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276 DBIB
Prc4et de parc éolien Maaeif de Sud
6211-24023
Les éoliennes et les oiseaux
Revue de la documentation pour les évaluationsenvironnementales
VERSION PROVISOIRE DU 2 AVRIL 2007
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Les éoliennes et les oiseaux
Revue de la documentation pour les évaluationsenvironnementales
Préparé par
Andrea Kingsley et Becky WhittamÉtudes d’Oiseaux Canada
le 2 avril 2007
pour
Environnement CanadalService canadien de la faune351, boul. Saint-Joseph • Gatineau (Québec)
Téléphone: 819997-1095 • Télécopieur: 819997-2756Courriel: cws-scfec.gc.ca
Le présent document sera révisé et mis à jour au besoin. Afm de vous assurer que vous avez la
version la plus récente, veuillez consulter notre site Internet à l’adresse http:llwww.cwsLes documents daccompagnement. Les éoliennes et
les otseaux: Document il ‘orientation sur les él’Ldualions environnementales et Protocoles
recommandéspour la surveillance des impacts des éoliennes sur les oiseaux sont également enligne sur ce site Internet.
Pour obtenir de plus amples renseignements, prière de communiquer avecHnvironnement Canada/Service canadien de la faune
Service canadien de la fauneiCanadian Wildlilè ServiceEnvironnement Canada/Environment Canada
Couniel : cws-scP)ec.gc.caTéléphone : 819997-1095Télécopieur: 819997-2756
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1. Résumé
i.e présent document donne les résultats d’une res tac & la documentation approfondie sur lesinteractions entre les éoliennes et le. oiseaux partout dans le monde. Preparé à titre de documentd’accompagnement. il a sen i de tbndement au document ponant sur l’é aluation en ironnementaled I’n ironnement Canada intitulé I n énhiennt’s t’, les oiwaux . Ikieumeni t! ifl’ÎcflicIiIOhl ‘air lesêvaluutioas ent’ironneme,;tale.s.
l.a revue de la documentation a pennis de distinguer deti principaux types d’effins étentuels descouennes sur les Oiseau\ : les risques de collision et les effets les perturbations. Ce documentprésente ces deux types d’elkts. l.a recherche réièle également que les mortalités éleées chei lesehau’ es-souris peuient être causées par des éoliennes, mais ce document ne traite pas expressémentd’une telle incidence.
1k par le monde, on a exploite le ‘ent aec succes pour produire de l’electricite. ce qui estgénéralement consideré comme un moyen écologique et ‘Jable & production d’énergie. 1 outefois.les effets possibles des eolienncs sur les populations d’oiseaux ont suscite des préoccupations. Cespréoccupations ont commencé à être exprimées durant les années 1980. lorsqu’on a décou’en qu’ungrand nombre de rapaces entraient en collision a ec des éoliennes et des lignes de transportd’énergie qui leur sont associées dans deux parc éoliens précis en (.‘alifornic. I es collisions entredes rapaces et des éoliennes à I arifa. en 1 spagne, ont suscité des préoccupations supplementaires.Alors que ces collisions étaient attribuables à une combinaison unique de facteurs locaux dans cesrégions. elles démontrent qu’il exisle des possibilités d’effets négatifs provoqués par des collisionsdirectes et corroborent la nécessité de mieux comprendre les interactions entre les éoliennes et lesoiseaux.
Des études ultérieures menées partout dans le monde laissent penser que. malgré quelquesexceptions importantes, il y a très peu de morts d’oiseaux aux installations éoliennes. I.e choixapproprié de l’emplacement semble être le facteur primordial à prendre en compte si l’on ‘eutpré’ enir les incidences négatiies des éoliennes sur les oiseaux. la mortalité attribuable à cesinstallations qui a été obsenée est également tres faible par comparaison an ec d’autres sources demortalité an iaire causée par les humains. Les critiques soutiennent toutefois qu’on a sous-estimé lamortalite en raison des difficultés inhérentes à trouer les carcasses, particulièrement celles despetits oiseaux. au en irons des eoliennes. De plus. môme un nombre relatiiement petit de mortspar éolienne peut avoir de grandes incidences sur les populations si un parc possede un grandnombre d’éoliennes.
I es rapaces sont sous ent considérés comme les oiseau les plus menaces par les installationseoliennes. esserniellement en raison des accidents mortels qui se produisent encore en ( alifornie eta I aria col spagne. Dans presque tous les endroits. ces oiseaux peux ent toutefois e’ iter leseoliennes. de sorte que les colli.ions sont rares ou inexistantes. I n nombre de facteurs precis ontcpliquc la mortalite des rapaces ohsenee en L alilniie. dont la densite e’ccptaonnelle de lapopulalion dc lupaces. la topographie t peut-être la technologie colicnnc désucte
In \naerique du \ord. ce sont le plus soucnt les oieau chanteurs qui entrent en collision aeedes eohennes. Souent. ces collisions se produitaient la nuit pendant les mimations. bien qu’il) enait également durant le jour. Des facteurs comme la topographe, le balisage lumineux deséoliennes, leur hauteur, la présence de haubans. les conditions metéorologiques et le nombre :d’nis’ri •« m’r’tn ‘e ‘Jép’açan’ ‘lin’ une réginn pe’i’ ‘ ;rn’er ur I; nnmhr. j.’ .“nllL$end’oiseaux migrateurs obsené à un endroit donné.
1
I ‘eflet négatif le plus important des installations éoliennes sur les oiseaux est la perturbation des
oiseaux pendant les périodes de reproduction et d’hivernage, bien que ce problème ait souleé peu
d’attention. I.a perturbation est une prcoccupation particulièrement importante dans l’habitat des
prairies ou se reproduisent certaines especes d’oiseaux sensibles et dans les iones e’tracôtières qui
représentent d’importantes aires d’alimentation ou couloirs de migration
I)epuis quelques années. l’intérêt suscité par les installations éoliennes extracôtières augmente. Bien
qu’aucune installation n’ait tic construite encore en Amerique du Nord. l’l..urope en posède
plusieurs. Il a été difficile d’évaluer la mortalite dans ces secteurs extracôtiers. car les ictime% sont
perdues dans l’eau. (.‘enaines espèces semblent toutefois é’ iter les éoliennes etracôtières. et les
chapelets d’éoliennes peuient faire obstacle à leurs déplacements. Par ailleurs, la présence de parcs
éoliens extracôtiers peut éloigner les oiseaux des aires de recherche de nourriture Il y a encore
beaucoup à apprendre concernant les effets des installations éoliennnes extracôtières sur les
populations d’oiseau.
l’nfin. alors qu’un nombre considérable de recherches ont été menées. relati ement peu de
programmes de recherche globale ont été publiés dans des re tics évaluées par les pairs. et
relathement peu d’études ont été menées au Canada. I)eplus. nos connaissances comportent encore
de nombreuses lacunes, particulièrement en ce qui concerne les migrations d’oiseaux, le balisage
lumineux des éoliennes et les incidences eventuelles des constructions d’éoliennes extracôtières.
Le secteur & l’énergie éolienne au Canada en est à ses premiers balbutiements. On s’attend à une
brusque augmentation du nombre d’installations éoliennes et du nombre global d’éoliennes au cours
des prochaines années. Bien que cette situation risque d’augmenter les effets cumulatifs sur les
oiseaux. elle permettra également de faire en sorte que les constructions d’éoliennes s’effectuent de
manière à réduire le plus possible les eflèts négatits sur les oiseaux par le truchement de recherches
continues et de choix consciencieux de l’emplacement.
4
1 ABLE 1)ES MAl 1ÈRESI l%TRODLCTION 6
1.1 OBJI I.
2. CON TEX1 E .n..n.. ...nn.nn.......nn.n.e
2.1 Li%f R6lI VI Rit—
2.2 I 1 %i.fl1) I ITLSVIRO%\I MI % I C %AI)A 82 LOIS. P01 PIIQIL’ II I\1fl:1IVl S S
3. INFOR%IAIIO% EXISTANTE SUR LFS flTER4CIIO% EN1RI. LYSOISEAL X ET IFSÉOLIEIb%N
ES................. ...... ....... ....... ....... ....n.................._..n._.......n_.......... ... ... ......... 103.! RISL%11 I”3.2 KIl iSl$ki MI\IISDF%I(;II1\%IS 121.2.1 0151M X QL4IIQIIS 123.2.’ SkI t 461M
.. Il3.2.3 0151 U X DI. Rit AGI 143.2.4 RAPACI S DIL:RNLs 153.2.5 CHOLI 111% (1 IIIBOL \ I3.2.6 0151M X 1LRRLSIRIS 17
3. COMMENT LES OISEAL.X SONT FOIS HÉ’, AL COL RS DE L’ANNÉE...................................... -- 194.1 01Sf Al ( RFPROI)LtIfl RÇ 194.2 01SfAI X I N MIGRAi 10% 204.3 01Sf ti F N IIIVLRN AGI 25
5. FACTEURS POl’% 4NT CONTRIBUER AL INC’IDFNCFS SURI1FSOISEAIJX..........n........n.nn..rn...n...255.1 ENVLRG(RI DUS INSTALI.AIIO%S 101 If’NLS 255.2 DEMI NSK)NS IMS i0I’RS II COMI PIlON DES I.OLIItNNES r5.3 BALISA(iI 1IMINEI’X DLSI.0III.NNFS 285.4 VITFSSI DI ROIAIIONDISPAIES II5.5 MORI %I.liI (‘At’Sf I PAR DIS [11.5 125.6 (ONI ICI RAI ION DLS INSIALI ArlOS 135.7 CONSIRUCIION DES INSFALI.AIIONS 145.8 ENPLOIItIIONI I INIRI 1IfNDlSI%SIALLA1I0NS 145.9 CONSIDI RAtiONS MITL ORGE OGIQI 1 S 155)0 CARAC IIRISIIQI ISPHSIQI ISDL PAYSAGI 16
6. ANALYSE DES L kUNES DANS LES (ON%AISSANCES .... 36
-. INFORMATION %LR LE (ANADA... n nn nnt - n n
8. REMERC II’ ‘1F N ES .............................................................._._..._ .................... 319. RFEREM Es LI DOn MflIS CO’%SIl its ......... ...._ ....... ....... ... ...... -
4%NEXI. RE%SEIGNE1LNIS DÉT tILLÉS SI R LES COLLISIONS IYOI%IAL X flEC DIS IOI.IENNLSDE PAR FOL T Dt%S LE 1ON1)F - 611
5
I IntroductionI e changement climatique est une grave menace mondiale à l’environnement. compris a la
biodiersité et a la santé humaine. Le gou\ernement du Canada a ratifie le Protocole de Koto en
2n et a recemment publié son plan de (H)5 sur les changements climatiques. 111e, de / Rai7I
pou) canin r /es t’ha,iements climatiques ( n plan pour honorer noire cngolgenlcn( dL’ O(O. ne
de ses caractéristiques importantes est la promotion de Lénergie renouselahle, dont l’énergie
éolienne.
I e secteur de I’energie éolienne au Canada en est encore a ses premiers balbutiements. mais il est
és ident qu’il se dirige sers une expansion et une erois’ancc rapides. Il s’agit d’un moulent opportun
pour làire en sorte que la croissance de l’industrie n’entraine pas d’incidences sur d’autres secteurs
de l’enironnement. In particulier, les effets négatifs possibles sur lcs oiseaux et les chauses-souris
suscitent des préoccupations a la suite de cas surs enus en (‘alifornie s ers la lin des années 1 9$()
lorsquon aait trous é beaucoup d’oiseaux de proie et certaines espeees d’oiseaux en péril morts à
la suite de collisions asee des éoliennes et des lignes de transport d’énergie qui leur sont associées.
\lors que de tels cas prous eut clairement qui! a des risques d’effets négatifs sur les oiseaux. il
existe des installations éoliennes qui donnent des résultats satisfaisants partout dans le monde.
notamment des installations éoliennes Cil :\frique en Asie. en Europe. Cil :\ustralie, en Amérique du
Sud. aux Ftats—Vnis et au Canada. Le défi porte sur la détermination des caractéristiques.
spécitiques rL1l\ ironnement ou a la technologie, qui augmentent les risques pour les oiseaux, de
façon à és iter ou à réduire au minimum les effets negatif’s.
,\sec cet objectif en tête, ltudes d’Oiseaux Canada a entrepris une analyse de la documentation et
de la recherche existantes. y compris des rapports inedits et des articles é\ alués par les pairs.
Rien qu’un grand nombre d’études aient été menées, relatis ement peu d’entre elles étaient des
études scientifiques approfôndies soumises à la rigueur d’une évaluation par les pairs à des fins de
publication dans des un ues scientifiques. (‘ertains résultats sont contradictoires et. dans bien des
cas. il a des lacunes quant à la disponibilité des renseignements dc hase sur les oiseaux migrateurs
et a notre compréhension des interactions complexes entre les éoliennes et les oiseaux. La majeure
partie des données empiriques relatixes aux effets des installations éoliennes sur les oiseaux
pros ient des recherches eflèctuées aux [‘tais-Lnis et en Europe. Les iras aux menés aux l’tats-I ms
consistaient dans la plupart des cas à ésaluer et à documenter les collisions d’oiseaux asec des
éoliennes, tandis que les recherches en l’urope étaient das antage axées sur les eflèts indirects.
comme les perturbations. Relatis cillent peu de données sont disponibles pour le Canada.
on a obserx e dcu\ t\ pes é effets tondamcntau\ li les cas de mortaliies directes ou de blessures a
la suite Je collisions et 2> la perturbation d’oiseaux et Ics pertes d’habitats. I)ans la plupart des cas.
ls morts accidentelles directes semblent asse! rares, mais les rectifications relatiscs a l’efficaeite dc
l’ohscrs ateui et au taux de lecupération des carcasses ne sont pas toujours apportees. \\ cc la
cioissal ce de l’industrie, les risques des eflèts cumulatif causes par une mortalite directe et des
perwrhations en raison d’une perte d’habitat augmentent egalement.
les renseignements contenus Jans le preselit document ont etc e\aminés par des seiefltiliLlues
«I us ironnement C anada, Ces renseignements sont le fondement permettant dc detcrminer les
C\igCllees eeiiérales conçernani l’e’ aluaiion du risque des etts ens ironnementau\ sur les oiseaux
attribuables u des projets de pares éoliens dans le eonte\le des évaluations eus ironnememales. 1 a
meilleure information disponible a sers i a déterminer quelles caracteristiques d’un milieu pous aient
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comporter des risques plus grands pour les oiseaux. On a déterminé les exigences en matière derenseignements pour les sites présentant di ers ni veaux de sensibilité. ( )n trouve les lignesdjrectrjcs sur les C\ aluations environnementales dans le document intitulé Le.s co/ielzncs et !( s
• J)oeurn ni / orientation sur les évaluations en’in)nnementales, en ligne sur le sjtesswscss-sccc,gc.cappIications index.cim lanu t. I e present resume de recherche est undocument d’accompagnement des lignes directrices des cx aluations ens ironnemeniales. I es deuxdocuments seront mis â jour au besoin atin de tenir compte des nous eaux renseignements obtenusgrâce â la recherche continue et au suis i des ès aluations environnementales.
1.1 ObjetI e présent document s ise i fturnir une suc d’ensemble de l’information disponible sur lesinteractions entres les éoliennes et les oiseaux. Cette information a été recueillie grâce a un examenapprofondi de la recherche et des documents publiés et non publiés de partout dans le monde. Cedocument contient les renseignements de hase sur lesquels repose le document d’orientation« Lnx ironnement Canada concernant I ‘és aluation des effets ens ironnementaux des parcs éoliens surles oiseaux.
2. Contexte
2.1 L ‘énergie verteI outes les méthodes couramment employées pour produire de l’énergie ont des efPts négatifs surl’environnement, mais certains en produisent plus que d’autres, La puissance nucléaire crée de lapollution thermique dans les plans d’eau, sans compter l’inquiétude qu’elle suscite en ce quiconcerne l’élimination des déchets et le risqtie d’occasionner des dommages â l’environnementcausés par le rayonnement. Les grandes centrales h droélectriques perturbent les éeos stèmesaquatiques et peux ent inonder de sastes étendues de terres, ce qui entraine divers problèmesens ironnementaux. dont une importante perte d’habitat des oiseaux. Les effets négatif des centralesà combustible fossile préoccupent les ens i ronneinentalistes, les organismes de réglementation et legrand public. Le fait que le charbon contribue aux émissions de gai à effet de serre et qu’il réduisela qualité de l’air a rendu nécessaire la recherche de sources d’énergie de remplacement.Le changement climatique peut as oir des incidences mondiales sur la hiodis’ersité et les habitatsnaturels ainsi que sur les oiseaux et d’autres organismes qui dépendent de ces habitats. I ‘énergieéolienne permet de produire de l’énergie a peu de coûts et a peu d’incidences sur l’ens ironnementlorsque l’emplacement des éoliennes est bien choisi. Fn consequence, l’énergie eolienne a connu ungain de populariie considérable ces dernieres années.
Le facteur le plus important a ànt contribue a l’augmentation de la popularité de l’eneigic eolicnneacte un changenwnt relatif a la sensibilisation a l’ens ironnement et un accroissement despreoceupations au sulet de la saute des éties humains et de l’ens ironnement, Orâce a des initiaux esinternationales conune l’adoption du Pi otoc de dc K olo, Li production de [ormes d’énergie dcremplacement u etc placee au premier plan des preoceupations. \ la lumière dc l’engagement qu ila pris au titre du Protocole, le gousernement du ( anada a reconnu l’importance de souieesd’énergie plus propre (gouvernement du Canada. flO5 n. On Lut ressortir l’importante contributiondes technologies emergentes sur l’énergie renoux clable dans la lutte contre le changement
IinidtiqaL, c IL Li iinunt du C’tnada fh L au élargisseniLlit dL. pwgraI1I1nL d’LIIi aeuin1a l’énergie éolienne par le truchement du programme 1 neouragemene à la production d’energieéolienne (I PI I ) gere par Ressources naturelles Canada (R\( an. De plus. le gous ernenient du
Canada s’est donné comme objectif que les sources d’énergie renous elable. dont l’energie éolienne,
représentent au moins I (J p. 100 de la nou elle capacité de production d’électricité en () (J.
2.2 Le mandat d’Environnement Canada
Fin ironnement Canada doit remplir le mandat suis ant : présers er et améliorer la qualité de
l’ens ironnement naturel, dont celle de l’eau. de l’air et du sol: préser\ er les ressources
renouvelables du Canada, compris les oiseaux migrateurs et d’autres espèces de fitune et de flore:
consers er et proteger les ressources en eau au Canada: fournir des sers ices météorologiques: (dire
respecter les regles établies par la (‘ommission mixte internationale du Canada et des I tats- nis
relatis ement aux eaux limitrophes: coordonnei les politiques et les programmes lèdéraux en matiere
d’ens ironnement.
La sision d’Ens ironnement Canada est celle d’un Canada dans lequel les gens prennent des
décisions responsables au sujet de I ‘ens iroimement et dans lequel l’ens ironnement est ainsi
présers é pour le bénéfice des générations présentes et l’utures ainsi que des composalltcs hiotiques
et abiotiques en et pour elles-mêmes.
La mission d’I’ns ironnement Canada est de faire du déseloppernent durable une realité au Canada
en aidant les Canadiens à s ivre et à prospérer dans un ens ironnernent qui doit être respecté, protégé
et sausegardé.
Ens ironnemeni Canada u la responsabilité de protéger les oiseaux migrateurs et les espéces en péril.
Il doit donc s ciller à ce que les populations de ces oiseaux ne subissent pas les effets négatild
d’initiatis es comme les projets de construction d’éoliennes. En vertu de l’engagement du
gous ernement du Canada à l’égard du Protocole de Kvoto, Eus ironnement Canada a aussi des
responsabilités et est déterminé à fasoriser la création de sources d’énergie de remplacement. telles
que l’énergie éolienne. A titre «autorité fédérale experte au sens de la Lof CUfl1LIlt’fl1W ur
I evalualion t’nvirornwnieniule (LCI F ), Fin ironnement Canada fournit aussi à d’autres ministères
fédéraux des conseils concernant les oiseaux migrateurs et les espèces en péril ainsi que d’autres
domaines liés à son mandat au sujet des eflts possibles sur l’ens ironnement attribuables à des
projets sisant des terres publiques et des terres prisées.
2.3 Lois, politiques et initiatives
I a plupart des oiseaux qu’on trous e au Canada n’y passent qu’une partie de l’annee. (‘est pourquoi
on les considère comme des oiseaux migrateurs. I a majoriic des espèces migratrices bénéficient
d’une protection internationale au titre de la Cons ention concernant les oiseaux migrateurs, conclue
en I 910 et nase CII oeus re au Canada l’année suis ante par l’adoption de la Loi dc I Y94 ur la
Convention onccrnan! les oisaua tnigrateur fi (()\1). Il s’agit dc la loi nationale a ant pour objet
de faire appliquer un traite canadnarnericain qui vise a proteger les oiseaux rnigrateur. I ‘article 5
de la I ( O’sl inici dit u quiconque d’as oir en sa possession an oiseau migrateur ou on nid ou encore
d’aehctei, de s endre, d’eehanger où de donner un oïseu migrateur ou son nid, ou d’en tairc le
commerce. I n consequence. il Idut étre titulaire d’un pcrm’ pour manipuler oiseaux migrateurs
ou des carcasses d ‘oiseaux. I n s crtu de l’article O du Rg/cmeni aï les 01 ILauv iii iateur R( )\1 J,
il est interdit de deranger. de detruire ou de prendre un nid. un abri à nid, un ahi i a eidei, une cabane
à canard ou un oeuf d’un oiseau migrateur: il est également interdit d’as oir en sa possession un
oiseau migrateur s is ant, ou la carcasse, la peau le nid ou les oeuC d’un oiseau mittrateur, à moins
d’être titulaire d’un permis délis re à cette fin. Il est important de noter que. en crin du ROs1. aucun
permis ne peut étre délis ré à des fins d’actE dés économiques ni pour l’execution de projets de
construction. I-’n conséquence. on ne peut délixrcr de permis pour la prise accessoire d’oiseauxconséeutie à des activités de d&x eloppement économique. L’article 35 du ROM prohibe egalementle dépôt de suhstance noci\ es pour les oiseaux migrateurs dans des eaux ou une région fréquentéespar ec oiseaux. OÙ que ce soit au Canada.
I n 1996. les gouernements signataires lèderal. pro inciaux et territoriaux ont conclu l’Accordpour la protection des especes en peril et se sont engages à adopter une approche nationale pourprotéeer le espèces en peril. Ils ont cons enu dadoptcr des lois, des règlements, des politiques etdes programmes complémentaires alin de désigner et de protéger les especes en peril et leurshabitats I a foi sur L spcc e s en péril (LI-P) a etc promulguée en juin 2003.
I u I l-P protège les espèces de faune et de Ilore inscrites à son annexe I cia I iste des espèces enpéril). Les interdictions de la I I-P s’appliquent au espèces aquatiques et aux oiseaux migrateursprotégés en ertu de lu Loi de / 994 sur la convention concernant les oiseaux migrateurs (I (‘0M).ou qu’ils se trous ent. ainsi qu’à toutes les espèces sans ages inscrites qui sC trous ent sur desterritoires domaniaux. Pour ce qui est des autres espèces inscrites qui se trous ent à l’extérieur deslimites des territoires domaniaux. les provinces et les territoires s isés sont les premières instancespousant les protéger par le truchement de leurs lois. Si de telles mesures n’existent pas ou sontinsuffisantes, la LFP prés oit un « filet de sécurité » permettant d’imposer certaines interdictions pardecret du gou erneur en conseil. l,es interdictions de la LLP condamnent le fait de tuer un indi idud’une espèce inscrite comme étant en voie de disparition, menacée ou disparue du pays. de lui nuire,de le harceler, de le capturer ou de le prendre ainsi que de posséder. de collectionner, d’acheter. des endre ou d’échanger un indis idu notamment une partie ou un produit qui en pros ient d’uneespèce inscrite comme étant en xoie de disparition, menacée ou disparus du pa\s. De plus. lesinterdictions de la LFP considèrent qu’il s’agit d’une infraction d’endommager ou de détruire larésidence d’un ou de plusieurs individus soit d’une espèce inscrite comme étant en voie dcdisparition ou menacée, soit d’une espèce inscrite comme étant disparue du pas si un programmede rétablissement en a recommandé la réinsertion à l’état saus age au Canada. Cette loi confèreegalement au gouvernement le droit d’inters enir sans délai pour protéger une espèce saus age en casd’urgence. De plus, la 1FP assure la protection de l’habitat essentiel des espèces inscrites à l’aidedc dis ers moYens.
Egalement en s cou de la I I P. toute personne tenue, au titre de la loi. de procéder a une ès al nationeus ironnementalc fédérale. doit : I) signaler à tout ministre compétent tout projet susceptible detoucher une espèce sans age inscrite ou son habitat essentiel, 2) déterminer les efflts négatifs duprojet sur l’especc saus age inscrite et 3) s ciller, si le projet est réalise. a ce que des mesurescompatibles as cc tout programme de retablissement et tout plan d’action applicable soient prises ens ne d’és iter ou d’amoindrir les cfLis ncgatifs ci dc les contrôler
Outre la I (‘0M. le R( )‘sl, la t l-P ci la 1(1 1 .11 laudiait tenir compte d’autres lois, reglements.politiques et initiatises aux nixeaux tederal. pros ineial et territoiial lorsqu’on esalue les effets descoliennes sur les oiseau\ migrateurs. ( cIa pe e signifler la prise en consideration des elcmenissuis anIs
I. • I a f ai ur le e spece s sauvage au ( anada.2. • La [o, sur le s océans,3. • DiI’tèuntcs lois pios iriuldies [ lui I itol laies 19. C\. iCs iuis sOi les cspèeus cli fui iI et
les lois sur la pèche et les espèces sans ages):
4. • I a Politique fi.dcrale sur la conser ation des terres humides:
5. • Le Règlement sur lits reluges d’oiseaux migrateurs:
6. • Initiative de consenation des oiseaux & l’Amérique du Nord (IC’OAN):
7. • 1 es ,ones importantes pour la consertation des oiseau’ (/IC O):
R. • I es projets de (‘anards Illimites Canada:9. • Le Plan nord-américain de gestion de la saut agine.
3. Information existante sur les interactions entre les oiseaux et les
éoliennes
3.1 RésuméSauf quelques exceptions importantes. les etudes menées a ce jour montrent que la mortalité M iaire
est très faible aux installations éoliennes. De plus. la mortalité ohservèe par structure attribuable à
ces installations est très faible par comparaison asec d’autres sources de mortalité asiaire causée par
les humains. Cependant. les données sont souent fondées uniquement sur le nombre de cada res
trou%& ce qui risque ii’entraîner un sous-enregistrement du nombre réel de collisions. 1ême
lorsque les taux de collision par éolienne sont bas. on pourrait considérer que la mortalité à la suite
de collisions est élesée. en particulier dans les parcs eoliens renfermant des centaines ou des miliers
d’éoliennes (Langston et Pullan. 2003. De plus. même des augmentations relatiement petites des
taux de mortalité peux cm influer sur certaines populations d’oiseaux. notamment les espèces en
péril ou les espèces de grande taille, dont la durée de ‘je est longue, la productiite annuelle est
faible ou la maturité est lente, telles que les rapaces (Langston et Pullan. 20031. routefois. dans
certaines situations, les effets des perturbations peu’sent être plus importants que les elïets des
collisions, en particulier au large des côtes et dans l’habitat naturel des prairies.
Plusieurs documents portent sur l’analyse d’études connues et l’éaluation de la mortalilté aiaire
due aux éoliennes en comparaison acc d’autres sources de mortalité, comme les tours de
communications et les lignes de transport d’énergie (C’rockford. 1992: (‘oIson et associés. 1995:
GilI et aL. 1996: Erickson et ut, 2001: Kerlinger. 2001; PerchaI. 2001: Langston et l’ullan. 2002).
Le National Vind Coordinating C’ommittee (NWCC) des États-l ‘nis estime que 2.3 oiseaux sont
tués par des eoliennes chaque année aux lEtats4 ‘nis à l’extérieur de la (‘alifomie. en rectifiant
l’efflcacitt des observateurs et le taux de récupération des carcasses, bien que les taux arient de
0.63 oiseau par éolienne par année dans un site agricole, en Oregon. jusqu’à 10 oiseaux par annee
par éolienne dans un site forestier montagneux fragmenté. au lennesseeNVC’C. 2004 t.
Frickson et aL (2001) e’saluent que Il 000 oiseaux sont tués chaque année par des eoliennes au
I tats-L ni. 1k ce nombre. 26 600 sont tués en (‘alifiirnie. Bien que ces données semblent enomies.
l’incidence est relatheinent faible I l’on considsre les millions d’oiseaux qui pavent pat dc’ parcs
eoliens chaque annee et les millions d’oiseaux qui meurent par suite de collisions aec. des lignes &
transport d’cneigie. des ehiculcs. des cdi lices et des tours de communications: par exemple. on
estime â W) millions le nombre d’oiseaux tues sur les routes au I tas-t nis chaque annee U tickson
cial. 2001: idem. 21X12).
Màme si le nombre de collisions anec d’autres structures est actuellement plus éle%c que les
collisions dans des pares eoliens. cela peut être attribuable en partie â la rareté relati’ie des parcs
éoliens dans IL’ pa’saste U sans. ?OO4tet au methodologies utilisées dans certaines etu&s pour
étaluer le nombre d’oiseaux tués. I a façon dc répartir par btructure les taux de mortalité due â
d’autres structures nous porte à le croire. Par e’iemple. en utilisant les nombres que fournissent
10
Frickson ci al dans leur résumé. il semble que les routes causent la mort de 9 à 12 oiseauxpar kilomètre par année. les édifices et les fenêtres de I à 10 oiseaux par structure par année et lestours de communication de 50 a 625 oiseaux par tour par année. Ftant dinni les taux de mortalitéactuellement recensés d’en’ iron 2 à 10 oiseaux par éolienne par année. l’incidence présue deséoliennes pourrait ‘aria de I à 5 millions d’oiseaux par annee d’ici 2025 si un nombre importantd’éoliennes en tiennent à faire partie du pa>sage (hans. 2004). Même si les taux de collision atecdes éoliennes sont généralement plus bas que ceux atec d’autres structures, la rareté relati’e deéoliennes dans le paysage a une intluence ét idente sur le nombre total d’oiseaux tués. [andis quel’énergie éolienne det ient & plus en plus populaire et que les parcs eoliens det iennentplus nombreux, le nombre & collisions augmente. ce qui fait qu’il sera impentifde bien choisir lesemplacements pour aider a reduire ou à éliminer les collisions d’oiseau’.
Il semble que trois principaux facteurs (soutent interactifs) influent sur le taux de mortalité aviaire aun site spécifique. (‘es trois làcteurs. decrits plus en détail plus loin dans ce document, sont:
I. La çJc’nxfté iks obq’aur glan.s la région. En général. les ri.sques de collision an ec des éoliennessont plus grands lorsqu’il y ii abondance d’oiseaux. En effet. la seule lhçon de garantir l’absencede mortalité atiaire consiste à installer les éoliennes où il n’) a pas d’oiseaux. ce qui estpratiquement impossible. Cela ne ‘.eut pas dire cependant que des densités d’oiseaux eleveescorrespondent nécessairement à des mortalités an iaires plus élevées. I ‘ne seule étude. menée enBelgique (Everaert. 2003 1. a pennis d’établir une relation directe entre le nombre d’oiseaux dansune région et les taux de collision.
2. Les caracléri.sliques du paysage dans k; région, les formes du terrain, comme les crêtes. lespentes fortes et les tallces. qui caractérisent les sites des parcs éoliens peuvent augmenter ledegré d’interaction entre les éoliennes et les oiseaux utilisant ou sunolant la région (p.ex.. les oiseaux migrateurs néotropicaux et les rapaces). bien que l’on débate de ce point. Lapresence d’autres fbnnes de terrain, comme les péninsules et les ritages. peut canaliser lesmouvements des oiseaux durant le jour. ce qui peut aussi influer sur les taux de collision, maiscet aspect reste encore à être étudié. (‘es caractéristiques peut eut s’associer à une forteabondance d’oiseaux et entraîner un grand risque de collision.
3. Wauvai.ses conditions météorologiques. A de nombreux sites. les collisions atcc des migrateursnocturnes ont tendance a se produire par mauvais temps lorsque la tisihilité est réduite. Bienque la plupart des exemples semblent être des cas isolés, il faudrait tenir compte des conditionsmétéorologiques lorsqu’on propose un emplacement dans une region comptant un grand nombrede journées an ec tisibilite teduite ( 200 m) au printemps et a l’automne et possêdant d’autresliicteurs de conIuion ip.e. un grand nombre d’okeau migrateurs nocturnes et les formes durelieL telles que la presence de crêtes).
De plu’. on estime que des dtfterences entre les technologies peinent laite t aria le nombre demortalites at iaircs. Par e’emple. on a saut ent mentionné que des eoliennes plus recentesreduisaicnt les taux de collision, mais três peu de donnees le proutent clairement. I es éoliennesdont les technologies sont plus tieilles peu’ ent faire augmenter les risques de collision en raison dela rotation plus rapide de leurs pales. mais la forte mortalite at iaire signalce a des endroits commele col d’ ltamont n’est pas due seulement à l’âge des eoliennes (Anderson ci aL. 200(h. Il fauttoutcti)is menet d autres zej.he.chcs dams la région nant de tirer des toniJusions fermes, puisquc. iaplupart de l’information concernant les effets de la technologie des éoliennes sur les oiseaux estspéculatite à l’heure actuelle.
V
3.2 Effets documentés des éoliennesPour mettre en contexte ces questions. une analyse est décrite ci-après. laquelle porte sur les effets
des perturbations ob’,enés et les conclusions des liées aux effets des collisions aec des coliennes
documentés air six groupes d’oiseaux. L’annexe renkrme également un résumé plus systématique
des incidences des collision’. (Il coni lent de noter que le. nombre’ indiqués dan’ l’annexe
correspondent au’ nombres bruts de collisions signalées et ne tiennent pas compte des rectifications
de l’efficacité de l’obscnateur et du taux de récup&ation des carcassesi
Bien que les études et la surveillance ef&’ctuées en .mérique du Nord portent principalement sur
les taux de collision, les dMs des perturbations peinent causer une incidence plus grande sur les
oiseaux. Malheureusement. cet aspect est le moins etudié lorsqu’il s’agit des incidences des parcs
éoliens sur les oiseaux. I.e peu d’inlbrmation existant laisse penser que certains groupes d’oiseaux
semblent plus sensibles que d’autres aux perturbations causées par les installations éoliennes. (“est
le cas notamment des oiseaux de mer et des tétras des prairies que les éoliennes en exploitation
dérangent facilement il faut donc leur accorder une attention particuliere au moment de la
conception des installations éoliennes.
Il manque sérieusement de recherches en comportement sur les incidences des perturbations pour
tous les groupes d’oiseaux et. dans bien des cas. aucune étude n’est disponible. De plus. il cons ient
êgalement & noter que de nombreuses études semblent indiquer que les éoliennes ont peu ou pas
d’incidences comportementales sur dii erses espèces d’oiseaux. L)ans certains cas. le manque de
preuve apparent peut être un artéfact quelconque, comme le t> pe de sun eillance et son intensité.
3.2.1 Oiseaux aquatiquesle groupe d’oiseaux aquatiques comprend des espèces t> piques des habitats aquatiques. dont les
milieux marins, les lacs. les cours d’eau et les milieux humides, mais exclut la sauvagine et les
oiseaux de ri’ age. qui font l’objet d’une analyse distincte (sections 3.2.2 et 3.2.3).
Incidences des collisionsIrès peu de mortalités d’oiseaux aquatiques ont été signalées aux installations éoliennes. On a
déterminé que les goélands et les mouettes sont particulièrement ulnérahles au risque de mortalités
causées par des éoliennes, car ils olent sou’i cm dans le rayon de la surface balayée par les pales
(Airola. 1987). Malgre une telle vulnérabilite apparente. on signale tres peu de collisions de ces
oiseaux a’ec les éoliennes, sauf à trois endroits en Belgique (heraert. 2003). Les tableaux A6. A7.
.12. :l3. AIS et l6 de l’annexe renferment des renseignements supplémentaires au sujet des
incidences des collisions des oiseaux aquatiques.
Incidences des perturbationsfi existe très peu d’inlormation concernant les effets comportemcntaux des couennes sur les oisCdU
aquatiques qui peui ‘nt interagir a’ cc dc’ eoliennes estracotiere’ o’z situees a proximite de
plans d’eau ou d’aires de iassemblemnt (ou les oiseaux se iassembknt pour s’alimenter aiant ou
durant la migration).
I ne iaste gamme d’effets negatits peinent se produire dans les pascs coliens extracôtiets. dont des
changement.s dans le regime de sédimentation et la composition des espèces-proies iPerci’al. 2001:
Merck et \ordheim, 1999) De plus. les eoliennes e’ttracôtières peinent entraîner la perte d’habitat
à long terme. car l’utilisation du site par les oiseaux est entra’ et. 111es peinent également faire
obstacle aux migrations saisonnières et aux deplacements à l’échelle locale en séparant des unites
écologiques, comme des çites de recherche de nourriture et de repos (Fxo w ut. 2003 tI» tels problèmes pourraient avoir d’importantes répercussions sur les populations, mai. commeles éoliennes extracôtières sont une réalité récente. ces problèmes sont encore h> pothétiques.Certains signes laissent penser que les oiseaux aquatiques pourraient profiter des installationseolienncs extracôtières dans certains cas. Les fondations des eoliennes peux ent sen ir de récillartificiels et dans certains cas. la baisse des acthités dc pèche par les humains dans le regionpourrait faire augmenter la disponibilité de poissons. de mollusques et de crustaces (c.-à-d. lesproies des oiseau. aquatiques).
Les parcs éoliens pourraient an oir des incidences négati’ es plus importantes sur les oiseauxaquatiques si une partie importante d’une ressource locale était déplacée. I es secteurs situés présdes colonies de nidification ou liés a la répartition d’une source d’alimentation peinent constituerdes /ones potentiellement sensibles (Perchai. 2001). Certaines espèces se nourrissent à proximitéde leurs colonies de nidification, alors que d’autres cherchent leur nourriture sur de grandesdistances.
En résumé, l’effet de la perturbation causée par les éoliennes sur les oiseaux aquatiques n’a pas faitl’objet d’études dans la plupart des endroits. mais pourrait constituer une préoccupation légitimepour certains sites. Il faut mener d’autres études concernant les effets éentuels. en particulier surles hérons nicheurs et sur d’autres d’oiseaux aquatiques coloniaux. l.a plus grande menace queposent les installations éolienneç aux hérons est la perturbation éientuelle des colonies nicheuses siles éoliennes sont situées assez près de sorte qu’elles nuisent à leur reproduction (p. ex.. Bois man etSiderius. 1984).
3.2.2 SauvagineLes effets des éoliennes sur la sausagine (canards. oies et bernaches, cygnes) ont été étudiés àquelques d’endroits. notamment en Europe. On a examiné les interactions dans des en’ ironnementsd’eaux douces et des milieux marins et é’alué les effets causés par des éoliennes situées près desaires de rassemblement. le long des soies de migration ainsi que sur des sites extracôtiers.
Incidences des collisionsI a présence de grands nombres d’oiseaux à proximité des installations éoliennes ne signifie pasnécessairement qu’il a aura un grand nombre d’accidents mortels (brickson w aI. 2002). Danscertains cas, on croit que les canards de mer apprennent û éiiter les éoliennes, si bien qu’il amoins de collisions au fil du temps (PerchaI. 2001). In ce qui concerne les canards de surface. lesendroits ou la mortalité est la plus lhrte sont ceux que la sausagine fréquente toute l’année et où ellecompte pour au moins It) p. 100 du nombre total de mortalités. (‘ependant. e nombre est encoretrès faible, compte tenu surtout du nombre de canards qui utilisent ces zones d rickson cl aL. 2002,.L e tableau .8 de l’annexe contient des renseignements supplementaires sut les incidences descollisions de la sain agine
Incidences des perturbationsIl semble que les perturbations constituent le plus important facteur a ptendre en eonsideration dansle choix de l’emplacement d’eoliennes a prohiimite de zones importantes pour la sausagine. l.’etudela plus e’hausthe concernant l’effet des eoliennes etraeôtières sur les canards a etc menée àI uni’ Knoh. au l)anemark. OÙ on a amenagé un petit pare extracôtier composé de lu éoliennesmodernes dans une région où se nourrissent un grand nombre d’Eiders ii dus et(Snn,alcria mollis simcn et de Macreuses noires ( 1k lanina nigrcn. L)es études ponant sur les eflètsdes perturbations causees par ces éoliennes sur les canards plongeurs ont res 61e que ceu1ci
‘I
adoptaient un comportement d’éitement. qui était plus marqué par main ais temps
(Guillemette et ciL. 1999: lulp e, aL. 1999;. En général. les eiders é’ item de oler ou de se poser
à moins de 100 in des couennes et de oler entre des éoliennes espacées de moins de 200 in:
ils ‘oient plutôt autour des éoliennes eNtérieures (Guillemette U aL. 1998: idem. 1999:
J ulp Li aL. lQ9Qi, Mis h part ce comportement. on n’a décelé aucune autre diiference sur le plan de
l’abondance ou des comportements liés à l’alimentation ou aux mouements.
Des conclusions semblables sont issues d’une étude & i.arsson (1994) menée à Nogersund. en
Suède. et des études de l)irLsen et al. (1998) réalisées à ldy. aux Pays-Bas. A Lei>. on a e”aminé
quatre coliennes de 500 et. durant la nuit. on a subi à l’aide d’un radar deux espèces de canards
plongeurs, le Fuligule milouin tlyihya k rincn et le I’ uligule morillon il. nslgu1cn. pour obsen er
leur comportement de ol autour des éoliennes (l)irksen et aL. 199$;. Les résultats & cette etude
indiquent que la plupart des oiseaux éiitent de oler près des éoliennes et qu’ils preferent passer
autour des éoliennes extérieures plutôt que de oler entre elles. Des études menées en Allemagne
laissent également penser que des alignements d’éoliennes peuent Ihire obstacle aux déplacements
de la sau’agine et d’autres groupes d’oiseau.x (NABI . 2004). t ne telle hypothèse est renforcée par
la réaction de macreuses à la présence du pont de la Confédération. qui relie
l’lle-du-Prince-l’douard et le Nouveau-Brunswick en traersant le détroit dc Northumberland.
pendant les migrations printanière et automnale. On a constaté que les oiseaux hésitaient beaucoup
à approcher le pont et que. après plusieurs tentaties infructueuses, seulement un petit nombre de
macreuses passaient. Au lieu de passer sous le pont où il> a amplement d’espace, elles le
survolaient à très haute altitude (Hieklin et Bunker-Popnia. 2003).
I.e comportement d’é’ itement qui a été obsen é n’est pas limité au études menées aux sites
d’éoliennes extracôtieres. Au Yukon. une seule éolienne a été placée en bordure de la allée du
lieuve Yukon où la sau’agine migre en très grand nombre. dont lOp. 100 de la population mondiale
de Cygnes trompettes (flspu.v buccinalor) [Mossop, 19981. Aucune collision d’oiseaux n’a été
notée, mais on a obsen é que des oiseaux é’ itaient de oler à proximité de l’éolienne
(Mossop. 1998). lI semble que la réaction à la présence d’éoliennes soit très étroitement liée à
l’espèce et que même des espèces très apparentées puissent présenter des réactions très différentes.
Par exemple. les Oies à bec court (Anser hrackirhtnc hu.s hésitent à chercher leur nourriture dans
un rayon d’eniiron 100m des éoliennes, alors que ce rayon se réduit entre 25 et 50 m dans le cas
des Bernaches nonettes (Brama leucop.sis) [Larsen et Madsen, 2000J. \Piekering. en Ontario.
James t2003) a obsene des Bernaches du Canada (Branla canadensi.o qui marchaient et
cherchaient leur nourriture près de la base de l’unique grande eolienne sur le site.
Il se peut egalement que dilferentes espèces de sau’agine réagissent dilferemment à la present’e
d’eoliennes extraeôtiere. ce qui rend difficile la pie’ ision des incidences possibles sur les
populations locales, Cependant. le. meidences e’entuelles des eoliennes e’tracôtières sur les
•‘i’eau aquatiques (section 1,2.1 j s’appliquent d’une maniere semblable a la sau’agine qui utilist
cc t’pe d’habitat.
3.2.3 OIseaux de rivage
Incidences des collisionsI n l’urope. les oiseaux de ri’ age sont le principal suiet des cuides lorsque les éoliennes sont situees
dans des milieux côtiers ou se trous ent de nombreux indi’.idus et ou on obsene beaucoup de
mous ements de ces oiseaux Malheureusement, on n’a pu obtenir les dossiers concernant les
recherches de carcasses effectuées lors de ces cuides. La mortalité en .mérique du Nord est
‘t
très basse (peut-être parce qu’aucun site ne se trouve dans l’habitai des oiseaux de rivage).le tableau Al 4 de [annexe renferme des renseignements sur les incidences des collisions sur lesoiseaux de rivage.
Incidences des perturbationsA 1 installation éolienne de I3lvth I larbour, au Royaume—l ni, un nombre consédérable à l’échellemondiale de l3écasseaux violets (( ulidris mL.’riîima) hivernent 1 oïher. 2000 . Pourtant. ni lestravaux de construction ni les activités d’exploitation des éoliennes n’ont semblé perturber lesbécasseaux (I o\vther, 2000t. Des études menées aux Pa\ s—Bas (Dirksen ci ciL. 1997) et
au Daneniark (Pedersen et Poulsen, 1991) ont examiné l’effet des euliennes situées prèsd’importantes aires de rassemblement sur de nombreux oiseaux de rivage et ont révélé que lesoiseaux évitaient facilement les éoliennes et risquaient peu d’entrer en collision avec elles.
Certaines études ont montré que les oiseaux de rivage évitaient les éoliennes jusqu’a 500 rnà la ronde \Vinkelman. 1995), alors que d’autres ne ré éleni aucun el’flt important attribuable auxéoliennes sur la répartition des oiseaux de rivage ( Thomas, 1999). (in pense intuitivement que leseuil de perturbation varie pour chaque espèce. mais d’autres raisons peuvent expliquer lavariabilité observée. Par exemple, si l’habitat qui convjenl à l’espèce abonde à proximité del’installation, les oiseaux de rivage pourront probablement s’éloigner des éoliennes. Par contre,si l’habitat est restreint, les oiseaux n’auront aucun autre choix et resteront donc près des éoliennesLandscape l)esign Associates. 2000). Une telle situation pourrait aussi s’appliquer à d’autres
groupes d’oiseaux dont les besoins en matière d’habitat sont particuliers.
Il se peut également que différents oiseaux de rivage réagissent diti’éremment à la présenced’éoliennes extracôtières ou à proximité des côtes, ce qui rend difficile la prévision des incidencespossibles sur les populations locales. Les oiseaux de rivage seront probablement les plus touchés parla présence d’éoliennes extracôtières qui font obstacle aux migrations saisonnières et auxdéplacements locaux en séparant des unités écologiques, comme des aires de recherche denourriture ou de repos (Exo ci al.. 2003. [ne vaste uamme d’effets négatifs peuvent se produiredans les parcs éoliens extracôtiers, dont des changements dans le régime de sédimentation et lacomposition des proies (Percival. 2001: Merck et Nordheim, 1999) Même si les parcs éoliens sont
situés bien au large, ils peuvent probablement avoir un effet négatif sur les oiseaux de rivage quicherchent leur nourriture le long de la côte si les changements dans le régime de sédimentationmodifient la composition de la boue (ou d’autres substrats) à cet endroit, ce qui pourrait serépercuter sur la disponibilité ou l’abondance de la nourriture.
3.2.4 Rapaces diurnes
Le groupe de rapaces diurnes se trou ant au Canada comprend les aigles, les buses, les autours etles éperviers, le Busard Saint-Martin ( ‘ircus cyaneus), le Balbuzard pêcheur (Pandion haliactus) etles faucons [‘1 ruhu à tête rouge ((îIiar!es aura) fit aussi partie de ce groupe en raison de saressemblance avec de nombreux rapaces pratiquant le x ol plané et en raison du comportement devol et de I ‘nO lisation de l’habitat. Cependant. pour ce qui est de la taxinomie, les urubus duNuu eau Monde sont plus appal’entes aux eieognes.
Incidences des collisionsLes collisions, plutôt que les perturbations, ont lait l’objet d’études portant sur les rapaces dans lesparcs éoliens, Les incidences des collisions sont résumés aux tableaux A9 et A1() de l’annexe,L’importance accordée au taux de collision des rapaces a cc des éoliennes est attribuable au taux de
collision ciné des rapaces obsené dans un petit nombre de parcs éoliens. 1 e col d’Altamont et le
col de Tehachapi. en (‘alifhrnic. comprennent des milliers d’éoliennes, comptant parmiles plus grands en Amérique du Nord. [n 1989. la Caliibrnia Energ3 (‘ommissioli a publié un
rapport d’analyse de données sur les collisions d’oiseaux a’ec des éoliennes sunenues en (‘alifornie
entre 1984 et 1988 (Califomia I nergy (,‘ommigion. 1989t On a trouié au total 108 indiidus de
sept especes. dont la plupart etaicnt des rapaces protegés par les lois californiennes et américaines.
I ai plupart des collisions ont été signalôes durant l’hier lorsque de nombreux rapaces occupaient la
région pour chasser des mammikres.
Pour donner suite aux conclusions de ce rapport BioS> stems \naly sis Inc. a entrepris une étude
échelonnée sur deux ans (Orloif et Hannery. 1992). In echantillon d’en’ iron 16 p. 10(1
des 700(1 éoliennes au col d’Altamont a Ihit l’objet d’obsenations et de recherches sur la mortalité
durant six saisons. Des 181 oiseaux morts troués durant l’étude. 119 (65 p. 100) étaient des
rapaces. pour la plupart des Buscs à queue rousse (Buiec /amaicensis). des Crécerelles d’Amérique
(&iko span’eriu.s) et des Aigles ro>aux i.lquila cfrtscieto.u. Dans l’ensemble. en iron 55 p. 100 de
la mortalité de rapaces sont attribuables aux collisions a’iec des éoliennes. 8 p. 100 à desélectrocutions. Il p. 100 à des collisions a’ec des haubans et26p. 10(1 à des causes indéterminées
(Orloft’et Flannery. 1992). On a proposé plusieurs facteurs présentant les plus grands risques pour
les rapaces: les éoliennes se trou’iant aux extrémités des rangées. les couennes situces à moins
de 500 m d’un canyon et les éoliennes ayant une tour en treillis (Orloff et J’lannery. 1992).
On signale encore une mortalité de rapaces éleée dans la région du col d’Altamont. Entre 1998
et 2000. on a troué 256 oiseaux morts. dont 139 j54.3 p. 100) étaient des rapaces(Frickson cl aL. 2002: llunt, 2002).
Il existe à tarifa, en Espagne. une autre installation éolienne où la mortalite des rapaces est
considérable. I.e site est situé en bordure du détroit de Ciibraltar et forme un goulot » où
se concentrent les migrations d’oiseaux dans le bassin méditerranéen. I es oiseaux pratiquant le ol
plané sont en général les plus préoccupants. puisque au moins 30000 rapaces et d’énormesquantités de cigognes sun oient la région en automne. Les rapaces et les cigognes qui passent par
tarifa constituent une grande partie des populations nieheuses de l’Furope de l’Ouest qui hivernent
en Afrique. Les plus courantes espèces pratiquant le ‘ol plané qui sun oient la region sont la
Bondrée apiiore (Perms apivorus). le Milan noir ( Ifili’u3 migrans) et la ( igogne blanche
((‘konlu c’konia). mais de nombreuses autres espèces ne pratiquant pas le ol plané sun oient
également la région durant la migration (Marti. 19951. I a région de I an fa a dé reconnue sur le plan
international par Bird I ife international comme une ione importante pour la consen ation des
oiseaux (lICOL déciarce .‘one de protection spéciale par i’L ‘nion européenne et designee parc
naturel par le gouierncmeni de l’Andalousie (Marti. 1995). 11 niste plusieurs installations éoliennes
dans la region: en tout. 268 enliennes plus anciennes y sont en eploitauion i \lani. 1995;, (‘ertaines
des installations sont plu’ ou moins parallèles ai l’axe principal de migration. mais certains
alignements d’eoliennes sont de biais a’iec la soie de migration. Des milliers d’oiseaux planeurs se
posent et se repo%ent au sol ou sur des promontoires de la region. notamment dans des ‘ones ou se
trous ent des enliennes. On a signale de nombreuses collisions d’oiseaus a’ cc des coliennes.
dont 14 especes protegees. On estime qu’un total dc 106 mdi’ idus ont etc tué’ en l’espace d’un an
i’tlarti et i3arrios. I 995t I ai plupart des cas consignés se sont produits lorsque la isihilité était
bonne (Mati et Barrios. 1995;. loutefois. les études n’indiquent pas toutes une telle mortalite
ele ce a I arifa. I ‘ne etude ultenieure echelonnee sur 14 mois. incluant deux migrations automnales.
ai permis d enregistrer plus de .. 1)011 oiseaux au cours de I 111$) heures U or’scflation. On n a uou’e
cependant que deux carcasses d’oiseaux. soit celle d’un Vautour t’aue ryp.’. tuls’u.s parmi les
45 000 obsenés) et celle d’un Cireaete Jean-le-Blanc ((‘ireuelus gallu us parmi les 2 500
36
observes). Cette étude indique que les taux de mortalité peuvent ‘ arier d’une aimée et dune régionà I autre (Janss 2000j.
Il semble que la topographie soit le principal facteur influant sur les collisions des rapaces.I a comparaison des regions de ressources éoliennes (RRE ) du col de fehachapi et du col deSan (iorgonio en donne un bon exemple. I.e col de I ehachapi est situé dans le centre-sud de la(‘alilornie. à une altitude de 1 000 à I (0(J m au—dessus du ni eau de la mer. ( )n trou\ e denombreuses crétes et pentes ainsi qu’cn\ iron 5 000 éoliennes de marques et de tailles di \ erses. Dansle méme Ftai. le col de San ( iorgonio est étroit et situé à une basse altitude de I Xi) à X5() mau-dessus du nieau de la mer il comporte S 750 eoliennes de marques et de tailles dierses.chaque site, on a effectué 830 recherches de carcasses en un an et constaté que les mortsaccidentelles de rapaces etaient beaucoup plus nombreuses au col de I ehachapi qu’au col de SanGorgonio. laissant penser que les carueteristiques de reliel comme les zones de ées. les crétes etles pentes. exercent probablement une grande influence sur le tau\ de mortalité des rapaces là oùceux —ci abondent (Anderson ci aL. 200V).
A des installations éoliennes autres que celles du col d’Altarnont et de Farifa. on signale très peu demorts accidentelles de rapaces. Aux Etats-linis. à l’extérieur de la Californie, les rapaces nereprésentent que 2.7 p. 100 des morts accidentelles causées par des éoliennes (Erickson cl al. 2001:Kerlinger. 2001). Il est donc surprenant que. dans le parc éoliens de IcBride Lake. en Alberta. auCanada. on ait trous é sept Buses de S ainson ( Ruico suainvuni) a ant entrées en collision avec deséoliennes (six en 2003 et une en 2004: 13roii et Flamilton. 2004). Les oiseaux tués étaient desjeunes de l’année ou des juvéniles. ce qui laisse penser que les collisions peux ciii étre attribuables àleur inexpérience. I e nombre moins éle\ e de collisions l’année sui\ alite indique que le taux decollision peut arier d’une année à l’autre (Broxsn et Flamilton, 2004>.
La faible mortalite observée à la plupart des sites éoliens est fort probablement attribuable à unmeilleur choix des sites. loin d’une topographie à risque et des brtes concentrations de rapaces. Onpense que la construction de tours tubulaires (par opposition aux tours en treillis) et une rotation despales plus lentes peut ent aussi avoir contribué à réduire la mortalité des rapaces: cependant. desétudes portant sur les taux de mortalité par rapport aux divers tpes d’éoliennes ne montrent aucunedifférence importante entre les technologies (Anderson ci aL. 2000).
Incidences des perturbationsAucune donnée ne concerne la réaction comportementale des rapaces aux eoliennes,
3.2.5 Chouettes et hibouxIncidences (les collisionsIl existe peu de donnees sur les incidences des collisions sur les chouettes et les hiboux:l’infirmation tonnue est resumee au tableau \ 19 de l’anne\e
Incidences des perturbations\ucune dmnce ne concerne la reaution comportementale de chouettes et des hiboux au couennes.
3.2.6 Oiseaux terrestres
Incidences des collisions
I n Amérique du Nord, à I’exterieur de la (‘alifornie, les oiseaux chanteurs (passériformes)constituent le groupe d’oiseaux parmi les oiseaux terrestres le plus sous ent touche par des
installations éoliennes. Même si la perturbation et la perte d’habitat attribuables à la construction
d’éoliennes sont des effets négatifs, les études ont plus sou’ cm porté sur les morts accidentelles
d’oiseaux chanteurs aant entrés en collision avec des éoliennes. I es oiseaux chanteurs protégés
representent 78 p. 100 des morts accidentelles documentées sunenues à des installations éoliennes
au’ I’tats-Inis (Lrickson cia!. 2001). (‘e pourcentage pourrait même être plus élese si l’on
i incluait des espèces non protégees par la loi, comme Ii tourneau sansonnet iSiurnus i’ulguri.sj et
le Moineau domestique (Passer mmc. siicus?. Par comparaison. les rapaces ne comptent que pour
2.” p. 100 de l’ensemble de’. morts accidentelles attribuables au éoliennes aux l’tats-L nis
(l:ricLson u ut. 2001 j. l.es tableaux U I. Al7. AIS et de A2” à A42 de l’annexe presentent des
renseignements supplémentaires sur les effets des collisions sur les oiseaux terrestres.
1 es espèces d’oiseaux des terres herbeuses qui pratiquent des parades aériennes, comme
l’Alouette hausse-col Œreino’hi1ci ulp’.siri.s). le Bruant s espérai (Ponecties grumhwus) et le
Goglu des prés (i)olicho,çx urpis’orus i. peusent être particulkrenient menacés par les éoliennes.
On sait que ces espèces soIent asse! haut a certains moments durant leurs parades pour risquer
d’entrer en collision sec des éoliennes. Il arrhe sous ent que celles-ci trouvent la mort a la suite de
collisions survenues dans des parcs éoliens de l’Ouest. où elles sont très communes
(Kerlinger et Dowdell. 2003). Au parc éolien de Nine (‘anyon. dans l’Uta de Washington. les
Mouettes hausse-col représentaient slip. 100(17 indhidus)de toutes les sictimes de collision
trous ées dans le cadre de 19 recherches de carcasses effectuées au cours d’une année à la base de
chacune des 37 éoliennes de 1,3 IW et d’une tour météorologique non haubanée
(Erickson el a!., 2003b). Les Alouettes hausse-col comptent également le plus grand nombre de
victimes de collision au parc éolien de Stateline, situé près de celui de Nine (‘an> on
(Jirickson ci ut, 2003). Les tableaux A26. A37 et A39 de l’annexe comprennent d’autres exemples
de collisions connues clie les espèces des terres herbeuses. Le risque élevé pour lesAlouettes hausse-col ne suscite generalement pas d’inquiétude dans les régions OÙ elles sont
communes. mais il faudrait prendre la situation au sérieux dans d’autres régions. comme b
(‘olombie-Britannique. OÙ une sous-espèce locale est inscrite comme étant en soie de disparition
en sertu de b LEP.
Incidences des perturbationsLa perte et la destruction de l’habitat constituent les plus grandes menaces pour les oiseaux
chanteurs migrateurs néotropieaux. I ‘incidence des éoliennes sur les oiseaux forestiers nicheurs n’a
été e’iaminé qu’une fois en Amerique du Nord. lors d’une hrèie étude effectuée à Searsburg. au
‘ermont (Kerlinger. 2003b;. On a constaté que la perturbation était faible pour la plupart des
oiseau’. dont plusieurs nichaient dans la forêt située a moins de 20 à 30 m des éoliennes. I outelbis,
quelques especes évitaient la clairieie ou se trouvaient les éoliennes, et certaine’ semblaient
s’éloigner dan antage dans la Ibrêt (notamment la (ais e à dos olis e [(‘aihurus aLsildalus ». On n’a
pas pu déterminer si un tel comportement sisait a esiter les eoliennes ou la clairiere (kerlinger.
200lb) I)’autres etudes sont naessaires pour determiner t quel point les enliennes touchent le»
oiseaux I”re%tier’ nicheur’..
I n general. il e’iiste as peu de renseignements détailles concernant les effets des des eloppements
d’energie eolienne sur d’autres groupes d’oiseaux terrestres. a l’e’sception des especes des terres
herbeuses t particulièrement les tetras). Il u été montre que les coliennes peusent deplaeer beaucoup
(espèces des terres herbeuses (mais pas la totalité;, I edd> ci ut (1999) ont constate qu’il> as ait
moms d oiseaux mcheurs des terres herbeuses dans un ia>on de 100 a .,00 in des eola’nnes dans le
sud-ouest du Minnesota. 1)ans cette même région. les densités d’oiseaux ont diminue de plus de
50 p. 10f) dans un ra>on d’ens iron 50m des éoliennes. On ne sait toujours pas si les oiseaux
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nicheurs des terres herbeuses s’habitueront à la présence d’éoliennes et s’ils retourneront dans leszones qu’ils a’.aient quittés aupara’.ant. Le phenomene ne s’ohser’. e pas chez toutes les espèces desterres herbeuses â l’installation éolienne de Ponnequin. au (‘olorad . des oiseaux chanteurs desterres herbeuses, comme l’.\louette hausse-col, cherchent leur nourriture directement au pied dscoliennes: on a \ u des Sturnelles de l’Ouest (!uri?c//u ncglectut qui cherchaient également leurnourriture au site d’ \ltamont. en Califbrnie (Curr et Kerlinger, I I C. etudes en cours, cite dansKerlinizer, 2003b: ‘.oir ci-dessous en ce qui concerne les risqtaes de collision associés aux especesqui pratiquent des ‘.ols nuptiaux).
I a destruction et la lraementalion des habiiat et la perturbation des populations locales d’oiseauxnicheurs constituent probablement les plus grandes menaces potentielles que posent les installationséoliennes pour les oiseaux considerés comme aihier. on se préoccupe en particulier des menacesaux tétras des prairies : le I étras des armoises t ( n1i’ocercti /1rOp//c1 /1112/1 s•) et le létras a queue fineRnipuiiiichu pIhI1Ln1c’!/us). (‘es tétras des prairies et d’autres oiseau\ terrestres des terres
herbeuses se sont montrés très sensibles aux niodifications apportées au pa sage par les humains eté’. itent toute structure éle’.ée (p. ex., des arbres et des poteaux électriques), étant donné que lesrapaces, qui en sont les prédateurs. s’s perchent sou’.’ent, On a montré que le I étras pâle(T pu11idicinciu. ne niche ni ne couve à moins de 400 m d’une route ou à moins de 300 m deslignes électriques et qu’il é’. ite également les zones où il a présence humaine, comme lesdemeures habitées \lanes cf ciL. 2002). Comme les tétras des prairies évitent fermement lesstructures élexées. ils pourraient abandonner de ‘.astes zones autour des éoliennes, même si l’habitats est convenable.
Les diffirentes espéces de tétras des prairies uni besoin de vastes étendues d’habitats con’. enahlescontigus. tels que des prairies à herbe courte, â graminée mixte et à armoises. Les humains ontlongtemps influé sur les terres herbeuses, et l’utilisation des terres à des fins agricoles a éliminé plusde 90 p. 1 (>0 des prairies indigènes (Manes ci cil. 2002>. Il en résulte que les populations denombreux oiseaux des terres herbeuses diminuent rapidement en .\mérique du Nord. ce qui fait quel’habitat restant est très important pour la sur’. ic des espèces sensibles. la majeure partie del’habitat con’. enable qui reste est situé dans des régions éloignées ou dans des zones où l’agricultureest difficilement praticable en raison de la topographie. Cependant. certains de ces endroits peu’. eutposséder des ressources éoliennes satisfaisantes, et il est possible de construire des installationséoliennes dans ces endroits sains et x iergcs. I a construction d’éoliennes et d’autres structures a cesendroits peut nuire 1Il\ oiseaux des terres herbeuses déjà sensibles et ‘. ulnérahles.
4, Comment les oiseaux sont touchés au cours de l’année
4.1 Oiseaux reproducteursInstallations éolidnne% terrestresOn constate geneuilcineut que les taux de collision des oiseaux reproducteurs dans le ‘ecteui deseoliennes sont inteii irs a ceux des oiseaux non-residents (‘cIa est probablement dù au tait que lesoiseaux de la region ‘hahituent â la presence d’eoliennes et sa’. eut comment les e’. iter,contrairement a ceux qui passent dans la regiun ainsi qu’aux mau’. aises conditions meieoroloiques.par exemple â cause du brouillard, les non—residents peu’. eut ne pas detceter les éoliennes ax .inid’entrer en collision a’ cc elles. I a plupart de la documentation colicernani les liets dc l’energiecouenne sur les oise tux traite du nombre d’oise’tux tués et des causes do leur rollision (epen I intles incidences les plus gra’.es sur les oiseaux reproducteurs attribuables aux installations eoliennessont les sui’. anis : la perte d’habitat, la destruction des nids actits, l’obstacle aux trajectoires de ‘. olrégulières, la perturbation causée par les éoliennes ou par les acti’. itès humaines à proximitc des
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sites de reproduction et l’obstacle aux aires d’alimentation importantes (ce qui est particulièrement
considérable dans les rétdons extracôiières et côtières.
À de nombreuses installations éoliennes, le taux de reproduction aiaire (c.-à-d. le succès de
niditication ne semble pas être touché de façon négative, bien qu’il n’ait pas fait l’objet de
beaucoup d’études. .\ un parc comprenant 66 éoliennes, le taux de reproduction mo en des oiseaux
reproducteurs était le méme que celui des regions oisincs ((iuyonne et (iae, 2000) (ependant.
on signale une diminution des populations d’oiseaux reproducteurs dans quelques parcs éoliens où
les tra aux de construction ont détruit l’habitat de reproduction cl où des personnes et des éhicules
étaient constamment presenas t Perci al ci aL. I 99, l)c plus. on a aussi ohser é que les oiseaux des
terres herbeuses é itaient de nicher d moins de 100 à 2U0 m des éoliennes (Leddx LI u! , 1999).
Il faudrait souligner que les résultats des etudes sur la produetis hé en ftnction des éoliennes arient
considérablement d’un endroit à un autre.
Installations éoliennes cxtracôtièresLes installations extracôtières constituent deux menaces principales pour les oiseaux reproducteurs
la perturbation des colonies reproductrices et les changements relatifs aux ressources alimentaires
ou à l’accès a celles-ci, De nombreux oiseaux de mer sont facilement dérangés par les actis ités
humaines à proximité des colonies reproductrices, et la présence d’éoliennes peut entraîner
l’abandon du site. Bien qu’aucune étude de cas ne soutienne actuellement cette théorie en raison du
faible nombre de parcs éoliens extracôtiers). English sature a recommandé que les éoliennes soient
situées à plus de 20 km des colonies d’oiseaux de mer sensibles ou importantes (p. ex., les
pingouins et les puflins) et à plus d’un kilomètre de colonies de goelands et de mouettes ou de
sternes sensibles ou importantes Percial, 20011.
La disponibilité des proies est un autre lIcteur important dont on doit tenir compte pour des projets
extracôtiers. Il se peut que des installations éoliennes extracôtières servent de récifs artificiels.
Ainsi, la disponibilité de poissons et de mollusques et crustacés. leurs proies. peut augmenter en
raison des modifications de l’habitat et de la baisse des actis ités de pêche dans la région. I)es
changements dans le régime de sédimentation et la composition (les proies à proximité du site font
partie des effets négatifs (Merck et \ordheim. 1999: Perci al. 20<) 1 )..\ ce jour. aucun des elïets
potentiellement positifs ou négatifs n’a été documenté à l’egard des parcs éoliens existants. car
l’industrie extracôtière est relatixement récente.
4.2 Oiseaux en migrationInstallations éoliennes terrestresBien que les mou emenis migratoires sm (le longues distances se produisent tout au long
de l’année. les périodes d’affluence maximale de la migration dans la plupart des réglons ont lieu i
printemps et i I automne: le moment de la migration est taiblenk’nt lié à la latitude R ichardson,
2000>, 1 a migration dure plusieurs semaines. particulietement en automne. Dit1erente especes. et
sous ent des mJi idu d’une mème espee d’age et de sexe dilterents. migrent en passant dans la
ménle region i dcs moments diftérents kiehardson. 201 H 1> 1 u nngration peut egalement se
produire en bisai, Pour certaines annees. il est possible que les deplacements sers le sud suient des
periodes inhabituelles de froid ou des penurie de nouirilure p. ex.. les irruptions de chouettes et de
hiboux: Riehardson. 200()>. En été. les oiseaux sous-adultes trop jeunes pour sC reproduire ou les
reproducteurs dont les oeufs n’ont pas eelos peuent egalcment se deplacer s ers des dires de
rassemblement ou d’autres endroits ou ils passeront le reste de l’eté (Richardson. 1000)
Les habitudes et le moment de la migration peux ent être très imprévisibles particulièrement i unepetite échelle. Plus les échelles spatiale et temporelle sont étendues (c.-i—d. une région plus x asic etdes duree’, plus longues), plus les mouvements migratoires semblent préx isibles. Si. tel jour ou
telle heure, on examine une région en particulier, il est ires difficile de preoir la présence d’oiseauxmigrateurs (Mabey, 2004). Plusieurs facteurs déterminent les habitudes de migration des oiseaux.dont seuls quelques-uns dépendent des oiseaux >Mahe. 2004 L Les conditions metéorologiques sontun des Licteurs sur lesquels les oiseaux n’ont aucune influence: mais ils peux ent réagir et ils lefont. Ils ne peux cm non plus influer sur la éoraphie du pa\ sage. 1 andis que les oiseaux réagissentaii conditions météoroloiques te.-à-d. les fronts chauds et froids. la géographie limite leur elioide I ‘endroit où ils s’arrêteront Mahe, 2004 r
Comme un grand nombre (les accidents sont déclares durant les migrations printanière et automnale,les x ictimes des nombreuses collisions signalées dans des parcs éoliens sont soux ent des oiseau\migrateurs. Par exemple, Johnson ci al. (2002) soulignent que 71 p. 100 des 55 carcaseconsignees à Buffalo Ridge entre 1996 et 1999 étaient celles d’oiseaux migrateurs. Dans les sites.l’importance de la migration d’oiseaux et les facteurs qui influent sur celle—ci xarient d’une région al’autre. Par exemple. dans l’ouest de l’Amérique du Nord, il existe peu de preux es sur le lien entreles structures élevées construites par les humains et le nombre considérable de morts accidentelleschei les oiseaux qui migrent la nuit (Evans. 2003 . tandis que le phénomène est bien documentédans l’est du continent. On ne peut expliquer clairement cette différence régionale. même si ellepeut être attribuable à des densites plus faibles d’espèces qui migrent la nuit dans l’ouest ou desconditions météorologiques distinctes entraînant un changement de comportement axiaire. Peuimporte la raison, il faut tenir compte de cette différence lorsqu’on compare les études sur lanioulalité aviaire qui ont été menées à l’extérieur de la région du projet de pare éolien proposé.Par exemple. les études effectuées dans l’ouest des Ltats-(Jnis peuvent axoir peu de rapport axec lamanière dont un parc éolien du nord—est de l’Amérique du Nord aura un effet sur les oiseauxmigrateurs (consulter également la section 6).
Les caractéristiques de relief peux ent augmenter le risque de collision potentiel chei les oiseauxmigrateurs. En pins de fax oriser la concentration d’oiseaux migrateurs diurnes, la topographie peutfaire augmenter la probabilité d’une interaction entre les oiseaux et les éoliennes. Des formes dcrelief qui s’élèvent abruptement dans le pa\ sage. comme les crêtes élexées et les montagnes.peux ent influer sur les mouxements des oiseaux et, si les parcs éoliens sont situés en haute altitude,la hauteur des éoliennes pourrait correspondre a l’altitude à laquelle volent habituellement lesoiseaux migrateurs (bien qu’il soit nécessaire d’etudier davantage un tel phenomène. xoir la section( ). Par exemple. la surface bala\ ée par les pales de tours de 1 00 m de hauteur. lesquelles sontconstruites sur une crête dominant de 200 m le pa\ sage enx ironnant, s’eléx e en réalité i un. soit
une altitude à laquelle les oiseaux qui migrent la nuit peuvent x oler. Il existe peu d’études a ce sujet:
cependant I ennesce \ ailc \uthorit t20U2r .Iohnson cr al 2002> cl Kerus et Kerlinger upresentent des donnees coikernant les sites situes en haute altitude dans l’est des Ltats-( uts
I e temps inclément peut accroitre les risques de collision entre les oiseaux et les structures de paIeseoliens R oir la section S 9) Par exemple. les nuages peux eut influer sur l’altitude de x ol desoiseaux migrateurs en le forçant a xoler plus bas: cela fait augmenter la densite des oiseauxmigrateurs qui x oIent pre’. du sol et les risques de collision ax ce de hautes structures, t n plafondnuageux qui descend presque i la hauteur des eolienncs ou plus bas modifie la migrationen haute altitude et torce les oiseaux a se deplacer a la hauteur de la cime des arbres ou plus basRobbins. 2002). l.a bruine et le brouillard nuisent à la x isihilité et forcent les oiseaux i x oler
a plus basse altitude de sorte qu’ils puissent suix re les repères topographiques. En plus d’être attirés
par les lumieres. les oiseaux migrateurs peux ent entrer en collision ax cc des éoliennes et a cc
d’autres structures se trou\ ant dans les parcs éoliens (dont des anémomètres haubanés>. se heurter
leN uns contre les autres ou tourner autour des structures jusqu’i épui\ement puis tomber sur le sol
ou ils risquent de mourir parce qu’ils Sont ulnérahles ou exposes aux predateurs. Si les jours de
brouillard sont Ires nombreux à l’installation éolienne durant la periode de migration, le risque de
col li sïon peut augmenter.
Oiseaux migrateurs diurnes
\Ième si beaucoup d’oiseau\ qui migrent surtout la nuit (p. ex.. de nombreux oiseaux chanteurs>
migrent aussi le jour, certains groupes d’oiseaux migrent principalement le jour. comme les rapaces,
les autours. certaiHs oiseaux aquatiques (p. c.. les plongeons), les oiseaux noirs, les colibris et les
geais t p. cx,. les (ieais bleus V *amoc/nLl iII\I1(aJ se déplacent soux cm le jour en grandes colonies
et u basse altitude>. I e nombre d’oiseaux terrestres migrateurs qui \ oIent en altitude le jour tend à
diminuer pendant la dernière partie de la matinee et au cours de l’apresmidi.
De nombreux rapaces et \ autours sC servent de l’énergie thermique (courants d’air chaud
ascendants causés par le Soleil qui réchaufl la ferre, notamment là oà il u peu ou pas de
égétation haute). pour prendre de l’altitude. ce qui facilite le ol plané et économise l’énergie.
Selon les conditions météoroloiques et les cai’actéristiques ph siques régionales, des rapaces et
d’autres oiseaux planeurs peuvent migrer a diffirentes altitudes durant la journée. I.e départ des
rapaces planeurs est souent retardé jusqu’au milieu de la matinée au moment où les courants
ascendants thermiques de iennent plus ftwts. I.es rapaces. comme les raucons qui dépendent moins
du vol plané. ont tendance à quitter plus tôt dans la lournée que les espèces planeuses (Richardson.
2000).
Les caractéristiques topographiques limitent davantage les oiseaux migrateurs diurnes que les
oiseaux migrateurs nocturnes. Les oiseaux ont tendance à se rassembler en bordure des modelés
telles que les côtes, les rivières, les crêtes, les allées et les péninsules (Richardson, 2000).
On u montré que les oiseaux dévieront souv ent de leur route préféree » d’env iron 450 aôn de voler
en bordure d’un tel tracé » ( Richardson. 2001>>. I .a plus grande concentration d ‘oiseaux se situe
sous ent dans ces modelés lorsqu’il a un vent latéral par rapport à ce modelé (Richardson. 000).
Oiseaux migrateurs nocturnes
De nomhreu\ oiseaux chanteurs migrent la nuit. en particulier les oiseaux migrateurs néotropicaux
I rois principales raisons (sony ent interdependantes) expliquent lCs collisions de ces oiseaux
migrateurs a cc les col iennes et d’autres structures, notamment la hauteur de lu structure la
hauteur recile de I ‘eolicnne et la hauteur du relief sur lequel elle est située), le balisage lumineux et
les conditions meteorologiques. I e halisag. lumineux est un lacteur tres important de collision
concernant le risque: il sera abordé a la section Ç I e maux ais temps augmente les effets du
balisage lumineux et diminue en outre la hauteur de vol dc oiseaux nagrateurs dc sortc
qu’un plus grand nombre d’entre env volent a la méme hauteui que les eoliennes (voir la
section 5.9)
I es oiseaux ont tendance u surv oler les euu et les terres sur de larges f)onts, mais des mdiv idus de
1’ spêce penv nt ç r issembler dans de couloirs de rnigr i9°n spé fl pies même lorsu l’nemhle
des espèces migratrices (toutes les espèces comhinees) y ole sur un large front ([y ans, 2000), Les
altitudes de vol des oiseaux migrateurs nocturnes sont assez variables et peu comprises. (e qui suit
résume une sélection de recherches disponibles. Able t I 999> a mentionne que la plupart des oiseauxchanteurs qui migrent la nuit sur\ olaient les terres â moins de 604) rn. Ils peux en> touteRis olerbeaucoup plus haut ou plus bas selon la direction du ‘ ent. Kerlinger 3 2003) croit que les oiseaux quimigrent la nuit volent â une hauteur de 92 â 615 m, quoique seulement un petit pourcentage de ceuxqui surolent un parc éolien compose de grandes couennes (l0() m) volera a la hauteur des rotorsdes éoliennes. Cooper (2004) a mené une étude isant une installation éolienne de laVirginie—Occidentale â l’automne 2003 (pendant 45 nuits, de 6 à 9 heures par nuit). Il a utilisé deslaboratoires de radars mohile installés â cinq endroits Il a constaté que 16 p. 1 00 des oiseauxmigrateurs olaient a la même hauteur que les éoliennes ou plus bas 4 125 ni> et que la plupartvolaient â une altitude de 254 à 759 m. Pendant environ I 5 ans. Richardson 424)4>4)> a mené desétudes ‘ isuelles et par radar sur la migration des oiseaux le jour et la nuit. Selon lui. la plupart desoiseau\ migrateurs nocturnes oIent bien au—dessus des couennes (de 50 â 1000 ni au—dessus du solet parfois plus haut). Les altitudes de migration sont toutefois touchées par les conditionsmétéornlogiques. En fait, les oiseaux migrateurs ont tendance â se déplacer plus bas lorsqu’ilssoIent face au vent que lorsqu’ils volent en vent arriere. I e nombre d’oiseaux migrateurs solant âbasse altitude (hauteur des éoliennes) pourrait donc être aussi des é ou plus éles é si ceux-ci volaientface au ‘ ent que s’ils s olaient en ‘ ent arrière, même si le nombre total d’oiseaux en altitude estbeaucoup plus bas lorsqu’ils ‘soient face au vent.
D importantes caractéristiques topographiques p. ex.. des montagnes et des crêtes élesées) peuventconcentrer les oiseaux dans des \ oies de migration relati ement étroites. Les oiseaux migrateurs ont
tendance â soler plus bas qu’à l’habitude lorsqu’ils sursoIent une crête ou un col. la nuit comme lejour, ce qui les place â la hauteur des éoliennes (Richardson, 2000: Evans. 2000:Williams ci al.,2001). Cependant, on ne comprend pas très bien un tel comportement, et la question fait l’objet d’undébat. I)urant la journée. la plupart des oiseaux migrateurs nocturnes ont tendance â se maintenir âune hauteur de 20 â 30 m au-dessus du sol (dans la s écétation ou près de la s égétation) pour és iterles prédateurs, se r’eposer et se nourrir. 1)e nombreux oiseaux migrateurs nocturnes poursuiverontleur trajet durant au moins une partie de la journée, mais ils le feront à de basses altitudes. l)urantune journée de migration t pique. les oiseaux se déplacent entre les hautes et les basses altitudes àl’aube et au crépuscule: durant ces périodes, les oiseaux risquent (1 entrer en collision avec lesstructures des parcs éoliens Riehardson. 2000: Langston et Pullan. 2002).
Au leser du jour ou juste asant, l’altitude de sol ( 200 m) des oiseaux migrateurs nocturnes baisserapidement jusqu’à la cime ou au-dessus des arbres ( 204) m) jusqu’à ce qu’ils trous ent un lieu ouse poser qui cons ient aux conditions environnantes et aux e\igences de chacune des espècestKerlingcr. 1995).
Aire% de repos
Sous eut, lorsque les oiseau\ migrateurs qui surs oIent le terres ou les eaux approchent d’un littoraLil le Lontournent et f ormnt un (lux migratoire euiiLLntrc le long de la côte. (ertains typed’oiseaux migrateurs (p ex . les oiseaux de ris age et la sausagine) se rassemblent dans des airesrestreintes de l’habitat cons enable lorsqu’ils se leposeni et qu’ils se nourissent entre les soIsnugraioiies. Il s’agit souscrit Je lacs ou dc marais interieurs, d’estuaires cotiers, dc s asieres oud’autres rcgions riches en nutriment ou abritant Je’. nombres considérables d’oiseaux 4 Richardson.21)4>0). 1 orsqu’un oiseau décide de s’arrêter, la disponibilite (ou le manque de disponibilité) del’habitai et des ressources du pa sage local limitent les oiseaux migrateurs \1ahe. 2004>. Les airesde repos ne sont pas nécessairement de ‘ astes éienduc où se trous e un habitat de haute qualité.telles que des s asières s ierges ou se rassemblent des milicrs ou des millions d’oiseaux: il peut
également s’agir d’un habitat marginal ou rien «est disponible. Par e\ernple. de très grands
nombres d’oiseaux pourraient être fircés de sarrèter en raison de situation d’urgence. ce qui se
produit généralement près d’une barrière écologique, telle que les Grands Lacs. où la concentration
d’oiseaux est très éle éc par maux ais temps (\lahc\, 2004 t. Ln outre, les oiseaux sont soux ent
harcés d’utiliser des aires de repos de moindre qualité au sein d’une matrice «habitats épars et non
conx enables sur le plan ecologique (Mabe, 2( )04).
I )ans les aires de repos. les x ois d’importants nombres d’oiseaux migrateurs se concentrent sou\ ent
en couloir lorsque les oiseaux s’enxolent ou s’apprètent a se poser (Richardson, 2000). Ces oiseaux
migrateurs xolent souxent a la même hauteur que les éoliennes. De plus. la distance depuis l’aire de
repos au cours de laquelle les altitudes de xol sont suflisamment basses pour qu’il ait risque de
collision avec des éoliennes dépendra de l’espece et de d’autres Iheteurs. Certains oiseaux. comme
les cgnes, prennent géneralement de l’altitude très graduellement et peu’. cnl \ oler à une basse
altitude sur des distances considérables apres leur eux o! à partir de l’aire de repos. lYautres oiseaux
montent (ou descendent) pi us rapidement (Richardson, 2000).
Il existe d’autres eflhts potentiels sur les oiseaux migrateurs que les collisions avec des structures
des parcs éoliens. I es perturbations peuvent influer sur les espèces migratrices lorsque les éoliennes
sont situées à proximité de grandes aires de repos. où se rassemblent de grands nombres «oiseaux
pour se noun’ir ou se reposer p. ex., des plages dans la partie supérieure de la haie de lund\ . en
\ouvelle—Ecosse et au \ou\ eau—Brunswick, où des centaines de milliers de Bécasseaux semipalmés
( u1idri pu.sillaj se rassemblent durant la migration automnale). I)e plus. la modilication ou la
destruction de l’habitat utilisé par les oiseaux en migration peut également entraîner des eflèts
négatifs pour l’enx ironnement (x oir Miiko. I 99$a).
Installations éoliennes extracôtièresComme c’est le cas pour de nombreux endroits terrestres, les éoliennes extracôtières ne sont pas
susceptibles d’entraîner des incidences importantes sur les oiseaux migrateurs nocturnes. Les
oiseaux terrestres en migration survolent en général les eaux à plus haute altitude que les terres
(généralement entre (H) et I 200 in au—dessus de la surface) et ne descendent iue lorsque les
conditions météorologiques sont maux aises ou pour se poser après leurs x ois nocturnes (Kerlinger.
1995). S’ils se rendent compte qu’ils sont encore au-dessus de l’eau au lexer du jour. ils se
dirigeront x ers la terre la plus proche. en demeurant à haute altitude OU en s’élevant dax antage
iusqu’â ce qu’ils arri’. eut près du ri’. age. Les installations éoliennes situées a moins dun kilometre
de la terre. en particul ici des modelés où se rassemblent les oiseaux migrateurs en mou’. ement après
l’aube, peuxent presenter un risque de collision plus élexé que celles situees plus au large
(Percixal, 2001 t.
Contrairement aux ‘iseau\ terrestres, la sau’. ,igine et d’autres oiseaux aquatiques en migrati.’n ont
2enèralement tendance a sur’. oler les eaux a plu’ basse altitude hahituellement de 0 à 60 ni que
les terres de 0t) a 1 X00 ni I Kerlinger. 19951. ils risquent donc d’entrer en collision axec les pales
des couennes. \uLune etude a l’heure actuelle n’indique que la san’. aine et les oiseaux de nier
entreront en collision ,i’ ce les éoliennes. Cependant. il existe très peu d’inthrmation sur les gt1ts
des éoliennes e\tracotieres, et il est extrêmement difficile de recueillir des données sur les oiseau\
x ictimes de collision dans de tels milieux.
I rtuihatiu..2’ t. J,, ut ta a. prhLn. ‘in sérei qa L r;u
de collision dans les mi lieux extracôtiers. I es éoliennes peux ent faire obstacle aux mou’. ements.
particulièrement entre les modelés, ce qui pourrait entrainer des perles d’energie nuisibles aux
espèces attribuables au stress ou au temps de déplacement supplémentaire nécessaire pourcontourner I obstacle. I es macreuses ont réagies de la sorte à la presence du pont de laConiedérauon. qui relie 1’ lle-du-Prince-Ldouard et le Nous eau-J3runsss ick en tras ersant le détroitde Northumherland, pendant les migrations printanière et automnale. On a constaté que celles-cihésitaient beaucoup à approcher le pont et que. après plusieurs tentatis es infructueuses. seulementun petit nombre de macreuses passaient. Au lieu de passer sous le pont. où il a amplementd’espace. elles le surs olaient à très haute altitude (Ilicklin et Hunker-Popma.
43 Oiseaux en hivernageInstallations éoliennes terrestresHabituellement, le nombre et les mous ements d’oiseaux diminuent au cours de l’hiser, Commemoins d’oiseau\ frequentent un site. le nombre de collisions des rail étre moindi e aux installationsterrestres. ( ependani, des caracleri’uiques ph siques ou biologiques. comme des sourcesd’alimentation et lhabitai circonscrit, peuvent fin oriser la concentration d’oiseaux. coniine lasau\ agine. les rapaces et les hiboux et les chouettes.
Installations éoliennes extracôtièresLes installations éoliennes extracôtières ou près des côtes sont plus susceptibles de poser desproblèmes aux oiseaux en hisernage. Par exemple, de grandes concentrations de canards etd’oiseaux de mer en his ernage peuvent fréquenter les eaux libres de glace durant l’his er.Notamment. la perturbation et l’interférence a cc des proies de la région peus eut nuireconsidérablement aux oiseaux en his emage.
5. Facteurs pouvant contribuer aux incidences sur les oiseauxOn trous era ci-après la description de plusieurs aspects clés concernant les installations éoliennesou les sites s’ rattachant qui pourraient avoir des effets négatifs sur l’environnement. La liste n’estpas exhausiise, mais elle permet d indiquer certains des facteurs pouvant contribuer aux effétsens ironnementaux sur les oiseaux en his ernage. en reproduction ou en migration.
5.1 Envergure des installations éoliennesI ntaJ1ations éoliennes terrestresL’ens ergure de l’installation éolienne peut influer sur le taux de mortalité des oiseaux et le degré deperturhation. Autrement dit, dans des conditions comparables. une installation éolienne (le grandeens ergure risque Jas antage d’affi.’ctcr un plus grand nombre d’oiseaux qu’ une de petite CH\ ergure.[e tableau I présente le nombre de carcasses d oi seaux tu ces à di Iïérents pares eoliens auxI tats-l nis en ldnction du nombre J ‘éoliennes échantilh inne. Il dresse les donnees relatis es à desinstallations eolienncs anciennes comme celles du col J’ \ltamonfl et plus récentes, et ces donnéessont présentees en ordre croissant selon le nombre d’eolienrie axant fait l’objet de reles es. Commele tau\ de mortalite n’était pas connu aux eoliennes qui n’ont pas lait l’objet de releses et que lesextraplaPou ont et es itee. l’nsergure du parc eulien n’a pa te indiquee. I n somme. ce tableaumontre que. en géneral, la mortalite obsersee est directement proportionnelle au nombre d’éoliennesechaniillonne. Il est donc permis d’en déduire que. a un endroit donne, on trous eut plus de carcassesd’oiseaux si l’on augmente le nouibre d’eoliennes mou le n mhre echantillonnet. Aucune correctionn’a etc apportée au nombre de carcasses en fonction de l’effleacité de l’ohscrs ateur ou dc larecuperation (par des charognards ou autremenU. mais les données rés dlent que la mortalitéannuelle tend a augmenter proportionnellement au nombre d eoliennes, et ce, menie si celle-ci estsous-estimée. Cela ne signifie pas necessairement qu’un nombre d’éoliennes plus elese se traduirac.k /1çon dzsprojorîionnéc par une plus grande mortalite as iaire par année par éolienne: cela signilie
simplement qu’un nombre plus éleé d’éoliennes risque da antage d’augmenter les collisions
Soiseaux et la mortalité aiaire.
On ne risque pas d’obscrser une grande mortalité asiaire aux petits parcs éoliens dont
l’emplacement a eté bien choisi. Si l’on extrapole le nombre mo>cn estimatifd’oiseaux tués par une
éolienne par année aux Ltats-t ‘ais selon le National ind Coordinating Committcc cN\VCC. 2’ )04.
on peut s’attendre à ce qu’un pare de dix éoliennes cause la mort den iron 23 oiseaux par année.
I e tableau I montre que le nombre de ‘ictimes est inlérieur à cela dans beaucoup de parcs eolien
oûjusqu’à 30 éoliennes ont fait l’objet d’un reIeé. Quoi qu’il en soit. pris en considération dc
laçon kolee. un petit nombre Je morts accidentelles par année à un pare éolien donné ne serait
probablement pas eonsidcre comme un effet négatif important. sauf si certains de ces oiseaux morts
appartenaient a une ou à des especes en péril. 1 outefois. un parc éolien de grande en’ ergure
comptant plus d’une centaine d’éoliennes peut tuer beaucoup plus d’oiseaux et. de ce fait. atteindre
ou dépasser des seuils pouant influer sur la population en général (particulièrement lorsque des
espèces ulnérables sont touchees). Te nombre de parcs éoliens et le potentiel de sites adéquats
actuels et futurs dans une région donnée sont un lhctcur influant sur le risque global pour les
oiseau’. Il ‘audrait mieux. par exemple. aménager un parc éolien de très grande en’ ergure au bon
endroit que de nombreux petits parcs aux main ais endroits. Il est donc important de prendre en
considération l’effet mo>en de chaque éolienne et l’effet cumulé du nombre total d’éoliennes dans
une ione donnée. total qui devrait comprendre les éoliennes existantes et proposées connexes à
d’autres projets dans la même ione.
Plus l’ens ergure de l’installation augmente. plus le risque d’effets négatifii autres que la mortalité
augmente. Les installations de plus grande en’sergurc peinent causer une perte ou une perturbation
plus grande de l’habitat des oiseaux, et les oiseaux à la recherche de nourriture et les oiseau’
reproducteurs sont plus enclins à ii iter les lieux.
Tableau I Nombre de carcasses d’olseau trontes k différents parcs éoliens an États-Unis
larcséoIlens
dfldU%k> n)II)j[flS (W ciA)Buflalo Mountain (IN;Somerset (‘o. (PAlGrcen Shuntain (V nKiondike (OR)
‘Buttalo Lige, Phase t (M’;Ponnequin ((O)But (alt’ Rid2e. Phase 3 .
iSIs4.011”in (iii)I oot (itek Lin. Phas,s 2u I
(3v,‘t ans>Jt Ride coRpButtalo Ri4c Phase 2 M\it3utLdo Ridje. Phase I (M\)toMe t rn’k Lin. Phase l(3)\tonlaUmd IIill ft .‘tt
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Installations éoliennes extracôtièresIl n’existe actuellement aucune information concernant l’ampleur des risques de collision cl deperturbation des oiseaux par rapport à l’ens erure des installations liennes extracôtières.
5.2 Dimensions des tours et conception des éoliennesInstallations éoliennes terrestresLe diamètre du rotor des éoliennes, la puissance des génératrices et la hauteur des tours ont tousaugmenté asec l’essor de l’industrie et l’as ancement de la technologie. Au cours des années 198(3,on installait de petites tours éoliennes, et peu excédaient 1 8 m de hauteur. De nos jours, la hauteurmo\enne des tours éoliennes commerciales sarie de 30 à 50 m, certaines étant deux fois plus hautes.Dans le cas des grandes éoliennes modernes, la surface balayée par le rotor peut équisaloir au triplede celle des modèles plus anciens et plus petits. mais il semble que le nombre de s ictimes soitcomparable dans les deux cas (1 lossell. 1995). (‘cIa signifie que si l’on remplace trois petiteséoliennes par une seule grande, la mortalité as iaire par unité de puissance peut être réduite dedeux tiers (Erickson et u!., 1999).
La taille des éoliennes pourra poser un problème aux oiseaux migrateurs si celles-ci de iennentbeaucoup plus hautes. ;\ctuellement. les plus hautes éoliennes au (‘anada (Vestas \‘$O. 1.8 \1W)mesurent ens iron I 2() m de hauteur. depuis le sol jusqu’à l’extrémité de la surface bala\ ée par lespales. Si les tours sont plus éles ées. l’interaction as cc les oiseaux migrateurs peut être plusfréquente. En général. les objets mesurant moins de 1 50 rn de hauteur semblent présenter unmoindre risque pour les oiseaux migrateurs nocturnes (voir la section 3.6). alors que les objets plusélesés pensent causer une mortalité asiaire massive, comme on l’ohserse aux tours decommunications et aux gratte-ciel.
Les éoliennes peusent prendre la forme d’une tour d’acier tubulaire ou en treillis. I es tourséoliennes plus élesées permettent de capter le sent qui est plus constant et moins turbulent. Enraison de leur poids et de leur grande resistance au sent, les tours tubulaires sont ancrées de cinq àdix mètres de profondeur dans une fondation en béton, alors que les tours en treillis nécessitenthabituellement trois ou quatre piliers au lieu (l’une imposante plateforme en béton. Selon le nis eau
de profondeur du substrat rocheux, on peut aussi boulonner directement à celui-ci les deux types detours. nul besoin ainsi d’une plateflrme en béton. En général. il semble que les tours en treillisfax orisent le perehae des rapaces. ce qui peut aucroitre la mortalite (bien que cela demeureincertain).
On utilise sous cm de plus petites eolicnnes dans les regions plus eloignees. La technologie de Ceséoliennes est plulot sanable: de même. e besoins en électricite s arient considerahlement d’unétablissement ou d’une station locale a l’autre. Sous ent, la hauteur de ces eoliennes. montees surdes tours tubulaires ou en treillis, s arie dc I X à 41) m. De plus. ces eoliennes ont en enéral unes i(esse s ariable ï leurs pales tournent rapidement (dc 10 à 0 tnur par minute mais p ‘Usent
atteindre U0 tours par minute, comme c’est le cas des éoliennes l3erg d’une puissance de 10 kW).In règle generale, dans les régions eloignées. on utilise à petite echelle des éoliennes en
complement des génératrices à moteur diesel, et, selon toute vraisemblance. l’efEt sur les oiseaux
est Idible lorsque l’installation est bien shuée. louteibis, les oiseaux qui pratiquent des vols
nuptiaux peuent être particulièrement menacés par ces plus petites éoliennes, car leurs pales sont
plus susceptibles de se trouer à la hauteur à laquelle ce oiseaux effectuent leurs parades.
Installations éoliennes extracôtières
Il n’existe actuellement aucune information anal sant le’, di ftércntes technologies éoliennes en
matière d installation extracotiere. Il est probable que les éoliennes utilisées dans les nous eaux
aménagements extracdticrs soit plus grandes que celles utilisées dans les installations terrestres.
Elles pourraient atteindre une hauteur de près de 200 m au-dessus du nix eau dc la mer d’ici 201 t)
(hauteur preue d’une éolienne de 10 M: OPE], 20t2).
5.3 Balisage lumineux des éoliennesInstallations éoliennes terrestres
Les éoliennes doixent être munies d’un balisage lumineux conftrme aux lignes directrices de
Fransports Canada. I e balisage lumineux est exigé uniquement pour les structures dont la hauteur
totale dépasse 1 50 m (ce qui exclut actuellement toutes les éoliennes). Dans le cas des structures
d’une hauteur de 90 1 50 m. lransports Canada doit procéder à une é aluation pour déterminer les
exigences du balisage lumineux. Le balisage lumineux des structures mesurant moins de 90 ni n’est
requis que dans les cas où elles se situent sur une certaine surl’ace de limitation d’obstacles d’un
aéroport . Les règlements de I ransports Canada permettent également au niinistre des Transports
d’éaluer toute structure de façon indiiduelle et de modifier au besoin les exigences en matière de
balisage lumineux (consulter le site Internet de Transports Canada: section 2.2 intitulée Obstacles à
baliser ou à éclairer du Règlerneni de 1 aviation canadien).
Dans le cas des éoliennes exigeant un balisage lumineux lbndé sur les lignes directrices indiquées
ci-dessus. lransports Canada exige la pose de phares à feux clignotants rouges. on peut toutefois
utiliser le balisage lumineux à feux clignotants blancs à mo enne intensité comme s stème de
remplacement du balisage rouge. Cependant. dans le cas de structures mesurant moins de 60 ni de
hauteur, il est nécessaire de procéder à une éaluation aeronautique pour déterminer si lasubstitution des feux blancs peut nuire aux automobilistes, à l’atterrissage des a’bons. etc. Le I .S.
lish and Wildlife Sers ice recommande d’utiliser seulement des feux clignotants blancs sur les tours
la nuit. Il recommande aussi d’utiliser le moins possible ces fetix et de maintenir au minimum
admissible leur intensité et leur Ifequence de clignotement par minute te—à—d. assurer l’inter aIle le
plus long possible entre les clignotements. Il Ibudrait e”. iter d’emploer des feux rouges clignotants
ou permanent. car, eonlparatcen]ent aux feux clignotants blancs, ils semblent attirer da antage les
oiseaux migrateurs noewrnes (t . I ish and Wildlife Sers ice. 2003). Il semble également que ces
feux perturbent beaucoup plus les oiseaux migrateurs nocturnes (elles les incitent a oler en cercle
ou sur place que le font les feux elianotants blancs (iitithreaux et Belser, I 099: (iauthreaux.
2 )‘ )( t
On dispose actuellement de peu de renseignements sur les risques présentes par le balisage
lumineux des éoliennes pour les oiseaux migrateurs. I a plupart des renseignements concernant le
balisage lumineux des tours ont trait aux tours de communications elles-ci sont géneralement plushautes que Ie eoliennes et sont so’ixent haubanees Il cst egalement beaucoup plus probable que cesstructures soient balisées à l’aide de feux permanents (surtout des lampes a “.apeur de sodium),
lesquels semblent attirer daxantage les oiseaux (Kerlinger. 2004 t. De plus. presque toutes les
collisions signalées aux tours de communications semblent s’être produites à des tours dunehauteur de plus de 152 m (500 pieds. les haubans agissant comme des < grands filets à oiseauxdans le ciel » (Kerlinger. 20P4,). Par ailleurs, les éoliennes ne dépassent pas encore une hauteur de120 m (voir la section 52). sont balisées principalement par des fèux clignotants rouges et ne sontpresque jamais haubanées. Lu conséquence. elles ne tuent pas autant d’oiseaux. La section 5..lpresente de plus amples renseignements sur les incidences du balisage lumineux des tours decommunications sur les oiseaux
Il Idudrait é\ iter d’utiliser dans les parcs éoliens des feux pennancnls. tels que des lampes a apeurde sodium, sur toute structure. compris dans les sous—stations. 1)ans un parc éolien deNlountaineer. en \‘irginie-Occidentale, on u détecté un nombre relativement élevé de mortsaccidentelles, mais ces décès étaient regroupes autour de l’éolienne située le plus près d’unesous—station balisée par des lampes à \ apeur de sodium, ainsi qu’autour de la sous—station. I ‘epaisbrouillard au cours de la même nuit peut i’ oir causé les morts accidentelles Kerns et Kerlinger.
oir plus bas>.
5.3.1 Examen de l’information sur les collisions d’oiseaux liées au balisageOn a enregistré des collisions d’oiseaux en abondance (des milliers d’individus en une seule nuit>dans plusieurs tours de communications dans l’est de I ‘Amérique du \ord. L’ornme il u éteprécédemment mentionné, il y a trois différences principales entre les tours de communications etles éoliennes. Les tours de communications sont généralement plus hautes que les éoliennes, ellessont da antage balisées (ou différemment des éoliennes), et la plupart (en particulier les plus hautesstructures) sont haubanées. Malgré ces difh.’rences. il est important que le présent documentexamine les collisions d’oiseaux avec des tours de communications en ue de faire ressortir lescaractéristiques qu’il faut éviter pour les éoliennes,
Aux Itats-Unis. on a enregistré une mortalité ax iaire massive à des tours de communications: lebalisage des tours est généralement considéré comme la cause des mortalités. Par exemple. en iron30 000 oiseaux de 56 espèces différentes ont été tués dans la nuit du 1 8 au 19 septembre I %3 a latour située à Eau Claire. au Wisconsin (Kemper. 1964). Quatre autres cas de mortalité massie.moins dramatiques mais tout aussi preoccupants, se sont produits a la tour de K UKA- I V. de 439 mde hauteur, dans le comté de Shaxnee. au I exas. I e bilan était le suixant : plus de 2 808 oiseaux de91 espèces différentes ont été tués (soit 919 mdix idus les 25 et 26 septembre 1985, 635 indi idus les0 septembre et l octobre 1986. 834 indiidus les 11 et 12octobre 1986 et 420 indiidusles 8 et 9octobre 1994> jBall et aL. 19951. Bien que de tels cas semblent exceptionnels. il arrisefrequemment que de plus petits nombres d’oiseaux sont tués à des tours de communications, et lesmortalités cumulaties sont souent importantes. Par exemple. on a enregistre une mortulitemoyenne de 1 517 oiseaux par annee sur une periode de 29 ans, soit de 195 u 1983. à une seuletour de communications située à I allahassec. en I bride, la plupart des accidents etant Nurx enus aupi intemps (20 p. I 0(s) et en automne P 1 (B)) t i awfdrd et I ngstrom. 200 lj I es i mI u aumoins un oiseau est mort. la médiane du nombre d’oiseaux tues etait de et la mo enne de I 2,(Crafl tord et I ngstrom. 20011. La mormulitc dcp:mssait 500 oiseaux dans seulement 1), 1 p I desjours etudiés ( ra lord et 1 ngstrom. 2) H) I . I es oiseaux les plus çnu ent touches sont les oiseauxchanteurs. dont les parulines, les ireos, les gri\ es et les bruants 1 (‘asc e aL. 1 965: ( ald\\ cIl et\\allaee, 1966: Cra fird et Fngstromn, 20>
Il sCSI produit quelques cas de collisions multiples d’oiseaux à des pares éoliens, mais aucunn’approche en importance ceux ohser ès u des Tours de communications. Le cas le plus important
2t
en Amérique du Nord s’élevait à 27 oiseaux au parc Mountaineer, en Virginie-Occidcntale. par une
nuit de brouillard à la lin de mai 2003. Les carcasses ont été (roui ées au pied de trois couennes et àune sous-station fortement éclairée. Il semble que les lampes à iapeur de sodium qui eclairaientcelle-ci ai aient attire les oiseaux migrateurs. C. ‘était la principale cause des collisions, car beaucoup
d’autres éoliennes étaient balisées par des lampes stroboscopiques rouges, soit 12 des 44 éoliennes
du pare. Aucune carcasse n’a été trouvée au pied de ces éoliennes: on en a (rouie seulement au pied
des éoliennes adjacentes à la sous-station Kerlinger. 2001). Il importe de noter que. nième s’il n’> a
eu qu’un cas de collisions multiples. on a troui é au total 28 autres oiseaux migrateurs nocturnes
morts durant l’annee (au total 65 oiseaux de 21 especes differentes). \près correction en tbnction de
l’efficacité de rohsenateur et de la récupération des carcasses par des charognards. on a établi un
taux de mortalité de 180 oiseaux par annee ii 44 éoliennes 4 oiseaux par éolienne par année:Kerlinger. 2001,. ce qui est élevé pour un porc éolien. On a également observé qu’aucun autre cas
de mortalité multiple ne s’est produit après que les lumières de la sous-station ont été eteintes(Kerlinger. 2003).
Bien que la migration nocturne se fasse généralement à des altitudes supérieures a la plupart des
structures des parcs éoliens, et même supérieures à celles de nombreuses tours de communications.
des collisions ec des structures mesurant moins de 100 m de hauteur se produisent quand même(soir Mer> et aL 119801 pour un examen). Le 7 octobre 1954. on a trouvé environ 1 000 oiseaux
(22 espèces) à un parc de stationnement à ()ak Ridge. au lennessec (l)unbar. 1954,. les oiseaux
sont entrés en collision avec des lignes aériennes de transport d’électricité, des phares. desautomobiles et la chaussée, et on a trouvé la plupart des carcasses sous les lumières du parc de
stationnement (Dunbar, 1954). Les lumières semblent aussi aoir joué un rôle dans les collisions de
144 oiseaux (30 espèces) a’ec un remonte-pente vivement éclairé à (iatlinburg sunenues les 21 et
22 septembre 1963 (Savage. 1963L Cependant. elles ne sont pas toujours un facteur dans lescollisions en masse mec des structures basses. Par exemple. ‘.lie (1977) a trouvé, après une nuit
de brouillard et de pluie. 73 oiseaux morts de 21 espèces difl!rentes à une tour d’incendie en
Virginie-Occidentale. La tour d’incendie de Sand Springs, dc 30 m de hauteur. se trouie au sommet
de Chesnut Ridge. à en’ iron 800 md’altitude. Elle n’est pas dotée de balises lumineuses, et il n’> aaucune lumière dans la partie de (‘ooper’s Rock Statc Forest où elle es’t située. l)ans ce cas-ci. lemauvais temps et l’emplacement au sommet de la montagne ont augmenté le risque de collision.
même si la tour n’est pas balisée et est relatiiement basse.
Cochran et Graber (1958) ont été les premiers à mener des expériences montrant que les oiseauxsont attirés par les ioyants d’alarme rouges des tours. Leurs dénombrements des appels d’oiseaux
en iol efkctués pendant deux nuits au site d’une tour dc 30 in de hauteur située près deChampaign. en lllinois, ont ré’. élé que les oiseaux migrateurs etaient rassemblés pris de la structure,
tamise hors tension des io3ants d’alarme rouges de la tour a eu pour effet dc dispeiser ces oiseaux
Plusieurs h> pothc’es ont éte proposees pour expliquer l’aurait qu’exercent les signaux lumineux sur
les oiseaux Selon l’une d’elles, lcs oiseaux en migration pe.rçonen? les balises lumineuses rougescomme des etoiles, ce qui les incite a essayer de maintenir continuellement le cap sut celles-ci,
Des lors, ils ‘oIent en spirale touinurs rlus pres de la structure ci finissent par entrer en collision
aiec les haubans (Kcmper. 1964 j.
On estime que le nombre d’oiseaux tues en une nuit donnee est fonction des cnndttions
metéorologiques locales et du nombre d’oiseaux en iol, et que les cas de mortalité niassi’e se
produisent generalenient par Inau’. us temps. pat exemple dans te hiouiilaid. loisqui. j41 cou’. erturi.
nuageuse est basse (Seets et Bohlen. 19T7) ou lorsqu’il y a des précipitations (Case cuit. 1965:
Seets et BoWen, 1977: frlkins, 1988). 1 a réfraction et ha reflexion de la lumière par les gouttelettes
3’,
d’eau présentes dans l’air intensifient le « faisceau lumineux » et finissent par déconcerta lesoiseaux chanteurs en migration iHkins. 1988 1. 1 ne autre h3pothèsc suggère que les oiseauxdeviennent désorientés sur le plan spatial sous l’effet de la réfraction et de la réflexion & la lumièreproduites par les feux d’ai ertissement des aéronefs des hautes tours par temps plu; ieux et brumeuxparce qu’ils perdent les ;eritahles repères visuels par rapport au plan hori’ontal fllerbert. 1970).Selon une autre h>pothèse. les hautes structures ponant des balises lumineuses ont pour effet deeonlhndre les oiseau’. lorsqu’ils sont priés de reperes célestes lorsque le ciel est couert, si bienqu’ils ne peinent plus s’orienter (Jaroslo’v. 19791. la recherche sur les causes et les mécanismes del’attraction par la lumière ur les oiseaux en est encore à ses premiers balbutiements. De nombreuxrapports d’étude du phénomène ont été publiés, niais aucun ne frire de’ données concluantespennettant de pri; ilégier une hypothèse ou une cause en particulier.
Installations éoliennes e’itracêtières
On possède peu d’information concernant les eflèts du balisage lumineux des structuresextracôtières sur les oiseaux. mais il est bien connu que les feux des platefonnes pétrolières etga/ières et des gros na; ires attirent les oiseaux marins et les oiseaux migrateurs. (‘et aspest estparticulièrement important lorsque la visibilité est mauvaise, auquel cas des milliers d’oiseaux enmigration volent en cercle sur de longues périodes amour des objets lbrtenient éclairés. (Des oiseauxperdent beaucoup & leur précieuse énergie. ce qui entraîne parfois des morts prématurées (Wahl etlleinemann. 1979: Bakker. 2001: Wiese e: al.. 2001.
in général. le pc de balisage lumineux requis au large des côtes est particulier au site et dépend del’envergure du projet il est déterminé au ternie d’une évaluation de la (jarde côtière canadienne etd’une éialuation aéronautique faite par Transports Canada. Les articles 8 et 9 du Règlement sur lesouvrage.s construits dans les eaux navigables s’appliqueront probablement de sorte que lesna’ igateurs soient a;ertis de la présence d’éoliennes, (‘e règlement exige que les feux installéssoient blancs et clignotent 60 fois à la minute, qu’ils soient ;isibles au moins 12.8 km à la ronde etqu’ils soient placés à une hauteur d’au moins six mètres au-dessus du niveau de l’eau. I n signalsonore est également requis. Il devrait émettre un son d’une durée de deux secondes (suhi d’uninten aile de 18 secondes & silence au cours dc chaque période de 20 secondes) qui peut êtreentendu à au moins 3.2 km de distance lorsque la tisibilité est inferieure à 8 km. Les effets de cesexigences sur les oiseaux sont inconnus.
5.4 VItesse de rotation des palesIl ciste plusieurs misons au risque de collision d’oiseaux a;ec des éoliennes, une des principales etde plus é; identes étant que les oiseaux ne peu; cm pas détecter les pales du rotor lorsqu’ellestournent. Deux h; pothèses principales sont a;ancees pour expliquer le problème auquel sont surtoutconirontés les rapaces il Iodos et al. 2001: I lodo’%. 2003 i: H le tlou de mou; ement (la perte dedel’inition d’un objet qui st. deplace rapidement) et ‘j l’incapacité des oiseaux de se concentrer à lalois sur la chasse et sur la suneillance de l’hoiion pour euter les obstacles Or. pour ce qui est dcla seconde h>pothese. il semble improbable que les rapaces en chasse soient incapables deconcentrer leur attention a la fi;is ;ers le bas et ;crs l’ai ant. car leurs yeux possedent deux foi cas.l’une senant à la ;ision frontale et l’autre. a la ;ision ;ers le bas (liodos e: ai. 2001: llodos. 20111).li est donc probable que le flou de mou; enient soit la raison principale de l’ineapacite des rapacesset petit—être de d’autre’. niçeanw) de ;oir leç pales di”. éoliennes tourner durant le jour lorsque ii;isihilite est bonne (llodos e, ut. 2(Nl1: Ilodos. 2003: Mclsaac. 20DB. (‘e flou est plus prononceprès de l’extrémité des pales. là oû la ;itesse dc rotation est la plus grande (Hodos e: aL. 2(101:I lodos. 2003).
h
À ce jour. la plupart des études sur la mortalité des oiseaux liée aux effts des pales des éoliennes
ont porté sur d’anciens modèles d’éoliennes à ‘ itesse variable. Les pales de ces modèles peu’ ent
atteindre une très rtrande itesse. soit d’au moins 60 tours par minute ou plus ou jusqu’à 31 0 tours
par minute. comme c’est le cas axec les eoliennes Berg «une puisance de 10 kW), ce qui kut du
flou de mouvement un problème important. I Jeureusement. la technologie des éoliennes s’étant
grandement améliorée, les modèles recents sont dotés de pales qui tournent beaucoup moins itc
(dc 15 à 30 tours par minute). Quoique les extremites des pales tournent très rapidement tjusqu’a
250 km h), les oiseaux les perçoivent daantage, Le risque de collision est donc moindre.
Cependant. il n’existe actuellement aucun rapport «études concernant l’effet de la réduction de la
\ itesse des pales sur les oiseaux, Des études ont porté sur la possibilité de réduire I ‘el’kï du hou de
mouement sur les oiseaux en peignant les pales de différentes couleurs et en diflérents motus,
Aucune conclusion n’a encore etc tirée. l)e plus. pour des raisons d’ordre esthétique et financier,
il ne s’agit probablement pas d’une solution acceptable.
on estime que le mouement des pales des éoliennes n’influe pas sur le risque de collisjon durant la
nuit. H semble que la plupart des collisions se produirait même si les pales ne sont en mous cment.
Par exemple. une nuit, une (irive des bois (IIt/OLiehlu lmtslL’linLl) en migration a heurte Léolienne
Vestas V80 de Pickering pendant que les pales étaient immobiles. (‘ne autre nuit, la même chose est
arrivée à un Viréo de Philadelphie ( Vireo philadelphiens) au même endroit au moment où. semblet—
il, les pales de l’éolienne n’étaient pas en mous ement (James. 201)3) .A Nasudden. en Suède. on a
trouvé 43 oiseaux morts prés d’une éolienne alors que les conditions météorologiques étaient très
maux aises. L’éolienne ne fonctionnait pas à ce moment-là, mais il axait un balisage lumineux à
I t) m au—dessus du sol R iill et aï, I 996 r S’ajoutent à ces exemples des collisions a’ ant causé une
forte mortalité survenues à des tours et à des structures où les pales n’étaient pas en mous ement
(voir la section 3.2.6. Quoi qu’il en soit, dans le cadre de tous les projets de construction
d’éoliennes, on devrait ciller à réduire au minimum la s itesse de rotation des pales afin d’ès iter le
flou de mouvement et ainsi contribuer a améliorer la visibilité des éoliennes durant le jour.
5.5 Mortalité causée par des filsInstallations éoliennes terrestres1)epuis la tin du XlN siècle, les fils à haute tension sont une cause de mortalité as iaire en :\iflérique
du Nord, Le US I ish and Wildlife Sers ice (Mansille, 2000) estime que les collisions asec des fils
entraineni la mort de di aines de milliers d’oiseaux chaque année. I outelois. il pourrait s’agir d’une
sous—estimation si les resultats d’une étude menée par Koops I 0X7) aux Pax s—Bas s’applique au
contexte nord-americain. Si l’on en croit les estimations de Koops t 1987), les fils de transport
d’électricite pourraient tuer en’ iron 174 millions d’oiseaux par annee aux Ltats-L nis
I e problème des collisions d’oiseaux as cc des lignes de transport d’clcctricité et d’autres fil5
aeriens a (hit l’objet de nombreuses etudes, dont très peu d’études quantitatises cependant Plusieurs
gloupes d’oiseaux semblent as oir une plus grande propension a heurtei des fils. tout
particulièrement la saus agine. les oiseaux de L age et les rapaces Stout et (ornss dl. I °‘o. ( urtis.
I 97: Anderson, I 07g: I nderson et Kirs en, I 99: \ I S (‘orporation. I 09: ()lsen et Ulsc’n, I 9$u:
\Ioorehead et J pstein, 1985: 1 aanes, I 9X7. I es rapaces sont des sictimes fréquentes fi nderson et
Kirs cii, I 079: ()tsen et Olsen, 1980j. Par exemple. des collisions as cc des fils neriens seraient, en
Grande-Bretagne. une des principales causes d’accidents entrainant des blessures ou la mort che,
les 1’ iueons emerdl ns Fak o colurnhar/us [()lsen et ()Isen 19801 1 a saus agine et les oiseaux de
ris age peux ent reussir à ès iter les éoliennes, ce qui n’a toutefois pas empêché un nombre
considérable d’oiseaux de heurter des lignes de transport d’eleetricite associées a ces installations.
suitot lorsque ces derniéres se trouvent â proximité de milieux humides t :\nder’on. 1978: t S(‘orporation. 1979: \Ioorehead et Lpstein. l9X5. À une centrale électrique en Illinois. quelque40(3 oiseaux O.4 p. 10(3 du nombre maximum d’indi idus présents) étaient tués chaque automneaprLs étre entrés en collision a’ cc des lignes de transport d’énergie: la plupart des ictimes étaientdes Sarcelles a ailes bleues 4no d1L’or\: -\nderson. 197X3. Chez certaines espéces de sau agine.jusqu’a 64 p. 100 de la mortalite résultent de collisions aec des lignes dc transport d’électricite. etle bilan est egaleinent appréciable chez les oiseaux de ri age. I e 6 mai 1 969, plus de 150Phalaropes â bec étroit (Phalaropus Iohatus) ont trou e la mort en heurtant des fils électriques lelong de la côte a lrinidad, en Califhrnie (Gerstenherg, 1972).
En réduisant le nombre de fils aeriens aux sites d’éoliennes, on fira diminuer le risque de collisiond’oiseaux dans la région. I outelois, il peut se réx éler impraticable d’entuir des câbles là où lesubstrat rocheux est proche de la surface ou l’affleure. dans l’Arctique là où il a pergélisol et dansd’autres regions où la terre ne suffit pas à l’enfouissement. Dans les zones ou le risque de collisiond’oiseau\ est liiible et où il existe des habitats sensibles, l’enfouissement des câbles peut causer plusde dommages aus oiseaux locaux à cause de la destruction (le l’habitat que n’en causeraient des filsaériens en raison (les collisions.
installations éoliennes extracôtièresRien qu’il n’existe aucune infhrmation concernant les effits des lignes de transport d’énergieaériennes sur les oiseaux au large. celles-ci présenteraient probablement un risque de collisionconsidérable. Toutefois, pour bien d’autres raisons. la plupart des promoteurs de projets aimeraientmieux fhire passer les fils sur le fond de la mer ou du lac lorsque les conditions le permettent.
5.6 Configuration des installationsInstallations éoliennes terrestresLa configuration des éoliennes en milieu terrestre dépend le plus sou’ ent de la ressource éolienne.A ce jour. personne n’a étudié à quel point la configuration générale (les pares eoliens poi\aitinfluer sur les oiseaux. En genéral. il faudrait espacer les éoliennes d’au moins 20(3 m pour é iterd’entraer les déplacements des oiseaux (Percival. 2001), (‘et espacement recommandé est souentcelui exige par l’industrie pour que soit réduit l’efft de sillage des grosses éoliennes sur leséoliennes oiSifles.
Installations éoliennes extracôtièresLe choix (le la conliguration des eolieimes la moins nuisible à l’as ifaune dans un site extraeôtier faitl’objet de débat. Il existe de nombreuses possibilités, chacune présentant des aantages et desineou\ enients. Par exemple. de longs chapelets d’eoliennes peux cm faire obstacle au ‘. ol desoiseau\ I outefiis, si les éoliennes sont trés dispersces de sorte que soit réduit le risque de nuire auxmou’ cmcnts des oiseaux. on risque d’agrandir la zone de perturbations obligeant ceux-ci àse deplcer. Vaut-il mieux installer les éoliennes en rappcs ‘serrées pour reduire le plus possihlI ‘etendue dc la 7one touchec.’ I )es churcheurs estiniurit jue hi configuration un rappes est plusnuisible a certaines especes que ne l’est la configuration lineaire, mais, dans le premier cas.il se peut qu’on puisse reduire la mortalité ultérieurement (Perci ai, 200! r. Dans le cas des parcs degrande eneigure, on pourrait preoir de larges couloirs entre des grappes d’eoiiennes serrees(I angston et Pullan. 2003).
5.7 Construction des installationsIn%(allations éoliennes terrestres
I e temps nécessaire à la construction d’une installation éolienne dépend de plusieurs facteurs, dont
1 ‘en\ ergure du projet, le terrain et le climat. loutelois. il faut généralement compter de 9 à I X mois
(parfois moins). Pour cette raison. il est probable qu’une partie des tra\ aux de construction
se déroule pendant la saison de reproduction des oiseaux: cependant. la forte perturbation
habituellement associee à ces travaux est temporaire.
I a construction commence généralement par l’amcnagement des \oies d’acces aux emplacemems
des couennes. ce qui implique des traxaux de niellement à l’aide dc materiel lourd, I. me Ibis
I ‘amenagement des oies terminé, on creuse dans le sol et coule le béton potii’ aménager les
lbndations des tours. Puis. si les conditions du sol le permettent. on creuse habituellement les
tranchées destinées a l’enfouissement des câbles electriques. Vient ensuite la construction des
sous-stations et de tout autre bâtiment necessaire (les bâtiments d’entretien par exemple), suis ic
finalement de l’assemblage et des essais des éoliennes. L’érection comme telle d’une colienne
prend normalement une journée.
Comme la plupart des installations éoliennes sont presque entièrement automatisées, les
perturbations anthropiques dans un site sont minimes une fois la construction terminée: seulement
quelques membres du personnel visitent le site occasionnellement. I outefois, certains sites font
l’objet d’une promotion ‘isant à attirer les touristes, ce qui peut entraïner une importante
perturbation d’origine humaine.
Installations éoliennes extracôtièresI a construction extracôtière d’éoliennes peut amener de fortes perturbations lesquelles peux ent
entraîner des incidences. Par exemple. le bruit causé par le forage et l’enfoncement des pieux qui
peut perturber les oiseaux locaux et déranger les populations de poissons—proies. Il faut également
prendre en compte le risque que des matières dangereuses, comme du pétrole, s’échappent du
matériel et de l’équipement utilisé pour l’installation des éoliennes. Les oiseaux de mer en mue.
particulièrement les plongeons et les macreuses, sont très sensibles aux perturbations. Ainsi, dans le
cas du parc éolien de Ilorns Rex. il a été proposé que la pose des câbles électriques ait lieu en
dehors de cette période critique de la mue (l.angslon et Pullan, 2003).
5.8 Exploitation et entretien des installations
I e fonctionnement des éoliennes étant géneralement automatisé. cela reduit la durée necessaïrc de
la présence humaine sur place. atténuant ainsi les perturbations que peux eni subir les oiseau\ dans
la region. I.’énergie éolienne, bien qu’elle soit considérée comme . propre et écologique
implique la production de dechets à tous les stades du c’cle de x ie d’une installation éolienne (la
construction, l’exploitation et la mise hors ser iee . Parmi les polluants potentiels, on retrou e
ers lubrifiants, comme les liquides pour la boite de x itesse. les fluides h drauliques et les
liquides isolants utilises dans les éoliennes I es quantités de ces substances dependent du modele
d’eolienne utilise, mais elles sont generalement mot erieures a 20 litres, ( es substances, si on les
manipule adéquatement, presentent peu dL mnnaee pour les oiscau\. I n plus des de\ ersements qui
peux eut surx cuir au cours des travau\ d’enlrL’iien périodique. une contamination peut egalemeni se
pmoduire si l’on n’inspecte pas les couennes reuliérement pour reduire au minimum les fuites de
liquides.
I ont comme dans le cas de la construction d’une éolienne, les acti\ ites lices à la mise hors scr\ ice
des couennes pourraient perturber les oiseaux sur le sIte, I’n et let. ces actixites produisent beaucoup
de déchets, car ii faut démonter toutes les eoliennes. enle er toutes les lignes de transport denergie
aériennes (les fils enlduis de raient étre laisses tels quels) et tout autre équipement ainsi qu’e\ acuer
les dèchets un endroit approprié.
5.9 Considérations météorologiquesAu Canada, les conditions météorologiques changent d’un jour a Vautre alors que des dépressions etdes antic clones se déplacent dans l’ensemble du pays. généralement de l’ouest sers l’est.\ des latitudes lemperées, le nombre d oiseaux en xol arient souent de dix ou même de cent fois
d’une journee ou d’une nuit l’autre, dependant en grande partie des conditions méteorologiques(Richardson. 2000). Lorsque le temps est clément, un oiseau peut migrer sur plusieurs centaines dekilometres de jour comme de nuit: lorsque le temps ei maux ais, il peut ne pas migrer pendantplusieurs jours Richardson, 2()()t0. (‘haque espèce ditEre. mais le nombre d’oiseaux migrateurssemble parfiis plus éle é lorsque les ‘culs sont légers ou que les x ents les poussent que lorsque lesents sont contraires. ne telle situation permet aux oiseaux de o\ager une distance donnée plusrapidement et en dépensant moins d’énergie que s’ils olaient la même distance dans un xent debout(Richardson, 2000). I)ans l’héniisphere Nord, les ‘Vents soufflent dans ie sens des aiguilles d’unemontre prés des toues où la pression atmosphérique est éleée et dans le sens contraire, pres deszones ou la pression atmosphérique est basse. En conséquence. il est très probable que les xentssout’flent du sud lorsqu’il a un anticclone sers l’est nu une dépression \ ers l’ouest. Au printemps.un pI us grand nombre d’oiseaux migrent dans de tel les conditions météorologiques. En automnetoutelois, il est très probable que les vents soufflent du nord lorsqu’il y a une dépression ‘.ers l’estou un antic’ clone vers l’ouest. l)ans de telles conditions. un maximum d’oiseaux migrateurs oflitendance à x oler (Richardson. 2000). I)’autres variables météorologiques, telles que la température.l’humidité et la pression atmosphérique, réagissent étroitement ensemble. On ne sait pas très bienquelles xariahles suggèrent aux oiseaux de migrer ou de rester au sol (Richardson. 2000).
De nombreuses études indiquent que certaines conditions météorologiques (par exemple unevisibilité réduite augmentent le nombre de collisions a cc des structures artificielles, notammentavec les tours de communications (Case et aL. 1 965: Seets et Bohlen, 1977: Elkins. 1988: oir lasection 5.3.1). Cependant. même par mauvais temps. il convient de noter qu’on a signalé très peu demultiples morts accidentelles d’oiseaux aux installations éoliennes. En Arnérique du Nord, le plusgrand nombre de collisions d’oiseaux en une seule nuit s’éle ait à 27 au parc Nlountaineer,en \‘irginie-Occidentale, par une nuit de brouillard à la lin de mai 2003. Les carcasses d’oiseaux ontété trouvées au pied de trois eoliennes et d’une sous-station fbrtement éclairée (Kerlinger. 2003:soir la section 5.3.1). I a majorite des collisions qui se produisent dans les parcs eoliens mettenten cause un seul oiseau. 1. 1n autre cas de mortalité massi e s’est produit dans un parc eolienen :\mérique du Nord où 14 oiseaux ont été trous ès morts près (le deux éoliennes adjacentespendant un orage ioleni (Erickson et ciL, 2001: Johnson et al . 2002).
I n autre cas de collisions multiples d’oiseaux s’est produit pai maux ais temps dans tin parc éolienau cours de la migration printaniere I n tout. 14 oiseaux sont entres en collision J\ ccdeux eoliennes sans balises lumineuses a Buffttlo Ridge. au \4innesota, la nuit du 1 6 au 1 7 niai 1 999(Johnson LI cil. 2002) \ il lents, on a e alue que I 70 oiseaux au total a aient etc tues a 1 8 eolien ticsa Oosterhierum, aux Pay s-Bas, durant sept nuits consecutis es a l’automne 198$ \\ inkelman, 1 995).[‘n troisième exemple d’un Cds de mortalité a iaire multiple est surenu à une eolienne situee à\asuddcn, en Suède. ou on a trous e 43 oiseaux morts pres d’une couenne lorsque le temps etait tresmati ais: celle-ci ne fonctionnait pas à ce moment-la. mais elle etail éclairée par un seul feu placé aI O u Jcssus du (ijL m’., I 0’)O). I )ans 1enstii L.. Je bilans dL LttL dc] iUi sont
rarement signalés et continuent d’ètre un phénomène raie. mais des cas du genre peux cm se
produire par maux ais temps.
Dans le Dakota du Nord. on n étudié le comportement d oiseaux migrateurs ô une tour de
conununications mesurant 366 in de hauteur sous di erses conditions meteorologiques
\ ers cl u!., 1977). Durant l’automne, la plupart des accidents sont surs enus la nuit par s isihilité
reduite lorsque des oiseaux migrateurs volaient autour des tours. Au printemps cependant. les
accidents se sont surtout produits durant des nuits claires lorsque des oiseau\ ont trappe des
haubans .\ven c,u!.. I 07’ r De plus. le taux de mortalité arie selon le uroupe taxinomique : les
rôles et les roselins sont tues accidentellement surtout la nuit par temps clair, tandis qu’il n
beaucoup plus de morts accidentelles chez les parulines par nuit de temps nuageux
(Aser ci aL. 1977),
Il est intéressant (le constater que les phases de la lune pourraient iouer un rôle aussi important dans
les risques de collision (lue les conditions météorologiques, on a comparé une etude sur les
collisions d’oiseaux axec des tours aux Etats-[nis a une étude sur les mortalités d’oiseaux à un
phare néerlandais : la répartition des oiseaux tués n’était pas uniforme. Ln fait. il y as ait un
reroupement important d oiseaux tués pendant la nous elle lune et aucun oiseau n’a éte tué pendant
la pleine lune Verheijen. 1981).
5.10 Caractéristiques physiques du paysageI es caractéristiques physiques du paysage peux ent fortement influer sur les mouvements et le
comportement des oiseaux (s oir les sections 4. et 6 pour obtenir les détails). Par exemple. les
oiseaux migrateurs diurnes ont tendance ô suivre les ris es des lacs. les cours d’eau. les crêtes et
d’autres formes linéaires. Durant la journée. les peninsules et les îles peuvent héberger des
concentrations d’oiseaux migrateurs nocturnes qui ont surs olé de grands plans d’eau et qui
s’arrêtent sur les îles Situées près des côtes et sur les caps pour se reposer et se nourrir. 1 es îlots
d’habitat, par exemple les terrains boisés. peux eut jouer un rôle semblable: ainsi, des oiseaux
migrateurs peux eni se rassembler dans des milieux par ailleurs hostiles. comme les pa sages
agricoles ouverts et des zones industrielles.
6. Analyse des lacunes dans les connaissancesI.e present document n fait ressortir de nombreux secteurs pour lesquels notre compréhension
actuelle est insuffisante en ce (lui concerne les incidences possibles des éoliennes sur la
consers ation des oiseaux. l.a présente section expose quelques-unes des plus importantes lacunes
dans nos connaissances,
Migration d’oiseaux : li e\iste de nombreuses puhlieations sur la migration des oiseau.comptant
plusieurs milliers de re%,renees. E outefois. la plupart des renseineinents sur la iniration sont tre
generaux. Dc plus, il nous manque des renseignements precis sur les s oies et les temps de migration
d’especs ou de groupes d’espèces spécifiques.
li Liut notamment repondre aux questions suis antc en ce quI on.erne le ( inda et l’est de
I’ \ mci ique du Nord en genera I
I es oiseaux migrateurs suis eut-ils des crêtes ou des montagnes durant leurs sols ou se
rassemblent-ils le lonc (le ces crêtes ou de ces montagnes?
\ quelle altitude les oiseaux migrateurs nocturnes s oIent-ils durant dif’lrentes conditions
mél é wo logiques\ quel moment surs iennent les morts accidentelles?
Quels Sont les effets des différents balisages lumineux sur le comportement des oiseauxmigrateurs nocturnes?Quelle est la « hauteur limite » des tours ou des eoliennes occasionnant des collisions en masse?Quel est le rapport entre cette limite et d’autres facteurs, tels que les balisages lumineu\. lesconditions méteorologiques et le choix d’un emplacement?Existet-il des oies de migration precises et identifiables au (‘anada où l’on dexrait eiter de
construire des parcs eoliens’?
Il est essentiel de désiuner les sites de migration importants au Canada et partout en \mérique duNord). I.e personnel du ser\ ice n téortilogique d I:n ironnement Canada établit actuellement lacarte des couloirs de vent au Canada l’intention du secteur de l’énergie éolienne. I.e Sers ice
canadien de la faune ( SCF d’ F.n ironnement Canada espere egalement évaluer I’ importance de ces
couloirs de vent pour les oiseaux migrateurs gnîee l’un des produits, soit un outil cartographique
serxant l’é\aluation des endroits (le prédilection aux echelles locale et régionale pour les parcs
eoliens. Il espère du même coup réduire au minimum les incidences possibles sur les oiseauxmigrateurs (Mélanie Cousineau, SCF. comm. pers.). Pour un tel projet. les éléments suiants sontnécessaires:
1. In tableau chronologique géographique sur la migration de groupes d’oiseauximportants partout au (‘anada:
. Caractérisation de di\ erses ariables migratoires. plus particulièrement le long decouloirs (le vent, notamment la direction et l’altitude de vols, le nombre relatif d’oiseaux
migrateurs et l’utilisation spéciale (le cas échéant des caractéristiques topographiques.telles que les crêtes et les montagnes.
Il serait possible d’établir une ébauche de la chronologie migratoire i partir des données fournies
par les stations membres du Réseau canadien de surveillance des migrations (\isiler le site
x.bsceoc.org national cmrnn.html, en anglais seulement). f.a caractérisation des xariablesmigratoires est une tâche plus difficile qui exige l’utilisation d’enregistrements sonores, de radars de
marine et de radars météorologiques (c.-à-d. Nexrad ou Doppler). I.es radars de marine peu\ent être
utilisés aux échelles locales ou régionales. en combinaison axec des enregistrements sonores, pour
identifier les espèces et déterminer les altitudes et la direction des vols. I.es radars météorologiquespeux eut sen ir sur une plus grande échelle i déterminer la taille et la dimension relati’ es des
groupes d’oiseaux migrateurs. Idéalement. il faudrait ensuite corréler ces données a cc la mortalitésurvenue dans des parcs éoliens connus.
I e (Jroupe de tra ail en énergie eolienne du S( [• coordonne ces actions parmi di\ ers partenaires.
dont le gous ernement, des organismes non gou’ ernementau\. l’industrie et des chercheurs
unis ersitaires,
Lacunes géographiques : Des etuds sur les collisions d’oiseaux ont éte mcnees dans tics peu deparcs eoliens (le l’est de I’ menque du Nord, n un point tel que l’efficaeite statistique ne suffit paspour en faire des comparaisons aee les resultats des recherches menees dans l’ouest del’.rnérique (lu Nord et en Lurope. Qui plus est, on ne connait pas non plus les rendions des oiseauxdans l’;\rctique. \lènie s’il est probable que l’.\reiique ne connaisse pas une croissance importantede parcs in5 ph» ‘nir ‘ eiyd Je’ r991 ‘s nniner les ‘ftm5 Js permurh ilions et
la mortalite dans les nous eaux sites de sorte gnon s’asure qu’ il n’ ait aucun el’lél négatif
inacceptable.
lechnologie : Il n encore beaucoup i apprendre au sujet des incidences de di erses technologiessur les taux de collision d’oiseaux. Par exemple. le balisage lumineux semble iouer un rôle dans lesrisques de collision, particulièrement par mau’ ais temps. 11 ltut elïctuer des études nOn dedéterminer les el’lèts de la couleur. du t pe de la duree et de l’intensité des balises, t ne étudemenée actuellement dans des conditions contrôlées dans des tours sujettes aux collisions auMichigan ( iehring, 2004 pourrait nous aider à répondre à certaines des questions existantes ausujet des incidences du balisage lumineux (bien qu’il s’agisse d’un point de ue des tours decommumeations ).
IYautres questions sont egalement liées a la technologie, à sa oi r:Avec quelle partie des éoliennesles oiseaux entrent—ils en collision’? La plupart des oiseaux volent—ils directement sers la tour ou se[‘ont-ils toucher par les pales’? Cette question est importante. car on a propose comme mesured’atténuation d’arrêter les éoliennes au plus ftrt de la migration. Si les oiseaux olent directementsers les tours, I’ arrêt temporaire des éoliennes «apportera pas une dif’frence importante au nombrede collisions. Il faut également quantifier le risque pour la faune a iaire relatix ement a la taille del’éolienne. On ne sait pas si les plus grandes installations (c.-à-d. de 750 kW à 2 M\\ ou plus) et lesplus petites (c.-à-d. de 40 kW n 40(3 kW) tuent une quantité semblable d’oiseaux. soit par la surfacede bala age du rotor, soit par les méga\atts (NWCC. 2004). Enfin, les différences entre la mortalitesurxenue aux tours tubulaires et aux tours en treillis n’ont pas été étudiées de ftiçon adéquate. bienqu’on ait SOU\ ent mentionné que les tours en treillis étaient plus dangereuses parce qu’ellespermettaient aux rapaces et à d’autres oiseaux de s’ percher.
Projet d’installations éoliennes extracôtières et terrestres Puisqu’il n’existe en iron qu’unedouzaine d’installations éoliennes extracôtières dans le monde à l’heure actuelle (encore aucune en
Amérique (lu ord). il est é ident qu’il manque beaucoup de renseignements sur les risques posés
par les parc éoliens exiracôtiers. Il faudrait répondre à certaines questions 6ndameniales, à sa oirQuel est le taux mo en de collision d’oiseaux (global et par groupes d’espèces) dans lespares éoliens extracôtiers’? Cette question exige l’adoption d’une technique ‘ isant à mesurerles taux (le collision aux endroits où la recherche de carcasses est impossible.Quelles sont les répercussions des éoliennes extracôtières sur le comportement des canards
(le mer et d’autres oiseaux de mer en migration en ce qui concerne les \ oies de migrationconnues’? I ‘espacement entre les éoliennes extracôtières et leur aménagement sont-ils
acceptab I es’?Quel le serait la distance acceptable de la « zone tampon « t le cas echéant entre les ‘oies demigration connues et les parcs éoliens extracôtiers’?li est possible de construire des éoliennes cxtracôtières beaucoup plus hautes (lue les
cal iennes terrestres ptai sq ne leur transport n’est pas limité par la taille des routes. Quellessont les répercussions des eoliennes extracôtieres plus hautes’?
7. Information sur le Canada
I e Canada Cst relati emeni nou\ eau dans le monde de I ‘energie éolienne: il existe donc tres peud’études e,inadiennes acecessables au public portant sur les incidences des eoliennes sur les oiseaux.1 a presente section expose les quelques études existantes.
Ri icr’c ( astic,1\lbertaI e parc éolien de la rix ière (astle regroupe 60 eolienne a ant un rotor de 47 m de diamètre monteessur une tour tubulaire d’acier mesurant 50 in. On a decouert que ces éoliennes ne presentaient aucun
danuer important pour les oiseaux. Peu d’oiseaux s’approchaient des éoliennes, et la plupart n’a aientpas à changer leurs trajectoires de ol pour é iter une collision. I es canards réagissaient de façon plus
igoureuse en olant au-dessus des éoliennes. m)me s’ il a ait suftisamînenl d’espace pour qu’ilsLI iSSeflt oler sous es couennes ou les contourner I3r n et I larnilton. 2(I((2. on a ohser é peu derapaces au parc éolien: touiefris, sur les 52 rapaces ohser és. seulement O p. 1(H) ii 5 emhlaient setrou’er assei près des eohennes pour changer leur trajectoire de ol afin d’e\ ter une collision ( Bron etI lam ilton, 2002).
On a troué quatre carcasses d’oiseaux au parc eolien de la ri iere Castle au cours de 35 relees menéssur une période de neuf mois (Brosn et Hamilton, 2002, Iïautres rele és ont détermine que les Buses àqueue rousse et les Crecerelles d’Amérique etaient nombreuses, pourtant on a ohsere seulementdeux collisions de rapaces (une Crécerelle d Arnerique. une Buse à queue rousse) au cours des96 relevés de carcasses efietués durant les deux années de l’étude (sur un total de 15 \ ictimes decollision: \V.K. l3m n. comm. pers. 2003: Bro n et I lamilton. 2904>. ( )n n’a pas mesuré le degréd ‘efficacité des ohser ateurs ni les taux de récupération des carcasses, mais les isiies fréquentes deséoliennes effectuées par le personnel du site (tous les jours ou aux deux ours) et l’ohser ation de pistesde charognards potentiels nous font croire que la plupart des oiseaux auraient pu ètre trou\ és ( Bro n etI lam ilion, 2002)
Projet d’exploitation d’énergie éolienne de Sunbridge, à Culi Lake, en SaskatchewanLa construction du projet d’exploitation d’énergie couenne de Sunhridge s’est déroulée au cours del’été et de l’automne 2001. Ce projet peut générer 11.2 MW d’électricité. Chaque saison demigration printanière et automnale. 17 éoliennes ont ftut l’objet de six relevés de la mortalité. On asignalé aucune collision. I es caractéristiques du site facilitaient relati ement bien la recherche de‘ ictirnes. mais on n’a pas mesuré l’efficacité des observateurs ni effectué un tra ail concernant larécupération des carcasses Golder Associates Ltd., 2002>.
North Cape, Île-du-Prince-Édouardl-ii novembre 20() I . le parc éolien de 5.28 méga\ atts situé à xorth (‘ape. à 1’ lle—du—Prince—l’douard.était entièrement lonclionnel. Les composantes principales de cc parc regroupent huit éoliennes de661) kiloatts (\‘-47) utilisées à des fins commerciales fournies par \‘estas-Canada Windleehnolog (PI’I Fnerg Corporation. 2002) en plus de di ers autres t\pes d’éoliennes utilisées âtitre d’essai, lesquelles constituent le I’errain d’essais éoliens de I’ tlantique (ohserationspersonnelles de Kingsle et Whittam). 1)u 14mai2002 au 13 juin 2002. huit éoliennes et quatresites témoins ont fait l’objet d’un reIeé deux fois par semaine de façon à ce que le rele\é coïncidea\ cc la migration printanière. Après cette période, et jusqu’à la fin de no embre 2002. on a effectuédes re des hi-mensuels seulement PI’ I F nergx (‘orporation. 20921. .\u cours de ces rele es. on adecou\ ert quun oiseau non identifié était entré en collision a ce une couenne et on a egalementtroLive un oiseau mort sur le site temoin (PI-l Inerg (‘orporation. 20) )2\u cours de ces re1e és.on n’a pas mesure le degré d’efficacité des obser’ ateurs ni le taux de recupératiun de carcasses. (>11
a décou ert plus tard que ce taux était très elc e (Q)) p I I))) des carcasses a aient disparu apresquatre jours: Raehel Gautreau, comm, pers.)
Le Nordai%, Caspé. QuébecIl s’agit d’un parc eolien moderne compose de 133 eoliennes situé dans la forêt. Des rele\éseffectués au cours de deux saisons isant 26 eolienncs n’ont permis de trouer aucune xictime decollision.
s1c Bride Lake, Altierta
Le parc éolien de \lcBride Lake. en Alberta est composé de 114 éoliennes axant un rotor de 47 m de
diamètre montées sur des tours tubulaires d’acier mesurant 50 m. 1)e juillet 2003 i juin 2()04, on a
effectue 6 releés aux 113 éoliennes. On atroué 41 carcasses d’oiseaux, dont sept Buses de
Suainson. un Grèbe élégant (.lcuhrnophorus ocide nialis), deux I étras à queue fine et deux I liboux
des marais t. 1.fo J’ /u!nnleu%) [Bro\\n et I lamilton. 2004]. 1 e degre d ‘efficacité des obser aleurs etait
d’en\ iron 70 p. 1 00. Les taux de récupération des carcasses doi\ ent étre é\ alués au cours d’études
ultérieures. I outelois. peu de charognards potentiels (ou leurs traces) se trou\ aient pres des
éoliennes (I3rosn et I lamilton. 2004).
Pickering. ()ntario[ne seule éolienne Vestas V80 dc I .8 méga\atts se trou e a Piekering. La vitesse de rotation des
pales est constante à 1 5.3 tours par minute, et la tour mesure en ion 7$ in de hauteur. HIe est située
dans une région comprenant de nombreux habitats. notamment des zones industrielles, des
prairies-parcs et des marais, utilises par un nombre respectable d’oiseaux. On a effectué des
recherches de carcasses en iron toutes les deux semaines de jan\ ier jusqu’au début mars et de la lin
octobre à la mi-décembre. On a effectué des recherches une idis par semaine du 10 mars au 4 mai.
du 2 juin au 17 août et du 22 septembre au 26 octobre. On a augmenté la fréquence des recherches à
trois fois par semaine duS mai au [juin et du 18 août au 21 septembre. (‘es recherches ont permis
de découxrir que trois oiseaux étaient entré en collision aec l’éolienne et que le taux de
récupération des carcasses semblait bas sur ce site ‘James. 2003).
L’éolienne ne semble pas nuire au comportement des oiseaux. Par exemple. les Bernaches du
Canada sont nombreuses pendant la majeure partie de l’année I’ 11es chercheraient leur nourriture
directement sous l’éolienne et s’enoleraient et se poseraient couramment près de l’éolienne sans
quil ne se produise d’incident (,lames. 2003). Les Goélands à bec cerclé (Laïus de’lauaren.sis)
étaient également très communs toute l’année dans la région et volaient régulièrement près de
l’éolienne pour chercher de la nourriture, se trous ani généralement assez loin de l’éolienne par au
moins 75 ni, quoique parfois, ils \olaient à quelques mètres des pales en mouement sans montrer
de signe isible de panique (James, 2003). Un plus petit nombre de Bihoreaux gris (\)cuicorax
nl’c’!icol’nx) occupait le marais pendant la majeure partie de l’été et (le l’automne et olaient
régulièrement près de l’éolienne, habituellement à plus de 100 ni de distance (.lames, 2003>. I. ‘n
couple de Pluviers kildir (( !1U1’LIL/ïil/’ voL’itcrus) ont niche à moins de 60 ni de la tour de l’éolienne
et on suppose que d’autres espèces. telles que les lourterelles tristes /enaida rnarouru). ont
également niche tout près de l’éolienne (.lames, 2003).
Exhibition Place. ()ntarioSur le site de l’I \position nationale Lanadienne ( aiiadimn \aijona/ Exhihuono. à I oronlo. se
trou\e une seule éolienne de 7S0 k mesurant 04 mdc hauteur I lIe acte siluee dans une region
entouree de chaussées reêtues u de prairies-parcs (James et (‘oady. 2003). T)es recherches sur la
mortalite .I\ iaire ont etc ctcetttees deux lois par semaine pendant cinq semaines de la fin ax nI a mai
et tl’iis loi par semaine pendant si\ semaines de la miaoût a la fin septembre. L ne etudc dctaillec
portant sur le taux de recuperation des carcasses par les predaicurs a Ctè menée et a re C1C que. au
printemps. 5 p, 100 des carcasses a\aient etc éliminées par les predateurs en deça de 10 jours et
que seulement 18 p. 100 des carcasses a aient etc eliminees en moins d’une semaine. \ l’automne.
seulement 3 p. 100 des carcasses a aient été eliminees en moins de trois jours plus longtemps que
l’inlcr\ ille de recherche> .James et (‘oad\, 20031 On a trous e seulement deux oiseaux morts. un au
printemps et un à l’automne. l,cs deu\ espèces étaient probablement des oiscau\ dc la région
(James et (‘oady. 2003). 1 a plupart des oiseaux de la région semblent toutefois s’être làcilement
adaptes a la presence de I’eolienne et l’ex dent tout simplement. On a détermine que le taux de
tU
mortalité était peu important si on le compare aux milliers «oiseaux tués chaque année Torontosur de hauts édifices (James et Coadv. 2OO .
8. Remerciements\ous remercions Ln iroimement Canada et la Direction de Fé aluatiun en\ in nnrnentale. plusparticulièrement John Fiseher. Rob Doho. I ouise Kingsle. Diane (ampbell et lise Poulin.
oir financé et super\ isé le présent tra\ ai I.
Les dif1rentes ébauches du présent document ont eté ré isées par des membres dorganismesgou\ ernementaux et non gou ernementaux ainsi que par des inters enants de lindustrie. Descommentaires ont éte formulés ou de Finfiwniation a eté ftrnrnie par : Matt Ilolder et Al I eggett(Jacques Whitford In ironment Limited), Jason l:dxorth et Justin I hornpson (Vision Quest\k indelectric Inc.). Marc l3elisle (I niversite de Sherhrooke. \alI Frickson t\VFSJ [ne).Ansar (iafur (AIN I Pox er( ien). Raiise Hart t Ltudes d( )iseaux Canada L Ross .Iames t Al \lPo\\er(ieHL \Iarc Johnson (Fédération canadienne de la nature). Philippe Juner (Cl Il ( anadaInc.). .\lhert Nianville (I S. Fish and \\ildlife Sers ice et au nom du .\\ jan Suhcommittee duNational Wind (oordinati ng Committee>, Michael Mesure (Fatal I ight Aareness Program[Programmealerte aux lumières meurtrièresi), Murra Paterson (Ontario Poer (ieneration,F ergreen Fnerg’ ). Marc Sheeran, Grietje Van Dijk (lIC Hydro), Edsard Alf (1 ransports Canada>.Keni Bron (1 errestrial and Aquatic Ln ironmental Managemenu. l erett Nlarshall (Nongame andNatural I leritage Program. Fish and \Vildlife I)epaiïment du Vermonu. Richard (urr et PaulKerlinger (au nom de l’Association canadienne de l’énergie éolienne>, deux ré iseurs anonymes deRessources naturelles Canada et du comité des normes de I ‘Association canadienne de l’énergieéolienne (composé de Samit Sharma. (iaia Poer mc; (ilen Estiil, Sk\ (ieneration Inc.: JustinI hompson, Vision Quest \Vindeleetric Inc.: I)aniel Charette, NFG-Nlicon Canada Inc.: DougDuimering, Vestas Canadian Wind I echnologies). Des commentaires ont également été formulespar des membres du personnel d’Ens ironnemeni Canada. à saxoir : Sheila Allan. Madeline Austen.Kevin Blair. Da\ e Broadhurst. Erica Dunn. Richard Elliot. Denise 1e11. \Varren Fenton. LvIeFriesen. A.J. Gasion. Rachel Gautreau. Paul (iregoire. Keith Kedd\ . Serge Lemieux. Jeff Rohinson.Nlichael Sha. Ruth Thoms. les Wclsh et Chip \Veseloh. NIarianne Kingsle a aimablement fournides renseignements sur les études allemandes. .losée 1-léhert. Mélanie (ousineau et Martin Damus(SCF) ont réisé les erions française et ou anglaise dccc document (mise à jour de 2flU7).
Nous remercions également les personnes suis unies. lesquelles nous ont aides à prendre contacta cc des ériIicateur ou qui nous ont flurni de l’information, a sa\ oir : .\hh \rnold tRI SOIVI t.CarI Hrothers t I errain «essais éoliens de l’Atlantique>. Stephen ( ilendinning t ( iolder \ssociatesI td. t. lannick I amirande t Ressources naturelles Canada). Rachel Permut ( )utreach \ssociate.National \Vind Coordonaling (ominiltec) et Samit Sharma tmembre du conseil d’administration de1’ \ssociation canadienne de l’energie éolienne. I nfin. nous remercions tout specialementMalt I Iolder (Jacques V hittord I n ironment I imited) d’aoir aide de façon importante a lareL herche et a lexamen du prcsent document
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ç9
Annexe. Renseignements détaillés sur les collisions d’oiseauxavec des éoliennes de partout dans le monde
ExhibitionPlace, Toronto(Ontario)
:Parc éoliensdeMcBride Lake(Alberta)Pickering(Ontario)
éolienne de1 750 kW
114 éoliennesVestasV47-660
1 éolienneVestas V80(1.8 MW)
96 relevés.D’avril 2001à décembre2002
prairie-parc Recherches/ industriel deux fois par
semainependant5 semainesauprintemps, 6semaines àl’automne200269 relevés.De juillet2003 à juin2004De janvier2001 àseptembre2002
41 BrownetHa milton.2004
3 James. 2003
es signalées
Zone de ressource 5 400 685 parcours De mars 95 Thelander
éoenne du co anciennes naturel et sol 1988 à fèvner et Rugge
dAltamont éoliennes labouré 1999 2000
(Californie)Zone de ressource 5 400 parcours 88 mois 52 aigles California
éolienne du col anciennes naturel et sol munts Energy
dAltarnont éoliennes labouré dun Commisso
(Californie) radio- n, 2002emetteur
Zone de ressource 7 340 359 parcours De 42 Howell et
éolienne du col anciennes naturel et sol septembre Didonato
Alberta —
riviére Castle
Alberta —
rivière Castle
Tableau Al. Liste des études canadiennes ayant signalé des collisions d’oiseaux avec
(les éoliennes et comprenant de linforniation sur l’espèceSite Nombre Echantillon Habitat Durée du Collisions Référence
d’éoliennes, relevé signalées23 a 60 5 terre 35 releves 4 Rrown et
Vestas cultivable sur 9 mois Harnilton.
V47-660 2002
60 Vestas terre 15 Brown,
V47 660 cultivable donneesinédites
2 James etCody. 2003
1
114 pré et terrearable
1 prairie-parc/ centralenucléaire
Tableau A2,des éoliennes
Site
Liste des études américaines ayant signalé des collisions doiscaux avec
et comprenant de l’information sur l’espèceNombre Echantillo Habitat Durée du Collision Référenc
d’éolienn n relevé s e
dAltamont éohennes labouré 1958 à 1991(Californie) septembre
1989Zone de ressource 7 340 parcours 10 Howell etéolienne du col anciennes naturel et so al 1991dAltamont éohennes laboure(Californie)Zone de ressource 7 340 125 parcours De 1989 à 182 Orloff etéolienre du col anciennes naturel et sol 1990 Flanneryd Altamont eoliennes labouré 1992(CalifornieZone de ressource 7 340 parcours 38 aigles Andersonéolienne du col anciennes naturel et sol et 58 et EstepdAltamont éoliennes labouré faucons 1988(Californie)Zone de ressource 7 340 parcours De mai 1998 1 159 Smallwoodéolienne du col anciennes naturel et sol à mai 2003 etdAltamont éoliennes labouré Thelander(Callforniel 2004Buffalo Ridge 73 50 cultures D avril 1994 à 12 Osborne et(Minnesotal éoliennes agricoles. décembre ai 2000Phase 1 de modèle prés 1995
Kenetech33-MVs
Buffalo Ridge 73 21 cultures De mars 13 Johnson et(Minnesota) éoliennes agricoles 1996 à al 2000bPhase 1 de modèle prés novembre
Kenetech 199933-M Vs
Buffalo Ridge 73 21 cultures 7 mois en 6 Strickland(Minnesota). éoliennes agricoles. 1996 etal. 2000Phase 1 de modèle prés 8 mois en
Kenetech 199733-M Vs
Buffalo Ridge 143 40 cultures De mars 20 Johnson et(Minnesota) éoliennes agricoles. 1998 à al 2000bPhase Il Zond Z-750 pres novembre
1999Buffalo Ridge 143 30 cultures De mars 22 Johnson et(Minnesota) éoliennes agricoles. 1998 a al 2000bPhase Il Zond Z-750 prés novembre
1999Buffalo Ridge 216 cultures 55 Johnson etPhases réunies éoliennes agricoles al 2002
présFoote Creek Rm 69 69 parcours De novembre 95 ‘oung etWjming Phase eo1iennes qatjre ‘°9 C 3 20011 tubulaires 3ecembre
Mitsubishi 2000de 600 kW
Foote Creek Rim 36 36 parcours De juillet 13 Young etWyom9g eolennes naturel 1999 a al 2002
Phase Il et III Mitsubishi décembene 600 kV û0u33 NEG750
61
Kiondike (Oregon) 16 16 prairies et 1 an (13 7 Johnson et
eoliennes brousaiNes recherches al 2003
de 1 5 MW par eohenne)
Montezuma HiUs 600 249 terre agricole De 1989 à 30+ HoweIl et
(Californie) éoliennes. 1990 Noone.
anciennes 1992
pour laplupart
Mountaineer 44 44 forêt. D’avril à 69 Kerns et
(Virginie-Occidenta éoliennes sommet de novembre 20 Kerlinger.
lei de 1 5 MW montagne 03 2004(22 recherches paréolienne)
Nine Canyon (État 37 37 champs de De 38 Erickson et
de Washington) eoliennes hIe prairies septembre aI 2003
Bonus de 2002 à août1,3 MW 2003
(19 recherches pareolienne)
Ponnequin 29 (+15 parcours De 1999 à 14 Erickson et
(Colorado) nouvelles naturel 2001 ai. 2001
éoliennesen2001 )[Micon 750J
.......
Zone de ressource 3 750 180 désert 830 40 Anderson
éolienne du col de éoliennes montagneux recherches et aI., 2000
San Gorgonio de divers de carcasses
(Californie) typesZone de ressource 88 mois Un aigle California
éolienne de Solano muni d’un Energy
(Californie) radio Commissioemetteur n 2002
Stateline 181 prairie aride 1162 > 200 West Inc.
(Oregon/État de éoliennes recherches et North
Washington) (OR) et 273 en 2002 West
(WA) (OR) 1176 Wildlife
éoliennes recherches consultants
Vestas en 2002 (WA Inc. 2004
V-47Zone de ressource 5 000 180 crêtes 830 94 Anderson
couenne du col de couennes montagneus recherches et aI 2000
.Tehachapï de divers es et prairies de carcasses
iCalifornie typesSommet du parc Éoliennes 26 terre Du 5 avril 2 Koford.
eoiien de I lowa Lbulars cultivable 2003 a 2033
(Iowa) de 89 x 235 pres decembrepieds dimportante 2003
s réserves (recherchesdespèces tous les 3sauvages Jours)
\asycle Ridge 38 38 culwres Reieves tous 12 S cklard
(Oregon) éoliennes agricoles, les 28 jours. et al
Vestas de prés du le janvier 2000c
31eohennesVestas de660 kW
1999 àdécembre1999
31 terre agricole De 1998 àdécembre2000
21 Erickson etal 2002
Tableau A3. Liste des études espagnoles avant signalé des collisions d’oiseaux avec
Site
Alaiz, Spain
Parc eolienE3, EnergiaEolica delEstrechoEl Perdon(Espagne)
Guennda(Espagne)
Izco(Espagne)
Leitza(Espagne)
Sur(Espagne,Sa ajoncs(Espagne
Nombre Échantillon Habitat Durée durelevé
75 282 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 *
rechercheshebdomadairesDe décembre1993 àdécembre 1994
sommetdemontagne
40 152 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —
rechercheshebdomadaires
145 492 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —
rechercheshebdomadaires
75 192 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —
rechercheshebdomadaires
32 92 collines De mars 2000 àintérieures mars 2001 —
rechercheshebdomadaires
34 % sommet De décembredéoliennes de 1993 à
montagne décembre 1994
Collisions Référencesignalées
13 Lekuona2001
90 MartietBarrios1995
25 Lekuona.2001
22 Lekuona2001
22 Lekuona.2001
125 MartietBarrios1995
58 Lekuona.2001
Tableau 4. Liste des études allemandes a3ant signalé des collisions d’oiseaux aecdes éoliennes et comprenant de l’information sur l’espèce
Site Nombre Echantillon Habitat Durée Collisïons Référenced’éoliennes du signalées
Baden-Wurttemberg(Allemagne)
relevé
660 kW
Wisconsin
des éoliennes et comprenant (le l’information sur l’espèce
d’éoliennes
50 éoliennesde 150 kW.16 éoliennesde 180 kW
34 %d éoliennes
Parc éolienPESURParqueEolico dcl
150 éoliennesde 100 kW34 éoliennesde 150 kW
î Lekuona.2001
33 162 collines De mars 2000 àinterieures mars 2001
rechercheshebdomada res
So So. SO SO 1 Durr2004
63
Brandenburg AlJemagne) S O - S.O s.o s 0 90 Durr 2004
Hessen, BVV (Allemagne) S O S O s o s o. 6 Durr 2004
Mecklenburg-Vorpommern S O S O o s o 6 Durr 2004
(Al ernagne)Niedersachsen S O S O S O S 0 35 Durr 2004
(klernagne)Nordrhein-Westfalen S O S O S O S 0 8 Durr 2004
(Allemagne)Sachsen (Allernagne) S O. S O S O S 0 9 Durr. 2004
Sachsen-Anhalt S O S O S O S.O 30 Durr. 2004
(Allemagne)Schleswig-Holstein S O S O S O S 0 28 Durr 2004
(Allemagne)Thuringen (Allemagne) S.O S O S.O S.O 1 Durr. 2004
Tableau AS. Liste eles études néerlandaises avant signalé des collisions d’oiseaux
avec des éoliennes et comprenant de l’information sur l’espèce
Site Nombre Echantillon Habitat Durée du Collisions Référence
d’éoliennes relevé signalées
Canal 5 éoliennes de 5 bâtiments De mai Everaert et
Boudewijn. 600 kW industriels 2000 a al 2003
Bruges décembre2002
Barrage de 23 éoliennes 23 digue le De mai Everaert et
I Est, de 200, 400 et long de 2000 à al 2003
Zeebrugge 600 kW l’eau décembre2002
Kreekrak 5 éoliennes de 5 côtière sur D’avril 1990 26 Musters et
Pays-Bas 250 kW une crête à avril 1991 al 1996
filonienne
Fleuve 3 éoliennes de 3 terre D’avril 2001 Everaert et
Escaut 1 500 kW industrielle à décembre al 20032002
Tableau À6. Liste sommaire des espèces de plongeons et (le grèbes dont on a signalé
les collisions avec des éoliennes dans les étUdes mentionnées aux tableaux I à 5 de
l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux trous és et non le nombre prés u de collisions pour chaque pare éolien. Les
nombres sont clone peu éle és.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesGrèbe a cou noir Podiceps McBride Lake î Brown et Harnton 2004
n,gricollis (Alberta)
Grèbe sp San Gorgomo 1 Anderson et ai 2000
Grebe à bec bgarrè Buffalo Ridge 2 Johnson et ai 2002
Podilymbus podicepsGrèbe à be” b garre Buffalo Rdqe 1 Stnckland et aI 2000
Podilymbus podicepsPlongeon catmarin Gavia Niedersachsen 1 Durr. 2004
64
stellata (Allemagne)Grèbe élégant McBride Lake 1 Brown et Harnilton 2004Aechmophorus occidentalis (Alberta)Grèbe élégant Foote Creek Rrn 1 Johnson et al. 2001Aechmophorus occidentalis
Tableau A7. Liste sommaire des espèces dc pélicans et de cormorans(Phalacrocoracidue) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les étudesmentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque: 1.cs chiffres indiquésreprésentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu decollisions pur chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesPélican brun Pelecanus 2ne de ressource 1 Er)ckson et al 2001occidentalis éolienne du col
— dAltamontCormoran à aigrettes Zone de ressource 1 1Smallwood etPhalacrocorax auritus éolienne du col Thelander, 2004
dAltamont•Grand Cormoran Niedersachsen 2 Durr 2004Phalacrocoraxcarbo Allemagne)
Tableau AS. Liste sonamaire des espèces de canards, d’oies et de cygnes (4iiatidae)
dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées auxtableaux I à 5 (le l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représententuniquement le nombre d’oiseaux troués et non le nombre prévu de collisions pourchaque_pç éolien. Les nombres sont doncu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesBernache nonnette Schleswig-Holstein 6 Durr 2004Branta leucopsis iAllemgneOie des moissons Sachsen Allemagne 1 Durr 2004Anser fabalîs0e des moissons Sachsen-Anhalt 1 Durr 20044nserfabalis AlemagneSarcelle à ailes bleues Buffalo Rdge I Johnson et al 2002Anas discorsSarcelle a ales bleues Castle River (Alberta) I Brown, comm persAnas discorsBernache cravant Kreekrak Pays Bas) I Musters et al 1996Branta berniclaPetit Garrot Bucephala McBnde Lake (Alberta) I Brown et Hamilton 2004albeola
Bernache du Canada Klondike (Oregon) 2 Johnson et al 2003
Branta canadensisFuligule a dos blanc McBrde Lake (Alberta) 1 Brown et Hamilton 2004
Aythya valisineria0e domestique Canal Boudewijn. 1 Everaert et al. 2003
BruoesCanards sp Zone de ressource 2 Er)ckson et al 2001
éohenne du coldAltamont
Canard chipeau Anas McBride Lake (Albertal 1 Brown et Hamilton 2004
streperaCanard chipeau Anas Kreekrak (PaysBas) 1 Musters etal 1996
streperaCanard colvert Anas Schleswig-Holsten 3 Durr 2004
platyrhynchos ±Allemagne)Canard colvert Anas Niedersachsen 3 Durr 2004
platyrhynchos (Allergne)Canard colvert Anas Sachsen (Allemagne) 1 Durr. 2004
platyrhynchos —
‘Canard colvert Anas iZone de ressource 35 mallwood et Thelander
platyrhynchos éolienne du coi 2004d Aitamont
Canard colvert Anas Zone de ressource 1 Thelander et Rugge 2000
platyrhynchos éolienne du coljdAltamont
Canard colvert Anas Zone de ressource 5 Erickson et al 2001
platyrhynchos éolienne du col1dAltamont
Canard colvert Anas Wisconsin 2 Erickson et al 2001
platyrhynchos -
‘Canard colvert Anas Montezuma Hilis 2 Howell et Noone 1992
platyrhynchos owell, 1997
Canard colvert Anas Buffalo Ridge 2 Johnson et al 2002
platyrhynchos:Canard colvert Anas Canal Boudewijn. 1 Everaert et al 2002
platyrhynchos Bruges‘banard colvert Anas 1Canal Boudewjn 8 Everaert et al 2003
platyrhynchos BrugesCanard colvert Anas Escaut 2 Everaert et al 2003
platyrhynchosCanard colvert Anas Kreekrak (PaysBas) 4 TMusters et al 1996
platyrhynchosCanard colvert Anas McBnde Lake Alberta; 1 Brown et Hamilton 2004
platyrhynchosCanard co’vert Anas ‘Stateline iOregon) 1 West Inc et Northwest
platrhyn hs Wi dlife Consultants 2004
Canata cv ert Anas San Gorgonio Anderson et al 2000
platyrhyr?000sCygne tuberculé N edersachsen 5 Durr 2004
Cygnus aloi çAllemagnejCygne tuberculé Sachsen (A(lemagnel 1 Djrr. 2004
Cygnus obiCygne ubec I Saohse” Anhat 1 Durr 2004
Cygnus obi (Aliemagne)Cygne tuberculé Brandenburg 1 Durr 2004
Cygnus_olorFuligule à collierAythya collaris
_______
lAllemagne)Zone de ressourceéolienne du codAltamont
Tadorne de Belon NiedersachsenIadora tadorna lAHerna9pe)Sarcelle dhiver Anas Niedersachsencrecca (Aine)Sarcelle sp Ponnequin (Colorado)Sarcellesp Kreekrak, PaysBasSarcelle sp San GorgonioFuligule morillon Jiedersachsen4ythya fuligula (Allemagpe)Oiseaux aquatiques non Zone de ressourcedenbfiés éolienne du col
AltamontCygne chanteur SchleswigHolsteinygnus cygnus (Allemagne)Canard branchu Aix Mountaineersponsa
1 Smallwood et Thelander
1 Durr 2004
1 Durr 2004
1 Erickson et al. 20011 Musters et al 1996
r 1 Anderson et al 20001 Durr 2004
2 Erickson et al 2001
Tableau 49. Liste sommaire des vautours ((athartidae), des aigles et des éperviers(Accipitridue) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les étudesmentionnées aux tableaux I à 5 dc l’annexe. Remarque: Les chiffres indiquésreprésentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu decollisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentel les2 Marti et Barrios 1995
4 Durr, 2004
1 Leukuona 2001
24 Srnallwood etThelander. 2004
9 Ericksonetal 2001
1 Anderson et aI 200011 Durr 2004
5 Durr 2004
2 Durr 2004
2 fljrr 2004
200L1
1 Durr 2004
I Kerns et Kerlinger, 2004
Milan noir Milvus PESURmigransMilan noir Milvus Brandenburg (AiiemagneirrugransAigle botté lzco (Espagne)Hieraafus permatusBuses sp Zone de ressource éolienne
du col dAltamontBuses sp Zone de ressource eoilenre
du col d AltamontBuses sp col de TehacbapBuse variable Buteo Brandenburg AleaDubuteoBuse variable Buteo Sachsen-Anha(t (AHemagneibuteoBuse variable Buteo Thuringen iAllemagne,buteoBuse variable Buteo Niedersachser (A1 emgnebuteo *
Buse variable Buteo Nordrhein-WestfalenL
1 Durr 2004
buteoAigles sp
Buse rouilleuseButeo regalisBuse rouilleuseButeo regalisBuse rouilleuseButeo regalis
Buse rouilleuseButeo regalisAigle royal AquilachrysaetosAigle royal AquilaçhysaetosAigle royal Aquila[chrysaetosAigle royal AquilaçyaetosAigle royal AquilachrysaetosAigle royal AquilatosAigle royal AquilachysaetosAutour des palombes[Accipiter gen titisVautour fauvefulvusVautour fauvefulvusVautour fauvefutvusVautour fauvefulvusVautour fauvefutvusVautour fauvefutvusVautour fauvefulvusVautour fauvefut’t,sVautour fauvefu0.iusFaucons sp
Busard cendreCucus pygargusBusard SartMârtrCircus cyaneus
Zone de ressource éoliennedu col d AltarnontZone de ressource éoliennedu col d AltamontZone de ressource eoliennedu col d AltamontStateline Oregon)
col de Tehachapi
Zone de ressource éoliennedu col d AltamontZone de ressource éolienne
rdu col dAltamontZone de ressource éoliennede SolanoZone de ressource éolienne4du col d AltamontMontezuma HilIs
Zone de ressource éoliennedu col dAltamontlzco (Espagne)
Brandenburg (Allemagne)
Zone de ressource eoliennedu col d AltamontNordrhein Westfalen(Allemagne)Zore de ressou ce eoiennedu col d Altamont
1 Durr, 2004
38 Anderson et Estep1988
2 Erickson et ai 2001
2 Smallwood etThelander 2004
1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004
1 Anderson et aI 2000
4 Thelander et Rugge2000
52 TCalifornia EnergyCommission 2002
1 California EnergyCommission, 2002
30 Erickson et al 2001
1 HowelI et Noone 1992,HowelI 1997
54 tSmallwood etThelander, 2004
1 Leukuona, 2001
41 Durr, 2004
1 Janss, 2000
67 Marti et Barrios 1995
6 arti et Barrios 1995
53 TeJkna 2001
11 Leukuona 2001
11 Leukuona. 2001
8 Leukuona 2001
Leukuona 2001
4 [eukuona 2001
58 Anderson et Fstep1988
1 Durr 2004
Ercksor eta 2001
buteo — lAllemagne)Buse variable Buteo Hessen BW iAliemagne)
f
Gyps Tarifa
Gyps PESUR
Gyps E3
GypSalajones (Espagne)
Gyps lzco lEspagne)
Gyps Alaiz iEspagnei
Gyps Guennda Espagne
Gvps Letza Espaane
yps El Perdon Espaane
68
Buteo jarnaicensisBuse à queue rousseButeo jarnaicensisBuse à queue rousseButeo jamaicensisBuse a queue rousseButeo jamaicensisBwze a queue rousseB:eu jamaicensis
BuSC queue rousseButeo jamaicensis
Buse a queue rousseButeo jamaicensisBuse à queue rousseButeo jarnaicensisCrcaèteJeanie-Blanc
Mecklenburg-Vorpommern(Allemagne)Thuringen (Allemagne)
Buffalo Ridge
Zone de ressource éoliennedu col d Altamontrivière Castle (Alberta)
Durr 2004
Durr 2004
2000Erickson et al 2001
Smallwood etThelander 2004Brown et Hamilton 2004
Kerns et Kerlinger 2004
West Inc et NorthwestWldlife Consultants2004West Inc et NorthwestWildhfe Consultants2004
Anderson et al. 2000
Janss
Busard SaintMartin Foote Creek RimCircuscyaneusBusard Saint-Ma rtin Zone de ressource éolienneCircus cyaneus du col dAltamontCarcasses de vieux Zone de ressource éoliennerapaces du co dAlta montRapaces spp PESURRapaces spp. Zone de ressource éolienne
du col d AltamontRaøaces spp Zone de ressource éolienne
du col d Alta montRapaces spp. Zone de ressource éolienne
du col dAltamontMilan royal Milvus Brandenburg (Allemagne)milvusMilan royal Milvus Sachsen-Anhalt (Allernagnelrnilvus
_________
Milan royal Milvus Sachsen (Allemagne)milvus
iviilan royal Milvus .Niedersachsen (AHemagne)milvusMilan royal Milvus Hessen, BW (Allemagne)milvusMilan royal Milvusmilvus
______
Milan royal Milvus
milvusMilan royal Milvus Nordrhein-Westfalenmilvus - (Allemagpe)Buse à queue rousse Zone de ressource éolienneButeojamaicensis du col dAltamontBuse à queue rousse Zone de ressource éolienneButeojamaicensis du col dAltamontBuse à queue rousse Montezuma HillsButeo jamaicensisBuse à queue rousse
1 Johnsoneta/ 2001
3 Smallwood etThelander 2004
12 Thelander et Rugge2000
2 Marti et Barrios 199516 Smallwood et
Thelander 200412 Ericksonetal 2001
1 Thelander et Rugge2000
17 Durr 2004
I10 Durr 2004
4 Durr 2004
1 Durr 2004
3 urr 2004
1 Durr 2004
1
19 Rugge.
181
13 HowelI et Noone 1992Howell 1997
1 Johnson etal, 2002
213
2
4
8 Anderson et al 2000
JMountaineer
Stateline Oregon)
Stateline État de Washngton
Col de Tehachapi
San Gorgonio
Tarifa
Circaetus gallicus
ircaèteJean-le-BlancCircaetus gallicusÉpervier dEuropeAccipiter nisusEpervier d EuropeAccipiter nisusBuse de SwainsonButeo swainsoni
rB de SwainsonButeo swa,nsoni
Buse de SwainsonButeo swainsoniUrubu à tête rougeCatharles auraUrubu à tête rougeCathartes auraUrubu à tête rougeCathartes auraPygargue à queueblanche
j Halïaeetus a!bicillaPygargue à queueblancheHaliaeetus albicillaPygargue à queueblancheHai’iaeetus albicillaPygargue à queueblancheHaliaeetus aIbci/IaElanion à queueblancheElanusleucurus
Zone de ressource éoliennedu col d Altamont
tZone de ressource éoliennedu col dAltamontZone de ressource éoliennedu col dAltamontMountaineer
Sachsen-Anhalt (Allemagne)
-4 -
Mecklenburg-Vorpommern(Allemagne)
Schleswig-Holstein(Allemagne)
Brandenburg (Allemagne)
Zone de ressource éoliennedu col d Altamont
1 Everaert et aI. 2002
1 Leukuona 2001
7 Brown et Hamilton 2004
1 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants2004
1 Ericksonet aI 2001
4 Enckson et aI 2001
6 Smallwood etThelander 2004
-t- 2 Kerns et Kerlinger 2004
1 Durr 2004
4 burr, 2004
6 Durr 2004
2 Durr. 2004
-fr
1 Smallwood etThelander 2004
Tableau A1O Liste sommaire des faucons (Falconidae) dont on a signalé les
collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 (le
l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux troués et non le nombre préu de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont donc peu élevés,Espèces Site
Crécerelle d Amérique Zone de ressourceFa/co sparvenus eolienne du col d AltarnontCrecerelle d Arnénque Zone de ressourceFalco sparverius éolienne du col d Altamont
Crécerelle dAmérique Foote Creek RimFalco sparverius
4
Crécerelle d Arnérique Montezuma HilIsFalco sparverius
accidentel les4 Thelander et Rugge 2000
49 Erckson et aI 2001
3 Johnsoneta/ 2001
11 Howell et Noone. 1992HowelI 1997
6 4Marti et Barrios, 1995PESUR
Canal Boudewijn Bruges
Llzco (Espagnei
McBride Lake (Alberta)
Stateline (État de Washington)
Nombre demorts
Référence
Zone de ressourceéohenne de SolanoZone de ressourceéohenne du col dAltamontrivière Casue (Alberta)
•Brandenburg (Allemagne)
Barrage de EstZeebrug9e1’Esca ut
Burgar Hill, Orkney
Montezuma HiUs
Zone de ressourceéohenne du col d AltamontZone de ressourceéolienne du col dAltamontCol de Tehachapi
1 Bryne 1983
59 Srnallwood et Thelander2004
2 Brown cornm pers
1 Enckson et al 2003
3 West Inc et NorthwestWdlite Consultants 2004
1 West Inc et NorthwestWildlite Consultants 2004
7 Anderson et al 2000
1 Durr 2004
24 !Marti et Barrios 1995
5 Durr, 2004
- 4 Durr 2004
1 urr. 2004
2 Everaerteta/ 2003
1 Leukuona 2001
18 IMa et Barrios 1995
1 Durr. 2004
1 — Everaert et al. 2002
1 Everaert et al 2003
1 Meeketal 1993
1 Howell et Noone, 1992Howell 1997
2 Thelander et Rugge 2000
3 Smallwood et Thelander
1 Anderson et dl 2000
Tableau Ail. liste sommaire des oiseaux considérés comme gibier (Phasianidae etOdontoplwridae) dont on a signalé les collisions aec des éoliennes dans les étudesnidntiofluées aux tahleau I ù 5 de lannexe. Remarque Les chiffres indiquésreprésentent uniquement le nombre (I’oiseau troues et non le nombre préu deulIisions pour chaque pr1 éolien. Les nombres sont donc peu éIeés.
Espèces Site Nombre de
Rrandenburg (Allemagne)
‘Crécerelle dAmériqueFalco sparveriusCrécerelle d’AmériqueFalco sparvenusCrécerelle d AmériqueFalco spaiveriusCrécerelle dAmerique Nine Canyon (Wyoming)Falco sparveriusCrécerelle d Amerique Stateline Oregon)Falco sparvenusCrécerelle d Amérique Stateline Etat de
•Falco sparverius Washington)récerelle d Améhque Col de TehachapiFalco spaiveriusFaucon hobereauFalco subbuteoFaucon crécerelle PESURFalco tinnunculus
Faucon crécerelleFalco tmnnunculus1Faucon crécerelleFalco tinnunculusFaucon crecerelleFalco tinnunculusFaucon crécerelle1Falco tinnunculusFaucon crécerelleFalco tinnunculusFaucon crécerellette PESURFalco naumanniFaucon émérillonFalco columbariusFaucon pèlerinFalco peregrinusFaucon pèlerin
‘Falco peregnnus4
Faucon pèlerinFalco peregrinusFaucon des prairies
.Falco rneicariusFaucon des prairiesFalco mCx icanusFaucon des prairiesFalco mc qcanusFaucon des prairiesFaf’o mcxi anus
Brandenburg (Allemagne)
Sachsen-Anhalt(AIle mgpe)Nord rhe i n-Westfalen(Allemagne)
Canal Boudewijn, Bruges
lGuennda (Espagne)
2004
Référence
morts
Colin deCalifornie Col de TehachapiCallipepla californicaPerdrix choukar Alectoris Vansycle (OregonichukarPerdrix chou kar Alectoris Col de Tehachapi
Alectoris îStateline (État deWashii,g,on)
Afectoris Statelne (Oregom
Perdr perdi Vansycle (Oregon)
Perdix perdix rMcBride Lake(Alberta)
Perdi perdix Buffalo RidgePerdix perdix Stateline (Oregon
Perdrix grise Perdix peux tlire (État deWashington)
Perdrix sp. Vansycle (Oregon)
Perdix grise Perdx perdix Brandenburg
Faan de ColchidePhasianus coichicus‘Faisan de CoichidePhasianus colchicusFaisan de ColchidePhasianus coichicusFaisan de ColchidePhasianus coichicus
_____ _____
‘Faisan de ColchidePhasianuscoichicus‘Faisan de ColchidePhasianus colchicusFaisan de ColchidePhasianus coichicusGélinotte huppée BoriasaumbellusTétras a queue fine McBride Lakelympanuchus phasianellus (Alberta)Dindon sauvage Meleagris Zone de ressource
ziallopavo éolienne du cold ‘Altarnon t
accidentelles2 Anderson et aI 2000
1 Strickland et al 2000c
2 Anderson et aI 2000
4 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004
3 West Inc et NorthwestWildlife Consultants. 2004
2 Strickland et al 2000c
1 Brown et Hamilton, 2004
1 1Johnson et aI. 2002
4 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004
3 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants, 2004
1 trickIand et al 2000c
1 Durr 2004
2 ïohnson et al. 2002
—
3 Everaert et aI, 2003
5 ‘Erickson et al. 2003
3 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004
14 West Inc et NorthwestWildlife Consultants, 2004
2 Durr 2004
1 Lekuona 2001
1 Kerns et Kerlinger, ‘2004
2 1Brown et Hamilton, 2004
1 Srnallwood et Thelander2004
lableau A12. Liste sommaire des foulques dont on a signalé les collisions aec des
éoliennes tians le% études mentionnées au tableaux I û 5 de lannexe. Remarque
I ,es chiffres indiqués représentent uniquement le nonibre d’oiseaux trous és et flOil le
nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu
éleés.Espèces Site Nombre de Référence
chtikarPerdrix choukarchukarPerdrix chou karchukarPerdrix grisePerdrix grise
Perdrix grisePerdrix grise
(AII,çjgne)Buffalo Ridge
naI BTdewijn.Bes
•Nine Canyon (Étatde WashinonIIstateline (État deWashington> —
Stateline lOregon)
Niedersachsen(AIlemagne)Guennda(Espagn e)Mountaineer
morts
accidentelles
Aigrette sp
Bihoreau grisnycticoraxBihoreau grisnycticoraBihoreau grisnycticoraxCigogne noirenigraCigogne noirenigraHeron gardeboeufsBubulcus ibisHéron cendre 4rdeacinereaGrand Héron 4rdeaherodiasGrand Hercn irdeaber odias
Cigogne blancheCiconia ciconiaCigogne blancheCicooia c corCigogne blancheCiconia ciconia
McBride Lake lAlberta)
Buffalo Ridge
San Gorgonio
rivière Castle (Alberta)
iekrak (PavsBas)
San Gorgonio
Zone de ressource éoliennedu col d AftamontCanai Boudewijn Bruges
.Nine Canon Wyoming
Stateline Etat deWashington
t Brandenburg (Aflemagne
Brandenburg (Allemagne)
Mecklenburg-VorpomrnernAlle magne)
1 Brown et Hamilton 2004
2 Johnsonetal 2002
8 Anderson et aI 2000
1 Brown comm pers
possible 2 Musters et al 1996
1 Everaert et al 2002
6 Everaertet al 2003
1 Anderson et aI 2000
1 tAnderson etJaI 2000
1 JEricksonetal 2001
1 James. 2003
2 Smallwood etThelander 2004
1 Durr, 2004
1 Durr 2004
1 Smallwood etThelander 2004Everaert et al 2003
1 Erickson t o 2003
1 West Inc e:Northwest W dlifeConsultants 2004
1 fDurr 2004
Foulque d AmériqueFulica americanaFoulque d AmériqueFulica americanaFoulque d AmériqueFufica amencanaFoulque d AmériqueFufica americanaFoulque macrouleFufica atra
______
Foulque macroule Canal BoudewijnFulica atra Bru,gesFoulque macroule Canal BoudewijnFulica atra BrugesMarouette de Caroline San GorgonioPorzana carolina
Tableau A13. Liste sommaire des hérons (Ardeidae) et de ciconiidés (aconiidae)dont on a signalé les collisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux
tableaux I û 5 dc l’annexe. Remarque Les chiffres indiqués représentent
uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour
chaquejarc éolien. Les nombres sont donc peu élevés. —
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentelles
Nycticorax Zone de ressource éoliennedu col dAltamont
Nycticorax Pickering
Nycticorax ‘Zone de ressource éoliennedu col d Altamont
Ciconia Hessen (Allemagne)
Ciconia 1essen (Allemagne)
1
1 Durr 2004
1 Durr 2004
Cigogne blanche Sachsen (Allemagne) 1 rDurr 2004Ciconia ciconia
Tableau A14, Liste sommaire des oiseaux de ri age dont on a signalé les collisionsaec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I â 5 de l’annexe.Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtrous és et non le nombre préx u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombressont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentel lesAvocette d Aménque Tzone de ressource 3 Smallwood et ThelanderRecurvirostra americana eolienne du col 2004
AltamontPluvier argente Piuvialis Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters et aI 1996squataroIarPluvier kildir Charadrius Buffalo Ridge 1 Johnson et aI 2002vociferusL +Petit Chevalier Tringa Zone de ressource 1 Smallwood et Thelanderfiavipes éolienne du col 2004
d Altamont
________
uîtrier pie Haematopus Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters et al 1996ostraiegusHuîtrier pie Haematopu4iedersachsen 1 Durr 2004pstraiegus L(Allemagne)Huîtrier pie HaematopusSchleswig-Holstein 2 Durr. 2004ostra)egus (Allemagne)fievalier gambette Canal Boudewijn, 1 fEveraert et ai. 2003Tnnga totanus
_____Brues
Bécassine des marais Mynydd Cemmaes 1 Dulas Engineering LtdGaiiinago gailinago 1995Bécassines sp Kreekrak (Pays-Bas) 1 iusters et aI 1996
Tableau AIS. Liste sommaire des mouettes et goélands et des sternes dont on asignalé les collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux 1 à5 de l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre préxu de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont donc peu éleés. -
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesLMouette rieuse Larus Cana Boudewijn 8 Everatrt et a 2002ridtun Jus BrugesMouette rieuse Larus Canal Boudeijn 47 Ever ert ‘ o’ 2003ridib indus 1BrugesM uette rieuse Laru.s Barrage de I Est 1 Everaert et aI 2003rsd oundus ZeebruggeMouette rieuse Larus Burgar Hill Orkney 3 Meek etaI 1993ridibundusMouette rieuse Larus Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters er al 1996ridîbundus
Mouette rieuse LarusndibundusGoeland de Cahforn eLarus cahfornicus
Goéland de CalifornieLarus californicus
Goéland de CaHfornieLarus caéfomicus
Goéland cendrecanusGoéland cendrécanus
Goeland cendrecanusGoéland cendrécanusSterne pierregarinhirundoSterne pierregarinhirundoSterne pierregarinhirundoGoéland mannmarinusGoéland mannmartnusGoéland argentéargentatusGoéland argentéargentatusGoéland argentéargentatusGoéland argentéLargt8t
Goéland argentéargentatusGoéland argentéargentatusGoéland argente•argentatusGoéland argenteargentatus
Goéland argenteargentatus
Goéland argenteargentatus
Mouette tndactye RissatridactylaGoélan brun Larusfuscus
Goéland brun Larusfuscus
Brandenburg(Aemane)Zone de ressourceéolienne du coldAltamont
Zone de ressourceéohenne du coldAltamontZone de ressourceéolienne du coidAltarnont
Larus •Canal Boudewjn.Brug
Larus TSachsen (Allemagne)
Larus Niedersachsen(Allemane)
Larus JBrandenburgAllemge i
Sterna :Barrage de lEst.Zeebrugge
Sterna Canal Boudewijn.jes
Sterna Barrage de lEst.
arrage de EstZeebruggeNiedersachsen(AliencBarrage de I EstZeebrugge
4 Durr 2004
1 Thelander et Rugge 2000
2 Erickson et al 2001
7 Smallwood et Thelanaer2004
3 Everaert et al. 2003
1 Durr 2004
4 Durr, 2004
2 Durr 2004
3 Everaert et al 2002
1 ;Everaert et al 2003
4 Everaert et al. 2003
1 tErt et aL 2002
T 5 Êveraert et al 2003
1 Enckson et ai, 2001
1 Johnson et al. 2002
34 Everaert et al 2002
TEveraert et al. 2002
97 Jveraert et al. 2003
34 Everaert et al.. 2003
1 Musters et al. 1996
4 Durr. 2004
3 Durr 2004
L1 Strickland et al 2000
1 Everaert et al. 2002
1 Durr 2004
8 Everaert et al 2002
ZeebeLarus Barrage de I Est,
rugeLarus Barrage de I Est
ZeebruggeLarus Wisconsin
Larus Buffalo Ridge
Larus Barrage de I Esteebrugge
Larus Canal BoudewijnJBruges
Larus Canal BoudewijnBruges
Larus Barrage de I EstZeebrugge
Larus Kreekrak Pas-Bas
Larus Sachsen Ailemagne
L arus Niedersachsen(Allemagne
Larus Buffalo Ridge
Goéland brun Larus Canal Boudewijn. 1 Everaert et al 2002
.fuscus _rugesGoéland brun Larus Canal Boudewijn 25 Everaert et al 2003
fuscus BrugesGoéland brun Larus Barrage de lEst. 10 Everaert et a 2003
fuscus ZeebruggeMouette pygmée Larus Kreekrak (Pays-Bas) 1 Musters etai 1996
minutusSterne naine Sterna Barrage de I Est 2 Everaert et al 2002
albifrons ZeebruggeSterne naine Sterna Barrage de I Est 2 Everaert et ai. 2003
aibifrons
_____
Zeebruge ——
Goéland à bec cerclé Zone de ressource 4 Smallwood et Thelander.
Larus delawarensis éolienne du col 2004dAltamont
Goélands sp McBride Lake (Alberta) 2 Brown et Hamilton 2004
:Goélandssp Zone de ressource 4 Ericksonetal 2001
éolienne du coldAltamont
Goélands sp Zone de ressource 18 Smallwood et Thelander
éolienne du col 2004dAltamont
Tableau 16. Liste sommaire des pingouins dont on a signalé les collisions avec des
éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque:
Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux troux és et non le
nombre prévu de collisions pour chaque pare éolien. Les nombres sont donc peu
éle és.
_____
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellest-
Guillemot marmette Niedersachsen I 1 Durr. 2004
Uriaaalge (Allemagne)
Tableau A17. Liste sommaire des columbidés dont on a signalé les collisions aec
des éoliennes (lans les études mentionnées aux tableaux I à 5 dc l’annexe. Remarque
Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trous és et non
le nombre prés u de collisions pour chaque pare éolien. Les nombres sont (1(311e l)CU
élevés.Espèces Site - Nombre de Référence
mortsaccidentelles
Pigeon sp Gennda Espagne - I [ekuona 2001
Pigeon sp lzco Espagne 1 Lekuona 2901
Colombe aomestique Canal Boudewijn 2 Everaert e a 2002
BrugesTourterelle triste îZone de ressource 1 Thelander et Rgge 2000
Zenaida rnacroura eolienne du col
dAltamontTourterelle triste Aloerta — riviere Castie Brown et harnituri. 0O
Zenaida rnactoura
Tourterelle triste Montezuma HillsZenaida macrouraTourterelle triste Zone de ressourceZenaida macroura éol enne du col
J4AltamontTourterelle triste Foote Creek RimZenaida macrouraTourterelle triste Col de TehachapiZenaida macrouraTourterelle triste San Gorgonio t
Zenaida macrouraTourterelle triste Riviere Castle (Alberta)Zenaida macroura
__
Pigeon biset Columba BrandenburgT
livia f domestica (Allemagne)igeon biset Columba Brandenburglivia f domestica (Allemagne)FPigeon biset Columba Canal Boudewijn[livia f domestica BrugesPigeon biset Columba ‘Barrage de lEstlivia f domestica 4ZeebruggePigeon biset Columba Escautlivia f domesticaPigeon biset Columba Stateline (Oregon)livia
T
Pigeon biset Columba Zone de ressourcelivia éolienne du col
dAltamont
_______
Pigeon biset Columba tAlberta— rivière Castle’
jLviaPigeon biset Columba Zone de ressourcelivia éolienne du col
çfAltamontPigeon biset Columba de ressourcelivia éolienne du col
d AltamontPigeon biset Columba Montezuma HilIsliviarPigeon biset Columba trivière Castle (Alberta)liviaPigeon biset Columba TCol de TehachapiliviaPigeon biset Cotumba MountaineerliviaPigeon biset C umba San Gorgonioiivia
Pigeon colombin Canal BoudewijnColumba oenas Bruges jPigeon ramier Canal BoudewijnGo umba palumbus BresPigeon ramier Brandenburg îColumba palumbus (AllemanejP geon ramier SachsenAnhaltColumba palumbus (Allemagne)
tPigeon ramier Sachsen-Anhalt
1 ïiowei et Noone 1992Howell 1997
34 Smallwood et Thelander2004
1 Johnsoneta! 2001
L6 Anderson et al. 2000
1 Anderson et al 2000
2 Brown comm pers
3 Durr 2004
3 Durr 2004
2 Everaert et al 2003
2 Éveraert et al 2003
3 tEveraert et al 2003
1 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants 2004
15 Thelander et Rugge, 2000
1 Brown et Hamilton, 2002
92 Erickson et al., 2001
196 Smallwood et Thelander2004
3 Howell et Noone 1992HoweIl 1997
1 Brown comm pers
9 ‘Anderson et aI 2000
1 Kerns et Kerlinger 2004
8 Anderson et aI 2000
1 Everaert et al 2003
1 ‘Everaert et al 2003
I Durr 2004
I Durr 2004
1 Durr 2004
Columba pa/umhusPigeon ramierColumba palumbusPigeon ramierColumba pa/urnhus
(Allemag neBrandenburg(Allemagne)Guennda (Espagne
1 Durr 2004
1 Lekuona. 2001
Tableau 1S. Liste sommaire des coulicous et de géocoucous (Cuculidue) dont on a
signalé les collisions a cc des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I
5 dc lannexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux trouvés et non le nombre wéu de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont donc peu élevés.Espèces Site
Coulicou à bec noir Coccyountaineererythropthalmusbucou gris Cucuius canorus El Perdon f
L (EspgneGrand Géocoucou Col de Tehachapieococcy californianusCoulicou à bec jauneCoccyzus americanus
Effraie des clochers1Tyto albaEffraie des clochersTyto alba
rÊffrale des clochersTyto a/bdEffraie des clochersTyto albaEffraie des cchersTyto aihaChevéche des terriers Zone de ressourceAtherie cunicularia éolienne du col d AltamontCheveche des terriers Zone de ressourceAthene cuniculana Léohenne du col d AltamontChevêche des terriers Zone de ressourceAthene curucuId;ft éolienne d cc d AitamontChevêche des terriers San Gorgonio
Nombre de Référencemorts
accidentelles2 Kerns et Kerlinger, 2004
1 Lekuona. 2001
2 Anderson et aI. 2000
4 Kerns et Kerhnger. 2004•Mountaineer
Tableau A19. Liste sommaire des strigidés dont on a signalé les collisions avec des
éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque
Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le
nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc l)CU
élevés.Espèces Site
Jone de ressourceéolienne du col d Alta montZone de ressourceéolienne du col d Altamont
tMontezurna Hills
Zone de ress,urceéolienne du or I AitamontCol de Tehacha
Nombre de Référencemorts
accidentelles4 Thelander et Rugge 2000
25 Erickson et aI. 2001
1 Howell et Noone 1992HowelI. 1997
50 Smallwood et Thelander2004Anderson et ai 2Gfl
2 Enckson et aI 2001
4 helander et Rugge 2000
70 SmÏïwood et Thelander2004
1 Anderson et ai 2000
Nordrhein-WestfalentAilemaone)Baden-Wurttemberg(Allemagne)Salajones Espagne)
Tableau A20. Liste sommaire des engoulevents (Caprimulgidae) dont on a signalé lescollisions avec des éoliennes tians les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux troués et non le nombre préu de coLlisions pour chaque parc éolien, Lesnombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentelles
Tableau A21. Liste sommaire des pics (Pkidae) dont on a signalé les collisions aec
des éoliennes clans les études mentionnées aux tableaux I à 5 dc l’annexe. RemarqueLes chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non
le nombre pré4u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peuélcsés
Espèces Site Nombre de Référence
3 Durr 2004
Durr 2004
Athene cunicula riaGrand-duc dEuropeBubo buboGrand-duc d Europe 1Bubo boboGrand-ducd Europe 1 Leukuona 2001Bobo boboGrand-duc d Europe PESUR 2 1Marti et Barnos, 1995Bobo boboGrand-duc d Europe TE3 2 Marti et Barrios 1995Bobo boboPetit-duc nain Otus Col de Tehachapi 1 Anderson et al 2000fia rnmeolusGrand-duc dAmérique Zone de ressource 7 Erickson et ai 2001Bubovirginianus éohenne du col d AltamontGrand-duc dAmérique Montezuma HuIs 2 Howefl et Noone 1992Bobo virginianus Howell 1997Grand-duc dAmérique Zone de ressource 18 Smallwood et ThelanderBubo Vif ?ianus éolienne du col dAltamont 2004Grand-duc d’Amérique Col de Tehachapi 10 Anderson et aI 2000Bobo vlr9lnianusHibou moyen-duc Col de Tehachapi 1 Anderson et al 2000Asiootus —
Hibou des marais McBride Lake (Alberta) 2 Brown et Hamilton, 2004AsioflammeusHibou des marais FooteCreekRim 1 Johnsonetal 2001Asio fiammeus
_____
Hibou des marais Nine Canyon (Wyoming) 1 Erickson et aI, 2003Asio flammeus
______________
Strigidé non identifié Zone de ressource 10éoienne du col dAltamont
Erickson et ai 2001
Engoulevent d AménqueChordeiles minorEngoulevent de NuttaiPhalaenoptilus nutta’;
Foote Creek Rim
Foote Creefr Rrn
Johnsonetai 2001
Johnson et a 2001
morts
Pic épeiche DendrocoposmajorPic de Lewis MelanerpeslevasPic flamboyantauratus
Pic flamboyantauratus —
Pic flamboyantauratusPic flamboyantauratusPic flamboyantauratusPic maculé Sphyrapicusvarius
Tyran tritri TyrannustyrannusMoucherelles sp.Moucherolle tchébecEmpidonax minimusMoucherolle côtierEmpidonax difficilis
Brandenburg(Allemagpe)Vansycle (Oregon)
2one de ressourceéolienne du col
4d’AftamontGobemouche noir Ficedula Brandenburghypoleuca (Aernagpe)
Moucherolle à ventre roux Zone de ressourceSayornis saya éolienne du col
dAltamontTytannu.s Zone de ressource
éolienne du ond Altamont
1 Strickland et al 2000c
6 Smallwood et Thelander2004
1 Howell et Noone 1992HowelI 1997
3 Anderson et al 2000
1 Brown, comm pers
1 West Inc. etNorthwestWildlife Consultants. 2004
1 TErickson eta/.. 2001
morts
accidentelles1 Ericksoneta/.2001
2 Johnson et al. 2002
1 TJohnsonetal. 2002
1 Smaflwoodet Thelander.
1 Durr 2004
1 Srnailwood et Thelander2004
1 Smallwood et Thelanger
Tableau ;23. Liste sommaire des pie%-grieche% (Laniidae) (10111 on a signalé les
collisions aee des éoliennes tians les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 dc
l’annexe, Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
(loiseaux tron és et non le nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont (loflc peu élevés. —
Espèces Site Nombre de Référence
accidente I I es1 Durr 2004
Colaptes Zone de ressourceéolienne du cold Altamont
Colaptes Montezuma Hills
Colaptes ol de Tehachapi
Colaptes riviÈre Castle(Alberta)
Colaptes Stateline (Oregon)
Wisconsin
Tableau A22. Liste sommaire des moucherelles (Tyrannidue) dont on a signalé les
collisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de
l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont donc peu élevés. —
Espèces Site Nombre de Référence
Wisconsin
Buffalo Ridge
tuffalo Ridge
2004
Tyran de I Ouestvertica/is 2004
morts
accidentellesPie-gnèche migratriceLanius Iudov,cianus
Pie-gnêche migratriceLanius ludovicianus
Zone de ressourceéolienne du cold AltamontZone de ressourceéolienne du colci Altamont
1 Erickson et Ai. 2001
5 Smal!wood et Thelander2004
Tableau 24. Liste sommaire des iréos ( ireonidae) dont on a signalé les collisionsaec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I t 5 de l’annexe.Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtrous és et non le nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Les nombressont donc peu élevés.
Espèces Site
Vireo aux yeux rouges MountaineerVireo olivaceus
__________
;Viréo mélodieux Vireo Foote Creek Rimus
___
•Viréo mélodieux Vireo Buffalo RidgegilvusViréo â gorge jaune IowaVireo flavifrons
Pie bavardeP e bavarde
PC ba’arde
Zone de ressourcecouenne du cold Altamont
Pica pica EscautPica pica Sacnsen-Anhalt
Alier’agnePica pica Statelne Oregon
Zone de r55rJfeolenne du cold AitarnontCol de Tehachapi
Sar Go onio
Montezuma HuIs
Nombre de Référencemorts
accidentelles7 Smallwood et Thelander.
2004
1 Everaert et aI 20031 Durr. 2004
I Vest Inc et NortruwestWildlife Consultants 2004
12 Smallwood et Thelander2004
3 Anderson et aI 2000
Arde su et di. 2000
1 Howell et Noone 1992
Nombre de Référencemorts
accidentelles21 Kerns et Kerlinger, 2004
1 Johnson et aI. 2001
1 Johnson et aI 2002
1 7koford. 2003
Tableau A25. Liste sommaire des corneilles et corbeaux et des geais (Corvidue) donton a signalé les collisions a cc des éoliennes dans les études mentionnées auxtableaux 1 à 5 de l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représententuniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu (le collisions pourchaqeparc éolien. Les nombres sont doncpu élevés,
Espèces Site
Corneille d AméruqueCorvus brachyrhynchos
Grand Corbeau Corvusco’a
Grand Corbeau CorvuscotaGra d Corbeau Corwi.coraxGrand Corbeau Corvus
81
coraxrGrand Corbeau Corvuscorax
Ccrvus sp
Corneille noire Corvuscoron eCorneille noire CorvuscoroneGrand Corbeau CorvuscoraxCorbeau freux CorvusfrugilegusGeai buissonnierAphelocoma californica
Alouette hausse-colEremophila alpestrisÀlouette hausse-colErernophila alpestnsAlouette hausse-colEremophila alpestris
Alouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette hausse-colErernophila alpestosAlouette hausse-colErernophifa alpestos
Alouette hausse colEremophila alpestrs
Alouette hausse eiEremophila aIpest’u-Alouette hausse-colEremophila a?pestreAlouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette hausse-colEremophila alpestrisAlouette des champs
TZone de ressourceéolienne du cold Alta montNiedersachsenlAllemagne)Hessen BWAllema9ne)
Brandenburg(Allemagne)Brandenburg(Allemagne)Sachsen-Anhalt(AllemajCol de Tehachapi
TStateline (Oregon)
4Stateline (État deWasj9ton)Zone de ressourceéolienne du coldAltamont -
Nine Canyon (Etat deWashington)McBride LaRe(Alberta)Wisconsin
Zone de ressourceéolienne du cold AltarnontZone de ressourcecol enne du cold AltamontFnote Creek Rm
Ponnequin Colorado
Col de Tehachapi
Vansycle (Oregon)
1Howell 19979 Erickson etal 2001
1 Durr 2004
1 Durr. 2004
1 Durr 2004
3 Durr 2004
1 Durr. 2004
1 Anderson et al. 2000
Tableau A26. Liste sommaire des alouettes (Alaudidae) dont on a signalé les
collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 de
l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont donc peu élevés.Espèces Site Nombre de Référence
mortsaccidentelles
48 lWest Inc et Northwest WildlifejÇonsultants. 2004
33 West Inc et Northwest WildlifeConsultants. 2004
23 :Smallwood et Thelander. 2004
1 Èrickson et al 2003
4 et Hamilton 2004
1 Erickson et al 2001
5 Thelander et Rugge. 2000
14 Ericksnetal 2001
28 Johrsneti/ 2001
5 Erickson et 31 2001
2 Anderson et 3/ 2000
1 Strickland et al 2000c
Brandenburg 1 Durr 2004
Alauda aivensis (Aflemagne)Alouette des champs E! Perdon (Espagne) 2 Lekuona, 2001Alauda arvensisAlouette ulu Lullula Guennda OEspagne) 1 Lekuona. 2001arboreaAIouette ulu LuIIu)a È! Perdon Espagne) 4 Lekuona. 2001arborea
Tableau 27. Liste sommaire des hirondelles (Ilirundinidue) dont on a signalé lescollisions aec (les éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I i del’annexe. Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesHirondelle rustique Wisconsin 1 ÎEnckson et aI 2001-firuncio rustica
4 —
______
—
Hirondelle rustique Buffalo Ridge 1 Strickland et aI 2000Hirundo rustica
_____ _____
Hirondelle rustique Buffalo Ridge 4 Johnson et aI 2002Hirundo rustica j j —
Hirondelle rustique El Perdon (Espagne) 1 Lekuona. 2001Hirundo rusticaMartinet ramoneur Wisconsin 1 Erickson et aI 2001Chaetura pelagica
_____ ______
Hirondelle à front blanc Zone de ressource 5 Smallwood et Thelander.Hirundo pyrrhonota éolienne du col 2004
_____
dAltamont
__________ _____
Hirondelle à front blanc Zone de ressource 2 Thelander et Rugge. 2000Hirundo pyrrhonota éolienne du col
d AltamontHirondelle a front blanc Zone de ressource 3 Erickson etal 2001Hirundo pyrrhonota éolienne du col
.dAltamontHirondelle à front blanc Foote Creek Rim 1 iohnson et aI 2001Hirundo pyrrhonota *
Hirondelle de fenêtre Brandenburg 1 Durr 2004Delichon urbica (Allemagne) -
Hirondelle de fenêtre Guennda (Espagne) 1 Lekuona 2001Delichon urbicaHirondelle noire Progne Buffalo Ridge 1 Johnson et al 2002subisHironde{k?s spp Foote Creek Rim î Johnson et dl 2001
Martinet nsir Apus apus Brandenburg Durr 2004iAllemagne
Martinet for Apus apus Sachsen-Anhalt Durr 2004iAllemagpei
Martinet noir Apus apus SachsenAnhalt 2 Durr. 2004(Allemagne
Apus apus BandenLurg 3 D 2004(Allernaane i
Martinet noir Apus apus lzco (Espagne) 1 Lekuona 2001
83
2 Everaert et aI 2002
Hirondelle bicoloreTachycineta bcolorHrondele bcoioreTachycineta b’coIorHirondelle bicoloreTachycineta bicolorH rondelle à face blancheTachycineta thalassina
Hirondelle à face blancheTachycineta thalassina
Martinet à gorge blancheAeronautes saxatalisMartinet à gorge blancheAeronautes saxatalisMartinet à gorge blancheAeronautes saxatalis
tW
lowa
JZone de ressourceeolienne du cold AltamontZone de ressourceéolienne du cold AltamonttVansycle (Oregon)
4Ponnequin (Colorado)
San Gorgonio
1 Johnsonetal 2001
2 Erickson et a 2001
1 Koford 2003
1 Erickson et al 2001
1 mallwood et Thelander2004
1 Strickland et al 2000c
L
2 Erickson et al 2001
1 Anderson et al 2000
Tableau A28. Liste sommaire des mésanges (Paridae), des grimpereaux (Certhiidae) etdes sittelles (Sittidae) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans lesétudes mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque: Les chiffresindiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombreprévu de col1isionspour chaque parc éolien. Les nombres sont doncpeu élevés.
Espèces Site Nombre de J Référencemorts
accidentelles2 Johnson et aI 2001Grimpereau brun
Certhia americanaMésange charbonnièreParus majprSittelle à poitrine rousseSitta canadensisSittelle à poitrine rousseSitta canadensis
1 tWest Inc et Northwest Wildlife4Consultants 2fl04
1 Jonson et aI 2003
Martinet noir Apus apus Barrage de l’Est,ZeebruggeFoote Creek Rim
Foote Creek Rim
ndenburg(Allemane)Stateline (Oregon)
tNine Canyon (tatde Washington)
1 TDurr 2004 12 jWest Inc et Northwest
Wildlife Consultants, 20041 jÉickson et aI 2003
Tableau A29. Liste sommaire des troglodytes (Troglodytidae) dont on a signalé lescollisions axec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à S del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux troués et non le nombre préxu de collisions pour chaque parc éolien, Les
nombres sont doncpeu éleés.
Espèces Site Nombre demorts
Troglodyte familierTroglodytes aedonTroglodyte familierTr g’odytes aedonTroglodyte familierTroglodytes aedon
ccidentellesFoote Creek Rim 2
Référence
Johnsonetai 2001
Stateline (Oregon) r
Klondike (Oregon
84
FTrolodyte familierTroglodytes aedonTroglodyte des rochersSalpirictes obsoletusTroglodyte des rochersSalpinctes obsoletusTroglodyte a bec courtCistothorus platensisTroglodyte mignonTroglodytes tioglodytesTroglodyte mignonTroglodytes troglodytesTroglodyte mignonTroglodytes troglodytes
JStateline (Etat deWashington;Foote Creek Rm
Col de Tehachap
Buffalo Ridge
Stateline Etat deWashinqton;Stateline (Oregon
tNine Canyon (Etate Washington)
2 West Inc et Northwest WildlifeConsultants, 2004
4 Johnsonetal 2001
1 Anderson et al 2000
Johnson et al 20022
2 West Inc et Northwest WildlifeConsultants. 2004
2 West Inc et Northwest WildlifeConsultants, 2004
1 Erickson et al 2003
RcteIet triple bandeauRegulus ignicapillusRoiteIet triple bandeau
LRegulus ignicapillus
___
-
Roitelet huppé Regulus ‘Brandenburgregulus (Allemagne)Roitelet huppe Regulus Barrage de lEstregus 4Zeebru9eRoitelet à couronne dorée Wisconsin
[Regulus satrapaRoitelet a couronne doréeRegulus sattapaRoitelet à couronne doréeRegulus satrapa
[Roitelet a couronne doréeRegulus satrapaRoitelet a couronne doreeRegulus satrapaRoitelet a couronne rubisReguius aRoiteiet a cc,ronne rubisReyuius d criduRoitelet a couronne rubisRegulus calndu a
tRoitelet a ourcnne rubisRegulus caieriduia
Roitelet à couronne rubisRegu”is c’c3IntdJl9
Roitelet a couronne rubisRegulus calendula
Tableau A30. Liste sommaire des roitelets (Regu!idae) dont on a signalé les collisions
avec tics éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 dc 1annexe.
Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux
trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres
sont donc peu élevés.
Espèces Site
Brandenburg(Allemag ne)Izco (Espagne)
Nombre de Référencemorts
accidentelles
_____
1 Durr 2004
1 Lekuona, 2001
1 Durr. 2004
1 Èveraert et al. 2003
Î2 tEricksonet al. 2001
1 Brown comm. pers
1 Johnson et al 2003
10 West Inc et NorthwestWildlife Consultants 2004
10 West Inc et NorthwestWildlife Consultants. 2004
1 West Inc et NorthwestWIdlife Consultants 2004
— î Brown et Hamton 2004
1 Strickland et al 2000
1 Johnson et al 2001
1 Johnson et ai 2002
1 Erickson et al 2003
Castle River(Alberta)Kiondike iOregon)
Stateline (Oregon)
Stateline (Etat deWashingtoniStateline Oregon)
McBrde LaeLAlbert1Buffalo Ridge
Foote Creefr Rim
Buffalo Ridge
TNine Canyon t État1de Washingon)
85
Roitelet a couronne rub Klondike (Oregon)Regulus calendula
:Jd et al 2003
lableau 31. Liste sommaire des grives (Turdidae) dont on a signalé les collisionsaec de% éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I i 5 de Fannexe.Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtroués et non le nombre préu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombressont donc peu éleés.
Espèces Site
Foote Creek Rim
Rivière Castle (Albertal
Mountaineer
Exhibition RaceTorontoFI Perdon (Espagne)
4
Sialia Zone de ressourceéolienne du cold Altamont
SiaIiaFoote Creek Rim
Sialia Zone de ressourceéolienne du coldAltamontSchlesiig-HolsteiniAllemaaneBarrage de I Est.ZeebrugaeBarraoe de EstZeebruggeCanal Boudewijn.B rugsBarrage de I Est.ZeeDrugeEl Perdon (Espagnei
erle d AmériqueTurdus migra tonusMerle d AmeriqueTordus migratorius 4rMerle d AmeriqueTurdus migratoriusMerle d AmériqueTurdus migratoriusRougequeue noirPhoenicurus ochrurosMerle noir Turdus Izco (Espagne)merula
______
Merle noir Turdusmerula
_____ _______
Merle noir Turdus :El Perdon (Espagne)merulaMerle noir TurdusmerulaGrive litornepilarisGrive solitaireCatharus guttatusMerlebleu azurécurrucoides
Guennda (Espagne)
Canal Boudewijn.;Brgs
Turdus SachsenAnhalt4Allemagne)
Foote Creek Rim
Nombre de Référencemorts
accidentelles1 Johnsoneta/ 2001
1 Brown. comm pers
1 kerret Kerlinger 2004
1 James et Cody 2003
2 Lekuona. 2001
___
.11 ILekuona 2001
1 ZLekuona 2001
1 Lekuona 2001
1 .Everaert et al. 2003
1 tDurr. 2004
1 ihnson et aI 2001
2 cksoneta/ 2001
2 Johnsonetal 2001
5 Smallwood et Thelander2004
1 Durr 2004
veraert et a 2002
Everaert et o’ 2002
Everaert et ai 2003
1 Everaert et al 2003
1 Lekuona. 2001
Merlebleu azurécurrucoidesMerlebleu azurécurruco,des
Gre auvs Turdus
Rugeoge familierE’’tia as rubeculaGrve musicienneTurdus philomelosGrive r’uscienneTurdus philomelosGrve musicienneJ uruus ph,/orne,osTarier pâtre Sal<icola
torquatusGrive à dos olive Stateline (État de 1 West Inc. et NorthwestCatharus ustulatus Washinon) Wildhfe Consultants. 2004Grive fauve Catharus Mountaineer 1 Kerns et Kerlinger 2004fuscescerisMerlebleu de lOuest Zone de ressource 2 Erickson et aI. 2001Sialia mexicana éolienne du col
d AltamontTarer des prés Brandenburg 1 Durr 2004Saxicoia rubetra i.Allemag ne)Grive des bois Mountaineer 3 Kerns et Kerlinger. 2004Hylocichia mustelina
Tableau A32. Liste sommaire (les moqueurs (Mi,,iidae) dOnt OH a signalé lescollisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I i 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque pare éolien. Lesnombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
_____
accidentelles
_______
Moqueur chat Dumetella Buffalo Ridge 1 Johnson et aI., 2002carolinensis
_____ _____
Moqueur polyglotte ‘Zone de ressource 1 lSmallwood et ThelanderMimuspolyglottos éolienne du col 2004
dAltamontr -
tMoqueur des armoises Foote Creek Rim 1 Johnson et aI. 2001Oreoscoptes montanus
Tableau A33. Liste sommaire des étourneaux (Sturnidae) dont on a signalé lescollisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux 1 à 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesitÊtourneau sansonnet Nine Canyon i Etat de 1 Enckson et aI 2003Sturnus vulgaris 1Washiton)Étourneau sansonnet Zone de ressource 67 Smallwood et ThelanderSturnus vulgaris éolienne du col 2004
dAltamontEtourneau sansonnet McBride Lake Aiberta) 5 Brown et Hamilton 2004Sturnus vulgar sÉtourneau sansonnet Col de TehachapT 1 Anderson et aI 2000Sturnus vulga risÉtourneau sansonnet San Gorgonio 1 Anderson et ai 2000Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet Zone de ressource 4 Thelander et Rugge 2000Stuns ;uigas eoiienne du
dAltamontEtourneau sansonnet Zone de ressource 17 Erickson et aI. 2001
Sturnus vulgaris bIienne du coldAftarnont
Étourneau sansonnet WisconsinSturnus vulgaris
________
Etourneau sansonnet Zone de ressourceSturnus vulgaris éohenne de SofanoÉtourneau sansonnet Buffalo RidgeSturnus vulgaris jEtourneau sansonnet Kreekrak (Pays-Bas)Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet Exhibition Place.Sturnus vulgaris
______
TorontoÉtourneau sansonnet MountaineerStuinus vulgarisÉtourneau sansonnet Stateline (Oregon)Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet Stateline (État deSturnus vulgaris Waston)Étourneau sansonnFCanaI BoudewijnSturnus vulgans BrugesÉtourneau sansonnet EscautSturnus vulgaris
_______
—
Étourneau sansonnet BrandenburgStumus vulgaris - (AlIemane)Étourneau sansonnet Sachsen (Allemagne)Sturnus vulgarisÉtourneau sansonnet NiedersachsenSturnus vulgaris )(AIIernÈtourneau sansonnet Kiondike (Oregon)Sturnus vulgaris
3 Erickson etal 2001
Bryne 1983
1 Johnson etal 2002
Mustersetal 1996
1 IJames et Cody 2003
Kerns et Kerlinger 2004
4 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants 2004
1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants 2004
8 Everaert et aI. 2003
1 Everaertetal. 2003
2 Durr, 2004
1
1
1
Ourr. 2004
Durr. 2004
Johnsonetal 2003
Tableau A34. Liste sommaire des bergeronnettes et (les pipits (Motacillidile) dont on
a signalé les collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I
i 5 de l’annexe. Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement le
nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc
éolien. Les nombres sont donc peu élevés. -
Espèces Site Nombre de Référencemorts
Rpit d Amerique AnthuFoote Creek Rim
!UI)esCunsPipit d Amerique Anthus Stateline Etat deruhescur WashngtonPipt n Amerque Montezurna HiHsArthus rubescensPipt oussehne Guennna EspagneiAnthus campestrisBergeronnette grise JBrandenburgMofaulla Iba Jlemagne)Bergeronnette grise Barrage de I EstMotaaIIa alba ZeebruggeBergeronnette printanière BrandenburgMotaciila fla’a (AlIep9ne
1 Johnsonetal 2001
1 WestInc et NorthwestWildlife Consultants 2004Howel! et Noone 1 92Howeli 1997
2 Lekuona 2001
1 Durr 2004
1 Everaert et aI 2003
1 Durr. 2004
laccidentelles
Tableau A35. Liste sommaire des fauvettes (Syftiinae) dont on a signalé les collisions
avec des éoliennes (lans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe.
Remarque : Les chiffres indiqués représentent uniquement Je nombre d’oiseauxtrouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres
sont donc peu élevés.Espèces Site Nombre de Référence
mortsccidentelles
Fauvette à tête noire izco (Espagne) 1 ILekuona. 2001Sylvia atricapïllaFauvette a tete noire Aiaiz (Espagne) 1 Lekuona 2001Sylvia atricapiliaFauvette à tête noire Guennda (Espagne) 2 Lekuona, 2001Sylvia_atricapillaRousseroile verderolle !Niedersachsen 1 Durr, 2004
‘Fauvette grisette Guennda (Espagne) f 1 Lekuona. 2001Sylviacommunis
Tableau 36. Liste sommaire des Pouillots siffleurs (Parulidae) dont on a signalé les
collisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de
l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre
d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les
nombres sont donc peu élevés.Especes Site Nombre de f * Reference —
: mortsaccidentelles:
,Paruline flamboyante Mountaineer 2 Kerns et Kerlinger. 2004
Setophaga ruticillaParuline noir et blanc MniotiltaBuffalo Ridge 3 Johnson etal., 2002
varia-—----f--- -—
Paruline rayee Dendroica Buffalo Ridge 1 Johnson et al., 2002
striataParuline rayée Dendroica Mountaineer 3 :Kerns et Kerlinger. 2004
‘striata s
Paruline bleue Dendroica sMountaineer 1 :Kerns et Kerlinger. 2004
caerulescensParuline grise Deridroica Zone de ressource 1 jSrnaflwood etnigrescens éolienne du col Thelander, 2004
dAltamontParuline grise Dendrofca 7Zonfessource 1 Thelander et Rugge,nigrescens éolienne du coI :2000
d’AltamontParuline du Canada Vviisonia ‘Mountaineer 1 Kerns et Kerlinger 2004
‘canadensisParuiine à flancs marron MoLintaineer I sKerns et Kerlinger. 2004
Dendroica pensylvanica ..
Paruline masquée Geothlypis Buffalo Ridge j 7 Johnson et al., 2002
trichasParuhne masquee Geothfypis1Mountaineer 1 Kerns et Kerlinger 2004
trichas
Parulne à capuchonVVilsonia citrinaParuline des buissonsOpororms tolmietParuline des bwssonsOporornis tolm,ei
Parune à croupion jauneDendroica coronataParuline à croupion jaune
‘Dendroica coronataParuline à croupion jauneDendroica coronataParuline à croupion jauneDendroica coronataParuline à croupion jaune
• Dendroica coron ata
Paruline a croupion jauneDeridroica coronata
Paruline à croupion jauneDendroica corriataParuline à croun on jauneDendro:ça oonata
Zone de ressourceéolienne du cold Altamont
tFoote Creek Rim
Zone de ressourceéolienne du cold AltarnontFoote Creek Rim
Rivière Castle(Alberta)Foote Creek Rim
Zone de ressourceéolienne de SolanoStateline (Oregon)
tateline tat deWashington)
Buffalo Ridge
Nine Canyon iÉtatde Washingtoni
1 Kerns et Kerlinger 2004
1 Johnson et al 2001
1 West Inc et NortbNestWildlife Consultants2004
1 Johnson et al 2002
5 Kerns et Kerlinger 2004
4 Johnson et al. 2002
1 Thelander et Rugge2000
3 iohnsonetal 2001
1 Smallwood etThelander. 2004
3 Johnson et al 2001
1 SmaIlwood etThelander. 2004
1 Anderson et aI 2000
1 tBrown, comm pers
1 Johnsoneta/.2001
1 ryne 1983
3 West Inc et Northwest•Wildlife Consultants2004
1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004
1 Johnson et al 2002
1 Erickson et al 20
Tableau 3. Liste sommaire des emhériiidés (E,iberizidae) dont on a signalé lescollisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 del’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre(Foiseaux troiiés et non le nombre préu de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu éle és.
Espèces Site
accidentelles
Mountaineer
Foote Creek Rim
Stateline (Oregon1
Paruhne à tète cendrée Buffalo RidgeDendroîca magnoliaParuline à tête cendrée MountaneerDendroica magnoliaParuline verdâtre Vermivora Buffalo Ridgecela taParuline de TownsendDendroica tonsendi
Paruline de TownsendDendroica townsendiParuline de TownsendDendroica townsendi
:Paruline à calotte noireWilsonia pusilla
__________
Paruline jaune Dendroica Zone de ressourcepetechia éolienne du col
dAItamontCol de Tehachapi
Nombre dem o ris
Référence
9(1
Bruant de Brewer Spizellarer.eriBruant familier SpizellapasserinaBruant famiiier Spizellapasserina
Bruant proyer EmberizacalandraJunco ardoisé Junco hyernaiisJunco ardoisé Junco hyemalis
Junco ardoisé Jrinco hyernalis
Junco ardoisé Junco hyerna lisJunco ardoisé Junco hyemalisJunco ardoisé Junco hyemalis
Bruant à couronne doréeZonotnchia atricapilla
Bruant à couronne doréeZonotnchia atricapilla
Bruant sauterelleAmmodramus savannarum
Tohi à queue verte PipiloçjjçrurusBruant noir et blancCalamospiza melanoco!ys
Bruant des préssandw,chens,s
Bruant des pres P sserculussdndwlchensis
Bruant spp
one de ressourceeolienne du cold AltamontStateline (État deWashington
Stateline (Oregon
5 ïohnsonetal 2001
L1 Johnson et al 2002
Johnson etal 2001
9 Durr 2004
I Johnson et al 20012 West Inc et Northwest
Wildlife Consultants2004
2 Brown et Hamilton. 2004
Anderson et al 20001 Johnson et al 2003
West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004
1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004
2 West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004
1 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants.2004
2 Johnson et aI, 2001
1 Johnson et al., 01
1 trickland et al. 2000
1 4Johnson et al 02
1 ÎErickson et al 2001
2 Erickson et al 2001
2 Smallwood et Thelander2004
West Inc et NorthwestWila fe Consultants2004West Inc et NorthwestWild!ife Consultants.2004West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004
t Hamiiton. 2002
Foote Creek Rim
Buffalo Ridge
Foute Creek Rim
Brandenburg(AI lemg neFoote Creek RimStateline (État deWashington)
McBride Lake(Alberta)Col de TehachapiKlondike (Oregon)Stateline (Oregon)
Stateline (Oregon)
Stateline (État deWashington)
Stateline (Oregon)
;Foote Creek Rim
Foote Creek Rim
Bruant de Lincoln Mospizuffalo RidgelincoIni,Bruant de Lincoln Melospiza Buffalo RidgelincolniiBruant de McCown CalcariusPonnequinmccownn (Colorado)Bruant des prés Passerculus WisconsinsandrwchensisBruant des présand ichensis
Passerculus
Passe’c uflis 1
Stateline (Oregon( 1
Alberta f ‘ereCastle
9 1
Rosel in famiher Carpodacusmexicanus
Brander h u raAllemagne,
Zone de ressourceeohenne du coldAltamontStatel ne (Etat deWashington)
1 Strickland et al. 2000c
2 tBrown comm pers
3 Brown et Hamilton 2004
1 Anderson et al. 2000
1 Erickson et aL 2003
1 Kerns et Kerhnger 2004
2 Johnson etal. 2002
2 West Inc et NorthwestWildlife Consultants2004
7 Johnsonetal. 2001
3 West Inc et NorthwestWildlife Consultants.2004
2 Johnson et al 2001
4 Stricklandetal 2000c
2 West Inc. et NorthwestWildlife Consultants
Bruant spp Vansycfe >Oregon)Bruants spp Rivière Castle
(Alberta) *
Bruants spp McBnde Lake(Alberta)
Bruant spp Col de Tehachapi
Tohi tacheté Pipilo maculatusNine Canyon >Etatde Washington)
Bruant des marais Melospiza MountaineergeorgianaBruant vespéral Pooecetes Buffalo RdgegramineusBruant vespéral Pooecetes Stateline (Etat degramineus Washington>
Bruant vesperal Pooecetes Foote Creek Rimgrnineu.sBruant à couronne blanche Stateline >État deZonotrichia leucophrys Washington)
Bruant à couronne blanche Foote Creek Rim Î
Zonotnchia Ieucophrys
______
Bruant à couronne blanche Vansycle (Oregon>•Zonotrichia_Ieucophrys
_____
Bruant à couronne blanche Stateline (Oregon)Zonotrichia Ieucophrys
2004
Tableau A38. liste sommaire des cardinaux ((‘ardinalidue) et des fringillidés
(Fringillidae) dont on a signalé les collisions avec des éoliennes dans les études
mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe. Remarque: Les chiffres indiqués
représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et non le nombre prévu de
collisionpour chajue parc éolien. Les nombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre de Référencemorts
-accidentelles
Chardonneret jaune Carduelis WisconsintristisPinson des arbres Fringilla Izco iEspagnmcoelebsBeccroise des sapins Loia Alaiz EspagnecurvirostraDickcissel d Amérique Spiza Buffa o RdgeamericanaDickcissel dAmerique Spizi Buffln RIQearnericanaVerdier d Europe CarduelisclitorisRoselin familier Carpodacusmexicanus
1 Erickson et al. 2001
1 Lekuona 2001
1 Lekuona 2001
1 Stnckland et al 2000
1 Johnson et al 2002
2 Durr. 2004
3 Erickson etal 2001
1 West Inc et NorthwestWildlife Consultants
2004Roselin familierrne icanus
uiscale de Brewerphagt1s cyanocephalus:Quiscale de BrewerEuphagus cyanocephalus
Vacher à tête bruneMolothrus ater
Vacher à tête bruneMolothrus ater
Zone de ressourceéoienne du cold AitamontMou n ta n ce r
Zobe de ressourceéolienne du coldAltamont
2one de ressourceéolienne du cold AltamontFoote Creek RimtZone de ressourceéolienne du col
jçiAltamont
________
Col de Tehachapi
Zone de ressourceéolienne du coldAltarnontZone de ressourceéolienne du coldAltamontKlondike (Oregon)
Zone de ressourceeoienne du cold AtamontState! ne tat deWashinato
________
Montezuma Hills
Wisconsin
fRivre Castle
+(Alberta)Zone de ressource
18 Smallwood etThelander. 2004
1 Kerns et Keriinger2004
3 Lekuona 2001
3 Kerns et Kerlinger2004
West Inc et NorthestWildiife Consultants 2004
2 Howe1 et Noone 1992Howeli 1997
1 Erickson et aI 2001
Brow mm pers
12 Smallwood et Thelander
Carpodacus
Passerin indigo PasserinacyaneaLinotte mélodieuse Carduelis El Perdon (Espagne)cannabinaCardinal à poitrine rose MountaineerPheucticus ludovicianus
Tableau A39. Liste sommaire des ictéridés (Icteridae) dont on a signalé les collisionsa ec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 de l’annexe.Remarque Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseauxtrouvés et non le nombre prévu de collisions pour chaque pare éolien. Les nombressont doncpeu élevés.
Esjces Site Nombre de Référencemorts
accidentellesfMerle noir spp.
Ïv1ede noir s
1erles noirs sppQuiscale de BrewerEuphagus cyanocephalus
1 iallwood et Thelander,2004
1 Helander et Rugge, 2000
2 îTohnson et aI 200113 Smallwood et Thelander
2004
1 Anderson et aI. 2000
8 Tckson et aI 2001
2 mallwood et Thelander.2004
1 Johnson et al 2003
1 Johnson et ai 2002
2 Erickson t u’ 2001
Quiscale bronzé Quiscalus Buffalo RidgequisculaCarouge a épaulettesAge/aIu5 phOer?!CCI1S
Carojge a epaulettesAgelaius phoeniceusCarouge a epaulettesAgelaius phoenicousCarouge a épaulettesAgelaius phoeniceusCarouge à épaulettesAgelaius phoeniceusCarouge à épaulettes
93
Agelaius phoeniceus
Carouge de CalifornieAgelaius tricolor
Sturnelle de OuestSturnella neglectaSturnelle de OuestSurne!ia neglecta
StumeHe de IOuestSturneila neglecta
Sturnelle de [OuestStumella neglectaSturnelle de lOuestSturnella neglectaSturnelle de OuestSturnella negiectaSturnelle de OuestSturnella neglectaSturnelle de [OuestSturnella neglectaStumefle de OuestSturneila neglectaSturnelle de OuestSturnella neglectaSturnelle de [OuestSturnella neglectaSturnelle de OuestSturnella neglecta
éohenne du cold Altamont
_____
Zone de ressourcecouenne du cold AftamontZone de ressourceéohennede SolanoZone de ressourceéohenne du cold AftamontZone de ressourceéolienne du cold Alta montFoote Creek Rim
Montezuma Huis
Buffalo Ridge
Col de Tehachapi
San Gorgonio
Statehne (Oregon)
Stateline (État deton)
Nne Canyon (Étatde Washington)IZone de ressourceéolienne du coldAltamont
2004
1 Smailwood et Thelander2004
1 Bryne 1983
8 TheIander et Rugge 2000
40 Eruckson et al 2001
1 Johnson et al 2001
1 HoweIl et Noone 1992HowelI 1997
1 Johnsonetal 2002
6 Anderson et al 2000
1 Ànderson et al 2000
5 West Inc et NorthwestWdlife Consuftants. 2004
7 West Inc et NorthwestWildlife Consultants 2004
2 Erickson et al.. 2003
99 aliwood et Thelander,2004
Tableau A40. Liste sommaire des tarangas (Thraupidae) dont on a signalé lescollisions avec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I à 5 dclannexe. Remarque: Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombred’oiseaux trouvés et non le nombre prés u de collisions pour chaque parc éolien. Lesnombres sont donc peu dc és.
Espèces Site Nombre de Référence
laranga a tête rouge 1Foote Creek RimPiranga ludovic ana
mortsaccidentelles
tableau A41. Liste sommaire des moineaux de l’Ancien Monde (J’as,scridae) dont onai signalé les collisions aec des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux Ii 5 de l’annexe. Remarque : Les chiffres indieiués représentent uniquement lenombre d’oiseaux trous és et non le nombre prés u de collisions pour chaque pareéolien. Les nombres sont donc peu élevés.
Espèces Site Nombre demorts
1 Johnsonetal 2001
Référence
) I
accidentel lesMoineau domestiquePasser domesticus
Moineau domestiquePasser domesticusMoineau domestiquePasser domesticusMoineau domestiquePasser dornesticusMoineau friquetPasser monta nus
*Zone de ressourceéolienne du cold AltamontBuffato Ridge
Brandenburg(Allemagne)iMountaineer
Brandenburg(AHemagne)
1
1
Smallwood et Thelander 2004
Johnson et aL 2002
1 Durr 2004
I Kerns et Kerknger. 2004
1 Durr 2004
Tableau A42. Liste soniniaire d’autres espèces dont on a signalé les collisions avec
des éoliennes dans les études mentionnées aux tableaux I 5 de l’annexe. Remarque
Les chiffres indiqués représentent uniquement le nombre d’oiseaux trouvés et 11011
le nombre prévu de collisions pour chaque parc éolien. Les nombres sont donc peu
élevés.Èspèces Site Nombre de
mortsRéférence
Passereaux sp.Passereaux sp.Passereaux sp
Passereaux sp
Passereaux sp
Passereaux spPassereaux spPassereaux sp
Passereaux spPassereaux spPassereaux sp
Passereaux sp
éolienne du col d Alta montCol de Tehachapi
ÏSan GorgonoZone de ressourceéolienne du col d AltamonMontezuma HilIs
Zone de ressourceéohenne du col d Aitamont
ÎCoI de TehachapiRivière Castle ,ïcerta
Nine Canyon Etat deWashingtonMcBride Lake Alberta)
Mountaineer•Stateline Oregon)
Stateline (tat deWashington
I mallwood etThelander 2004
16 .Thelander et Rugge 2000
29 Erickson et al 2001
5 Johnsonetal., 2001
1 Erickson et al., 2001
1 Johnson etal, 2002
16 Smallwood et Thelander 2004
16 Anderson et a/ 2000
9 Anderson et al. 2000
11 Erickson et al 2001
1 Howell et Noone 1992Howell 1997
42 Smallwood et Thelander 2004
Anderson et al 2000
Brown comm persErckson et a/ 2003
6 Brown et Hamilton 2004
9 Kerns et Kerlinger 2004
3 West Inc et Northwest WildlifeConsultants 2004
4 West Inc et Northwest Wi dlifeConsultants 2004
accidentellesalopsitte Zone de ressource
éolienne du col d Altamont
Passereaux sp. Zone de ressourceéolienne du col d Altamont
Passereaux sp Zone de ressourceéolienne du col d Altamont
Passereaux spjoote Creek Rim
Passereaux sp Vansycle (Oregon)
assereauxsp. BuffaloRidge jPassereaux sp. Zone de ressource
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9’S