-Mon garçon, la maladie de ta mère s’est empirée. Il semble qu’elle ne s’en remettra pas....

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Je ne pouvais pas me séparer de son lit. Elle me disait de

très bonnes et douces choses,

Mon enfant, comme je serais heureuse si tu devenais prêtre. Ne le voudrais – tu pas ?

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quand ma mère était déjà morte, cela me revenait continuellement dans mes pensés.

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J’avais perdu ma mère de la terre.

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Et maintenant j’avais très envie de monter

à la montagne de Montserrat pour voir

la vierge qui est là bas

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Ce que je ne lui dis pas, c’est où j’allais partir.

J’écrivis à mon père pour que, en apprenant mon départ, il ne soit pas angoissé Ce que je ne lui dis pas, c’est où j’allais partir.

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A la fin, un beau jour, je me mis en route.

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Ce sont de très longs kilomètres. Vous ne vous

imaginez pas ! J’avais très faim et très soif et j’étais tout aussi

fatigué.

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Un pauvre mendiant s’approcha de moi pour me demander quelque chose. Mais moi, que pouvais-je lui donner?

?

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C’est alors que j’eus l’idée de lui donner mes vêtements.