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^ I •».. «*.- taiiorittSs fiai Moi 40W Port in Priiic», Hait. , DIRECTEUR PROPRIETAIRE Clément-MAGLOIRE tE NUMERO 20 CENTIMLo Quotidien REDACTION; Roe Américaine No, t:&8 TELEPHONE, 4S Mardi 1er Mars 1021 ijue les amb (eux so'dats,tribuns ou toi«, songent que s'il y a des séides pour La ser/ir et des adulateurs pour les excuse-, tandis qu'i's règoent.il y a aussi après eux une conscience publique pour les flétrir et une pitié pour les niïr I... Le bour- reau n'a qu'une heure ' la victime a Péter nité !.. * LAMARTINE —. ux Maîtres de l'heure jj ê ff-voua dor.c. a'écrisil u' rjruoftière, vous qui vous cor iicn-no. pour ainsi dire, ave Biioi même d'E ai, vous q« aidez à tous ha droits que vou Infusez? «Qui «'• faH comte?» jedait le premier des cape iem fne >ais plus quel Péiigo d o« , Montmorency. *Et toi, qui fi foi?* lui répondait le coratr AU ment, è es voua bi-în sur» _ royez l'Etalé A quel titra! "quel dioil? Vous êtes la force reconnaK je suis bien oblig< reconnaître, vous êtes le poi g tien U majorité ; vous m pss hier, voua ne le sur*. pas demain, vous étea l< ient,voua ê;es le ministère nétes pas la F<ance, vou pin l'EUt, car enfin vous oi je le suis comme vou- tqoe vous, an même tilre, me ^uié> Fiai.^H.s comiiu \oufl, i oumiasionel le dévouemei Bat duquel votre minis ère e gouvemt ruent .'écrouleraient ,Eat moderne, 1 état répuhli s'est rien de plua ni d autr .: collectivité de loue lea cito Le minorité en fait partie cou taijori é L'Etat n'eat rienqu dépasse, n» rien eur'out qt droita d au aura, d'une autr. ou dure autre origine qu- indust i<\ a l'ag'ieulture que voua avez ruinés- ir, ni le aouverain diepenaa nia l'administra eir seule droit ou de la liberté... llement, je dis à cette poi [de politiciens aana vergogne, ils meilres de ce pays, vissé* fer; i vous donc, voua qui vous t du droit de tout oser.' . vou» criflsz les intérêts les plue lea plua saciés du. peuple luis, vous qui régnez ' sans soi ce peuple,par l'arbitrai -il despotique* au gré de vos i, de vos fantaisies, vous qui d'antre aouci que d'évoluer initie à vous cramponner U Dogtemps à vo;re place et à traiemen'.,. è ea absolument indifférants 'ionol, à I au travail Voua a'*.z bifmé e Boulé a x Dieds le savoir, le mérite, le talent I intell ; gence même- Vous avez traqué et clnssé la I- berté le patriotisme, l'orgueil nat o naï, la justica, U vérité, la probi ê Voua avf z la ssé M convertir ei iéserte les terres réputées les plue fertiles du monde Voua avtza.mé Ieffroi, la confi- lion, le désesooir, et vous nous coi laiiui /. i assister à la lente agoni de nutr-' pttuvr-) pays épuisé p -r un lorg supplice. Pour arriver à ce te fin, vous av z, n de ix fois, disnoua la reprétei tation national". Voua noss a\ez i<npo(é une Constitution iuf;Vne. Vous avrz bouleversé de fond ^n comble toutes les institutions Vous avez fait table rase de tou :e qui tu s: ail. VOJS révez mêmt d'anéantir notre bistoire- Il ne voue reste plus une faate à commettre* Ne pouvant d un seul cojp, écr- ier complètement la nation, vou travailli z maintenant I ce qu-, pe« 4 peu, dans l'intervalle q ii nous eé pare du 15 Mai 19<>2 ( par votre seule présence au Pêuvoir, ses fo ces dej* si reluîtes, a'émie tent, t'annihilent lévorées entièrement par la faim et par la misère. Vous vous êtes dit que dana une résista CJ lo gera.s consentem*rn. Iru'eatni h soutenue conirs de. chance, désee pérémeot inégales, les coeurs tiers ( t obs'inéa finiront par défaillir... Dd qut h sacrifices, de quelles so-jffrsn c*t»en effet,de quelle vo ootéfertueei couiinue, ce te réais ance «a. fait?!.. Un si long uisrlyr«Btau-d.8auB des forces humaines!'). Tout an savourant les d lices d'une vie opulente e*. somptueu.e s' ulati'bruialeuieut.iosoitruimeut.vous vou* donnez le plaisir de voir sai gner et de joie aoif du aang- La Débauche et h Mort sont deux aimable/ file t a dit le poète. peuple ii i Le Malin 2 Mars Cap—Baïiïea ABONNEMENT « Du Petit Capois » Un rn.tin da mo s d? Novembi 19i<y — le jour où Haitt fêtait avec les Al iés américains et. les autres la victoire de la Liberté — un citoyen haïtien, deieaieui d'un permis de la 4«""dumerie d lia h pour le port i'p • revolver, fut, i la f q ê e de li {en iirmene i Haiti, condimné par 1 « cour prévo'aie «ux Iriviui tircés et revêtit la casaque Uu fo ç t pou JOU illégal de ce révolwr. Ces jours deiniers.uu mjlheu eux citoyen, IL'II outré au cours de la mu dans la rue, eut le rsyge la- bomé par d s marines sous le p é teite qu'il était porteur d'un po gaard — qui n'a pas été rep ésenté. D'après la Conven'ioa, la geadar -ne rie d Haïti sous la direction du gou vernement haitien. a la surveillance et le contrôle des armes et munitions» — lifz • armes à feu. Laiêté présidentiel Ju ; dé.em bre iyi6 dtt . Ait 1-Ii est défend i fout in- lividu hibitant le teiritaire de lt G. Ci. 2.00 a,50 ; 00 PAR MOIS PORT AO-PRINCE Du PAR n:\tKs r ETRANGER Les annonces sont reçue* su Comi (oirs International de PabMciM 0. Rua TroOChet, Paris et Ifl, 9i ( 23, Ludgate, llill, Londrea 1) i- ne/ demain ce que vous vou- , 1 z. ce que vous pouvez aux prison i nés déléguées par LA RENAISSANCE pour recueillir les «ouciptions en fiveurde la population. ' ! > drs co' frér es qu il maintienl sur un ho i pied 1 ° les catéchiitea voh n jtauea. -' -1.'- l'eft'-s 109 an des Pau- vres, ou assistance aux pauvres, aux niai.'-', aux familles honteuses et ianx prisonniers, l 3 l'h*ole des ha (ans pauvres où i-s petit?, les pieda |OHS et moles ement ve ut», vout an» pren ire A U.e e' à prier- Il n'a pas propos de civilhés tt croyance dt siuva^es. se— et en vertu de Part, 259 de pcual. Aox termes du 2e al. de ce t celui aui est trouvé der du, encore mehs de le faire con damner aux t avaux forcés par la cou' prévota!e N.ius autres « sauvées et canni- biles », nous pensions nue la Civrlr-rg»^" ^JM •«» ^oie. congiegauu- » . • a • j. L J i .i-._» ii*Si ues bo3J s de lii b»u sse et d» a sation Maidai d .bord dans le «^ifgkm de l'lnstruct.00 iSStSf-, peci de la per-onne humane et des , 8lJ école- |a , iea 0Q , on u ± l>i . du droit et d; la pas ice. Il fiut. aug j rtoetrocilOO ie igieuse A &»• déchanter Depuis un ôt six ans, on J C uce d 1 ces ins itutiona, il a adrae é nous a lait co npreodre que c'est j un m jt d encouragement et de cçru pliiii-nt- Monseigneur h lion,comme on s'y a tendait, ne pouvait terminer Sa "onf-èrence sans aborder la queatuii na tonale, si palpitante d'intéré. à l'heuie acualle. Après avoir rapptlé iqaelques faits h stonques qui 01.t [précelé la siguaiure du concordai, il en eat arrivé S évoquer notre patae a passé d hier où tambours et clai- roue, salvea d'artillerif, ^outaieut à la magnilbence dea. rina „ * -es nos Fôla-Diou. Ce «J ri0,iM <\\ pecltt^ porté "' étfS iUWfcr que. ^wigré rfoa faaies.rttitr, eat toujours resté, comme elle l'a été dana tout lea temps, un paya foncièrement chrétien ; don il a CJUCIU que D£n 98i avec iijua, qu II fera pencher U balauce d j notre coté, en changeant notre soi tec un son meilleur. L'ilg'iS) était combla,et il n'y aval pas seu « 1 e t que de* catholiques. Arrivée de Mgr Pichon De noire correspondant Piimnche dernier M L'animadVÊTcion du . tien contre le g»and peupla amén- luumn „. v „ cain au milieu duquel /'«i é ô élevé situation où noua soin et que j'-i dea **£fffî'Sj L plongés, «iuation que vous rer, cest vous qu ••*</ créée.iqui " -A - voua mômes par votre l'av z nourrie et ^'Opagee par VOT- ^ .otrî.ncurTat votre m.u duplicité, votre. ;bene Vot« bou Moi. Vous vouicroiaiz lea bras cbe wu"^"^. ! ^îud,si.z ouï à r-enant, vous fermez Isa oreillea voua exalta Jt maud ss z our à il lai H, * crier Voua êtes f«t tûiitJÉBite' euUûD smé-icaine, sel n is" r'Sâs^"nôuVlïa.^pô/ir^leïSS^ W"J J-"! îffi Ihina et l'intérêt primant tout préseryé Ujpuia An. lbio à laide •entimant chezious- vous de Ir^ae eu branle d un réseau de u »é hardies et subtiles, vois a^yez ^gé ce aystô ne de gouvoroeinfLi u c msis.e h pousser tour à oui l République Haroir enM possession p iininche dernier ,3 fevrieiV & ,we arm a K s'il n-ettmnn; d une- f^ aûmr Monseigneur Pichon.^ hcîuceoursrh^y eit^spécralement qu6 de» Cayei. eaFarrlvé Ici, eolonV sutonsé. née pastorale- Il a été l'obj >t d un- Art. 10— Sera confisquée toute arm- belle manifestation de la part de I. qji se t ouvera en la possession d pop dation. S ir toat son parcours personnes qui o'auraieat pas obte u if à maisons étaient fieuihs tt déco 1. licence. rôes.Vl dgrô l'inqi'iétude qui pose su Cet attelé a é é piis en ex'cution P^eime tous le* coo jra„la v le avat de l'art. X do t'ait* < u , visé impo- ro P rH 0 ^»* M " n certain air de fô'e. du co- Au P 0 ' 1811 lti ** g'» lra t Communal Monsieur Gorges Litain*d-,| pa 'un discours très approprié IJI a sou hait S la bienvenue. mourir le peu k h.'L'appé .t me/ « t celui qui est trouvé ror 1 u m l'apréa-mili.le dislingié pié cootrebdlance loiqoire iajuur d armes prohibées par la loi oui Ut a é é conduit en procession,à PE I pir des règlements o'adm n tral on glise où'e llévéreud Père Fomjiei,! pub que n est p s -1 b • e que d'u^e|curéde noire paro sse, la reçu avec am nie de .se ze à quarante huit tous les ho-ineurs qui lui SOJI du-. gouiddis. | ^ piédide t du Conseil de Djnc Us marnes pas plus que les. Fib "l ue et ceu de * diverses g 1 d .;me>, n oat le doit de l.to ire 1: vuag^ de l'mdiv du por eu d un sulet ou d'emp ;i n e cet n i i de létro- tndez que peicevfJsVfO» indem le conscience rat tnue.ie Jwqn'M lôlJai I92i et SRf" [P**têtr ehlimKall1elli ;jeu-voua voua croyez de ruine et de mort, sachez que v ire acte d accusation est dresse dins (ou es les consciences- Il n'est pas permis à eus qui gouvernent d - a'aff auchir ai im^uuement de leur» solennelles responsabilités- S abriter derrière uu fiiaceaide bjyonnet.et étrangères pour perpétuer une si tf et 1 aiuen { °y ilj H detreste publique, c'est eu :caiu coutre le peuple et eu ce double meuia temps qu uue là^he^é, uo cri •'jeu-voua voua croyez très raa'ins'rae atroce enve a la N bon. Dj toi konfienes ont eu à lui prooouc*-- dis li-cons de bienve me auxquels Monseigneur a répondu avec em( - tion et eu des termes très t)ucbantn ^Monseigneur P.chon n tst pas resté longtemps à Jérémie ; à p-ine un« huiuiue de jours peu tant las.|u- Is 1 est allé viMier les trois autr. a paro ses avciiiuautes . c-l'es de Nj on, des Ujseaux et derAbrico s ou il H donné la conli mi'ion & de gnom breux enfants et a <| lelq^is aJuIttj en retard. Hier aéé le tour de' la piroiss de ce te ville . il y aSaaa»ûu peu p'n que * >o eotants à recevoir la conli mation à midi, au milieu d'une uou beuse escoite, Mgr Piclun est re quelque.- naii tojs ceux q 1, en ces h uns tro blautea que i.ous iraveraoo», avai nt Lesou d'entendre une paro. le de foi, un mot d espérance. Nom rem-ici ne aincèrement Sa Grande r Moojeg-.eu. Pichon de 'a boa e i.-i'e qu il a I ite à notre Ville •i e ont* nos vie x l'accoinpagneu d n 1 jccomplissem ni da au tâcha évar gé qu-. Jérémie. le 21 février 1021 J. PAGK - m*?SZi£!b* So-ipuTsquir doiT voVs'Vondûire-tôuIta. part, montentdes cris cl.ad.gna ^^^J^c^ et '•uns nue rln^EKini doacement au 15 Mai UW9... \^n, dea hoqueta de d g u contre jï u treï P ointad«.eon diucé e à» u doi ! trouver V mre Sa*» «M E *» lùi veu8 ' le dé,u « e - iel,a »*h *£ l JÎ?X^ *^ visiter.' avant .de rentrer aux *"'*- •- "— — —» -votre conviction, lié bien non! Su 15 Hui iu-K mais vo ull z et voua->' urpz pour!Quelles que soient la définition et U •ucune énoauj/* 1 d * 08 aujtoime du gouvernemen. saedez qie • dis gouvtr/ Qts u'ont été Ile Droit, c'est ce qui lui demeuie ou •testés que v^ 8, 1 oui temps e partout, aniéneur et •CouvenU^ de. 1915, voua supérieur- Le Droit, c'est ce qu'il éflé un u»- de petitea conven u'a paafait, mais ce qui la fait 1 1 votre odieux régiia* «..».»*-•«' «" aussi visiter. „ n -n „ ,,„»«, a, neraou voua aurez à reudre compte Cavaa Av . nt da ' nniii«p «t r ira sous le mz 1 impudeur et l'abo mination de votre affreuse politique D j tirrib.es lend mains et de redou Isoles revanches (dateront conire voue, un jour ou I autre, soyez en •es dix*«. plua outrageâmes 0* Mar autres. D ns le but *'' otr e dominst 00 sur ce t ?* m '»érable, ignorante af ' oéchue, voue voua êtes TO Shï u^' jeUU • la lulù,le _••> y bibneuard. en acceptai! 11 r « S 10u v„to, toutes le *• kl mesuiea d mteié. gi- N constituant avec un si JE, cyoïsuie. lea iuBtru an^îfc maximum, vou> ire au commerce DS même!.. Le D.oi , ce n est loi, mais au coutiairc c'eS décide de l'injustice OJ de 1 •e la loi. Lu gouvernement n'eu est que le premier serviteur. Il nei' gouvernement que pour ceia : sou rue o'est que ue conformer la loi aux injonctions éter—tles du Droit G-a'e.-i V9tiu de ces principe* éternel! que tout sa paye, que tou doit se payer Si la g anue ItÇjn dd choi.'B de cette véri é :ncjnteat>b.e .'«.tout pou,t, qua.it a H reaeut, vos àm s aatifcf des, si rien ne peut voua juiuêçhsr da continuer vjtre aaavrj parole à ses oanles d'uue façon ofli cibiie. Samedi soir, en effet. 1, leur e prouoncé nne magistiale c JU terence qui a roulé en partie »ur le compte rendu de la paroisse que lui '**' ' ' 7 1 ^ ...„.A -uiuine ieuju us la paroisse uue lui ' — wn 1 pea la sùra. Lei piinc pea outtagéiise ven a fai r 80Q v.cane général^ le, Herï'* ^ 1 ce qui gsitio eu tard et les événements ^ 0U(|neti Durant uue henre. la Ter u! rat.ur le I équité «OU. plus forts que la volonté de. , aw » 8tauce 800S le cUar ^ e l l« > g»'" Ail PJ- Uimin S . . VftlV iwrillail va. m'i I nn sonioii »«a ..J -• » _ De notre Corétpcniam ^ Essayons de chrorqutr. Autietois il nous était d facile Je.la kC<ire; et il ne nous manqunt pis ce- pendant desajets. - :i ulement pour î^e pas être signalé par / Intérieur à U Jour t révoiaie. I oi se gardait. Car autrefois l Intérieur désignait à l'ami ricaia qu un chroniqueur était soit caco, sou tuberculeux, or, le triste sort Je notre infortuné patriote Fish était justement réservé à tout chroniqueur visant la bande Durtiguenavienne qii se cramponne au Pouvoir, raalqre tout. — Cette semaine le Rassemblement Pôre'^ liions est aanoacé, notre li 1 1 tté jouroaiiste, l'écrivain impec h ,.,,,,, qu'est no'-e etiméT-Tôm h °aT Si e. donc ces paro'es célèbres .Tio?tT.ouîne°d-uïï , Sn"îc5ôTi. , K , "?' llilt , t ' C V0,B - aie SU fi " D, dc$ de Lamaniae: .Q&e les ambitieux, rlrm^et' éSs'e" Ce JSTSi^ffïîî^a«J! A ïî 1 ^ de ,- apidate tribune ou rois, songent que ft , a gujet de , Adm nj|lra , i01 l {* : ffj* q« comprendront ce que par s'il y a de. séides pour le. servir et p, r01i „ Ml t0 , t à , gj l .^^ 1 « veut dire dra a -uliteurs pour iei «r.cuser, de Jeremi |e p ^ F - Qjel ben pa yi qu'.st 'e nôtre f «/1. «eu*. » 1 «t.nù.41... pîch^!a!->ué,„ qu'à Jérémie. ue aont, en Tnos A- VILMEN VY if»?-s ea Cvtte v.iie. ?* •» » nn b'.t.u-, jouant dire di MJ tSvi^.ieur'de ciaq ainsi compose ; uo petit ma n? ne se 1euc01.trentjr.ag: quatrième et une folle, tahn de dehorai pou voit çojtm/jcr i habiier notre (MUTILATfO
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Mardi 1er Mars 1021
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rjruoftière, vous qui vous cor iicn-no. pour ainsi dire, ave Biioi même d'E ai, vous q«
aidez à tous ha droits que vou Infusez? «Qui «'• faH comte?» jedait le premier des cape iem fne >ais plus quel Péiigo d o«
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"quel dioil? Vous êtes la force reconnaK je suis bien oblig< reconnaître, vous êtes le poi
g tien U majorité ; vous m pss hier, voua ne le sur*. pas demain, vous étea l< ient,voua ê;es le ministère nétes pas la Fb.e .'«.tout pou,t, qua.it a Hreaeut, vos
àm s aatifcf des, si rien ne peut voua juiuêçhsr da continuer vjtre aaavrj
parole à ses oanles d'uue façon ofli cibiie. Samedi soir, en effet. 1, leur e prouoncé nne magistiale c JU terence qui a roulé en partie »ur le compte rendu de la paroisse que lui '**' ' ' 7 1 ^ ...„.A™ -uiuine ieuju us la paroisse uue lui ' — wn1
pea la sùra. Lei piinc pea outtagéiise ven afair80Q v.cane général^ le, Herï'* ^ 1 ce qui gsitio eu tard et les événements ^0U(|neti Durant uue henre. la Ter u! rat.ur le I équité «OU. plus forts que la volonté de. , aw»8tauce 800S le cUar^e
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De notre Corétpcniam ^
Essayons de chrorqutr. Autietois il nous était d facile Je.la
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