunion de laCooférmca; eh bien 1 je ne mo rende pas. Eu.tendons-none. Ce n'est P. que je doute peoni-sé'Peut dela réunion de la conférence, non, jecrois que lord Palmerston finira par arriver àressembler 10 ou 12 diplomates autour d'untapis vert, mais que ponaenul-ila faire?

De 1 aveu du ministre anglais, o n'a errétéà l'avance auome base , on na fixé a.om, datapoints à discuter; la conférence se réuuirr;itdonc pour savoir d'abord Si elle parviendra àentamer m débat queleongne, ce serait neconl'éreneu provisoire chargés de doeider s'ilaura

yne (conférence déâuitivo. Or, avec la

meilleure volonté du mande , je ne pais ascroire sérieusement au succès d'ana tentaiuvefaite dans d'aussi mauvaises co ditions, atvoilà poorgaoi je reçois vec mndifférosen lanouvelle donol, hier à la humble des Com,munes.

La majorité du public partage, du resta,mon sentiment, la preuve eu est dors la mau-vaise tenue des deux bourses

d'Injaurd'hojr

au lien de monter, on a Laissé à Londr«,a et' Paris. On n'a dune pas une grande confiancedans le succès de la Conférence.

Pur titre entièrement sincère, il faut diraque le marché 6nannire se préoccupa a est très

veulent de mminence d'ana nonvnlle c risamonétaire; l'argent est très demandé surtoutà Londres, et l'on craint que les deux Banquesna recommencent à élever le aux de l'es-oomple,

On "est pas non plus nmmplétement rassurédu côté de l'archiduc Maximilien, qui D'a pasUnes. eçu la députation mexi aise, quoigme

a"'

formalité tût peur ainsi dire amonséaofficiellement pour hier.

11 parait q

c

de nouvelles diffionllés eutsurgi a moment o. un allait ae mettre d'ac-ord, et on ne sait plus quand l'affaira pourra

être définitivement rdglle.Un troisième motif d'inquiélu,e vient seTa'

joindre aux deux précddenls. Quoique les dé,hes de Rome signalent la prssencs du Papa

à Péglisu dalla Mi cava, dansa journée d'hier,toutes les oonvellen arrivées par lettres sont al

moue satisfait viendra la satiété, et alors tuseras heureux de etomvac nu disert: ou tane réussiras pas, elle jalousie, l'arguai', froissé,

t'inspireront le désir de tu venger, et oe seraaval 1oie que tu sai,tes l'occasion que je l'of-

frirai de le faire.

- Je is mr;iheureusement qu'avant eude temps d'ici nous ne nous entendras pinsdmfont, répandit le Mexicain avec un souriretriste; toujours vous raisonnez m point de viades passion.. mauvaisea, tant est a do iahaine que vous portez aux hommesgel le m r.pris que vous avez pou

jtoute la race, taudis

que moi, au contraire, e désire n'dcoomr puemes bous sentiments et me laisser guides pareux.

Bien, bien niant, je l'accorda ua moispour mener à fin ton amourette. Ce laps detemps écoulé, nous reprendrons cette couverindien. Adieu

- Adieu I Est-on que vous vous dirigezmaintenant vers la présidial

- Non, a remurtle à mon village; là aussiai une cerjtaine affaire à terminer, car, ou jo

me trompe fort, on bien des 6vénemeots susaut pRcassés là.bss pendant mon absence,- daum-Sous de.c une révolte cuntruvotre pouvoir?

- Je rie la redoute pas, je la désire, répon-dit-il avec ne dnigmatigne.

Après avoir une dernière fois pris congé dujeune homme., le vieillard remonta à cheval etrentra dans le couvert,

GebTAVs Armand.


peu rassurantes que les craintes subsistent.oJest x ssible' dit en, (lire le Pare ne soit

pars tout à fait a i dangereuse éurpt maladen la eé:endditla semaine demièrio p mai.

;est exagérer anssi, et beaucoup plue, d'asemrcor quo

1asanté cet escalion, e.

Somme tout,', vous le voyez, il y a une foule

an, vivernt aux nouvelles rapportes pa les despêches d'hier et de aie matin, ait qui sans Atropiétas mont t'es rassurantes, sont d'ale

r

nnan-ins si.céro lac celles de aas derniers

jaurs.Notez, tonteboie que je perle dos dGpbrhes et

point de nouvelles venant d'ale mure sourao.

Eu voici une, par exemple, que je trouvedansl'I+avalidi musse et dont je ...s laisse leoin0a'appréc a, la nature.Pour célébrer l'anniversaire de l'entrée des

alliés à Paris, eu 181 G, l'Empereur Aissandesns'est pas borné à passer

aire

renne aondeée permit r dei dans tous las journaux de

la eapibale, d a donneaussi dans -palais d'hi-.ugrand ba.g

nl éiévet auquel

aiété invités

tons las ^ coraux et officiers (ea setivit6 ddservee ou en retraite), qui ont faille campagne de

France,1; Inalide ruas, a soin ds rappeler anus l,.,adétails

les plus minutieux, les manifestation,

patriotiques qui ocrent lie. à Saint-Péters-

vini lies à Moscou en Il il 181h, mou] an re-danscesdeux villes la ....elle Moisis

tirs triomphe de la Sainte Alliance.Je rr socs dirai rie de le retraite de

M. Slaefeld qui sort enfin du ministère an-puis: sotie retraite était devenue inévitable

après les révélations faites par M. Cordera etcelles plus récentes de l'avocat général qui aporté la parole dans le places de Mareini.

A propos de Mazziui, Je dois vous signalerau document que je trouve dans son journaloflieiel L'Unila Balise. de -Ililan et qui vautbien sa. pesant d'or.

C'est une adresse volée pore m e Souillé deDresde et dans tortue lle Ainzzini est comparétout simplement ira Christ.

Voilà de la modestie, ou je ne m'y connaispas. Ne trouvez-vous pas aussi que le moment

' 'est bel choisi pour faire l epéthéoae de l an-cien triumvir cornai'?

On m' assure qu'un bref du Pape réglant laquestion de liturgie arrivera bientôt à Lyon;Fie IX daprès ce que l'on me d:t, exigeraitformellement le retour à la liturgie romaine,si, se bornent à accorder n délai puce l'au-r anrplissement de cette réforme.

La Naaion compte an nouveau collaborateur;elle Imronce dans eue dernier numéro qu'elleest heureuse d'avoir obtenu le concours de M.Mirés pour l'étude des questions financières.

Par centre, Ni. Reniez sort an .loneual desDébats uù il rédigeait le fmrillclmr mrrsicll; il

.L . d'Orli uest remplir par gLa littérature des Dlires rds esters pentes .

Jugez-en per les quelques I(gna suivantes6acilea par a h mmcd'i

eit :! uuessc

do raifiraes

i est bien uu desplais pitoyables drames qu'on ait jamais loir La.Mais que voulez-vous? las bGcers sont magni-Fques, 1 coswmes engerbas ; il y a une pa-.. e noblement dansée parle corps do ballet,une ronde tort jolie et fort joliment chantée,ue très aimable et tees charmante chus

Mlle- Eselosas, et allie ..a mate qui poursuit5555 out.

,, Cette meule a décidé le s..cés de la soi-r . Des biens, vous nompreoes, de vraischies suri le scése : cela t irrésistible. Lepremier soir, ils ont joué sleur rôle d'assezm:mvaien humeur. On apercevait le cerf auJoin, qui fuyait dans un étang :les piyueueusont accourus derrière, traînant las chions quirefusl'iaot de les suivre. Mais ces nobles bêlesont retro,,a hier leur zèle eL leure jambespour la curée, qui s'est faite aux (lambeaux,selon l'usage.

On a jets ou taoeeau de viande soursoème; la mauto tont eutièrd s'est

prscipitée

tIaime ua seul chien. C'étolt cri fouillis de

Iris et de qucaos grimpes Ics uns sm (on tu-bes. La salle a éclate en transports fié.éli-quas. En voilà pour cent cinquante repré-setatios,

Las artistes s gea'ns sansdulte beauc upnote eul l'alto günn s'ona pe beaucoup

d'eux; toute l'attanliou cet pour les chiens.Je ne ces "" `be demander aux parson-

e qui dirigent le 11J de supprimer ledialogue dans les drames qu'ailes donnent, etde le remplacer par u re paotomime vies et

'e. Toutes les lois qu'eu parle, il y a lesmornetrois quarts' la salle qui ti lnt pae etsmn.ulunt;

l'a

autre quart cetpluus

s

moalheureua

fit mracd,,... .en`orS.La discussion do budget ne pourra

pas,l à ce qu'il parait, sengagar avant le 2davPour

pari quelle se prolonge, il erra impos-sible aux députés de discuter la loi sur Ira

rr je crois savoir qu'il n'y aura pasda0ta ...1le

MM, Marie, Joies Simon, Thiers et Rerryerdoivent parler dans la dissuasion du budget.

La Correspondance gmé,aledément le fait raconté perle cr ereepondant duSiècle, relatif à l'exéeuam de WO Imngrois,qui

auraient

été fusillés peur tmtativa de di-serlion.

Pour extrait: A. Pnron.

Garibaldi fia Soittixamptlrmr.

On écrit au dforuinp nerald :J'étais à bord du 71ipon, tao tenant sur

l'areibre au bâtiment. Là je vis que des per-smaes avaient abordé le paquebot et s'étaientprécipitées clans le salon ou Garibaldi droit as-sis. Les gentleman, parmi lesquels n emar-quait e duc de Sntberlaud et àl. Serly, étaientmoins démonstratifs quo Ics antres qui, sous

rlétexte on sons n. autre, étaient venus àbord.

. Le général paraiSsait harassé et trias souf-

l'rant; mai"

,

autant que le lui per nattait la

foule , il causait se e les Italiens qui étaientnus le visiter, et parmi lesquels se trouvait

un peemiere ligne M. lin Negrelti. 11 porta! suchemise cou.e couverte d'un manteau de drapgris bordé do ,rouge. Sm pantalon émit grisclair, son tarsens foulard de soie ihanc-violet,litait négligenrrnent paseéaa[our de son cou, et

arqua combien il avait de peine à m:re-harem

. Disons qû il n'émit gude charitable de lear orti q à loir u Ici efflé n n non

vair v r qu'a chaque pasil

est-l mal ào. le gequn, a galL par pe t,,l' indiscretri lai g6oGiA parut sur le ar b ro'où il passa

eu icibard, il fut ,eanrilli par Fore.a acclama-tions, unxqueiles il ri poulie a o e grdce

apln, nalurohe et un agr,i trio soucier.Chat,,, de ses saluts liait seri d'acolaroa-liens e maielos.

Le maire souhaita la bienvenue à Gari-baldi en Angleterro, et lui offrit l'hospitalitéde sa mais...

Voici la réponse du général :. Monsieur le maire, je vous suia reconnais-

. tant ,j'accepte votre hospitalilé. .. Vinrent alors las introd.atians. Des dames

furent présentées, lorsque Col fleldi descen-dit du paquebot , après a vair serré esediula-ment la main an ospitaiuo lbogers , et l'avoirrem cié de sas bienveillantes attentions.

.r Quand il mit pied à terre , une dame qui,parses poésies garibaldiennes , s'est acquise

épulauou locale , obtint de M. Drinlon leprivilége de conduire dans sa vailure lo géné-'ui à la résidence du maire, qui avait frit ar-borer un drapeau italien autour duquel lafoule était alors groupée. Dès que la politessele lui permit, Garibaldi se retira dans air cham-bre, où il était encore après cinq heures.

An momeni m"me de quitter le vaisseaule général s'adressant aux représmrtants de lasociété irai.... de Loadres dit :

. Jonc désire aucune démonstration polili.que; surtout je ne veux être l'occasion d'au-cun tumulte..

Cet a'is rat sage , et il faut espérer que lesAnglais et les Italiens, amie de Garibaldi, s'yc,nformeront.

n ha , [ 2 onecomme il était on radeutdes s

ool

A rve proposa, a.l1o

-:in des

ansasaeu,

sé unlot,u

ibu

parle degénéral. Dans sa réponse,Gion ldi

as.a parla as

pn affect e Anglais deus tp iaspius affectueutux,

, et an disieudess

eszpplplau

audis-sem i l'il a terminé disant

. A l'Angleterrep,

, patrie des hommes libres,espoir des esclaves..

On écrit à lionptont

hurpt co

on:1 h. de

dans

i IrPIre-midi.Garibaldi s été conduit à l'hôtel do villatue voiture à quatre chevaux gris. Snr

le passage du Orna les r ce étaient ane.m.biles do

mondede,

. Dans lus mars sas, aux l'.ué-Ires, las hommes étaient bourre chapeaux et lesfemmes agitaient ]cors mouahei,s, Le général,assis près du maire, dan, su voiture, conser-vaitu

aune

attitude calme et digne.n Le nuira, iesoqu. la manicipolité out pr6-

seolé eus Adresse, a prononcé quelques man,donnant au général l'assurance que les senti-

aSoüthampton .etaicnt gin l'écho des

seutimeurs de l'Angleterre. Le général, ln rnaiar leu r arlpudu:. Ce n est tas Ia pion c fois quo j'ai

n lacasiae d omit ater amau grand pou lis anglais; sans ia

symj'pathie

. et le seoonrs de ce grand ponple, manifestéson pas sealeme.t en paroles, mais arcure

actions, ea subsides, en leges l et enrcons-laills cn000eagomente, il 'nt 616 impossibleà l'arma, de l'Ifabe d' Sad, do remplir sa

so ja svous mer, tnt, monsieur enours, je remercie lai ""' anglais, ..n Ces paroles om pr qua le pins vif en-

thouaiseme. Garibaldi parle d'une manière quifait impression; et son 6motine, qu il cherchaitù maîtriser, se Lrahiss:,it par le Iremblemrsl desus s, De 'Couva hall, Garibaldi s'est reudapar Dagh etreet 8 lajrii,, et lorsgdil'estem-barqué leur file de Wight, des hourcahe etdea salves d'artillerie ont éclaté. Lo teomorqui devait le était compl6tumoui

On lit dans lai Daily NevsOn 6coit de Somi,l"I'n :Garibaldi comprend parfaicament l'anglais

et le parle avec un léger accent étrange . Leo de Soulhamplou ayant ansmné e Gsei.

baldi, la mai. dans la oie, qû ana v iturel'abondait pour le emu nira à ira eisiâevueGaribaldi dia t = Mairoa j suis pein

néal a--il stre àpi terte, -Au'

peine lee le

génral a-t-ilmis

pied à ferre, qu'erra bellej use finors lai est noI,, etée sala lui fait lapflus ..Ienér

révérence, ets

saisissant ire lafi

ore 1, général, boliea la lui

bai

aisé veuillet aeny Dore bien qua le

génér

éral l veuilles'opposer à cette geallons,16.

Lorsque le général a prie place dans lavoiture da maire, de bruyants applaudiese-mouls éclatèrent. On anis rirai ir général res-tera jusq'i à demain ehea la maire, et qu'il ira

.suite chez M. Seely, à qui il répondit, amisqu'il lai pressait de prolonger sa. séjour : -t Oh l vans, Anglais, vous dites pourtant quo

le lempsdesl de l'argent!, -Samedi pro-chain il doit quitter l'île de Wight pour ai

6sidesoe du due de Smherland, a Stafford-huu

On lit deus le usp-Pase+Garibaldi

iest ppas air homme dmt ou

ses o l'aire ce

l

lien, Le tester ainsi s'cuit bles-

ser son caatore et peut-ntre préjudiciel ù se

slé, Ons

sait que l des r u objoiede suc voyagea 616

d de

e

s'assurerer leles

s sofins

demas phis lminent, etriruegiens. La blessurequ'il a reçus à Aspromonte n'est pes encoreguérie et ea couetitutlou de fera liesérieuse-ment affectes pue l'irritation constante qu'elle a

e. Il passera quelque rompsquille dues file de Wight, et l'orsgdil soya

fis des fatigues de son dernier voyage, 'Iÿemlcra

la oapitalc. Il désir,' pour beaucoup de

visiter Newcastle.rLas

artGaribaldi .'a pas oublié les ovations qui

lui ônt été faites par Newenstlri, il y a des In-nées, alors qui émit compamtivoment fe-

u A Newcastle, à Londres, partout ait-lumullaurs dans la Royaume-Uni, Garibaldi trou-

a aeencil anssi cordial qu'à Sou-volsthampton..

Southampton, à avril.'a lieu è l'Hôtel-de-Un graibnd meeting

Villo. Garaldi, peisantb eux c nvlves per aarail I'Anéietrnee de ses sympa,

thieseIl a dit quo la naliim anglaise tnlnmitla reconnaissance éternella du peuple iloliem

sa envoie de soie Dire relevait sa barbe gni- ( Garibaldi s est ensuite embarq é p or. la eé-,an.ante. Quand il vint ensuite sur le peut, sidonco ûn M. $çely, dune l'île de Wighl, au

milieu des acclamations d'une foule enihou. tcassé sans doute par la Cour suprême, et les

Jamais on n'avait vu démosmation oommccelle dont fianibaldi a été aujourd'hui l'objet. Ilétait veut des députations de tontes las partiesde pays. Les eorporatiensde Southampton ontrende visita à f leu rs di. Une procession im-

a traversé la ville Le maire et Gari-baldi étaient entête. Une adresse a été présen-entée à ce dernier. La fallu était af considérn-

ble qui on a craint de nombreus Incidents. Ladépart da Garibaldi, pour l'île de Wight, s'esteffectué su milieu de manimslatives d'celhou-siasmeinouïea.

On lit dans la France:Le Moniteur contient ce mutin la .olo soi.

vante :r Le journal la France esl mal informé quand

'1 axnonee que l'an sé an célébrait à Londresl'anniversaires de'lVIteelao et que recul,ssa-rieur Pronoms assistuitau bouquet donnéà cette

n -Depuis quelques années on ne fêteplus en Angleterre cet anniversaire; et si l'u-sage s'as liait conservé, al-on besoin de direque l'ambassadeur de l'Empereur n'aurait puy assister ? .

Nous ne voulons pas engager avec lai alfoni-tenr une discussion de mots. Ce qui est cer-tain, e'ent que le 18 juin 18fi5, jour anniversairede la bataille de Waterloo, un banquet len-nel a été donné par le lord-maire de Londrest que M. le baron Gros, ambassadeur de

France, y assistait avec plusieurs autres mem-bres du corps diplomatique.

Nans citerons à l'appui le discours prononcépar lard Palmerston dans cette encas os, discours

a

-

acr6 surtout à la glorihcatien de l'al-lianceaoglo-françaiea , eL oir le noble lord sel'élioite, à deux reprises, d'avoir à ses celésl'ambassadeur de France. Voici ce passagequ'il .'est peut.étre pas sans ietéell de nappe.ler ud us les on cunstanoas l'bail,

.li y a r]eux puissances dont l'amitié et labon accord, les diffdrends et les animosims dé.cidcei t eincipe emout de la paix eL de la guerreen Europe; je veux dire l'Angleterre ei laFrance, ait je suis heureux de dira qu o sur foutes ces questions desquoi es dépeudcnl la paixon la guerre, soit dans l'extrAme Occidentsait duos l'extrème Orient, l'amena la plus

ioale existe autre les gouvernements deFrance et d:inglsterne, (Pifs applaudissu-

mme.)Los intéréts ces deux grands pays dol-

ent êtreidentique

ues, et Ils gouvernemaets del'un et de l'autre sont assez éclairés pour savoirque Ces intérêts sont deus la m e diroc-tion-

S'il émit besoin d'un Linge de la disposition'sale de l'Empereur des Français, en sp-

pellesoina mon honorable et illustrearnile ba-ron Cros, l'amhassadeue de France qui est as-

che. Le baron Gras a élu ou cuba-lio sldans plusieure parties du n m de aveu lesdiplomates anglais. Son rolatiousruet été inva-riabloment de la nature la plus amirale, ho-

orables,ourson pays, pleines de ,...teisle etde cordialité peur son alliée.

Je meutia n la é-e e, milords msmnusont l' re prdouce du baron Gros, o, e l'Empereurdos anco ans

Londures

s nomme p gage de]'alh:mco antre les deux pays. (Applaudisse-ment.) .

Ce diseouesa été reproduit par tous las jase-, et le r9enibeur la retrouverait sans duale

dans sa propre collection.

Avons nous besoin d'ajouter que personne n a

dicté mnoéreparoles,rPl,','e nnolre tarticleavait préais6ment pour but de eumbntl re lacélbhratiop ils pareils anniversaires, etgo il o;-

ont

P,su Jt de la rev u,' passée

paal

amardes

s àrl'iiresbmrg?

A. Gamin.

On lit dans l'opinion nationale ::

quo le dfunie,s,' ne dément p s, c'est laa Infestotio. erililaiee Faite àSaint-Pélersbonrg

lai a1 msrs-II est donc avé.6, désormais, que les Bas.

J les Eelmouks t Ici Mongouls Ont 6t6passés m revue Par l'empereur Alexendre IIf jou a niversaira de l'entrée des alliés àParis.rEt au vérité, la lament est Lien choisipour évoquer de pareils souvenirs.

Notre avant-garde polonaise est à demi dore.née; MM. le Ilismmk eL de Dechberg sontcomplices de la politique oseovde; et, deVarsovie aux frontières d'Alsace, la route estcouverte par les armées de la tripla alliance.

J. Labb6.

- f,a situation militaire a peu changé auMexique depuis la détruit il, précédent cour-r es Les r alun villas sont r que tau essoumises a Itintoorvenil... Taule sis

le.juaeiia

les ont encore de quinze à vingt mille hommessous les armes, distribués au sud dame l'ELatd'Oexaee, a nord du côté de Monterey, oL àl'Ouest dans les environs inaccessibles de Co-ima.

Le général Daaaine, dopais son relave duosla oapitnle, s'occupe aodvemem de réorganiserl'ad minialeatioe do pays. Cette muvro est dau-tant plus difficile quo le Mexique possède unp

eenanle ldalécinrs civile et militaires horspropout olérél besoins des

dplus grands oih.ver

soales

rts de

,

conciliation, le général liaraine estbo

ontraint de faire un grand nombre de mécon-lula

*Lo g6oGral Dazats devaucanl la pensée deveeneroeni , a rga'sé une coin sic

écnmtifgse, dont Ie Prbeident est le coloneld'Oalee aine, de j'arme du génie oL ancien aidede camp do maréchal Vaillent.

Cette comm sine aura dos eumornp ndantsdan, toutes las villes de l'intérieur, et lorsquelao risaion nommée à Paris arrivera h Mc-

o, ,lie trouvera des matériaux tout pros,grùce à l'initiative prise pur le général Ra-mi(Qpinion

natomate.) A. Malespiue.)

Noirs na eéaistous pas au désir de repro.dAire les coustdoratious suivantesqueM.Pol-,as4Puradol consacra ù l'affaira Armand duossa dernière chronique politique da la Revuegarmanfquc et française :

Cet antIy qui ace rde vingt mille feanesde dommagosinléells à un accusateur dont lejury a refusé de croire le témoignage, aura

motifs purement juridiques ne feront pas dé.faut pour damner ..tic satisfaction à l'opinionpublique. Quel spectacle pénible que celuid'une Cour et d'un jury eu désaccord formel

r une afmire de cette importance; et quelleloi imparfaite que celle qui permet à la Courde faire, Insgiià uu c Lain pain , prévaloirson sentimcus contre celui du jury! Ne serait-ilpas plus sage d'éviter la chance de conllils decette nature en chargeant le jury, dans tauteaffaiee crimiuello pouvant donner lieu à desdommages-intéréts, de se prononcer sur leprincipe, sinon sur le chiffre de es domma-ges ? Na pourraibon, le verdict du jury unefois rendu sur l'existence ou la cr minelit6 del'acte qui lui est déféré, poser au jury cetteuunvelle question, qâ à ue moment des débatsle bu. sens et l'équité suffisent pour résoudreY a-t-il lieu d'aecordee des dommages-istéellsà le partie civile?

Si le jury d'Ain avait été saisi de la seconde

question, comme il a été saisi de la première ,

sa réponse o erit pas été douteuse. Si, e. effet,eus supposons un astssy comma l'hypothèse

1e plus défavorable à l'accusé, qu'il a été seu-

emenlsegsil46 parce

c

Lice le jury n'émit pasu de sa culpabilité et que la doute

seul ebujury l'a sauvé, il aurait encore biennain que le for, aurait écarté la demande

de le partie civ le, Dans le douta où nous lesupposons, le jury n'allait pu se résoudre ni' condamner Maurice houx comme calomnia-teur, ai à l'indemniser comme ayant soul'factun dommage.

Eu matière de justice comme en tout autrematière Dires le douta abatieus-brian nu t laplus sage des maximes. Mai' b n'est pas mbmepermis à une Cour de co alisier u acquitte-leut oamml l'expression d'un

doute

e. Uns loispro oe, u erdiet exp im 16galemem ulertilude. Ajoutone Lise la Corr d'Ail élittanne plus qua tout autre d'attacher ue carac-I'ne de certinido à la déclaration dd jury,puisque le président Rigaud avait dit dans son

un é que la jury davnit choisie-entra nosdus hommes, et déclarer l'an u esnlnire,ou l'autre un imposteur. (Qu'aprèsm -

it`eprécé lé do tulles paroles rendu dans

d lies conditions, on soi n permisd'infliger à l'accusé .a sacrifice de vingt milletroncs au profit de son dèlemiateu , 0'est cequi excite ù bo. droit, dans la public, la plusprofonde surprise,

. Mais ue qui st bion fait pour insta rer àtous les bons citoyens les réLiexioes les plustristes, c'est ce qui se passe en c moment

Aine à Aiontpello, : lest eeitc exaspérationd'une fo nie aveugle qui ea croit frappée par e,verdict de jury d'Ail d'un dual de justice,et qui Lémoi;us sa robera pae dus attaques oudea menaces contre les propriétés et les per-su es. On ne peut entrevarr sans ira monve-

ent de doalmr l'abimo d'ignorance et de pré-jog,is qou déao ro telle oanduita. Quelleforais pouvoen ruas don. donner à la justice,pane lui as er l'adhésion, ou de mains la

'o. de la foule, si le ,joGemenl Parju-rés ti y suffit pas? Que pouvons-vous imaginer

ès le u sr l'as ceci du en 1nn'' J ry, I P P e jugeantlui-

e et prouoncrut sac les accusés une d6-ci,ial inspire pas au peuple plusleverpecl et plus de enfance? Est d cehopossible que, dans le temps d lgaaté où airsvivons, la fusion celle les classes ne soit pas

Cuno ussIx amantes pan, aissippce jurq Ueu

soupçon de la partialité dans l'adminl5tration

dei inetiel?U se rencontra encore des gens pur croire

que lejory ne rend pas nno Prime égala à lablottie et à l'habit, à l'ouvrier et au patron, aumettre et a crvile.,1 S'il eu était ainsi, 1,

mal serait ta emède, c ,ir trouver untribunal eapablo de juger oeobfvant un ph'rqunLabla mélange d fouine les conditiane etda tous les ér,l, de la vie? Maie, si l'on rrsaurait' ;pop gémir sur l'aveuglement de lafoule, comment qualidee les esperle imprudents

i ont donné l'essor à aes sentiments coupa-bles n parlant et ce agissa nt comme si la ,i.chesse

del'accusé était u embsrra, et uu

obstacle pour il bouseadministra

le la,justice t La Irxlne colle las classes a-t-clle étésu[fieawmeml évitée et c'fuulée par tous cqui v ont m n fie : jouer dm cette a (faire,pour' laisser anjamd'i,n à tout 1. mande ..econsoience tranquille? .

Prévosl-Pseadol.- 1, agimlion soulevée par le procès Ar-

naud eo.time à Mantpellior, et nous enregisaos presque chaque jour avensn profond sen-timent de regret, des moeffesmrioosquiali-meulent des passions populaires également dan-gereuses noue l'ordre public ut pour le respectdù aux décisions ldea justice.

Evidemmeut la usaleodietio. que l'opinim acru voir autre le verdict du jury et l'arrêt d,la cour d'Ail, est une des causes immédiatesde l'émotion qui s'est produira au sujet de mI roues, Entre doux aflirmatims ppelées, ettoulee deux considérables, le public a dù hé-siter, oondnmné à reconnaître, chose égale-ront fSclreuse! ou que les,(usés se saut tram.

pas ou qua c'est In cour.Om annonon'anisée àparis de M. Iligand,

premier président de la cour d'Aix, mandépour bar e à AI. le garde de, sceaux leséclairins -emerre que les mrcons.ancos récla-m

et=

IL en réaIlmra, nous l'espérons, la ounvic-liou q 'il y a quelque chose à faire dans notre16gisl La. pénale pour éviter, à l'avenir, desconfits de nasses à mPromettre, devant laoensotenca

publique,,o

ou l'mshtution du juryon l'autorité des magislram.

D n'y aurait, pour réaliser colin utile réfor.

oie sasrevenu aux

pile uipniodoptés par las

spI,, ailaibutiome dnqui I régla

pnlurbies des lions nom benrngoda p posées a

jeu ,, ilsutlirait de les diviser et de les l'ormu-

Tel fait est-il constant tUn tal est-il coupable pour avoir commis tel

fait recouru eonsmnt.Dans ce système, il r'y a évidemment us-nepossibilitéa.eue adictiunonlec le jury

qui prononce la verdict et la (cour qui prononce l'srrùt.

(France). J. Cohee,

- Injectant a prétendu que M. Jules FavreDurait lie l'objet de anilestations hostiles :r

son passage à Marseille, à Percussion de l'affaire

Armand.Cette nouvelle est singulièlemont exagérée,

es heuranx de le fdira, a deoasmter que lu liberté do la dblense a éL6 res-

pestdansrlla Public de Marseille, comme elle

La vdrit6 ass qua la présence da M. JulesFavre ;l Marseille ao.cité celte or rioeil6 quis' 4tacho toujours aux Iwrnmes o6lubres.

fion deL''lanceyup

a rr ovésrora a1 ceooa,ama-

p, sansau manifestation masç:nr

Uaillaura, M, Joies Favl e esest immédiate-ment parti pour Paris, et lapolice n'a pas euà intervenir.

(France). A. Denauld.M. Jules Favre s adressé à es sujet la leurs

suivante à la Patrie :Monsieur le rédacteur,

On me communiryne une note insérée dansvotre feuille d'hier, reproduisent, sur la foid'un ooreespoudont à la vieneim dur1uel vparaissez avoir assez pesa de amlil'ou, le ra-,ait d'une prétendue snàse de désordre dont lavil

de Marseille aurait été le théâtre, et maprésence après L'acquittement de AI. Armand

prétexte. 0. vans doris que ma via s étése en danger, et que j'ai dd mon salut à la

protection de la police. Je ne puis m'expliynerquel mobile a pu céder l'inventeur je cette

fable grossière.S ne re n serins réoe,u épeu c il nep p s'était

agi eue ae moi; Lars e, . d où mon -'onfrère etami hh

Lisbon

nne, oud'honorables

soici-

toyen coupables comma tri d'avoir fait -devoir, sont de violences et de

a.,mens-

es dont lapee"a'. de e cause ù tous les t, u

es tarosal.

o douloureux ét vou gr e

puiuis

miesea

r ccu&liter une nouvelllle quiper-

ettrmt de croira que pe tels aloès sont possf-blesailleurs gti'.r mnlpellior, oIl, je

callaus

pour l'honneur de mon pays, ils seront nuesexpliqués et réprimés. Arri vas il I. Ae illc, manmi, nlo Lauhmd et moi, avec 31. drmand te

sa famille, dans "aprèsmidi au jour.ù la courd'Ail a rseul sou arrêt, nous ÿ avons buuv/>an empressement sympathique suffisammerstmotivé pae l'émotion immense aueo lago-alleLiait accueillie duos toutes las classes 1g nulan-volla jaslifiwlion d'un iuaocant.

Les lémcignages de aes bons sentiments'out pas manqué :l ài. Arnaud tout-m?me, et

lapop

lotion de l'intelligente et S,inérousoc rpr da Slidi aura été aussi surprise qu'in-dignée en Banal la calomnia anonyme quo vo-ua ban sens et votre sapin de j'suica' M. leréducteur, avaient par avance déclarée ami.1 Bot sosecr m.

Je 0001lai bl in

pnsére, 6rlonsientse er le rédacteur, mou-reetiflcaliun, eait

t d'a-grlerl'hommagede mes scmfinemtslrès distin-guée.

.rouas revers.Ce lundi, h avril au soir.

Bibliographie.

I. Âx[aPn I.rTfliRAtR& ou o'-x"iooaO R !l I, .[p b I ( [" rtef 7 I nt ii rr',6' n j I f Il:,cl t. , t f,h'e,v I. n-t8 test dn

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r5 pneus. Prix, 3 f-r. à0 e. -Chnquc non, se vend sono n',runs-I,es déc.nveetes des scimcP,;, les progrès do

l'induslrie ont rle o os joes oilé cd'us su -os'l6 universelle. Cm!.e c

issitéest Iégdime,

var les sciences to,u essent pas culemu n,par leurs aller ca

i s

lons utiles, noirebion-A.tramatérias ille cuivra, em au lriomphc de la

suriz matière, elles sont un affranclris-.rament do l'esprit.

liais qu ue dir,ons-noss do l'esprit lui-mêmn,da eex ruvre, do ses luttes, de aes progrès 'Quel i tcsll légitime e sattloim Fas à sdesinées?f uele part leur passoire no doit-ee.

pae garder dans notre sympathie, dansmi,re

aflm4ive cnriositéPL'histoire da l'esprit, c'est In littérature

prisa, dans so acception la pins largo,ne l'étude d. ponts., lev pruductiuns fia-

lollucmelles d'ana époque, es d'une nation. Sis culons esourdtre l'esprit d'un pays, hae pv hysio le d'un siècle , Pren e su lit-iâri

atme; seo voulons cnalttte,notre

tomp.,l, nelee esprit national dons ses phasesctuc es prenons la littérature ennbemporaina.

C'est surtout dans la littérature qui il faut cherchar les signes rlu camps.

A ce titre, nous ne connaissons pas de I ,oui.pins intéressant que celoi que publie pé,riodi-,jaemenl, à 1, librairie llachaua' M, G- Vapescela, sous ce titre : lAnn%s li/Horaire et dra-matique, are lionne a os, lie des Ia'isscipaleoproductions de la lilliealurr. /ranceise.

Cette remarquable publication quisait lement général 'le In littéralsro comm,

l'Annie scienlè/fqun do M. L. Figuier soit celuide la ienoe et de l'iudnslri q sel mnivéo, avecL'loués 18A5, à sa. sixième volume, A mesuregriotte a,mce, elle acquiert plus d'importuneret d'mmrit6; silo prend lorcément place dansboums las bibliothignes; elle devient une Li-hliolLèquo elle-mfmo, Icnmt lieu dn hosucaupde livres et fo.rnissanL le eemmantaire oblig,de ceun qu'elle ne remplace pas.

Si la collection da l'Anne liltiraire et dnn-r ntique duvi'IL de je.' enjeu' plus préoiiorrs,,ehaon. des volumes que l'autour y ajr,rita, cet,pris sépaedment, un dos livres do 'menin lesplus intéressanLa de Poncée. Noirs h'eu voulonspour preusu que cc sixième volume, cousncréà In cavas liftéraire de d8G5

Oueo plaint boaé oq la senur d Inil.nécadence de antre

risqu ue.

. Çade

od'A'An-

mI le dv js' et 10 ique

mat luit le loctonr

tao de sgora0 qu'11

il y a de ai doue cc

mueatime. Sans professer un puéril optimisme,il ire croit pas que la via intclleetuelie s 6toignra,

d'année an ;umrue parmi nous; il la voit so dé-placer ou changce les modes de ses manifesta-tiens, tanin exlbrteuro ut plus brillante, ton-lot concenlyde et plus profonds. Ses détailla-

s out leur raison d'Aire eL la., iv-fluo

Gràs à la m. urv'er Jarga et élevée dont M.Vepreeaa cunsid'cre la liltémturo, nous embras-sous aveu lui teus les gouresi depuis les capei-cienses fantaisies au romancer et dn poùte jus.qu'aux

én osil.

peubolodies du philosopha, de.

Nous voyons lapoéstôdont le culte est moins


bbandonnéqu'on ne e croit inspirer iye es Jeunes cul l'..recueils de s'est ljos d'va 1 drage ou d' u sen r.rou

Le (roman, ans éque lev iléon üut,est t dn'Idnù5sois

es htteraere I I

Mont,Ed

About, et une fiel.. Occis sontour 9 tour

1,objeinca, se. fidèle, et ces,

le

po té I Ceplda e s 1fd ell 7 Q tt . 1f d,ut iIvre lot des suiol, q il tells t exph ;cor et

juger.Pour e eo re, ont la production était lied.

tôt, juagti soi P., le nonAal dl scénes ouvertesau publia, M. Vaperoau pouvait titre plue com-plet que poue les livras, dam le nombre est-ndéfini; il n voulu l'btr¢ entièrement, et ilnauiyau ou memimme, aaus rx option, toutesiee nouvenutéa d t l de lancée. Laplane qu'il don ] l' JuBaudra7 , te Ucmon du jeu, triurajoye, lesDiabtee mr. nlo. est peoportiumiée à

leur impartenuu au a !eue succès, L'influeliru,er et dramatique Ili l'histoire la plus

xocto et la plu i t I 1a maismu

leuart v n th69tre. t1. est

o11, e 61 \ 1 "cl 1.L II jd°1 Rouan (G6 If 2J ,néà'1 oulouse, r'1e'Noltamc a dd I t1. é41 e est, do tous les ' du Obpdt d v1. d -Iarts cultivés en I -e, lai qui, du consen } Sanlhan 00005,0 de), (J .Geai ge-Bnppolyt

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Sequin (Autoine-Martial.Auguste), 73 aprop, ué 9 Auvillaeu ('L-et-G), BoulevardSt-Aubin, il

Letonohe (Jeunot), 70 ans, née à Sojas(R: G.). vouvn Ortis, journalier, rue Saint-lli-chol, 42.

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également: ici, de br illantes étudesconsseeéu

acréesaux ®uvres ple p ov les de la latérature t dthéltra font le p 0's grand haro car's la ,ilique de l'auteur, la, le noail o

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