Qu’évoque le mot “EAU” pour toi?

Penses et dis-moi…

T’évoque-t’il l’eau du robinet?

T’évoque-t’il une source?

T’évoque-t’il l’eau d’un torrent?

T’évoque-t’il la mer?

T’évoque-t’il la pluie?

T’évoque t’il le déluge?

Ou t’évoque t’il autre chose?

•Dis-moi….

De tous temps, la mer a inspiré poètes et écrivains. Rappelle-toi du chant des sirènes dans l’Odissée d’Homère. C’était pendant l’antiquité

grecque.

Au XIXème siècle, en France le mouvement romantique a été particulièrement inspiré par

l’eau. Voyons quelques exemples.

• Quels sont les caractéristiques des poètes et écrivains romantiques?

Victor Hugo écrivit les travailleurs de la mer dans lequel il décrit la vie dure et périlleuse des marins pêcheurs.

Dans les “Chants de Maldoror, Lautréamont dépeint l’océan comme une puissance sombre et maléfique.

À la même époque, l’artiste Géricault peint le “Radeau de la Méduse”, tableau qui évoque le sort effroyable des naufragés.

Rimbaud, célèbre poète français, écrivit le poème Ophélie où il décrit une noyée.

Revenons au Xxième siècle et finissons sur une note plus gaie en écoutant la chanson de Claude

Nougaro : “La pluie fait des claquettes”.

• La pluie fait des claquettesSur le trottoir à minuitParfois, je m’y arrête,Je l’admire, j’applaudisJe suis son chapeau claque,Son queue-de-pie vertical,Son sourire de nacreSa pointure de cristal

Aussi douce que Marlène,Aussi vache que Dietrich,Elle troue mon bas de laineQue je sois riche ou pas richeMais quand j’en ai ma claqueElle essuie mes reversEt m’embrasse dans la flaqueD’un soleil à l’envers

Avec elle je m’embarqueEn rivière de diamantsJ’la suis dans les cloaquesOu elle claque son argentJe la suis sur la vitreD’un poète endormi,La tempe sur le titreDu poème ennemi

À force de rasades,De tournées des grands-ducs,Je flotte en nos gambades,La pluie perd tout son suc« Quittons-nous dis-je, c’est l’heureEt voici mon îlotSalut pourquoi tu pleures ?- Parce que je t’aime salaud. »Sur le trottoir à minuitParfois, je m’y arrête,Je l’admire, j’applaudisJe suis son chapeau claque,Son queue-de-pie vertical,Son sourire de nacreSa pointure de cristal

Aussi douce que Marlène,Aussi vache que Dietrich,Elle troue mon bas de laineQue je sois riche ou pas richeMais quand j’en ai ma claqueElle essuie mes reversEt m’embrasse dans la flaqueD’un soleil à l’envers

Avec elle je m’embarqueEn rivière de diamantsJ’la suis dans les cloaquesOu elle claque son argentJe la suis sur la vitreD’un poète endormi,La tempe sur le titreDu poème ennemi

À force de rasades,De tournées des grands-ducs,Je flotte en nos gambades,La pluie perd tout son suc« Quittons-nous dis-je, c’est l’heureEt voici mon îlotSalut pourquoi tu pleures ?- Parce que je t’aime salaud. »