Sur cette image de couverture de partition de la marche musicale, fin des années 1870, on remarque...

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Sur cette image de couverture de partition de la

marche musicale, fin des années 1870,

on remarque le «trouv’lê» emenant le cortège

On remarque également d’autres déguisements traditionnels dont les ancêtres du long-bras, «longuès –brèsses» en

wallon et le «hape-tchâr» dont on reparlera un peu

plus loin

Le «Trouv’lê»

En fait le costumé porte le nom de son attribut.

Le «trouv’lê» est la pelle de brasseur qu’il tient en

main et qui le personnifie.

C’est plus que probablement le capitaine de la société de jeunesse e la ville, organisatrice du «Cwarmê» autrefois qui portait ce costume d’un

rouge flamboyant.

Le «Trouv’lê»En fait le costumé porte le

nom de son attribut.

Le «trouv’lê» est la pelle de brasseur qu’il tient en

main et qui le personnifie.

C’est plus que probablement le capitaine de la société de jeunesse e la ville, organisatrice du «Cwarmê» autrefois qui portait ce costume d’un

rouge flanboyant.

Entourant le «Trouv’lê», depuis les années 1960 deux personnages traditionnels.

La grosse police, un peu époque «révolution

française» qui annonce le carnaval

La «djoupsène» qui veut dire « égyptienne », l’ancien nom des gitans ou bohémiens. Les bras sous le costume parce que ce masque fut interdit, vu ses abus, il y a deux siècles.

A l’affût des détails, sur

cette ancienne représentation du «Cwarmê»

Notre fouille nous permet

encore une fois de faire

l’historique des masques

traditionnels malmédiens

A l’affût des détails, sur

cette ancienne représentation du «Cwarmê»

Notre fouille nous permet

encore une fois de faire

l’historique des masques

traditionnels malmédiens

A l’affût des détails, sur

cette ancienne représentation du «Cwarmê»

Notre fouille nous permet

encore une fois de faire

l’historique des masques

traditionnels malmédiens

A l’affût des détails, sur

cette ancienne représentation du «Cwarmê»

Notre fouille nous permet

encore une fois de faire

l’historique des masques

traditionnels malmédiens

A l’affût des détails, sur

cette ancienne représentation du «Cwarmê»

Notre fouille nous permet

encore une fois de faire

l’historique des masques

traditionnels malmédiens

Vers 1880-1890

le «hape-tchâr» était un masque

cité à part dans les commentaires du

journal local«La Semaine»

Le masque va évoluer et toujours s’embellir

Le masque va évoluer et toujours s’embellir

Si vers 1880-1890 le «hape-tchâr» était un masque à part entière

La «haguète» est devenu aujourd’hui le masque le plus réputé

Le «hape-tchâr» = «prendre la viande», est une allusion aux jours gras, précédant le carême (les jours maigres)

Les «Xhaguettes» sont renseignées avec leurs «ramons» (balais), pas le hape-tchâr,

dans l’hebdomadaire local en 18571857. (témoignage attribué à Marie-Anne Libert).

La «savadje haguette» & la «Mareye-drousse»

décrite par Henri Bragard en 18991899

Cette «savadje haguette» est aussi

armée d’un balai pour poursuivre la

représentation des vieilles femmes

médisants la jeunesse.

Jeunesse qui jusque vers le milieu des

années 1800 organisait le carnaval

Ce costume de haguète est devenu très prestigieux et coûteux (1 plume d’autruche colorée coûte plus de 25 € et ne résiste pas à la

pluie)

Ce costume de haguète est devenu très prestigieux et coûteux(1 plume d’autruche colorée coûte plus de 25 € et ne résiste pas à la

pluie)L’aigle bicéphale de

l’empire romain germanique est aujourd’hui en

paillette, autrefois simplement dessiné